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Il y a 2 ans et 216 jours

L’avenir de la peinture doit-il passer par la robotique ?

Le secteur du second oeuvre en bâtiment est ultra concurrentiel et il est parfois difficile d’exister ou de se démarquer. Tous les acteurs doivent faire face à des défis quotidiens de marges, de sécurité et à des conditions de travail difficiles. La robotique peut-elle est une solution pour réduire l’impact climatique et réduire les contraintes […]
Il y a 2 ans et 218 jours

La Russie ordonne la réparation du pont de Crimée avant le 1er juillet 2023

Le gouvernement "détermine la date limite pour la fin des contrats d'Etat pour l'exécution des travaux au 1er juillet 2023", selon un arrêté signé par le Premier ministre russe, Mikhaïl Michoustine.Le pont de Crimée, symbole de l'annexion de la péninsule ukrainienne éponyme et crucial pour le ravitaillement des troupes russes engagées en Ukraine, a été partiellement détruit par une attaque au camion piégé, selon Moscou.Les services de sécurité russes (FSB) ont affirmé que cette "attaque terroriste" a été organisée par les renseignements militaires ukrainiens, assurant qu'un agent de Kiev avait coordonné le transit des explosifs à travers plusieurs pays et avait été en contact avec différents intermédiaires.En réponse, la Russie a mené lundi et mardi des bombardements massifs à travers l'Ukraine, visant notamment des infrastructures énergétiques civiles qui ont provoqué de nombreuses coupures d'électricité et d'eau. Mercredi, le FSB a dit avoir arrêté huit personnes - cinq Russes et "trois citoyens ukrainiens et arméniens" - suspectées de participation dans cette attaque.La circulation routière et ferroviaire a toutefois repris partiellement depuis plusieurs jours sur le pont.
Il y a 2 ans et 219 jours

Cosentino présente son rapport RSE

Dans ce nouveau cadre, l'entreprise continue de remplir son engagement de transparence et de responsabilité en matière de durabilité économique, sociale, environnementale et éthique envers ses employés et les autres parties prenantes. De plus, conformément au standard international de la Global Reporting Initiative (GRI), le document prend également en considération la performance de l’entreprise dans sa contribution aux Objectifs de Développement Durable (ODD) de l’Agenda 2030.L’engagement majeur de Cosentino, est d’avoir le meilleur impact possible sur les personnes et le minimum d'impact sur la planète. Cosentino expose dans le rapport les leviers stratégiques, les jalons et ses réalisations dans les domaines sociaux, environnementaux et de bonne gouvernance. Ces piliers sont dirigés par un modèle d'entreprise bien établi avec une solidité financière - comme en témoignent les résultats financiers 2021 - et basé sur l'innovation et la R&D, une production efficace, l'économie circulaire, la formation, l'action sociale et surtout, la force et le haut professionnalisme des équipes qui constituent l'entreprise.Environnement : Durabilité et gestion environnementaleCosentino démontre son engagement en faveur de l'économie circulaire et la réduction de son empreinte carbone à travers une série d’actions tels que l'utilisation de 99% d'eau réutilisée, zéro perte d’eau (traitement et recirculation quotidiens de 800 000 m3 d'eau), l'utilisation de 100% d’énergie électrique renouvelable et le développement de produits durables tels que Dekton®, un produit neutre en carbone sur l'ensemble de son cycle de vie, et la technologie HybriQ+® pour les produits Silestone®.Rien qu'en 2021, Cosentino a investi près de 30 millions d'euros dans des actifs environnementaux et des coûts d'amélioration environnementale.Parmi les actions complémentaires mises en place, citons la production de plus de 3 millions de m2 de dalles à partir de matériaux recyclés ou récupérés (près d'un tiers de la production totale de l'entreprise) uniquement pour 2021. Cela a été rendu possible grâce à l’usine de traitement des déchets du groupe, qui a permis à l'entreprise de gérer 400 000 tonnes de déchets solides en 2021, dont 13% ont été récupérés, augmentant ainsi la part de matières premières recyclées utilisées à 26%.L'année dernière, Cosentino a mis en place un nouveau modèle énergétique industriel basé sur les sources d'énergie renouvelables et l'autoconsommation, qui couvre également la gestion des ressources en eau. Durant les prochaines semaines, Cosentino mettra en place la plus grande centrale photovoltaïque d'autoconsommation au sol en Espagne. La centrale aura une puissance crête de 20 MW et une capacité de production d'énergie d'environ 34 GWH/an, qui sera complétée par l'installation de panneaux solaires sur les toits des usines. Dans le même temps, Cosentino construit sa propre usine de récupération des eaux usées. Cette usine, qui devrait être opérationnelle cette année, réutilisera les eaux usées rejetées par les communes voisines.Social : Création d'emplois et contribution à la sociétéOutre l'innovation et la durabilité, l’engagement humain est la valeur fondamentale de Cosentino. Pour l'entreprise, le capital humain est son atout le plus important. En 2021, Cosentino reste attaché à l'emploi de qualité et a créé près de 700 nouveaux postes, terminant 2021 avec un effectif de 5 425 employés. L'effectif de l'entreprise est composé de 76 nationalités différentes et le pourcentage de CDI est de 91%.Cet engagement envers la prospérité et la croissance s'étend également aux communautés où Cosentino est présent, en particulier dans son environnement immédiat, dans les régions d'Almanzora et d'Almería en Espagne. Cosentino apporte une contribution pionnière à l'éducation et à la formation en faisant la promotion de programmes de formation professionnelle en alternance menés dans ses installations et à travers les activités menées par sa Fondation Eduarda Justo. L'entreprise soutient également les domaines de l'architecture, du design, du sport et de la gastronomie à travers une série de partenariats et de parrainages, et promeut l'art et la culture à travers la Fondation d'art Ibáñez Cosentino. Enfin, l'entreprise a fait de multiples dons directs à diverses organisations et associations pour un total de plus d'un million d'euros, soit 20% de plus qu'en 2020.Gouvernance : Gestion responsable et transparenteLa feuille de route de Cosentino est basée sur des critères ESG et avance sur la base d'une intégration et d'une communication transparente avec ses employés et toute sa chaîne de fournisseurs, clients et collaborateurs. Une instance de gouvernance responsable qui encourage le développement des talents à travers des programmes de recrutement et de management comme Acelera, Ingenia ou Impulsa, qui investit de plus en plus dans la santé et la sécurité et qui promeut l'égalité et la diversité, avec 22% de femmes dans les postes de direction et 50% dans son Conseil d'administration en 2021.Cette année encore, cette performance a contribué de manière proactive à l'atteinte de certains Objectifs de Développement Durable (ODD) majeurs, primaires et secondaires, tels que l'ODD 3 (Bonne santé et bien-être), l'ODD 8 (Travail décent et croissance économique) , ODD 9 (Industrie, innovation et infrastructure), ODD 12 (Consommation et production responsables), ODD 13 (Action pour le climat) ou ODD 17 (Partenariats pour les objectifs), entre autres.
Il y a 2 ans et 219 jours

Dans le sud du Niger, le plus grand oléoduc d'Afrique prend corps

A Gaya, dans le sud-ouest du Niger, près du Bénin, l'oléoduc le plus grand d'Afrique prend corps. Long de près de 2.000 km - dont 1.250 km au Niger – le pipeline doit relier les puits pétroliers du gisement de l'Agadem, dans l'extrême-est théâtre d'incursions meurtrières des jihadistes, au port béninois de Sèmè d'où sera évacué pour la première fois du brut nigérien.Avec une modeste production de 20.000 barils par jour, le Niger, un des Etats les plus pauvres au monde, est devenu un producteur de pétrole en 2011.L'or noir extrait par la China National Petroleum Corporation (CNPC) est jusqu'ici acheminé par des pipelines jusqu'à Zinder (centre-sud du Niger), où il est raffiné.Initialement, le Niger avait prévu d'évacuer son brut par le port camerounais de Kribi via le Tchad voisin, avant d'opter pour le corridor béninois.Lancé en 2019, le chantier était censé s'achever en 2022, mais la pandémie de Covid-19 l'a ralenti, a expliqué à l'AFP Nafiou Issaka, l'adjoint au directeur général de la West African Oil Pipeline Company (Wapco), le maître d'ouvrage.La Wapco, filiale de la CNPC, met désormais les bouchées doubles: plus de 600 km de tuyaux ont été déjà posés, soit 51,5% de taux de réalisation, et le Niger pourrait écouler son brut sur le marché international dès juillet 2023, selon le ministère nigérien du Pétrole.Plus de 700 soldats sont déployés pour assurer "en permanence la sécurité" de l'ouvrage même si une large partie des zones qu'il traverse est jusqu'ici épargnée par les violences jihadistes, a dit à l'AFP une source sécuritaire sous le couvert de l'anonymat.Avec l'effondrement continu des revenus tirés de l'uranium dont le Niger est grand producteur, le pays mise sur l'or noir pour doper son budget, dont une bonne partie est injectée dans la lutte contre les groupes jihadistes dans le sud-est et l'ouest.Ce sont six milliards de dollars qui seront investis, dont 4 milliards de dollars pour développer les champs pétroliers (dans l'Agadem) et 2,3 milliards de dollars pour la construction de l'oléoduc, selon le gouvernement."C'est le plus gros investissement du Niger (ex-colonie française) depuis son indépendance (en 1960)", observe Kabirou Zakari, le directeur des Hydrocarbures au ministère nigérien du Pétrole."Contrebande" depuis le NigeriaDès 2023, la production pétrolière sera portée à 110.000 barils par jour, sur lesquels 90.000 barils seront exportés, selon lui.Le pétrole va ainsi "générer le quart du PIB du pays" (plus de 13,6 milliards de dollar en 2020 selon la Banque mondiale) et "à peu près 50% des recettes fiscales du Niger", contre respectivement 4% et 19% actuellement, relève M. Zakari.D'après lui, les réserves du Niger "tournent autour de deux milliards de barils". Et selon les projections officielles, le Niger produira 200.000 barils par jour en 2026.La Sonatrach, le groupe public pétrolier algérien, a annoncé avoir fait une "découverte encourageante" de pétrole à Kafra (nord), vaste zone de 23.737 km2 près de la frontière avec l'Algérie, qui jouxte le bassin pétrolier algérien de Tafassasset, également exploité par la Sonatrach.La compagnie britannique Savannah Petroleum assure pour sa part avoir découvert de nouveaux gisements dans l'Agadem où opèrent déjà les Chinois. Malgré la production locale, le marché noir des hydrocarbures fleurit à Niamey et dans les grandes villes.Selon la douane nigérienne, ce marché "est régulièrement ravitaillé par des réseaux du Nigeria" voisin et producteur géant de pétrole.Au noir, le litre d'essence coûte 300 francs CFA (0,4 euro) contre 540 F CFA (0,8 euro) à la pompe, tarif "jugé cher" par les syndicats.Mardi, le président nigérien, Mohamed Bazoum, a dénoncé l'ampleur de "la contrebande du carburant" à partir du Nigeria voisin qui est devenue une source de "ravitaillement des terroristes" par le "fleuve Niger (en pirogues) et sur des motos" jusqu'au Mali."Nous devons trouver une bonne réponse" pour couper "les terroristes" de cette source "de ravitaillement en carburant", a exhorté le président nigérien qui s'exprimait devant les forces de sécurité à Dosso, la grande ville du sud-ouest proche du Nigeria.
Il y a 2 ans et 219 jours

PRB Dem Pure Végétale : Huile de démoulage 100 % végétale

L’huile de démoulage PRB Dem Pure Végétale est un produit éco-conçu 100 % d’origine végétale. [©PRB] Pour faciliter les opérations de démoulage des bétons, les professionnels de la construction utilisent des agents de démoulage. Dans leur composition pouvaient intervenir des agents irritants, voire cancérogènes, qui ont un impact sur la sécurité des utilisateurs et sur l’environnement. D’où la misse sur le marché de PRB Dem Pure Végétale, qui est une huile éco-conçue 100 % d’origine végétale. Elle contribue ainsi à un meilleur respect de l’environnement et de la santé des utilisateurs. Cette huile de démoulage peut être utilisée sur les chantiers où les contraintes environnementales sont fortes. Elle supprime l’adhésion du béton/mortier fraîchement coulé. Et facilite un décoffrage de tout béton/mortier démoulé après durcissement. Prêt à l’emploi, pour un emploi 4 saisons, le PRB Dem Pure Végétale ne tâche pas le béton et n’altère pas l’adhérence des produits de recouvrement.
Il y a 2 ans et 219 jours

Système de garde-corps décoratif pour toiture-terrasse inaccessible Barrial Décor

Barrial® assure la mise en sécurité collective etpermanente des opérateurs en toiture-terrasse. Dans le cas de vos chantiers de rénovation, Barrial® Décor répond à vos attentes esthétiques avec l’intégration d’un remplissage décoratif au choix :barreaudé, tôle découpée laser, tôle perforée, laqué suivant 350 teintes et 3 textures. Deux objectifs principaux : ✔ Contribuer à la […]
Il y a 2 ans et 219 jours

Reims : Des logements collectifs en R+2 imprimés en 3D béton

Le bailleur social Plurial Novilia va édifier un immeuble collectif R+2 de 12 logements et 1 700m de surface habitable, à Bezannes. [©Hobo architecture] Après Viliaprint, le bailleur social Plurial Novilia, filiale du groupe Action Logement, entend repousser une fois encore les limites de la construction. Installé au cœur de la Zac de Bezannes, à Reims (51), ce maître d’ouvrage va édifier un bâtiment d’habitation collectif en R+2 à haute performance énergétique. Douze logements sociaux seront proposés à la location. La particularité de ce nouveau projet, baptisé ViliaSprint2, est de s’appuyer sur l’impression 3D béton de ses voiles porteurs. Une impression sur site  Grâce à l’apport technique du coffreur allemand Peri, les façades de l’immeuble seront imprimées sur site. De marque Cobod, l’imprimante 3D est composée d’un portique mobile et équipée d’une tête d’impression multi-directionnelle Bod2. Elle permet d’empiler les couches de béton les unes sur les autres pour former les murs. Et peut atteindre 1 m/s en vitesse d’impression. « Nous voulons aller encore plus loin, en expérimentant l’impression sur site, déclare Johnny Huat, directeur général de Plurial Novilia. Nous pensons que l’automatisation de la phase de gros œuvre nous permettra de générer une vraie plus-value. Autant en amont sur la conception architecturale qu’en phase opérationnelle sur la productivité, la sécurité et l’ergonomie au travail. »  Avec le célèbre Bod2, imprimante 3D de construction Cobod, le groupe Peri imprime en 3D les murs en béton. [©Peri] Une période charnière  Face à la hausse des matières premières, du coût de l’énergie, ainsi qu’aux enjeux environnementaux, les professionnels de la construction sont à la recherche de nouveautés. « Aujourd’hui, il nous faut prendre le virage de la transition écologique. C’est pourquoi Holcim fournit un béton spécial peu carboné, souligne Bruno Arcadipane, président d’Action Logement. Mais nous devons garder des coûts raisonnables et augmenter la production pour faire face à la demande. Cela doit nous pousser à trouver d’autres manières de construire. Un projet audacieux comme celui de ViliaSprint2 intègre notre vision stratégique, qui est de ne pas subir les crises. Il est essentiel d’imaginer des solutions nouvelles, adaptées à un contexte complexe et fluctuant. » Une architecture qui tire profit du numérique L’apport de l’impression 3D sur ViliaSprint2 se ressent dès la visualisation du concept architectural imaginé par le cabinet bordelais Hobo. « Nous voulons faire de l’impression 3D une solution pour l’architecture bas-carboniste de demain, explique Frédérik Dain, directeur du cabinet Hobo. Pour ViliaSprint2, nous avons cherché l’efficience, l’économie de matière, l’adaptation et la justesse dans une forme de simplicité frugale. Le but est de maximiser le rendement des formes pour offrir la plus grande surface avec le moins de matière. » Avec ses formes arrondies, son recours aux matériaux biosourcés et son orientation pensée pour un ensoleillement optimal, ce projet offre la possibilité d’une bien plus grande créativité architecturale.  Comparer et mesurer 2 méthodes de constructions  En parallèle, un second bâtiment sera édifié sur la même parcelle, mais, cette fois-ci, de manière traditionnelle. Les deux procédés constructifs pourront être comparés. Ils seront mesurés aussi bien en phase de chantier (délais, nuisances, ergonomie/pénibilité pour les équipes…) qu’en phase d’occupation (performances du bâti, coûts…). Les résultats seront partagés avec l’ensemble des bailleurs sociaux réunis au sein d’Action Logement.
Il y a 2 ans et 219 jours

Retraites : à Matignon, les groupes politiques campent sur leurs positions

En ouvrant le bal des rencontres qui se tiennent jusqu'au 17 octobre, le chef de file des sénateurs LR, Bruno Retailleau, a redit à la Première ministre souhaiter une réforme, mais que "ce n'était pas une question comptable" et qu'il fallait "garantir le pouvoir d'achat de nos aînés"."On n'a pas de problème majeur sur le critère de l'âge", mais il faut aussi regarder la pénibilité, les fins de carrière ou les régimes spéciaux, a abondé son homologue à l'Assemblée, Olivier Marleix, en soulignant qu'"une réforme des retraites, ce n'est pas une guerre contre les Français".LR est favorable à un allongement de l'âge de départ "progressivement jusqu'à 64 ans", quand le gouvernement veut un report de l'âge de départ de quatre mois par an, pour aboutir à 65 ans en 2031.Côté majorité, Aurore Bergé (Renaissance) a redit que porter cet âge "à 66 ou 67 ans", comme suggéré par le président d'Horizons Édouard Philippe, n'était "pas le projet que nous portons" et promis "une contribution forte" de la majorité notamment sur l'emploi des seniors."Il n'y a pas eu de dissonance", a assuré Laurent Marcangeli au nom d'Horizons mais "la volonté de travailler ensemble pour avoir un plan de vol"."Prendre le temps"A l'inverse, le chef de file des députés communistes André Chassaigne a dit être "vent debout" contre cette réforme qui aura, selon lui, des conséquences "pour les plus modestes, les plus pauvres, pour ceux qui arrivent déjà cassés à l'âge de la retraite".Comme le PCF, la cheffe de file des députés EELV Cyrielle Chatelain a "acté (ses) désaccords" avec la Première ministre, jugeant "inacceptable" un recul de l'âge de départ à la retraite.Son homologue au Sénat, Guillaume Gontard, a salué ces concertations, qui sont "un gain" par rapport aux velléités initiales de l'exécutif de faire passer sa réforme dans un amendement au Projet de loi de financement de la sécurité sociale (PLFSS), qui déplaisait y compris au MoDem.Le député Bertrand Pancher pour le groupe Liot (Libertés, Indépendants, Outre-mer et Territoires) a demandé qu'on "prenne le temps" et que les petites pensions et l'emploi des seniors soient "traités complètement" pour rendre la réforme "acceptable".Le sénateur Horizons Claude Malhuret, pour le groupe Les Indépendants, a dit "partager le constat" et les "solutions" du gouvernement sur la réforme.Mme Borne les a reçus accompagnée du ministre du Travail, Olivier Dussopt, qui mène parallèlement des discussions avec les organisations syndicales et patronales, et du ministre des Relations avec le Parlement, Franck Riester.Votes serrésLes mouvements sociaux dans les dépôts de carburants se sont également invités dans les discussions, à quelques jours d'une "marche contre la vie chère", organisée notamment par les partis de gauche. Et avant une semaine d'action de la CGT.Mais pour Mme Bergé, "l'idée n'est pas que (les mouvements sociaux) nous empêche de réformer, d'avancer". Le retour à la normale, "c'est souhaitable, mais le gouvernement ne pourra pas décréter l'accalmie", a ajouté M. Marcangeli.L'exécutif "a laissé s'enkyster dans le pays un mouvement qui, désormais, lui échappe", a estimé M. Retailleau, qui a trouvé Emmanuel Macron "très optimiste" quand il a dit que la situation sur les carburants allait revenir à la normale "dans le courant" de la semaine prochaine.Pour M. Chassaigne, TotalEnergies met de "l'huile sur le feu" en "conditionnant" l'ouverture de négociations à la levée du blocus."Les réformes d'aujourd'hui, les refus d'augmentation de salaires" ou "de poser la question sur cette taxe sur les superprofits, bien sûr qu'elles imprègnent sur le climat social", a estimé Mme Chatelain, en dénonçant "une brutalité sociale" du gouvernement."Envoyer les CRS, c'est une chose, pouvoir continuer à discuter avec tous les syndicats" sur les retraites en est une autre, a souligné le sénateur Hervé Marseille (Union centriste), tandis que M. Malhuret jugeait la grève dans les raffineries "parfaitement scandaleuse".
Il y a 2 ans et 219 jours

Borne lance des concertations politiques sur les retraites

En ouvrant le bal des rencontres le chef de file des sénateurs LR Bruno Retailleau a redit à la Première ministre souhaiter une réforme, mais que "ce n'était pas une question comptable" et qu'il fallait "garantir le pouvoir d'achat de nos aînés"."On n'a pas de problème majeur sur le critère de l'âge, qui est un des éléments qui doit être sur la table" mais "ce n'est pas le seul", a abondé son homologue à l'Assemblée Olivier Marleix, en évoquant la pénibilité, les fins de carrière ou les régimes spéciaux."Une réforme des retraites ce n'est pas une guerre contre les Français. La Première ministre doit montrer qu'elle ne fait pas cette réforme pour les marchés financiers, pour faire plaisir à l'UE, mais que c'est une réforme utile", a-t-il souligné.Mme Borne les a reçus accompagnée du ministre du Travail Olivier Dussopt, qui mène parallèlement des discussions avec les organisations syndicales et patronales, et du ministre des Relations avec le Parlement Franck Riester.Ces rencontres ont lieu dans un contexte tendu, à quelques jours d'une "marche contre la vie chère et l'inaction climatique" qui vise aussi à dénoncer les réformes de l'assurance-chômage et des retraites, organisée notamment par les partis de gauche. Et avant une semaine d'action de la CGT, déjà à la manoeuvre dans le blocage des dépôts de carburant.ViolonsAu-delà des oppositions, la majorité va devoir accorder ses violons.Après François Bayrou sur la forme, Edouard Philippe, tenant de l'aile droite de la majorité, a fait entendre sa différence sur le fond de la réforme, en exhortant l'exécutif à "bouger beaucoup" sur l'âge de départ pour aller jusqu'à 67 ans.Il ne s'agit pas du "projet que nous portons", lui a répondu la cheffe de file des députés Renaissance Aurore Bergé, tandis que le président du parti Stéphane Séjourné l'invitait à ne pas trop diverger. "Edouard Philippe fait partie de la majorité (...) Il faut avoir une cohérence dans notre action et dans ce que nous disons", a-t-il dit.LR est favorable à un allongement de l'âge de départ "progressivement jusqu'à 64 ans", quand le gouvernement veut un "report progressif de l'âge de départ de 4 mois par an, aboutissant à 65 ans en 2031"."LR peut voter pour. (Valérie) Pécresse avait reproché à Macron de lui avoir volé son programme sur le sujet, ce sera difficile de s'y opposer", estime un parlementaire Horizons.Les retraites pourraient aussi être abordées jeudi matin à l'Elysée: Emmanuel Macron reçoit les députés de la majorité de la commission des Affaires sociales et les chefs de groupe pour évoquer le projet de loi de financement de la Sécurité sociale (PLFSS).Reste que les concertations sur cette réforme, déjà initiée lors du premier quinquennat avant d'être interrompue par le Covid-19, "ne changeront pas la face du monde", estime un ministre."Personne n'a changé d'avis et personne ne changera d'avis en janvier sur le fond", abonde un cadre de la majorité."LR peut voter pour"Mme Borne, qui défend depuis sa nomination une méthode basée sur le dialogue et le compromis, avait pu prendre le pouls des parlementaires sur le sujet quand elle les avait reçus fin septembre pour balayer les textes de la session.Ils avaient alors été nombreux à s'opposer au passage de cette réforme par voie d'amendement au PLFSS, y compris l'allié du MoDem qui avait mis en garde contre tout "passage en force".Sans décider du véhicule législatif, l'exécutif a finalement convenu, lors d'un dîner à l'Elysée, de temporiser en rouvrant un cycle de concertations pour l'adoption d'un texte "avant la fin de l'hiver". Elisabeth Borne dressera le bilan des discussions "avant Noël".Mais le président Emmanuel Macron avait aussi brandi la menace d'une dissolution de l'Assemblée nationale, en cas d'adoption d'une motion de censure contre le gouvernement, comme pour faire pression sur les opposants LR.
Il y a 2 ans et 220 jours

des portes palieres anti effraction dierre france peintes a la main pour un chantier parisien

Des produits techniques et esthétiques, c’est la promesse de Dierre France. Véritable référence sur le marché de la fermeture de sécurité, ils sont en capacité de répondre à tous les besoins et à tous les projets : de l’habitat individuel à l’habitat collectif en passant par le tertiaire et l’hôtellerie, ils peuvent équiper tout type de bâtiment, que ce soit dans le cadre de projets neufs ou de rénovation.
Il y a 2 ans et 220 jours

Un hiver rigoureux, l'allié espéré par Moscou face aux Européens

Un hiver particulièrement froid et prolongé ferait à coup sûr les affaires du président russe Vladimir Poutine, estiment certains analystes, après que Moscou a drastiquement réduit ses livraisons de gaz à l'Europe en représailles contre le soutien occidental à Kiev.Ces dernières années, l'Europe occidentale a connu une saison hivernale particulièrement rigoureuse en 2010/2011 ainsi qu'un froid sibérien en 2018, lequel avait fait plusieurs dizaines de morts et provoqué de fortes perturbations dans les transports.Si cela se reproduit, dans le contexte de raréfaction du gaz russe, qui représente une part non négligeable de l'approvisionnement énergétique de certains pays européens, cela pourrait causer d'importantes difficultés avec pour possible conséquence d'émousser la détermination de l'UE à soutenir l'Ukraine."L'énergie est une arme à un coup et elle vient juste de tirer", déclare à l'AFP Eliot A. Cohen, historien de la guerre et expert en sécurité au Center for Strategic and International Studies de l'université américaine Johns-Hopkins.Pour tenter de prendre les devants, de nombreux gouvernements ont appelé ménages et entreprises à baisser le chauffage et à économiser l'énergie, dans le cadre d'un plan européen visant à réduire la consommation de gaz cet hiver d'au moins 15% par rapport à la moyenne des cinq dernières années.Prévisions dans le viseurLes Vingt-Sept ont aussi procédé au remplissage accéléré de leurs réserves stratégiques, quitte à devoir payer le gaz au prix fort à l'Algérie, au Qatar, à la Norvège ou aux États-Unis.Avec environ 90% des réserves remplies, l'UE s'estime désormais pourvue pour garantir la sécurité énergétique à ses citoyens.D'autant que les conditions météorologiques s'annoncent "normales", estime auprès de l'AFP Alireza Nahvi, chercheur associé au sein du cabinet spécialisé dans l'énergie Wood Mackenzie.Cette sécurité n'en reste pas moins précaire et un hiver plus rigoureux que d'ordinaire représente une épée de Damoclès.Face à cet enjeu, beaucoup de regards - dans les cercles industriels et politiques - sont tournés vers le Centre européen pour les prévisions météorologiques à moyen terme (ECMWF).Doté de super-ordinateurs capables de compiler les données des différents services météo nationaux, cet organisme est notamment chargé de produire – via son Service Copernicus sur le changement climatique (C3S) - des prévisions roulantes sur trois mois."Cette année, cette question revêt clairement un intérêt géopolitique", a déclaré à l'AFP Carlo Buontempo, directeur du C3S, à l'approche de la publication jeudi des prévisions pour la période novembre-janvier.S'il est encore trop tôt pour faire un pronostic parfaitement fiable, les premières indications disponibles esquissent un hiver globalement doux, avec toutefois un risque de vagues de froid précoces en novembre et décembre.La direction du vent"C'est la direction du vent qui compte. Si, de la mi-novembre à décembre, nous avons certains de ces vents forts en provenance de l'est et de la neige sur l'Europe, cela aura certainement un impact sur la demande de gaz, les prix et la géopolitique", explique M. Buontempo.En revanche, après un été marqué par des chaleurs record en Europe, l'océan Atlantique est plus chaud que d'habitude, et les phases de vent d'ouest pourrait préserver la douceur des températures.En cas de températures moyennes et en supposant une réduction de la demande de gaz d'environ 9% cette année, l'Europe s'en sortira sans perturbation majeure, a récemment calculé l'Agence internationale de l'énergie (AIE). Cependant, si "nous avons un hiver environ 10% plus froid que la moyenne, le système gazier européen se retrouvera sous pression", prévient Gergely Molnar, analyste gazier de l'AIE.Un facteur à ne pas négliger sera le niveau des stocks, principalement détenus dans des champs de gaz épuisés ou des nappes aquifères.Ces réserves ont beau être remplies à environ 90%, elles sont difficilement accessibles, car au fur et à mesure que les stocks s'épuisent, la pression diminue, rendant les derniers 30% difficiles à extraire.Une vague de froid tardive, en février ou mars, lorsque la pression sera faible, constitue le "talon d'Achille de la sécurité de l'approvisionnement en gaz européen", a mis en garde l'AIE.
Il y a 2 ans et 222 jours

Flexibilité, légèreté, sécurité : Layher continue à révolutionner l’échafaudage

Layher innove encore ! Tandis que son matériel universel FW a été récompensé lors des Mat d’or 2022, son système Uni-Safe, bestseller, n’a pas fini de séduire les utilisateurs d’échafaudages. © Layher
Il y a 2 ans et 222 jours

Le SDIS Rhône-Alpes plus sûr et plus efficace grâce à la modernisation des portes

Ces portes à fonctionnement automatique ont été conçus conformément à toutes les exigences de fonctionnement et de sécurité des directives européennes et aux normes du Comité européen de normalisation (CEN).Conception sur mesureAvec son design moderne et épuré, la porte Dynaco I-14P est l'une des portes sectionnelles isolées la plus stable et performante du marché. Sa grande flexibilité et sa personnalisation complète permettent d'installer cette porte dans pratiquement n'importe quel environnement, tant sur le plan fonctionnel qu'esthétique. La porte est constituée de panneaux isolés conçus sans pont thermique pour un coefficient de transfert thermique minimal, ce qui réduit les coûts énergétiques. La rupture du pont thermique réduit également la consommation d'énergie et le risque de condensation et de givre. Le panneau I-14P avec moteur IDO7 a une vitesse d'ouverture et de fermeture de 0,25 m/s et glisse sous le toit lorsqu'il est ouvert, créant ainsi un espace libre autour de l'ouverture de la porte et maintenant un accès complet.Sécurité de niveau supérieurLes 17 portes I-14P Panel installées au SDIS de la région Rhône-Alpes sont toutes équipées d'une barrière immatérielle, ce qui améliore le niveau de sécurité. Cette sécurité est constituée d'un barrage de cellules photoélectriques de 2,5 m de haut. Si un véhicule passe devant les cellules photoélectriques pendant que la porte se ferme, le dispositif de sécurité est immédiatement activé et la porte s'ouvre à nouveau. De cette façon, le bas de la porte ne peut jamais heurter le véhicule et le risque de dommages est fortement réduit. En outre, la version automatisée de la porte Dynaco I-14P a été choisie comme le choix le plus judicieux pour éviter les collisions et les dommages. Dans une caserne de pompiers, les délais d'exécution sont très courts et les pompiers doivent arriver sur les lieux très rapidement. Les portes qui bloquent temporairement le bâtiment sont donc à proscrire absolument.
Il y a 2 ans et 222 jours

Salon de la Copropriété, Lorenove Grands Comptes animera un atelier exposant

Les 8 et 9 novembre 2022, Lorenove Grands Comptes sera exposant du salon de la copropriété, au parc des expositions de la Porte de Versailles. Exposant assidu du salon de la copropriété, Lorenove Grands Comptes est une entité du Groupe Lorillard, qui rappelons-le, se dédie aux besoins spécifiques des copropriétés et des regroupements de copropriétaires.C’est un interlocuteur de choix pour évoquer l’ensemble des problématiques rencontrées sur ce sujet. Durant ces 2 jours, à son accoutumé, sur un stand de 36m², Lorenove Grands Comptes se tiendra à la disposition des acteurs de la copropriété. L’omniscience de la Copropriété Que ce soient les essais acoustiques, le respect de l’architecture des façades, la gestion des travaux, la complexité en milieu occupé, les difficultés d’intervention en IGH, etc. l’ensemble de ces notions, et bien d’autres encore, font partie des services et compétences de Lorenove Grands Comptes. L’entité va même plus loin et, est en capacité de fournir – en partenariat avec Lorillard Façades – l’établissement de diagnostic énergétique de façades afin de proposer un plan de rénovation énergétique de façade par l’extérieur. Ces travaux d’efficacité énergétique sont notamment aidés par le dispositif MaPrimeRénov, désormais accessible aux copropriétés pour les travaux réalisés dans les parties communes. MaPrimeRénov s’adresse à toutes les copropriétés achevées depuis 15 ans, au moins à la date de la notification de la décision d’octroi de subvention, qu’elles se situent en secteur diffus ou programmé et qu’elles présentent ou non des signes de fragilité ou de difficultés. Pour bénéficier de cette aide, les travaux des copropriétés doivent être réalisés à 75% minimum sur des résidences principales et permettre un gain énergétique de 35%.Pour les propriétaires bailleurs (personnes physiques ou titulaires d’un droit réel immobilier conférant l’usage d’un logement pour financer les dépenses en faveur de la rénovation énergétique du logement qu’ils mettent en location), les plafonds de ressources sont appréciés en tenant compte de la composition de leur ménage et de la localisation du logement qu’ils occupent à titre de résidence principale. Par ailleurs, les copropriétés fragiles et les copropriétés en difficultés peuvent bénéficier d’une prime complémentaire à l’aide MaPrimeRénov’ Copropriétés. Le montant de l’aide est égal à 25 % du montant des travaux et l’accompagnement à maîtrise d’ouvrage est également pris en charge à hauteur de 30% de la prestation. Depuis plus de 15 ans Lorenove Grands Comptes accompagne au quotidien les copropriétés dans la rénovation de leurs menuiseries, l’isolation des façades y compris lorsque ces projets nécessitent une intervention de désamiantage ou de déplombage via Protectéa. Cette antériorité et l’expérience des chantiers leur ont permis de constituer un ensemble complet de prestations, allant du diagnostic à la fabrication des menuiseries – dans les ateliers du Groupe Lorillard – puis à leur pose par des compagnons qualifiés RGE, jusqu’à la réalisation éventuelle d’essais acoustiques in situ pour justifier des performances annoncées. La force du Groupe Lorillard Lorenove Grands Comptes, simultanément fabricant et installateur, bénéficie de souplesses commerciales et industrielles qui lui permettent de limiter les impacts négatifs qui s’imposent dans la conjoncture actuelle. Sur le plan tactique, Lorenove Grands Comptes est à même de mener des opérations “coup de poing” lors desquelles le temps d’exécution de la pose est réduit grâce à la mobilisation d’un effectif important sur un temps réduit. Il leur est notamment possible de poser plus de 80 fenêtres en une seule journée. L’entité a également développé une ingénierie de chantier adaptée aux milieux habités ou aux chantiers en cœur de ville avec des particularités d’accessibilité et d’organisation délicates (stationnement et base de stockage réduits, coactivité, limitation des nuisances pour les résidents et l’environnement immédiat, etc.) Sur le plan technique, les menuiseries sont performantes et dotées des capacités thermiques et phoniques les plus efficientes. À ce titre, deux modèles seront exposés sur le stand. Une menuiserie aluminium à ouvrant caché qui offre des lignes très fines et apporte un maximum de lumière naturelle dans la pièce. Cette menuiserie est équipée de profils à rupture de pont thermique avec des barrettes isolantes sur le dormant et l’ouvrant, pour réduire les échanges de température intérieurs et extérieurs. Ceci évitant la condensation et le ruissellement d’eau. Menuiserie aluminium à ouvrant caché Également, un verrouillage par galets champignons constitue une sureté supplémentaire contre l’effraction et assure une protection efficace contre le levage par force de levier. Cette menuiserie possède également 3 joints pour une parfaite étanchéité et une meilleure isolation thermique.Pour plus d’harmonie et d’originalité, il est possible de choisir la bicoloration pour coordonner la menuiserie à la fois aux intérieurs et aux extérieurs. Une bicoloration qui est particulièrement pertinente pour les immeubles des années 1970 – dont les tons bois des menuiseries correspondent à la majorité des cahiers des charges – et qui offre alors aux propriétaires la possibilité de personnaliser le coloris intérieur de leurs menuiseries. Un coulissant monobloc en aluminium, équipé d’une tapée de doublage intégrée qui facilite le travail de pose en neuf, offre également une meilleure rigidité au cadre et une étanchéité parfaite. Ce coulissant est doté d’une excellente robustesse grâce à un dormant monobloc à rupture de pont thermique, assemblé en coupe droite par équerres collées et serties. Sa crémone multipoints à crochets et son dispositif anti-fausse manoeuvre lui garantissent un bon niveau de sécurité.Côté design, la finesse de son montant central de 38 mm et ses profils ultra fins offrent un rendu épuré et minimaliste avec un clair de vitrage maximum. Conforme à la norme PMR, ce coulissant est doté d’un seuil extra-plat, d’une hauteur de 25mm, ou proposé avec un dormant bas doté d’un recueil d’eau intégré et de drainages cachés.Enfin, son vitrage de 28 mm avec une couche basse-émissivité, un intercalaire isolant Warm-Edge et du gaz Argon (à très faible conductivité thermique) offre une isolation thermique optimale (coefficient Uw =1,6W/m².K). Ce coulissant sera disponible en 2 vantaux, 3 vantaux et jusqu’à 4 vantaux, pour des baies vitrées de grande largeur (jusque 6 mètres) selon les besoins et la configuration du lieu. C’est à l’appui de son expertise que Lorenove Grands Comptes animera un atelier exposant, le mardi 8 novembre à l’agora – de 11h30 à 12h – sur le thème « Remplacement des menuiseries :de l’approvisionnement aux bénéfices clients, un cycle de vie durable ».Cet atelier sera dirigé par Aurélien Hoellinger, responsable commercial Lorenove Grands Comptes. Cette intervention qui sera filmée pourra être visionnée par la suite sur les réseaux sociaux ; et amorcera la première étape vers une série de webinaires consacrés à la rénovation énergétique !
Il y a 2 ans et 222 jours

Awards de l'Innovation : du matériel de chantier plus sécurisé et qui réduit la pénibilité

Dans la catégorie matériels de chantier et outillage, les médaillés ont en commun de prioriser la sécurité de l’utilisateur ainsi que la robotisation des taches pour la réduction de sa pénibilité.
Il y a 2 ans et 222 jours

PLF 2023 : trois députés Renaissance, risquent d’accentuer la crise actuelle du logement

Dont acte ! Cette légitime réflexion aurait dû s’accompagner d’un intérêt tout aussi important porté aux entreprises impactées par chacune des décisions fiscales qui pourraient être proposées.Pour mémoire, la FPI rappelle que produire des logements collectifs neufs en PINEL présente les avantages suivants :Les logements PINEL produits à compter de janvier 2022 respectent la réglementation environnementale RE 2020 la plus exigeante au niveau européen voire mondial ;La construction de logements PINEL est pourvoyeuse d’emplois locaux (120.000 emplois par an) non délocalisables ;La vente des logements PINEL génère des ressources importantes de TVA pour l’Etat ;En accroissant le parc de logements locatifs, la production de logements PINEL participe à la mobilité nécessaire des salariés ;Être propriétaire d’un logement PINEL procure un complément de revenus non négligeable pour de nombreux ménages lors de la retraite.Or, un amendement a été déposé par les 3 députés de cette task force en vue de son examen en séance publique : il prévoit la fin du dispositif d’investissement locatif PINEL au 31 décembre 2023 au lieu du 31 décembre 2024, alors même que les évolutions apportées à ce dispositif par la précédente loi de finances pour 2022 ne sont pas encore entrées en vigueur et que les dernières modifications, par décret, datent de mars 2022.La FPI alerte sur cette initiative, qui prise sans concertation avec les professionnels du secteur et sur la base d’a priori déconnectés de la réalité, pourrait être lourde de conséquences :Elle introduit, une fois de plus, une insécurité fiscale préjudiciable au bon fonctionnement des entreprises qui ont besoin de stabilité : lancer un programme immobilier demande du temps et, en conséquence, de la visibilité que ne permet plus l’agitation fiscale actuelle.Cette insécurité fiscale est également pénalisante pour les particuliers, qui ont prévu, parfois de longue date, d’investir dans un bien de ce type en vue de le louer à un ascendant ou un descendant, faculté supprimée par l’amendement.Elle intervient au plus mauvais moment : sur le premier trimestre 2022, le nombre de logements proposés à la vente a chuté de 15% par rapport à 2021. L’effondrement que l’on constate depuis 2019 ne fait que s’accentuer en 2022. L’offre de logements neufs collectifs, aux performances énergétiques élevées, sobres en foncier et répondant aux attentes de nos concitoyens, va se réduire encore plus et amplifier une crise du logement annoncée sur l’ensemble du parcours résidentiel.Pour qu’un pays puisse se développer, il faut qu’une frange de la population soit mobile. Une offre satisfaisante sur le marché locatif permet d’y répondre et le dispositif PINEL y contribue fortement avec des logements de qualité. A l’heure où l’on parle de la réforme des retraites, la majorité des investisseurs en PINEL bénéficient d’un accroissement de revenus le jour de la retraite. Alors même que nos concitoyens peinent à se loger avec des loyers adaptés à leur budget, ce sont ainsi près de 60.000 logements destinés à être loués, sous plafonds de ressources et de loyers, par exemple à des jeunes actifs ou à des ménages à revenus intermédiaires aux activités professionnelles pourtant essentielles (infirmiers, enseignants, policiers...) qui ne verraient pas le jour si cet amendement était adopté.Outre les investisseurs et locataires directement concernés par les logements « PINEL », l’impact de cet amendement, s’il était adopté, serait encore plus massif : aujourd’hui, on retrouve en effet dans un même programme immobilier des logements PINEL, des logements en accession, des logements sociaux. Faire disparaître prématurément le dispositif PINEL empêcherait, par effet collatéral, la réalisation des programmes prévus et donc les autres logements, tels les logements sociaux que nous produisons massivement et ceux destinés au parcours résidentiel des Français.Pour Pascal Boulanger, président de la FPI : « cet amendement va à l’encontre de la stabilité fiscale tant souhaitée par tous les acteurs économiques. Je rappelle que le dispositif actuel a été modifié il y a à peine un peu plus de six mois. Comment voulez-vous que nos entreprises s’organisent dans de telles conditions et que les Français conservent leur confiance dans le pouvoir politique ? Le logement mérite mieux que de sombres tentatives de rabotage fiscal, dont les conséquences, non évaluées sur le plan économique et social, aggraveront le pouvoir d’habiter de nos concitoyens. »
Il y a 2 ans et 223 jours

JLG annonce une nacelle compacte à flèche droite X22SJP

Présenté lors de l'événement JLG New Perspective à Leicester, au Royaume-Uni, en mai dernier, le X22SJP - un chariot compact à flèche droite - est désormais disponible à la commande. Le X22SJP, qui offre une hauteur de travail de 22 m, se caractérise par une capacité de plate-forme non restreinte de 230 kg. Une option plus légère appelée X22SJL avec un PTAC < 3 tonnes est également disponible pour répondre aux exigences de transport régional. Atteignant la pleine hauteur de travail 25 % plus rapidement que les modèles articulés conventionnels, la productivité de l'opérateur s'en trouve considérablement améliorée.Pour Mirco Negri, chef de produit senior pour JLG dans la région EMEAI : « Le nouveau X22SJP combine la meilleure productivité de sa catégorie avec des caractéristiques uniques, pour une efficacité maximale sur les chantiers. La largeur de la machine lorsqu'elle est rangée est extrêmement compacte (seulement 88 cm), en fait elle est 10 cm plus étroite que la plupart de ses concurrents. Un autre avantage concurrentiel est sa portée de travail de 12,3 m, ce qui en fait l'un des meilleurs modèles de sa catégorie. Les commandes de la machine sont conformes à celles des autres modèles de la gamme des nacelles compacts à chenilles JLG et des efforts considérables ont également été investis dans sa simplicité. Il suffit d'appuyer sur un bouton pour que la machine se range d'elle-même de sa position de travail, ou qu'elle revienne du sol à sa position de travail précédente, éliminant ainsi la nécessité d'utiliser plusieurs fonctions de commande dans la plate-forme. »Le X22SJP est proposé avec trois options de propulsion : diesel, hybride et full Lithium avec un moteur à courant alternatif, y compris un système de chauffage de batterie intégrée de série pour travailler dans des conditions de grand froid. Parmi les autres caractéristiques de série, citons les feux à DEL intégrés et la technologie SkyLine pour la sécurité de l'opérateur, ainsi que la fonction de stabilisation variable qui permet d'installer le X22SJP dans des espaces plus restreints.
Il y a 2 ans et 223 jours

Un guide complet et très illustré sur les escaliers en bois, métal, verre, maçonnerie et pierre naturelle

Dans un domaine où la réglementation est dense et différenciée selon la destination du bâtiment (maison individuelle, habitations collectives, ERP immeubles de bureaux, locaux industriels, etc.), ce guide fait le point sur les principaux textes et rappelle les exigences en la matière.Cette nouvelle édition intègre la mise à jour des règles de conception et de dimensionnement sur la base des règles communes du NF DTU 36.3 « Travaux de bâtiment - Escaliers en bois et garde-corps associés », l'ajout des classements UPEC des revêtements des marches en fonction des locaux visés conformément au cahier 3782_V2 du CSTB et des points de contrôle à réaliser sur le support et sur l'escalier lui-même.Auteur(s)Ce guide a été rédigé par Ménad CHENAF, ingénieur en chef au CSTB, directeur-adjoint de la Direction Sécurité Structure et Feu et mis à jour par Angel JUNES, ingénieur d'évaluation et expertise au sein de la Direction Sécurité Structure et Feu, et Loïc PAYET, responsable du pôle Structure au sein de la Direction Sécurité Structure et Feu.SommaireIntroduction Dispositions communesDifférents types d'escalier Dimensions et proportionsStabilité d'un escalierCharges appliquées à un escalier Dimensionnements et dispositionsEscaliers extérieurs Garde-corps et mains courantesContrôles de mise en œuvre GlossaireRéglementation, normes et autres documents de référenceIndex
Il y a 2 ans et 226 jours

Nouveau catalogue de marques Mewa 2022/2023 pour les EPI

Le nouveau catalogue comprend un large choix d’EPI, pensés et développés pour chaque métier et chaque situation de travail. Les produits sont classés en cinq catégories : « Chaussures de sécurité », « Gants de travail », « Vêtements », « Protection cutanée et hygiène » et « Protection de la tête ». Il devient très simple de trouver le complément optimal aux vêtements de travail et de protection.Ce vaste catalogue d’articles EPI complète l’offre de services de location entretien textiles de Mewa.De nouveaux articles et des produits innovants pour élargir la gammeMewa propose de nouveaux modèles issus des dernières collections de fabricants renommés tels que U-Power, Puma, Toworkfor, Helly Hansen et Elten. Au-delà de ces marques Mewa a également élargi le choix pour les gants de travail en accueillant la nouvelle gamme Korsar Kori-Dex et la marque réputée Grippaz pour les gants à usage unique. Côté innovations, Mewa propose pour affronter des étés de plus en plus chauds les textiles rafraîchissants de E.Cooline Powercool. Il suffit de les activer avec de l’eau pour qu’ils agissent jusqu’à 20 heures comme un climatiseur à enfiler. Le catalogue présente notamment les gilets rafraîchissants, les t-shirts, les bandanas et les bandeaux de la marque.Une livraison rapide dans toute l’EuropeMewa s’engage à répondre à toutes les questions sur ces nouveaux produits par téléphone ou par e-mail. L’entreprise propose également de gérer complètement le projet d’achat de chaussures : préconisation, mise à disposition de produit, prise de pointure et envoi. Enfin, le service de personnalisation - broderie et impression - de Mewa permet de communiquer en apposant un logo sur les textiles commandés.
Il y a 2 ans et 226 jours

A la porte de la Chapelle, un quartier flambant neuf mais une encombrante réputation

De sa terrasse en bois couverte de lierre, Aurélien Fonteneau n'entend ni les voitures sur le tout proche boulevard périphérique, ni les badauds qui arpentent la rue de la Chapelle, où se croisent voitures, camions et vendeurs de cigarettes à la sauvette.D'abord hésitant à cause de l'image de ce quartier "pas forcément évident", le jeune homme de 35 ans a changé d'avis en visitant ce trois-pièces baigné de lumière, un "coup de coeur" acheté avant l'été à "un peu moins de 9.000 euros le mètre carré", en-dessous du prix moyen du XVIIIe arrondissement.La réputation de cette porte du nord de Paris reste marquée par la "colline du crack", démantelée fin 2019, et par les campements de migrants qui s'étaient installés le long du boulevard périphérique.Avec ses tours modernes, son école et sa ferme urbaine, "Chapelle International va redorer l'image de ce quartier encore trop mal jugé", promet le maire PS du XVIIIe, Eric Lejoindre.Sorti de terre sur une ancienne friche ferroviaire, le nouveau lotissement a été imaginé pour allier une "haute qualité environnementale" à des "valeurs sociales et inclusives", explique la directrice de l'aménageur Espaces ferroviaires, Fadia Karam.Sur les 1.117 logements que comprendra à terme le nouveau lotissement (dont 43% de logements sociaux), plus de 900 ont déjà été livrés. Mais tous n'ont pas encore trouvé preneur."Tous nos logements sociaux sont occupés. Mais sur 65 logements intermédiaires livrés en mai, 46 sont encore vides", explique Christine Laconde, la directrice générale de la Régie immobilière de la ville de Paris (RIVP), un des bailleurs de Chapelle International."Sécurité dégradée"Locataire depuis décembre 2020, Léa (prénom modifié) cherche déjà à quitter le quartier. "Sur le papier, c'est un beau projet", explique sous couvert d'anonymat la jeune femme de 36 ans dans le hall de son immeuble. "Mais la sécurité, qui s'était améliorée, s'est à nouveau beaucoup dégradée".Même son de cloche chez son voisin Arnaud Siduron, qui a emménagé à Chapelle International il y a un an et demi. "Ma compagne n'aime pas rentrer seule le soir dans ce quartier. On cherche ailleurs", affirme le jeune homme de 27 ans.Du côté de l'opposition municipale, Rudolph Granier, conseiller LR de Paris élu dans le XVIIIe arrondissement, pourfend le "bétonnage à outrance" d'un "spot de deal" où il est "encore compliqué de se balader"."C'est un quartier magnifique, en devenir, qui connaît encore des difficultés", tempère Emmanuel Grégoire, premier adjoint à la maire de Paris, notamment en charge de l'urbanisme. "Ce sera un quartier en dynamique dans à peine cinq ans."Selon lui, Chapelle International connaîtra dans les prochains mois "trois gros accélérateurs": le campus Condorcet, qui regroupera plusieurs établissements d'enseignement supérieur; l'Arena, futur site des Jeux olympiques 2024; et la rénovation de l'axe qui mène au centre de la capitale, avec l'aménagement d'une piste cyclable pérenne.Face à un square que les enfants du quartier commencent à s'approprier, Valérie Grévin loue un local commercial et un petit logement à l'étage "pour quasi la moitié du prix qu'ailleurs à Paris"."C'est ça au début qui m'a convaincue. Et puis finalement, c'est très agréable de travailler ici, il y a de la vie dans la journée. Le soir, c'est encore un peu triste", raconte Valérie Grévin, qui fabrique dans son atelier des uniformes d'hôtellerie.Pour le maire du XVIIIe, "il y a dans chaque lotissement la partie urbaine et, derrière, l'esprit de quartier, qui prend un peu plus de temps à s'installer". "Ici", assure Eric Lejoindre, "une nouvelle page est entrain de s'écrire".
Il y a 2 ans et 227 jours

Partenariat entre Hilti et l’OPPBTP pour évaluer les effets de l’usage de l’exosquelette HA EXO-O1

A ce jour, aucune étude n’a été réalisée en France sur les chantiers et sur le long terme pour analyser l’effet de l’usage de ces outils sur la santé et la performance des utilisateurs. Pour pallier ce manque de retours d’expériences, Hilti a lancé une étude d’envergure basée sur l’utilisation de son exosquelette HA EXO-O1 et s’est adjoint les compétences et l’expertise de l’OPPBTP pour un support méthodologique et technique.Réduire les TMS grâce aux exosquelettesConfrontées à des situations de travail qui peuvent entraîner des difficultés pour leurs collaborateurs et notamment provoquer des TMS lors de tâches répétitives, les entreprises sont à la recherche de solutions. Parmi ces dernières, l’usage d’un exosquelette peut être envisagé pour soulager certaines activités. Hilti, fortement engagée dans le secteur du BTP notamment sur les questions de prévention, travaille depuis quelques années sur ce sujet et propose un exosquelette baptisé HA EXO-O1. Lancé en 2020, celui-ci a pour vocation de soulager les tensions provoquées sur les articulations lors de travaux nécessitant de lever les bras au-dessus des épaules. Il s’adresse donc à des situations de travail qui s’appliquent dans les métiers suivants : électriciens, plombiers, peintres et plaquistes.Un constat s’impose toutefois. Le développement de ces solutions étant récent dans le domaine du bâtiment, une analyse sur ces effets à moyen et long terme sur la santé et la performance des utilisateurs ne peut être que bénéfique.Ainsi, c’est pour mieux comprendre ces effets sur la santé et recueillir des données, notamment en ce qui concerne l’amélioration du confort au travail, la réduction de la fatigue musculaire ou de la consommation en oxygène lors de l’effort, que Hilti, premier vendeur d’exosquelettes en France, a décidé de mettre en place une étude de grande ampleur basée sur son propre exosquelette. Dans ce cadre, l’OPPBTP apporte son expertise sur les sujets de prévention en accompagnant Hilti sur les aspects méthodologiques et techniques de l’étude.Une étude de grande ampleur pour comprendre les effets de l’usage d’un exosquelette sur la santéEnviron 200 exosquelettes ont été mis à disposition d’entreprises partenaires afin qu’elles puissent expérimenter cette solution auprès d’opérateurs choisis. Durant un an, les collaborateurs bénéficient du soutien de l’EXO-O1 pour effectuer leurs tâches.Pour mener à bien cette étude, recueillir les données et les analyser, Hilti s’est rapproché de l’Institut de Thérapie Manuelle et Physiothérapie (ITMP), experts en évaluation fonctionnelle et en physiologie. Le Dr Bronislaw Kapitaniak, expert ergonome, apporte aussi son concours dans l’élaboration du protocole d’étude et la réalisation des évaluations intermédiaires auprès des utilisateurs.C’est dans ce cadre qu’intervient l’OPPBTP pour :Soutenir la construction du protocole d’expérimentation grâce à son expertise du monde du bâtiment et des nouvelles technologies d’assistance physique ;Contribuer à l’identification des entreprises participantes ;Aider à l’interprétation des résultats.Le suivi de l’étude sur 12 mois prévoit :Un questionnaire des opérateurs avant utilisation de l’exosquelette afin de définir leur état d’esprit, leurs attentes, leur état de santé initial.Des questionnaires réalisés à trois, six, neuf et douze mois.Sur une partie des collaborateurs participants, un suivi spécifique mené par les kinésithérapeutes de l’ITMP.Pour Louis des Escotais, Directeur marketing d’Hilti : « Hilti s'engage depuis toujours à développer des solutions et produits toujours plus innovants en termes de santé et sécurité pour nos clients sur chantier. C'est dans le cadre de cette démarche d'amélioration continue que nous nous sommes associés à l'OPPBTP et à plusieurs entreprises partenaires afin de mettre en place cette étude sur les effets à long terme de l'utilisation de notre exosquelette en conditions réelles. L'analyse des résultats nous permettra d'accompagner au mieux les entreprises qui souhaiteraient offrir cette solution à leurs collaborateurs afin de les soutenir dans leurs missions quotidiennes. »Pour Pascal Girardot, Ergonome et responsable Prévention de l'usure professionnelle à l'OPPBTP : « Nous suivons avec intérêt le développement des dispositifs d’assistance physique dans le cadre de nos propres travaux liés à la prévention sur les chantiers. Cette étude menée par Hilti va aussi nous permettre d’obtenir des informations concrètes sur les impacts de l’utilisation de ces solutions et cela sur le long terme. Cela peut nous aider à développer des outils afin d’aider les entreprises à bien utiliser ces dispositifs, à intégrer les contraintes qui y sont liées, à faciliter la prise en main des collaborateurs et à dispenser tous les conseils pour un bon usage des équipements. »
Il y a 2 ans et 227 jours

Le rapport "L‘évolution du contrôle d‘accès : conseils pour les projets de bureaux connectés" est disponible

Le rapport portant sur les avancées technologiques dédiées au bâtiment vise à accompagner les acteurs de la filière dans l’identification et la commercialisation des meilleures solutions de contrôle d'accès intelligent.Les principaux enseignements du rapport :Plus de quatre employés de bureau sur dix s’accordent à dire que leur smartphone constitue désormais le moyen privilégié pour stocker leurs identifiants d'accès ;L’utilisation de lecteurs avec contrôleurs d'accès intégrés devrait augmenter de plus de 50% d'ici 2024 ;Les entreprises du monde entier avaient déjà anticipé une augmentation de près de 40% de leurs dépenses en cybersécurité au cours de l’année 2020.Le rapport entier est disponible à cette adresse.Pour Michal Kratochvíl, PDG de 2N Telekomunikace en préambule du rapport : « Il ne fait aucun doute que la demande de solutions de contrôle d‘accès intelligentes est en hausse, mais ce qui constitue le meilleur contrôle d‘accès de sa catégorie dans les immeubles de bureaux connectés évolue constamment à mesure que la technologie se développe et que les attentes des employés de bureau changent. Si vous êtes un intégrateur ou un installateur de systèmes travaillant sur un projet de bureau ou de bâtiment commercial, à quoi devez-vous penser lorsque vous décidez de la solution de contrôle d‘accès à privilégier ? Avec tant de facteurs à prendre en compte, quelles doivent être vos priorités ? En tant que leader mondial des systèmes de Visiophonie IP, 2N travaille aux côtés de ses clients et partenaires dans le monde entier, pour les aider à trouver la bonne solution pour leurs projets de bureaux. Cette expérience pratique ne fait pas seulement de nous des experts en solutions de contrôle d‘accès, elle nous donne également un aperçu étonnant des priorités qui guident les décisions des clients en matière de contrôle d‘accès - une compréhension qui a également été éclairée par une enquête que nous avons menée l‘année dernière auprès des distributeurs, des intégrateurs de systèmes et des installateurs opérant dans la région EMEA, en Asie-Pacifique ainsi que sur le continent américain. Ce livre blanc est conçu pour résumer les idées les plus pertinentes. Il se concentrera sur les avantages des systèmes, vous aidera à comprendre les dernières technologies disponibles et vous expliquera ce que vous devez prendre en compte pour être certain de choisir des solutions qui pourront évoluer avec vous au cours des dix prochaines années. Nous espérons que vous y trouverez une lecture informative, agréable et, surtout, utile sur le plan pratique. »
Il y a 2 ans et 228 jours

Les Coulisses du Bâtiment, les 13 et 14 octobre 2022

D’habitude interdits au public, les sites de toutes sortes et de toutes tailles (hôpitaux, maisons de retraite, musées, lycées, stades, immeuble de bureaux...) dévoileront leurs coulisses à différentes étapes d’avancement des travaux.Les Coulisses du Bâtiment ?Chaque année, la FFB organise Les Coulisses du bâtiment, une opération portes ouvertes de chantiers, ateliers et CFA. C’est une occasion unique de :découvrir le secteur du bâtiment de façon concrète, en visitant des chantiers et ateliers «en vrai» ;rencontrer des hommes et femmes bâtisseurs et fiers de l’être ;s’informer sur des métiers porteurs, aussi bien pour les hommes que pour les femmes.Depuis 2003, l’ambition des Coulisses du bâtiment est, d’une part de faire découvrir aux jeunes et au grand public ce qui se cache derrière les palissades de chantier. En d’autres termes, révéler les techniques de construction à travers les métiers du secteur. D’autre part, la FFB souhaite susciter des vocations auprès des jeunes et attirer des professionnels en reconversion. Chaque site propose ainsi un circuit de visite, une présentation des différents métiers, des informations sur l’ouvrage en construction, des perspectives de carrières et des adresses utiles.Les Coulisses du bâtiment en chiffres :Près de 1.480.000 visiteurs sur 4.500 sites depuis 2003Un live pour visiter un chantier comme si vous y étiez!L’an dernier, près de 100.000 élèves ont participé aux Coulisses du Bâtiment en se rendant sur un chantier grâce à un live sur YouTube.Forte de ce succès, la FFB propose à nouveau de suivre, le 13 octobre à partir de 10h, une version digitale des Coulisses du Bâtiment en direct sur YouTube mais aussi sur LinkedIn.D’une durée de 45 minutes, ce dispositif comprendra une visite de chantier et des ateliers de démonstration afin de partir à la découverte des métiers et également des nouvelles technologies.Les Coulisses du bâtiment sont à retrouver dès à présent sur les réseaux sociaux :Un site Internet dédiéLa page dédiée à cette opération sur le site www.lebatiment.fr indique en temps réel les sites ouverts dans chaque département avec les informations essentielles comme le type d’ouvrage présenté, les corps de métiers représentés, l’adresse, les jours et horaires d’ouverture.Elle permet également d’avoir une présentation détaillée du secteur, des Coulisses du bâtiment et des métiers.Information pratiquesOù sont les sites à visiterLa page https://lebatiment.fr/nos-evenements/coulisses-du-batiment donne tous les détails sur les chantiers, atelier et CFA à visiter.Quelle tenue porter ? Une tenue pratique et des chaussures plates sont vivement conseillées. L’équipe organisatrice remet à chaque visiteur un casque (obligatoire) à son arrivée. Il faut éviter les chaussures à talons, les tongs, les robes, peu adaptées aux visites. Et oui, les chantiers et ateliers sont des lieux de travail où des règles de sécurité doivent être respectées !Et les règles de sécurité ?Les visites seront organisées dans le strict respect des consignes de sécurité et de prévention en vigueur et appliquées en étroite collaboration avec l’OPPBTP (Organisme de prévention du bâtiment et des travaux publics).Les visites sont-elles payantes ?Non, l’accès aux visites est totalement gratuit.
Il y a 2 ans et 229 jours

Lancement du Plan piscines 2 en Seine-Saint-Denis

Ce lancement s’est fait en présence de Stéphane TROUSSEL, Président du Département de la Seine-Saint-Denis, Jacques WITKOWSKI, Préfet de la Seine-Saint-Denis, Zaïnaba SAÏD-ANZUM, Conseillère départementale déléguée au Sport, et Stéphane BLANCHET, Maire de Sevran.Ce second plan fait suite au Plan piscines 1, de 2016 à 2022, ayant contribué à la construction de 3 nouvelles piscines (dont deux sous maîtrise d'ouvrage départemental) et d’en rénover 9, pour un investissement total de 40 millions d’euros.Accélérer la création de lignes d’eauSi le premier plan a permis d’éviter la fermeture de certains équipements et d’accentuer leur fréquentation, la remise à niveau des infrastructures et la réduction des carences en matière d’offre reste un enjeu majeur, nécessitant notamment une accélération dans la création de nouvelles lignes d’eau. Avec 37 piscines actuellement (39 à l’horizon 2024), la Seine-Saint-Denis compte moins de 60m2 de bassin de natation pour 10.000 habitants, contre 160m2 en moyenne régionale et plus de 260m2 en moyenne nationale. 7 communes sur 40 n’ont aucun équipement aquatique.Doté de 35 millions d’euros, dont 15 millions d’euros financés par la SOLIDEO (Etat et Région), ce second Plan piscines permettra non seulement de financer des projets liés à l’héritage olympique, mais aussi de poursuivre l’effort de rattrapage en matière d’équipements aquatiques dans tout le département. Il pourra s’agir à la fois de projets de construction et reconstruction, de réhabilitation lourde et d’extension, ou de rénovations et d’aménagements visant le développement des usages.Les villes et EPT qui le souhaitent pourront candidater tout au long du plan, qui durera jusqu’en 2028.Une attention particulière aux territoires carencés, à la sobriété énergétique et l’accessibilité des équipements Afin d’encourager les porteurs de projets à prendre en compte les priorités de politiques publiques que porte le Département de la Seine-Saint-Denis, des financements supplémentaires seront attribués sous forme de bonus dans plusieurs cas.Les projets situés dans de szones très carencées (aucune piscine ou carence supérieure à 2 bassins) ou carencées (carence d’1 à 2 bassins).Les projets intégrant l’ensemble des enjeux environnementaux : budget carbone maîtrisé, qualité de vie garantie, valorisation et renforcement des écosystèmes.Les projets allant plus loin que les normes réglementaires en matière d’accessibilité, mais aussi pour ceux qui favorisant l’accès bassins à tout.e.s avec la création d’équipements aqua ludiques.Pour Stéphane TROUSSEL, Président du Département de la Seine-Saint-Denis : «A deux ans des Jeux, l’écart entre les besoins en matière d’équipements nautiques et la réalité des infrastructures dont nous disposons en Seine-Saint-Denis reste un sujet de préoccupation majeure. Si notre premier Plan piscines a permis d’éviter la fermeture de certains équipements, d’en rénover et d’en construire, cet effort se poursuit et s’amplifie aujourd’hui dans la dynamique des JOP. C’est tout le sens de ce second Plan piscines que nous lançons avec Zaïnaba Saïd-Anzum, Conseillère départementale déléguée au Sport, et Emmanuel Constant, Vice-président en charge des JOP, avec le soutien de l’Etat, de la Région et de la SOLIDEO. Il n’y a pas de miracle : c’est avec des moyens et des actes que nous pourrons développer l’apprentissage et la pratique de la nage, si importants en matière de santé publique, de sécurité individuelle et de vie sociale.»
Il y a 2 ans et 229 jours

3 métiers d’avenir dans la construction

Le secteur de la construction est sujet à de nombreuses évolutions, que ce soit à cause des nouvelles technologies ou des départs à la retraite. Au Québec, d’ici 2029, le milieu devrait d’ailleurs atteindre un niveau de pénurie de main-d’œuvre record, accélérant ainsi la création de nouveaux métiers dont voici les 3 plus prometteurs. Manœuvre en construction Bien qu’un&nbsp;emploi de&nbsp;manœuvre en construction&nbsp;demeure dans la partie « traditionnelle » du secteur,&nbsp;il&nbsp;est tout de même considéré comme une branche&nbsp;d’avenir. En effet, bien au-delà de l’utilisation des technologies, comme pour les deux prochains métiers, cette profession fait partie des piliers de la construction. On remarque tout de même une certaine évolution dans les compétences à acquérir pour prétendre à ce poste. En effet, les tâches sont variées et il est souvent demandé aux candidats d’être de plus en plus agiles, avec une faculté d’adaptation et de collaboration. Surtout parce que les professionnels occupant ce métier sont amenés à&nbsp;: –&nbsp;Charger et décharger les matériaux. –&nbsp;Monter des échafaudages. –&nbsp;Accompagner les ouvriers qualifiés dans la réalisation des travaux. –&nbsp;Niveler l’environnement de travail pour faciliter l’accès aux chantiers. Bien que ces tâches ne soient pas exhaustives, elles n’en demeurent pas moins plurielles. D’un point de vue plus général, les manœuvres en construction garantissent la bonne réalisation des travaux, en secondant le travail de leurs collègues. Un poste qui demeure donc essentiel au secteur de la construction. Quel est le diplôme nécessaire pour travailler comme manœuvre en construction ? Les recruteurs recherchent des candidats ayant obtenu leur certificat de compétences « occupation ».&nbsp;Toutefois, il est également possible de travailler comme manœuvre sans diplôme. Quel est le salaire d’un professionnel en manœuvre en construction ? Au Québec, le salaire pour un professionnel en manœuvre en construction est fixé selon les conventions collectives avec lesquelles il travaille. Spécialiste en domotique La domotique fait partie intégrante des nouveaux métiers tels qu’on l’entend dans cette expression. Bien qu’elle soit à 100&nbsp;% liée avec les nouvelles technologies, elle fait également entièrement partie du métier de la construction. En effet, intervenant après la construction des bâtiments, le spécialiste en domotique s’intéresse particulièrement à la création d’un habitat intelligent, basé sur le concept de&nbsp;smart home. Son objectif est alors d’utiliser ses connaissances en matière de technologies et de sécurité pour rendre le bâtiment plus sûr. Il s’occupe de créer les systèmes de sécurité comme les alarmes, les détecteurs de bris de vitre, les caméras et autres capteurs. Selon le type de structures (résidentielle, institutionnelle ou professionnelle), il peut également être amené à réfléchir à l’automatisation totale d’un bâtiment. Doté d’un amour pour les nouvelles technologies, autonome et doué d’un esprit d’équipe, le spécialiste en domotique travaille avec l’ensemble des équipes sur le projet en construction, et&nbsp;l’intègre&nbsp;dans toutes&nbsp;les étapes. Quel diplôme est nécessaire pour devenir spécialiste en domotique ? Le futur spécialiste doit obtenir une attestation de formation prouvant sa spécialisation dans l’installation de systèmes d’habitation intelligente. Toutefois, cette attestation requiert l’obtention préalable&nbsp;: –&nbsp;D’unités de 3e&nbsp;secondaire en langue seconde et mathématiques. –&nbsp;D’une attestation d’équivalence à la 3e secondaire. –&nbsp;D’une attestation de réussite au test de développement général. Quel est le salaire d’un spécialiste en domotique ? À Montréal, un spécialiste en domotique perçoit en moyenne 47 000&nbsp;$ annuel. Ce salaire est tout de même sujet à des fluctuations selon les entreprises. Coordinateur BIM Dans le secteur de la construction, le coordinateur BIM (building information modelling) est spécialisé dans le bâti immobilier modélisé. En d’autres termes, il utilise les nouvelles technologies pour générer un plan 3D du bâtiment à construire. Grâce à cela, il permet à toutes les branches de la construction de travailler collectivement en visualisant l’ensemble des structures, des mécaniques, de l’électricité et de la plomberie à mettre en place. Un coordinateur BIM doit alors posséder des compétences en conception 3D, mais également être agile, faire preuve d’adaptabilité, de communication et de management, puisqu’il coordonne et renseigne les différentes équipes de construction. Quel diplôme obtenir pour devenir coordinateur BIM ? Deux situations sont possibles. Le candidat peut se spécialiser en conception de maquette numérique durant son cégep. Il faudra toutefois faire attention à intégrer un cégep délivrant l’attestation d’étude collégiale correspondante. Une expérience dans le domaine de la coordination et de la construction sera un plus pour démarrer sa carrière. En revanche, si le candidat est ingénieur ou architecte de formation, il peut obtenir un DESS en BIM et innovations numériques pour approfondir ses connaissances et se former. Quel est le salaire d’un coordinateur BIM ? Dans la région de Montréal, un coordinateur BIM peut percevoir jusqu’à 48 000&nbsp;$ annuel, en moyenne. Le secteur de la construction demeure un secteur d’avenir Au Canada, le secteur de la construction est en constante évolution, surtout avec l’arrivée des nouvelles technologies. De nombreux métiers émergent de plus en plus, sans pour autant mettre de côté les postes plus traditionnels comme les maçons ou les carreleurs qui demeurent essentiels au secteur.
Il y a 2 ans et 229 jours

Le nombre d'emplois liés aux énergies renouvelables s'élève à 12,7 millions dans le monde

Selon un nouveau rapport, le nombre d'emplois dans le secteur mondial des énergies renouvelables a atteint 12,7 millions l'an dernier, soit un bond de 700.000 de plus en un an, malgré les effets persistants du COVID-19 et la montée de la crise énergétique.Énergies renouvelables et emploi : Revue annuelle 2022 souligne que la taille du marché national est l'un des facteurs majeurs de la création d'emplois dans les énergies renouvelables, au même titre, entre autres, que le coût de la main-d'œuvre. L'énergie solaire s'avère être le secteur qui connaît la croissance la plus rapide. En 2021, il fournissait 4,3 millions d'emplois, soit plus d'un tiers de la main-d'œuvre mondiale actuelle dans les énergies renouvelables.Le nouveau rapport a été publié par l'Agence internationale pour les énergies renouvelables (IRENA) en collaboration avec l'Organisation internationale du travail (OIT), à l'occasion du Forum mondial d'action pour l'énergie propre de Pittsburgh, aux États-Unis.Face aux préoccupations croissantes que suscitent le changement climatique, la relance après la pandémie du COVID-19 et les perturbations des chaînes d'approvisionnement, les pays manifestent un intérêt de plus en plus marqué pour la décentralisation de ces chaînes d'approvisionnement et la création d'emplois au niveau national. Le rapport décrit à quel point il est essentiel de compter sur des marchés nationaux solides pour ancrer une dynamique d'industrialisation des énergies propres. Le développement des capacités d'exportation de technologies renouvelables en dépend également, ajoute-t-il.Pour Francesco La Camera, Directeur général de l'IRENA : « En dépit des nombreuses difficultés, les emplois dans les énergies renouvelables restent résilients, et il a été prouvé qu'ils constituent un moteur fiable de création d'emplois. Je conseille aux gouvernements du monde entier de mener des politiques industrielles qui encouragent la création d'emplois décents dans le secteur des énergies renouvelables au sein de leurs propres pays. Le fait de stimuler une chaîne de valeur nationale ne permet pas seulement de créer des opportunités commerciales et de nouveaux emplois pour les personnes et les communautés locales. Cela renforce également la fiabilité de la chaîne d'approvisionnement et contribue à une plus grande sécurité énergétique globale. »Le rapport montre qu'un nombre croissant de pays crée des emplois dans les énergies renouvelables, et que près des deux tiers de tous ces emplois se trouvent en Asie. À elle seule, la Chine représente 42% du total mondial, suivie par l'UE et le Brésil (10% chacun), puis les États-Unis d'Amérique et l'Inde (7% chacun).Pour le Directeur général de l'OIT, Guy Ryder : « Au-delà des chiffres, une attention croissante est portée à la qualité des emplois et aux conditions de travail dans les énergies renouvelables, en vue d'assurer un emploi décent et productif. La part croissante de l'emploi des femmes suggère que des politiques et des formations dédiées peuvent considérablement améliorer la participation des femmes dans les professions liées aux énergies renouvelables ainsi que l'inclusion et, en définitive, la réalisation d'une transition juste pour tous. J'encourage gouvernements, organisations de travailleurs et employeurs à rester fermement engagés en faveur d'une transition énergétique durable, indispensable pour l'avenir du travail. »Le rapport met en lumière un certain nombre d'évolutions majeures au niveau régional et national. Ainsi, les pays d'Asie du Sud-Est sont en train de devenir d'importants centres de fabrication photovoltaïque et de gros producteurs de biocarburants. La Chine est le principal fabricant et installateur de panneaux solaires photovoltaïques, et crée un nombre croissant d'emplois dans l'éolien offshore. L'Inde a quant à elle ajouté plus de 10 gigawatts d'énergie solaire photovoltaïque, ce qui a généré de nombreux emplois dans le domaine de l'installation, mais le pays reste fortement dépendant des panneaux importés.L'Europe, qui représente aujourd'hui environ 40% de la production éolienne mondiale et est le plus gros exportateur d'équipements éoliens, tente de reconstituer son industrie de fabrication de panneaux solaires photovoltaïques. Le rôle de l'Afrique est encore limité, mais le rapport souligne qu'il existe des possibilités d'emploi croissantes dans le domaine des énergies renouvelables décentralisées, en particulier pour soutenir le commerce local et l'agriculture, entre autres activités économiques. Sur le continent américain, le Mexique est le premier fournisseur de pales d'éoliennes. Le Brésil, qui reste quant à lui le premier employeur dans le domaine des biocarburants, crée également de nombreux emplois dans les installations éoliennes et solaires photovoltaïques. Les États-Unis d'Amérique commencent à mettre en place une infrastructure industrielle à l'échelle nationale pour leur secteur naissant de l'éolien offshore.Dans le cadre d'une transition juste, le rapport insiste sur le fait que l'expansion des énergies renouvelables doit être soutenue par des mesures politiques globales, dont la formation des travailleurs, afin de garantir des emplois décents, de qualité, bien rémunérés et diversifiés.
Il y a 2 ans et 232 jours

Comment bien choisir son cloueur professionnel ?

Indispensables aux différents travaux du bâtiment, le cloueur est un outil qui permet de fixer différentes structures. Bon nombre de charpentiers ainsi que des professionnels du bâtiment choisissent de l’utiliser en raison de son côté pratique. Voici quelques conseils qui permettent de bien choisir un cloueur professionnel à utiliser pour tous travaux du bâtiment. Déterminer le modèle en fonction de l’utilisation de chacun Il existe en tout 4&nbsp;types de cloueurs professionnels sur le marché. Par conséquent, il est important de connaître le modèle à acheter avant de faire ses courses auprès d’une&nbsp;quincaillerie professionnelle. Pour ce faire, la première étape consiste à déterminer l’utilisation future du cloueur. Certains appareils permettent effectivement de clouer des couvertures ou de faire des travaux de bardages. Ils sont adaptés pour fixer des plaques en bois acier ou des bétons fibrés. Ces équipements conviennent aussi pour poser une isolation extérieure. Ils permettent d’effectuer un tir continu. De cette manière, l’ouvrier peut facilement réaliser des clouages répétitifs et finir son travail assez rapidement. Les cloueurs charpentes sont quant à eux destinés à travailler sur les ossatures en bois. Ils servent également pour différents travaux sur les chantiers de construction. Ces cloueurs s’adaptent effectivement à différents types de surfaces et d’utilisations. En ce qui concerne les travaux de finitions, des cloueurs sont aussi conçus spécifiquement pour cela. Ils permettent ainsi de réaliser la pose de parquets ou de cloisons. Ces équipements conviennent aussi pour les travaux de décorations comme la pose de tissus ou la conception de petits meubles. Choisir parmi 4&nbsp;types de cloueurs Après avoir défini l’utilisation future du cloueur, il est désormais temps de trouver celui qui convient pour les besoins de chacun. Ainsi, le cloueur pneumatique est le plus puissant des 4&nbsp;modèles disponibles sur le marché. Il est donc recommandé pour les travaux de couvertures et peut accueillir des clous de 130&nbsp;mm. Le cloueur pneumatique fonctionne grâce à un système d’air comprimé et permet alors de clouer de manière répétitive. Le cloueur électrique est moins puissant que le modèle pneumatique. Néanmoins, il est plus apprécié en raison de son côté silencieux. En plus, le cloueur électrique est branché sur secteur et peut donc être utilisé de manière illimitée. Il peut être utilisé pour clouer des tissus ainsi que des plinthes avec des clous de moins de 35&nbsp;mm. Le cloueur électrique est aussi un outil d’ébénisterie. Le clouer à batterie est idéal pour avoir plus d’autonomie et plus de liberté dans les mouvements. Il permet d’enfoncer des clous de moins de 60&nbsp;mm. Cet équipement offre ainsi la possibilité aux ouvriers du bâtiment de travailler plus rapidement et en toute sécurité. En plus, certains modèles de cloueurs à batterie angulaires permettent de travailler sur certaines zones difficiles d’accès. Les cloueurs à gaz sont quant à eux les plus performants du marché. Ils se caractérisent par une puissance supérieure à celle des modèles électriques. Les cloueurs à gaz ne sont pas munis de compresseurs et fonctionnent grâce à une technologie de propulsion à gaz. Cet équipement convient pour enfoncer des clous de moins de 90&nbsp;mm. En plus, les cloueurs à gaz sont dotés d’une bonne autonomie permettant ainsi une utilisation prolongée.
Il y a 2 ans et 232 jours

Chez les voisins de la Russie, le lent progrès des énergies renouvelables, selon un rapport

Les 17 pays étudiés, plus le Kosovo, accueillent aujourd'hui un total de 106 gigawatts (GW) de capacités renouvelables, dont 21 GW installés sur la seule période 2017-2021: solaire et éolien en tête, mais aussi hydroélectricité, géothermie, bioénergies, etc., indiquent la Commission économique de l'ONU pour l'Europe (UNECE) et le réseau d'experts REN21.C'est 3,4% du total mondial en 2021 (pour quelque 310 millions d'habitants, environ 4% de la population globale).Progrès "significatif", au moins 15 de ces pays ont adopté des objectifs nationaux, et quatre visent même la neutralité carbone, notent les auteurs du rapport.De 2017 à 2021, c'est l'Ukraine qui a installé le plus de capacités solaires et éoliennes (8,3 GW). Elle se trouvait en 2019 au 17e rang mondial pour les investissements en matière de renouvelables (3,4 milliards de dollars).Le pays est suivi par le Kazakhstan (3,7 GW installés) et la Russie (3,5 GW, 20e rang mondial pour les investissements dans les renouvelables en 2019, avec 2,3 milliards de dollars).Pour autant, ce vaste ensemble reste très dépendant des combustibles fossiles, et aussi d'un nombre limité de fournisseurs, Russie au premier chef.En outre, du fait de l'invasion russe de l'Ukraine, 90% des éoliennes et 30% des panneaux photovoltaïques ukrainiens étaient à l'arrêt en juin, réduisant ainsi fortement la capacité renouvelable de toute la région.Pour les auteurs du rapport, ces régions sont à "un moment critique", l'essor des renouvelables pouvant nourrir flexibilité, indépendance, ou encore dynamiser collectivités et communautés."La croissance des renouvelables jusqu'en 2021 a été tirée par des politiques favorables et la chute des coûts des technologies, mais maintenant c'est une question de sécurité énergétique", souligne Rana Adib, directrice de REN21, pour qui "s'éloigner des ressources fossiles n'a jamais été aussi vital pour la région".Selon elle, "l'invasion de l'Ukraine et ses effets indirects sur les pays voisins affectent la production renouvelable à court terme. En même temps, cela montre les bénéfices d'une transition énergétique rapide, ce qui pourrait générer un bond des installations renouvelables"."Amplifier les investissements dans les renouvelables est crucial pour renforcer la sécurité énergétique et la capacité d'accès à l'énergie, à la lumière des chocs liés au conflit en Ukraine", abonde la secrétaire exécutive de l'UNECE, Olga Algayerova, citée dans un même communiqué.L'efficacité énergétique peut aussi être améliorée, estiment les auteurs du rapport, qui appellent à plus d'investissements, à l'installation de chaînes d'approvisionnement nationales et à la coopération régionale.
Il y a 2 ans et 232 jours

La crise sanitaire a freiné la reconversion des moins qualifiés

Dans une étude publiée lundi, le Céreq note que les salariés les moins qualifiés "formulent plus souvent que les catégories plus qualifiées le souhait de changer de métier", mais "ils accèdent moins à la formation, et ont plus de difficultés à réaliser leur projet de reconversion".La crise sanitaire, de ce point de vue, a agi comme "un catalyseur des freins, déjà connus, à la reconversion". "En renforçant les situations d'incertitude et de liens sociaux distendus, la crise a rendu encore plus difficiles la concrétisation et la réalisation des projets", estime le Céreq.L'étude s'appuie sur les données issues de l'enquête Impact (Impact de la crise sanitaire sur les Mobilités, les Projets, les Aspirations professionnelles, les Compétences et le Travail), réalisée par le Céreq entre mars et mai 2021.Selon elle, 17% des salariés projetaient de changer de métier en 2020-2021, 23% de changer d'entreprise, les deux allant souvent de pair. De plus, 40% des salariés projetaient de se former. Mais "pour près des deux-tiers des salariés ayant un projet plus ou moins défini, la crise a eu des effets, plus souvent négatifs que favorables", constate le Céreq."Entre renoncer et poursuivre coûte que coûte": un volet plus qualitatif de l'enquête a permis d'identifier "quatre situations-types".La crise a pu être un frein à la reconversion, renforçant la primauté donnée à "la sécurité de l'emploi en regard de la réalisation de projets de reconversion professionnelle jugés hasardeux".Elle a pu entraîner un report avec la "mise en attente" du projet "du fait de l'instabilité limitant à court terme les perspectives d'évolution professionnelle".La crise a pu être perçue comme une "opportunité" avec davantage de disponibilité liée au chômage partiel, le temps libre dégagé devenant "un facilitateur d'accès à la formation".Enfin, elle a pu permettre la poursuite du projet : "la période du confinement a été mise à profit pour finaliser la formation", même si "le passage brutal des cours en distanciel a aussi été un facteur de déstabilisation".
Il y a 2 ans et 232 jours

Chauffage, mobilité, électricité, Europe… : les propositions d’Équilibre des Énergies pour le climat

Pour Brice Lalonde, président d’Équilibre des Énergies : « Nous avons à rester concentrés sur notre devoir d'êtres humains : mettre fin à la double malédiction de la guerre et du changement climatique. Les mesures que la guerre nous impose ne doivent pas ralentir ou contrecarrer celles que réclame la protection du climat. En fait, ce sont les mêmes. » La position d’Équilibre des Énergies reste donc centrée sur l’objectif fondamental de décarbonation des activités, principal moyen de faire baisser les émissions de gaz à effet de serre (CO2, méthane etc.). Équilibre des Énergies prône des mesures fortes qui, à court terme, sont de nature à réellement orienter la société française vers une véritable décarbonation de sa consommation tout en sauvegardant l’activité économique et le niveau de vie des Français. L’urgence sociale justifie les aides auprès des plus précaires mais les décisions de soutien à la consommation des produits fossiles ne vont pas dans le bon sens. Le signal prix reste essentiel et une augmentation du pouvoir d’achat pour faire face aux augmentations des prix de l’énergie serait plus efficace et ne fausserait pas les arbitrages en faveur de la décarbonation. Dans la période de crise que nous traversons, l’activité économique doit être soutenue et beaucoup de nos entreprises sont en péril. Équilibre des Énergies soutient les mesures d’urgence proposée par la Commission pour contenir les prix de l’énergie mais craint qu’elles ne soient insuffisantes. Il convient dès que possible de prendre des dispositions qui permettent d’éviter les fluctuations erratiques des prix et de faire en sorte qu’ils soient représentatifs des coûts d’approvisionnement. En parallèle les mutations structurelles telles que celles vers la pompe à chaleur et la mobilité électrique doivent être accélérées.C’est dans ce contexte qu’Équilibre des Énergies présente les cinq grandes priorités pour le climat, qui, selon elle, sont autant de chantiers à mener de front dès aujourd’hui.Les 5 grandes priorités pour le climat selon Équilibre des ÉnergiesEn préambule, s’il est primordial de se fixer des objectifs, Équilibre des Énergies souligne la nécessité de faire preuve d’efficacité et non de volontarisme de papier. Selon l’association, il faut accélérer la sortie des énergies fossiles mais ne pas, à nouveau, resserrer les objectifs déjà irréalistes de réduction des consommations d’énergie fossile qui faussent complétement la lecture des efforts faits par la société française. Sans pour autant s’abstenir de donner un signal fort sur la nécessité de développer tous les moyens pour faire face au défi climatique, il est souhaitable de s’en tenir à des calendriers et à des mesures crédibles. Il est plus contraignant mais plus efficace de se donner des objectifs atteignables que des cibles irréalistes.Les pompes à chaleur (PAC) : Pour le lancement d’un grand plan PAC !Les PAC sont encore trop peu répandues puisque qu’en 2020, seules 7% des résidences principales étaient chauffées en France grâce à des PAC. Or, cet équipement est le premier à pouvoir immédiatement réduire les consommations d’énergie fossile en s’appuyant sur un tissu industriel national. Équilibre des Énergies préconise le lancement d’un grand plan PAC, allant au-delà des objectifs avancés par la Commission européenne et visant à un triplement de son rythme de déploiement. Mais il y a encore des freins économiques et réglementaires à lever et, sur le plan économique, il faut améliorer le dispositif d’aide en élargissant les bénéficiaires et en indexant la prime consentie par MaPrimRénov’ sur le résultat en termes de performance énergétique mesurée par le DPE. Un obstacle réglementaire majeur subsiste avec ce classement qui, établi en énergie primaire, pénalise l’électricité et ne traduit pas l’effet réel des efforts consentis. Il faut que ces critères tiennent compte de l’énergie consommée, seule traduction tangible des changements énergétiques réalisés.La mobilité électrique : le développement des bornes et des infrastructures de recharge et l’élargissement aux poids lourds La migration vers l’électrique ne doit pas être ralentie. Beaucoup d’actions ont été engagées mais d’autres restent à parachever :finaliser le dispositif permettant, enfin, d’équiper les copropriétés en bornes de recharge ;lancer un grand programme d’équipement des voies rapides en infrastructures de recharge au-delà de 2023 et allant jusqu’à 2030 ;soutenir le développement de bornes de recharge pilotables afin de disposer, le moment venu, du moyen de flexibilité dont on aura besoin ;élargir la transition vers l’électrique aux poids lourds, notamment en accélérant l’étude des solutions de recharge en continu (les ERS : Elecric Road Systems).La décarbonation de l’aérien : les SAF, la mise en place d’un nouvel écosystème industrielLes études d’Équilibre des Énergies, comme celle de la profession, le montrent : la décarbonation du secteur aérien est possible mais difficile. Elle implique des efforts à mener dans les trois décennies qui viennent pour parvenir en 2050 à la neutralité climatique du secteur. Ces efforts se répartissent en plusieurs directions, en continuant à augmenter l’efficacité des aéronefs. Mais le défi majeur est incontestablement celui de passer du kérosène fossile à des carburants durables pour l’aviation. Ces carburants, qu’on appelle SAF, sont fabriqués en combinant de l’hydrogène au carbone, l’un et l’autre étant issus de filières neutres en carbone : électricité bas-carbone et carbone issu de la biomasse voire de la récupération directe du CO2 dans l’air. Il faut pour cela identifier et collecter les ressources primaires décarbonées (les feedstocks), mettre en place les filières industrielles, organiser les circuits de distribution et faciliter l’incorporation des SAF au kérosène classique, dans des proportions de plus en plus importantes, sans porter atteinte à la compétitivité des compagnies aériennes. L’Europe s’y attelle mais la France se doit d’être aux avant-postes. C’est une mutation majeure qui doit être menée comme un grand projet industriel.La production d’électricité décarbonée : autant le nucléaire que les énergies renouvelablesLes difficultés actuellement rencontrées montrent que les efforts dans ces deux domaines doivent s’intensifier. Concernant le nucléaire, la remise en production du parc de centrales est une priorité absolue. L’ASN a donné son accord sur les orientations à suivre. Le problème est à présent un défi industriel et, pour y faire face, il faut donner aux entreprises toutes les libertés d’horaires, de rémunération et d’accompagnement pour faire face le plus rapidement possible aux difficultés rencontrées ou qui pourraient surgir. On le fait à juste titre pour les énergies renouvelables dans le cadre du projet de loi qui arrive au Parlement. On doit le faire également pour le nucléaire, nouveau et existant, dans le respect bien sûr des règles de sécurité.C’est à ce prix que notre production d’électricité décarbonée reprendra toute la place qui doit lui revenir et pourra peser sur les coûts globaux d’alimentation énergétique.Les règles européennes de formation du prix des énergies : une réforme de fond est nécessaireLa très forte hausse des prix du gaz naturel, liée notamment au conflit ukrainien, a eu un effet de ricochet considérable sur le marché européen de l’électricité et sur les prix rendus consommateur. La préservation des tarifs réglementés de l’électricité a permis de faire bénéficier les consommateurs domestiques français d’un bouclier tarifaire efficace, mais au prix de surcharges considérables pesant sur l’opérateur historique et sur les finances publiques.Équilibre des Énergies soutient les mesures d’urgence proposées par la Commission européenne pour stabiliser les prix mais craint qu’elles ne soient insuffisantes. Une réforme de fond reste à construire qui passe vraisemblablement par un encadrement du marché de gros de l’électricité et une régulation des prix pratiqués pour tous ceux qui n’y ont pas accès. L’objectif doit être que les prix reflètent les coûts d’approvisionnement, en assurant de façon stable le financement des investissements plus que jamais nécessaires.
Il y a 2 ans et 233 jours

Gaz vert dans le bâtiment, la filière accélère

La place essentielle du gaz dans le mix énergétique françaisLe maintien du gaz dans le mix énergétique français est indispensable pour assurer la sécurité d’approvisionnement et la continuité d’alimentation des clients Le gaz constitue une source de flexibilité et de stockage inatteignable par des moyens électriques seuls. La flexibilité temporelle des infrastructures permet au vecteur gaz de répondre aux besoins de modulations hebdomadaires, mensuels et saisonniers que ne possèdent pas les autres leviers de flexibilité.Avec l’essor des gaz verts, le gaz va contribuer à l’indépendance énergétique de la France. La filière vise une part de 20% de gaz renouvelables produits localement dès 2030 pour atteindre 100% en 2050. Et des gaz renouvelables, il y en a ! En effet, selon Perspectives Gaz 2022*, les gisements potentiels sont de 420 TWh (dont 135 TWh pour la seule méthanisation), ce qui représente un volume supérieur aux prévisions de consommations de gaz en 2050, tous secteurs confondus. Pour Coénove, les gaz renouvelables, seront donc un vecteur indispensable à la réussite de la transition énergétique, notamment dans le bâtiment où la contribution du gaz à la neutralité carbone est accessible si l’on mène à bien trois chantiers :Une baisse de 60% de la diminution des consommations gaz dans le bâtiment par rapport à 2019100 TWh de consommations de gaz renouvelable affectés au bâtiment (résidentiel et tertiaire)100% de gaz renouvelables d’ici à 2050.Les gaz verts, une solution auxquels croient les Français !Selon une étude BVA réalisée en juin 2022 auprès d’un échantillon national représentatif de Français âgés de 18 ans ou plus (2.011 répondants), la notoriété du gaz vert progresse fortement : 84% des personnes interrogées témoignent en avoir entendu parler. La connaissance du gaz vert reste toutefois très partielle : seuls 24% des sondés savent exactement ce dont il s’agit, 23% ignorent qu’il s’agit d’une énergie renouvelable et seulement 50% ont compris qu’il était compatible avec leur équipement actuel.Ainsi, le gaz vert est devenu la 2ème énergie plébiscitée par les Français tout juste derrière l’électricité verte (26% électricité verte, 25% gaz vert). 76% des Français se disent prêt à se chauffage au gaz vert s’ils en avaient la possibilité.Lancement de la mention Gaz vertC’est pour répondre à ce besoin de concret que la filière entière se mobilise et s’engage en lançant la mention gaz vert, centrée dans un premier temps sur le biométhane, d’ores et déjà en développement rapide.Cette mention va se décliner de deux manières : d’une part, par la création d’une étiquette « compatible gaz vert » fournie par chaque fabricant et qui sera apposée par l’installateur ou le mainteneur à l’occasion de la livraison et de la pose d’un nouvel équipement ou au moment de l’entretien. Cette étiquette permettra de rappeler à l’utilisateur que son appareil est bien compatible avec le biométhane.Le QR code associé permettra aux clients de mieux comprendre ce qu’est la méthanisation et découvrir les sites de production de gaz verts proches de chez eux.Deuxième déclinaison : la mention « ACTEUR ENGAGE GAZ VERT » porté par chaque acteur de la filière mobilisé sur le développement des gaz renouvelables afin de mettre en avant cet engagement en fonction de son métier : Installateur Engagé, Promoteur Engagé, Territoire Engagé, …L’association Coénove, propriétaire de la Mention et garante des conditions d’utilisation, assurera son déploiement auprès des différents acteurs concernés.Pour Bernard AULAGNE, Président de Coénove : « Au regard du développement des gaz renouvelables et du potentiel disponible sur notre territoire, le gaz vert a toute sa place dans le bâtiment et dans la stratégie zéro carbone. La « mention gaz vert » est une démarche de l’ensemble d’une filière au profit du déploiement des gaz renouvelables. L’objectif est aussi de permettre aux consommateurs de choisir l’énergie qu’ils souhaitent consommer et de diminuer la dépendance de notre pays à un type unique d’énergie en misant sur plus de pédagogie et de transparence. »*Analyse prospective de l’évolution de la consommation de gaz et de la production de gaz renouvelables et bas-carbone en France en 2030 et 2050 par les gestionnaires de réseaux de gaz (GRTgaz, GRDF, TEREGA et SPEGNN)
Il y a 2 ans et 233 jours

L'exécutif temporise mais veut une réforme des retraites "avant la fin de l'hiver"

Il n'y aura donc pas de passage en force sur ce sujet hautement inflammable, comme cela était redouté au sein même de la majorité alors qu'est organisée jeudi une journée de grèves et de manifestations concernant les salaires mais également les retraites.A l'issue d'un dîner à l'Elysée autour d'Emmanuel Macron mercredi soir réunissant les cadres de la macronie, "le choix du dialogue et de la concertation" a prévalu, a déclaré la Première ministre, en détaillant un calendrier relativement souple, mais aussi cramponné à la promesse présidentielle d'une application de la réforme à l'été 2023.La cheffe du gouvernement souhaite présenter "un bilan" de ces discussions avec les partenaires sociaux et forces politiques "avant Noël", laissant ainsi quasiment trois mois de pourparlers potentiels autour d'une réforme déjà en gestation lors du précédent quinquennat, avant d'être interrompue par la pandémie de Covid-19.Dans cette perspective, Mme Borne a demandé au ministre du Travail Olivier Dussopt "d'engager dès la semaine prochaine" des négociations avec les organisations patronales et syndicales, ainsi qu'avec les "groupes parlementaires" pour discuter carrières longues, pénibilité, usure au travail, ou encore emploi des seniors, régimes spéciaux, et petites retraites."Convergence"Cette décision, qui repose sur une "convergence totale entre les différentes composantes de la majorité", selon Mme Borne, dont l'allié récalcitrant du MoDem, met fin à plusieurs jours d'atermoiements sur la façon d'engager cette réforme des retraites, qui prévoit de reporter progressivement l'âge de départ à 65 ans.Trois pistes étaient en débat: un simple amendement au projet de loi de financement de la Sécurité sociale (PLFSS) examiné en octobre, hypothèse la plus controversée, un PLFSS rectificatif en janvier, et un projet de loi ad hoc.Cette dernière option semble donc privilégiée à ce stade par l'exécutif... à condition de parvenir à ouvrir les concertations, alors que syndicats et une grande partie des oppositions politiques sont vent debout contre le fond même de cette réforme.Un projet de loi dédié présente cependant un risque pour l'exécutif, qui ne dispose que d'une majorité relative à l'Assemblée: il pourrait l'obliger à dégainer l'article 49.3 de la Constitution, qui permet l'adoption d'un texte sans vote sauf motion de censure, mais n'est utilisable qu'une fois par session parlementaire.En revanche le gouvernement peut utiliser le 49.3 à volonté sur les textes budgétaires tels que les PLFSS."On se place dans une hypothèse où l'on peut mener une concertation", a souligné Mme Borne, sans écarter la possibilité d'un amendement au PLFSS."Intimidations"Comme pour faire pression sur LR, favorable à une réforme mais hostile à la voie d'un amendement, tout comme l'allié MoDem, le président Emmanuel Macron n'a pas exclu à ce dîner de dissoudre l'Assemblée nationale si les oppositions "se coalisaient pour adopter une motion de censure et faire tomber le gouvernement", a rapporté M. Dussopt.Un cadre de la majorité proche du Modem a jugé "positive" la relance des discussions.Pour Olivier Marleix, chef de file des députés LR, relancer des concertations est "un progrès" mais "il ne peut pas y avoir de réforme sans un minimum de confiance" et il est "hors de question de donner un chèque en blanc".Sur la menace d'une dissolution pour éviter la "chienlit", selon des propos rapportés d'Emmanuel Macron, il a estimé que "celui qui met le feu aux poudres en disant +on va faire la réforme en trois jours+ c'est lui".Signe d'ouverture, le président du Sénat Gérard Larcher (LR) a jugé cette réforme "indispensable", et estimé que "l'inspiration (de l'exécutif) n'est pas très éloignée de celle" du Sénat, dominé par la droite, qui chaque année dépose un amendement réformant les retraites."Chiche" à la dissolution, a lancé Marine Le Pen, à la tête d'un groupe inédit de 89 députés."Sa petite entreprise (à Marine Le Pen) se nourrit du blocage. Nous, nous faisons le pari du meilleur : la concertation pour avancer", a rétorqué le ministre des Relations avec le parlement Franck Riester, qui participera aux concertations politiques."Nous ne céderons pas aux intimidations puériles", a réagi à gauche le patron du PS Olivier Faure."C'est moins pire qu'un amendement, (..) mais trois mois, c'est court, on va se battre, projet contre projet", a prévenu le patron du PCF Fabien Roussel. "Ce gouvernement minoritaire (...) veut attaquer les travailleurs", a réagi le député LFI Alexis Corbière.Le patron des patrons Geoffroy Roux de Bézieux a lui jugé "raisonnable" la concertation prévue, à laquelle le Medef "évidemment" participera.
Il y a 2 ans et 234 jours

Equipements de protection et de sécurité : comment bien choisir ?

Beaucoup de métiers exigent de porter des équipements de protection. L’objectif est simple : se protéger du froid, des projections et autres salissures. En d’autres termes, assurer sa sécurité pour travailler confortablement jour après jour. L’article qui suit donne quelques conseils pour bien choisir ses équipements de protection et de sécurité. Choisir ses équipements de protection et de sécurité en fonction de l’activité professionnelle exercée Les équipements dont les équipes de travail ont besoin pour exercer leur métier dépendent en premier lieu du domaine professionnel concerné. A titre d’exemple, sur les gros chantiers de construction ou en lien avec les travaux public, les travailleurs vont avoir besoin des éléments suivants : Un pantalon et une veste de travailDes chaussures de sécuritéUn casque anti-chocDes lunettes de protectionDes gants de protectionUn casque anti-bruit, etc S’ajoutent à cela des éléments tels qu’un gilet de signalisation pour les travaux sur la voie publique ou bien encore un harnais de sécurité pour les personnes amenées à travailler en hauteur, etc. Pour les mécaniciens et les carrossiers, il est indispensable de s’équiper d’une combinaison de travail ou bien d’un t-shirt et d’un pantalon de travail, de gants, de chaussures de sécurité et de lunettes de travail. D’autres métiers nécessitent des équipements plus particuliers. Citons les personnes exposées à des produits chimiques ou des substances radioactives. Elles doivent impérativement porter une combinaison de protection spécifique recouvrant tout le corps et un masque. N’oublions pas non plus les personnes qui travaillent dans les cantines collectives ou les centres de préparation et de cuisson de repas. Elles ont pour leur part besoin d’une blouse, de charlottes jetables et de surchaussures jetables. Au moment de choisir, les professionnels qui font le choix d’un&nbsp;équipement de protection Berner&nbsp;s’assurent de se tourner vers des produits fiables, solides et qui répondent aux normes, ce dernier étant un critère à bien prendre en compte au moment de choisir ses équipements de protection et de sécurité. Veiller au respect des normes pour les équipements de protection et de sécurité On le sait, les équipements de protection et de sécurité visent à protéger les travailleurs d’une multitude de désagréments pouvant être rencontrés au cours de l’activité professionnelle : projections, chocs, salissures, bruits ou exposition à des produits dangereux. Cependant, tous les produits proposés sur le marché ne se valent pas. L’un des critères à bien regarder au moment de s’équiper est le respect des normes de sécurité. L’avantage avec les produits du groupe Berner, c’est qu’ils respectent parfaitement ces normes essentielles. Citons par exemple : La norme EN 166 qui s’appliquent à la protection des yeux pour les lunettesLa norme EN 352-1 en lien avec la protection contre le bruit pour les casques Ne pas négliger les équipements de premiers secours Que l’on travaille sur un chantier, dans un garage automobile ou au sein d’une usine, les professionnels doivent s’équiper d’une trousse de premiers secours afin de faire face aux blessures les plus superficielles. La trousse ou mallette de secours doit contenir au minimum des pansements, une solution désinfectante, des compresses de gaze, une paire de ciseaux, une pochette de glace, du tulle gras et une couverture isothermique. Avec Berner, les professionnels retrouvent l’ensemble des équipements de protection et de sécurité dont ils sont amenés à avoir besoin pour travailler dans des conditions optimales. Les commandes se font directement sur le site internet et la livraison se fait sur le lieu choisi.
Il y a 2 ans et 234 jours

Mise à jour de la directive européenne « eau potable » 2020/2184

La mise à jour de la directive européenne relative à la qualité des eaux destinées à la consommation humaine (EDCH) a été publiée le 23 décembre 2020. Elle introduit notamment de nouveaux paramètres de qualité des EDCH, permettant ainsi une meilleure protection de la santé des consommateurs. Elle prévoit également le renforcement des exigences sur les matériaux au contact de l'eau. En conséquence, plusieurs arrêtés concernant la sécurité sanitaire de l'eau au regard des légionelles et du plomb dans les bâtiments, ainsi que l'obligation réglementaire de réaliser une analyse des risques liés aux installations privées de distribution d'EDCH, seront publiés début&nbsp;2023. Une conséquence majeure est la modification du système d'Attestation de Conformité Sanitaire (ACS) qui évalue l'aptitude d'un produit à entrer en contact avec les EDCH pour sa mise sur le marché, laquelle passe d'un système d'essais de type initiaux à une certification. Pratiquant les audits depuis plusieurs décennies dans le domaine des réseaux de distribution d'EDCH intérieurs, le CSTB maîtrise l'ensemble du processus de certification de niveau 1+ exigé par la directive. Il s'organise donc pour être en mesure d'élargir le périmètre de ses inspections en usine et d'intégrer ces nouvelles dispositions sanitaires sur les matériaux afin de proposer un accompagnement global à ses partenaires industriels. Mise en place d'une vérification des dispositifs antipollution sur les réseaux d'eau potable Un nouvel arrêté daté du 10 septembre 2021 définit les exigences en matière de protection des réseaux d'adduction et de distribution d'eau destinée à la consommation humaine contre les pollutions par «&nbsp;retour d'eau&nbsp;». Phénomène dû à l'inversion du sens de circulation de l'eau dans un réseau d'eau causée par un siphonnage (rupture de canalisation, puisage important...) ou par un refoulement (mise sous pression d'une installation interne par exemple), le retour d'eau constitue un risque sanitaire majeur pour les usagers. L'eau provenant d'un réseau «&nbsp;contaminé&nbsp;» peut en effet polluer un réseau destiné à la consommation humaine et provoquer des intoxications. Il est donc essentiel que chaque équipement raccordé au réseau d'eau potable comporte un dispositif de protection anti-retour&nbsp;: machine à laver, lave-vaisselle, poste de nettoyage de voiture, abattant W.-C. équipé de jet... L'arrêté du 10 septembre 2021, dont les dispositions entreront en vigueur à compter du 1er janvier 2023, définit les opérations de vérification des équipements permettant de s'assurer du bon état de fonctionnement de ces dispositifs antipollution. Les produits standards peuvent déjà faire l'objet de la certification NF&nbsp;045 pour justifier de leur conformité à cet arrêté. Le CSTB a complété son offre de services pour les produits non standards en développant l'Avis de Conformité Sanitaire Équipement (ACSE). Basé sur les exigences de la norme NF EN 1717, ce marquage atteste, après analyse par un groupe d'experts, que l'équipement satisfait aux exigences de la réglementation relative à la protection du réseau d'eau potable. En savoir plus&nbsp;: Règles d'attribution d'un Avis de Conformité Sanitaire Équipement (ACSE) Solutions & Performances -&nbsp;Numéro&nbsp;9&nbsp;: «&nbsp;Plomberie&nbsp;» Le numéro 9 de Solutions & Performances est consacré à la plomberie et à la robinetterie sanitaire, un secteur qui s'ouvre de plus en plus à l'éco-conception. PDF&nbsp;1.07&nbsp;Mo Consultez les éditions précédentes Inscrivez-vous&nbsp;!
Il y a 2 ans et 234 jours

Mise à jour de la directive européenne « eau potable » 2020/2184

La mise à jour de la directive européenne relative à la qualité des eaux destinées à la consommation humaine (EDCH) a été publiée le 23 décembre 2020. Elle introduit notamment de nouveaux paramètres de qualité des EDCH, permettant ainsi une meilleure protection de la santé des consommateurs. Elle prévoit également le renforcement des exigences sur les matériaux au contact de l'eau. En conséquence, plusieurs arrêtés concernant la sécurité sanitaire de l'eau au regard des légionelles et du plomb dans les bâtiments, ainsi que l'obligation réglementaire de réaliser une analyse des risques liés aux installations privées de distribution d'EDCH, seront publiés début&nbsp;2023. Une conséquence majeure est la modification du système d'Attestation de Conformité Sanitaire (ACS) qui évalue l'aptitude d'un produit à entrer en contact avec les EDCH pour sa mise sur le marché, laquelle passe d'un système d'essais de type initiaux à une certification. Pratiquant les audits depuis plusieurs décennies dans le domaine des réseaux de distribution d'EDCH intérieurs, le CSTB maîtrise l'ensemble du processus de certification de niveau 1+ exigé par la directive. Il s'organise donc pour être en mesure d'élargir le périmètre de ses inspections en usine et d'intégrer ces nouvelles dispositions sanitaires sur les matériaux afin de proposer un accompagnement global à ses partenaires industriels. Mise en place d'une vérification des dispositifs antipollution sur les réseaux d'eau potable Un nouvel arrêté daté du 10 septembre 2021 définit les exigences en matière de protection des réseaux d'adduction et de distribution d'eau destinée à la consommation humaine contre les pollutions par «&nbsp;retour d'eau&nbsp;». Phénomène dû à l'inversion du sens de circulation de l'eau dans un réseau d'eau causée par un siphonnage (rupture de canalisation, puisage important...) ou par un refoulement (mise sous pression d'une installation interne par exemple), le retour d'eau constitue un risque sanitaire majeur pour les usagers. L'eau provenant d'un réseau «&nbsp;contaminé&nbsp;» peut en effet polluer un réseau destiné à la consommation humaine et provoquer des intoxications. Il est donc essentiel que chaque équipement raccordé au réseau d'eau potable comporte un dispositif de protection anti-retour&nbsp;: machine à laver, lave-vaisselle, poste de nettoyage de voiture, abattant W.-C. équipé de jet... L'arrêté du 10 septembre 2021, dont les dispositions entreront en vigueur à compter du 1er janvier 2023, définit les opérations de vérification des équipements permettant de s'assurer du bon état de fonctionnement de ces dispositifs antipollution. Les produits standards peuvent déjà faire l'objet de la certification NF&nbsp;045 pour justifier de leur conformité à cet arrêté. Le CSTB a complété son offre de services pour les produits non standards en développant l'Avis de Conformité Sanitaire Équipement (ACSE). Basé sur les exigences de la norme NF EN 1717, ce marquage atteste, après analyse par un groupe d'experts, que l'équipement satisfait aux exigences de la réglementation relative à la protection du réseau d'eau potable. En savoir plus&nbsp;: Règles d'attribution d'un Avis de Conformité Sanitaire Équipement (ACSE) Solutions & Performances -&nbsp;Numéro&nbsp;9&nbsp;: «&nbsp;Plomberie&nbsp;» Le numéro 9 de Solutions & Performances est consacré à la plomberie et à la robinetterie sanitaire, un secteur qui s'ouvre de plus en plus à l'éco-conception. PDF&nbsp;1.07&nbsp;Mo Consultez les éditions précédentes Inscrivez-vous&nbsp;!
Il y a 2 ans et 234 jours

Première mondiale : la signature électronique sécurisée, gratuite et accessible à tous

Aujourd’hui, avec la généralisation du télétravail et la transformation numérique de tous les pans de la société, la signature électronique s’est considérablement répandue et démocratisée. Mais de nombreuses personnes, entreprises et organisations n’ont toujours pas accès à un tel outil, souvent par manque d’information ou de moyens. Lex Community est justement né du désir de rendre la signature électronique accessible au plus grand nombre.Lex Community est un portail grand public destiné aux TPE, professions libérales et règlementées, indépendants, particuliers et associations qui ont besoin de signer et faire signer tout type de document (contrat, bail, devis, bon de commande, attestation, procès-verbal, état des lieux, etc.) avec tous les bénéfices de la dématérialisation à valeur probatoire : suppression des coûts d’impression et d’expédition, instantanéité d’Internet, sécurité technique, valeur juridique et conformité règlementaire.La plateforme de signature électronique Lex Community est entièrement gratuite. Pour l’utiliser, il suffit de créer un compte en renseignant vos prénom, nom et adresse de messagerie, ainsi qu'un mot de passe. Votre compte ne se clôture pas après 14 jours d’essai gratuit, et n’est pas transféré vers une version payante. Vous avez accès à votre compte en illimité. Et afin de respecter votre vie privée, aucune de vos informations ne sera utilisée à des fins marketing.FranceConnect, l’agrégateur d’identités numériques créé par l’Etat, a par ailleurs été intégré à Lex Community et permet de vérifier facilement l’identité du signataire. Ainsi, tout utilisateur possédant un compte impots.gouv.fr, Ameli, MSA (Mutualité Sociale Agricole), une identité numérique de La Poste ou Mobile Connect et Moi, aura la possibilité de s’authentifier et de signer les documents qui lui seront soumis sur Lex Community. La plateforme permet également au signataire de s’authentifier par mail ou SMS.Pour découvrir Lex Community et adopter la signature électronique, rendez-vous sur www.lex.community
Il y a 2 ans et 234 jours

Nouveau catalogue de marques Mewa (2022/2023) pour les EPI

&nbsp;Lundi 19 septembre 2022&nbsp; Le nouveau catalogue Mewa, dédié aux EPI (Equipements de Protection Individuelle), est arrivé ! Près de 316 pages proposent aux professionnels plus de 10 000 produits pour le travail en atelier et en entreprise, comme des équipements de protection, des vêtements de sécurité, des polos ou encore des chemises sportives. L’offre [&hellip;]
Il y a 2 ans et 234 jours

L'incendie d'un restaurant en Chine fait 17 morts

Le feu a pris peu avant 12H40 locale (04H40 GMT) dans un établissement situé dans la grande ville de Changchun, capitale de la province du Jilin, a indiqué le gouvernement local sur le réseau social Weibo.Des vidéos diffusées sur les réseaux sociaux par les médias chinois montraient des flammes faisant rage au rez-de-chaussée d'un bâtiment et une dense fumée grise s'échappant par les portes et les fenêtres."Les pompiers se sont immédiatement rendus sur les lieux" et les opérations de secours étaient terminées vers 15H00, indique le communiqué des autorités. "Les blessés ont été envoyés à l'hôpital et les démarches relatives aux personnes décédées ont débuté."Selon le communiqué, une enquête a été lancée pour déterminer les causes du drame et un ou des représentants du restaurant sont actuellement entendus par la police.Si la sensibilisation à la lutte anti-incendie et les normes de sécurité ont progressé en Chine ces dernières décennies, des feux de bâtiments surviennent encore régulièrement.Mi-septembre, un spectaculaire incendie avait dévasté un gratte-ciel de 218 mètres de haut à Changsha (centre de la Chine). Le sinistre n'avait toutefois fait aucune victime, selon les pompiers.En juin 2021, dans la province du Henan (centre), l'incendie d'une école d'arts martiaux avait fait 18 morts, pour la plupart des élèves âgés de sept à 16 ans.En 2017, deux incendies avaient tué plus d'une vingtaine de personnes dans des quartiers de Pékin habités par des travailleurs migrants venus d'autres provinces.En 2010, les flammes avait ravagé un immeuble résidentiel de 28 étages à Shanghai, tuant 58 personnes.
Il y a 2 ans et 234 jours

Dussopt prêt à durcir l'accès à l'indemnisation du chômage pour "abandon de poste"

"Il y a une faille: un salarié qui procède à un abandon de poste a accès à des conditions d'indemnisation plus favorables qu'un salarié qui démissionne", a relevé le ministre devant la commission des Affaires sociales de l'Assemblée qui examine son projet de loi sur l'assurance chômage."Nous sommes ouverts à ce que ces conditions soient alignées", a-t-il ajouté, alors qu'un amendement LR a été déposé dans ce sens, tout en veillant "à ce que les salariés qui abandonnent leur poste pour des raisons de sécurité ne soient pas pénalisés".L'assurance chômage est en principe réservée aux personnes qui sont privées involontairement d'emploi. Pour les démissionnaires, il y a quelques exceptions limitées. Parmi elles, le fait de suivre un conjoint a concerné 14.000 cas en 2021 selon l'Unédic. Depuis 2019, la possibilité est également ouverte une fois tous les 5 ans à ceux qui ont un projet professionnel (12.000 cas en 2021).Mais un licenciement pour abandon de poste constitue un licenciement pour faute et ne prive pas le licencié de son droit à bénéficier de l'assurance chômage, bien que l'abandon de poste soit "volontaire".Cependant, s'il est licencié pour faute grave, le salarié ne percevra pas d'indemnité de licenciement ni d'indemnité compensatrice de préavis et congés payés.Il n'existe pas de statistiques sur ces abandons de postes mais les députés LR assurent dans leur amendement que "c'est un phénomène de plus en palpable par les milieux professionnels"."Le salarié qui veut quitter son emploi (...) pour se retirer du marché du travail tout en ayant pour objectif de conserver un revenu ne va pas démissionner mais simplement ne plus revenir au travail afin que l'employeur, de guerre lasse, procède à son licenciement", avancent-ils."Alors que le démissionnaire est tenu par un préavis qui permet à l'employeur de s'organiser, l'employé fantôme, en abandonnant son poste du jour au lendemain, perturbe le bon fonctionnement de l'entreprise", ajoutent-ils.Pour lutter contre les tensions de recrutement, M. Dussopt s'est en revanche montré plus réservé sur la volonté de certains députés de durcir l'accès au chômage pour un CDD refusant un CDI.Le ministre a rappelé que lorsqu'un salarié refuse un CDI proposé dans les mêmes conditions que son CDD, alors la prime de précarité de 10% n'est pas due par l'employeur, une disposition méconnue selon lui.
Il y a 2 ans et 235 jours

AGC Glass Europe annonce une nouvelle gamme de verres float à empreinte carbone réduite

Cette amélioration permettra à AGC – l’un des plus grands producteurs de verre plat au monde – de réduire de plus de 40 %[1] les émissions de carbone du processus de production de ce verre float. Pour parvenir à une production de verre carboneutre d’ici 2050, tous les éléments de la chaîne de valeur sont à prendre en considération : la décarbonisation du processus de production du verre proprement dit, mais aussi l’élimination des émissions de CO2 en amont, dans la chaîne d’approvisionnement, ainsi que des autres émissions indirectes. S’attaquant à l’ensemble des émissions dans la chaîne de valeur, AGC est aujourd’hui en mesure d’annoncer une première grande avancée sur son trajet vers la neutralité carbone grâce au lancement, fin 2022, d’une nouvelle gamme de verres float à moindre empreinte carbone. Une approche holistique pour la production de verre bas carboneAGC adopte une approche holistique de la durabilité pour produire du verre bas carbone :Approvisionnement durable en matières premièresUtilisation de fours de fusion à haute efficacitéUsage accru du groisil (verre recyclé)Recours aux énergies vertesOptimisation du transport entre les sites du Groupe pour les traitements de finition Optimisation du transport des produits finisApplication de l’approche holistique pour une première production bas carbone à MoustierL’usine de production d’AGC Glass Europe à Moustier en Belgique sera le premier site AGC à produire du verre bas carbone, après avoir opéré une conversion réussie en vue de répondre aux conditions rigoureuses qui sont nécessaires pour cela. De plus, la localisation de l’usine de Moustier la met en situation idéale pour un approvisionnement en matières premières durables et constitue un atout stratégique pour assurer une livraison aux clients dans des conditions optimales de durabilité. 1. Approvisionnement durable en matières premièresMoustier, l’usine historique de production de verre float d’AGC en Europe continentale, bénéficie notamment de la disponibilité locale d’un sable très pur, ne nécessitant qu’un traitement léger avant de pouvoir être utilisé pour la production de verre float. Depuis plusieurs années, 75 % de ses matières premières – non seulement le sable, mais aussi d’autres matières premières – sont transportées par péniches jusqu’à l’usine située le long de la rivière de la Sambre pour y être déchargées sur le site même. Le carbonate de sodium est une matière première essentielle pour la fabrication du verre en raison de sa capacité à réduire la température de fusion de l’ingrédient principal, le sable. L’empreinte CO2 du carbonate de sodium varie considérablement selon le procédé utilisé pour sa production. Pour la fabrication de verre bas carbone, l’usine de Moustier aura recours à du carbonate de sodium ayant une faible empreinte carbone.2. Utilisation de fours de fusion à haute efficacité L’un des fours de Moustier tire déjà parti d’améliorations apportées lors d’une récente réparation à froid (les fours de fusion font l’objet d’une révision générale tous les 15 à 18 ans), par l’intégration de nouvelles technologies telles que l’électro-boosting, qui recourt à l’énergie électrique pour la fusion du sable et permet ainsi de réduire la dépendance vis-à-vis du gaz naturel importé. Ce processus de production novateur représente un important pas en avant sur la feuille de route vers la neutralité carbone à l’échelle de l’entreprise.3. Usage accru du groisil (verre recyclé)Implantée dans une région comptant un grand nombre de transformateurs, de clients de longue date et de filiales du Groupe, l’usine de Moustier tire parti depuis de nombreuses années de différentes solutions de recyclage pour accroître la quantité de groisil utilisée dans la production de son verre. Pour ce nouveau verre float à moindre empreinte carbone, de nouvelles sources de groisil permettront d’augmenter de plus de 50 %[2] la quantité de verre recyclé en production.4. Recours aux énergies vertesAGC compte accroître au maximum sa propre production d’électricité. En Belgique, le pays d’origine du Groupe, celle-ci a pu réduire considérablement son empreinte carbone grâce à la présence de panneaux photovoltaïques sur tous les toits de ses usines de production, sites administratifs et bureaux. AGC dispose même de sa propre éolienne sur son site de Seneffe, à quelques kilomètres de Moustier.L’usine de Moustier bénéficiera d’un nouvel apport d’électricité renouvelable fourni grâce à des installations sur site et hors site (dont une installation de cogénération (production combinée de chaleur et d’électricité ou PCCE) et des panneaux solaires).5. Optimisation du transport entre les sites du Groupe pour les traitements de finition La logistique fait elle aussi partie intégrante de la stratégie holistique d’AGC. Afin de favoriser autant que possible les synergies entre production et finition de façon à réduire les opérations de transport et les émissions de CO2, l’assemblage en verre feuilleté pour la fabrication du verre de sécurité est réalisé sur le site de Moustier même, l’application des couches étant réalisée dans l’usine spécialisée de Lodelinsart située à 25 km à peine.6. Optimisation du transport des produits finisLa situation stratégique de l’usine de Moustier lui vaut des distances de transport optimales pour la livraison des produits finis. Les régions environnantes – le nord de la France, les pays du Benelux et l’ouest de l’Allemagne constituent des territoires densément peuplés, totalisant des millions de clients se trouvant dans un rayon de moins de 250 km.Le verre bas carbone se prête à de multiples possibilités de transformationD’ici la fin 2022, le Groupe lancera sa nouvelle gamme de produits verriers float bas carbone, basés sur du verre float clair dont l’empreinte carbone a pu être réduite de plus de 40 % (par comparaison avec la valeur de référence d’AGC Glass Europe), à moins de 7 kg de CO2 par m2 pour le verre clair (épaisseur 4 mm). Ce verre float bas carbone sera utilisé dans les principales gammes de vitrages fonctionnels d’AGC :verre de sécurité : gammes Stratobel et Stratophoneverre pour l’isolation thermique : gamme iplusverre de contrôle solaire : gammes Stopray, ipasol et EnergyCes nouveaux verres bas carbone offriront le même aspect, la même qualité et les mêmes performances techniques que les verres float classiques d’AGC. AGC compte généraliser l’expérience acquise à Moustier en étendant progressivement sa stratégie bas carbone à d’autres sites, à commencer par l’usine de Seingbouse en France début 2023. Davide Cappellino, Président de la division Architectural Glass Europe and Americas d’AGC, conclut : « Notre première gamme de verres bas carbone constitue un jalon important sur le trajet de décarbonisation d’AGC. Nous sommes très heureux de proposer à nos clients un verre qui, de l’extraction des matières premières à l’installation finale, génère environ 40 % de CO² en moins que notre verre standard. C’est une réduction significative, et un grand pas en avant vers la neutralité carbone dans le secteur de la construction. »[1] Par comparaison avec la référence AGC Glass Europe : FDES du Planibel dans la base de données INIES[2] La quantité totale de groisil ajoutée dans le four float pour la production de verre clair est généralement d’environ 20 %.
Il y a 2 ans et 235 jours

AGC Glass Europe annonce une nouvelle gamme de verres float à empreinte carbone réduite

Cette amélioration permettra à AGC – l’un des plus grands producteurs de verre plat au monde – de réduire de plus de 40 %[1] les émissions de carbone du processus de production de ce verre float. Pour parvenir à une production de verre carboneutre d’ici 2050, tous les éléments de la chaîne de valeur sont à prendre en considération : la décarbonisation du processus de production du verre proprement dit, mais aussi l’élimination des émissions de CO2 en amont, dans la chaîne d’approvisionnement, ainsi que des autres émissions indirectes. S’attaquant à l’ensemble des émissions dans la chaîne de valeur, AGC est aujourd’hui en mesure d’annoncer une première grande avancée sur son trajet vers la neutralité carbone grâce au lancement, fin 2022, d’une nouvelle gamme de verres float à moindre empreinte carbone. Une approche holistique pour la production de verre bas carboneAGC adopte une approche holistique de la durabilité pour produire du verre bas carbone :Approvisionnement durable en matières premièresUtilisation de fours de fusion à haute efficacitéUsage accru du groisil (verre recyclé)Recours aux énergies vertesOptimisation du transport entre les sites du Groupe pour les traitements de finition Optimisation du transport des produits finisApplication de l’approche holistique pour une première production bas carbone à MoustierL’usine de production d’AGC Glass Europe à Moustier en Belgique sera le premier site AGC à produire du verre bas carbone, après avoir opéré une conversion réussie en vue de répondre aux conditions rigoureuses qui sont nécessaires pour cela. De plus, la localisation de l’usine de Moustier la met en situation idéale pour un approvisionnement en matières premières durables et constitue un atout stratégique pour assurer une livraison aux clients dans des conditions optimales de durabilité. 1. Approvisionnement durable en matières premièresMoustier, l’usine historique de production de verre float d’AGC en Europe continentale, bénéficie notamment de la disponibilité locale d’un sable très pur, ne nécessitant qu’un traitement léger avant de pouvoir être utilisé pour la production de verre float. Depuis plusieurs années, 75 % de ses matières premières – non seulement le sable, mais aussi d’autres matières premières – sont transportées par péniches jusqu’à l’usine située le long de la rivière de la Sambre pour y être déchargées sur le site même. Le carbonate de sodium est une matière première essentielle pour la fabrication du verre en raison de sa capacité à réduire la température de fusion de l’ingrédient principal, le sable. L’empreinte CO2 du carbonate de sodium varie considérablement selon le procédé utilisé pour sa production. Pour la fabrication de verre bas carbone, l’usine de Moustier aura recours à du carbonate de sodium ayant une faible empreinte carbone.2. Utilisation de fours de fusion à haute efficacité L’un des fours de Moustier tire déjà parti d’améliorations apportées lors d’une récente réparation à froid (les fours de fusion font l’objet d’une révision générale tous les 15 à 18 ans), par l’intégration de nouvelles technologies telles que l’électro-boosting, qui recourt à l’énergie électrique pour la fusion du sable et permet ainsi de réduire la dépendance vis-à-vis du gaz naturel importé. Ce processus de production novateur représente un important pas en avant sur la feuille de route vers la neutralité carbone à l’échelle de l’entreprise.3. Usage accru du groisil (verre recyclé)Implantée dans une région comptant un grand nombre de transformateurs, de clients de longue date et de filiales du Groupe, l’usine de Moustier tire parti depuis de nombreuses années de différentes solutions de recyclage pour accroître la quantité de groisil utilisée dans la production de son verre. Pour ce nouveau verre float à moindre empreinte carbone, de nouvelles sources de groisil permettront d’augmenter de plus de 50 %[2] la quantité de verre recyclé en production.4. Recours aux énergies vertesAGC compte accroître au maximum sa propre production d’électricité. En Belgique, le pays d’origine du Groupe, celle-ci a pu réduire considérablement son empreinte carbone grâce à la présence de panneaux photovoltaïques sur tous les toits de ses usines de production, sites administratifs et bureaux. AGC dispose même de sa propre éolienne sur son site de Seneffe, à quelques kilomètres de Moustier.L’usine de Moustier bénéficiera d’un nouvel apport d’électricité renouvelable fourni grâce à des installations sur site et hors site (dont une installation de cogénération (production combinée de chaleur et d’électricité ou PCCE) et des panneaux solaires).5. Optimisation du transport entre les sites du Groupe pour les traitements de finition La logistique fait elle aussi partie intégrante de la stratégie holistique d’AGC. Afin de favoriser autant que possible les synergies entre production et finition de façon à réduire les opérations de transport et les émissions de CO2, l’assemblage en verre feuilleté pour la fabrication du verre de sécurité est réalisé sur le site de Moustier même, l’application des couches étant réalisée dans l’usine spécialisée de Lodelinsart située à 25 km à peine.6. Optimisation du transport des produits finisLa situation stratégique de l’usine de Moustier lui vaut des distances de transport optimales pour la livraison des produits finis. Les régions environnantes – le nord de la France, les pays du Benelux et l’ouest de l’Allemagne constituent des territoires densément peuplés, totalisant des millions de clients se trouvant dans un rayon de moins de 250 km.Le verre bas carbone se prête à de multiples possibilités de transformationD’ici la fin 2022, le Groupe lancera sa nouvelle gamme de produits verriers float bas carbone, basés sur du verre float clair dont l’empreinte carbone a pu être réduite de plus de 40 % (par comparaison avec la valeur de référence d’AGC Glass Europe), à moins de 7 kg de CO2 par m2 pour le verre clair (épaisseur 4 mm). Ce verre float bas carbone sera utilisé dans les principales gammes de vitrages fonctionnels d’AGC :verre de sécurité : gammes Stratobel et Stratophoneverre pour l’isolation thermique : gamme iplusverre de contrôle solaire : gammes Stopray, ipasol et EnergyCes nouveaux verres bas carbone offriront le même aspect, la même qualité et les mêmes performances techniques que les verres float classiques d’AGC. AGC compte généraliser l’expérience acquise à Moustier en étendant progressivement sa stratégie bas carbone à d’autres sites, à commencer par l’usine de Seingbouse en France début 2023. Davide Cappellino, Président de la division Architectural Glass Europe and Americas d’AGC, conclut : « Notre première gamme de verres bas carbone constitue un jalon important sur le trajet de décarbonisation d’AGC. Nous sommes très heureux de proposer à nos clients un verre qui, de l’extraction des matières premières à l’installation finale, génère environ 40 % de CO² en moins que notre verre standard. C’est une réduction significative, et un grand pas en avant vers la neutralité carbone dans le secteur de la construction. »[1] Par comparaison avec la référence AGC Glass Europe : FDES du Planibel dans la base de données INIES[2] La quantité totale de groisil ajoutée dans le four float pour la production de verre clair est généralement d’environ 20 %.
Il y a 2 ans et 235 jours

Grande restauration simultanée de 22 tableaux de Notre-Dame de Paris

22 des 25 tableaux de Notre-Dame de Paris, dont 13 Mays, sont entrés en restauration en octobre 2021 pour deux ans. En plus d’être des toiles de grands maîtres, ils sont pour la plupart des tableaux de grande taille allant jusqu’à 4,5 m de haut et 3,5 m de large. Dès le 15 avril 2019, deux tableaux ont été évacués vers le musée du Louvre, La Nativité de la Vierge des frères Le Nain et La Vierge de Pitié de Lubin Baugin. Le 16 avril 2019, trois petits tableaux accrochés dans le trésor ont été évacués vers le musée du Louvre qui représentent le Chanoine de La Porte, le Chanoine Guillot et le Cardinal de Noailles. Ces œuvre sont en bon état et ne nécessitent pas de restauration. Le 19 avril 2019, 15 autres tableaux ont été sortis, ceux de Baugin, Blanchard, Bourdon, Chéron, Élias, Francken, La Hyre, Le Brun, Loir, Poërson, Testelin, Vien et Vouet. 3 tableaux de Carrache, Jeaurat et Van Loo quittent la cathédrale le 24 avril. Enfin, les 2 dernières œuvres, de Reni et La Hyre, difficilement accessibles, sont évacuées en août 2020. Tous les tableaux ont été dépoussiérés face et revers et ont bénéficié chacun d’un constat d’état. Le Centre de recherche et de restauration des musées de France (C2RMF) est venu en appui de la DRAC pour organiser l’évacuation et la conservation des tableaux. Il a notamment mis en œuvre les opérations de dépoussiérage (face et revers) et de constats d&#8217;état détaillés effectués par des restaurateurs. Cette restauration exceptionnelle, minutieuse et scientifique est rendue nécessaire par le vieillissement naturel des matériaux et non en raison de l’incendie, qui n’a, heureusement, pas détérioré les tableaux. Les techniques de restauration anciennes ont permis une bonne conservation des œuvres dans le temps. La restauration des tableaux s’effectue en 4 étapes dans des ateliers conçus spécifiquement, celle-ci terminée, les tableaux sont remontés avec leur cadre et entreposés dans la réserve en attente d’être raccrochés dans la cathédrale de Notre-Dame de Paris, quand les conditions le permettront. À l’issue de cet examens, des tests de restauration sont réalisés sur les tableaux, et une commission scientifique se réunit pour valider les proposition d’intervention. Les œuvres entrent alors dans les étapes de restauration à proprement parler. De la dépose à la restauration, en cours, de l’ensemble exceptionnel de 22 tableaux de la cathédrale Notre-Dame de Paris, la CRMH de la DRAC Île-de-France, pilote des opérations, a pu s’appuyer sur l’expertise du Centre de recherche et de restauration des musées de France (C2RMF), service de référence du ministère de la Culture. Pour permettre la restauration simultanée des tableaux, la DRAC a décidé de réaliser l’opération dans un lieu unique permettant d’accueillir ces grands formats. Un site unique, mis à disposition par l’entreprise Bovis Fine Art, situé dans le sud de l’Île-de-France a été choisi. Des travaux d’aménagement de seulement 6 semaines ont été nécessaires pour concevoir des lieux conformes aux attentes de la DRAC et permettant des conditions de conservation et de sécurité. La campagne de restauration doit durer deux ans, afin que les toiles puissent retrouver la cathédrale pour sa réouverture, en 2024. Photo : Déplacement d&#8217;oeuvre par Bovis Fine Art © DRAC Île-de-France
Il y a 2 ans et 235 jours

Une loi pour pousser solaire et éolien et permettre à la France de rattraper son retard

Le pays a généré en 2021 le quart de son électricité avec des renouvelables, une part plus faible qu'ailleurs en Europe en raison de la forte proportion du nucléaire. Mais la demande en électricité étant appelée à exploser avec l'électrification des transports et de l'industrie, le gouvernement veut accélérer à la fois les renouvelables et le nucléaire.Très attendu et salué par le secteur énergétique, le projet de loi ne suffira pourtant pas à lui seul, d'autres mesures d'incitation étant attendues, en particulier sur l'éolien terrestre."Raison impérative"Les projets de production d'énergie renouvelable devront répondre à une "raison impérative d'intérêt public majeur", stipule le projet de loi. Ce statut juridique, qui ne les dispense pas de démonstration environnementale, les renforce en cas de contentieux en justice.Plus généralement, pour Daniel Bour, président du syndicat du solaire Enerplan, "cette loi est importante car c'est l'affirmation forte qu'on a une urgence climatique et énergétique", enfin "une vraie reconnaissance".Plus de place pour le solaireTrouver de l'espace pour ces équipements est un enjeu majeur.Le projet de loi stipule que des centrales photovoltaïques "peuvent être autorisées sur des friches" (bords d'autoroutes, sols pollués...)Il impose même l'équipement progressif des parkings extérieurs de plus de 2.500 m2, en commençant par ceux de plus d'un hectare, avec ombrières et végétalisation. Sauf en cas de "contraintes techniques, de sécurité, architecturales" ou économiques.Un amendement gouvernemental ultérieur doit favoriser l'agrivoltaïsme, l'installation de parcs solaires en terrains agricoles. Planifier l'éolien en merLe texte veut organiser débats publics et certaines procédures environnementales en parallèle.Surtout, alors que la France vise le déploiement d'environ 50 parcs marins d'ici 2050 mais n'en a que sept dans les tuyaux à ce jour, il veut mutualiser les débats sur leur localisation, afin de tenir les délais.Chaque document de façade contiendrait les zones potentielles, avant qu'elles soient affinées.Une mesure qui va dans le bon sens, s'est félicité France énergie éolienne (FEE).Ristournes pour les riverainsPour faciliter l'acceptation des infrastructures, l'idée est d'en partager les revenus avec les riverains et les communes.Distance et montant restent à définir, mais le ministère évoque un rayon de cinq kilomètres et 200 euros annuels pour un ménage chauffé à l'électricité.Autre mesure pour les riverains, "les lignes électriques sont réalisées en souterrain, sauf à démontrer" que cela est "dommageable pour l'environnement, techniquement excessivement complexe ou financièrement disproportionné".Acceptation politiqueMais ce texte n'est qu'"une première étape", note Daniel Bour: "il faudra veiller à ce qu'il soit amélioré et non dénaturé" par son passage au Parlement.D'ici la fin octobre, il commencera son parcours au Sénat, où le ministère escompte un "climat constructif".A l'Assemblée, le gouvernement devra faire avec une majorité relative, et une extrême droite et une part de la droite hostiles à l'éolien terrestre.Le texte est "concentré sur le plus consensuel, le solaire et l'éolien en mer", répond-on au ministère.Et les éoliennes terrestres ?Emmanuel Macron, qui lui-même prône de diviser par deux le rythme de déploiement de l'éolien terrestre jusqu'ici prévu, a souligné qu'il allait en falloir malgré tout."On devra faire de l'éolien sur terre", a-t-il dit jeudi depuis le parc marin de Saint-Nazaire, ajoutant qu'il faudrait "ouvrir le jeu" pour moins le concentrer sur certaines régions.Un message de clarification salué par le Syndicat des énergies renouvelables.Plus encore peut-être que le projet de loi, la filière a aussi salué la diffusion aux préfets d'une circulaire leur demandant de "faire leur révolution culturelle", comme on dit au ministère, en accélérant le traitement des dossiers.Selon France énergie éolienne, 120 dossiers éoliens complets sont aujourd'hui en attente d'exécution préfectorale.Enfin, est ardemment demandé un renfort d'effectifs des services de l'Etat instruisant ces sujets. La ministre a confirmé leur renforcement, une première depuis 20 ans selon elle.
Il y a 2 ans et 235 jours

Moselle : la cité des sports, de la jeunesse et de la sécurité civile Academos inaugurée.

Le département de la Moselle dispose d’une nouvelle cité des sports, de la jeunesse et de la sécurité civile, Academos. Cet équipement...-Vie du BTP