Toute l’actualité du bâtiment regroupée sur un seul site

Résultats de recherche pour services

(5798 résultats)
Il y a 2 ans et 302 jours

« Le Square » : nouveau lieu de référence pour les solutions « menuiserie métal » signé Reynaers Aluminium et Forster

Un showroom unique en plein centre de ParisSitué en plein centre de Paris, au 46 rue Chanzy dans le 11ème, ce lieu de découvertes et d’échanges est une vitrine ouverte sur les gammes de Reynaers Aluminium, de Forster et de celles de marques partenaires qui ont fait le choix de s’associer à la démarche.Plus de 300m2 ouverts aux Architectes et aux Professionnels Situé à proximité des plus grands cabinets d’architecture, « LE SQUARE » est un lieu d’exposition, de conception et d’échange de plus de 300m2 dédié aux architectes, bureaux d’études, et autres professionnels de la construction. Dès son arrivée, le visiteur est plongé dans un espace lumineux, structuré, chaleureux et rassurant qui invite à la découverte. L’espace organisé autour de circuits de visite clairs où la mise en scène des produits garantit une excellente compréhension de l’offre. Spacieux et convivial ce showroom permet d’orienter les visiteurs vers deux zones dédiées, l’une pour les menuiseries en aluminium et l’autre vers les menuiseries acier. Maîtres d’ouvrage, architectes, bureaux d’études, économistes et professionnels découvriront tout un univers de solutions constructives et d’aide à la décision pour le bâtiment tertiaire, le commerce, l’habitat individuel et collectif, en neuf comme en rénovation. « LE SQUARE » met en valeur le savoir-faire des deux sociétés à travers de menuiseries exposées en configuration réelle valorisant les tendances actuelles en termes de clair de vitrage, de finesse des structures, de fonctionnalité et de sécurité. Au croisement des tendances architecturales et des solutions techniques Conscient que l’exigence est multiple, le SQUARE a été conçu dans l’objectif de proposer un large panel de solutions qui répondent en tous points aux exigences architecturales actuelles et à venir. Les visiteurs pourront profiter des conseils et des solutions présentées pour obtenir les réponses adéquates en termes de clair de vitrage, de grande dimension, de performances thermique et acoustique, de réglementation énergétique 2020, de protection des biens et des personnes, de retardement au feu et de protection contre les incendies.Lieu d’échanges et de travail Pensé pour faciliter la découverte des produits et en réponse aux besoins des architectes, « LE SQUARE » comprend différentes zones telles que des espaces de présentation, un atelier de conception et des salles de réunion permettant d’échanger et de travailler sur les projets architecturaux les plus variés. Le bâtiment combine expression du savoir-faire et exposition des produits, en toute subtilité et élégance. Ces différents espaces permettent d’offrir une totale polyvalence de configuration pour l’organisation de différents événements.Lieu dédié à un univers de solutions techniques et de services multi dimensionnel Afin d’apporter une réponse complète aux différents intervenants dans l’acte de construire, Reynaers Aluminium et Forster ont pensé et ouvert les portes de cet espace à des industriels complémentaires. Sur simple demande de rendez-vous, les prescripteurs et les professionnels pourront venir à la rencontre des spécialistes de Reynaers Aluminium, de Forster et des partenaires associés, tous spécialistes de leur domaine d’activité. Que ce soit pour le vitrage, les finitions, la protection solaire et la sécurité, les architectes, les bureaux d’études, les économistes de la construction et les maitres d’ouvrage peuvent bénéficier d’un espace de démonstration et d’échanges permettant d’étudier les projets les plus audacieux.Liste des partenaires avec leurs spécialités :AGC – vitrages résistants au feu Assa Abloy – solutions d’ouvertures de portesAxalta – technologie de peintures hautes performancesBandalux – solutions de contrôle solairedormakaba – solutions pour sécuriser l’accès aux bâtimentseffeff Assa Abloy – solutions de verrouillage et de gestion de portesRiou Glass – vitrages design et de sécuritéSonolaque – solutions de traitement de surface des métauxVitrumGlass – vitrages chauffants et intelligentsVetrotech – vitrages de sécuritéLieu de vie et de partage Outre sa fonction primaire, « le Square » ambitionne également de créer une certaine dynamique au travers de manifestations et d’événements sur des thématiques telles que l’art, le sport, la gastronomie, l’environnement ou encore la musique.L’idée sous-jacente à cette approche est d’associer le monde de la construction à différents univers culturels afin de positionner Reynaers Aluminium et Forster en tant qu’acteurs engagés et éclectiques.
Il y a 2 ans et 302 jours

La Sim Marseille 2022

SIM est le salon référent du secteur des industries extractives en France. Il met en avant les équipements et savoir-faire des fournisseurs de produits et services du secteur.
Il y a 2 ans et 302 jours

Mondial du bâtiment 2022 : KAWNEER dévoilera ses dernières innovations sur son stand au salon BATIMAT

Spécialiste des solutions architecturales en aluminium, KAWNEER propose une offre de menuiseries et de services complète et pertinente, au plus près des attentes des professionnels. Au salon Batimat, du 3 au 6 octobre 2022 à Paris Expo, l’entreprise présentera en exclusivité ses derniers développements. Que ce soit pour le neuf ou la rénovation, pour le […]
Il y a 2 ans et 303 jours

Hugo Franck, jeune nouveau président du Syndicat de l’architecture

L’architecte Hugo Franck prend les rênes du Syndicat de l’architecture. [©Virginie Akrich] Réuni en assemblée générale en juin dernier à Strasbourg, le Syndicat de l’architecture a procédé au renouvellement de son conseil d’administration. Ainsi, Hugo Franck, 39 ans, en devient le nouveau président. La vice-présidence est confiée à Bénédicte Meyniel, le secrétariat général, à Béatrice Dollé et la trésorerie, à Danièle Damon. Ses missions Hugo Franck s’engage à prendre en compte les évolutions du métier et les problématiques rencontrées chaque jour en agence. Mais aussi à intensifier les échanges en région, avec ses membres et les organisations salariales : « L’engagement n’est pas l’apanage de Paris, l’important est de mettre en avant les régions, les architectes sur leur territoire… » Enfin, à développer les services et les actions du syndicat. « Je souhaite montrer un nouveau visage du syndicat, plus jeune. Et j’engage vivement les jeunes architectes à s’engager syndicalement, non seulement dans l’Ordre, mais aussi au niveau syndical… les syndicats sont essentiels à notre profession ! Les accords font évoluer la convention collective, notamment le télé-travail, la parité... On fait ainsi avancer le dialogue social. »Par ailleurs, Hugo Franck défendra l’idée que les architectes doivent garder leurs compétences sur chantier et que la réhabilitation du bâti est l’avenir de la construction. Le parcours d’Hugo Franck « Nous militons, dans un esprit prospectif et de dialogue, en défendant les valeurs culturelles, sociales et l’intérêt général de notre métier. Ceci, pour que soient redonnées pleinement aux architectes, dans toute la diversité de leurs pratiques, les missions qu’ils ou elles doivent tenir, a déclaré Hugo Franck. […] Au regard des crises que nous traversons, nos moyens de production doivent s’ajuster et nos compétences, en tant qu’architectes, doivent être déployées. L’architecture fait partie des réponses aux défis écologiques et culturels que nous devons relever collectivement, au service de notre société et de notre démocratie. » Après avoir obtenu un diplôme d’architecte DPLG à l’Ecole nationale supérieure d’architecture de Clermont-Ferrand en 2006, Hugo Franck a créé son agence en 2007. En 2022, il lance “3 degrés Est”, un nouveau cabinet, avec deux associés. L’agence se situe à Royat, près de Clermont-Ferrand.
Il y a 2 ans et 303 jours

Mise en exploitation des premiers 30 km de l’A79+, première autoroute à péage en flux libre en France

Cette autoroute sera achevée à l’automne 2022 et remplacera la RN79. Elle traversera d’Est en Ouest le département de l’Allier permettant ainsi de relier les autoroutes A6 et A71 sur un tronçon payant de 88 km. L’A79, décrété par l’État d’intérêt public, proposera aux usagers le système de péage en flux libre autorisé par la Loi d’orientation des mobilités (LOM) de décembre 2019. Déjà présent en Autriche, Espagne, Portugal et aux États-Unis, la technologie du flux libre s’affranchit des barrières de péage physique contribuant ainsi à moderniser le réseau d’autoroutes français. La suppression des barrières physiques apporte plusieurs avantages, tant au bénéfice des utilisateurs que de la collectivité : une circulation plus fluide avec une diminution des risques de bouchon et un gain de temps de trajet réduction de la consommation de carburant et des émissions de CO2. Lors de chaque arrêt à une barrière de péage, un poids lourd dépense un litre de gasoil ordinaire, soit 3,1 kg de CO2 émis (source : ASFA) suppression du stress à l’abord des péages, donc plus de sécurité et de confortréduction de l’artificialisation des sols. La surface nécessaire à une barrière de péage est estimée à 16 ha. Le Groupe Eiffage, qui finance en propre le projet avec un investissement de 538 millions d’euros, a réuni tous ses savoir-faire pour concevoir, construire et exploiter la première autoroute en flux libre : ALIAE est maître d’ouvrage et concessionnaire de l’A79 pour une durée de 48 ans ; Eiffage Génie Civil est le mandataire du GIE CLEA qui a la charge de la conception et de la construction de l’A79 ;APRR à qui ALIAE a confié l’exploitation et la maintenance de l’A79 sur la durée de la concession. Les chiffres clés 88 km la longueur de l’A79 23,5 mois délais de réalisation 548 ME le montant de l’investissement en propre de Eiffage48 ans durée de la concessionL’A79 en un coup d’œilUn nouveau tronçon autoroutier qui traverse la France d’Est en Ouest et relie l’A6 et l’A71. L’A79 est la section autoroutière entre Sazeret (Allier) et Digoin (Saône-et-Loire) de la Route Centre Europe Atlantique RCEA), un axe transversal stratégique pour relier sur des trajets longue distance la façade atlantique française à l’Allemagne, la Suisse et l’Italie via le centre de la France. Chaque jour, 10.000 à 15.000 véhicules composés à près de 40% de poids lourds empruntent cet itinéraire. Ce trafic de poids lourds très élevé, conjugué à une configuration routière devenue obsolète, en ont fait l’un des axes routiers français parmi les plus accidentogènes : entre 2008 et 2017, 124 personnes ont perdu la vie entre Montmarault et Mâcon. C’est pourquoi l’État a décidé en 2017 de la construction de l’A79 confiée à ALIAE. Une infrastructure du développement local et territorial L’A79 est aussi conçue pour favoriser le développement territorial. Bien que le trafic de transit soit particulièrement important, l’infrastructure doit être un vecteur d’échanges et de lien au niveau local. Ce lien sera favorisé par une mesure particulièrement forte : les automobilistes pourront circuler gratuitement sur la section Cressanges - Toulon (17 km) et sur la section de Dompierre (6 km). Par ailleurs, pour encourager l’utilisation de l’infrastructure payante par les utilisateurs locaux ou pour la desserte locale, ALIAE proposera une politique tarifaire très attractive avec une formule télépéage offrant jusqu’à 60 % de réduction sur les trajets. Cette réduction pourra s’appliquer dès le premier euro réalisé sur les trajets selon un barème dépendant du nombre de passages effectués dans le mois. Les aires de repos et de services joueront également un rôle de proximité important. En plus des aires de Pierrefitte et des haltes de Deux Chaises au niveau de la barrière de péage, deux aires de repos (Dompierre Ouest et Cressanges) et une aire de services (Toulon-sur-Allier) seront accessibles à la fois par l’autoroute et par la voirie locale.4 aires de repos Aires de repos (4 aires sur les 88 km)Parking VL/PLCovoiturageSanitaires et douches pour les chauffeurs poids lourdsBâtiment d’accueil : mange-debout, distributeur de boissons et snack, écran d’information, wi-fi gratuitBornes de paiement flux-libreEspace détente et pique-nique1 aire de service L’aire de services du Bourbonnais (Toulon-sur-Allier)RestaurantParking pour véhicules légers (VL) et poids lourds (PL)Station carburants VL/PLStation de recharge rapide véhicules électriquesPrises spéciales pour camions frigorifiquesSani-stations bus et camping-carArrêt transport en commun pour le prolongement de la ligne de bus H AléoBornes de paiement flux-libreEspace détente et pique-niqueEspace événementielSanitaires et douches gratuits pour les chauffeurs poids lourdsWi-fi gratuit 88 Km intégralement en flux libre, une première en France Dès l’automne 2022, ALIAE mettra en service la première autoroute française en flux libre, sans barrière de péage physique. Voulu par la loi d’Orientation des Mobilité de décembre 2019, le péage en flux libre a déjà été adopté dans plusieurs pays européens (Autriche, Espagne, Portugal) ainsi qu’au Brésil, Chili, aux Etats-Unis et en Inde. Et plusieurs projets sont annoncés en France sur l’A4, A13-A14, A69 et A412. Fini les gares de péages et les files d’attentes. Les portiques et la technologie mis en œuvre ont été conçus et fournis par l’un des leaders mondiaux. Ils sont déjà utilisés dans de nombreux pays : Etats-Unis, Espagne, Autriche, Brésil, Chili, Colombie, Inde. Le dispositif est constitué de caméras infrarouge, d’antennes télépéage et de capteurs auxquels s’ajoute une couche d’intelligence algorithmique qui permet de faire communiquer les équipements entre eux et vers le système de back office permettant la facturation et le recouvrement du péage en flux libre. Protection des données : un dispositif conforme au RGPD Les systèmes logiciels pour le paiement sur site internet et les bornes à pied sont développés en France et Eiffage est en l’éditeur. Les données sont hébergées en France. Le système d’identification du flux libre est conforme RGPD et ne lit les plaques d’immatriculation qu’à des fins de perception et de facturation du péage. Le droit d’accès aux données et de rectification est assurée à tous les clients. Le processus de contrôle de la protection des données personnelles est rigoureux et assuré avec un DPO (Data Protection Office) et un réfèrent RGPD, aussi bien chez Eiffage que chez APRR. Le Flux libre, mode d’emploi Sur les 88 km de l’A79, 6 portiques équipés de caméras infrarouges permettront d’identifier, quelles que soient les conditions météo, le badge télépéage ou la plaque d’immatriculation et le type de véhicule, déclenchant automatiquement la facturation. 4 options de paiement sont disponibles pour effectuer facilement le paiement des trajets Badge télépéage véhicule léger ou poids lourd : Le badge est détecté à chaque passage sous les portiques et la facturation se fait en fin de mois. Il est valable sur toutes les autoroutes de France. Inscription plaque (IBAN ou CB) : Le client enregistre simplement son numéro de plaque d’immatriculation et ses coordonnées bancaires sur le site www.aliae.com La plaque est détectée à chaque trajet et le prélèvement se fait chaque semaine. Paiement en ligne sur ww.aliae.com Après son passage, le client dispose de 72 heures pour payer, en rentrant son numéro de plaque minéralogique Paiement sur borne de paiement ou « borne à pied » 16 bornes de paiement sont mises à disposition sur les aires de repos ou de services de l’autoroute de l’A79+.Les clients peuvent y payer leur trajet lors de leur pause sur le parcours. Première autoroute en France à proposer une modulation tarifaire selon des critères environnementaux Véhicules légers : tarifs dégressifs selon les émissions de CO2 Véhicules légers (classes 1, 2 et 5) Poids lourds : tarifs dégressifs selon la classe de véhicule ET leurs émissions de CO2 Poids lourds (classes 3 et 4)
Il y a 2 ans et 307 jours

Christophe Possémé, élu président du CCCA-BTP

Christophe Possémé est président de l’entreprise Le Bâtiment Associé à Muizon (51), qui compte 155 collaborateurs : maçonnerie, taille de pierre, charpente, ossature bois, restauration du patrimoine, travaux de déplombage et désamiantage, travaux publics.Après un CQP (certificat de qualification professionnelle) de briqueteur et un baccalauréat professionnel Construction bâtiment gros œuvre, Christophe Possémé a obtenu un diplôme de chef d’équipe gros œuvre puis un DUT (diplôme universitaire de technologie) de Conducteur de travaux. Il a également suivi le cycle de direction d’entreprise de l’Aproba et il est titulaire du certificat supérieur Développement durable et Qualité environnementale de l’IFRB. Après plusieurs années passées dans différentes entreprises du bâtiment, Christophe Possémé a rejoint en 2000 l’entreprise Le Bâtiment Associé en qualité de conducteur de travaux. Directeur de travaux de 2005 à 2009, puis directeur général adjoint de 2009 à 2010, il est depuis 2011 le président de l’entreprise.Son engagement professionnelChristophe Possémé a été président du NF DTU 20.1 Ouvrages en maçonnerie de petits éléments - Parois et murs de 2010 à 2013 et président de Constructys Champagne-Ardenne de 2011 à 2013.Il a également été vice-président de 2013 à 2019 de l’UMGO-FFB**, dont il est aujourd’hui le président. Depuis 2020, Christophe Possémé est membre du comité exécutif de la FFB (Fédération française du bâtiment) et président de la commission marché de la FFB. Un engagement de longue date dans la formation professionnelle aux métiers du BTPChristophe Possémé est de longue date investi dans la formation professionnelle aux métiers de son entreprise, notamment des jeunes par la voie de l’apprentissage. À ce titre, Le Bâtiment Associé, qui forme chaque année une vingtaine d’alternants et dont la formation et la montée en compétence permanente des salariés constitue une valeur forte de l’entreprise, a reçu en 2021 le Trophée de l’alternance.Le conseil d’administration du CCCA-BTP du 5 juillet 2022 a également élu :Éric Routier (FNCB-CFDT), vice-président,Ludovick Lefebvre (FNSCBA-CGT), trésorierLaure Vial (CAPEB), secrétairePour Christophe Possémé, président du CCCA-BTP : « Dans un environnement où les mutations sont désormais permanentes et s’accélèrent, les entreprises de nos secteurs du BTP doivent relever de nombreux et forts enjeux, qu’il s’agisse de performance environnementale, de transitions écologique, technologique et numérique, mais aussi de compétences professionnelles. Il est ainsi plus que jamais essentiel de former des jeunes à nos métiers, mais aussi d’assurer la montée en compétences des salariés de notre secteur. C’est le cœur de la mission du CCCA-BTP que j’ai désormais l’honneur de présider.Avec l’ensemble de notre conseil d’administration à gouvernance paritaire, pleinement mobilisé et déterminé pour relever ces défis d’avenir, je m’attacherai à porter, promouvoir et déployer une politique volontariste et innovante de formation professionnelle, en particulier par la voie de l’apprentissage. C’est le rôle du CCCA-BTP et ce que les partenaires sociaux du BTP attendent de nous, en déclinaison de leurs orientations. C’est d’ailleurs tout le sens de l’offre de services que le CCCA-BTP propose à l’ensemble des organismes de formation aux métiers du BTP. En cette année anniversaire pour le CCCA-BTP, qui fête ses 80 ans, notre action doit permettre d’être toujours aux avant-postes des défis d’avenir que nous devons relever. Cela passe par l’anticipation et l’innovation, qui sont des marqueurs singuliers des initiatives que nous prenons et des projets que nous menons. Ma volonté est d’agir de façon transversale avec l’ensemble des acteurs de notre environnement, pour impulser et conduire des projets ambitieux et à fort impact, pour garantir la performance de notre activité et une haute qualité pédagogique dans la formation professionnelle à nos métiers du BTP. »* Le CCCA-BTP, outil des branches du bâtiment et des travaux publics à gouvernance paritaire, est dirigé à la fois par les fédérations professionnelles d’employeurs (CAPEB, FFB, Fédération des SCOP du BTP et FNTP) et les organisations syndicales de salariés (BATI-MAT-TP CFTC, CFE-CGC BTP, FNSCBA-CGT, FGFO Construction et FNCB-CFDT).** UMGO-FFB : Union de la maçonnerie et du gros œuvre - Fédération française du bâtiment.
Il y a 2 ans et 308 jours

L'entretien des vêtements haute visibilité : une affaire de professionnels

L'entretien et la maintenance des vêtements haute visibilité sont bien plus complexes qu'il n'y paraît. Il n'est évidemment pas question de laver ces vêtements à la maison. Seul un prestataire de services textiles professionnel peut garantir le respect total des règles de protection et d'hygiène. MEWA propose des vêtements professionnels incluant l'entretien, la maintenance, le stockage et la logistique grâce à son large système de prestations de services. Le groupe, à travers ses 45 sites européens, est le leader du secteur dans ce domaine.
Il y a 2 ans et 308 jours

Combien de temps faut-il à une jeune entreprise pour devenir rentable selon son secteur d'activité ?

En moyenne, 56% des TPE deviennent rentables plus rapidement que les autres types d'entreprise, entre la première et la deuxième année, alors qu’un quart des entreprises de plus de 500 employés le deviennent entre 4 et 5 ans en moyenne20% des entrepreneurs français sondés considèrent la gestion du temps comme le challenge le plus important5 jeunes entrepreneurs sur 6 utilisent aujourd’hui des outils digitaux pour gérer leur entrepriseDevenir son propre patron représente l’avantage principal de l’entrepreneuriat pour près de 40% des répondants33% des entrepreneurs du secteur de l'éducation ont investi entre 25.000 et 49.999 € au démarrage, soit 2 fois plus que dans le secteur juridiquePrès de la moitié des entreprises deviennent rentables au cours de la première annéeEn France, près de 45% des entreprises deviennent lucratives entre la première et la deuxième année, et ce sont majoritairement les TPE qui deviennent rentables le plus rapidement (56%), qu’un quart des entreprises de plus de 500 employés le devenant entre 4 et 5 ans en moyenne.Selon une analyse par secteur, une majorité des entreprises les plus performantes s’inscrivent dans les domaines de l’architecture, de l’ingénierie et du bâtiment ; 69% d’entre elles deviennent rentables entre la première et la deuxième année. Par ailleurs, le secteur de la santé se distingue parmi les plus performants du marché dès la première année. Cela s'explique notamment par le fait que de nombreuses sociétés se sont établies durant la pandémie afin de venir en aide aux établissements de santé dans la gestion de la crise sanitaire. A l’inverse, la marge d'amélioration est plus conséquente pour 60% des entreprises du secteur du juridique ou 44% dans le secteur de la finance, voyant leur société générer du profit uniquement à partir de la 3ème année d'activité en moyenne.De la création à la pérennité de l'entreprise, différents challenges et opportunités s’imposent aux entrepreneurs, l’étude s’est attachée à comprendre les défis financiers liés à la création d'une entreprise à succès. En matière d’investissement de départ, alors que près d’un tiers des entrepreneurs du secteur de l’art et de la culture n’investissent pas plus de 9.999 €, 40% des entrepreneurs dans le secteur du juridique injectent entre 10.000 € et 24.000 € au démarrage. C’est toutefois dans le secteur de l’éducation que les investissements sont les plus conséquents puisque 33% des chefs d’entreprise déclarent avoir injecté entre 25.000 € et 49.999 €.La gestion du temps représente le challenge le plus important pour les entrepreneurs françaisMonter une entreprise pérenne est autant une affaire de passion, d'organisation que de gestion avisée de son temps. A ce titre, 20% des entrepreneurs français sondés considèrent le facteur de la gestion du temps comme le challenge le plus important auquel ils ont dû faire face depuis la création de leur entreprise. En effet, la planification du temps de travail et la priorisation des tâches peuvent avoir un impact considérable sur la productivité et par conséquent sur la rentabilité de l’entreprise, que cela soit positif comme négatif.Mais ce n’est pas le seul ; le graphique ci-dessous révèle les 5 plus fréquents :Qu’il s’agisse de réaliser des gains de temps ou de productivité, s’appuyer sur des outils et des services numériques dernière génération permet de se concentrer sur l’essentiel, gérer et développer son activité. Les avantages de l’entrepreneuriatAfin de comprendre les avantages de l’entrepreneuriat, les entrepreneurs ont été interrogés sur les critères qui constituent, selon eux, des leviers clés de différenciation et de satisfaction :Être son propre patron : 40% des répondants considèrent cet aspect comme le plus important.Flexibilité des heures de travail : 52% des sondés de plus de 55 ans jugent la flexibilité des horaires comme l’avantage le plus agréable.Voir son entreprise grandir apparaît comme une priorité pour 38% des entrepreneurs dans le business depuis 11 à 20 ans.Potentielle autonomie financière : 23% des chefs d’entreprise interrogés voient l’autonomie financière comme un élément essentiel de l’entrepreneuriat.Flexibilité du lieu de travail : 35% des entrepreneurs de plus de 55 ans jugent cet aspect important, contre seulement 15% chez les moins de 24 ans.Vous pourrez retrouver la recherche complète sur le site de SumUp à cette adresse.
Il y a 2 ans et 308 jours

La Banque de France confirme sa prévision de croissance à 0,25% au deuxième trimestre

"Dans un environnement difficile marqué par la guerre en Ukraine et les fortes tensions sur les marchés des matières premières, l'activité continue de résister même si les chefs d'entreprise font état de perspectives en demi-teinte", indique la banque centrale française dans son enquête mensuelle de conjoncture.Après le recul de 0,2% du PIB au premier trimestre, l'activité économique est repartie à la hausse en avril, a un peu accéléré en mai, et s'est stabilisée en juin, détaille la Banque de France, qui ajoute que cette stabilisation se confirmerait en juillet, selon les premiers retours des 8.500 entreprises interrogées dans son enquête.Ce sont surtout les services qui soutiennent l'activité, en particulier certains services aux entreprises (information publicité, études de marché), même si d'autres comme les services de transport et d'entreposage sont en repli, toujours pénalisés par les difficultés de recrutement et les hausses de prix.Mais globalement dans les services, "les incertitudes repartent à la hausse", souligne encore la Banque de France, du fait du regain de l'épidémie de Covid-19 en ce début d'été, des difficultés de recrutement et des inquiétudes sur l'évolution de la demande dans le contexte d'inflation.Sur les recrutements, les problèmes que rencontrent les entreprises pour embaucher se sont encore accrus de 3 points en juin et concernent désormais 58% des entreprises "le plus haut niveau atteint" depuis le printemps 2021, date à laquelle la Banque de France a commencé à interroger les entreprises sur ce sujet. Il y a un an 37% des entreprises affirmaient avoir des difficultés de recrutement.Les secteurs les plus concernés sont les activités de programmation, l'intérim, les services techniques, l'aéronautique et le second oeuvre dans le bâtiment.A l'inverse, sur le front des prix, moins de chefs d'entreprises indiquent avoir augmenté leurs prix de vente en juin, et ceci pour le deuxième mois consécutif, signe d'un "ralentissement" de la hausse des prix des matières premières et de moindres difficultés d'approvisionnement.Cette tendance "masque des différences entre secteurs", nuance toutefois la Banque de France, avec une situation qui s'aggrave encore dans la chimie, le caoutchouc-plastique ou encore l'industrie du bois et papier. La Banque de France s'attend à une croissance de 2,3% sur l'ensemble de l'année 2022, comme l'Insee, tandis que le gouvernement table sur 2,5%.
Il y a 2 ans et 308 jours

Construire plus performant avec les systèmes de chauffage et de rafraîchissement Wavin

Convaincus de la nécessité d’améliorer l’efficacité des bâtiments pour réduire la consommation d’énergie, les services Recherche et Développement de Wavin ont développé des systèmes complets de planchers chauffants rafraîchissants basse température et de plafonds climatiques très peu énergivores adaptés à l’habitat résidentiel, collectif et au tertiaire. Pré-études avant-projet, études techniques, conception, assistance chantier... Wavin accompagne ses clients à chaque étape du projet avec une offre sur-mesure. Elle inclut l’ensemble des composants et accessoires nécessaires à la pose des planchers chauffants : dalles isolantes, tubes caloporteurs, système de régulation...Durables, efficaces et invisibles, les solutions de chauffage et de rafraîchissement par rayonnement Wavin diffusent une température homogène et constituent un moyen simple d’optimiser la performance énergétique des bâtiments. Elles sont pilotées, depuis un écran tactile ou une application mobile, par le système de régulation Sentio de Wavin. Ce système comprend des unités de contrôle central et d’extension, des thermostats et des sondes, qui rendent ces solutions de chauffage particulièrement simples d’utilisation et d’installation. Les solutions de chauffage et rafraîchissement Wavin offrent ainsi aux occupants une qualité de confort inégalée, tout en assurant des performances énergétiques éprouvées.Plancher chauffant rafraîchissant basse température WavinPerformant et invisible, le plancher chauffant rafraîchissant basse température Wavin garantit une répartition uniforme de la chaleur dans toutes les pièces et permet de profiter d’une température idéale du sol. Cette solution s’intègre facilement à l’habitat résidentiel, collectif et aux bâtiments tertiaires grâce à sa discrétion et sa conception sur-mesure. Ce dispositif de chauffage et de rafraîchissement par rayonnement est particulièrement adapté pour apporter un confort thermique homogène et agréable à ses occupants et ce même dans les grands espaces. L’association d’une pompe à chaleur, économe en énergie, avec une solution PCRBT* équipé d’un système de régulation, est idéale pour améliorer la performance globale du système de chauffage et rafraîchissement. Cette combinaison offre de très bons rendements et répond aux très hautes exigences en termes de performance énergétique des bâtiments.Le système complet de planchers chauffants/rafraîchissants Wavin bénéficie à ce titre de la reconnaissance CERTHITERM, la première marque de qualité en France à garantir le niveau de performances thermiques globales des systèmes complets de planchers, murs ou plafonds chauffants/rafraichissants hydrauliques basse température.*plancher chauffant rafraîchissant basse températureDalles isolantes à plots Phonixx Grande performance acoustiqueÉléments de base de tout projet de plancher chauffant basse température, les dalles isolantes ont un rôle primordial pour assurer la bonne isolation du sol, limiter les pertes de chaleur et assurer la durabilité du système de chauffage. Avec des résistances thermiques élevées allant de 0,75 à 5,55 m2K/W, les dalles isolantes Wavin certifiées QB ou ACERMI (Association pour la CERtification des Matériaux Isolants) comptent parmi les plus performantes du marché.Parmi elles, les nouvelles dalles isolantes Phonixx Wavin qui réduisent significativement la transmission des bruits de chocs. En effet, pour un excellent confort acoustique, elles offrent une réduction des nuisances sonores et des bruits d’impacts entre étages allant jusqu’à 21 dB, une valeur record ! Elles permettent ainsi d’obtenir une meilleure efficacité sans avoir recours à une sous-couche acoustique complémentaire.Légères et faciles à manipuler, ces dalles s’installent rapidement et sans difficulté pour gagner un temps considérable sur les chantiers. De plus, leur qualité et leur rigidité permettent la circulation des personnes lors de leur installation.Enfin, la composition mono-matière des dalles isolantes à plots Phonixx facilite leur recyclage tant lors de leur mise en oeuvre (chutes de chantier) qu’en fin de vie.Une barrière anti-oxygène protectrice au coeur de la structureFiable et durable, la nouvelle génération de tubes en Polybutylène Wavin Flexius BAO intègre désormais une Barrière Anti-Oxygène. Elle permet d’éviter le développement de boues dans les circuits fermés de plancher chauffant garantissant ainsi un bon fonctionnement sur le long terme. Ordinairement placée en périphérie extérieure des tubes, la BAO est ici intégrée au coeur de la structure du tube, la protégeant de tout endommagement lié aux aléas de chantier et garantissant sa performance. Ainsi, il n’y a aucun risque de dégradation de la BAO lors de la mise en oeuvre, lui garantissant une durée de vie optimale.Disponibles en plusieurs longueurs, les couronnes de nouveaux tubes Wavin Flexius BAO répondent aux besoins de toutes les tailles de chantiers de plancher chauffant et rafraîchissant. Leur grande flexibilité a inspiré le nom de cette nouvelle génération de tubes Wavin Flexius BAO qui facilite la réalisation des boucles au sol, quelles que soient les conditions de pose : froid, espaces restreints, pas de pose serrée etc.Très résistants à l’épreuve du temps, ces tubes caloporteurs sont naturellement inertes à la corrosion, aux impacts et à l’écrasement. Ils bénéficient d’un Avis Technique et de la certification Qualité pour le Bâtiment (QB) du CSTB. Par ailleurs, dans une logique de développement durable, Wavin travaille sur un programme pour réutiliser les chutes de mise en oeuvre des tubes Flexius BAO afin de les réintégrer dans la production d’autres produits de son catalogue.Une installation intelligente, connectée et sur-mesureUne bonne maîtrise des températures est indispensable pour optimiser la performance énergétique du bâtiment. En neuf comme en rénovation, les solutions de plancher chauffant et rafraîchissant Wavin distribuent la chaleur de manière uniforme et réduisent la consommation d’énergie. Elles sont pilotées, depuis un écran tactile intuitif ou une application mobile, par le système de régulation Sentio de Wavin qui comprend des unités de contrôle central et d’extension, des thermostats et des sondes. Véritable « cerveau » de l’installation, cette solution très simple d’installation puis d’utilisation au quotidien permet un pilotage précis du confort climatique pièce par pièce, tout en limitant la consommation énergétique : jusqu’à 15% d’économies d’énergie de chauffage*.Avec sa programmation très précise, les températures sont ajustées en fonction des heures d’utilisation des pièces et du confort souhaité, des apports extérieurs… Sentio bénéficie par ailleurs d’une certification Eu.Bac qui valide sa capacité à maintenir précisément une température cible malgré l’inertie inhérente à un système de plancher chauffant : valeur de CA = 0,5 K.Enfin, Sentio de Wavin peut également optimiser le rendement énergétique de l’installation en adaptant la température du fluide caloporteur en fonction des conditions climatiques extérieures, grâce à une unité de mélange et une sonde extérieure proposées en option. Il offre ainsi aux occupants une qualité de confort inégalée et des économies d’énergie significatives puisque le générateur ne produit que ce qui est nécessaire en maximisant l’utilisation des calories.*Source Ademe 2022
Il y a 2 ans et 308 jours

Les établissements de santé à l’heure du défi de la transition énergétique et digitale

Besoin primaire, la santé repose sur un système complexe alliant savoir-faire, innovation et transmission avec une tolérance zéro face aux aléas et accidents. La pandémie de Covid rappelle l’importance de cet enjeu qui nécessite la conjugaison de l’humain et de la technologie. Leader mondial des services multi-techniques, EQUANS est le partenaire privilégié des établissements de […]
Il y a 2 ans et 309 jours

Une nouvelle usine de semi-conducteurs sera construite près de Grenoble, un projet à 5,7 milliards d'euros

"C'est le plus grand investissement industriel des dernières décennies hors nucléaire et un grand pas pour notre souveraineté industrielle : c'est 1.000 emplois à la clé", a commenté le ministre de l'Economie, Bruno Le Maire, sur Twitter.Les projets d'investissements industriels, qui seront présentés lundi après-midi à Versailles (6,7 milliards d'euros d'investissements, "plus de 4.000 emplois créés"), tombent à point nommé pour le gouvernement, pressé par l'inflation qui pèse sur le pouvoir d'achat. La future usine de semi-conducteurs bénéficiera d'un "soutien financier important de l'Etat français", ont précisé le groupe franco-italien STMicroelectronics et l'américain GlobalFoundries.Elle s'inscrit dans le cadre du "Chips Act", le programme de l'Union européenne pour retrouver une place aux côtés de l'Asie et de l'Amérique dans la production mondiale de semi-conducteurs. Marquée par la pénurie de ces précieux composants, à la suite de la crise du Covid-19, l'Europe veut remonter sa part à 20% de la production mondiale, contre moins de 10% aujourd'hui.Les semi-conducteurs produits à Crolles, près de Grenoble, serviront notamment des marchés finaux "tels que l'automobile, l'industriel, l'internet des objets et les infrastructures de communication".Les premières productions devraient être lancées à partir de la fin 2023, avec une montée en charge progressive jusqu'à 2025/2026, selon l'Elysée. La production sera pour environ 58% destinée à GlobalFoundries, le reste étant pour STMicroelectronics, ont indiqué les deux entreprises.M. Macron se rendra mardi sur place pour présenter ce projet d'usine, qui sera à terme "le plus important site de production de puces français et l'un des plus importants d'Europe".Ces annonces surviennent dans un climat tendu, après des révélations dimanche soir par le journal Le Monde des liens qui ont uni Emmanuel Macron, alors ministre de l'Economie (2014-2016), et la société Uber. S'appuyant sur différents témoignages et documents, ces "Uber Files" concluent à l'existence d'un "deal" secret, visant à aider la plateforme à consolider ses positions en France, ce qu'ont vivement dénoncé des élus de gauche.AttractivitéPour l'Elysée, la participation record de patrons étrangers à "Choose France" - ils étaient 120 à 130 lors des précédentes éditions - montre un "très fort intérêt des patrons étrangers, suite à la réélection du président".Malgré la perte de la majorité absolue par le gouvernement, "il n'y a pas d'inquiétude des grands patrons" sur la poursuite d'un programme favorable aux investissements industriels en France, assure l'entourage du chef de l'Etat.Les dirigeants de Coca-Cola, Disney, Siemens, Merck Allemagne, des banques américaines Citi, JP Morgan, Morgan Stanley, du conglomérat chinois Fosun ou du groupe australien de services financiers Macquarie se retrouveront sous les ors de Versailles.M. Macron rencontrera aussi les "grands fonds souverains", comme ceux des Emirats, d'Arabie saoudite, du Koweït, du Qatar et de Corée, ainsi que des fonds canadiens.Parmi les autres projets annoncés dans le cadre de "Choose France", le spécialiste des colis express FedEx va créer 1.000 emplois permanents à Roissy (Val-d'Oise). L'espagnol Amadeus (gestion de réservations touristiques) 800 emplois, notamment à Sophia-Antipolis (Alpes-Maritimes), le cabinet de conseil Accenture 500 en Bretagne et le vietnamien Vinfast (automobile) 350 à 400 dans des showrooms et ateliers, selon l'Elysée.Le géant britannique du médicament GlaxoSmithKline (GSK) va investir dans des essais cliniques, l'américain Collins Aerospace (avionique, systèmes d'information - groupe Raytheon) dans la recherche-développement et l'allemand Vorwerk se doter d'une deuxième usine Thermomix, en Eure-et-Loir.Le groupe néerlandais de travail temporaire Randstad va recruter par ailleurs 7.000 collaborateurs en CDI intérimaire d'ici la fin 2022. La France s'enorgueillit d'être le pays le plus attractif en Europe pour les investisseurs étrangers par le nombre de projets - 1.222 en 2021 -, leur taille étant en revanche généralement plus petite, selon le baromètre du cabinet EY.Près de 80 projets d'investissements, représentant 12 milliards d'euros et 21.000 emplois, ont été annoncés dans le cadre des sommets "Choose France" depuis 2018 : 25 ont été réalisés, 50 sont en cours et cinq ont été abandonnés ou reportés.
Il y a 2 ans et 310 jours

Béton[s] le Magazine 101

Daté juillet-août 2022 A LIRE DANS CETTE EDITION : EN COUVERTURE. Aménagement public et urbain TECHNIQUES & ARCHITECTURE. Les éoliennes de Fécamp ZOOM SUR. Les adjuvants pour bétons FONDAMENTAUX. Juridique. Céder un fonds de commerce – Partie II BETON D’ANTAN. L’abri conique de Villenoy. Du béton armé contre les bombes Cet article est réservé aux abonnés des revues Béton[s] le Magazine et Bâti & Isolation. Déjà abonné Mon email Mon mot de passe Oublié ? En plus de votre magazine, profitez d’un accès illimité à l’ensemble des contenus et services du site www.acpresse.fr : Lecture de l’intégralité des dossiers thématiques, reportages chantiers, fondamentaux, histoire de la construction… Consultation des indicateurs économiques (chiffres et analyses) + vos newsletters pour suivre l’info en continu Je m'abonne
Il y a 2 ans et 310 jours

Interclima mondial du bâtiment AIRWELL lauréat de bronze des awards de l’innovation pour la solution ma maison HYBRIDE

 Lundi 4 juillet, pour la solution Ma Maison Hybride, Airwell acteur majeur créateur français de solutions climatiques et thermiques est Lauréat de Bronze dans la catégorie Construction Tech® – Start-Up et Nouvelles Technologies. Ma Maison Hybride conçue par Airwell est une solution globale de services qui permet à l’utilisateur de reprendre en main sa consommation […]
Il y a 2 ans et 310 jours

Ouvrage maritime : Les éoliennes de Fécamp

Article paru dans le n° 101 de Béton[s] le Magazine Une véritable forêt minérale est née au cœur de la zone portuaire du Havre. [©ACPresse] C’est une véritable forêt minérale qui remplit l’horizon havrais, du moins celui de sa zone portuaire. Une fois passée la chaussée de l’Amiral Bonnivet, elle apparaît, impressionnante. Là, quai de Bougainville, s’achève la construction des 71 fondations gravitaires du futur parc éolien de Fécamp. Des éléments majestueux en forme de cône inversé surmonté d’un fût circulaire, d’une hauteur totale oscillant entre 48 et 54 m, pour un poids unitaire maximum de 4 818 t. Une contrainte stricte, car, au-delà, les opérations de levage deviennent trop complexes. Car, oui, chacune de ces fondations devra être levée, posée sur des chariots multi-roues et transférée vers un cargo-barge. A vrai dire, trois fondations gravitaires voyageront ensemble depuis Le Havre jusqu’au large de Fécamp. C’est entre 13 et 22 km des côtes qu’est localisé le parc. Il se développe sur une aire de l’ordre de 60 km2 (total de la superficie concédée par l’Etat pour une durée de 40 ans). 30 000 m3 de ballast Au large, on ne touche pas au fond marin : il convient à l’usage attendu. La seule opération préparatoire voit la mise en place d’une couche d’assise d’une épaisseur minimale de 70 cm, avec des granulats d’une dimension allant de 25 à 100 mm. Chaque trio de fondations arrivé à destination, une grue maritime très haute capacité Saipem 7000, en position dynamique, les reprend une à une. Puis, les pose sur le fond marin. « Le transfert par flottaison avait été envisagé, mais au final n’a pas été retenu pour des questions de planning », explique directeur technique du projet pour Bouygues Travaux Publics. Cet article est réservé aux abonnés des revues Béton[s] le Magazine et Bâti & Isolation. Déjà abonné Mon email Mon mot de passe Oublié ? En plus de votre magazine, profitez d’un accès illimité à l’ensemble des contenus et services du site www.acpresse.fr : Lecture de l’intégralité des dossiers thématiques, reportages chantiers, fondamentaux, histoire de la construction… Consultation des indicateurs économiques (chiffres et analyses) + vos newsletters pour suivre l’info en continu Je m'abonne
Il y a 2 ans et 311 jours

Location d’une benne à gravats : tout savoir

L’évacuation des gravats sur un chantier est indispensable pour éviter les encombrements inutiles. D’ailleurs, vous devrez vous occuper de ce sujet dès la fin des travaux. Il suffit de contacter une entreprise spécialisée pour louer une benne adaptée à cela. Vous pouvez en tout cas prendre note des points suivants avant d’envoyer une demande de location. Les premiers points à retenir sur la location d’une benne à gravats Il faut vous préparer à l’évacuation des gravats avant même de commencer des travaux de démolition. Vous pouvez pour cela contacter un professionnel qui saura vous proposer la meilleure option. Sinon, pensez à vérifier les services que la société qui vous intéresse peut vous offrir. Elle peut parfaitement se limiter à la livraison du produit sur le chantier. D’autres prestataires peuvent aller jusqu’à traiter vos déchets. Commencez par préparer une place sur votre chantier avant de louer le produit Il est important de trouver un emplacement pour la benne avant de la louer. Vous devrez aussi vous assurer que le livreur puisse manœuvrer facilement son camion. Il faut alors faire attention avec l’accès au chantier. L’emplacement peut alors avoir 2 ou 3 places de parking selon votre terrain. La première option peut suffire pour un modèle de 8 min 3 s au maximum. Il faudra aussi déposer une demande d’autorisation N’oubliez pas de demander une autorisation auprès de la mairie avant de faire appel à une entreprise de location benne. Cette étape peut s’avérer indispensable si vous comptez déposer le produit dans un espace public. Cela est aussi valable si l’équipement dépasse sur la voirie. Il faut envoyer votre dossier 8 jours avant le dépôt de la corbeille au minimum. Vous pouvez alors vous tourner vers le service de la voirie de votre commune ou la direction de l’urbanisme. Vous pouvez ensuite choisir la benne qu’il vous faut Vous êtes libre de choisir la benne à gravats que vous voulez louer une fois que vous obtenez l’autorisation de la commune. Il faut pour cela prendre en compte vos besoins ainsi que le volume de déchets que vous allez évacuer. Vous avez normalement le choix entre un modèle conçu pour les éléments de chantier ainsi que ceux qui sont considérés comme dangereux. Prenez aussi le temps de choisir la taille du produit qu’il vous faut.  En tout cas, vous pouvez toujours solliciter cette entreprise de location benne dans l’Oise sur ce site : https://www.ferrailleur-benne-60.fr/ si vous avez du mal à vous en sortir. Combien coûte ce type de location ? Le prix pour la location d’une benne peut varier entre 200 et 800 € en moyenne. Ce montant peut comprendre la livraison avec le dépôt du produit au bon endroit. À cela s’ajoute le loyer pour une journée ou plus ainsi que l’enlèvement des déchets. Vous pouvez parfaitement avoir un modèle de 10 à 40 min 3 s avec un tel budget. Il est plus judicieux de demander un devis pour obtenir la somme exacte que vous allez préparer. Votre budget peut dépendre de certains facteurs La somme à préparer pour la location d’une benne à gravats peut avant tout dépendre du volume total du produit. Il faudra aussi déterminer le type de déchets à évacuer ainsi que la durée de la prestation. À cela s’ajoute l’accès à votre chantier ainsi que la distance que le livreur doit faire. N’oubliez pas de prendre en compte les autres services qui pourront être proposés par l’entreprise de votre choix.
Il y a 2 ans et 312 jours

Pathologies : L’alcali-réaction

Article paru dans le n° 101 de Béton[s] le Magazine L’ancien pont de Térénez, dans le Finistère, a été atteint par l’alcali-réaction. Il a été démoli et remplacé par un ouvrage haubané. [©ACPresse] I – Qu’est-ce que l’alcali-réaction ? L’alcali-réaction correspond à une réaction de gonflement interne (RGI) se produisant en présence d’humidité. Ceci, entre des phases minérales mal cristallisées contenues dans certains types de granulats (Fig. 1) et les alcalins présents dans la solution des pores du béton, fortement basique. Il s’agit d’une réaction dite “endogène” car les composés qu’elle implique sont présents dans la composition initiale du béton et ne nécessite pas d’apports d’agents agressifs extérieurs. L’alcali-réaction ne peut se développer que si trois conditions simultanées sont réunies : • présence de silice réactive ou de silicates réactifs dans le mélange granulaire ; • présence d’alcalins solubles ou actifs (Na2O + K2O), exprimés sous forme de Na2Oéq, à une teneur supérieure à un seuil critique ; • un environnement humide : humidité relative au-dessus d’une valeur seuil, de l’ordre de 80/85 % (facteur externe). Cet article est réservé aux abonnés des revues Béton[s] le Magazine et Bâti & Isolation. Déjà abonné Mon email Mon mot de passe Oublié ? En plus de votre magazine, profitez d’un accès illimité à l’ensemble des contenus et services du site www.acpresse.fr : Lecture de l’intégralité des dossiers thématiques, reportages chantiers, fondamentaux, histoire de la construction… Consultation des indicateurs économiques (chiffres et analyses) + vos newsletters pour suivre l’info en continu Je m'abonne
Il y a 2 ans et 312 jours

Alkern : Coquillages et pavés

Article paru dans le n° 101 de Béton[s] le Magazine Alkern propose des pavés drainants en coquilles Saint-Jacques, issus d’un projet développé et breveté par l’Esitc de Caen. [©Alkern] A l’horizon 2024, Alkern s’est fixé comme objectif de développer des solutions plus responsables pour l’environnement. En prévoyant des investissements nécessaires. Mais l’industriel dispose déjà dans ses gammes des produits préfabriqués au service de la ville durable. Si l’activité du groupe se tourne majoritairement vers le bâtiment (50 % de l’activité), l’aménagement extérieur occupe tout de même 25 % de son chiffre d’affaires (les 25 % qui restent concernent les travaux publics). « Avec nos 55 usines réparties en France, dont deux en Belgique, nous sommes au plus proche des chantiers, explique Mathilde Bru, cheffe de produit aménagement extérieur et mobiliers urbains d’Alkern. Les solutions d’aménagement voyagent très peu, environ 80 km, le but étant de produire en local. Nous avons d’ailleurs des catalogues régionaux. Ils ont un tronc commun et des spécificités de coloris ou de formes en fonction du territoire. » Bordures, murets de séparation, dalles classiques ou à engazonner, jardinières, fontaines, bancs ou encore tables de ping-pong… Alkern s’est développé dans différents domaines. « Les solutions drainantes prennent de plus en plus de place », précise Mathilde Bru. Et Eric Colmard, prescripteur chez Alkern, de confirmer : « Depuis quelques années, il y a une vraie émergence des produits drainants, même s’ils existent depuis longtemps. Toutes les collectivités et autres acteurs de l’aménagement s’arment aussi contre des îlots de chaleur ». Cet article est réservé aux abonnés des revues Béton[s] le Magazine et Bâti & Isolation. Déjà abonné Mon email Mon mot de passe Oublié ? En plus de votre magazine, profitez d’un accès illimité à l’ensemble des contenus et services du site www.acpresse.fr : Lecture de l’intégralité des dossiers thématiques, reportages chantiers, fondamentaux, histoire de la construction… Consultation des indicateurs économiques (chiffres et analyses) + vos newsletters pour suivre l’info en continu Je m'abonne
Il y a 2 ans et 312 jours

Nova Crete : Occuper la place vacante

Article paru dans le n° 101 de Béton[s] le Magazine Matthieu Boufflet, co-fondateur de Nova Crete [©ACPresse] Avec les concentrations opérées ces dernières années dans le petit monde des sols décoratifs en béton, il s’est créé comme un vide que Nova Crete a choisi d’occuper. L’entreprise est née en novembre 2019, mais avec un véritable démarrage d’activité en mai 2020, en pleine période Covid. Pas top, mais ainsi vont les choses, parfois… « Nous nous positionnons comme un acteur indépendant et réactif des sols esthétiques », résume Matthieu Boufflet, co-fondateur de Nova Crete. L’industriel assure la fabrication de produits minéraux destinés à ce secteur d’activité. Mais aussi la distribution des outils dédiés. Les solutions proposées concernent tant les sols intérieurs – avec des bétons millimétriques – que les sols extérieurs. Là, l’offre est plus large, allant des bétons imprimés aux bétons lissés, désactivés ou balayés. « Tous nos produits en poudre sont fabriqués dans notre usine de Chanteloup-les-Vignes, dans les Yvelines. » Cet article est réservé aux abonnés des revues Béton[s] le Magazine et Bâti & Isolation. Déjà abonné Mon email Mon mot de passe Oublié ? En plus de votre magazine, profitez d’un accès illimité à l’ensemble des contenus et services du site www.acpresse.fr : Lecture de l’intégralité des dossiers thématiques, reportages chantiers, fondamentaux, histoire de la construction… Consultation des indicateurs économiques (chiffres et analyses) + vos newsletters pour suivre l’info en continu Je m'abonne
Il y a 2 ans et 312 jours

Les malaxeurs pour centrales à béton

Article paru dans le n° 101 de Béton[s] le Magazine En France, la production du béton en centrales passe par l’utilisation d’un malaxeur. Les acteurs proposant cet équipement incontournable sont nombreux sur notre territoire. De quoi permettre à chacun de trouver la perle adaptée à son besoin précis. Arcen : Des classiques toujours au goût du jour Arcen privilégie sa gamme des turbo-malaxeurs MEV sur le marché français. [©Arcen] Au niveau international, Arcen s’appuie sur les ventes des MDE, sa gamme de malaxeurs à doubles arbres horizontaux. Mais sur le marché français, ce sont les turbo-malaxeurs MEV qui restent la valeur sûre. « Ce sont des équipements que nous avons modernisés récemment, explique Emanuel Pinheiro, directeur général d’Arcen France. En effet, plus les bétons spéciaux se développent, avec leur forte adjuvantation, plus l’usure des équipements de production s’intensifie. Nous avons donc renforcé l’étanchéité des portes, la tenue des cuves ou encore le rotor, dont la mécanique a été revue. » En résumé, la gamme MEV, qui couvre des capacités allant de 500 l à 4 m3, a vu sa durabilité améliorée, ainsi que sa maintenance réduite et facilitée. « Certaines années, c’est notre produit le plus vendu », complète Emmanuel Pinheiro. Entre temps, Arcen a procédé à la “mise à jour” de sa gamme de malaxeurs planétaires MST. D’une capacité de production allant de 750 l à 4,5 m3, elle est à l’origine utilisée par les industriels du béton. Mais elle est de plus en plus demandé en BPE. BHS-Sonthofen rachète Eurostar Concrete Technology BHS-Sonthofen est historiquement un constructeur de malaxeurs à doubles arbres horizontaux. [©BHS-Sontofen] L’industriel BHS-Sonthofen vient d’acquérir l’Italien de Eurostar Concrete Technology1. Ce rachat constitue une opportunité d’élargir son portefeuille d’équipements, en y ajoutant des malaxeurs planétaires. Le rachat Eurostar correspond à la volonté de BHS-Sonthofen de consolider, à long terme, sa position dans le domaine des malaxeurs de haute qualité. « La combinaison de malaxeurs discontinus à doubles arbres horizontaux et de malaxeurs planétaires va nous permettre de réagir d’une manière plus spécifique aux exigences de nos clients », souligne Dennis Kemmann, Pdg de BHS-Sonthofen. Grâce à cette fusion, les clients d’Eurostar bénéficient de sites supplémentaires de SAV, à savoir ceux de BHS-Sonthofen. Mais aussi d’une gestion globale et complète des pièces de rechange. A l’issue de cette fusion, la marque Eurostar Concrete Technology est conservée et Mario Zaccaron, confirmé à son poste de président. Cet article est réservé aux abonnés des revues Béton[s] le Magazine et Bâti & Isolation. Déjà abonné Mon email Mon mot de passe Oublié ? En plus de votre magazine, profitez d’un accès illimité à l’ensemble des contenus et services du site www.acpresse.fr : Lecture de l’intégralité des dossiers thématiques, reportages chantiers, fondamentaux, histoire de la construction… Consultation des indicateurs économiques (chiffres et analyses) + vos newsletters pour suivre l’info en continu Je m'abonne
Il y a 2 ans et 312 jours

La Saline royale : Le Cercle immense de la biodiversité

Article paru dans le n° 101 de Béton[s] le Magazine La Saline royale forme désormais un Cercle immense. [©Léo Guyot] La Franche-Comté produit du sel depuis le Haut Moyen-Age. Dans la région, la ville de Salins-les-Bains a su tirer profit de cet or blanc durant près de 1 200 ans. Au XVIIIe siècle, Louis XV, alors roi de France, demande l’édification d’une nouvelle saline. Et ce, à quelques kilomètres de là, à Arc-et-Senans. Le projet concerne ainsi la création d’un saumoduc, reliant les deux villes jurassiennes, et une toute nouvelle manufacture. Un chantier qui durera de 1775 à 1779. Louis XV confie l’opération à Claude-Nicolas Ledoux. Très ancré dans la philosophie des Lumières, l’architecte rêve d’une ville idéale. Ici, urbanisme et architecture seraient des remèdes aux maux de la société. Lire aussi : Naissance de la commission Patrimoine et Histoire du génie civil Même s’il n’a pas pu réaliser sa cité utopique, Claude-Nicolas Ledoux met toute sa vision moderne dans la Saline royale d’Arc-et-Senans. Il imagine un demi-cercle parfait où les bâtiments de la manufacture et les quartiers de la direction prennent une place centrale. Ici, pratiquement tous les travailleurs habitent sur place. Espaces de vie, potagers, ateliers pour les différents corps de métier… Les constructions et les circulations sont faites de telle manière que les ouvriers puissent vivre en harmonie sur le principe de la collectivité. Cet article est réservé aux abonnés des revues Béton[s] le Magazine et Bâti & Isolation. Déjà abonné Mon email Mon mot de passe Oublié ? En plus de votre magazine, profitez d’un accès illimité à l’ensemble des contenus et services du site www.acpresse.fr : Lecture de l’intégralité des dossiers thématiques, reportages chantiers, fondamentaux, histoire de la construction… Consultation des indicateurs économiques (chiffres et analyses) + vos newsletters pour suivre l’info en continu Je m'abonne
Il y a 2 ans et 312 jours

Ideal Work : « Nous recherchons des partenaires en France »

Article paru dans le n° 101 de Béton[s] le Magazine Christophe Vaissier, directeur du développement business d’Ideal Work France. [©ACPresse] Jusqu’à son rachat par Bostik (groupe Arkema) en septembre 2020, c’est Eqiom qui assurait la distribution de la marque italienne Ideal Work sur le territoire national. Aujourd’hui, les choses sont différentes. Si Eqiom garde l’exclusivité sur l’Ile-de-France et le Grand Est – ses classiques zones de chalandise -, Ideal Work est en train de se déployer sur le reste du pays. « Nous sommes en train de développer nos équipes partout en France et sommes à la recherche de distributeurs locaux », explique Christophe Vaissier, directeur du développement business d’Ideal Work France. L’idée est de trouver 5 à 6 distributeurs régionaux pour assurer une proximité territoriale. En parallèle, Ideal Work continue à suivre en direct ses applicateurs historiques. Ceci, en attendant de trouver les distributeurs exclusifs ad hoc en mesure de le faire. Cet article est réservé aux abonnés des revues Béton[s] le Magazine et Bâti & Isolation. Déjà abonné Mon email Mon mot de passe Oublié ? En plus de votre magazine, profitez d’un accès illimité à l’ensemble des contenus et services du site www.acpresse.fr : Lecture de l’intégralité des dossiers thématiques, reportages chantiers, fondamentaux, histoire de la construction… Consultation des indicateurs économiques (chiffres et analyses) + vos newsletters pour suivre l’info en continu Je m'abonne
Il y a 2 ans et 312 jours

Corniche Kennedy : Entre terre et mer

Article paru dans le n° 101 de Béton[s] le Magazine La Corniche Kennedy épouse le littoral marseillais. Elle a fait l’objet d’une grande rénovation. [©Setec Diades] Construite entre la fin de la IIe République et le Second Empire, la Corniche Kennedy épouse aujourd’hui le littoral marseillais de la plage des Catalans jusqu’aux plages du Prado. L’édifice offre une belle balade comme une liaison entre terre et mer. Et en plus de la promenade, la corniche dispose de bancs, formant une chaîne de 3 km sur pratiquement tout son parcours. Le banc le plus long du monde selon la légende ! L’ouvrage connaît plusieurs transformations, dont un élargissement entre 1954 et 1968. C’est à cette époque qu’il devient la Corniche Kennedy en hommage au président américain John Fitzgerald Kennedy, mort en 1963. Soumise aux contraintes du temps, de la circulation ou encore des embruns et autres agressions dues à l’environnement, la Corniche a récemment fait peau neuve. « Les travaux se sont déroulés en quatre phases entre octobre 2018 et avril 2022 », explique Loriana Pace, ingénieure maîtrise d’œuvre chez Setec-Diades. En effet, pour permettre aux habitants et aux nombreux touristes de profiter de l’espace l’été, le chantier était en activité entre l’automne et le printemps. Initiée par la Métropole Aix-Marseille-Provence, la restauration de la corniche visait différents objectifs. D’une part, redonner la pleine vocation de la promenade et renforcer l’accessibilité du littoral. Et d’autre part, remettre à neuf les bancs et les ouvrages et la création d’une piste cyclable bidirectionnelle sécurisée. Cet article est réservé aux abonnés des revues Béton[s] le Magazine et Bâti & Isolation. Déjà abonné Mon email Mon mot de passe Oublié ? En plus de votre magazine, profitez d’un accès illimité à l’ensemble des contenus et services du site www.acpresse.fr : Lecture de l’intégralité des dossiers thématiques, reportages chantiers, fondamentaux, histoire de la construction… Consultation des indicateurs économiques (chiffres et analyses) + vos newsletters pour suivre l’info en continu Je m'abonne
Il y a 2 ans et 312 jours

Un sol pour les soutenir tous

Article paru dans le n°101 de Béton[s] le Magazine Les sols industriels ont vu le DTU 13.3 évoluer en début d’année, preuve de la vitalité d’un secteur qui compte de plus en plus d’acteurs et de solutions. Tour d’horizon de quelques-unes des possibilités offertes par le marché. Côté durcisseurs Korodur : Sol version endurcie Le Neodur signé Korodur est l’un des durcisseurs les plus utilisés du marché français. [©Korodur] Le nom de Korodur est issu d’un néologisme, issu du latin “korundum” (corindon) et “durus” (dur). Avec sa marque Neodur, l’industriel se veut le synonyme de sols industriels mécaniquement résistants. En plus de 50 ans de présence en France, près de 100 Mm2 de sols ont été posés. Neodur est basé, entre autres, sur l’utilisation du corindon. « Employé comme additif pour les sols industriels, il est résistant à l’abrasion. La teneur en corindon varie en fonction du degré attendu de résistance à l’usure du sol », explique Nikola Heckmann, co-dirigeante de Korodur, avec son frère, Michael, qui ajoute que : « La couche de matériaux du Neodur est appliquée sur un sol en béton par des entreprises spécialisées ». Cet article est réservé aux abonnés des revues Béton[s] le Magazine et Bâti & Isolation. Déjà abonné Mon email Mon mot de passe Oublié ? En plus de votre magazine, profitez d’un accès illimité à l’ensemble des contenus et services du site www.acpresse.fr : Lecture de l’intégralité des dossiers thématiques, reportages chantiers, fondamentaux, histoire de la construction… Consultation des indicateurs économiques (chiffres et analyses) + vos newsletters pour suivre l’info en continu Je m'abonne
Il y a 2 ans et 312 jours

Tramway d’Angers : Les invisibles bétons d’aménagement

Article paru dans le n° 101 de Béton[s] le Magazine Franchissement de la voie ferrée sur le nouveau pont sur la Maine. [©ACPresse] Les mauvaises langues pourraient dire que les plus beaux bétons sont ceux que l’on ne voit pas ! D’un autre côté, au démarrage de son histoire, ce matériau restait souvent invisible. A la vérité, peu de gens savent, par exemple, que l’ensemble de la structure porteuse du théâtre des Champs-Elysées, à Paris, est en béton… Tant les ors et les marbres qui l’habillent cachent sa véritable nature. Pour la construction de la seconde ligne de tramway d’Angers, l’approche est assez comparable. Point d’or, ni de marbre, mais une ossature en béton tout à fait imperceptible, enfouie pour l’essentiel sous des tapis de verdure. Seuls, les rails métalliques laissent deviner la présence de cette infrastructure souterraine. Ce qui montre bien que l’aménagement d’espaces publics prend bien des formes. La nouvelle ligne B a pour terminus la station Belle-Beille, du côté Ouest d’Angers. Mais une fois la Maine franchie, via un pont métallique érigé pour l’occasion, elle emprunte l’actuel tracé de la ligne A. Celle-ci avait été dévoyée en 2019 sur ce nouvel itinéraire traversant le centre-ville. Ensuite, la ligne B poursuit son parcours, sur un tronçon neuf, en direction du Nord-Est, vers la station Monplaisir, qui constituera son autre terminus. Deux lignes pour le prix d’une ! Cette jolie organisation cache une surprise ! En effet, en dévoyant la ligne A en centre-ville, Angers Loire Métropole, maître d’ouvrage de l’opération, a libéré un petit morceau de tracé, qu’il a pu affecter à une 3e ligne : la C… Cette dernière aura donc un parcours commun avec la ligne B sur le début de son trajet et avec la ligne A (en service depuis onze ans) sur la fin de son itinéraire. Et profite d’une section qui lui est propre en centre-ville. D’une certaine manière, Angers s’est offert deux nouvelles lignes de tramway pour le prix d’une ! Cet article est réservé aux abonnés des revues Béton[s] le Magazine et Bâti & Isolation. Déjà abonné Mon email Mon mot de passe Oublié ? En plus de votre magazine, profitez d’un accès illimité à l’ensemble des contenus et services du site www.acpresse.fr : Lecture de l’intégralité des dossiers thématiques, reportages chantiers, fondamentaux, histoire de la construction… Consultation des indicateurs économiques (chiffres et analyses) + vos newsletters pour suivre l’info en continu Je m'abonne
Il y a 2 ans et 313 jours

Près d'Amsterdam, un quartier pionnier "rend la terre aux gens"

Chacun construit à son rythme et selon ses envies à Oosterwold, un espace vert de 43 kilomètres carrés près d'Amsterdam. A condition de respecter certaines règles, comme dédier au moins la moitié de son terrain à l'agriculture urbaine."On peut tout construire nous-même et tout décider", explique Barbara van Schaick, 45 ans, au milieu de sa parcelle où pommes de terres, oignons et arbres fruitiers poussent à proximité de sa maison toujours en construction."C'est très agréable", "surtout combiné avec la promotion de l'agriculture urbaine", ajoute-t-elle auprès de l'AFP. Cette bio-informaticienne passionnée de jardinage a quitté la capitale néerlandaise pour se lancer dans "l'expérience Oosterwold" il y a près de deux ans.Le terrain, situé sur des "polders", ces zones gagnées sur la mer, était longtemps dédié à l'agriculture biologique, avant que la terre ne soit "rendue aux gens" en 2016 pour cette initiative imaginée par la firme MVRDV et un politicien néerlandais."Image romantique"Leur parcelle achetée, les résidents ont quartier libre pour construire logement et infrastructures, sous certaines conditions.Les habitations doivent être bien isolées et les habitants doivent privilégier les énergies renouvelables et pompes à chaleur. La moitié du terrain doit être consacré à l'agriculture urbaine et il doit y avoir des espaces de vie et de circulation publiques.Oosterwold est "unique", affirment fièrement ses habitants, même si tout n'est pas si simple, concèdent-ils.Devant une élégante bâtisse qui semble se fondre dans son vaste terrain vert, construite à l'aide d'un architecte et d'un entrepreneur, Nadine Alsaz, 55 ans, dit vivre dans un "paradis".Arrivée à Oosterwold en 2017, elle souligne que l'initiative permet aussi des échanges fondamentalement différents de ceux en ville, "où on se connait à peine".Les gens ont toutefois souvent une "image romantique" du projet, et peuvent sous-estimer la flexibilité nécessaire à sa mise en oeuvre, explique-t-elle.La construction des routes, qui se définit entre associations d'habitants, fait par exemple l'objet de discussions houleuses, que ce soit sur les matériaux à utiliser, la façon de procéder et ou la division des coûts."On aurait pu croire que construire une route serait plus facile", explique Barbara, alors que le chemin de terre cahoteux menant à sa parcelle attend toujours que les voisins se mettent d'accord.La construction coûte "beaucoup d'énergie", explique-t-elle, surtout pour ceux qui, comme elle, construisent tout de A à Z. Certaines parcelles sont abandonnées et laissées en friche.Et pour ceux qui n'ont pas d'expérience dans le domaine, l'agriculture urbaine est "un défi", ajoute Jeroen Dobber, 39 ans, qui a surtout choisi Oosterwold pour s'éloigner des contraintes dans les villes traditionnelles."Bonne pour le monde"De nombreux terrains proposés par l'initiative ont été achetés par des développeurs de projets immobiliers, et leurs locataires ne sont pas toujours aussi conscients de ce qui est attendu d'eux, observe-t-on.Certains déplorent également l'absence de services publics et d'école à proximité, mais selon M. Dobber, "ça va venir".Les habitants sont de tout âge, et de différentes opinions politiques, selon M. Dobber, mais la plupart ont un niveau d'études élevé, note-t-il.Et si des logements sociaux sont également en construction, l'augmentation des prix de la terre ne favorise pas la diversité.L'endroit est très populaire. Une deuxième phase du projet doit commencer en 2025 et tirera des leçons des premières années de l'expérience, en rendant par exemple la charge de l'évacuation des eaux et la construction de certaines routes à la municipalité d'Almere, à proximité.Oosterwold comptera 15.000 lots, dont un dixième a déjà été vendu, mais ne grandira pas plus que ça, garantit Nadine. Elle espère néanmoins que l'initiative, "bonne pour le monde", sera imitée ailleurs.
Il y a 2 ans et 313 jours

Pin de Nouvelle-Calédonie certifié par FCBA

Essence à croissance rapide, le pin calédonien présente les caractéristiques techniques requises pour une utilisation diversifiée, notamment en construction. Les scieries calédoniennes, réunies au sein du Groupement des Forestiers Calédoniens, se sont engagées dans une démarche de certification afin d’apporter des garanties sur la qualité de leurs produits transformés. Délivrée par FCBA, la certification CTB NC concerne les sciages (à usage structurel et non structurel) et les rondins. Elle garantit la conformité des dimensions, du séchage, du classement des bois ainsi que la performance du traitement de préservation. La certification CTB NC pourra être développée sur produits transformés, essences et services en fonction des besoins. En savoir plus : www.fcba.fr/certifications/ctb-nc-nouvelle-caledonie Source : FCBA Photo : @Agence Rurale Nouvelle-Calédonie  
Il y a 2 ans et 313 jours

Changing models : smart buildings et smart finance

La rénovation énergétique des logements privés et des bâtiments publics est donc une cible privilégiée pour les initiatives d’efficacité énergétique, notamment le plan France Relance qui lui consacre 6,2 milliards d’euros sur deux ans[2], et contribuera largement à l’atteinte de la neutralité carbone à l’horizon 2050.Afin d'atteindre ces objectifs, il convient d'accorder une plus grande attention au parc immobilier commercial et public existant. En Europe, par exemple, près de 75% du parc immobilier est inefficace sur le plan énergétique.[3] Cela signifie qu'une grande partie de l’énergie consommée est en fait gaspillée. La rénovation des bâtiments existants pourrait réduire la consommation totale d’énergie de l'UE de 5 à 6% et diminuer les émissions de dioxyde de carbone d'environ 5%. Pourtant, en moyenne, moins de 1% du parc immobilier national est rénove chaque année. Pour atteindre les objectifs en matière de climat et d’énergie, les experts affirment que les taux de rénovation actuels devraient au moins doubler.[4]Sur l'ensemble du territoire de l'UE, l’amendement de la directive sur la performance énergétique des bâtiments[5] encourage une accélération de la transition vers des bâtiments écoénergétiques. La politique gouvernementale commence à faire avancer la réforme des bâtiments publics.Par exemple, la directive sur l'efficacité énergétique exige un taux de rénovation annuel de 3% pour les bâtiments dont les administrations centrales nationales sont à la fois propriétaires et locataires. [6]Au niveau local, il existe également des exigences obligatoires pour mettre à niveau les systèmes de gestion des bâtiments. Parmi les exemples, citons la loi ELAN en France, qui oblige les bâtiments commerciaux à atteindre certains objectifs d'efficacité énergétique. De plus, depuis 2021, le décret tertiaire oblige les acteurs du tertiaire français (propriétaires et locataires de bâtiments hébergeant des activités tertiaires) à réduire progressivement la consommation énergétique de leurs bâtiments en trois échéances : une réduction de 40% d’ici 2030, de 50% d’ici 2040, et de 60% d’ici 2050.[7]L'Agence internationale de l’énergie (AIE) estime que pour atteindre un parc immobilier zéro carbone d'ici à 2050, les émissions directes de CO2 des bâtiments doivent diminuer de 50% et les émissions indirectes du secteur du bâtiment de 60% d'ici à 2030.En particulier, une annonce de l'Alliance mondiale pour le bâtiment et la construction a note "Le rythme de la rénovation dans tous les pays concernes est insuffisant, restant bien en deca du potentiel. En effet, la rénovation annuelle doit passer dans les pays industrialisés a une moyenne de 2 % du parc existant par an d'ici 2025, et a 3% d'ici 2040."[8]Toutefois, une étude plus récente de Siemens Financial Services[9] calcule les volumes financiers de cet objectif d'investissement global jusqu'en 2040. La question émergente abordée dans cette étude consiste toutefois à estimer le déficit entre le taux actuel d'investissement dans les bâtiments intelligents à haute efficacité énergétique et le taux accéléré qui, selon les experts, doit être atteint pour respecter les objectifs de durabilité et de changement climatique. C'est dans ce déficit que la finance intelligente peut intervenir pour permettre l'investissement qui devrait être réalisé mais qui ne l'est pas encore.Pour combler le déficit d'investissement estimé dans cette étude, les propriétaires et les gestionnaires de bâtiments doivent envisager de modifier le mode de fonctionnement de leurs bâtiments, leurs modèles économiques et la manière dont ils vont financer les mises à niveau nécessaires.En ce qui concerne la technologie opérationnelle, les bâtiments commerciaux et publics vont devoir devenir plus intelligents pour faire face à ces nouvelles demandes de décarbonation. Les bâtiments intelligents permettent de travailler de manière flexible, que ce soit du point de vue du bureau nomade (hot desking), des changements d'utilisation, de la sécurité et de la sûreté, d'une plus grande efficacité et flexibilité ou de l'adaptation à des circonstances volatiles. S'il existe un large consensus sur la nécessité de rendre les bâtiments plus intelligents, tous les pays et tous les secteurs ont besoin d'un moyen de rendre cette conversion financièrement viable. Mais comment le faire dans la pratique ? Le point de départ est l'utilisation de technologies intelligentes pour réduire la consommation d'énergie des bâtiments. Cela permet de réaliser des économies substantielles qui, grâce à des mécanismes de financement intelligents, peuvent être exploitées pour subventionner de manière significative la rénovation énergétique des bâtiments existants. Dans certains cas, les économies d'énergie peuvent même payer l'ensemble de la conversion. Cela peut se faire au niveau de l'entreprise ou par petites étapes progressives, chacune d'entre elles prouvant son retour sur investissement. Les économies typiques d'efficacité énergétique des bâtiments sont généralement d'au moins 20% [10] (souvent bien plus), ce qui représente des économies d'exploitation très importantes.De nouveaux modèles pour un financement intelligentLe financement intelligent prend diverses formes, en fonction des processus opérationnels qui doivent être activés. Au niveau des composants technologiques, des outils de financement sont disponibles pour aider les vendeurs et les distributeurs à ajouter de la valeur grâce à des capacités de trésorerie pour leurs acheteurs. Pour les installations ou les systèmes de plus grande envergure, des modalités de financement intelligentes peuvent être adaptées et ajustées afin d'aligner les coûts sur le taux de bénéfice tiré de la technologie d'efficacité énergétique. Au niveau le plus complexe, les bâtiments intelligents en tant que services (Smart Buildings as a Service) fournissent la solution de financement, les économies futures attendues de l'efficacité énergétique étant exploitées et utilisées pour payer l'investissement en capital et plus encore. ConclusionsLes projets de rénovation visant à décarboner les bâtiments en les transformant en environnements intelligents et économes en énergie prennent du retard par rapport aux objectifs climatiques établis par les gouvernements du monde entier. De nombreux experts ont déclaré que le taux d'investissement annuel devrait être multiplié par trois ou plus pour atteindre les objectifs fixés.Afin de combler le déficit entre les taux d'investissement actuels et les volumes requis, des méthodes de financement intelligentes sont proposées par le secteur privé. Elles cherchent toutes à rendre abordable pour les propriétaires la conversion vers des bâtiments décarbonés, économes en énergie et intelligents. Au minimum, ces outils de financement facilitent le flux de trésorerie et alignent les coûts sur le taux des avantages obtenus. Dans le meilleur des cas, le financement intelligent rend la transition vers la décarbonation neutre sur le plan budgétaire, en exploitant les économies futures pour payer les investissements actuels.Tribune de Thierry Fautré, Président de Siemens Financial Services France (LinkedIn).[1] Ministère de la Transition écologique, La Rénovation énergétique, 22 juin 2021[2] Ibid[3] European Commission, In focus: Energy efficiency in buildings, 17 Feb 2020[4] Ibid[5] Directive UE 2018/844/UE[6] Parlement Europeen, Boosting Building, 2016[7] Siemens Financial Services, Combler le déficit d'investissement: Le financement intelligent pour la décarbonation des bâtiments, Sept 2021[1] Global ABC, COVID-19 response: Global ABC is encouraging massive renovation wave, 24 Sep 2020[2] Siemens Financial Services, Batiments intelligents : piloter l’ajout de valeur dans l’adoption de la ≪nouvelle norme≫, 2020[3] IPF Research Programme, Costing Energy Efficiency Improvements in Existing Commercial Buildings, Oct 2017
Il y a 2 ans et 313 jours

Avec Eva, Sika ouvre la route du bas carbone

Article paru dans le n° 101 de Béton[s] le Magazine Avec sa démarche Eva, Sika cherche à accompagner les acteurs du BPE dans leur transition vers le bas et le très bas carbone. [©Sika] A partir de l’année 2021, Sika a commencé à déployer son offre Mix & Flow. Une approche d’adjuvantation s’articulant autour de trois briques, modulables à loisir. « On parle de trois adjuvants de base, à utiliser seuls ou en combinaisons et dans des proportions ajustables », rappelle Joachim Monge, chef de marché BPE chez Sika. Aujourd’hui, le chimiste suisse lance, en même temps, tous les autres étages de sa nouvelle fusée adjuvantaire. Son nom : Eva. Comme le petit robot féminin du film animé Wall-E ? Non ! Plutôt comme l’acronyme d’Environnement, Valeur et Accompagnement. « A travers Eva, nous cherchons à accompagner les acteurs du BPE dans leur transition vers le bas et très bas carbone », souligne Michèle Duval, directrice du pôle Béton de Sika. Performances et valeurs d’usage maintenues Ce n’est pas un luxe que de rappeler qu’avec l’entrée en application de la RE 2020, la donne change en matière d’approches constructives. Et même si nombre de professionnels estiment – à juste titre – que le béton a un rôle à tenir dans la construction du futur, il n’en reste pas moins pointé du doigt aujourd’hui. Son devenir est intimement lié à la baisse de son empreinte carbone. La démarche Eva est la contribution de Sika pour atteindre cet objectif crucial de décarbonation du secteur de la construction. Elle se décline en trois axes dont le premier doit, justement, permettre de formuler des bétons bas et très bas carbone, sur la base de nouveaux liants, en particulier. « Tout en maintenant les performances et les valeurs d’usage, y compris en conditions hivernales », insiste Joachim Monge. Cet article est réservé aux abonnés des revues Béton[s] le Magazine et Bâti & Isolation. Déjà abonné Mon email Mon mot de passe Oublié ? En plus de votre magazine, profitez d’un accès illimité à l’ensemble des contenus et services du site www.acpresse.fr : Lecture de l’intégralité des dossiers thématiques, reportages chantiers, fondamentaux, histoire de la construction… Consultation des indicateurs économiques (chiffres et analyses) + vos newsletters pour suivre l’info en continu Je m'abonne
Il y a 2 ans et 314 jours

Edilians étend sa gamme de produits photovoltaïques et dispose aujourd’hui d’une offre complète pour répondre à toutes les configurations et tous les styles architecturaux

Même si l’installation de panneaux photovoltaïques s’est imposée ces dernières années en construction neuve, la production d’énergie solaire doit s’accélérer afin d’atteindre l’objectif de la loi Climat & Résilience qui vise la neutralité carbone à l’horizon 2050. Pour répondre au défi de l’urgence climatique, EDILIANS propose déjà des solutions toiture innovantes parmi lesquelles ses tuiles terre cuite solaires, le photovoltaïque ultra intégré, et la tuile Solaire Max, son best-seller depuis plus de 20 ans. Aujourd’hui, l’acteur de l’éco-habitat passe à la vitesse supérieure et enrichit son offre destinée aux couvreurs et solaristes avec Easy Roof, une gamme complète de systèmes conçus pour faciliter l’intégration ou la surimposition de panneaux photovoltaïques en toiture, et le brise-soleil Umbra Solar Pro. EASY ROOF EVOLUTION et EASY ROOF ACCESS : des produits solaires intégrés au bâti pour une esthétique optimale en toiture Outre ses tuiles terre cuite solaires riches de 3 modèles disponibles en coloris rouge et noir (Alpha Solaire, HP 10 Solaire, Rhôna Solaire) et sa tuile solaire universelle (Tuile Solaire Max) déclinée également dans les même teintes, EDILIANS ajoute à sa gamme deux nouvelles solutions d’intégration de panneaux photovoltaïques en toiture : – EASY ROOF EVOLUTION, système de fixation ventilé dont l’ingénieux procédé breveté d’emboîtement permet aux différents éléments qui le composent de s’imbriquer les uns aux autres avec la plus grande précision (abergement haut intégré au cadre et centrage parfait des modules), sans découpe ni joint. L’étanchéité de la toiture est assurée par recouvrement. Rapide et facile à monter, puisque 6 heures suffisent pour une installation de 3kW à 2 personnes. Performant, il bénéficie d’une grande résistance à toutes les conditions climatiques (U.V., grêle, pluie, neige, vent) et d’une ventilation optimisée grâce à des entrées et sorties d’air présentes sous chaque module au service d’une meilleure performance énergétique. Compatible avec la majorité des modules photovoltaïques existants sur le marché, EASY ROOF EVOLUTION convient parfaitement aux toitures présentant une pente de 10 à 50°, quelles que soient les applications (résidentielles, commerciales, bâtiments publics, agricoles et industriels), – EASY ROOF ACCESS, un kit qui réunit en un système complet le panneau photovoltaïque et le procédé de fixation. Il associe la rapidité de montage et la fiabilité du système Easy Roof Evolution au panneau photovoltaïque Luxor Eco Line M120/340 W. Alliant esthétique et robustesse grâce à une sélection exigeante des composants, il garantit un excellent rendement énergétique avec une réflexion optimisée sur la surface cellulaire. L’ensemble constitue une solution idéale pour développer l’autoconsommation énergétique en toute sérénité (garantie 15 ans du module). EASY ROOF FLAT : simple à installer et de plus en plus plébiscité pour les toitures terrasse Ce système de montage pour panneaux photovoltaïques en toiture plate convient quels que soient l’orientation (Sud, Est/Ouest) et le type de revêtement (bitume, membrane, béton, graviers). Conçu pour accueillir la majorité des modules cadrés du marché ayant une largeur allant jusqu’à 1100 mm, il dispose d’une pente ajustable pour s’adapter à toutes les situations : parallèle au toit, de 10° à 14° (1 châssis par module), de 8° à 14° (configuration inter-module). Léger et résistant, chaque châssis Easy Roof Flat intègre tous les composants nécessaires à la fixation des modules par rail ou par socle. Sa mise en œuvre s’effectue ainsi de façon rapide et économique. EASY ROOF TOP : la solution photovoltaïque Edilians en surimposé Idéal sur toiture existante, Easy Roof Top rend possible la mise en œuvre de modules photovoltaïques cadrés sur tous types de toiture, présentant une pente de 8° à 50°, en tuiles (canal, à emboîtement, plate mécanique), en ardoise et sinusoïdales (fibrociment, plaque sous tuile) grâce à des crochets de fixation dédiés. Ce système en surimposition s’installe ainsi par-dessus la couverture existante tout en étant fixé directement sur la structure du bâtiment. Disponible en portrait, il peut également être posé en mode paysage. Grâce à une embase spécifique, une simple rotation de rail suffit, ce qui représente un véritable gain de temps lors de la mise en œuvre. Pour une esthétique irréprochable, le système Easy Roof Top se décline en deux finitions (aluminium, noir) et aucun élément (rail et fixation) ne dépasse du champ photovoltaïque. UMBRA SOLAR Pro : une alternative efficace ou complémentaire à une solution PV en toiture Pour concilier réduction des besoins énergétiques et confort d’été, EDILIANS présente UMBRA SOLAR Pro. Solution idéale en neuf, conformément aux exigences de la RE2020, comme en rénovation, ce nouveau modèle de marquise solaire permet de créer une avancée de toit au-dessus des ouvertures (fenêtres, baies vitrées, hall d’entrée) d’un bâtiment commercial, industriel ou même résidentiel collectif. A l’aide de son support en acier zingué qui assure une protection optimale contre la corrosion, il se pose simplement et rapidement en façade pour faire office de brise-soleil. Il protège alors de l’inconfort lié aux rayonnements solaires tout en récupérant l’énergie pour la production en instantané de l’électricité. L’inclinaison optimale à 15° des modules garantit le meilleur compromis entre protection solaire et rendement énergétique, quelles que soient la saison et la zone géographique. Grâce à son esthétique épurée et à la possibilité d’aligner une succession de modules photovoltaïques, il s’intègre harmonieusement à toutes les architectures. En contribuant ainsi à réduire les besoins en climatisation tout en optimisant les économies d’énergie, UMBRA SOLAR Pro trouve naturellement sa place dans tous les projets BEPOS, BBC ou encore HQE. Rappelons qu’EDILIANS propose également la MARQUISE SOLAIRE, un kit complet prêt à l’emploi qui comprend la structure composée de 2 consoles avec système de fixation inclus, un ou deux panneaux photovoltaïques ainsi que le micro-onduleur. En enrichissant ainsi son offre solaire avec des produits photovoltaïques issu du savoir- faire français reconnu d’IRFTS*, EDILIANS propose aux couvreurs et solaristes une gamme étendue de solutions complètes pour répondre à toutes les configurations d’installations. En complément, afin d’aider ses clients couvreurs à se développer sur ce marché, EDILIANS déploie un panel de services dédiés : formation avec habilitation électrique BP, assistance 1er chantier, soutien dans la constitution du dossier administratif de raccordement et raccordements électriques, bureau d’études et hotline pour étudier les projets et répondre à toutes les questions techniques… Un véritable accompagnement clé en main pour leur simplifier toujours plus la vie au quotidien ! *Depuis le 1er février 2022, EDILIANS a officiellement intégré l’activité solaire en toiture d’IRFTS (technologies, brevets et systèmes). http://www.edilians.com
Il y a 2 ans et 314 jours

Pose des premières pierres des résidences Orphéa et Archange, deux projets d’envergure aux portes de Rennes

L’événement s’est déroulé en présence Frédéric-Xavier BAUDIER, directeur national résidentiel grands projets de Crédit Agricole Immobilier, Thomas DUKE, directeur général délégué d’Aiguillon construction, Luc SIMON, adjoint au maire de Saint-Jacques de la Lande, Honoré PUIL, vice-président de Rennes Métropole et président de l’association Foncier Solidaire Rennes Métropole et Jérôme BERRANGER, architecte chez Berranger|Vincent Architectes. Le collectif de graffeurs rennais La Crémerie, qui avait réalisé une fresque sur une palissade de travaux de 200m2, en septembre 2021, était également présent pour créer un diptyque en direct.Archange, 1er programme commercialisé et livré en BRSArchange est le 1er programme commercialisé et livré en BRS, par imoja, la marque d’Aiguillon dédiée à l'accession, sur la commune de Saint-Jacques de la Lande, en lien avec l’OFS de Rennes Métropole.41 logements collectifs locatifs (15 PLUS-Prêt Locatif à Usage Social- / 15 PLAI -Prêt Locatif Aidé d'Intégration- / 11 PLS -Prêt Locatif Social-) et 13 logements en accession BRS -Bail Réel SolidaireDémarrage des travaux : septembre 2021Livraison : 4e trimestre 2023Orphéa, un symbole de responsabilitéSituée au pied des transports et des services, la résidence Orphéa de Crédit Agricole Immobilier propose des logements construits avec des matériaux durables et des équipements économes en énergie.49 logements (41 en accession libre et 8 à prix de vente maîtrisés)Espaces de bureaux et commercesDémarrage des travaux : juillet 2021Livraison : 3e trimestre 2023La Courrouze, un écoquartier aux portes de RennesLe quartier de la Courrouze, aux portes de Rennes à 8 minutes du centre-ville et de la gare en métro, a été reconnu par le ministère du logement et de l’égalité des territoires comme écoquartier. Imaginé pour valoriser une qualité de vie optimale et les mobilités douces, le quartier est à proximité directe de nombreux services, écoles, espaces verts et services culturels.
Il y a 2 ans et 315 jours

Les projets aux abords du périphérique parisien réexaminés

Par un texte demandant "que soient encore améliorés et réexaminés les projets d'aménagement prévus aux abords et au-dessus du périphérique", l'exécutif municipal a rallié les écologistes qui réclamaient un moratoire sur les constructions à moins de 150 m de l'axe.Ces dernières années, "des dizaines de projets sont sortis de terre, ils vont dans le sens inverse de nos objectifs", avait fustigé Emile Meunier (EELV), pour qui la future "ceinture verte" vantée par Mme Hidalgo "devient grise comme le béton".Outre la nécessité de ne pas "exposer des personnes à des niveaux élevés de pollution", "on ne peut pas sacrifier la nature pour quelques m2 de bureaux", a ajouté l'élu écologiste, rappelant l'abattage de plus de 70 arbres porte de Montreuil.Autres alliés de Mme Hidalgo, les communistes se sont abstenus, Nicolas Bonnet-Oulaldj estimant qu'un moratoire équivalait à une "double peine pour les quartiers populaires" en attente de services publics.A l'horizon 2030, Mme Hidalgo entend réserver une voie du périphérique aux bus, taxis et covoiturage, une mesure qui suscite l'opposition de la présidente de droite de la région Valérie Pécresse et une forte réserve du préfet de police Didier Lallement.Depuis un rapport d'élus parisiens en 2019, la majorité de gauche a été "incapable de créer les conditions de la concertation" avec "les collectivités territoriales, la région et l'Etat", a taclé la députée MoDem Maud Gatel."Le travail de concertation va se poursuivre dans les prochains mois et années", notamment via un "grand débat" sous l'égide de la Commission nationale du débat public (CNDP), a répondu l'ex-candidate du PS à la présidentielle.Jean-Baptiste Olivier (LR) a réclamé la couverture de l'axe "partout où c'est possible" mais essuyé un refus de la part de l'adjoint (PS) à l'urbanisme Emmanuel Grégoire, pour qui cette mesure onéreuse "ne règle pas le problème" de la pollution.Interrogé par l'AFP sur l'avenir d'un immeuble-pont porte de Montreuil, qui suscite des critiques à gauche, le premier adjoint a indiqué vouloir convaincre ses partenaires "que c'est une mesure de protection pour l'immense espace vert" prévu sur cette entrée orientale de la capitale.
Il y a 2 ans et 315 jours

Sobriété énergétique : lancement du groupe de travail « Entreprises et organisation du travail »

Lors d’un déplacement au centre de commande national de GRTgaz, le 23 juin dernier, la Première ministre, Elisabeth Borne, et la ministre de la Transition énergétique, Agnès Pannier-Runacher, ont annoncé le lancement de groupes de travail sur la sobriété énergétique. Objectif : réduire la consommation d’énergie, toutes énergies confondues (gaz, électricité, carburant), de 10% d’ici deux ans.Après le lancement d’un premier groupe sur « L’Etat exemplaire » mercredi 29 juin, Agnès Pannier-Runacher et Olivier Dussopt ont réuni, ce vendredi 1er juillet, au ministère de la Transition énergétique, un deuxième groupe consacré aux entreprises et à l’organisation du travail. A cette occasion, les deux ministres ont rappelé leur volonté d’agir vite et fort contre le gaspillage de l’énergie. Différents experts, notamment du Haut Conseil pour le Climat, ont pour leur part fait un état des lieux de la situation et évoqué les leviers à activer pour tenir l’objectif de réduire de 10% notre consommation d’énergie d’ici deux ans. Lors d’un tour de table, les représentants des organisations syndicales et patronales ainsi que les fédérations professionnelles ont rappelé le travail déjà mené et ont partagé les freins à lever et les pistes d’amélioration à creuser.La réunion a permis de prendre acte du fait que la sobriété énergétique devait être un pan central des discussions paritaires sur la transition écologique dans l’entreprise qui s’ouvrent à compter du 8 juillet, dans le cadre de l’agenda social autonome des partenaires sociaux. Pour la réussite de ces discussions, les ministres ont assuré les acteurs de la disponibilité des experts présents en appui de leurs travaux.La réunion a également permis de faire un premier bilan de différents dispositifs existants, dont la plateforme « Mission Transition écologique ». Cette dernière a permis d’accompagner des dizaines de milliers d’entreprises en recherche de soutien pour financer leurs projets de transition écologique et énergétique, en recensant les différents dispositifs existants et en leur permettant de bénéficier de l’appui d’un expert.Parmi les différents leviers, celui de la mobilité a été évoqué. Les différents dispositifs sur lesquels peuvent s’appuyer les entreprises afin d’accompagner la transition des usages des salariés ont été rappelés. Qu’il s’agisse de l’importance de bâtir un plan de mobilité employeur ou de s’engager en faveur des différents dispositifs de soutien aux salariés – forfait mobilités durables, prime transport pour l’aide au carburant, auto-partage, ou encore label employeur pro-vélo –, de nombreux leviers existent pour permettre aux entreprises de s’engager dans la transition vers les mobilités durables. A condition, comme cela a été rappelé par différents acteurs, de donner de la visibilité aux entreprises sur les aides existantes.Par ailleurs, l’organisation du travail de manière plus générale a fait l’objet de nombreux échanges. Les acteurs se sont accordés avec les ministres sur l’importance de mettre sur la table toutes les options qui pouvaient permettre d’améliorer notre souveraineté et de baisser la facture énergétique, en protégeant la qualité de travail des salariés.La question de la gestion des bâtiments d’entreprises a également été au cœur des discussions. A nouveau, un diagnostic partagé a pu être fait sur la nécessité de promouvoir les pratiques écoresponsables au bureau, notamment en matière d’éclairage, de températures et de choix informatiques.Enfin, il a été acté qu’un plan d’accompagnement sera mis en place et consistera notamment à mobiliser les organismes préventeurs afin de produire des documents simples et didactiques et des outils de communication adaptés. Ce plan consistera aussi à accompagner les entreprises pour actualiser leurs plans de continuité de l’activité, à actualiser des fiches métier en incluant notamment des consignes simples en cas de travail en période de « grand froid » ou de « fortes chaleurs ». Le plan visera également à mobiliser les réseaux, comme les Services de Prévention et de Santé au Travail, ou les Caisses d’Assurance Retraites et de Santé au Travail, comme premier relai des recommandations. Il aura par ailleurs pour objectif de promouvoir et d’accompagner le dialogue social en entreprise pour favoriser une réflexion sur le plan de continuité d’activité en cas de restrictions énergétiques.Le groupe de travail « Entreprises et organisation du travail » s’attèlera, au cours de l’été, dans le cadre du dialogue paritaire, à faire émerger une feuille de route de recommandations simples et opérationnelles, à destination de l’ensemble des entreprises. Dans ce cadre, Agnès Pannier-Runacher et Olivier Dussopt ont insisté sur la méthode de travail. Le Gouvernement et les experts ne se substitueront pas aux partenaires sociaux. Ils joueront le rôle de facilitateurs, pour que les organisations syndicales et les fédérations professionnelles, en responsabilité, identifient les leviers qui leur paraissent les plus adaptés pour réduire la consommation d’énergie des entreprises de 10% d’ici deux ans.Ce travail de concertation mené avec les différents groupes de travail sur la sobriété énergétique devra être la première marche afin d’initier le changement, en matière de transition énergétique, au sein de l’ensemble de la société.Agnès Pannier-Runacher, ministre de la Transition énergétique, a déclaré : « Le lancement de ce groupe de travail dédié aux entreprises et à l’organisation du travail, que j’ai co-présidé avec mon collègue Olivier Dussopt, est une étape importante du plan sobriété que nous avons annoncé avec la Première ministre Elisabeth Borne. Après avoir mobilisé l’administration, il montre notre volonté de faire de la transition énergétique un véritable objet de dialogue social. Nous faisons confiance aux organisations syndicales et patronales, ainsi qu’aux fédérations professionnelles, pour se saisir du sujet et trouver les leviers afin de réduire la consommation d’énergie des entreprises de 10% d’ici 2024. »Olivier Dussopt, ministre du Travail, du Plein Emploi et de l’Insertion : « Nous sommes désormais entrés de plain-pied dans la transition énergétique et climatique. Nous devons collectivement coordonner nos efforts pour moins consommer d’énergie. Ce groupe de travail devra déboucher sur des engagements concrets et ambitieux, mais bien entendu, les choix des mesures de sobriété ne pourront être décidés au niveau national. C’est aux partenaires sociaux, à chaque branche, à chaque entreprise de les définir dans le cadre du dialogue social de proximité. »
Il y a 2 ans et 315 jours

La Cipav renforce sa démarche d’amélioration de la qualité de ses services

De nouveaux dispositifs pour mesurer la progression de la qualité de serviceAfin de garantir l’adéquation entre les attentes des affiliés et les services qu’elle leur apporte, la Cipav a déployé un ensemble d’outils de mesure de la satisfaction ; ceux-ci permettent aujourd’hui d’évaluer au plus près la satisfaction des assurés et de prendre en compte leurs retours pour améliorer continuellement la qualité de leur traitement.Un baromètre de satisfaction réalisé par un organisme indépendant, Qualitest, interroge chaque année un panel représentatif des professionnels libéraux adhérents sur l’ensemble des canaux déployés par la Cipav pour répondre à leurs besoins (canaux de contact, site web, brochures etc.). Ce baromètre permet dorénavant à la Caisse de piloter au plus près la satisfaction de ses assurés et d’ajuster si nécessaire ses actions en tenant compte des commentaires recueillis.Parallèlement à cette initiative annuelle et pour assurer toujours plus de réactivité, la Cipav a systématisé la mesure de la satisfaction des assurés après chaque contact (visite en point d’accueil, échange téléphonique ou en visioconférence), et particulièrement après le traitement du dossier de retraite. Des enquêtes ponctuelles sont également réalisées sur des sujets spécifiques.L’organisation de « focus groups » vient compléter ce dispositif. Animés par Qualitest, ils ont pour objectif d’ouvrir un espace de dialogue constructif entre la Caisse et des représentants de ses adhérents. Ces derniers sont invités à évaluer les outils mis à la disposition des adhérents (ex : compte en ligne, guide, application mobile …) et à formuler des propositions d’amélioration. Les premiers groupes conduits fin 2021 ont confirmé les progrès réalisés ces dernières années, notamment en matière de lisibilité des offres et de relations avec la caisse. Cette démarche est d’autant plus utile dans la perspective du transfert du recouvrement à l’Urssaf au 1er janvier 2023. La Cipav concentre ainsi ses efforts sur son offre de services et la qualité de ses prestations.Une Charte Qualité formalisera cette démarche en regroupant les engagements pris par la caisse et en affichant les indicateurs et objectifs de progrès.Axe 1 : Une caisse à l’écoute et au service de ses adhérents > la Cipav s’engage à :Apporter des réponses claires dans des délais annoncésÉvaluer le traitement des réclamationsMesurer régulièrement la satisfaction de ses adhérentsIdentifier et aider ses adhérents en difficultéAxe 2 : Une caisse performante et innovante > la Cipav s’engage à :Moderniser ses SI dans un objectif de performancePiloter ses processus dans une logique d’amélioration continueAxe 3/ Une caisse responsable et ouverte sur son environnement > la CipavGarantir par la formation l’expertise de ses salariésS’engage à être un acteur de la protection sociale et à inscrire son action dans une dynamique inter-régimes.Un nouveau service de médiation mis à la disposition des adhérentsDans la continuité de cette démarche qualité de service, la Cipav fait évoluer son service de traitement des réclamations et complète le système existant par la création d’une fonction médiation.Ainsi, depuis le début de l’année, les adhérents bénéficient, en cas de désaccord avec une décision de la caisse, d’une démarche alternative à l’engagement d’une action contentieuse.Le médiateur de la Cipav a ainsi instruit 157 demandes depuis le 1er janvier qui, dans la majorité des cas, ont conduit la caisse à faire droit à la demande de l’adhérent.Au-delà du traitement des recours individuels, le médiateur est investi d’une mission de conseil auprès de la direction et du conseil d’administration de la Cipav, en faisant remonter les points de friction récurrents et en permettant ainsi de lancer des réflexions concrètes visant à résoudre l’insatisfaction des adhérents.Pour François Clouet, Directeur général de la Cipav : « Le renforcement de notre démarche Qualité et la mise en place d’outils dédiés à cet effet, répond à la volonté nette de la Cipav de faire toujours mieux, afin d’apporter le meilleur service aux professionnels libéraux qui lui sont affiliés. Notre ambition est d’améliorer en permanence notre organisation et nos process pour contribuer à dessiner l’avenir de notre système de protection sociale, au service des assurés. »
Il y a 2 ans et 315 jours

Signalétique intérieure : pourquoi faire appel à un professionnel ?

La première exigence d’une entreprise est d’ordre économique. Elle doit accumuler des intérêts afin d’assurer les dépenses liées au fonctionnement, mais aussi à l’investissement. Pour ce faire, il est important de miser sur la communication. Il existe à cet effet diverses sortes de communications. Si nous sommes dans le contexte interne d’une entreprise, il est important de penser à la signalétique intérieure pour atteindre ses objectifs. Vous pouvez vous en charger vous-même. Cependant, nous vous proposons de découvrir les raisons de faire plutôt appel à un professionnel pour s’occuper de votre signalétique intérieure. Bénéficier d’un diagnostic visuel La décision de doter son entreprise d’une signalétique intérieure n’est pas le fruit du hasard. Elle doit être prise suite à un diagnostic visuel. C’est pour cette raison que vous devez absolument faire appel à un professionnel. Le rôle du professionnel sera de se déplacer dans vos locaux pour prendre connaissance de l’espace. Il étudiera à cet effet : les différents angles de vos bureaux et halls ; la structure du bâtiment ; la hauteur des pièces ; la couleur des peintures. Chacun de ces détails permettra d’élaborer un plan de signalétique entreprise en fonction des spécificités de l’espace. Ce plan permettra de doter votre entreprise d’une signalétique intérieure sur mesure. À cet effet, aucun espace ne sera laissé pour compte. Des murs jusqu’aux portes, en passant par les baies vitrées, le sol et les portes, n’importe quelle surface qui peut être exploitée pour vous offrir une excellente signalétique intérieure. Doter son entreprise d’une signalétique intérieure sur mesure Le plan de signalétique intérieure répond à diverses préoccupations. Il décore, guide, meuble ou recrée un univers. Ainsi, la signalétique intérieure permet de créer une atmosphère agréable pour vos visiteurs. Cette communication silencieuse reste dans l’esprit de vos visiteurs et les ramène inconsciemment dans vos locaux en cas de besoin. Pour créer une signalétique sur mesure, un professionnel vous proposera différents supports. Vous pourrez donc avoir besoin de : panneaux d’affichage ; adhésifs ; stop-rayons ; kakemonos. Si vous êtes responsable de magasins de vente, toutes ces catégories de signalétiques vous seront utiles. Par contre, si vous êtes dans une simple entreprise, votre plan de signalétique sera plus sélectif. Les panneaux d’affichage Les panneaux d’affichage s’adressent aussi bien aux employés de l’entreprise qu’aux visiteurs. Ils servent principalement à diffuser des informations importantes comme des offres promotionnelles ou d’emplois. De plus en plus, les entreprises préfèrent utiliser des écrans avec des informations qui défilent à longueur de journée. Cette méthode est plus économique. Les adhésifs Les adhésifs sont des autocollants souvent utilisés pour guider les personnes au sein de l’entreprise. Il existe des adhésifs pour tout type de surface. De ce fait, vous en trouverez aussi bien au sol que sur des murs ou des vitres. En fonction de votre activité, un professionnel vous aidera à choisir le type d’adhésif qui correspond le mieux à vos locaux. Aujourd’hui, la tendance est plus vers le design des adhésifs. Contrairement aux panneaux, les adhésifs ont plus une valeur pédagogique. Dans une entreprise, ils permettent aux usagers de circuler librement en suivant des indications, alors que dans un magasin de vente, ils aident les consommateurs à avoir un excellent parcours d’achat. Au-delà de la qualité des biens et services, les adhésifs font partie des signalétiques intérieures qui influencent le plus la fidélisation des clients. Les stops-rayons Les stops-rayons sont des outils d’extravisibilité qui se fixent sur les linéaires en magasin. Ils permettent de délimiter les différents espaces. Ainsi, pour acheter des légumes par exemple, un coup d’œil suffira à vous orienter vers le bon rayon. Il en est de même pour tout autre article que vous recherchez. C’est un outil efficace de segmentation. Tout comme les adhésifs au sol, ils vous guident et vous évitent de perdre du temps. De plus, ils permettent de susciter l’achat en faisant découvrir un nouveau produit aux consommateurs. Les kakemonos Tirant son origine du japonais, le kakemono est une signalétique très répandue dans la publicité sur lieu de vente. Très pratique, cette bannière étroite et verticale peut être déroulée et enroulée dans un tube de rangement. Contrairement aux outils de signalétique directionnelle, le kakemono sert à faire la publicité d’un produit ou d’une marque. Son élégance fait aussi qu’il force le regard. Ainsi, votre message ne passera pas inaperçu. En fonction de votre diagnostic visuel, un professionnel pourra vous proposer un kakemono en impression recto verso ou sur une seule face. Booster l’activité de son entreprise L’ultime objectif de réaliser une signalétique intérieure en faisant appel à un professionnel est de booster l’activité de son entreprise. Si vous choisissez de la réaliser vous-même, les résultats peuvent être satisfaisants. Cependant, ils peuvent aussi être catastrophiques pour vos ventes. C’est pour cela que vous devez vous référer à un professionnel. Pour apprécier votre investissement, recueillez les avis de vos clients sur les innovations que vous avez réalisées. Votre chiffre d’affaires représente également un indicateur non négligeable.
Il y a 2 ans et 315 jours

Construction de maison individuelle : 3 astuces pour bien choisir son constructeur

La construction d’une maison reste un projet majeur dont la réussite nécessite beaucoup de préparations et la considération de nombreux paramètres. Parmi ceux-ci, le choix du constructeur revêt une grande importance. Pour vous aider à bien sélectionner votre constructeur de maisons individuelles, voici quelques astuces à prendre en compte. 1.Considérer l’expérience du constructeur Dans ce domaine, l’expérience du constructeur qui doit vous accompagner dans la concrétisation de votre projet représente un paramètre capital. Pour vérifier l’expérience d’un constructeur, vous pouvez effectuer votre petite enquête, surtout en visitant les anciennes réalisations de ce dernier. Une autre façon de s’assurer qu’un constructeur fournit des services de qualité, consiste à chercher à disposer des avis d’anciens clients. À cet effet, sachez que les avis sur le constructeur Maisons Pierre s’avèrent très positifs, ce qui fait de ce professionnel une référence dans le secteur.  Par ailleurs, le constructeur de maison individuelle à choisir doit jouir d’une grande compétence technique. En effet, ce professionnel doit conduire toutes les opérations de construction, de la création des plans jusqu’à la livraison du chantier, en passant par la réalisation des travaux. Ainsi, son savoir-faire doit englober des qualités de concepteur, d’architecte, de superviseur de travaux et autres. 2.Vérifier les garanties proposées Un autre élément à ne pas négliger lors du choix de votre constructeur concerne les garanties indispensables. En réalité, la loi impose aux constructeurs de souscrire des garanties réglementées. Ces dernières doivent être souscrites auprès des organismes de crédit ou d’une compagnie d’assurance. Voici quelques garanties qui doivent apparaitre dans le CCMI (contrat de construction de maison individuelle) : La garantie de livraison à prix et délais convenus : elle vous protège contre les risques de mauvaise exécution ou d’inexécution des travaux dans le temps convenu ; La garantie de parfait achèvement : elle dure un an à compter du moment où vous recevez la clé de votre maison neuve et couvre les imperfections constatées dans celle-ci ; La garantie de bon fonctionnement : elle couvre pendant deux ans les dommages qui empêchent le bon fonctionnement des éléments et appareils dissociables de l’habitation ; La garantie décennale : elle couvre durant dix ans les imperfections de construction et les dégâts qui ne permettent pas de profiter pleinement de la maison. Avant d’opter pour un constructeur, veuillez donc vérifier que celui-ci s’avère bien couvert par ces différentes garanties, ou tout au moins par la garantie de livraison à prix et délais convenus ou la garantie de parfait achèvement. 3.Tenir compte de l’aspect financier du projet En sollicitant les services d’un constructeur, vous allez confier toutes les opérations de construction à ce dernier. Ainsi, la facture de ce professionnel sera plus conséquente par rapport à d’autres spécialistes du domaine comme les entrepreneurs. Avant de vous lancer, vous devez donc bien évaluer ce que le projet va coûter en termes de prix, dont le coût de la prestation du constructeur. La rémunération de celui-ci varie souvent selon son savoir-faire, sa renommée et son expérience. Cependant, ne pensez pas que plus le professionnel en question coûte cher, plus il parait compétent. Des tarifs élevés ne constituent pas forcément des preuves d’efficacité dans ce secteur. Lors de votre évaluation, recherchez surtout le professionnel qui affiche le meilleur rapport qualité-prix.
Il y a 2 ans et 316 jours

Le CCCA-BTP, accélérateur d'innovation dans la formation aux métiers du BTP, fête ses 80 ans

La soirée a été ponctuée de plusieurs séquences, en présence de personnalités et de représentants de l’État et des professionnels des secteurs du bâtiment et des travaux publics, acteurs de premier plan qui agissent au quotidien pour assurer une haute qualité pédagogique dans la formation professionnelle aux métiers du BTP, en particulier par la voie de l’apprentissage, et répondre aux besoins en compétences des entreprises et aux attentes des jeunes.Un événement riche d’échanges avec…Carine Seiler, Haut-commissaire aux compétences Sur le thème : « Transformation et digitalisation de la formation - De nouvelles modalités d’acquisition des compétences »Stéphane Rémy, Sous-directeur des politiques de formation et du contrôle à la délégation générale à l'emploi et à la formation professionnelle (DGEFP) Sur le thème : « Les branches du bâtiment et des travaux publics - Un rôle essentiel dans la mise en œuvre des politiques publiques » Édouard Geffray, Directeur général de l’enseignement scolaire au ministère de l’Éducation nationale Sur le thème : « Formation des enseignants et des formateurs - Qualité de l’acte pédagogique » Jean-Pierre Willems, Consultant, professeur à l’Université Paris 1 Panthéon-SorbonneSur le thème : « L’apprentissage BTP - Les grands enjeux à venir »Bruno Villalba, Professeur de sciences politiques à AgroParisTech Sur le thème : « Les secteurs du bâtiment et des travaux publics - Acteurs de la performance environnementale »Catherine Vandor, Mère d’un ancien apprenti formé à BTP CFA Brétigny-sur-Orge Sur le thème : « L’apprentissage aux métiers du BTP - Une voie de formation qui fait grandir »Ces séquences ont été ponctuées par les interventions d’Éric Routier, président du CCCA-BTP, et de Jean-Christophe Repon, vice-président du CCCA-BTP, ainsi que par des vidéos témoignages.Depuis 80 ans, toujours un temps d’avance...À travers 80 ans d’innovation au service des entreprises et des apprentis du BTP, le CCCA-BTP est resté fidèle à sa mission originelle : promouvoir et concourir au développement de la formation professionnelle aux métiers du BTP.C’est en prenant en permanence des initiatives et en gardant toujours un temps d’avance sur les évolutions socio-économiques, législatives, techniques, technologiques ou pédagogiques que le CCCA-BTP est devenu au fil des années un acteur majeur de la formation professionnelle aux métiers du BTP, en particulier par la voie de l’apprentissage. 94 500 apprentis sont aujourd’hui en formation dans les métiers du BTP dans près de 400 établissements de formation partout en France.Grâce à son ancrage paritaire, qui le connecte directement aux réalités des métiers et des territoires, le CCCA-BTP mène de nombreuses actions sur tous ses champs d’expertise (pédagogie, innovation, études, montée en compétences, communication…) au profit du développement et de l’excellence de l’apprentissage BTP. Ces actions visent à garantir une haute qualité pédagogique dans la formation aux métiers du BTP et à répondre aux besoins en compétences des entreprises du secteur et aux attentes des jeunes, y compris en termes d’accompagnement socio-éducatif.Anticiper, innover, performer…Avec la loi du 5 septembre 2018 pour la liberté de choisir son avenir professionnel, la formation professionnelle, en particulier l’apprentissage, a connu une mutation sans précédent, à laquelle les organismes de formation ont dû s’adapter, tant en termes de fonctionnement et d’organisation, qu’en matière d’offre et d’actions de formation, mais aussi d’innovation. C’est également pour répondre à ce profond changement, que le CCCA-BTP s’est lui aussi transformé et adapté pour relever tous les défis du nouvel environnement de la formation professionnelle. En sa qualité d’outil des branches du bâtiment et des travaux publics, le CCCA-BTP agit au profit de l’ensemble des organismes de formation aux métiers du BTP. Avec son offre de services, il les accompagne pour leur permettre d’anticiper les évolutions, gagner en attractivité, assurer le développement de leur activité, optimiser leur performance et garantir une haute qualité pédagogique sur l’ensemble des territoires. Le CCCA-BTP, qui fait de l’innovation un marqueur fort de son action, soutient les expérimentations et les projets innovants avec des appels à projets et appels à candidatures, conçoit des ressources et outils pédagogiques adaptés à la montée en compétences des apprentis, aux nouvelles formes d’apprentissage (réalité virtuelle et augmentée, formation à distance, hybridation des compétences) et aux besoins en qualification professionnelle des entreprises. Le CCCA-BTP est un éclaireur de tendances, un accélérateur d’innovation dans la formation aux métiers du secteur de la construction et un impulseur de performance, au profit des organismes de formation aux métiers du BTP et, plus largement, au service des branches du bâtiment et des travaux publics.Le mot d’Éric Routier, président du CCCA-BTP« Nous avons souhaité faire de ce 80e anniversaire un moment à la fois convivial et éclairant de notre action au profit du développement, de l’excellence et de la performance de l’apprentissage BTP. Nous sommes les héritiers d’une longue histoire, sur laquelle nous pouvons capitaliser et qui nous permet d’éclairer notre présent et d’inscrire résolument notre action dans l’avenir. Les professionnels du BTP ont toujours eu la profonde conviction qu’investir dans la formation des talents de demain est une condition essentielle, pour assurer le développement et la pérennité de notre secteur du BTP. Les apprentis que nous formons sont les futures forces vives de nos entreprises. C’est au profit de l’ensemble des organismes de formation aux métiers du BTP que notre association à gouvernance paritaire agit aujourd’hui, avec une offre de services qui leur est spécifiquement dédiée, pour assurer la performance de leur activité et une haute qualité pédagogique. » Le mot de Jean-Christophe Repon, vice-président du CCCA-BTP « L’identité paritaire de notre association nationale, qui connecte directement le CCCA-BTP aux réalités des métiers et des territoires, nous a toujours permis d’avoir un temps d’avance, pour adapter la formation à nos métiers du bâtiment et des travaux publics et répondre ainsi aux besoins en compétences et qualifications professionnelles dont nos entreprises ont besoin. Le CCCA-BTP a toujours eu une vision d’avenir et a toujours fait de l’innovation l’un des marqueurs essentiels de son action. C’est cette capacité à anticiper qui permet à notre secteur du BTP d’être aux rendez-vous des grandes transformations, qu’il s’agisse des transitions énergétique, technologiques ou numérique. La formation est essentielle aux entreprises et aux jeunes qui choisissent nos métiers. Elle est à la fois un vecteur économique, une source de développement et de compétences. La pérennité de nos entreprises passe par la promotion de l’apprentissage. »
Il y a 2 ans et 317 jours

Commande en ligne de pièces détachées pour volets roulants, un nouveau service sur la boutique en ligne de France Fermetures

Avec plus de 4 millions de volets roulants vendus chaque année en France, le parc installé ne cesse de croître, ce qui entraîne une demande de plus en plus forte de leur maintenance et de leur réparation. La fourniture de pièces détachées devient donc un enjeu majeur pour le marché du volet roulant. Pour répondre à cette demande croissante et simplifier le quotidien de ses clients installateurs, France Fermetures a développé une boutique en ligne de pièces détachées pour la pose, la motorisation et la réparation des volets roulants. Une ergonomie pensée pour simplifier la recherche et améliorer l’expérience client Accessible depuis l’espace Pro du site internet de France Fermetures, la nouvelle boutique permet de commander en ligne plus de 700 références de pièces détachées de volets roulants (moteurs, organes de commande, lames de tabliers, coulisses, caissons, accessoires…), des composants standards ou à longueur selon les besoins des clients. L’ergonomie a été particulièrement étudiée pour que les utilisateurs retrouvent facilement la pièce qu’ils recherchent. Extrêmement bien structuré, un « Mega Menu » permet de classer les composants par type, puis de filtrer selon les caractéristiques de la pièce recherchée (couleurs, dimensions, marque…). Des fiches complètes avec photos, descriptifs et caractéristiques techniques permettent à l’utilisateur d’être sûr de commander le bon produit. Elles sont, en plus, agrémentées « d’articles suggérés » afin de ne rien oublier lors du passage de la commande. Une barre de recherche par mots-clés ou codes articles est également disponible pour identifier rapidement le produit. L’utilisateur peut également ajouter des articles à ses « favoris » afin de créer son propre catalogue de pièces détachées et ainsi accéder instantanément aux articles qu’il commande de manière récurrente. Avec sa nouvelle boutique de pièces détachées pour volets roulants et ses configurateurs 3CPRO disponibles pour l’ensemble des produits de la marque sur pro.france-fermetures.fr, France Fermetures propose désormais une offre complète de services en ligne à ses clients. Grâce à ce nouvel outil digital à la navigation intuitive, ces derniers ont le choix de commander, à tout moment, des volets roulants complets sur-mesure, des pièces détachées pour en assurer facilement et rapidement la maintenance, ou pour se constituer un petit stock de composants afin de répondre très rapidement à une réparation sur chantier lors de l’installation d’un produit qui pourrait avoir été abîmé. http://www.france-fermetures.fr/
Il y a 2 ans et 317 jours

La construction durable selon WEBER : une vocation véritable

Un programme RSE porté par l’emblématique hashtag « VertEtFier », une gamme de produits & services éco-engagés qui ne cesse de s’étoffer, de conséquents investissements en vue de réduire toujours davantage son empreinte carbone et sa consommation de ressources, un accompagnement privilégié des professionnels du bâtiment dans le développement de nouveaux modes constructifs, comme celui de la […]
Il y a 2 ans et 317 jours

Gommer les limites : un centre de loisirs par Nicolas Simon dans le Val-d'Oise

L'architecte Grichka Martinetti, cofondateur de l'Atelier PNG, lauréat de l'Équerre d'argent 2021 pour les équipements de services publics à Neuvecelle (Haute-Savoie, avec Julien Boidot, Emilien Robin, arch. et Ateliers des Cairns, pay.), donnera une conférence le lundi 11 juillet 2022, à la Maison de l'architecture […] Lire l'article
Il y a 2 ans et 317 jours

Atelier PNG, en conférence à la Maison de l'architecture Île-de-France

L'architecte Grichka Martinetti, cofondateur de l'Atelier PNG, lauréat de l'Équerre d'argent 2021 pour les équipements de services publics à Neuvecelle (Haute-Savoie, avec Julien Boidot, Emilien Robin, arch. et Ateliers des Cairns, pay.), donnera une conférence le lundi 11 juillet 2022, à la Maison de l'architecture […] Lire l'article
Il y a 2 ans et 320 jours

Services aux clients : à quoi doit s'attendre le Bâtiment dans les années à venir ?

ÉTUDE. Expérience, satisfaction... comme les autres secteurs, le BTP ne lésine pas sur les moyens pour répondre aux besoins des clients, et ce, avant, pendant et après l'achat d'un bien ou d'un service. Quels sont les besoins émergents et quels seront les services de demain ? Eléments de réponse avec l'étude menée par TBC ET Codha pour l'Observatoire des métiers du BTP.
Il y a 2 ans et 321 jours

Hausse des impayés et risque élevé d'expulsions en Europe, selon un rapport

"Dans l'Union européenne, depuis la pandémie de Covid-19, 8,3% des ménages pauvres se trouvent en situation d'impayé de loyer ou de remboursement d'emprunt immobilier", un phénomène qui a augmenté de 20% entre 2019 et 2020, affirment la Fondation Abbé-Pierre et la Fédération européenne des associations nationales travaillant avec les sans-abri (FEANTSA).De ce fait, on peut "craindre, à terme, une augmentation des expulsions avec des conséquences sociales importantes", ajoutent les deux associations dans la 7e édition de leur rapport annuel sur le mal-logement en Europe. Ce risque est d'autant plus élevé que les moratoires sur les expulsions décidées de manière temporaire du fait de la crise du Covid-19 "ont progressivement pris fin", et que la présence de millions de réfugiés ukrainiens "risque également d'augmenter une pression déjà forte sur les services d'aide aux personnes en difficulté", font valoir les auteurs du rapport.Beaucoup de familles, déjà fragilisées par les conséquences économiques de la pandémie, doivent désormais faire face à la hausse des coûts de l'énergie et à l'inflation. Elles sont "prises entre le marteau et l'enclume, entre la pandémie et la crise du pouvoir d'achat", résume Sarah Coupechoux, chargée des questions européennes à la Fondation Abbé Pierre."Cela doit nous alerter: pour éviter une bombe sociale, les Etats de l'UE doivent prendre des mesures structurelles", a-t-elle ajouté, citant une revalorisation des allocations logement et des minima sociaux, ainsi qu'une politique d'encadrement des loyers et de "lutte contre la spéculation immobilière".Pour les auteurs du rapport, "il est indispensable de ne pas réduire le soutien aux ménages vulnérables, comme cela a été fait" avec les politiques européennes d'austérité, "mais au contraire de les aider à faire face à la crise des coûts de la vie", par exemple en puisant dans les plans de relance.La lutte contre le mal-logement et le sans-abrisme doit également être "alignée" avec celle contre la précarité énergétique, soulignent a Fondation Abbé-Pierre et la FEANTSA : les rénovations des logements mal isolés ou trop énergivores doivent profiter en priorité aux plus plus mal logés, mais avec des garanties pour que cela n'augmente pas déraisonnablement leur loyer.
Il y a 2 ans et 321 jours

EDF a recommencé à gagner des clients et mise sur les services

"A l'érosion succède un rebond commercial", a indiqué lors d'une conférence de presse Marc Benayoun, directeur en charge des clients, services et territoires, en faisant état d'une hausse nette de 550.000 clients depuis septembre 2021.Leur nombre est ainsi passé de 25,7 millions à cette date à 26,2 millions en mai 2022. Selon les chiffres fournis par EDF, le nombre de contrats est ainsi repassé au-dessus des niveaux de janvier 2021 (26 millions).L'essentiel de cette croissance du nombre de clients est lié au gaz et aux services, a souligné Marc Benayoun.Le nombre de contrats dans l'électricité est pour sa part resté globalement stable, une situation toutefois meilleure que les années précédentes durant lesquelles EDF perdait beaucoup de clients.Cette meilleure fortune s'inscrit dans un contexte de difficulté pour nombre de fournisseurs alternatifs avec la crise des marchés de l'énergie, ainsi que dans la perspective de la fin prochaine des tarifs réglementés du gaz, actuellement fournis par Engie.Pour l'avenir, EDF ne compte par sur une hausse importante de son activité de fourniture d'énergie (électricité et gaz) pour assurer sa croissance mais plutôt sur le développement des services énergétiques aux particuliers comme aux entreprises.Le groupe prévoit une hausse de quelque 50% de son Ebitda (excédent brut d'exploitation) du pôle clients, services et territoires à l'horizon 2030 : il doit passer d'un peu moins d'un milliard d'euros en 2021 (sur un total de 18 milliards pour le groupe EDF) à un montant compris entre 1,3 et 1,5 milliard en 2030.L'essentiel de la croissance proviendra donc des activités de services énergétiques, dont l'Ebitda doit doubler à l'horizon 2030.EDF compte pour cela s'appuyer sur sa filiale Dalkia, qui propose déjà des services aux entreprises et aux collectivités, mais aussi sur l'émergence de services sur des marchés jugés porteurs, comme la rénovation énergétique, la mobilité électrique ou encore le photovoltaïque.