Toute l’actualité du bâtiment regroupée sur un seul site

Résultats de recherche pour securite

(6428 résultats)
Il y a 2 ans et 236 jours

Moselle : la cité des sports, de la jeunesse et de la sécurité civile Academos inaugurée.

Le département de la Moselle dispose d’une nouvelle cité des sports, de la jeunesse et de la sécurité civile, Academos. Cet équipement...-Vie du BTP
Il y a 2 ans et 236 jours

La révision du règlement sur les produits de construction menace le secteur alerte la FFB

Les artisans et entrepreneurs du bâtiment seraient donc soumis à de nouvelles contraintes initialement conçues pour l’industrie, comme le marquage « CE ».La FFB considère que cette proposition représente une charge administrative et financière insupportable pour les artisans et entrepreneurs de bâtiment, qui sont déjà soumis à des contraintes règlementaires nationales sévères sur les ouvrages. Outre la complexité administrative et les coûts induits par une telle approche, ceci entraverait inévitablement les efforts réalisés par le secteur en matière de transition écologique, d’adaptation au changement climatique et d’innovation.En revanche, la FFB soutient les initiatives visant à règlementer les plateformes de vente à distance, améliorer la surveillance du marché et mettre en place un mécanisme entre États membres visant à harmoniser leurs règlementations en matière de sécurité, de santé et d’environnement.Pour Olivier Salleron, président de la FFB : «À l’heure où le secteur de la construction se situe en première ligne pour répondre à l’urgence des enjeux de la transformation écologique dans le cadre du Pacte Vert européen, les artisans et entrepreneurs ont besoin d’un cadre législatif européen lisible, stable et neutre économiquement. Il est donc impératif que la Commission européenne nous entende et révise sa position ! Je m’y attacherai sur le plan national avec nos partenaires historiques et, au niveau européen, en soutenant notre fédération européenne la FIEC».
Il y a 2 ans et 236 jours

choisir les meilleurs vetements de travail chantier et btp

Comment choisir les meilleurs vêtements de travail chantier et BTP pour travailler dans le confort et la sécurité ? Les tenues professionnelles représentent un investissement important. De plus, les vêtements de protection peuvent être primordiaux pour assurer la sécurité du travailleur. Il est donc essentiel de ne pas se tromper lors de l’achat. Découvrez nos conseils.
Il y a 2 ans et 236 jours

choisir les meilleurs vetements de travail chantier et btp

Comment choisir les meilleurs vêtements de travail chantier et BTP pour travailler dans le confort et la sécurité ? Les tenues professionnelles représentent un investissement important. De plus, les vêtements de protection peuvent être primordiaux pour assurer la sécurité du travailleur. Il est donc essentiel de ne pas se tromper lors de l’achat. Découvrez nos conseils.
Il y a 2 ans et 236 jours

Theam : T’as vu mon tapis ?

Avec Theam Link, chacun sait où se trouve son tapis à béton. [©Theam] C’est en partenariat avec Wayzz que Theam dévoile pour la première fois sa nouvelle offre baptisée Theam Link. Via un boîtier connecté installé sur les machines d’utilisateurs, cette solution donne accès à des données précises concernant l’utilisation du parc matériels, quelle qu’en soit la nature. Ceci, afin de l’optimiser, d’en faciliter le suivi et l’entretien. Trois types d’informations sont disponibles. A savoir, le suivi en temps réel de l’utilisation et de la localisation de la machine. Puis, l’historique des tours effectués, ainsi que leur détail, les alertes sécurité et entretien. Enfin, la possibilité de faire une demande d’intervention directe de la part de Theam. A l’aide de Theam Link, chacun peut savoir avec précision comment sa machine est utilisée. De quoi optimiser son utilisation, gagner en rentabilité et prolonger sa durée de vie. Sans compter que le suivi complet en temps réel permet d’identifier d’éventuelles dérives… Et grâce aux alertes sécurité et maintenance, aucune chance de passer à côté d’évènements clefs ou de voir son équipement immobilisé d’une manière impromptue. Theam Link est une solution évolutive. Elle s’adapte à toute taille et tout type de matériels, y compris les simples toupies. Bauma – Zone extérieure FS – Stand 904A/2 Lire le dossier complet ici
Il y a 2 ans et 236 jours

Putzmeister : l’offensive électrique, mais pas que…

Première sortie officielle pour la nouvelle toupie 100 % électrique iOntron eMixer de Putzmeister [©Putzmeister] Le moins que l’on puisse dire, c’est qu’on ne va pas s’ennuyer chez Putzmeister. L’industriel allemand ne vient pas à Munich les mains vides… Déjà, la ligne des pompes iOntron Hybrid profite d’un espace dédié. Pour rappel, ces machines mises sur le marché l’année passée se déclinent en trois tailles : 20 m, 30 m et 40 m. Mais ce qui les caractérise, c’est la présence d’une motorisation électrique de 92 kW, en plus de l’entraînement diesel habituel. Pour autant, il ne faut pas chercher de batteries : il n’y en a pas. L’iOntron Hybrid utilise le réseau électrique du chantier pour fonctionner. Par contre, Bauma constitue la première sortie officielle de la nouvelle toupie 100 % électrique iOntron eMixer. L’équipement est basé sur un châssis 8 x 4 électrique Sany (maison-mère chinoise de Putzmeister). En ordre de marche, l’ensemble porteur + toupie de 9 m3 + charge utile atteint une PTAC de 34 t. L’énergie est fournie par une batterie d’une capacité de 350 kWh, alimentant un moteur électrique de 315 kW, qui permet entre 5 et 6 tours entre deux rechargements.  Qui dit “pompe à béton”, dit “pilotage”. A ce niveau, Putzmeister donne à chacun l’occasion de découvrir la commande Ergonic dans sa version 3. Parmi les nouveautés, deux extensions : Intelligente Boom Control (iBC), qui facilite la commande de la flèche, et Intelligente Setup Control (iSC), qui contrôle la sécurité de la machine, ici 100 % remaniée.  Putzmeister n’oublie pas non plus le monde de la préfabrication. Avec son offre Precast Automation 4.0, l’industriel propose d’adapter toutes ses solutions de pompage aux besoins spécifiques de ce secteur d’activité.  L’univers des mortiers voit l’arrivée de l’EstrichBoy EC 450. Ce transporteur-malaxeur de chapes se décline à présent dans une version 100 %, pourvue d’une motorisation de 37 kW, à 63 A. Cette puissance lui permet de fournir un débit d’air de 4,4 m3/h. L’autre innovation s’appelle Putzmeister SP 20 GHF. Profitant d’un nouveau design, cette pompe à chapes fluides reçoit un moteur thermique de 37 kW et de série, une vis d’alimentation d’un débit de 20 m3/h. Enfin, Putzmeister montre son intérêt pour les chantiers de demain. Et présente sa solution d’impression 3D béton. Son nom : Karlos. A découvrir en fonctionnement sur le stand… Bauma – Hall B6 – Stand 101 Lire le dossier complet ici
Il y a 2 ans et 236 jours

Peri : Des innovations au programme

Une sécurité collective Peri Hammock fait son entrée sur les chantiers. [©Peri] Comme à son habitude, Peri sort le grand jeu, au sein d’un vaste stand où est exposé l’ensemble de ses solutions. Agrémenté de plusieurs nouveautés ou évolutions. Le coffrage-cadre Maximo voit l’arrivée de plusieurs compléments, pour garantir encore plus de sécurité et d’efficacité à l’usage sur chantiers.  Une nouvelle peau de coffrage fait aussi son apparition : la Robu B, recyclable et bénéficiant d’une surface facile à réparer. Elle peut équiper les panneaux Maximo ou les coffrages de dalles Skydeck. En parallèle, ces derniers profitent à présent de la technologie RFID, installée en standard sur les éléments de grandes dimensions. Un tag RFID permet, via son smartphone ou un lecteur UHF, d’identifier chaque élément. Il est aussi possible d’avoir accès aux informations spécifiques sur les composants, aux notices de montage et d’utilisation.  Une sécurité collective baptisée Hammock fait son entrée sur les chantiers. Il s’agit d’un filet de protection contre les chutes. Il peut être adapté sur de nombreux équipements de la marque. La sécurité individuelle est la mission du Sky-Anchor Universel. Ce point d’attache sert pour une seule personne munie de ses EPI. De son côté, l’univers de l’échafaudage Peri Up s’enrichit de nouveaux éléments, permettant d’élargir le champ d’usage de cet équipement. Ainsi, des toits de protection d’une portée de 25 m viennent compléter les versions de 45 m déjà existantes. De même, des pièces verticales supplémentaires font leur apparition. Tout comme des escaliers en aluminium de 67 cm et 75 cm de large.  Enfin, les outils pour le génie civil ne sont pas oubliés. Peri présente la nouvelle unité hydraulique et les rails d’entraînement RCS Max, qui rendent encore plus sûre l’utilisation du matériel. A découvrir plus en détail sur le stand… Bauma – Zone extérieure FN – Stand 719 Lire le dossier complet ici
Il y a 2 ans et 236 jours

Paschal : Extensions et améliorations

Avec Secuset, Paschal propose un système de protections latérales à la fois simple, sûr et universel. [©Paschal] Paschal joue la sécurité, avec un stand 100 % extérieur de 1 000 m2, bien ventilé et aux mesures d’hygiène bien pensées. Et pour pallier toute éventualité, l’industriel met même en place une présentation numérique virtuelle. Ainsi, via une application en ligne, chacun peut aussi visiter le stand, sans bouger de son salon… Plusieurs nouveautés sont à découvrir, en plus de la présence d’une bonne partie de l’offre existante de Paschal. Ainsi, le coffrage léger NeoR s’enrichit de nouvelles dimensions de panneaux (60 cm x 90 cm ou 150 cm) dédiées à la réalisation de poteaux. Donc pour une utilisation en coffrage en aile de moulin. Le Logo.3 voit l’arrivée d’un élément de 3,40 m de haut, parfait pour les coulages une face contre un élément existant par exemple. La sécurité du travail en hauteur est l’affaire du nouveau système de protections latérales Secuset. L’équipement peut être utilisé pour différentes configurations de coffrage, ou directement dans les opérations de gros œuvre ou de finition.  Pour finir, le système de surveillance de la montée en résistance du béton Maturix est proposé avec de nouveaux capteurs Gaia. Ceci, pour une durabilité extrême et une manipulation encore plus simple.  Bauma – Zone extérieure FN – Stand 618/2 Lire le dossier complet ici
Il y a 2 ans et 236 jours

Wirtgen : Pour une belle route en béton

C’est un véritable train-béton que présente Wirtgen. [©Wirtgen] Plusieurs innovations et une première mondiale : tel est le programme de Wirtgen dans le domaine des machines à coffrage glissant. Le spectacle débute ainsi avec le finisseur Offset SP 20i. Cette machine, dont c’est ici la première sortie est dédiée à la réalisation de barrières de sécurité en béton, d’une hauteur allant jusqu’à 2 m. Mais aussi aux surfaces horizontales d’une largeur maximale de 2,50 m. L’autre innovation s’appelle SP 15i. Si la machine est connue, elle se dévoile, ici, dotée d’un coffrage “curb depressor”. A savoir, un équipement assurant la réalisation automatisée des abaissements de bordures de trottoir, au droit des entrées carrossables par exemple. Mais le gros morceau n’est autre que le train de pose complet pour chaussées en béton armé continu. Celui-ci est constitué de trois machines travaillant de concert. En effet, dès lors qu’une chaussée est réalisée avec une armature posée au préalable, l’alimentation en béton doit se faire par le côté. C’est là qu’intervient le WPS 102i. Constituant la première machine du train, il se déplace devant la machine à coffrage glissant et la machine de traitement de surface. Il répartit de manière homogène le béton sur toute la largeur de travail. L’épaisseur de pose maximale est de 500 mm pour des largeurs comprises entre 4 et 12 m. Le WPS 102i peut être commandé avec précision par palpage sur fil de guidage, via des applications 3D sans fil de guidage ou avec le Wirtgen AutoPilot 2.0. Cœur du système, la machine à coffrage glissant Inset SP 94i avec TeleMold s’inscrit dans la gamme des 10 m. Elle se destine à la construction d’autoroutes et de zones aéroportuaires. Quant au système TeleMold, il permet de changer la largeur de travail (+/- 90 cm de chaque côté) de manière rapide et flexible.  Le dernier maillon de la chaîne est le TCM 180i. Son rôle : assurer la finition souhaitée sur la surface de béton tout juste réalisée.  Bauma – Zone extérieure FS – Stand 1011 Lire le dossier complet ici
Il y a 2 ans et 236 jours

Wicona renforce son offre sécurité incendie avec la nouvelle porte Wicstyle 75 FP EI30

La sécurité incendie est un point de plus en plus prégnant dans les appels à projets, marchés publics et privés confondus (ERP, établissements de santé, logements, tertiaire, etc.). En cette rentrée, WICONA complète son offre de porte avec la WICSTYLE 75 FP EI30 : une porte coupe-feu 30 minutes en aluminium recyclé Hydro CIRCAL®, ingénieusement équipée pour atteindre ces performances, sans insert coupe-feu. Conçue pour le marché du neuf comme de la rénovation, cette porte, développée comme une extension de gamme dont les clients maîtrisent déjà la fabrication, autorise de grandes dimensions et cumule performances techniques, esthétique et environnementale.L'ingénierie technologique et l'ingéniosité au service de la performanceLa porte WICSTYLE 75 FP EI30 de WICONA se distingue par son ingéniosité. En effet, la performance au feu EI1-30 est obtenue sans recourir à l'utilisation d'inserts coupe-feu. Le châssis reste stable, étanche au feu pendant 30 minutes et préserve la température en dessous des 180° au côté opposé au feu. Cette performance est couverte par le PV EFECTIS EFR-19-V-005149 (marché français). Seuls le recours à une nouvelle génération de clips inox associés à des bandes intumescentes, le tout placés à des emplacements stratégiques, permet de préserver l'intégralité mécanique, l'étanchéité et l'isolation thermique de la porte WICSTYLE 75 FP EI30 durant 30 minutes.Concrètement, les clips inox sont mis en place sans usinages. Ils préservent la rigidité du système et garantissent le maintien du vitrage. Les bandes intumescentes auto-adhésives et optimisées, dissimulées derrière les joints de battement, s'expansent sous la montée en température et viennent combler les espaces entre vitrage et fond de feuillure. Les barrettes à rupture de pont thermique en polyamide recyclé sont essentielles dans l'obtention de la performance coupe-feu de cette porte, le rupteur thermique jouant pleinement son rôle.La fibre de verre qu'elles contiennent contribue à la meilleure résistance mécanique du profilé RPT face à la montée en température. La barrette extérieure (multi-chambres), sous brevet WICONA, apporte une résistance renforcée ; l'une des chambres étant conçue pour recevoir les vis de fixation des différents éléments de quincaillerie.Solution compétitive et esthétiqueLa force de WICONA est d'avoir conçu ses gammes de protection incendie comme des extensions de gammes existantes, sans en modifier les process de fabrication. Les performances coupe-feu et pare-flamme sont atteintes par simple ajout d'accessoires.Développée à partir des systèmes de portes (WICSTYLE 65 et 75) éprouvés et connus des clients, la WICSTYLE 75 FP EI30 reprend les solutions et équipements – paumelles à clamer en feuillure ou paumelles en applique, couvre-joints, équerres, poignées - avec lesquels ils ont l'habitude de travailler.Cette homogénéité des solutions et des équipements leur permet de proposer une solution économique, laissant une grande liberté dimensionnelle (jusqu'à 3,480 m de haut) et contribue aussi à l'optimisation des stocks et des temps de production.Une pérennité qui ne se fait pas au détriment de l'esthétique puisque la porte coupe-feu, disponible en un vantail, offre le même design, résolument contemporain, que celui des modèles 65 et 75 standards. Elle peut également être équipée de paumelles cachées ou visibles. Et parce que la protection incendie est un domaine de spécialistes, une formation aux spécificités incendie prodiguée par les experts WICONA est obligatoire dès la première commande.Solution durable et bas carboneToutes les applications « feu » de WICONA sont proposées en aluminium bas carbone recyclé Hydro CIRCAL®. Cet alliage de seconde fusion est le seul sur le marché à se composer d'au minimum 75% de matières recyclées post-consommation, provenant essentiellement de menuiseries aluminium issues de chantiers de déconstruction. Il affiche ainsi la plus faible empreinte carbone, soit 2.3 kg de CO² par kg d'aluminium produit.Caractéristiques techniquesOuvrant jusqu'à 3 480 mm de hauteur (1 vantail)Accessibilité PMR ou sans seuilUw = 1.3 W/(m2K), avec Ug de 1.1 W/(m2K)Acoustique : Rw (C;Ctr) = 48 (-1 ;-4) dBAEV A4 E1050 VC5/B5
Il y a 2 ans et 236 jours

Wicona renforce son offre sécurité incendie avec la nouvelle porte Wicstyle 75 FP EI30

La sécurité incendie est un point de plus en plus prégnant dans les appels à projets, marchés publics et privés confondus (ERP, établissements de santé, logements, tertiaire, etc.). En cette rentrée, WICONA complète son offre de porte avec la WICSTYLE 75 FP EI30 : une porte coupe-feu 30 minutes en aluminium recyclé Hydro CIRCAL®, ingénieusement équipée pour atteindre ces performances, sans insert coupe-feu. Conçue pour le marché du neuf comme de la rénovation, cette porte, développée comme une extension de gamme dont les clients maîtrisent déjà la fabrication, autorise de grandes dimensions et cumule performances techniques, esthétique et environnementale.L'ingénierie technologique et l'ingéniosité au service de la performanceLa porte WICSTYLE 75 FP EI30 de WICONA se distingue par son ingéniosité. En effet, la performance au feu EI1-30 est obtenue sans recourir à l'utilisation d'inserts coupe-feu. Le châssis reste stable, étanche au feu pendant 30 minutes et préserve la température en dessous des 180° au côté opposé au feu. Cette performance est couverte par le PV EFECTIS EFR-19-V-005149 (marché français). Seuls le recours à une nouvelle génération de clips inox associés à des bandes intumescentes, le tout placés à des emplacements stratégiques, permet de préserver l'intégralité mécanique, l'étanchéité et l'isolation thermique de la porte WICSTYLE 75 FP EI30 durant 30 minutes.Concrètement, les clips inox sont mis en place sans usinages. Ils préservent la rigidité du système et garantissent le maintien du vitrage. Les bandes intumescentes auto-adhésives et optimisées, dissimulées derrière les joints de battement, s'expansent sous la montée en température et viennent combler les espaces entre vitrage et fond de feuillure. Les barrettes à rupture de pont thermique en polyamide recyclé sont essentielles dans l'obtention de la performance coupe-feu de cette porte, le rupteur thermique jouant pleinement son rôle.La fibre de verre qu'elles contiennent contribue à la meilleure résistance mécanique du profilé RPT face à la montée en température. La barrette extérieure (multi-chambres), sous brevet WICONA, apporte une résistance renforcée ; l'une des chambres étant conçue pour recevoir les vis de fixation des différents éléments de quincaillerie.Solution compétitive et esthétiqueLa force de WICONA est d'avoir conçu ses gammes de protection incendie comme des extensions de gammes existantes, sans en modifier les process de fabrication. Les performances coupe-feu et pare-flamme sont atteintes par simple ajout d'accessoires.Développée à partir des systèmes de portes (WICSTYLE 65 et 75) éprouvés et connus des clients, la WICSTYLE 75 FP EI30 reprend les solutions et équipements – paumelles à clamer en feuillure ou paumelles en applique, couvre-joints, équerres, poignées - avec lesquels ils ont l'habitude de travailler.Cette homogénéité des solutions et des équipements leur permet de proposer une solution économique, laissant une grande liberté dimensionnelle (jusqu'à 3,480 m de haut) et contribue aussi à l'optimisation des stocks et des temps de production.Une pérennité qui ne se fait pas au détriment de l'esthétique puisque la porte coupe-feu, disponible en un vantail, offre le même design, résolument contemporain, que celui des modèles 65 et 75 standards. Elle peut également être équipée de paumelles cachées ou visibles. Et parce que la protection incendie est un domaine de spécialistes, une formation aux spécificités incendie prodiguée par les experts WICONA est obligatoire dès la première commande.Solution durable et bas carboneToutes les applications « feu » de WICONA sont proposées en aluminium bas carbone recyclé Hydro CIRCAL®. Cet alliage de seconde fusion est le seul sur le marché à se composer d'au minimum 75% de matières recyclées post-consommation, provenant essentiellement de menuiseries aluminium issues de chantiers de déconstruction. Il affiche ainsi la plus faible empreinte carbone, soit 2.3 kg de CO² par kg d'aluminium produit.Caractéristiques techniquesOuvrant jusqu'à 3 480 mm de hauteur (1 vantail)Accessibilité PMR ou sans seuilUw = 1.3 W/(m2K), avec Ug de 1.1 W/(m2K)Acoustique : Rw (C;Ctr) = 48 (-1 ;-4) dBAEV A4 E1050 VC5/B5
Il y a 2 ans et 237 jours

Réduction du déficit public : le Haut Conseil des finances publiques critique une trajectoire "peu ambitieuse"

La trajectoire par laquelle le gouvernement entend ramener ce déficit de 5% du PIB à 2,9% sur la durée du quinquennat est aussi estimée "particulièrement fragile" par le HCFP qui juge exagérément optimistes ses hypothèses "sur la croissance économique, sur la maîtrise de la dépense publique et sur la hausse des prélèvements obligatoires". Selon le Haut Conseil, organisme indépendant placé auprès de la Cour des comptes, le gouvernement a "surestimé" l'impact de l'ensemble des réformes qu'il projette de mettre en oeuvre, à savoir des retraites, de l'assurance-chômage, du revenu de solidarité active (RSA) et de l'apprentissage, "en particulier dans les premières années de programmation".Il précise que pour toutes ces réformes, "ni les modalités, ni les impacts, ni le calendrier ne sont documentés". Pour les retraites en particulier, "les économies qui en découleraient seraient de toute façon limitées à l'horizon de la période de programmation".La réforme des retraites n'est pas contenue dans le projet de loi de financement de la sécurité sociale, selon le texte consulté dimanche par l'AFP. La réforme pourrait être engagée par voie d'amendement durant le débat parlementaire, ou par un texte dédié, a dit dimanche le ministre des relations avec le Parlement, Franck Riester.Ce texte prévoit un déficit de la Sécurité sociale en forte baisse l'an prochain, à 6,8 milliards d'euros, contre 17,8 milliards en 2022. Selon le Haut Conseil, le projet de loi de programmation des finances publiques pour le quinquennat, que le gouvernement doit présenter lundi en même temps que son budget pour l'année 2023, "n'inscrit pas de retour rapide vers l'objectif d'équilibre des finances publiques, auquel la France s'est engagée" au niveau européen.La France fait désormais partie des sept pays de la zone euro dont la dette publique est supérieure au produit intérieur brut (PIB), alors qu'elle est inférieure à 80% du PIB pour 11 d'entre eux, relève le HCFP, selon lequel même si la trajectoire proposée par le gouvernement est respectée, "la France continuera de voir sa position d'endettement relatif se dégrader" au sein de la zone euro.Dans son avis séparé pour la seule année 2023, le HCFP juge la prévision de croissance de 1% du gouvernement "un peu élevée".Si les recettes risquent de pâtir l'an prochain d'une activité moins forte que prévu, elles seront en hausse grâce à des rentrées fiscales supérieures à ce qui avait été anticipé en 2022.Les dépenses publiques devraient elles reculer de 1,1% une fois déduite l'inflation, mais "le déficit pourrait être in fine plus important que prévu du fait de la sous-estimation de certaines dépenses".Enfin, la prévision de déficit public de 5% du PIB l'an prochain "est marquée par la grande incertitude qui entoure les évolutions macroéconomiques et notamment les prix de l'énergie".
Il y a 2 ans et 237 jours

Retraites : décision de l'exécutif rendue publique "d'ici la fin de la semaine", selon Borne

"On a prévu avec le président de la République d'avoir un échange cette semaine avec les ministres concernés et les responsables de la majorité. (...) On fera part de la décision que nous prendrons avec le président de la République d'ici la fin de la semaine", a déclaré sur BFMTV et RMC la cheffe du gouvernement.L'entourage du président a fait savoir samedi qu'Emmanuel Macron réunirait cette semaine, avec Elisabeth Borne, les ministres concernés et les responsables de la majorité sur cette question des retraites.Parmi les pistes envisagées par l'exécutif figurent un amendement au projet de loi de financement de la Sécurité sociale (PLFSS) et un projet de loi ad hoc."Il y a différents scénarios, et donc nous cherchons en effet la meilleure voie avec l'objectif d'avoir du dialogue, de la concertation et d'avancer rapidement", a ajouté Mme Borne.La Première ministre a assuré qu'elle pousserait pour "la recherche de compromis" sur cette méthode sans pour autant exclure le recours à l'article 49.3 de la Constitution, qui permet l'adoption d'un texte sans vote sauf motion de censure."Ma méthode c'est le dialogue, la recherche de compromis. En même temps, les Français ne comprendraient pas qu'on soit bloqués, c'est vrai sur le budget, c'est vrai sur les réformes importantes qu'on veut porter", a-t-elle affirmé. L'article 49.3 est donc "un des outils qui est à la disposition du gouvernement si on constate une situation de blocage"."La priorité pour moi c'est le dialogue, la concertation, la recherche de compromis. Le blocage ne viendra pas de ma part", a insisté Mme Borne, qui a reçu la semaine dernière les chefs de groupes parlementaires.Beaucoup d'entre eux se sont dits hostiles à la voie d'un amendement au PLFSS, y compris au sein de la majorité le patron du MoDem François Bayrou et la présidente (Renaissance) de l'Assemblée nationale Yaël Braun-Pivet.La Première ministre a par ailleurs confirmé qu'il y aurait un "décalage progressif de l'âge effectif de départ à la retraite", mais que l'exécutif n'avait "pas prévu de décaler l'âge du taux plein" automatique actuellement à 67 ans.Mme Borne était interrogée juste avant un Conseil des ministres chargé, qui doit examinera les projets de loi de finances (PLF) et de financement de la sécurité sociale (PLFSS) pour 2023, ainsi qu' un projet de loi sur les énergies renouvelables.Invité sur FranceInfo au même moment, le patron du MoDem François Bayrou a redit que les députés de son parti ne voteraient pas un éventuel amendement au PLFSS. "Si cette méthode (par amendement) était choisie ça voudrait dire qu'on n'a pas changé de méthode sur les réformes" et le Conseil national de la refondation (CNR) "serait compromis", a estimé le Haut commissaire au plan, chargé de piloter le CNR.Le secrétaire général de la CFDT Laurent Berger, a jugé à nouveau "inacceptable" de traiter "rapidement, en +loucedé+", dans un amendement, le sujet des retraites qui "n'est pas qu'un sujet budgétaire" mais "un sujet social et sociétal"."Que le gouvernement passe en force dans le PLFSS et vous verrez ce qu'il se passera, il y aura une opposition frontale de la part des organisations syndicales et notamment de la CFDT. On risque de casser le corps social", a-t-il prévenu sur Europe 1.
Il y a 2 ans et 237 jours

Peri : Le balcon sans contrainte

Peri dévoile son nouveau coffrage pour balcons Flexideck. [©Peri Si le grand rendez-vous de l’année pour Peri reste Bauma, le spécialiste allemand du coffrage n’en néglige pas les autres rendez-vous. A commencer par Batimat sur lequel sa filiale française dévoile une grande nouveauté. Son nom : Flexideck. Cette table coffrante pour balcons colisables et à sécurité rabattable apporte la solution attendue depuis longtemps pour la construction des balcons sur chantier. Son autre avantage est la possibilité d’ajuster d’une manière simple et rapide la position des étais vis-à-vis du plateau de la table. Ainsi, l’adaptation de la table aux différents porte-à-faux du niveau d’appui devient sûre et facile. La Flexideck est accompagnée des classiques de la marque : le coffrage manuportable léger Duo et les coffrages de dalles Gridflex et Skymax. Ce dernier s’enrichissant de poutrelles de compensation télescopiques. Batimat – Hall 4 – Stand F12 Lire le dossier complet ici
Il y a 2 ans et 237 jours

Würth : Evolution des écrous

L’écrou Préci’Force Evolution de Würth permet de réduire et de prévenir les TMS. [©Würth] L’écrou Préci’Force Evolution de Würth permet un serrage optimal des tiges de banches, mais surtout un desserrage rapide et sans effort. Cet écrou en acier C45 zingué possède un filetage intérieur de Ø 23 mm (pas Dywidag), ainsi qu’une butée à rouleaux qui permet de réduire drastiquement les efforts au desserrage. Il est doté d’un surplat de 36 mm et est conditionné en sac de 8 unités. La gamme est composée de deux modèles : avec ou sans platine témoin de serrage, afin de pouvoir s’adapter à toutes les marques de banches du marché. En plus, le Préci’Force Evolution est la solution la moins bruyante du marché. Son fonctionnement sans effort permet aussi de réduire et prévenir les TMS. Par ailleurs, cet écrou offre une sécurité par contrôle visuel. En effet, lorsque la platine entre en contact avec le panneau, il ne reste qu’un ou deux tours de clef à donner pour finaliser le serrage. A titre indicatif, on estime entre 30 s et 2 mn le temps de mise en œuvre au desserrage d’un écrou standard contre 5 s seulement pour le Préci’Force. Enfin, les opérations de serrage et desserrage s’effectuent manuellement et à l’aide d’une simple clef et ne nécessitent pas le recours à des machines lourdes. Soit une utilisation beaucoup plus adaptée au milieu urbain et plus douce pour l’opérateur. Batimat – Hall 4 – Stand G120 Lire le dossier complet ici
Il y a 2 ans et 237 jours

Les troubles musculo-squelettiques demeurent la première cause de maladie du BTP

SANTÉ-SÉCURITÉ. Une étude menée auprès des salariés du bâtiment et des travaux publics entre 2010 et 2017 démontre que les troubles musculo-squelettiques - les fameux TMS - demeurent la première cause de maladies professionnelles dans la filière construction. Les acteurs publics de la santé appellent à davantage de prévention.
Il y a 2 ans et 237 jours

Mills : Davantage de sécurité collective

Mills sécurise encore plus le montage de coffrages de planchers avec le garde-corps GCC. [©Mills] Associé à la tour d’étaiement Touréchaf et aux poutrelles MP3, le garde-corps GCC Mills permet de monter et de démonter en protection collective un coffrage horizontal traditionnel (composé de poutrelles) reposant sur des tours d’étaiement. Le GCC Mills est constitué de montants réglables verticalement et de lisses horizontales coulissantes et articulées. Il s’installe depuis une tour d’étaiement Touréchaf. Dans un premier temps, l’opérateur depuis la tour fixe sur cette dernière, les montants extensibles GCC en position fermée. Il les relie ensuite avec les lisses extensibles placées horizontalement. Comme pour un étai, il rehausse les coulisses des montants GCC une par une pour placer les lisses du garde-corps à la bonne hauteur par rapport au futur coffrage du plancher. La coulisse se règle à l’aide de trous espacés tous les 5 cm et d’une broche imperdable. Une lumière astucieuse permet un ajustement rapide de la sortie de la coulisse et du niveau du futur coffrage. Le GCC Mills fournit ainsi une plus grande sécurité, tout en améliorant le rendement de coffrage. Sa mise en œuvre est simple. Il est conçu et fabriqué en France dans l’usine Mills située en Corrèze. Batimat – Hall 4 – Stand D12 Lire le dossier complet ici
Il y a 2 ans et 237 jours

Leviat – Plaka : Une solution “3-en-1”

Leviat lance un nouveau système breveté́, le Duo Guide de voiles/guide de rives. [©Leviat] Leviat lance un nouveau système breveté́, le Duo Guide de voiles/guide de rives : une solution “3-en-1”. Destiné aux bâtiments tertiaires et aux logements collectifs en murs alignés, ce nouveau système promet gain de temps, simplicité́ et sécurité́. Une occasion à ne pas manquer pour rencontrer les experts Leviat. Dédié aux murs alignés, périphériques et intérieurs (cages d’ascenseur ou escaliers), le guide de voiles se compose de 3 parties distinctes. Il permet d’économiser des heures précieuses consacrées au repérage et au traçage des murs supérieurs, phase pourtant incontournable pour assurer un parfait alignement des voiles. Pour aller plus loin dans l’optimisation du chantier en construction béton, Leviat propose un nouvel outil de coffrage complémentaire au guide de voiles : le guide de rives. Le nouveau système a été pensé́ pour accueillir les garde-corps de chantier et permettre la sécurité́ provisoire des équipes techniques. Batimat – Hall 1 – stand P84 Lire le dossier complet ici
Il y a 2 ans et 237 jours

La Fédération DLR actualise son identité visuelle

La Fédération DLR évolue et a choisi un nouveau logo, une réactualisation de son visuel historique. [©Fédération DLR] C’est en cette rentrée de septembre 2022 que la Fédération nationale des distributeurs, loueurs et réparateurs (DLR) a choisi de présenter son nouveau logo. En effet, son identité visuelle n’avait pas changé depuis 30 ans. On y retrouve toujours les couleurs et formes de l’ancien logo. Ainsi que le cube qui symbolise le secteur de la construction et de la manutention, mais aussi l’Hexagone français. Les modifications les plus perceptibles concernent les différentes commissions de la fédération. Le carré de couleur change pour exprimer les spécificités de chaque commission métiers : distribution, location, grue à tour (CPMDG), sanitaires et unités mobiles (SUM). Les deux dernières rappellent respectivement les couleurs des anciens logos. Le cube rouge, commun à l’ensemble des commissions métiers, souligne leur appartenance à la fédération DLR.  Une couleur qui varie  Quant aux commissions transversales (Affaires sociales, Emploi & Formation, Finances, Maintenance Sécurité Environnement Qualité), la couleur du cube diffère et évoque les différentes thématiques. Le cube est intégré dans le carré rouge DLR, matérialisant les métiers.  En ce qui concerne le slogan retenu, “La fédération des matériels”, il vise l’ensemble des activités directement couvertes par la Fédération. Mais aussi celles de ses membres partenaires, l’Association des constructions industrialisées et modulaires (Acim), Fédération nationale des artisans et petites entreprises en milieu rural (Fnar) et l’Union française du levage (UFL) qui jouent un rôle prépondérant au sein de la Fédération.
Il y a 2 ans et 237 jours

La centrale nucléaire qui devint un parc d’attractions

Article paru dans le n° 102 de Béton[s] le Magazine Cette centrale nucléaire a été transformée en parc d’attraction ouvert au public. Une première mondiale ! [©Wunderland Kalkar] Réhabiliter une centrale nucléaire, jamais mise en service, pour en faire… un parc d’attractions. Il fallait y penser ! Construit sur un ancien site nucléaire, le Wunderland Kalkar est un parc d’attractions atypique. « C’est un emplacement unique, au bord du Rhin. Et c’est le seul parc d’attractions au monde installé sur une ancienne centrale nucléaire », insiste Han Groot Obbink, directeur général du parc. Situé en Allemagne, en Basse-Rhénanie, à la frontière néerlandaise, ce site de 80 ha est sans danger pour les nombreux visiteurs qui profitent, chaque jour, de plus de 40 attractions.  « Nous avons beaucoup communiqué à ce sujet, pour ne pas effrayer la population. » L’imposante tour de refroidissement de 42,30 m de haut est recouverte d’une fresque de paysage alpestre. Sa paroi en béton sert de mur d’escalade. Les bâtiments des turbines et du réacteur contiennent des chambres d’hôtel, des restaurants et des bars. Le tout dans des décors évoquant l’Egypte antique ou l’Ouest américain.  Une centrale mort-née… Dans les années 1970, l’Allemagne (à hauteur du capital de 68,5 %), la Belgique (14,75 %), les Pays-Bas (14,75 %) et le Royaume-Uni (2 %) décident de bâtir dans la ville de Kalkar une centrale nucléaire d’un genre nouveau, un “surgénérateur”. Ce dernier, ou SNR-300 (Schneller Natriumgekühlter Reaktor), est un réacteur nucléaire à neutrons rapides et à caloporteur sodium. C’est à Interatom, alors filiale de Siemens, qu’est confiée la construction du nouveau réacteur, qui commence fin 1973. Il aura fallu quelque 250 000 m3 de béton et 58 000 t d’acier pour la réalisation du site. Mais le projet soulève de nombreuses craintes. Ces protestations constituent un fait marquant dans l’histoire du mouvement anti-nucléaire en Allemagne. Et contribuent à la naissance du parti Alliance 90 / Les Verts. En effet, de dizaines de milliers de personnes se mobilisent alors contre ce projet dès 1974.  … Qui renaît en parc d’attractions Les considérations de sécurité autour de la nouvelle technologie que représente le refroidissement au sodium et les nécessaires modifications du projet accroissent les coûts d’environ 3,7 Md€. Des exigences de sécurité constamment modifiées, des procès en série, les catastrophes nucléaires de Three Mile Island, aux Etats-Unis et de Tchernobyl en URSS. Ou encore le contre-choc pétrolier de 1986… entérinent la mort du surgénérateur. Le projet est définitivement abandonné en 1991, après avoir englouti quelque 7 MdDM (environ 3,5 Md€) et mettant au chômage de centaines de personnes. Un entrepreneur néerlandais, Hennie van der Most, spécialiste de la reconversion de friches industrielles, rachète quatre ans plus tard le site et ses environs, pour quelque 2,5 MDM (1 M€). Aujourd’hui, Wunderland Kalkar accueille 500 000 à 600 000 visiteurs par an et emploie 440 personnes en haute saison (120 permanents).  Wunderland Kalkar Griether Strasse 110-120 47546 Kalkar +49 2824 9100  info@wunderlandkalkar.eu M. C. Article paru dans le n° 102 de Béton[s] le Magazine
Il y a 2 ans et 237 jours

Fischer DuoLine : La polyvalence des chevilles bi-matières

La gamme de fixations DuoLine fischer regorge d'innovations technologiques. Uniques et polyvalentes, les chevilles multimatériaux DuoPower, à bascule DuoTec, autoforeuse DuoBlade, étanche DuoSeal et rallongée DuoXpand, la dernière-née de la gamme, regroupent les meilleures caractéristiques techniques pour couvrir un large champ d'application. Bi-matières, elles sont aussi puissantes que résistantes. Ingénieuses, elles combinent plusieurs fonctionnalités qu'elles activent automatiquement en fonction des matériaux de construction dans lesquels elles sont installées. Fiables, elles offrent également des performances de charges élevées pour garantir un maximum de sécurité. Enfin, simples d'utilisation, elles sont faciles et rapides à installer. Dès aujourd'hui, les chevilles DuoLine se mêlent au majestueux roi des animaux pour faire des utilisateurs… le roi de la fixation ! Aussi fortes, agiles et rapides qu'un lion, les chevilles fischer possèdent de nombreuses qualités que la campagne inédite DuoLine ne manquera pas de mettre en avant. Ainsi à partir du 23 septembre et jusqu'au 25 novembre 2022, des supports physiques et digitaux vont être largement déployés pour un maximum de visibilité et ainsi faire rayonner la polyvalence des chevilles bi-matières fischer. fischer DuoLine : Des fixations innovantes pour tous les besoins
Il y a 2 ans et 237 jours

fischer DuoLine : La polyvalence des chevilles bi-matières

La gamme de fixations DuoLine fischer regorge d'innovations technologiques. Uniques et polyvalentes, les chevilles multimatériaux DuoPower, à bascule DuoTec, autoforeuse DuoBlade, étanche DuoSeal et rallongée DuoXpand, la dernière-née de la gamme, regroupent les meilleures caractéristiques techniques pour couvrir un large champ d'application. Bi-matières, elles sont aussi puissantes que résistantes. Ingénieuses, elles combinent plusieurs fonctionnalités qu'elles activent automatiquement en fonction des matériaux de construction dans lesquels elles sont installées. Fiables, elles offrent également des performances de charges élevées pour garantir un maximum de sécurité. Enfin, simples d'utilisation, elles sont faciles et rapides à installer. Dès aujourd'hui, les chevilles DuoLine se mêlent au majestueux roi des animaux pour faire des utilisateurs… le roi de la fixation ! Aussi fortes, agiles et rapides qu'un lion, les chevilles fischer possèdent de nombreuses qualités que la campagne inédite DuoLine ne manquera pas de mettre en avant. Ainsi à partir du 23 septembre et jusqu'au 25 novembre 2022, des supports physiques et digitaux vont être largement déployés pour un maximum de visibilité et ainsi faire rayonner la polyvalence des chevilles bi-matières fischer. fischer DuoLine : Des fixations innovantes pour tous les besoins
Il y a 2 ans et 238 jours

Batimat : Retour aux sources

Le salon Batimat se tiendra à la porte de Versailles du 03 au 06 octobre.[©ACPresse] Article paru dans le n° 102 de Béton[s] le Magazine. Après une édition annulée pour cause de Covid, le Mondial du Bâtiment fait son grand retour. Et réinvestit un lieu historique pour lui : à savoir, le Parc des expositions de la porte de Versailles, à Paris. Sans doute, pour plus de convivialité. Le rendez-vous se tient du lundi 3 au jeudi 6 octobre, soit une durée raccourcie, mais avec des horaires élargis allant de 9 h 00 à 19 h 00. Pas de nocturne programmé, à chacun de profiter à sa guise de sa soirée parisienne. L’autre nouveauté est la dimension des stands : 99 m2 au maximum. Fini donc les mastodontes phagocytant l’espace et le visitorat au détriment des petits exposants. On peut donc considérer que cette édition du Mondial du Bâtiment devrait être très égalitaire… Comme tout salon professionnel, il constitue aussi et surtout une vitrine des tendances et de l’innovation. Les organisateurs ont vu les choses en grand, prévoyant un très large cycle de conférences. Enfin, des nouveautés produits sont à découvrir sur presque chaque stand. Nous vous en livrons ici un bref aperçu. Dossier préparé par Muriel Carbonnet et Frédéric Gluzicki Béton[s] le Magazine s’expose à Batimat « Vous nous avez manqué ! », pourrait être le leitmotiv de chacun des exposants sur le Mondial du Bâtiment. Après deux années bien sombres, en termes de rendez-vous professionnels – on s’en rappellera du Covid -, revoici enfin le retour de la vie en vrai. Sans écrans interposés, sans problèmes de connexion, sans poutres en faux chêne qui apparaissent en arrière-plan… C’est donc avec joie que nous nous apprêtons à vous accueillir sur notre stand numéroté P 134, au sein du Hall 1, dans la zone dédiée au gros œuvre, comme il se doit. Pour chacun de vous, c’est l’occasion de venir échanger avec l’équipe du journal, au grand complet. Pourquoi pas, d’acquérir quelques numéros plus anciens, dont l’indispensable n° 100 spécial anniversaire. Ou encore de découvrir notre superbe dictionnaire “Les bétons de A à Z”, dans sa 3e édition. Une fois que vous l’aurez vu, vous n’aurez qu’une seule envie : repartir avec ! Ça tombe bien, nous en avons encore un peu en stock, ainsi que des sacs pour faciliter son transport. Le rendez-vous est donc pris. Nous, on vous attend ! à batimat Hall 1 – Stand P134 Article paru dans le n° 102 de Béton[s] le Magazine. Nouveautés Batimat Alphi : En haut du PodiumAltrad : Coffrage & Etaiement : une petite révolutionBeal : 16 nouveaux coloris exclusifsBéton Mousse Technologie : une mousse minérale dans les starting-blocksCCB Greentech : TimberRoc absorbe plus de CO2 qu’il n’en émetCemex : Dans l’air du tempsLe Cérib a le feu sacréCoffrages Cosmos : Cob+ Evo3, nouvelle banche-outilDiam Industries : Pour le sciage comme le perçageDiasen : Mortier renforcé de liègeEdilteco – CarbonCure : Maintenant en FranceEntrepose Echafaudages : Elle s’appelle… Noémi 3DHoffmann Green Cement : H-Iona à l’honneurHusqvarna Construction France : Le béton à 360°Isotex : Total GreenLayher : Toujours plus sécuriséLeviat – Plaka : Une solution “3-en-1”LPP : La tour MDS à tout niveauMills : Davantage de sécurité collectiveMT Béton : Première participationPeri : Le balcon sans contraintePRB : Un mortier sans cimentRector : Avec l’industriel TechniwoodSateco : Assembler toujours plus vite…La filière béton a des choses à direSGB – Hünnebeck : Le robot, l’escalier et le sabotTrimble : Tekla passe en version 2022Wacker Neuson : Un nouveau système d’assistanceWürth :  Evolution des écrous
Il y a 2 ans et 239 jours

des portes palieres anti effraction dierre france pour la rehabilitation d un immeuble de neuilly sur seine

Dierre France est une référence sur le marché des fermetures de sécurité en France et au Luxembourg. Proposant des produits alliant à la fois design et sécurité, ils sont en capacité d’équiper tous types de bâtiments : tertiaires, hôtellerie, habitats individuels et collectifs ; que ce soit sur du neuf ou de la rénovation.
Il y a 2 ans et 240 jours

Holcim relève le défi de l’eau

Holcim compte réduire sa consommation d’eau douce sur l’ensemble de ses activités. [©ACPresse] Selon l’ONU, nos besoins en eau vont augmenter de 50 % à l’horizon 2030. Aujourd’hui, trois milliards de personnes n’ont pas accès à cette ressource vitale. Par conséquent, Holcim souhaite relever deux des défis les plus urgents au niveau planétaire : la sécurité de l’eau et le changement climatique. Le cimentier suisse rejoint ainsi la “50 l Home Coalition”1 et la “Water Resilience Coalition”2, afin de réduire la consommation d’eau et de protéger les ressources en eau douce dans le monde. « Le développement durable étant au cœur de tout ce que nous faisons, je suis heureuse que nous ayons rejoint la “50 l Home Coalition” et la “Water Resilience Coalition”, déclare Magali Anderson, responsable en chef du développement durable et de l’innovation du groupe. En nous associant à des organisations partageant les mêmes idées sur la gestion de l’eau, nous pouvons avoir un impact positif sur l’environnement. De telles adhésions renforcent réellement notre vision du progrès pour les gens et la planète. » Une gestion minutieuse Holcim utilise l’eau dans de nombreux processus de production. Pour laver les roches dans les carrières, comme matière première dans la production de béton et comme agent de refroidissement dans la fabrication du ciment. Toutes leurs centrales à béton et toutes leurs carrières disposent d’un circuit fermé, qui permet de réutiliser l’eau récupérée pour la production. En tant que membre principal de la “50 l Home Coalition”, le groupe cimentier souhaite améliorer l’efficacité de l’utilisation de l’eau en milieu urbain. Et développer une gestion stricte de cette ressource avec des indicateurs clairs et des mesures ciblées. D’ici 2030, Holcim compte réduire sa consommation d’eau douce sur l’ensemble de son activité. Une baisse de 33 % de son utilisation d’eau dans la fabrication de ciment, de 20 % dans celle des granulats et de 15 % dans le béton prêt à l’emploi. 1Plate-forme mondiale d’actions pour lutter contre la crise de l’eau en milieu urbain et relever les défis du changement climatique. 2Coalition qui a pour mission de propulser l’accès à l’eau potable en tête des priorités des entreprises.
Il y a 2 ans et 240 jours

Un projet de liaison électrique entre la France et l'Irlance

Le gouvernement a déclaré d'intérêt public le projet de créer une première liaison électrique France-Irlande, pour favoriser le développement des renouvelables et renforcer la sécurité d'approvisionnement des deux pays.
Il y a 2 ans et 240 jours

Nice Motion-Control : un seul dispositif suffit pour capter les mouvements, la lumière et la température

Zoom sur ce détecteur sans fil, en mesure de capter le mouvement, la température et l’intensité lumineuse en un seul appareil.Les multifacettes du montion-controlIntelligent et sans fil, le Motion Control est conçu spécifiquement pour un usage intérieur. Grâce à ses multiples usages, il sait se rendre indispensable que l’on soit chez soi ou loin de son habitat.Sécurité : Le Motion-Control sécurise le logement grâce à son capteur de mouvement. Il détecte également les changements de position et les tentatives de sabotage du boîtier extérieur. En cas d’incident l’utilisateur est notifié instantanément sur son smartphone. Unique en son genre, il dispose d'une fonctionnalité de détection des tremblements de terre dès le 4ème degré de l’échelle de Mercalli.Confort de l’habitat : Equipé d’un capteur de température intégré, le Motion-Control est sensible aux moindres variations de températures et détecte l’intensité lumineuse. C’est l’accessoire idéal qui, via les informations transmises à la box domotique Yubii Home, permet de gérer les protections solaires pour réduire efficacement la température intérieure et améliorer le confort d’été en toute autonomie.Pratique, la diode LED du Motion-Control donne des informations visuelles sur le mouvement, le niveau de température ou son mode de fonctionnement.A l’aide des capteurs et des informations communiquées à la box domotique Yubii Home, l’habitat s’adapte à toutes les possibilités et devient ainsi plus sûr, efficace et confortable.Il est fourni avec une fixation universelle permettant une installation rapide, non-invasive et sur toutes surfaces. Le Motion-Control est alimenté par pile et fonctionne sur une communication sans fil via le protocole Z-Wave et Z-Wave Plus.
Il y a 2 ans et 240 jours

La Société du Grand Paris et les syndicats du BTP s'allient pour renforcer la sécurité

La Société du Grand Paris (SGP), l’Internationale du bois et du bâtiment (IBB), la CFDT Construction, la CGT Construction et FO ont signé, le 21...
Il y a 2 ans et 240 jours

La Société du Grand Paris et les syndicats du BTP main dans la main pour renforcer la sécurité

La Société du Grand Paris (SGP), l’Internationale du bois et du bâtiment (IBB), la CFDT Construction, la CGT Construction et FO ont signé, le...
Il y a 2 ans et 241 jours

Borne sous pression sur les retraites et la taxation des profits

La coalition de gauche Nupes faisait au même moment monter la pression sur le gouvernement, avec une proposition de loi pour taxer les "superprofits" des grandes entreprises et tenter d'obtenir un référendum d'initiative partagée, qui ne manquera pas d'animer les débats budgétaires. "Nous espérons que cette procédure va créer un rapport de force" avec la majorité présidentielle, a insisté le socialiste Olivier Faure.La question a aussi été évoquée lors des échanges à Matignon. "Dans une économie de guerre, il faut dégager des recettes exceptionnelles", a plaidé Patrick Kanner au nom des sénateurs PS."On en reparlera" lors du débat budgétaire, a promis le ministre des Relations avec le parlement, Franck Riester, lors d'un point presse en fin de journée."Concertation et écoute permettront de mener les réformes nécessaires pour le pays", a fait de son côté valoir dans un tweet la Première ministre qui, privée de majorité absolue à l'Assemblée nationale, prône le dialogue dans l'espoir de bâtir des "majorités de projet".Elle n'exclut pas cependant, pour le vote du budget à l'automne, le recours à l'article 49.3, qui permet l'adoption d'un texte sans vote sauf motion de censure, car "les Français ne nous ont pas demandé l'immobilisme".Balayant le calendrier législatif, de l'assurance chômage au budget en passant par les énergies renouvelables, ses interlocuteurs ont été nombreux à dire leur hostilité à l'idée d'un amendement sur les retraites dans le Projet de loi de financement de la Sécurité sociale (PLFSS)."Contradictoire"Le président Emmanuel Macron avait évoqué cette éventualité, souhaitant une application "dès 2023". Une décision qui "appartiendra" au gouvernement, avait-il ajouté.Prudente, Mme Borne ne s'est toujours pas exprimée sur le sujet. "Le moment venu, le président de la République et Première ministre trancheront, tant sur la forme que sur le fond", mais "pour prendre des décisions, c'est important d'écouter", a affirmé M. Riester."Si c'est l'amendement, le gouvernement s'empalera", a prédit le chef de file des sénateurs LR Bruno Retailleau, qui juge la réforme des retraites nécessaire, mais fustige une façon de faire "totalement contradictoire avec la fameuse nouvelle méthode (basée sur le compromis, NDLR) proclamée par le président de la République".Ce serait "une violence faite au débat parlementaire autant qu'au dialogue social", a jugé pour les députés PS Boris Vallaud, pour qui le compromis "n'a été dans la pratique du gouvernement qu'un mot".Communistes et écologistes avaient auparavant également rejeté l’hypothèse d'un amendement.L'éventualité divise jusque dans la majorité.Reçue en premier avec ses homologues du MoDem et d'Horizons, la cheffe de file des députés Renaissance, Aurore Bergé a plaidé "collégialement" en faveur d'une "décision rapide" sur les retraites.Si le gouvernement devait recourir à l'article 49.3 de la Constitution, ce sera "la responsabilité des oppositions", selon elle."Pas un scandale"Mais le président du groupe MoDem à l'Assemblée nationale, Jean-François Mattéi, a redit à la Première ministre l'opposition de ses députés à un tel amendement, même s'il approuve "la nécessité d'une réforme"."Nous avons été élus pour agir, non pas pour procrastiner", a plaidé de son côté le président du groupe Horizons au Palais-Bourbon Laurent Marcangeli, qui sera "au rendez-vous de la réforme", tandis que le sénateur macroniste François Patriat rappelait que le Sénat, à majorité de droite, amendait chaque année le budget sur les retraites.En termes de méthode, le projet de loi sur les énergies renouvelables "sera un bon test" pour "voir si le gouvernement est en capacité justement de rebondir sur (les) propositions" d'EELV et parvient à "trouver d'autres majorités", a dit espérer le sénateur écologiste Guillaume Gontard.Son homologue à l'Assemblée nationale, Cyrielle Châtelain, a réclamé une "politique à la hauteur (du) bouleversement" climatique, et redit son "opposition complète" aux réformes "libérales" de l'assurance chômage et des retraites.La Première ministre doit encore recevoir jeudi Marine Le Pen (RN) et Olivier Marleix (LR), puis le 30 septembre Mathilde Panot (LFI).
Il y a 2 ans et 241 jours

Épisodes méditerranéens : comment éviter les dégâts des crues brutales ?

Quelles sont les mesures de prévention ?Si l'intégralité de la France est concernée par un risque d'inondations, même mineur, quinze départements du sud sont particulièrement exposés aux crues brutales à cause des épisodes méditerranéens, ces systèmes orageux capables de déverser des mois de pluies en quelques heures.Comme pour tout risque naturel, divers plans de prévention et de gestion existent, sans cesse révisés avec la récurrence des catastrophes. En 2020, la tempête Alex faisait dix morts, huit disparus, 13.000 sinistrés et environ un milliard d'euros de dégâts dans les Alpes-Maritimes.Depuis les années 1990, des "plans de prévention du risque inondation" (PPRi) établissent la cartographie des dangers et réglementent l'occupation des sols. Annexés aux Plans locaux d'urbanisme (PLU), ils peuvent mener à des interdictions de construire ou à des restrictions, comme l'impossibilité de doter sa maison d'un sous-sol.Ces contraintes se doublent d'initiatives des collectivités, les Programmes d'actions de prévention des inondations (PAPI), ouvrant droit à des subventions de l'État : études du risque local, entretien des cours d'eaux, construction d'ouvrages de protection...Depuis 2011, 69 PAPI ont été labellisés dans les quinze départements concernés, soit un milliard d'euros d'actions (sur 2,6 milliards au national), dénombre la Direction générale de la prévention des risques (DGPR) au ministère de la Transition écologique.Environ un quart a servi aux délocalisations de "plus de 800 foyers (183 dans l'Aude, 383 dans le Gard et environ 250 dans les Alpes-Maritimes)", selon les chiffres du ministère.Les outils d'alerte se sont aussi multipliés: outre les vigilances de Météo-France et des systèmes d'alertes par SMS, le service Vigicrues s'est enrichi au printemps d'une application mobile avec des notifications personnalisées.Axe majeur de prévention, le gouvernement a relancé en août ses campagnes d'information sur les bons réflexes: "ne pas aller chercher ses enfants" ; "reporter ses déplacements", "rester dans un bâtiment" en hauteur ; "ne pas prendre sa voiture, car quelques centimètres d'eau suffisent à l'emporter", etc.Quelles sont les pistes d'amélioration ?"La plupart des crues sont prévisibles par Vigicrues", rappelle Sybille Muller, cheffe du bureau des risques d'inondation à la DGPR. Ce qui permet d'activer au plus tôt les Plans communaux de sauvegarde (PCS), c'est-à-dire les mesures en cas de crise, en premier lieu les plans d'évacuations."Mais ça ne sert à rien d'avoir un bon plan si on ne s'entraîne pas", ajoute Véronique Lehideux, cheffe du service des risques naturels et hydrauliques au ministère de la Transition écologique."Jusqu'ici on a beaucoup travaillé sur l'acquisition des bons réflexes, mais il faut désormais développer une culture de l'exercice", comme ceux contre les incendies organisés tous les ans et entrés dans les moeurs, souligne la haute fonctionnaire.Adoptée fin 2021, "la loi Matras" sur la sécurité civile "a renforcé les exigences d'exercices" et les autorités comptent étendre cette "logique de crise", "déjà très développée dans les territoires ultra-marins", précise Mme Lehideux.Les grandes lignes de ce qu'il reste à faire sont recensées dans les Plans de gestion des risques d'inondation (PGRI), déclinés sur cinq ans au niveau local.Celui du bassin hydrologique Rhône-Méditerranée prévoit notamment pour la période 2022-2027 d'"améliorer les capacités d'écoulement", alors que l'urbanisation et l'imperméabilisation des sols n'ont cessé d'accentuer le ruissellement.Cela va de la coupe d'arbres fragiles, susceptibles d'être emportés et de former des barrages en s'accumulant sous les ponts, à la destruction d'ouvrages ayant étroitisé les cours d'eau, en passant par les "solutions d'adaptation fondées sur la nature" (SaFN). Il s'agit par exemple de restaurer des zones humides pour étaler les crues, décompacter les sols grâce aux systèmes racinaires des arbres ou multiplier les "noues paysagères" (larges fossés en pente douce pour accueillir les eaux pluviales)."Ces solutions sont à la mode et ont un rôle contributif pour atténuer les catastrophes naturelles", note Sybille Muller, "mais il faut être réaliste : il y a des risques climatiques qui nécessitent des constructions en durs", comme les digues et barrages redimensionnés à la hauteur du danger.
Il y a 2 ans et 241 jours

Essonne : aménagement d’un giratoire sur la RD 35 pour plus de sécurité.

Le conseil départemental a pris en charge la création d’un nouveau rond-point à l’intersection de la RD 35 et de la rue de la Folie Bessin à...
Il y a 2 ans et 241 jours

Essonne : aménagement d’un giratoire sur la RD 35 pour plus de sécurité.

Le conseil départemental a pris en charge la création d’un nouveau rond-point à l’intersection de la RD 35 et de la rue de la Folie Bessin à...
Il y a 2 ans et 242 jours

La piste d'une réforme des retraites dans le prochain budget de la Sécurité sociale n'est "pas tranchée", selon Dussopt

Malgré l'opposition unanime des syndicats, qu'il a rencontrés lundi, le ministre du Travail a confirmé sur RTL que la piste d'une réforme par un amendement au budget de la Sécu "fait partie des scénarios" envisagés par l'exécutif.Assurant vouloir "éviter ce qu'on appelle un passage en force", il a toutefois rappelé que "si nous sommes bloqués, si nous sommes dans une impasse, s'il n'y a aucune volonté d'accompagnement, nous disposons d'outils dans la Constitution"."Il est normal que le gouvernement se garde toutes les possibilités", a-t-il insisté, ajoutant que la stratégie "n'est pas tout à fait tranchée" et est encore "en cours de réflexion et de travail".L'objectif reste néanmoins "d'équilibrer le système" de retraite, menacé par le retour des déficits selon M. Dussopt, qui a évoqué une perte de "plus de 12 milliards" d'euros en 2027 et d'une "vingtaine de milliards" en 2030. Pour y remédier, l'idée d'un recul de l'âge légal de départ ou d'un allongement de la durée de cotisations tient la corde. "On pourrait mixer les deux mesures", a suggéré le ministre, évoquant "éventuellement des contreparties" sur "le niveau minimum de pension et la question de la pénibilité".A charge pour les syndicats de "dire ce qu'ils veulent comme améliorations", mais "aussi comment c'est financé", a-t-il souligné, répétant que cela "passe par plus de travail, à l'échelle de la société (et) à l'échelle d'une vie".
Il y a 2 ans et 242 jours

Les autorités sanitaires suggèrent de mieux reconnaître certains cancers liés à l'amiante

Ces deux types de cancers sont "sous-déclarés et sous-reconnus", quand ils sont liés à une exposition professionnelle à l'amiante, a estimé dans un communiqué l'Agence nationale de sécurité sanitaire (Anses).Celle-ci, qui avait été saisie par plusieurs ministères (Santé, Travail...) pour évaluer le sujet, vient de rendre un rapport dans lequel elle confirme l'existence d'un lien de cause à effet entre ces cancers et l'exposition à l'amiante.En revanche, l'Anses n'a pas examiné le lien entre l'amiante et d'autres cancers - pharynx, estomac, colorectaux -, alors que cela lui avait été demandé. Elle explique ce choix par des considérations de "ressources" et de "calendrier".L'amiante, utilisé pendant plusieurs décennies au cours du XXe siècle dans la construction de bâtiments, est désormais interdit dans de nombreux pays comme la France, en raison de ses effets dangereux pour la santé.Son lien avec les cancers du larynx ou des ovaires était déjà reconnu depuis plusieurs années par différents organismes, dont l'Institut de veille sanitaire - ancêtre de l'actuel Santé publique France - et, à l'étranger, le Centre international de recherche sur le cancer, lié à l'ONU.Il est toutefois documenté de manière moins bien détaillé que pour d'autres cancers, comme ceux de la plèvre ou du poumon."L'amiante étant couramment associé aux cancers des poumons et de la plèvre, ni les médecins ni les malades ne font le lien avec d'autres cancers", a regretté Alexandra Papadopoulos, cadre de l'Anses, citée dans le communiqué.L'institution ouvre donc la voie à une meilleure indemnisation des malades, en favorisant leur reconnaissance comme maladie professionnelle. Elle se prononce pour la création de tableaux de maladies professionnelles pour ces deux types de cancers, comme c'est déjà le cas pour ceux des voies bronchopulmonaires.Une telle mesure créerait une "présomption d'origine" pour les cancers concernés, ce qui faciliterait les démarches des patients."Actuellement, il est déjà possible de faire reconnaître ces cancers en tant que maladie professionnelle, mais cela demande à la victime d'apporter la preuve du lien entre le cancer et son travail", a expliqué Mme Papadopoulos.
Il y a 2 ans et 242 jours

Certivea et la Smart Buildings Alliance récompensent les bâtiments connectés et communicants les plus remarquables

Des projets remarquablement innovants qui permettent de répondre dès maintenant aux enjeux de sobriété et flexibilité énergétique, et apportent aux utilisateurs des services adaptés au plus près de leurs besoins (qualité de vie, sécurité, maintenance, connectivité, etc.).Pour Patrick Nossent, Président de CERTIVEA : « Depuis 4 ans, le label Ready2Services aide les acteurs dans la transition numérique de l’immobilier. Un virage qui permet de faire d’un bâtiment une véritable plateforme de services intégrés pour répondre notamment aux enjeux immédiats de sobriété et de flexibilité énergétique tout en offrant les services numériques maintenant indispensables aux utilisateurs. Ces Trophées sont aujourd’hui l’occasion de célébrer l’engagement des lauréats et de montrer la voie à tous les acteurs de la filière pour porter le développement des bâtiments connectés, intégrés dans la ville durable et intelligente. »Pour Sébastien Meunier, Président de la Smart Buildings Alliance : « Le label R2S et ses extensions servicielles apportent une solution concrète à tous les acteurs de l’immobilier pour les accompagner dans leur transition énergétique et numérique. Bien au-delà de la seule connectivité du bâtiment, la démarche Ready2Services porte une vision du numérique responsable et créateur de valeur pour les occupants, les exploitants, les gestionnaires d’immeubles et les propriétaires. Elle propose un socle solide pour répondre aux objectifs de sobriété énergétique dans le bâtiment et aider tout le secteur à consommer moins et consommer mieux. La SBA est fière aujourd’hui de participer à la remise des Trophées R2S qui distinguent des acteurs et réalisations remarquables en termes de performances et de services numériques. »Le palmarès 2022 des Trophées Ready 2 ServicesCatégorie « Bâtiment Neuf »Immeuble Origine – ICADE – Nanterre (92)2 immeubles de bureaux neufs situés à Nanterre (92), dans le prolongement de Paris-La Défense, intégrés dans un ensemble mixte formant un îlot urbain ouvert sur la ville, occupés par le groupe Technip Energies.[Fiche d’identité complète, cliquez ici]Catégorie « Bâtiment en Exploitation »Immeuble Wave – VINCI Energies – Lille (59)Livré en 2019, WAVE est le siège régional de VINCI Energies, situé dans le quartier central de la métropole Lilloise avec Euratechnologies, 1er incubateur de startups en France.[Fiche d’identité complète, cliquez ici]Catégorie « Bâtiment en Rénovation »Le ‘156’ à Paris – MAIFLe nouveau bâtiment MAIF a accueilli en 2020 ses premiers occupants provenant de 3 sites parisiens. Le bâtiment a fait l’objet d’une rénovation concertée, avec notamment des objectifs environnementaux et numériques.[Fiche d’identité complète, cliquez ici]Catégorie « Campus »Campus Région du numérique Charbonnières-les-Bains - Région Auvergne-Rhône-AlpesOuvert depuis janvier 2021, le campus accueille des étudiants, enseignants, entreprises et industriels sur un espace de 11 ha. Le lieu se veut un catalyseur d’innovations permettant d’accompagner la transformation numérique des acteurs régionaux.[Fiche d’identité complète, cliquez ici]Top 3 des acteurs qui cumulent le plus grand nombre de m² labellisés ou en cours de labellisationCovivioIcadeRedman[Plus de détails, cliquez ici]Le Label R2S, la meilleure preuve qu’un bâtiment est équipé, connecté et sécurisé pour des services numériques performants et durablesReady2Services (R2S) est le socle de la famille des labels ‘Numérique’ délivrés par CERTIVEA. Déployé dès 2018, le label R2S, fruit de la collaboration entre CERTIVEA et la Smart Buildings Alliance, a été conçu pour aider les acteurs, quel que soit leur secteur, dans le déploiement d’infrastructures numériques sûres, évolutives et performantes, pour améliorer le bien-être, la performance et la durabilité au sein des bâtiments tertiaires, quelle que soit leur étape de vie (neuf, exploitation ou rénovation).Les bâtiments labellisés R2S répondent à des exigences couvrant six thèmes complémentaires : Connectivité - Architecture Réseau – Equipements et interfaces – Sécurité numérique – Management Responsable – Services Numériques.Une nouvelle version du label a été lancée à l’été 2022. Ces 4 années ont en effet été l’occasion de nourrir une réflexion poussée autour de l’évolution de ce label unique en son genre, en prenant en compte les retours d’expériences, les réglementations récentes, mais aussi les attentes des maîtres d’ouvrage, bureaux d’études, prestataires… Parmi les nouveautés de la nouvelle version, on notera une prise en compte accrue des réseaux sans fil (Wi-Fi, GSM, IoT, géolocalisation), l’ajout d’un critère sur la présence d’un Building Operating System (BOS) ou encore la fiabilité de la connexion internet. Autres points importants : la clarification du rôle des protocoles (BACnet, LonWorks, KNX…), qui ont toute leur place dans un bâtiment labellisé R2S, et l’accent mis sur un numérique plus responsable et performant afin de réduire l’empreinte environnementale du bâtiment.Le label R2S en données clés+100 : Bâtiments labellisés ou en cours de labellisation R2S1,7 M de m² :Surface cumulée des bâtiments engagésX 3 : Progression du nombre de projets engagés entre 1er trimestre 2021 et 202250/50 : Répartition des projets entre IDF et reste de la France+100 : Référents R2S formés à travers la France
Il y a 2 ans et 243 jours

La fin de la tour-capsule Nagakin

La tour-capsule tokoyïte Nagakin a été démantelée. [©Creative Commons Attribution-Share Alike 4.0] Située dans le quartier de Ginza à Tokyo, la tour-capsule Nagakin est la première œuvre majeure de l’architecte japonais Kisho Kurokawa (1934 – 2007). Ce dernier est reconnu comme l’un des fondateurs du Mouvement métaboliste. Qui connaît son âge d’or dans les années 1970 avec la tenue de l’Exposition universelle de 1970, à Suita (Osaka). Puis, l’inauguration de la tour Nakagin, à Tokyo en 1972. Un démantèlement devenu obligatoire L’emplacement retenu pour la tour-capsule se situe à Ginza, à la croisée des quartiers qui concentrent une majorité de bureaux d’affaires et donc avec eux, les futurs locataires visés par l’architecte. En 1972, le Sud du quartier de Ginza présente un paysage urbain peu élevé. La vue offerte par les derniers étages de la tour permet donc de bénéficier d’un panorama dégagé. Les allures de vaisseau spatial de la tour-capsule sont visionnaires pour les années 1970 et la tour devient vite un symbole emblématique de la capitale japonaise. Mais avec le temps, elle ne respectait plus certaines règles de salubrité et de sécurité impératives. En particulier, les problématiques sismiques. Il faut dire que la tour était prévue pour être rénovée tous les 25 ans. A raison d’un coût de 70 000 € par capsule, cette rénovation n’a jamais eu lieu. Il a donc été décidé qu’elle serait démantelée par la société Tokyo Build, faute de moyens pour la rénover. Il s’agit d’un démantèlement et non d’une démolition. Certaines capsules ont trouvé acheteurs, d’autres seront exposées dans des musées aux quatre coins du monde, comme le Centre Pompidou par exemple… M. C.
Il y a 2 ans et 243 jours

Elec calc 2022, le logiciel qui révolutionne la conception électrique des bâtiments

Dans cette nouvelle version, les innovations sont orientées autour de la sécurité des installations électriques et de la continuité d’exploitation. Il sera possible aussi de répondre aux enjeux des Smart Grids car le logiciel, dans la version elec calc GRID, permet de prendre en compte les flux de puissance provenant d’une source photovoltaïque.Pour Jérôme Mullie, Directeur Technique Trace Software : « Aujourd’hui la continuité d’exploitation est un enjeu majeur dans beaucoup d’applications, il est donc indispensable de pouvoir intégrer tous les paramètres de réglage pour effectuer rapidement des analyses, et ainsi optimiser la sélectivité de l’installation. Dans la version 2022, nous avons développé un simulateur de défaut qui, en temps réel et en tous points de l’installation, permet à l’utilisateur d’obtenir la séquence de déclenchement des protections. »Parmi les nouveautés d’elec calc :Le contrôle de coordination entre les disjoncteurs et les interrupteurs sur la base des tables fabricantsLa gestion de la temporisation long retard ainsi que la fonction i2tLa vérification de la sélectivité différentielleLa simulation des différents défauts de court-circuit en tous points de l’installation afin de connaître la séquence de déclenchement des protections en amontLa prise en compte de la source PV avec elec calcTM GRID. Elle sera définie automatiquement en source à puissance contrôlée avec la puissance active et réactive imposée.Intégration des contrôles sur les bornes IRVE définis dans le guide 15-722 et le label EV ReadyLa prise en compte du classement de résistance au feu Euroclasses pour les canalisationsLe connecteur vers la plateforme Onfly de BIM&CO pour récupérer les bases de bornes IRVE et d’onduleurExport du projet vers Hagercad.T, logiciel de conception et de chiffrage d’armoiresLes clients ayant un abonnement sont automatiquement avertis depuis leur logiciel de la disponibilité de cette nouvelle version.
Il y a 2 ans et 244 jours

Retraites : reçus par Dussopt, les syndicats pas rassurés

Dialogue de sourds au ministère. Invités à discuter du dernier rapport du Conseil d'orientation des retraites (COR) publié la semaine dernière, les syndicats n'ont pu que constater leurs désaccords avec un Olivier Dussopt suspecté de "noircir la perspective financière pour légitimer une mesure qui interviendrait rapidement", selon Yvan Ricordeau, négociateur attitré de la CFDT.Au contraire, "il n'y pas le feu dans le système de retraite, donc ne mettons pas le feu dans le pays sur cette question", a-t-il dit.Une position partagée par toutes les organisations présentes. "Il n'y a pas péril en la demeure", affirme ainsi Catherine Perret au nom de la CGT, qui menace par avance de "couper immédiatement toute discussion avec le gouvernement" et de "rentrer dans la confrontation sociale" si une réforme des retraites était intégrée au prochain budget de la Sécurité sociale.A une semaine de la présentation du projet de loi, "cette piste, y compris avec passage par le 49-3, n'a pas été écartée", indique Cyril Chabanier. Pour le leader de la CFTC aussi, un tel "passage en force" mettrait "fin aux concertations" et déboucherait "sur un conflit qui irait sûrement dans la rue". L'exécutif "nous trouvera sur sa route", prévient Michel Beaugas, chef de file pour Force ouvrière, qui "appellera à la manifestation et certainement à la grève" pour contrer un éventuel recul de l'âge légal ou de la durée de cotisation."S'ils s'entêtent, il y aura des réactions extrêmement fortes", prédit son homologue de l'Unsa, Dominique Corona, souhaitant que le gouvernement "entende cet avertissement fort, clair et précis". Ce ne semble pas être le cas pour le moment. "On a senti qu'Olivier Dussopt rôdait les éléments de langage pour passer une mesure rapidement", avance le numéro un de la FSU, Benoît Teste.Le patron de la CFE-CGC, François Hommeril, fait la même lecture: "Le ministre nous dit que les déficits à venir vont être terrifiants, et que le seul moyen de les affronter, c'est de demander aux salariés de travailler plus longtemps".
Il y a 2 ans et 244 jours

Un gratte-ciel en Chine ravagé par un incendie

Le feu, désormais éteint, a touché le bâtiment de l'opérateur téléphonique China Telecom à Changsha. Cette ville peuplée de 10 millions d'habitants est la capitale de la province du Hunan.Les impressionnantes images diffusées par la télévision publique CCTV montraient d'immenses et puissantes flammes orange ravager tout un côté du bâtiment, qui compte 42 niveaux en surface.Sur des vidéos diffusées sur les réseaux sociaux, on peut voir une fumée noire extrêmement dense s'échapper de l'immeuble et des passants s'enfuir afin d'éviter d'être touchés par des débris incandescents tombés du ciel."Selon une enquête préliminaire", l'incendie "se serait déclaré sur un mur extérieur du bâtiment", ont indiqué les pompiers de la province sur le réseau social Weibo."Le feu a été éteint et aucune victime n'a été trouvée", ont-ils souligné, disant avoir reçu le premier appel au secours à 15H48 (07H48 GMT).Immeuble calcinéDes internautes ont publié des images d'un long bras articulé des pompiers projetant à l'aide d'une lance de l'eau sur la carcasse noire du bâtiment en partie calciné."L'incendie a été éteint vers 16H30" et "les communications (téléphoniques) n'ont pas été interrompues", a précisé China Telecom dans un message publié sur Weibo, confirmant l'absence de victime pour le moment.La construction du gratte-ciel avait été achevée en 2000, selon CCTV.Cette relative modernité de l'immeuble pourrait expliquer en partie l'absence de victime pour le moment, des exercices anti-incendie étant régulièrement pratiqués dans les bâtiments des grandes villes.Des précédentsDes incendies mortels surviennent toutefois régulièrement en Chine, où l'application parfois laxiste des consignes de sécurité et les constructions illégales peuvent compliquer l'évacuation d'un bâtiment en feu.En juin 2021, dans la province du Henan (centre), l'incendie d'une école d'arts martiaux avait fait 18 morts, pour la plupart des élèves âgés de sept à 16 ans.Les médias officiels avaient indiqué que le bâtiment abritant l'école n'avait pas passé les contrôles de sécurité obligatoires. L'événement avait provoqué un tollé en ligne et une mobilisation sur les réseaux sociaux pour de meilleures normes anti-incendie.En 2017, deux incendies avaient tué plus d'une vingtaine de personnes dans des quartiers de Pékin habités par des travailleurs migrants venus d'autres provinces.En 2010, un vaste incendie avait ravagé un immeuble résidentiel de 28 étages à Shanghai, tuant 58 personnes.
Il y a 2 ans et 244 jours

25 ans après son interdiction, l’amiante continue de peser sur nos vies

Un numéro hors-série de 84 pages, pour rouvrir le dossier de l’amiante, véritable boîte de Pandore, dont on n’a pas fini de mesurer les conséquences. Une enquête fouillée et édifiante sur les millions de tonnes de matériaux toxiques qui subsistent dans de nombreux bâtiments, notamment dans les écoles de la République. Le média révèle également, alors même que leur importation est formellement prohibée, que des produits manufacturés contenant de l’amiante continuent de franchir les frontières de l’Europe. Un nouvel acte, dans cette tragédie sans fin, est en train de se jouer.L’amiante d’aujourd’hui, ce sont les cancers de demainPour réaliser ce hors-série consacré aux 25 ans du scandale de l’amiante, la rédaction d’Infodiag a interrogé de nombreux grands témoins, dont la sociologue de la santé Annie Thébaud-Mony, présidente de l’Association Henri-Pézerat, du nom de son compagnon, lanceur d’alerte en matière d’amiante dès les années 1970. Pour cette spécialiste des maladies professionnelles, on peut véritablement parler d’un « crime industriel ». « J’ai été impressionnée par la mortalité précoce chez les ouvriers. Mourir d’un cancer à 40-50 ans n’est pas la même chose que de mourir d’un cancer à 80-90 ans. Je ne m’y fais pas, je trouve toujours ça terrible », souligne-t-elle. Dans cet entretien, Annie Thébaud-Mony évoque également avec colère les années 80, et « l’usage contrôlé de l’amiante » qui constituait à ses yeux une véritable mystification. Pendant longtemps, rien n’a bougé. Et puis, en 1995, des études publiées en Grande-Bretagne ont montré que l’on s’acheminait vers une catastrophe sanitaire similaire à celle du sang contaminé. C’est alors que le couvercle a sauté.Seule une volonté politique peut changer la donne…Suite à son interdiction de 1997, la production et la commercialisation de l’amiante ont été stoppées. Mais le combat n’est pas fini. Les équipements de protection respiratoire utilisés sur les chantiers ne sont pas suffisamment étanches pour éviter l’inhalation de fibres d’amiante. Il faut donc abaisser encore les valeurs limites de façon drastique et envisager des équipements comme ceux utilisés dans l’industrie nucléaire. Le problème tient au coût très élevé du désamiantage. À partir de là, les considérations économiques reprennent le pas sur la santé. Le ministère du Travail ou les parlementaires arguent qu’un renforcement de la réglementation mettrait les entreprises en difficulté avec des milliers d’emplois supprimés.Pour Aline Archimbaud, qui a présidé le Comité de suivi de l’amiante au Sénat, autre grand témoin interrogé par Infodiag : « Seule une volonté politique, avec un pilotage national, peut changer la situation. Nous ne pourrons pas tout désamianter du jour au lendemain, vingt, trente ans ou plus seront nécessaires. Si nous n’avons pas une stratégie nationale pour identifier les urgences, nous ne nous en sortirons pas. »L’amiante à l’école : une vraie bombe à retardementLe hors-série d’Infodiag révèle un autre scandale. En France, 8 établissements scolaires sur 10 sont concernés par l’amiante, sans que l’on sache forcément où il se trouve. La réglementation est sans doute bien faite, mais elle demeure très mal appliquée dans les écoles de la République. La seule enquête réellement sérieuse qui ait été menée sur le sujet remonte à 2016. 20.000 établissements ont alors répondu à un questionnaire de l'Observatoire national de la sécurité et de l’accessibilité des établissements d’enseignement (ONS), organe de l'éducation nationale aujourd'hui disparu. Ce qu’il en est ressorti : 85% des établissements scolaires français sont sortis de terre avant 1997. Leurs bâtiments sont donc concernés par l’amiante et par l’obligation de remplir un Dossier technique amiante (DTA). Or, 30% des établissements ayant répondu à l’enquête ont indiqué ne pas disposer de ce document.38% des DTA des écoles publiques comptent au moins un matériau amianté (cela s’élève à 77% pour les lycées publics et 80% pour les lycées professionnels).En 2022, l’amiante continue de frapper durement le corps enseignant. Chaque année, on recense peu ou prou une douzaine de maladies professionnelles liées à l’amiante ; soit près de 10% des maladies professionnelles reconnues au sein de l’Éducation nationale.
Il y a 2 ans et 244 jours

Amiante : deux autres cancers bientôt reconnus comme maladies professionnelles ?

SANTÉ AU TRAVAIL. Un lien existe entre le fait d'être exposé à l'amiante et celui de développer un cancer des ovaires et du larynx, assure l'Agence nationale de sécurité sanitaire (Anses).
Il y a 2 ans et 244 jours

Des gants alliant confort – écologie – sécurité signées Würth

Les nouveaux Ecoline E-100 par Würth [©ACPresse] Pour assurer la sécurité des travailleurs, Würth lance ses nouveaux gants Ecoline E-100. Fabriqués à partir de coton recyclé, ces gants allient confort, sécurité et style. Le tissu de renfort et le latex naturel robuste permettent une bonne prise en main. Utilisables dans des environnements aussi bien secs qu’humides, ils sont durables et ne se détériorent pas. Les gants Ecoline E-100 assurent la sécurité du travailleur. Ils protègent même contre une chaleur de 250 °C sur une courte durée. L’alliance du blanc et du vert assure une esthétique efficace qui ne passera pas inaperçue.   Würth, l’appui sur la sécurité Depuis plusieurs années, le groupe allemand Würth s’implique dans la sécurité des travailleurs. L’industriel commercialise notamment des échafaudages sécurisés, des armoires de sécurité ou des rubans de signalisation. Il propose aussi aux professionnels des vêtements haute visibilité et des chaussures de sécurité. Depuis 2020, Würth France forme les professionnels à la sécurité au travail. Ces formations sont données dans leur centre spécialisé : le “Würth training center”. 
Il y a 2 ans et 244 jours

Marion Martinez nouvelle chargée de mission Sud-Est du SNBPE

Marion Martinez, nouvelle chargée de mission Sud-Est du SNBPE [©SNBPE] Le Syndicat national du béton prêt à l’emploi (SNBPE) annonce la nomination de Marion Martinez. Elle intègre le syndicat au poste de chargée de mission Sud-Est. Ayant pris ses fonctions le 22 août dernier, elle devra assurer la promotion des solutions bétons dans le cadre de la RE 2020. Marion Martinez aura pour mission de sensibiliser le grand public sur les angles morts des bétonnières. Et de mettre en lumière les métiers de la filière. Elle reprend aussi la main sur les opérations déjà en cours dans les régions Paca et Occitanie.  Nouveau départ C’est un nouveau challenge pour celle qui a commencé son parcours au sein de la CCI du Var. « Outre l’animation du réseau des adhérents, mes actions vont se concentrer sur les enjeux liés à la RE 2020, à la sécurité. Ceci, à travers des opérations de sensibilisation, par le partage de la voirie et la valorisation des métiers de la filière », explique Marion Martinez. Après des études à l’école de commerce Kedge Business School, elle est titulaire d’un master 2 en communication marketing. De plus, Marion Martinez est diplômée en gestion des entreprises. Depuis son arrivée au poste, elle mène une campagne de sensibilisation du grand public sur les angles morts des bétonnières.  Pour rappel, le SNBPE regroupe plus de 200 adhérents et 1 800 unités de production. Lire aussi : SNBPE : Vingt mille lieux sous la terre