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En février 2018 Bordeaux Métropole lançait la mission #BM2050, une large concertation à l’échelle des 28 communes de son territoire. Après avoir favorisé l’expression et la participation de près de 120 000 métropolitains au travers de rencontres sur le territoire, sur le site de la mission, lors de débats, hackathons, créathons, concours, serious game (47 485 joueurs), BM2050 a recueilli 2 000 contributions, issues pour beaucoup d’entre elles de publics que l’on ne voit généralement pas dans les instances participatives habituelles. Une fois les doublons supprimés, 450 propositions ont été retenues. Ces dernières ont permis d’imaginer 4 scénarios. Scénario 1 : La métropolisation continue finit par s’autoréguler C’est le scénario au fil de l’eau, demandé par tous ceux qui souhaitent que rien ne change. Dans ce scénario, les signaux faibles enregistrés il y a quelques années deviennent des signaux forts : augmentation des prix de l’immobilier, et donc éloignement de la classe moyenne toujours plus tributaire de sa voiture et épanouissement d’une métropole chère, non inclusive, repoussant sur ses franges de plus en plus de personnes souffrant d’un sentiment de déclassement donc d’injustice. Scénario 2 : L’exigence décarbonée règle la ville Si les perspectives climatiques, les risques sanitaires et la croissance démographique mondiale se confirment, alors l’urgence d’agir passe avant toute autre considération qu’elle soit financière, réglementaire, patrimoniale ou sociale. C’est le scénario qui fait de l’exigence décarbonée l’enjeu cardinal et subordonne toutes les politiques publiques à ses exigences. C’est donc le scénario d’une métropole extrêmement dense, qui lutte contre l’étalement urbain, d’une métropole qui décide de restreindre de façon drastique sa circulation automobile nuisante (interdiction des diesels, obligation de véhicules électriques, péages urbains etc…), d’imposer l’isolation de ses bâtiments anciens quelle que soit leur valeur patrimoniale, d’interdire le béton dans ses constructions, d’imposer les circuits courts, etc… Scénario 3 : La nature redessine la ville C’est celui d’une croissance différente, peu centralisée et qui se développe sur les franges des 28 000 hectares de nature de la métropole. C’est celui de la mise en valeur de tous les espaces de nature à commencer par la Garonne sur les 12 communes qu’elle traverse. C’est aussi la réouverture des esteys, la redécouverte et l’aménagement du réseau hydrographique autrefois enfoui. C’est celui, comme d’ailleurs dans le scénario précédent, de la création de galeries techniques souterraines autorisant la réorganisation des réseaux et donc la libération du sous- sol permettant enfin de planter les rues et de créer des îlots de fraîcheur, etc… Dans ce scénario, la nature et son rôle stratégique dans l’aménagement du territoire occupent une place aussi importante que la mobilité, voire davantage. Scénario 4 : L’équilibre des territoires fait la vie C’est le scénario de l’équilibre des territoires, qu’ils soient métropolitains ou extérieurs à la métropole. C’est le scénario des échanges, échanges intellectuels, échanges de biens ou de personnes. C’est le scenario, des réseaux, du collaboratif, des nouveaux écosystèmes, du soutien aux énergies humaines et à l’innovation, de la flexibilité. C’est le scénario de la mobilité, du métropolitrain, des nouveaux modes de déplacement, d’un vrai schéma de logistique urbaine, du développement de l’emploi en péri-urbain, de l’expérimentation, de l’agilité dans tous les domaines… Unanimement favorables aux trois derniers scénarios, mais conscients des compétitions d’objectifs et de la cohérence nécessaire à rechercher, les élus ont précisé qu’allait maintenant s’engager une réflexion approfondie des trois scénarios avec, dès l’automne, le lancement de chantiers indispensables quel que soit le scénario retenu in fine. Photo : Vincent Monthiers  

Construite en 1956, « La cité des 4000 », à La Courneuve, a été pensée comme une construction de masses implantées les unes par rapport aux autres. Ses réhabilitations s’attachent à supprimer l’effet de construction uniforme et impersonnelle, afin de redonner du sens à l’espace public, avec une véritable qualité paysagère et humaine. Deux nouveaux immeubles et 18 maisons en duplex proposent une vraie diversité. Leurs différents volumes sont implantés sur la parcelle afin de dégager un maximum de vues pour les logements tout en créant un minimum de masques et de co-visibilité entre eux ou avec les avoisinants. Le confort d’été et d’hiver a été un critère déterminant dans l’organisation du bâti afin d’optimiser la performance des parois et de construire dans une démarche environnementale. L’implantation propose des logements qui s’ouvrent sur toutes les orientations et n’offrent ainsi aucune façade arrière ou pignon non traité. Deux failles apportent également une respiration et davantage de lumière à l’ensemble de l’îlot. Elles créent des porosités entre les espaces publics et le cœur d’îlot, permettent de favoriser les échappées visuelles et tissent des liens entre la ville et les espaces collectifs partagés. Le projet propose deux typologies clairement identifiables : « l’immeuble » et «la maison de ville superposée ». L’ensemble met en cohérence et en résonance trois matières et teintes : le béton blanc, la brique et le mélèze. Les matières ont été laissées le plus brute possible pour une meilleure durabilité et une meilleure intégration au site. Dans les bâtiments collectifs, le béton blanc souligne le dessin des menuiseries bois et de la serrurerie tandis que, sur les maisons superposées, le bardage bois met en exergue le dessin des volumes blanc en doubles hauteurs. Le travail des moucharabiehs en brique, de la serrurerie en métal blanc et des tableaux des menuiseries, permet d’apporter à l’ensemble des éléments de modénature simples et délicats. Maitrise d’ouvrage : Plaine Commune Habitat / Batiplaine Maitrise d’œuvre : MAO Architectes – MOBILE ARCHITECTURAL OFFICE (Fabien Brissaud, Aurélien Ferry, Jade Foucher) JTB architecture (architecte associé) Mizrahi (BET TCE) Photos : Luc Boegly  

Gestion des e-mails, maîtrise du temps passé sur vos projets, simplification de vos prises de notes… Ce mois-ci, le Geek de Chroniques propose une sélection de cinq applications pour vous aider dans votre quotidien professionnel et personnel, qu’il s’agisse de […] L’article Chronique du Geek : Les applis mobiles de mars 2019 est apparu en premier sur Chroniques d'architecture.

En ce mois de février, une ligne directrice : des applications pour gérer vos idées, pour collaborer et partager le travail en équipe. Ajoutez à cela un petit utilitaire bien pratique pour numériser vos documents papiers et une application pour […] L'article Chronique du Geek – Les applications mobiles de février 2019 est apparu en premier sur Chroniques d'architecture.

Bien que Los Angeles (USA) en fasse rêver plus d'un, la vie d'un autochtone peut rapidement devenir aliénante, lui qui passe plus de temps dans le trafic automobile qu'à parcourir Venice Beach en skateboard. Et si c'est en voiture que l'on parcourt L.A, c'est également là que la photographe locale Sinziana Velicescu puise son inspiration. Où quand les interactions humaines font place à la contemplation du paysage urbain. Loin des habituels palmiers et toits plats californiens, Sinziana Velicescu nous embarque dans un road trip architectural à travers sa série On the Periphery, explorant l'esthétique propre à la périphérie de Los Angeles grâce à des prises de vues minimalistes. Une photographie de détail dont les cadrages serrés mettent en lumière la beauté cachée des bâtiments oubliés de la côte Ouest. L'ensemble a pour volonté de rendre compte de la solitude expérimentée lors des longs trajets en voiture qui accompagnent le quotidien des habitants de la cité des anges. Regardant distraitement par la fenêtre dans les bouchons, les conducteurs prennent pourtant rarement le temps de s'attarder sur les constructions péri-urbaines, trop préoccupés par leur destination finale. Au-delà du témoignage patrimonial, l'artiste américaine tient ainsi à attirer l'attention des chauffeurs et passagers sur ces fragments de vie, figeant le développement des zones urbaine " qui se muent à la vitesse de la lumière ", sur papier glacé. " Essentiellement, j'essaie de capturer certains aspects éphémères de Los Angeles qui pourraient disparaître demain. " Sinziana Velicescu, photographe Cet arrêt sur image prend tout son sens dans l'ouvrage éponyme qui retrace le parcours photographique entrepris par Velicescu, transformant ainsi l'éphémère des constructions californiennes en objet de lecture pérenne. Un hommage subtil à la capitale mondiale du cinéma loin du strass et des paillettes. Pour en savoir plus, visitez le site de Sinziana Velicescu Photographies : Sinziana Velicescu

En 2018, l'agence Atelier(s) Alfonso Femia, sise à Paris, Milan et Gênes, a livré à Varano de’ Melegari, près de Parme en Emilie-Romagne, la Dallara Academy un complexe éducatif et d'exposition dédié à l'automobile. Tout près du circuit. Communiqué. Le […] L'article Pied au plancher avec Alfonso Femia à la Dallara Academy est apparu en premier sur Chroniques d'architecture.

Nous voici donc en 2019, avec pour certains d'entre nous des résolutions et pour d'autres celle de ne surtout pas en prendre? Quoi qu'il en soit, la routine du travail demeure la même. Afin de la rendre plus agréable, la […] L'article Chronique du Geek – Les applications mobiles de janvier 2019 est apparu en premier sur Chroniques d'architecture.

Décidément, Barcelone (Espagne) est un véritable vivier d'artistes plus imaginatifs les uns que les autres ! Après Pablo Picasso ou encore Joan Miró, c'est au tour de Diego Cabezas de nous étonner avec ses "uvres métalliques épurées. Inspiré de ses prédécesseurs, le sculpteur créé des visages aux accents cubistes et donne vie au trait et à la ligne. Originaire de La Corogne, petite ville du nord de la péninsule ibérique, Diego Cabezas arrive à Barcelone à l'âge de 19 ans pour étudier la sculpture et l'histoire de l'art. Fasciné par la peinture, il tente alors de reproduire la légèreté permis par le pinceau à travers des matériaux plus lourds et se spécialise rapidement dans la métallurgie. Un médium difficile à manier que Cabezas dompte au fur et à mesure de sa pratique, recherchant un résultat toujours plus délicat, proche du dessin. " Je dessine constamment, je réfléchis à de nouvelles pièces et à la façon dont je les ferai. Je choisis simplement le dessin sur lequel je veux baser ma sculpture et j'essaie de le suivre, mais avec un esprit ouvert qui pourrait changer au cours du processus. " Diego Cabezas, sculpteur Là où les peintres tentent de donner une impression de relief grâce à la perspective dans un travail en deux dimensions, le plasticien, quant à lui, cherche à gommer le volume et la 3D de ses sculptures et les imagine comme flottant dans un espace sans limite. Allant du petit format décoratif au grand mobile " non sans rappeler le travail de Calder ", les courbes élégantes de ses ouvrages se déclinent au gré de ses envies. Fines et gracieuses, les " cabezas " de Diego redéfinissent les possibilités données au métal. Un nom à inscrire dès aujourd'hui au panthéon des grands artistes de la cité comtale. Pour en savoir plus, visitez le site de Diego Cabezas Photographies : Diego Cabezas et Roger Ferrero

Niché au c"ur de Paris dans le troisième arrondissement, le bâtiment imaginé par l'agence Lobjoy-Bouvier-Boisseau architecture est un hymne à la beauté. Ce lieu de retraite culturelle qui accueille à la fois la Fondation Henri-Cartier Bresson et la Fondation François Sommer déploie une architecture contemporaine épurée et ambitionne un renouvellement de l'espace d'exposition classique. Au palmarès des nouveaux lieux culturels incontournables qui participent au rayonnement culturel de la capitale française, le nouveau bâtiment de la Fondation Henri Cartier-Bresson est en tête de liste. La réhabilitation de ce site consiste en la transformation d'un ancien garage automobile en un espace culturel accueillant à la fois les espaces d'exposition de la Fondation Henri Cartier-Bresson et les locaux administratifs de la Fondation Franc?ois Sommer. La volumétrie minimaliste de l'édifice fascine tant par son apparence chromatique que par les matériaux utilisés à l'extérieur. La façade répartie sur quatre étages dédiés à chaque fondation déploie un décor raffiné en aluminium massif anodisé. Ce qui permet d'envelopper subtilement le bâtiment et de lui conférer une dimension esthétique tout à fait particulière. À l'intérieur, l'ensemble s'agence en fond de parcelle autour de la cour imaginée selon le plan du cloître. Le rez-de-chaussée aux immenses parois vitrées est baigné de lumière naturelle et tourné vers la ville. Dans ces espaces se situent les nouvelles salles d'exposition de la Fondation Henri Cartier-Bresson. Ce changement de lieu a permis à la Fondation Henri Cartier-Bresson de doubler sa superficie et de s'implanter au centre de la vie culturelle parisienne, non-loin de la Maison Européenne de la photographie, du Centre Pompidou, du musée Picasso et de nombreuses galeries. La rétrospective consacrée à Martine Franck, l'épouse d'Henri Cartier-Bresson, ouvre la programmation de ce nouvel espace culturel. Le projet est sélectionné pour les ADC Awards 2019 dans la catégorie Culture / Musée - espace d'exposition. Pour en savoir plus, visitez le site des ADC Awards et de Lobjoy-Bouvier-Boisseau. Photographies : Baptiste Lobjoy

L'Iris-ST (Institut de recherche et d'innovation sur la santé et la sécurité au travail) vient d'éditer un nouveau mémo Sécurité à destination des entreprises artisanales du BTP et paysage et en collaboration avec l'OPPBTP, la Capeb et la CNATP. Découvrez-le !

Le réseau de distribution de gaz naturel GRDF a lancé le 6 décembre une application mobile pour aider et accompagner les installateurs et autres acteurs de la filière gaz au quotidien. Cet outil, qui s'apparente à un guide interactif, a été pensé en concertation avec les professionnels concernés. Il propose notamment la carte du réseau gaz, le prix d'un raccordement, et un simulateur de dimensionnement des canalisations. De quoi gagner en efficacité.

TTControl, coentreprise entre TTTech Computertechnik AG et HYDAC International, lance une solution complète pour connecter des machines mobiles (machines agricoles, engins du BTP, etc.) via une plateforme cloud.

La portée transversale des stabilisateurs de la nouvelle grue mobile TC800C5 peut atteindre 8 m et le contrepoids total de la machine atteint 15,5 t, pour une stabilité à toute épreuve.

Le titre " véhicules sur piste " du Règlement Général des Industries Extractives (RGIE) et les deux arrêtés du 12 mars 1984 sont abrogés respectivement par le décret n°2018-1022 et l'arrêté du 22 novembre 2018 qui tous deux entrent en vigueur le 1er janvier 2019.

Caterpillar lance la première application mobile "construction" conçue pour les utilisateurs passant du temps dans un camion, sur chantier ou en déplacement afin de collecter les données télématiques des machines.

Le CSTB a été missionné par le ministère en charge de l'Environnement pour mener une campagne de mesure des ondes dans les écoles en France. Cette enquête s'inscrit dans le cadre du dispositif national de surveillance et de mesure de l'exposition des populations aux ondes électromagnétiques dans des lieux publics. Cette campagne spécifique avait pour objectifs de : contrôler la conformité de l'exposition des écoles aux valeurs limites réglementaires ; réaliser un état descriptif des niveaux d'exposition aux radiofréquences dans les écoles maternelles et élémentaires en France ; rechercher les déterminants de ces niveaux à partir des caractéristiques des bâtiments scolaires, de leur environnement et des émetteurs de radiofréquences situés autour des écoles. En savoir plus : Contexte, objectifs de la campagne Un échantillon de 298 écoles représentatif du parc d'écoles en France métropolitaine a été constitué grâce à la campagne nationale " écoles " (CNE) de l'Observatoire de la qualité de l'air intérieur (OQAI). Les mesures de radiofréquences ont été réalisées de septembre 2014 à novembre 2017. Les principales conclusions sont les suivantes : les niveaux de radiofréquences dans les écoles maternelles et élémentaires en France métropolitaine sont faibles et en-deçà des valeurs limites réglementaires ; les niveaux extérieurs moyens sont significativement plus élevés (0,40 V/m) que les niveaux moyens intérieurs (0,23 V/m) ; l'analyse détaillée des principaux contributeurs des niveaux intérieurs montre une différence entre les écoles en milieu rural et celles en milieu urbain : la téléphonie mobile est le contributeur principal de l'exposition détectée en milieu urbain, tandis que le Wifi et les services " hautes fréquences " sont les contributeurs principaux des radiofréquences détectées en milieu rural ; en milieu rural, une école sur deux ne présente pas de signal radiofréquence dans les bâtiments. En milieu urbain, une école sur trois ne présente pas de signal radiofréquence dans les bâtiments ; les niveaux intérieurs élevés de radiofréquences sont corrélés à la présence et au nombre d'émetteurs dans un rayon de 500 mètres autour de l'école. Le type de vitrage du bâtiment, simple ou double, influe également sur les niveaux intérieurs ; les niveaux sont plus faibles dans les bâtiments présentant un double vitrage. Les résultats ont été publiés sur le Portail interministériel Radiofréquences santé-environnement. En savoir plus : Campagne nationale de mesure des radiofréquences dans les écoles, rapport CSTB, 2018 Expertise Éclairage et électromagnétisme du CSTB Observatoire de la qualité de l'air intérieur (OQAI)

Un spécial BIM ce mois-ci, avec les cinq applications les plus couramment utilisées sur nos mobiles. Même si quelques applications fonctionnent sur téléphone, c'est bien sur les tablettes qu'elles prennent leur véritable dimension d'outils professionnels. Nous verrons que (presque) toutes […] L'article Chronique du Geek – Applications mobiles de novembre 2018 est apparu en premier sur Chroniques d'architecture.

A l'occasion du salon EquipBaie, organisé du 20 au 23 novembre 2018, Janneau a présenté son tout nouvel outil d'aide à la vente. Baptisée iWindo, l'application mobile évalue, à partir de deux capteurs, les performances des menuiseries vitrées en place, à rénover. La solution, testée par les membres du réseau partenaires depuis octobre, vient crédibiliser le discours des professionnels. Retour sur cette innovation.

Pour ne rien râter des actualités du monde de la construction, ConstructionCayola.com est de nouveau disponible sur vos smartphones et tablettes Android ainsi que sur IPhone et IPad.

Leica Geosystems, filiale d'Hexagon, poursuit sa coopération avec Autodesk afin de connecter ses dernières stations totales de robotique pour la construction (Leica iCON iCR70 et iCR80) à l'application mobile Autodesk BIM 360 Layout.

Au salon EIMA, les visiteurs pourront découvrir la nouvelle appli Trelleborg TLC Plus ; un système de contrôle avancé qui, à l'aide de capteurs, mesure d'une part les écarts éventuels de pression entre la pression optimale et la pression de gonflage du pneumatique et transmet, d'autre part, ces informations via une connexion sans fil, sur le support mobile ou l'ordinateur de l'agriculteur.

RM Mobile, version portable de la solution de location MCS-rm vient de sortir.

JUSTICE. Le Tribunal administratif de Paris a validé ce jeudi 25 octobre le second arrêté municipal portant sur la piétonnisation des voies sur berges. Un verdict qui entérine la fermeture à la circulation automobile de la voie Georges Pompidou.

La société suisse Alu Menziken a investi 44 M¤ dans la construction d'un nouveau site de production de composants en aluminium pour les industries aéronautiques et automobiles.

En ce premier mois d'automne, le rythme à l'agence a retrouvé son niveau pré-estival et il s'agit désormais de tenir la distance pour boucler l'année 2018 et préparer 2019. Les applications présentées aujourd'hui par le Geek de Chroniques doivent permettre […] L'article Chronique du Geek : Les applications mobiles d’octobre 2018 est apparu en premier sur Chroniques d'Architecture.