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Résultats de recherche pour chaleur

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Il y a 2 ans et 256 jours

Bas Smets, le paysagiste belge qui veut verdir les villes et Notre-Dame de Paris

A Hong Kong, Bahreïn, en Amérique, au Portugal, à Bordeaux ou à Arles en France; son cabinet fondé en 2007 à Bruxelles était déjà sollicité partout dans le monde avant d'être sélectionné fin juin par la Ville de Paris pour concevoir le futur parvis de Notre-Dame, à l'horizon 2027.Mais l'architecte paysagiste de 47 ans voit dans ce projet l'opportunité rêvée pour accroître encore la visibilité de son travail, qu'il envisage comme "un laboratoire d'expériences" pour "inventer une sorte d'écologie urbaine", et végétaliser l'espace public bien au-delà de quelques squares."Notre ambition est de transformer la ville pour la rendre résiliente, habitable, agréable", explique Bas Smets à l'AFP."Et si on arrive à le faire sur l'île de la Cité, autour de Notre-Dame, on peut le faire partout", poursuit-il lors d'une rencontre à son cabinet, dans un openspace avec vue panoramique sur Bruxelles où il emploie une vingtaine de jeunes collaborateurs.A Paris, sur un site fréquenté par des touristes du monde entier, Bas Smets veut développer les pelouses arborées de part et d'autre de la cathédrale, et "imaginer le parvis comme une clairière", au milieu de laquelle de l'eau de pluie récupérée dans une cuve ruissellerait au sol par forte chaleur, sur une pente très légèrement inclinée."Il y aura des réflexions éphémères à photographier, et cela produira l'effet d'une averse d'été qui rafraîchit l'air", poursuit ce Belge néerlandophone, diplômé de l'université de Louvain."On peut aussi imaginer que ce ruissellement devienne un rendez-vous quotidien de quelques minutes, comme le scintillement de la tour Eiffel", ajoute-t-il.Le chantier doit commencer en 2024 après les Jeux olympiques et l'achèvement de la rénovation de l'édifice lui-même, gravement endommagé par un spectaculaire incendie en 2019.Inspiré par Central ParkCôté sources d'inspiration, Bas Smets cite le New-Yorkais Frederick Law Olmsted, qui a conçu entre la fin du XIXe siècle et le début du XXe quantité de parcs urbains aux Etats-Unis, dont le célèbre Central Park de sa ville natale."Il a réfléchi au stockage de l'eau pour amener la nature en ville, organisait les espaces verts en réseau en les reliant entre eux. Il pensait presque déjà au climat avant le global warming (réchauffement climatique)", sourit celui qui aime se décrire en "architecte de paysages".Pour ses projets à travers le monde, le bureau de Bas Smets s'appuie sur des collaborations locales, et le Bruxellois bénéficie pour la botanique des conseils de spécialistes dont ceux du neurobiologiste italien Stefano Mancuso (auteur de "L'intelligence des plantes"), rencontré il y a six ans à Florence.La réflexion avec eux porte notamment sur la nécessité de choisir une végétation adaptée à la nature du sol, au climat. Et qui sans doute devra se montrer plus résistante à la chaleur et aux épisodes de sécheresse susceptibles de se multiplier à l'avenir.Pour la "promenade plantée" créée sur une place du centre-ville de Waregem, en Belgique, Bas Smets a choisi des micocouliers, une espèce méridionale. "J'ai dû me battre parce qu'on sortait de la liste des plantes indigènes", raconte-t-il, "mais dans 50 ans un micocoulier a plus de chances d'avoir survécu qu'un arbre d'ici".Il classe cette réalisation parmi "les projets exemplaires qui montrent qu'on peut réfléchir autrement"... sa formule pour définir tout ce qu'il entreprend. Bas Smets doit aussi transformer et verdir dans les années à venir le quartier de la Gare centrale à Bruxelles, où il déplore le manque d'avenues arborées."Envisager une réponse au changement climatique est très difficile tellement il semble inévitable. Mon espoir est que les villes agissent toutes en même temps pour créer ces réservoirs écologiques, fait-il valoir."Mais il faut le faire maintenant, pas dans dix ans".
Il y a 2 ans et 257 jours

Étude qualitative du marché des pompes à chaleur réalisée par Observ'ER

Sur le segment des équipements aérothermiques, les fortes progressions des ventes en 2021 se poursuivent au premier semestre 2022, ce qui permet aux acteurs d'aborder l'avenir avec une certaine sérénité. Cependant des points d'inquiétude existent avec notamment des tensions d'approvisionnement grandissantes et l'augmentation du coût des matières premières. Ce contexte a poussé les industriels à relever leurs prix en 2021 et en 2022, au risque de ralentir la dynamique du marché. Autre point délicat, la grande difficulté des entreprises à recruter. Particulièrement sensible sur la partie installation des équipements, ce problème pèse davantage à mesure qu'augmentent les ventes d'un secteur. Côté réglementaire, les révisions annoncées par Bruxelles de la réglementation sur les fluides frigorigènes ont fait réagir une grande partie des industriels. Ceux-ci considèrent que les seuils visés à courte échéance sont incompatibles avec le développement des technologies actuelles, le risque serait de voir une grande partie des gammes disponibles être déclarées impropres à la vente dès 2025.Côté géothermie, le marché est dans une position bien moins favorable. Bloquée à des niveaux d'activité très faibles, la filière se débat avec l'image d'une technologie très peu abordable diffusée par des réseaux d'installateurs et de foreurs en trop petit nombre pour couvrir le pays. Les professionnels appellent à davantage d'actions de soutien de la part des pouvoirs publics et placent une partie de leurs espoirs dans la technologie des murs géothermiques qui pourraient proposer des réalisations à moindre coût.Ces constats sont issus de l'étude qualitative 2022 d'Observ'ER (Observatoire des énergies renouvelables) sur le marché des pompes à chaleur.
Il y a 2 ans et 257 jours

Un coup de peinture pour faire descendre la température

Le cool-roof : des toitures blanches pour améliorer le confort d'été mais aussi pour lutter contre les îlots de chaleurs urbain. Une technique simple et pourtant efficace. (Photo © Enercool)
Il y a 2 ans et 257 jours

FutraHeat invente une pompe à chaleur très haute température

Une start-up britannique développe une pompe à chaleur capable de produire de la vapeur à 150°C et donc de remplacer les chaudières vapeur en industrie. Elle fonctionne à basse vitesse et sans huile.
Il y a 2 ans et 258 jours

A Rennes, un écoquartier en pointe contre les dômes de chaleur

Un immeuble de sept étages sorti récemment de terre construit autour d'un arbre datant de plusieurs décennies. Devant, une zone boisée et des fossés végétalisés bordant une rue sans voitures : bienvenue à La Courrouze, nouveau quartier de 110 ha, dans le sud de Rennes."On est dans un quartier de Rennes où, par temps de canicule ou des temps de fortes températures, on a des îlots de fraîcheur qui sont constitués parce que la présence du végétal est forte" explique Marc Hervé, premier adjoint à l'urbanisme à la Ville de Rennes.A La Courrouze, pas d'enrobé sur la chaussée. Au pied d'un immeuble, l'édile montre des pavés aux tons pastel qui forment une chaussée drainante, pour filtrer l'eau et nourrir la végétation.Sur les toits, des panneaux solaires. Plus loin, une école publique sur deux étages, semi-ouverte, qui illustre ces nouvelles constructions plus compactes, aérées.Métamorphosé, l'ancien quartier militaire de l'arsenal a ici laissé en héritage 40 ha de végétations à la capitale bretonne, qui expérimente une nouvelle façon de penser l'habitat à l'aune du réchauffement climatique."Hauteur écologique"Logements aidés, bureaux, commerces, parking-relais et aire de covoiturage, avant l'arrivée du métro en septembre : à terme, cet écoquartier vitrine initiée dans les années 2000 abritera 10.000 habitants et 8.000 emplois.Des opérations vouées à se multiplier si la métropole veut tenir son engagement de permettre que "90% des Rennais disposent d'un parc à 5 minutes de leur domicile" d'ici 2030 et briser "le dôme de chaleur" dont témoignent les écarts de températures. Le 18 juillet un nouveau record a été relevé, avec 9°C d'écart entre Rennes (23°C) et sa campagne (14°C).La métropole, qui a adopté son plan climat en 2019, espère faire de ce nouveau poumon vert une pierre angulaire de son plan local d'urbanisme intercommunal (PLUi).Mais en contrepartie, la ville qui connaît une forte tension immobilière, assume son choix de construire en hauteur."Ce n'est pas antinomique" estime Marc Hervé. Avec une emprise au sol moins importante "la hauteur est écologique", argue l'élu qui souligne que le quartier consacre de grands espaces entre les immeubles qui peuvent atteindre 11 étages.La question de l'eauComment concilier dans les villes de l'ouest, Rennes, Nantes ou Angers, croissance démographique et développement économique sans pour autant rendre la ville plus dense et donc plus chaude ?"Cette équation n'est pas simple", répond Vincent Dubreuil, professeur en géographie à l'université Rennes 2 qui étudie depuis 30 ans le changement climatique en France."Il y a des politiques de désartificialisation, d'implantation de la végétation", mais cela "pose la question de l'eau, parce que pour être efficace contre les îlots de chaleur, la végétation doit consommer de l'eau".Alors que Rennes - classée en climat tempéré, avec des étés frais et un climat humide - risque de "basculer plus fréquemment dans une classe méditerranéenne", choisir une végétation et des arbres avec un indice de rafraîchissement important mais aussi plus gourmands en eau, n'est pas forcément pertinent, d'autant que le bassin rennais fait partie de ces régions pas très arrosées, observe le chercheur.Selon Vincent Dubreuil, "il faut penser dès maintenant à des solutions d'aménagements en terme de nature des matériaux, de couleurs des bâtiments et de végétation. Et prendre en compte le fait que, de toute façon, le climat sera plus chaud dans le futur".
Il y a 2 ans et 258 jours

Un habitant sur sept vivra dans un territoire exposé à plus de 20 journées anormalement chaudes par été

Au cours des trente prochaines années, l’ensemble du territoire métropolitain sera exposé à une hausse du nombre de journées et de nuits anormalement chaudes lors des mois de juin, juillet et août selon une étude publiée par l’Insee en partenariat avec Météo France. Une large partie du territoire, regroupant aujourd’hui près de 80 % de la population, subira de 16 à 29 journées anormalement chaudes en été, alors qu’elle était exposée à moins de 16 journées anormalement chaudes au cours des années 1976-2005. Les températures nocturnes seront également plus souvent anormales : certains territoires connaîtront jusqu’à 19 nuits anormalement chaudes, alors que le maximum était de 7 sur la période 1976-2005. Les territoires les plus exposés aux chaleurs anormales abritent également près de 1,2 million de personnes vivant sous le seuil de pauvreté, habitant parfois dans des logements mal isolés. De plus, ils concentrent de nombreux emplois dans la construction et l’agriculture dont l’exercice est particulièrement difficile lorsque les températures sont anormales. Cet article Un habitant sur sept vivra dans un territoire exposé à plus de 20 journées anormalement chaudes par été est apparu en premier sur Planète Bâtiment.
Il y a 2 ans et 258 jours

Une terrasse en bois Kebony entoure une piscine avec vue sur les collines du Texas

Située près de Dripping Springs au Texas, Peached Casita a été conçue et construite par Kim Lewis, de l’agence Kim Lewis Designs. Cette petite maison de 52 m2 offre un écrin paisible et romantique en plein cœur de la nature, avec sa piscine ronde entourée d’une terrasse en bois Kebony.Le bois Kebony a été choisi pour ce projet en raison de sa capacité à résister à la chaleur et au soleil texans. Son apparence moderne, qui acquiert une élégante patine gris argenté avec le temps, a également contribué à séduire l’architecte. Les planches de la terrasse Kebony ont été installées en toute facilité à l’aide de la méthode Step-Clic, tandis que le clip de fixation caché Fastenator a été utilisé pour la zone entourant la piscine.L’apparence caractéristique du bois Kebony permet à cette terrasse de s’intégrer harmonieusement dans l’expression moderne-bohème de la maison autant que dans le paysage naturel environnant. Développée en Norvège, la technologie Kebony est un procédé breveté et respectueux de l’environnement qui modifie les bois résineux issus de sources durables, en chauffant le bois avec de l’alcool furfurylique ; un produit d’origine organique. Ces résineux adoptent alors les qualités d’un bois dur tropical, à savoir une durabilité, une dureté et une stabilité dimensionnelle élevées.Peached Casita est disponible à la location pour une évasion en immersion totale dans le calme des collines du Texas, tout en restant à proximité des points d’intérêt d’Austin et de Dripping Springs.Kebony est un bois véritable, haut de gamme, écologique et durable, utilisé dans de nombreuses applications extérieures : terrasse, bardage, toiture et mobilier.La technologie Kebony est un processus de production breveté qui permet d’améliorer les propriétés des bois résineux pour leur conférer des caractéristiques comparables à celles des bois exotiques. Grâce à un procédé respectueux de l’environnement, les bois sont imprégnés d'un liquide organique provenant de déchets de cultures agricoles. En chauffant le bois, les polymères furfuryliques sont imprégnés dans les parois cellulaires du bois, ce qui augmente sa densité et stabilité dimensionnelle, et lui donne un coloris brun foncé similaire d´un bois tropical. Le siège mondial de la société est basé à Oslo, en Norvège, et ses sites de production se situent à Skien, sud d'Oslo et à Anvers en Belgique.
Il y a 2 ans et 260 jours

Incendie d'ampleur dans une Californie écrasée par la chaleur

Des avions bombardiers d'eau sont mobilisés pour tenter de contrôler un feu qui s'est déclenché mercredi et qui a déjà touché plus de 2.100 hectares de l'arrière-pays de Los Angeles. Sept pompiers ont été brièvement hospitalisés pour des légères blessures liées à la chaleur, ont annoncé des responsables des pompiers.La Californie fait face, comme certaines régions du Nevada et de l'Arizona, à une nouvelle journée de températures extrêmes. Un dôme de chaleur s'est installé sur la région, poussant le mercure à grimper jusqu'à 43°C jeudi dans la région de l'incendie.Cette météo étouffante devrait se maintenir jusqu'à la semaine prochaine, avec des pics de température jusqu'à 46°C.L'incendie en bord d'autoroute, baptisé "Route Fire", est "un signal d'alarme" sur le risque incendie actuel, a déclaré Robert Garcia, le responsable des pompiers pour les forêts de la région de Los Angeles.Les conditions actuelles pourraient conduire à des incendies "très rapides" avec un "comportement explosif", a-t-il dit. "Les prochains jours vont être très difficiles", a prévenu M. Garcia devant la presse.Le "Route Fire", qui a bloqué quelques heures durant le principal axe routier reliant Los Angeles à San Francisco, est en partie maîtrisé, ont fait savoir les pompiers, mais encore beaucoup reste à faire pour parvenir à son extinction."Une chaleur intense, une faible humidité et un terrain accidenté vont compliquer le travail des pompiers", ont précisé les autorités dans un point de situation. Elles estiment que cela va favoriser de grand panaches de fumée, l'avancée du feu vers le haut des reliefs et le déclenchement d'autres feu annexes à proximité.Manque d'électricitéLa vague de chaleur qui touche l'Ouest des Etats-Unis a aussi provoqué des perturbations sur le réseau électrique californien. Son régulateur, California ISO, demande aux ménages de limiter leur consommation de 16H00 à 21H00 afin d'éviter une saturation.Parmi les mesures recommandées, figure l'arrêt du rechargement des véhicules électriques à ces heures, dans un Etat qui a annoncé quelques jours auparavant bannir la vente de voitures neuves à essence d'ici 2035.La réduction de la demande qui résulterait de ces gestes "peut aider à la stabilisation du réseau électrique aux périodes de forte demande et (ainsi) éviter des mesures d'urgence qui incluent des coupures" temporaires, a écrit California ISO dans son message d'alerte.En pleine journée, l'ensemble des panneaux solaires fournissent un tiers de l'électricité en Californie.Mais, à la tombée du soleil, l'offre d'énergie photovoltaïque s'interrompt brutalement, laissant les autres sources d'électricité prendre le relais – ce qui pose problème en début de soirée, quand la chaleur de la journée n'est pas encore retombée, poussant la demande via la climatisation.Mercredi, le gouverneur démocrate Gavin Newsom a levé temporairement des restrictions afin que des centrales électriques fonctionnant aux énergies fossiles puissent produire davantage.Le service météorologique américain (NWS) a publié une alerte "chaleur excessive" pour la majorité de la Californie, ainsi que dans certaines parties de l'Arizona et du Nevada, avertissant de "températures dangereusement chaudes" pour les prochains jours.Le mercure devrait rester très haut - plus de 25°C - la nuit. Dans le sud de la Californie, les vagues de chaleur ne sont pas inhabituelles en septembre, mais des températures au-dessus de 37°C sont considérées très chaudes, même pour une région réputée pour son fort ensoleillement.Selon les scientifiques, les canicules à répétition sont un marqueur sans équivoque du réchauffement de la planète -- et ces vagues de chaleur sont appelées à encore se multiplier, s'allonger et s'intensifier.L'Ouest américain est frappé par plus de deux décennies d'une sécheresse dévastatrice, aggravée par le changement climatique.
Il y a 2 ans et 260 jours

ATLANTIC innove avec IXTRA M : la pompe à chaleur monobloc fabriquée en France, design et silencieuse

UNE NOUVEAUTÉ QUI VIENT COMPLÉTER L’OFFRE DE POMPES À CHALEUR ATLANTIC ET RÉPONDRE AUX ATTENTES DU MARCHÉ Le marché français de la pompe à chaleur air/eau ne connait pas la crise et s’assure une pleine croissance. Ainsi, plus de 267 000 unités* ont été vendues en 2021. Les PAC monoblocs qui représentent plus de 12 […]
Il y a 2 ans et 261 jours

Catherine Vautrin nommée à la tête de l'Agence nationale pour la rénovation urbaine (ANRU)

Ancienne ministre déléguée à la cohésion sociale et à la parité, présidente de la commission « Aménagement urbain, logement et habitat indigne » de France urbaine, présidente d’une communauté urbaine portant d’ambitieux projets de rénovation urbaine, Catherine Vautrin est une personnalité reconnue et qualifiée en matière de politique de la ville.Présidente de la communauté urbaine du Grand Reims, co-présidente de la commission logement de France Urbaine, Catherine Vautrin représentait depuis 2019 les présidents d’établissements publics de coopération intercommunale, désignée par l’Association des communautés de France. Elle représentait également France Urbaine au conseil d’administration de l’ANRU.Etablissement public industriel et commercial, l’ANRU finance et accompagne la transformation de quartiers de la politique de la ville dans toute la France. Avec ses partenaires, l’ANRU joue un rôle essentiel dans l’amélioration des conditions de vie de millions d’habitants.Catherine Vautrin devra notamment poursuivre le déploiement du Nouveau Programme National de Renouvellement Urbain (NPNRU), qui prévoit la transformation profonde de plus de 450 quartiers prioritaires de la politique de la ville en intervenant fortement sur l'habitat et les équipements publics, tout en favorisant la mixité dans ces territoires.Première présidente de l’ANRU, elle présidera son premier Conseil d’Administration le mardi 11 octobre 2022.Pour Olivier Klein, ministre délégué à la Ville et au Logement : « Je tiens à féliciter chaleureusement Catherine Vautrin, nouvelle présidente de l’ANRU. Son expertise en matière de renouvellement urbain, unanimement reconnue par les acteurs de la politique de la ville, sera un atout considérable pour accompagner la mise en œuvre du NPNRU. Je connais son talent, son engagement et son goût du travail collectif. Autant de qualités qui seront nécessaires pour relever les deux grands défis de la politique de la ville : transformer nos quartiers populaires pour les rendre plus beaux, plus inclusifs, plus écologiques ; et améliorer la vie quotidienne de leurs habitants. Je sais pouvoir compter sur Catherine Vautrin pour avancer avec le gouvernement dans cette direction.»
Il y a 2 ans et 261 jours

Qualité de l'air intérieur : les industriels de la ventilation sont à Interclima 2022

Penser qualité de l’air intérieur et ventilation devient pour les professionnels de la filière un des grands sujets à mettre en œuvre, en construction neuve comme en rénovation.En adressant la question de la QAI et de la ventilation, INTERCLIMA 2022, salon historique de toute la filière du génie climatique et qui se tiendra du 3 au 6 octobre à Paris, Porte de Versailles, s’empare ainsi d’un sujet fort d’actualité et d’avenir, pour apporter aux professionnels des clefs de réponse en termes de solutions, de pratiques, de formations et d’innovations.Un espace Qualité d'air intérieurL’ensemble de la filière pourra se rencontrer et échanger dans un espace dédié, imaginé par Uniclima en partenariat avec l’Association française de la Ventilation, née en janvier 2021, autour de Forum et Atelier.Avec ses 18 adhérents dont 7 organisations professionnelles fondatrices (CAPEB, COEDIS, FEDENE, UMGCCP-FFB, UNICLIMA, SNEFCCA et SYNASAV), c’est l’ensemble de la filière professionnelle de la ventilation qui se mobilise ainsi pour la première fois sur Interclima.Le Forum QAI : dans cet espace de prises de parole, dynamique et rythmé, experts, et fabricants se succèderont toutes les 30 mn pour présenter un produit, un service, le résultat d’une étude ou une solution, avec des sujets liés à la qualité d’air intérieur ou à la ventilation. Hall 3 stand J108L’Atelier QAI : ce stand d’Uniclima, en partenariat avec l’Association Française de la Ventilation permettra de sensibiliser les différents acteurs (maîtres d’œuvre, maîtres d’ouvrage, installateurs..) à la qualité des installations de ventilation. Dans ce lieu de rencontres totalement réinventé cette année, tout professionnel s’interrogeant sur une question liée à la QAI pourra accéder à une série de « serious game » lui permettant de tester ses connaissances de façon ludique. La maquette Un air en commun, proposée par l’Agence qualité construction (AQC), sensibilisera les visiteurs à la ventilation résidentielle. Jeux et quizz pédagogiques en ligne permettront aux installateurs, maîtres d’ouvrage ou bureaux d’études, de faire le point en matière de ventilation, grâce notamment au contenu du site batiment-ventilation.fr mis en place par la DHUP avec le soutien du CEREMA et du Club de la ventilation. Hall 3 stand K108Des engagements concrets signésUn accord Green Deal entre le Plan Bâtiment Durable (PBD) et l'Association française de la ventilation sera signé sur le salon en présence de Philippe Pelletier, président du PBD. Cet accord portera les engagements concrets de l'AFV pour la ventilation et la qualité de l'air intérieur des bâtiments en rénovation. Il s'agit notamment d'accompagner la montée en compétence des acteurs de la filière, de développer la maintenance et l'entretien des équipements, de favoriser le remplacement des équipements anciens en augmentant le taux de renouvellement annuel des groupes de VMC et aussi de favoriser l'installation de systèmes de ventilation dans les bâtiments anciens non équipés. Une attention particulière sera portée aux établissements scolaires qui ont fait l'objet d'une position forte en 5 points de la part de l'AFV.Les principaux acteurs de la QAI et de la ventilation ont répondu présentsDe nombreux acteurs de la QAI et de la ventilation seront positionnés autour de l’espace Qualité d’Air Intérieur, créant ainsi une zone d’affluence sur ces sujets.Retrouvez l’ensemble des exposants Qualité de l’air intérieur ici L'innovation technologique en ventilation largement représentée sur le salonParmi les 43 participants aux Awards de l'innovation d'Interclima 2022, 5 fabricants proposent des innovations dans le domaine des systèmes de ventilation (Aldes, Groupe Atlantic, France Air, S&P France et Zehnder Group France) et 4 autres proposent des unités intérieures de pompes à chaleur air/air participant au traitement de l'air intérieur (Thermor, Toshiba, Frigicoll France et Johnson Controls Hitachi...).D'autres solutions récentes ou inédites seront également présentées sur le salon.Pour son retour à la Porte de Versailles, après trois années de silence imposé par la crise sanitaire, INTERCLIMA 2022 s’annonce comme une édition exceptionnelle pour dresser l’état des lieux des solutions, des formations et des innovations et pour se projeter avec confiance dans l’avenir de la filière.
Il y a 2 ans et 262 jours

Une rentrée chargée pour le secteur de la rénovation énergétique

Menace de coupure d'approvisionnement en gaz russe, projet de loi de finances et nouveaux montants d'aides financières allouées aux travaux de rénovation énergétique et aux énergies renouvelables, annonces sur la stratégie climatique du prochain quinquennat, plan de sobriété, nouveau report de l'audit énergétique des logements mis en vente, interdiction d'augmentation des loyers pour les passoires thermiques…Hellio acteur de référence de la maîtrise de l'énergie, fait le point sur les nombreux enjeux de la rentrée.Audit énergétique obligatoire en cas de vente d'une passoire thermique : un nouveau report au 1er avril 2023Initialement prévu par la Loi Climat et résilience pour le 1er janvier 2022, puis reporté une première fois au 1er septembre 2022, l'audit énergétique obligatoire des maisons et appartements en mono propriétés classés F ou G au Diagnostic de Performance Énergétique va faire l'objet d'un nouveau report par décret. Il deviendra obligatoire pour toute vente au 1er avril 2023. Réaction Hellio :Défendu par la plupart des fédérations du secteur de l'immobilier, le report de l'audit énergétique s'explique par le manque de formation et de préparation des professionnels chargés de la réalisation des audits qui pourrait entraîner une défaillance dans les résultats et obliger à réaliser des rénovations inadaptées aux réelles problématiques du logement.En effet, la fiabilité des audits est indispensable puisqu'ils visent à déterminer le prix de vente et à informer le futur acheteur du bien sur les travaux de rénovation énergétique à entreprendre ainsi que les frais à engager[1]”.[1] Cela concerne les DPE réalisés à partir du 1er janvier 2018. Si le DPE date d'avant cette date, il doit être refait.Passoires thermiques : le blocage des loyers depuis le 24 août 2022 pour les logements classés F ou G au DPESelon la loi du 22 août 2021[2] portant sur la lutte contre le dérèglement climatique et le renforcement de la résilience face à ses effets, les loyers des logements classés F et G au DPE, qualifiés de “passoires énergétiques”, ne peuvent plus être augmentés depuis le 24 août 2022. Cette mesure concerne les nouveaux contrats de location et les contrats en cours, renouvelés ou tacitement reconduits, pour lesquels aucune hausse ne pourra être appliquée.[2] https://www.legifrance.gouv.fr/jorf/id/JORFTEXT000046131733Aides financières aux travaux d'économies d'énergie: vers une hausse des budgets ?Prochaine loi de finances 2023 : vers une refonte de MaPrimeRénov' et un budget en hausse ?Pour rappel, le projet de loi de finances voté au dernier trimestre par le Parlement vise à déterminer chaque année l'ensemble des recettes et dépenses de l'État pour l'année suivante. Ce projet de loi contient le montant, la nature et l'affectation des ressources et des charges de l'État, il est présenté chaque année à l'automne par le Gouvernement.Il devrait figurer dans le projet de loi de finances pour 2023 :Le niveau du budget de MaPrimeRénov', de MaPrimeRénov'Sérénité, du chèque énergie si reconduit, etc. Ainsi que celui des autres aides dédiées aux économies d'énergie ;Le niveau de budget et de ressources humaines dédiées aux administrations compétentes en matière de transition énergétique : Ademe, Anah, France urbaine, etc.Réaction Hellio : « Afin d'atteindre les objectifs du Gouvernement en matière de rénovation énergétique des bâtiments et de diminuer drastiquement leur consommation d'énergie, outre l'augmentation du budget dédié à MaPrimeRénov', il serait pertinent de prioriser les financements dédiés aux bouquets de travaux et aux rénovations très performantes afin de garantir l'efficacité de l'opération. Hellio souligne également l'importance de renforcer certains effectifs d'agences d'État indispensables à la distribution de ces aides. »Une augmentation des montants des primes énergie versées pour les travaux d'économies d'énergieDans le cadre du plan de sobriété et de l'objectif de réduction de la consommation d'énergie de 40% d'ici 2050, la ministre de la Transition énergétique, Agnès Pannier-Runacher, a annoncé un renforcement dès la rentrée du dispositif des Certificats d'Économies d'Énergie (CEE). Première aide financière dédiée aux économies d'énergie en France, elle est estimée aujourd'hui à près de 5 milliards d'euros par an versés sous forme de primes aux travaux par les énergéticiens (chauffage, isolation des murs, etc).Dispositif CEE d'aides aux travaux : une réhausse de l'objectif prévue pour septembre pour plus d'1,5 milliard d'euros de primes énergie par anUn projet de décret prévoit ainsi une réhausse de l'objectif de plus de 25%, correspondant à peu près à 1,5 milliard d'euros par an supplémentaires versés sous forme de primes aux travaux, réalisés principalement pour des ménages en situation de précarité[3].Enfin, dans le but de mieux encadrer le prix du marché issu du dispositif des CEE, le ministère de la Transition énergétique lancera, dès septembre 2022, une concertation avec les acteurs de la rénovation énergétique.Extension de la prime énergie Coup de pouce Chauffage des bâtiments résidentiels collectifs :L'arrêté du 12 juillet 2022[4] prévoit une extension de l'aide existante Coup de pouce Chauffage aux logements collectifs financée par le dispositif des CEE pour tous les travaux de remplacement de chauffage par des équipements à énergies renouvelables en habitat collectif – chaudière biomasse, pompe à chaleur collective et surtout raccordement aux réseaux de chaleur – pour tous travaux signés au 1er septembre 2022.Hellio fait partie des signataires de la charte d'engagement Coup de pouce Chauffage des bâtiments résidentiels et collectifs tertiaires.[3] https://www.ecologie.gouv.fr/agnes-pannier-runacher-annonce-renforcement-des-dispositifs-soutien-aux-projets-defficacite[4] https://www.legifrance.gouv.fr/jorf/id/JORFTEXT000046131733Exemple : Dans le cadre du raccordement d'un bâtiment tertiaire à un réseau de chaleur, deux critères techniques sont à respecter :Le bâtiment n'a jamais été raccordé à un réseau de chaleur avant la réalisation de l'opération ;Le réseau de chaleur est alimenté majoritairement par des énergies renouvelables ou de récupération. Dans ce cas, le montant de prime CEE pour un bâtiment de 100m² s'élève à 49.500 €.La mise en exécution du plan de sobriété énergétique dès la rentrée pour faire face à la menace d'un hiver sans gaz russeAfin de faire face à la menace d'une rupture des approvisionnements de gaz en Europe, la Commission européenne a présenté en urgence, le 20 juillet 2022, un plan de réduction de 15% de la consommation de gaz dans l'Union européenne. Au niveau national, le gouvernement a mis en place un plan de sobriété visant à réduire la dépendance de la France aux importations de gaz russe – même si celles-ci ne représentent que 17% -, favoriser les économies d'énergie et accélérer le déploiement des énergies renouvelables.Parmi les mesures arrêtées :Réduire de 10% la consommation d'énergie d'ici deux ans, par rapport à 2019 ;Faire appliquer les règles déjà en vigueur, notamment le respect des consignes de température : 19°C maximum pour le chauffage et 26°C pour la climatisation.Exécuter le volet du plan de sobriété dédié aux grandes surfaces commerciales à partir du 15 octobre 2022 : extinction des enseignes lumineuses et réduction de l'éclairage dans les surfaces de vente…Lancement de la concertation quinquennale sur la stratégie Énergie Climat du GouvernementLe 6 juillet 2022, Elisabeth Borne avait annoncé, lors de son discours de politique générale à l'Assemblée nationale, le lancement d'une concertation large dès le mois de septembre en vue de la préparation de la loi d'orientation énergie-climat.Cette concertation s'inscrit dans le cadre de l'élaboration de la loi de programmation quinquennale sur l'énergie et le climat, prévue pour 2023, et qui viendra fixer les priorités d'action de la politique climatique et énergétique nationale en tenant compte des objectifs du plan climat européen.Réaction Hellio :« Cette loi d'orientation permettra de donner de la visibilité aux professionnels de la filière de l'efficacité énergétique pour investir, former et anticiper : Hellio appelle à ce que cette législation fixe un volume d'aides financières dédiées à la rénovation énergétique sur les 5 ans. »MonAccompagnateurRénov' : des modalités encore à préciser avant son extension au 1er janvier 2023Le décret MonAccompagnateurRénov' a été publié le 23 juillet 2022 au Journal officiel[5] et vient rendre obligatoire, à partir du 1er janvier 2023, l'accompagnement par l'organisme MonAccompagnateurRénov' pour les travaux de rénovation énergétique bénéficiant des aides de l'Anah conditionnées à une amélioration de la performance énergétique globale du logement.Le décret a d'ores et déjà précisé le contenu de la mission d'accompagnement. Les nécessaires conditions d'indépendance de l'accompagnateur au regard de l'exécution des travaux ainsi que les possibilités de sous-traitance seront détaillées dans un prochain arrêté.[5] https://www.legifrance.gouv.fr/jorf/id/JORFTEXT000046081405Projet de loi sur les énergies renouvelables : une présentation au Conseil des ministres prévue pour septembreLe projet de loi sur les énergies renouvelables vise à permettre l'accélération d'installation d'énergies renouvelables sur le territoire. Selon Agnès Pannier-Runacher, la ministre de la Transition énergétique, le texte est construit autour de trois enjeux : l'accélération des procédures, la libération du foncier et la planification[6].Cette future loi s'inscrit dans le sillon du plan européen RepowerEU. Emmanuel Macron, président de la République, avait annoncé, dans la traditionnelle interview du 14 juillet 2022, la présence de mesures relatives à l'accélération du déploiement des pompes à chaleur et du photovoltaïque dans le cadre de ce projet de loi[7].[6] http://videos.senat.fr/video.2967284_62df191b6eb96.audition-de-mme-agnes-pannier-runacher-ministre-de-la-transition-energetique?timecode=7691000[7] REPLAY – Interview d'Emmanuel Macron : “La France doit continuer d'investir pour son armée” : https://youtu.be/w6g054tLxgQEurope : La République Tchèque prend la présidence du Conseil de l'Union européenneLa Présidence française de l'Union européenne (PFUE) a pris fin le 30 juin 2022 et la République Tchèque a pris cette présidence tournante le 1er juillet dernier.Bouleversée par le conflit sur le territoire ukrainien, la PFUE a été marquée par une réelle prise de conscience des enjeux de la sobriété énergétique puisque la Russie a engagé un conflit énergétique, menaçant l'Union européenne de rompre ses approvisionnements en gaz.À l'agenda politique de la présidence Tchèque figurent des priorités centrées sur l'Ukraine et sur la préservation de la sécurité énergétique de l'Union, en s'affranchissant de la dépendance vis-à-vis des hydrocarbures russes.Les directives efficacité énergétique (DEE) et performance énergétique des bâtiments (DPEB) devraient être adoptées au cours de cette présidence.Les révisions de ces directives prévoient :La réhausse des objectifs de réduction de la consommation énergétique primaire et finale à 39% et à 36% d'ici 2030 pour la DEE ;La mise en place d'une stratégie pour une vague de rénovation multipliant au moins par deux le taux annuel de rénovation énergétique d'ici à 2030 dans le cadre de la DPEB.
Il y a 2 ans et 262 jours

AMI « Résilience énergétique » : financer et accompagner des projets à potentiel de développement économique

Visant à augmenter la résilience des systèmes énergétiques et à optimiser les procédés de production d’énergies renouvelables, les propositions seront examinées par des jurys territoriaux et sont à déposer avant le 15 octobre. Un webinaire de présentation sera également organisé le 8 septembre.Dans le contexte actuel de changement climatique et de crise en Ukraine, la sortie de la dépendance aux énergies fossiles est à la fois un impératif climatique et un enjeu de souveraineté énergétique. L’enjeu est double : sécuriser l’approvisionnement énergétique de la France et accélérer la sortie des énergies fossiles. Par son positionnement en aval de la recherche et son pilotage par les SATT, l’AMI « Résilience énergétique » vise à capter des innovations ayant passé le stade de la preuve de concept en laboratoire et à accélérer leur transfert vers le monde économique au travers de la création de startups ou un développement industriel. Co-élaborées par les deux partenaires, les thématiques portent sur trois axes prioritaires.Développement d’innovations ou d’évolutions technologiques visant à augmenter la résilience des systèmes énergétiques ainsi que la complémentarité des vecteurs énergétiques face aux aléas de fourniture. Sont concernés les différents vecteurs énergétiques – gaz, électricité, chaleur – ainsi que les différentes échelles de déploiement – régional / national, ville / campagne, quartier / ilôt. La production d’hydrogène par électrolyse, la production de froid ou de chaud par pompe à chaleur ou la production d’électricité à partir de biogaz, hydrogène ou par cogénération sont quelques-uns des couplages de vecteurs énergétiques identifiés.Développement ou l’optimisation de procédés de production d’énergies renouvelables : hydrogène décarboné, éolien, photovoltaïque, biogaz...Développement de solutions pour accompagner les évolutions de comportements vers plus de sobriété énergétique.Les chercheurs sont invités à proposer des approches systémiques et à imaginer des solutions favorisant une plus forte compétitivité de ces énergies d’avenir tout en veillant à réduire leurs impacts sanitaires ou environnementaux.Des soutiens complémentaires du réseau SATT et l’ADEMECette collaboration nouvelle entre le Réseau SATT et l’ADEME permettra notamment d’assurer un continuum de financement et d’accompagnement pour l’ensemble des projets sélectionnés.Également ouvert aux doctorants bénéficiant d’une thèse financée par l’ADEME, cet AMI établira notamment un pont entre les programmes de recherche initiés par l’ADEME et les programmes de maturation accompagnés par les SATT. Par ailleurs, il s’inscrit dans les objectifs du plan France 2030, dont l’ADEME est un des opérateurs.Les lauréats se verront ainsi proposer un accompagnement complet : analyse approfondie des dimensions marché, propriété intellectuelle, juridique et stratégie de transfert, possibilité d’un financement en pré-maturation et/ou en maturation technologique, sur fonds propre des SATT, renforcé potentiellement par le soutien financier issu de l’AAP Prématuration/Maturation, et soutien à la création d’entreprises. Suite à ces programmes de maturation l’ADEME pourrait assurer une suite de financement via les appels à projets qu’elle initie dans le cadre de France 2030, notamment pour accompagner l’industrialisation des technologies.Des jurys territoriauxLes équipes des 13 SATT ainsi que les experts de l’ADEME étudieront les dossiers soumis dans le cadre de jurys territoriaux dédiés. Parmi les critères de sélection : un projet visant une valorisation et de transfert vers le monde socio-économique, la possibilité de constituer une propriété intellectuelle solide ou encore une visée applicative à horizon 2030.Les SATT se coordonneront au niveau national afin d’identifier d’éventuelles synergies entre projets, ou avec une technologie en cours de maturation, ou préalablement transférée. L’objectif est de consolider des briques technologiques complémentaires et de développer des technologies à fort potentiel. Une première pour un dispositif de cette envergure !Date d’ouverture : 30 août 2022 Webinar de présentation : 8 septembre 2022 Date de clôture : 30 octobre 2022 Contact : ami.energie@satt.fr Pour en savoir plus et dépôt sur :www.satt.fr/ami-energiePour Fabrice LEEFEBVRE, Président de la SATT Nord : « Comment contribuer, en tant que Réseau SATT, à ces objectifs de transition et de souveraineté énergétique ? C’est l’ambition qui a motivé le lancement de cet AMI d’ampleur exceptionnelle puisqu’il mobilise l’ensemble de nos 13 SATT. Sa vocation : interpeller la communauté scientifique autour de ces enjeux citoyens. Dans cette optique, le partenariat avec l’ADEME était pour nous une évidence, du fait de son expertise sur le sujet et de son rayonnement auprès de la communauté des chercheurs. Pour donner aux propositions issues de cet AMI toutes les chances d’un impact fort sur notre société dans les prochaines années, nous allons faire appel aux experts de l’ADEME, et mutualiser les compétences des 13 SATT, qui ont déjà permis le transfert de nombreuses technologies dans le domaine énergétique, auprès d’entreprises ou via la création de start-ups. Citons en exemple la startup H2SYS, qui conçoit et réalise des systèmes hybrides qui génèrent électricité et chaleur à partir d’hydrogène, le projet METHAMAG®, nouveau procédé de méthanation basé sur l’utilisation de l’induction magnétique, ou encore la startup H2PULSE, qui favorise le déploiement de solutions industrielles pour la transition vers l’hydrogène énergie. »Pour Anne VARET, Directrice scientifique de l’ADEME : « Cet AMI offre aux SATT et à l’ADEME, présents dans chacune des régions de France, une formidable opportunité de travailler ensemble, et aux côtés de nombreux partenaires territoriaux, au cœur d’écosystèmes régionaux de recherche. Il marque, nous l’espérons, le début d’une collaboration durable et ancrée au cœur des territoires. Car ne l’oublions pas, la transition écologique et énergétique s’inscrit bien au sein des territoires. »
Il y a 2 ans et 262 jours

Pompes à chaleur domestiques et fluides naturels : le couple gagnant

Quelle sera l’influence de la proposition de révision du règlement F-Gaz sur les technologies et le marché des pompes à chaleur ? Un rapport détaillé pointe les avantages des fluides naturels.
Il y a 2 ans et 263 jours

L'explosion de l'inflation est le symptôme de notre dépendance aux hydrocarbures, selon le climatologue Rockström

"Depuis 1990, nous disons qu'il faut abandonner progressivement l'économie fondée sur les énergies fossiles au profit d'une économie basée sur les énergies renouvelables. Et maintenant, nous y voilà - nous nous prenons le mur", après "30 ans de sous- investissement", constate le scientifique, l'un des principaux artisans du concept de "limites planétaires" - seuils d'usage des ressources que l'humanité ne doit pas dépasser pour vivre dans un écosystème sûr.M. Rockström a travaillé deux ans sur sa contribution au rapport collectif "Earth For All : A Survival Guide for Humanity" (La terre pour tous: guide de survie pour l'humanité), publié mardi par le Club de Rome, ce groupe de réflexion de scientifiques et d'économistes fondé en 1968.L'ouvrage s'inscrit dans la lignée du célèbre rapport Meadows, publié en 1972 sous l'égide du Club de Rome. Ce document de référence, à l'origine de l'ouvrage "Halte à la croissance ?" ("Limits to Growth"), affirmait que le développement ne pouvait se poursuivre indéfiniment sans atteindre une limite de consommation des ressources.Cinquante ans plus tard, le nouveau rapport, auquel ont participé des auteurs du premier, prévoit deux scénarios de croissance.Le premier, surnommé "Too Little, Too Late" (trop peu, trop tard), verrait perdurer l'orthodoxie économique, aggravant les inégalités alors que le monde dépasse les objectifs de l'accord de Paris et s'oriente pour l'heure vers un réchauffement de 2,5 °C d'ici 2100 par rapport à la fin du 19e siècle.Le deuxième scénario, celui du "Great Leap" (Grand Bond), prévoit une mobilisation sans précédent des ressources pour mettre en oeuvre cinq changements sociétaux : l'éradication de la pauvreté et des inégalités, l'autonomie des femmes, une alimentation mondiale plus végétale et la décarbonation rapide de l'énergie.Les auteurs affirment que le Fonds monétaire international devrait accorder 1.000 milliards de dollars par an aux nations les plus pauvres pour créer des emplois verts et que les pays riches devraient annuler la dette de ceux à faibles revenus tout en accordant à leurs citoyens un "dividende de base universel".Scénario catastrophePour M. Rockström, le monde a atteint un "point d'urgence", car les catastrophes liées au climat - avec un réchauffement actuel de 1,1°C depuis l'ère industrielle - se produisent plus fréquemment que prévu."Nous y sommes: à 1,1 °C, les phénomènes que nous pensions voir à 2 °C se produisent beaucoup plus tôt et frappent plus durement", explique-t-il, après un été marqué par des records de sécheresse et de chaleur en Europe et en Chine, et des inondations cataclysmiques au Pakistan."Nous risquons de nous diriger vers un scénario catastrophe, non pas parce que nous injectons davantage de dioxyde de carbone et de gaz à effet de serre d'origine humaine, mais parce que le système terrestre lui-même commence à émettre ces gaz", compte tenu de la fonte de la calotte glaciaire du Groenland et de l'augmentation des feux de forêts.Les scientifiques devraient "envisager une palette beaucoup plus large de scénarios", afin de mieux intégrer des phénomènes certes peu probables mais extrêmement dévastateurs et qui pourraient conduire à un emballement du réchauffement.M. Rockström se dit toutefois "assez pessimiste" sur les capacités de réforme des gouvernements. "Il y a trois ans, j'aurais dit que j'étais optimiste - nous avons vu un élan post-Paris avec davantage de politiques publiques et d'entreprises qui s'engagent", a-t-il déclaré."Maintenant, avec l'effondrement post-Covid de la confiance du public et la montée du populisme, je n'ai pas l'impression que nous soyons vraiment prêts à mettre en œuvre tous ces pas de géant", s'inquiète-t-il."C'est pourquoi le timing est vraiment important. Nous devons relancer le débat et parler de l'urgence d'agir. Est-ce un défi ? Absolument."
Il y a 2 ans et 263 jours

L’Esquisse Hotel & Spa – Colmar

L’Esquisse Hotel & Spa – Colmar Travail de précision avec des résultats étonnants Sur ce projet ont été installé de grands volets repliants DucoSlide QuadraFold d’environ 3 m de hauteur, installés en nez de dalle pour créer une peau complète extérieure de façade. La quincaillerie du système DucoSlide BiFold et QuadraFold est très robuste, pour pouvoir garantir un fonctionnement parfait même avec de grandes dimensions. Sur le projet, le rail haut du mécanisme est situé dans l’encombrement de la dalle, ainsi que le rail bas de guidage du volet de l’étage supérieur. De ce fait, les parties mobiles, s’alignent parfaitement avec la hauteur du balcon dalle à dalle. Un vrai travail de précision, mais le rendu est superbe ! Construction ingénieuse qui garde la chaleur à l’extérieur La construction existe d’un ensemble QuadraFold repliant vers la gauche, et un ensemble QuadraFold se repliant vers la droite, soit 8 panneaux en tout quand le balcon d’environ 4,50 m de large est fermé. Quand les volets sont ouverts, la vue vers l’extérieur ne souffre d’aucun obstacle, car ils ont un très faible encombrement sur les extrémités. En refermant les volets, l’habitant de la chambre bénéficie d’une protection efficace contre les ardeurs du soleil, tout en laissant la place à belles ambiances intérieures. Intégration parfaite dans l’environnement verdoyant L’architecture de l’hôtel s’est invitée dans un cadre exceptionnel avec la projection de larges terrasses pour chaque chambre, suite et appartement. Grâce au DucoSlide QuadraFold les rayons du soleil sont filtrés, ce qui permet de voir sans être vu. En effet, les volets sont équipés de tôles d’aluminium spécifiques anodisées “or”, ces tôles étant perforées afin de créer une fresque originale représentant une forêt, ce qui ajout au facteur esthétique et ce qui fait que l’hôtel s’intègre parfaitement dans le cadre verdoyant qui l’entoure. Excellent travail d’équipe Cet exercice de conception, d’adaptation produit, de coordination et de suivi a été menée conjointement par AEA (architecte), DUCO (industriel), EDBAT (distributeur), et Schoenenberger (installateur). Un travail d’équipe garantissant un résultat impeccable pour la plus grande satisfaction du maître d’ouvrage. Pour plus d’information, rendez-vous sur duco.eu
Il y a 2 ans et 264 jours

La France ne manque pas d’eau, d’ailleurs surfacturée, elle manque d’idées !

La gestion de l’eau ne devrait être rien d’autre qu’un outil d’aménagement du territoire. Or la gestion très politique de l’eau du pays a des effets pervers contre-productifs et coûteux, voire de plus en plus ostensiblement dangereux. Par où commencer ? L’été que nous venons de passer, entre chaleur, feux et sécheresse, a mis en exergue […] L’article La France ne manque pas d’eau, d’ailleurs surfacturée, elle manque d’idées ! est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 2 ans et 264 jours

Les nombreux changements réglementaires de l'été synthétisés

À venir : un projet de décret à l’étude. Il prévoira une réhausse de l’objectif de la 5e période de plus de 25 %, correspondant à près d’1,5 milliard d’euros par an supplémentaires versés sous forme de primes aux travaux, réalisés principalement pour les ménages en situation de précarité*.Remplacement du Coup de pouce Chauffage des bâtiments tertiaires par le Coup de pouce Chauffage des bâtiments résidentiels collectifs et tertiairesUn arrêté, paru le 3 août 2022**, est venu remplacer le Coup de pouce Chauffage des bâtiments tertiaires par le Coup de pouce Chauffage des bâtiments résidentiels et tertiaires. Ce nouvel arrêté transfère désormais le raccordement des bâtiments résidentiels collectifs aux réseaux de chaleur du Coup de pouce Chauffage vers le nouveau Coup de pouce Chauffage des bâtiments résidentiels collectifs et tertiaires. Le Coup de pouce Chauffage n’inclut maintenant plus que le raccordement des maisons individuelles aux réseaux de chaleur.Ces nouvelles dispositions entreront en vigueur pour toutes les opérations engagées, le 1er septembre 2022.Hellio est signataire de la charte d’engagement Coup de pouce Chauffage des bâtiments résidentiels et collectifs tertiaires.Exemple : Dans le cadre du raccordement d’un bâtiment tertiaire à un réseau de chaleur, deux critères techniques sont à respecter :Le bâtiment n’a jamais été raccordé à un réseau de chaleur avant la réalisation de l’opération,Le réseau de chaleur est alimenté majoritairement par des énergies renouvelables ou de récupération.* Source** SourceDans ce cas, le montant de prime CEE pour un bâtiment de 100m2 s’élève à 49.500 €.De nouvelles modifications concernant l’arrêté contrôlesL’arrêté du 20 juillet 2022***, paru le 4 août dernier, vient modifier l’arrêté du 28 septembre 2021 relatif aux contrôles dans le cadre du dispositif des CEE****. Deux fiches d’opérations standardisées sont ainsi modifiées :La BAR-TH-104 - pompe à chaleur de type air/ eau ou eau/ eau : modification de la liste des points à contrôler en ce qui concerne le dimensionnement de la pompe à chaleur.La BAR-TH-159 - pompe à chaleur hybride individuelle : modification de la liste des points à contrôler en ce qui concerne le dimensionnement de la pompe à chaleur, le taux de couverture, par la pompe à chaleur hors dispositif d’appoint, des besoins de chaleur pour le chauffage du logement et la vérification du mode de régulation.Une autre modification est apportée à la BAR-TH-159 - pompe à chaleur hybride individuelle: le taux de couverture de la PAC pour couvrir les besoins de chauffage du logement (hors dispositif d’appoint) doit être d'au moins 70 %. Ce taux de couverture est calculé pour le mode de régulation choisi par le professionnel réalisant l’opération. La note de dimensionnement inclut le calcul de ce taux.Ces nouvelles modifications entreront en vigueur à compter du 1er novembre 2022 pour toutes les nouvelles opérations engagées.Création, abrogation et révision de certaines fiches d’opérations standardisées dans le cadre du 46e arrêtéDans le cadre du 46e arrêté, l’arrêté du 25 juillet 2022***** vient créer, abroger et réviser certaines fiches d’opérations standardisées.La BAR-TH-169 - pompe à chaleur collective de type air / eau ou eau / eau pour l’eau chaude sanitaire est créée et vient mettre en place un système centralisé constitué d’une ou plusieurs pompes à chaleur associées à un ou plusieurs ballons de stockage et de puissance thermique nominale inférieure ou égale à 400 kW pour la production d’eau chaude sanitaire collective. La date d’entrée en vigueur de cette nouvelle fiche est prévue pour le 5 août 2022.*** Source**** Source***** SourceLa BAR-TH-112 - appareil indépendant au bois et la BAT-TH-116 - système de gestion technique du bâtiment pour le chauffage et l’eau chaude sanitaire font l’objet d’une révision :BAR-TH-112 - appareil indépendant au bois : modification de la date d’abrogation de la fiche (1er octobre 2027), modification des paragraphes concernant l’artisan RGE et modification des conditions de l’appareil à installer.BAT-TH-116 - système de gestion technique du bâtiment pour le chauffage et l’eau chaude sanitaire : ajout des spécifications suivantes sur la partie “dénomination et modification dans les conditions de délivrances”.Ces révisions entreront en vigueur le 1er octobre 2022.À compter du 1er septembre 2022, trois fiches d’opérations standardisées sont abrogées :La BAR-EQ-102 - lave-linge ménager de classe A++ ou A+++La BAR-EQ-103 - appareil de réfrigération ménager de classe A++ ou A+++La IND-UT-123 - moteur prémium de classe IE3
Il y a 2 ans et 265 jours

La production électrique française frappée à tous les niveaux par la crise

Une capacité dépendante du nucléaireAu 1er juin 2022, le parc électrique français installé avait une capacité de production totale de 139,279 gigawatts (GW), dont 44% grâce au nucléaire, selon le gestionnaire du Réseau de transport d'électricité (RTE).Il faut distinguer la puissance électrique d'une installation, ou sa capacité de production, exprimée en watts, de la production réelle en watts-heure qui correspond à l'énergie délivrée ou consommée.En 2021, le nucléaire a permis de produire 360,7 térawatts-heure (Twh), soit 69% de la production totale.Mais en raison de problèmes de corrosion affectant des réacteurs et du calendrier de maintenance du parc, retardé par le Covid, EDF a revu à la baisse ses prévisions pour 2022.L'entreprise prévoit de produire entre 280 et 300 térawattheure (Twh), "probablement" dans le bas de cette fourchette. En fin de semaine, 32 réacteurs nucléaires sur 56 étaient à l'arrêt et le nucléaire ne représentait qu'un peu plus de la moitié de la production.La chaleur peut aussi affecter dans certains cas la production nucléaire, même si ce phénomène reste limité.La faible production nucléaire d'EDF a contribué à une hausse sans précédent des prix de gros de l'électricité, qui ont atteint plus de 1.100 euros le megawattheure vendredi en France.Les renouvelables accélèrent mais la météo se dégradeEn 2021, l'éolien, le solaire, l'hydraulique et les bioénergies représentaient 44% des capacités françaises, contre 12% pour le gaz, le fioul et le charbon, selon RTE. Mais les renouvelables ne représentaient que 24% de la production, contre 7% pour les combustibles fossiles.Si l'éolien a accéléré son développement, dépassant récemment 20 gigawatts de puissance, il reste loin de l'objectif à horizon 2023 (24,1 GW). Les conditions météorologiques "défavorables" ont par ailleurs fait baisser la production au deuxième trimestre.La production d'électricité solaire photovoltaïque a quant à elle augmenté de 32% par rapport au premier semestre 2021. Côté capacités, la puissance installée (15,2 GW) reste loin de l'objectif 2023 (20,1 GW).L'hydraulique, qui représente 18% des capacités de production, est aussi affaibli par les fortes chaleurs, la sécheresse et les faibles précipitations. A fin juin, la production était en baisse de 5,7 TWh, à 18,9 TWh, selon EDF.Côté énergies fossiles, la centrale à charbon de Saint-Avold (Moselle) devrait redémarrer l'hiver prochain face à la crise énergétique liée aux conséquences de la guerre en Ukraine et notamment à la décision de la Russie de fermer progressivement le robinet de gaz vers l'Europe. Une seule autre centrale au charbon est encore ouverte dans l'Hexagone, en Loire-Atlantique.Les stocks de gaz sont eux remplis à plus de 90% mais la France en est beaucoup moins dépendante que ses voisins pour l'électricité.La France contrainte d'importerLa consommation d'électricité en France en 2021 était de 468 TWh, une petite remontée après les creux observés pendant la pandémie. A fin juin, la consommation avait déjà atteint 242,3 TWh, avec un mois de janvier particulièrement froid.Avec les vagues de chaleur, des pics de consommation ont été observés cet été.Conséquence de tous les problèmes observés sur le parc français et de la guerre en Ukraine, le pays a dû importer de l'électricité tous les mois entre novembre 2021 et juin 2022, sauf en février et mai.En 2021, la France était largement exportatrice (87 TWh exportés contre 44 importés), avec la Suisse, le Royaume-Uni et l'Italie sur le podium des plus gros importateurs.
Il y a 2 ans et 268 jours

Pompes en ligne nouvelle génération Wilo-Yonos GIGA2.0-I et Wilo-Yonos GIGA2.0-D

Une nouvelle série de pompes en ligne suit, basée sur la même plateforme pour l’entraînement des pompes à moteur ventilé à commande électronique : la Wilo-Yonos GIGA2.0-I/-D.Les interfaces analogiques et numériques offrent une possibilité d'intégration dans la gestion technique centraliséeLa Wilo-Yonos GIGA2.0 est une pompe en ligne nouvelle génération à commande électronique, adaptée au pompage de grandes quantités d’eau sur de grandes hauteurs manométriques pour les applications de chauffage, de climatisation et de refroidissement dans les grands bâtiments et pour l’industrie (réfrigération industrielle, récupération de chaleur, …).Grâce à la technologie de moteur à aimant permanent IE5 et à l'hydraulique de pompe éprouvée (MEI ≥ 0,4), elle offre un haut rendement énergétique ainsi qu'une grande fiabilité.Via la technologie du bouton vert associée au guidage par menu sur un écran couleur, elle est très facile à installer et à utiliser.Les interfaces analogiques et numériques permettent une intégration dans les systèmes d’automatisation des bâtiments.La Wilo-Yonos GIGA2.0 existe en configuration simple (Wilo-Yonos GIGA2.0-I) et en version double (Wilo-Yonos GIGA2.0-D). La première étape du lancement sur le marché comprend les deux versions d’une puissance nominale de 0,55 à 4,0 kW. Les avantages de la nouvelle Wilo-Yonos GIGA2.0-I/-D :Installation et utilisation simplifiées grâce au bouton unique de sélection et le guidage via un menu de navigation.Fiabilité élevée grâce à une technologie d’entraînement innovante couplée à une hydraulique de pompe éprouvée.Haut rendement énergétique lié à l’association du moteur à aimant permanent IE5 (selon l’IEC 60034-30-2) et à une hydraulique haut rendement pour une réduction des coûts énergétiques.Entretien minimal : protection moteur intégrée.Communication optimale basée sur une large offre de protocoles : Modbus RTU, BACnet MS/TP, LonWorks (TP), PLR, CANopen, Ethernet IP (BACnet IP, Modbus TCP).Performances accrues grâce aux multiples modes de régulation : Mode pression constante Δp-c,Mode pression variable Δp-v,Mode régulation de vitesse n-const,Mode de régulation PID.Visualisation de la vitesse, de la hauteur manométrique, de la consommation électrique.Module électronique nouvelle génération permettant l’adaptation efficiente des performances hydrauliques en fonction des réels besoins de l’installation.Prêt à l'intégration dans la gestion technique centralisée via des interfaces analogiques et numériques et des modules CIF.
Il y a 2 ans et 272 jours

Interface lance Recreation, une nouvelle collection de revêtement de sol à base de fibres 100% recyclées

Fabriquée à partir de fils 100% recyclés, Recreation, qui offre un choix de design contemporain, contribue, comme tous les produits Interface, à atteindre la neutralité carbone grâce au programme Carbon Neutral Floors de l’industriel. Une collection qui emprunte son design à la nature Recreation tire son inspiration des motifs et des textures que l'on trouve dans la nature. La palette de couleurs proposée utilise les gris et les tons neutres inspirés des formations rocheuses, pour les marier aux tons terreux classiques, que l’on retrouve le long des lits des rivières. La collection offre aux concepteurs une large gamme de couleurs, complétée d’une texture organique et d’une installation aléatoire, permettant ainsi d’apporter de la chaleur aux grands espaces pour se sentir au bureau comme chez soi. Des teintes contemporaines et tendances Les dalles de moquette de la gamme Recreation aux tons subtils mesurent 50 cm x 50 cm et se déclinent en 16 couleurs, dont 10 neutres et 6 vibrantes. Les teintes contemporaines Graphic, Talent, Develop, et Draw reflètent parfaitement l'influence de la tendance « comme à la maison » sur le design des espaces de travail. Conçue pour compléter les couleurs neutres les plus plébiscitées d'Interface, Recreation rehausse n’importe quel espace lorsqu'elle est associée aux gammes existantes de LVT et de sols en caoutchouc nora.
Il y a 2 ans et 272 jours

Des lames de terrasse CôtéParc Ducerf pour l'aménagement d'un patio de maison de ville chaleureux

L’enjeu était de révéler tout le potentiel de cet espace en conservant les murs en pierre traditionnelle, habiller la piscine, agencer au mieux les espaces, végétaliser l’endroit, et mettre en valeur les matériaux.Les lames de terrasse DUCERF en frêne THT de la gamme CôtéParc ont été utilisées pour aménager la terrasse et habiller la piscine semi enterrée et les bacs végétalisés. Le choix du bois permet de valoriser cette cour intérieure et lui donner un côté très nature. L’aménagement des lames de terrasse a été pensé dès sa conception et exécuté avec soin.Ici l’essence de frêne tend vers une couleur chocolatée naturelle et homogène, proche de celles des bois exotiques, et ce grâce au Traitement par Haute Température. Cette terrasse s’accorde parfaitement avec les murs en pierre, et apporte de la chaleur à cet environnement atypique et minéral.Une essence locale pour une terrasse contemporaine et durableLe propriétaire s’est tourné vers la gamme de lame de terrasse CôtéParc pour ses avantages techniques, esthétiques et écologiques. Les lames de la terrasse de ce patio ont été réalisées à partir du frêne, une essence locale de bois feuillu, traitée par haute température. Les produits de cette gamme ont été élaborés à partir d’essences locales certifiées PEFCTM, afin de garantir un produit Bois de France (Origine des bois et transformation).Les bois feuillus sont réputés pour leur dureté et leur durabilité naturelles. Grâce au traitement thermique, le frêne s’adaptera parfaitement aux contraintes d’une pose en extérieur avec une meilleure durabilité et une plus grande stabilité dimensionnelle. Il résistera également aux insectes et agents fongiques.La gamme CôtéParc : des produits prêts à l’emploi fabriqués à partir d’essences localesLa gamme CôtéParc Ducerf valorise les essences locales de bois feuillus et de résineux. Elle mise sur le développement de produits prêts à l’emploi en bois naturels ou en bois THT. Ses produits se destinent aux terrasses, aux platelages, aux bardages et aux pièces d’aménagement paysager. Les produits CôtéParc ont de nombreux avantages techniques, esthétiques, environnementaux, et sont durables dans le temps. Caractéristiques techniques :Lames de terrasse en Frêne THT de la gamme CôtéparcProfil face lisse pour fixation invisible, coupe droite en bout, lames continues Dimensions :Largeur : 140 mmEpaisseur : 21 mm Finition : Look IPE Saturabois, une finition écologique teintée afin de garder la couleur naturelle du bois Type de pose : Fixation invisible B-Fix
Il y a 2 ans et 275 jours

Wienerberger réduit son impact carbone grâce à la technologie innovante de l'Eco-Stock®

Cette collaboration mise en place sur le site de production de tuiles en terre cuite de Pontigny (89) permettra de réduire les émissions CO2 de l’usine de plus de 450 tonnes par an, grâce à l’installation d’une innovation technologique : l’Eco-Stock®.En septembre dernier, Wienerberger présentait sa stratégie environnementale visant en priorité à réduire les émissions de CO2 de 15% d’ici 2023, 40% en 2030, jusqu’à atteindre la neutralité carbone en 2050. Pour atteindre ses objectifs, de nombreuses actions ont déjà été mises place comme la construction d’ échangeurs thermique sur plusieurs sites de fabrication de briques de structure permettant d’économiser 6 000 MWh/an sur la consommation de gaz d’un site, mais également l’utilisation à 100% d’électricité verte provenant entre autre d’un parc éolien, ou encore la signature d’un partenariat avec l’ADEME au travers d’un dispositif FRET21, pour la réduction des émissions de CO2 dans le transport des matériaux.Poursuivant ses engagements environnementaux, Wienerberger France s’associe aujourd’hui avec l’entreprise Eco-Tech Ceram pour l’installation d’un Eco-Stock® sur son site historique de Pontigny (89), spécialisé dans la fabrication des tuiles de la marque Aléonard.Véritable innovation dédiée à la transition énergétique dans le secteur industriel, l’Eco-Stock® permet de récupérer et de stocker la chaleur fatale (ou chaleur perdue) rejetée par les six fours intermittents de l’usine. Cette chaleur accumulée dans l’Eco-Stock® sera ensuite réorientée à bon escient et au bon moment vers les séchoirs eux aussi intermittents. Ainsi, ces mêmes séchoirs n’auront plus besoin de gaz pour fonctionner. Résultats : le site réduira considérablement son impact carbone en supprimant l’émission de l’équivalent en Co² de 6 000 000 de kms de voiture.Qu’est-ce que l’Eco-Stock ?Innovation technologique de l’entreprise Eco-Tech Ceram, l’Eco-Stock® est un système de stockage thermique pouvant aller jusqu’à 1 000 °C et permettant de gérer l’intermittence et la variabilité des gisements et des consommations énergétiques. L’Eco-Stock® est capable de capter, stocker et restituer une énergie décarbonée moins coûteuse que celle issue de la combustion de matières fossiles (gaz naturel, pétrole…) en contrôlant la durée, la puissance, la température et le débit des flux d’énergie. Le système permet de valoriser au mieux les énergies renouvelables et de récupération conformément aux exigences de performance de l’industrie.« Nous sommes très fiers de lancer ce projet d’Eco-Stock® sur notre site de Pontigny en bénéficiant ainsi des dernières innovations technologiques de l’entreprise Eco-Tech Ceram. Cette installation, visant à la réduction des émissions de CO2, est une nouvelle étape dans notre stratégie de décarbonation avec comme objectif final la neutralité carbone en 2050 » commente Frédéric Didier, Directeur Général de Wienerberger France.« Alors que les crises climatiques et énergétiques s’intensifient, nous nous félicitons de notre partenariat avec Wienerberger et sommes très heureux de pouvoir accompagner ce géant de l’industrie céramique dans sa transition bas carbone. Avec l’Eco-Stock, nous avons été en mesure de leur proposer une solution technique clé en main et entièrement financée, avec le soutien de l’ADEME. En contractant avec ETC invest, Wienerberger va donc acheter de la chaleur décarbonée et compétitive pour remplacer le gaz naturel fossile, le tout sans avoir à investir », déclare Antoine Meffre, Président et Fondateur d’Eco-Tech Ceram.
Il y a 2 ans et 275 jours

Quand la nature aide à lutter contre les îlots de chaleur

Aménagement - Les aides récentes de l'Etat consacrent le triptyque eau-sol-végétal et encouragent collectivités, promoteurs et bailleurs à s'en emparer.
Il y a 2 ans et 277 jours

Lutte contre le réchauffement climatique et économies d’énergie – SOLAR-PAINT à la conquête des toits de France

Alors que la France fait face à des records de chaleur depuis le début de l’été, la société SOLAR-PAINT annonce le succès du déploiement de sa peinture réflective SOLARCOAT® pour les bâtiments industriels, commerciaux et publics, quelques mois après sa mise sur le marché. Avec l’accélération de la demande des entreprises pour rafraîchir leurs bâtiments […]
Il y a 2 ans et 277 jours

REP PMCB : Valobat, la FNB et l’UICB expriment leurs engagements communs pour la filière bois

Déjà engagée dans l’acte de construire avec tous ses métiers, la filière bois-construction figure parmi les premières contributrices dans l’enjeu de réduction des gaz à effet de serre.Valobat, candidat à l’agrément d’éco-organisme, aspire à être l'acteur de référence pour les produits bois et porte de grandes ambitions pour ce matériau aux multiples atouts. Début 2022, l’Union des Industriels et Constructeurs Bois (UICB) et la Fédération Nationale du Bois (FNB) entraient au capital de Valobat. Un message fort exprimant leur volonté partagée d’accompagner les acteurs du bois dans ces prochains changements, avec cinq objectifs prioritaires : Réussir l’engagement des entreprises dans la REP, Construire des critères d’éco-conception adaptés à la filière bois, Encourager le réemploi et la réutilisation des produits bois, Promouvoir le recyclage et la valorisation du bois,Obtenir la visibilité de l’écocontribution sur les devis et les factures. La filière française bois : des objectifs ambitieux Le bois est un matériau qui apporte de nombreux avantages au secteur de la construction et de la rénovation. Performante, la filière française fournit des produits biosourcés et d’origine renouvelable adaptés aux marchés. Ils contribuent à l’amélioration du bilan carbone du secteur. Les coproduits, ainsi que les produits bois en fin de vie, sont recyclés (panneaux) ou peuvent constituer une source d’énergie dans des équipements individuels ou collectifs (réseaux de chaleur). La filière s’est fixée des objectifs ambitieux : en doublant la part de marché du bois dans l’habitat collectif neuf (passer de 3% à 6%), en passant de 10% à 15% dans la maison individuelle, en portant à 15% la part de solutions bois utilisées dans la rénovation de bâtiments collectifs,en augmentant de 20% la part de marché du bois dans les solutions de réhabilitation et de rénovation des logements individuels. Cinq priorités partagées et des engagements forts Réussir l'engagement des entreprises dans la REP A compter du 1er janvier 2023, les entreprises du secteur bois concernées par la REP PMCB vont devoir adhérer à un éco-organisme tel que Valobat et s’acquitter du paiement d’une écocontribution associée à la commercialisation de leurs produits. C’est un engagement fort dans la construction de la filière et pour le respect de leurs obligations environnementales. Les engagements FNB, UICB et VALOBAT Mettre à disposition des entreprises une information fiable et construire un barème d’écocontribution adapté au secteur bois au travers du comité de secteur dédié. Afin de bénéficier d’une information privilégiée, elles peuvent préadhérer au projet d'éco-organisme Valobat - Valobat. Construire des critères d'éco-conception adaptés à la filière bois L’éco-conception des PMCB permet de maîtriser les coûts de gestion des déchets de démolition déconstruction et rénovation du bâtiment, d’améliorer les performances de collecte, et de valorisation (réemploi/réutilisation ou recyclage). Le bois dispose de nombreux atouts : origine biosourcée et renouvelable ainsi qu’un bilan carbone positif. L’engagement FNB, UICB ET VALOBAT Construire un barème reflétant les atouts et les ambitions du matériau bois en proposant des éco-modulations dès le barème applicable en 2024. Il sera proposé aux entreprises afin de les orienter dans des projets d’éco-conception de leurs produits dès 2024. Encourager le réemploi des produits bois Le réemploi est l’action prioritaire à mener dans la hiérarchie des modes de traitement des déchets. Dans un contexte de raréfaction des ressources, d’enjeux de dépôts sauvages et plus largement de gestion des déchets, il séduit de plus en plus d’acteurs qui s’engagent dans des initiatives exemplaires. La filière REP se voit fixer des objectifs très ambitieux. L’engagement FNB, UICB et VALOBAT Accompagner des expérimentations et la construction d’un cadre et de modalités de réemploi du bois. Cette action s’inscrit dans le plan d’actions et l’étude prévus au cahier des charges de l’agrément des éco-organismes. Promouvoir le recyclage et la valorisation du bois Le projet de cahier des charges des éco-organismes fixe des objectifs de recyclage pour le bois à 42% en 2024 et 45% en 2027. Le bois contribue également aux objectifs de la politique de souveraineté énergétique française. Valobat offrira aux détenteurs de déchets, notamment bois issus des chantiers et triés séparément, des solutions de reprise sans frais sur de nombreuses installations (déchèteries publiques ou professionnelles, distributeurs, points spécialisés). L’information des lieux et des consignes de tri facilitera le geste de tri. Un gage de performance afin d’alimenter en matière première l’industrie et les chaufferies bois.Les engagements FNB, UICB et VALOBAT Faire savoir aux entreprises concernées par la REP et à leurs clients que la filière bois est engagée dans des boucles d’économie circulaire concrètes et opérationnelles. Participer à des programmes de R&D et d’innovation sur les exutoires, techniques de tri et de recyclage du bois. Obtenir la visibilité de l'écocontribution sur les devis et les factures La visibilité de l’écocontribution implique l’affichage de son montant supporté par chaque produit ou matériau sur la facture ou le devis, et l’impossibilité de négocier commercialement son montant entre les fabricants et les différents intermédiaires. Si elle est prévue pour les produits électriques et électroniques ménagers et les meubles, les textes ne la prévoient pour les PMCB. Cette mesure constitue pourtant un outil essentiel et indispensable de lutte contre l’inflation, d’information du consommateur, de facilitation des déclarations à l’éco-organisme et une disposition particulièrement adaptée au secteur du bâtiment. L'engagement FNB, UICB et VALOBAT Coordonner leurs actions afin d’obtenir des pouvoirs publics ou du Parlement cette mesure indispensable.
Il y a 2 ans et 278 jours

Les arbres mythiques parisiens à la peine à cause du réchauffement climatique

Question : Comment les arbres parisiens réagissent à la sécheresse ?Réponse : Cet été on constate un automne précoce sur les platanes et les marronniers, avec une chute des feuilles, qui est un mécanisme de survie tout à fait habituel et sans gravité puisqu'ils en reproduiront probablement d'ici l'automne.L'air est de plus en plus sec et de plus en plus avide d'eau, ce qui accélère l'évaporation pour les plantes, qui transpirent plus pour éviter de brûler, tout en continuant avec peine leur travail de photosynthèse. Dans ce contexte très difficile, certaines essences se débarrassent donc de leurs feuilles temporairement.En revanche, le hêtre, comme le frêne vit lui un déclin climatique, à cause du stress hydrique. Ces arbres très vieux et très aguerris ne meurent plus de causes classiques mais du manque d'adaptation à ce nouveau climat.Q : Faut-il remplacer ces arbres moins adaptés ?R : Nous sommes partagés entre la nécessité de conserver le patrimoine historique, ces essences choisies avec beaucoup de soin il y a plus d'un siècle (lors du plan Alphand, le grand jardinier d'Haussmann, NDLR) et le besoin de les changer quand on constate qu'elles dépérissent par le climat. Par exemple, on évite désormais quand on peut, donc sauf nécessité patrimoniale comme sur les Champs-Elysées de planter de lignes de platanes car cette essence n'a plus d'avenir.On introduit de plus en plus d'essences non-indigènes, principalement méditerranéennes, comme le micocoulier de Provence, l'alisier ou même le pin et elles se comportent bien. On a même quelques palmiers, mais on n'en est pas à faire des alignements d'oliviers !On parle beaucoup de la chaleur, mais chaque hiver on croise les doigts. S'il fait -10°C, c'est fini.Il ne faut pas abandonner ces arbres ou se mettre à tout remplacer. Les plantes il faut les stimuler pour qu'elles s'adaptent, mutent. Il faut nourrir leur pouvoir de résilience.Q : Comment aider les arbres urbains à devenir plus résilients ?R : Les sols parisiens sont très hostiles. Les nappes d'eau sont profondes (plus de 16m), le sol est fait de gravas et la roche-mère est du calcaire qui n'est pas nutritif. Les arbres boivent principalement donc de la pluie et de l'arrosage, notamment du nettoyage du sol qui les aide beaucoup.Pour les essences, il faudra privilégier des plantes super dynamiques au niveau des racines, pour compenser le stress hydrique, celles avec un réseau de racines qui descendent bien et sont capables de fusionner avec des champignons qui vont les aider à s'approvisionner en eau.Pour leurs fosses de plantation, on a de bonnes dimensions, entre 9 et 12m3 selon le plan Alphand, il ne faut pas descendre en-dessous. Il faut mieux protéger les arbres du piétinement, sensibiliser les Parisiens à s'éloigner des troncs et se méfier du gazon, apprécié des utilisateurs mais qui fait la guerre des racines en sous-sol.
Il y a 2 ans et 278 jours

Nouvelle porte coulissante DIVA RS coupe-feu de Portalp

Pour répondre à ces exigences, Portalp complète aujourd’hui sa gamme de portes automatiques coulissantes DIVA RS par une version coupe-feu.Une résistance au feu de trente minutesDIVA RS coupe-feu est disponible en version simple ou double, avec ou sans vantaux fixes, ou encore intégrée à une cloison coupe-feu. Cette nouvelle porte automatique coulissante Portalp se compose :d’un châssis aluminium doté de profilés d’une épaisseur de 78 mm à trois chambres munies d’entretoises thermiques. Au design contemporain, il est personnalisable dans tous coloris RAL pour s’intégrer harmonieusement à tous les projets,associé à un vitrage Contraflam®30 d’une épaisseur de 16 mm monté dans le châssis à l’aide de parcloses intérieures et extérieures. Les vantaux sont équipés sur leur périphérie de joints intumescents qui gonflent sous l’effet de la chaleur pour calfeutrer les orifices,en complément, la cloison sur laquelle est mise en place la porte reçoit un cadre d’habillage pour lutter efficacement contre la propagation des flammes.Pour garantir une fermeture fiable et contrôlée en cas d’incendie, Portalp a doté la porte DIVA RS coupe-feu d’un système à Énergie gravitationnelle contrôlée (EGC) installé à gauche ou à droite pour une porte double, ou côté fermeture pour une porte simple.Un contrepoids de neuf kilos permet, en cas d’incendie, de refermer mécaniquement le vantail ou les vantaux sans aucune alimentation électrique. La descente du contrepoids s’effectue à vitesse contrôlée avec une surveillance permanente du câble de liaison.Certifiée NF « Portes résistant au feu en métal » selon le référentiel NF277 et classée coupe-feu EI2- 30, la porte DIVA RS coupe-feu constitue ainsi un barrage efficace contre les flammes et les fumées pendant trente minutes.L’alliance d’une motorisation puissante et de la technologie RS pour encore plus de sécuritéA l’intérieur de son caisson renforcé de 193 x 200 mm, l’opérateur DIVA RS bénéficie d’une combinaison de technologies innovantes qui procure une grande adaptabilité et augmente le niveau de sécurité fourni :une alimentation à découpage (100-230 V) pour une faible consommation,une motorisation brushless associée à un chemin de roulement garantissant dans le temps un déplacement précis et fluide des vantaux lourds pour assurer une fermeture fiable et immédiate en cas d’incendie (0,1 à 1,6 m/s selon le nombre de vantaux),une technologie bus CAN facilitant le câblage et assurant la communication permanente avec l’ensemble des périphériques,une batterie de secours qui prend le relais en cas de coupure de courant,une carte D.A.S. (Dispositif Actionné de Sécurité) permettant le raccordement du système de détection incendie et d’une commande manuelle de déclenchement.A l’instar de l’ensemble des gammes de portes automatiques Portalp, la porte DIVA RS coupe-feu bénéficie d’une garantie deux ans, étendue à cinq ans en cas de souscription d’un contrat de maintenance auprès de Portalp.
Il y a 2 ans et 282 jours

Les sciences photovoltaïques vers leur zénith

Pour atteindre la neutralité carbone en milieu de siècle et limiter le réchauffement climatique à 1,5°C par rapport à l'ère pré-industrielle -comme prévu par l'accord de Paris sur le climat- la planète devra installer chaque année d'ici 2030 quatre fois plus de capacités solaires qu'elle ne le fait aujourd'hui, selon l'Agence internationale de l'énergie (AIE).La bonne nouvelle est que les prix ont baissé de façon spectaculaire.Selon un rapport des scientifiques du Giec publié début 2022, les coûts unitaires du solaire ont chuté de 85% entre 2010 et 2019, et ceux de l'éolien de 55%.Mais "c'est probablement le moyen le moins cher qu'ait trouvé l'humanité pour produire de l'électricité à grande échelle", estime Gregory Nemet, professeur à l'Université de Wisconsin-Madison, l'un des principaux auteurs du rapport.Entre l'envolée des prix des énergies fossiles et les craintes sur la sécurité énergétique causées par l'invasion russe de l'Ukraine, le développement des renouvelables est déjà amorcé.Selon un rapport de BloombergNEF, les investissements mondiaux dans les projets solaires ont progressé de 33% au premier semestre par rapport à l'an dernier, à 120 milliards de dollars. Dans l'éolien, ils ont augmenté de 16% à 84 milliards de dollars.Et le plan climatique de Joe Biden en passe d'être adopté au Congrès américain a musclé cette impulsion, avec 370 milliards de dollars d'argent public en incitations fiscales destinées à faire baisser de 40% les émissions américaines de gaz à effet de serre d'ici 2030 (par rapport à 2005)."Le plan de M. Biden va permettre de réinstaller une industrie de panneaux solaires aux Etats-Unis", a jugé la directrice de la Fondation européenne pour le climat, Laurence Tubiana, dans le quotidien français Le Monde jeudi. Selon M. Nemet, il est plausible que le solaire à lui seul représente la moitié de l'électricité mondiale d'ici le milieu du siècle. "Il y a un gros potentiel", dit-il.Découverte française"L'effet photovoltaïque" --processus qui permet de produire de l'électricité à partir du rayonnement solaire-- a été découvert en 1839 par le physicien français Edmond Becquerel.Les premières cellules à base de silicium ont été développées aux Etats-Unis dans les années 1950. Mais aujourd'hui, la grande majorité des panneaux solaires sont fabriqués en Chine.Selon l'AIE, les nouvelles cellules photovoltaiques sur le marché sont 20% plus efficaces pour convertir la lumière en énergie qu'elles ne l'étaient il y a seulement cinq ans, grâce à de nouveaux matériaux hybrides.Parmi les innovations figurent les panneaux dits "à couche mince", moins chers que les cellules en silicium. Ils peuvent être "imprimés" sur tous types de support, à partir d'encres en cristaux de perovskite, un matériau découvert au 19e siècle par le minéralogiste russe Lev Perovski.Selon les experts, cette découverte pourrait révolutionner le secteur en multipliant les lieux où l'on peut produire de l'énergie solaire. A condition que cette nouvelle génération de panneaux se dégrade moins vite qu'actuellement, et puisse durer au moins 20 ans.Ce que des recherches récentes semblent rendre possible. Dans la revue Science en avril, des scientifiques ont rapporté être parvenus à rendre les panneaux en perovskite aussi efficaces que ceux en silicium.Une autre étude publiée dans Nature parie sur des semi-conducteurs en "tandem" pour accroître la conversion en énergie du domaine spectral du rayonnement solaire : le perovskite pour les infrarouges et un matériau plus carboné pour les ultraviolets."Créativité"Reste à résoudre le problème de la nuit, lorsqu'il n'y a plus de rayonnement solaire.Des chercheurs de Stanford ont réussi cette année à produire une cellule solaire qui peut générer de l'énergie durant la nuit grâce à la chaleur générée par la Terre."Il y a beaucoup de créativité dans cette industrie", relève Ron Schoff, qui dirige la recherche sur les renouvelables au sein de l'Institut sur la recherche électrique (EPRI) basé aux Etats-Unis.Selon lui, l'une des réponses au problème de l'occupation croissante des sols par les fermes solaires reposera sur les panneaux bifaces : ils produisent de l'électricité sur leurs deux faces à partir de la lumière du soleil et de la lumière réfléchie par le sol.D'autres solutions parient sur l'agrivoltaïsme, des panneaux semi-transparents abritant des cultures. En Inde, des panneaux sont installés sur des canaux depuis une décennie, produisant de l'électricité et réduisant l'évaporation. Selon M. Nemet, les consommateurs peuvent aussi jouer un rôle en faisant évoluer leurs heures de consommation ou en se regroupant en réseaux privés dans une approche Airbnb.
Il y a 2 ans et 283 jours

Les prix de l'immobilier sur le littoral dopés par la crise sanitaire, selon la Fnaim

Le coût dans les stations balnéaires a augmenté sur un an de 13% contre 7,7% pour la France entière, même si l'écart est moindre avec la province (+8,8%).En moyenne pour l'ensemble des logements, le prix sur le littoral s'élève à 4.467 euros le mètre carré au 1er juin 2022, contre 3.020 euros/m2 sur l'ensemble du territoire."On constate clairement un +effet post Covid+ sur les stations balnéaires", explique le président de la Fnaim, Jean-Marc Torroillon. "Les Français sont à la recherche d'évasion, d'espace et de nature à l'issue de cette crise sanitaire. Plus que jamais, s'extraire des grandes zones urbaines est une priorité. Les fortes chaleurs qui deviennent plus violentes et plus récurrentes sont également certainement un argument de poids", ajoute t-il.Entre avril 2018 et mars 2020, dans les 24 mois précédant la crise sanitaire, les prix dans les stations balnéaires avaient augmenté de 6,9% (contre 7,5% sur tout l'Hexagone). Dans les 24 mois suivants la crise (de mai 2020 à avril 2022), les prix dans les stations balnéaires ont crû de 24,2% (contre 14,6% sur l'ensemble du pays).Au niveau régional, les deux régions où les prix dans les stations balnéaires ont le plus augmenté sont la région Provence-Alpes-Côte d'Azur et la Nouvelle-Aquitaine : les communes littorales de région Paca ont un prix moyen de 5.429 euros du m2 au 1er juin 2022, celles de Nouvelle-Aquitaine, 5.307 euros.A l'inverse, les régions Normandie (2.939 euros) et Hauts-de-France (3.183) sont celles où les prix sur le littoral sont les moins élevés.
Il y a 2 ans et 285 jours

A Paris, des feuilles mortes se ramassent déjà à la pelle

Depuis mi-juillet la capitale vit, comme d'autres territoires de France, un automne anticipé causé par les vagues de chaleur à répétition et la sécheresse.Avec un mois d'avance sur le calendrier, les platanes et les marronniers, sont les premiers feuillus a avoir perdu leurs feuilles.Au pied d'un marronnier du parc aux feuilles raréfiées et flétries, Tim Peiger, 28 ans, bûcheron de la Direction des espaces verts et de l'environnement (Deve) de Paris, grimace : "il a pris cher"."Le feuillage devrait être bien vert. Les branches retombent avec le poids des feuilles. Et quand les feuilles tombent, il n'y a plus de photosynthèse, le bois n'est plus nourri, il sèche et fait du bois mort", diagnostique M. Peiger.Pourtant, ce phénomène spectaculaire lié à la sécheresse reste sans gravité à ce stade, estiment les experts de la ville."Ces arbres sont loin d'être stupides, même s'ils affolent tout le monde, ils se mettent simplement en mode survie", se débarrassant de leurs verdure pour économiser leurs réserves, assure Béatrice Rizzo, chargée de la cellule expertise Arbres et bois à la Deve.Si les conditions météorologiques sont favorables, ces arbres séchés dès l'été "peuvent réenclencher une pousse" avant l'automne, assure Mme Rizzo, qui n'y voit rien d'anormal et célèbre leur "résilience".Mais d'autres pathologies liées aux chaleurs extrêmes, inquiète la patronne des arbres parisiens.Comme les "brûlures solaires", ces coups de soleil sur l'écorce, qui creusent une plaie au bois et va faciliter son parasitage, menaçant l'arbre à long terme."C'est nouveau et c'est lié au climat", souligne l'experte.Platanes de Napoléon IIILorsque le "grand jardinier" du Paris de Napoléon III, Adolphe Alphand s'attaque dans les années 1860 au chantier des parcs et jardins de Paris, créant quasi ex nihilo les Bois de Boulogne, Vincennes, les Buttes-Chaumont et les principaux "alignements" verts des avenues, les essences indigènes s'imposent, notamment le platane réputé à la fois robuste et ombrageant."C'est une essence très résistante, qui résiste bien à la sécheresse et puis c'est emblématique de la ville de Paris", affirme le jeune bûcheron des Buttes-Chaumont à propos de l'arbre fétiche de Napoléon, qui compose 38% des plantations de rue et borde par exemple les Champs-Elysées.Entre les périodes 1873-1902 et 2000-2019, la température moyenne de la capitale mesurée à la station du Parc Montsouris a augmenté de 2,3° contre 1° au niveau mondial, selon l'Agence parisienne du climat.Le climat de Paris change, mais les arbres d'Alphand, patrimoine iconique de la ville, resteront tant qu'ils tiennent.La municipalité s'est néanmoins dotée d'outils pour introduire de nouvelles essences plus adaptées à ce réchauffement parmi les 170.000 plantations planifiées dans les prochaines années.Les essences dites méditerranéennes, comme le micocoulier de Provence et même le pin commencent à être privilégiées à Paris.BrûluresDans ces nouvelles conditions climatiques, les jardiniers de Paris ont aussi adapté leur routine d'entretien.Malgré les restrictions d'eau "il n'y a plus un endroit qu'on n'arrose pas", explique Irène Henriques, la responsable des jardiniers municipaux aux Buttes-Chaumont. Son équipe finalise ainsi sur une application la programmation d'un arrosage automatique de nuit, recommandé par la Mairie.La pratique de la "taille" a aussi été modifiée. "On taille moins mais plus régulièrement pour garder plus de branches", renseigne la jardinière.Le "paillage", technique qui consiste à déposer aux pieds des arbres un tapis composé de branches broyées pour limiter l'évaporation est privilégiée.La surveillance, au pied comme en cime, pour repérer brûlures et branches prêtes à céder est renforcée.Et les habitués du parc s'y mettent aussi. En témoigne les mots plus ou moins doux reçus par les jardiniers de la part des vigies citoyennes du quartier."Aujourd'hui, on remarque pas encore de choses dramatique", reconnaît Daniel Ollivier, 78 ans, à la tête d'un groupe de randonneurs de marche nordique, peu affolé par l'automne anticipé."Mais ça ne veut pas dire que ça ne peut pas venir très prochainement", conclue-t-il en pointant son bâton de marche vers le ciel.
Il y a 2 ans et 289 jours

Sites Seveso : des accidents réguliers, le réchauffement climatique à prendre en compte

Plus de 1.000 sites SevesoChimie, raffinage, munitions, engrais...: la France comptait 1.302 établissements Seveso sur son territoire en 2021, dont 691 dits "seuil haut". Ce seuil est fonction de la quantité totale de matières dangereuses présentes sur site.Cette classification des sites dangereux prend le nom de la ville italienne de Seveso, qui a connu un rejet accidentel de dioxine en 1976.Cet accident "a incité les États européens à se doter, à travers la mise en œuvre de la directive +Seveso+, d'une politique commune en matière de prévention des risques industriels majeurs", rappelle le gouvernement.Cette directive a été adoptée initialement en 1982 puis révisée deux fois, la dernière version (SEVESO 3) datant de 2012.La France s'est aussi dotée d'une loi "risques" en 2003, à la suite de la catastrophe du site AZF, qui a tué 31 personnes à Toulouse en 2001. Elle s'est notamment traduite par une remise à plat de l'urbanisme existant autour des sites à haut risque - avec parfois des expropriations de riverains - et un renforcement de la réglementation."Il y a eu un travail significatif effectué dans la plupart des sites Seveso, qui a pris un temps fou, pour certains 10 ou 15 ans, pour recenser tous les facteurs de risques", explique Patrick Chaskiel, chercheur spécialisé dans les risques technologiques à l'université de Toulouse. "Désormais on ne prend plus en considération un seul facteur de risque, on en prend parfois 500 ou 600".Des accidents réguliers"Bien qu'en légère augmentation, les accidents majeurs restent de l'ordre d'une demi-douzaine par an" dans les établissements Seveso, conclut le gouvernement dans son inventaire des accidents pour l'année 2021.Ce sont ainsi 78 accidents et 6 accidents "majeurs" qui ont été recensés l'an dernier.Pour expliquer leur survenue dans les installations classées, l'inventaire distingue les causes premières des causes profondes. Les premières sont des écarts matériels (71% des cas), les interventions humaines (29% des cas) et les pertes de contrôle des procédés (23,5% des cas).Les causes profondes, lorsqu'elles sont identifiées, ressortent en premier lieu de l'"organisation des contrôles", "l'identification des risques" et le "choix des équipements et procédés".Les accidents les plus graves sont toutefois beaucoup plus rares: le dernier en date est l'incendie sur le site Lubrizol à Rouen en 2019."Pour réduire le nombre d'accidents, on a comme solution de faire se conjuguer une double pression", intérieure et extérieure à l'entreprise (associations de riverains, ONG, élus...), avance Patrick Chaskiel. "Ou alors il y a la solution radicale, qui est de supprimer toutes les usines dangereuses !".Le rôle de la chaleur ?"Dans les installations industrielles, les fortes chaleurs, qu'elles soient caniculaires ou supérieures aux températures observées à la même période, sont à l'origine de nombreux événements industriels, qu'elles en soient la cause ou un facteur aggravant", rappelait le Bureau d'analyse des risques et pollutions industriels (BARPI) dans une note publiée en mai."Le principal phénomène rencontré est l'incendie", soulignait cet organisme gouvernemental.Dans le cas de l'accident de la poudrerie Eurenco de Bergerac mercredi, les causes ne sont toutefois pour l'instant pas avérées. "On ne peut pas dire que c'est à cause du réchauffement climatique", a indiqué jeudi le ministre de la Transition écologique, Christophe Béchu.Mais "personne ne peut nier qu'on a un réchauffement qui met à l'épreuve les hommes, la nature et les infrastructures. Et donc que c'est toute notre procédure de prévention des risques qui doit être renforcée à l'aune de ce réchauffement", a-t-il ajouté."C'est un sujet mais à multiples facettes", estime Patrick Chaskiel. Il observe que la chaleur a de multiples effets, par exemple sur la capacité des ouvriers à porter des équipements de protection lourds."La chaleur est un facteur à prendre en considération sur différents plans, pas seulement sur celui du réchauffement des matières dangereuses; ça peut aussi être à prendre en considération sur l'organisation du travail", observe-t-il.
Il y a 2 ans et 290 jours

Batura, nouvelle climatisation réversible, silencieuse et connectée by Sauter

Batura, la climatisation réversible pour un confort optimal en toutes saisonsLa climatisation réversible Batura est une installation 2 en 1 qui permet de profiter d’un confort thermique toute l’année, tout en réalisant des économies d’énergie. Batura offre à la fois une fonction efficace de rafraichissement l’été et de chauffage l’hiver. La température de la maison est ainsi régulée, quelle que soit la saison.5 modes sont disponibles pour s’adapter à toutes les saisons :Mode automatiqueMode rafraichissementMode déshumidificationMode ventilationMode chauffage En cas de forte variation de température, la fonction « Boost » permet de rafraichir ou réchauffer rapidement la pièce, avec un mode de mise en marche manuelle. Batura offre aussi une solution efficace contre l’humidité qui reste une préoccupation, notamment dans les chambres, pour la qualité de l’air et un intérieur sain.Batura, la climatisation "Multi-split" pour équiper jusqu'à 4 piècesBatura est une climatisation fonctionnant grâce à une pompe à chaleur, qui se compose d’une unité extérieure et d’une ou plusieurs unités intérieures qui sont réparties dans les différentes pièces du logement.Batura peut climatiser jusqu’à 4 pièces de la maison. Offrant d’excellentes performances, elle permet donc de moduler et de maîtriser selon ses besoins la température des différentes pièces de la maison.Batura, la climatisation connectéeLa climatisation Batura peut être pilotée à distance via l’application Sauter Cozytouch®.Cette application, permet de régler à distance ses équipements connectés Sauter : chauffage, radiateur sèche-serviettes, chauffe-eau, ventalition, et maintenant climatisation.Pour la climatisation, la mise en place de cette fonction nécessite l’achat du « PACK CLIM COZYTOUCH® » comprenant un Hub et une Clé Cozytouch® à brancher sur l’unité de climatisation intérieure.Avec le système connecté Cozytouch®, il est possible de :sélectionner le mode de fonctionnement de sa climatisation,visualiser et choisir la température de la pièce,régler la vitesse de ventilation,régler l’orientation des volets,programmer des modes sur des plages horaires pré-définies.Batura, la climatisation silencieuse, peu énergivore, à faible impact environnementalLa capacité à être silencieuse est un critère de choix important pour une climatisation. Le mode silence de Batura offre un niveau sonore particulièrement bas, de seulement 20 dB(A) pour les unités intérieures.Batura consomme peu d’énergie : classe énergétique A++ en mode froid et A+ en mode chaud (en mono-split) et A+++ en mode froid et A++ en mode chaud (en multi-split). La « fonction éco » réduit la consommation d’électricité avec un réglage ajusté de la température de la pièce. La technologie « Inverter » quant à elle, permet une régulation efficace des moteurs et limite les dépenses énergétiques en ajustant la puissance nécessaire en fonction de la température programmée réduisant ainsi les variations de température.Soucieux des conséquences environnementales, Batura utilise le fluide frigorigène R32, réfrigérant plus respectueux de l’environnement. Le fluide R32 garantit une meilleure efficacité énergétique et un impact environnemental limité.
Il y a 2 ans et 291 jours

Les professionnels de la rénovation énergétique réagissent à la hausse de l'obligation des CEE

Pour EffyLa ministre de la Transition énergétique, Agnès Pannier-Runacher et le ministre délégué à la Ville et au Logement, Olivier Klein, lançaient il y a quelques jours le groupe de travail "Logement", qui réunit les acteurs privés et publics du logement pour contribuer au grand Plan Sobriété Énergétique annoncé par le président de la République le 14 juillet.A cette occasion a été annoncé un renforcement du dispositif des Certificats d’Economies d’Energies (CEE), à hauteur de 4,8 milliards d’euros. Il implique une hausse de 25% du niveau de l’obligation des CEE et étend immédiatement le « Coup de pouce chauffage » aux logements collectifs pour recourir à des dispositifs de chauffage vertueux (réseaux chaleur, PAC, chaudière biomasse). Un appel à programme de 150 millions d’euros est lancé pour aider spécifiquement les familles en situation de fragilité dans leurs travaux d’économie d’énergie.Effy, qui appelait depuis de longs mois à une revalorisation du niveau de l’obligation CEE, salue cette première étape qui devra rapidement en appeler d’autres pour impulser une vraie dynamique de reprise de la demande de travaux de rénovation énergétique. Depuis 18 mois, les primes CEE (Certificats d’Economies d’Energie) baissent. En particulier celles qui incitent aux travaux d’isolation et celles destinées aux ménages très modestes (qui ont été divisées par près 3 en moins d’un an). La baisse de ces aides aux travaux de rénovation énergétique arrive au plus mauvais moment. Alors que l’inflation fragilise de plus en plus le pouvoir d’achat des Français, la hausse des prix de l’énergie devient insoutenable pour les familles les plus modestes. Or, ces primes CEE ont depuis longtemps prouvé leur efficacité pour inciter à lancer des travaux d’économie d’énergie, sans peser sur les finances publiques. C’est le principal levier pour les fournisseurs d’énergie et de carburant de remplir les obligations d’économies d’énergie que l’Etat leur impose. La logique est mathématique. En relevant ces niveaux, il faut faire plus de travaux et pour cela, les fournisseurs augmentent les primes pour en déclencher. Si l’État pilote le dispositif, les financements CEE sont donc apportés par des entreprises privées. Une hausse de l’obligation d’économies d’énergie était attendue depuis plus de 6 mois par les artisans et entreprises de la filière. Le gouvernement y répond en augmentant de 25 % le niveau d’obligation pour la période 2022-25.Pour Frédéric Utzmann, Président du groupe Effy : « La sobriété ne peut se limiter à éteindre la lumière, laver son linge la nuit ou fermer la porte lorsque l’on climatise… elle doit aller au-delà. Il faut pouvoir financer des actions de fond et rentables comme des travaux d’économie d’énergie ! Le dispositif dévoilé aujourd’hui par le gouvernement va dans le bon sens, et nous saurons, dans quelques semaines, s’il est assez ambitieux car la France a pris du retard depuis un an. »Effy regrette fortement que ne soit pas prévu un encadrement des prix du CEE. Une initiative attendue et nécessaire pour donner plus de stabilité au montant des primes dont bénéficient les ménages, plus de visibilité pour tous les acteurs de la rénovation énergétique et moins de volatilité pour les obligés qui financent le dispositif… Une occasion manquée pour le gouvernement qui aurait enfin pu clarifier sur quel niveau il souhaite stabiliser les prix.Ces annonces sont donc à notre sens une première étape qui va dans le bon sens, mais qui doit rapidement en appeler d’autres si elle ne s’avère pas rapidement suffisante pour que le marché redémarre.Pour Teskial Face au ralentissement observé au premier semestre 2022 des travaux de rénovation énergétique aidés par les Certificats d’Economies d’Energie (CEE), TEKSIAL prend acte de l’annonce faite par le Gouvernement à l’occasion du lancement du groupe de travail « Logement » du Plan de « sobriété énergétique », le 27 juillet 2022, d’augmenter le volume d’obligation pour la 5ème période. Cette rehausse a pour objectif de tendre vers le haut les prix des CEE et ainsi de relancer la filière. Une augmentation qui irait au-delà du surplus technique observé en fin de 4ème période et qui est à mettre en perspective avec le Plan de « sobriété énergétique » visant à réduire de 10% la consommation d’énergie sur les deux prochaines années. Rehausse à mettre également en regard avec le nouvel objectif européen de 36% de réduction de la consommation d’ici à 2030. TEKSIAL, acteur dédié depuis plus de 35 ans à l’accompagnement dans la maîtrise des consommations énergétiques, l’efficacité et la rénovation énergétique, suit de près les évolutions du marché des CEE. TEKSIAL salue l’annonce du Ministère d’un « renforcement significatif » des CEE, avec « une hausse de 25% du niveau d’obligation des CEE », soit d’environ 600 TWhc. Cette annonce était attendue depuis plusieurs mois par les acteurs du marché de l’efficacité énergétique dans un contexte de transition chaotique entre la 4ème (2018-2021) et la 5ème période des CEE (2022-2025). Une rehausse qui irait au-delà du surplus technique observé en fin de 4ème période qui a donné lieu à un marché secondaire moribond Depuis 2021, il avait été anticipé un excédent de CEE en fin de 4ème période, dont l’obligation était fixée à 2.133 TWhc. Plusieurs variables viennent expliquer cette surproduction, qui serait estimée environ à 400 TWhc, soit environ 16% de l’obligation totale de la 5ème période des CEE. Parmi les explications, on trouve le surdimensionnement de certains coups de pouce qui, bien que nécessaires notamment pour les ménages en situation de précarité énergétique, ont conduit à une bulle semblable à celle du photovoltaïque du début des années 2000. La rehausse de l’obligation, telle qu’annoncée le 27 juillet 2022 par le Ministère de la Transition énergétique permettrait ainsi de combler cet excédent de production, ce dont TEKSIAL se félicite, mais aussi probablement de revaloriser certaines aides, notamment pour les plus précaires qui se retrouvaient jusqu’alors pénalisés. TEKSIAL espère que la filière pourra retrouver un niveau qui permettra de donner de l’ampleur aux projets de rénovation et d’efficacité énergétique. Le marché doit aujourd’hui être orienté par une véritable boussole pour atteindre les ambitions françaises de sobriété et ce dans les conditions critiques que nous connaissons depuis plusieurs mois : crise énergétique, crise des matériaux et des transports dans le secteur du BTP, projets de travaux des Français mis en stand-by. Des orientations européennes qui pourraient également avoir un impact sur le niveau des objectifs d’efficacité énergétique de la France à moyen terme Le Fit-for-55 est un ensemble de textes de la plus haute importance. Le Conseil de l’Union européenne a adopté en juin dernier, de nouvelles orientations générales parmi lesquelles la réduction de 36% au moins de la consommation finale d’énergie européenne d’ici 2030. De ce nouvel objectif relevé, initialement fixé à 32,5%, vont découler des révisions de directives européennes qui elles-mêmes se traduiront par de nouveaux textes pour chaque Etat membre. C’est aussi probablement dans ce contexte que les pouvoirs publics ont souhaité reconsidérer les niveaux d’obligation des CEE, dispositif qui participe pleinement de la réduction des émissions de carbone.Pour Hellio Hellio, acteur de référence de la maîtrise de l’énergie, qui militait en faveur d’un doublement du volume d’obligation depuis plusieurs mois, salue cette décision et espère que cette hausse du niveau de l’obligation permettra de relancer la rénovation énergétique dans tous les secteurs : Pour Pierre Maillard, PDG de Hellio : « Nous saluons la hausse de l’obligation CEE de 25% et notamment qu’elle soit également à destination des secteurs tertiaires privés et publics, industriels, agricoles et transports que nous accompagnons au quotidien. Le dispositif des Certificats d’Économies d’Énergie est un dispositif vertueux pour tous les maillons de la chaîne du bâtiment, primordial alors que la France subit une hausse des prix de l’énergie sans précédent, avec, en ligne de mire, une tension énergétique. Notre volonté restera toujours d’accompagner nos clients dans l’atteinte d’économies d’énergie réelles avec une prise de responsabilité des acteurs, tel que Hellio. Condition sans quoi, la transition énergétique ne se fera qu’à petits pas. »Pour le Syndicat des fabricants de ouate de cellulose Pour Charles Kirié, Président de l’ECIMA qui avait lancé l’alerte en février dernier, suivi par les grands acteurs de la filière isolation : « Cette annonce est une excellente nouvelle et attendue depuis plusieurs mois par les acteurs de la filière isolation. L’augmentation de la production de KWhc va permettre de relancer un marché en difficulté depuis l’arrêt de l’offre Coup de Pouce. Nous ne relâchons pas pour autant la pression, car il y a un véritable enjeu énergétique qui doit être pris en compte. Les travaux de rénovation globale doivent intégrer les travaux d’isolation des combles, avec des matériaux à forte inertie thermique. Nous souhaitons également toujours limiter l’effet yoyo en annualisant les objectifs des obligés (actuellement fixés sur 3 ou 4 ans). Cela préserverait les entreprises de la filière isolation. »
Il y a 2 ans et 291 jours

Les pistes des villes d'Ile-de-France pour rester au frais pendant les canicules

A Saint-Denis, le parc de la Légion d'Honneur, en centre-ville, se retrouve vite saturé dès que les Dionysiens cherchent à échapper aux fortes chaleurs. Alors, la mairie tente de multiplier les endroits où profiter d'un peu de frais.Du point de vue du maire (PS) Mathieu Hanotin, "c'est une nécessité, surtout pour une population qui ne part pas forcément en vacances."Face aux vagues de chaleur toujours plus précoces, "on peut ouvrir les parcs la nuit en fonction de la chaleur, ou des points-relais où les personnes âgées peuvent reprendre leurs souffle", propose l'élu.A terme, la municipalité cherche à "démultiplier" les îlots de fraîcheur sur les places où l'ombre est rare, ajoute Laurent Monnet, adjoint à la transformation énergétique.Pour atteindre cet objectif, Saint-Denis cache sous ses pieds un atout précieux : des ruisseaux enfouis lors de l'expansion de la ville au siècle dernier."Nous voulons faire réapparaître cette eau sous une forme ou une autre", indique à l'AFP M. Monnet.Alors que les canicules sont amenées à se répéter, s'allonger et s'intensifier à cause du réchauffement climatique, avertissent les scientifiques, le maire (PS) d'Alfortville (Val-de-Marne) Luc Carvounas insiste sur la nécessité de "changer de paradigme.""Les maires ont collectivement pris conscience que la nature en ville était une nécessité", soutient M. Carvounas, également à la tête de l'Association des maires du Val-de-Marne.RegistresDès que possible, les communes se verdissent, isolent leurs bâtiments et veillent avec les associations à la santé des personnes les plus vulnérables. Depuis la canicule meurtrière de 2003, les communes doivent tenir un registre où les plus de 65 ans peuvent s'inscrire pour recevoir un appel de la mairie lors des vagues de chaud.En parallèle, certaines mairies, comme celle d'Alfortville, ouvrent des salles communales climatisées.Mais l'intérêt de cette mesure est relatif. "Je pourrais compter sur les doigts d'une main le nombre de personnes qui y entrent", plaisante Luc Carvounas.Laisser tourner la climatisation des salles de la commune est contre-productif, assure également Danielle Valero, première adjointe d'Evry-Courcouronnes (Essonne)."Quand il fait chaud, les gens vont dans les centres commerciaux", constate l'élue chargée de la transition écologique.A Evry-Courcouronnes, comme dans de nombreuses communes nouvelles, la température dans certains quartiers résidentiels devient invivable lors des pics de chaleur: 7 degrés séparent une cour d'école protégée par des arbres d'une place au milieu des grands ensembles des Pyramides, selon l'élue."Il faudrait végétaliser les toits et les terrasses des immeubles", plaide Mme Valero.Mais elle regrette que "pour les bailleurs, c'est cher, et ils risquent de répercuter le coût des installations sur la facture des locataires."
Il y a 2 ans et 297 jours

MaPrimeRénov', CEE, "coup de pouce chauffage" : les nouvelles annonces du gouvernement

Le ministère de la Transition écologique a annoncé une hausse de l'obligation pour la cinquième période des Certificats d'Économie d'Énergie et une extension du coup de pouce chauffage.4,8 milliards d'euros vont être utilisés pour renforcer significativement cet accompagnement. Un appel à programmes de 150 millions d'euros va être également lancé pour accompagner les ménages en situation de précarité énergétique.L'importance de MaPrimeRénov' pour traiter l'ensemble des segments du parc est considérée comme « déterminante » et notamment avec des dispositifs comme MaPrimeRénov' Copropriétés, une aide versée au syndicat de copropriétaires pour soutenir la réalisation de rénovation globale. La possibilité de mettre en place de nouvelles mesures d’ici le 1er janvier 2023 dans le cadre des dispositifs d’aides à la rénovation énergétique du parc résidentiel privé en faisant évoluer certains aspects de MaPrimeRénov ou en accélérant le raccordement à des réseaux de chaleur via le fonds chaleur a été évoqué.Extension du « Coup de pouce chauffage »Le « Coup de pouce chauffage » est étendu aux bâtiment résidentiels collectifs pour le raccordement d'un bâtiment résidentiel à un réseau de chaleur, l'installation d'une pompe à chaleur collective à absorption de type air/eau ou eau/eau ou d'une chaudière biomasse collective. Ces nouvelles mesures ont été prises dans le cadre du groupe de travail « Logement » s'inscrivant dans le Plan « Sobriété énergétique » récemment lancé pour faire face à la crise énergétique liée au conflit russo-ukrainien. Ce groupe de travail a réuni le 25 juillet la ministre de la Transition énergétique, Agnès Pannier-Runacher, le ministre délégué à la Ville et au Logement, Olivier Klein et les représentants des acteurs publics et privés du secteur du logement, en présence des énergéticiens et d’experts. Les participants ont également fait part de leur volonté de franchir un cap en matière de sobriété énergétique dans les logements, en travaillant à la mise en œuvre d’actions simples à effet rapide :Mieux faire respecter les consignes de température, notamment les 19° de chauffage, car 1 degré de moins permet 7% de consommation énergétique en moins.Calorifuger les réseaux d’eau chaude traversant des espaces non chauffés, pour 5 à 10% d’économie d’énergie par an.Travailler sur un meilleur déploiement de l’individualisation des frais de chauffage qui peut permettre un gain de consommation de 15%.Installer des détecteurs de mouvement afin d’éteindre les lumières inutiles dans les parties communes ;Déployer des systèmes de pilotage, en particulier de thermostats, qui permettent entre 100 et 200 euros d’économies chaque année.
Il y a 2 ans et 297 jours

Luc Dehais nommé à la Direction Générale de PVG France

En 2004, il devient Directeur commercial et contribue au succès des produits Qlima, notamment dans les grandes surfaces de bricolage. Avec près de 25 ans d’expérience au sein de PVG et doté d’une connaissance fine du marché du chauffage et de la climatisation, le nouveau Directeur Général aura pour mission de faire perdurer la croissance de l’entreprise en France. Dans ses nouvelles fonctions, Luc Dehais devra fédérer les équipes autour de la stratégie RSE de PVG et assurer le développement des secteurs des pompes à chaleur et des poêles à granulés, tout en renforçant les parts de marché des segments historiques. Luc Dehais sera soutenu par l’équipe de direction existante : Éric Laurent, à la direction des opérations internationales, et Florence Lavigne en charge de la finance. La gestion des Grands Comptes sera progressivement transférée à Yannick Richomme, qui représentera les activités commerciales au sein de PVG France.
Il y a 2 ans et 297 jours

La solution Ma Maison Hybride d'Airwell, lauréat de bronze des Awards de l'innovation du Mondial du bâtiment

Ma Maison Hybride conçue par Airwell est une solution globale de services qui permet à l’utilisateur de reprendre en main sa consommation énergétique pour l’habitat individuel, neuf et rénovation. Une distinction reçue dans le cadre du concours « Awards de L’innovation » destiné aux exposants Interclima, Batimat et Idéobain organisé par le Mondial du Bâtiment : 82 innovations sélectionnées - parmi 167 dossiers proposés (+20% vs 2019) - par 43 jurés professionnels (votes entre les 17 au 20 juin, 27 lauréats).Structurée autour de l’IA, Ma Maison Hybride mixte photovoltaïque (production de son énergie) et domotique.Elle intègre également la connexion de l’ensemble des équipements de la maison, pompes à chaleur, climatisation, chauffage, ventilation, eau chaude sanitaire, objets connectés, depuis un smartphone (disponible sous IOS et Android) via l’application intuitive Air Home. L’utilisateur devient maître de sa consommation en rendant sa maison plus autonome en énergie selon ses habitudes. Résultats : une consommation d’énergie contrôlée, plus écologique, un budget maîtrisé et une maison confortable, adaptée à tous les besoins.Les modes de consommation évoluent passant de l’utilisation d’un produit à une solution globale de services. Pour permettre au consommateur de mieux maîtriser sa consommation, de limiter son emprunte carbone, réduire sa facture énergétique ou encore avoir accès à des offres dotées de robotiques (dont l’intelligence artificielle et la connectivité) le Groupe Airwell a imaginé un écosystème basé sur la gestion intelligente des équipements thermiques dans l’habitat – Ma Maison Hybride a été lancée en Juin 2021.Depuis son lancement, l’application AirHome a séduit une moyenne de 900 utilisateurs par mois. En évolution permanente, l’application évoluera dans quelques mois pour intégrer un plus grand nombre d’objets connectés comme des prises électriques connectées, des sondes de température ou d’humidité, des capteurs d’analyse de la qualité d’air, des nourrices connectées de chauffage/rafraîchissement au sol.Pour accompagner les professionnels Installateurs Partenaires, dans le déploiement de cette solution, le groupe Airwell a mis en place début 2022 un dispositif d’accompagnement à la fois commercial (exposition sur des foires et salons en régions) et de formation via Airwell Academy. « Les pratiques de consommation du grand public évoluent et notre mission est d’accompagner nos partenaires, les professionnels pour prendre ce virage. Cet accompagnement se traduit par une montée en compétences sur les expertises en thermodynamique et photovoltaïque.Ma Maison Hybride – Solution sur-mesure : explications !La Maison Hybride, c’est l’alliance de l’énergie naturelle du solaire photovoltaïque à l’énergie classique (électricité, gaz). « La démarche est simple : vous produisez votre propre électricité, vous alimentez et vous pilotez tous les équipements thermiques de la maison du bout des doigts », explique Laurent Roegel. La maison devient énergétiquement plus autonome !Le plus : L’énergie récoltée, 100% renouvelable, est utilisable par tous les appareils électriques de la maison, quel que soit la marque.A partir de l’Application AirHome, le pilotage des appareils énergétiques se fait à distance depuis un smartphone (disponible sous IOS et Android).Climatisation, chauffage, ventilation, eau chaude sanitaire et objets connectés (machines à laver, lampes, volets, sécurité), le smartphone devient une véritable télécommande.Résultats :Maitrise de la consommation : Grâce au suivi en temps réel de la production des panneaux solaires et de la consommation de tous les équipements thermiques de la maison.Autonomie : La maison devient énergétiquement plus autonome.Confort & économie : Programmation : Du chauffage et de la climatisation à distance pièce par pièceDe la température de l’eau pour une meilleure gestion de l’énergieUsage & utilisation facilités via des objets connectés (par exemple caméras, volets, lampes...)Le tout centralisé par la box Airwell :Utilisation du protocole ouvert ZigBee (basse fréquence) qui n’encombre pas le débit du réseau Wi-Fi.Ma Maison Hybride : comment ça marcheL’écosystème Airwell permet d’optimiser en instantané la consommation globale en énergie de la maison, en fonction de la production d’électricité des panneaux photovoltaïques. La technologie en IA - Intelligence Artificielle intégrée à l’application AirHome permettra notamment de créer des scenarii d’optimisation énergétique et de maintenance préventive. Elle sera développée progressivement jusqu’à sa totale finalisation courant 2022.Dans les moments de surproduction, l’application ordonne automatiquement aux équipements de l’habitat de “glisser” le point de consigne. Par exemple, en zone de confort, la consigne exigée en chauffage est de 20°C dans l’habitat. En journée (heures de travail), la consigne est de 17°C. C’est pendant cette période d’inoccupation que l’application AirHome va glisser la consigne à 22°C. Ces 2°C supplémentaires permettront de minimiser la consommation de manière significative en sollicitant moins les équipements en énergie de la maison (ex : radiateurs, chaudière, pompe à chaleur, etc.), grâce à l’inertie. L’habitat se régulera de lui-même et maintiendra les pièces de la maison à 20°C par la suite.La maison hybride est une réponse économique et écologique pour reprendre le contrôle de sa consommation énergétique et préserver les ressources naturelles. Avec l’installation de solutions solaires Airwell, énergie verte 100% renouvelable, et en privilégiant les heures de fonctionnement du ballon thermodynamique grâce à l’intelligence artificielle AirHome, la production d’électricité et d’eau chaude sanitaire est optimisée.Ma Maison Hybride : une solution unique « made in France » signée AirwellActeur majeur, pionner français de la pompe à chaleur à sa création en 1947 puis fabricant européen leader dans les années 1970. En 2021, Airwell devient le Groupe Airwell et opère sa mutation avec l’objectif de basculer de fabricant de pompes à chaleur à créateur de solutions thermiques. Mieux consommer l’énergie dans l’habitat passe notamment par le développement de nouvelles solutions innovantes, fiables, simples et évolutives au service du consommateur final.Pour Laurent Roegel, PDG d’Airwell : « Pour Airwell, il n ’y a pas une recette miracle pour favoriser la transition énergétique, mais un ensemble de solutions et de technologies pour modifier les usages quotidiens et la gestion de l’énergie consommée pour l’habitat individuel en neuf ou en rénovation. Ma Maison Hybride propose une solution sur-mesure pour répondre aux enjeux majeurs de la transformation de la consommation en matière notamment de chauffage et de climatisation. »Environnement, budget, usageMa Maison Hybride : des bénéfices multiplesMaison Hybride : l’alliance de l’Energie Solaire aux énergies « classiques », un habitat plus respectueux de l’environnement grâce à l’utilisation des énergies renouvelablesMaison connectée grâce à la domotique intégrée : un pilotage pour gérer les équipements électriques de la maison par le biais de l’application Air HomeMaison autonome : La maison devient énergétiquement plus autonomeNouvel Usage : Une consommation en énergie raisonnée, maitrisée et ajustéeEconomie : Un budget réduit grâce à la gestion de sa consommationTransition écologique : Un coup de pouce pour diminuer sa consommation en énergieConfort thermique : Un gain de confort grâce à la répartition de la chaleur et de l’inertie dans la maisonGain de temps et vue globale : En un coup d’œil, pilotage et gestion des équipements énergétiques de la maison.Les atouts AirwellCertifications : la garantie pour le consommateurEUROVENT CERTIFIED PERFORMANCE : Programme de Certification européen - performances et efficacité énergétique Chauffage et Climatisation des produits Airwell.ISO 9001 : Norme Internationale : satisfaction clients, de produits et de services conformesKEYMARK : Certification européenne et référentiel, ce label validant les performances et la qualité des Pompes à Chaleur et Ballons Thermodynamiques Airwell - pour un accès aux dispositifs de soutien : Ma prime rénov’, éco prêt à taux zéro (ECO-PTZ), certificats d’économie d’énergie (CEE).
Il y a 2 ans et 298 jours

Une nouvelle étude revoit le nombre de "passoires énergétiques" à la hausse

D'après le nouveau mode de calcul du diagnostic de performance énergétique (DPE), qui étiquette depuis 2021 les logements de A à G selon leur consommation d'énergie et leur niveau d'émission de gaz à effet de serre, 17,3% du parc des résidences principales sont classées F ou G. En janvier 2018, l'ONRE évaluait le nombre de passoires énergétiques à 4,8 millions parmi les résidences principales, soit 16,7% du parc. Selon la nouvelle étude publiée en juillet, environ 1,5 million de résidences principales (5% du parc) sont au contraire considérées "peu énergivores", étiquetées A ou B par le DPE.La part de passoires énergétiques est plus élevée parmi les résidences secondaires (32%, soit 1,2 million de logements) et parmi les logements vacants (27%, soit 0,8 million de logements).Le mode de chauffage et les caractéristiques du logement (surface, date de construction...) "influent sur les performances énergétiques", précise l'étude.Ainsi, "les logements chauffés au fioul sont 44% à être classés F ou G (...) Au contraire, les logements chauffés au gaz ou au bois et par un réseau de chaleur apparaissent plus performants énergétiquement (respectivement 12% et 13% d'étiquettes F et G)", selon l'ONRE.Par ailleurs, "les logements les plus petits sont les plus énergivores" : près de 34% des logements de moins de 30m2 ont une étiquette F ou G, contre 13% des habitations de plus de 100m2.Les passoires énergétiques sont aussi plus fréquentes parmi les maisons individuelles que parmi les habitats collectifs, et dans le parc privé que dans le parc social.
Il y a 2 ans et 298 jours

Somfy et Daikin annoncent un partenariat pour développer l'expérience de la maison connectée

Il est désormais possible pour les possesseurs de l’application TaHoma de Somfy, de piloter leur solution de pompes à chaleur air/air ou air/eau Daikin. La maison connectée au service de la performance énergétique Dans un contexte où l’augmentation des vagues de chaleur nous rappelle l’urgence d’optimiser la performance énergétique, la gestion du chauffage et de la climatisation joue un rôle clé dans le confort thermique du logement.Avec leur partenariat, Somfy et Daikin permettent à un plus grand nombre d’utilisateurs de bénéficier de solutions connectées, pour plus de simplicité au quotidien, tout en améliorant la performance énergétique de leur logement.Pour Angélique Longeray, Directrice Générale Somfy France : « Somfy a fait de l’ouverture et de l’interopérabilité, un pilier de sa stratégie avec le lancement du programme « So Open » en 2018. Notre solution TaHoma est compatible avec près de 300 types de produits de la maison, et nous sommes fiers d’élargir aujourd’hui cet écosystème avec Daikin, une marque référente dans son domaine. Avec ce partenariat, nous souhaitons proposer aux utilisateurs une expérience simplifiée et unifiée du logement connecté, mais également leur permettre de gérer plus efficacement la performance énergétique. »Coupler le pilotage du chauffage et de la climatisation avec les volets roulants pour économiser de l’énergieIl est désormais possible pour les possesseurs de l’application TaHoma de Somfy, de piloter simplement leur chauffage ou leur climatisation, depuis chez eux ou à distance. S’ils s’aperçoivent, par exemple, d’avoir oublié de couper le chauffage avant de partir plusieurs jours, ils pourront le faire en toute simplicité depuis leur smartphone, où qu’ils se trouvent.Pour plus de performance énergétique, les utilisateurs peuvent également créer des scénarios couplant le pilotage du chauffage avec les volets roulants. Par exemple, l’hiver en journée, les volets roulants restent ouverts pour profiter de la chaleur gratuite du soleil et le chauffage est en mode éco. Le soir, les volets se ferment à la tombée de la nuit pour conserver la chaleur et le chauffage passe en mode confort. En été, en journée, les volets se ferment automatiquement pour bloquer les rayons du soleil, permettant de conserver la fraîcheur et de limiter le recours à la climatisation.Pour François Deroche, directeur marketing de Daikin France : « Ce partenariat engagé avec Somfy, acteur historique sur le marché des outils digitaux au service de la maison connectée, illustre bien notre volonté d’étendre les compatibilités de nos solutions avec des plateformes reconnues et efficientes afin d’offrir aux utilisateurs finaux un choix multiple de fonctionnalités en restant sur place, ou à distance, avec toujours pour leitmotiv de maximiser les économies d’énergie. »Compatibilité : l’application TaHoma de Somfy est compatible avec les pompes à chaleur réversibles Daikin air / air (unités des gammes Emura, Perfera, Stylish, Comfora, Sensira et Ururu Sarara), les pompes à chaleur Daikin Altherma air / eau et les ballons d’eau chaude Daikin Altherma.Liste complète des équipements compatibles disponible sur somfy.fr
Il y a 2 ans et 299 jours

JO-2024 : des travailleurs migrants victimes collatérales des travaux du village olympique

Dans son logement modulaire de 18 m2 tapissé de tôles d'acier, Famara Ndeo "étouffe" sous la vague de chaleur des derniers jours, après y avoir grelotté l'hiver dernier."On nous a dégagés avec les JO (...), on est abandonnés", déclare, amer, le Mauritanien de 32 ans, agent de quai à l'aéroport de Roissy, qui assure ne pas avoir vu depuis décembre un représentant d'Adef, le gestionnaire des logements. Ventilation et plaques de cuisson en panne, cafards, toilettes bouchées... : la liste des réclamations s'allonge au fil des mois.Sollicité par l'AFP, l'organisme n'a pas souhaité s'exprimer. Depuis mars 2021, quelque 300 ouvriers, principalement africains, vivent comme M. Ndeo dans une résidence temporaire de Saint-Ouen (Seine-Saint-Denis) financée par la Solideo, la société chargée des ouvrages olympiques.Ces travailleurs migrants ont été expulsés de leur foyer pour permettre la construction du village qui doit accueillir 14.500 sportifs et entraîneurs."Le foyer de l'époque était en très mauvais état et ne répondait plus aux normes des résidences sociales, avec des fuites d'eau en permanence, des fenêtres cassées", assure Adel Ziane, deuxième adjoint au maire de Saint-Ouen en charge de l'aménagement urbain.417 euros par mois"On est fiers de pouvoir permettre à des travailleurs étrangers de venir en France, et c'est de notre responsabilité de les loger dans des conditions décentes", poursuit l'élu, assurant qu'ils occupent "une résidence temporaire de bonne qualité".La municipalité de gauche soutient "sans faille" ces migrants, qui resteront dans cette ville de première couronne de Paris desservie par deux lignes de métro : après un long bras de fer, les occupants du foyer ont obtenu la construction de deux nouvelles résidences sociales de 150 logements chacune à Saint-Ouen.Un premier foyer doit sortir de terre début 2023, dans l'écoquartier des Docks. En revanche, le second, situé dans le centre-ville, subit un important retard et ne sera pas livré avant les Jeux, indique le sous-préfet de Saint-Denis Vincent Lagoguey.Des riverains ont déposé un recours en annulation de son permis de construire mais le Conseil d'Etat les a déboutés fin avril, ouvrant la voie à la reprise des travaux.En attendant ces locaux flambant neufs, chaque ouvrier doit s'acquitter de 417 euros par mois pour loger dans cette résidence temporaire de quatre étages, qui ressemble à s'y méprendre à un immeuble classique d'habitation.Mais nombre d'entre eux regrettent l'ancien foyer et sa vie en collectivité. "On avait une grande cuisine partagée", se souvient Diarra Samba, qui doit désormais préparer ses plats sur deux petites plaques chauffantes."C'est de la ferraille""Avec la chaleur et les odeurs, c'est la merde, on est obligés d'ouvrir la fenêtre et la porte" du studio, déplore le Malien, arrivé en France il y a vingt-cinq ans comme commis dans un restaurant du quartier d'affaires de la Défense.Ce père de famille pieux regrette également de ne plus pouvoir prier avec ses voisins dans "une salle commune", comme il en avait pris l'habitude.Après leur journée de travail, durant laquelle la plupart de ces hommes effectuent des tâches pénibles avec des horaires décalés, beaucoup se retrouvent autour de quelques bancs à l'entrée du foyer.Pack de six bouteilles d'eau à la main, Moussa Coulibaly, agent de nettoyage malien, retarde au maximum le retour dans son logement afin d'échapper à la fournaise."Certains restent jusqu'à 3-4h00 du matin à l'extérieur. On ne peut pas dormir. Ici c'est un bungalow, ce ne sont pas des vrais murs, c'est de la ferraille", regrette M. Coulibaly en montrant la structure métallique de la façade. "Mon lit, c'est une plaque chauffante", souligne un autre résident.A quelques centaines de mètres, les travaux du village olympique se poursuivent. Avec un objectif affiché par le comité d'organisation de Paris-2024 : "Fournir un accueil optimal" aux futurs champions.
Il y a 2 ans et 299 jours

Hydroway, le premier sol perméable au service de l’écologie

Cette solution de revêtement extérieur, répondant à loi Climat et Résilience 2021, a été conçue en 2008 pour répondre aux aléas météorologiques et aux enjeux environnementaux.Les revêtements de sols imperméables empêchent la pénétration de l’eau dans le sol, qui reste donc en surface et ruisselle, ce qui favorise les inondations et la pollution des eaux. Par sa perméabilité, la solution de revêtement extérieur HYDROWAY contribue à préserver les sols en évitant le ruissellement et les flaques. 100% perméables, ce revêtement infiltre jusqu'à 35 fois plus d’eau de pluie que la norme requise, soit un litre d’eau par m2 et par seconde ce qui permet d’éviter la pollution des eaux par ruissellement et facilite l’alimentation des nappes phréatiques.JDM Expert apporte également une réponse écologique en choisissant méticuleusement ses matériaux. Un revêtement standard en béton consomme jusqu’à 5 fois plus de carbone qu’un sol JDM Expert. Le choix des coloris clairs joue aussi un rôle majeur afin d’éviter l’accumulation de chaleur en journée et limiter ainsi les îlots de chaleur.La solution de revêtements HYDROWAY est très utilisée en France Métropolitaine et DOM-TOM, en Belgique et en Espagne et de nombreuses collectivités, telles que Rungis et Grimaud et entreprises privées font appel au professionnalisme de JDM Expert dont la solution HYDROWAY se démarque par sa facilité d’entretien et offre une excellente résistance aux intempéries et aux véhicules allant jusqu’à 26 tonnes, en plus de respecter l’environnement et le cycle naturel de l’eau.
Il y a 2 ans et 300 jours

Daikin Europe va construire une usine de pompes à chaleur en Pologne

INVESTISSEMENT. Daikin Europe va investir 300 millions d'euros dans la construction d'un site de production dédié à la fabrication de pompes à chaleur résidentielles en Pologne.