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Il y a 5 ans et 111 jours

Le Sénat lance une mission d'information sur l'empreinte environnementale du numérique

« Si rien n'est fait pour changer les tendances actuelles, il est probable que le numérique représentera en 2025 une proportion aussi importante d'émissions de gaz à effet de serre que l'automobile aujourd'hui ». C'est le constat dressé devant la commission de l'aménagement du territoire et du développement durable par Hugues Ferreboeuf, expert au sein du think-tank The Shift Project.
Il y a 5 ans et 112 jours

A6A : H-eva

L’équipe de l’agence A6A – Atelier 6 Architecture – imagine un concept innovant : une microarchitecture préfabriquée et mobile, durable et écologique, qu’elle baptise H-eva. Cette petite maison en bois, à installer partout, est un espace de vie réduit à l’essentiel. Retour sur la genèse et les enjeux de ce concept innovant. La maison H-eva est née de la rencontre entre le développeur d’idées Michel Calliau, l’artisan Nicolas Laveau et l’architecte Michel Hardoin. En 2014, Michel Calliau et Christine Tanguy confient à A6A la construction d’un pavillon en bois accolé à leur maison familiale. Séduit par l’habitation en bois réalisée par Michel Hardoin, le commanditaire souhaite aller plus loin et développer une cabane mobile et autonome. L’idée initiale finit par prendre forme fin 2016 lorsque le duo rencontre le constructeur Nicolas Laveau, qui réfléchit depuis plusieurs années à la fabrication d’une habitation préfabriquée et écologique. H-eva est une cabane contemporaine, de 20 mètres carrés, qui contient tout le nécessaire pour y vivre de manière autosuffisante : un espace principal, un coin privé pouvant accueillir jusqu’à deux lits doubles, une cuisine, un bloc sanitaire – douche et toilettes sèches –, ainsi qu’un poêle à bois et un cellier technique abritant le dispositif d’assainissement des eaux et les batteries électriques alimentées par les panneaux photovoltaïques du toit. Chauffée et éclairée ainsi, H-eva est aussi confortable qu’une habitation classique et produit sa propre énergie, sans gaspillage ni pollution. Construite avec des matériaux durables et locaux – pin des Landes ou bois de de Nouvelle-Aquitaine –, la cabane se pare de planches bois du sol au plafond, laissées brutes à l’intérieur et brûlées à l’extérieur. Egalement ouvert sur le paysage, ce petit pavillon est doté de larges baies vitrées, parfois donnant sur une terrasse. Aujourd’hui, H-eva est commercialisée sur le site dédié au projet. L’acquisition de cette habitation, dont le prix varie entre 30 000 et 60 000 euros en fonction des options choisies, est suivie de près par l’équipe de l’atelier et dépend de quatre étapes préalables : être certain du site, définir son module selon ses besoins et son budget, obtenir les autorisations nécessaires à la construction et valider le devis. Après sa fabrication artisanale en atelier, la maison est transportée jusqu’à l’emplacement choisi par camion plateau, puis installée avec une grue sur le site sans altérer la terre. En plus d’être une solution de logement à moindre coût, H-eva offre à ses habitants une expérience spatiale atypique. Alliant confort et prise de conscience écologique, la cabane leurs propose de retourner aux sources. Le premier modèle accessible à la location est niché au Pays Basque (64) et disponible sur la plateforme Airbnb. Difficile de ne pas être séduit par ce petit module, qui ouvre le champ des possibles en termes d’habitat et permet aussi de penser la maison de demain. Pour en savoir plus, visitez les sites de l’Atelier 6 Architecture et du projet H-eva Photographies : Agnès Clotis Léa Pagnier
Il y a 5 ans et 112 jours

Un consortium international va construire un terminal portuaire dédié à l'automobile à l'entrée du Canal de Suez

Un consortium réunissant le Français Bolloré et les Japonais Toyota Tsusho et Nippon Yusen Kabushiki Kaisha va construire et gérer un terminal portuaire dédié à l'automobile à Port-Saïd, à l'entrée du canal de Suez, a annoncé Bolloré Ports.
Il y a 5 ans et 113 jours

Poêles à combustible liquide QLIMA – Un haut niveau de confort à moindre coût

Leader sur le marché des poêles à combustible liquide, QLIMA s’impose depuis plus de 30 ans comme le spécialiste du climat intérieur. Poêles à pétrole, à granulés, climatiseurs, déshumidificateurs, humidificateurs, purificateurs d’air… les gammes innovantes de produits QLIMA répondent aux diverses problématiques de particuliers soucieux de leur confort et de leur bien-être. À l’heure où le coût de l’énergie pèse lourd dans le budget des ménages, les solutions capables de fournir un haut niveau de puissance au meilleur prix séduisent de plus en plus les Français. Les poêles à combustible liquide QLIMA, solution économique moins chère que l’électricité et très confortable, constituent la réponse idéale pour les particuliers attentifs à leur facture énergétique. En utilisant un combustible QLIMA à 0,105 euro TTC/kWh*, l’économie réalisée peut atteindre jusqu’à 35 % par rapport à un radiateur électrique radiant au tarif de 0,161 euro TTC/kWh*. La facture de chauffage est donc abaissée avec les poêles à combustible liquide QLIMA, considérés comme le système d’appoint le plus performant du marché. Économiques à l’achat comme à l’utilisation et parfaitement sécurisés, ces appareils apportent rapidement chaleur et confort, en hiver comme aux intersaisons. QLIMA propose deux grandes familles de poêles à combustible liquide : • Les poêles électroniques Laser, dont le nouveau modèle design SRE 4034 C, peu coûteux, ou le SRE 9046 C-2. • Les poêles à mèche, comme le R 7224 SC, sans branchement électrique, pour un chauffage autonome à petit prix. * Coûts kWh moyens constatés.   Nouveau poêle électronique Laser SRE 4034 C QLIMA Économique à l’achat et à l’usage Efficace et design, le nouveau poêle électronique Laser SRE 4034 C QLIMA s’intègre dans tous les intérieurs et apporte les degrés nécessaires à un bien-être sans faille, à moindre frais. Économe à l’achat (moins de 379 euros TTC) et peu gourmand en combustible, ce modèle associe un brûleur high-tech à des fonctions programmables empêchant le gaspillage. Il peut chauffer des pièces de belles dimensions (de 21 à 60 m2) pour 18 à 50 cts/h* avec un combustible QLIMA Pure. Le poêle QLIMA dispose d’un mode Save qui permet de maintenir la température désirée dans la pièce au degré près, sans variation de chaleur. Un capteur mesure la température ambiante, et l’appareil s’autorégule en fonction de la chaleur choisie, réduisant ainsi la consommation de combustible. La fonction hors gel (en réglant l’appareil sur 5 °C) empêche le froid hivernal de dégrader la maison. Une programmation sur 24 heures, associée au système de contrôle et de régulation Fuzzy Logic, sert à définir les heures de fonctionnement et la température désirée dans la pièce, garantissant ainsi une diminution de la consommation de combustible. En cas de coupure électrique, le SRE 4034 C QLIMA mémorise le programme en cours, et se réenclenche automatiquement lors de la remise sous tension. Côté sécurité, le nouveau poêle QLIMA est équipé d’un témoin de flamme assurant une parfaite qualité de combustion, d’une protection de surchauffe, d’un système anti-renversement et d’un régulateur de brûleur. Un détecteur de CO2, qui contrôle en permanence l’atmosphère de la pièce, permet d’arrêter automatiquement l’appareil par extinction totale du brûleur avant que la teneur en CO2 n’atteigne 1 %. * Coûts variables selon le combustible utilisé. Poêle électronique Laser SRE 4034 C QLIMA Type de brûleur : à injection électronique Capacité de chauffe : mini 1,19 kW – maxi 3,40 kW Consommation : mini 0,124 l/h – maxi 0,354 l/h Volume de pièce : de 21 à 60 m2 Capacité du réservoir : 5 litres Autonomie : de 14 heures à 40 heures Niveau sonore : de 26 à 39 dB(A) Dimensions : L 436 x P 313 x H 435 mm Poids : 9 kg Garantie : 4 ans Prix de vente : moins de 379 euros TTC Points de vente : GSB, GSA et sites e-commerce www.qlima.fr   Poêle électronique Laser SRE 9046 C-2 QLIMA Hautes qualités techniques et économies pour grands volumes Particulièrement puissant, le poêle électronique Laser SRE 9046 C-2 QLIMA est capable de chauffer rapidement de grandes surfaces (jusqu’à 76 m2) pour 19 à 69 cts/h* avec un combustible QLIMA Pure. La chaleur produite se propage uniformément grâce à un ventilateur intégré. En seulement cinq minutes, l’appareil diffuse une chaleur confortable dans l’espace de vie. Équipé d’un brûleur high-tech, le SRE 9046 C-2 QLIMA adapte en permanence sa puissance, c’est la régulation électronique. La puissance produite varie ainsi de 100 W en 100 W afin de correspondre précisément à la température programmée. Il en résulte un grand confort d’utilisation, mais aussi une réelle économie d’énergie. En activant le mode Save du SRE 9046 C-2 QLIMA, la régulation électronique est doublée d’une fonction marche/arrêt automatique qui optimise la régulation. Par exemple, si la température de la pièce dépasse de 3 °C la température programmée, l’appareil s’éteint. Dans le cas contraire, il se remet en fonctionnement. Avec une régulation définie au plus juste, le confort est amélioré et la facture énergétique abaissée. De plus, pour empêcher le froid de faire des dégâts dans la maison, il est possible de programmer le mode Save sur 5 °C (fonction hors gel). Pour encore plus de confort, le SRE 9046 C-2 QLIMA est équipé d’un grand réservoir de 9 litres, assurant jusqu’à 67 heures d’autonomie, et d’un système de temporisation de la ventilation, pendant l’allumage et l’extinction, qui évite la diffusion des odeurs de combustion. Ce modèle performant est également doté de dispositifs de sécurité infaillibles : témoin de flamme contrôlant la qualité de combustion, protection de surchauffe, système anti-renversement, régulateur de brûleur et détecteur de CO2. * Coûts variables selon le combustible utilisé. Poêle électronique Laser SRE 9046 C-2 QLIMA Type de brûleur : à injection électronique Capacité de chauffe : mini 1,28 kW – maxi 4,65 kW Consommation : mini 0,134 l/h – maxi 0,485 l/h Volume de pièce : de 30 à 76 m2 Capacité du réservoir : 9 litres Autonomie : de 18 heures à 67 heures Niveau sonore : de 25 à 39 dB(A) Dimensions : L 466 x P 349 x H 445 mm Poids : 13 kg Garantie : 4 ans Prix de vente : moins de 549 euros TTC Points de vente : GSB, GSA et sites e-commerce www.qlima.fr   Poêle à mèche R 7224 SC Le chauffage performant et autonome à petit prix Chauffage d’appoint mobile très fonctionnel, le poêle à mèche R 7224 SC QLIMA ne nécessite ni branchement à une prise de courant, ni évacuation. Il peut donc être déplacé, au gré des besoins, dans toutes les pièces de la maison. Avec ce poêle QLIMA, au prix modique de 149,90 euros environ, il n’en coûte que 36 cts/h*, avec un combustible QLIMA Pure, pour chauffer des surfaces de 16 à 34 m2. Le R 7224 SC QLIMA est un poêle à simple combustion qui diffuse la chaleur par rayonnement. Cet appareil mobile à souhait dispose d’un système d’allumage électronique Spark qui sert à enflammer la mèche d’une simple pression sur un bouton. D’une grande puissance de chauffe (2 400 W), le R 7224 SC offre un rendement de 99,99 %. Ultra performant, le R 7224 SC QLIMA est aussi un as de la sécurité, avec : • Un dispositif de contrôle d’atmosphère mesurant en permanence le taux de CO2 et qui arrête l’appareil par extinction totale du brûleur avant que la teneur en CO2 n’atteigne 1 %. • Une sonde déclenchant l’arrêt total de l’appareil dès que la température de la pièce est trop élevée (33 °C). • Un dessus tempéré, conforme à la norme en vigueur. • Un système d’arrêt automatique se déclenchant en cas de choc ou de renversement. • Enfin, un système de sécurité qui éteint l’appareil dès le retrait du réservoir. * Coûts variables selon le combustible utilisé. Poêle à mèche R 7224 SC QLIMA Type de brûleur : simple combustion Capacité de chauffe : 2,40 kW Volume de pièce : de 16 à 34 m2 Capacité du réservoir : 4,2 litres Autonomie : 16,8 heures Dimensions : L 455 x P 295 x H 495 mm Poids : 9 kg Garantie : 4 ans Prix de vente : moins de 149,90 euros TTC Points de vente : GSB, GSA et sites e-commerce www.qlima.fr
Il y a 5 ans et 114 jours

Chronique du Geek : Le Top 10 des applications mobiles de 2019

En ce début d’année 2020, c’est un petit retour en arrière que propose le Geek avec une sélection d’applications présentées l’année dernière, ce Top 10 mêlant utilitaires, dessin, photographie, vidéo, jeu et détente. Bref, la compilation des meilleures applications mobiles […] L’article Chronique du Geek : Le Top 10 des applications mobiles de 2019 est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 5 ans et 125 jours

Rencontre avec : Cutwork

Depuis sa création en 2016, le studio d'architecture et de design Cutwork propose des solutions flexibles et fonctionnelles adaptées à la réalité de nos modes de vie contemporains. À l'occasion du lancement de leur projet social Cortex Shelter – un prototype d’abri durable pour les réfugiés –, la rédaction de Muuuz a rencontré les deux fondateurs de la start-up : l'architecte franco-japonais Antonin Yuji Maeno et l'entrepreneuse américaine Kelsea Crawford. Muuuz : Quelle est la genèse de Cutwork ? Antonin Yuji Maeno : Cutwork est né de la rencontre entre trois personnalités, un architecte, une entrepreneuse, Kelsea Crawford, et un investisseur, le designer graphique Robert Nakata. Avec Kelsea, nous avons fondé notre studio en 2016 autour d’une réflexion sur les nouvelles manières de vivre – la fin de la famille mononucléaire et la grande fragmentation des liens sociaux –, de travailler – la croissance exponentielle des travailleurs indépendants – et de produire – le début de l’économie collaborative, l’essor des technologies de pointe et la fabrication digitale –, car nous avons réalisé que le monde avait beaucoup évolué depuis trois décennies. Depuis 2016, on a réalisé des projets clés : une partie de la Station F, le mobilier des espaces de coliving Flatmates (ajouter le lien vers notre article) et l’abri pour les réfugiés Cortex Shelter. Tous ces projets s’appuient sur une analyse des nouveaux usages de la ville et de l’espace causés par l’arrivée des nouvelles technologies. Nous nous sommes spécialisés dans la conception et l’aménagement d’espaces de coworking et de coliving, car nous avons observé les changements profonds de notre société. Grâce à l’ordinateur portable, la fonction de la pièce n’est plus préétablie : on peut travailler partout, dans le salon, la salle à manger ou encore la chambre. La destination des pièces et des lieux n’est plus standardisée. L’enjeu de notre studio est donc de rendre les espaces plus souples. Kelsea Crawford : Aujourd’hui, nous souhaitons embaucher afin d’agrandir notre équipe de six architectes et designers pour faire face aux projets d’ampleur qui nous tombent dessus, notamment le premier coliving de Russie et la fondation de l’artiste Takesada Matsutani à Paris. Quels ont été vos parcours respectifs ? En quoi vos profils sont-ils complémentaires ? Antonin Yuji Maeno : J’ai d’abord étudié l’architecture à l’École Nationale Supérieure d'Architecture de Paris Belleville, puis celle de Paris La Villette. Ensuite, je suis partie un an en Inde pour travailler avec l’architecte Balkrishna Vithaldas Doshi, qui a reçu le prix Pritzker en 2018. A mon retour, j’ai suivi une formation d’entreprenariat dans les domaines de l’ingénierie, des matériaux et des techniques à l’École Nationale Supérieure d'Arts et Métiers pour développer mon procédé breveté de métal pliable. Ce produit a d’ailleurs été le point de départ de notre studio et lui a donné son nom. Kelsea Crawford : J’ai fait des études de communication et de journalisme à l’Université de Géorgie (Etats-Unis), mais mon parcours d’entrepreneur a commencé dès ma plus tendre enfance. Mon père m’a toujours poussée à entreprendre. A vingt ans, j’ai fondé ma première entreprise de marketing digital en Géorgie. Puis je l’ai vendue, avant de venir m’installer en France où j’ai rencontré Antonin. Pour Cutwork, je m’occupe surtout de la communication, du marketing, des budgets et du business plan, tandis qu’Antonin se charge de la partie créative. Il est aussi très doué pour l’entreprenariat et l’innovation, ce qui est rare. Avec votre mobilier modulable réalisé pour les appartements Flatmates, vous vous êtes référés à la conception japonaise de l’espace. Qu’en est-il de l’utilisation de ces notions architecturales nippones dans votre travail ?Antonin Yuji Maeno : Nous nous inspirons constamment de la conception japonaise de l’espace. Notre idée est de rendre les espaces plus flexibles, plus modulables, et donc plus proches de la manière dont nous vivons réellement dans les villes. Les Japonais sont les maîtres du design compact et des intérieurs modulables. Kelsea Crawford : En France, on utilise un mot pour désigner l’espace, alors qu’au Japon plusieurs termes le définissent. Les notions WA, BA et MA désignent l’espace et ce qui s’y passe. WA nomme l’harmonie, l’espace de concentration, BA signifie l’espace de collaboration, le lieu où il se passe quelque chose, et la notion MA est synonyme d’interstice, l’espace de liberté dans lequel l’inattendu peut se produire. La combinaison de ces trois notions nous permet de repenser et de réévaluer notre conception occidentale de l’espace. Cutwork est né de l’invention de votre procédé innovant de pliage de métal. Quel est son intérêt écologique ? Antonin Yuji Maeno : Notre procédé permet de fabriquer uniquement à la demande. Produire des éléments d’architecture et des pièces de mobilier à la demande est une réponse concrète au contexte de crise écologique actuelle, car ce mode de fabrication évite la délocalisation de la production, la surproduction et le stockage inutile de marchandises invendues. Kelsea Crawford : Cette technologie a l’avantage d’être très efficace. Les pièces métalliques sont produites grâce à des machines de découpe laser à partir de fichiers digitaux. Les pièces de mobilier peuvent donc être fabriquées à proximité du lieu où elles seront montées, puis installées. Le contexte politique et la crise écologique actuels influencent donc votre travail et vos projets. Quel avenir pour le design ? Dans quelle mesure peut-il être une réponse à ces problématiques-là ? Antonin Yuji Maeno : Les changements actuels justifient l’existence de Cutwork. Au niveau environnemental, nous sommes conscients de l’importance du choix des matériaux et des modes de production. C’est pourquoi, nous refusons la production de masse, ainsi que les projets qui ne préservent pas l’environnement et la dignité humaine. Cutwork a d’ailleurs été référencée par l'EIT Climate-KIC parmi les trente premières start-up CleanTech d'Europe.Kelsea Crawford : Notre approche est politique, car nous réfléchissons à la manière d’habiter la ville en tenant compte de la crise environnementale et des enjeux sociaux actuels. Notre conception du design et de l’architecture lutte contre la précarité et l’isolement. La promesse de notre coliving réside dans l’aménagement d’espaces partagés modulables. Avec Cortex Shelter, vous vous tournez vers une architecture sociale. Pourquoi ce projet ? Est-ce également une façon de parler d’un sujet politique extrêmement actuel à travers un dispositif concret ? Antonin Yuji Maeno : Nous avons travaillé avec la société Cortex Composites, qui a inventé et développé le béton roulé, un béton textile mobile sur lequel il suffit d'ajouter de l'eau pour fabriquer des canaux d’irrigation agricole et des murs de rétention durables. Kelsea a rencontré son dirigeant à une conférence Hello Tomorrow qui réunit les acteurs de l’innovation. Suite à cet événement, Cortex Composites nous a missionné pour réfléchir à des applications architecturales de son produit. De cette collaboration est née cette idée de logements abordables, à la fois faciles à fabriquer et durables. Constitué d’une structure de tubes en métal pliables et de pans de ciment, Cortex Shelter est une solution d’habitat pour les réfugiés installés dans des camps. Kelsea Crawford : L’abri Cortex Shelter peut être construit par deux personnes en moins d’une journée. Conçu pour être assemblé facilement à la main avec des matériaux trouvés sur place, la construction du logement ne nécessite aucune compétence technique et aucun équipement. Cortex Shelter permet d’améliorer les conditions de vie des réfugiés, en leur offrant une certaine stabilité et une plus grande sécurité. L’intérêt de ce nouvel abri est de prendre en compte la réalité concrète des camps de réfugiés, car les solutions actuelles destinées à abriter des réfugiés comme les tentes n’offrent pas des conditions de vie décentes. Aujourd’hui, les camps ne sont plus des espaces transitoires, mais sont bâtis comme des villes. Certains réfugiés vivent plusieurs décennies dans le même camp. Si vous aviez un budget illimité et zéro contrainte, quel serait votre projet rêvé ? Antonin Yuji Maeno : Notre projet rêvé pourrait être la conquête de l’espace… Réaliser le premier coliving du futur sur une autre planète, la Lune ou Mars. J’aimerais aussi concevoir une petite cabine préfabriquée à installer sur les toits des immeubles déjà existants. Kelsea Crawford : Nous aimerions également travailler sur des projets urbains de grande ampleur qui ont un véritable impact social sur le long terme. La réalisation d’un coliving intergénérationnel, où cohabiteraient des jeunes et des seniors, serait une belle avancée sociale. Pour en savoir plus, visitez le site de Cutwork Photographies : © Ladegaine Léa Pagnier
Il y a 5 ans et 125 jours

Nouveau cadenas à empreintes digitales Abus Touch

Système de verrouillage pratique et mobile, le cadenas se rend utile en de nombreuses occasions : sécuriser une porte, boucler une chaîne, fermer des bagages, des vestiaires ou une boîte à outils… Fini les clés et les combinaisons, ABUS, entreprise de référence en matière de sécurité, lance sur le marché le nouveau cadenas ABUS TOUCH à empreintes digitales.
Il y a 5 ans et 127 jours

Centre de formation mobile fischer Tour Truck

En route vers de nouvelles destinations pour le camion de formation et de démonstration fischer « Tour Truck » Fort du succès rencontré lors de sa première tournée en France en 2018, le camion fischer Tour Truck revient sillonner les routes de France du 6 au 21 février 2020. Entièrement aménagé en centre de formation et de démonstration mobile, ce camion propose aux artisans, aux revendeurs et aux bricoleurs des cours théoriques et pratiques sur les techniques de fixation. Cette nouvelle tournée va permettre aux équipes fischer de venir à la rencontre des utilisateurs qui souhaitent développer ou d’approfondir leurs connaissances professionnelles en matière d’ancrage. En outre, ils pourront découvrir et tester les différentes gammes de produits et solutions de fixation fischer dans un cadre convivial et professionnel, mais aussi partager des conseils pratiques et avisés avec les experts fischer. Un véritable centre de formation au sein des partenaires revendeurs Le fischer TourTruck est un centre de formation mobile qui délivre des compétences en matière d’ancrage directement chez les partenaires revendeurs. L’enseignement théorique aux techniques de fixation est dispensé par des experts fischer en petits groupes, des professionnels comme des bricoleurs, au sein même du camion. fischer Tour Truck : Un camion de 90 m2 aménagé sur mesure Avec ses 17,50 m de long, 6,25 m de hauteur et ses parois latérales extensibles, le camion fischer Tour Truck est véritablement spacieux et fonctionnel. Il offre ainsi une surface totale d’exposition et de démonstration de 90 m2 sur 2 niveaux ! – Tel un showroom de 60 m2, le rez-de-chaussée est aménagé pour la pratique et la mise en œuvre des systèmes de fixation. De nombreux rangements et chariots permettent d’accueillir les différentes familles de produits fischer et de réaliser des démonstrations dans des conditions réelles grâce à des matériaux de construction intégrés dans les parois du camion. – L’étage de 30 m2 sert de salle de formation théorique. Equipée de tables, de chaises et d’un écran TV pour les présentations, elle peut accueillir jusqu’à 15 personnes assises. Le fischer Tour Truck offre un savant mélange de théorie et de pratique avec un espace unique de découverte et d’échange.  
Il y a 5 ans et 132 jours

Sejkko : Lonely Houses

Découvert sur Instagram sous le pseudonyme Sejkko (@sejkko), le photographe portugais Manuel Pita immortalise les maisons isolées qu’il rencontre lors de ses pérégrinations en Europe, de son pays d’origine à la Croatie en passant par la Turquie. Tantôt rénovées, tantôt vétustes, ces petites habitations colorées évoquent à la fois la solitude de tout un chacun et le souvenir nostalgique de la Home, Sweet Home de son enfance. Après avoir obtenu un doctorat en intelligence artificielle et en sciences cognitives à l’Université d’Édimbourg (Écosse), Manuel Pita commence à partager en 2012 ses images de photographe amateur sur Instagram. Ce n’est que deux ans plus tard, à l’heure de l’essor de l’application mobile, que le photographe autodidacte professionnalise sa pratique du huitième art et se fait remarquer sur le réseau social en dévoilant ses premières « Lonely Houses » photographiées au Portugal. Ce qui lui a permis dès 2016 de tirer les images en édition limitée pour les exposer, puis les vendre. Les maisons solitaires de Manuel Pita s’inspirent d’abord de son histoire personnelle. Lorsqu’il capture les premiers clichés de sa série « Lonely Houses », Sejkko fait de sa pratique photographique une thérapie. Derrière ces visions naïves d’habitations colorées esseulées se cachent en réalité des réflexions existentielles sur son rapport à l’enfance, son parcours universitaire solitaire et sa reconversion professionnelle tardive. À cette époque, l’image de la maison isolée – devenue ensuite sa marque de fabrique – reflète la solitude, les souvenirs et les états d’âme de l’artiste. De son rapport thérapeutique à la photographie résultent paradoxalement des compositions colorées et légères, qui oscillent entre un monde réel hostile et un univers fictif apaisant. Manuel Pita choisit toujours des maisons modestes, souvent abandonnées, et révèle ainsi la beauté cachée des habitations oubliées. La série rend ainsi compte de la solitude expérimentée à l’âge adulte tout en construisant un imaginaire rassurant propice au rêve. Immédiatement, les clichés de Manuel Pita séduisent l’observateur par leur composition travaillée, leurs coloris doux et leur esthétique léchée. Narrative, la série « Lonely Houses » invite à la contemplation et à l’évasion. Pour en savoir plus, visitez le site de Sejkko Photographies : Sejkko Léa Pagnier
Il y a 5 ans et 135 jours

Nouvelle tournée pour le Fischer Tour Truck

Avec ses 17,50 m de long, 6,25 m de hauteur et ses parois latérales extensibles, le Fischer Tour Truck est un centre de formation et de démonstration mobile. [©Fischer] Fort du succès rencontré lors de sa première tournée en France en 2018, le camion Fischer Tour Truck revient sillonner les routes de l’Hexagone du 6 au 21 février 2020. Aménagé en centre de formation et de démonstration mobile, ce camion propose des cours théoriques et pratiques sur les techniques de fixation. Au sein même du camion, des experts Fischer dispenseront un enseignement théorique en petits groupes, aux professionnels comme aux bricoleurs. Cette nouvelle tournée va permettre aux équipes Fischer de venir à la rencontre des utilisateurs, qui souhaitent développer ou approfondir leurs connaissances en matière d’ancrage. En outre, ces derniers pourront découvrir et tester les différentes gammes de solutions de fixation Fischer. Ceci, dans un cadre convivial et professionnel. Mais aussi partager des conseils pratiques et avisés avec les experts de la marque. Le Fischer Tour Truck : Un show-room mobile Ce camion de 90 m2 est aménagé sur mesure sur 2 niveaux. Avec ses 17,50 m de long, 6,25 m de hauteur et ses parois latérales extensibles, le Fischer Tour Truck est spacieux et fonctionnel. Tel un show-room de 60 m2, le rez-de-chaussée est dédié à la pratique et à la mise en œuvre des systèmes de fixation. De nombreux rangements et chariots permettent d’accueillir les différentes familles de produits. Et de réaliser des démonstrations dans des conditions réelles, grâce à des matériaux de construction intégrés dans les parois du camion. L’étage de 30 m2sert de salle de formation théorique. Equipée de tables, de chaises et d’un écran TV pour les présentations, elle peut accueillir jusqu’à 15 personnes assises. 
Il y a 5 ans et 143 jours

Vachette / Assa Abloy poursuit sa digitalisation pour un service client optimal

Vachette/ASSA ABLOY poursuit sa démarche d’accompagnement et de services dédiés aux professionnels avec le lancement de deux outils digitaux innovants : une application mobile de réalité augmentée, Vachette RA, et l’application ASSA ABLOY « Le Catalogue », qui synthétise l’offre ASSA ABLOY Solutions de Sécurité en un outil simple, complet et accessible à tout moment.
Il y a 5 ans et 155 jours

Icon 3D, le premier robinet métal imprimé en 3D

L’impression 3D est depuis longtemps considérée comme la technologie de fabrication du futur. Les éléments fabriqués par les imprimantes 3D établissent de nouveaux standards pour les fabricants de produits haut de gamme dans l’industrie automobile et aéronautique. Dans le secteur des produits sanitaires, GROHE est la première marque à présenter deux robinets créés par impression 3D en métal : GROHE Atrio Icon 3D et GROHE Allure Brilliant Icon 3D.
Il y a 5 ans et 155 jours

Appli "moncompteformation", mode d'emploi

L'appli mobile "moncompteformation" sur laquelle parie le gouvernement pour encourager les Français à se former est accessible potentiellement à 25 millions de salariés.
Il y a 5 ans et 156 jours

Professionnels, pourquoi aménager votre véhicule ?

Nombreux sont les artisans et les professionnels à se déplacer quotidiennement pour les besoins de leur entreprise. Visites de chantier, rendez-vous chez les clients, salons interprofessionnels… les raisons sont variées. Aussi, pour être efficaces et toujours disposer des outils nécessaires à l’exercice de leur métier, certains optent pour l’aménagement de leur véhicule professionnel. En quoi consiste l’aménagement d’un véhicule professionnel ? Si les agents immobiliers n’ont besoin que d’une tablette connectée pour travailler, ce n’est pas le cas des plombiers, menuisiers ou couvreurs, dont le métier exige la possession et l’usage de larges gammes d’outils. Si, à chaque besoin ces artisans se voient obligés de retourner dans leurs locaux, la perte de temps et d’efficacité devient rapidement très conséquente. Or, le bon aménagement d’un véhicule professionnel permet de résoudre ce problème. Pour une mobilité productive et une meilleure rentabilité de chaque déplacement, équiper l’intérieur comme l’extérieur d’un véhicule utilitaire est désormais indispensable. Pour cela, Optima System, propose depuis 1999, toujours plus d’éléments modulables pensés et conçus pour optimiser l’espace disponible de chaque véhicule, quelle que soit sa taille. Fabriqués en acier et en aluminium, ils permettent de ranger, d’organiser et de charger dans le respect des limites de poids autorisées, tout le matériel nécessaire, mais aussi d’installer un véritable atelier mobile dans chaque véhicule. Avec plus de 3 000 véhicules équipés chaque année, l’entreprise prend en charge un grand nombre de modèles différents, fourgons, fourgonnettes ou compacts. Pour les connaître, rendez-vous sur le site optima-system.fr afin de sélectionner une marque puis une référence et de découvrir l’ensemble des possibilités offertes. L’aménagement d’un véhicule professionnel dépend en effet non seulement du volume disponible, mais aussi du poids total supporté par le châssis et du système d’ouverture, latérale ou par l’arrière. Quels équipements choisir en priorité ? L’aménagement de véhicules professionnels concerne des secteurs d’activité très différents. Entreprises et collectivités n’ont par exemple, pas toujours les mêmes besoins. Pour les entreprises, Optima System propose des équipements modulaires adaptés en fonction de chaque activité. Supports pour bouteilles de gaz et établis rétractables pour les plombiers — chauffagistes, étagères et rangements hauts pour les charpentiers — agenceurs, transformateurs de courant et blocs énergie pour les électriciens, pupitres et porte-verre pour les miroitiers — menuisiers, ou rails d’arrimage pour les maçons – carreleurs, tous sont représentés. Pour les collectivités qui disposent de nombreux véhicules destinés à l’entretien de la voirie et des différents établissements dont elles ont la charge, Optima System propose l’aménagement de véhicule professionnel sur mesure. Pensé pour plus d’économies, d’écologie et de sécurité, il garantit aux employés moins de pénibilité, plus de confort et donc, plus de productivité. Pour ses équipements, Optima System privilégie la légèreté, la résistance, la solidité, la durabilité, la fonctionnalité et l’ergonomie. Ainsi, avec 3 profondeurs et 5 longueurs différentes, un montage personnalisé et 3 ans de garantie, l’entreprise offre à chaque professionnel une réalisation adaptée et sûre, ainsi qu’un aménagement de véhicule professionnel optimisé. Pour plus d’informations sur l’aménagement de véhicules professionnels, veuillez cliquer sur le lien suivant : https://www.optima-system.fr/.
Il y a 5 ans et 161 jours

Imer France : Mobile STK, la centrale hyper compacte

La nouvelle centrale mobile STK d’Imer France a été déployée, pour la première fois, en France en plein centre de Marseille. [©Imer France] C’est le type de centrales idéal pour des chantiers urbains, qui conjuguent les contraintes, en termes d’espace, d’approvisionnement et de réduction des nuisances. Aussi, le nouveau modèle d’Imer France, la centrale mobile STK, a été déployé, pour la première fois, en France en plein centre de Marseille (13). A deux pas du Vélodrome et de la Cité radieuse de Le Corbusier. Un programme important de 58 000 m², intitulé 8eArt Cet article est réservé aux abonnés des revues Béton[s] le Magazine et Bâti & Isolation. Déjà abonné Mon email Mon mot de passe Oublié ? En plus de votre magazine, profitez d’un accès illimité à l’ensemble des contenus et services du site www.acpresse.fr : Lecture de l’intégralité des dossiers thématiques, reportages chantiers, fondamentaux, histoire de la construction… Consultation des indicateurs économiques (chiffres et analyses) + vos newsletters pour suivre l’info en continu Je m'abonne
Il y a 5 ans et 164 jours

Les tarifs des assurances auto et habitation attendus en petite hausse en 2020

Les tarifs des assurances automobile et habitation devraient, sauf surprise, augmenter en 2020, quoique de manière modérée en raison notamment d'une concurrence toujours féroce au sein du secteur.
Il y a 5 ans et 166 jours

Charles-Henri Besnard : Les débuts de la préfabrication

Né en 1881, Charles-Henri Besnard a été élève à l’Ecole des Beaux Arts de Paris dans l’atelier André et dans le cabinet de Paul Gout (1852-1923). [©Fonds Besnard. CNAM/SIAF/Cité de l’architecture et du patrimoine/Archives d’architecture du XXe siècle] En 1919, à l’occasion de la Foire de Paris, Charles-Henri Besnard présente, pour la première fois au grand public, une maison préfabriquée en ciment armé. [©Fonds Besnard. Cnam/SIAF/Cité de l’architecture et du patrimoine/Archives d’architecture du XXe siècle] On voit ici les premiers panneaux préfabriqués d’une maison. [©Fonds Besnard. Cnam/SIAF/Cité de l’architecture et du patrimoine/Archives d’architecture du XXe siècle] La carrière de Charles-Henri Besnard est avant tout marquée par sa formation rationaliste auprès d’Anatole de Baudot. Après la Première Guerre mondiale, il est, en collaboration avec l’ingénieur Julien-Pierre-Bertrand Bessonneau, le précurseur de la construction préfabriquée. C’est en 1917 qu’il dépose au Conservatoire national des arts et métiers (Cnam) un brevet d’invention relatif au “procédé de construction rapide d’habitations par l’emploi de matériaux en ciment armé préalablement préparés en série”. En 1919, à l’occasion de la Foire de Paris, Charles-Henri Besnard présente, pour la première fois au grand public, une maison en ciment armé. Montée en 11 jours sur l’Esplanade des Invalides, cette maison est la première habitation préfabriquée. Un procédé au service d’une église C’est l’édification de l’église Saint-Christophe-de-Javel qui permet à l’architecte de faire la démonstration marquante de son nouveau système de construction. [©Commons.wikimedia] Entièrement en béton armé, l’église Saint-Christophe-de-Javel est constituée d’éléments fabriqués et moulés à pied d’œuvre. [©Fonds Besnard. Cnam/SIAF/Cité de l’architecture et du patrimoine/Archives d’architecture du XXe siècle] C’est pourtant l’édification, en 1926, de l’église Saint-Christophe-de-Javel qui lui permet de faire la démonstration marquante de son nouveau système de construction. Entièrement en béton armé, l’édifice est constitué d’éléments fabriqués, moulés à pied d’œuvre et montés par l’entreprise Fourré et Rhodes. Occupant l’emplacement d’une chapelle en bois élevée en 1864 et détruite en 1920, les plans de l’église datent de 1921-1922 et le chantier de construction et de décoration s’échelonne de 1926 à 1934. En raison de la proximité des usines de construction automobile Citroën à Javel, l’église est placée sous la protection du Saint-patron des voyageurs. Son fronton est orné d’une statue de Saint-Christophe réalisée en béton par le sculpteur Pierre Vigoureux.  Charles-Henri Besnard mène également une carrière active en tant qu’architecte en chef des Monuments historiques, à partir de 1920. Débutant dans le cabinet de Paul Gout, il est chargé des Pyrénées-Atlantiques, des Landes, de la Dordogne, de l’arrondissement de Rambouillet, de l’Ecole militaire à Paris (en 1937), du Cher, de Carentan et de Saint-Côme-du-Mont (Manche) en 1945. Il restaure ainsi et construit de nombreux édifices, publics et privés et applique ses procédés dans la construction de nombreux ouvrages, parmi lesquels l’hôpital de Saint-Quentin, l’office national du tourisme sur les Champs Elysées ou la chocolaterie Poulain à Blois (actuelle Ecole nationale du paysage de Blois). Un legs, un mécénat Après la Première guerre mondiale, l’architecte se marie à Germaine de Quelen (1885-1977), issue d’une grande famille. Via un legs universel à sa mort, cette dernière décide de confier ses biens au Cnam, dans le but de créer une fondation qui honore la mémoire de son époux et qui aide l’innovation dans la construction. Une fondation intitulée “Fondation Germaine et Charles Henri Besnard de Quelen pour l’innovation dans la construction” est créée en 1980. Fin 2012, une équipe est ensuite nommée sous la présidence de Francis Guillemard, afin de donner une dynamique nouvelle, en lançant un Grand Prix de l’Innovation du “Mécénat Besnard de Quelen. L’innovation dans l’art de bâtir”. Muriel Carbonnet
Il y a 5 ans et 167 jours

INOHA a dévoilé ses Trophées 2019 lors de La Nuit by Inoha

La 5ème édition de LA NUIT by Inoha, organisée le 28 novembre, a été l’occasion pour l’association de remettre aux industriels lauréats ses Trophées 2019. Le jury a ainsi récompensé 6 industriels pour leur démarche engagée et novatrice dans l’une des 4 catégories du concours : Innovation, Communication, Développement International et R.S.E. / Responsabilité Sociétale des Entreprises. Les lauréats des Trophées Inoha 2019 Lors d’une soirée conviviale rassemblant plus de 300 invités issus de l’industrie et de la distribution, la 5ème édition de LA NUIT by Inoha a été l’occasion pour l’association de remettre ses Trophées. Les industriels adhérents à Inoha ont pu valoriser leurs savoir-faire et compétences en concourant dans les catégories suivantes : Innovation, Communication, Développement International et R.S.E. / Responsabilité Sociétale des Entreprises. Les lauréats 2019 sont au nombre de 7 sur près de 30 dossiers étudiés : Trophée de l’Innovation Cette année encore, compte-tenu de la qualité des dossiers présentés, le jury a décidé de remettre trois prix. Trophée Or : Rénove Porte et Sundoor d’OPTIMUM Une fois n’est pas coutume, le jury a décidé de remettre le Trophée Or pour deux innovations majeures à la société agenaise OPTIMUM, fabricant français de portes de placard et de portes d’intérieur : Rénove Porte, la solution brevetée pour changer une porte intérieure en moins d’une heure sans gros travaux et sans démonter le cadre existant. Réversible, Rénove Porte est ajustable sur 3 dimensions grâce aux paumelles de réglage. Un kit d’habillage du cadre de la porte assure une finition parfaite de l’ensemble. Sundoor est une innovation qui allie rangement et chauffage pour optimiser les espaces de vie. Sundoor est une porte de placard coulissante sur-mesure équipée d’un film chauffant qui produit une chaleur douce par rayonnement à infrarouge. Grâce à son rendement thermique de 99% et la possibilité de réguler sa température à distance, Sundoor permet de réaliser d’importantes économies d’énergie. Avec un large choix de décors, de designs et de finitions de profils, elle s’harmonise avec tous les intérieurs. Trophée Argent : Tête de douche connectée YUCCA de SARODIS La consommation d’eau est un enjeu majeur. Sarodis, fabricant français de douche à l’italienne, propose des produits innovants pour maîtriser sa consommation d’eau au quotidien. Dernière innovation de la marque pour sensibiliser les utilisateurs à réduire leur consommation d’eau sous la douche : la tête de douche connectée Yucca, qui par un jeu de lumière, indique en temps réel, l’eau consommée via une application mobile. Yucca permet d’économiser jusqu’à 4 fois le volume d’eau lors d’une douche (de 80 litres par douche à 17 litres), ce qui équivaut à une économie de 130 euros par an et par personne. Trophée Bronze : Potager autonome de MONNET SEVE Un nombre croissant de particuliers, de collectivités ou d’entreprises souhaite créer un potager au naturel. Nombreux d’entre eux s’intéressent à la permaculture et au recyclage des bio-déchets. Sous sa marque Mon Petit Potager, Monnet Seve offre une solution de jardinage accessible et durable avec son concept de Potager autonome. Le Potager autonome possède en son centre un composteur qui permet de diffuser les nutriments et l’humidité nécessaires à l’ensemble de l’espace de plantation. Il est construit selon la technique des lasagnes en permaculture, avec des couches successives de végétaux verts (azote) et bruns (carbone). Il favorise ainsi la biodiversité avec la création de son propre sol, vivant, riche et productif. De fabrication 100% française en Pin Douglas PEFC (bois naturellement imputrescible) et avec son composteur MadeIn59, ce carré potager s’installe facilement, sans outils, sans clou ni vis ! Trophée Communication : SUKI L’entreprise SUKI, spécialiste des solutions adhésives et de l’outillage à main, est récompensée pour sa campagne de communication phygitale autour des protections de surface BigDuo commercialisées sous la marque Fix-o-Moll. La protection de surface est souvent considérée comme une gamme mineure sur le marché. Son potentiel étant souvent sous-estimé par manque de communication, SUKI propose, avec cette campagne, un nouveau regard sur ces produits, avec notamment la mise en avant du patin BigDuo. Afin de moderniser l’image de la gamme, ses propriétés innovantes sont présentées et expliquées par des outils de communication phygitaux multilingues : vidéo en 7 langues postée sur la chaîne Youtube de l’entreprise , création d’un site internet dédié, QR-codes à coller sur les ILV, flyers, … Trophée Développement International : GEB Filiale du groupe familial français BARTHELEMY, la société GEB a su imposer sa marque en France comme la référence pour l’étanchéité, le raccordement et la maintenance des installations de plomberie – sanitaire et chauffage dans les secteurs professionnels et grand-public. Déjà présente à l’étranger par le biais de ses filiales en Pologne et en Russie, GEB s’est fixée un objectif majeur : accélérer son développement à l’export, notamment en Europe et en Afrique. Le Trophée Développement International récompense l’initiative de l’entreprise, qui, pour installer la marque durablement dans le quotidien du plombier européen, africain, polonais ou russe, en tenant compte de la maturité du marché local et de son organisation, a créé une Direction internationale. Cette nouvelle organisation lui permet d’optimiser son offre et sa logistique, de créer des synergies entre les différentes filiales. Trophée R.S.E / Responsabilité Sociétale des Entreprises : CORYL et WIRQUIN La responsabilité sociétale des entreprises intégrant à la fois les préoccupations sociales et environnementales dans leurs activités, le jury Inoha a souhaité récompenser deux entreprises. Trophée R.S.E Environnemental : CORYL avec sa nouvelle gamme de tapis d’entrée éco-responsables CORYL souhaitait réduire les quantités de déchets et supprimer les matières à substance chimique tels que le Phtalate, le PVC, … dans ses tapis tout en conservant leur qualité d’absorption avec une semelle anti dérapante et toujours lavable en machine. Pour la fabrication de sa nouvelle gamme de tapis d’entrée, commercialisée en Novembre 2019, CORYL valorise les déchets. Les chutes de fibre sont conservées, recyclées en granulés de polyamide puis réutilisées pour fabriquer la sous-couche de nouveaux produits. En fin d’usage ces tapis sont 100% recyclables et peuvent être à nouveau transformés pour devenir des tapis tout neufs ! Trophée R.S.E Humanitaire : WIRQUIN avec le projet Charity Spécialiste des équipements sanitaires pour la maison, le Groupe WIRQUIN a pour conviction que son engagement passe par un soutien auprès d’associations ou d’ONG dont la vocation est basée sur le droit à l’eau potable et l’assainissement sûr et pour tous. Le projet Charity fédère les salariés de WIRQUIN dans toutes ses filiales, autour d’une action solidaire commune et universelle : les enfants, l’eau et l‘accès aux toilettes pour tous et partout. Animé par des salariés volontaires, il permet de récolter des fonds en interne pour soutenir différents projets. En 2019, avec l’association Un Enfant Par La Main, WIRQUIN a contribué à la construction d’une Citerne en Haïti. D’autres initiatives en local ont été mises en place dans les différentes filiales comme en en Afrique du Sud, avec la rénovation des toilettes du Centre d’accueil spécial pour enfants atteints de déficiences intellectuelles et de handicaps à Luvuyo (Somerset East). Le projet Charity est fêté dans toutes les filiales du groupe le 19 novembre à l’occasion de la Journée mondiale des Toilettes. http://www.inoha.org/
Il y a 5 ans et 167 jours

Trois appareils de mesure Testo récompensés par le prix German Design Award 2020 dans la catégorie « Excellent Product Design »

Lors de la remise des prix du prestigieux German Design Award 2020, Testo a été de nouveau récompensé pour l’excellent design de trois de ses produits : l’analyseur de combustion testo 300, l’appareil de mesure de vitesse et de qualité d’air testo 400 et les sondes intelligentes pour le chauffage, la climatisation et la réfrigération. Burkart Knospe, CEO de Testo, a déclaré: « Nous sommes extrêmement heureux de recevoir ce prix, car nous travaillons constamment à la création de produits attrayants que nos clients peuvent utiliser facilement et intuitivement ». Prix « German Design Award », le design récompensé Le German Design Award est le prix international décerné par le Conseil allemand du design, fondation créé en 1953 à l’initiative du Bundestag et qui soutient aujourd’hui l’industrie dans tous les domaines visant à générer une valeur ajoutée par le design. Le German Design Award, créé en 2012, est l’un des concours de design les plus reconnus au monde et jouit d’une excellente réputation, bien au-delà du cercle des experts. « Nous sommes particulièrement heureux de recevoir ce prix en raison des critères stricts imposés par le German Design Award », a déclaré Burkart Knospe. Testo : des instruments de mesure qui n’excellent pas que par leur design Les instruments de mesure testo ont été développés ces dernières années pour offrir des solutions combinant design élégant et ergonomique, mesures de haute précision et technologie intelligente. La conception moderne du testo 300, qui allie l’expertise de Testo dans la technologie de mesure à une technologie tactile intelligente, permet de créer un appareil de mesure ergonomique et innovant destiné aux chauffagistes. Les données de mesure haute précision sont envoyées directement par e-mail ou Bluetooth via l’écran HD à l’aide de l’application intuitive. Le testo 400 est un partenaire à la fois efficace et esthétique pour tous les professionnels de la climatisation et de la ventilation. Il offre une technologie de mesure de haute qualité, des assistants de mesure intuitifs, des options de documentation polyvalentes et une sélection complète de sondes. Grâce à son écran tactile bénéficiant de la technologie Smart Touch, testo 400 s’utilise aussi intuitivement qu’un smartphone. Avec les sondes intelligentes testo, les techniciens en climatisation, en réfrigération et en chauffage réalisent leurs mesures de manière plus mobile que jamais. Compactes, au design ergonomique et fonctionnel, elles peuvent être utilisés via Bluetooth avec le smartphone de l’utilisateur. L’application intuitive enregistre les chiffres clés et fournit automatiquement un support graphique pour faciliter l’évaluation des données de mesure. En route vers l’avenir Leader mondial des instruments de mesure basé en Forêt-Noire, Testo est depuis longtemps synonyme de fiabilité et de qualité optimale avec des produits solides et durables, un savoir-faire technique exceptionnel et un design intuitif. Afin de continuer à respecter ces normes élevées, Testo travaille en permanence sur des solutions innovantes et des améliorations de produits. Pour ce faire, l’entreprise investit environ un dixième du chiffre d’affaires en recherche et développement chaque année.
Il y a 5 ans et 168 jours

VILLE CONNECTEE

Pour que les échanges (de toute nature) soient le plus uide, et la prise de décision rapide, la ville du futur doit être une ville connectée, a n de recueillir le plus d’informations possibles. Cela suppose de déployer des infrastructures  xes et mobiles à très haut débit, ainsi que des réseaux d’objets connectés
Il y a 5 ans et 168 jours

Batimat, côté matériels #2

Le Hall 5B de Batimat a accueilli les constructeurs de matériels pour le BTP. [©ACPresse] Si, côté matériau béton, l’édition 2019 de Batimat n’a pas été un grand cru – lire l’article Batimat, côté matériaux #1 -, au niveau du matériel, les choses ont été plus positives. A quelques exceptions près, les acteurs du domaine avaient donné rendez-vous aux visiteurs dans le hall 5B. Mais pour atteindre le lieu, un des parcours menait à travers le grand hall 5A. L’occasion de croiser en chemin quelques exposants concernés par le sujet. Tels Creative Business Solutions, dirigée par Albert Fitoussi. D’autant plus que son logiciel phare Methocad fête cette année son 30e anniversaire. Champagne et petites douceurs gustatives étaient au programme. Mais aussi auditives pour accompagner cet instant de célébration. Créé en septembre 1989, ce logiciel permet de préparer ses chantiers : optimisation, planification des circulations, des mouvements des grues ou encore des rotations de coffrages. Un peu plus loin, en remontant l’allée, une halte était nécessaire pour échanger avec  BZB Projekt, un bureau l’ingénierie et d’architecture polonais, qui s’intéresse beaucoup au marché français… Arrivé dans le hall 5B, le visiteur n’avait plus que l’embarras du choix pour poursuivre sa pérégrination. L’univers du coffrage constituait une belle option, d’autant que l’essentiel des acteurs était là. Le premier de la liste, en respectant l’ordre alphabétique était Alphi. L’industriel savoyard a débuté sa semaine par la signature d’un partenariat avec le coffreur JeanFour. Objectif, distributer une offre de coffrages verticaux baptisée, en toute logique, VerticAL. Prolixe, Alphi a aussi conclu un accord de partenariat avec le spécialiste de l’étaiement lourd Fyx.  Des évolutions chez les coffreurs A présent, les bras de manutention de la banche-outil SC 1015 Box de Sateco sont moulés. [©ACPresse] Sur le même stand – celui du Pôle France Coffrage -, Mills dévoilait quelques innovations de produits. Tels un système de maintien des coffrages perdus en carton, un module de coffrage horizontal ou encore des évolutions autour de l’Escalib. Quant à Sateco, il mettait l’accent sur son principe “plug & play”. L’industriel faisait aussi le lien avec Resair, en exposant un de leurs produits. Cette jeune société assure le développement de réservations et des abouts de coffrage gonflables. Un concept original et très malin… Autre industriel français du secteur, Coffrages Cosmos a créé un adaptateur de superposition pour utiliser ses panneaux Aluminium Renforcé comme rehausses sur sa banche Cob 2000 EV2. Quelques allées plus loin, Hussor a levé le voile sur sa nouvelle identité visuelle et quelques nouveautés, côté accessoires de coffrages. Cette année, l’industriel partageait son stand avec Hussor Erecta. Ce dernier y présentait un singulier Plancher Escamotable pour sapine de levage. Servitech intègre Imer France SkyMax constitue une nouvelle approche du coffrage de dalles pour Peri [©ACPresse] SGB-Hünnebeck a mis l’accent sur ces solutions pour limiter la pénibilité au travail, en particulier grâce à l’utilisation de la peau coffrante Rezaplak Neo. Ce panneau en polypropylène, en 15 mm d’épaisseur, affiche un poids trois fois inférieur à celui d’eau peau en bois classique. Quant à Peri, il a exposé pour la première fois en France son tout nouveau coffrage de dalles SkyMax, lancé à Bauma, en avril dernier. Layher France, lui, a profité de Batimat pour faire un point sur son évolution, en tant qu’industriel. Avec 82 M€ de chiffre d’affaires, l’irréductible filiale française cultive sa croissance… En plus de présenter quelques nouveautés produits.  Quittant l’univers des coffrages, le visiteur pouvait basculer dans les autres gammes de matériels pour le béton. A commencer par Imer France. Celui-ci ne dévoilait pas tant des nouveautés produits que des services, à travers Servitech. Reprise par Imer France et Reynald Paris, l’entité a vocation à donner un second souffle à ce spécialiste du SAV en électro-portatifs et moteurs thermiques depuis 30 ans. Dans sa hotte, Servitech a apporté la distribution de la marque DeWalt auprès des loueurs.  Toujours plus de confort d’usage Le système Mover de Priomix se monte au niveau des roues de la remorque pour permettre de la manœuvrer sur chantier sans effort. [©ACPresse] Priomix présentait ses machines à vis pour la projection d’enduits et le pompage des chapes fluides. Mais c’est l’option “Mover”, qui retenait l’attention. Ce système permet de manœuvrer sur chantier les pompes sur remorque à l’aide d’une simple radiocommande. Une belle manière de lutter contre les troubles musculo-squelettiques (TMS). Une attente à laquelle a cherché à répondre Loxam aussi. Ainsi, le loueur a présenté un gant bionique Ironhand. L’idée est d’amplifier la force naturelle de la main, tout en réduisant les efforts de l’opérateur. L’avantage principal du gant bionique Ironhand est d’aboutir à une disparition du risque de troubles musculo-squelettiques (TMS). [©ACPresse] Wacker Neuson s’inscrivait, lui, dans une démarche plus sécuritaire et de confort d’utilisation. Ceci, avec l’ACBe, la première aiguille vibrante alimentée par une batterie intégrée dans un sac à dos. Enfin, Trimble a présenté et surtout fait tester son nouveau casque de réalité augmentée. Baptisé XR10, cet équipement est destiné à accompagner son logiciel HoloLens 2. Ceci, pour suivre les chantiers. Après cette visite orientée “matériels”, vous pouvez faire un retour en arrière pour (re)découvrir Batimat 2019, côté matériaux #1. 
Il y a 5 ans et 170 jours

Tarkett x Note Design Studio : La collection iQ Surface

Du vinyle, on connaît surtout sa production à bas coût, moins ses possibilités décoratives. Spécialisée dans les revêtements de sols et surfaces, la société française Tarkett réinvente le vinyle homogène dans une nouvelle collection haute en couleur. Réalisée main dans la main avec le Note Design Studio, iQ Surface révèle tout le potentiel créatif du vinyle homogène, un matériau durable, fonctionnel et polyvalent. Tarkett rend ainsi ses lettres de noblesse à un matériau longtemps resté méprisé. Avec iQ Surface, le vinyle est hautement désirable. On en veut chez soi du sol au plafond. Au printemps dernier, iQ Surface a fait sensation au Salon del mobile de Milan. A l’occasion de sa première participation à la design week italienne, le fabricant français a en effet exposé sa toute nouvelle collection de revêtements de sol en vinyle homogène dans une installation créative signée Note Design Studio. Baptisée Formations, la mise en scène dévoile l’ensemble de la gamme à travers une exposition de formes géométriques, de meubles et de microarchitectures qui fait la part belle au vinyle homogène. Le fil conducteur de la collection iQ Surface est la recherche chromatique. La ligne propose une palette de couleurs plus contemporaines dont les associations sont infinies, d’un rouge éclatant à un gis délicat, en passant par un vaste nuancier de beiges. A travers des combinaisons créatives de teintes diverses et de motifs terrazzo, la ligne iQ Surface élargit les possibilités d’utilisation du vinyle pour les architectes et les designers. A l’aune de la crise écologique, le mode de production de la gamme s’inscrit dans une logique de développement durable. Produites en partie avec des matériaux recyclés, les surfaces en vinyle homogène de la collection iQ Surface peuvent également être reprises, réutilisées et recyclées. Un programme de recyclage aussi technique qu’écologique qui nous ravit. La collaboration de Tarkett avec le Note Design Studio ouvre ainsi de nouvelles perspectives à l’emploi du vinyle homogène à des fins à la fois décoratives et fonctionnelles. Une collection tendance très inspirante. Pour en savoir plus, visitez les sites de Tarkett et de Note Design Studio  Photographies : Tarkett Léa Pagnier
Il y a 5 ans et 174 jours

Jean-Yves Boulay : Béton d’art

« Mon premier métier fut carrossier réparateur automobile. Redresser les voitures accidentées, retrouver la forme des tôles froissées, mastiquer, poncer. Mais ce que j’aimais le plus, c’était la mise en peinture et voir se révéler la lumière sur les formes automobiles. La peinture au pistolet, c’est comme le vélo, ça ne s’oublie pas », explique l’artiste Jean-Yves Boulay (JBY). Et de poursuivre, « C’est dans l’industrie nucléaire au côté des techniciens et ingénieurs que j’ai œuvré les dix dernières années, avant de démissionner fin 2017, retrouvant le goût du printemps, de la paresse automnale et de la poésie. » Alors, pourquoi ne pas utiliser le sable, le ciment et l’eau ? C’est en effet le béton que l’artiste utilise pour la création de ses tableaux. C’est une rencontre avec ce matériau, qui a été le déclencheur. Jean-Yves Boulay s’intéresse aux nouvelles générations de béton, notamment au Bfup i.design Effix Crea de Ciments Calcia. Il a tenté aussi de nouvelles approches au niveau de la formulation, mais cela a été mis de côté. Retour à la forme et aux couleurs Désormais, JBY est revenu à la forme et à l’exploration plastique du béton. Son rapport à la forme, aux couleurs. Lors du coulage, il palpe le béton, le roule, le galbe, le tord… dans une logique de chaudronnier-carrossier. Ses tableaux sont assez proches des tôles froissées de son passé, véritables boucliers. Ils sont constitués de plaques de 2 mm à 8 mm. « L’angle droit, la verticale, l’horizontale parfaite n’existent pas à l’état naturel. C’est une contrainte, une limitation, un format, une facilité, une aliénation industrieuse de l’esprit humain. » Comme le peintre Pierre Soulages, il se réapproprie la matière, donne des effets de texture, fait ressortir la lumière. « Peindre une forme, une couleur, des textures sur une toile. Il arrive un moment, où la toile devient la forme. Le tableau est une forme, une forme abstraite qui ne doit plus/pas se limiter aux rectangles ou aux carrés. A moins que la toile, avec son châssis et l’enduit, ne soit devenue inutile, voire un obstacle. La forme avec son expression (impressions, couleurs, textures, sens …) est la seule chose qui me semble essentielle. Le tableau est donc la forme, et même les formes. Le tableau est la couleur. Le tableau est la texture. Le tableau est la matière de l’œuvre. La matière devient tableau. Le tableau n’est plus l’idée habituelle du tableau, cela devient autre chose. Une chose, qui encore s’accroche au mur, ou pas. L’art moderne, abstrait, contemporain, n’a de sens que dans une recherche constante et dans l’expérimentation. Le repos, l’immobilisme, le déjà vu, la répétition du passé, ne sont pas de mise », insiste Jean-Yves Boulay.  Chez Dom Zébulon à Saint-Nazaire jusqu’au 12 décembre 2019, l’artiste expose 4 grands formats entre 1 m et 1,5 m, pour un poids compris entre 3 et 4,5 kg. Ainsi que deux totems, des tableaux pliés en deux, de plus de 2 m de haut et posés sur la tranche. « En mai 2019, après plusieurs années de travail et de recherche, je bouscule le béton dans ses derniers retranchements, par la déformation du béton frais. Avec “Bluejeans Totem” et “Bouclier béton bleu doré”, des œuvres en béton peintes au pistolet. Je retrouve mon idéal, la joie, le plaisir des formes et de la lumière », conclut Jean-Yves Boulay. Plus d’information ici. Muriel Carbonnet Le Dom Zébulon fait ses expositions à Saint-Nazaire L'artiste Jean-Yves Boulay, à gauche et Lionel Sananès, gérant de la cave à vins Dom Zébulon, avenue de Mun à Saint-Nazaire. [©JYB] Trois questions à l’organisateur de l’exposition, Lionel Sananès, de la cave à vins Dom Zébulon, avenue de Mun à Saint-Nazaire. Vous exposez des artistes dans votre bar à vin à Saint-Nazaire, pourquoi ?Les gens sont toujours curieux de découvrir des choses nouvelles. Ici, ils prennent le temps de la détente et de la discussion autour d’un verre. C’est un lieu aussi, où je veux donner l’opportunité à des artistes d’exposer et de s’exprimer. Il arrive que ce soit la première fois qu’il expose. Il faut leur donner cette chance. Mais, alors, comment cela passe, si l’on veut venir exposer chez vous ?La plupart du temps, c’est un client qui me présente un ami, un artiste, et tout simplement, il me parle de son travail. C’est comme ça, que j’ai rencontré Jean-Yves Boulay (JYB), grâce à Christophe Coffec, un client passionnant, un artiste dans son genre aussi, qui customise des vélos. Un mois après, il expose son travail hors norme. C’est extra, du jamais vu. Et les clients, ils posent des questions. Vous organisez un calendrier, une sélection ? On improvise au fil du temps, des expositions qui se suivent, en tout simplicité. Maintenant, les clients savent qu’ils découvriront presque à chaque fois une œuvre nouvelle. Cela peut être une semaine, un mois, un peu plus.
Il y a 5 ans et 176 jours

ProDevis START : l’application qui simplifie la création de devis Menuiserie pour les Artisans

ELCIA a profité du salon BATIMAT 2019 pour présenter sa nouvelle application 100% Web multifournisseur. Permettant de chiffrer ses produits de Menuiserie, Store et Fermeture, ProDevis START est destiné aux artisans spécialisés Menuiserie ou occasionnels : artisans du BTP, architectes, constructeurs de maisons individuelles… L’objectif : leur offrir gain de temps, simplicité et réactivité dans le chiffrage et le passage de commande, deux tâches souvent chronophages et sources d’erreurs ! Les fonctionnalités clés de ProDevis START : #1 Une application 100% Web Solution 100% Web, ProDevis START est accessible grâce à une simple connexion Internet. L’utilisateur accède à son application, depuis tous les navigateurs, sous environnement Windows et Mac. Toute problématique liée au matériel informatique, à l’installation et à la maintenance du logiciel est ainsi supprimée. Une notion 100% Web présente dès le parcours d’abonnement, totalement en ligne, pour profiter de sa solution immédiatement après souscription.  #2 Des devis multifournisseurs et vendeurs Adieu devis papier à la main, avec ProDevis START, les artisans chiffrent en quelques clics. Ils réalisent des devis multifournisseurs, précis et vendeurs (visuels et explicatifs produits) personnalisables à l’image de leur entreprise (couleurs, logos et certifications). En plus de gagner un temps précieux et d’être plus autonomes, ils deviennent plus réactifs. Une réactivité importante aux yeux du client particulier qui leur permet de mettre toutes les chances de leur côté pour remporter plus de dossiers et développer leur chiffre d’affaires. #3 Des commandes fournisseurs en un clic Après avoir chiffrer leurs produits, les artisans passent leur commande à leurs fournisseurs instantanément, sans avoir à changer de solution. Adieu passage de commande par e-mail ou fax, l’artisan gagne là-aussi en temps et en autonomie. Des bénéfices également pour l’industriel, qui reçoit des commandes complètes. #4 Utilisable sur PC, Smartphone et Tablette pour une mobilité totale 100% Web, ProDevis START est accessible sur PC, Smartphone et tablette ! Une mobilité totale qui permet de réaliser ses devis et passer ses commandes depuis son bureau, sur un chantier, ou directement chez son client particulier. En complément de ProDevis START, l’utilisateur profite d’une application mobile pour accéder à des fonctionnalités supplémentaires. #5 Des tarifs fournisseurs toujours à jour Plus besoin de s’inquiéter des mises à jour fréquentes des tarifs de ses fournisseurs (nouveaux produits, nouvelles grilles tarifaires, ajouts de conditions commerciales…) ! Les tarifs fournisseurs sont mis à jour automatiquement sans aucune intervention de l’utilisateur. Outre ses tarifs fournisseurs, chaque utilisateur peut accéder à ses données 24h/24, 7j/7 grâce à une simple connexion Web. #6 Un abonnement de 55€ HT/mois sans engagement Pour s’abonner à ProDevis START, quelques minutes suffisent ! En se rendant sur www.elcia.com/prodevis-start, le futur utilisateur n’a besoin que de quelques clics pour créer son compte, choisir les fournisseurs avec qui il travaille habituellement, et commencer à utiliser son application. Le tout sous forme d’abonnement mensuel sans engagement pour une totale liberté d’esprit. Découvrez ProDevis START en vidéo : https://urlz.fr/baHz
Il y a 5 ans et 177 jours

Chronique du Geek : Les applis mobiles de novembre 2019

Le ciel n’est pas très clément en ce mois de novembre, la grisaille de la fin d’automne et du début d’hiver est bien là alors que le travail est toujours intense. Aussi, pour pouvoir sortir un peu de l’agence et […] L’article Chronique du Geek : Les applis mobiles de novembre 2019 est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 5 ans et 181 jours

Le gouvernement lance l'appli moncompteformation pour gérer simplement sa formation professionnelle

Le gouvernement a lancé jeudi une application mobile "pratique", "simple" et "lisible", selon les mots du Premier ministre, qui permettra de s'inscrire directement en formation sans passer par un intermédiaire.
Il y a 5 ans et 181 jours

SYSTAINER3 : La mobilité à la puissance trois

Ergonomiques et solides, les coffrets Systainers de Festool, fabricant d’outils électroportatifs, sont depuis de nombreuses années plébiscités par les professionnels pour ranger et transporter leurs outils et consommables en toute sécurité, de l’atelier au chantier. La nouvelle génération de Systainer3 va encore plus loin. Grâce à son intégration parfaite dans le véhicule et à ses nouvelles fonctions pratiques et intelligentes, elle redéfinit la mobilité au travail, en toute sécurité. Systainer3, un transport facile et sûr Ergonomique, léger et très résistant, le nouveau Systainer3 a été pensé pour s’intégrer rapidement dans le véhicule grâce à des rails de montage. Disponible en différentes hauteurs et largeurs pour s’adapter aux machines et accessoires, il est équipé d’une poignée avant pour le retirer facilement de son logement. Pour une mobilité totale et un déplacement sans encombre, une planche à roulettes, d’une capacité de charge de 100 kg maximum, facilite le transport en toute sécurité du nouveau Systainer3. De l’atelier au chantier, les outils et accessoires sont ainsi bien rangés et toujours à portée de main. Le nouveau Systainer3 bénéficie également du système astucieux T-LOC qui permet d’ouvrir, fermer et assembler en un tour de main, chaque élément indépendamment les uns des autres. Systainer3 Organizer, un rangement ordonné et clair Equipé de casiers de 7 tailles différentes, le Systainer3 Organizer offre un rangement ordonné, modulable et clair des petites pièces (vis, …). Pratique, son couvercle transparent permet d’identifier rapidement le contenu. Combinables à volonté La gamme de Systainer3 se compose de 6 modèles. Pour offrir aux utilisateurs un système unique de transport et d’organisation, le Systainer3 et le Systainer3 Organizer sont combinables entre-eux et avec l’ensemble des générations précédentes de Systainer et aspirateurs mobiles de Festool. Ranger le poste de travail, transporter les outils et accessoires en toute sécurité, de l’atelier au chantier n’a jamais été aussi facile. Avec la nouvelle génération Systainer3, Festool propose un système mobile de rangement alliant praticité et gain de temps pour tous les professionnels. Distribution : à partir de janvier 2020 dans les réseaux de distribution spécialisés https://www.festool.fr/
Il y a 5 ans et 183 jours

Priomix rend ses pompes plus mobiles

Le système Mover de Priomix se monte au niveau des roues de la remorque pour permettre de la manœuvrer sur chantier sans effort. [©ACPresse] Qu’on se le dise, une pompe à béton ou à mortier sur remorque pèse un peu plus lourd qu’une valise à roulettes ! Chez Priomix, un tel matériel affiche sans complexe un poids de 750 kg… Autant dire qu’essayer de le manœuvrer à la main relève de la gageure. Et pour peu que le terrain soit boueux, présente des obstacles ou des pentes, on se retrouve face à un véritable défi.  C’est pour répondre à ce besoin particulier que l’industriel propose aujourd’hui son système baptisé Mover. Ce dispositif est constitué de deux galets ou rouleaux à friction à mettre en contact avec les roues de la remorque. Cette action permet, dans un premier temps, Cet article est réservé aux abonnés des revues Béton[s] le Magazine et Bâti & Isolation. Déjà abonné Mon email Mon mot de passe Oublié ? En plus de votre magazine, profitez d’un accès illimité à l’ensemble des contenus et services du site www.acpresse.fr : Lecture de l’intégralité des dossiers thématiques, reportages chantiers, fondamentaux, histoire de la construction… Consultation des indicateurs économiques (chiffres et analyses) + vos newsletters pour suivre l’info en continu Je m'abonne
Il y a 5 ans et 184 jours

Dossiers : 5 expos de design à voir sur Paris

Qu’on se le dise : l’automne à Paris sera synonyme de design ! Après les traditionnels Maison&Objet et Paris Design Week, la programmation se poursuit dans les institutions culturelles de la capitale. De la Fondation Louis Vuitton au Musée d’Art Moderne, en passant par le Pavillon de l'Arsenal, Muuuz vous propose cette semaine un tour d’horizon des événements design incontournables du mois. Utopia à la galerie Tornabuoni Art jusqu'au 21 décembre 2019 Inscrit dans un cycle d’expositions collectives dédié à la création italienne des années 1950 à 1980, Tornabuoni Art explore, à travers l’événement « Utopia », les relations entre les grands noms de l’art et du design italiens. Avec près d’une quarantaine de pièces, l’accrochage fait dialoguer des œuvres d’art avec des pièces design de la même époque afin de révéler l’esprit audacieux de toute une génération de créateurs transalpins. Collectionneur érudit, Charles Zana signe une scénographie ambitieuse qui transforme la galerie en une suite de salons intimistes dans lesquels se rencontrent des chefs-d’œuvre et du mobilier d’exception. L’exposition « Utopia » établit donc des liens pertinents entre art et design à travers des tandems séduisants tels que Gino Sarfatti et Paolo Scheggi, Carlo Scarpa et Dadamaino ou encore Enrico Castellani et Nanda Vigo. . Moderne Maharajah au MAD jusqu'au 12 janvier 2020 Jusqu'au 12 janvier prochain, le MAD – ancien musée des arts décoratifs – rend hommage au plus dandy des maharajah : Yeshwant Rao Holkar II. Amoureux de la modernité européenne, cet esthète venu d'Indore est à l'origine de la construction du Palais Manik Bagh, premier édifice moderniste de la région. Résolument ancré dans la modernité, le Palais Manik Bagh introduit de nombreux matériaux novateurs dans son aménagement, comme le métal, le similicuir et le verre coloré. Côté mobilier, la crème de la crème des designers de l'époque peuple les nombreuses pièces de la demeure. On y retrouve par exemple le Transat d'Eileen Gray, les lits en métal et verre de Louis Sognot et Charlotte Alix ou encore la chaise longue de Le Corbusier et de Charlotte Perriand (dont l'image illustre notre dossier) ainsi que les immenses tapis colorés d'Ivan Da Silva Bruhns. Un florilège d'assises, de tables ou de tapisseries présenté sous la nef du MAD jusqu'au 12 janvier. . Le monde nouveau de Charlotte Perriand à la Fondation Louis Vuitton jusqu'au 24 février 2020 Disparue il y a vingt ans, la designer et architecte Charlotte Perriand fait aujourd'hui l'objet d'une grande rétrospective à la Fondation Louis Vuitton. Longtemps demeurée dans l'ombre de ses confères masculins, Le Corbusier en tête de file, elle reprend aujourd'hui la place qui lui est due au sein d'une exposition mêlant architecture, design et art. De nombreux chefs d'œuvre de la peinture et de la sculpture contextualisent et mettent en valeur le mobilier de Charlotte Perriand. Ainsi, on découvre avec admiration le Guernica de Picasso, divers mobiles de Calder, des tapisseries de Le Corbusier ou encore de très grands formats signés Fernand Léger. . Affiches cubaines. Révolution et cinéma. au MAD jusqu'au 2 février 2020 Qui a dit que l'affiche était un art mineur ? Sûrement pas le Musée des Arts Décoratifs (1er arrondissement) qui met à l'honneur l'ampleur d'une école graphique longtemps restée méconnue. Jusqu'au 2 février, l'exposition présente en effet près de 300 affiches dont les plus incontournables de l'histoire de Cuba. Qu'elle soit culturelle, politique ou publicitaire, l'affiche est un objet de communication à la dimension artistique forte. Ce travail graphique, visuel et textuel, a pour vocation de séduire le spectateur grâce à un slogan percutant et un design travaillé. A Cuba, le médium se développe activement. Alors que certains designers graphiques s'alimentent de l'effervescence révolutionnaire, d'autres valorisent le septième art pour saturer la population d'images de propagande. Objet visuel attrayant placardé sur les murs des villes, l'affiche devient un instrument résolument politique. . Pli Public Workshop au Pavillon de l'Arsenal du 28 novembre 2019 au 5 janvier 2020 Depuis 2015, l'association Pli – fondée par Christopher Dessus, Marion Claret et Adrien Rapin – promeut la recherche architecturale à travers une revue collaborative publiée chaque année. Prochaine étape dans la démocratisation de la discipline, l'événement Pli Public Workshop, co-produit par Pli, Paf atelier et le Pavillon de l'Arsenal, soutient activement la nouvelle génération d'architectes, d'artistes et de designers, soit des étudiants et des jeunes diplômés. Le programme d'aide à la création du PPW permet en effet aux candidats de produire un projet tout en bénéficiant d'un suivi professionnel jusqu'à la réalisation de l'exposition collective.Curieuse, engagée et pluridisciplinaire, cette nouvelle génération de créateurs force l'admiration. La Rédaction
Il y a 5 ans et 195 jours

Le bardage Bluetek composite illumine les façades des tours de l'usine Smart a Hambach (57)

L'usine smart à Hambach (Lorraine) est l'un des centres de production automobile les plus modernes, symbole de réussite de la coopération franco-allemande. Plus de 1,5 million de smart fortwo ont été produites à Hambach.
Il y a 5 ans et 195 jours

Événement : Julio Le Parc à la Galerie de Sèvres

A 91 ans, le plasticien argentin Julio Le Parc orchestre une rencontre inédite entre art cinétique et céramique. De sa dernière résidence à la Manufacture de Sèvres résultent des créations colorées inspirées de la vaste palette de la Cité de la céramique. Un retour à la couleur qui s'expose à la Galerie de Sèvres (1er arrondissement) jusqu'au 23 novembre. Maître de l'art cinétique et lauréat du grand prix international de peinture de la Biennale de Venise en 1966, Julio Le Parc est une figure majeure de l'art contemporain des années 1960 à aujourd'hui. Ses créations optiques – peintures illusionnistes, sculptures lumineuses, installations monumentales – lui valent d'être exposé sur la scène artistique internationale. Son œuvre a en effet été mis à l'honneur dans des institutions prestigieuses, notamment au Palais de Tokyo en 2013, au MET Breuer (New York) en 2018, ou encore au National Museum of Fine Art de Buenos Aires (Argentine) en 2019. Après ses biscuits de porcelaine blancs qui avaient fait sensation à la Foire Internationale de l'Art Contemporain en 2018, Julio Le Parc retourne à la couleur avec une seconde série. Un vase Pierre Charpin multicolore revisite sa série « Alchimies », tandis qu'un mobile de 121 fines plaquettes de porcelaine s'habille aux couleurs de la Manufacture, bleu de Sèvres et or 24 carats. Suite à ses deux résidences, Julio Le Parc expérimente la porcelaine de manière créative. Fruits de la rencontre entre un savoir-faire artisanal et un langage artistique illusionniste, les pièces produites révèlent les stries hypnotiques et les lignes sinueuses chères à l'artiste. De l'art à la céramique, Julio Le Parc nous surprend une fois de plus. Pour en savoir plus, visitez le site de la Manufacture de Sèvres – Cité de la céramique Photographies : Rebecca Fanuele / DR Léa Pagnier
Il y a 5 ans et 198 jours

Le point sur tout ce qui roule à Batimat

Le salon des professionnels du bâtiment laisse une place à l’automobile, ou plutôt à ses dérivés VUL. A Batimat, des nouveautés verront le jour parmi les utilitaires.
Il y a 5 ans et 199 jours

Béton Solutions Mobiles : Jardin Minéral

Tags et graffitis rehaussent les exemples de bétons esthétiques, donnant à l’ensemble un aspect très urbain. [©ACPresse] Béton Solutions Mobiles (BSM) a construit sa réputation sur l’écoute et le service apportés à ses clients, en ce qui concerne la fourniture de bétons prêts à l’emploi. Depuis le départ de son aventure, commencée en janvier 2014, l’industriel a fait le choix d’être présent au plus près des chantiers, à travers la mise en place de centrales dédiées. Toutefois, pour sécuriser les approvisionnements en béton, BSM a très vite implanté Cet article est réservé aux abonnés des revues Béton[s] le Magazine et Bâti & Isolation. Déjà abonné Mon email Mon mot de passe Oublié ? En plus de votre magazine, profitez d’un accès illimité à l’ensemble des contenus et services du site www.acpresse.fr : Lecture de l’intégralité des dossiers thématiques, reportages chantiers, fondamentaux, histoire de la construction… Consultation des indicateurs économiques (chiffres et analyses) + vos newsletters pour suivre l’info en continu Je m'abonne
Il y a 5 ans et 199 jours

Dossier : Cinq jeunes designers français

Deux filles, trois garçons. Thomas Ballouhey, Fabien Cappello, Elise Fouin, Léonard Kadid et Hélène Labadie incarnent la crème de la crème des jeunes designers français. Une génération qui voyage, s'expose, crée librement. Zoom sur les cinq créateurs français du moment à suivre de très prés. Thomas BallouheyDiplômé de la Design Academy d'Eindhoven (Pays-Bas), Thomas Ballouhey a récemment installé son atelier dans la ville néerlandaise. Tel un archéologue du présent, le designer s'intéresse aux matériaux et aux modes de production. Dans sa série « Ways of Altering » [Manières d'altérer], par exemple, il associe des objets industriels – bancs, tabourets, tréteaux, entre autres – à des matériaux divers – carton, élastiques, polystyrène – et enduit le tout d'époxy et de sable pour produire des meubles hétéroclites dont l'aspect rudimentaire les fait s'apparenter à des trésors passés. Un résultat saisissant qui questionne les moyens de production de masse actuels. En octobre dernier, il participait à la cinquième édition de la Biennale Émergences à Pantin (93), puis à l'exposition collective « La Totale » au Studio Orta – Les Moulins (77). . Fabien CappelloAprès des études de design à l'ECAL (Suisse) et au Royal College of Art (Royaume-Uni), le jeune Français fonde son studio éponyme en 2010 à Londres. Il se fait rapidement connaître pour son utilisation créative de la fabrication et des ressources locales, ce qui lui vaut de partir en résidences en Corée, au Portugal et en Italie. De son apprentissage auprès des artisans locaux il construit sa propre approche du design et se tourne vers des modes de production sériels. Depuis 2015, il a installé son studio dans le centre historique de Mexico (Mexique), une métropole dynamique qui l'inspire quotidiennement. . Elise FouinElise Fouin étudie l'orfèvrerie à l'Ecole Boulle (Paris), avant de se former au design de mobilier. Une double formation qui la conduit à développer un style singulier bien à elle. Pour le Salone del Mobile (Milan) de 2016, la designer française réalise ainsi une scénographie immersive faite de textiles multicolores baptisée Sunbrellacanapy. Egalement textile, son luminaire Saika réalisé en collaboration avec le maître artisan nippon Yoshishige Tanaka est une création contemplative unique qui met en valeur les savoir-faire ancestraux, le hyogu – art de traiter le papier washi –, et le kakejiku – peinture sur papier ou sur soie enroulée sur un bâton. Une pièce qui a fait une forte impression en 2018 au salon parisien Maison & Objet. . Léonard KadidAujourd'hui concepteur de produits, Léonard Kadid s'est d'abord formé à l'architecture. Sur les bancs de l'université d'une part, à Ecole Polytechnique de Lausanne (Suisse) et à l'Ecole d'Architecture de la Ville et des Territoires Paris-Est. Auprès des grands noms de l'architecture d'autre part, Muoto, Dominique Perrault et Cigüe, Herzog & de Meuron. Son studio basé à Paris se concentre donc sur des projets divers, de l'architecture à la conception d'objet. En résulte des pièces travaillées telles que le système de table TAL conçu pour la scénographie de l'exposition « Réinventer la Seine » au Pavillon de l'Arsenal (4ème arrondissement) en 2017. . Hélène LabadieDéjà quatre ans que la jeune Française a obtenu son master design d'objet à L'ESAD de Reims avec les félicitations du jury. Comme projet de fin d'études, elle a imaginé des fontaines d'apparat en verre. Un coup de maître pour un premier projet. Depuis, Hélène Labadie se donne une liberté d'artiste et signe des pièces créatives inspirées du septième art. Exposée au Bon Marché Rive Gauche en 2018, sa série de contenants « Les Noirs » dévoile la dimension anthropomorphique de son travail. Sa sensibilité artistique la pousse désormais vers la création de pièces sculpturales. . Photographies : 1) Thomas Ballouhey, Ways of Altering © Ronald Smits, Design Academy Eindhoven2) Fabien Cappello, Chambre With a view, Hôtel Dos Casas, 20173) Elise Fouin et Yoshishige Tanaka, Saika, 20184) Léonard Kadid, Tal table, 20175) Hélène Labadie, Les Noirs, 2018 Léa Pagnier
Il y a 5 ans et 204 jours

Choisir facilement sa robinetterie adaptée à son usage : Le CSTB présente le classement ECAU au salon Idéobain

Le classement ECAU exprime les performances des produits de robinetterie sanitaire en termes d'économie d'eau, économie d'énergie, niveau sonore et durée de vie. Pour rendre plus visibles ces performances et permettre ainsi aux professionnels, négoce, distributeurs et prescripteurs de les identifier en un coup d'œil, le CSTB propose un nouvel affichage du classement ECAU. Explicite et intuitive, cette nouvelle identité graphique d'ECAU sera présentée dès le 4 novembre par le CSTB à Idéobain, stand G47. Choisir la bonne robinetterie sanitaire pour le bon usage Qu'il s'agisse de robinets, mitigeurs, flexibles de douche, douchettes ou dispositifs de vidage pour les appareils sanitaires, les produits de robinetterie répondent à des contraintes variant selon les besoins, les lieux de vie dans lesquels ils sont installés, les sollicitations qu'ils subissent, etc. Ils doivent aussi satisfaire aux exigences réglementaires fixées pour protéger les biens et les personnes. Ainsi, de nouveaux produits sont régulièrement proposés par les industriels, intégrant diverses performances économiques, énergétiques, environnementales, ergonomiques et de confort. Reposant sur 4 critères de performances, Economie d'eau, Confort et Economie d'énergie, Niveau sonore, Durée de vie, le classement ECAU permet de prendre en compte ces performances. Pour que les acteurs identifient plus facilement ces performances et puissent ainsi choisir le produit de robinetterie sanitaire réellement adapté à l'usage prévu, le CSTB a créé une nouvelle identité pour le classement ECAU. Un classement compréhensible en un coup d'œil Explicite et intuitive, l'étiquette ECAU permet de faire un choix simplifié en fonction de quatre critères de performance : L'Economie d'eau, reposant sur la valeur de débit ; Le Confort en termes d'Ergonomie et d'Economie d'énergie pour des robinetteries qui sont équipées de systèmes permettant de réduire les consommations d'eau et d'énergie (la réduction du volume d'eau chaude engendre un gain sur la consommation électrique) ; L'Acoustique, ciblant le niveau sonore du robinet ; L'Usure, correspondant à la durée de vie des composants mobiles du robinet. Chaque pictogramme est associé à une échelle de notation colorée de A à D (A étant la meilleure note). Des bénéfices pour chacun Simple et explicite, le nouvel affichage ECAU répond aux attentes de chaque acteur : Les fabricants disposent d'un atout de différenciation supplémentaire sur le marché, sécurisé par le CSTB ; Les négociants et distributeurs renforcent la satisfaction de leurs clients avec cet outil d'aide au choix ; Les installateurs identifient facilement le produit le plus adapté aux exigences de leurs clients ; Les bailleurs immobiliers et donneurs d'ordre publics et privés peuvent sélectionner des solutions adaptées à chaque projet de construction, aux milieux spécifiques d'utilisation (ex. ERP, santé, etc.), aux niveaux d'exigences requis dans les appels d'offres, etc. Les produits bénéficiant du classement ECAU sont disponibles sur le site ecau.cstb.fr
Il y a 5 ans et 206 jours

Achim Carstanjen, nouveau gérant d’Heco-Schrauben

Achim Carstanjen est devenu le nouveau gérant d’Heco-Shrauben [©Heco-Shrauben] Le fabricant de vis allemand Heco-Schrauben a désigné un nouveau gérant en la personne d’Achim Carstanjen. Il succède à Guido Hettich. Ce denier continuera d’assumer jusqu’à fin 2020 la responsabilité de projets importants et du site de production en Roumanie. Puis, entrera au conseil consultatif comme deuxième représentant des associés familiaux Hettich. Heco-Schrauben passe ainsi d’une direction familiale à une organisation plus classique. Achim Carstanjen, 54 ans, a acquis une longue expérience dans la direction de PME au sein de l’industrie automobile et du secteur de la sous-traitance du bâtiment. « La qualité des produits et l’éthique entrepreneuriale sont une priorité absolue chez Heco, premier innovateur dans le secteur de la fixation. Je m’engage à faire perdurer cette culture et à la renforcer pour servir de base à une croissance saine de l’entreprise », déclare Achim Carstanjen.
Il y a 5 ans et 210 jours

Jeunes talents : Birgit Severin et Guillaume Neu-Rinaudo

Formé par le duo franco-allemand Guillaume Neu-Rinaudo et Birgit Severin, le Studio B. Severin défend une approche conceptuelle du design qui force l'admiration. Pas de fioritures, ni d'effets superflus dans leurs créations esthétiques qui se confrontent à la vie. Zoom sur la rencontre de deux designers passionnés. Birgit Severin crée son propre studio éponyme avant de s'associer en 2015 au jeune talent français Guillaume Neu-Rinaudo qu'elle rencontre sur les bancs de l'université. Titulaire d'une maîtrise en neurosciences cognitives de l'Université de Maastricht (Pays-Bas) et d'un diplôme en design contextuel de la Design Academy Eindhoven (Pays-Bas), Birgit Severin développe une pratique personnelle du design axée sur l'étude des matériaux et du processus de création. De son côté, Guillaume Neu-Rinaudo se forme au design produit à l'Ecole de design de Nantes (44), puis au design social à la Design Academy Eindhoven, avant de s'installer à Berlin pour rejoindre le Studio B. Severin. Sous la houlette de ce tandem créatif, le Studio B. Severin explore les multiples facettes d'un design conceptuel à travers des créations qui établissent des liens pertinents entre l'objet et l'être humain et l'artisanat et la production à l'heure des nouvelles technologies.Toujours conçues à partir d'une histoire, une expérience ou une recherche, leurs œuvres abordent la manière dont les objets se chargent de significations en s'inscrivant dans des récits personnels. Parmi leurs travaux les plus emblématiques, on remarque la série de vases Vanitas qui s'inspire du cycle éphémère des fleurs. Développée aux côtés du fleuriste berlinois Marsano, ces objets en caoutchouc symbolisent la vacuité des passions et la contingence à l'image des vanités du XVIIe siècle. Selon une démarche artistique similaire, la série Design Impressionnisme – une table basse et un miroir – résulte d'une réflexion sur les interrelations entre techniques et création. Ces productions sensorielles inspirées de l'iconique Impression, soleil levant se jouent de notre perception. Quand il revient sur la genèse du concept, Guillaume Neu-Rinaudo révèle la légende qui auréole la toile. « On raconte que Monet a peint ce chef-d'œuvre de la fenêtre de la chambre de son hôtel du Havre. Cependant, les vitres de l'époque – en verre cathédrale – présentaient une surface rugueuse et une opacité certaine. Regarder le monde à travers du verre cathédrale, c'est obtenir le filtre idéal pour réaliser une peinture impressionniste ». Réalisée en collaboration avec des artisans vitriers, la série fait dialoguer art, artisanat et design, valorisant une approche décloisonnée de la création. Des pièces originales qui séduisent des institutions aux niveaux national et international : en voilà une description qui colle à la peau du duo ! Les créations du studio ont en effet été exposées sur tous les continents dans des biennales et des foires prestigieuses, comme le Design Festival de Buenos Aires (Argentine) et le Design Weekend de Sao Paulo (Brésil) en 2013, le Salone del Mobile de Milan (Italie) en 2014, ou encore le salon Maison et Objets à Paris en 2018. Suite à leur résidence à la Villa Kamogawa au Japon, ils ont aussi participé à la Design Week de Kyoto en 2019. Un palmarès qui, nous en sommes sûrs, n'est pas prêt de faiblir ! Sur tous les fronts, Guillaume Neu-Rinaudo et Birgit Severin donnent également des conférences et dirigent des workshops. Une manière de transmettre à tous leur conception d'un design décomplexé. Un couple de créateurs à suivre de très près ! Pour en savoir plus, visitez le site du Studio B. Severin Photographies : 1) Portrait : Janine Gebran2) Pièces : DR  
Il y a 5 ans et 217 jours

Un noir luminescent pour sublimer le béton

Les ouvertures sont l’interface avec la ville, une zone d’échanges entre un extérieur ouvert et un intérieur plus intime, mais qui se dévoile. [©ACPresse] “Quelle belle couleur que la couleur noire, l’envers obscur de nos rêves”. Est-ce cette citation, tirée de l’ouvrage “En attendant la montée des eaux”, roman signé Maryse Condé, qui a guidé le cabinet Lan Architectes dans le choix de la teinte des bétons du Théâtre du Maillon, à Strasbourg ? Ou bien est-ce une autre considération ?« Le noir donne une plus grande abstraction aux choses », justifie Francisco Martinez, architecte en charge du suivi du chantier. Cohérent pour un lieu d’expression et de concept, par définition…  Situé dans le quartier de Wacken, au Nord de Strasbourg, le nouveau Théâtre du Maillon sera investi par une compagnie théâtrale, qui occupe aujourd’hui un hall du Parc des expositions, mitoyen. « Cette troupe aime occuper des lieux singuliers, sortir des murs… C’est cet esprit de théâtre, qui a guidé le projet. » D’une manière générale, un théâtre suit une certaine logique, linéaire. Il y a un espace public, qui figure l’entrée, puis la salle principale et, enfin, les coulisses. Le Maillon, lui, est évolutif, flexible. Il reprend une trame urbaine. Cinq grands espaces modulent le lieu : une cour d’entrée au Sud, une grande salle de 750 places avec gradins rétractables, un espace de convivialité, une salle secondaire de 250 places et un espace logistique au Nord.  Une simplicité trompeuse D’immenses ouvertures carrées, de 6 m de côté, percent les voiles. La lecture de l’échelle du bâtiment en est perturbée.[©ACPresse] A cela s’ajoute une cour ouverte de stockage. Des “rues” divisent ces zones, qui chacune, peuvent être ouvertes ou fermées. Une partie des murs intérieurs est mobile. Ainsi, la petite salle peut constituer le prolongement de l’espace de convivialité… Et la cour, devenir un espace de représentation en plein air. Une enveloppe en béton noir ceint le lieu, sans le confiner. D’immenses ouvertures carrées, de 6 m de côté, percent les voiles. La lecture de l’échelle du bâtiment en est perturbée. « Ces ouvertures sont l’interface avec la ville. »La zone d’échanges entre un extérieur ouvert et un intérieur plus intime, mais qui se dévoile.  L’entreprise belfortaine Albizzati assure les travaux de construction du nouveau théâtre. « Ce projet est très exigeant en termes de précisions sur les bétons. Les façades sont trompeuses, simples en apparence et très complexes dans les faits », explique Alain Albizati, gérant de l’entreprise éponyme. Coulés en une seule levée, les voiles se développent sur une hauteur de 14,20 m. A chaque fois, ils intègrent deux ouvertures sur la hauteur. Pour leur coulage, l’entreprise a loué des banches TP de Sateco, car elles autorisent la mise en place de contre-peaux coffrantes et sont adaptées à des coulages de grande hauteur. Un partenariat à cinq  Coulés en une seule levée à l’aide de banches TP de Sateco, les voiles se développent sur une hauteur de 14,20 m.[©ACPresse] « Le travail de préparation des banches a été fait en partenariat avec Hans Coffrage, une entreprise vosgienne avec qui nous collaborons régulièrement », souligne Alain Albizati. Les voiles intègrent un dessin de poteaux et de poutres en bas-relief, séparé des parties planes par des joints en creux. Pour certaines, les contre-peaux de coffrage sont à usage unique. D’autres voient quelques réutilisations, compte tenu d’une répétitivité de la trame des façades.  Les encadrements des ouvertures bénéficient d’un travail préparatoire tout aussi précis. De tailles imposantes, les mannequins, qui y sont insérés avant bétonnage, nécessitent un contreventement important. Tout comme les voiles de grande hauteur, après décoffrage. « Ce chantier est un véritable partenariat à cinq entre l’architecte, le bureau d’études, le fournisseur de béton, l’adjuvantier et nous-même, l’entreprise. »Car, si la mise en place des outils coffrants est un morceau de bravoure, le béton des voiles en est un autre… En premier lieu, il est auto-plaçant, entraînant toute une cohorte d’exigences. A commencer par une ouvrabilité limitée à 2 h, avec un but précis : ne pas risquer d’augmenter la pression dans le coffrage du fait d’un démarrage de prise tardive…  Un duo plastifiant – superplastifiant « Chaque campagne de bétonnage voit la mise en place de 45 à 65 m3de béton. La vitesse de montée du béton dans le coffrage est de l’ordre de 2 m/h, cadence ajustée par la tension enregistrée sur les tiges traversantes, serrées à la clef dynamométrique », explique Alain Albazati. Ces tiges sont au nombre de 154, réparties selon une maille régulière et précise sur l’ensemble des 200 m2de coffrage !  « Le béton noir représente un volume total de 1 700 m3, contre 1 400 m3de béton classique de classe de consistance S3, détaille Hervé Richet, chef de secteur Bas-Rhin Sud chez Eqiom Bétons. Il s’agit d’un C 30/37, d’une résistance réelle mesurée supérieure à 40 MPa. Ce choix a permet d’optimiser un peu l’épaisseur des voiles, en amont des travaux. Celle-ci oscille entre 35 et 45 cm.Pour répondre au cahier des charges imposé pour le béton noir, Eqiom a travaillé de concert avec BASF CC, le fournisseur des adjuvants. Et la palette était riche. L’ouvrabilité et la fluidité ont été gérées par un duo plastifiant – superplastifiant. « Pour ce faire, nous avons proposé un couplage MasterPolyheed 520 et MasterGlenim Sky 841 »,dévoile Dominique Cuadras, responsable de secteur Centre-Est BASF CC. Et Michaël Nowak, ingénieur technico-commercial BASF CC de poursuivre :« Cette synergie a permis d’obtenir de manière concomitante une bonne réduction d’eau, et une consistance fluide et homogène. Les effets d’émulsion ont été minimisés, évitant les phénomènes de bullage ou les traînées inesthétiques ». Sublimer le noir Les voiles intègrent un dessin de poteaux et de poutres en bas-relief, séparé des parties planes par des joints en creux.[©ACPresse] Clef de voûte du projet, la teinte noire a été obtenue par l’introduction du pigment MasterColor 100 Noir Intense, lui aussi issu du catalogue Master Builders Solutions (BASF CC). Beaucoup plus prononcé qu’un noir classique, ce pigment apporte la profondeur et l’éclat attendus par l’architecte. Teinte encore renforcée par l’emploi du MasterPel 795. Quatrième constituant BASF CC du béton, cet additif apporte une protection contre les efflorescences, tout en intensifiant la couleur et l’aspect brillant du béton. « La MasterPel 795 empêche la formation de carbonate de calcium en surface et limite la pénétration de l’eau dans le béton, augmentant d’autant sa résistance aux cycles de gel/dégel », poursuit Michaël Nowak. Enfin, pour sublimer la teinte noire, une fois les bétonnages achevés, l’ensemble de l’enveloppe sera revêtu du MasterPel 300. Cet agent assure la double fonction d’hydrofuge et d’oléofuge. En phase aqueuse, non filmogène, il sera appliqué par pulvérisation. Et apportera une protection complémentaire contre les efflorescences pour un béton plus noir que jamais, lisse et lumineux. Un vrai décor de théâtre… Frédéric Gluzicki
Il y a 5 ans et 217 jours

Façade ventilée sur bâtiment industriel centenaire

Sur l’ancien site des usines automobiles Delage, en pleine mutation urbaine, il reste une empreinte de l’histoire industrielle : un bâtiment en charpente métallique et briques de trois étages, long de 119 m. Sa toiture shed en dents de scie est typique de l’architecture industrielle du début du XXe siècle. En 2015, la quinzaine de copropriétaires s’est adressée à l’Atelier d’Architecture Alter Ego, spécialisé dans la rénovation et l’entretien des bâtiments, pour réaliser un diagnostic de la bâtisse. S’en est suivi un projet de rénovation de l’enveloppe pour restituer l’aspect des façades en briques et métal. Pour Natacha Buffa et Vincent Cabre, les architectes en charge du projet, la solution qui s’impose est une façade ventilée afin d’assurer l’isolation thermique du bâtiment. La société Béchet a proposé la solution la plus satisfaisante : le bardage StoVentec SCM avec finition en briquettes de terre cuite. Selon l’Avis Technique du procédé, l’ossature du bardage est solidarisée à la structure porteuse, généralement en béton en maçonnerie, par des pattes-équerres. Mais, ici, la difficulté est de fixer le bardage sur la façade existante qui n’est pas en béton. Impossible de l’accrocher sur les briques qui n’ont pas une résistance suffisante. Reste la structure métallique en fer puddlé, le même matériau que celui de la tour Eiffel. Les profilés verticaux et horizontaux de l’ossature sont constitués de lames de fer assemblées en cinq ou six couches par des rivets. L’idée du président de l’entreprise, Hugues Béchet, et de ses équipes est de réaliser une structure intermédiaire fixée sur les montants verticaux en fer et qui supporte le complexe de bardage. Des poutres epsilon en acier de 9 m de longueur sont boulonnées sur des consoles en T préalablement soudées sur les montants verticaux en fer puddlé de la façade. Neuf rangs de rails sont ainsi répartis sur la hauteur de la façade. Puis des tubes carrés de 50 x 50 mm sont vissés horizontalement sur ces profilés tous les mètres pour constituer un système de poutre treillis sur toute la façade. La structure est prête pour recevoir les rails en aluminium du système de façade ventilée StoVentec SCM. Cette dérogation à l’Avis Technique est soumise au bureau d’études structure du projet, au service technique de Sto ainsi qu’au bureau de contrôle Veritas qui valident la solution proposée après avoir vérifié que cette sous-structure ne subirait pas de déformations au-delà de ce que peut accepter ce parement. Après des tests in situ, le chantier peut enfin commencer. L’isolant en laine de verre de 140 mm d’épaisseur fixé sur le mur de façade est recouvert de la structure primaire. Un réseau de rails horizontaux en aluminium supporte des plaques à revêtir en billes de verre expansé recyclé fixé directement à la sous-construction en aluminium. Un primaire (StoPrim) est appliqué sur les plaques de bardage, puis recouvert d’un enduit de marouflage (StoLevell Uni) et d’un treillis d’armature en fibre de verre. Les briquettes de terre cuite sont ensuite collées une à une à l’aide du mortier de collage StoColl KM FR avant d’être jointoyées avec un produit adapté. Pour absorber les dilatations du métal, le nombre de fractionnements des plaques de bardage est revu à la hausse. Les panneaux habituels de 6 x 10 m sur des constructions en béton sont ici réduits à 6 x 6 m. Une autre innovation du chantier concerne le recoupement feu imposé aux façades ventilées par l’instruction technique IT 249. Il est ici réalisé avec un dispositif invisible de l’extérieur en remplacement de la bavette acier débordante. En cas d’incendie, cette bande collée et fixée mécaniquement sur un bandeau de laine de roche haute densité s’expanse pour compartimenter la lame d’air. Au rez-de-chaussée côté rue, la façade ventilée est remplacée par le système d’ITE StoTherm Vario associant un isolant en polystyrène graphité avec une finition en briquettes. Quant à la façade sur cour, elle est doublée sur toute sa longueur d’une verrière qui empêche la pose au sol de tout échafaudage. Il est également impossible de fixer un échafaudage en encorbellement sur la façade peu résistante. L’entreprise Béchet a donc dû faire preuve d’ingéniosité en soudant des consoles métalliques sur les fers verticaux, ces consoles reprenant un seul pied d’échafaudage tous les 9 m, puis en renforçant l’échafaudage de diagonales pour assurer sa tenue. Les consoles, dont la fixation soudée se trouvait, après travaux, derrière l’isolant, servent de support à des plateformes définitives recevant les appareils de climatisation du bâtiment. En juin 2019, après un an de travaux, le bâtiment a retrouvé son allure d’antan.
Il y a 5 ans et 219 jours

Pour une dent creuse à Paris, l’amalgame signé MAO

En avril 2019, MAO – Mobile Architectural Office (Fabien Brissaud, Aurélien Ferry) a livré rue Orfila à Paris (XXe) un programme de 25 logements libres et sociaux (1 830 m²) et une crèche de 35 berceaux (450 m²). Une dent […] L’article Pour une dent creuse à Paris, l’amalgame signé MAO est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 5 ans et 225 jours

Charente : les enrobés recyclés partent à l'assaut des routes

Sur l'autoroute A10, au nord de Bordeaux, le TRX 100 %, usine mobile de recyclage d'agrégats d'enrobés d'Eurovia s'est installé à proximité du chantier de mise à 2x2 voies de la RN 141 pour rénover et créer des portions de route avec des enrobés bitumineux contenant 70 % d'agrégats recyclés.
Il y a 5 ans et 230 jours

QWIDI, le nouveau service connecté de France Fermetures, facilite la pose et la maintenance des volets et stores motorisés Well’com®

Poser, régler et dépanner un volet ou un store motorisé nécessite du temps et de la précision pour les installateurs. Pour leur faciliter le quotidien tout en leur faisant gagner un temps précieux, France Fermetures a conçu Qwidi, un service connecté qui permet de réaliser toutes les opérations de réglage et de dépannage des volets et stores motorisés Well’com® depuis un smartphone ou une tablette. Une mise en service facile et rapide Simple et sans branchement, le service Qwidi fonctionne grâce à une application mobile et un boîtier de connexion. Sa mise en service se fait en seulement trois étapes : 1. Télécharger gratuitement l’application Qwidi sur l’App Store ou Google Play, 2. Mettre le boîtier sous tension. Celui-ci est alors automatiquement reconnu par l’application via Bluetooth, 3. Dialoguer avec le produit Well’com® de France Fermetures de manière entièrement sécurisée. Une fois la connexion établie, l’installateur peut fixer le boîtier à la ceinture à l’aide d’une attache pratique, pour une meilleure liberté de mouvement. Des fonctionnalités multiples Grâce à l’interface simple de Qwidi, le professionnel accède à de nombreuses fonctionnalités de pilotage : • Piloter le store ou le volet et accéder à l’ensemble des réglages lors de l’installation, • Paramétrer facilement les produits grâce au guidage intuitif de Qwidi qui dicte pas à pas les actions à effectuer par l’installateur, • Diagnostiquer les problèmes pour gagner en efficacité. Avec le nouveau service connecté Qwidi, France Fermetures élargit son offre et affirme une fois de plus sa volonté de faciliter le quotidien des installateurs. www.france-fermetures.fr
Il y a 5 ans et 231 jours

SylSmart de Sylvania : une gamme complète de systèmes de gestion d’éclairage intelligent pour toutes les applications

En France, 50% des installations d’éclairage sont obsolètes, énergivores et inconfortables. L’éclairage constitue donc un enjeu majeur pour rendre les bâtiments encore plus performants. Favorisée par l’évolution encore trop méconnue de la réglementation qui impose depuis le 1er janvier 2018 de nouvelles exigences pour la rénovation des installations d’éclairage non résidentielles (prise en compte de la lumière du jour et de la détection de présence), l’éclairage intelligent devient le nouveau standard. Actuellement estimé à environ 1,4 milliard d’euros, le marché européen de l’éclairage connecté devrait représenter 10 milliards d’euros à l’horizon 2024.   Précurseur en matière d’éclairage connecté pour les applications tertiaires dès 2015, Sylvania met aujourd’hui son savoir-faire au service de tous les secteurs – tertiaire, hôtellerie, restauration, écoles, hôpitaux, bureaux, musées, commerce, industrie et logistique – avec SylSmart, sa gamme complète de systèmes d’éclairage LED intelligent qui offre des réponses spécifiques à leurs besoins.   SylSmart, un système d’éclairage intelligent décentralisé Intelligente, décentralisée et connectée, la solution de gestion d’éclairage SylSmart est conçue pour répondre à tous les besoins. Sans câblage ni appareil de commande supplémentaire, les luminaires SylSmart sont les cerveaux du système. Ils communiquent entre eux sans asservissement et se contrôlent avec un simple smartphone ou une tablette. Ainsi, le système ne présente pas de point unique de défaillance.   Eco-performante, SylSmart est une solution qui associe, selon le besoin, jusqu’à 4 éléments fondamentaux : • des luminaires connectés via le protocole Bluetooth Low Energy Mesh, • des capteurs PIR et lumière du jour pour petite ou grande hauteur, • des interrupteurs muraux, sans fil ni pile, offrant une souplesse totale de placement, sans maintenance, • une application mobile intuitive.   S’adaptant aux besoins spécifiques en matière de gestion d’éclairage des différents environnements, SylSmart offre également de nombreux avantages aux exploitants, installateurs et occupants : • éco-performance et gestion sans la complexité ni la rigidité des solutions filaires traditionnelles (DALI), • gain de temps d’installation, • confort visuel individualisé et bien-être accru.   Totalement sans fil, robuste et sécuritaire, le système de gestion d’éclairage SylSmart constitue une solution rentable pour les exploitants de site.   SylSmart, des avantages pour chaque application Pour répondre aux exigences spécifiques en matière de gestion d’éclairage des différentes applications, SylSmart se décline en 3 solutions :   SylSmart Standalone pour faire vivre une expérience lumière inédite Mettre en valeur une œuvre, attirer l’attention des clients, moduler la lumière au fil de la journée… la solution SylSmart Standalone a été créée pour faire vivre des expériences lumière sur-mesure et pour réaliser des économies d’énergie en fonction des lieux où elle est installée. SylSmart Standalone s’adapte ainsi aux besoins scéniques d’éclairage et aux espaces tels que les salles de classe, les salles de réunion, les musées, les magasins, les hôtels-restaurants, les établissements de santé ou encore les sites industriels et logistiques.   Entièrement modulable, SylSmart Standalone permet, grâce à une application mobile intuitive, de simplement programmer des groupes, scénarii, couleurs, ambiances dynamiques ou temporisations et ce en contrôle automatique ou manuel. La solution contrôle également les scénarii à blanc variable pour un éclairage biodynamique favorisant le biorythme des occupants afin d’offrir les meilleures conditions pour apprendre, travailler ou soigner, selon le cas.   Avec ses capteurs proposés en option, SylSmart Standalone offre également une gradation génératrice d’importantes économies d’énergie. En lui donnant l’intelligence souhaitée, SylSmart Standalone offre enfin la flexibilité dans les fonctionnalités qu’attendent tous les gestionnaires de site, grâce à une application mobile intuitive.   SylSmart Connected Building, le système de contrôle d’éclairage intelligent offrant le niveau le plus élevé d’économies du marché Sylvania a développé SylSmart Connected Building pour rendre les grands bâtiments tertiaires ainsi que les parkings (≤ 5000 luminaires) encore plus performants en matière d’efficacité énergétique.   Il fonctionne grâce à des luminaires LED intégrant un capteur de luminosité et de présence, un module de communication sans fil et un apprentissage automatique dès la mise en service. L’intelligence embarquée permet également d’agréger par auto-apprentissage les habitudes de mouvements des occupants, créant des liens « faibles » ou « forts » entre chaque luminaire, afin d’agir en prédiction d’éclairage : à l’arrivée d’un occupant, les luminaires voisins pourront anticiper leur allumage pour apporter un confort visuel supplémentaire et refléter les modèles de mouvements appris. Ce niveau de contrôle, unique sur le marché, peut permettre aux entreprises d’économiser jusqu’à 68% d’énergie, atteignant ainsi le niveau le plus élevé d’économie exigé par des certifications telles que BREEAM.   Connecté, l’éclairage n’est plus un coût mais un atout. Il apporte du confort, du service et de la productivité. SylSmart Connected Building permet de réaliser d’importantes économies à chaque phase du cycle de vie d’un projet – de la conception à l’installation jusqu’à l’exploitation – tout en offrant la meilleure qualité de lumière possible aux occupants d’un bâtiment.   SylSmart Connected Industry, l’éclairage intelligent pour l’industrie Le secteur de la logistique et de l’industrie a considérablement évolué au cours des dix dernières années. Nombre de bâtiments fonctionnent 24h/24 de manière autonome et nécessitent une solution d’éclairage intelligente, rentable, éco-performante, durable et requérant peu d’interventions de maintenance. Hors, le parc actuel est encore très énergivore et nécessite donc d’être rénové.   La solution SylSmart Connected Industry s’adapte aux besoins multiples et variés de l’industrie. Elle offre des retours sur investissements d’environ 3 ans.   Hiérarchisable et évolutive en fonction du niveau de contrôle souhaité par le gestionnaire de site, elle permet ainsi d’envisager une rénovation en plusieurs étapes et d’allouer un budget sur plusieurs années. Il est ainsi possible d’ajouter des fonctionnalités au fur et à mesure et réduire encore le coût total de possession de ses équipements. Conçue avec l’ADN SylSmart – sans fil, centrée sur le luminaire, interconnectée et conviviale – SylSmart Connected Industry autorise, en plus, l’utilisation des données recueillies et transmises par chaque luminaire pour en faire un levier de croissance et de décision pour les gestionnaires de site.   SylSmart Connected Industry s’appuie sur des luminaires robustes et sur les technologies les plus récentes pour détecter la présence d’une personne et le niveau de lumière naturelle, pour créer des groupes et planifier l’éclairage de jour comme de nuit pour la surveillance par exemple ; autant d’opportunités pour ce type d’application d’avoir des coûts affectés au plus juste tout en assurant des conditions visuelles de travail optimales.   SylSmart Connected Industry additionne ainsi de nombreux avantages : • facilité et rapidité d’installation grâce au réseau sans fil, • gestion des données : le système permet d’utiliser les données enregistrées par l’éclairage afin d’optimiser le fonctionnement des bâtiments, • pilotage local : pour allier efficacité énergétique et confort, la gestion de l’éclairage est libre grâce au regroupement sans fil des luminaires et à la planification avancée, • gestion centralisée : SylSmart Connected Industry permet de rationaliser les dépenses en optimisant la consommation énergétique et aide à la planification de la maintenance, • économies d’énergie maximales : le pilotage intelligent allié à la gestion de l’énergie et au suivi centralisé délivrent jusqu’à 90% d’économies d’énergie, • personnalisation et simplicité : le système est géré facilement par l’exploitant du site sans avoir à faire appel aux services d’un prestataire extérieur.   SmartServices, un bouquet de services pour mieux gérer l’énergie et développer des projets durables Sylvania accompagne ses solutions d’éclairage intelligent par un bouquet de services pour aider ses clients à mener à bien leurs projets, quelle que soit leur taille, en les rendant éco-performants tout en respectant les normes.   De la conception à la mise en œuvre, en passant par l’audit, les services proposés par Sylvania apportent de nombreux avantages. A titre d’exemple, Sylvania réalise le montage des dossiers de certificats d’énergie CEE afin que ses clients bénéficient de primes les aidant dans la transition énergétique. De plus, l’offre de financement Logic Smarter Finance de Sylvania permet aux entreprises de réaliser leur projet, sans investissement initial, et surtout de rembourser les échéances grâce aux économies d’énergie réalisées !   Avec ses systèmes de gestion d’éclairage intelligent SylSmart permettant de collecter de nombreuses données sur les bâtiments, Sylvania, dont l’ADN est basé sur l’innovation, réfléchit d’ores et déjà à une évolution de son offre pour proposer de nouvelles solutions allant au-delà de l’éclairage. http://www.sylvania-lighting.com
Il y a 5 ans et 231 jours

Le groupe PSA renoue avec l'hydrogène

Automobile - Les recherches du constructeur français en cours portent plus volontiers sur des applications à destination des véhicules utilitaires.