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Résultats de recherche pour developpement

(10837 résultats)
Il y a 2 ans et 67 jours

Le foncier, nouveau défi du développement portuaire durable

Réindustrialiser les territoires, produire des énergies nouvelles, en optimisant le foncier disponible pour limiter l’artificialisation des...-Vie du BTP
Il y a 2 ans et 68 jours

Énergie : la loi d'accélération des renouvelables publiée au Journal officiel

LÉGISLATIF. La loi visant à faire passer à la vitesse supérieure le développement des capacités d'énergies renouvelables vient d'être officiellement promulguée. Le texte a certes passé l'obstacle du Conseil constitutionnel mais ne fait cependant pas l'unanimité, même parmi les professionnels.
Il y a 2 ans et 70 jours

Le salon ISH 2023 à Francfort doit confirmer l’énorme développement des pompes à chaleur

La dernière édition d’ISH date de 2019. Depuis, sous l’influence de la guerre en Ukraine, du changement climatique et de l’évolution règlementaire, le monde du chauffage a changé. ISH 2023 sera l’occasion de comprendre comment les industriels européens ont réagi au changement de paradigme énergétique depuis l’invasion de l’Ukraine. Le salon ISH 2023 nous offre […]
Il y a 2 ans et 71 jours

Triple nomination chez NGE Bâtiment

CARNET/NOMINATION. Pour déployer sa stratégie de développement, le pôle Bâtiment du groupe NGE renforce son organisation avec deux promotions et l'arrivée d'un nouveau directeur général adjoint venu d'une major du BTP.
Il y a 2 ans et 72 jours

Le CSTB fait évoluer sa lettre CONTACT

Retrouvez l'interview d'Hervé Charrue, Directeur général adjoint en charge de la Recherche et du Développement, qui présente le nouveau de positionnement de la lettre dédiée à la recherche et aux problématiques scientifiques liées aux grands enjeux sociétaux du secteur du bâtiment et de l'aménagement urbain, abordées dans une approche globale et transversale.
Il y a 2 ans et 72 jours

ZéPAC, la pompe à chaleur double service pour le marché du collectif

Le Groupe Intuis, en collaboration avec le promoteur Arcole Développement, a participé à l’édition 2022 du challenge de l’innovation de la FFB Pôle Habitat, à Malte. De cette collaboration est née une ambition commune : répondre aux problématiques engendrées lors du passage de la RT2012 aux exigences de la RE2020/25.
Il y a 2 ans et 72 jours

Trois nouvelles nominations chez NGE BÂTIMENT

NGE BÂTIMENT, pôle Bâtiment du Groupe NGE, dont les compétences couvrent l’ensemble des projets de construction et de rénovation à forte technicité d’ouvrages fonctionnels (bureaux, logements, hôtels et équipements publics) annonce dans le cadre de son développement les nominations de : ● Roger LOPES, en qualité de Directeur Général Adjoint de NGE BÂTIMENT ● Benjamin […]
Il y a 2 ans et 72 jours

La CAPEB et Terreal signent un partenariat pour accélérer le développement du solaire photovoltaïque

La Confédération de l’Artisanat et des Petites Entreprises du Bâtiment (CAPEB), via sa filiale Béranger Développement, ont annoncé avoir conclu un partenariat avec Terreal, leader européen des tuiles en terre cuite, briques, composants pour la toiture et du solaire photovoltaïque.
Il y a 2 ans et 72 jours

Interview Mathilde Louërat, ingénieure Recherche et Expertise

Dans le cadre de la Journée Internationale des droits des femmes le 8 mars, nous mettons à l'honneur des collaboratrices du CSTB aux parcours et métiers diversifiés. Mathilde Louërat, ingénieure Recherche et Expertise, prend la parole. Pouvez-vous vous présenter en quelques mots ? Je suis ingénieure, avec une formation généraliste et une spécialité en bâtiment et matériaux pour la construction durable. Après un doctorat sur les transferts de chaleur et d'humidité dans les matériaux biosourcés, j'ai intégré l'équipe Environnement de la direction Énergie-Environnement du CSTB à Grenoble il y a cinq ans. Mon souhait était de combiner expertise scientifique et politiques publiques. Sur quelles missions travaillez-vous dans le cadre de vos fonctions ? Depuis mon arrivée, j'ai principalement participé à la mise en place de la RE2020, réglementation environnementale qui remplace la RT 2012 et intègre pour la première fois des exigences sur les émissions de gaz à effet de serre en cycle de vie des bâtiments. Depuis un an, je suis également cheffe de projet R&D spécialisée dans la problématique de l'atténuation du changement climatique, rattachée au domaine d'action stratégique de recherche « Bâtiments et villes face au changement climatique » piloté par Alexandra Lebert. Ma mission consiste à coordonner, organiser et capitaliser nos travaux de recherche sur ce sujet. Dans votre domaine d'activité, quels sont les enjeux de demain pour le CSTB ? La chaîne de valeur bâtiment émet plus de 150 Mt eq. CO2, ce qui représente 25% de l'empreinte carbone des Français. L'objectif est d'atteindre 96 Mt en 2030 puis 16 Mt en 2050, un très grand défi pour le secteur et donc pour le CSTB ! Les enjeux correspondent à ceux de la feuille de route consacrée à l'atténuation du changement climatique : que les acteurs connaissent les impacts de leurs activités et décisions, qu'ils connaissent les efforts qu'ils doivent réaliser à court, moyen et long termes pour les réduire (et contribuer à la neutralité carbone) et qu'ils sachent sur quelles solutions s'appuyer. Pour cela, nous devons leur fournir les méthodes et outils pour connaitre les impacts de leurs opérations et déterminer leur trajectoire de décarbonation, identifier les solutions pour concevoir des bâtiments bas carbone, accompagner la filière vers la massification de la rénovation, former les acteurs à ces enjeux, intégrer le carbone dans l'évaluation des produits de construction, etc. Bref, toutes les activités du CSTB auront un rôle à jouer ! En tant qu'ingénieure Recherche et Expertise au CSTB, comment percevez-vous la place des femmes dans votre entreprise, et plus généralement dans le secteur de la construction ? Dans la direction Energie-Environnement que je connais le mieux, quatre responsables d'équipe sur six sont des femmes ! Un exemple qui montre, j'en ai l'impression en tout cas, que la prise de responsabilité des femmes n'est plus un sujet. Cependant, on constate quand même des répartitions assez genrées sur les thématiques : les collègues énergéticiens sont majoritairement des hommes tandis que l'équipe Environnement est principalement féminine (surtout si on ne prend pas en compte les métiers liés au développement informatique). Le secteur de la construction dans sa globalité n'est malheureusement pas encore au niveau du CSTB. Que signifie pour vous cette Journée internationale des droits des femmes ? C'est l'occasion de prendre le temps de se retourner pour voir le chemin accompli, mais aussi de regarder vers l'avenir pour se rendre compte que le chemin n'est toujours pas terminé pour atteindre l'égalité réelle entre hommes et femmes (en termes de droits, de rémunération, etc.). C'est aussi l'occasion de célébrer les femmes qui sont des modèles et qui nous aident à réfléchir, rire, vivre mieux. Pour en citer quelques-unes : Irène Frachon pour son courage et son combat contre le Mediator, Laure Calamy pour ses prises de position sur la décentralisation de la culture, Dominique Méda pour ses recherches sur le travail et à Alice Zeniter pour ses réflexions sur la place des femmes en littérature.
Il y a 2 ans et 72 jours

nge b timent annonce trois nouvelles nominations

Ces trois nominations font suite à une volonté de développement de la part de NGE Bâtiment.
Il y a 2 ans et 74 jours

Le groupe Bouygues à l'aube d'une nouvelle étape de son développement

INFOGRAPHIE. Malgré un contexte instable, le groupe Bouygues est parvenu à atteindre les objectifs qu'il s'était fixés pour 2022. Et avec le rachat d'Equans, il compte bien s'inscrire dans une nouvelle dynamique de croissance. Retrouvez les résultats et faits marquants de l'exercice 2022 du groupe, dans un tableau de bord Batiactu.
Il y a 2 ans et 74 jours

L'Etat poursuivi pour "inaction" en faveur des énergies renouvelables

Un bureau d'étude spécialisé dans les projets éoliens et photovoltaïques a déposé auprès du Conseil d'Etat un recours contre l'Etat pour son "refus" d'accélérer concrètement le développement des énergies renouvelables, a-t-on appris lundi 6 mars de sources concordantes.
Il y a 2 ans et 75 jours

Le BioParc de Doué-la-Fontaine bâtit ses propres gîtes

L'AVENIR EN GRAND DES PARCS ET ZOOS. Vecteurs essentiels pour l'économie et le tourisme sur leur territoire, les parcs et zoos font souvent l'objet d'importants plans d'investissement pour améliorer et compléter leur offre et l'expérience des visiteurs, mais aussi pour attirer de nouveaux publics et assurer leur développement. Après le Futuroscope, direction le Maine-et-Loire pour découvrir les nouveaux hébergements du BioParc de Doué-la-Fontaine.
Il y a 2 ans et 78 jours

Le best OFF du DD à Marseille

Pour la première fois en Provence-Alpes-Côte d’Azur, l’exposition rétrospective du festival « OFF du DD » est présentée à Marseille (Bouches-du-Rhône). Elle donne à voir 69 dynamiques et réalisations pionnières en matière de développement durable (DD) et d’architecture frugale. Jusqu’au 14 avril 2023. Le OFF du DD est un appel à projet national et annuel […] L’article Le best OFF du DD à Marseille est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 2 ans et 78 jours

A Château-Thierry, l'objectif "zéro artificialisation nette" vécu comme une punition

A l'orée des vignes de Champagne, Château-Thierry (Aisne) se réveille d'un long déclin démographique accéléré par la désindustrialisation. Mais l'objectif national de "zéro artificialisation nette" (ZAN) des sols en 2050, qui vise à réduire l'extension des villes, y est perçu comme une menace pour le développement de la commune.
Il y a 2 ans et 79 jours

Wicona - Bâtir au-delà de demain

L'objectif de Wicona à travers cette approche globale du développement durable est de réduire de moitié les émissions initiales de CO2 et les émissions liées à l'utilisation d'ici 2025. En tant que marque d'Hydro, Wicona peut influer sur la production à la source.
Il y a 2 ans et 80 jours

Portes et châssis intérieurs aluminium : une technique de pose « fin de chantier » inédite

Proposer des solutions de menuiseries aluminium intérieures à clipser : c’est aussi le savoir-faire et la technologie RENOVAL Menuiseries.  Nouvellement installée dans un nouveau site industriel de 9 500 m² à Saumur, l’entreprise a décidé d’accélérer le développement des menuiseries aluminium intérieures. Fabriquées en France dans le Maine-et-Loire, les portes et châssis aluminium RENOVAL Menuiseries […]
Il y a 2 ans et 81 jours

Atlas et la Fiiac soutiennent l’économie de la construction

Le ministère du Travail, du Plein-Emploi et de l’Insertion s’engage avec la filière économie de la construction, en signant un Edec avec la Fiiac et Atlas. [©Atlas] Le ministère du Travail, du Plein-Emploi et de l’Insertion s’engage pour l’attractivité de la filière “économie de la construction”. Avec la Filière ingénierie de l’immobilier, l’aménagement de la construction (Fiiac) et Atlas, l’opérateur de compétences des services financiers et du conseil, il a signé un Engagement de développement de l’emploi et des compétences (Edec) des économistes de la construction. Celui-ci a pour objectif de répondre aux besoins importants de recrutement dans la filière. D’ici 2030, quelque 3 000 postes seront à pourvoir. Dès aujourd’hui, la filière cherche à recruter 1 300 personnes. Lire aussi : Economie : Quand la reprise se heurte à la crise des matières premières En effet, les professions de la filière sont directement concernées par les mutations environnementales et technologiques. Les nouveaux procédés accélèrent le besoin de recruter pour les 400 entreprises de la filière, qui emploie déjà 16 500 salariés. Il était important pour Atlas de s’engager avec l’Etat, comme l’explique Solange Chappelart, directrice branches et partenariat. « Nous travaillons au quotidien avec la branche des économistes et des géomètres pour répondre au mieux à ses besoins et à ses ambitions. Atlas s’engage aux côtés de l’Etat pour anticiper les mutations des métiers et les défis liés aux transitions numérique et écologique. »   Objectif ? Répondre aux enjeux du secteur à l’horizon 2030. L’objectif de cet Edec est de répondre aux problématiques que va rencontrer la filière d’ici 2030. Cela passe par l’accompagnement des entreprises dans la diversification de leur mode de recrutement. « Au regard des mutations de la branche, il est indispensable de mettre en place des actions concrètes pour favoriser l’attractivité des métiers, notamment auprès des jeunes. Certifications, expérimentations et formations innovantes sont autant de solutions à déployer pour permettre l’emploi durable des salariés », précisent Philippe Gronnier et Yves Sarrat, co-présidents de la Commission paritaire nationale de l’emploi et de la formation professionnelle de la Fiiac. Le montant global de ce projet s’élève à 380 000 €, avec un soutien de l’Etat à hauteur de 33 %. Suivez-nous sur tous nos réseaux sociaux !
Il y a 2 ans et 81 jours

Hoffmann Green Cement s’associe avec Belin Promotion

Les équipes de Hoffmann Green et de Belin Promotion lors de la signature du contrat. [©Hoffmann Green Cement Technologies] L’industriel Hoffmann Green Cement Technologies (HGCT) s’associe avec Belin Promotion, promoteur immobilier basé dans le Sud de la France. Et surtout spécialiste de l’aménagement urbain et du développement de centres commerciaux. Pendant 3 ans, Hoffmann Green lui fournira ses ciments décarbonés sans clinker. Ces derniers permettront la formulation de bétons pour la réalisation de logements collectifs et tertiaires à Toulouse, Bayonne ou encore Bordeaux. Ces ouvrages seront durables et respectueux de l’environnement, pour le bien-être des futurs résidents. Lire aussi : Partenariat entre Hoffmann Green Cement et le Belge Eloy « Ce contrat de 3 ans permet de renforcer notre carnet de commandes. Aussi, nous pouvons étendre notre empreinte commerciale au Sud-Ouest de la France » explique, Julien Blanchard, co-fondateur de Hoffmann Green Cement Technologies. Et Paul Henri Belin, président de Belin Promotion, de se réjouir de ce partenariat : « L’utilisation du ciment Hoffmann Green nous permettra de réduire drastiquement l’empreinte carbone de nos programmes immobiliers. Ce contrat renforce notre raison d’être, qui est de concevoir des résidences toujours plus respectueuses des générations futures et en harmonie avec l’environnement ». Hoffmann Green, expert du liant décarboné Fondé en 2014, l’industriel Hoffmann Green Cement Technologies, basé à Bournezeau en Vendée, est un expert du liant bas carbone. L’empreinte carbone de ses solutions est 6 fois inférieure à celle de ciments traditionnels. Avec un site de production 4.0, alimenté par un parc de trackers solaires, l’industriel produit son ciment à froid, avec 0 % de clinker et en limitant sa consommation énergétique. « Nous nous réjouissons d’avance de suivre les programmes immobiliers 0 % clinker de Belin Promotion, entreprise familiale avec qui nous partageons la volonté de minimiser l’impact environnemental du secteur de la construction », conclut David Hoffmann, co-fondateur de HGCT. Suivez-nous sur tous nos réseaux sociaux !
Il y a 2 ans et 81 jours

Le développement durable chez Hettich – Nouveau dépliant : « Agir aujourd’hui, penser à demain »

Déjà au début des années 1990 Hettich a intégré des principes de développement durable contraignants qui sont mis en pratique de manière résolue dans les domaines les plus divers. Dans un dépliant compact, l’entreprise montre une vue d’ensemble des différentes activités qui permettent au groupe Hettich de s’engager pour un avenir durable.  Les entreprises du […]
Il y a 2 ans et 82 jours

Sono Motors abandonne son projet de voiture solaire "Sion"

"Sono Motors s'engage à se concentrer exclusivement sur l'activité solaire pour les clients B2B et a mis fin au programme de voitures particulières de Sion", a indiqué la start-up, qui abandonne son projet mené depuis 2022.Sono Motors prévoyait la construction d'une flotte de voitures familiales à la carrosserie noire, couvertes de 456 cellules photovoltaïques pour offrir de l'autonomie supplémentaire.L'entreprise se prévalait d'une autonomie de 305 km pour chaque voiture, grâce à une batterie électrique ainsi que d'une autonomie supplémentaire de 112km en moyenne par semaine grâce à l'énergie solaire.Sono Motors va finalement se concentrer uniquement sur l'intégration de sa technologie solaire sur des véhicules tiers. Elle compte parmi ses clients Mitsubishi Europe, Chereau et deux filiales de Volkswagen.La décision a été motivée par "l'instabilité persistante des marchés financiers", a expliqué M. Hahn, alors que l'essentiel de ses dépenses concernent le programme Sion.La start-up munichoise va revendre le programme, et ainsi licencier 300 employés. Introduit en bourse de New York en 2021, ce fournisseur de solutions de mobilité solaire, notamment des panneaux solaires pour la carrosserie déclare compter sur 23 clients de l'industrie du transport et emploie 418 personnes dans le monde, dont 70% d'ingénieurs."Ce fut une décision difficile et malgré plus de 45.000 réservations et précommandes pour le Sion, nous avons été contraints de réagir à l'instabilité persistante des marchés financiers et de rationaliser nos activités", a déclaré Laurin Hahn, PDG de Sono Motors.La moitié des clients qui avaient réservé leur Sion avaient déjà versé un acompte moyen de 2.225 euros, qui devait permettre de financer le développement du modèle.Pour les indemniser, Sono Motors à annoncé un plan de remboursement en "plusieurs versements", ainsi qu'un "bonus" reversé "au cours des deux prochaines années".Le tarif final de la voiture devait s'élever à 25.000 euros. La jeune marque envisageait d'en produire plus de 250.000 au cours des 6 prochaines années.Cet échec, malgré une aide financière de l'Union européenne, illustre les difficultés de ce secteur de l'industrie automobile à émerger. Le mois dernier, la start-up hollandaise Lighyear annonçait elle aussi la fin de son projet de berline solaire.
Il y a 2 ans et 82 jours

AEG poursuit le développement de sa gamme Subcompact avec trois nouveaux outils professionnels

Nouvelle technologie moteur & compacité extrêmeLes outils de la gamme SUBCOMPACT sont équipés de la toute dernière technologie moteur Brushless à rotor extérieur, une exclusivité AEG. La conception de ce moteur a permis de réduire considérablement la taille des outils sans faire aucun compromis sur les performances des machines. La dimension du moteur est réduite de 60%*, son diamètre de 27% et sa longueur de 24%, entraînant une compacité et une diminution importante du poids de l’outil. Plus petits, plus légers, ces outils garantissent à l’utilisateur de travailler sans fatigue, plus longtemps et plus facilement, y compris dans les endroits les plus difficiles d’accès.Tous les outils de la gamme SUBCOMPACT sont compatibles avec l’ensemble des batteries PRO 18V AEG.*vs moteur 18V AEG standard.Scie sabre “une main” Brushless SUBCOMPACT 18V : puissance, compacité et polyvalenceGrâce à son moteur Brushless, ses 3 200 cps/min et sa course de 22 mm, cette scie sabre est idéale pour la découpe de multi-matériaux (bois, cuivre, PVC…) et garantit des coupes rapides et sans effort.Utilisable à une seule main, pour plus de praticité et de sécurité, elle dispose d’un variateur de vitesse situé sur l’interrupteur pour un réglage facile en fonction du support et un contrôle total de la découpe.Son système de fixation Fixtec™ permet le changement rapide de lame et sans outil.Son design compact et sa poignée avec revêtement Softgrip offrent une maniabilité qui combine contrôle, légèreté et liberté de mouvement pour travailler dans toutes les positions, y compris dans des zones difficiles d’accès. Pour plus de précision dans le travail, son patin est pivotant pour s’adapter aux surfaces de découpe et des LED intégrées éclairent la surface de travail pendant la coupe.Scie circulaire 165 mm Brushless SUBCOMPACT 18V : des records de puissanceCette nouvelle scie circulaire réunit toutes les fonctionnalités et performances nécessaires aux professionnels.Elle est aussi puissante qu’une scie circulaire filaire avec à son moteur Brushless et sa technologie HD-SYNC™ qui optimisent sa puissance grâce à une meilleure communication entre le moteur et la batterie.Avec ses 5 000 tr/min, elle assure des coupes rapides et sans effort dans tous types de bois. Sa lame de 165 mm de diamètre atteint une profondeur de coupe de 57 mm.Elle dispose d’un système de blocage d’arbre pour le changement rapide de la lame et d’une clé Allen qui est embarquée sur la machine.Robuste, elle est dotée d’un carter aluminium ultra résistant et d’une base en magnésium. Sa semelle inclinable est pourvue d’une graduation gravée jusqu’à 56° pour plus de précision dans le travail et une durabilité maximale.Elle dispose d’une prise aspirateur et d’une soufflerie d’éjection des poussières pour un travail impeccable et des surfaces toujours propres.Sa poignée avec revêtement Softgrip micro-texturé assure une excellente prise en main. Pour assurer un travail de qualité quel que soit le niveau de luminosité, un système de LED intégré améliore la visibilité de la ligne de coupe garantissant des coupes précises et soignées.Perceuse-visseuse d’angle Brushless SUBCOMPACT 18V : la seule référence avec un moteur Brushless du marchéElle déploie un couple de 42 Nm qui en fait la perceuse-visseuse d’angle la plus performante du marché.À sa puissance s’ajoutent une extrême compacité et un poids plume qui en font l’outil idéal pour les agenceurs et cuisinistes, notamment lorsqu’ils travaillent dans les endroits difficiles d’accès.Elle s’adapte facilement à tous types d’applications et de configurations avec ses deux vitesses allant de 0 à 500 tr/mn et de 0 à 1 900 tr/min.Conçue pour faciliter le travail des professionnels, elle dispose d’une large gâchette pour travailler à distance sans difficulté et d’un mandrin de grande profondeur pour réaliser des vissages et dévissages à bout de bras dans les endroits exigus.La poignée dispose d’un revêtement micro-texturé Softgrip pour un meilleur contrôle de l’outil ; afin d’assurer une visibilité optimale, la perceuse-visseuse d’angle SUBCOMPACT AEG est dotée d’un éclairage LED intégré.
Il y a 2 ans et 82 jours

Rapport du COI : « Un signal fort du désengagement de l’Etat dans le développement routier », Bernard Sala, Pdt de Routes de France

Hausse des crédits à l’entretien et à la modernisation, baisse de ceux dédiés au développement et montée en puissance programmée du...-Travaux publics
Il y a 2 ans et 82 jours

Le futur quartier de La Cavalerie de Clermont-L’Hérault est en marche

Cette procédure est l’aboutissement de longues réflexions sur le développement urbain de Clermont-L’Hérault, initiées en 2008 lorsque le secteur de la Cavalerie est devenu constructible suite à une révision du Plan Local d’Urbanisme communal. Après une phase de concertation publique, un appel d’offres a été lancé par la commune et a désigné le groupement GGL Aménagement – Hectare comme aménageur de la ZAC, qui comprend un programme de construction de 620 logements dont 220 logements individuels et 400 logements collectifs, réalisé en plusieurs tranches.L’aménagement de ce secteur sur 16,7 hectares est stratégique pour la commune. Le Maire Gérard Bessière entend insuffler une nouvelle dynamique urbaine et sociale à Clermont-L’Hérault et faire du quartier La Cavalerie la vitrine de la ville en termes d’attractivité urbaine, de modernité et d’innovation et le trait d’union entre entrée de ville, centre historique et zone d’activité au Sud. Le projet se veut ambitieux sur le plan architectural et vertueux sur le plan environnemental. A l’instar des Folies architecturales de Montpellier, Gérard Bessière veut accueillir les nouveaux habitants dans des bâtiments singuliers et inspirants. Le quartier sera pensé suivant les principes d’un écoquartier. Un espace paysager central, véritable colonne vertébrale du projet, structurera ce « Parc Habité » et profitera à l’ensemble des Clermontais. La Cavalerie symbolisera une véritable dynamique urbaine porteuse d’intégration sociale et paysagère.Pour en savoir plus sur l’écoquartier La Cavalerie16,7 hectaresProgramme de construction : 620 logements dont 220 logements individuels et 400 logements collectifs60 000 m2 de surface de plancher20% de logements sociaux et 15% de logements abordablesInvestissement : 35 M€ (hors immobilier)7,28 M€ de participation au titre des équipements publicsDurée de la Concession : 12 ansCalendrier : Dossier de création : fin 2023Dossier de réalisation : mi 2024Obtention des autres autorisations administratives : début 2025Démarrage des premiers travaux : mi 2025Arrivée des premiers habitants : 2027
Il y a 2 ans et 82 jours

Nexity atteint ses objectifs dans un marché "en fort repli"

Le chiffre d'affaires s'est établi à 4,7 milliards d'euros l'an dernier, supérieur à l'objectif de 4,6 milliards que le groupe s'était fixé début 2022.Il recule de 2,7% par rapport à 2021, année où Nexity s'était séparé du réseau d'agences immobilières Century 21 et du spécialiste des résidences séniors Aegide-Domitys. Sans tenir compte de ces deux anciennes filiales, le chiffre d'affaires progresse de 1,7%.Nexity va proposer à ses actionnaires un dividende de 2,50 euros, comme l'année précédente.Dans la promotion de logements neufs, son coeur de métier historique, il a obtenu 18.015 réservations, 10% de moins, mais sa part de marché grimpe à 15%, mieux qu'espéré, dans un contexte général de recul très prononcé des commercialisations.Le chiffre d'affaires de cette branche augmente de 3%, à 3,39 milliards d'euros. "Notre résilience est unique dans un marché (...) en fort repli en 2022", a déclaré à la presse la PDG Véronique Bédague, qui a pris seule la tête du groupe le 1er janvier après un an et demi aux commandes en tant que directrice générale.Pour 2023, Nexity table sur un chiffre d'affaires d'au moins 4,5 milliards d'euros. Une baisse due à son recentrage sur la France, avec la cession prévue de ses activités en Pologne et au Portugal."Clairement, 2023 sera une année de transition, avec je pense une nouvelle baisse du marché du logement neuf", a dit Véronique Bédague. Le groupe anticipe une érosion temporaire de ses marges, prises en étau entre la hausse des coûts de construction et la réduction du pouvoir d'achat des acquéreurs, à cause de la forte hausse des taux d'intérêt.Il va poursuivre sa stratégie de développement de l'immobilier géré (résidences étudiantes, coworking...), qui a permis à sa branche services d'afficher un chiffre d'affaires en hause de 10%, à 938 millions d'euros. "On voit, chez nos acheteurs, que ce soit des acheteurs institutionnels ou des particuliers, qu'il y a une appétence, de plus en plus, pour tout ce qui est géré", a expliqué Véronique Bédague.La troisième branche du groupe, la promotion immobilière de bureaux, a elle souffert, avec un chiffre d'affaires en chute de 23% à 380 millions d'euros, la demande ne s'étant toujours pas relevée des conséquences de la pandémie de Covid-19.
Il y a 2 ans et 83 jours

Élisabeth Borne lance un plan de 100 milliards d'euros pour le ferroviaire d'ici 2040

"L'État souhaite s'engager, aux côtés de la SNCF, de l'Union européenne et des collectivités locales, pour réussir une 'nouvelle donne ferroviaire', de l'ordre de 100 milliards d'euros d'ici 2040", a-t-elle déclaré en recevant un rapport du Conseil d'orientation des infrastructures (COI), un collège composé d'élus et d'experts chargé de plancher sur la question.Ce montant correspond à l'estimation des besoins lancée par le PDG de la SNCF Jean-Pierre Farandou, qui envisageait cette dépense sur quinze ans.Concrètement, l'État va commencer par ajouter d'ici la fin du quinquennat 1,5 milliard d'euros par an aux budgets actuels pour régénérer et commencer à moderniser les voies ferrées."Nous devons investir dans le développement du réseau", a indiqué Mme Borne. "Au-delà de la poursuite des projets de lignes nouvelles engagés et de la relance des trains de nuit, cela passera par le déploiement des RER métropolitains", a-t-elle ajouté.La Société du Grand Paris (SGP), qui construit actuellement le métro du Grand Paris autour de la capitale, doit travailler en tandem avec SNCF Réseau pour concevoir ces liaisons suburbaines autour d'une douzaine de grandes agglomérations de provinces.Elle "mettra ses compétences au service des régions et entamera dès le mois de mars des discussions avec les exécutifs locaux concernés pour déterminer le calendrier, les modalités opérationnelles et de financement", a indiqué la cheffe du gouvernement.Le gouvernement entend prendre pour base, parmi les propositions du COI, un scénario dit "de planification écologique".Celui-ci s'éloigne du cadrage budgétaire actuel pour ajouter des investissements jugés "les plus pertinents pour faciliter le report modal (de la route vers les transports collectifs, NDLR) et de la décarbonation".Donnant la priorité à la modernisation du réseau ferré et aux transports du quotidien, le scénario veut également mettre l'accent sur la rénovation des routes et voies d'eau, mais invite à réfléchir deux fois avant de construire de nouveaux axes routiers.Le gouvernement entend lancer en mars des discussions avec les régions et partenaires concernés, notamment dans le cadre des négociations des contrats de plan État-régions (CPER), afin de disposer en juin d'une planification précise des investissements d'infrastructures de transport.
Il y a 2 ans et 83 jours

Enedis accélère les embauches et les apprentissages

"Nous sommes en croissance de l'activité et nous allons recruter plus fort que ce qu'on a fait les années précédentes", a indiqué à l'AFP Nicolas Marchand, directeur des ressources humaines chez Enedis. Le groupe emploie 38.000 salariés: les "hommes en bleu" qui entretiennent les lignes électriques de 37 millions de clients en France. Au total, 1,4 million de kilomètres de lignes.Il prévoit de recruter cette année 1.600 personnes en CDI et 1.300 alternants, du bac professionnel à l'ingénieur en passant par le BTS (mention "métiers de l'énergie"), a indiqué M. Marchand.Le nombre total de salariés devrait ainsi augmenter d'un millier environ fin 2023, "pas loin de 39.000", compte tenu des départs naturels au sein du groupe, calcule-t-il.Soit un vrai tournant. La courbe de l'emploi chez Enedis était orientée à la baisse depuis 2016. Elle a commencé à s'inverser en 2022.Car l'électricité doit à terme remplacer d'autres sources d'énergie fossile qui participent au réchauffement de la planète.Le développement des énergies renouvelables, solaire ou éolienne, "se fait à 90% sur le réseau de distribution", explique le responsable: "Quand vous installez des panneaux photovoltaïques, il faut les raccorder au réseau. C'est le travail d'Enedis, gérer les injections d'électricité, les électrons envoyés sur le réseau, pour ensuite pouvoir les redistribuer".Une grosse partie du développement d'activité chez Enedis porte aussi sur "l'électrification des usages". Par exemple, le raccordement des bornes de recharge pour les véhicules électriques.Alors qu'élèves et parents sont dans les affres de l'orientation scolaire en février et mars, Enedis a lancé une campagne sur les réseaux sociaux pour expliquer ses besoins dans ses 12 bassins régionaux.Le groupe souffre comme une grande partie de l'industrie d'un déficit d'image auprès de la jeunesse bien que ses salariés soient applaudis chaque fois qu'ils rétablissent le réseau après une tempête.Enedis prévoit aussi de travailler avec l'Education nationale pour promouvoir dès la classe de cinquième ses métiers.RTE, l'opérateur qui gère les lignes à haute tension, a lui aussi presque doublé son rythme de recrutement. L'entreprise, qui employait fin 2022 9.500 personnes, compte recruter 700 nouveaux collaborateurs en 2023, contre 400 habituellement, a-t-elle annoncé récemment.
Il y a 2 ans et 83 jours

Saint-Gobain grimpe en Bourse, après des résultats records

Le titre progressait de 5,90% à 56,49 euros vers 10H20 (09H20 GMT). Depuis le début de l'année, il a bondi de 23%, parmi les cinq meilleures performances du CAC 40.La veille, le groupe avait révélé un chiffre d'affaires record pour l'année 2022: il a atteint 51,19 milliards d'euros, passant pour la première fois au dessus de la barre des 50 milliards, en hausse de 15,9%. Le bénéfice net s'établissait lui à 3 milliards d'euros, en hausse de 19,1%, également pour la première fois à ce niveau."Saint-Gobain a fait partie des grands gagnants dans le rebond du marché tiré par la baisse des prix du gaz et d'indicateurs macroéconomiques moins mauvais", ont estimé les analystes d'Oddo BHF dans une note.Ils tablent surtout sur une progression encore importante de la valorisation de l'entreprise. "Nous restons globalement convaincus que les changements des dernières années ne sont pas encore intégrés à leur juste valeur", expliquent-ils, soulignant que "Saint-Gobain présente un potentiel de rattrapage important par rapport à ses pairs".En 2023, le groupe anticipe cependant "un ralentissement modéré" de ses marchés, "avec une situation contrastée entre la baisse de la construction neuve dans certains endroits et la bonne résilience globale de la rénovation", indique un communiqué du groupe.Rien d'inquiétant pour les marchés qui se sont surtout concentrés sur sa marge d'exploitation, dont Saint-Gobain estime qu'elle sera comprise en 2023 entre 9 et 11%.Cette prévision est en effet jugée "rassurante" par les analystes de Jefferies, qui estiment que la marge du groupe va profiter de récentes cessions.Globalement, ils ont salué une entreprise qui "n'est pas la même société qu'avant", grâce à sa diversification géographique et au développement de solutions durables, qui représentent désormais "75% de son chiffre d'affaires".En 2023, Saint Gobain a prévu de distribuer à ses actionnaires un "montant total supérieur à 1,4 milliard d'euros" après 1,35 milliards d'euros en 2022.
Il y a 2 ans et 85 jours

Annecy met en place des quotas pour réguler les meublés de tourisme

"Nous constatons que le nombre de meublés déclarés sur la commune d'Annecy est aujourd'hui quatre fois plus élevé qu'il y a cinq ans", a souligné le maire écologiste François Astorg lors d'un conseil communautaire.Des quotas s'appliqueront à partir du 1er juin prochain dans la commune, qui a été divisée en trois zones, la plus restrictive étant la vieille ville, cœur touristique d'Annecy. Au total, le nombre de résidences secondaires en meublés de tourisme sera limité à 2.200 sur l'ensemble de la ville, contre plus de 2.800 actuellement, soit 3% du parc de logements."On essaye de ramener les logements vers leur fonction première, qui est l'habitation à l'année", explique à l'AFP Sophie Garcia, conseillère municipale déléguée au logement abordable et à la mixité sociale. La ville espère ainsi faire revenir sur le marché quelques centaines de logements dans les trois ans. L'objectif de la municipalité est désormais de "retrouver un équilibre" entre les visiteurs et les personnes qui vivent et travaillent à Annecy. "On a des immeubles quasiment entiers dédiés à ça (la location touristique, NDLR), au détriment de la vie de voisinage, de la sérénité des résidents et du patrimoine d'Annecy", pointe l'élue annécienne.Cette mesure de quotas s'accompagne d'un durcissement de la réglementation sur les changements d'usage de locaux d'habitation en hébergement touristique avec, notamment, la limitation des autorisations à un seul bien par propriétaire ou encore l'obligation d'un renouvellement tous les cinq ans. Les nouvelles règles sont contestées par le Syndicat Annecy Meublés, représentant les intérêts des loueurs, qui qualifie cette politique de "discriminatoire et disproportionnée".Elle "ne résout pas le problème de logement et de nuisances" à Annecy et va affecter la rentabilité des biens des propriétaires, estime son président Marc Stakic, joint par l'AFP. Le syndicat envisage d'engager un référé en justice contre ces délibérations.La ville d'Annecy est l'une des premières en France à appliquer des quotas pour tenter de réguler le développement des locations de courte durée sur des plateformes de type Airbnb, Booking, Abritel etc."On espère aussi interpeller le législateur pour que l'Etat prenne position sur ce phénomène dont on n'avait pas pu prévoir la prise d'ampleur", indique la conseillère municipale Sophie Garcia.
Il y a 2 ans et 86 jours

Isonat lance la gamme Flex Contact, une nouvelle génération de panneaux isolants biosourcés en fibre de bois

Conservant les meilleurs lambdas du marché des isolants biosourcés, les produits de la gamme FLEX CONTACT répondent aux attentes des clients et s’inscrivent pleinement dans le cadre réglementaire de la rénovation énergétique. Cette gamme est aussi en parfait accord avec les enjeux stratégiques d’habitat durable avec moins de liant donc plus de fibre de bois dans ses panneaux.FLEX CONTACT, une solution d’isolation biosourcée qui accompagne les grandes tendances de fond du marché de l’isolationEn constante évolution, le marché des isolants biosourcés devrait tripler à l’horizon 2030 pour atteindre 33 millions de m² (9% de parts de marché*), la fibre de bois représentant la majorité des ventes avec 45% des volumes**.Ce potentiel de développement concerne aussi bien le marché de la rénovation (habitat particulier et bâtiments publics) que la construction neuve traditionnelle ou les maisons à ossature bois.Anticipant une telle croissance, Isonat se devait de répondre à une problématique phare des artisans en fabriquant des produits à la pose plus facile et avec moins de poussières.Les nouveaux panneaux FLEX 40 et FLEX 55 : un confort de pose qui répond à toutes les configurations d’isolation par l’intérieurFLEX 55Pouvoir isolant le plus performant du marché des biosourcés (0,036 W/(m.K)) Excellent isolant acoustique Le seul isolant biosourcé revêtu d’un voile de confort pour une découpe et une manutention facilitée.FLEX 40Pouvoir isolant parmi les plus performants du marché des biosourcés (0,038 W/(m.K)) Excellent isolant acoustique L’idéal en cloison, 4 références adaptées à la mise en oeuvre en logements, bâtiments collectifs et ERP.Une innovation technologique qui simplifie la manipulation, la découpe et la poseUne qualité de fibre qui améliore le confort de pose… avec beaucoup moins de poussières !Les panneaux FLEX 40 et FLEX 55 sont plus faciles à manipuler sur les chantiers. Leur fibre ne se délite pas et génère très peu de poussières lors de la découpe, rendant ainsi la pose plus simple et agréable à réaliser. La souplesse des panneaux et leur aptitude à la compressibilité facilitent également la mise en oeuvre entre les montants et les passages de gaines.Une nouvelle composition au service de la performance des panneauxLes panneaux FLEX 40 et FLEX 55 sont élaborés avec une nouvelle génération de liant, dont la quantité nécessaire pour la fabrication a été divisée par deux. Cette nouvelle formule permet d’obtenir des panneaux avec plus de fibres de bois, dont les qualités techniques améliorées assurent l’excellente cohésion de la matière et la robustesse des panneaux.Une éco-conception et une fabrication françaisePour la fabrication de ses isolants biosourcés en fibre de bois FLEX CONTACT, Isonat privilégie le Douglas certifié PEFC. Cette matière première provient des forêts locales et est issue des chutes de production des scieries voisines, dans un rayon d’environ 60 km autour de l’usine de Mably (42).Un emballage simple à lire et plus durableGrâce à ses nouveaux emballages, Isonat facilite le choix des poseurs comme des vendeurs. Pédagogique avant tout, il indique le nom de la gamme, la nature de l’isolant et ses bénéfices, des informations nécessaires et directement visibles sur un pack plus épuré.Côté recyclabilité, le taux d’encrage des emballages a été divisé par deux passant de 45% à 22% ce qui permet un recyclage des emballages plus important car il nécessite moins de traitement.*Sources internes Saint-Gobain.**Sources Étude MSI “Marché des Produits d’Isolation Thermique en France” - Janvier 2022.
Il y a 2 ans et 86 jours

jean philippe bitouzet prend la direction generale de france air

Jean-Philippe Bitouzet est nommé comme nouveau directeur général de France Air. L’entreprise, basée aux portes de Lyon, compte sur son nouveau DG pour poursuivre sa dynamique de développement.
Il y a 2 ans et 86 jours

EDF ENR construit pour Sodebo le plus grand parc en autoconsommation de France

Une initiative menée en étroite collaboration avec EDF ENRCe parc photovoltaïque, unique en France de par sa surface, permettra de produire l’équivalent de 11% de la consommation totale annuelle de Sodebo, soit la consommation de 1280 maisons de 100 m2 en chauffage électrique sur une année. Avec EDF ENR, filiale d’EDF, l’entreprise souhaite accroître sa part d’électricité d’origine renouvelable, ainsi que son autonomie énergétique : un choix qui fait sens pour l’entreprise vendéenne qui a toujours privilégié l’internalisation comme mode de fonctionnement.Une première mise en service à partir de novembre 2023L’installation des panneaux photovoltaïques, qui seront répartis sur différentes zones de son site de 124 hectares, débutera à l’automne 2023.Dans un premier temps, des ombrières photovoltaïques seront installées sur certains de ses parkings pour une mise en service en novembre de cette année. La seconde partie de l’installation suivra en avril 2024 et concernera l’installation de panneaux photovoltaïques directement au sol.Pour Marie-Laurence Gouraud, Co-Présidente de Sodebo : « Nous sommes conscients des enjeux de Développement Durable liés à notre activité et de notre responsabilité dans ce domaine. A ce titre, nous pilotons une feuille de route claire dont l’énergie est l’un des sujets prioritaires. Ce parc photovoltaïque est un projet de longue haleine que nous avons ouvert en 2020 et c’est aujourd’hui pour nous une réelle satisfaction de voir les travaux démarrer. Et des travaux il y en aura d’autres ! Les toits de nos futurs bâtiments accueilleront tous des panneaux photovoltaïques et nous prévoyons également l’installation de bornes de recharge pour voitures électriques et hybrides pour nos véhicules de société et pour les véhicules personnels de nos collaborateurs. »Pour Benjamin Declas, Président – Directeur Général EDF ENR : « Nous sommes particulièrement fiers de pouvoir accompagner Sodebo dans sa transition énergétique, avec ce projet d’une ampleur inédite, et nous remercions cette entreprise pour sa confiance dans le groupe EDF. L’autoconsommation photovoltaïque est aujourd’hui une solution éprouvée pour produire et consommer tout ou partie de son électricité. Elle donne accès à une énergie propre, décarbonée et respectueuse de l’environnement. Son déploiement rapide sur les sites industriels permet de répondre aux enjeux de maîtrise des coûts et de neutralité carbone de très nombreux professionnels. »Les chiffres clés du projet 95.000 m² de panneaux photovoltaïques seront installés 100% de la production d’électricité issue des panneaux photovoltaïques sera consacrée à l’autoconsommation de Sodebo11% de la consommation annuelle de l’entreprise sera ainsi couverte
Il y a 2 ans et 86 jours

Liebherr : Des malaxeurs pour les bétons de demain

Grâce à la commande ultra moderne du malaxeur de laboratoire, tous les paramètres sont ajustables et peuvent être sauvegardés. [©Liebherr] « Les malaxeurs de laboratoire permettent une recherche systématique de solutions et de réduire les essais. Ils peuvent fournir des bases pour des prises de décision bien précises. Notre objectif est de permettre aux développeurs de nouvelles recettes de béton de pouvoir réaliser leurs propres essais pratiques grâce à cette technique. » Voilà ce que résume l’industriel Liebherr. Et il ne se contente donc pas de fournir des installations de malaxage, mais aide ses clients à répondre à toutes leurs problématiques concernant la technologie de malaxage. Ainsi, les “bétons du futur” peuvent être développés avec ses malaxeurs de laboratoire. Ces outils permettent des essais de malaxage à petite échelle. Mais possèdent aussi un système de commande innovant pour tous les paramétrages du malaxage. Lire aussi : Liebherr : Betomix/Mobilmix revisitée Deux types de malaxeurs Deux types de malaxeurs sont disponibles : à cuve annulaire ou à deux arbres horizontaux. Ces outils de laboratoire offrent les mêmes processus techniques que ceux utilisés pour la production de masse. Cela signifie que lors des essais de malaxage à l’échelle du laboratoire, les séquences de sollicitation et de mouvement sont réalisées à l’identique. Ces aspects ont été pris en compte dans le développement des nouveaux équipements. Le malaxeur à deux arbres horizontaux DW 0.06/100 est conçu pour le malaxage distributif. Celui à cuve annulaire RIV 0.06/100, pour les tâches de dispersion exigeantes. Et dispose d’une vitesse de rotation variable et réglable de manière séparée et indépendante de la vitesse de rotation des tourbillons. Suivez-nous sur tous nos réseaux sociaux !
Il y a 2 ans et 86 jours

La préfabrication, cheville ouvrière du hors site

Béton traditionnel ou architectonique, bois ou matériaux mixtes, les différentes filières constructives ont de nouveaux atouts avec le développement d'ateliers de préfabrication modernes. (Photo © SMJM)
Il y a 2 ans et 86 jours

la capeb signe un partenariat avec siniat

La Confédération de l’Artisanat et des Petites Entreprises du Bâtiment (Capeb) annonce avoir signé un nouveau partenariat, cette fois-ci via ses organisations Béranger Développement et l'IRIS-ST, avec Siniat (groupe Etex), pour favoriser la montée en compétences des artisans du bâtiment en matière de construction durable.
Il y a 2 ans et 86 jours

Le gouvernement annonce 12 millions d'euros de subventions pour inciter à l'ouverture de commerces ruraux

"L'Etat apportera un soutien à l'installation en ruralité de commerces sédentaires multi-services ainsi que de commerces itinérants permettant de desservir plusieurs communes rurales", a annoncé le gouvernement dans un communiqué signé des ministres déléguées au Commerce Olivia Grégoire et aux Collectivités territoriales et à la Ruralité Dominique Faure.Ce programme "s'adresse à des porteurs de projets qui peuvent être publics ou privés, étant précisé que les porteurs privés devront nécessairement disposer de l'appui de la commune d'implantation", précise le gouvernement, selon qui le guichet d'inscription, auprès des préfectures, s'ouvrira le 1er mars prochain. Dans le détail, l'acquisition d'un local et sa remise en état "pourront être pris en charge à hauteur de 50% dans une limite de 50.000 euros", l'"aménagement du local et l'acquisition de matériel professionnel" pourra être pris en charge à hauteur de 20.000 euros, voire 25.000 euros "si le projet présente un intérêt particulier en matière de développement durable, ou un caractère innovant dans son modèle économique".Sont cités comme exemples, "circuits courts, insertion de publics défavorisés, implication du tissu associatif local, expérimentation d'un lieu de collecte mutualisé pour les commandes numériques".Pour les commerces itinérants, l'État pourrait subventionner jusqu'à 20.000 euros pour notamment l'acquisition du véhicule professionnel de tournée, "dans une limite de 50% des dépenses d'investissement".A cet ensemble peut s'ajouter "une aide de 5.000 euros maximum pour les prestations d'accompagnement auxquelles il pourrait recourir afin de concevoir, mettre en œuvre et faire vivre son projet".L'objectif évoqué par Olivia Grégoire est "d'apporter rapidement aux habitants de 1000 communes rurales une offre commerciale", dit-elle dans ce communiqué.Les préfectures doivent rassembler les dossiers à l'échelle de leur département, dans une logique de "répartition géographique équilibrée" et faire une première sélection avant de la faire remonter au niveau des ministères, a précisé son cabinet lors d'une conférence de presse téléphonique mercredi. Ce sont plutôt des commerces alimentaires qui sont ciblés.La même source a précisé qu'il n'y avait pour le moment "pas d'annonce quant à la reconduction du dispositif" après 2023, mais que, "s'il avait du succès", le gouvernement "ferait tout pour qu'il soit reconduit".
Il y a 2 ans et 86 jours

Objectifs atteints pour Bouygues en 2022

RÉSULTATS. Le groupe Bouygues a bouclé une bonne année 2022, marquée par une accélération de son développement malgré un contexte toujours instable à divers points de vue, principalement pour ses activités de construction.
Il y a 2 ans et 87 jours

Des acteurs du chauffage vent debout après la sortie d'un ministre sur le fioul

ÉNERGIE. Le syndicat national des combustibles et carburants de chauffage a vivement réagi aux propos du ministre du Logement Olivier Klein, qui a qualifié l'utilisation des chaudières domestiques au fioul de "crime pour la planète". La filière a répondu en mettant en avant les alternatives en cours de développement.
Il y a 2 ans et 87 jours

Airwell devient partenaire principal du Stade Français Paris

Une première rencontre (Match Paris/Pau) a lancé officiellement le partenariat en affichant Airwell sur la Pocket droite du maillot des joueurs professionnels du club de la capitale le 31 décembre dernier. Cette collaboration court jusqu’à la fin de la saison 2024-25.L’humain fait la forceLe partenariat entre Airwell et le Stade Français Paris c’est avant tout une rencontre entre Laurent Roegel, PDG du Groupe Airwell et Thomas Lombard, aujourd’hui Directeur Général du Stade Français Paris et ancien joueur international de rugby. C’est autour d’une table ronde que les deux entrepreneurs ont pris connaissance de leurs ambitions communes. Une rencontre sous le signe de l’humain, représentative de ce partenariat. Innovation, esprit d’équipe, dynamisme et convivialité : le Groupe Airwell partage ces valeurs avec le monde du sport de haut niveau. Le partenariat a été signé le 05 décembre par Laurent Roegel et Thomas Lombard.Une visibilité exclusiveCet engagement avec le club s’appuie sur un plan d’action de notoriété de la marque dans le but d’accroitre son rayonnement sur l’ensemble du territoire français avec la mise en place d’opérations promotionnelles, événementielles et par la suite un programme complet d’hospitalité. Grâce à ce partenariat d’envergure, Airwell affichera son logo sur la pocket droite du maillot jusqu’à la saison 2024-25. Airwell dispose également d’une forte visibilité dans l’enceinte du Stade Jean Bouin, notamment sur la panneautique LED et fixe du club. La marque s’appuiera également sur les supports digitaux de communication du Stade Français Paris afin de faire vivre le partenariat en dehors des stades.Un nouveau partenaire engagéAirwell, acteur français des équipements thermiques engagé pour la transition énergétique a choisi le Stade Français Paris pour son premier partenariat sportif afin de représenter leurs valeurs communes, notamment sur la transition écologique et environnementale. Airwell et le Stade Français Paris seront accompagnés par SPORTFIVE sur l’activation de ce partenariat ainsi que la création de synergies entre les communautés du club et de la marque. C’est en effet l’engagement profond pour la Responsabilité Sociétale des Entreprises (RSE) qui les rassemble. Cette ambition qui s’inscrit sur la durée correspond aux deux piliers communs d’Airwell et du Club, former et innover. Par le biais de ce partenariat, les deux entités souhaitent faire monter en puissance et partager au plus grand nombre leurs engagements.Comme le précise Laurent ROEGEL, PDG du Groupe Airwell : « Les meilleurs partenariats sont souvent ceux qui se font naturellement. La rencontre avec Thomas et l’échange autour des valeurs et des objectifs de nos 2 organisations fut donc une évidence. L’humain avant tout, dans un esprit de conquête et de défis à relever, tout en intégrant et privilégiant l’environnement social, sociétal et territorial dans lesquels nous vivons. Nous sommes donc très heureux et très fiers de débuter ce partenariat et de construire une nouvelle histoire. »Thomas Lombard, Directeur Général du Stade Français Paris ajoute : « Nous sommes fiers de ce partenariat avec Airwell. C’est toujours un plaisir d’accueillir une marque avec qui nous partageons une vision commune des enjeux liés au développement durable et à la protection de l’environnement. Ce partenariat s’inscrit parfaitement dans le déploiement de nos objectifs RSE, et nous permettra de relever ensemble les challenges du monde de demain. »Laurent MORETTI, Directeur général France de SPORTFIVE conclut : « Nous sommes très heureux d’avoir contribué au rapprochement entre le Stade Français Paris et Airwell et avons hâte de les accompagner dans leurs activations conjointes. Nous sommes d’autant plus fiers d’accompagner Airwell pour ses premiers pas dans le sponsoring sportif. »
Il y a 2 ans et 87 jours

GAP Référencement passe à la vitesse supérieure

Après deux séminaires dans la sympathique station balnéaire du Grau du Roi, le nouvel objectif fût de trouver un lieu plus grand, croissance oblige.Ce sont donc les 18 et 19 janvier 2023 dans "la ville aux arènes" de Nîmes que les 80 personnes ont déposé leurs envies et leurs valises pour deux jours d’un séminaire riche en rencontres et en conseils.Un séminaire à l’esprit « collaboratif »Cette convention de deux jours était placée sous le signe de la rencontre, des échanges sur les différents services clés du réseau GAP RÉFÉRENCEMENT et de la convivialité.Ce séminaire fut d’abord humain avec la présentation des nouveaux adhérents. Un moment un peu plus long que prévu, au regard de leur nombre important, mais aussi de la richesse des échanges. Si nous défendons des valeurs communautaires et identitaires, nous ne manquons jamais une occasion de le prouver. Ainsi, chaque nouveau membre dispose d’un temps pour se présenter au travers son histoire, de ses attentes et de ses objectifs. Un moyen de briser la glace, mais également de comprendre les besoins de l’adhérent dans le but de bénéficier de l’entraide de ses nouveaux équipiers.Il fut ensuite technique avec l’intervention de différents animateurs du réseau, chacun dans son domaine de prédilection. L’objectif étant d’apporter aux adhérents des conseils et des méthodes actionnables dès le retour dans leur entreprise.De bonnes pratiques pour mieux gérer son équipe, son entrepôt, ses clients ou encore mieux communiquer en local. Autant d’actions à mettre en place de manière simple et pragmatique pour devenir plus performant et rentable.La surprise Michael Aguilar, en guest-starC’est bien connu, chez GAP RÉFÉRENCEMENT, on aime la différence.Et si on devait décrire le réseau par un seul mot, le terme "différent" viendrait instantanément à l’esprit de nos adhérents ou des professionnels du secteur.Proposer des approches différentes dans le management des entreprises est un des fondamentaux du réseau. C’est donc en toute logique que Jordan Khalifa a sollicité Michael Aguilar (conférencier au 350K abonnés sur LinkedIn) pour venir à la rencontre des dirigeants avec comme thématique principal "Faisez la différence".Oui, vous avez bien lu, "Faisez la différence". Il n’y a là aucune faute, juste de la pure vérité dans la manière d’anticiper, d’agir, de vivre, de changer son mode de fonctionnement, de diriger pour ne pas devenir meilleur… Mais être LE meilleur.Une intervention remarquée et remarquable, saluée par les 80 personnes. Leur écoute plus que studieuse et les sourires figés sur leurs visages pendant la conférence ont témoigné du bon moment passé.Une expérience unique et sympathique qui a fait la différence, merci Michael Aguilar.Un nouveau "GAP dating" professionnelFort du succès du premier "GAP dating" de septembre 2022, nous avons renouvelé l’expérience en adaptant la formule. Cette fois-ci, les fournisseurs ont été remplacés par des professionnels de la formation, de l’informatique, du management, de la communication, du recrutement, des achats, … et autres fonctions supports d’une société.Avec 10 ateliers, les groupes d’adhérents ont pu balayer différents sujets de la vie d’entreprise dans le but de poser des questions concrètes pour obtenir les réponses adaptées à leurs situations.Un nouveau moment d’échanges bienvenu où chacun s’est senti libre d’exprimer ses difficultés du quotidien en repartant avec des solutions à mettre en œuvre. Les résultats seront évoqués au prochain séminaire.Les achats au cœur du réseauEnfin, cette convention s’est terminée sur un point stratégique, les achats. C’est le sujet que tout le monde attend. Avec plus de 30M€ négociés en 2022, GAP RÉFÉRENCEMENT est devenu, en l’espace de 2 ans, un réseau respecté et très ambitieux au vu de son développement, surtout avec les 50 à 60M€ en prévision pour 2023.Si nous avons parlé de prix et de BFA (Bonus de Fin d'Année), nous avons également parlé de relations fournisseurs avec les adhérents. Délai de livraison, qualité produit, service SAV, suivi commercial, … l’échange sur les achats a aussi été le moment de prendre la même direction, voire la même décision.Fidèle au dicton "seul, on va plus vite, ensemble, on va plus loin", la réussite du réseau est sans aucun doute due à son esprit d’équipe. Le sujet des achats démontre une nouvelle fois que chez GAP RÉFÉRENCEMENT, c’est l’unité qui fait la force.Cet évènement à l’image de notre réseau "identitaire et communautaire" a une nouvelle fois marqué les esprits de manière positive. De nos jours, il n’est pas évident de faire déplacer les professionnels alors lorsque vous réussissez à réunir 90% de votre réseau, vous pouvez juste conclure "notre séminaire est utile et apprécié", merci à tous pour votre présence et votre participation.Pour Eric Beyne - Directeur commercial du réseau : On vit un moment fort. De toute ma carrière, je n’ai jamais vu ou connu une telle croissance en si peu de temps. Nous sommes passés de 25 à 50 adhérents en seulement six mois. Si on ajoute que le réseau a seulement trois ans d’existence, on mesure tout le travail et l’énergie que cela demande.On nous pose souvent la question "Comment expliquer cette croissance ?". Je réponds toujours la même chose, par notre différence, tout simplement.Nous essayons de proposer des projets simples, pragmatiques à nos adhérents en défendant en permanence leur identité. Mon équipe travaille tous les jours pour valoriser leur entreprise, les aider à se structurer, s’organiser pour devenir plus fort et plus compétitif. Cette convention a été une nouvelle fois à la hauteur de nos espérances. Imaginez que 90 % de nos adhérents se sont déplacés sur deux jours. Cela montre l’intérêt qu’ils portent aux informations reçues lors de ces moments privilégiés.Enfin, mon plus grand bonheur est de voir les adhérents s’inviter entre eux pour expliquer comment ils s’organisent pour traiter un sujet d’entreprise. Chacun donne son savoir-faire pour recevoir en retour, et ceci vaut tout l’or d’un réseau."
Il y a 2 ans et 87 jours

Bois et hydrogène : deux énergies pleines de promesses ?

ÉDITION SPÉCIALE. Le chauffage au bois domestique et les chaudières à hydrogène ont su attirer l'attention sur eux cet hiver. A l'occasion d'EnerJ-Meeting Paris, la rédaction de Batiactu a reçu sur son plateau Damien Mathon, secrétaire général de Poujoulat et Olivier Stenuit, responsable stratégie et développement hydrogène chez BDR Thermea pour en parler.
Il y a 2 ans et 87 jours

Fabemi adapte son offre de blocs béton

Le groupe Fabemi a intensifié la décarbonation de sa production. [©Fabemi Fabemi a adapté son offre de blocs béton aux exigences de la RE 2020. Ce qui en fait des systèmes constructifs parfaits pour bâtir ou rénover des bâtiments durables et respectueux de l’environnement. Au sein de la gamme de blocs isolants Fabtherm, trois sont dotés d’une âme en mousse isolante 100 % minérale. Ils sont ainsi deux à huit fois plus isolants que des blocs béton traditionnels. Ils contribuent à réduire l’empreinte carbone des bâtiments de l’ordre de 4 à 8 % par rapport à d’autres solutions constructives. De plus, ils permettent la réalisation d’ouvrages conformes au critère C de la RE 2020, et de ses futurs seuils de 2025 et 2028. Lire aussi : Fabemi : Un système complet Une gestion éco-responsable En accord avec les directives de la RE 2020 sur la réduction des émissions de CO2 dans le bâtiment, le groupe Fabemi a intensifié la décarbonation de sa production. La démarche consiste à créer une synergie entre fabrication de blocs béton bas carbone, économie circulaire et savoir-faire industriel. « Les blocs béton Fabemi sont l’exemple même de l’engagement de l’entreprise dans l’écologie industrielle Made in France. Et du développement d’innovations produits orientées clients, capables de répondre aux enjeux d’aujourd’hui et surtout de demain », indique la marque. De la fabrication à la fin de vie, leur empreinte carbone est minimisée grâce à une production locale (impact du transport très faible) et à un procédé de fabrication sans cuisson. Les blocs sont produits avec des granulats provenant de carrières situées à proximité des usines Fabemi, séchés naturellement. Et utilisés sur des chantiers proches des unités de production. Ce qui limite le transport et donc l’impact environnemental.  Fabemi met l’accent sur le recyclage En utilisant des granulats recyclés Sølar, Fabemi préserve les ressources naturelles. Ces granulats sont composés d’un assemblage de produits de carrières (ressources primaires) et granulats issus de la valorisation. Une partie de la production des usines de La Trinité (06) et de Vitrolles (13) intègre ces granulats en partie recyclés. Fabemi travaille pour étendre l’intégration de ce matériau éco-responsable à l’ensemble de ses sites de production. De plus, les blocs béton Fabemi sont entièrement recyclables. Après la démolition des bâtiments, ils deviennent revalorisables dans de nouveaux produits, en se substituant à une partie des granulats. Pour finir, ces blocs béton disposent de Fdes. Des données vérifiées et disponibles sur la base Inies qui permettent de calculer la contribution des produits à l’impact environnemental de l’ouvrage à construire. Suivez-nous sur tous nos réseaux sociaux !
Il y a 2 ans et 87 jours

La décentralisation des politiques de l’habitat et la rénovation énergétique au cœur des propositions de la FOPH

Deux mois et demi après le lancement du CNR Logement, ouvert le 28 novembre 2022, l'heure est aux propositions concrètes. La FOPH, qui a pris part aux trois groupes de travail (« Redonner aux Français du pouvoir d’habiter », « Réconcilier les Français avec l’acte de construire », et « Le logement à l’avant-garde de la transition énergétique ») a mis à profit cette grande consultation pour attirer l’attention sur deux sujets cruciaux : la décentralisation des politiques de l’habitat, et la rénovation énergétique.Pour animer cette visioconférence de presse, Marcel Rogemont, président de la Fédération, membre du groupe 2, était accompagné d’Isabelle Rueff, directrice générale d’Alpes Isère Habitat, et d’Anne Voituriez, présidente de Lille Métropole Habitat, vice présidente de la Métropole Européenne de Lille, toutes deux également impliquées dans ces ateliers.Propositions sur la décentralisation des politiques du logementFinancer l’Autorité organisatrice de l’habitat (AOH)Dans le cadre de la loi 3DS, en 2022, la FOPH a promu l’idée de l’Autorité organisatrice de l’habitat comme outil de décentralisation des politiques du logement. La Fédération plaide pour que soit dédié à l’AOH un financement propre, à l’instar de l’autorité organisatrice de la mobilité et son versement transport.Pour Marcel Rogemont : « La FOPH a lancé une étude avec le cabinet 1630 Conseil sur la question d’une participation de la PEEC (1,6 Md€ de collecte par an) pour financer ces AOH. Cette proposition financière ne coûte pas un euro de plus, elle vise seulement à flécher différemment et plus efficacement les flux financiers. »Consulter l’étudeFusionner le PLH et le PLU pour plus d’efficacité des politiques de l’habitatLa FOPH propose de fusionner le programme local de l’habitat (PLH), document de programmation, et le plan local d’urbanisme (PLU), qui accorde les droits à construire, afin d’assurer une vraie cohérence entre ces documents.Pour Anne Voituriez : « Cette fusion donnerait davantage de liberté aux élus, qui sont les acteurs de l’urbanisme, et favoriserait une meilleure efficacité des politiques de l’habitat. Elle est déjà autorisée par les textes mais n’est pas obligatoire, et de ce fait, encore rarement mise en pratique. »Propositions sur le rôle des organismes HLM dans la transition énergétiqueMaPrimeRénov’ HLM pour accélérer les réhabilitations performantes du parc socialPour pouvoir accélérer les réhabilitations, de la même manière que le secteur privé est aidé dans ses rénovations, la FOPH propose MaPrimeRénov’HLM.Pour Marcel Rogemont : « En 2022, 3,4 Mds€ ont été dépensés pour MaPrimeRénov’ ; sachant que les HLM représentent 17% des résidences principales, nous demandons que 17% de ces 3,4 Mds nous soient versés. »Les bailleurs sociaux au service des collectivités et des élus pour répondre aux besoins des territoiresLa FOPH propose de reconnaître que les bailleurs sociaux, qui sont au service des collectivités et des élus, peuvent répondre aux besoins des territoires au-delà de la simple question du logement, et jouer un rôle majeur en matière de conseil, d’aménagement, d’expertise, de développement de services et de diversification (maisons de santé, accession à la propriété, opérations mixtes, aménagement, habitats seniors, etc.).Mettre le savoir-faire des bailleurs sociaux à disposition du parc privé pour massifier la rénovation thermique et atteindre les objectifs 2050La Fédération propose d’impulser des orientations législatives pour permettre aux bailleurs sociaux d’intervenir pour le compte de tout syndicat de copropriétaires dans la réalisation des travaux de rénovations énergétiques, et en tant que tiers financeur. Pour Isabelle Rueff : « Les organismes de logement social ont un savoir-faire et un niveau de performance énergétique très supérieur à celui du parc privé. »Ajouter les établissements publics locaux à la liste des opérateurs pouvant être Accompagnateur RénovMon Accompagnateur Rénov' est un tiers de confiance, pour un particulier, qui permet de réaliser, en confiance, son projet de rénovation énergétique performante ou globale.Développer davantage les Contrats de Performance ÉnergétiquePour Isabelle Rueff : « Cet outil s’avère efficace et permet de fiabiliser les économies d’énergie et de carbone. »Dans le courant du mois de mars, chaque groupe de travail devra sélectionner et présenter 10 propositions, qui seront adressées au cabinet du ministre délégué au Logement, Olivier Klein.
Il y a 2 ans et 87 jours

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