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Résultats de recherche pour services

(5798 résultats)
Il y a 2 ans et 260 jours

Carnet de commandes "record" et nette hausse du bénéfice pour Spie

Le groupe de services techniques aux entreprises Spie affirme son rebond post-confinements avec un bénéfice net en hausse de 26,8% et continue sa politique d'acquisitions, a annoncé le groupe.
Il y a 2 ans et 260 jours

La famille Bouygues dépasse le seuil des 25% du capital de Bouygues

Martin Bouygues, président du conseil d'administration du groupe, son frère Olivier et leurs familles détiennent désormais "25,02% du capital et 29,37% des droits de vote" du groupe, indique l'Autorité des marchés financiers (AMF)."Ce franchissement de seuil résulte d'une acquisition d'actions Bouygues sur le marché", précise l'AMF.Ces parts dans le groupe sont détenus par les deux frères et leurs familles en quasi totalité via leur société commune SCDM, qui a réalisé cette acquisition "en utilisant ses ressources financières disponibles".Selon la déclaration à l'AMF, les familles Bouygues "agissent de concert entre elles et n'ont pas conclu d'accord de concert avec un tiers". Elles indiquent aussi envisager "d'accroître leur participation dans la société Bouygues en fonction des conditions et des opportunités de marché, sans que cela ne leur fasse franchir 30% du capital ou des droits de vote".La réglementation boursière oblige un actionnaire qui dépasse le seuil de 30% d'une entreprise à lancer une OPA (offre publique d'achat).Les familles Bouygues "n'envisagent pas de prendre le contrôle de la société Bouygues", "n'envisagent pas de solliciter de sièges supplémentaires au conseil d'administration" et affirment qu'elles "soutiennent la stratégie actuelle mise en oeuvre par la direction générale de Bouygues".Celle-ci a été confiée en février 2021, à Olivier Roussat, lorsque Martin Bouygues a commencé à passer la main à la tête en dissociant ses fonctions de président et de directeur général.Le groupe français est actuellement engagé dans deux grandes et couteuses opérations de fusion-acquisition.Bouygues tente d'acquérir Equans auprès du groupe Engie, plus grosse opération de rachat jamais réalisée par le groupe créé en 1952, et de mener à bien le rapprochement entre sa chaîne TF1 et M6.Le bouclage du rachat d'Equans, qui regroupe des services techniques allant de la gestion de l'énergie dans les bâtiments à la sécurité-incendie en passant par la climatisation ou le numérique, est toutefois contestée par l'autorité de la concurrence britannique CMA.Bouygues, qui a conclu la séance de mercredi à la Bourse de Paris en baisse de 1,23%, est valorisé à 11,6 milliards d'euros sur la place parisienne.
Il y a 2 ans et 260 jours

HomniPromotion annonce la mise en chantier d’une résidence services seniors Oh Activ à Valence (26)

Situé derrière la Comédie et ouvrant sur la Place Cardonnel, ce chantier a débuté en juillet 2022 et devrait se terminer en 2024. À la suite d’un diagnostic qui avait révélé la présence de vestiges archéologiques, les services de l’État¹ ont prescrit une opération de fouilles préventive sur l’emprise du projet. La fouille archéologique, qui a débuté en septembre pour se terminer à la fin de l’année, a pour objectif de retracer l’histoire de cet îlot urbain, occupé depuis l’Antiquité jusqu’à nos jours. Patrimoine historique du XXème siècle, le bâtiment qui va être réhabilité en résidence services pour seniors autonomes sera rénové en respectant l’architecture originale.Sa situation avantageuse permettra aux résidents d’être à proximité de tous les commerces et services utiles à la vie quotidienne mais aussi de lieux de vie culturels comme le théâtre de la ville.Informations clés sur le chantier HomniPromotion : Promoteur : HomniPromotion Gestionnaire : Oh Activ Architecte : AA Group Bureau d’études fouilles archéologiques : Eveha Adresse : 4 Place Louis le Cardonnel, 26000 Valence Programmation : 89 appartements, du T1 au T3 Services en rez-de-chaussée : restaurant, Live Cube, fab-lab, co-working, ciné-actu, espace bien-être, etc.Le concept Oh Activ par HomniCity Nouvel acteur de l’immobilier serviciel, le Groupe HomniCity révolutionne le marché de l’habitat avec une approche novatrice. Sa filiale d’exploitation Oh Activ, destinée aux seniors autonomes, propose des résidences services seniors (RSS) connectées, inclusives, évolutives, urbaines et ouvertes sur le quartier, répondant aux exigences sociales et sociétales des seniors d’aujourd’hui et de demain. L’approche globale de la construction à l’exploitation garantit à HomniCity une maîtrise continue de la qualité de son offre et lui permet de proposer un immobilier inspiré des besoins et attentes des habitants.Avec le lancement de ce chantier valentinois - première construction dans le département de la Drôme - HomniPromotion compte aujourd’hui 19 projets immobiliers sur l’ensemble du territoire. ¹ (Direction Régionale des Affaires Culturelles – Service Régional de l’Archéologie)
Il y a 2 ans et 261 jours

VIPros MAX

Après les offres Cashback et l'automatisation de leur gestion via la passerelle VIPros Connect, le programme VIPros étoffe encore ses services en lançant VIPros MAX… Un dispositif, développé en partenariat avec les négociateurs du groupe OPTYMEA, qui permet de générer jusqu'à 45% d'économies sur les frais généraux des entreprises artisanales !
Il y a 2 ans et 264 jours

XYLEXPO 2022 : le point de départ d’un nouveau cycle technologique

Du 12 au 15 octobre 2022, à fieramilano Rho, aura lieu Xylexpo, la biennale mondiale des technologies pour le travail du bois et des composants pour l’industrie du meuble, promue par Acimall, l’association des constructeurs italiens de machines et d’outils pour le travail du bois, et organisée par CEPRA. Depuis 1968, exposition unique et immanquable pour les opérateurs du secteur, Xylexpo offre une vision large et exhaustive sur les technologies pour le travail du bois et ses dérivés, en interprétant au mieux l’évolution du secteur grâce à ses multiples facettes. Capable de renouveler continuellement les contenus et les services, à partir de cette édition Xylexpo change la période de déroulement, en passant du printemps à l’automne pour intercepter au mieux les exigences d’investissement des visiteurs qui, dans l’après-pandémie, se « retrouvent » avec un calendrier des salons profondément modifié. En faisant ce choix, Xylexpo sera de fait le point de départ du cycle d’innovation qui caractérisera les deux années suivantes, en s’affirmant comme la scène idéale pour présenter en avant-première les nouveautés technologiques développées par les entreprises, dans le meilleur moment pour récolter les intentions d’achat des utilisateurs, toujours très élevées dans la partie finale de l’année. Enregistrez-vous pour Xylexpo 2022 Reconnue comme le salon mondial pour la haute technologie pour le travail du bois, la manifestation se déroulera en parallèle avec BI-MU, la biennale internationale dédiée au monde des machines-outils pour le travail du métal, des robots, de l’automation, des technologies additives et auxiliaires. UN SALON DIFFÉRENT DE TOUS LES AUTRES L’évolution qui caractérise le secteur bois-ameublement, parmi les plus attentifs à la recherche de l’équilibre parfait entre beau et fonctionnel, doit énormément à l’industrie des machines et des technologies de production, tout comme à celle des composants, des équipements et des matériaux de dernière génération. Réelles forges d’expérimentation capables de donner forme, couleur et interprétation concrète aux idées de ses clients, les entreprises leaders du secteur trouvent depuis toujours en Xylexpo leur point de référence, faisant de cet événement un des moments capables de dicter les « règles » pour toutes les exigences de production au niveau international. STAR INTERNATIONALE Tout en étant solidement liée au marché italien, parmi les plus importants et évolués au monde pour les technologies et les matériaux, et devant satisfaire la demande d’un monde ample et exigent du meuble et du design, Xylexpo a une projection très importante vers l’étranger. Enregistrez-vous pour Xylexpo 2022 Avec un résultat consolidé dans le temps, qui voit les visiteurs étrangers dépasser 30 % du total, Xylexpo fait partie des toutes premières manifestations au monde pour son taux d’internationalité. Un fait qui consolide ultérieurement la capacité d’attraction de la manifestation vers le public international : la présence, comme d’habitude, de nombreuses délégations étrangères organisées par ICE – Agence pour la promotion à l’étranger et l’internationalisation des entreprises italiennes – notre partenaire institutionnel de référence. Pour l’occasion, ICE portera à Xylexpo 150 ouvriers étrangers qui travaillent principalement dans les secteurs de la production de produits semi-finis et finis en bois, spécialement sélectionnés et provenant principalement de la Méditerranée, des Balcans, de l’Est de l’Europe, de la Scandinavie et de la Baltique, pour un total d’environ 20 pays.
Il y a 2 ans et 264 jours

De nouveaux bureaux à haute efficacité énergétique pour Hellio

Des bureaux en cohérence avec l'image et le positionnement de Hellio Hellio a changé son siège social dans un quartier dynamique et en pleine évolution, idéalement localisé sur la ligne 14 du métro. Les équipes de Hellio occupent désormais un plateau de près de 1.500 m2 au 6ème étage de l'immeuble Factory.Ce bâtiment neuf et moderne se veut être proche de l'image de l'entreprise et de son positionnement. L'acteur de référence de la maîtrise de l'énergie a fait le choix d'intégrer ce bâtiment de bureaux conçu dans une démarche environnementale exigeante : HQE Exceptionnel, BREEAM Very Good, WELL Ready ; et qui propose de nombreux services aux utilisateurs.Parmi les caractéristiques notables du bâtiment :Une isolation par l'extérieur des façadesDes protections solaires extérieures (brises soleil orientables)Un éclairage luminaires LEDUne production d'eau chaude faite par la CEVE (CPCU de la ville de Clichy)Une production d'eau glacée faite par 2 groupes froid en terrasseUne ventilation double fluxUne gestion centralisée de tous les équipements techniques« Plus proche de notre image et de notre positionnement, Hellio a changé son siège social dans un quartier dynamique et en pleine évolution, au sein d'un bâtiment à haute efficacité énergétique, en parfaite adéquation avec notre métier de la maîtrise de l'énergie », précise Pierre Maillard, Président Directeur Général de Hellio.
Il y a 2 ans et 265 jours

ISP obtient la certification ISO 45001

Inter Service Pompes vient d’obtenir la certification ISO 45001. [©ACPresse] Inter Service Pompe (ISP) poursuit sa démarche d’amélioration de la qualité de ses services à tous les niveaux. N° 1 du pompage du béton en France, l’entreprise avait déjà obtenu la certification ISO 9001 version 2015 pour l’ensemble de ses activités et de ses entités. « Y compris pour notre atelier de maintenance du matériel, la division Inter Service Dallages ou encore Inter Service Gestion », rappelle Antonio Agostinho, président d’ISP. Cette certification a été renouvelée le 19 juillet dernier. Mais une bonne nouvelle n’arrivant jamais seule, ISP a décroché le même jour l’ISO 45001 version 2018, qui spécifie les exigences du management de la santé et de la sécurité au travail. « A travers cette nouvelle certification, nous sensibilisons et responsabilisons encore plus l’ensemble de nos collaborateurs à la sécurité, confirme Antonio Agostinho. Et garantissons, en même temps, un très important niveau de sécurité à nos clients ». En attendant l’ISO 14001 L’obtention de l’ISO 45001 confirme le sérieux d’ISP en matière de sécurité, action qu’il poursuit depuis des années déjà. Par exemple, à travers le montage systématique de systèmes de détection des lignes à haute tension sur toutes ses pompes à béton… Après les ISO 9001 et 450001, ISP compte bien obtenir encore l’ISO 14001. Cette dernière certification valide le système de management environnemental des entreprises. A suivre donc dans les mois qui viennent…
Il y a 2 ans et 266 jours

Selfbéton, distributeur exclusif de Beton2Go en France

François Behr, Pdg de Selfbéton, devant un distributeur automatique de BPE de Beton2Go. [©Selfbéton] L’industriel allemand Massfeller vient de confier la distribution exclusive sur la France de ses centrales de BPE en libre-service Beton2Go au Mosellan Selfbéton. Cette décision fait suite au remarquable développement des chiffres de vente de Selfbéton depuis le début de la coopération entamée en 2020… En effet, à ce jour, quelque 54 unités de ce type sont en service sur le territoire national ! C’est en 2018 que le premier distributeur automatique de béton prêt à l’emploi (ou centrale en libre-service) Beton2Go a été installé en France. Massfeller avait lui-même pris en charge ce projet. Avant d’ouvrir une coopération avec, entre autres, Selfbéton. Son Pdg François Behr avait développé le concept Selfbéton à partir d’une des premières installations tests françaises au sein de son ancienne entreprise Silix (aujourd’hui cédée au groupe de négoce en matériaux Busca). L’avènement du béton en libre-service « Nous pensons que le marché français pourrait avoir les mêmes opportunités de développement que le marché allemand, explique Lukas Massfeller, Pdg de Beton2Go. Selfbéton est pour nous un partenaire fiable et engagé. Le professionnalisme de l’entreprise dans les opérations de commercialisation et la gestion des services nous ont convaincus. C’est pourquoi nous avons décidé de confier la distribution de nos installations en France à Selfbéton et sous le nom de Selfbéton. » En d’autres termes, la marque Beton2Go n’apparaîtra plus sur le territoire français…   Aujourd’hui, le principe du distributeur automatique de béton prêt à l’emploi tend à se développer en France. Il constitue une alternative à la centrale à béton classique qui peine à servir les “petits” clients – artisans et particuliers – désireux d’acheter une petite quantité de béton. A travers ses unités, Selfbéton répond à ce besoin spécifique, en offrant un service adapté avec une disponibilité immédiate du matériau. Le distributeur automatique Beton2Go lance la production par le biais d’une carte magnétique ou d’un QR-code. Et délivre en quelques minutes la recette de béton souhaitée.
Il y a 2 ans et 267 jours

Le Conservatoire Botanique National de Brest inaugure ses nouveaux bâtiments

Son objet est la connaissance et la préservation du patrimoine végétal sur les régions Bretagne, Pays de la Loire et Normandie ainsi que dans le cadre de partenariats internationaux. Il compte une quarantaine de salariés. Situé dans le Vallon du Stang Alar à Brest, le Conservatoire dispose de biens et moyens mis statutairement à sa disposition par la métropole (locaux, terrains, jardiniers...) pour exercer ses compétences. 400.000 visiteurs par an Les nouveaux bâtiments administratifs, scientifiques et techniques ont été réalisés pour offrir une nouvelle plateforme technique à la hauteur des enjeux (banque de semence, banque de données, centre de documentation, herbier, espaces de réunion...). Ils sont plus rationnels et respectueux des règles environnementales que les anciennes infrastructures devenues vétustes. Ces locaux sont aussi conçus pour être communicants, plus visibles et visitables. Ils s’insèrent dans un jardin botanique dédié, offrant un tour du monde végétal de 30 hectares. Ce site exceptionnel est labellisé Jardin remarquable, Jardin botanique de France et Conservatoire des collections végétales spécialisées. Il est visité chaque année par près de 400.000 personnes. Des bâtiments économes, fonctionnels et respectueux de l'environnementLe groupement de l’atelier Philippe Madec, d’Ingerop Conseil et Ingénierie et d’Horizons paysage a été choisi pour la réalisation des nouveaux bâtiments. Dans ce renouveau architectural, les différents pôles fonctionnels sont répartis dans trois volumes compacts, liés par la serre dont les espaces libres auront vocation à devenir le lieu de rencontres, d’échanges et de détente. Les bâtiments sont de faible hauteur, constitués d’un étage sur rez-de-chaussée. Leur toiture de même pente que la serre contribue à l’unité du lieu. La diversité des lieux mis en place dans les espaces libres de la serre, végétalisés et très lumineux, dans les interstices entre les bâtiments, offre des usages variés d’accueil et de circulation. Les bureaux et laboratoires du Conservatoire ont reçu une attention toute particulière, afin de favoriser l’efficacité et le confort de travail, via des espaces vitrés bénéficiant d’une lumière naturelle. Le choix de la serre traduit une volonté d’intégrer l’aménagement du bâtiment au parc, d’évoquer à travers sa structure les activités du Conservatoire et de structurer l’espace afin d’améliorer sa lisibilité.Cette réalisation répond également à l’engagement de Brest métropole en faveur de l’environnement et de la biodiversité. Le choix des matériaux, l’efficacité énergétique ainsi que la création d’un environnement intérieur sain et confortable sont des critères importants de sélection de ce projet. La conception bioclimatique, une utilisation raisonnée du soleil et des façades à haute performance thermique permettent une insertion en douceur des bâtiments dans le jardin du Conservatoire. Véritable vitrine de la biodiversité de la région, le Conservatoire est donc doté d’un bâtiment dont les matériaux garantissent un impact réduit sur l’environnement. Ces choix (les bois utilisés en charpente et en bardage, la paille comme matériau d’isolation principal, la mise en place de toitures végétalisées et d’un système de récupération des eaux de toiture pour le lavage des véhicules) permettent l’économie de ressources naturelles et le soutien aux filières locales. Le montant de l’opération est de 7 M€ TTC, soit : Brest métropole : 2.9 M€ Etat : 981.000 € Région Bretagne au titre du contrat Pays de Brest : 1.6 M€ Région Bretagne au titre du contrat métropolitain : 900.000 € Conseil Départemental du Finistère : 530.000 € Le Conservatoire Botanique National de Brest – des missions de service public et en expertise reconnue aux échelles régionale, nationale et internationale Le Conservatoire botanique national de Brest assure une mission de service public reconnue par le Code de l’environnement. Cette mission s’exerce en premier lieu sur les régions Bretagne, Normandie et Pays de la Loire où il travaille en étroite collaboration avec les collectivités territoriales, les services de l’État, les gestionnaires d’espaces naturels, les réseaux d’éducation ou encore les organisations internationales, pour mener à bien ses quatre missions, inscrites au code de l'Environnement : Connaître le patrimoine végétal sauvage : étudier les plantes sauvages et les milieux naturels, mesurer leur état de conservation et leur évolution Diffuser des données et informations sur les plantes et les milieux naturels Conserver les éléments les plus rares et les plus menacés en nature, en culture ou en banque de graines Conseiller les acteurs des territoires : fournir des expertises scientifiques et techniquesSensibiliser, informer et former les habitants, les scolaires, les botanistes et les professionnels à la préservation de la biodiversité. En second lieu, le Conservatoire Botanique National contribue aux expertises nationales développées par les 12 Conservatoires botaniques nationaux en lien étroit avec l’Office Français de la Biodiversité et le ministère de l’Ecologie. En troisième lieu, il mène des expertises au niveau international, en priorité dans les hauts lieux de biodiversité (Maurice, Madagascar, Chili, Sicile…) pour accompagner le développement de compétences et de structures au plus près des enjeux de conservation. Le syndicat mixte du CBNB est composé de quatre membres : Brest métropole, le Conseil Régional de Bretagne, le Conseil Départemental du Finistère et l’Université de Bretagne Occidentale. Depuis sa création, en 1975, le Conservatoire botanique a vu ses missions et compétences se renforcer. Il abrite aussi la troisième collection mondiale d’espèces végétales en voie de disparition et rayonne au niveau national et international. Il compte une quarantaines de salariés spécialisés. Si le rôle du Conservatoire botanique est aujourd’hui déjà incontournable sur l’ensemble des questions liées au patrimoine végétal, la période qui s’ouvre devrait asseoir son rôle structurant et accélérer le développement de son activité à l’aune de différents facteurs :L’aggravation des problématiques de préservation de la biodiversitéLa prise en charge du pilotage d’un réseau d’expertise à ancrage régional et inter-régionalL’exigence d’accompagnement des politiques publiques de la biodiversitéLa contractualisation des missions et la nécessité de nombreux partenariatsL’internationalisation des enjeux et le développement des échanges de coopérationL’importance croissante de la communication environnementale et de la pédagogie de l’actionL’inscription du projet dans une logique de polarisation des compétences biodiversité de la Métropole de Brest en prolongement d’Océanopolis, parc de découverte des océans, Centre de Culture Scientifique, Technique et Industrielle de la merLa contribution de plus en plus forte aux réseaux régionaux de diffusion de la connaissance dans le domaine de la biodiversité
Il y a 2 ans et 271 jours

A Narbonne, Cosy Diem imagine un concept d'habitat innovant pour favoriser le "bien vieillir"

Avec ce projet de 100 logements, au concept d’habitat innovant dédié à la nouvelle génération de seniors, privilégiant leur indépendance et leur autonomie, Kaufman & Broad confirme sa volonté de construire des résidences dédiées au « bien vieillir ». L’enjeu est de taille, d’ici 2060, un tiers des Français aura plus de 60 ans et les plus de 85 ans seront plus de 5 millions.Les résidences services seniors Cosy Diem sont une solution d’hébergement et de services, adaptée aux personnes âgées à la recherche d’une nouvelle dynamique de vie. Ces résidences de nouvelle génération ne proposent pas seulement un habitat de qualité, mais également des prestations et services, adaptés et personnalisables, qui permettent de prévenir la dépendance.Une résidence au service du bien vieillir « Aujourd’hui nous sommes fiers d’inaugurer cette première résidence Cosy Diem née de l’alliance avec le Réseau Serenis. Car chez Kaufman & Broad, nous avons une conviction, partagée avec la majorité des Français : la plupart des gens souhaitent vieillir chez eux, en tout cas le plus longtemps possible. C’est pourquoi, alors que nombre de résidences gérées s’adressent à des seniors dits actifs, le concept Cosy Diem s’intéresse également à des personnes fragiles ou en perte d’autonomie qui ont besoin de solutions pour retarder l’apparition de la dépendance, voire l’éviter. C’est une vraie stratégie qui s’inscrit dans les recommandations de l’OMS pour favoriser le vieillir en bonne santé. », souligne Jacques Rubio, Directeur Général Régions Kaufman & Broad. Cosy Diem propose aux seniors des logements indépendants et adaptés, articulés autour d’espaces communs conçus comme de véritables lieux de convivialité, d’activité, de divertissement et de détente. Les résidents sont invités à pratiquer des activités physiques adaptées et à participer à des ateliers diététiques animés par des professionnels afin de maintenir leurs capacités physiques et intellectuelles. Le programme des ateliers personnalisés est fondé sur les stratégies issues des travaux de l’OMS, qui englobent, en amont de la perte d’autonomie, le repérage précoce de la fragilité chez les personnes âgées, afin d’identifier les déterminantes de la fragilité et d’agir dessus pour retarder la dépendance dite « évitable » et prévenir la survenue d’événements défavorables.Pour ce faire, elle s’appuie sur l’expérience du Réseau Serenis, groupe familial toulousain spécialisé dans la prise en charge des seniors, qui a développé une approche particulière du soin de la personne âgée.« Le Réseau Serenis a mis à disposition de Cosy Diem son savoir-faire d’exploitant d’établissements de santé et d’EHPAD pour concevoir des résidences qui répondent aux besoins des seniors autonomes » déclare Paul Gémar, Président de Cosy Diem. Une résidence pour favoriser le vivre ensembleLa résidence Cosy Diem Narbonne offre aux seniors autonomes un lieu de vie confortable et convivial pour bien-vieillir. Conçue par l’architecte, Christian Dugelay (Architecture Patrimoine et Création), elle est idéalement située au centre-ville de Narbonne, le long du quai Vallière, pour permettre aux résidents de profiter de la proximité des berges du canal, des commerces, des halles, des services, et de se divertir, tout en favorisant le lien social.« La ville de Narbonne accueille la première résidence Cosy Diem, en lieu et place d’une ancienne Clinique désaffectée, participant ainsi à la reconstruction de la Ville sur la Ville. Nous avons fait le choix de cette ville, au carrefour de l’Occitanie, pour répondre aux attentes de la population senior locale mais aussi parce que c’est une ville où il fait bon vivre. Nous leur proposons des appartements adaptés à toutes contraintes de mobilité et faciles à vivre pour bien vieillir», explique Julien Eybalin, Directeur d’Agence Kaufman & Broad Languedoc-Roussillon.La résidence Cosy Diem se compose de 100 appartements, du studio au 3 pièces, de 28 à 67 m². La majorité des appartements disposent d’une terrasse ou d’un balcon. Tous sont meublés et climatisés, avec possibilité de personnalisation. Les appartements sont ergonomiques, équipés de cheminements lumineux en cas de perte d’autonomie.Près de 600 m² sont réservés aux services (salle de sport, bibliothèque, salle multimedia, salon de coiffure…) et à la restauration faite sur place. Le choix a été fait d’ouvrir le restaurant au public, car maintenir le lien social chez les seniors est primordial.« Ce lien social est l’une des clés du bien vieillir et nous l’appliquons dans nos résidences au travers du restaurant ouvert sur l’extérieur, de l’emplacement en cœur de ville… », poursuit Julien Eybalin.Au-delà des services proposés, Cosy Diem c’est aussi une équipe de 12 collaborateurs bienveillants et formés à l’accompagnement des seniors, qui veille 24h/24 7j/7 sur les résidents.
Il y a 2 ans et 272 jours

GSE réalise un parking aérien pour le marché de Rungis

Situé avenue de Bourgogne à Chevilly-Larue (94), ce parking aérien s’étendra sur 11.500 m² de surface de plancher et permettra ainsi à la SEMMARIS de bénéficier du système de construction GSE GOLDBECK en France.Un chantier rapide en site très fréquentéRéalisé pour le compte de SEMMARIS, le gestionnaire immobilier du marché de Rungis, ce parking aérien proposera 445 places multi-usages (VUL, VL et zone VIP) sur 5 niveaux, localisé sur un terrain de seulement 2.300 m² en plein cœur du marché international, en lieu et place d’un parking traditionnel en surface. « Non seulement le chantier devra permettre la continuité de l’activité du parking, mais le site est l’un des plus fourmillants de l’Hexagone. Il s’agit d’un véritable défi pour les équipes GSE » explique Yoann Castel, en charge de ce projet.Le parking aérien sera le premier à bénéficier de la démarche GSE GOLDBECK. « Entièrement préfabriqués, tous les éléments sont construits en usine et assemblés sur place comme des Lego. Cette méthode de construction permet un très bon suivi qualité, une optimisation des matériaux et donc une réduction de la consommation de matières premières et un timing de construction très court » explique Maxime Ochin, directeur activité Parking de GSE. A la rapidité de cette méthode de préfabriqué, la démarche GOLDBECK ajoute de nombreux avantages environnementaux : une façade en bois recyclé signée ABA Workshop, une ombrière de panneaux photovoltaïques en toiture. A la demande du client, GSE étudie une solution locale de compensation du poids carbone de l’ouvrage.Le chantier, en flux tendu, démarrera en septembre 2022 pour une livraison en avril 2023. Un deuxième parking à Pessac (33) est également prévu pour représenter la deuxième implantation de GSE-GOLDBECK en France.Objectif, révolutionner le parking avec de nombreux services associésGrâce à son mode de production industrialisé, totalement préfabriqué et prêt à la construction, cela permet à GSE de présenter une offre particulièrement compétitive, affichant des prix entre 15 et 20 % moins élevés que le coût d’une place de stationnement en parking « traditionnel » sur le marché français. Ce procédé de fabrication industrialisé et intégré permet en outre des délais de déploiements uniques.Véritables outils au service de la mobilité, GSE propose des solutions confortables, intelligentes et durables. Ces parkings intègrent les nouvelles technologies mises en œuvre dans ce domaine, garantissant une qualité et une sécurité optimale : guidage à la place, gestion numérique du parking, contrôle d’accès par reconnaissance de la plaque, éclairage intelligent, jalonnement dynamique et offrent d’innombrables possibilités sur le design architectural. De plus, ils permettent une réduction de 20 % du bilan carbone par rapport aux solutions du marché.
Il y a 2 ans et 273 jours

Le campus connect et son parc paysagé se développent sur un site de plus de 2 hectares.

GA Smart Building a lancé les travaux en mai 2020 d’un nouvel ensemble immobilier avec des bâtiments de bureaux et un bâtiment de services pour Alcatel-Lucent Enterprise, à Illkirch-Graffenstaden (67).  Maîtrise d’ouvrage – Groupe GA Smart Buiding  Maîtrise d’oeuvre – Studio Montazami  Localisation – Parc D’innovation d’Illkirch, Illkirch-Graffenstaden, France  Programme – Bureaux / Restaurant inter-entreprise  Nature – Construction neuve  Livraison – Novembre […]
Il y a 2 ans et 275 jours

À 200 ans, la nouvelle jeunesse du canal de l'Ourcq

Voulu par Napoléon pour améliorer l'approvisionnement en eau potable de la capitale, puis devenu un axe majeur de la transformation industrielle et du transport de bois et charbon pour le marché parisien, le canal de 108 kilomètres inauguré en 1822 atteint cette année son bicentenaire.Sinistré par la désindustrialisation de l'Île-de-France, cet espace autrefois inhospitalier s'intègre à la ville depuis une vingtaine d'années pour devenir, pour la première fois de son histoire, un authentique lieu de vie pour les habitants. Une mue particulièrement visible du côté du XIXe arrondissement de Paris et de la commune voisine de Pantin, en Seine-Saint-Denis.Assis à l'ombre des Magasins Généraux de Pantin, des entrepôts de stockage de denrées coloniales reconvertis en siège d'une agence de publicité, Dolores et Miguel Julia savourent avec oisiveté le passage de péniches chargées de sable ou de gravats. Casquette sur la tête, ils suivent du regard les familles avec poussette qui prennent l'air, observent les cyclistes et joggeurs faisant de l'exercice.Bien que Pantinois depuis les années 1960, ce couple de retraités n'a découvert les plaisirs du canal de l'Ourcq qu'à la faveur de l'apparition du quartier flambant neuf qui a récemment remplacé de vieilles structures industrielles. Ils arpentent désormais deux fois par jour, en habitués, la nouvelle promenade aménagée au port de Pantin."C'est notre promenade des Anglais!", s'amuse Dolores, ex-rayonniste en pharmacie de 82 ans. "Avant on ne pouvait pas venir ici. C'était de la terre, il n'y avait pas de pavés".Avec sa fraîcheur et ses arbres dans cette zone urbanisée à l'extrême, ses péniches culturelles, ses nouveaux immeubles à l'architecture soignée dont les bobos parisiens s'arrachent les appartements, le canal de l'Ourcq est devenu la vitrine de Pantin, ville qui reste par ailleurs profondément populaire.Ancien no man's landL'emblématique minoterie des Grands Moulins, aux faux airs médiévaux, s'est transformée en bureaux, abritant des services de la banque BNP Paribas. Une fabrique de meubles du début du XXe siècle a été réaménagée en logements, un théâtre a pris ses quartiers dans un hangar en briques de la rive nord."Quand j'ai été élu en 2001, la ville tournait le dos au canal. C'était plutôt vécu comme une fracture. Nous avons retourné la ville vers le canal", témoigne auprès de l'AFP Bertrand Kern, le maire (PS) de Pantin. "Vous seriez venu un samedi il y a vingt ans sur les quais du canal, il n'y avait pas grand monde. Aujourd'hui ça se bouscule tellement que je suis obligé de faire des aménagements entre vélos et piétons."Les allures parfois hétéroclites des abords du canal montrent toutefois que sa transition reste encore à conclure. Ici une blanchisserie industrielle répand sur les quais une puissante odeur de linge propre, là opère une centrale à béton. Sous la passerelle du tramway T3, un camp de migrants est apparu ces derniers jours.Plus en aval, une fois le canal passé sous les voies du boulevard périphérique, le même processus de transformation urbaine s'observe dans le XIXe arrondissement de Paris.Les pique-niqueurs des pelouses de la Villette savent-ils qu'ils se tiennent à l'emplacement de l'ancienne "cité du sang" ? Jusqu'à sa reconversion en parc dans les années 1980, le lieu a accueilli pendant un siècle les immenses marchés aux bestiaux et abattoirs qui fournissaient Paris en viande fraîche.Au pont levant de la rue de Crimée, des petits bateaux de tourisme attendent de pouvoir passer. Des jeunes fument des joints en écoutant du rap, des couples dansent du tango sur une piste installée pour l'opération "Paris Plages".La renaissance du canal de l'Ourcq, le maire socialiste du XIXe, François Dagnaud, la date pour son arrondissement au mitan des années 1990 et au "pari" de la chaîne de cinémas MK2 d'ouvrir une salle dans un ancien hangar conçu par Gustave Eiffel, au milieu de ce qui était alors un "no man's land"."On était en pleine période où le crack était déjà présent, relate-t-il à l'AFP. Dans un quartier en perdition, marginalisé, pas du tout fréquenté par les habitants, ça a été l'amorce d'une mutation urbaine, culturelle et sociale."
Il y a 2 ans et 278 jours

Comment inciter les français à entreprendre des travaux de rénovation énergétique ?

Qu’en pensent les Français ? Où en sont-ils de leurs travaux de rénovation énergétique ? À l’heure où depuis le 1er mai 2022, on voit les aides sur le sujet diminuer, TOUT FAIRE a voulu comprendre comment les Français appréhendent ce sujet. L’enseigne a voulu savoir s’ils étaient prêts à engager ces travaux comme un véritable devoir citoyen, une simple obligation, ou s’ils y voyaient l’occasion de réaliser des économies. Une étude réalisée par Opinion Way sur un échantillon représentatif de la population revient sur cette relation que les Français ont avec le sujet et des aides dont ils auraient besoin pour se lancer dans de tels travaux. En effet, même si 52% des personnes interrogées se considèrent à l’aise sur le sujet, 71% des personnes jugent cependant qu’elles ne pourraient pas réaliser les travaux seuls.Un bagage technique qui freine la réalisation de travaux énergétiquesParmi les enseignements majeurs, cette étude révèle que 49% des Français estiment connaître le sujet de la rénovation énergétique. Pourtant, une large majorité des Français déplore un manque de clarté de l’information. Ils sont 59% a trouvé que la communication actuelle sur le sujet dissuade, plus qu’elle n’incite à se lancer dans ce type de projet. Les démarches administratives sont également considérées comme trop importantes pour ce type de travaux, pour 55% des Français, ces démarches sont même qualifiées d’insurmontables. Ainsi 69% de Français, soit deux tiers des personnes, ont affirmé leur besoin d’obtenir des précisions concernant la rénovation énergétique pour sauter le pas.Un passage à l’acte de rénovation, même avec toutes les informations nécessaires n’est pas si simple : 51% jugent que le manque de compétences est un frein majeur. Alors, pour trouver de l’aide, les particuliers se tournent à 41% vers les artisans, qui restent la référence en termes d’accompagnement dans ce type de projet. Ensuite, pour 21% d’entre eux, les proches sont également une bonne ressource à activer.Les enseignes de construction, un expert idéal mais encore trop peu identifiéLes enseignes de construction, tels que les groupements de négoces, restent encore trop peu mobilisés par les particuliers. Seulement 7% des interrogés perçoivent les magasins de construction comme des référents. Pourtant, ces derniers sont en première ligne lorsqu’il s’agit d’entreprendre des travaux de rénovation, pour accompagner et aider à les mener à bien. Experts dans les travaux, mais également dans les matières premières, les enseignes de construction se doivent d’être au fait des dernières réglementations afin de conseiller au mieux professionnels et particuliers qui se lancent dans ces travaux.TOUT FAIRE, premier groupement français de distributeurs de matériaux de construction et de rénovation avec 450 points de vente en France et en Belgique, accompagne les professionnels et les particuliers dans leurs travaux. 4.000 passionnés proposent leur expertise, leurs conseils et leurs services de qualité, et font de la rénovation énergétique un axe prioritaire de développement. Ainsi, pour répondre à leurs interrogations et leur apporter toute l’expertise propre à TOUT FAIRE, le groupement à proposer à ses adhérents de mettre en place un guichet prime.Ce dispositif disponible pour les professionnels et les particuliers permet de trouver toutes les informations auprès des experts TOUT FAIRE sur les aides possibles pour le financement des travaux de rénovation énergétique, les matériaux à utiliser et les travaux à entreprendre.MéthodologieL’étude « La rénovation énergétique pour les nuls » réalisée pour Tout Faire, est destinée à comprendre et analyser la confiance en eux des Français sur le thème de la rénovation énergétique, et les aides dont ils auraient besoin pour se lancer dans de tels travaux.Cette étude a été réalisée auprès d’un échantillon de 1051 personnes, représentatif de la population française âgée de 18 ans et plus, constitué selon la méthode des quotas, au regard des critères de sexe, d’âge, de catégorie socioprofessionnelle, de catégorie d’agglomération, de région de résidence et de statut d’habitation.Les interviews ont été réalisées par questionnaire autoadministré en ligne sur système CAWI (Computer Assisted Web Interview).Les interviews ont été réalisées les 13 et 14 avril 2022.
Il y a 2 ans et 278 jours

L'immobilier de bureaux érode le chiffre d'affaires de Nexity

Nexity a dégagé 1,964 milliard d'euros de chiffre d'affaires au premier semestre, soit 5% de moins que sur la même période en 2021. Soulignant la "résilience" de son activité de promotion, le groupe précise ses objectifs 2022, "dans un marché du logement neuf désormais attendu en repli" et non plus "en légère croissance", comme annoncé en avril.Plutôt qu'un résultat opérationnel courant d'au moins 380 millions d'euros pour fin 2022, le groupe vise à présent "un chiffre d'affaires au moins égal à celui de 2021"."L'incertitude géopolitique et macro-économique nous amène à piloter nos opérations avec une prudence renforcée", déclare Véronique Bédague, directrice générale du groupe, citée dans un communiqué. "Nous sommes plus sélectifs dans le lancement des opérations", ajoute-t-elle, "pour faire face aux pressions inflationnistes".La baisse du chiffre d'affaires de Nexity est avant tout imputable à la branche promotion. L'immobilier résidentiel, sa principale activité, n'est en baisse que de 2%, notamment grâce à une reprise des permis de construire, en hausse de 19% par rapport au premier semestre 2021.Le secteur le plus en difficulté est l'immobilier d'entreprise, qui voit toujours son activité dégringoler (-43% de chiffres d'affaires). Pas une surprise pour le groupe selon qui, "compte tenu de l'attentisme des entreprises, les prises de commandes tertiaires devraient atteindre un point bas en 2022".La branche Services de Nexity, après une période difficile due aux mesures sanitaires liées à l'épidémie de Covid-19, confirme sa reprise, avec une hausse de 9% du chiffres d'affaires.Les espaces de coworking voient notamment leur chiffre d'affaires doubler au premier semestre.
Il y a 2 ans et 279 jours

Mecalac présente une toute nouvelle gamme de chargeuses compactes

Une gamme de 6 machines pour répondre à tous les besoinsLa nouvelle gamme Mecalac MCL comprend 6 modèles, de 1,74 t à 2,85 t :4 modèles à flèche longue (standard), adaptés aux besoins du segment agricole. 2 modèles à flèche courte, particulièrement adaptés aux besoins du segment de la construction.MCL2 : Son petit gabarit et sa transmission à moteurs roues lui permet d’évoluer avec agilité sur tous les terrains. Plus petite machine de la gamme MCL mais dotée de performances maximales, elle possède toutes les caractéristiques des grandes. Son poste de conduite moderne et ergonomique, protégé par un canopy, est également disponible en version cabine.MCL4 : Elle offre un excellent compromis entre compacité et performances de levage. Avec son moteur de 18,4 kW, c’est aussi la machine idéale pour les parcs de location qui souhaitent une machine performante et durable. Son poids de transport réduit permet de transporter la machine sur une remorque routière.MCL6 : Le meilleur de la MCL4 mais avec encore plus de puissance, son moteur de 36 kW lui permet notamment d’atteindre des vitesses élevées sur route. Son haut débit hydraulique et sa rapidité d’exécution permettent d’augmenter considérablement la productivité sur les chantiers.MCL8 : Puissance, grande hauteur de déversement et capacité de levage sont les maitres mots qui ont guidées la conception de cette machine. Elle est à l’aise dans toutes les circonstances que ce soit pour charger, manutentionner ou entrainer des accessoires hydrauliques.MCL4+ / MCL6+ : Des versions bras courts pour répondre aux besoins particuliers des différentes applications notamment pour le secteur de la construction en offrant une charge de basculement accrue.Toutes les machines seront disponibles en 3 versions : canopy, canopy avec toit escamotable ou cabine.Équipements et options exclusifsLes nouvelles chargeuses MCL pourront être équipées des dernières technologies Mecalac en matière de confort et d’assistance à la conduite parmi lesquelles :M-Drive : transforme votre machine en un porte-outil, vous pouvez contrôler la vitesse de la machine à la pédale à un régime moteur donné (accélérateur manuel)Speed-control : redéfinissez à la demande la plage de vitesse utilisable via la pédale d’avancement. Un choix d’une vitesse réduite permettra par exemple de réaliser des travaux de grande précisionMyMecalac Connected Services : maximisez l’utilisation de vos machines grâce à des données optimisées et accessibles, des temps d’arrêt réduits et une meilleure gestion de la flotteDigicode de démarrage : un clavier permettant de mieux contrôler l’utilisation de la machineCette nouvelle ligne de produits renforce encore la position de Mecalac sur le marché des chargeuses et permet d’accélérer le développement des segments de clientèles tels que les secteurs agricoles, du paysagisme ou de la location.
Il y a 2 ans et 280 jours

Vers une croissance "légèrement positive" au troisième trimestre, selon la Banque de France

"Avec les résultats que nous avons aujourd'hui et les anticipations fondées sur l'acquis de juillet, on peut tabler sur un taux de croissance légèrement positif" au troisième trimestre, a indiqué la Banque de France lors d'un point presse.La note de conjoncture, fruit d'une enquête menée auprès de 8.500 entreprises et établissements entre fin juillet et début août, montre, selon l'institution, que "l'activité continue de résister" dans un environnement difficile.Les données dont dispose l'institution sont pour l'heure très parcellaires mais elles suggèrent une stabilité du produit intérieur brut (PIB) en juillet par rapport au mois précédent. Celle-ci s'explique par une légère baisse de l'activité dans l'industrie et la construction, contrebalancée par une progression dans les services marchands, détaille la Banque de France dans son compte-rendu mensuel."Les premiers signaux suggèrent que cette stabilisation se poursuivrait en août", poursuit-elle, tout en soulignant que cette prévision est incertaine puisque que le mois ne fait que débuter, et en mettant en avant les contrastes selon les secteurs.L'ensemble des signaux économiques font dire à la Banque de France que la croissance pourrait être "légèrement positive" en variation trimestrielle au troisième trimestre.La croissance française avait retrouvé des couleurs sur l'ensemble du deuxième trimestre, progressant de 0,5% selon une première estimation publiée par l'Insee fin juillet, et qui reste à confirmer fin août. Celle-ci s'explique par une contribution nettement positive du commerce extérieur à la croissance.Le gouvernement anticipe sur l'année 2022 une croissance de 2,5%, un peu plus que l'Insee et le FMI qui tablent sur 2,3%.
Il y a 2 ans et 281 jours

Peinture réflective Solarcoat pour bâtiments industriels, commerciaux et publics

Avec l’accélération de la demande des entreprises pour rafraîchir leurs bâtiments énergivores tout en réduisant leur facture énergétique et en luttant contre le réchauffement climatique, SOLAR-PAINT s’inscrit dans une dynamique de croissance organique. Avec plus de 100.000 m2 de toits d’ores et déjà repeints, l’entreprise a l’objectif de recouvrir en peinture réflective près de 150.000 m2 de surfaces de toiture en 2022. Grâce à ce procédé de cool-roofing, technique qui consiste à revêtir les toits de peinture blanche et réflective, les bâtiments repeints peuvent ainsi voir leur température intérieure baisser en moyenne de 5°C.Une solution Made in France économique et très positive pour l’environnementLa solution SOLARCOAT est une peinture à l’eau qui intègre dans sa composition, des ingrédients naturels et des ajouts de matière recyclée comme la brisure de verre. SOLAR-PAINT s’est appuyée sur l’expertise de son fournisseur, premier fabricant français de peinture basé dans l’Ariège, pour mettre au point la formulation qui a nécessité de nombreux mois de R&D et un investissement de près de 400.000 euros.Simple, peu coûteuse (16 à 22 euros le m2 incluant la peinture et son application), durable et dotée de propriétés supérieures aux critères de référence, la solution SOLARCOAT est extrêmement performante. Son taux de réflexion solaire supérieur à 92% permet de baisser la température de 5°C en moyenne à l’intérieur des bâtiments et de limiter le recours aux climatisations en période estivale. A la clé, des économies d’énergie considérables, une amélioration du confort et du bien-être des salariés et des clients et une contribution à la lutte contre le réchauffement climatique.A titre d’exemple, quand la facture moyenne d’une grande surface en termes de consommation d’énergie est de l’ordre de 500.000 euros par an, les économies d’énergie peuvent atteindre jusqu’à 30% sur le poste climatisation des bâtiments en été. Couverte par une garantie décennale, SOLARCOAT a des capacités exceptionnelles de résistance aux eaux stagnantes, à la grêle et au feu (certification Broof (T3).SOLARCOAT a un pouvoir réfléchissant supérieur à la norme de référence SRI (Solar Reflectance Indicator) : 116,5/100. Un résultat qui place SOLARCOAT parmi les plus efficaces dans ce domaine.Pour Michel Rouault, Président de SOLAR-PAINT et de ICGroup : « La peinture athermique que nous avons mis au point constitue une réelle réponse aux économies d’énergie et donc aux émissions de gaz à effet de serre. De par sa conception écologique, sa facilité d’emploi, son faible coût et ses performances supérieures aux critères de référence, SOLARCOAT est une solution tout à fait pertinente pour réduire les coûts énergétiques et les coûts environnementaux des bâtiments avec une efficacité immédiate et pérenne dans le temps. Il y a en effet un réel besoin auquel nous entendons répondre au mieux. »Une capacité industrielle pour adresser les marchés français et européens du cool roofingIl y a aujourd’hui en France 500 millions de mètres carrés de toitures de bâtiments commerciaux, industriels publics et plateformes logistiques qui pourraient être recouverts de peintures réflectives. Peu connu en France et en Europe jusqu’alors, le cool-roofing (toit frais) qui nous vient des Etats-Unis, a un potentiel de marché considérable.Datas centers, sites industriels de secteurs d’activités très variés (industrie pharmaceutique, environnement, agro-alimentaire), plateformes logistiques, surfaces de la grande distribution, foncières immobilières, collectivités locales...les acteurs qui font appel au cool roofing pour réduire leur facture énergétique sont de plus en plus nombreux. La demande en France est boostée par la loi Elan de 2018 qui impose aux entreprises du secteur tertiaire, 40% de consommation énergétique en moins en 2030 par rapport à 2010 et 50% de réduction d’ici à 2040.Pour Michel Rouault, Président et fondateur de SOLAR-PAINT : « De par notre capacité industrielle et notre équipe intégrée d’applicateurs formés au cool roofing, nous sommes aujourd’hui très bien positionnés pour répondre à l’accélération de la demande en France et en Europe. Nous avons l’ambition d’être un acteur européen incontournable sur le marché porteur du cool roofing. On se projette d’ici à deux ans dans trois pays d’Europe du Sud avec l’Espagne en ligne de mire dès à présent du fait de notre proximité géographique avec la péninsule ibérique. »SOLAR-PAINT a signé des contrats commerciaux avec des acteurs de l’industrie et de la grande distribution en Occitanie, sa région d’origine, avant d’essaimer sur l’ensemble du territoire national avec de grandes entreprises comme E. Leclerc, Carrefour Market ou encore Aldi. L’entreprise est aujourd’hui dans une phase d’accélération de son déploiement commercial en France et en Europe. Son adossement à un groupe spécialisé dans les « services à l’industrie » et ce, depuis près de 45 années, lui procure la capacité industrielle pour répondre à un marché en forte croissance.
Il y a 2 ans et 281 jours

Vendée : une nouvelle résidence seniors, Villa Beausoleil, en construction à Saint-Gilles-Croix-de-Vie

À Saint-Gilles-Croix-de-Vie (Vendée), la nouvelle résidence services seniors du groupe Steva comprendra 148 appartements dédiés à la location.
Il y a 2 ans et 286 jours

Le secteur privé poursuit son ralentissement en juillet

Le secteur privé français poursuit son ralentissement observé depuis trois mois, atteignant un niveau de 51,7 points au mois de juillet, en repli de 0,8 point par rapport au mois de juin, a précisé S&P dans son communiqué.Un taux supérieur à 50 marque une expansion de l'activité, un taux inférieur à cette limite signifiant à l'inverse une contraction.L'activité française est en partie victime d'une forte baisse des commandes dans le secteur manufacturier et une stagnation du volume des nouvelles affaires sur l'ensemble du mois. Ces tendances sont pour l'heure compensées par une légère hausse du nombre de nouveaux contrats dans le secteur des services."Le niveau très élevé de l'inflation nuit manifestement à la demande, les prestataires de services comme les fabricants ayant déjà fait état d'une plus grande réticence des clients à passer commande dans le contexte actuel", a estimé Joe Hayes, économiste senior pour S&P Global, cité dans le communiqué.Dans le détail, le secteur des services enregistre pour l'heure toujours plus d'entreprises connaissant une hausse de leur activité (28%) sur le mois de juillet que l'inverse (16%), ces dernières imputant cette tendance à la hausse des prix justement.Son indice est pourtant en recul, passant à 53,2 au mois de juillet, contre 53,9 le mois précédent, mais il enregistre cependant une seizième hausse mensuelle consécutive.L'activité manufacturière se contracte encore plus par rapport au mois de juin, qui était le premier à connaître une contraction depuis octobre 2021, enregistrant même sa plus forte contraction depuis mai 2020, au plus fort de la crise sanitaire.La tendance s'annonce plutôt négative, estime S&P Global, en particulier à l'export, alors que la demande en provenance de l'étranger pour les services poursuit sa baisse, avec un taux de contraction au plus haut depuis décembre dernier."Compte tenu de la crise du gaz, de la hausse des taux d'intérêt et du maintien d'une inflation très élevée, il paraît difficile d'envisager un rebond prochain de l'économie", a insisté M. Hayes.
Il y a 2 ans et 287 jours

Nouveau report de l'audit énergétique sur "les passoires thermiques" au 1er avril 2023 annonce le ministre du logement

Dans une interview au Parisien, le ministre délégué chargé de la Ville et du Logement Olivier Klein a confirmé ce report, le troisième après deux dates auparavant prévues pour cette mesure, le 1er janvier et le 1er septembre 2022."Ce report technique est indispensable compte-tenu du manque d'entreprises et de personnels qualifiés pour établir l'ensemble des audits énergétiques qui seront nécessaires", a-t-il expliqué."Nous voulons l'installer dans les meilleures conditions afin que le futur acquéreur dispose d'un audit complet et de qualité. C'est pourquoi nous proposons de reporter son entrée en vigueur au 1er avril 2023", a ajouté le ministre.Plusieurs fédérations regroupant des acteurs du secteurs du diagnostic énergétique se sont félicitées de cette décision, qu'elles avaient demandée au gouvernement, mais insistent sur la responsabilité de l'État dans ce report."Ce sont les services de l'État qui n'ont pas envoyé l'ensemble des documents nécessaires", indique à l'AFP Stéphane Prouzeau, vice-président de la Fédération interprofessionnelle du diagnostic (Fidi), qui trouve "sain" le choix du report. "Il y a une trame qui doit être établie pour cet audit, ça n'est pas en lien avec le nombre de diagnostiqueurs formés", précise-t-il."Les outils n'étaient pas disponibles", renchérit Thierry Marchand, un des administrateurs de la CDI-FNAIM, qui salue "une date cohérente". "Nous aurions été prêts au 1er janvier, mais d'autres paramètres doivent rentrer en compte", estime-t-il, évoquant les incertitudes sur le marché de l'énergie."Ce report est déplorable, car on a beaucoup de retard sur la transition énergétique dans le bâtiment", regrette au contraire Hassad Mouheb, président de la fédération des diagnostiqueurs immobiliers Fed Expert.Cette décision ne viendra pas interférer avec le calendrier prévu autour de la loi "Climat et Résilience", promulguée le 24 août 2021, concernant les locations d'habitations considérées comme des "passoires thermiques". Autrement dit, interdire dès 2025 la mise en location des logements classés "G", par le diagnostic de performance énergétique (DPE), et en 2028 pour ceux classés "F"."Il va forcément y avoir un retard", juge de son côté Hassad Mouheb, en raison de "la sous-estimation du nombre de passoires énergétiques".La France compte 5,2 millions de "passoires énergétiques" sur 30 millions de résidences principales, plus que lors de la précédente estimation en 2018 (4,8%), selon une étude de l'Observatoire national de la rénovation énergétique (ONRE).La part de "passoires énergétiques" est plus élevée parmi les résidences secondaires (32%, soit 1,2 million de logements) et parmi les logements vacants (27%, soit 0,8 million de logements).
Il y a 2 ans et 288 jours

Equans, TF1-M6 : Bouygues maintient le cap sur ses opérations de fusion-acquisition malgré leurs coûts

Bouygues a annoncé pour le 1er semestre un résultat d'exploitation courant en amélioration de 21 millions d'euros par rapport au 1er semestre, à 492 millions d'euros, mais un résultat net part du groupe de 147 millions d'euros, divisé par trois par rapport à celui de début 2021.Celui-ci intègre une charge exceptionnelle de 44 millions d'euros comprenant surtout des frais d'avocats et d'économistes liés aux deux grosses opérations structurantes dans lesquelles il est engagé : l'acquisition d'Equans auprès du groupe Engie, plus grosse opération de rachat jamais réalisée par le groupe créé en 1952, et le rapprochement entre TF1 et M6.La fusion-acquisition "c'est un sport de riche" a commenté le directeur général Olivier Roussat en annonçant lors d'un entretien téléphonique que le second semestre comportera encore "45 millions d'euros" de coûts exceptionnels : un tiers pour le dossier TF1-M6, et deux-tiers pour l'opération Equans. Le 19 juillet, Bouygues a obtenu le feu vert de la commission européenne pour le rachat d'Equans pour 7,1 milliards d'euros, sous réserve de la cession d'une filiale Colas Rail Belgium qui risquait de détenir une position dominante en Belgique.Mais le même jour, au Royaume-Uni, l'autorité de concurrence britannique CMA a considéré que l'opération était susceptible de conduire à un affaiblissement de la concurrence sur un appel d'offres en cours pour une ligne à grand vitesse en construction.Le groupe a déposé le 26 juillet des propositions de remèdes "sur lesquelles la CMA devrait statuer très prochainement" a indiqué Bouygues. Le bouclage du rachat d'Equans, regroupant des services techniques allant de la gestion de l'énergie dans les bâtiments à la sécurité-incendie en passant par la ventilation, climatisation, chauffage ou le numérique, annoncé le 12 mai, reste toujours attendu au 2e semestre 2022, a indiqué Bouygues, se disant "assez serein" sur ce calendrier projeté.Logement : demande de mesures incitativesPour ce qui est de la fusion envisagée entre TF1 et M6, le groupe espère convaincre le collège de l'autorité de la concurrence les 5 et 6 septembre de revenir sur les réserves émises par ses propres services d'instruction considérant que l'opération soulève des problèmes de concurrence significatifs sur le marché de la publicité."On a un certain nombre d'arguments à faire valoir" notamment pour demander que les marchés pertinents à prendre en compte pour jauger de la concurrence ne se cantonnent pas aux seules télévisions, mais intègrent aussi les plateformes "où la publicité est en train de naître", a dit M. Roussat."Netflix a annoncé qu'il mettait de la pub dans son offre, cela n'existait pas il y a encore un an" a-t-il fait valoir, citant aussi Amazon qui a diffusé des matches importants de Roland Garros. "Le monde a changé" a-t-il dit.Globalement pour l'ensemble de 2022, le groupe a confirmé ses ambitions : il attend une "nouvelle augmentation de son chiffre d'affaires et de son résultat opérationnel courant", ainsi que la validation par le Science Based Target Initiative (SBTI) de ses objectifs de réduction des émissions de gaz à effet de serre.Il a relevé ses objectifs financiers pour sa filiale telecoms, qui a lancé des partenariats stratégiques avec Ericsson ou Nokia concernant des réseaux d'entreprise 5G.Au 1er semestre, le groupe a réalisé un chiffre d'affaires total de 18,5 milliards d'euros, en hausse de 6% par rapport à 2021.L'activité de construction, tirée par Colas et l'international, a vu ses ventes progresser de 7% à 13,7 milliards d'euros, malgré un recul de 11% de Bouygues immobilier. Le chiffre d'affaires de TF1 a progressé de 5% à 1,18 milliard d'euros, ainsi que celui de Bouygues Telecom, à 3,63 milliards d'euros.Bouygues souligne que le marché de la construction de logements résidentiel est "sous-offreur en France". "Globalement, il faudrait faire 500.000 logements, et on en fait un peu moins de 300.000, il y a un besoin assez important" a commenté le groupe qui demande des "mesures incitatives" notamment pour transformer des bureaux en logements.Peu avant 12H00, le titre Bouygues, qui a perdu 7% depuis le 1er janvier, progressait de 0,65% à la bourse de Paris, à 29,47 euros.
Il y a 2 ans et 288 jours

Husqvarna Constructions France présente sa nouvelle gamme de préparation de surface de sols

Grâce à l’intégration de l’offre Blastrac et HTC sous la marque Husqvarna, Husqvarna Construction France propose, aujourd’hui, la plus large gamme d’équipements pour la préparation de surface en s’appuyant sur le meilleur savoir-faire du marché. Cette triple expertise technique, associée à de nombreux services, permet à Husqvarna Construction France de répondre aux besoins des professionnels quels que soient les marchés (décontamination, sols industriels, sols décoratifs, routes et aéroports...).Avec sa nouvelle gamme élargie de machines et équipements dédiée à la rénovation, à la préparation et au polissage de surface des sols en béton, Husqvarna Construction France offre une réponse adaptée à toutes les demandes.Des rectifieuses pour niveler les sols irréguliers et enlever les revêtements mincesDe différentes tailles, la large gamme de ponceuses/ rectifieuses mono-disque d’Husqvarna Construction France (BG 250, BGS 250, PG 280, PG 400, HTC 270 EG et BB 700) convient aux supports en béton, pierre, asphalte et matériaux souples. Elles utilisent des disques à rotation horizontale pour effectuer une multitude de tâches, de la texturation légère pour ouvrir les pores de la surface à l’élimination des peintures et des revêtements.Compactes, faciles à transporter et à manœuvrer, elles sont idéales pour des chantiers de petite et grande taille.Véritable référence dans le désamiantage, la ponceuse mono- disque BG 250 est dotée d’un faible niveau de vibrations (moins de 2,5 m/s2) pour un confort idéal d’utilisation. Equipée d’un système d’entraînement spécial pour une répartition optimale de la charge, elle dispose aussi d’un système de captation à la source pour une extraction optimisée des poussières. Husqvarna Construction France propose, en option, différents disques de ponçage de diamètre 250 mm pour des applications spécifiques.Des surfaceuses pour le ponçage et le polissage de grandes surfacesLa préparation, le ponçage et le polissage des sols en béton, ainsi que la réparation et le polissage du terrazzo et d’autres pierres naturelles, constituent des tâches exigeantes. Que ce soient pour les sols industriels et décoratifs ou pour les marchés de la décontamination (retrait d’amiante ou de peinture au plomb) et de la démolition, la large gamme de surfaceuses à trois têtes, de différentes tailles, d’Husqvarna Construction France garantit des résultats parfaits, reconnus des professionnels.Elles sont, pour certaines, équipées de trois plateaux porte- outils, ce qui permet à la tête de ponçage de suivre en douceur les irrégularités des sols.Conçue pour réaliser la finition de surfaces horizontales de grandes dimensions, la surfaceuse à trois têtes BMG 780RC est télécommandée. Elle est équipée en standard d’un variateur de vitesse. La poignée de direction réglable (4 positions) comprend un panneau de commande indiquant toutes les informations pertinentes (Ampères, Volt, ...). Elle possède un pack batterie 24 V et deux moteurs électriques intégrés pour un déplacement autonome sur le chantier.Des raboteuses pour niveler les grandes surfaces ou enlever des revêtements épaisPour la mise à niveau de surfaces inégales en béton, asphalte et pierre ou pour enlever d’anciens revêtements épais, la gamme est composée de 8 raboteuses de différentes tailles dont une scieuse rainureuse électrique, première machine télécommandée du marché. Le principe de fonctionnement des raboteuses est simple : l’utilisation d’un tambour rotatif sur lequel une variété de différents outils (molettes, fraises) sont fixés sur des axes. Situé à l’intérieur du châssis, le tambour génère, une fois la machine en marche, une force centrifuge qui «projette l’outil sur la surface à traiter induisant ainsi une action coupante mécanique. Manuelles ou télécommandées, toutes les raboteuses Husqvarna Construction France sont équipées d’un système de réglage précis de la profondeur de rainurage.La BMP 335 est une nouvelle fraiseuse électrique à usage intensif. Elle est parfaitement adaptée aux besoins de rabotage les plus exigeants. Son poids élevé (430 kg sans le tambour) lui permet de générer une meilleure efficacité de travail. Grâce à un système d’entraînement électrique, elle évite à l’opérateur d’avoir un contact permanent avec la poignée, ce qui la rend facilement manœuvrable. De plus, le carter du tambour, cerné de joints anti-poussière, est monté dans le châssis par des silent blocs pour réduire le niveau de vibration (3,1 m/s2).Des décolleuses de sol pour l’enlèvement de revêtements posés ou collésHusqvarna Construction France propose une gamme complète de 4 machines, dont 3 modèles totalement électriques (BS 75, BS 110, BSM 150) et 1 avec batterie (BMS 220ADB), ainsi que des outils de curage pour la dépose des revêtements de sol collés et souples (linoléum, moquette, dalles vinyle, carrelage, parquet, revêtement bitumineux, ...). De la petite mais puissante décolleuse à pied à l’unité autoportée à usage intensif, il existe une solution Husqvarna pour répondre à tous les besoins des locaux commerciaux, industriels ou privés. Toutes les lames Husqvarna sont fabriquées à partir de matériaux et de composants de la meilleure qualité pour assurer une durée de vie et des performances optimales aux décolleuses.La décolleuse de sol BMS 150 autoportée est parfaitement adaptée aux chantiers de taille moyenne à importante. Totalement électrique, elle est dotée d’un câble d’alimentation auto-rétractable de 25 mètres et dispose d’un bras porte-câble rotatif. Facile à manœuvrer grâce à un joystick de contrôle à portée de main, un réglage de l’angle de la lame et des pneus non marquants, elle est en plus très compacte.Des chantiers propres et sûrsAfin de garantir un chantier propre et réduire l’exposition des opérateurs à d’éventuelles substances nocives telles que la silice cristalline, toutes les machines dédiées à la préparation de surface des sols peuvent être raccordées à un aspirateur Husqvarna qui capte la poussière à la source.Des services associésPartenaire de confiance des professionnels de la préparation de surface des sols, Husqvarna Construction France met à leur disposition, en complément de sa gamme élargie d’équipements, une série de services destinés à faciliter leur quotidien :Husqvarna Fleet ServicesTM, système de connectivité embarquée qui collecte et affiche des analyses de données détaillées sur l’état de la machine : temps d’utilisation, suivi entretien, ... autant d’indicateurs permettant de gérer facilement et à distance la maintenance de l’appareil.Upcare, contrat d’entretien à prix fixe.TotalCare, combine les solutions Husqvarna Fleet Service et Upcare avec une solution de financement Husqvarna Financial Services pour être certain de travailler en toute tranquillité.Grâce à ses centres services Husqvarna et son réseau de partenaires distributeurs réparateurs agréés sur l’ensemble du territoire national, Husqvarna Construction France assure, en plus, la mise en service, l’assistance technique et la maintenance.Avec cette nouvelle offre étendue dédiée à la préparation de surface des sols qui inclut également des solutions pour le grenaillage, Husqvarna Construction France entre dans une nouvelle dimension en proposant la plus large gamme de solutions et services et le meilleur savoir-faire du secteur.
Il y a 2 ans et 288 jours

FRANCE MATÉRIAUX part à la rencontre des professionnels au Mondial du Bâtiment 2022

FRANCE MATÉRIAUX, groupement de négoces en matériaux indépendants, sera présent, pour la première fois, au salon BATIMAT, rendez-vous incontournable des professionnels de la construction. Du 3 au 6 octobre 2022, l’équipe de FRANCE MATÉRIAUX sera heureuse de promouvoir le groupement et les services proposés auprès des différents acteurs de la distribution et des industriels du […]
Il y a 2 ans et 288 jours

Grâce à Colas, Bouygues tient la route au premier semestre

Le chiffre d'affaires des activités de construction et de services de Bouygues (Bouygues construction, Bouygues Immobilier, Bouygues Energies & Services et Colas) s'est établi à 13,7 Mds €, en hausse de 7%, tiré par Colas (6,5 Md€, en hausse de 17%).
Il y a 2 ans et 289 jours

Casino va céder le contrôle de sa filiale énergie GreenYellow à Ardian

Ardian va devenir d'ici la fin 2022 actionnaire majoritaire de l'entreprise spécialisée dans l'énergie : le fonds a signé un accord en ce sens avec Casino, la société d'investissement Tikehau Capital et la banque publique Bpifrance qui, en octobre 2018, avaient acquis ensemble 24% du capital de GreenYellow pour 150 millions d'euros au total.Mathieu Badjeck, co-responsable du fonds de transition énergétique de Tikehau Capital, s'est félicité auprès de l'AFP d'une "très belle opération pour nous comme pour l'ensemble des parties autour de la table". Il a précisé que le fonds avait initialement investi 100 millions d'euros et la Bpi 50 dans GreenYellow, "un acteur pionnier dans la transition énergétique". "C'était vrai il y a 3 ou 4 ans, c'est d'autant plus vrai aujourd'hui".Tikehau, qui a ultérieurement précisé avoir empoché 1,9 fois sa mise, conserve une part minoritaire de Greenyellow, de même que Bpifrance et Casino. Le PDG du groupe de distribution, Jean-Charles Naouri, a ainsi dit jeudi vouloir rester "associé durablement à la création de valeur de l'entreprise".Vaste plan de cessionsCréé en 2007 par Casino, GreenYellow vend à ses clients la possibilité de "réduire leur consommation énergétique et leur impact carbone", via l'installation de panneaux solaires, ainsi que "des contrats de performance énergétique" et des services comme le conseil ou l'achat d'énergie.Son nom a fait l'actualité dernièrement dans le cadre de la fourniture de gaz à des particuliers, une activité ciblée par une action de groupe pilotée par Consommation Logement Cadre de vie (CLCV). L'association de défense des consommateurs reproche à l'entreprise des "pratiques trompeuses" pour pousser ses clients à renoncer à une offre tarifaire fixe avantageuse dans un contexte de forte inflation du coût de l'énergie.Casino espère percevoir 600 millions d'euros de la vente, qui entrera dans le cadre de son vaste plan de cession d'actifs de 4,5 milliards d'euros, engagé en juillet 2018 et dont l'échéance, initialement fixée en mars 2021, a été repoussée à "au plus tard fin 2023".Le plan de cessions s'inscrit dans le cadre du plan de sauvegarde de la maison mère de Casino, Rallye, et de sa cascade de holdings (Foncière Euris, Finatis et Euris), lourdement endettées. Décidé en février 2020 par le tribunal de commerce de Paris, il prévoit un remboursement des créanciers via la remontée de dividendes de Casino vers ses holdings, ainsi que la cession d'actifs "non stratégiques".Beaumanoir veut SarenzaDe manière plus marginale, le distributeur stéphanois dit avoir 27 millions d'euros de "cessions diverses sécurisées ou sous promesses", citant Sarenza et des opérations immobilières.Le groupe spécialisé dans le prêt-à-porter Beaumanoir a annoncé le même jour être entré en négociations exclusives avec Monoprix, enseigne du groupe Casino, pour le rachat de l'e-commerçant Sarenza. Le montant potentiel de l'opération n'a pas été divulgué.Au terme de la cession de GreenYellow, Casino dit devoir encore céder pour 500 millions d'euros d'actifs, sans préciser lesquels. Il détient notamment le site d'e-commerce CDiscount, les enseignes Monoprix, Franprix, Géant, Naturalia, ainsi que Asai ou Pao de Acucar en Amérique latine.En attendant, Casino a accru lors du premier semestre 2022 sa perte nette, de 24,5% à 259 millions d'euros, malgré un chiffre d'affaires en progression et légèrement supérieur aux attentes, à 15,9 milliards d'euros. Le groupe profite notamment du retour des touristes en région parisienne, où il est fortement implanté via ses enseignes Monoprix ou Franprix.La dette nette s'est également accrue au premier semestre de plus de 18% par rapport à la même période 2021, à 7,5 milliards, dont 5,1 en France et 2,4 en Amérique latine.A la Bourse de Paris, le titre du groupe a ouvert la séance en hausse, mais est vite repassé dans le rouge et a terminé en baisse de 1,18% à 11,76 euros, dans un marché en hausse de 1,30%.Il a perdu près de la moitié de sa valorisation depuis le début de l'année. Début 2020, avant le déclenchement de l'épidémie de Covid-19, l'action s'échangeait encore aux alentours de 40 euros.
Il y a 2 ans et 292 jours

L'économie française se redresse au deuxième trimestre, mais l'inflation menace toujours

La première estimation du produit intérieur brut (PIB) au deuxième trimestre, publiée vendredi par l'Insee, devra certes être confirmée fin août.Mais alors que la croissance au deuxième trimestre était attendue à 0,2% par la Banque de France et à 0,25% par l'Institut national de la statistique, elle s'est finalement établie à 0,5% par rapport au premier trimestre."Le chiffre de croissance pour le deuxième trimestre est une victoire de l'économie française dans des temps difficiles", s'est réjoui le ministre de l'Économie Bruno Le Maire à la sortie du Conseil des ministres."C'est une bonne surprise, mais il faut regarder les détails", a réagi auprès de l'AFP Ana Boata, directrice de la recherche économique chez Allianz Trade."Le fait que la consommation soit encore en baisse malgré une politique de soutien généreuse est révélateur", a appuyé sur Twitter Gilles Moëc, chef économiste du groupe Axa.Malgré les dizaines de milliards de dispositifs d'aides aux entreprises et aux ménages déployés par le gouvernement, le soutien budgétaire "peine à compenser l'érosion des revenus réels et/ou la perte de confiance des consommateurs dans un environnement difficile", a-t-il ajouté.L'indice des prix à la consommation, dont l'Insee a publié vendredi matin une première estimation pour le mois de juillet, vient d'ailleurs de franchir la barre des 6% (+6,1% sur un an après +5,8% en juin).Et l'Insee "considère qu'on n'est pas encore tout à fait au pic" d'inflation, a rappelé vendredi son directeur des études économiques Nicolas Carnot."L'inflation reste notre sujet de préoccupation numéro un. Mais nous anticipons une baisse" en 2023, a tempéré Bruno Le Maire. Commerce extérieurEn dehors de ces points de vigilance, la bonne tenue de l'économie française au deuxième trimestre s'explique par une contribution nettement positive du commerce extérieur à la croissance.Selon cette première estimation des comptes nationaux, les importations ont reculé de 0,6% au deuxième trimestre, tandis que les exportations, tirées notamment par les services de transport et les dépenses des voyageurs étrangers, ont bondi de 0,8%."À l'inverse, les exportations de biens se replient (-0,6% après +1,4%), notamment dans les matériels de transport et l'agroalimentaire", précise l'Insee.Contexte "volatil"Quant à la consommation, traditionnel moteur de l'économie française, elle reste négative pour les achats de biens (-1,3%), mais les achats de services repartent nettement à la hausse (+1,5%). Deux tendances contradictoires qui aboutissent à un recul global de 0,2% de la consommation des ménages au deuxième trimestre."La consommation de biens et services sur le territoire est notamment soutenue par les dépenses des voyageurs étrangers en France", note l'Insee. Avec les chiffres publiés vendredi, l'institut évalue à 2,5% l'acquis de croissance de l'économie française pour l'année 2022.Un chiffre "confortable", estime Ana Boata, et conforme à l'anticipation de croissance annuelle du gouvernement. La Banque de France ou le FMI (+2,3%) sont légèrement moins optimistes.Mais entre la guerre en Ukraine et l'inflation qui atteint des niveaux plus vus depuis les années 1980, le contexte économique promet de rester "volatil" d'ici à la fin de l'année, avertit Ana Boata.Les données de l'Insee sont publiées au lendemain de la parution des chiffres de la croissance américaine au deuxième trimestre (-0,9% en rythme annualisé après -1,6% au 1er trimestre), qui ont techniquement fait entrer le pays en récession.En Europe, l'Espagne (1,1%), l'Italie (1%) ou la zone euro (0,7%) ont comme la France dévoilé vendredi un taux de croissance supérieur aux attentes au deuxième trimestre, mais l'économie allemande a en revanche calé (0%).
Il y a 2 ans et 293 jours

La solution Ma Maison Hybride d'Airwell, lauréat de bronze des Awards de l'innovation du Mondial du bâtiment

Ma Maison Hybride conçue par Airwell est une solution globale de services qui permet à l’utilisateur de reprendre en main sa consommation énergétique pour l’habitat individuel, neuf et rénovation. Une distinction reçue dans le cadre du concours « Awards de L’innovation » destiné aux exposants Interclima, Batimat et Idéobain organisé par le Mondial du Bâtiment : 82 innovations sélectionnées - parmi 167 dossiers proposés (+20% vs 2019) - par 43 jurés professionnels (votes entre les 17 au 20 juin, 27 lauréats).Structurée autour de l’IA, Ma Maison Hybride mixte photovoltaïque (production de son énergie) et domotique.Elle intègre également la connexion de l’ensemble des équipements de la maison, pompes à chaleur, climatisation, chauffage, ventilation, eau chaude sanitaire, objets connectés, depuis un smartphone (disponible sous IOS et Android) via l’application intuitive Air Home. L’utilisateur devient maître de sa consommation en rendant sa maison plus autonome en énergie selon ses habitudes. Résultats : une consommation d’énergie contrôlée, plus écologique, un budget maîtrisé et une maison confortable, adaptée à tous les besoins.Les modes de consommation évoluent passant de l’utilisation d’un produit à une solution globale de services. Pour permettre au consommateur de mieux maîtriser sa consommation, de limiter son emprunte carbone, réduire sa facture énergétique ou encore avoir accès à des offres dotées de robotiques (dont l’intelligence artificielle et la connectivité) le Groupe Airwell a imaginé un écosystème basé sur la gestion intelligente des équipements thermiques dans l’habitat – Ma Maison Hybride a été lancée en Juin 2021.Depuis son lancement, l’application AirHome a séduit une moyenne de 900 utilisateurs par mois. En évolution permanente, l’application évoluera dans quelques mois pour intégrer un plus grand nombre d’objets connectés comme des prises électriques connectées, des sondes de température ou d’humidité, des capteurs d’analyse de la qualité d’air, des nourrices connectées de chauffage/rafraîchissement au sol.Pour accompagner les professionnels Installateurs Partenaires, dans le déploiement de cette solution, le groupe Airwell a mis en place début 2022 un dispositif d’accompagnement à la fois commercial (exposition sur des foires et salons en régions) et de formation via Airwell Academy. « Les pratiques de consommation du grand public évoluent et notre mission est d’accompagner nos partenaires, les professionnels pour prendre ce virage. Cet accompagnement se traduit par une montée en compétences sur les expertises en thermodynamique et photovoltaïque.Ma Maison Hybride – Solution sur-mesure : explications !La Maison Hybride, c’est l’alliance de l’énergie naturelle du solaire photovoltaïque à l’énergie classique (électricité, gaz). « La démarche est simple : vous produisez votre propre électricité, vous alimentez et vous pilotez tous les équipements thermiques de la maison du bout des doigts », explique Laurent Roegel. La maison devient énergétiquement plus autonome !Le plus : L’énergie récoltée, 100% renouvelable, est utilisable par tous les appareils électriques de la maison, quel que soit la marque.A partir de l’Application AirHome, le pilotage des appareils énergétiques se fait à distance depuis un smartphone (disponible sous IOS et Android).Climatisation, chauffage, ventilation, eau chaude sanitaire et objets connectés (machines à laver, lampes, volets, sécurité), le smartphone devient une véritable télécommande.Résultats :Maitrise de la consommation : Grâce au suivi en temps réel de la production des panneaux solaires et de la consommation de tous les équipements thermiques de la maison.Autonomie : La maison devient énergétiquement plus autonome.Confort & économie : Programmation : Du chauffage et de la climatisation à distance pièce par pièceDe la température de l’eau pour une meilleure gestion de l’énergieUsage & utilisation facilités via des objets connectés (par exemple caméras, volets, lampes...)Le tout centralisé par la box Airwell :Utilisation du protocole ouvert ZigBee (basse fréquence) qui n’encombre pas le débit du réseau Wi-Fi.Ma Maison Hybride : comment ça marcheL’écosystème Airwell permet d’optimiser en instantané la consommation globale en énergie de la maison, en fonction de la production d’électricité des panneaux photovoltaïques. La technologie en IA - Intelligence Artificielle intégrée à l’application AirHome permettra notamment de créer des scenarii d’optimisation énergétique et de maintenance préventive. Elle sera développée progressivement jusqu’à sa totale finalisation courant 2022.Dans les moments de surproduction, l’application ordonne automatiquement aux équipements de l’habitat de “glisser” le point de consigne. Par exemple, en zone de confort, la consigne exigée en chauffage est de 20°C dans l’habitat. En journée (heures de travail), la consigne est de 17°C. C’est pendant cette période d’inoccupation que l’application AirHome va glisser la consigne à 22°C. Ces 2°C supplémentaires permettront de minimiser la consommation de manière significative en sollicitant moins les équipements en énergie de la maison (ex : radiateurs, chaudière, pompe à chaleur, etc.), grâce à l’inertie. L’habitat se régulera de lui-même et maintiendra les pièces de la maison à 20°C par la suite.La maison hybride est une réponse économique et écologique pour reprendre le contrôle de sa consommation énergétique et préserver les ressources naturelles. Avec l’installation de solutions solaires Airwell, énergie verte 100% renouvelable, et en privilégiant les heures de fonctionnement du ballon thermodynamique grâce à l’intelligence artificielle AirHome, la production d’électricité et d’eau chaude sanitaire est optimisée.Ma Maison Hybride : une solution unique « made in France » signée AirwellActeur majeur, pionner français de la pompe à chaleur à sa création en 1947 puis fabricant européen leader dans les années 1970. En 2021, Airwell devient le Groupe Airwell et opère sa mutation avec l’objectif de basculer de fabricant de pompes à chaleur à créateur de solutions thermiques. Mieux consommer l’énergie dans l’habitat passe notamment par le développement de nouvelles solutions innovantes, fiables, simples et évolutives au service du consommateur final.Pour Laurent Roegel, PDG d’Airwell : « Pour Airwell, il n ’y a pas une recette miracle pour favoriser la transition énergétique, mais un ensemble de solutions et de technologies pour modifier les usages quotidiens et la gestion de l’énergie consommée pour l’habitat individuel en neuf ou en rénovation. Ma Maison Hybride propose une solution sur-mesure pour répondre aux enjeux majeurs de la transformation de la consommation en matière notamment de chauffage et de climatisation. »Environnement, budget, usageMa Maison Hybride : des bénéfices multiplesMaison Hybride : l’alliance de l’Energie Solaire aux énergies « classiques », un habitat plus respectueux de l’environnement grâce à l’utilisation des énergies renouvelablesMaison connectée grâce à la domotique intégrée : un pilotage pour gérer les équipements électriques de la maison par le biais de l’application Air HomeMaison autonome : La maison devient énergétiquement plus autonomeNouvel Usage : Une consommation en énergie raisonnée, maitrisée et ajustéeEconomie : Un budget réduit grâce à la gestion de sa consommationTransition écologique : Un coup de pouce pour diminuer sa consommation en énergieConfort thermique : Un gain de confort grâce à la répartition de la chaleur et de l’inertie dans la maisonGain de temps et vue globale : En un coup d’œil, pilotage et gestion des équipements énergétiques de la maison.Les atouts AirwellCertifications : la garantie pour le consommateurEUROVENT CERTIFIED PERFORMANCE : Programme de Certification européen - performances et efficacité énergétique Chauffage et Climatisation des produits Airwell.ISO 9001 : Norme Internationale : satisfaction clients, de produits et de services conformesKEYMARK : Certification européenne et référentiel, ce label validant les performances et la qualité des Pompes à Chaleur et Ballons Thermodynamiques Airwell - pour un accès aux dispositifs de soutien : Ma prime rénov’, éco prêt à taux zéro (ECO-PTZ), certificats d’économie d’énergie (CEE).
Il y a 2 ans et 295 jours

Sobriété énergétique : dans une circulaire, Élisabeth Borne consacre "l'État exemplaire"

TRANSITION ÉNERGÉTIQUE. La Première ministre a adressé une circulaire à l'ensemble de son gouvernement et de ses services administratifs pour les inviter à faire montre d'exemplarité en matière de sobriété énergétique. Il leur est particulièrement demandé de réduire leur consommation d'énergie ainsi que leur dépendance aux énergies fossiles en appliquant des mesures de bon sens.
Il y a 2 ans et 295 jours

JO-2024 : pas invitées à une "réunion de chantier", Pécresse et Hidalgo taclent Macron

"La ville de Paris, signataire du contrat de ville-hôte et la région Ile-de-France ont déploré de ne pas être associées à cette initiative", ont indiqué la présidente de la région Ile-de-France et la maire de Paris dans un communiqué commun intitulé "pas de collectivités, pas de Jeux".Les ex-candidates des Républicains et du Parti socialiste à la présidentielle, aux relations notoirement tendues, ont rappelé d'une même voix que "les collectivités sont un maillon essentiel" de "la réussite des grands événements sportifs internationaux".Si elles ont fustigé un "fonctionnement en deux temps", Valérie Pécresse et Anne Hidalgo se sont toutefois félicitées du "point d'étape avec les élus" prévu "à la rentrée" par le chef de l'Etat, en se réjouissant qu'il prenne "enfin acte que rien ne pourra se faire sans les collectivités territoriales."Budget en surchauffe, doutes à dissiper sur la sécurité de la cérémonie d'ouverture sur la Seine : Emmanuel Macron présidera lundi une réunion entre préfets, ministres et services techniques.L'exécutif a prévu d'y évoquer les "bonnes conditions, pour l'ensemble des délégations, de sécurité, d'organisation et de finalisation des travaux" deux ans avant le départ des JO.
Il y a 2 ans et 295 jours

L'objectif de 2.500 structures France Services sera atteint en 2022, assure Guerini

"Au niveau national, on sera à l'objectif (...) qui était fixé à 2.500 maisons France Services dans l'année 2022", a déclaré le ministre lors d'un point presse."Tous les Français sont à moins de 30 minutes d'une maison France Services et même à moins de 20 minutes pour 9 Français sur 10. C'est évidemment une granularité dans la carte qui est le bon niveau", s'est-il félicité après une visite d'un "camping-car France Services" pouvant accueillir du public."500.000 Français viennent tous les mois dans une maison France Services. (...) Sur une année, il faut considérer que c'est quasiment 10 % des Français qui ont accès aux services publics via une maison France Services, qu'elle soit sous format sédentaire ou sous format mobile", a-t-il ajouté."Il faut qu'on continue cette montée en accessibilité, en fréquentation (...) parce que maintenant, le dernier kilomètre, c'est d'aller chercher les citoyens les plus éloignés des services publics (...). C'est pour ça que les bus, c'est fondamental. Ca va permettre d'amener les services publics aux citoyens, parfois sur la place d'un village ou au sein d'un quartier prioritaire", a-t-il insisté."On est en train d'inventer une nouvelle politique publique, une politique d'accès aux services publics, mais aussi de lutte contre la fracture numérique", a jugé M. Guerini, alors que l'Etat finance chaque structure à hauteur de 30.000 euros, tout en assurant 40% des frais de fonctionnement, selon lui.Emmanuel Macron avait lancé en avril 2019 le réseau France Services pour que chacun puisse être accueilli dans un lieu unique et être accompagné dans ses démarches administratives, avec la volonté de lutter contre l'isolement d'une partie de la population.A l'issue des élections législatives, qui ont porté 89 députés RN à l'Assemblée nationale, de nombreux élus, comme le président de l'Association des maires ruraux (AMRF) Michel Fournier, avaient réclamé un "plan d'urgence" pour les territoires ruraux désertés par les services publics. L'Association des petites villes de France (APVF) avait de son côté demandé "solennellement" à Emmanuel Macron de prendre en compte "un vote de colère et de profonde inquiétude" dans les campagnes.
Il y a 2 ans et 295 jours

KSB et Leistritz nouent un partenariat international dans le domaine du service

Une portée internationale Après une phase pilote réussie en France, ce partenariat de service va s’étendre progressivement à d’autres pays. En effet, avec plus de 190 centres de service et près de 3.500 collaborateurs de service, KSB – dont le siège social se trouve en Allemagne - propose à ses clients dans le monde entier des prestations d’inspection, de maintenance et de remise en état. Pour continuer à développer sa marque haut de gamme KSB SupremeServ, l’entreprise a décidé de coopérer avec la société allemande Leistritz Pumpen GmbH. Pour Markus Schwarte, porte-parole de la direction de Leistritz Pumpen GmbH : « La prochaine étape consistera à intégrer nos clients situés à Singapour, en Thaïlande et en Indonésie. » Une qualité de service maximale « Ensemble, nous sommes encore plus rapides, et nous disposons d’une grande disponibilité pour répondre aux besoins de nos clients en temps utile, et ce 24 h/24, 7j/7, tout au long de l’année. Un service classique, personnalisé, sur le terrain et interconnecté à l’échelle mondiale » précise Dirk Kollmar, responsable du secteur Service Operations chez KSB, au sujet de la suite de la planification, avant de rajouter « Ensemble, nous proposons à nos clients une multitude de services sur-mesure pour toutes les applications, tout en développant progressivement notre présence mondiale commune dans le secteur du service. » Les formations actuellement dispensées au personnel technique assureront une qualité de service maximale. Les offres de services synchronisées pourront être consultées sur les sites Web de KSB et Leistritz.
Il y a 2 ans et 295 jours

FRANCE MATÉRIAUX part à la rencontre des professionnels au Mondial du Bâtiment 2022

FRANCE MATÉRIAUX, groupement de négoces en matériaux indépendants, sera présent, pour la première fois, au salon BATIMAT, rendez-vous incontournable des professionnels de la construction. Du 3 au 6 octobre 2022, l’équipe de FRANCE MATÉRIAUX sera heureuse de promouvoir le groupement et les services proposés auprès des différents acteurs de la distribution et des industriels du secteur sur son stand : Hall 1 – Allée S – stand 110 https://www.france-materiaux.fr/
Il y a 2 ans et 296 jours

Négoce de matériaux et transformation digitale : naissance de nouveaux enjeux

Le négoce des matériaux de construction est lui aussi concerné par cette tendance : 60% des décideurs de l’étude menée par DL Négoce cette année estiment que la transformation digitale contribue à fidéliser la clientèle et voit ses métiers évoluer selon la Commission paritaire nationale de l’Emploi et de la Formation professionnelle.[2]Le parcours client a connu ses dernières années une transformation sans égal, quel que soit le secteur de l’activité commerciale. Le client est de plus en plus informé, de plus en plus exigeant et ultra connecté. Par conséquent, de la vente à la logistique, en passant par la communication ou le marketing, une adaptation des entreprises est devenue indispensable pour répondre aux enjeux actuels.Une évolution des métiers face aux nouveaux usagesL’omnicanalité occupe une place prépondérante aujourd’hui, conduisant au constat suivant : les métiers de la force de vente et du commerce sont les premiers influencés par la digitalisation. Selon l’étude, ils sont parmi ceux les plus impactés (à hauteur de 80%). En effet, les vendeurs conseils et les commerciaux ont besoin d’accéder à tout type d’information pour être efficaces et offrir une expérience client individualisée. Qu’il soit question des réseaux sociaux et plus largement d’Internet pour valoriser l’offre de services du négoce ou suivre les actions de la concurrence; d’outils pour accéder à différentes informations pour, par exemple, établir des devis en temps réel, les équipes voient leurs fonctions évoluer et demander toujours plus d’agilité. Il en va de même pour les métiers de la chaîne logistique. 70% des décideurs interrogés lors de l’étude affirment que les métiers de la logistique et du dépôt ne sont pas épargnés par la transformation digitale (préparateur de commande, livreur et magasinier…). E-commerce, click and collect… Les clients, TPE et PME confondues, sont de plus en plus nombreux à acheter sur Internet. Parmi les artisans, 27% déclaraient l’année dernière y acheter du gros matériel, tandis qu’ils étaient 88% à se procurer des fournitures diverses.[3] Aussi, 84% des négoces interrogés dans le cadre de l’étude ont investi dans la supply chain pour avoir une gestion des stocks plus fine (une disponibilité au bon endroit et au bon moment) à l’aide d’un écosystème numérique facilitant la circulation et l’exploitation des informations, voire une certaine automatisation des plateformes au sein des parcs de matériaux.[4]Changement de paradigme, nouveaux défis RHSi les initiatives ont été nombreuses et variées en termes de digitalisation (la dématérialisation des factures arrive en tête avec 48%, suivent la vente en ligne des produits 38% et la mise en ligne d’informations sur la disponibilité des stocks avec 37%), cette accélération de la digitalisation dans les négoces doit toutefois être nuancée. Le secteur se retrouve en effet confronté à différentes difficultés. 41% des répondants à l’étude se disent en retard par rapport à leurs concurrents. Plusieurs freins ont été identifiés : tout d’abord le manque de ressources internes, difficulté phare rencontrée par 43% des négociants de matériaux. Actuellement, recruter et fidéliser devient de plus en plus ardu en raison d’une pénurie de talents liée à un marché du travail bouleversé par la crise COVID, avec un nombre d’emplois plus important qu’à l’accoutumée concernant certaines professions. « La forte concurrence crée un climat de recrutement “compliqué” pour 78% des répondants à l’étude »[5], alors qu’ils doivent investir dans les nouveaux métiers de la communication/marketing digital jusqu’alors inexistants dans l’univers du négoce et renforcer certains services pour accompagner cette mutation générale (RH, comptabilité…). Parallèlement, on observe de la part des dirigeants une volonté d’accompagner les personnels dans leur montée en compétences pour qu’ils puissent notamment gagner en autonomie et répondre aux enjeux de l’automatisation progressive des tâches.Malgré tout, le digital reste un levier de développement pour le secteur du négoce dont le chiffre d’affaires est en nette augmentation. Perçu comme un allié favorisant l’amélioration de l’expérience client et par voie de conséquence la performance business, il contribue à accroître le niveau de qualification des collaborateurs et la diversification des métiers. La vraie difficulté réside dans le fait d’avoir des ressources en interne suffisamment à l’aise avec les outils digitaux pour piloter les projets, mais aussi dans la conquête de nouveaux talents capables d’accompagner l’organisation dans sa transformation numérique.Tribune de Pascal Andries, Directeur de Général DL Négoce (LinkedIn).[1] Source : Comment tirer parti de la transformation numérique pour modifier la chaîne de valeur de l'entreprise ?[2] Source : https://www.dlnegoce.fr/digitalisation-quelle-influence-sur-les-metiers-dans-le-negoce-de-materiaux/[3] Source : E-commerce : approvisionnement pour artisans | Batiadvisor[4] Source : https://www.dlnegoce.fr/etat-des-lieux-perspectives-investissements-quelle-meteo-chez-les-negociants-de-materiaux/[5] Ibid.
Il y a 2 ans et 296 jours

Tout savoir pour bien choisir un constructeur de maisons individuelles

La mise en œuvre d’un projet de construction nécessite le recours à un professionnel. Sur le marché, plusieurs constructeurs proposent leurs services aux populations, avec des offres aussi flatteuses les unes que les autres. Compte tenu de la sensibilité de l’opération, il vous revient d’identifier un professionnel capable de vous offrir une habitation sure et économique. Pour réussir votre choix, nous vous invitons à découvrir dans ce billet tout ce que vous devez savoir pour bien choisir un constructeur de maisons individuelles. Analyser les offres disponibles Tout projet pour construire une maison en Rhône-Alpes avec un terrain doit commencer par une analyse minutieuse des offres disponibles. Nous vous conseillons donc de contacter plusieurs entreprises de construction de maisons individuelles, pour voir les différentes possibilités qui s’offrent à vous. Que ce soit une maison contemporaine ou traditionnelle, n’hésitez pas à demander des catalogues de réalisation mentionnant le coût global de chaque projet. En général, la plupart des propositions sont des modèles en 3D issus de logiciels de conception assistés par ordinateur. Pour un choix judicieux, vous devez pouvoir décoder les illustrations en les comparant à des photos non retouchées d’une construction réelle, ou à des souvenirs de maisons que vous avez vues par le passé. Ceci est très important, si vous ne voulez pas vous retrouver avec une maison qui ne ressemble en rien au modèle pour lequel vous avez opté. Par ailleurs, en fonction du budget requis pour la réalisation des différents projets, vous pourrez sélectionner les constructeurs à qui vous pouvez confier votre chantier. Enfin, si vous souhaitez des ajustements particuliers pour disposer de la maison de vos rêves, veuillez discuter avec les professionnels, pour identifier ceux qui sont capables de vous satisfaire véritablement. Ceci dit, un bon constructeur doit pouvoir vous dire non et s’expliquer, si vos exigences ne respectent pas les normes en matière de construction. Opter pour un constructeur de proximité Pour une mise en œuvre efficace, vous ne pouvez vous contenter du contact virtuel avec votre constructeur. Pour cela, nous vous conseillons de privilégier un professionnel de votre région avec qui vous pourrez régulièrement échanger sur les détails de l’opération. Par ailleurs, cette option vous permettra d’effectuer un suivi plus efficace de votre chantier. Enfin, le choix d’un prestataire de proximité vous permettra de gagner du temps, et d’économiser les frais de déplacement. Ce dernier point pourrait vous paraître anodin, mais n’oubliez pas que vous devrez effectuer de nombreux aller-retour entre votre maison et le bureau du constructeur d’une part, et visiter régulièrement votre chantier pour vous assurer d’une mise en œuvre conforme à vos attentes d’autre part. Opter pour un contrat de construction d’une maison individuelle (CCMI) En raison des nombreux abus constatés, la législation française prévoit depuis 1990 le recours à un contrat de construction d’une maison individuelle, appelé CCMI. Contrairement au permis de construire, et aux normes thermiques qui sont imposées, l’adoption de ce type de contrat est facultative. Ceci dit, pour être à l’abri des dépenses inutiles, le choix de ce contrat qui est devenu l’un des standards du secteur de la construction de maison serait une option judicieuse. En adoptant le CCMI, vous bénéficierez des garanties de bon achèvement des travaux, et de protection financière. Il s’agit notamment : D’une garantie de parfait achèvement et de bon fonctionnement qui oblige le constructeur d’une maison à prendre en charge la réparation ou le remplacement des éléments défectueux sur une période minimale d’un an après la livraison du chantier. Que ce soit donc pour des travaux d’envergure ou non, vous avez le droit de contacter le professionnel à qui vous avez confié votre projet de construction ; D’une garantie décennale qui obligera votre constructeur à intervenir en cas de malfaçons constatées, sur une période de dix ans, à partir de la date de livraison de votre maison ; D’une caution solidaire obtenue par votre constructeur auprès d’une maison d’assurance ou d’une banque. Ainsi, même si l’entreprise de construction tombe en faillite, elle pourra s’assurer de l’achèvement de votre projet via d’autres artisans ; Des garanties financières telles que les modalités de versement, les pénalités à appliquer en cas de retard ; Du droit de rétractation si le constructeur ne respecte pas les exigences du contrat. Toutefois, bien que le constructeur soit assuré, votre responsabilité pourrait être mise en cause dans certaines situations. En effet, le CCMI prévoit une assurance dommages-ouvrages qui protège le maître d’ouvrage vis-à-vis de tout accident ou incident se produisant sur le chantier. Tenir compte de la réputation du constructeur La réputation est un critère déterminant dans le choix de tout prestataire. Nous vous conseillons donc de contacter vos proches qui ont réalisé un projet de construction, pour avoir une idée de la qualité de prestation offerte par l’entreprise qui s’est occupée de l’exécution de leur projet. En fonction des retours, vous pourrez identifier le constructeur à qui vous pouvez faire confiance. L’autre alternative de vérification de la réputation consiste à visiter des plateformes spécialisées en ligne. En effet, que ce soit la durabilité des matériaux utilisés, la qualité de la prestation, ou le respect des prix convenus, vous pourrez repérer sur ces sites des commentaires d’usagers qui vous permettront d’identifier une entreprise capable de prendre en charge convenablement la mise en œuvre de votre projet de construction. Pour finir, toujours pour vous assurer d’une exécution impeccable, n’hésitez pas à demander à l’entreprise de construction un catalogue des projets qu’elle a exécutés ces dernières années. Vous pourrez donc vous déplacer pour voir ce à quoi ressemblent leurs réalisations, et contacter directement les propriétaires pour avoir plus de précisions sur la qualité des travaux exécutés, et le dérouler de la collaboration avec l’entreprise. S’assurer de la compétence du constructeur La réalisation d’un projet de construction ne doit pas être prise à la légère, car c’est un secteur régi par une règlementation stricte. En effet, en dehors des contraintes environnementales, la RE 2020 a renforcé les obligations en termes de consommation énergétique. Des plafonds en matière de chauffage, d’éclairage, d’eau chaude sanitaire, de ventilation ou de refroidissement doivent désormais être respectés. Vous devez donc vous assurer que votre constructeur dispose d’une équipe d’artisans compétente et rompue à la tâche.
Il y a 2 ans et 300 jours

Procès requis contre l'ancien préfet Alain Gardère soupçonné de corruption

Dans ses réquisitions signées le 18 juillet, le parquet demande que M. Gardère, 65 ans, soit jugé entre autres pour abus d'autorité, corruption passive par agent public, prise illégale d'intérêts, détournements de fonds publics et blanchiment de fraude fiscale, a-t-on appris mercredi de source proche du dossier, confirmant une information du Monde.Le vice-procureur a requis également un procès pour quinze autres personnes, notamment des patrons de sociétés de sécurité ou du BTP, le maire d'Ozoir-la-Ferrière (Seine-et-Marne) et les anciens édiles de Vigneux-sur-Seine et Montgeron (Essonne).Il revient désormais à la juge d'instruction financière Aude Buresi, qui dirige cette information judiciaire ouverte en 2015, de se prononcer sur le renvoi ou non en correctionnelle des seize suspects."C'est une affaire qui est maintenant ancienne, mon client est retraité et vit en province", a réagi auprès de l'AFP Me Jean Veil, qui défend M. Gardère. Ancien commissaire proche de Nicolas Sarkozy quand il était à Beauvau puis à l'Elysée, Alain Gardère a été préfet en charge de la sécurité à Marseille en 2011, puis aux aéroports de Roissy et du Bourget (2012-2014). En 2015-2016, il a dirigé le Conseil national des activités privées de sécurité (Cnaps), sous la tutelle du ministère de l'Intérieur.Il est accusé d'avoir usé de son influence pour rendre de nombreux services en échange de cadeaux pour lui et son entourage (restaurants étoilés, travaux, places de concert, vacances...), notamment lorsqu'il était au Cnaps.L'ancien haut-fonctionnaire aurait entre autres, octroyé un emploi fictif, favorisé l'obtention illégitime d'agréments à des agents de sécurité et facilité l'obtention de marchés en matière de sécurité.Au cours de la procédure, M. Gardère, qui faisait partie du cabinet de Claude Guéant lorsqu'il était ministre de l'Intérieur (2011-2012), a été mis en examen pour plusieurs infractions en 2016, ce qui l'a contraint à quitter son poste à la tête du Cnaps en 2017.Patrimoine immobilierIl est également poursuivi pour avoir détenu deux armes sans autorisation, découvertes à son domicile lors d'une perquisition.Outre ces avantages et services, l'enquête s'est intéressée au patrimoine immobilier acquis au fil des années par Alain Gardère et son épouse, essentiellement en région parisienne, après un signalement de la cellule de renseignement financier Tracfin en juillet 2015.Entre 1989 et 2012, le couple est ainsi devenu propriétaire de dix appartements, dont cinq ayant été achetés entre 2005 et 2012 auprès de la société France Pierre dirigée par Antonio de Sousa, selon des documents d'enquête.Le promoteur immobilier, pour lequel le parquet demande aussi un procès en correctionnelle, est accusé d'avoir accordé "des réductions substantielles sur le prix d'appartements à Alain Gardère" et d'avoir fait réaliser des travaux gratuitement aux domiciles de l'ancien préfet et de sa maîtresse.Il lui est également reproché d'avoir accordé des faveurs à des élus franciliens ou leurs collaborateurs pour obtenir des décisions favorables en matière d'urbanisme.Contacté, son avocat n'a pu être joint mercredi soir.Cette information judiciaire a déjà débouché sur deux condamnations en 2020. Un patron de BTP et l'ancien bras-droit de M. Gardère au Cnaps, Pierre Cournil, ont accepté de reconnaître les faits lors d'une comparution sur reconnaissance préalable de culpabilité (CRPC), une sorte de "plaider-coupable" à la française.M. Cournil a été condamné à trois mois de prison avec sursis et 20.000 euros d'amende pour complicité d'abus d'autorité et complicité de détournement de fonds public".
Il y a 2 ans et 300 jours

La nécessité du renforcement des services publics forestiers pour des forêts en péril

Au vu des dramatiques feux de forêt en cours, les deux associations d’élus cosignataires rappellent l’importance du rôle des forêts qui figurent parmi les aménités rurales les plus importantes. Elles sont à la fois des espaces de biodiversité, de loisirs, qui participent à la souveraineté économique du pays et aux solutions pour lutter contre le changement climatique. Les arbres sont des pompes à carbone qui permettent de réduire les émissions de CO2 en stockant le carbone dans les sols, dans les racines et dans les produits finis en bois et de protéger la ressource en eau.Les forêts ne pourront jouer pleinement ce rôle que si on les protège. L’action publique doit prendre davantage en compte les enjeux liés à ces espaces. Pour les protéger, il est essentiel d’assurer une gestion durable et multifonctionnelle des forêts. La FNCOFOR et l’AMRF ont ainsi toujours demandé que la question du service public soit débattue avec l’Etat en déployant les moyens nécessaires, avec un nombre suffisant de professionnels sur le terrain.Les évènements aujourd’hui montrent la nécessité d’avoir des services publics forestiers forts. Or, ceux-ci sont de plus en plus en tension et il est inenvisageable dans ces circonstances de réduire encore les effectifs de l’Office National des Forêts (ONF) comme le prévoit le contrat d’objectifs et de performance Etat-ONF. Près de 500 postes à l’ONF devraient être supprimés dans les années à venir.Les maires sont directement impliqués. Ils ont un rôle primordial dans ces écosystèmes, à la fois garants de l’intérêt général, protecteurs de la biodiversité et à l’interface de toutes les politiques publiques. Ils doivent pouvoir être accompagnés par des agents de terrain compétents afin d’aménager leur territoire, pouvoir assurer leur mission de sécurité et de prévention des risques tout en étant acteurs du développement économique de la filière forêt-bois et de la transition énergétique.En France, la forêt est placée sous la protection de la Nation. La Fédération National des communes forestières et l'associations des maires ruraux de France demandent donc à l’État de prendre ses responsabilités et d’assumer son rôle de garant de la préservation de nos forêts avec un investissement sur le long terme et d’accorder les moyens humains nécessaires aux élus pour faire face à tous ces enjeux.
Il y a 2 ans et 300 jours

Interview de Christophe Richard, dirigeant d'A.Doc

Batinfo : Pouvez-vous revenir sur l'histoire d'A.Doc ?Christophe Richard : Créée en 1991, A.Doc est une entreprise de 8 personnes qui assure la distribution exclusive de la gamme des logiciels Cadsoft, des outils de dessin et de CAO orientés vers les métiers du bâtiment et de l'architecture. Elle est présente dans toute la francophonie avec un cœur de marché majoritairement européen. À l'origine d'A.Doc, trois architectes qui utilisaient AutoCAD depuis plusieurs années ont remarqué un cruel manque en 3D sur le logiciel et cherchaient une solution qui s'adapterait sur le même noyau. Ils ont trouvé une application canadienne, éditée par Cadsoft, permettant d'avoir des murs, des fenêtres, des portes, etc... Au départ, A.Doc faisait plutôt de la prestation de services comme de la réalisation de plans et d'images mais à force d'utiliser cette solution canadienne, ils ont gagné en compétences dessus et l'éditeur leur a proposé de devenir le support technique de cette application. C'est à cette époque, en 1995, que je suis arrivé dans l'entreprise. Nous avons repris à cette époque, la commercialisation exclusive d'APDesign, sur tout le territoire français et francophone, accompagné de services et de formation autour du logiciel.Nous avons ensuite travaillé sur un outil pour faire de l'architecture dans AutoCad avec une forte connotation bois. Mais l'éditeur qui travaillait avec nous a voulu s'affranchir du noyau AutoCad et a crée son propre noyau graphique dans un objectif de simplification. A.Doc réalise, depuis la sortie de ce logiciel, nommé Envisioneer, il y a 15 ans, toutes les traductions, la mise aux normes françaises, les développements nécessaires pour coller au marché français de la construction traditionnelle et de la construction bois, de l'avant-projet au plan d'exécution. Depuis A.Doc vit de la commercialisation d'Envisioneer, de sa mise en langue française et de plusieurs développements autour de ce produit comme la création de devis, du calcul de structure, l'ajout de modèle 3D BIM, etc...Pendant le confinement, nous avons décidé de nous relancer dans le développement, afin d'élargir notre offre logicielle. On savait que nous étions connotés sur le bâtiment, l'architecture et le bois mais il nous manquait une corde à notre arc avec la menuiserie, l'agencement et l'agencement intérieur. On a donc développé pendant 2 ans des fonctions spécifiques sur le noyau SketchUp, pour créer ce nouveau logiciel, nommé, SketchArtisan, celui-ci ayant reçu un excellent accueil lors de sa présentation sur le salon Eurobois. Batinfo : Où en est A.Doc aujourd'hui ?Christophe Richard : La société a été réinventée plusieurs fois en suivant l'évolution de la technologie. Depuis une quinzaine d'années nous sommes tous en télétravail et nous vendons en faisant des démonstrations à distance. À l'époque nous étions des extraterrestres mais grâce à cette façon de faire, on peut faire une démonstration le matin à Lille et le midi à Marseille. Avec un simple changement de méthode, le chiffre d'affaire en a été décuplé.Au milieu des années 2000, nous avons été précurseurs sur la location de logiciels et depuis nous avons gardé une double offre : le client peut choisir la location avec une option de sortie ou l'achat du logiciel. Ce modèle offre une grande souplesse dont les clients se réjouissent car ils peuvent prendre en main le logiciel pendant la location avant de se décider à l'acheter une fois maîtrisé. De même, nos clients sont libres de décider s'ils souhaitent payer pour une nouvelle mise à jour, en fonction de s'il désirent les nouvelles fonctionnalités ou non.Batinfo : Quels sont les futurs projets d'A.Doc ?Christophe Richard : Nos projets pour les années à venir tournent évidemment autour de SketchArtisan, que l'on vient de présenter pour la première fois au salon Eurobois. Actuellement on travaille sur les vues éclatées et l'optimisation de découpes. Pour le moment on est sur des agencements et les avants projets, un côté commercial en sorte, mais l'orientation que l'on prend pour les années à venir va être vers la technique et la fabrication.
Il y a 2 ans et 300 jours

Big Bag’n Go dévoile sa nouvelle gamme de big bags recyclés

Les big bags sont fabriqués en polyéthylène téréphtalate, un composant issu des déchets de bouteilles en plastique. [©Big Bag’n Go] Les big bags génèrent chaque année environ 800 000 t de plastique à travers le monde. Près de 65 % d’entre eux sont à usage unique. Tandis que 50 % sont recyclés, mais jamais réutilisés dans la fabrication de nouveaux sacs. Cela, en raison de leur composition complexe, associant parfois jusqu’à quatre types de matériaux différents. C’est pourquoi, le groupe Big Bag’n Go dévoile sa nouvelle génération de big bags fabriqués uniquement en polyéthylène téréphtalate, un composant issu des déchets de bouteilles en plastique. Et réputé pour sa photo-résistance, qui évite le recours aux produits chimiques pour protéger les sacs. Une offre de big bags adaptée à tous « Les technologies industrielles et les filières de collecte se mettent en place, déclareArnaud Rongier, président de Big Bag’n Go. Nous avons pour mission d’informer et de sensibiliser les utilisateurs à la nécessité de recourir à des contenants issus du recyclage et éco-conçus. » Ainsi, la production d’un big bag d’une contenance de 1,5 t permet la remise en circuit d’environ 30 bouteilles d’eau de 1,5 l. Lire aussi : Big Bag’n Go consolide ses services avec l’acquisition de SOS Bennes Les produits sont d’ailleurs certifiés Iso 9001, 14001 et 22000. Big Bag’n Go prévoit un déploiement progressif de son offre d’ici début 2023. Celle-ci se compose de trois formats différents. A savoir, le Small 250 (50 cm x 50 cm x 110 cm, 500 kg de charge), le Medium 1 m3 (90 cm x 90 cm x 110 cm, 1,5 t de charge) et le Large 2 m3 (230 cm x 125 cm x 70 cm, 1,5 t de charge). Chaque taille s’adapte à toute typologie de besoin.
Il y a 2 ans et 301 jours

L'Hôtel de Ville de Paris perquisitionné dans le dossier de la Tour Triangle

La perquisition, révélée par le Parisien, était terminée mercredi en début d'après-midi, a précisé l'entourage de la maire Anne Hidalgo.Le parquet national financier (PNF) a confirmé "qu'une perquisition (avait) eu lieu (mercredi) matin dans les locaux de l'Hôtel de Ville de Paris".Menée par deux magistrats instructeurs, selon l'entourage de la maire, la perquisition fait suite à l'information judiciaire ouverte en mars par le PNF pour des soupçons de favoritisme dans le contrat d'exploitation du Parc des expositions dans le sud de Paris, où la construction de la tour a débuté en février.Les juges étaient accompagnés des gendarmes de la section de recherches de Paris, selon une source proche."C'est la suite logique et cohérente de l'information judiciaire", a commenté l'entourage d'Anne Hidalgo qui se dit "à disposition de la justice" et pour qui la perquisition s'est déroulée "de manière très calme, sans panique". Des techniciens ont fouillé des ordinateurs pour y saisir des documents à la direction de l'urbanisme, celle des affaires judiciaires, des affaires financières, aux services généraux et au cabinet de la maire, a précisé l'entourage de Mme Hidalgo. Les enquêteurs sont entrés dans le bureau d'Anne Hidalgo, où ils "sont restés un quart d'heure", a-t-on précisé. La maire, en déplacement à Avignon pour le festival, était absente mais rentrera mercredi soir pour la passation de pouvoirs à la préfecture de police entre Didier Lallement et Laurent Nuñez. Personne à la mairie n'est "mis en cause, encore moins mis en examen", souligne le cabinet de la maire, dans ce dossier qui remonte au début des années 2010, quand Bertrand Delanoë était maire, Anne Hidalgo première adjointe à l'urbanisme et la Première ministre Elisabeth Borne directrice à l'urbanisme. Accusations contestées Le PNF avait ouvert une enquête préliminaire pour "favoritisme" et "recel de favoritisme" en juin 2021, puis une information judiciaire en mars. La Ville de Paris avait résilié le contrat de concession attribué à la société Viparis, puis lui avait à nouveau confié l'exploitation du complexe événementiel via un bail emphytéotique (d'une durée de 50 ans) à l'issue d'un appel d'offres jugé contestable. Les délais de dépôt d'offres ont été notamment considérés comme trop courts, compte tenu de la complexité du projet. De plus, la Ville avait accepté que Viparis ne s'acquitte pas du droit d'entrée de 263 millions d'euros demandé aux candidats. En échange, cette filiale d'Unibail-Rodamco-Westfield devait renoncer à l'indemnité de résiliation anticipée du contrat initial. "Nous sommes très satisfaits que l'instruction permette une avancée dans ce dossier", a réagi Elise Van Beneden, présidente de l'association Anticor qui avait déposé une plainte avec constitution de partie civile en février 2021. La maire LR du VIIe arrondissement de Paris, Rachida Dati, avait également signalé à la justice en juillet 2020 le projet de construction de la tour, qui doit s'étirer sur 42 étages et 180 m de haut, dans le périmètre du Parc des expositions. Mme Dati et Anticor s'appuyaient sur un rapport de la chambre régionale des comptes d'Ile-de-France de juillet 2020, qui estimait notamment que le projet de la Tour Triangle avait été "inséré de façon critiquable dans l'enceinte du Parc des expositions". La Ville de Paris, Unibail-Rodamco Westfield et Viparis rejettent les accusations, assurant avoir respecté les règles de l'appel d'offres.
Il y a 2 ans et 301 jours

Débouchage canalisations : 5 astuces pour réussir l’opération !

Une canalisation bouchée peut entraîner de multiples désagréments (remontée de mauvaises odeurs, toilettes qui débordent, eau stagnante). En utilisant les bonnes méthodes, vous n’aurez pas besoin de recourir aux services d’un professionnel dans l’immédiat. Découvrez ici 5 astuces pour venir à bout des bouchons dans vos tuyauteries. Nettoyer le siphon Une solution efficace pour déboucher les canalisations est de nettoyer le siphon. En effet, cet élément joue un rôle essentiel dans le système de tuyauterie. Il retient les résidus solides afin qu’ils ne se déposent pas dans les conduits. Alors, lorsqu’il est plein, les amas de cheveux (dans la baignoire ou la douche) ou les restes de nourriture (dans l’évier) se déversent dans les canalisations et créent des bouchons. Ainsi, pour le nettoyer, vous aurez besoin de vous munir d’une paire de gants et d’un seau ou d’une bassine. Mettez le récipient sous le siphon afin de recueillir l’eau et les déchets avant de le dévisser. Pensez à maintenir correctement la partie supérieure pendant que vous dévissez la région inférieure, surtout, lorsque le siphon est en plastique. En revanche, si le dispositif est en métal, vous devez vous servir d’une clé à molette. Utilisez une brosse à dents usée, un écouvillon ou un cintre pour avoir l’assurance de retirer toute la saleté. Faites couler de l’eau pour rincer la tuyauterie avant de tout revisser. Assurez-vous que vous avez remis tous les éléments à leur place initiale, principalement le joint qui peut tomber dans le seau. Cependant, si l’eau a toujours du mal à couler librement, cela voudra dire que le dysfonctionnement est plus grave et nécessite l’intervention d’un expert. En faisant appel à une entreprise spécialisée dans le domaine comme Proxi-Débouchage, vous pourrez bénéficier d’un travail de professionnel et de conseils pour mieux entretenir vos canalisations. Utiliser des recettes naturelles Au fil du temps, les déchets (résidus alimentaires, matières grasses, cheveux ou poils) s’entassent dans vos canalisations de manière à former un bouchon qui empêche l’eau de s’écouler. De ce fait, à défaut d’utiliser des produits chimiques pour régler la situation, vous pouvez vous servir de recettes naturelles sans danger pour vous et pour l’environnement. La casserole d’eau bouillante Généralement, une canalisation bouchée peut être le résultat de la présence de gras ou de savon dans la tuyauterie. Ainsi, pour la désencombrer, vous pouvez simplement y verser une casserole d’eau bouillante. Pour un meilleur résultat, il convient de répéter l’opération au moins deux fois. Par ailleurs, il faut faire attention à ne pas vous ne brûler, car l’eau doit être portée à ébullition et versée aussitôt dans la canalisation. Le vinaigre blanc et le bicarbonate de soude Parmi les solutions écologiques qui s’offrent à vous pour résoudre vos problèmes de canalisations bouchées, vous avez également le bicarbonate de soude et le vinaigre blanc. La procédure d’utilisation est relativement simple. Tout d’abord, versez le bicarbonate de soude (environ 200 g) directement dans votre évier, votre lavabo ou encore vos toilettes. Par la suite, ajoutez une quantité égale de gros sel et 20 cl de vinaigre blanc. Laissez le tout agir une demi-heure avant de verser de l’eau bouillante et le tour est joué. Si vous n’avez pas du bicarbonate de soude sous la main, vous pouvez utiliser du soda. À cet effet, mélangez dans un récipient une quantité égale de soda, de vinaigre blanc et de gros sel. Versez ensuite le mélange dans votre canalisation et attendez quelques minutes, le temps que ça agisse avant d’ajouter l’eau bouillante. La réaction acide que produit le soda au contact des autres ingrédients permet de tuer les bactéries et d’éliminer les bouchons. La soude caustique L’hydroxyde de sodium, encore appelé soude, constitue également un moyen efficace pour déboucher les canalisations. Toutefois, cet élément est à manipuler avec beaucoup de précautions : vous devez vous munir d’une paire de gants et de lunettes. Une fois les mesures de sécurité prises, versez dans un récipient trois tasses de soude caustique dans ¾ de litre d’eau froide. Servez-vous d’un bâton ou de tout autre objet en bois que vous n’utilisez plus et remuez le contenu du récipient jusqu’à l’émulsion. Versez ensuite le mélange dans la canalisation et laissez-le agir pendant trente minutes approximativement avant d’ajouter de l’eau bouillante. Cependant, si vous constatez que l’eau a toujours du mal à s’écouler, répétez l’opération. Se servir d’un furet de plomberie Le furet est un instrument de la plomberie qui se présente sous la forme d’un fil métallique qui peut dépasser trois mètres de longueur avec un foret à son extrémité. Cet outil est très efficace pour venir à bout des bouchons dans la tuyauterie. De plus, son utilisation est relativement simple. Pour commencer, vous devez verser de l’eau dans la canalisation et y introduire le bout de l’instrument. Faites-le progresser en actionnant la manivelle. Dès que le furet atteint l’amas de résidus, il peut facilement la transpercer grâce à la mèche à son extrémité. Toutefois, si l’opération semble un peu complexe, vous pouvez effectuer des mouvements de va-et-vient pour faciliter le processus. L’eau versée dans la tuyauterie va permettre une meilleure évacuation des débris. Utiliser une ventouse L’utilisation de la ventouse constitue un moyen à la fois économique et écologique pour déboucher une canalisation. Pour vous en servir, il faut d’abord mettre de l’eau dans votre lavabo ou votre évier. Placez ensuite la cloche en caoutchouc de l’accessoire à l’entrée de la tuyauterie après avoir retiré la bonde. En vous appuyant sur la manche en bois de l’outil, effectuer des mouvements du bas vers le haut pour aider l’eau à s’écouler. Poursuivez l’opération jusqu’à ce que toute l’eau s’écoule. Utiliser un nettoyeur à haute pression Si la canalisation reste toujours bouchée en dépit de tous vos essais, vous pouvez essayer de régler le problème avec un nettoyeur à haute pression avec flexible de vidange. Pour cela, vous devez placer le tuyau sur l’appareil afin de propulser la pression à travers le conduit pour enlever et désintégrer le bouchon. Ensuite, mettez l’embout à l’intérieur de l’ouverture de la canalisation et envoyez l’eau sous pression. Normalement, cette astuce devrait régler le problème, mais s’il persiste, vous devez faire appel à un professionnel.
Il y a 2 ans et 301 jours

Supervan et la Capeb Grand Paris annoncent un partenariat stratégique

Supervan et la Capeb souhaitent simplifier l’activité des artisans au quotidien. [©Supervan x Capeb] Après le lancement de sa marketplace “Breek” dédiée à l’achat express de matériaux de construction, Supervan annonce un partenariat stratégique avec la Capeb Grand Paris. Les deux acteurs partagent une vision commune. Celle d’accompagner les artisans pour faciliter et améliorer leur activité au quotidien. En effet, dès ses prémices en 2016, la start-up s’était donnée pour mission de simplifier le transport de marchandises lourdes et volumineuses. « A travers ce partenariat, notre mission est d’accompagner les petites et moyennes entreprises du bâtiment sur tous leurs besoins, déclare Thierry Gesset-Parment, président de la Capeb Grand Paris. Les artisans manquent toujours de temps. Et Supervan leur permet facilement d’en gagner et d’augmenter leur productivité sur les chantiers de manière efficace. » Supervan élargit ses services En parallèle, Supervan a développé un second service via “Breek” qui permet aux artisans d’acheter en quelques clics les matériaux de construction, dont ils ont besoin et de se faire livrer en 2 h sur chantier. Pour l’heure, ce service est disponible dans toute l’Ile-de-France. « Chaque jour, nous continuons d’innover pour faciliter le travail des artisans, explique Guillaume Fournier, fondateur de Supervan. Lire aussi : Capeb et Herige : Un partenariat environnemental Et nous sommes convaincus que leur valeur ajoutée se trouve sur les chantiers, non pas derrière un volant. » Enfin, Supervan propose une offre spéciale dédiée aux adhérents de la Capeb, en proposant 100 € de livraison offerte après la 10e transaction opérée. La start-up propose enfin un compte pro pour suivre ses commandes.
Il y a 2 ans et 302 jours

Les défaillances d'entreprises s’accélèrent avec une hausse de 49% sur un an

Avec 9.826 procédures collectives ouvertes entre le 1er avril et le 30 juin, le niveau des défaillances augmente de 49% par rapport au 2ème trimestre 2021, après avoir atteint +35% au 1er trimestre. La hausse s’accélère. Sur 12 mois glissés, on enregistre une augmentation générale de 15% pour 34.200 jugements. Les niveaux sont au plus haut depuis octobre 2020. S’ils restent inférieurs à ceux de 2019, année de référence pré Covid, l’écart se resserre. Avec 800 entreprises qui tombent en défaut chaque semaine, les courbes laissent présager un total de 37.000 défauts sur l’année 2022.Les secteurs d’activité B2C (service à la personne, restauration, commerce) sont les plus fragilisés et les jeunes structures créées juste avant ou pendant la crise sont en souffrance (+136%). Les PME, avec 731 procédures ouvertes en 3 mois, dépassent les seuils de 2019. Dans les territoires, la hausse concerne toutes les régions. La tendance est particulièrement marquée dans les Hauts de France, où le nombre de procédures double, et en Centre Val-de-Loire, qui dépasse ses niveaux d’avant crise.Pour Thierry Millon, directeur des études Altares : « Les chiffres de fin 2021 et du premier trimestre 2022 démontraient un retour à la réalité sur le front des défaillances. Depuis février, la tendance à la hausse s’accélère nettement avec une augmentation mensuelle moyenne de 45%. Nous approchons désormais des niveaux observés en 2019, période de référence d’avant crise. Les plus petites entreprises de moins de 3 salariés sont les plus touchées, en particulier les plus jeunes, qui présentent des taux de liquidation identiques à 2019. Autre signal d’inquiétude, les PME sont aussi de plus en plus nombreuses à faire défaut et retrouvent des seuils identiques à l’avant crise. »En hausse de 49,2% au 2ème trimestre 2022, le nombre de défaillances d’entreprises se rapproche des niveaux d’avant crise Covid9.826 entreprises sont tombées en défaillance entre le 1er avril et le 30 juin 2022, soit une hausse de 49,2% par rapport à la même période de 2021. L’augmentation est nette et de plus en plus rapide mais les niveaux restent encore très inférieurs à ceux du printemps 2019 et ses 12.300 procédures.Sur 12 mois glissés, 34.200 entreprises ont fait défaut. La hausse générale est «seulement» de 15% en raison des niveaux de juillet à octobre 2021 qui étaient encore à la baisse (-16%). En tendance annuelle, les volumes de défaillances sont donc plutôt similaires à la situation de fin 2020. (35.500 en octobre 2020 et 34.000 en novembre 2020 sur 12 mois glissés). Avec 289 dossiers enregistrés ce trimestre, le nombre de procédures de sauvegarde est au plus haut depuis 2018 et augmente de 75%. Ce dispositif représente cependant seulement 3% de l’ensemble des procédures. Les procédures de redressement judiciaire (RJ) sont en hausse rapide de 55,5% pour 2325 jugements prononcés. Elles représentent moins d’un jugement sur quatre (24%), un taux très en-dessous des 30% relevés au 2e trimestre 2019. 73% des jugements se concluent sur des liquidations judiciaires directes (LJ), un taux très supérieur aux niveaux observés traditionnellement (68%). Elles ont visé 7212 entreprises, soit une augmentation de 46,4%.La détresse des jeunes entreprises « Covid »La création d’entreprises n’a jamais été aussi dynamique. Alors que l’Insee annonçait un record de près d’1 million de nouvelles immatriculations pour la seule année 2021, 2,6 millions d’entreprises ont vu le jour en 3 ans, dont 700.000 sociétés commerciales. Mais ces structures commerciales sont aussi les plus fragiles. Elles représentent 85% des défaillances et même 93% des défaillances d’entreprises de moins de 3 ans. Certes, on crée plus d’entreprises mais on en perd plus.Un des indicateurs les plus marquants de ce trimestre concerne justement les jeunes structures dont les niveaux de défaillances explosent de 136%, avec 1750 procédures ouvertes. 1411 d’entre-elles ont été directement liquidées, un nombre très proche de celui du 2e trimestre 2019 (1431). Les jeunes restaurateurs (272), particulièrement fragilisés, sont quasi cinq fois plus nombreux qu’un an plus tôt à faire défaut.Les PME défaillantes quasi aussi nombreuses qu’avant la crise93% des entreprises en cessation de paiement sont des TPE, une part relativement constante. Avec 9095 procédures enregistrées, leur nombre augmente de 47% sur un an.Du côté des PME, la hausse s’accélère bien plus nettement. Avec 731 cessations contre 420 un an plus tôt, le niveau des défaillances augmente de 74%. In fine, les PME affichent des volumes similaires à la période d’avant crise.Une tendance d’autant plus marquée dans les PME des services informatiques (+100%) et du transport routier de marchandises (+200%).Les défaillances en hausse dans quasi tous les secteursPour Thierry Millon, directeur des études Altares : « Ce premier semestre se termine sur une tendance sans équivoque : la remontée des défaillances amorcée en fin d’année dernière est très nette. Pourtant le climat des affaires ne s’effondre pas, en dépit d’un alignement de facteurs géopolitiques et macroéconomiques qui inciteraient à l’attentisme. L’inflation, la flambée des prix de l’énergie, les ruptures de chaînes d’approvisionnement, la fermeture de certains marchés ralentissent la croissance mais l’économie tient et les entreprises résistent. Sur ces 12 derniers mois, plus de 34.000 sociétés sont tombées mais nous sommes encore loin des pics de la crise financière de 2008 qui dépassaient les 64.000, ni même les 52.000 procédures enregistrées en 2019. Notre tissu d’entreprises résiste donc mais les courbes que nous observons doivent nous préparer à enregistrer entre 35.000 et 40.000 défauts à la fin de l’année. Car le spectre de la récession plane et les entreprises ne pourront continuer à piocher éternellement dans leur trésorerie en attendant la reprise de la consommation des ménages. L’épargne des Français continue toujours d’augmenter. La Banque de France estime l’épargne totale à 319 milliards d’euros au 1er trimestre 2022, dont 151 milliards sont dus au « surplus Covid ». Pour aider les entreprises à faire face, l’exécutif déploie de nouveaux dispositifs de soutien comme l’ouverture d’un guichet d’aide « gaz & électricité » ou le maintien du plan d’accompagnement de sortie de crise (cf. encadré ci-dessous). Pour l’heure, Altares observe que les retards de paiement sont encore globalement maitrisés. Un signal d’autant plus important alors que la relation fournisseur et la résilience des chaines d’approvisionnement ont été particulièrement malmenées au gré des confinements successifs et de la guerre en Ukraine. Le Gouverneur de la Banque de France écarte pour le moment l’hypothèse d’une récession pour ces prochaines années. L’incertitude commande donc à la prudence. La vigilance et le pilotage au plus près de ses portefeuilles d’entreprises clientes et fournisseurs est de mise. Mais in fine, la résilience pourrait bien se confirmer cette année encore comme le maître mot de nos entreprises. »
Il y a 2 ans et 302 jours

Comment les Français perçoivent-ils les politiques climatiques ?

S’appuyant sur un échantillon représentatif de 2.000 Français, cette enquête permet de dresser un panorama des perceptions et du soutien aux principales mesures climatiques. Préoccupés par le changement climatique, les Français offrent un soutien varié à ces mesures selon la perception qu’ils ont de leur efficacité, de leur impact redistributif et de leurs conséquences financières sur leur propre ménage. Plusieurs recommandations suivent ces constats, dont la mise en place d’enquêtes régulières, l’information auprès des citoyens, l’aide à l’adoption d’alternatives aux énergies fossiles, l’accélération des investissements dans des infrastructures bas carbone, et le fléchage de toutes nouvelles recettes liées à la taxation du carbone.Attitudes face au climat Les Français sont en grande majorité préoccupés par le changement climatique, mais leur soutien aux différentes politiques envisageables pour lutter contre est variable. Il est d’autant plus grand qu’elles sont perçues comme efficaces environnementalement, justes socialement et peu coûteuses pour leur propre ménage. Informer les citoyens sur leurs propriétés augmente significativement le soutien. Constat 1. Les Français interrogés sont conscients des conséquences potentiellement désastreuses du changement climatique et reconnaissent la nécessité de lutter contre sa progression, au niveau individuel et collectif.Constat 2. Une part significative de Français pense que les politiques climatiques sont régressives et anticipent des conséquences négatives sur leur ménage.Constat 3. Le soutien s'explique par les perceptions sur l’efficacité environnementale des politiques, sur leurs effets redistributifs et leur impact financier sur le ménage. Informer sur les propriétés des mesures peut contribuer à augmenter leur soutien.Soutien aux différentes mesures À côté des trois perceptions soulignées plus haut, le soutien aux mesures climatiques dépend fortement des sources de financements (dans le cas d’investissements), du type de politique (réglementation ou taxe), de l’usage des recettes (dans le cas d’une taxe), ainsi que de la disponibilité de substituts bas carbone (équipements et transports).Constat 4. Les subventions à l’adoption et au déploiement de technologies bas carbone, les investissements publics dans des infrastructures décarbonées, l’obligation de rénovation thermique assortie de subventions et l’interdiction des véhicules polluants des centres-villes sont soutenus par une majorité de Français.Constat 5. Le soutien aux mesures de tarification du carbone est nettement plus élevé lorsque les recettes financent des transferts pour compenser les ménages vulnérables ou des investissements verts.Constat 6. La France est le pays où la différence de soutien entre ceux qui utilisent et qui n'utilisent pas de voiture est la plus importante. La qualité des services et des équipements disponibles importe plus que la taille de l'agglomération du lieu d’habitation.Constat 7. En complément de mesures climatiques nationales, la plupart des Français interrogés soutiennent un accord mondial pour réduire les émissions selon une clé de répartition équitable des efforts.Élaborer des politiques climatiques efficaces et justes Pour comprendre les considérations et inquiétudes des citoyens envers les politiques climatiques, il est nécessaire de conduire régulièrement des enquêtes sur les perceptions, préoccupations et attentes des ménages. Une meilleure information sur le fonctionnement et les effets des politiques climatiques est nécessaire. Recommandation 1. Conduire régulièrement des enquêtes sur les contraintes pesant sur les ménages, sur la compréhension et l’acceptation des mesures climatiques, et mieux intégrer les attentes et préoccupations des citoyens dans la définition des politiques. Recommandation 2. Mieux informer les citoyens sur le fonctionnement et les effets des politiques climatiques. Envisager de confier cette mission d’information au Haut Conseil pour le climat en lui allouant des moyens à la hauteur de cette nouvelle compétence.Investissements et infrastructures pour permettre la substitution vers des alternatives bas carbone sont essentiels et d’autant plus urgents que la hausse des prix de l’énergie actuelle pèse lourdement sur les ménages. Une tarification carbone ne peut pas être envisagée dans le contexte actuel de forte hausse des prix de l’énergie. Est également cruciale la prise en compte des demandes de progressivité des mesures, trop souvent perçues comme régressives et coûteuses pour les ménages les plus vulnérables.Recommandation 3. Séquencer la mise en place des politiques climatiques : favoriser d’abord la diffusion d’alternatives bas carbone pour protéger les ménages des hausses des prix, avant des hausses éventuelles du prix du carbone (prévues au niveau européen).Recommandation 4. Renforcer les dispositifs d’aide à l’achat d’équipements à faibles émissions, notamment pour les ménages vulnérables et à revenus modestes.Recommandation 5. Faire une priorité des investissements publics dans les infrastructures de mobilité à faibles émissions : transports en commun, réseau ferroviaire, pistes cyclables, bornes de recharge pour véhicules électriques.Recommandation 6. Redistribuer tout ou partie des recettes provenant de la tarification carbone et des taxes sur les énergies fossiles pour compenser les ménages vulnérables, sous forme de transferts forfaitaires.Recommandation 7. S’engager à affecter intégralement les recettes de toute nouvelle taxe environnementale, ou les hausses de recettes des taxes environnementales existantes, au financement d’une transition énergétique juste.