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Il y a 2 ans et 300 jours

Vagues de chaleur : les syndicats européens demandent une loi sur la température maximale

SANTÉ-SÉCURITÉ. Face à la multiplication des épisodes de fortes chaleurs, la Confédération européenne des syndicats appelle à adopter une législation communautaire fixant la température maximale à laquelle les salariés peuvent travailler. D'après l'organisation, le risque d'accident du travail augmente proportionnellement à la hausse du mercure, et la canicule peut avoir de lourdes conséquences sur la santé des ouvriers.
Il y a 2 ans et 300 jours

Rénovation énergétique : les aides et le reste à charge des ménages en situation de précarité énergétique

Les travaux de rénovation énergétique sont la pierre angulaire pour atteindre cet objectif mais ils restent hors de portée pour les plus précaires en raison du reste à charge parfois colossal en fonction des postes. En parallèle, des aides existent, MaPrimeRénov' et les Certificats d'Économies d'Énergie (CEE) pour les plus connues, mais elles subissent régulièrement des évolutions réglementaires, parfois à la hausse mais aussi à la baisse.Pour dresser un état des lieux des variations depuis janvier 2021 jusqu'à juillet 2022, Hellio, acteur de référence de la maîtrise de l'énergie, s'est intéressé à l'évolution des primes et du reste à charge des ménages modestes[1] et précaires[2] sur les principaux postes de travaux (rénovation globale, isolation des murs, isolation des combles, chaudière biomasse, pompe à chaleur air/eau et chaudière gaz), en prenant en compte les différentes évolutions réglementaires.[1 ]Correspondants à la couleur jaune du barème MaPrimeRénov'[2] Correspondants à la couleur bleu du barème MaPrimeRénov'Méthodologie de l'étude HellioPour réaliser son étude sur la précarité énergétique, Hellio s'est appuyé sur l'étude de l'Ademe 2019 pour estimer le coût des travaux pour l'isolation des murs (100 m2), l'isolation des combles (100 m2), la pompe à chaleur, la chaudière gaz, et sur ses propres chantiers pour la rénovation globale[3] (maison de 150 m2) et la chaudière biomasse[4]. La hausse du coût des chantiers constatée depuis le 1er mars 2022 est estimée sur la base des retours terrain de Hellio.Le montant des primes, incluant MaPrimeRénov' et les CEE, est calculé via les données moyennes de Hellio.Cap sur la rénovation globale et le chauffage ENRConsidérée comme LA priorité des travaux à mener, la rénovation globale est portée par plusieurs aides : MaPrimeRénov'[5] et le Coup de pouce Rénovation performante en maison individuelle[6]. Mais son reste à charge demeure très élevé : entre 35.253 € et 41.664 € au 1er juillet 2022, après 2 évolutions réglementaires.Le 1er janvier 2022 est intervenue une baisse des aides accordées (-29% pour les précaires et –24% pour les modestes), liée aux changements de calculs du Coup de pouce Rénovation performante, entraînant une hausse du reste à charge de 5.292 € pour les précaires et de 3.565 € pour les foyers modestes[7]. Une augmentation qui s'est accentuée depuis mars 2022 avec la hausse du coût des chantiers en raison de la guerre en Ukraine (hausse des matières premières, augmentation des prix de l'énergie, etc.). À l'inverse, grâce au cumul désormais possible de MaPrimeRénov' Sérénité et du Coup de pouce des CEE depuis 1er juillet 2022, les aides augmentent de 116% et 95%, respectivement pour les précaires énergétiques et les foyers modestes. Une évolution qui permet aux précaires de revenir au niveau de reste à charge de 2021, aux alentours de 35.000 €, mais qui reste cependant trop élevé et empêche inévitablement les ménages modestes et précaires de franchir le pas. Dans la pratique, il peut être difficile pour le moment d'obtenir l'aide MaPrimeRénov' Sérénité. En effet, celle-ci est conditionnée par l'évaluation d'un interlocuteur Mon Accompagnateur Rénov', dont les modalités restent encore inconnues : le texte réglementaire n'a toujours pas été publié à ce stade.[3] Hors programme Habiter Mieux Sérénité[4] Les coûts estimés par l'Ademe pour la rénovation globale et la chaudière biomasse semblaient sous-estimés par rapport à la moyenne constatée par Hellio sur le terrain[5] À condition d'atteindre au moins 35% d'économies d'énergie[6] À condition d'atteindre au moins 55% d'économies d'énergie[7] Calcul basé sur 40 chantiers Hellio de travaux de rénovation globale (hors programme Habiter Mieux Sérénité)Du côté du chauffage, la chaudière biomasse et la pompe à chaleur air/eau tirent leur épingle du jeu.Stables depuis le 1er janvier 2021, les aides pour l'installation d'une chaudière biomasse ont connu une seule évolution : l'augmentation de MaPrimeRénov' de 1.000€ le 15 avril 2022. Estimé à 1.629€ pour les précaires et 4.703€ pour les modestes, le reste à charge ne baisse pas pour autant en raison de l'impact de la guerre en Ukraine qui engendre une hausse du prix des travaux.La tendance observée pour la pompe à chaleur air/eau est identique. La seule évolution concerne l'augmentation de 1.000€ MaPrimeRénov' le 15 avril 2022, portant le montant des primes à 9 000€ pour les précaires et 8.000€ pour les modestes. Cette aide supplémentaire ne permet pas de baisser le reste à charge moyen, estimé à 4.681€ pour les précaires et 5.681€ pour les modestes. Elle suffit seulement à absorber la hausse des prix des matériaux, les ménages devant même débourser un peu plus en juillet 2022 par rapport à février 2022.Les aides pour les mono-gestes d'isolation et de chaudière gaz en bernePourtant jugés comme incontournables si pas encore réalisés, les travaux d'isolation des murs sont de moins en moins subventionnés, le reste à charge est en très forte hausse : +400% pour les ménages précaires et +81% pour les modestes entre janvier 2021 et juillet 2022. Ce poste de travaux a été impacté par 2 révisions des aides à la baisse. La bonification des CEE pour les précaires a pris fin le 31 décembre 2021 avec une 1ère baisse importante des aides de près de 21% et une hausse du reste à charge de 2.695 €. La 2e baisse des aides CEE pour les travaux d'isolation des murs et la hausse du coût des chantiers liée au conflit russo-ukrainien ont ensuite provoqué un doublement du reste à charge entre le 1er janvier 2022 et le 1er juillet 2022 pour les ménages précaires, et un quasi doublement pour les ménages modestes.Les aides aux travaux d'isolation des combles ont subi 2 baisses successives liées à l'évolution du Coup de pouce Isolation. Le reste à charge moyen a bondi de 1.200 € à 3.395 € entre janvier 2021 et juillet 2022 pour les précaires et de 1.700 € à 3.955 € pour les modestes.La 1ère révision le 1er juillet 2021 a donné lieu à une baisse des aides de près de 18% (précaires) et 25% (modestes) et donc, en parallèle, à une augmentation du reste à charge moyen de 800 € pour les précaires et de 1.000 € pour les modestes.Enfin, plus récemment, l'arrêt du Coup de pouce Isolation depuis le 1er juillet 2022, couplé au contexte de hausse des prix des matériaux dû au conflit russo-ukrainien, entraîne une nouvelle augmentation du reste à charge moyen.À l'inverse des équipements utilisant les énergies renouvelables, et dans le contexte géopolitique actuel, la chaudière gaz n'a plus le vent en poupe !L'arrêt du Coup de pouce Chauffage gaz et émetteurs le 30 juin 2021 a entraîné une baisse des aides de près de 41% pour les précaires et de 36% pour les modestes. Entre la baisse des primes accordées et la hausse des prix des matériaux constatée, le reste à charge moyen a de son côté augmenté de plus de 48% pour les précaires et de 27% pour les modestes entre janvier 2021 et juillet 2022.Les aides pour la chaudière gaz connaîtront un nouveau coup d'arrêt le 31 décembre 2022 avec la suppression de MaPrimeRénov'.Cette étude conforte les orientations stratégiques données à la rénovation énergétique : mettre fin aux mono-gestes considérés comme inefficaces au profit de travaux plus globaux. En parallèle, le soutien aux solutions de chauffage ENR témoigne de la volonté de sortir de l'énergie gaz pour ne plus dépendre de la Russie.Pour Pierre Maillard, PDG de Hellio : « Le dispositif des CEE, 1er outil d'aide à la rénovation énergétique, se doit d'être renforcé pour atteindre nos objectifs de rénovation énergétique et accélérer la transition énergétique. Soyons ambitieux, sortons de nos zones de confort, ayons un haut niveau d'exigence. La massification de la rénovation énergétique et l'atteinte de nos objectifs communs d'économies d'énergie ne pourra se faire que par des dispositifs vertueux et permettant l'atteinte d'économies d'énergie réelles. Il faut travailler sur le dispositif des CEE en ce sens ».
Il y a 2 ans et 300 jours

Le Grand Prix de l’urbanisme 2022 décerné à Franck Boutté

Créé en 1989, le Grand Prix de l’urbanisme distingue chaque année une personnalité reconnue par un jury international. Il valorise l’action des professionnels qui contribuent à faire avancer la discipline et à améliorer le cadre de vie des habitants de tous les territoires.Cette année, le jury a désigné Franck Boutté pour sa démarche pionnière sur l’ingénierie environnementale des projets architecturaux, urbains et territoriaux. Sa double approche d’ingénieur et de concepteur, et son positionnement de conseil et d’assistance à maîtrise d’ouvrage, lui permettent de réinterroger les projets à l’aune de solutions innovantes mais aussi contextuelles voire vernaculaires. Ses réalisations démontrent qu’il est possible de proposer des projets énergétiquement plus sobres, plus résilients face au changement climatique, mais aussi plus agréables à vivre.Franck BouttéFranck Boutté, né le 27 avril 1968, a fondé une agence de conception et d’ingénierie environnementale, Franck Boutté Consultants. Son agence développe depuis plus 15 ans des concepts et méthodologies, des stratégies et des solutions concrètes visant à améliorer la soutenabilité et l’habitabilité des territoires et des bâtiments, en intervenant à toutes les étapes des projets et à toutes les échelles, dans une approche à la fois contextuelle et soucieuse d’effets induits positifs sur leur territoire d’accueil.Coordonnateur en 2003 d’un guide sur la construction durable, puis très vite engagé sur de nombreux projets de bâtiments à faible impact environnemental, il élargit progressivement son champ de réflexion et d’action au « projet urbain », en cherchant à une échelle plus large que celle du périmètre d’intervention les leviers de soutenabilité les plus efficients.En réaction au modèle du bâtiment à énergie positive, il formalise en 2010 le concept de TEGPOS, territoire à énergie globale positive, pour revendiquer le passage nécessaire du bâtiment au territoire et la prise en compte des multiples composantes de l’énergie.Au Maroc, à Casablanca (Anfa et Zenata), il travaille avec Bernard Reichen sur l’écologie méditerranéenne, renouant avec des savoirs vernaculaires et l’art « de l’ombre et du vent », essentiels en l’Europe à l’ère du réchauffement climatique.Pour le projet d’aménagement de l’Île de Nantes, il invente avec son équipe une charte de développement durable et une méthodologie de prescriptions négociées, basée sur des « figures de durabilité », dans la continuité de la réflexion déjà entreprise lors du plan guide d’Alexandre Chemetoff.A plus grande échelle, sa collaboration avec François Leclercq sur le SCOT de Montpellier lui offre l’opportunité de faire naître un projet de territoire qualitatif traitant de la revitalisation urbaine dans une démarche métaboliste intégrant les risques et valorisant l’eau, la nature, l’agriculture, et l’énergie.Il est également mobilisé avec l’agence Richez et Léonard sur le projet de la Rue commune qui vise à fournir aux collectivités et aux organisations citoyennes un cadre et des outils pour engager la transition de rues ordinaires en « communs », à l’heure de la ville post-carbone.Récemment lauréat avec le paysagiste Bas Smets des abords de Notre Dame, il imagine avec l’équipe un mode de refroidissement du sol, prévenant la formation d’îlots de chaleur urbains.Il défend « la part inconstructible des territoires » par un réseau de « vides » sanctuarisés. Et propose des trajectoires pour guider la transition écologique des territoires : la restauration des écosystèmes naturels, la neutralité carbone, la dimension inductive et régénérative des projets sur le territoire et leur capacité engageante vis-à-vis des citoyens. A cet égard, il participe à un renouvellement de la dimension politique de l’urbanisme.C’est un méthodologue, il dit construire sa pensée grâce à son action : « Je ne peux pas dissocier la pensée de l’action. Je m’intéresse plus à ce que je fais qu’à ce que je pense. »Le Jury a salué la qualité des 6 autres équipes ou personnalités sélectionnées : Dominique Alba, directrice générale de l’APUR ; Nicolas Detrie, créateur de Yes we camp ; Sebastien Marot, philosophe chercheur et enseignant, Claire Schorter, Simon Teyssou et l’agence TVK, architectes-urbanistes.Leur apport est immense combiné à celui du lauréat en offrant des perspectives d’avenir à l’urbanisme telles que la nécessité de changer de modèle, de méthodes voire de société avec un degré différent de radicalité. Ils évoquent l’évolution du jeu des acteurs, la plupart partant du projet, source de leçons et d’expérimentation, mais aussi de lectures, d’écrits, de rencontres, pour ouvrir des perspectives pour la diversité des territoires des plus métropolitains aux plus ruraux. Ils privilégient la mise en relation des espaces, mais surtout des sujets, en défendant la sobriété, déplorant la financiarisation, source de renchérissement des villes, et privilégiant l’entrée environnementale mais aussi le collectif, au sein des équipes, avec d’autres équipes, avec des spécialistes voire avec les habitants ou les preneurs d’initiatives. Ils appellent à partager les enjeux, et dépasser les controverses, pour faire la ville et la vie meilleures.Le Jury du Grand Prix de l’urbanisme 2022La PrésidenteStéphanie DUPUY-LYON, Directrice générale de l’aménagement, du logement et de la nature (DGALN) *Les membresLes personnalités internationalesPhilippe CLOSE, Maire de Bruxelles.Paola VIGANO, Grand Prix de l’Urbanisme 2013.Les professionnelsÉric BAZARD, Président du club ville aménagement.Alain BOURDIN, professeur à l’Ecole d’urbanisme de Paris et directeur de la Revue Internationale d’Urbanisme.Fabienne BOUDON, Particules, lauréate Palmarès des jeunes urbanistes 2018.Gérard PENOT, Grand prix de l'urbanisme 2015.Caroline POULIN, l'AUC, Grand prix de l'urbanisme 2021.Hélène PESKINE, Secrétaire permanente du PUCA.Les personnalités qualifiéesMarie Douce ALBERT, Journaliste au Moniteur.Emeline CAZI, Journaliste au Monde.Ministère de la Culture et de la CommunicationAurélie COUSI, Directrice chargée de l'architecture, adjointe au directeur général des patrimoines, ministère de la culture et de la communication *Nota : * l’étoile désigne les membres de droit
Il y a 2 ans et 301 jours

Les maisons saoudiennes se mettent aux tendances architecturales

Mais en 2020, en plein confinement, ce Saoudien de 52 ans a décidé de donner un coup de jeune à sa demeure : un patio donnant sur la rue, des murs en travertin gris et des fleurs dans le jardin."Nous avions deux choix : construire une nouvelle maison ou rénover l'ancienne", confie ce responsable des ressources humaines, en faisant visiter sa maison."Nous avons fait un pas vers l'amélioration de notre mode de vie", se réjouit-il.Ce père de famille a également égayé son jardin avec une piscine, un hamac et des amandiers importés de Thaïlande : un nouveau lieu de détente pour sa femme et ses sept enfants."Maintenant, il y a une utilisation optimale de l'espace", se félicite M. Madini.Selon des architectes et ingénieurs locaux, ces nouvelles tendances sont devenues l'archétype des projets de rénovation et de construction en cours à Ryad, avec des Saoudiens en quête de maisons chaleureuses plutôt qu'imposantes."Grand impact social"Dans un contexte de réformes sociales ces dernières années, l'Arabie saoudite a ainsi connu une "ouverture architecturale", constate Abdallah al-Jasser, propriétaire de l'agence de design qui s'est occupée de la maison de M. Madini."Les gens sont plus ouverts au changement et aux tendances", observe M. Jasser, ajoutant qu'ils y sont d'autant plus incités que l'achat de terres pour construire de nouvelles maisons est devenu très coûteux à Ryad.A l'image du pays, l'architecture de la capitale reste très austère avec pour seule fantaisie de minuscules fenêtres triangulaires typiques du Najd, la région centrale du royaume.La petite taille de ces fenêtres s'explique par le besoin de s'isoler du soleil, dans un pays où les températures tournent autour des 40 degrés Celsius une grande partie de l'année.Ces petites fenêtres offrent également "une plus grande intimité aux familles", ajoute Ali al-Luhidan, un architecte saoudien.Mais selon lui, et d'autres défenseurs d'une architecture plus moderne, ces espaces de vie mal éclairés et mal ventilés ont eu "un grand impact social" en contribuant à "une culture de fermeture sur soi".En 2018, les autorités ont rendu obligatoire, pour les nouveaux bâtiments, la présence de fenêtres plus grandes, en partie au nom de la santé publique, le soleil étant jugé essentiel au bon fonctionnement de l'organisme.De plus en plus de salons disposent ainsi de "baies vitrées donnant sur l'extérieur", se réjouit M. Luhidan : "tout est ouvert et c'est une nouvelle culture en Arabie saoudite"."Sans restriction"D'autres évolutions viennent aussi avec l'assouplissement des normes sociales promu par le jeune prince héritier Mohammed ben Salmane, dirigeant de facto qui, depuis cinq ans, tient son royaume d'une main de fer.Auparavant, la plupart des maisons comportaient des entrées et salons séparés pour les hommes et les femmes. Alors que la mixité se banalise dans les lieux publics, les villas n'abritent qu'une seule salle de réception pour optimiser l'espace, observe l'architecte M. Luhaidan.Et les nouvelles tendances ne se limitent pas qu'aux quartiers résidentiels, les grands centres commerciaux et d'autres espaces publics s'y mettent aussi.L'une des principales causes du changement : la fin, depuis 2019, de l'obligation de la ségrégation sexuelle, qui imposait aux restaurants d'avoir des entrées et espaces strictement séparés entre les familles et les hommes seuls."Les anciens designs répondaient à une culture de la séparation et de la ségrégation", explique Mohammed Abdelmoneim, chargé du design professionnel au sein d'une société de développement immobilier. Pour lui, la réforme a provoqué un "changement radical".Le Riyadh Front, un complexe commercial et gastronomique haut de gamme doté de fontaines et d'une promenade bordée d'arbres, rassemble ainsi des clients de tous âges, hommes et femmes, surtout après le coucher du soleil."Ces espaces ouverts connaissent un grand succès", assure M. Abdelmoneim, car "les gens y communiquent tous entre eux sans aucune restriction".
Il y a 2 ans et 303 jours

Les obligations de l'employeur sur le lieu de travail face aux fortes chaleurs

C'est à l'employeur de prendre les mesures nécessaires pour assurer la sécurité et protéger la santé de ses salariés, notamment en cas de canicule.
Il y a 2 ans et 304 jours

Viessmann jette les bases d’une accélération de la production de pompes à chaleur en Europe et investit 200 millions d’euros dans un nouveau site technologique à Legnica, en Pologne.

• Pose solennelle de la première pierre avec le premier ministre polonais : Mateusz Morawiecki salue le partenariat étroit et durable avec Viessmann en Pologne depuis 30 ans  • L’investissement de plus de 200 millions d’euros dans le nouveau site est un élément clé de l’offensive climatique verte d’un milliard d’euros de Viessmann  • L’entreprise […]
Il y a 2 ans et 305 jours

A Nantes, du mobilier urbain innovant testé pour lutter contre les îlots de chaleur

EXPÉRIMENTATION. Dans la métropole de Nantes, 4 innovations lauréates d'un appel à projets pour imaginer la ville de demain vont être testées durant plusieurs mois. Parmi elles, un nouveau type de mobilier urbain, conçu par Spie Batignolles, pour aider à rafraîchir la ville.
Il y a 2 ans et 305 jours

Viessmann va construire un nouveau site dédié au PAC en Europe

INVESTISSEMENT. Viessmann continue d'accélérer sur le marché des pompes à chaleur et annonce la construction d'un nouveau site dédié au secteur en Pologne. L'industriel a débloqué une enveloppe de 200 millions d'euros.
Il y a 2 ans et 305 jours

7 Français sur 10 souffrent de la chaleur dans leur logement

La souffrance thermique, un enjeu majeur en France69% des Français déclarent souffrir des températures trop élevées dans leur logement lors de périodes de forte chaleur. Ils sont notamment 30% à en souffrir de plus en plus souvent. Un problème qui, selon les prévisions de Météo France, va s’accentuer. Force est de constater que les épisodes caniculaires se sont multipliés dans le pays ces dernières années. Sur les 43 vagues de chaleur observées depuis 1947, seules 9 ont eu lieu avant 1989. En seulement onze ans, entre 2010 et 2021, 19 ont touché l’Hexagone (source : Météo France).9 français sur 10 (88%) considèrent qu’il est important de trouver une solution pour réduire la température dans les logements, dont près de la moitié (46%) à très court terme. Un constat partagé par Hervé Lamy, Délégué Général du Groupement Actibaie, syndicat membre de la FFB (Fédération Française du Bâtiment) : « Les problématiques de chaleur ne sont pas l’apanage des passoires thermiques, qui totalisent déjà 5 millions de logements. Même les logements très performants sur la thermique d’hiver peuvent être très inconfortables lors de période de fortes chaleurs. Il est temps que les pouvoirs publics prennent à bras le corps ce sujet pour les logements existants, comme ils l’ont fait dans le neuf avec la RE 2020. »Une solution durable : les stores et voletsFermer les stores et/ou volets est de loin la première action mise en place pour rafraîchir le logement pour 82% des Français, suivi par aérer les pièces la nuit (77%), fermer les fenêtres en période d’ensoleillement (62%) utiliser un ventilateur (41%) et enfin un climatiseur (21%).Pour Hervé Lamy, des solutions durables pour réduire la température existent. « Les stores et volets sont en effet très efficaces pour réduire la température intérieure. En maison individuelle, l’indicateur d’inconfort (DH) peut être réduit de 40% en installant des volets et des stores manuels. S’ils sont automatisés, cet indicateur peut encore être abaissé de 20% supplémentaires. Des mesures dans une école récemment rénovée ont montré que l’écart peut être de 10°C entre l’extérieur et l’intérieur uniquement grâce aux protections solaires. »Ces solutions sont d’autant plus prisées que près de la moitié des propriétaires se disent prêts à équiper ou rénover leur logement pour l’installation ou l’automatisation de stores et volets si une aide financière de l’Etat était proposée. « Aujourd’hui les dispositifs d’aides à la rénovation énergétique n’intègrent pas la problématique du confort d’été. Les stores et volets sont totalement exclus. Sur ce sujet, la France est à la traîne comparée à nos voisins allemands ou italiens qui ont sauté le pas. C’est un non-sens social et écologique, incompatible avec les objectifs environnementaux fixés par l’État. »Limiter le recours à la climatisationSi aujourd’hui 21% des Français ont recours à la climatisation, près d’un cinquième (19%) des non-utilisateurs déclare avoir l’intention d’acheter un climatiseur, ce qui porterait le taux d’équipement des foyers français à 40%.Selon un rapport de l'Ademe publié en juin 2021, la climatisation est aujourd'hui responsable de près de 5% des émissions d'équivalent CO2 du secteur du bâtiment en France. « Il est urgent de rénover les logements pour limiter le recours à la climatisation, trop énergivore. Il faut penser impact environnemental et sobriété énergétique... C’est devenu une nécessité dans le contexte géopolitique actuel, mais aussi et surtout, pour faire face à l’aggravation du réchauffement climatique. »
Il y a 2 ans et 305 jours

Rockfeu Therm RsD, une nouvelle gamme pour améliorer l’excellence thermique de l’isolation des planchers en rapporté sous dalle

En plus d’être très énergivores ces logements sont des glacières en hiver et des fours en été. La cause trop souvent ignorée : l’existence de ponts thermiques accentués en ville par les parkings en sous-sols qui créent des déperditions de chaleur non négligeable à travers les planchers.Pour répondre aux impératifs de rénovation du parc de logement, ROCKWOOL, leader mondial des solutions d’isolation en laine de roche, fait évoluer la gamme d’isolant Rockfeu avec Rockfeu Therm RsD, spécialement conçu pour l’isolation des planchers en rapporté sous dalle.Accélérer la rénovation énergétique des logementsPlus efficient, Rockfeu Therm RsD garantit d’excellentes performances thermiques grâce à une conductivité thermique de 0,033 W/m.K. Cette nouvelle gamme d’isolant permet ainsi de conserver la chaleur en hiver et de réduire les pics de chaleur en été dans les logements situés au-dessus de parkings en sous-sols. Avec une durée de vie supérieure à 55 ans, les performances de Rockfeu Therm RsD ne subissent aucune modification dans le temps. Sa robustesse et sa stabilité dimensionnelle permettant au panneau de ne pas se déformer pour garantir un confort d’été à court et long terme.Avec des épaisseurs allant de 60 à 200 mm, la nouvelle gamme Rockfeu Therm RsD permet une isolation thermique mais aussi acoustique plus performante. Les parkings ont tendance à être des espaces particulièrement bruyants. Il est donc essentiel de les protéger du bruit des niveaux de circulation intenses tout au long de la journée. Selon l’Organisation mondiale de la Santé (OMS), le bruit d’une circulation excessive peut avoir un effet nocif sur la santé des personnes.Lutter contre la propagation des incendiesOutre le bruit, le risque de propagation du feu via le parking et dans les logements situés au-dessus peut être considérablement réduit par l’utilisation d’une isolation résistante au feu selon les normes les plus élevées. L’isolation par plancher en rapporté constitue la technique de sécurité incendie la plus performante à destination des commerces et des logements ou pour les établissements recevant du public. Bénéficiant des qualités intrinsèques de la laine de roche ROCKWOOL (7 forces de la roche), Rockfeu Therm RsD offre une solution incombustible (classé Euroclasse A1).
Il y a 2 ans et 305 jours

Reconversion professionnelle : pourquoi devenir décorateur d’intérieur ?

Tout le monde peut souhaiter faire une reconversion professionnelle. Généralement, une baisse de motivation et un manque d’intérêt pour votre travail vous poussent à changer d’orientation professionnelle. Le travail de décorateur d’intérieur figure parmi les emplois qui sont accessibles aux personnes souhaitant changer de métier. Voici quelques raisons qui peuvent vous inciter à exercer ce métier dans le futur. Un travail à la pointe de la tendance Le travail de décorateur d’intérieur figure parmi les emplois à succès de ces dernières années. Ceux qui souhaitent faire une formation pour devenir décorateur d’intérieur ont compris que ce métier est actuellement en plein essor. Il est effectivement facile de se constituer une clientèle en tant que décorateur d’intérieur. Les particuliers sollicitent des experts en décorations pour transformer leurs pièces à vivre. Les entreprises par contre préfèrent engager des décorateurs d’intérieur pour transformer leurs espaces et les rendre plus accueillants et chaleureux. Tous souhaitent créer un lieu agréable à vivre en fonction de leurs besoins spécifiques. Ainsi, le travail de décorateur d’intérieur nécessite aussi une grande créativité pour adapter les dernières tendances à chaque style d’intérieur. Bien évidemment, de la passion est aussi indispensable afin de réussir vos projets de décorations. Grâce à cela, vous avez ainsi la possibilité d’aménager, mais aussi de transformer tous types d’espaces. Une profession accessible pour tous Aucun diplôme spécifique n’est requis pour réaliser le travail de décorateur d’intérieur. Toutefois, le fait de suivre une formation en décoration vous aide dans votre reconversion professionnelle. Ainsi, en plus de votre créativité, vous disposez en plus de tous les bagages nécessaires pour la réalisation de ce travail. Il est à noter cependant que le fait d’avoir de solides connaissances concernant certains logiciels de créations est avantageux pour la réalisation de ce travail. En plus, ce type d’emploi est accessible pour les personnes qui souhaitent se lancer à leur propre compte. Ainsi, vous n’avez pas besoin d’avoir un statut spécifique pour devenir décorateur intérieur. Certains passionnés proposent même leur service. Toutefois, le fait d’avoir des compétences spécifiques offre d’importants avantages pour exceller dans ce métier. Un travail souple Devenir décorateur d’intérieur permet de recevoir une rémunération intéressante. Comme mentionné auparavant, les professionnels en décoration sont très sollicités. Ainsi, vous n’aurez pas du mal à avoir des clients. Par conséquent, votre revenu est défini en fonction du nombre de projets qui sont à votre charge. Vous pouvez alors travailler à votre propre compte ou faire partie d’une agence. Le travail de décorateur d’intérieur est aussi un métier qui se réalise à des horaires flexibles. Vous élaborez votre planning en fonction de votre clientèle. À part cela, le métier de designer d’intérieur se réalise dans le domicile du client. Il est donc nécessaire d’avoir une grande mobilité pour mieux réaliser votre travail. Le métier de décorateur d’intérieur est intéressant pour une reconversion professionnelle. N’hésitez pas à vous lancer dans ce domaine pour réaliser un travail qui vous passionne et qui vous intéresse. En plus, travailler dans la décoration fait partie des professions les plus recherchées actuellement.
Il y a 2 ans et 305 jours

La climatisation réversible au service de votre confort

Avec des températures chaque année plus élevées, nous avons besoin de profiter d’un environnement frais, en particulier durant l’été. Sachez qu’il existe une solution qui peut vous rafraîchir, tout comme vous réchauffer, lorsque vous en avez besoin. La climatisation réversible séduit les Français grâce à sa technologie, qui permet de faire des économies d’énergie. Nous allons voir dans cet article son mode de fonctionnement et les différents modèles que vous pouvez choisir en fonction de votre situation. Comment fonctionne une climatisation réversible ? Connaissez-vous le système d’une pompe à chaleur air-air ? Le principe de la climatisation réversible est plutôt comparable à ce dernier. En effet, elle prend la fonction de chauffage lorsqu’il fait froid et se transforme en climatiseur lorsqu’il fait chaud. Ainsi, elle vous assure un confort thermique quelle que soit la température qu’il fait à l’extérieur. Pour cela, la climatisation réversible est composée d’un module placé à l’extérieur, et d’un autre à l’intérieur de l’habitation. Ces deux unités sont reliées par un liquide frigorigène qui a toute son importance : Lorsque la température extérieure est élevée comme en été, le module extérieur se charge de rejeter l’air chaud qui se trouve à l’intérieur de la pièce, par le biais du liquide frigorigène. L’unité intérieure aura pour fonction de rafraîchir la pièce en y diffusant de l’air frais. En hiver, l’appareil inverse son mode de fonctionnement pour chauffer votre intérieur. Le module extérieur va cette fois-ci transformer l’air froid pour permettre au module intérieur de diffuser de l’air chaud dans la pièce où il se trouve. C’est un investissement rentable mais n’hésitez surtout pas à demander plusieurs devis pour connaître le prix d’une clim réversible. Les différents modèles de climatisation réversible La technologie dont bénéficient les systèmes de climatisation réversible disponibles sur le marché ne cesse de se développer pour vous proposer des solutions toujours plus performantes. Parmi ces nombreux modèles, on peut distinguer deux grandes catégories : Les climatiseurs split : monosplit, bi split, tri split, climatiseur mural ou gainable… Les climatiseurs monobloc : fixes ou mobiles La climatisation réversible monosplit Il s’agit du modèle qui rencontre le plus de succès sur le marché français. Le modèle monosplit est particulièrement prisé par les propriétaires en quête de solutions pour réduire leur facture énergétique. Grâce à ses deux unités, il permet de tempérer une pièce de votre maison qui est généralement le salon. Si vous souhaitez climatiser ou chauffer plusieurs pièces de votre habitation, il vous faudra un modèle multisplit. La climatisation réversible multisplit Grâce à ce modèle de climatisation réversible, il vous est possible d’agir sur la température de plusieurs pièces de votre maison de manière simultanée. Il vous suffit pour cela de disposer plusieurs unités intérieures au sein des pièces de votre habitation que vous souhaitez chauffer ou refroidir. En effet, la clim réversible multisplit est constituée d’une unité extérieure et vous permet de placer jusqu’à 5 unités intérieures. Par ailleurs, chacune des unités présentes dans vos différentes pièces peut être réglée indépendamment. Vous pourrez donc programmer les programmer différemment en fonction de vos besoins. La climatisation réversible gainable Une climatisation réversible gainable est véritablement intégrée à votre lieu de vie, de manière plus discrète que le traditionnel modèle monosplit. En effet, elle a le même fonctionnement mais est installée dans un faux-plafond ou bien dans des combles. Ainsi, seules quelques grilles de soufflage seront visibles. C’est un type d’installation surtout réservé aux hôtels et des constructions neuves haut de gamme. Dans une habitation existante c’est difficilement envisageable à moins d’avoir des combles perdus accessibles. Si le résultat est clairement esthétique, le budget est conséquent car les travaux sont assez lourds. La climatisation réversible monobloc Ce système de climatisation réversible est composé d’une seule unité permettant de rafraîchir ou chauffer un espace. Vous pouvez retrouver ce modèle sous la forme d’une clim monobloc fixe ou d’une clim mobile. La modèle de climatisation monobloc fixe comprend seulement une unité intérieure et peut s’accrocher sous une fenêtre ou bien s’encastrer dans un mur. Cette solution qui a le format d’un radiateur peut facilement se fondre dans le décor sans déranger le passage, ni impacter l’aspect global d’une pièce. Pour les adeptes de la décoration d’intérieur, vous n’aurez donc aucun souci à vous faire ! La climatisation réversible mobile La clim réversible mobile existe en version monobloc ou split. La clim monobloc mobile ne nécessite aucuns travaux puisqu’il s’agit d’un bloc, généralement placé sur des roulettes pour faciliter son déplacement. Vous n’aurez plus qu’à la brancher pour pouvoir en profiter. En ce qui concerne le modèle split, vous devrez malgré tout créer une sortie pour la gaine d’évacuation de l’air. Et ce n’est pas une mince affaire que de créer cette sortie étanche de façon pérenne et efficace. La climatisation réversible Inverter Initialement commercialisé au Japon, le modèle de climatisation réversible Inverter connaît un succès grandissant auprès des Français, jusqu’à devenir un choix presque systématique. Cette clim réversible qui fonctionne de manière continue doit sa popularité à son mode d’usage optimisé et simplifié. Si elle reste plus chère que les systèmes de climatisation classiques, il faut tout de même savoir que la technologie Inverter fait des heureux sur le plan énergétique. Pour installer votre climatisation réversible, vous pourriez bénéficier d’aides financières car il s’agit d’un projet de rénovation énergétique. Ces nombreuses versions de climatisation réversible permettent de répondre à des besoins bien précis. Quelle que soit votre situation et la superficie de votre habitation, vous pourrez donc trouver l’équipement qui vous convient, pour vous sentir bien en toutes saisons.
Il y a 2 ans et 305 jours

Le réseau Maisons de Lumière by Technal inaugure un nouveau magasin de menuiseries aluminium à Frejus

L’occasion pour le Président de l’établissement Philippe RAISON, et son Directeur Général David BEAULANDE, de réunir près d’une cinquantaine de clients architectes et professionnels du bâtiment lors d’une soirée conviviale. Ce showroom-point de vente MAISONS DE LUMIERE BY TECHNAL est implanté à proximité du centre historique de Fréjus, dans la ZA Lou Gabian, facilitant l’accès des visiteurs. Il constitue le 3ème** établissement du Réseau en PACA, confirmant le maillage progressif dans cette région. L’équipe intervient dans un rayon de 100 km autour de Fréjus, dans le Var et également dans les Alpes-Maritimes. Pour David BEAULANDE, Fondateur du Maison de Lumière de Fréjus : « Nous rencontrons un excellent démarrage depuis l’ouverture en début d’année. Notre expertise dans le secteur de la menuiserie extérieure depuis plus de 15 ans est une réelle force. Elle nous a permis d’acquérir au fil des années un beau carnet d’adresses côté architectes qui réalisent de grandes villas. L’objectif aujourd’hui est de développer également notre clientèle de particuliers, aussi bien dans le neuf que sur le marché de la rénovation haut de gamme. » D’une surface totale de 200 m2, le magasin est inspiré d’un atelier d’architecte. Il est pensé tel un espace cocooning, design et chaleureux, en symbiose avec l’ADN de la marque « Vivre en TECHNAL, Vivre en harmonie ». Il présente un large choix de fenêtres, baies coulissantes, portes, vérandas, pergolas, portails, garde-corps, volets... Chaque visiteur, particulier ou architecte, peut les manipuler et se projeter à travers des mises en situation dans différents univers. Au-delà des menuiseries exposées, le showroom met en lumière la multitude de matières, de couleurs et de poignées proposées par TECHNAL, pour démultiplier l’imaginaire des clients. Besoin de rénover ses ouvertures pour renforcer le confort intérieur et réduire ses factures énergétiques ? Envie de créer une extension mais en réalisant peu de travaux ? Quel type de portail pour s’accorder harmonieusement au style de ma maison ? Puis-je bénéficier d’aides de l’état ? Est-ce possible de construire avec une empreinte carbone réduite ? L’équipe de professionnels est à l’écoute des visiteurs. Elle prodigue des conseils avisés et les accompagne à chaque étape de leur projet. Entreprise et date de création : NALTECH SAS – JANVIER 2021Dirigeants : PHILIPPE RAISON, PRESIDENTDAVID BEAULANDE, DIRECTEUR GENERAL Responsable du point de vente : DAVID BEAULANDEEffectifs :57 en fin d’année 2022 Surface du point de vente : 200 m2Adresse du point de vente : 298 avenue Lou Gabian – 83600 Fréjus Téléphone du point de vente : 04 84 81 60 87Horaires d’ouverture :Du lundi au vendredi : 9h00 à 12h00 et de 14h00 à 18h00Samedi : sur rendez-vous * Liste des établissements MAISONS DE LUMIERE BY TECHNAL : Toulouse (31), Bourg-lès-Valence (26), Paris (15ème), Noisy-le-Grand (93), Saint-Maur-des-Fossés (94), Brive-la-Gaillarde (19), Lille (59), Saint-Maximin-la-Sainte-Baume (83), Montrouge (92), Dijon (21), Chantilly (60), Vannes (56), Vaires-sur-Marne (77), Sainte-Geneviève-des-Bois (91), Rennes-Est (35), Nantes-Sud (44), Roanne (42), Orsay (91), Montpellier (34), Appoigny-Auxerre (89), La Teste-de-Buch (33), Montgeron (91) Bordeaux (33) et Canohès (66). ** Deux autres magasins à Cannes (06) et Sainte-Maxime (83).
Il y a 2 ans et 306 jours

Durieu et Thermacote : se protéger de la chaleur et du froid autrement

Éviter d’utiliser trop de climatisation ou trop de chauffage, ne pas gaspiller l’énergie, été comme hiver, ce n’est plus un vœu pieux, cela fait partie du quotidien. Il convient donc de se tourner vers des solutions qui vont permettre d’accompagner constructeurs, communes, particuliers… dans leur démarche d’économies d’énergie et donc d’isolation des habitats, du sol au toit en passant par les façades. Il est indispensable d’identifier les zones sensibles de chaque structure à isoler et d’offrir une solution optimum.Afin de déterminer quelle est la partie de l’habitat qui subit le plus les attaques de la chaleur ou du froid, il faut procéder au ratio toiture/façade qui permettra d’évaluer quelle partie est à privilégier en matière d’isolation.En général en présence :D’habitations individuelles, de sites industriels ou logistiques, de bâtiments commerciaux (magasins, centres commerciaux, bâtiments publics, écoles…) ou le dernier étage d’un immeuble : c’est la partie toit qui subit les « attaques » de température.D’immeubles d’habitation : ces sont les façades qui prennent toutes les variations de température. Dépendant de l’analyse de chaque cas, il faudra protéger le toit ou les façades. D’une bonne isolation découlera la bonne maîtrise des coûts énergétiques.Depuis une trentaine d’années aux États-Unis et un peu moins de 10 ans en Europe, les agréments cool roof et cool wall sont devenus de vrais labels garantissant une solide qualité d’isolation des murs et des toitures. Durieu avec THERMACOTE® offre une solution ultra technique aux propriétés étonnantes, agrémentée cool roof et cool wall.ThermaCote® en détails :Un concentré d’atouts :Haute concentration en extraits secs garantissant une efficacité optimale et une protection sur le long terme de tous les supports protégés.Une composition majoritaire en céramique (80 % de la peinture) qui apporte au revêtement protégé toutes les capacités isolantes couplées à la résistance aux fortes chaleurs de la céramique.ThermaCote® en action :3 spectres d’action combinés : Isolation thermique / Anti-humidité / Étanchéité à l’air : L’isolation thermique :Grâce à sa formulation spécifique THERMACOTE® agit comme une couverture de survie sur les supports. Il les enveloppe d’une couche protectrice qui en période froide, limite le passage de la chaleur vers l’extérieur en « renvoyant » la chaleur à l’intérieur du bâtiment et en période chaude permet la réflexion d’une partie la chaleur en dehors du support permettant ainsi de réduire sensiblement la température ressentie sur le support. Un support protégé avec du THERMACOTE® peut perdre plus de 20°C (de 60°C à 38°C).Anti-humidité :L’humidité est le premier ennemi de l’isolation car elle génère de l’infiltration dans les parois et entraîne la formation de condensation et de rouille. Une protection au THERMACOTE® permet de laisser respirer le support, en extrayant l’humidité tout en l’empêchant de rentrer.Étanchéité à l’air :L’infiltration ou la fuite d’air dans les supports est un gage de détérioration de l’isolation et l’application de THERMACOTE® évite ce phénomène. L’isolation est pérenne.Des atouts pour aller encore plus loinThermaCote® c’est aussi agir pour demain grâce à son action aujourd’hui :En Europe et dans le monde :À Los Angeles, THERMACOTE® fait partie avec l’État de Californie et d’autres industriels, d’un groupe d’expérimentation et de recherche visant à protéger toutes les surfaces bitumes ou béton au sol (routes, parking, …) afin de limiter l’effet d’ilots de chaleur urbains qui empêchent les températures urbaines de diminuer.En France et au-delà de la métropole (Réunion, Martinique & Guadeloupe), THERMACOTE® est en test pour l’étude du revêtement de plusieurs bâtiments publics : toitures, chaussées afin de limiter les effets d’ilots de chaleur.ThermaCote® : protéger les habitations et maîtriser les coûts d’énergie aujourd’hui, pour vivre mieux demain.
Il y a 2 ans et 306 jours

« Le Square » : nouveau lieu de référence pour les solutions « menuiserie métal » signé Reynaers Aluminium et Forster

Un showroom unique en plein centre de ParisSitué en plein centre de Paris, au 46 rue Chanzy dans le 11ème, ce lieu de découvertes et d’échanges est une vitrine ouverte sur les gammes de Reynaers Aluminium, de Forster et de celles de marques partenaires qui ont fait le choix de s’associer à la démarche.Plus de 300m2 ouverts aux Architectes et aux Professionnels Situé à proximité des plus grands cabinets d’architecture, « LE SQUARE » est un lieu d’exposition, de conception et d’échange de plus de 300m2 dédié aux architectes, bureaux d’études, et autres professionnels de la construction. Dès son arrivée, le visiteur est plongé dans un espace lumineux, structuré, chaleureux et rassurant qui invite à la découverte. L’espace organisé autour de circuits de visite clairs où la mise en scène des produits garantit une excellente compréhension de l’offre. Spacieux et convivial ce showroom permet d’orienter les visiteurs vers deux zones dédiées, l’une pour les menuiseries en aluminium et l’autre vers les menuiseries acier. Maîtres d’ouvrage, architectes, bureaux d’études, économistes et professionnels découvriront tout un univers de solutions constructives et d’aide à la décision pour le bâtiment tertiaire, le commerce, l’habitat individuel et collectif, en neuf comme en rénovation. « LE SQUARE » met en valeur le savoir-faire des deux sociétés à travers de menuiseries exposées en configuration réelle valorisant les tendances actuelles en termes de clair de vitrage, de finesse des structures, de fonctionnalité et de sécurité. Au croisement des tendances architecturales et des solutions techniques Conscient que l’exigence est multiple, le SQUARE a été conçu dans l’objectif de proposer un large panel de solutions qui répondent en tous points aux exigences architecturales actuelles et à venir. Les visiteurs pourront profiter des conseils et des solutions présentées pour obtenir les réponses adéquates en termes de clair de vitrage, de grande dimension, de performances thermique et acoustique, de réglementation énergétique 2020, de protection des biens et des personnes, de retardement au feu et de protection contre les incendies.Lieu d’échanges et de travail Pensé pour faciliter la découverte des produits et en réponse aux besoins des architectes, « LE SQUARE » comprend différentes zones telles que des espaces de présentation, un atelier de conception et des salles de réunion permettant d’échanger et de travailler sur les projets architecturaux les plus variés. Le bâtiment combine expression du savoir-faire et exposition des produits, en toute subtilité et élégance. Ces différents espaces permettent d’offrir une totale polyvalence de configuration pour l’organisation de différents événements.Lieu dédié à un univers de solutions techniques et de services multi dimensionnel Afin d’apporter une réponse complète aux différents intervenants dans l’acte de construire, Reynaers Aluminium et Forster ont pensé et ouvert les portes de cet espace à des industriels complémentaires. Sur simple demande de rendez-vous, les prescripteurs et les professionnels pourront venir à la rencontre des spécialistes de Reynaers Aluminium, de Forster et des partenaires associés, tous spécialistes de leur domaine d’activité. Que ce soit pour le vitrage, les finitions, la protection solaire et la sécurité, les architectes, les bureaux d’études, les économistes de la construction et les maitres d’ouvrage peuvent bénéficier d’un espace de démonstration et d’échanges permettant d’étudier les projets les plus audacieux.Liste des partenaires avec leurs spécialités :AGC – vitrages résistants au feu Assa Abloy – solutions d’ouvertures de portesAxalta – technologie de peintures hautes performancesBandalux – solutions de contrôle solairedormakaba – solutions pour sécuriser l’accès aux bâtimentseffeff Assa Abloy – solutions de verrouillage et de gestion de portesRiou Glass – vitrages design et de sécuritéSonolaque – solutions de traitement de surface des métauxVitrumGlass – vitrages chauffants et intelligentsVetrotech – vitrages de sécuritéLieu de vie et de partage Outre sa fonction primaire, « le Square » ambitionne également de créer une certaine dynamique au travers de manifestations et d’événements sur des thématiques telles que l’art, le sport, la gastronomie, l’environnement ou encore la musique.L’idée sous-jacente à cette approche est d’associer le monde de la construction à différents univers culturels afin de positionner Reynaers Aluminium et Forster en tant qu’acteurs engagés et éclectiques.
Il y a 2 ans et 306 jours

L’usine Bosch Thermotechnologie de Saint-Thégonnec se spécialise dans les ballons inox

L'arrêt de la fabrication des chaudières fioul et gaz se fait au profit d’une importante augmentation de la capacité de production de ballons en acier inoxydable, surtout pour les pompes à chaleur.
Il y a 2 ans et 306 jours

Nouvelle Pompe à chaleur aérothermique (air/eau) Split Inverter Réversible Compress 3400 AWS

Une fois n’est pas coutume, Bosch Thermotechnologie fait évoluer son offre de Pompes à chaleur aérothermiques avec la nouvelle gamme Split Inverter Réversible Compress 3400 AWS. Ses atouts : optimiser le confort du foyer comme celui de l’installateur et de l’entreprise de maintenance. Dédiée à la maison individuelle, la Compress 3400 AWS est développée pour […]
Il y a 2 ans et 306 jours

Knauf Ceiling Solutions lève le voile sur Adagio, sa nouvelle gamme minérale de plafonds

Certifiée Cradle to Cradle Silver et Gold pour la qualité de l’air, la gamme se décline sous quatre solutions, à poser seules ou à combiner selon les effets escomptés, afin d’offrir un large éventail de performances acoustiques selon les besoins de l’espace :ADAGIO ACOUSTIC+ADAGIO ALPHA+ADAGIO dB+ADAGIO HD+ (disponibles en 19, 30 et 35 mm).Dans une salle de classe, une cafétéria, une bibliothèque, un open-space ou encore une salle de réunion, les besoins convergent vers un même objectif : le confort des occupants pour leur rendre le quotidien agréable. Dotés des plafonds ADAGIO, ils permettent de vivre une nouvelle expérience.Avec une finition plus lumineuse et plus blanche, ADAGIO maximise la réflexion de la lumière et inonde les espaces de lumière naturelle et de chaleur. Un gage de bien-être et une source d’économie d'énergie. La flexibilité créative au service de l’émotion reste l’une des priorités de KNAUF CEILING SOLUTIONS pour permettre aux architectes, designers d’intérieur et agenceurs de signer des espaces uniques et emblématiques. Hautement résistant, ADAGIO est conçu pour des intérieurs durables.Des solutions blanches et lumineuses : sérénité et économiesSynonyme d’espaces épurés, la gamme ADAGIO permet de créer de beaux espaces grâce à sa surface blanche lisse. Sa finition blanche et brillante réfléchit 90 % de la lumière, illuminant ainsi les espaces d’une lumière naturelle et chaleureuse, porteuse de bonne humeur. Le faible taux de brillance renforce la sensation d’uniformité et procure une atmosphère élégante. L’optimisation de la réflexion de la lumière participe également à la réduction de l’usage de lumière artificielle, offrant jusqu’à 16 % d’économies d’énergie.De hautes performances acoustiques pour une atmosphère paisibleA l’instar de la lumière, le son participe pleinement à la réalisation d’un environnement sain et agréable. La gamme ADAGIO se distingue par une absorption acoustique de classe A (0,90 αw) avec des niveaux d‘atténuation latérale à 42 dB afin d’améliorer la confidentialité entre les espaces adjacents. ADAGIO offre une acoustique optimale pour chaque zone d’application, garantissant la confidentialité d’un échange dans un bureau privé ou améliorant l’intelligibilité et la concentration dans les open-spaces ou les salles de classe.Des choix esthétiques pour nourrir l’imaginationVisuellement saisissante, ADAGIO s’adapte, se configure, se combine, pour aider à imaginer de nouvelles possibilités et donner vie à la vision des architectes. Large choix de formes et de dimensions…, la gamme se caractérise également par une riche palette de détails de bords apparents, semi-cachés ou entièrement cachés, afin de créer des plafonds toujours plus contemporains.Des surfaces qui résistent à l’épreuve du tempsQualité, fiabilité et durabilité, tels sont les maîtres-mots des plafonds ADAGIO qui font face aux exigences du quotidien. Leur surface, plus résistante aux rayures, se nettoie aisément et offre une utilisation prolongée. Les bords renforcés, entièrement peints, facilitent le montage et réduisent le risque d’endommagement. Les poseurs de dalles n’appréhenderont plus la casse de matériel !
Il y a 2 ans et 307 jours

Pour refroidir ses monuments, Paris mise sur la Seine

Avec des vagues de chaleur toujours plus fréquentes, Paris souhaite agrandir son réseau méconnu de "froid urbain" pour maintenir à bonne température ses monuments grâce à l'eau de la Seine.La ville Paris, qui ambitionne de devenir "le plus gros réseau mondial de froid" d'ici 2040, a signé un contrat d'une durée de 20 ans avec le groupe énergétique Engie, qui détient 85% des parts de la société Fraîcheur de Paris, et la RATP, qui possède les parts restantes."Tous les arrondissements seront desservis en 2042", annonce Dan Lert, adjoint à la maire de Paris en charge de l'eau.Développer le réseau de froid permet d'éviter le recours à "l'usage intense" de la climatisation individuelle, gourmande en électricité et émettrice de gaz à effets de serre.Christophe Ladaurade, directeur commercial chez Engie, propose avec la mairie de s'en tenir à "un écart de 5 à 8 degrés entre l'extérieur et l'intérieur", comme le permet de réseau de froid.A l'avenir, ce réseau de froid circulera dans tous les hôpitaux parisiens, certaines écoles et dans des stations de métro.Sur la rive droite du pont des Invalides, un discret escalier en colimaçon mène au "Canada" --comme la place éponyme où il se situe-- une station de refroidissement de l'eau à quarante mètres de profondeur, où se situe un dédale de pompes et tuyaux verts, bleus et gris.Sur l'un des quatre niveaux de cette station, entrée en service en 2008, l'eau de la Seine est filtrée, puis descend dans d'autres tubes où une paroi la sépare du circuit fermé de refroidissement.Cycle vertueuxA l'étage du dessous, une pompe met sous pression un groupe frigorigène afin de refroidir l'eau et l'injecte dans le circuit souterrain. Le système fonctionne en quasi autonomie, piloté par deux techniciens à distance, depuis une centrale située près de la gare de Lyon.Contrairement au chauffage urbain de Paris, le refroidissement par eau s'adresse en majorité à des sites d'activités tertiaires, et non à des logements ou à des particuliers."Nos clients sont des immeubles de bureaux, des centres commerciaux, des musées, des institutions ou encore des hôtels", résume Benoit Reydellet, directeur du projet Fraîcheur de Paris.Le musée du Louvre, l'Assemblée nationale ou encore les studios de Radio France sont ainsi maintenus au frais, en partie, grâce à l'eau de la Seine. Le système fonctionne toute l'année, puisque les grands magasins ou les musées ont besoin de garder des pièces au frais et de veiller au taux d'humidité ambiante.L'hiver, la centrale du Canada peut recourir au système du "free cooling", qui lui permet de produire du froid sans consommer d'électricité en mettant "directement l'eau de la Seine en contact de l'eau du réseau", explique M. Reydellet.Le concessionnaire s'est engagé à développer de 2% à 11% cette production vertueuse, ce qui représente un gain énergétique d'un an sur les vingt prochaines années, la durée du nouveau contrat de concession, souligne-t-il.Le mégawattheure de froid est facturé 137 euros aux clients. Du propre aveu de M. Reydellet, "c'est assez cher, mais bien plus vertueux que le froid produit par les installations autonomes" comme les climatiseurs.Et la tuyauterie de froid permet aux clients de retirer de leurs toits les grilles et autres aérations des climatiseurs, afin de disposer de toute la toiture.Quant à l'eau utilisée, chauffée par la centrale qui en a extrait le froid, elle finit par retrouver le fleuve à travers quatre discrètes voies d'évacuation. Les quelques degrés d'écart avec la température ambiante n'ont pas "d'impact sur la faune et la flore" de la Seine, rassure Benoit Reydellet.
Il y a 2 ans et 307 jours

Sobriété énergétique, ENR, pompe à chaleur : les priorités du chef de l'Etat

PERSPECTIVES. Le président de la République en a appelé à une "mobilisation générale" en matière de sobriété énergétique, de façon à permettre à la France de se passer totalement de gaz russe.
Il y a 2 ans et 307 jours

Alerte canicule : les bons réflexes pour se protéger lors des fortes chaleurs sur les chantiers

Sur son site internet preventionbtp.fr, l’Organisme met à disposition des professionnels une boîte à outils regroupant l’ensemble des ressources utiles pour assurer leur sécurité dans ces conditions de travail extrêmes (vidéos, affiches, questions/réponses, solutions...).Ils y retrouveront notamment toutes les mesures préventives à prendre sur les chantiers :Vérifier quotidiennement la météo afin d’évaluer le risque au jour le jour,Adapter les horaires de travail et son habillement,S’hydrater régulièrement et en quantité suffisante (au moins 3 litres d’eau par jour)Adopter une vigilance accrue et partagée au sein des équipes, et apprendre à reconnaître le coup de chaleur.
Il y a 2 ans et 310 jours

Le CSTB inaugure le laboratoire Fresnel, une plateforme d’essais dédiée aux vitrages

Avec cette nouvelle plateforme d’essais dédiée aux vitrages, le CSTB met à disposition des acteurs français et européens un outil technologique inédit, visant à accompagner le développement et l’émergence de solutions innovantes, en lien avec les enjeux de performance énergétique et environnementale notamment.Le laboratoire Fresnel regroupe pour ce faire, sur un seul et même site, l’ensemble des équipements permettant d’évaluer et de tester la durabilité des performances des vitrages, ainsi que leur aptitude à l’emploi. Parmi ces équipements de pointe, trois nouvelles enceintes de vieillissement artificiel des vitrages, cofinancées par la région Auvergne-Rhône-Alpes et le Fonds européen de développement régional (FEDER).Les vitrages : une forte dynamique d’innovationFace au défi du changement climatique et de l’économie de ressources, les fabricants de vitrages, éléments-clés de la sobriété énergétique et environnementale des bâtiments, se mobilisent, adaptant la conception de leurs produits aux nouvelles exigences et tendances émergentes.Depuis une trentaine d’années, une dynamique d’innovation soutenue s’est mise en place, induisant une évolution technologique fulgurante. Une nouvelle génération de vitrages isolants a ainsi vu le jour : vitrages avec gaz, avec couche basse émissivité, warm edge (produits intégrant des intercalaires renforcés thermiquement sur la périphérie des vitrages pour éviter les ponts thermiques), etc.D’autres développements sont en cours, concourant à améliorer encore les performances actuelles, mais aussi à embarquer d’autres performances propres aux fonctions assurées par l’enveloppe du bâtiment : vitrages isolants électrochromes et thermochromes, dont les propriétés de transmissions lumineuse et énergétique peuvent être modifiées via une mise sous tension électrique pour le 1er et par la chaleur pour le 2nd ; vitrages sous-vide, technologie particulièrement prometteuse, car permettant des performances thermiques élevées, avec des vitrages moins épais, etc.Les équipes de la Direction Baies et Vitrages du CSTB, mobilisant plus de 50 ingénieurs et techniciens, répartis dans les laboratoires de Marne-la-Vallée et de Grenoble, accompagnent les fabricants dans cette dynamique d’innovation.Parmi les leviers qui leur sont pour cela proposés, les essais sont fondamentaux. Ils permettent de comprendre et caractériser les nouveaux produits et technologies à venir.En la matière, le CSTB disposait déjà de plusieurs équipements dédiés aux vitrages. Tous ont été regroupés au sein d’un seul et même site, le laboratoire Fresnel, au CSTB Grenoble. Ils ont également été complétés par de nouveaux outils scientifiques et techniques.L’accompagnement de l’innovation, au cœur des missions du CSTB : À travers ses activités de Recherche & Expertise, d’essais, d’évaluation et de certification, le CSTB accompagne les acteurs de la construction, favorisant l'émergence d'innovations fiables et sécurisées.Le laboratoire Fresnel : la nouvelle plateforme d’essais dédiée aux vitragesLe laboratoire Fresnel permet aux fabricants d’évaluer et tester la durabilité des performances et l’aptitude à l’emploi de leurs produits, dans un objectif d’évaluation et de certification notamment :2 grandes familles de produits testés :Vitrages simples : Vitrages monolithiques, en particulier trempésVitrages feuilletésVitrages isolants : Doubles et triples vitragesVitrages à store incorporéVitrages actifs (électrochromes et thermochromes)Vitrages Extérieurs AttachésVitrages à clameauxVitrages sous vide4 grandes typologies de caractéristiques étudiées :La durabilité du vitrageSes performances thermiquesSes performances mécaniquesSes performances optiquesUne très grande variété d’essais réalisés :Essais de cyclages climatiques, d’exposition à l’ensoleillementEssais d’exposition aux hautes températuresEssais d’exposition à l’humiditéEssais de fragmentationMesures d’humidité, mesures de point de roséeMesures du taux de remplissage en gazEtc.Le laboratoire Fresnel dispose de plusieurs équipements de pointe, parmi lesquels 3 nouvelles enceintes de vieillissement artificiel pour les produits :Des enceintes de qualification : 1 enceinte coffre à climat variable ;1 enceinte coffre avec UV, permettant d’exposer les vitrages aux UV et à l’humidité.1 enceinte de suivi grand format (8m3).Ces enceintes permettent d’exposer les vitrages à des températures comprises entre -15°C et 56,5°C, ainsi qu’à l’humidité avec ou sans UV.Le laboratoire Fresnel dispose ainsi de 5 enceintes permettant de tester le vieillissement des vitrages.Le laboratoire Fresnel : une plateforme d’essais au cœur d’un écosystème dédié aux produits de la baieLe laboratoire Fresnel est situé à proximité immédiate des autres infrastructures du CSTB dédiées aux baies et vitrages : le laboratoire PRE3CIE, plateforme d’essais dédiée aux produits innovants de l’enveloppe, et la plateforme de formation par le geste dédiée à la mise en œuvre des produits de la baie.Par ailleurs, les essais réalisés peuvent être croisés et / ou complétés, selon les propriétés ou performances étudiées, par des travaux menés par d’autres directions du CSTB : la Direction Enveloppe du Bâtiment ; la Direction Sécurité, Structures, Feu ; la Direction Santé, Confort, avec le Laboratoire Acoustique du Bâtiment (LABE).Le laboratoire Fresnel, en bref :Laboratoire situé au CSTB Grenoble ;Permettant aux industriels de réaliser, sur un seul et même site, l’ensemble des essais et évaluations nécessaires au développement, à la mise au point et à la vérification de la qualité et de la performance de leurs produits ;Un rayonnement international avec des essais réalisés selon les référentiels européens, accessibles à l’ensemble des fabricants européens ;Un investissement de plus d’1 million d’euros, réalisé par le CSTB, pour l’installation globale ;Dont 340.000 euros pour les 3 nouvelles enceintes, cofinancés à hauteur de 169.789 euros par la région Auvergne-Rhône-Alpes et le Fonds européen de développement régional (FEDER)
Il y a 2 ans et 312 jours

Construire plus performant avec les systèmes de chauffage et de rafraîchissement Wavin

Convaincus de la nécessité d’améliorer l’efficacité des bâtiments pour réduire la consommation d’énergie, les services Recherche et Développement de Wavin ont développé des systèmes complets de planchers chauffants rafraîchissants basse température et de plafonds climatiques très peu énergivores adaptés à l’habitat résidentiel, collectif et au tertiaire. Pré-études avant-projet, études techniques, conception, assistance chantier... Wavin accompagne ses clients à chaque étape du projet avec une offre sur-mesure. Elle inclut l’ensemble des composants et accessoires nécessaires à la pose des planchers chauffants : dalles isolantes, tubes caloporteurs, système de régulation...Durables, efficaces et invisibles, les solutions de chauffage et de rafraîchissement par rayonnement Wavin diffusent une température homogène et constituent un moyen simple d’optimiser la performance énergétique des bâtiments. Elles sont pilotées, depuis un écran tactile ou une application mobile, par le système de régulation Sentio de Wavin. Ce système comprend des unités de contrôle central et d’extension, des thermostats et des sondes, qui rendent ces solutions de chauffage particulièrement simples d’utilisation et d’installation. Les solutions de chauffage et rafraîchissement Wavin offrent ainsi aux occupants une qualité de confort inégalée, tout en assurant des performances énergétiques éprouvées.Plancher chauffant rafraîchissant basse température WavinPerformant et invisible, le plancher chauffant rafraîchissant basse température Wavin garantit une répartition uniforme de la chaleur dans toutes les pièces et permet de profiter d’une température idéale du sol. Cette solution s’intègre facilement à l’habitat résidentiel, collectif et aux bâtiments tertiaires grâce à sa discrétion et sa conception sur-mesure. Ce dispositif de chauffage et de rafraîchissement par rayonnement est particulièrement adapté pour apporter un confort thermique homogène et agréable à ses occupants et ce même dans les grands espaces. L’association d’une pompe à chaleur, économe en énergie, avec une solution PCRBT* équipé d’un système de régulation, est idéale pour améliorer la performance globale du système de chauffage et rafraîchissement. Cette combinaison offre de très bons rendements et répond aux très hautes exigences en termes de performance énergétique des bâtiments.Le système complet de planchers chauffants/rafraîchissants Wavin bénéficie à ce titre de la reconnaissance CERTHITERM, la première marque de qualité en France à garantir le niveau de performances thermiques globales des systèmes complets de planchers, murs ou plafonds chauffants/rafraichissants hydrauliques basse température.*plancher chauffant rafraîchissant basse températureDalles isolantes à plots Phonixx Grande performance acoustiqueÉléments de base de tout projet de plancher chauffant basse température, les dalles isolantes ont un rôle primordial pour assurer la bonne isolation du sol, limiter les pertes de chaleur et assurer la durabilité du système de chauffage. Avec des résistances thermiques élevées allant de 0,75 à 5,55 m2K/W, les dalles isolantes Wavin certifiées QB ou ACERMI (Association pour la CERtification des Matériaux Isolants) comptent parmi les plus performantes du marché.Parmi elles, les nouvelles dalles isolantes Phonixx Wavin qui réduisent significativement la transmission des bruits de chocs. En effet, pour un excellent confort acoustique, elles offrent une réduction des nuisances sonores et des bruits d’impacts entre étages allant jusqu’à 21 dB, une valeur record ! Elles permettent ainsi d’obtenir une meilleure efficacité sans avoir recours à une sous-couche acoustique complémentaire.Légères et faciles à manipuler, ces dalles s’installent rapidement et sans difficulté pour gagner un temps considérable sur les chantiers. De plus, leur qualité et leur rigidité permettent la circulation des personnes lors de leur installation.Enfin, la composition mono-matière des dalles isolantes à plots Phonixx facilite leur recyclage tant lors de leur mise en oeuvre (chutes de chantier) qu’en fin de vie.Une barrière anti-oxygène protectrice au coeur de la structureFiable et durable, la nouvelle génération de tubes en Polybutylène Wavin Flexius BAO intègre désormais une Barrière Anti-Oxygène. Elle permet d’éviter le développement de boues dans les circuits fermés de plancher chauffant garantissant ainsi un bon fonctionnement sur le long terme. Ordinairement placée en périphérie extérieure des tubes, la BAO est ici intégrée au coeur de la structure du tube, la protégeant de tout endommagement lié aux aléas de chantier et garantissant sa performance. Ainsi, il n’y a aucun risque de dégradation de la BAO lors de la mise en oeuvre, lui garantissant une durée de vie optimale.Disponibles en plusieurs longueurs, les couronnes de nouveaux tubes Wavin Flexius BAO répondent aux besoins de toutes les tailles de chantiers de plancher chauffant et rafraîchissant. Leur grande flexibilité a inspiré le nom de cette nouvelle génération de tubes Wavin Flexius BAO qui facilite la réalisation des boucles au sol, quelles que soient les conditions de pose : froid, espaces restreints, pas de pose serrée etc.Très résistants à l’épreuve du temps, ces tubes caloporteurs sont naturellement inertes à la corrosion, aux impacts et à l’écrasement. Ils bénéficient d’un Avis Technique et de la certification Qualité pour le Bâtiment (QB) du CSTB. Par ailleurs, dans une logique de développement durable, Wavin travaille sur un programme pour réutiliser les chutes de mise en oeuvre des tubes Flexius BAO afin de les réintégrer dans la production d’autres produits de son catalogue.Une installation intelligente, connectée et sur-mesureUne bonne maîtrise des températures est indispensable pour optimiser la performance énergétique du bâtiment. En neuf comme en rénovation, les solutions de plancher chauffant et rafraîchissant Wavin distribuent la chaleur de manière uniforme et réduisent la consommation d’énergie. Elles sont pilotées, depuis un écran tactile intuitif ou une application mobile, par le système de régulation Sentio de Wavin qui comprend des unités de contrôle central et d’extension, des thermostats et des sondes. Véritable « cerveau » de l’installation, cette solution très simple d’installation puis d’utilisation au quotidien permet un pilotage précis du confort climatique pièce par pièce, tout en limitant la consommation énergétique : jusqu’à 15% d’économies d’énergie de chauffage*.Avec sa programmation très précise, les températures sont ajustées en fonction des heures d’utilisation des pièces et du confort souhaité, des apports extérieurs… Sentio bénéficie par ailleurs d’une certification Eu.Bac qui valide sa capacité à maintenir précisément une température cible malgré l’inertie inhérente à un système de plancher chauffant : valeur de CA = 0,5 K.Enfin, Sentio de Wavin peut également optimiser le rendement énergétique de l’installation en adaptant la température du fluide caloporteur en fonction des conditions climatiques extérieures, grâce à une unité de mélange et une sonde extérieure proposées en option. Il offre ainsi aux occupants une qualité de confort inégalée et des économies d’énergie significatives puisque le générateur ne produit que ce qui est nécessaire en maximisant l’utilisation des calories.*Source Ademe 2022
Il y a 2 ans et 312 jours

NOVAL motorise les volets persiennes

Considérés comme vecteurs de confort, de sécurité comme de fonctionnalité, les volets constituent désormais un élément clé de la protection solaire des bâtiments neufs ou anciens, dont le confort est mis à l’épreuve avec l’apparition régulière des vagues de fortes chaleurs.   Les protections solaires peuvent réduire la température intérieure de 2 à 5 °C en moyenne.  La motorisation est une tendance de plus en plus prégnante sur le marché français. Elle apporte indéniablement un confort de manœuvre pour les particuliers. Ainsi, selon la dernière étude TBC Innovations, les volets motorisés représentaient, près de 58% des volets posés en 2020 en France.   Dans ce contexte, NOVAL – qui commercialise déjà une large gamme de solutions de motorisations pour volets coulissants, pliants et depuis peu une solution de brise-soleil relevable de grande dimension – a décidé de s’attaquer au marché des volets persiennes pour compléter son offre.   A l’occasion du salon BATIMAT, la société toulousaine présentera un prototype de motorisation pour volet persienne. C’est une première avec objectif de commercialisation en janvier 2023. RDV Hall 5.3 sur le stand B68.   Volet persienne, le charme intemporel désormais motorisé Adaptées aux architectures traditionnelles, notamment aux immeubles haussmanniens, les persiennes sont des volets repliables composés de plusieurs vantaux faits de lamelles en claire-voie pour laisser passer la lumière et permettre à l’air de circuler. Ce produit très prisé des bâtiments résidentiel et collectif a fait l’objet de nombreuses évolutions, notamment sur les matériaux (métal, bois, PVC), mais n’avait jamais encore été motorisé. C’est désormais chose faite, avec NOVAL ! Le premier défi technique a consisté à créer une cinématique adaptée au principe d’enroulement et de déroulement des vantaux, qui ne relèvent pas du même geste. L’enroulement étant le plus complexe. NOVAL a imaginé un système de pivots permettant un enroulement aisé des lames les unes sur les autres, avec un mécanisme entrainant l’ensemble. Ce système d’entrainement, composé d’une courroie, de poulies et d’agrafe courroies placé dans le rail bas, est alimenté par un moteur basse tension, lui-même raccordé à un boitier électronique. Le second défi technique a consisté à miniaturiser l’ensemble de manière à ce que la motorisation soit affleurante au cadre des persiennes fixé dans le tableau de la fenêtre et donc invisible depuis l’extérieur. Adaptée à de multiples configurations La motorisation conçue par NOVAL vise le marché résidentiel et tertiaire, qu’il s’agisse de bâtiments haussmanniens, neufs ou rénovés. Le système propose deux modes d’ouverture : Ouverture latérale jusqu’à 5 vantaux qui se replient les uns sur les autres à la manière d’un accordéon. Ouverture symétrique jusqu’à 3 vantaux. Côté dimension, le système n’a pas de limite en hauteur et convient aux largeurs de fenêtres allant jusqu’à deux mètres. Il peut aussi être couplé à un système domotique.
Il y a 2 ans et 313 jours

338.265 logements rénovés au premier semestre 2022 grâce à MaPrimeRénov’, plus d’un million depuis 2020

L’Anah publie le bilan de MaPrimeRénov’ au deuxième trimestreEn 2022, la dynamique de MaPrimeRénov’ ne faiblit pas. Avec déjà 338.265 logements rénovés au premier semestre 2022, MaPrimeRénov’ confirme son succès populaire.Les chiffres clés du premier semestre 2022MaPrimeRénov’ (hors MPR Copropriétés et MPR Sérénité) :318.429 logements rénovés ;1,2 milliard d'aides distribuées ;4,7 milliards d'euros de travaux générés grâce aux travaux.Avec MaPrime Rénov’, une gamme complète d’aides pour répondre à toutes les situationsMaPrimeRenov' confirme sa vocation sociale puisqu’elle a bénéficié à 68% à des ménages aux revenus modestes et très modestes. Les aides ont été majoritairement mobilisées pour changer le système de chauffage (70%), suivi de l’isolation (21%) et de la ventilation (4%).Selon une enquête de satisfaction, près de 90% des bénéficiaires de MaPrimeRénov’ se déclarent satisfaits, 66% n’auraient pas fait réaliser ces travaux sans cette aide et 97% déclarent une amélioration du confort de leur logement après leurs travaux.Avec MaPrimeRenov' Sérénité, les ménages aux revenus modestes bénéficient d’une aide financière plus avantageuse et d’un accompagnement personnalisé pour réaliser une rénovation globale de leur logement. Plus de 15.500 ménages en ont déjà bénéficié depuis le début de l’année. Les gains énergétiques permis par ces rénovations sont supérieurs à 50% en moyenne.Pour les copropriétaires, MaPrimeRenov' Copropriété permet de simplifier le financement des travaux grâce à une aide unique, versée au syndicat des copropriétaires et répartie selon les quotes-parts. Plus de 80 copropriétés en ont bénéficié, ce qui correspond à près de 4.300 logements.Dans le cadre du plan de résilience, MaPrimeRénov' a été revalorisée pour encourager les énergies renouvelables et réduire la dépendance des ménages au gaz et au fioul. Les forfaits relatifs à l'installation de certains équipements de chauffage (biomasse, pompes à chaleur, chauffages solaire) ont été majorés de 1000 € pour les ménages éligibles. Depuis le 15 avril, 38% des dossiers ont bénéficié de cette bonification, permettant de centrer l'intervention vers le remplacement des systèmes de chauffage les plus polluants.
Il y a 2 ans et 313 jours

LE FILMM édite une nouvelle brochure sur le confort d’été dans la RE 2020 et détaille les solutions pour un confort d’été efficient

La Réglementation Environnementale – RE 2020 – a intégré une évolution importante sur le thème du confort d’été. Ainsi, comme l’explique la brochure du FILMM, la RE 2020 introduit un nouvel indicateur : les degrés-heures d’inconfort (DH) exprimés en °C.h.  Les évolutions des températures et les vagues de chaleur induites par le réchauffement climatique ont […]
Il y a 2 ans et 313 jours

Le biofioul, alternative au fioul domestique, est distribué progressivement depuis quelques jours

Avec l’entrée en vigueur depuis le 1er juillet du décret n°2022-8 relatif à la performance environnementale des équipements de chauffage ou de production d’eau chaude sanitaire, l’installation de matériels utilisant à titre principal un combustible émettant plus de 300 g CO2eq/kWh PCI tout au long de son cycle de vie n’est plus autorisée.En conséquence, si le fioul traditionnel pourra continuer à être utilisé par plus de 3 millions de résidences principales recourant à cette énergie stockable, les installations neuves fonctionneront désormais avec un biofioul F30, lequel répond à l’exigence du plafond d’émission de 300 g CO2eq/kWh PCI fixé par le décret.Sous réserve de la publication d’un arrêté ministériel autorisant sa mise sur le marché, la distribution du biofioul F30 débutera dès le mois de juillet en Alsace, Auvergne-Rhône-Alpes et Ile-de-France. Les 200 premiers distributeurs qui le proposeront seront identifiés sur le site internet Biofioul.info dès la parution de l’arrêté ministériel. La distribution se poursuivra progressivement pour couvrir l’ensemble du territoire à l’automne 2022.Concrètement, depuis le 1er juillet :L’installation de chaudières neuves utilisant un combustible liquide[iii] reste autorisée à la condition d’utiliser du biofioul F30, dont le niveau des émissions tout au long du cycle de vie est inférieur à 300g CO2eq/kWh PCI. Une quinzaine de références d’équipements sont d’ores et déjà disponibles chez les constructeurs suivants : ATLANTIC – CHAPPÉE – CUENOD – DE DIETRICH – OERTLI – PERGE – WEISHAUPT.Les chaudières actuellement en service et installées suivant des devis signés jusqu’au 30 juin 2022 peuvent continuer à fonctionner avec du fioul domestique traditionnel (limité à 7% d’énergie renouvelable selon les spécifications actuelles).Pour Frédéric Plan, Délégué Général de la FF3C : « L’arrivée du biofioul est une alternative pour accélérer la fin du fioul domestique traditionnel à condition que sa fiscalité le rende attractif. En effet, les chaudières en service peuvent être adaptées à l’usage du biofioul notamment à l’occasion d’un changement de brûleur. C’est au législateur d’en prendre l’initiative. Si le gain de consommation d’une chaudière neuve de haute performance énergétique (de 25 à 30%) permet de gommer son surcoût, ce n’est pas le cas pour les chaudières existantes dont la longévité dépasse les 25 ans. »Le fioul domestique est la 3e énergie de chauffage en France. Il équipe plus de 3,5 millions de logements, dont 3,1 millions de résidences principales, sur un total de 29,8 millions, soit 12% du parc, principalement dans des territoires ruraux et périurbains, que les réseaux de chaleur ou le gaz de ville ne desservent souvent pas (sources Ceren et Ademe, 2017). En France, 25.000 communes ne sont pas raccordées aux réseaux de gaz, ce qui représente, sur l’ensemble du territoire, 13,4 millions de Français, soit 20% de la population (sources GRDF et Insee, 2018).
Il y a 2 ans et 314 jours

Paris Plages déplie parasols et transats pour son édition 2022

Jusqu'au 21 août, ils pourront profiter gratuitement des parasols et des transats dépliés le long des berges piétonnisées de la rive droite de la Seine et sur les quais du bassin de La Villette, ainsi que de six "baignades estivales éphémères"."Les sourires sont là, le soleil aussi. Donc venez à Paris Plages, c'est pour vous", a lancé Mme Hidalgo.A deux ans des Jeux olympiques de Paris, Paris Plages 2022 fait la part belle aux activités sportives, notamment nautiques: canoë-kayak, kayak polo, pédo ou stand up paddle, mais aussi pétanque, tai chi, escalade ou gym suédoise.En matière de culture, des expositions, une ludothèque et une "bibliothèque hors les murs" sont également proposées.Le dispositif s'est encore "verdi" cette année grâce à une "végétalisation étoffée des espaces de loisirs et de détente", a souligné la mairie de Paris, avec plus de palmiers et de mûriers.Malgré la septième vague de l'épidémie de Covid qui frappe le pays, la mairie de Paris a promis cette année une édition "sans entrave", c'est-à-dire sans jauge ni restriction.Alors qu'une nouvelle vague de chaleur est attendue la semaine prochaine à Paris, le mouvement social des maître-nageurs et des agents techniques qui affecte les piscines municipales de la capitale ne devrait pas perturber les "bassins éphémères" de Paris-Plage, selon la municipalité."On aura le nombre de maîtres-nageurs nécessaires", a assuré vendredi l'adjoint aux sports Pierre Rabadan.
Il y a 2 ans et 314 jours

Sobriété énergétique : lancement du groupe de travail « établissements recevant du public et surfaces commerciales »

Récemment, la Première ministre, Elisabeth Borne, et la ministre de la Transition énergétique, Agnès Pannier-Runacher, ont annoncé le lancement de groupes de travail thématiques sur la sobriété énergétique. Avec un objectif : réduire nos consommations d’énergie de 10% en deux ans pour, à court terme, garantir notre sécurité d’approvisionnement dans le contexte de guerre en Ukraine et, à plus long terme, sortir la France des énergies fossiles d’ici 2050.Après avoir lancé un premier groupe sur « L’Etat exemplaire » puis un deuxième sur « Les entreprises et l’organisation du travail », Agnès Pannier-Runacher a reçu, avec Olivia Grégoire, ministre déléguée chargée des Petites et moyennes entreprises, du Commerce, de l'Artisanat et du Tourisme, les représentants des établissements recevant du public et des surfaces commerciales.Cette première réunion a permis aux deux ministres de rappeler leur volonté d’une action ambitieuse contre le gaspillage énergétique. Elle a également permis aux experts, dont l’association négaWatt, de partager leurs constats sur les grands enjeux énergétiques dans ce secteur. De leur côté, les entreprises, notamment de la grande distribution, ont fait part des actions déjà en place pour réaliser des économies d’énergie. Tous les acteurs présents ont confirmé leur volonté d’aller plus loin pour atteindre cet objectif de 10% de réduction de consommation d’énergie d’ici deux ans.Tous se sont accordés sur la nécessité de mieux faire connaître et appliquer les règles en vigueur.Tout d’abord, le Dispositif Eco Efficacité Tertiaire de 2019, également appelé « décret tertiaire », impose une réduction des consommations énergétiques progressive pour les bâtiments tertiaires. Les propriétaires ou exploitants publics/privés de plus de 1000 m² de surfaces tertiaires doivent réduire leur consommation d’énergie par paliers d’objectifs ambitieux : -40% en 2030, -50% en 2040 et -60% d’ici 2050. Avec les -10% du groupe de travail, c’est une première marche logique vers cet objectif.De même, l’arrêté du 27 décembre 2018 sur les nuisances lumineuses impose que les éclairages de vitrines de magasins de commerce soient éteints à 1 heure du matin au plus tard ou 1 heure après la cessation de l'activité. La loi Climat-Résilience, adoptée l’année dernière à l’Assemblée nationale, permet quant à elle, aux maires et présidents d’intercommunalités d’encadrer les publicités et enseignes lumineuses situées à l’intérieur des vitrines. Il revient donc de faire respecter les règles aux acteurs et que les élus locaux, en bonne intelligence avec les entreprises, se saisissent de leurs prérogatives.Les participants ont également échangé sur les bonnes pratiques pouvant être généralisées.C’est le cas, par exemple dans les grandes surfaces commerciales, des dispositifs de récupération de chaleur sur groupes froids pour produire de l’eau chaude sanitaire, ou encore des dispositifs pour éviter les pertes énergétiques liés aux meubles réfrigérés.Enfin, la réunion a permis de définir les thématiques prioritaires pour le secteur. Parmi elles :La gestion des bâtiments, avec des dispositifs d’automatisation et de contrôle de présence, permettant de mieux piloter et d’optimiser la consommation énergétique des bâtiments selon l’usage qu’il en est fait ; Le travail sur des mobilités plus sobres, qu’il s’agisse de celle des employés ou des transporteurs de marchandises.Le groupe « Etablissements recevant du public et grandes surfaces commerciales » poursuivra le travail engagé ce matin durant tout l’été, aux côtés des experts et énergéticiens, pour mettre au point une feuille de route de mesures simples et opérationnelles, tenant compte des contraintes et des spécificités de chacun des acteurs.Pour Agnès Pannier-Runacher, ministre de la Transition énergétique : « Avec ce groupe de travail, nous donnons le coup d’envoi de la mobilisation des établissements recevant du public et des grandes surfaces commerciales pour réduire leur consommation d’énergie. Cela passera nécessairement par un rappel des lois et règles en vigueur : climatiser en-deçà de 26 degrés ou laisser des locaux éclairés en pleine nuit n’est plus acceptable quand on demande à chacune et chacun des Français de réduire sa consommation d’énergie. Au-delà, le groupe de travail réfléchira à des mesures à prendre sur le chauffage des bâtiments par exemple, ou les déplacements des transporteurs de marchandises, pour diminuer durablement le recours au gaz, à l’électricité et au carburant. »Pour Olivia Grégoire, ministre déléguée chargée des Petites et moyennes entreprises, du Commerce, de l'Artisanat et du Tourisme : « Les grandes surfaces commerciales sont la locomotive de tous les commerces de France, et plus généralement de tout le secteur tertiaire : elles ont à ce titre un devoir mais surtout un pouvoir d’exemplarité. Nous voulons travailler avec elles à déterminer les moyens concrets qu’elles mettent déjà en œuvre chacune à leur échelle et qu’elles gagneront à partager ensemble pour réduire encore plus largement leur consommation d’énergie. »
Il y a 2 ans et 316 jours

Gard : KP1 installe des planchers chauffants/rafraîchissants

Article paru dans le n° 101 de Béton[s] le Magazine La solution Milliwatt Chauffant/Rafraîchissant développée par KP1 et ThermAK a été mise en œuvre dans la réalisation de 66 villas à Laudun-l’Ardoise. [©KP1] Dans le cadre d’un programme social à Laudun-l’Ardoise, le maître d’œuvre Sud Ingénierie et le maître d’ouvrage Sud Invest ont opté pour une solution innovante. Le Milliwatt Chauffant/Rafraîchissant a ainsi été utilisé pour la réalisation de 66 villas. Développé par KP1 et ThermAK1, ce plancher structurel isolant intègre un système de chauffages réversibles. Et il répond aux exigences de la RE 2020. Retrouvez l’actualité des entreprises en région Occitanie Au-delà du plancher en béton préfabriqué, livré prêt à poser avec l’isolant, le Milliwatt Chauffant/Rafraîchissant dispose de rupteurs de pont thermique. Assurant une bonne continuité de l’isolation. Car ce système “4-en-1” se compose d’un kit “chauffage et rafraîchissement” intégré, d’entrevous et de rupteurs. Le plancher structural bénéficie d’une dalle de compression très fine de 56 mm. Répondre aux exigences de la RE 2020 Sur le chantier, environ 3 personnes étaient en charge de la pose de 15 à 20 planchers de 45 m2 . Et ce, sur 3 à 4 j de travail. « Les tuyaux étant directement intégrés dans la dalle de compression, ce qui évitait aussi de couler la chape flottante. Laquelle est requise pour les planchers chauffants traditionnels et qui peut mettre plusieurs semaines à sécher », explique Grégory Dieudonné, maître d’œuvre du projet. Et de poursuivre : « Au-delà du confort de marcher pieds nus l’hiver et de ne pas souffrir de la chaleur l’été, le bilan économique est très intéressant ». En effet, pour une maison individuelle de 115 m2 de surface habitable, la facture d’électricité atteint une moyenne de 70 €/mois. Avec en hiver une température intérieure de 21 °C et, en été, une consigne de rafraîchissement à 26 °C. 1Société issue de l’association de KP1 et de Thermacome Article paru dans le n° 101 de Béton[s] le Magazine
Il y a 2 ans et 316 jours

Alkern : Coquillages et pavés

Article paru dans le n° 101 de Béton[s] le Magazine Alkern propose des pavés drainants en coquilles Saint-Jacques, issus d’un projet développé et breveté par l’Esitc de Caen. [©Alkern] A l’horizon 2024, Alkern s’est fixé comme objectif de développer des solutions plus responsables pour l’environnement. En prévoyant des investissements nécessaires. Mais l’industriel dispose déjà dans ses gammes des produits préfabriqués au service de la ville durable. Si l’activité du groupe se tourne majoritairement vers le bâtiment (50 % de l’activité), l’aménagement extérieur occupe tout de même 25 % de son chiffre d’affaires (les 25 % qui restent concernent les travaux publics). « Avec nos 55 usines réparties en France, dont deux en Belgique, nous sommes au plus proche des chantiers, explique Mathilde Bru, cheffe de produit aménagement extérieur et mobiliers urbains d’Alkern. Les solutions d’aménagement voyagent très peu, environ 80 km, le but étant de produire en local. Nous avons d’ailleurs des catalogues régionaux. Ils ont un tronc commun et des spécificités de coloris ou de formes en fonction du territoire. » Bordures, murets de séparation, dalles classiques ou à engazonner, jardinières, fontaines, bancs ou encore tables de ping-pong… Alkern s’est développé dans différents domaines. « Les solutions drainantes prennent de plus en plus de place », précise Mathilde Bru. Et Eric Colmard, prescripteur chez Alkern, de confirmer : « Depuis quelques années, il y a une vraie émergence des produits drainants, même s’ils existent depuis longtemps. Toutes les collectivités et autres acteurs de l’aménagement s’arment aussi contre des îlots de chaleur ». Cet article est réservé aux abonnés des revues Béton[s] le Magazine et Bâti & Isolation. Déjà abonné Mon email Mon mot de passe Oublié ? En plus de votre magazine, profitez d’un accès illimité à l’ensemble des contenus et services du site www.acpresse.fr : Lecture de l’intégralité des dossiers thématiques, reportages chantiers, fondamentaux, histoire de la construction… Consultation des indicateurs économiques (chiffres et analyses) + vos newsletters pour suivre l’info en continu Je m'abonne
Il y a 2 ans et 317 jours

Près d'Amsterdam, un quartier pionnier "rend la terre aux gens"

Chacun construit à son rythme et selon ses envies à Oosterwold, un espace vert de 43 kilomètres carrés près d'Amsterdam. A condition de respecter certaines règles, comme dédier au moins la moitié de son terrain à l'agriculture urbaine."On peut tout construire nous-même et tout décider", explique Barbara van Schaick, 45 ans, au milieu de sa parcelle où pommes de terres, oignons et arbres fruitiers poussent à proximité de sa maison toujours en construction."C'est très agréable", "surtout combiné avec la promotion de l'agriculture urbaine", ajoute-t-elle auprès de l'AFP. Cette bio-informaticienne passionnée de jardinage a quitté la capitale néerlandaise pour se lancer dans "l'expérience Oosterwold" il y a près de deux ans.Le terrain, situé sur des "polders", ces zones gagnées sur la mer, était longtemps dédié à l'agriculture biologique, avant que la terre ne soit "rendue aux gens" en 2016 pour cette initiative imaginée par la firme MVRDV et un politicien néerlandais."Image romantique"Leur parcelle achetée, les résidents ont quartier libre pour construire logement et infrastructures, sous certaines conditions.Les habitations doivent être bien isolées et les habitants doivent privilégier les énergies renouvelables et pompes à chaleur. La moitié du terrain doit être consacré à l'agriculture urbaine et il doit y avoir des espaces de vie et de circulation publiques.Oosterwold est "unique", affirment fièrement ses habitants, même si tout n'est pas si simple, concèdent-ils.Devant une élégante bâtisse qui semble se fondre dans son vaste terrain vert, construite à l'aide d'un architecte et d'un entrepreneur, Nadine Alsaz, 55 ans, dit vivre dans un "paradis".Arrivée à Oosterwold en 2017, elle souligne que l'initiative permet aussi des échanges fondamentalement différents de ceux en ville, "où on se connait à peine".Les gens ont toutefois souvent une "image romantique" du projet, et peuvent sous-estimer la flexibilité nécessaire à sa mise en oeuvre, explique-t-elle.La construction des routes, qui se définit entre associations d'habitants, fait par exemple l'objet de discussions houleuses, que ce soit sur les matériaux à utiliser, la façon de procéder et ou la division des coûts."On aurait pu croire que construire une route serait plus facile", explique Barbara, alors que le chemin de terre cahoteux menant à sa parcelle attend toujours que les voisins se mettent d'accord.La construction coûte "beaucoup d'énergie", explique-t-elle, surtout pour ceux qui, comme elle, construisent tout de A à Z. Certaines parcelles sont abandonnées et laissées en friche.Et pour ceux qui n'ont pas d'expérience dans le domaine, l'agriculture urbaine est "un défi", ajoute Jeroen Dobber, 39 ans, qui a surtout choisi Oosterwold pour s'éloigner des contraintes dans les villes traditionnelles."Bonne pour le monde"De nombreux terrains proposés par l'initiative ont été achetés par des développeurs de projets immobiliers, et leurs locataires ne sont pas toujours aussi conscients de ce qui est attendu d'eux, observe-t-on.Certains déplorent également l'absence de services publics et d'école à proximité, mais selon M. Dobber, "ça va venir".Les habitants sont de tout âge, et de différentes opinions politiques, selon M. Dobber, mais la plupart ont un niveau d'études élevé, note-t-il.Et si des logements sociaux sont également en construction, l'augmentation des prix de la terre ne favorise pas la diversité.L'endroit est très populaire. Une deuxième phase du projet doit commencer en 2025 et tirera des leçons des premières années de l'expérience, en rendant par exemple la charge de l'évacuation des eaux et la construction de certaines routes à la municipalité d'Almere, à proximité.Oosterwold comptera 15.000 lots, dont un dixième a déjà été vendu, mais ne grandira pas plus que ça, garantit Nadine. Elle espère néanmoins que l'initiative, "bonne pour le monde", sera imitée ailleurs.
Il y a 2 ans et 317 jours

Le confort d’été et la RE 2020 selon le Filmm

Le Filmm décrypte des solutions constructives pour assurer le confort d’été. [©Filmm] Le Syndicat national des fabricants d’isolants en laines minérales manufacturées (Filmm) a édité une nouvelle brochure sur le thème du confort d’été. La RE 2020 a intégré une évolution importante avec l’introduction d’un nouvel indicateur dans les bâtiments : les degrés-heures d’inconfort (DH), exprimés en °C.h. Désormais, les hausses des températures et les vagues de chaleur provoquées par le réchauffement climatique ont été prises en compte avec une nouvelle méthode de calcul. Et afin que cette notion soit plus concrète, le Filmm illustre le principe de cet indicateur avec un graphique. Les solutions contre l’inconfort Pour faire simple, pour prendre en compte la durée de l’intensité de l’inconfort, il faut identifier les heures durant lesquelles la température maximale de bien-être est dépassée. Pour effectuer ensuite la somme, heure par heure, des écarts de degrés entre la température mesurée dans le bâtiment et celle maximale dite de “confort”. Une fois le résultat obtenu, il est essentiel de savoir quelles solutions à mettre en œuvre. Pour déterminer cela, le Filmm a mandaté le bureau d’études “Bastide et Bondoux”, afin de réaliser une étude de sensibilité sur le confort d’été en lien avec la RE 2020. Lire aussi : Filmm : La RE 2020 plus aboutie que la RT 2012 ? Cette étude porte sur deux maisons, l’une de plain-pied et l’autre avec des combles aménagés. Chacune possède une structure maçonnée, puis une structure en ossature bois. Le bureau d’études a pris en compte les méthodes de calcul des DH. Ainsi, la brochure fait la synthèse, donne des réponses sur le rôle des isolants et rappelle les leviers les plus efficaces pour un confort d’été optimal. La brochure synthétise des informations essentielles à connaître pour s’orienter vers les bons choix techniques lors de la construction. L’étude est en accès libre sur le site du syndicat ici   
Il y a 2 ans et 317 jours

Le FILMM se penche sur les degrés-heures d’inconfort dans une brochure

La RE 2020 a intégré une évolution importante sur le thème du confort d’été. La nouvelle brochure du FILMM (syndicat national des Fabricants d’Isolants en Laines Minérales Manufacturées) explique que la RE 2020 introduit un nouvel indicateur : les degrés-heures d’inconfort (DH) exprimés en °C.h. Les évolutions des températures et les vagues de chaleur induites par le réchauffement climatique ont été prises en compte dans le cadre d’une nouvelle méthode de calcul. Afin que cette notion soit plus concrète, le FILMM illustre clairement le principe de calcul de cet indicateur DH à l’appui d’un graphique. Pour prendre en compte la durée et de l’intensité de l’inconfort, il faut identifier les heures durant lesquelles la température maximale de confort est dépassée et faire la somme heure par heure des écarts de température (entre la température mesurée dans le bâtiment et la température maximale dite de confort). Une fois cette notion acquise, il est essentiel de savoir quelles solutions mettre en œuvre pour un confort d’été efficient. Le FILMM a donc mandaté le bureau d’études « Bastide et Bondoux » afin de réaliser des calculs de sensibilité sur le confort d’été dans le cadre de la RE 2020. L’étude porte sur deux maisons, l’une de plain-pied et l’autre avec combles aménagés, avec pour chacune une structure maçonnée puis une structure en ossature bois dans trois zones climatiques (Nord, Centre et Sud). Le bureau d’étude a pris en compte les 3 méthodes de calcul des DH qui entrent dans le cadre de la RE 2020 (méthode forfaitaire, à points et détaillée). La brochure fait la synthèse des conclusions des différentes méthodes de calcul et donne des réponses sur le rôle des isolants et rappelle les leviers les plus efficaces pour un confort d’été efficient. https://www.filmm.org/filmm-syndicat-national-laine-minerale/brochures  
Il y a 2 ans et 317 jours

Le FILMM se penche sur les degrés-heures d’inconfort dans une brochure

La RE 2020 a intégré une évolution importante sur le thème du confort d’été. La nouvelle brochure du FILMM (syndicat national des Fabricants d’Isolants en Laines Minérales Manufacturées) explique que la RE 2020 introduit un nouvel indicateur : les degrés-heures d’inconfort (DH) exprimés en °C.h. Les évolutions des températures et les vagues de chaleur induites par le réchauffement climatique ont été prises en compte dans le cadre d’une nouvelle méthode de calcul. Afin que cette notion soit plus concrète, le FILMM illustre clairement le principe de calcul de cet indicateur DH à l’appui d’un graphique. Pour prendre en compte la durée et de l’intensité de l’inconfort, il faut identifier les heures durant lesquelles la température maximale de confort est dépassée et faire la somme heure par heure des écarts de température (entre la température mesurée dans le bâtiment et la température maximale dite de confort). Une fois cette notion acquise, il est essentiel de savoir quelles solutions mettre en œuvre pour un confort d’été efficient. Le FILMM a donc mandaté le bureau d’études « Bastide et Bondoux » afin de réaliser des calculs de sensibilité sur le confort d’été dans le cadre de la RE 2020. L’étude porte sur deux maisons, l’une de plain-pied et l’autre avec combles aménagés, avec pour chacune une structure maçonnée puis une structure en ossature bois dans trois zones climatiques (Nord, Centre et Sud). Le bureau d’étude a pris en compte les 3 méthodes de calcul des DH qui entrent dans le cadre de la RE 2020 (méthode forfaitaire, à points et détaillée). La brochure fait la synthèse des conclusions des différentes méthodes de calcul et donne des réponses sur le rôle des isolants et rappelle les leviers les plus efficaces pour un confort d’été efficient. https://www.filmm.org/filmm-syndicat-national-laine-minerale/brochures   Cet article Le FILMM se penche sur les degrés-heures d’inconfort dans une brochure est apparu en premier sur Planète Bâtiment.
Il y a 2 ans et 317 jours

Une copropriété s'engage dans la rénovation énergétique pour passer de la classe E à la classe B

La rénovation énergétique des copropriétés reste une décision difficile Les copropriétaires reculent devant les frais à engager, notamment lorsqu'ils ont des revenus modestes ou ne sont pas les occupants de leur logement. Le retour sur investissement peut s'avérer très long. À Rennes (Ille-et-Vilaine), la résidence le Galicie a pourtant franchi le pas. Cette copropriété de 95 logements, dont plus de la moitié en location, vient d'achever sa mue après plusieurs années de projet. Projet de ravalement « Les premières réflexions remontent à 2014 », se souvient Kévin Verger, gestionnaire pour Foncia, syndic de la copropriété. Cet immeuble du quartier de l'hôpital Sud, livré en 1969, avait besoin d'une rénovation. Un ravalement des façades vétustes s'impose. Une équipe de maîtrise d'œuvre est constituée autour de l'agence rennaise Séverine TouchetArchitecte DPLG dirigée par Séverine Touchet, architecte et ingénieure, spécialisée dans la réhabilitation de bâtiments existants. Celle-ci travaille avec la coloriste de la Ville de Rennes à une présélection de gammes de couleurs afin de redonner vie à cette façade neutre et pâle. « Les seuls reliefs de ce long bâtiment R+3 en U sont constitués par les voiles en béton saillants au niveau des douze cages d'escalier, décrit Séverine Touchet. Nous avons proposé de ponctuer ces entrées par de la couleur.» Deux camaïeux de mauve et de bleu sont proposés au groupe de copropriétaires désignés pour former la commission travaux. Ce sont trois mauves différents qui viendront rythmer les halls d'entrée, associés à deux beiges et un blanc pour les parties courantes et un gris en soubassement. Du ravalement à l'isolation des façades « En tant que premier syndic de France, Foncia a choisi d'être un acteur de la transition énergétique, en informant les conseils syndicaux et les copropriétaires sur les enjeux et les bénéfices de la rénovation énergétique, souligne Kévin Verger. Longtemps réticents à engager de tels travaux, ce qui est parfaitement compréhensible car il s'agit souvent de montants assez élevés, ceux-ci se montrent de plus en plus sensibles à l'utilité de telles interventions, notamment quand on leur explique qu'ils y gagneront en qualité de vie. »Á la résidence Le Galicie, parallèlement aux études architecturales, un audit énergétique est réalisé par le bureau d'études Acceo/E2C et la copropriété se voit sélectionnée par Rennes Métropole avec cinq autres résidences dans le cadre d'un programme d'aide à la rénovation énergétique nommé « Ville de demain » géré par la Caisse des Dépôt et Consignations, et ayant pour « vocation de financer des projets innovants, démonstrateurs et exemplaires de ce que sera la ville de demain ». Aux aides publiques de l'État s'ajoutent des subventions de la communauté de communes pour réaliser la rénovation, à condition d'obtenir le label BBC Rénovation après travaux.Le projet évolue donc vers une rénovation énergétique globale. Au simple ravalement se substitue une isolation thermique par l'extérieur, complétée par l'isolation du plancher haut du sous-sol et de la toiture terrasse et associée à la rénovation complète du système de ventilation de l'immeuble. Les menuiseries extérieures d'origine ont été remplacées par certains copropriétaires mais il reste encore 10 à 15 % de fenêtres en bois à simple vitrage. Puisqu'on ne peut pas imposer à tous les copropriétaires le remplacement des menuiseries de leur logement, l'équipe de maîtrise d'œuvre s'est assurée d'atteindre le niveau de performance énergétique du label BBC en équipant le toit terrasse de panneaux solaires thermiques destinés à produire une partie de l'eau chaude sanitaire. La chaufferie collective est rénovée et des robinets thermostatiques équipent tous les radiateurs.L'ensemble de ces mesures permet au bâtiment de passer de la classe énergétique E à la classe B et ainsi d'obtenir les financements attendus.« En fonction des revenus de chaque copropriétaire, les aides peuvent couvrir 30 à 50 % du coût des travaux, voire 90 % pour quelques personnes aux revenus très modestes », décrit Kevin Verger. La décision d'engager les travaux est votée en Assemblée Générale de copropriétaires en décembre 2018.Enduit sur laine de roche En façade, la solution préconisée par l'architecte est le système d'ITE StoTherm Mineral qui utilise un isolant incombustible en laine de roche. Pour atteindre une résistance thermique R de 3,7 m2K/W, les panneaux isolants auront une épaisseur de 140 mm. L'enduit de finition taloché retenu est le StoSilco K à base de résine siloxane, particulièrement résistant aux intempéries. La société rennaise SNPR décroche le marché de travaux de façade et démarre en septembre 2019 un chantier qui durera près de deux ans. Habituée à travailler avec les produits Sto, l'entreprise, forte de son expérience, respecte à la lettre les préconisations du maître d'œuvre. « Sto est un de nos principaux fournisseurs, confie Hervé Rouault, responsable du secteur façades de SNPR. Nous apprécions sa large gamme de produits, les conseils du commercial, les courts délais de livraison, les produits adaptés aux conditions de pose grâce à des versions été et hiver… » La fixation calée-chevillée des panneaux d'isolant minéral est réalisée avec le Sto-Mortier colle B et des chevilles à rosace. Une couche d'enduit de base StoLevell Uni armée d'un treillis en fibre de verre est ensuite appliquée, suivie d'une deuxième passe du même enduit. Les surfaces du rez-de-chaussée sont renforcées avec une armature de blindage noyée dans une première passe d'enduit. Le revêtement de finition taloché StoSilco K1.5 est décliné en trois teintes issues du nuancier StoColor System selon son emplacement sur la façade : blanc et deux tons de beige. Technologie X-black Les façades, des cages d'escalier non chauffées, ne nécessitent pas d'isolation. Elles font donc l'objet d'un ravalement technique en imperméabilité de façade de classe I3, comprenant une couche d'impression StoPrim, une sous-couche Irtop SC et une couche de finition talochée Irtop S K 1.5, permettant d'obtenir le même grain d'enduit de finition que les parties isolées. Les teintes mauves choisies (33400, 33401 et 33402 du nuancier StoColor System) étant soutenues, l'enduit bénéficie de la technologie X-black exclusive de Sto qui réduit son coefficient d'absorption solaire et limite l'absorption de chaleur en été. Les soubassements, les sous-faces et les nez de balcon sont quant à eux revêtus d‘une peinture microporeuse classe D2 à la finition mate StoColor Jumbosil. Confort d'hiver et d'été A l'automne 2021, alors que les travaux n'étaient pas totalement achevés, les copropriétaires ont confié leur satisfaction à Kévin Verger. Outre l'aspect esthétique de leur résidence, qui était leur objectif initial, ils apprécient désormais le confort accru de leur logement, été comme hiver. Ils ont constaté qu'il y faisait moins chaud pendant les périodes de canicule estivale et nombre d'entre eux n'ont pas eu besoin d'allumer leurs radiateurs au début de la période de chauffe. Fiche technique Type de bâtiment : réhabilitation d'immeuble de logement collectif Localisation : square de Galicie et avenue de Pologne, 35000 Rennes Surface de façade traitée : 5 200 m2 Maître d'ouvrage : représenté par Foncia Rennes Maître d'oeuvre : SARL « Séverine Touchet - Architecte DPLG » Bureau d'étude thermique : ACCEO/E2C Organismes : Rennes Métropole, écoTravo, Caisse des dépôts, CEE, Anah Entreprise applicatrice : SNPR Date de réception : fin 2021 Solutions utilisées : système StoTherm Mineral, enduit StoSilco K, revêtement d'imperméabilité Irtop S K avec technologie X- black, peinture StoColor Jumbosil
Il y a 2 ans et 317 jours

Le R32 domine dans les pompes à chaleur et la climatisation au Salon Mostra Convegno

De la petite pompe à chaleur air/eau au nouveaux DRV, en passant par les groupes froids réversibles de moyenne puissance, le R32 s’est imposé en froid, climatisation et chauffage thermodynamique.
Il y a 2 ans et 317 jours

4 choses importantes à considérer pour une maison plus écologique !

La responsabilité de l’homme face à de son environnement est un sujet qui préoccupe de plus en plus, aussi bien au niveau des gouvernements, des entreprises que des individus. En effet, l’impact hautement négatif des activités humaines sur la nature a atteint un niveau critique et le secteur de la construction est vivement concerné. C’est justement pour cette raison que la transition écologique et énergétique prône la construction des maisons écologiques, respectueuses de l’environnement tout en assurant le confort et le bien-être de ses habitants. Dans le présent article, découvrez 04 choses à mettre en œuvre pour bâtir une maison plus écologique ! L’utilisation des matériaux naturels, sains et durables Une maison écologique est définie comme une maison qui respecte l’authenticité de son environnement immédiat, génère le moins de pollution possible et réduit à la baisse sa consommation d’énergie. Ainsi, la première chose à faire lorsqu’on a en projet une écoconstruction est de privilégier les matériaux de construction naturels, que l’on peut obtenir localement, tels que le bois, la pierre, la paille et la brique en terre crue d’argile. Ces matériaux sont non seulement naturels, mais également résistants, durables, et n’intègrent rien de nuisible à l’environnement. Par ailleurs, sur le point de l’esthétique, ils n’ont rien à envier. En effet, vous connaissez très bien la valeur esthétique qu’offrent le bois, la paille et la pierre, ainsi que la diversité de conceptions et de styles ! Des constructeurs tels que Hexagone Architecture, sont des spécialistes des écoconstructions en matériaux bio. L’entreprise s’impose comme un acteur de l’habitation écologique et sait allier un coût raisonnable à la qualité du résultat final. Les économies d’énergie pour une maison écologique Une maison écologique doit avoir une très basse consommation en énergie, en réduisant les besoins et en éliminant les pertes ! Il s’agit entre autres de mettre à profit la maison et la nature pour la régulation de la température intérieure, en laissant pour compte l’utilisation des systèmes de chauffage et de climatisation conventionnels, lesquels sont énergétivores. Différents procédés sont utilisés par les constructeurs à cette fin. Par exemple, comme il est connu qu’en hiver la façade sud de la maison est exposée au soleil, on recommande donc d’orienter sa résidence en plein sud afin de capter au maximum la chaleur du soleil, laquelle sera diffusée à l’intérieur et maintenue durablement grâce à une isolation thermique intérieure efficace (telles que les doubles et triples vitrages). Vous pouvez également planter de façon stratégique des arbres de sorte à vous protéger du vent et à garantir de l’ombre dans les pièces en période d’été. Il est également important de savoir que certains matériaux de construction peuvent se montrer thermorégulateurs, c’est-à-dire qu’ils sont capables de retenir la chaleur en période hivernale et de délivrer une fraicheur en été. Nous pouvons penser à la terre crue et à la paille essentiellement ! Sources d’énergies renouvelables et équipements écologiques L’une des caractéristiques d’une maison plus écologique est son autonomie énergétique en utilisant des sources d’énergie renouvelable. Ces sources utilisent les richesses de la nature et doivent être les moins polluantes possible. On peut citer essentiellement l’énergie solaire, l’énergie éolienne et l’énergie géothermique. Il est également important d’utiliser des équipements écologiques optimisant leur consommation. Pour le chauffage, pourquoi ne pas utiliser par exemple, des chaudières et poêles à granulés ? Ils sont à haut rendement énergétique et écologique. Pour l’équipement électroménager, optez pour les appareils de classe énergétiques A+, moins énergétivores. La qualité de l’air intérieur dans votre maison écologique Une maison écologique doit par-dessus tout préserver la santé de ses habitants. L’un des pans sur lesquels il faut absolument veiller est la qualité de l’air d’intérieur. Il doit être dépourvu des composés organiques volatils (COVs), pollens, virus, bactéries et autres particules fines. L’air d’intérieur mérite ainsi d’être bien renouvelé et il suffit souvent d’installer un bon système de ventilation pour y arriver. Vous pouvez aussi vous procurer un purificateur d’air, connu pour être efficace dans la filtration de l’air.
Il y a 2 ans et 317 jours

Saint-Gobain veut industrialiser la construction en terre

"C'est une première mondiale qui démarre en France", a annoncé Patrice Richard, directeur de la distribution du groupe: un programme de masse visant à réutiliser à partir de 2023 la terre d'excavation de chantiers, aussi bien pour bâtir des maisons individuelles que des immeubles à étage.A l'origine, le groupe cherchait depuis 2019 à répondre à la demande d'un des plus grands aménageurs publics d'Europe, Euroméditerranée, qui pilote la rénovation des quartiers déshérités du nord de Marseille."Ils nous ont dit: +Le gouvernement et les normes françaises nous imposent du bois et des matériaux biosourcés pour faire baisser les émissions de CO2 de la construction, mais nous n'avons pas de bois: que peut-on faire avec de la terre? Parce que nous avons de la terre+", se souvient M. Richard.En alliant ses forces de recherche, ses usines et son réseau de distribution de matériaux Point P, Saint-Gobain a imaginé la possibilité de remplir des murs à ossature de bois avec un "béton de terre" projeté ou coulé, ou de construire avec des parpaings composés de terre, d'un liant à base de déchets de sidérurgie, de concassage de béton recyclé et de végétaux comme le chanvre.Des idées au MarocOutre le fait qu'elles sont économiques, les maisons en torchis ou en pisé, que l'on trouve du Maroc à l'Amérique latine en passant par le Sahara ou le Yémen, ont trois qualités: elles offrent un meilleur confort en été et en hiver, une meilleure hygrométrie, et une meilleure isolation phonique.Autant de facteurs issus des cultures traditionnelles très recherchés pour adapter la construction moderne au réchauffement climatique, tout en faisant baisser les émissions carbone du secteur de la construction, alourdies par celles de la fabrication du ciment. A lui tout seul, le ciment émet trois fois plus de carbone que le transport aérien.Le béton de terre, s'il ne permet pas encore de bâtir des murs porteurs, pourrait aussi permettre de réduire les consommations de sable, de plus en plus rare, soulignent ses promoteurs."Nous sommes allés prendre des idées au Maroc", précise M. Richard. "Ce que nous ne pouvions pas répliquer, ce sont des murs aussi épais que là-bas, et surtout nous devions trouver une solution demandant moins de main-d'oeuvre."Avec la technique de projection de béton de terre dans une structure porteuse en bois, on débouche sur un bâtiment "négatif en carbone", assure-t-il.Cette technique devrait aussi permettre de consommer moins d'énergie pour chauffer ou rafraîchir le bâtiment puisque la terre a la capacité de stocker la chaleur en été (au moins 15 heures), de freiner le froid en hiver, d'aspirer l'humidité quand il y en a trop, ou en rejeter si l'air est trop sec.Maisons "test""A condition de ne pas l'utiliser en façade", avertit néanmoins Manu Foucher, façadier qui craint les lézardes et craquellements dus à la sécheresse, malgré le chanvre incorporé dans la recette pour limiter le retrait de la terre lorsqu'il fait sec.A l'utilisation, avec un camion-pompe qui remplit de béton de terre l'ossature-bois, M. Foucher trouve "qu'on gagne du temps sur le chantier". Saint-Gobain s'est engagé à lancer des programmes de formation pour les artisans.Pour l'instant, une poignée de maisons "test" sont prévues en France et le groupe a signé deux projets d'immeubles dont la construction devrait démarrer en 2023.Côté coûts, le projet "était surnommé Dacia au début", du nom de la voiture à bas coût de Renault qui s'est avérée un succès commercial, explique M. Richard. "Un mur fourni et posé ne devait pas coûter plus qu'un mur de base" en béton, sinon il ne pourrait jamais prendre son envol, souligne-t-il."Les fabricants de béton ne sont pas des concurrents, ce sont des partenaires, car nous les aidons à décarboner les immeubles, et on ne pourra pas se passer de la portabilité des bâtiments (les fondations en béton armé), mais grâce à la terre on pourra être conforme aux nouvelles normes de construction françaises RE2020", espère Michel Daniel, directeur aménagement et ville durable chez Saint-Gobain.
Il y a 2 ans et 318 jours

Le FILMM édite une nouvelle brochure sur le confort d’été dans la RE 2020

Le FILMM détaille les solutions pour un confort d’été efficient. La Réglementation Environnementale – RE 2020 – a intégré une évolution importante sur le thème du confort d’été. Ainsi, comme l’explique la brochure du FILMM, la RE 2020 introduit un nouvel indicateur : les degrés-heures d’inconfort (DH) exprimés en °C.h. Les évolutions des températures et les vagues de chaleur induites par le réchauffement climatique ont été prises en compte dans le cadre d’une nouvelle méthode de calcul. Afin que cette notion soit plus concrète, le FILMM illustre clairement le principe de calcul de cet indicateur DH à l’appui d’un graphique. Pour prendre en compte la durée et de l’intensité de l’inconfort, il faut identifier les heures durant lesquelles la température maximale de confort est dépassée et faire la somme heure par heure des écarts de température (entre la température mesurée dans le bâtiment et la température maximale dite de confort). Une fois cette notion acquise, il est essentiel de savoir quelles solutions mettre en œuvre pour un confort d’été efficient. Le FILMM a donc mandaté le bureau d’études « Bastide et Bondoux » afin de réaliser des calculs de sensibilité sur le confort d’été dans le cadre de la RE 2020. L’étude porte sur deux maisons, l’une de plain-pied et l’autre avec combles aménagés, avec pour chacune une structure maçonnée puis une structure en ossature bois dans trois zones climatiques (Nord, Centre et Sud). Le bureau d’étude a pris en compte les 3 méthodes de calcul des DH qui entrent dans le cadre de la RE 2020 (méthode forfaitaire, à points et détaillée). La brochure fait la synthèse des conclusions des différentes méthodes de calcul et donne des réponses sur le rôle des isolants et rappelle les leviers les plus efficaces pour un confort d’été efficient. À la disposition des professionnels et des particuliers, en accès libre de téléchargement sur son site Internet, cette nouvelle brochure du FILMM permet de mieux comprendre le confort d’été dans le cadre de la RE 2020, synthétise des informations essentielles à connaître, pour s’orienter vers les bons choix techniques à faire, en matière de confort d’été. L’étude distingue les paramètres importants du confort d’été et souligne qu’une combinaison de solutions est la clé de voûte du confort d’été.
Il y a 2 ans et 318 jours

AGC et E.ON confirment leur partenariat pour améliorer l'efficacité énergétique et la décarbonation de sites

Dans ce contexte, l'énergéticien E.ON et le fabricant de verre AGC renforcent leur partenariat par un projet commun de récupération de chaleur résiduelle et de production d'énergie verte dans l'usine de verre flotté d'AGC à Seingbouse, en France. Le projet sera développé, mis en œuvre, financé et exploité par E.ON. E.ON et AGC Glass Europe ont lancé leur partenariat en 2019 et ont déjà mis en œuvre des projets d'efficacité énergétique dans divers pays européens. En outre, la construction de futures centrales photovoltaïques d'une capacité allant jusqu'à 20 mégawatts (MW) est prévue en Hongrie et en République tchèque.« Waste Heat to Power » Récupération de chaleur fatale pour produire de l'électricité neutre en CO2 La chaleur fatale est la plus grande source d'énergie inutilisée au monde. Environ la moitié de la chaleur utilisée dans l'industrie est ainsi perdue. Le cœur du processus de fabrication du verre est le four à verre flotté qui fonctionne à des températures élevées, supérieures à 1000°C. Environ 30 % de la chaleur nécessaire au processus de production est finalement perdue dans les gaz de combustion et restait, jusqu'à présent, inutilisée. E.ON et AGC Glass Europe veulent remédier à cela. Sur le site de production d'AGC à Seingbouse, cette chaleur sera récupérée pour générer de l'électricité neutre en CO2 en mettant en œuvre une centrale innovante à cycle organique de Rankine (ORC) d'une capacité de 1,3 mégawatts (MW).Pour poursuivre la décarbonation du site, E.ON installe également une centrale photovoltaïque (PV) d'une capacité de 2,7 MW sur le site de l'usine. Elle produira de l'électricité renouvelable sur une surface totale de 27 000 m2.Un « Green PPA » sur site pour réduire la dépendance aux marchés de l’énergieEn combinant une centrale électrique ORC avec une centrale PV, E.ON fournira à AGC environ 10 gigawattheures (GWh) d'électricité décarbonée par an à partir de 2023. Cette électricité est entièrement produite et consommée sur le site d'AGC et couvre une grande partie des besoins en électricité du site. Sur cette base, environ 595 tonnes de CO2 sont évitées chaque année.Le projet est structuré sous la forme d'un contrat d’achat d’électricité (PPA : Power Purchase Agreement) long terme où E.ON produira et vendra de l'électricité à un prix fixe. Cela permettra au site d'AGC de se prémunir du risque de volatilité des marchés de l'énergie. De plus, le projet ne nécessite aucun investissement de la part d'AGC car il est financé par E.ON et soutenu par l'Etat français dans le cadre du plan « France Relance » mis en place par l'ADEME*.Marc Bartheld, directeur d'usine AGC Seingbouse : « Notre usine est l'une des plus grandes lignes de production d'AGC pour le secteur du bâtiment avec une production annuelle de 240 000 tonnes de verre flotté. Notre objectif est de réduire nos émissions de gaz à effet de serre de 30 % et notre consommation d'énergie de 20 % d'ici 2030. Pour y parvenir, nous travaillons constamment à l'amélioration des performances environnementales de nos sites de production. Le projet de Seingbouse ici en France est un parfait exemple de la manière dont E.ON peut nous aider non seulement à atteindre nos objectifs de durabilité, mais aussi à garantir la compétitivité du site sur le long terme."Guenther Schneider, président d'E.ON France : « Outre la décarbonation, la sécurité d'approvisionnement et l'indépendance vis-à-vis des prix volatils des matières premières deviennent, dans le contexte de marché actuel, de plus en plus cruciales pour nos clients industriels. Par conséquent, ces objectifs peuvent être atteints en combinant mesures d'efficacité énergétique avec la réutilisation de la chaleur perdue et production locale d'énergie verte. Grâce à sa présence internationale, E.ON peut aider AGC à mettre en œuvre cette stratégie de développement durable de manière efficace sur l'ensemble de ses sites européens."(*) Le projet ORC a été financé par le Gouvernement français dans le cadre du plan de Relance opéré par l’ADEME. Le programme « France Relance », porté par l'ADEME, contribue à accélérer la décarbonation de l'industrie française.
Il y a 2 ans et 318 jours

Préparons l’avenir énergétique de demain

LA RECONSTITUTIOND’UN GROUPE DE PREMIER PLAN LES CHIFFRES A CE JOUR Historique LA POMPE À CHALEUR, SOLUTION LA PLUS ADAPTÉE AUX NOUVELLES DISPOSITIONS ENVIRONNEMENTALES Une forte croissance attendue du parc en France, 1er marché du Groupe D’ici 2030, 40% des maisons individuelles chauffées actuellement à l’électricité et 20% de celles chauffées au gaz devraient être […]
Il y a 2 ans et 318 jours

Balsan enrichit sa collection de LVT Symbiance

LOOSE LAY, collection Symbiance, un système plombant amovible idéal pour la rénovationLa pose plombante amovible proposée par les lames et dalles modulaires nouvelle génération LVT Loose Lay, est adaptée à la rénovation de tous les locaux du logement, du bâtiment et de l'hôtellerie. Elles sont faciles à poser par dessus un sol existant ou peuvent être remplacées sans engendrer de lourds travaux.La collection de LVT Symbiance se définit par la chaleur du bois et le caractère de la pierre, venant se mesurer à la douceur intrinsèque de la moquette. Une alliance unique qui se conjugue à merveille avec des ambiances contemporaines, chics et tendances. Deux décors sont proposés dans la collection Symbiance : Wood (11 coloris) et Stone (5 coloris), qui se jouent en contrastes ou ton sur ton avec la moquette. La collection s'enrichit de nouvelles finitions : 4 finitions bois (merisier, chêne brut, châtaigner et épicéa) et 2 finitions pierre très tendances (Granito et Terrazzo).Textures et couleurs composent ainsi une dualité complémentaire pour une atmosphère sophistiquée très actuelle. Les dalles et les lames Loose Lay se mixent parfaitement aux moquettes Balsan.Symbiance LVT Rigid Clic AcousticBalsan lance une solution acoustique intégrée, LVT Rigid Clic Acoustic qui complète la gamme SYMBIANCE. La sous-couche acoustique intégrée, sous les lames et dalles vinyles de la collection Symbiance amortit naturellement les bruits d'impacts gênants tels que ceux provoqués par des talons, des chaises qui crissent, des valises à roulettes ...Elle est idéale dans tous les immeubles de logements ou à étages pour réduire la transmission de bruits (18dB).Les aspects pierre et bois de ces lames LVT se mêlent au textile pour un jeu de matières et de formats résolument unique. Cette lame LVT Rigid Clic acoustique offre de nombreux avantages pour tous les espaces de bureaux et hôteliers. Le système Clipsable « Unipush » est adapté aux grandes surfaces tertiaires et hôtelières.
Il y a 2 ans et 319 jours

Sobriété énergétique : lancement du groupe de travail « Entreprises et organisation du travail »

Lors d’un déplacement au centre de commande national de GRTgaz, le 23 juin dernier, la Première ministre, Elisabeth Borne, et la ministre de la Transition énergétique, Agnès Pannier-Runacher, ont annoncé le lancement de groupes de travail sur la sobriété énergétique. Objectif : réduire la consommation d’énergie, toutes énergies confondues (gaz, électricité, carburant), de 10% d’ici deux ans.Après le lancement d’un premier groupe sur « L’Etat exemplaire » mercredi 29 juin, Agnès Pannier-Runacher et Olivier Dussopt ont réuni, ce vendredi 1er juillet, au ministère de la Transition énergétique, un deuxième groupe consacré aux entreprises et à l’organisation du travail. A cette occasion, les deux ministres ont rappelé leur volonté d’agir vite et fort contre le gaspillage de l’énergie. Différents experts, notamment du Haut Conseil pour le Climat, ont pour leur part fait un état des lieux de la situation et évoqué les leviers à activer pour tenir l’objectif de réduire de 10% notre consommation d’énergie d’ici deux ans. Lors d’un tour de table, les représentants des organisations syndicales et patronales ainsi que les fédérations professionnelles ont rappelé le travail déjà mené et ont partagé les freins à lever et les pistes d’amélioration à creuser.La réunion a permis de prendre acte du fait que la sobriété énergétique devait être un pan central des discussions paritaires sur la transition écologique dans l’entreprise qui s’ouvrent à compter du 8 juillet, dans le cadre de l’agenda social autonome des partenaires sociaux. Pour la réussite de ces discussions, les ministres ont assuré les acteurs de la disponibilité des experts présents en appui de leurs travaux.La réunion a également permis de faire un premier bilan de différents dispositifs existants, dont la plateforme « Mission Transition écologique ». Cette dernière a permis d’accompagner des dizaines de milliers d’entreprises en recherche de soutien pour financer leurs projets de transition écologique et énergétique, en recensant les différents dispositifs existants et en leur permettant de bénéficier de l’appui d’un expert.Parmi les différents leviers, celui de la mobilité a été évoqué. Les différents dispositifs sur lesquels peuvent s’appuyer les entreprises afin d’accompagner la transition des usages des salariés ont été rappelés. Qu’il s’agisse de l’importance de bâtir un plan de mobilité employeur ou de s’engager en faveur des différents dispositifs de soutien aux salariés – forfait mobilités durables, prime transport pour l’aide au carburant, auto-partage, ou encore label employeur pro-vélo –, de nombreux leviers existent pour permettre aux entreprises de s’engager dans la transition vers les mobilités durables. A condition, comme cela a été rappelé par différents acteurs, de donner de la visibilité aux entreprises sur les aides existantes.Par ailleurs, l’organisation du travail de manière plus générale a fait l’objet de nombreux échanges. Les acteurs se sont accordés avec les ministres sur l’importance de mettre sur la table toutes les options qui pouvaient permettre d’améliorer notre souveraineté et de baisser la facture énergétique, en protégeant la qualité de travail des salariés.La question de la gestion des bâtiments d’entreprises a également été au cœur des discussions. A nouveau, un diagnostic partagé a pu être fait sur la nécessité de promouvoir les pratiques écoresponsables au bureau, notamment en matière d’éclairage, de températures et de choix informatiques.Enfin, il a été acté qu’un plan d’accompagnement sera mis en place et consistera notamment à mobiliser les organismes préventeurs afin de produire des documents simples et didactiques et des outils de communication adaptés. Ce plan consistera aussi à accompagner les entreprises pour actualiser leurs plans de continuité de l’activité, à actualiser des fiches métier en incluant notamment des consignes simples en cas de travail en période de « grand froid » ou de « fortes chaleurs ». Le plan visera également à mobiliser les réseaux, comme les Services de Prévention et de Santé au Travail, ou les Caisses d’Assurance Retraites et de Santé au Travail, comme premier relai des recommandations. Il aura par ailleurs pour objectif de promouvoir et d’accompagner le dialogue social en entreprise pour favoriser une réflexion sur le plan de continuité d’activité en cas de restrictions énergétiques.Le groupe de travail « Entreprises et organisation du travail » s’attèlera, au cours de l’été, dans le cadre du dialogue paritaire, à faire émerger une feuille de route de recommandations simples et opérationnelles, à destination de l’ensemble des entreprises. Dans ce cadre, Agnès Pannier-Runacher et Olivier Dussopt ont insisté sur la méthode de travail. Le Gouvernement et les experts ne se substitueront pas aux partenaires sociaux. Ils joueront le rôle de facilitateurs, pour que les organisations syndicales et les fédérations professionnelles, en responsabilité, identifient les leviers qui leur paraissent les plus adaptés pour réduire la consommation d’énergie des entreprises de 10% d’ici deux ans.Ce travail de concertation mené avec les différents groupes de travail sur la sobriété énergétique devra être la première marche afin d’initier le changement, en matière de transition énergétique, au sein de l’ensemble de la société.Agnès Pannier-Runacher, ministre de la Transition énergétique, a déclaré : « Le lancement de ce groupe de travail dédié aux entreprises et à l’organisation du travail, que j’ai co-présidé avec mon collègue Olivier Dussopt, est une étape importante du plan sobriété que nous avons annoncé avec la Première ministre Elisabeth Borne. Après avoir mobilisé l’administration, il montre notre volonté de faire de la transition énergétique un véritable objet de dialogue social. Nous faisons confiance aux organisations syndicales et patronales, ainsi qu’aux fédérations professionnelles, pour se saisir du sujet et trouver les leviers afin de réduire la consommation d’énergie des entreprises de 10% d’ici 2024. »Olivier Dussopt, ministre du Travail, du Plein Emploi et de l’Insertion : « Nous sommes désormais entrés de plain-pied dans la transition énergétique et climatique. Nous devons collectivement coordonner nos efforts pour moins consommer d’énergie. Ce groupe de travail devra déboucher sur des engagements concrets et ambitieux, mais bien entendu, les choix des mesures de sobriété ne pourront être décidés au niveau national. C’est aux partenaires sociaux, à chaque branche, à chaque entreprise de les définir dans le cadre du dialogue social de proximité. »