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Il y a 2 ans et 264 jours

Dans les cendres de l'incendie du Caire, la difficile question des églises d'Egypte

Dimanche, quand un générateur en surchauffe a mis le feu à un climatiseur, 200 fidèles assistaient à la messe en l'église d'Abu Sifine, raconte à l'AFP le père Yohanna.En tout, 41 personnes sont mortes, asphyxiées par la fumée alors que les secours tardaient à venir.Le père Yohanna a perdu dans l'incendie six proches, dont des jumeaux de cinq ans et leur petit frère de quatre ans.Règles de sécurité, service d'urgences adéquats, locaux adaptés... Il reste beaucoup à faire, reconnaît le prêtre.Mais construire ou rénover une église est "devenu plus simple" grâce à une loi votée en 2016, assure-t-il.L'Etat affirme que ce texte a permis de "légaliser" 1.077 églises et se targue d'être un "modèle multiconfessionnel unique de coexistence et d'unité nationale".Un argument d'autorité qui permet de taxer les militants qui dénoncent des discriminations à l'encontre des coptes "de comportement anti-patriotique", accuse l'historienne Amy Fallas."Pas pratique", "inadéquat"L'Initiative égyptienne pour les droits personnels (EIPR), l'ONG des droits humains la plus en vue d'Egypte, accuse même cette nouvelle loi d'avoir creusé un peu plus le fossé.Selon elle, seules 40% des demandes de construction ou de rénovation d'église ont obtenu un accord préliminaire des autorités et 20% un accord définitif.L'église Abou Sifine incarne ces déboires: nichée dans un immeuble du dédale de ruelles du quartier d'Imbaba, à peine assez large pour laisser passer une voiture, elle n'avait qu'une entrée, rapidement barrée par les flammes, selon les témoins.Dans les étages, les escaliers étroits qui menaient aux salles pour l'enseignement et autres services proposés par l'église sont rapidement devenus des nasses forçant des fidèles à se "jeter par les fenêtres", a raconté un témoin à l'AFP.L'église ne faisait "que 120 mètres carrés", a rapporté le pape Tawadros II, chef de l'Eglise copte orthodoxe.Il faut "la relocaliser dans un espace plus grand", a-t-il plaidé, parce que nombre des 10 à 15 millions de Coptes d'Egypte vivent à Imbaba.Mais dans une mégalopole de plus de 20 millions d'habitants, la tentation est grande de construire là où il y a de la place: dans la grande banlieue."Ce n'est pas pratique", répond le père Yohanna. "Les lieux de culte doivent être proches des zones où habitent" les coptes, majoritairement installés dans les quartiers anciens du centre du Caire. Tawadros II lui-même --pourtant partisan déclaré du président Abdel Fattah al-Sissi-- l'a reconnu: les coptes doivent souvent faire avec "de petites églises dans des endroits inadéquats", souvent des maisons ou des immeubles des quartiers populaires sans détecteur de fumée ni issue de secours.Surtout les quartiers pauvresAprès Abou Sifine, deux autres églises ont été endommagées par des incendies nés de court-circuits."A chaque fois, c'est une question de vie ou de mort qui touche de façon disproportionnée des églises de quartiers pauvres", affirme Mme Fallas à l'AFP.Mais évoquer la discrimination des coptes, qui se plaignent régulièrement d'être tenus à l'écart en Egypte, n'est pas sans risque.En janvier, neuf coptes sont sortis de trois mois de prison pour avoir réclamé la reconstruction de la seule église de leur village, Ezbet Faragallah, au sud du Caire.En 2016, l'église Saint Joseph était partie en fumée dans un incendie --"volontaire" selon l'EIPR, alors que les coptes subissaient aussi des attaques d'islamistes radicaux notamment après le renversement par l'armée en 2013 du président islamiste Mohamed Morsi.Largement endommagée, Saint Joseph a été officiellement démolie en 2021 mais les autorités n'ont toujours pas délivré de permis de reconstruire alors qu'elles devaient répondre, selon la loi de 2016, sous quatre mois.L'église Abou Sifine d'Imbaba, elle, a obtenu un traitement différent. Avec tous les regards braqués sur les petits cercueils des victimes emportées dimanche par le feu, le génie militaire a annoncé qu'il la rénoverait --sur ordre de M. Sissi en personne.D'ici là, comme à Ezbet Faragallah, ses fidèles risquent de devoir se contenter d'une maison ou d'un appartement. Ces fameuses "petites églises dans des endroits inadéquats".
Il y a 2 ans et 264 jours

L'Ethiopie dit avoir terminé la 3e phase du remplissage de son mégabarrage sur le Nil

Ni Le Caire ni Khartoum n'ont réagi dans l'immédiat à cette annonce. "Ce que vous voyez derrière moi, c'est le 3e remplissage terminé", s'est réjoui le Premier ministre Abiy Ahmed dans un discours télévisé depuis le Grand barrage de la Renaissance éthiopienne (Gerd), situé dans le nord-ouest du pays et présenté comme le plus grand d'Afrique. La hauteur de l'eau dans le réservoir atteint désormais 600 mètres, a-t-il précisé. Le réservoir contient désormais 22 milliards de m3 d'eau sur les 74 milliards de sa pleine capacité. "Le Nil est un cadeau que Dieu nous a offert pour que les Ethiopiens l'utilisent", et "ceux qui n'assument pas les responsabilités qui leur ont été confiées sont critiquables", a poursuivi M. Abiy, répondant implicitement aux critiques du Soudan et de l'Egypte. Il a toutefois promis que l'Ethiopie n'entendait pas s'accaparer les eaux du Nil et continuerait de veiller à ne pas nuire aux pays en aval. "Lois de la Nature" Soudan et Egypte ont plusieurs fois demandé à l'Ethiopie de cesser le remplissage du réservoir du Gerd, en attendant notamment que soit conclu un accord tripartite sur les modalités de fonctionnement du barrage. Tributaires du Nil, les deux pays affirment que ce mégabarrage, d'une puissance annoncée à terme de plus de 5.000 mégawatts (MW), va nuire à leur approvisionnement en eau. Fin juillet, l'Egypte avait protesté auprès du Conseil de sécurité de l'ONU contre l'intention annoncée de l'Ethiopie de poursuivre "unilatéralement" durant la saison des pluies en cours le remplissage du réservoir, entamé en juillet 2020, ce malgré l'absence d'accord entre les trois pays concernés sur le sujet. "Le Nil a été donné gratuitement à trois pays : l'Ethiopie, le Soudan et l'Egypte et ces trois pays ont bénéficié de l'opportunité d'utiliser gratuitement cette eau", a souligné M. Abiy, "si un quelconque pays pense qu'elle ne devrait pas être utilisée, il contrevient aux lois de la Nature". "Quand on a entrepris de construire un barrage sur le Nil, nous avons, dès le début, dit que nous ne voulions pas nous approprier le fleuve. Mais nous voulons jouir des bénéfices qui nous reviennent", a affirmé le Premier ministre éthiopien dans un tweet. "Nous espérons aussi que, tout comme l'Ethiopie, les autres bénéficiaires du Nil, le Soudan et l'Égypte, utiliseront le fleuve, chacun à leur manière (...) nous avons tenu notre parole que le projet ne causerait de tort à personne", a-t-il ajouté. "Menace existentielle" Lors d'une cérémonie jeudi, M. Abiy avait démarré la deuxième turbine (sur les 13 prévues) du barrage qui doit permettre, quand il fonctionnera à pleine capacité, de doubler la production électrique actuelle de l'Ethiopie. Pour l'heure, ces deux premières turbines ont une capacité de production totale de 750 MW. "Le projet dans son ensemble est désormais achevé à 83,3%", et ses travaux de génie civil "à 95%", a indiqué durant la cérémonie Kifle Horo, chef de projet du Gerd. L'objectif "des deux prochaines années et demie (...) est d'achever totalement le barrage, de procéder à chaque étape du remplissage et d'installer les turbines restantes" afin que le Gerd soit en mesure de produire à pleine capacité, a confirmé M. Kifle. Situé à une trentaine de kilomètres de la frontière soudanaise, sur le Nil-Bleu qui rejoint le Nil-Blanc à Khartoum pour former le Nil, le barrage est long de 1,8 kilomètre et haut de 145 mètres. Le coût du projet, lancé en 2011, est estimé à quatre milliards de dollars. En 2021, l'ONU a recommandé aux trois pays concernés de poursuivre leurs pourparlers entamés sous l'égide de l'Union africaine, et pour l'instant durablement dans l'impasse. L'Ethiopie estime que le barrage est essentiel à son développement, tandis que l'Egypte le considère comme une menace "existentielle" et que le Soudan a prévenu qu'il faisait peser de "grands risques" sur la vie de millions de personnes.
Il y a 2 ans et 264 jours

La famille Bouygues dépasse le seuil des 25% du capital de Bouygues

Martin Bouygues, président du conseil d'administration du groupe, son frère Olivier et leurs familles détiennent désormais "25,02% du capital et 29,37% des droits de vote" du groupe, indique l'Autorité des marchés financiers (AMF)."Ce franchissement de seuil résulte d'une acquisition d'actions Bouygues sur le marché", précise l'AMF.Ces parts dans le groupe sont détenus par les deux frères et leurs familles en quasi totalité via leur société commune SCDM, qui a réalisé cette acquisition "en utilisant ses ressources financières disponibles".Selon la déclaration à l'AMF, les familles Bouygues "agissent de concert entre elles et n'ont pas conclu d'accord de concert avec un tiers". Elles indiquent aussi envisager "d'accroître leur participation dans la société Bouygues en fonction des conditions et des opportunités de marché, sans que cela ne leur fasse franchir 30% du capital ou des droits de vote".La réglementation boursière oblige un actionnaire qui dépasse le seuil de 30% d'une entreprise à lancer une OPA (offre publique d'achat).Les familles Bouygues "n'envisagent pas de prendre le contrôle de la société Bouygues", "n'envisagent pas de solliciter de sièges supplémentaires au conseil d'administration" et affirment qu'elles "soutiennent la stratégie actuelle mise en oeuvre par la direction générale de Bouygues".Celle-ci a été confiée en février 2021, à Olivier Roussat, lorsque Martin Bouygues a commencé à passer la main à la tête en dissociant ses fonctions de président et de directeur général.Le groupe français est actuellement engagé dans deux grandes et couteuses opérations de fusion-acquisition.Bouygues tente d'acquérir Equans auprès du groupe Engie, plus grosse opération de rachat jamais réalisée par le groupe créé en 1952, et de mener à bien le rapprochement entre sa chaîne TF1 et M6.Le bouclage du rachat d'Equans, qui regroupe des services techniques allant de la gestion de l'énergie dans les bâtiments à la sécurité-incendie en passant par la climatisation ou le numérique, est toutefois contestée par l'autorité de la concurrence britannique CMA.Bouygues, qui a conclu la séance de mercredi à la Bourse de Paris en baisse de 1,23%, est valorisé à 11,6 milliards d'euros sur la place parisienne.
Il y a 2 ans et 265 jours

Deux tours jumelles détruites par implosion en banlieue de Delhi en Inde

Une implosion contrôlée, au moyen de quelque 3.500 kg d'explosifs, a détruit, en quelques secondes, les "tours jumelles" hautes de 100 mètres, à Noida, dans le sud-est de New Delhi.Des milliers de riverains, ainsi que des dizaines de chiens errants, ont été évacués par simple précaution, l'équipe chargée de la démolition assurant que toutes les mesures de sécurité ont été prises."Il s'agit d'une belle prouesse d'ingénierie", s'est félicité le chef de l'équipe de démolition, Joe Brinkmann, cité par le quotidien Times of India.La Cour suprême avait conclu l'an dernier que les structures avaient été construites illégalement en collusion avec les autorités locales.Elle avait également ordonné au géant du secteur de la construction Supertech, de rembourser tous les acquéreurs d'appartements. Aucun d'entre eux n'avait encore e'mménagé dans les tours.Cette démolition est un rare exemple de fermeté des autorités à l'égard de promoteurs véreux.Alliance sacrilègeUday Bhan Singh Teotia est l'un des riverains dont les plaintes contre Supertech ont conduit à l'ordre de démolition."Le plan initial prévoyait 650 appartements, mais le constructeur a ajouté 1.000 appartements supplémentaires de manière frauduleuse", a déclaré à l'AFP M. Teotia."Les deux nouvelles tours qu'ils ont construites nous privaient de tout, de notre air et de la lumière du soleil. Il ne restait plus aucun espace vert", a-t-il poursuivi."L'ordonnance du tribunal expose l'alliance sacrilège entre les constructeurs et les autorités corrompues", a-t-il ajouté.Aucun des responsables de Supertech n'a répondu aux appels de l'AFP.L'avocat Jayant Bhushan, qui représentait les plaignants dans cette affaire, estime que les constructeurs doivent faire le ménage dans leurs affaires afin de regagner la confiance des potentiels acquéreurs."Quand les constructeurs ne suivent pas les règles, ce sont encore et toujours des acquéreurs malchanceux qui finissent par en payer le prix", à l'AFP.Les classes moyennes tombent dans le panneau, pressées d'acquérir le logement de leurs rêves, investissant toutes leurs économies dans des projets qui, souvent, ne voient jamais le jour. Elles se retrouvent entraînées dans de longues batailles juridiques contre de puissants promoteurs.Cités fantômesL'Inde, troisième plus grande économie d'Asie, à la croissance la plus rapide du monde, a connu un boom de la construction ces dernières années.Des promoteurs immobiliers peu scrupuleux, en quête de gros profits, rognent souvent sur les coûts de construction, en toute impunité, et capitalisant sur la faiblesse de la réglementation.Les entreprises construisent souvent des étages ou des tours supplémentaires et utilisent des matériaux de qualité inférieure, tandis que les fonctionnaires sont soudoyés pour fermer les yeux.Quand ils ne respectent pas la loi, les constructeurs s'en tirent souvent avec des pénalités et abandonnent tout simplement les chantiers inachevés.Dans les banlieues de Delhi, à Noida et Greater Noida, on estime que plus de 100 tours résidentielles ont été ainsi abandonnées, donnant à ces zones l'allure d'affreuses cités fantômes, défigurant le paysage.En 2020, quatre tours de luxe dans l'État méridional du Kerala avaient été abattues, pour infraction à des règles environnementales.Cependant les démolitions sont rares en Inde.
Il y a 2 ans et 265 jours

Nouveaux lasers multi-lignes Lax 600 et Lax 600 G de Stabila

Les nouveaux lasers Lax 600 et Lax 600 G de Stabila sont des outils de mesure polyvalents et faciles à utiliser pour les applications en intérieur. [©Stabila] Les nouveaux lasers multi-lignes Lax 600 et Lax 600 G de Stabila, alimentés par batterie, sont des outils de mesure polyvalents et faciles à utiliser pour les applications en intérieur. Trois lignes à 360° permettent une mise à niveau en position horizontale et verticale en même temps. Et deux lignes verticales perpendiculaires permettent de diviser l’espace en quatre fois 90°. Ces caractéristiques sont complétées par un aplomb vers le haut et le bas, généré par l’intersection des lignes verticales. Ainsi que par une ligne horizontale pour des reports de hauteur exacts et des travaux d’implantation précis. Une sécurité maximale pour un nivellement efficace Les nouveaux lasers Lax 600 et Lax 600 G sont des outils de mesure polyvalents et faciles à utiliser pour les applications en intérieur. Les deux modèles se distinguent surtout par la couleur des lignes laser. Sur le modèle Lax 600, elles sont rouges avec une portée allant jusqu’à 30 mm. Tandis que sur le Lax 600 G, elles sont vertes et donc encore plus visibles avec une portée allant jusqu’à 40 m. Ils permettent de travailler directement sur les lignes laser fines, des diodes haute puissance garantissant à chaque fois une visibilité maximale. En termes de maniabilité, les deux lasers sont identiques et très simples, chaque touche n’ayant qu’une seule fonction. Après un auto-nivellement rapide à l’aide de la technologie à pendule adaptée aux chantiers, le laser est immédiatement prêt à l’emploi. Ce dernier est aussi protégé de manière optimale contre l’infiltration d’eau et de poussière selon l’indice de protection IP 65. Grande autonomie grâce à la batterie Cas Pour la première fois, les lasers de Stabila sont équipés d’une batterie Cas Li-Power 12 V (2 Ah). Ils peuvent donc être combinés avec tous les blocs batteries 12 V des marques Cas 12 V et les chargeurs de toutes les marques Cas. Selon le modèle, la batterie offre des durées d’utilisation différentes : jusqu’à 28 h pour le Lax 600 et jusqu’à 15 h pour le Lax 600 G. L’affichage de la capacité permet de vérifier en permanence le niveau de charge. Pour prolonger les autonomies, les lignes peuvent être activées ou désactivées individuellement en fonction de l’application. Avec le chargeur rapide SC 30, la batterie est entièrement rechargée en 45 mn maximum. Les nouveaux lasers multi-lignes sont livrés avec cible avec support magnétique et réticule pour l’alignement du laser sur une cible. Mais aussi avec support universel à positionnement flexible SUB 10 et support mural montable SWB 10. Et enfin, coffret de transport pour un transport aisé et un rangement sûr.
Il y a 2 ans et 268 jours

Démarrage du plus grand parc éolien offshore d'Écosse, selon les industriels

La première éolienne, sur un total de 114, a été mise en service tôt lundi matin, à quelque 27 kilomètres au large du comté d'Angus.La ferme, d'une capacité totale de 1.075 mégawatts (MW) et à même d'alimenter l'équivalent de 1,6 million de foyers, doit être pleinement opérationnelle au cours du premier semestre 2023, selon les deux partenaires.Le projet Seagreen, d'un coût de 4,3 milliards de dollars, sera le plus grand parc éolien offshore d'Écosse, où de nombreux projets sont en développement, et il sera le plus profond du monde sur fondation fixe, par 59 mètres de profondeur d'eau, selon leur communiqué."Une fois achevé, Seagreen contribuera de manière significative aux objectifs ambitieux de l'Écosse et du Royaume-Uni en matière d'énergie renouvelable", a commenté Paul Cooley, directeur de l'éolien en mer chez SSE Renewables."Voir cette turbine tourner en mer du Nord et démarrer la production d'électricité en toute sécurité est une réussite fantastique pour tous ceux liés au projet", qui a "déjà apporté des bénéfices à la communauté locale et à la chaîne d'approvisionnement britannique", a-t-il ajouté, cité dans le communiqué.Pour le français TotalEnergies, il s'agit du tout premier projet éolien marin à démarrer en Europe (son premier dans le monde à fonctionner est celui de Yulin à Taïwan).Le groupe était parvenu à un accord avec SSE Renewables en juin 2020 pour acquérir une participation de 51% dans le projet Seagreen."Nous sommes satisfaits de démarrer la production d'électricité sur le site de Seagreen, une première en mer du Nord britannique", a déclaré Vincent Stoquart, directeur Renewables de TotalEnergies. C'est "une nouvelle étape dans le développement des capacités d'éolien offshore de TotalEnergies", qui vise 35 gigawatts (GW) de capacité électrique renouvelable en 2025.
Il y a 2 ans et 269 jours

Toujours plus performante, la gamme d’isolant Métisse obtient de nouvelles certifications de sécurité au feu

Précurseur et acteur majeur de la fabrication d’isolants thermiques et acoustiques biosourcés, Le Relais Métisse maîtrise l’intégralité de la chaîne de sa fabrication 100% française, depuis la collecte de la matière première jusqu’à la valorisation. En effet, Métisse est un isolant en coton issu du recyclage de jeans collectés et triés par Le Relais, leader français de la collecte et du tri des TLC (Textiles, Linge et Chaussures) depuis 1984.Une nouvelle certification qui permettra de répondre aux attentes du marchéCette année 2022 marque une nouvelle évolution pour l’isolant Métisse, qui a obtenu de nouvelles certifications et accède à un nouveau classement.Auparavant classé « Euroclasse E », l’ensemble de la gamme (RT, flocon et Eko) est désormais certifié « Euroclasse D » en produit nu*. Son traitement ignifuge innovant à cœur (sans sel de bore) en fait un isolant biosourcé sécurisé face au feu.Métisse a également obtenu près de 30 PV et extensions feu en s’associant avec Placo. L’association de ces deux pionniers et leaders sur leurs secteurs a permis d’obtenir ces nombreuses certifications et valide ainsi un très grand nombre de configurations de systèmes (de la cloison simple à la cloison élaborée) aux normes ignifuges et acoustiques. Il obtient également un nouveau classement BS1D0 (en complexe) par le Crepim (laboratoire classé COFRAC).L’obtention de ces nouvelles certifications pour l’isolant Métisse permet désormais de répondre aux demandes des ERP - Etablissements Recevant du Public (lieux de santé, d’enseignements ou logements collectifs). En effet, l’isolant atteint des performances de haut niveau et répond à des exigences feu EI30 à EI120 en cloisons et EI45 à EI120 en contre-cloisons.*Retrouvez le certificat du Crepim (laboratoire Cofrac) sous le rapport n°DO-22-3628\B-R1, sous ACERMIMétisse précurseur sur le marché, multiplie les distinctionsLa gamme Métisse accède à de nombreuses distinctions : premier isolant issu de l’Economie Sociale et Solidaire, premier isolant certifié issu d’une filière de collecte textile entièrement intégrée et maîtrisée, premier isolant ignifugé au cœur de la matière par un procédé de plein bain. L’isolant a été couronné par le Prix BePOSITIVE Awards (catégorie Bâtiment Performant) en février 2019. Puis un an plus tard la marque s’est à nouveau distinguée avec l’obtention du Label Produit Biosourcé Filière Française pour l’ensemble de sa gamme thermique : 70% minimum pour la gamme RT (panneaux et rouleaux) et 73% minimum pour les flocons.Un isolant au cœur de la transition énergétiquePar leurs caractéristiques physiques (transformation et stockage du CO2 atmosphérique), les fibres végétales, matières premières biosourcées, constituent un levier fort et une réponse fiable, durable et concrète aux enjeux du réchauffement climatique et de l’épuisement des ressources naturelles. Par sa composition en fibres de coton biosourcé, issu du recyclage, l’isolant Métisse s’inscrit pleinement dans la Transition Energétique pour la Croissance Verte.
Il y a 2 ans et 269 jours

ISP obtient la certification ISO 45001

Inter Service Pompes vient d’obtenir la certification ISO 45001. [©ACPresse] Inter Service Pompe (ISP) poursuit sa démarche d’amélioration de la qualité de ses services à tous les niveaux. N° 1 du pompage du béton en France, l’entreprise avait déjà obtenu la certification ISO 9001 version 2015 pour l’ensemble de ses activités et de ses entités. « Y compris pour notre atelier de maintenance du matériel, la division Inter Service Dallages ou encore Inter Service Gestion », rappelle Antonio Agostinho, président d’ISP. Cette certification a été renouvelée le 19 juillet dernier. Mais une bonne nouvelle n’arrivant jamais seule, ISP a décroché le même jour l’ISO 45001 version 2018, qui spécifie les exigences du management de la santé et de la sécurité au travail. « A travers cette nouvelle certification, nous sensibilisons et responsabilisons encore plus l’ensemble de nos collaborateurs à la sécurité, confirme Antonio Agostinho. Et garantissons, en même temps, un très important niveau de sécurité à nos clients ». En attendant l’ISO 14001 L’obtention de l’ISO 45001 confirme le sérieux d’ISP en matière de sécurité, action qu’il poursuit depuis des années déjà. Par exemple, à travers le montage systématique de systèmes de détection des lignes à haute tension sur toutes ses pompes à béton… Après les ISO 9001 et 450001, ISP compte bien obtenir encore l’ISO 14001. Cette dernière certification valide le système de management environnemental des entreprises. A suivre donc dans les mois qui viennent…
Il y a 2 ans et 270 jours

Lancement prochain de l'appel d'offres pour le second parc éolien offshore Centre-Manche

"Une procédure de mise en concurrence sera lancée en 2022 en vue de l'attribution du deuxième parc éolien en mer situé en zone 'Centre-Manche' d'une puissance pouvant aller jusqu'à environ 1,5 gigawatts", indique le JO qui publie cette décision en date du 9 août et signée par la ministre de la Transition énergétique, Agnès Pannier-Runacher.Dénommée "Centre-Manche 2", la zone concernée pour l'implantation de ce parc est d'une superficie de 270 km2, située en zone économique exclusive à quelques dizaines de km de la pointe nord-est du Cotentin.Le cahier des charges pour ce projet "prévoira notamment l'obligation pour le lauréat d'étudier les conditions de cohabitation avec la pêche au sein du parc éolien, pendant la phase d'exploitation, dans les limites permises par les exigences de la sécurité de la navigation maritime et de sécurité des biens et personnes", selon le JO.Les pêcheurs côtiers en Manche ont manifesté à plusieurs reprises ces dernières années leur opposition à ces centrales éoliennes en mer dont ils craignent en particulier les effets sur les poissons et crustacés et donc sur l'avenir économique de leurs entreprises."Le dialogue avec tous les acteurs intéressés par le projet, dont ceux de la pêche professionnelle, sera poursuivi dans les différentes instances existantes, en particulier au sein du Conseil maritime de façade Manche-Est-Mer du Nord, notamment au sujet des études environnementales et de la cohabitation des usages", selon la décision rapportée par le JO."Une instance de concertation et de suivi (...) sera installée lors de l'attribution du projet, associant notamment les élus, les associations, les professionnels et le grand public", spécifie le texte.Nettement plus proche des côtes, le premier projet éolien offshore Centre-Manche, situé à une dizaine de km au large de Courseulles-sur-Mer (Calvados), et dont la construction a débuté en février 2021, doit comprendre 64 éoliennes pour une puissance de 450 mégawatts. D'une superficie de 50 km2, il est censé entrer en service en 2024.En février dernier, Emmanuel Macron avait annoncé l'objectif de doter la France d'une cinquantaine de parcs éoliens en mer pour "viser 40 gigawatts en service en 2050".
Il y a 2 ans et 272 jours

Les Français fortement préoccupés par leur avenir énergétique et climatique

Les résultats de l’enquête font apparaitre le portrait d’un pays tiraillé entre sentiment d’insécurité énergétique et climatique d’une part, et volonté de bénéficier d’une énergie bon marché d’autre part.Fortes inquiétudes par rapport à la crise énergétiqueL'énergie est devenue un sujet de préoccupation évident pour beaucoup de Français du fait de l'augmentation des factures, des problèmes géopolitiques et de la pression du changement climatique, ce qui fait de l’énergie une nouvelle priorité pour de nombreuses personnes à travers le pays.Dans le contexte de la crise énergétique actuelle, 76% des citoyens s'inquiètent de l'augmentation des factures d'énergie, 55% craignent que leurs économies ne couvrent pas le chauffage de leur maison l'hiver prochain, et 67% craignent que les objectifs en matière de changement climatique ne soient désormais oubliés.La question du prix de l’énergie est leur préoccupation majeure. Seuls 36% des interrogés se disent prêts à payer des factures plus élevées pour diversifier les sources d’approvisionnement en énergie dans le contexte de la crise actuelle, et parmi ceux-ci, 2 français sur 3 ne sont prêts à payer qu’un léger surcoût. Ils sont même 29% des interrogés à déclarer ne pas avoir les moyens de payer des factures d’énergie plus élevées.Les énergies renouvelables perçues comme une solution65% des Français soutiennent l'expansion des énergies renouvelables pour accroître la sécurité énergétique en Europe. Ils sont aussi 75% à penser que la France aurait dû commencer à investir dans les énergies renouvelables depuis longtemps. Enfin, 17% des personnes déclarent que leur perception des énergies renouvelables comme moyen de réduire les dépendances énergétiques a été renforcée depuis la crise. Mais la question des inquiétudes de prix revient encore : 54% des Français pensent que leurs factures énergétiques vont augmenter s'ils passent aux énergies propres.L’enquête montre enfin la méconnaissance qu’ont les citoyens de l’action gouvernementale en matière de changement climatique : 94% des Français interrogés affirment ainsi n’avoir aucune idée des objectifs spécifiques et des activités clés que le gouvernement français entreprend pour avancer vers la neutralité carbone.Pour Arnaud Bellanger, Directeur de Statkraft France : « Les résultats de cette enquête démontrent un fort soutien public au développement de nouvelles énergies propres. Les Français veulent que leur pays agisse rapidement pour sécuriser un approvisionnement énergétique pérenne et abordable. Nous avons vu qu’environ la moitié des personnes interrogées pensent que leurs factures d'énergie augmenteraient si leur électricité était d’origine renouvelable. C’est inexact. En augmentant la capacité d'énergie renouvelable et en diminuant la dépendance aux combustibles fossiles, les consommateurs seront davantage protégés de la volatilité du marché et de la hausse des coûts de l’énergie. »
Il y a 2 ans et 276 jours

La Chine va doubler sa capacité d'énergie éolienne et solaire d'ici à 2025

Dans un document publié début juin, le planificateur économique central du pays a déclaré que 33% de l'approvisionnement en électricité du réseau national proviendrait de sources renouvelables d'ici à 2025, contre 29% en 2020."En 2025, la production annuelle d'électricité à partir d'énergies renouvelables atteindra environ 3,3 trillions de kilowattheures... et la production d'énergie éolienne et solaire doublera", indique le plan.Le premier pollueur mondial avait précédemment estimé qu'il devait doubler l'utilisation de l'énergie éolienne et solaire d'ici à 2030 pour tenir ses engagements dans le cadre de l'accord de Paris sur le climat.Ce dernier plan, s'il est mis en œuvre, signifie que la Chine pourrait atteindre cet objectif plus tôt.Mais le plan prévoit aussi que les énergies renouvelables couvriront "50% de la croissance de la consommation d'électricité" d'ici à 2025, ce qui est inférieur aux précédentes estimations officielles et indique une plus grande marge de manœuvre pour développer l'énergie provenant du charbon.Pékin a accru sa dépendance à l'égard des centrales électriques au charbon ces derniers mois pour soutenir son économie en difficulté, alors que la guerre en Ukraine fait grimper les prix mondiaux de l'énergie.La Chine est le plus grand producteur d'énergie renouvelable au monde. Elle a accéléré ses investissements dans les projets solaires et éoliens afin de lutter contre la pollution intérieure qui, selon les chercheurs, tue plusieurs millions de personnes chaque année.Les investissements dans l'énergie solaire ont presque triplé au cours des quatre premiers mois de l'année par rapport à la même période l'année précédente pour atteindre 29 milliards de yuans (4 milliards d'euros), selon les données de l'Administration nationale de l'énergie.Mais le pays brûle toujours la moitié du charbon utilisé dans le monde chaque année pour alimenter son économie.La semaine dernière le Premier ministre Li Keqiang a déclaré que le charbon était à la base de la sécurité énergétique du pays, et la banque centrale a approuvé un crédit de 15 milliards de dollars pour financer l'extraction du charbon et les centrales au charbon.
Il y a 2 ans et 276 jours

GSE réalise un parking aérien pour le marché de Rungis

Situé avenue de Bourgogne à Chevilly-Larue (94), ce parking aérien s’étendra sur 11.500 m² de surface de plancher et permettra ainsi à la SEMMARIS de bénéficier du système de construction GSE GOLDBECK en France.Un chantier rapide en site très fréquentéRéalisé pour le compte de SEMMARIS, le gestionnaire immobilier du marché de Rungis, ce parking aérien proposera 445 places multi-usages (VUL, VL et zone VIP) sur 5 niveaux, localisé sur un terrain de seulement 2.300 m² en plein cœur du marché international, en lieu et place d’un parking traditionnel en surface. « Non seulement le chantier devra permettre la continuité de l’activité du parking, mais le site est l’un des plus fourmillants de l’Hexagone. Il s’agit d’un véritable défi pour les équipes GSE » explique Yoann Castel, en charge de ce projet.Le parking aérien sera le premier à bénéficier de la démarche GSE GOLDBECK. « Entièrement préfabriqués, tous les éléments sont construits en usine et assemblés sur place comme des Lego. Cette méthode de construction permet un très bon suivi qualité, une optimisation des matériaux et donc une réduction de la consommation de matières premières et un timing de construction très court » explique Maxime Ochin, directeur activité Parking de GSE. A la rapidité de cette méthode de préfabriqué, la démarche GOLDBECK ajoute de nombreux avantages environnementaux : une façade en bois recyclé signée ABA Workshop, une ombrière de panneaux photovoltaïques en toiture. A la demande du client, GSE étudie une solution locale de compensation du poids carbone de l’ouvrage.Le chantier, en flux tendu, démarrera en septembre 2022 pour une livraison en avril 2023. Un deuxième parking à Pessac (33) est également prévu pour représenter la deuxième implantation de GSE-GOLDBECK en France.Objectif, révolutionner le parking avec de nombreux services associésGrâce à son mode de production industrialisé, totalement préfabriqué et prêt à la construction, cela permet à GSE de présenter une offre particulièrement compétitive, affichant des prix entre 15 et 20 % moins élevés que le coût d’une place de stationnement en parking « traditionnel » sur le marché français. Ce procédé de fabrication industrialisé et intégré permet en outre des délais de déploiements uniques.Véritables outils au service de la mobilité, GSE propose des solutions confortables, intelligentes et durables. Ces parkings intègrent les nouvelles technologies mises en œuvre dans ce domaine, garantissant une qualité et une sécurité optimale : guidage à la place, gestion numérique du parking, contrôle d’accès par reconnaissance de la plaque, éclairage intelligent, jalonnement dynamique et offrent d’innombrables possibilités sur le design architectural. De plus, ils permettent une réduction de 20 % du bilan carbone par rapport aux solutions du marché.
Il y a 2 ans et 278 jours

Nouvelle porte coulissante DIVA RS coupe-feu de Portalp

Pour répondre à ces exigences, Portalp complète aujourd’hui sa gamme de portes automatiques coulissantes DIVA RS par une version coupe-feu.Une résistance au feu de trente minutesDIVA RS coupe-feu est disponible en version simple ou double, avec ou sans vantaux fixes, ou encore intégrée à une cloison coupe-feu. Cette nouvelle porte automatique coulissante Portalp se compose :d’un châssis aluminium doté de profilés d’une épaisseur de 78 mm à trois chambres munies d’entretoises thermiques. Au design contemporain, il est personnalisable dans tous coloris RAL pour s’intégrer harmonieusement à tous les projets,associé à un vitrage Contraflam®30 d’une épaisseur de 16 mm monté dans le châssis à l’aide de parcloses intérieures et extérieures. Les vantaux sont équipés sur leur périphérie de joints intumescents qui gonflent sous l’effet de la chaleur pour calfeutrer les orifices,en complément, la cloison sur laquelle est mise en place la porte reçoit un cadre d’habillage pour lutter efficacement contre la propagation des flammes.Pour garantir une fermeture fiable et contrôlée en cas d’incendie, Portalp a doté la porte DIVA RS coupe-feu d’un système à Énergie gravitationnelle contrôlée (EGC) installé à gauche ou à droite pour une porte double, ou côté fermeture pour une porte simple.Un contrepoids de neuf kilos permet, en cas d’incendie, de refermer mécaniquement le vantail ou les vantaux sans aucune alimentation électrique. La descente du contrepoids s’effectue à vitesse contrôlée avec une surveillance permanente du câble de liaison.Certifiée NF « Portes résistant au feu en métal » selon le référentiel NF277 et classée coupe-feu EI2- 30, la porte DIVA RS coupe-feu constitue ainsi un barrage efficace contre les flammes et les fumées pendant trente minutes.L’alliance d’une motorisation puissante et de la technologie RS pour encore plus de sécuritéA l’intérieur de son caisson renforcé de 193 x 200 mm, l’opérateur DIVA RS bénéficie d’une combinaison de technologies innovantes qui procure une grande adaptabilité et augmente le niveau de sécurité fourni :une alimentation à découpage (100-230 V) pour une faible consommation,une motorisation brushless associée à un chemin de roulement garantissant dans le temps un déplacement précis et fluide des vantaux lourds pour assurer une fermeture fiable et immédiate en cas d’incendie (0,1 à 1,6 m/s selon le nombre de vantaux),une technologie bus CAN facilitant le câblage et assurant la communication permanente avec l’ensemble des périphériques,une batterie de secours qui prend le relais en cas de coupure de courant,une carte D.A.S. (Dispositif Actionné de Sécurité) permettant le raccordement du système de détection incendie et d’une commande manuelle de déclenchement.A l’instar de l’ensemble des gammes de portes automatiques Portalp, la porte DIVA RS coupe-feu bénéficie d’une garantie deux ans, étendue à cinq ans en cas de souscription d’un contrat de maintenance auprès de Portalp.
Il y a 2 ans et 278 jours

Novéa Énergies équipe la ville de Villeneuve-Loubet (06) de 19 ensembles solaires éco-conçus

11 d’entre eux habillent ainsi un nouvel ensemble immobilier dans le quartier des Maurettes, et les 8 autres ont été installés pour éclairer et sécuriser le pôle culturel Auguste Escoffier.Particulièrement avancée, la politique RSE de Novéa Énergies défend un usage raisonné de la lumière, basé sur une démarche scientifique, grâce au développement de solutions fiables, durables et respectueuses de l’environnement. Tous les luminaires de l’entreprise angevine sont par ailleurs conformes à l’arrêté du 27 décembre 2018 relatif à la prévention, la réduction et la limitation des nuisances lumineuses. Des ensembles solaires au design unique, conçus au plus près du besoin d’éclairageVille de plus de 16 000 habitants, idéalement située en bordure de la célèbre Baie des anges, entre Nice et Antibes, Villeneuve-Loubet abrite une biodiversité riche qui lui vaut le surnom de « cœur nature de la Côte d’Azur ». Particulièrement dynamique, le quartier des Maurettes a fait l’objet d’un grand projet de requalification de la zone économique Pôle Marine 7 pour créer un véritable cœur de ville à fort enjeux en termes de développement durable. Ce projet « Cœur des Maurettes » s’inscrit dans un ensemble végétalisé préservé, doté de nouveaux équipements publics favorisant une qualité résidentielle soignée du quartier. De nouveaux programmes immobiliers ont vu le jour, avec de forts enjeux en termes de développement durable. La commune de Villeneuve-Loubet a recouru aux solutions de Novéa Énergies pour une application de plus en plus sollicitée, à savoir l’éclairage d’une partie d’un de ses nouveaux ensembles immobiliers : un parking et un chemin piétonnier.« Depuis 2016, la municipalité a engagé d’importants travaux d’investissement sur l’ensemble du parc d’éclairage public obsolète à 80 % afin de mieux éclairer les espaces publics assurant à la fois la sécurité des Villeneuvois et des économies d’énergie », affirme Lionnel LUCA, le Maire.11 mâts Combi Top 3 double crosse au design original et harmonieux avec l’éclairage public du quartier ont ainsi été installés. Novéa Énergies étant une filiale du groupe Ragni, l’entreprise angevine dispose de la palette de luminaires la plus large du marché et est le seul fabricant en capacité de proposer une continuité architecturale avec les ensembles traditionnels raccordés au réseau. Des consoles Tominia et luminaires Atinia de chez Ragni ont ainsi été apposés, sublimant la finition de ces ensembles solaires bleu capri (RAL 5019) qui se fondent parfaitement dans l’existant.Pour ce qui est de la sécurisation de la médiathèque de Villeneuve-Loubet, la ville a cette fois privilégié des luminaires Chic et des consoles Atilis sur les 8 mâts CT3, le tout en rouge vin (RAL 3005) pour valoriser la superbe allée devant le pôle culturel et l'architecture du village en toile de fond.Un choix évident pour le Maire de la ville : « Dans tous nos projets, la municipalité cherche systématiquement à faire appel aux techniques innovantes. L’usage de candélabres solaires est aussi une solution pratique et économique pour éclairer les secteurs vides de réseaux ». Sécuriser les usagers et préserver la biodiversité Intégrant la préservation de la biodiversité dans sa politique globale de développement durable, l’entreprise angevine propose des scénarii d’éclairage public autonome sur-mesure, qui éclairent juste, au plus près du besoin. En effet, pour Novéa Énergies, l’utilisation future de ses équipements solaires doit impérativement être définie au préalable, pour concevoir un scénario d’éclairage personnalisé, adapté aux écosystèmes dans lesquels ils s’intègrent.Ainsi, dans le quartier des Maurettes les ensembles solaires fonctionnent par détection de présence, en veille à 10 % toute la nuit avec 5 heures cumulées de détection prévues, soit 400 passages de 45 secondes.L’accès au pôle culturel est quant à lui éclairé à 100 % pendant les 5 heures suivant le crépuscule, puis les ensembles solaires entrent en veille à 10 % avec 1h30 de détection cumulée prévue. Les installations répondent donc à la fois au besoin de sécurité des usagers, tout en limitant les nuisances lumineuses et donc l’impact sur la biodiversité.
Il y a 2 ans et 282 jours

Les sciences photovoltaïques vers leur zénith

Pour atteindre la neutralité carbone en milieu de siècle et limiter le réchauffement climatique à 1,5°C par rapport à l'ère pré-industrielle -comme prévu par l'accord de Paris sur le climat- la planète devra installer chaque année d'ici 2030 quatre fois plus de capacités solaires qu'elle ne le fait aujourd'hui, selon l'Agence internationale de l'énergie (AIE).La bonne nouvelle est que les prix ont baissé de façon spectaculaire.Selon un rapport des scientifiques du Giec publié début 2022, les coûts unitaires du solaire ont chuté de 85% entre 2010 et 2019, et ceux de l'éolien de 55%.Mais "c'est probablement le moyen le moins cher qu'ait trouvé l'humanité pour produire de l'électricité à grande échelle", estime Gregory Nemet, professeur à l'Université de Wisconsin-Madison, l'un des principaux auteurs du rapport.Entre l'envolée des prix des énergies fossiles et les craintes sur la sécurité énergétique causées par l'invasion russe de l'Ukraine, le développement des renouvelables est déjà amorcé.Selon un rapport de BloombergNEF, les investissements mondiaux dans les projets solaires ont progressé de 33% au premier semestre par rapport à l'an dernier, à 120 milliards de dollars. Dans l'éolien, ils ont augmenté de 16% à 84 milliards de dollars.Et le plan climatique de Joe Biden en passe d'être adopté au Congrès américain a musclé cette impulsion, avec 370 milliards de dollars d'argent public en incitations fiscales destinées à faire baisser de 40% les émissions américaines de gaz à effet de serre d'ici 2030 (par rapport à 2005)."Le plan de M. Biden va permettre de réinstaller une industrie de panneaux solaires aux Etats-Unis", a jugé la directrice de la Fondation européenne pour le climat, Laurence Tubiana, dans le quotidien français Le Monde jeudi. Selon M. Nemet, il est plausible que le solaire à lui seul représente la moitié de l'électricité mondiale d'ici le milieu du siècle. "Il y a un gros potentiel", dit-il.Découverte française"L'effet photovoltaïque" --processus qui permet de produire de l'électricité à partir du rayonnement solaire-- a été découvert en 1839 par le physicien français Edmond Becquerel.Les premières cellules à base de silicium ont été développées aux Etats-Unis dans les années 1950. Mais aujourd'hui, la grande majorité des panneaux solaires sont fabriqués en Chine.Selon l'AIE, les nouvelles cellules photovoltaiques sur le marché sont 20% plus efficaces pour convertir la lumière en énergie qu'elles ne l'étaient il y a seulement cinq ans, grâce à de nouveaux matériaux hybrides.Parmi les innovations figurent les panneaux dits "à couche mince", moins chers que les cellules en silicium. Ils peuvent être "imprimés" sur tous types de support, à partir d'encres en cristaux de perovskite, un matériau découvert au 19e siècle par le minéralogiste russe Lev Perovski.Selon les experts, cette découverte pourrait révolutionner le secteur en multipliant les lieux où l'on peut produire de l'énergie solaire. A condition que cette nouvelle génération de panneaux se dégrade moins vite qu'actuellement, et puisse durer au moins 20 ans.Ce que des recherches récentes semblent rendre possible. Dans la revue Science en avril, des scientifiques ont rapporté être parvenus à rendre les panneaux en perovskite aussi efficaces que ceux en silicium.Une autre étude publiée dans Nature parie sur des semi-conducteurs en "tandem" pour accroître la conversion en énergie du domaine spectral du rayonnement solaire : le perovskite pour les infrarouges et un matériau plus carboné pour les ultraviolets."Créativité"Reste à résoudre le problème de la nuit, lorsqu'il n'y a plus de rayonnement solaire.Des chercheurs de Stanford ont réussi cette année à produire une cellule solaire qui peut générer de l'énergie durant la nuit grâce à la chaleur générée par la Terre."Il y a beaucoup de créativité dans cette industrie", relève Ron Schoff, qui dirige la recherche sur les renouvelables au sein de l'Institut sur la recherche électrique (EPRI) basé aux Etats-Unis.Selon lui, l'une des réponses au problème de l'occupation croissante des sols par les fermes solaires reposera sur les panneaux bifaces : ils produisent de l'électricité sur leurs deux faces à partir de la lumière du soleil et de la lumière réfléchie par le sol.D'autres solutions parient sur l'agrivoltaïsme, des panneaux semi-transparents abritant des cultures. En Inde, des panneaux sont installés sur des canaux depuis une décennie, produisant de l'électricité et réduisant l'évaporation. Selon M. Nemet, les consommateurs peuvent aussi jouer un rôle en faisant évoluer leurs heures de consommation ou en se regroupant en réseaux privés dans une approche Airbnb.
Il y a 2 ans et 286 jours

L'appétit des investisseurs pour les énergies renouvelables "plus fort que jamais" malgré les difficultés

Ces investissements ont totalisé 226 milliards de dollars sur les six premiers mois de l'année, en hausse de 11% sur un an, selon ce bilan.Les investissements dans les projets solaires ont ainsi atteint 120 milliards (+33%) et ceux dans l'éolien 84 milliards (+16%).Ces deux secteurs ont pourtant souffert récemment d'une hausse des coûts de matériaux cruciaux comme l'acier, de perturbations des chaînes d'approvisionnement et d'une augmentation des coûts de financement."Et pourtant, les chiffres publiés aujourd'hui montrent que l'appétit des investisseurs est plus fort que jamais, en partie en raison des prix très élevés de l'énergie sur de nombreux marchés à travers le monde", souligne BNEF."Les dirigeants politiques reconnaissent de plus en plus que les énergies renouvelables représentent la clef pour atteindre les objectifs de sécurité énergétique et réduire la dépendance aux matières premières volatiles", estime Albert Cheung, responsable des analyses chez BNEF, faisant allusion à la flambée des cours du pétrole et du gaz."La demande en faveur des sources d'énergie propre n'a jamais été aussi élevée et nous nous attendons à ce que la crise énergétique mondiale continue d'accélérer la transition énergétique", a-t-il dit.
Il y a 2 ans et 289 jours

Sujets clivants et dossiers chauds en vue pour la rentrée parlementaire

Pas de session extraordinaire en septembre à l'Assemblée et au Sénat, c'est une première depuis vingt ans, insiste le camp présidentiel."C'est un acte fort, la première manifestation du changement de méthode", assure à l'AFP la présidente de l'Assemblée Yaël Braun-Pivet (Renaissance). Cela permettra de déblayer "très en amont" les textes, "d'auditionner les ministres sur leurs feuilles de route" en septembre et mener en parallèle "un travail en circonscription" après l'éprouvante séquence sur le pouvoir d'achat en juillet et début août, argumente-t-elle."Chiche", répond la députée socialiste Christine Pires Beaune, sans cacher son scepticisme. "Sur ces premiers mois de législature, ce qu'on voit, ce sont des compromis passés uniquement avec la droite" LR.En ouverture, les députés doivent s'emparer dès la semaine du 3 octobre d'un texte sur l'assurance chômage prolongeant les règles en vigueur, plus strictes depuis 2021, pour accéder aux indemnités."Quand ça va bien, on durcit les règles et, quand ça va mal, on les assouplit", revendique le ministre du Travail Olivier Dussopt.Les débats s'annoncent agités dans l'hémicycle avec la coalition de gauche Nupes et le RN."L'opposition sera plus dure" contre ce "projet de casse sociale" d'Emmanuel Macron, prévient le porte-parole du RN Laurent Jacobelli, alors que l'extrême droite a été plutôt conciliante en juillet.A gauche, LFI a promis une "marche contre la vie chère" à la rentrée et va poursuivre sa stratégie de conflictualité."La situation politique est instable", estime un proche de Jean-Luc Mélenchon. "Il y a deux solutions : soit une coalition stable entre Macron et LR, soit à la fin un retour devant les urnes", avec une dissolution."Budget risqué"Le projet de loi sur l'immigration, qui devait arriver au Sénat, a lui été reporté, à la demande de Matignon, au profit d'un débat dans les deux chambres.Sur ce volet régalien, en octobre, le projet de loi d'orientation et de programmation du ministère de l'Intérieur (Lopmi), réduit à "15 articles", doit apporter 15 milliards d'euros supplémentaires de budget en cinq ans, a annoncé Gérald Darmanin.Autre texte évoqué, mais au calendrier encore incertain, le projet de loi dédié à l'accélération de la Transition énergétique et aux énergies renouvelables.Avec la ministre Agnès Pannier-Runacher, "on y travaille déjà depuis un mois", affirme le centriste Bruno Millienne (MoDem). "Neuf ans avant de pouvoir poser la première pierre d'un champ photovoltaïque, on ne peut pas continuer comme ca", prévient-il.Octobre marquera surtout le coup d'envoi de l'examen des projets de budget 2023, de l'Etat et de la Sécurité sociale.Ce premier marathon budgétaire du quinquennat constitue une épreuve de force, faute de majorité absolue pour les macronistes à l'Assemblée. "Le budget, c'est risqué, l'opposition ne le vote jamais", prévient un cadre socialiste.Les LR qui ont soutenu le gouvernement sur le paquet pouvoir d'achat ne "le voteront pas", pense aussi un ministre, plutôt tenté de chercher l'abstention de la droite. Selon lui, le budget de la Sécu sera le plus délicat : "ils vont tous nous expliquer qu'il faut plus pour l'hôpital. Et pas un ne va dire qu'il faudrait une meilleure organisation des soins".Ecartée par la majorité et LR cet été, la piste d'une taxe sur les "superprofits" de groupes comme TotalEnergies ou CMA CGM va revenir dans les débats. Les conclusions d'une "mission flash" sur le sujet sont attendues début octobre."Le sujet n'est pas tabou mais demande d'aller au-delà du slogan", juge le chef des députés LR Olivier Marleix.Le président Insoumis de la commission des Finances Eric Coquerel pense que la position du gouvernement sur le sujet "n'est pas tenable". Côté syndical, la CGT et Solidaires ont appelé à "une journée de grève interprofessionnelle" le 29 septembre pour réclamer des hausses de salaires.Et les syndicats se préparent à monter au front contre la réforme des retraites, alors qu'Emmanuel Macron vise une "première entrée en vigueur" à l'été 2023.
Il y a 2 ans et 289 jours

Rachat des RTT, un coup de pouce ou un coup de canif ?

De quoi parle-t-on ?Portée par la majorité présidentielle, les Républicains (LR) et le Rassemblement national, la mesure autorise les entreprises privées à proposer à leurs salariés de convertir leurs jours de réduction du temps de travail (RTT) non pris en une rémunération.Monétisées, ces RTT sont "rémunérées comme des heures supplémentaires", indique le ministère du Travail, et sont exonérées de toute cotisation et impôt.Si l'employeur donne son accord, le salarié peut monétiser autant de RTT qu'il le souhaite. "La logique de la mesure est bien de permettre au salarié de travailler plus et d'augmenter ainsi sa rémunération", précise l'entourage du ministre du Travail Olivier Dussopt.Cette logique n'est pas sans rappeler le "travailler plus pour gagner plus", slogan de Nicolas Sarkozy lors de son élection en 2007, qui défendait déjà le rachat des RTT.Le gouvernement souhaitait limiter ce dispositif à 2023, les sénateurs LR voulaient le pérenniser. Au final, le rachat sera possible jusque fin 2025.Qui est concerné ?Tous les employés ne pourront pas en bénéficier. La mesure ne s'applique qu'aux salariés du privé qui ne disposent ni de compte emploi-temps (CET), ni de forfait jours, selon le ministère du Travail.Le CET, dans les entreprises où il est appliqué, permet aux salariés d'épargner leurs jours de repos non pris et de gagner, à terme, une rémunération.Tandis qu'avec le forfait jours, les salariés du privé peuvent demander à leur employeur - qui in fine décide - de troquer leurs RTT contre une majoration de salaire.Et du côté de la fonction publique, les 5,6 millions de salariés disposent déjà des "dispositifs du CET et donc de possibilités de monétisation", rappelle le cabinet d'Olivier Dussopt.Avec cette réforme, tous les salariés bénéficiant de RTT pourront ainsi, d'une manière ou d'une autre, monétiser ces journées.Selon des données du ministère du Travail datées de 2011 (derniers chiffres communiqués), parmi les salariés du privé qui ne sont pas au forfait jour, 45% disposent de RTT en plus de leurs 25 jours de congés payés. En moyenne, les Français ont indiqué en 2015 disposer de 33 jours de congés par an (congés payés, congés d'ancienneté et RTT).Qu'en pensent les syndicats et le Medef ?Pendant la campagne présidentielle, la première organisation patronale, le Medef, a appelé à élargir le rachat de RTT à tous les salariés du privé pour "améliorer significativement le pouvoir d'achat des salariés"."La mise en place de ce dispositif est assez simple, surtout pour les TPE-PME", avance auprès de l'AFP un porte-parole du Medef. Ce projet "répond à une attente" des salariés du privé qui pouvaient perdre des jours de RTT, sans compensation, quand ils n'ont pas pu les poser, assure-t-il.Mais ce dispositif suscite l'ire des syndicats qui déplorent un "coup de canif" dans le régime des 35 heures hebdomadaires.Le lien entre rachat de RTT et hausse de pouvoir d'achat est "dangereux", s'inquiète Vincent Gautheron, à la commission exécutive de la CGT. "Les salariés vont voir les RTT comme une source potentielle de revenus et renoncer au temps supplémentaire pour se reposer", ajoute-t-il auprès de l'AFP.Pour Frédéric Souillot, secrétaire général de FO, "invoquer sans cesse l'objectif du plein emploi tout en faisant travailler plus ceux qui ont déjà un emploi relève du paradoxe !".FO pointe également le manque à gagner avec l'exonération de toute charge sociale lors du rachat de ces RTT. "C'est de la perte nette pour les caisses de la Sécurité sociale", regrette Michel Beaugas, secrétaire confédéral de FO.Le président de la CFTC Cyril Chabanier redoute, lui, que "les entreprises (disent) qu'elles n'ont pas besoin d'augmenter les salaires, puisque les salariés (peuvent) racheter leurs RTT". "Les négociations sont déjà difficiles, mais cette mesure va encore plus inciter les entreprises à augmenter a minima les salaires".
Il y a 2 ans et 291 jours

Le Dévéhat Vuarnesson Architectes transforme le Centre de tri du Syctom à Nanterre (92)

La restructuration du centre de tri de Nanterre est révélatrice de l’approche de l’agence LVA. En effet, bien qu’il s’agisse ici d’un bâtiment industriel, il est aujourd’hui ouvert sur le quartier. Un soin particulier a été donnée aux qualités spatiales, aux qualités d’usages et aux conditions de travail des employés au-delà de la réponse stricte de la mise aux normes ergonomique et de sécurité.Ce projet de 12.000 m² SP, réalisé en mission complète en association avec La Superstructure, Patrice Gobert architecte et associés pour le Syctom, maître d’ouvrage, est guidé par trois principes architecturaux majeurs : faire pénétrer la lumière naturelle dans les bâtiments, développer les espaces extérieurs directement accessibles depuis les salles de travail et de repos, contribuer au développement d’espaces naturels.Sur une parcelle densément construite et contrainte (PPRI), les enjeux de la réhabilitation résidaient dans l’augmentation de la capacité de réception et de traitement de la matière (passant de 40.000 à 55.000 tonnes par an), dans la réorganisation du fonctionnement global du site et dans la mise aux normes et la rénovation thermique et environnementale des bâtiments. LVA a organisé un fonctionnement fluide et clair tout en conservant un maximum de constructions existantes.Le traitement architectural contemporain du centre de tri exprime la mixité des activités : industrielles et tertiaires. Le site s’inscrit dans un tissu urbain en « fabrication » et participe à sa définition. Quartier anciennement dédié à l’activité industrielle, l’aménagement de la ZAC des Guilleraies introduit de nombreuses activités tertiaires tout en confortant sa vocation d’origine. D’où l’importance de la relation du centre de tri à l’aménagement urbain et paysager du nouveau quartier. L’ouvrage devient aisément appropriable par les riverains, et sa relation au quartier est apaisée.La présence d’espaces végétalisés évoluant au fil des saisons, la pénétration de la lumière naturelle, les nouveaux espaces extérieurs et les nouvelles vues créées valorisent les conditions de travail en offrant une nouvelle relation au site et au paysage. Les nuisances visuelles, acoustiques et olfactives sont traitées à l’échelle du bâtiment, pour le confort des employés et pour un impact urbain adouci.Le principe volumétrique du centre, adapté aux différentes fonctions, a été conservé : le bâtiment A accueille les locaux administratifs, sociaux et les ateliers ; les bâtiments E, B, C et D, le déversement, la réception et le stockage de la matière collectée, le tri, le conditionnement et l’évacuation de la matière triée. La restructuration de la zone d’accès des véhicules et de la zone de réception des matériaux a nécessité la démolition et la reconstruction du bâtiment E et la démolition du petit bâtiment d’isolement des matières radioactives.La résille est l’élément structurant du projet, un balcon s’y accroche, la végétation commence à y grimper, elle joue avec le soleil et dessine de grandes ombres sur les façades, elle est la cohérence de l’outil industriel. Fiche technique Maître d’ouvrage : Syctom, l’agence métropolitaine des déchets ménagers, acteur public majeur de la gestion des déchets en Île-de-FranceÉquipe : Le Dévéhat Vuarnesson Architectes en association avec La Superstructure, Patrice Gobert architecte et associés et Thierry Dalcant paysagiste ; Paprec group mandataire-gestionnaire ; Cathelain Entreprise Génie Civil ; Ar-Val Process ; Inddigo BET ; Sim BET acousticien ; Area BET Fluides ; Olfacto (dépoussiérage-désodorisation) Mission : Marché de conception, de réalisation et d’exploitation ou de maintenance (CREM)Programme : Restructuration d’un centre de tri de collecte sélectiveCapacité : 55.000 T/anSurface : 12.000 m2 SPSurface de la parcelle : 18.500 m²Calendrier : Livré en novembre 2021Budget conception réalisation : 40,6 M€ HT (y compris process, hors exploitation)Opération réalisée en BIM
Il y a 2 ans et 292 jours

Equans, TF1-M6 : Bouygues maintient le cap sur ses opérations de fusion-acquisition malgré leurs coûts

Bouygues a annoncé pour le 1er semestre un résultat d'exploitation courant en amélioration de 21 millions d'euros par rapport au 1er semestre, à 492 millions d'euros, mais un résultat net part du groupe de 147 millions d'euros, divisé par trois par rapport à celui de début 2021.Celui-ci intègre une charge exceptionnelle de 44 millions d'euros comprenant surtout des frais d'avocats et d'économistes liés aux deux grosses opérations structurantes dans lesquelles il est engagé : l'acquisition d'Equans auprès du groupe Engie, plus grosse opération de rachat jamais réalisée par le groupe créé en 1952, et le rapprochement entre TF1 et M6.La fusion-acquisition "c'est un sport de riche" a commenté le directeur général Olivier Roussat en annonçant lors d'un entretien téléphonique que le second semestre comportera encore "45 millions d'euros" de coûts exceptionnels : un tiers pour le dossier TF1-M6, et deux-tiers pour l'opération Equans. Le 19 juillet, Bouygues a obtenu le feu vert de la commission européenne pour le rachat d'Equans pour 7,1 milliards d'euros, sous réserve de la cession d'une filiale Colas Rail Belgium qui risquait de détenir une position dominante en Belgique.Mais le même jour, au Royaume-Uni, l'autorité de concurrence britannique CMA a considéré que l'opération était susceptible de conduire à un affaiblissement de la concurrence sur un appel d'offres en cours pour une ligne à grand vitesse en construction.Le groupe a déposé le 26 juillet des propositions de remèdes "sur lesquelles la CMA devrait statuer très prochainement" a indiqué Bouygues. Le bouclage du rachat d'Equans, regroupant des services techniques allant de la gestion de l'énergie dans les bâtiments à la sécurité-incendie en passant par la ventilation, climatisation, chauffage ou le numérique, annoncé le 12 mai, reste toujours attendu au 2e semestre 2022, a indiqué Bouygues, se disant "assez serein" sur ce calendrier projeté.Logement : demande de mesures incitativesPour ce qui est de la fusion envisagée entre TF1 et M6, le groupe espère convaincre le collège de l'autorité de la concurrence les 5 et 6 septembre de revenir sur les réserves émises par ses propres services d'instruction considérant que l'opération soulève des problèmes de concurrence significatifs sur le marché de la publicité."On a un certain nombre d'arguments à faire valoir" notamment pour demander que les marchés pertinents à prendre en compte pour jauger de la concurrence ne se cantonnent pas aux seules télévisions, mais intègrent aussi les plateformes "où la publicité est en train de naître", a dit M. Roussat."Netflix a annoncé qu'il mettait de la pub dans son offre, cela n'existait pas il y a encore un an" a-t-il fait valoir, citant aussi Amazon qui a diffusé des matches importants de Roland Garros. "Le monde a changé" a-t-il dit.Globalement pour l'ensemble de 2022, le groupe a confirmé ses ambitions : il attend une "nouvelle augmentation de son chiffre d'affaires et de son résultat opérationnel courant", ainsi que la validation par le Science Based Target Initiative (SBTI) de ses objectifs de réduction des émissions de gaz à effet de serre.Il a relevé ses objectifs financiers pour sa filiale telecoms, qui a lancé des partenariats stratégiques avec Ericsson ou Nokia concernant des réseaux d'entreprise 5G.Au 1er semestre, le groupe a réalisé un chiffre d'affaires total de 18,5 milliards d'euros, en hausse de 6% par rapport à 2021.L'activité de construction, tirée par Colas et l'international, a vu ses ventes progresser de 7% à 13,7 milliards d'euros, malgré un recul de 11% de Bouygues immobilier. Le chiffre d'affaires de TF1 a progressé de 5% à 1,18 milliard d'euros, ainsi que celui de Bouygues Telecom, à 3,63 milliards d'euros.Bouygues souligne que le marché de la construction de logements résidentiel est "sous-offreur en France". "Globalement, il faudrait faire 500.000 logements, et on en fait un peu moins de 300.000, il y a un besoin assez important" a commenté le groupe qui demande des "mesures incitatives" notamment pour transformer des bureaux en logements.Peu avant 12H00, le titre Bouygues, qui a perdu 7% depuis le 1er janvier, progressait de 0,65% à la bourse de Paris, à 29,47 euros.
Il y a 2 ans et 292 jours

Tractel rachetée par un spécialiste suédois de solutions d’accès vertical

Le fabricant français d'équipements de sécurité pour le travail en hauteur et d'appareils de levage a été repris par Alimak auprès du fonds Cinven.
Il y a 2 ans et 293 jours

Sobriété énergétique : lancement du groupe de travail « Numérique et Télécommunications »

Le mois dernier, la Première ministre, Elisabeth Borne, et la ministre de la Transition énergétique, Agnès Pannier-Runacher, ont annoncé le lancement de groupes de travail thématiques sur la sobriété énergétique. Avec un objectif : réduire nos consommations d’énergie de 10% en deux ans pour, à court terme, garantir notre sécurité d’approvisionnement dans le contexte de guerre en Ukraine et, à plus long terme, sortir la France des énergies fossiles. Objectifs confirmés par le Président de la République dans son allocution du 14 juillet dernier.Les engagements des acteurs du numérique et des télécommunicationsCette première réunion du groupe de travail « Numérique et télécommunications » a permis aux ministres de rappeler leur volonté d’une action ambitieuse. Etaient représentés : le Comité stratégique de filière « Infrastructures numériques », la Fédération Française des Télécoms et notamment les quatre principaux opérateurs de télécommunications, représentants de l’écosystème French Tech, France Digitale, Numeum et Start Industrie.Collectivement, ces acteurs s’engagent, avec les instances représentatives du personnel, à mieux faire connaître et appliquer les obligations légales, en miroir de la demande d’exemplarité de la Première ministre auprès de l’administration, en matière d’éclairage des lieux de commerce (éteints à 1 heure du matin au plus tard ou 1 heure après la cessation de l'activité) et des températures de consignes des bâtiments (mettre en œuvre les moyens de baisser la température et ne pas dépasser 19°C maximum pour optimiser la consommation énergétique). La possibilité d’une organisation du travail permettant de limiter les consommations énergétiques, dont le télétravail, sera également explorée.Les participants ont également fait part de leur volonté de partager et d’amplifier les bonnes pratiques, notamment sur les évolutions technologiques les plus récentes qui permettent de réduire l’empreinte énergétique de certaines activités.A titre d’exemple, la consommation énergétique des lignes fixes a été divisée par trois avec le passage à la fibre. De plus, malgré un usage mobile toujours plus important, le passage à la 5G, dans les zones très denses, entraînera une amélioration de l’efficacité énergétique d’un facteur 10 par rapport à la 4G, et d’un facteur 50 par rapport à la 3G[1]. Enfin, la mise en place de la facture électronique ou le développement de filières de reconditionnement et l’allongement de la durée de vie des terminaux sont autant de pratiques que les représentants, présents ce jour, ont mentionnées.Au-delà, le secteur numérique est un outil au service de l’efficacité énergétique. Par exemple, dans le secteur du bâtiment, un simple programmateur de chaudière peut faire baisser de 10% la consommation d’énergie, les outils de gestions techniques de bâtiments de 30%.Les outils numériques facilitent également la décarbonation de l’énergie, par exemple dans la gestion des énergies renouvelables intermittentes.Le secteur réfléchit également à l’utilisation de capteurs déjà installés pour d’autres usages, afin qu’ils assurent le suivi et le contrôle de la consommation d’énergie dans des bâtiments. Cela pourra réduire instantanément les consommations de 10 à 15%.En ce sens, les appels à projets de la French Tech, et notamment le programme Green20, soutiennent les innovations de rupture en faveur de la transition écologique et énergétique.Une méthode de consultation pour identifier des mesures prioritaires spécifiques à chaque secteurTous les acteurs présents ont confirmé leur volonté de diminuer de 10% la consommation d’énergie d’ici deux ans. Pour y parvenir, les travaux se poursuivront en distinguant les acteurs disposant d’infrastructures techniques des acteurs de l’économie numérique, pour prendre en compte chacune de leurs spécificités.Les acteurs disposant d’infrastructures techniques (opérateurs de télécommunications et startups dans l’industrie) vont, par exemple, étudier la mise en place de mesures d’optimisation de la consommation énergétique des réseaux mobiles ;Les acteurs de l’économie numérique (notamment le Next40 et les capitales French Tech) réfléchiront à établir leur bilan carbone, préciser leurs engagements net zéro et à engager une démarche de mesure d'impact. Ils travailleront également à identifier des initiatives d’architecture technique des sites Internet à usage commercial pour que leur conception soit la plus légère possible en données.Les ministres poursuivront ces travaux avec le groupe « Numérique et télécommunications », aux côtés d’experts. Un plan d’actions de mesures simples et opérationnelles sera partagé fin septembre.Agnès Pannier-Runacher, ministre de la Transition énergétique, a déclaré : « Pour faire de la sobriété énergétique une réalité, nous devons miser sur le numérique et les systèmes connectés. Ce sont autant d’outils pour mieux piloter notre consommation d’énergie. Nous devons nous appuyer collectivement sur l’expertise et la capacité d’innovation des acteurs du numérique, tout en les accompagnant dans l’accélération de leur propre feuille de route de décarbonation. »Jean-Noël Barrot, ministre délégué chargé de la Transition Numérique et des Télécommunications, a déclaré : « Je salue les engagements pris par les acteurs du numérique et des télécommunications en réponse à l'appel à la sobriété énergétique. La concertation initiée aujourd'hui est la première étape d'une ambition collective que nous voulons porter avec Bruno Le Maire. C'est grâce à la contribution de tous que nous répondrons à l’urgence climatique. Dès septembre, de nouvelles mesures seront présentées pour réduire la consommation d'énergie du secteur. »[1] Étude économique 2020, Fédération Française des Télécoms
Il y a 2 ans et 296 jours

Le gouvernement annonce des mesures d’urgence pour accélérer le développement de la production d’énergies renouvelables électriques

On estime que 6 à 7 GW de projets solaires et 5 à 6 GW de projets éoliens sont actuellement menacés.Ces projets sont essentiels pour renforcer au plus vite notre indépendance énergétique et accélérer notre production d’électricité décarbonée. Les filières renouvelables contribuent de manière déterminante à l’atteinte de nos objectifs de réduction des émissions de gaz à effet de serre en vue de la neutralité carbone en 2050, comme à la protection de notre sécurité d’approvisionnement pour les prochains hivers : Elles assurent près de 20% de nos besoins d’électricité en 2022 à partir de ressources disponibles en France, contribuant à notre indépendance énergétique Leurs coûts de production sont aujourd’hui compétitifs et ne dépendent pas des cours du marché des énergies fossilesA la demande du Président de la République et de la Première ministre, Agnès Pannier-Runacher, ministre de la Transition énergétique, annonce des mesures réglementaires pour répondre à l’urgence de la situation. Ces mesures consistent à :Autoriser les projets de production d’énergie renouvelable électrique sous le régime des compléments de rémunération à vendre leur électricité sur les marchés durant 18 mois avant la prise d’effet de leurs contratsPrendre en compte la hausse des coûts des matériaux pour tous les futurs projets de production d’énergie renouvelable électrique comme de production de biométhaneGeler la baisse des tarifs pour les projets photovoltaïques sur bâtiment pour l’année 2022Permettre à l’ensemble des projets renouvelables déjà lauréats d’appels d’offres d’augmenter leur puissance jusqu’à +40% avant leur achèvementAllonger le délai de mise en service pour les installations de production de biométhane ayant obtenu leur autorisation environnementale En parallèle, la ministre lancera un nouvel appel d’offres photovoltaïque en Outre-Mer, en Corse, et dans les Îles du Ponant (zones non interconnectées). Elle mettra également en œuvre un nouveau guichet tarifaire pour les installations photovoltaïques au sol de moins de 1 MW, situées sur terrains dégradés, urbanisés ou à urbaniser, ainsi que pour les « traqueurs solaires ». Ces mesures d’urgence ont vocation à produire des effets dans les prochains moins. Elles sont complémentaires de la loi d’urgence actuellement en préparation pour passer un cap dans le déploiement des énergies renouvelables, conformément aux annonces du Président de la République lors du discours de Belfort et réaffirmées le 14 juillet 2022.
Il y a 2 ans et 297 jours

La solution Ma Maison Hybride d'Airwell, lauréat de bronze des Awards de l'innovation du Mondial du bâtiment

Ma Maison Hybride conçue par Airwell est une solution globale de services qui permet à l’utilisateur de reprendre en main sa consommation énergétique pour l’habitat individuel, neuf et rénovation. Une distinction reçue dans le cadre du concours « Awards de L’innovation » destiné aux exposants Interclima, Batimat et Idéobain organisé par le Mondial du Bâtiment : 82 innovations sélectionnées - parmi 167 dossiers proposés (+20% vs 2019) - par 43 jurés professionnels (votes entre les 17 au 20 juin, 27 lauréats).Structurée autour de l’IA, Ma Maison Hybride mixte photovoltaïque (production de son énergie) et domotique.Elle intègre également la connexion de l’ensemble des équipements de la maison, pompes à chaleur, climatisation, chauffage, ventilation, eau chaude sanitaire, objets connectés, depuis un smartphone (disponible sous IOS et Android) via l’application intuitive Air Home. L’utilisateur devient maître de sa consommation en rendant sa maison plus autonome en énergie selon ses habitudes. Résultats : une consommation d’énergie contrôlée, plus écologique, un budget maîtrisé et une maison confortable, adaptée à tous les besoins.Les modes de consommation évoluent passant de l’utilisation d’un produit à une solution globale de services. Pour permettre au consommateur de mieux maîtriser sa consommation, de limiter son emprunte carbone, réduire sa facture énergétique ou encore avoir accès à des offres dotées de robotiques (dont l’intelligence artificielle et la connectivité) le Groupe Airwell a imaginé un écosystème basé sur la gestion intelligente des équipements thermiques dans l’habitat – Ma Maison Hybride a été lancée en Juin 2021.Depuis son lancement, l’application AirHome a séduit une moyenne de 900 utilisateurs par mois. En évolution permanente, l’application évoluera dans quelques mois pour intégrer un plus grand nombre d’objets connectés comme des prises électriques connectées, des sondes de température ou d’humidité, des capteurs d’analyse de la qualité d’air, des nourrices connectées de chauffage/rafraîchissement au sol.Pour accompagner les professionnels Installateurs Partenaires, dans le déploiement de cette solution, le groupe Airwell a mis en place début 2022 un dispositif d’accompagnement à la fois commercial (exposition sur des foires et salons en régions) et de formation via Airwell Academy. « Les pratiques de consommation du grand public évoluent et notre mission est d’accompagner nos partenaires, les professionnels pour prendre ce virage. Cet accompagnement se traduit par une montée en compétences sur les expertises en thermodynamique et photovoltaïque.Ma Maison Hybride – Solution sur-mesure : explications !La Maison Hybride, c’est l’alliance de l’énergie naturelle du solaire photovoltaïque à l’énergie classique (électricité, gaz). « La démarche est simple : vous produisez votre propre électricité, vous alimentez et vous pilotez tous les équipements thermiques de la maison du bout des doigts », explique Laurent Roegel. La maison devient énergétiquement plus autonome !Le plus : L’énergie récoltée, 100% renouvelable, est utilisable par tous les appareils électriques de la maison, quel que soit la marque.A partir de l’Application AirHome, le pilotage des appareils énergétiques se fait à distance depuis un smartphone (disponible sous IOS et Android).Climatisation, chauffage, ventilation, eau chaude sanitaire et objets connectés (machines à laver, lampes, volets, sécurité), le smartphone devient une véritable télécommande.Résultats :Maitrise de la consommation : Grâce au suivi en temps réel de la production des panneaux solaires et de la consommation de tous les équipements thermiques de la maison.Autonomie : La maison devient énergétiquement plus autonome.Confort & économie : Programmation : Du chauffage et de la climatisation à distance pièce par pièceDe la température de l’eau pour une meilleure gestion de l’énergieUsage & utilisation facilités via des objets connectés (par exemple caméras, volets, lampes...)Le tout centralisé par la box Airwell :Utilisation du protocole ouvert ZigBee (basse fréquence) qui n’encombre pas le débit du réseau Wi-Fi.Ma Maison Hybride : comment ça marcheL’écosystème Airwell permet d’optimiser en instantané la consommation globale en énergie de la maison, en fonction de la production d’électricité des panneaux photovoltaïques. La technologie en IA - Intelligence Artificielle intégrée à l’application AirHome permettra notamment de créer des scenarii d’optimisation énergétique et de maintenance préventive. Elle sera développée progressivement jusqu’à sa totale finalisation courant 2022.Dans les moments de surproduction, l’application ordonne automatiquement aux équipements de l’habitat de “glisser” le point de consigne. Par exemple, en zone de confort, la consigne exigée en chauffage est de 20°C dans l’habitat. En journée (heures de travail), la consigne est de 17°C. C’est pendant cette période d’inoccupation que l’application AirHome va glisser la consigne à 22°C. Ces 2°C supplémentaires permettront de minimiser la consommation de manière significative en sollicitant moins les équipements en énergie de la maison (ex : radiateurs, chaudière, pompe à chaleur, etc.), grâce à l’inertie. L’habitat se régulera de lui-même et maintiendra les pièces de la maison à 20°C par la suite.La maison hybride est une réponse économique et écologique pour reprendre le contrôle de sa consommation énergétique et préserver les ressources naturelles. Avec l’installation de solutions solaires Airwell, énergie verte 100% renouvelable, et en privilégiant les heures de fonctionnement du ballon thermodynamique grâce à l’intelligence artificielle AirHome, la production d’électricité et d’eau chaude sanitaire est optimisée.Ma Maison Hybride : une solution unique « made in France » signée AirwellActeur majeur, pionner français de la pompe à chaleur à sa création en 1947 puis fabricant européen leader dans les années 1970. En 2021, Airwell devient le Groupe Airwell et opère sa mutation avec l’objectif de basculer de fabricant de pompes à chaleur à créateur de solutions thermiques. Mieux consommer l’énergie dans l’habitat passe notamment par le développement de nouvelles solutions innovantes, fiables, simples et évolutives au service du consommateur final.Pour Laurent Roegel, PDG d’Airwell : « Pour Airwell, il n ’y a pas une recette miracle pour favoriser la transition énergétique, mais un ensemble de solutions et de technologies pour modifier les usages quotidiens et la gestion de l’énergie consommée pour l’habitat individuel en neuf ou en rénovation. Ma Maison Hybride propose une solution sur-mesure pour répondre aux enjeux majeurs de la transformation de la consommation en matière notamment de chauffage et de climatisation. »Environnement, budget, usageMa Maison Hybride : des bénéfices multiplesMaison Hybride : l’alliance de l’Energie Solaire aux énergies « classiques », un habitat plus respectueux de l’environnement grâce à l’utilisation des énergies renouvelablesMaison connectée grâce à la domotique intégrée : un pilotage pour gérer les équipements électriques de la maison par le biais de l’application Air HomeMaison autonome : La maison devient énergétiquement plus autonomeNouvel Usage : Une consommation en énergie raisonnée, maitrisée et ajustéeEconomie : Un budget réduit grâce à la gestion de sa consommationTransition écologique : Un coup de pouce pour diminuer sa consommation en énergieConfort thermique : Un gain de confort grâce à la répartition de la chaleur et de l’inertie dans la maisonGain de temps et vue globale : En un coup d’œil, pilotage et gestion des équipements énergétiques de la maison.Les atouts AirwellCertifications : la garantie pour le consommateurEUROVENT CERTIFIED PERFORMANCE : Programme de Certification européen - performances et efficacité énergétique Chauffage et Climatisation des produits Airwell.ISO 9001 : Norme Internationale : satisfaction clients, de produits et de services conformesKEYMARK : Certification européenne et référentiel, ce label validant les performances et la qualité des Pompes à Chaleur et Ballons Thermodynamiques Airwell - pour un accès aux dispositifs de soutien : Ma prime rénov’, éco prêt à taux zéro (ECO-PTZ), certificats d’économie d’énergie (CEE).
Il y a 2 ans et 299 jours

JO-2024 : pas invitées à une "réunion de chantier", Pécresse et Hidalgo taclent Macron

"La ville de Paris, signataire du contrat de ville-hôte et la région Ile-de-France ont déploré de ne pas être associées à cette initiative", ont indiqué la présidente de la région Ile-de-France et la maire de Paris dans un communiqué commun intitulé "pas de collectivités, pas de Jeux".Les ex-candidates des Républicains et du Parti socialiste à la présidentielle, aux relations notoirement tendues, ont rappelé d'une même voix que "les collectivités sont un maillon essentiel" de "la réussite des grands événements sportifs internationaux".Si elles ont fustigé un "fonctionnement en deux temps", Valérie Pécresse et Anne Hidalgo se sont toutefois félicitées du "point d'étape avec les élus" prévu "à la rentrée" par le chef de l'Etat, en se réjouissant qu'il prenne "enfin acte que rien ne pourra se faire sans les collectivités territoriales."Budget en surchauffe, doutes à dissiper sur la sécurité de la cérémonie d'ouverture sur la Seine : Emmanuel Macron présidera lundi une réunion entre préfets, ministres et services techniques.L'exécutif a prévu d'y évoquer les "bonnes conditions, pour l'ensemble des délégations, de sécurité, d'organisation et de finalisation des travaux" deux ans avant le départ des JO.
Il y a 2 ans et 300 jours

Vagues de chaleur : les syndicats européens demandent une loi sur la température maximale

SANTÉ-SÉCURITÉ. Face à la multiplication des épisodes de fortes chaleurs, la Confédération européenne des syndicats appelle à adopter une législation communautaire fixant la température maximale à laquelle les salariés peuvent travailler. D'après l'organisation, le risque d'accident du travail augmente proportionnellement à la hausse du mercure, et la canicule peut avoir de lourdes conséquences sur la santé des ouvriers.
Il y a 2 ans et 300 jours

Politique de la ville : Borne veut "agir sur tout" et "embarquer tout le monde"

"L'égalité des chances (...) ça suppose d'agir sur tout", sur "toutes les politiques", que ce soient la sécurité, l'éducation la santé ou le logement, et "dans tous les territoires, notamment les quartiers prioritaires de la politique de la ville" qui sont les plus pauvres, a affirmé la Première ministre lors d'un point presse à l'issue d'un échange avec les élus locaux.Pour les futurs contrats de politique de la ville à compter de 2023, elle a souhaité "associer davantage les habitants" à leur élaboration et leur suivi, pour "embarquer tout le monde".Au vu des "taux d'abstention" élevés aux dernières élections et des "votes extrêmes", "on se dit que peut-être que les habitants ne sont pas suffisamment à bord de ce qu'on essaye de faire pour améliorer leur vie", a souligné la Première ministre.Elle s'est aussi dite désireuse d'être "à l'écoute de ce que les maires, qui bénéficient aujourd'hui de ces dispositifs, ont à nous dire" pour les futurs contrats, et de "donner beaucoup plus de latitude au niveau local pour s'adapter aux situations".Elisabeth Borne, accompagnée du ministre délégué chargé de la Ville et du Logement Olivier Klein, a également souhaité que "tout le gouvernement" s'investisse sur ce thème en réunissant "régulièrement un comité interministériel des villes".Pour l'emploi, alors que le taux de chômage peut atteindre 40% dans certains quartiers à Vaulx-en-Velin, elle a affirmé que l'enjeu était "de trouver les bonnes formations". Elle a également souhaité "amplifier les politiques" d'aide à la création d'entreprises dans ces quartiers qui bénéficient d'une population "jeune et dynamique" avec "beaucoup d'idées".Les dispositifs en faveur de l'emploi dans les quartiers prioritaires n'ont pas permis de réduire entre 2015 et 2021 l'écart existant avec les autres quartiers, selon un rapport publié mercredi de la Cour des comptes.Entourée d'une nuée d'enfants, la cheffe du gouvernement avait auparavant déambulé avec la maire PS Hélène Geoffroy dans un parc de la ville où étaient organisées des activités d'été pour les jeunes qui ne partent pas en vacances, avant de visiter la nouvelle et flambant neuve médiathèque, symbole de la rénovation urbaine d'un quartier frappé il y a 30 ans par des émeutes qui avaient conduit à la nomination du premier ministre de la Ville Michel Delebarre.
Il y a 2 ans et 303 jours

Les obligations de l'employeur sur le lieu de travail face aux fortes chaleurs

C'est à l'employeur de prendre les mesures nécessaires pour assurer la sécurité et protéger la santé de ses salariés, notamment en cas de canicule.
Il y a 2 ans et 304 jours

Procès requis contre l'ancien préfet Alain Gardère soupçonné de corruption

Dans ses réquisitions signées le 18 juillet, le parquet demande que M. Gardère, 65 ans, soit jugé entre autres pour abus d'autorité, corruption passive par agent public, prise illégale d'intérêts, détournements de fonds publics et blanchiment de fraude fiscale, a-t-on appris mercredi de source proche du dossier, confirmant une information du Monde.Le vice-procureur a requis également un procès pour quinze autres personnes, notamment des patrons de sociétés de sécurité ou du BTP, le maire d'Ozoir-la-Ferrière (Seine-et-Marne) et les anciens édiles de Vigneux-sur-Seine et Montgeron (Essonne).Il revient désormais à la juge d'instruction financière Aude Buresi, qui dirige cette information judiciaire ouverte en 2015, de se prononcer sur le renvoi ou non en correctionnelle des seize suspects."C'est une affaire qui est maintenant ancienne, mon client est retraité et vit en province", a réagi auprès de l'AFP Me Jean Veil, qui défend M. Gardère. Ancien commissaire proche de Nicolas Sarkozy quand il était à Beauvau puis à l'Elysée, Alain Gardère a été préfet en charge de la sécurité à Marseille en 2011, puis aux aéroports de Roissy et du Bourget (2012-2014). En 2015-2016, il a dirigé le Conseil national des activités privées de sécurité (Cnaps), sous la tutelle du ministère de l'Intérieur.Il est accusé d'avoir usé de son influence pour rendre de nombreux services en échange de cadeaux pour lui et son entourage (restaurants étoilés, travaux, places de concert, vacances...), notamment lorsqu'il était au Cnaps.L'ancien haut-fonctionnaire aurait entre autres, octroyé un emploi fictif, favorisé l'obtention illégitime d'agréments à des agents de sécurité et facilité l'obtention de marchés en matière de sécurité.Au cours de la procédure, M. Gardère, qui faisait partie du cabinet de Claude Guéant lorsqu'il était ministre de l'Intérieur (2011-2012), a été mis en examen pour plusieurs infractions en 2016, ce qui l'a contraint à quitter son poste à la tête du Cnaps en 2017.Patrimoine immobilierIl est également poursuivi pour avoir détenu deux armes sans autorisation, découvertes à son domicile lors d'une perquisition.Outre ces avantages et services, l'enquête s'est intéressée au patrimoine immobilier acquis au fil des années par Alain Gardère et son épouse, essentiellement en région parisienne, après un signalement de la cellule de renseignement financier Tracfin en juillet 2015.Entre 1989 et 2012, le couple est ainsi devenu propriétaire de dix appartements, dont cinq ayant été achetés entre 2005 et 2012 auprès de la société France Pierre dirigée par Antonio de Sousa, selon des documents d'enquête.Le promoteur immobilier, pour lequel le parquet demande aussi un procès en correctionnelle, est accusé d'avoir accordé "des réductions substantielles sur le prix d'appartements à Alain Gardère" et d'avoir fait réaliser des travaux gratuitement aux domiciles de l'ancien préfet et de sa maîtresse.Il lui est également reproché d'avoir accordé des faveurs à des élus franciliens ou leurs collaborateurs pour obtenir des décisions favorables en matière d'urbanisme.Contacté, son avocat n'a pu être joint mercredi soir.Cette information judiciaire a déjà débouché sur deux condamnations en 2020. Un patron de BTP et l'ancien bras-droit de M. Gardère au Cnaps, Pierre Cournil, ont accepté de reconnaître les faits lors d'une comparution sur reconnaissance préalable de culpabilité (CRPC), une sorte de "plaider-coupable" à la française.M. Cournil a été condamné à trois mois de prison avec sursis et 20.000 euros d'amende pour complicité d'abus d'autorité et complicité de détournement de fonds public".
Il y a 2 ans et 304 jours

La nécessité du renforcement des services publics forestiers pour des forêts en péril

Au vu des dramatiques feux de forêt en cours, les deux associations d’élus cosignataires rappellent l’importance du rôle des forêts qui figurent parmi les aménités rurales les plus importantes. Elles sont à la fois des espaces de biodiversité, de loisirs, qui participent à la souveraineté économique du pays et aux solutions pour lutter contre le changement climatique. Les arbres sont des pompes à carbone qui permettent de réduire les émissions de CO2 en stockant le carbone dans les sols, dans les racines et dans les produits finis en bois et de protéger la ressource en eau.Les forêts ne pourront jouer pleinement ce rôle que si on les protège. L’action publique doit prendre davantage en compte les enjeux liés à ces espaces. Pour les protéger, il est essentiel d’assurer une gestion durable et multifonctionnelle des forêts. La FNCOFOR et l’AMRF ont ainsi toujours demandé que la question du service public soit débattue avec l’Etat en déployant les moyens nécessaires, avec un nombre suffisant de professionnels sur le terrain.Les évènements aujourd’hui montrent la nécessité d’avoir des services publics forestiers forts. Or, ceux-ci sont de plus en plus en tension et il est inenvisageable dans ces circonstances de réduire encore les effectifs de l’Office National des Forêts (ONF) comme le prévoit le contrat d’objectifs et de performance Etat-ONF. Près de 500 postes à l’ONF devraient être supprimés dans les années à venir.Les maires sont directement impliqués. Ils ont un rôle primordial dans ces écosystèmes, à la fois garants de l’intérêt général, protecteurs de la biodiversité et à l’interface de toutes les politiques publiques. Ils doivent pouvoir être accompagnés par des agents de terrain compétents afin d’aménager leur territoire, pouvoir assurer leur mission de sécurité et de prévention des risques tout en étant acteurs du développement économique de la filière forêt-bois et de la transition énergétique.En France, la forêt est placée sous la protection de la Nation. La Fédération National des communes forestières et l'associations des maires ruraux de France demandent donc à l’État de prendre ses responsabilités et d’assumer son rôle de garant de la préservation de nos forêts avec un investissement sur le long terme et d’accorder les moyens humains nécessaires aux élus pour faire face à tous ces enjeux.
Il y a 2 ans et 304 jours

Polémique après une décision de la Cour de Cassation qui va coûter au moins 10 milliards d’euros aux copropriétaires

Ce marché qui concerne les 10 millions de lots de copropriétés en France, tenues par la loi Elan du 23 novembre 2018 de procéder à la mise à jour de leurs actes peut s’évaluer à environ 10 milliards d’euros et était totalement ouvert à la concurrence. Ainsi tout professionnel de la mesure était libre de les réaliser, qu’il s’agisse des architectes, des topographes, des diagnostiqueurs, ou des bureaux d’étude.Désormais, seuls les 1.800 géomètres experts inscrits à l’Ordre, auraient le monopole de l’établissement de ces plans. Comme pour tout monopole les prix vont exploser. A ce jour, un topographe facture en moyenne 600 à 1.000 € HT pour ce type de prestation et les géomètres-experts près du double, voire plus.Ce prix doublé va ainsi devenir la norme, ce qui va entraîner une perte de pouvoir d’achat pour les copropriétaires de 10 milliards d’euros à minima.Attribuer ce nouveau monopole, que seule la loi doit être en mesure de définir, aux géomètres-experts n’est de surcroît en aucun cas justifié juridiquement. L’Autorité de la Concurrence, par un avis du 28 février 2018, invitait d’ailleurs le Gouvernement à légiférer sur cette question.Depuis 4 ans le gouvernement n’a toujours pas engagé la réforme de la profession des géomètres qui était pourtant censée mettre un terme à l’insécurité juridique et économique liée à la réglementation actuelle.Cette inertie va donc coûter 10 milliards d’euros aux copropriétaires.Dans une période où le coût de la vie s’accroît à un rythme inquiétant, cette décision vient aggraver encore les choses.Il apparaît donc indispensable que le gouvernement et le Parlement se saisissent enfin de cette question, et de manière générale du monopole des géomètres-experts, instauré il y a près de 80 ans qui ne se justifie plus, ni techniquement, ni juridiquement.Le contexte de l’affaireDans une affaire qui opposait deux copropriétaires au sujet d’une voie d’accès commune, la question du prétendu monopole des géomètres-experts sur l’établissement des plans annexés aux actes de copropriété particulièrement secondaire, voire anecdotique, s’est, de manière fortuite, retrouvée au cœur de la décision de la Cour de Cassation.C’est ainsi qu’un copropriétaire voulant interdire une partie de la voie d’accès commune à son voisin copropriétaire, a utilisé l’argument selon lequel le plan annexé aux actes de copropriété n’avait pas été établi par un Géomètre Expert, pour prétexter que ce plan ne lui était pas opposable. De ce fait, il serait fondé à contester le passage de son voisin.Les juges de la 1ère chambre et alors même que le Conseiller rapporteur avait conclu au rejet du pourvoi de manière non spécialement motivée, ont décidé de casser l’arrêt d’appel et de procéder à sa publication sur cette seule question, élargissant d’un trait de plume un monopole, qui depuis 80 ans, ne portait aucunement sur les actes de copropriété.Une décision de la Cour de Cassation ayant valeur de jurisprudence, il est à craindre qu’elle oblige à faire refaire tous les plans annexés aux actes de copropriété.Comment parvient-on à 10 milliards d’euros ?Un géomètre-topographe facture entre 600 et 1.000 € H.T ce type de plan annexé aux actes de copropriété. Il s’agit d’une moyenne, les opérations pouvant être plus ou moins complexes. Un géomètre-expert facture presque le double ce type de prestation.Ainsi avec 10.000.000 de lots de copropriétés, le CA potentiel compris entre 6 et 20 milliards d’euros, suivant que le coût de l’opération est de 600, 1.000 ou 2.000 € HT.Les géomètres-experts se voyant attribuer de facto le monopole de la réalisation des plans annexés aux actes de copropriétés par la Cour de Cassation, ne baisseront à l’évidence par leurs tarifs et, au mieux, continueront à tarifer ces actes à 2.000 € HT pièce.De surcroît, avec cette décision il est à craindre que l’ensemble des plans annexés aux actes de copropriété deviennent inopposables ou tout simplement nuls, ce qui nécessitera leur réfection à des tarifs monopolistiques.De même toute nouvelle copropriété sera contrainte de payer les plans annexés à ces actes à un tarif monopolistique, au demeurant non réglementé.DéfinitionDans une copropriété, il y a deux types d’actes.Le règlement de copropriété (RCP) régit le fonctionnement de la copropriété et définit notamment la part de chaque copropriétaire dans les charges ainsi que les règles de vote au sein de l’Assemblée Générale des copropriétaires. En général, le RCP comprend l'Etat Descriptif de Division (EDD), qui lui, définit les parties communes et privatives de la copropriété et décrit les lots et leurs quotes-parts.Les modificatifs à l’état descriptif de division (EDD) et au règlement de copropriété (RCP) viennent amender le RCP et l'EDD lorsque des modifications sont apportées à la copropriété (création d'un lot sur parties communes, division d'un lot, surélévation/extension d'un lot etc.). Soumis aux votes des copropriétaires en AG, les modificatifs doivent ensuite être publiés par un notaire pour que leurs objets deviennent effectifs.
Il y a 2 ans et 304 jours

Le Sénat plaide pour la construction effective d’au moins 14 EPR et souligne l’urgence d’agir

Lancée le 9 février, cette mission avait déjà publié un rapport d’étape, dès le 24 février, sur le risque de black-out, alertant très en amont sur les répercussions de la guerre russe en Ukraine et du phénomène de corrosion sous contrainte. À l’issue de six mois de travaux, qui leur ont permis d’entendre 60 personnalités, à l’occasion de 30 auditions, et de se rendre sur le site de l’EPR de Flamanville, le 11 juillet, les rapporteurs ont formulé 10 propositions pour relancer l’énergie nucléaire sérieusement et promouvoir l’hydrogène bas-carbone, parmi lesquelles la construction effective d’au moins 14 EPR. Pour Daniel Gremillet : « L’énergie nucléaire est cruciale pour atteindre les objectifs de décarbonation prévus par l’Accord de Paris de 2015. Elle l’est d’autant plus que le Paquet Ajustement 55 et le Plan RePowerEU nous obligent à accélérer, pour réduire de 55% nos émissions et sortir des hydrocarbures russes. Le discours de Belfort du Président de la République n’est ni suffisamment ambitieux, ni suffisamment suivi d’effet. Nous préconisons donc d’acter rapidement le scenario “N03” de RTE, qui permet de maintenir au moins 50% d’énergie nucléaire à l’horizon 2050. Pour nous, c’est un minimum ! Dans un monde changeant, ce scenario doit s’appuyer sur un parc nucléaire robuste, moderne, agile face aux évolutions climatiques, technologiques et géopolitiques. » Convaincue de l’intérêt de maintenir un mix majoritairement nucléaire à l’horizon 2050, tout en renforçant les énergies renouvelables et la sobriété énergétique, la commission, s’appuyant sur le scenario « N03 » de Réseau de transport d’électricité (RTE), estime impérative la construction de 14 EPR et de 4 GW de SMR, les petits réacteurs modulaires. Elle demande que cet objectif soit acté législativement dans la loi quinquennale sur l’énergie de 2023 et assortie d’un plan de financement et de compétences. De plus, elle alerte sur le fait que, même réalisé, ce scenario pourrait ne pas suffire, si les réacteurs existants ne pouvaient pas être prolongés au-delà de 60 ans et si les besoins en électricité atteignaient des niveaux plus élevés notamment en raison de la réindustrialisation. La commission souligne que, dans ces cas, pour RTE, il faudrait l’équivalent de 3 et 9 EPR supplémentaires. La construction éventuelle de ces autres réacteurs mérite d’être étudiée d’ici la loi quinquennale. Pour Jean-Pierre Moga : « C’est toute une filière qu’il faut relancer ! La relance de l’énergie nucléaire ne saurait être possible sans un financement robuste, notamment pour EDF, et une formation adaptée, sur lesquels le Gouvernement doit faire des propositions. Elle doit s’accompagner d’une attention à la sûreté et à la sécurité, pour répondre aux nouveaux défis : la résilience au changement climatique et la cyber-résilience. Elle doit aussi s’accompagner d’un effort de recherche et d’innovation, pour réussir la fermeture du cycle du combustible. Le recyclage des combustibles, les réacteurs et les combustibles du futur et le stockage des déchets doivent être promus. » Pour Jean-Jacques Michau : « Parce qu’elle n’émet que 6 grammes de CO2 par kilowattheure, l’énergie nucléaire constitue un levier de décarbonation indispensable, complémentaire des énergies renouvelables. Le GIEC la fait figurer parmi ses options d’atténuation, tandis que l’AIE envisage son doublement. C’est pourquoi nous devons prendre des décisions aujourd’hui pour faire face aux besoins de demain. En 2040, la quasi-totalité de nos centrales actuelles seront en fin de vie ! C’est aujourd’hui qu’il faut agir. » Pour Sophie Primas : « On a affaibli la filière, depuis 10 ans, à un moment essentiel, en inscrivant depuis la loi de “Transition énergétique” une baisse de la part du nucléaire. La majorité actuelle a perdu du temps. On doit la vérité aux Français Une politique énergétique fondée sur trois piliers, le nucléaire, le renouvelable et la sobriété suppose, dans tous les cas, une relance rapide et massive des constructions de centrales nucléaires. Elle permettra de faire face à un doublement des besoins en électricité, qui sera la conséquence mécanique de la décarbonation ! ».
Il y a 2 ans et 304 jours

Nouveau DATI VigieLink pour une détection de chute inégalée

Renforcez la sûreté de vos employés avec un DATI 2.0Gestion des alertes simplifiée depuis le portail VigieControl® inclusCouverture GSM optimale avec la carte SIM multi-opérateurs incluseBouton SOS et alertes automatiques très faciles d'utilisationAlarme de chute et alarme d'absence de mouvement ultra performantesUne qualité professionnelle réservée aux professionnels !Le terminal VigieLink est un équipement professionnel de dernière génération. Sa conception robuste et son autonomie de plus d'une journée de travail (batterie Lithium-ion) vous garantit un fonctionnement fiable même dans les conditions d'utilisation les plus rudes.Résistance aux chocs même après une chuteÉtanchéité IP67 à l'eau (jusqu’à 1 mètre durant 30 min) et à la poussièreEncombrement réduit avec une dimension de 6x9x2cm et 125g seulementFacilité de port avec clip ceinture, dragonne ou brassard inclusUn système d'alertes multi-incidentsPour assurer la mise en sécurité de vos salariés, VigieLink prend en compte de nombreux risques liés à leur activité grâce à ses 8 types d'alarmes PTI. Le DATI de Neovigie utilise des algorithmes performants et éprouvés en conditions réelles garantissant un haut niveau de fiabilité et évitant le déclenchement d'alertes intempestives.Sensibilité et pré-alarme paramétrables : chute, immobilité, perte de liaison...Décroché automatique en cas d'alarme (mode mains-libres)Alarme anti-arrachement en cas d'agression (dragonne fournie)Localisation automatique en extérieur (GPS) et en intérieur (Bluetooth) avec alerte de geofencingUne transmission des alarmes sur plusieurs canauxPour réduire le délai d'assistance, les serveurs Neovigie peuvent transmettre les alarmes du DATI sur plusieurs canaux de communication : appel vocal, SMS, e-mail, notifications push ou au système de surveillance. Cette redondance optimale permet d'impliquer vos collaborateurs dans la politique sécuritaire de l'entreprise.Portail de supervision SaaS VigieControl accessible d'un simple explorateur WebLevée de doute grâce à la fonction phonie automatique du DATITraitement en un seul outil des alertes du DATI ou de l'application PTIGestion des alarmes sur option par les centres de télésurveillance Apsad P3 de SecuritasAlerte PTI DATI 2.0 simple et sûre pour la sécurité de vos travailleursNeovigie vous accompagne avec une solution complète de dispositifs d'alerte du travailleur isolé en s'appuyant sur l'expertise du Groupe LPI, spécialiste des systèmes high-tech de communication depuis 1976.Vous apprécierez la facilité d'utilisation du DATI et de l'application PTI et les capacités du portail de supervision Web : visualisation en temps réel des alarmes, paramétrage simplifié de l'ensemble de vos dispositifs, rapports enrichis pour analyser et améliorer la sûreté de vos travailleurs...
Il y a 2 ans et 305 jours

Rockfeu Therm RsD, une nouvelle gamme pour améliorer l’excellence thermique de l’isolation des planchers en rapporté sous dalle

En plus d’être très énergivores ces logements sont des glacières en hiver et des fours en été. La cause trop souvent ignorée : l’existence de ponts thermiques accentués en ville par les parkings en sous-sols qui créent des déperditions de chaleur non négligeable à travers les planchers.Pour répondre aux impératifs de rénovation du parc de logement, ROCKWOOL, leader mondial des solutions d’isolation en laine de roche, fait évoluer la gamme d’isolant Rockfeu avec Rockfeu Therm RsD, spécialement conçu pour l’isolation des planchers en rapporté sous dalle.Accélérer la rénovation énergétique des logementsPlus efficient, Rockfeu Therm RsD garantit d’excellentes performances thermiques grâce à une conductivité thermique de 0,033 W/m.K. Cette nouvelle gamme d’isolant permet ainsi de conserver la chaleur en hiver et de réduire les pics de chaleur en été dans les logements situés au-dessus de parkings en sous-sols. Avec une durée de vie supérieure à 55 ans, les performances de Rockfeu Therm RsD ne subissent aucune modification dans le temps. Sa robustesse et sa stabilité dimensionnelle permettant au panneau de ne pas se déformer pour garantir un confort d’été à court et long terme.Avec des épaisseurs allant de 60 à 200 mm, la nouvelle gamme Rockfeu Therm RsD permet une isolation thermique mais aussi acoustique plus performante. Les parkings ont tendance à être des espaces particulièrement bruyants. Il est donc essentiel de les protéger du bruit des niveaux de circulation intenses tout au long de la journée. Selon l’Organisation mondiale de la Santé (OMS), le bruit d’une circulation excessive peut avoir un effet nocif sur la santé des personnes.Lutter contre la propagation des incendiesOutre le bruit, le risque de propagation du feu via le parking et dans les logements situés au-dessus peut être considérablement réduit par l’utilisation d’une isolation résistante au feu selon les normes les plus élevées. L’isolation par plancher en rapporté constitue la technique de sécurité incendie la plus performante à destination des commerces et des logements ou pour les établissements recevant du public. Bénéficiant des qualités intrinsèques de la laine de roche ROCKWOOL (7 forces de la roche), Rockfeu Therm RsD offre une solution incombustible (classé Euroclasse A1).
Il y a 2 ans et 305 jours

Débouchage canalisations : 5 astuces pour réussir l’opération !

Une canalisation bouchée peut entraîner de multiples désagréments (remontée de mauvaises odeurs, toilettes qui débordent, eau stagnante). En utilisant les bonnes méthodes, vous n’aurez pas besoin de recourir aux services d’un professionnel dans l’immédiat. Découvrez ici 5 astuces pour venir à bout des bouchons dans vos tuyauteries. Nettoyer le siphon Une solution efficace pour déboucher les canalisations est de nettoyer le siphon. En effet, cet élément joue un rôle essentiel dans le système de tuyauterie. Il retient les résidus solides afin qu’ils ne se déposent pas dans les conduits. Alors, lorsqu’il est plein, les amas de cheveux (dans la baignoire ou la douche) ou les restes de nourriture (dans l’évier) se déversent dans les canalisations et créent des bouchons. Ainsi, pour le nettoyer, vous aurez besoin de vous munir d’une paire de gants et d’un seau ou d’une bassine. Mettez le récipient sous le siphon afin de recueillir l’eau et les déchets avant de le dévisser. Pensez à maintenir correctement la partie supérieure pendant que vous dévissez la région inférieure, surtout, lorsque le siphon est en plastique. En revanche, si le dispositif est en métal, vous devez vous servir d’une clé à molette. Utilisez une brosse à dents usée, un écouvillon ou un cintre pour avoir l’assurance de retirer toute la saleté. Faites couler de l’eau pour rincer la tuyauterie avant de tout revisser. Assurez-vous que vous avez remis tous les éléments à leur place initiale, principalement le joint qui peut tomber dans le seau. Cependant, si l’eau a toujours du mal à couler librement, cela voudra dire que le dysfonctionnement est plus grave et nécessite l’intervention d’un expert. En faisant appel à une entreprise spécialisée dans le domaine comme Proxi-Débouchage, vous pourrez bénéficier d’un travail de professionnel et de conseils pour mieux entretenir vos canalisations. Utiliser des recettes naturelles Au fil du temps, les déchets (résidus alimentaires, matières grasses, cheveux ou poils) s’entassent dans vos canalisations de manière à former un bouchon qui empêche l’eau de s’écouler. De ce fait, à défaut d’utiliser des produits chimiques pour régler la situation, vous pouvez vous servir de recettes naturelles sans danger pour vous et pour l’environnement. La casserole d’eau bouillante Généralement, une canalisation bouchée peut être le résultat de la présence de gras ou de savon dans la tuyauterie. Ainsi, pour la désencombrer, vous pouvez simplement y verser une casserole d’eau bouillante. Pour un meilleur résultat, il convient de répéter l’opération au moins deux fois. Par ailleurs, il faut faire attention à ne pas vous ne brûler, car l’eau doit être portée à ébullition et versée aussitôt dans la canalisation. Le vinaigre blanc et le bicarbonate de soude Parmi les solutions écologiques qui s’offrent à vous pour résoudre vos problèmes de canalisations bouchées, vous avez également le bicarbonate de soude et le vinaigre blanc. La procédure d’utilisation est relativement simple. Tout d’abord, versez le bicarbonate de soude (environ 200 g) directement dans votre évier, votre lavabo ou encore vos toilettes. Par la suite, ajoutez une quantité égale de gros sel et 20 cl de vinaigre blanc. Laissez le tout agir une demi-heure avant de verser de l’eau bouillante et le tour est joué. Si vous n’avez pas du bicarbonate de soude sous la main, vous pouvez utiliser du soda. À cet effet, mélangez dans un récipient une quantité égale de soda, de vinaigre blanc et de gros sel. Versez ensuite le mélange dans votre canalisation et attendez quelques minutes, le temps que ça agisse avant d’ajouter l’eau bouillante. La réaction acide que produit le soda au contact des autres ingrédients permet de tuer les bactéries et d’éliminer les bouchons. La soude caustique L’hydroxyde de sodium, encore appelé soude, constitue également un moyen efficace pour déboucher les canalisations. Toutefois, cet élément est à manipuler avec beaucoup de précautions : vous devez vous munir d’une paire de gants et de lunettes. Une fois les mesures de sécurité prises, versez dans un récipient trois tasses de soude caustique dans ¾ de litre d’eau froide. Servez-vous d’un bâton ou de tout autre objet en bois que vous n’utilisez plus et remuez le contenu du récipient jusqu’à l’émulsion. Versez ensuite le mélange dans la canalisation et laissez-le agir pendant trente minutes approximativement avant d’ajouter de l’eau bouillante. Cependant, si vous constatez que l’eau a toujours du mal à s’écouler, répétez l’opération. Se servir d’un furet de plomberie Le furet est un instrument de la plomberie qui se présente sous la forme d’un fil métallique qui peut dépasser trois mètres de longueur avec un foret à son extrémité. Cet outil est très efficace pour venir à bout des bouchons dans la tuyauterie. De plus, son utilisation est relativement simple. Pour commencer, vous devez verser de l’eau dans la canalisation et y introduire le bout de l’instrument. Faites-le progresser en actionnant la manivelle. Dès que le furet atteint l’amas de résidus, il peut facilement la transpercer grâce à la mèche à son extrémité. Toutefois, si l’opération semble un peu complexe, vous pouvez effectuer des mouvements de va-et-vient pour faciliter le processus. L’eau versée dans la tuyauterie va permettre une meilleure évacuation des débris. Utiliser une ventouse L’utilisation de la ventouse constitue un moyen à la fois économique et écologique pour déboucher une canalisation. Pour vous en servir, il faut d’abord mettre de l’eau dans votre lavabo ou votre évier. Placez ensuite la cloche en caoutchouc de l’accessoire à l’entrée de la tuyauterie après avoir retiré la bonde. En vous appuyant sur la manche en bois de l’outil, effectuer des mouvements du bas vers le haut pour aider l’eau à s’écouler. Poursuivez l’opération jusqu’à ce que toute l’eau s’écoule. Utiliser un nettoyeur à haute pression Si la canalisation reste toujours bouchée en dépit de tous vos essais, vous pouvez essayer de régler le problème avec un nettoyeur à haute pression avec flexible de vidange. Pour cela, vous devez placer le tuyau sur l’appareil afin de propulser la pression à travers le conduit pour enlever et désintégrer le bouchon. Ensuite, mettez l’embout à l’intérieur de l’ouverture de la canalisation et envoyez l’eau sous pression. Normalement, cette astuce devrait régler le problème, mais s’il persiste, vous devez faire appel à un professionnel.
Il y a 2 ans et 306 jours

« Le Square » : nouveau lieu de référence pour les solutions « menuiserie métal » signé Reynaers Aluminium et Forster

Un showroom unique en plein centre de ParisSitué en plein centre de Paris, au 46 rue Chanzy dans le 11ème, ce lieu de découvertes et d’échanges est une vitrine ouverte sur les gammes de Reynaers Aluminium, de Forster et de celles de marques partenaires qui ont fait le choix de s’associer à la démarche.Plus de 300m2 ouverts aux Architectes et aux Professionnels Situé à proximité des plus grands cabinets d’architecture, « LE SQUARE » est un lieu d’exposition, de conception et d’échange de plus de 300m2 dédié aux architectes, bureaux d’études, et autres professionnels de la construction. Dès son arrivée, le visiteur est plongé dans un espace lumineux, structuré, chaleureux et rassurant qui invite à la découverte. L’espace organisé autour de circuits de visite clairs où la mise en scène des produits garantit une excellente compréhension de l’offre. Spacieux et convivial ce showroom permet d’orienter les visiteurs vers deux zones dédiées, l’une pour les menuiseries en aluminium et l’autre vers les menuiseries acier. Maîtres d’ouvrage, architectes, bureaux d’études, économistes et professionnels découvriront tout un univers de solutions constructives et d’aide à la décision pour le bâtiment tertiaire, le commerce, l’habitat individuel et collectif, en neuf comme en rénovation. « LE SQUARE » met en valeur le savoir-faire des deux sociétés à travers de menuiseries exposées en configuration réelle valorisant les tendances actuelles en termes de clair de vitrage, de finesse des structures, de fonctionnalité et de sécurité. Au croisement des tendances architecturales et des solutions techniques Conscient que l’exigence est multiple, le SQUARE a été conçu dans l’objectif de proposer un large panel de solutions qui répondent en tous points aux exigences architecturales actuelles et à venir. Les visiteurs pourront profiter des conseils et des solutions présentées pour obtenir les réponses adéquates en termes de clair de vitrage, de grande dimension, de performances thermique et acoustique, de réglementation énergétique 2020, de protection des biens et des personnes, de retardement au feu et de protection contre les incendies.Lieu d’échanges et de travail Pensé pour faciliter la découverte des produits et en réponse aux besoins des architectes, « LE SQUARE » comprend différentes zones telles que des espaces de présentation, un atelier de conception et des salles de réunion permettant d’échanger et de travailler sur les projets architecturaux les plus variés. Le bâtiment combine expression du savoir-faire et exposition des produits, en toute subtilité et élégance. Ces différents espaces permettent d’offrir une totale polyvalence de configuration pour l’organisation de différents événements.Lieu dédié à un univers de solutions techniques et de services multi dimensionnel Afin d’apporter une réponse complète aux différents intervenants dans l’acte de construire, Reynaers Aluminium et Forster ont pensé et ouvert les portes de cet espace à des industriels complémentaires. Sur simple demande de rendez-vous, les prescripteurs et les professionnels pourront venir à la rencontre des spécialistes de Reynaers Aluminium, de Forster et des partenaires associés, tous spécialistes de leur domaine d’activité. Que ce soit pour le vitrage, les finitions, la protection solaire et la sécurité, les architectes, les bureaux d’études, les économistes de la construction et les maitres d’ouvrage peuvent bénéficier d’un espace de démonstration et d’échanges permettant d’étudier les projets les plus audacieux.Liste des partenaires avec leurs spécialités :AGC – vitrages résistants au feu Assa Abloy – solutions d’ouvertures de portesAxalta – technologie de peintures hautes performancesBandalux – solutions de contrôle solairedormakaba – solutions pour sécuriser l’accès aux bâtimentseffeff Assa Abloy – solutions de verrouillage et de gestion de portesRiou Glass – vitrages design et de sécuritéSonolaque – solutions de traitement de surface des métauxVitrumGlass – vitrages chauffants et intelligentsVetrotech – vitrages de sécuritéLieu de vie et de partage Outre sa fonction primaire, « le Square » ambitionne également de créer une certaine dynamique au travers de manifestations et d’événements sur des thématiques telles que l’art, le sport, la gastronomie, l’environnement ou encore la musique.L’idée sous-jacente à cette approche est d’associer le monde de la construction à différents univers culturels afin de positionner Reynaers Aluminium et Forster en tant qu’acteurs engagés et éclectiques.
Il y a 2 ans et 306 jours

Holcim, partenaire de Norman Foster et d’Habitat for Humanity

La Norman Foster Foundation et Holcim s’allie pour des abris d’urgences plus pérennes. [©Holcim] Le groupe cimentier Holcim s’est associé avec la Norman Foster Foundation. Ce partenariat vise à repenser les habitats d’urgence. L’idée est d’être capable de déployer 1000 abris et un centre médical en une seule journée. Le tout de façon plus pérenne, puisque conçu en béton. « Actuellement, 80 M de personnes ont été obligés de quitter leurs foyers dans le monde, explique Jan Jenisch, Pdg d’Holcim. Les habitats d’urgence peuvent être plus qu’un simple toit au-dessus d’une tête. Ils doivent redonner aux personnes la sécurité d’un foyer et la dignité qui va avec. Nous sommes très heureux de collaborer avec la Norman Foster Foundation. Pour mettre nos solutions et notre expertise au service pour atteindre ce but. » Des propos confirmés par Lord Norman Foster, président de la fondation éponyme. « Nous sommes excités de travailler avec Holcim à explorer la voie vers des abris d’urgence pérenne et réutilisables ». Un accès durable au logement Le partenariat a vu une première concrétisation début juin dernier, dans la capitale espagnole Madrid. Avec un campus de travail justement conscré à cette question. Le compte-rendu de ces échanges n’a pas encore été publié, mais les discussions ont tourné autour des questions de réutilisation, de recyclage, de béton bas carbone. Mais aussi de préfabrication foraine et de ciments “verts”. Dans le même temps, le cimentier a lancé un accord avec Habitat for Humanity. Une ONG qui lutte pour l’accès des populations à un habitat durable et abordable. Pour cela, les partenaires proposent l’accès à la plate-forme digitale iBuild. Une start-up qui a récemment rejoint les 800 entreprises du même type, membres de la galaxie Holcim. Un circuit court Cet outil permet aux familles d’avoir accès en un même endroit et ce, de manière intuitive, à des institutions de micro-finance. Des entreprises de construction, des fournisseurs de matériels et des distributeurs. Le tout en circuit court. Une première expérience a été lancée dans les régions de Bajio et Veracruz au Mexique. « L’un des piliers de l’impact social positif d’Holcim est d’accélérer l’accès à des logements abordables, a précisé Jan Jenisch. Avec l’urbanisation rapide actuelle, nous avons un rôle central à jouer pour construire plus, avec moins. Ceci, afin d’améliorer le minimum standard de vie. Avec plus de trois milliards de personnes en recherche de logements durables à l’horizon 2030, je suis très heureux du partenariat lié avec Habitat for Humanity. Dans le but de déployer des solutions digitales et innovantes en réponse à ce besoin sociétal. »
Il y a 2 ans et 306 jours

Bluetek équipe les Caves Richemer

Une cave mondialement connueHistoriquement basées à Marseillan (34) entre la Méditerranée, le Canal du Midi et la Lagune de Thau, les Caves Richemer sont une coopérative agricole depuis les années 1930. La coopérative réunit 200 vignerons dont les cépages représentent une surface totale de 1 000 hectares. Réputée sur le territoire et au-delà de nos frontières, la cave coopérative est connue pour la qualité de ses vins blancs (65 % de sa production) rosés et rouges régulièrement primés.L’œil avisé d’un architecte spécialiséFort de cette réussite commune qui ne cesse de croître depuis plus de 90 ans, la coopérative a décidé d’optimiser son flux de production par la construction d’un nouveau bâtiment au sein de la même commune. La coopérative s’est appuyée sur les compétences de David Sabourdy, fondateur du cabinet SBY Architecture situé à Jacou (34), spécialisé dans les projets d’immobiliers d’entreprise, de santé et d’éducation, mais également dans l’activité vinicole depuis plus de 15 ans. Le regard avisé de l’architecte, l’a conduit à imaginer une construction respectant l’ordre de la production des vins Richemer par la forme circulaire de l’édifice.Un bardage partiel en parements compositeTout en rondeur, la forme extérieure du bâtiment a été pensée à l’image de vins de la cave coopérative. Le bâtiment a bénéficié d’une ITE sur ses 4 000 m2 de façades. Ces dernières ont été revêtues de bardage dont la moitié de la surface totale (soit 2 000 m2) avec les Parements Composite Aluminium de BLUETEK fixés sur ossature métallique.Les parements de bardage BLUETEK se composent de deux plaques en aluminium unis (ou avec effets de matières) solidarisées par une âme en résine thermoplastique (disponibles en différentes dimensions avec une épaisseur unique de 4 mm). Le chantier a nécessité des parements d’une largeur unique de 1 500 mm et de trois longueurs de 4 000, 4 100 et 4 300 mm. Parti pris de l’architecte, le choix du gris (référence coloris BLUETEK : DECOR9006) qui enveloppe plus de 90% du bâtiment et du rouge (référence coloris BLUETEK : DECOR3004).Des lanterneaux avec une isolation renforcée en toitureLe toit terrasse de la nouvelle construction est également équipé de 29 lanterneaux de désenfumage Bluesteel Therm Pneu et Bluesteel Therm DV Pneu de BLUETEK. Répartis sur les 7 000 m2 du toit, les lanterneaux apportent la luminosité naturelle intérieure nécessaire à l’exploitation du site tout en complétant efficacement son isolation, indispensable au maintien de la température de la cave tout au long de l’année. Les lanterneaux offrent un URC moyen de 1,5 W/m2K selon les modèles. Actionnés par un système de vérins, ils disposent également d’une commande manuelle déportée et de capteurs qui déclenchent automatiquement leur ouverture dès que la température intérieure atteint 93°C en cas d’incendie.Une cave à bonne température+ L’isolation de la nouvelle cave Richemer combinée aux groupes froids qui équipent chacune des cuves permet de maintenir la température idéale dans l’édifice, toute l’année, sans faire appel à un système de climatisation rapportée.Une sécurité incendie complétée par des écrans de cantonnementQuant à l’équipement intérieur relatif à la sécurité incendie, la nouvelle cave a été dotée de deux écrans de cantonnement Smoke Fix de Bluetek, L30 et L40, (dimensions en ml : 30 X 2 et 20 X 2) en toile souple et résistante (densité : 0,4450 KG/m2), à base de fibre de verre, affichant une réaction au feu classée A2 s1 d0. C’est au total 80 m2 de surface qui ont été installés pour contenir les fumées.
Il y a 2 ans et 306 jours

Les menuiseries ACIER de retour à la porte de Versailles !

Après une dernière participation qui remonte à 2019 sur Batimat à Paris Nord Villepinte, Forster a le plaisir de retrouver le cœur de Paris en exposant ses solutions phares sur un espace de 99m² : L’efficacité énergétique avec les systèmes à isolation thermique unico et unico xs ; La sécurité avec des solutions résistantes au feu […]
Il y a 2 ans et 307 jours

Alerte canicule : les bons réflexes pour se protéger lors des fortes chaleurs sur les chantiers

Sur son site internet preventionbtp.fr, l’Organisme met à disposition des professionnels une boîte à outils regroupant l’ensemble des ressources utiles pour assurer leur sécurité dans ces conditions de travail extrêmes (vidéos, affiches, questions/réponses, solutions...).Ils y retrouveront notamment toutes les mesures préventives à prendre sur les chantiers :Vérifier quotidiennement la météo afin d’évaluer le risque au jour le jour,Adapter les horaires de travail et son habillement,S’hydrater régulièrement et en quantité suffisante (au moins 3 litres d’eau par jour)Adopter une vigilance accrue et partagée au sein des équipes, et apprendre à reconnaître le coup de chaleur.
Il y a 2 ans et 307 jours

Würth France annonce la pose de la première pierre du chantier Evolog, l’agrandissement de ses plates-formes logistiques

Retour sur la cérémonieLors de cette manifestation, la société OTE a mis en place le premier pylône du bâtiment shuttle : un obélisque de 23 mètres de haut et de 21 tonnes. Il a été dressé à la verticale, réglé et scellé immédiatement. Symboliquement, une vis creuse contenant un parchemin a été placée dans une cavité du poteau en béton. Ce parchemin, signé conjointement par Claude Kopff, Président du Directoire et Claude Muller, Directeur de la Logistique de Würth France a pour objectif de remercier l’ensemble des parties prenantes au projet Evolog.Evolog : un investissement de plus de 70 M€ pour moderniser et agrandir la plate-forme logistique d’ErsteinWürth France poursuit son développement pour soutenir sa stratégie multicanale et sa croissance, tout en améliorant sa productivité et sa compétitivité. C’est pourquoi, EVOLOG, vaste projet de modernisation et d’agrandissement de ses plates-formes logistiques, a vu le jour. Il s’agit pour Würth France de l’investissement le plus important depuis sa création en 1967.Pour le premier volet de ce projet d’envergure, ce sont plus de 70 millions d’euros qui sont investis dans la plate-forme logistique d’Erstein (67). Créée en 1990, la plate-forme a déjà fait l’objet de quelques changement notamment deux extensions en 1995 et 1999.Amélioration des délais de livraison, augmentation de la productivité, amélioration de l’ergonomie des postes de travail, réactivité et meilleure maîtrise du traitement des commandes sont les principaux objectifs de ce projet. Ceci, non seulement pour améliorer la satisfaction des clients et rester compétitif sur le marché, mais également pour assurer la pérennité des emplois et la montée en compétences des collaborateurs grâce à la formation aux nouvelles technologies.Après plusieurs années de travail, c’est le système « Goods to Person » qui a été privilégié afin d’augmenter la réactivité, la productivité, ainsi que la sécurité des collaborateurs. Leurs conditions de travail seront améliorées et l’ergonomie de leurs postes repensée. Ce système permet également un meilleur traitement des commandes et des délais de livraison optimisés.Composée de 3 nouveaux bâtiments, cette extension constituera une surface additionnelle de stockage entre 12.000 m² et 15.000 m².Le shuttle, entrepôt entièrement automatisé d’une surface d’environ 1800 m² et de 24 mètres de haut, aura une capacité de stockage de 120.000 bacs qui alimenteront les différentes stations de picking grâce à une multitude de navettes automatisées ainsi qu’un système convoyage performant. Le système contribuera à la consolidation des commandes grâce au stockage tampon des colis, permettant ainsi d’expédier tous les colis d’une même commande de façon consolidée. La particularité de ce nouveau bâtiment est son système de protection incendie par atmosphère appauvrie en oxygène. En effet dans cet environnement hautement sécurisé, et qui n’est pas dangereux pour l’homme, la combustion des produits qui y seront stockés est impossible.Le bâtiment fonctionnel, d’une surface d’environ 5000 m² sur 5 niveaux, sera le point de lancement automatique des colis avec ses formeuses à cartons et contiendra une vingtaine de stations de picking haute performance.Le bâtiment d’expédition, quant à lui, fera le lien avec la plate-forme logistique actuelle. Il s’agit du nouvel emplacement du service Expédition avec d’abord en emballage automatique des colis avec réduction de hauteur par des chapeauteuses, une palettisation automatique et 12 nouveaux quais de chargement. Les quantités d’emballage et de produit de calage seront réduits et par conséquent l’impact environnemental.En plus de ces nouveaux bâtiments, c’est une grande partie de la plate-forme logistique actuelle qui sera modernisée. Le système de convoyage sera totalement rénové et de nombreux équipements viendront améliorer les conditions de travail des collaborateurs et permettront de réduire le nombre de colis expédiés par une consolidation plus poussée. Grâce à une nouvelle dimension des colis, les références convoyables seront augmentées et le nombre de colis et donc l’impact environnemental seront diminués. De plus, les livraisons de nos magasins se feront dans des bacs pliables réutilisables ce qui réduira drastiquement les déchets émis par ces derniers. Enfin, l’installation de panneaux solaires permettra de fournir une partie de l’énergie nécessaire.Les travaux de cet investissement hors norme constitueront une véritable prouesse technique puisque tout au long du chantier la plate-forme restera en activité, sous la responsabilité de Claude Muller, directeur logistique, et de Sébastien Bach, en charge du projet.Pour Claude Kopff, président du directoire : « Après 3 ans de travail conjoint avec la direction du groupe, nous avons eu fin 2020 l’accord pour lancer ce vaste projet de modernisation de notre plate-forme logistique. C’est un symbole de l’attachement de la famille Würth à notre site alsacien mais aussi une preuve de la volonté de pérennité de notre entreprise. Un investissement entièrement autofinancé grâce à une trésorerie saine et des fonds propres corrects, en somme le résultat d’une gestion de bon père de famille. Les travaux qui ont débuté en 2022 permettront une mise en service courant 2024. Tout au long de cette période, les collaborateurs de la plate-forme seront formés aux métiers de demain pour qu’ils soient parties prenantes de ce beau projet d’entreprise. » Les étapes-clés de la logistique chez Würth France : 1990 : inauguration d’une nouvelle plateforme logistique de 10.000 m² en ZI Ouest à Erstein (67) 1995 : première extension logistique de 5.000 m² 1999 : deuxième extension logistique de 13.000 m² (nouvelle gare de triage) 2002 : troisième extension logistique (nouveau palettier entièrement automatisé) 2008 : mise en service de la seconde plateforme logistique à Montélimar (26) (17.000 m²) 2021 : étude du projet EVOLOG pour la plateforme logistique d’Erstein (actuellement 34.000 m²) 2022 : début des travaux EVOLOG
Il y a 2 ans et 307 jours

Mise en exploitation des premiers 30 km de l’A79+, première autoroute à péage en flux libre en France

Cette autoroute sera achevée à l’automne 2022 et remplacera la RN79. Elle traversera d’Est en Ouest le département de l’Allier permettant ainsi de relier les autoroutes A6 et A71 sur un tronçon payant de 88 km. L’A79, décrété par l’État d’intérêt public, proposera aux usagers le système de péage en flux libre autorisé par la Loi d’orientation des mobilités (LOM) de décembre 2019. Déjà présent en Autriche, Espagne, Portugal et aux États-Unis, la technologie du flux libre s’affranchit des barrières de péage physique contribuant ainsi à moderniser le réseau d’autoroutes français. La suppression des barrières physiques apporte plusieurs avantages, tant au bénéfice des utilisateurs que de la collectivité : une circulation plus fluide avec une diminution des risques de bouchon et un gain de temps de trajet réduction de la consommation de carburant et des émissions de CO2. Lors de chaque arrêt à une barrière de péage, un poids lourd dépense un litre de gasoil ordinaire, soit 3,1 kg de CO2 émis (source : ASFA) suppression du stress à l’abord des péages, donc plus de sécurité et de confortréduction de l’artificialisation des sols. La surface nécessaire à une barrière de péage est estimée à 16 ha. Le Groupe Eiffage, qui finance en propre le projet avec un investissement de 538 millions d’euros, a réuni tous ses savoir-faire pour concevoir, construire et exploiter la première autoroute en flux libre : ALIAE est maître d’ouvrage et concessionnaire de l’A79 pour une durée de 48 ans ; Eiffage Génie Civil est le mandataire du GIE CLEA qui a la charge de la conception et de la construction de l’A79 ;APRR à qui ALIAE a confié l’exploitation et la maintenance de l’A79 sur la durée de la concession. Les chiffres clés 88 km la longueur de l’A79 23,5 mois délais de réalisation 548 ME le montant de l’investissement en propre de Eiffage48 ans durée de la concessionL’A79 en un coup d’œilUn nouveau tronçon autoroutier qui traverse la France d’Est en Ouest et relie l’A6 et l’A71. L’A79 est la section autoroutière entre Sazeret (Allier) et Digoin (Saône-et-Loire) de la Route Centre Europe Atlantique RCEA), un axe transversal stratégique pour relier sur des trajets longue distance la façade atlantique française à l’Allemagne, la Suisse et l’Italie via le centre de la France. Chaque jour, 10.000 à 15.000 véhicules composés à près de 40% de poids lourds empruntent cet itinéraire. Ce trafic de poids lourds très élevé, conjugué à une configuration routière devenue obsolète, en ont fait l’un des axes routiers français parmi les plus accidentogènes : entre 2008 et 2017, 124 personnes ont perdu la vie entre Montmarault et Mâcon. C’est pourquoi l’État a décidé en 2017 de la construction de l’A79 confiée à ALIAE. Une infrastructure du développement local et territorial L’A79 est aussi conçue pour favoriser le développement territorial. Bien que le trafic de transit soit particulièrement important, l’infrastructure doit être un vecteur d’échanges et de lien au niveau local. Ce lien sera favorisé par une mesure particulièrement forte : les automobilistes pourront circuler gratuitement sur la section Cressanges - Toulon (17 km) et sur la section de Dompierre (6 km). Par ailleurs, pour encourager l’utilisation de l’infrastructure payante par les utilisateurs locaux ou pour la desserte locale, ALIAE proposera une politique tarifaire très attractive avec une formule télépéage offrant jusqu’à 60 % de réduction sur les trajets. Cette réduction pourra s’appliquer dès le premier euro réalisé sur les trajets selon un barème dépendant du nombre de passages effectués dans le mois. Les aires de repos et de services joueront également un rôle de proximité important. En plus des aires de Pierrefitte et des haltes de Deux Chaises au niveau de la barrière de péage, deux aires de repos (Dompierre Ouest et Cressanges) et une aire de services (Toulon-sur-Allier) seront accessibles à la fois par l’autoroute et par la voirie locale.4 aires de repos Aires de repos (4 aires sur les 88 km)Parking VL/PLCovoiturageSanitaires et douches pour les chauffeurs poids lourdsBâtiment d’accueil : mange-debout, distributeur de boissons et snack, écran d’information, wi-fi gratuitBornes de paiement flux-libreEspace détente et pique-nique1 aire de service L’aire de services du Bourbonnais (Toulon-sur-Allier)RestaurantParking pour véhicules légers (VL) et poids lourds (PL)Station carburants VL/PLStation de recharge rapide véhicules électriquesPrises spéciales pour camions frigorifiquesSani-stations bus et camping-carArrêt transport en commun pour le prolongement de la ligne de bus H AléoBornes de paiement flux-libreEspace détente et pique-niqueEspace événementielSanitaires et douches gratuits pour les chauffeurs poids lourdsWi-fi gratuit 88 Km intégralement en flux libre, une première en France Dès l’automne 2022, ALIAE mettra en service la première autoroute française en flux libre, sans barrière de péage physique. Voulu par la loi d’Orientation des Mobilité de décembre 2019, le péage en flux libre a déjà été adopté dans plusieurs pays européens (Autriche, Espagne, Portugal) ainsi qu’au Brésil, Chili, aux Etats-Unis et en Inde. Et plusieurs projets sont annoncés en France sur l’A4, A13-A14, A69 et A412. Fini les gares de péages et les files d’attentes. Les portiques et la technologie mis en œuvre ont été conçus et fournis par l’un des leaders mondiaux. Ils sont déjà utilisés dans de nombreux pays : Etats-Unis, Espagne, Autriche, Brésil, Chili, Colombie, Inde. Le dispositif est constitué de caméras infrarouge, d’antennes télépéage et de capteurs auxquels s’ajoute une couche d’intelligence algorithmique qui permet de faire communiquer les équipements entre eux et vers le système de back office permettant la facturation et le recouvrement du péage en flux libre. Protection des données : un dispositif conforme au RGPD Les systèmes logiciels pour le paiement sur site internet et les bornes à pied sont développés en France et Eiffage est en l’éditeur. Les données sont hébergées en France. Le système d’identification du flux libre est conforme RGPD et ne lit les plaques d’immatriculation qu’à des fins de perception et de facturation du péage. Le droit d’accès aux données et de rectification est assurée à tous les clients. Le processus de contrôle de la protection des données personnelles est rigoureux et assuré avec un DPO (Data Protection Office) et un réfèrent RGPD, aussi bien chez Eiffage que chez APRR. Le Flux libre, mode d’emploi Sur les 88 km de l’A79, 6 portiques équipés de caméras infrarouges permettront d’identifier, quelles que soient les conditions météo, le badge télépéage ou la plaque d’immatriculation et le type de véhicule, déclenchant automatiquement la facturation. 4 options de paiement sont disponibles pour effectuer facilement le paiement des trajets Badge télépéage véhicule léger ou poids lourd : Le badge est détecté à chaque passage sous les portiques et la facturation se fait en fin de mois. Il est valable sur toutes les autoroutes de France. Inscription plaque (IBAN ou CB) : Le client enregistre simplement son numéro de plaque d’immatriculation et ses coordonnées bancaires sur le site www.aliae.com La plaque est détectée à chaque trajet et le prélèvement se fait chaque semaine. Paiement en ligne sur ww.aliae.com Après son passage, le client dispose de 72 heures pour payer, en rentrant son numéro de plaque minéralogique Paiement sur borne de paiement ou « borne à pied » 16 bornes de paiement sont mises à disposition sur les aires de repos ou de services de l’autoroute de l’A79+.Les clients peuvent y payer leur trajet lors de leur pause sur le parcours. Première autoroute en France à proposer une modulation tarifaire selon des critères environnementaux Véhicules légers : tarifs dégressifs selon les émissions de CO2 Véhicules légers (classes 1, 2 et 5) Poids lourds : tarifs dégressifs selon la classe de véhicule ET leurs émissions de CO2 Poids lourds (classes 3 et 4)
Il y a 2 ans et 310 jours

Le CSTB inaugure le laboratoire Fresnel, une plateforme d’essais dédiée aux vitrages

Avec cette nouvelle plateforme d’essais dédiée aux vitrages, le CSTB met à disposition des acteurs français et européens un outil technologique inédit, visant à accompagner le développement et l’émergence de solutions innovantes, en lien avec les enjeux de performance énergétique et environnementale notamment.Le laboratoire Fresnel regroupe pour ce faire, sur un seul et même site, l’ensemble des équipements permettant d’évaluer et de tester la durabilité des performances des vitrages, ainsi que leur aptitude à l’emploi. Parmi ces équipements de pointe, trois nouvelles enceintes de vieillissement artificiel des vitrages, cofinancées par la région Auvergne-Rhône-Alpes et le Fonds européen de développement régional (FEDER).Les vitrages : une forte dynamique d’innovationFace au défi du changement climatique et de l’économie de ressources, les fabricants de vitrages, éléments-clés de la sobriété énergétique et environnementale des bâtiments, se mobilisent, adaptant la conception de leurs produits aux nouvelles exigences et tendances émergentes.Depuis une trentaine d’années, une dynamique d’innovation soutenue s’est mise en place, induisant une évolution technologique fulgurante. Une nouvelle génération de vitrages isolants a ainsi vu le jour : vitrages avec gaz, avec couche basse émissivité, warm edge (produits intégrant des intercalaires renforcés thermiquement sur la périphérie des vitrages pour éviter les ponts thermiques), etc.D’autres développements sont en cours, concourant à améliorer encore les performances actuelles, mais aussi à embarquer d’autres performances propres aux fonctions assurées par l’enveloppe du bâtiment : vitrages isolants électrochromes et thermochromes, dont les propriétés de transmissions lumineuse et énergétique peuvent être modifiées via une mise sous tension électrique pour le 1er et par la chaleur pour le 2nd ; vitrages sous-vide, technologie particulièrement prometteuse, car permettant des performances thermiques élevées, avec des vitrages moins épais, etc.Les équipes de la Direction Baies et Vitrages du CSTB, mobilisant plus de 50 ingénieurs et techniciens, répartis dans les laboratoires de Marne-la-Vallée et de Grenoble, accompagnent les fabricants dans cette dynamique d’innovation.Parmi les leviers qui leur sont pour cela proposés, les essais sont fondamentaux. Ils permettent de comprendre et caractériser les nouveaux produits et technologies à venir.En la matière, le CSTB disposait déjà de plusieurs équipements dédiés aux vitrages. Tous ont été regroupés au sein d’un seul et même site, le laboratoire Fresnel, au CSTB Grenoble. Ils ont également été complétés par de nouveaux outils scientifiques et techniques.L’accompagnement de l’innovation, au cœur des missions du CSTB : À travers ses activités de Recherche & Expertise, d’essais, d’évaluation et de certification, le CSTB accompagne les acteurs de la construction, favorisant l'émergence d'innovations fiables et sécurisées.Le laboratoire Fresnel : la nouvelle plateforme d’essais dédiée aux vitragesLe laboratoire Fresnel permet aux fabricants d’évaluer et tester la durabilité des performances et l’aptitude à l’emploi de leurs produits, dans un objectif d’évaluation et de certification notamment :2 grandes familles de produits testés :Vitrages simples : Vitrages monolithiques, en particulier trempésVitrages feuilletésVitrages isolants : Doubles et triples vitragesVitrages à store incorporéVitrages actifs (électrochromes et thermochromes)Vitrages Extérieurs AttachésVitrages à clameauxVitrages sous vide4 grandes typologies de caractéristiques étudiées :La durabilité du vitrageSes performances thermiquesSes performances mécaniquesSes performances optiquesUne très grande variété d’essais réalisés :Essais de cyclages climatiques, d’exposition à l’ensoleillementEssais d’exposition aux hautes températuresEssais d’exposition à l’humiditéEssais de fragmentationMesures d’humidité, mesures de point de roséeMesures du taux de remplissage en gazEtc.Le laboratoire Fresnel dispose de plusieurs équipements de pointe, parmi lesquels 3 nouvelles enceintes de vieillissement artificiel pour les produits :Des enceintes de qualification : 1 enceinte coffre à climat variable ;1 enceinte coffre avec UV, permettant d’exposer les vitrages aux UV et à l’humidité.1 enceinte de suivi grand format (8m3).Ces enceintes permettent d’exposer les vitrages à des températures comprises entre -15°C et 56,5°C, ainsi qu’à l’humidité avec ou sans UV.Le laboratoire Fresnel dispose ainsi de 5 enceintes permettant de tester le vieillissement des vitrages.Le laboratoire Fresnel : une plateforme d’essais au cœur d’un écosystème dédié aux produits de la baieLe laboratoire Fresnel est situé à proximité immédiate des autres infrastructures du CSTB dédiées aux baies et vitrages : le laboratoire PRE3CIE, plateforme d’essais dédiée aux produits innovants de l’enveloppe, et la plateforme de formation par le geste dédiée à la mise en œuvre des produits de la baie.Par ailleurs, les essais réalisés peuvent être croisés et / ou complétés, selon les propriétés ou performances étudiées, par des travaux menés par d’autres directions du CSTB : la Direction Enveloppe du Bâtiment ; la Direction Sécurité, Structures, Feu ; la Direction Santé, Confort, avec le Laboratoire Acoustique du Bâtiment (LABE).Le laboratoire Fresnel, en bref :Laboratoire situé au CSTB Grenoble ;Permettant aux industriels de réaliser, sur un seul et même site, l’ensemble des essais et évaluations nécessaires au développement, à la mise au point et à la vérification de la qualité et de la performance de leurs produits ;Un rayonnement international avec des essais réalisés selon les référentiels européens, accessibles à l’ensemble des fabricants européens ;Un investissement de plus d’1 million d’euros, réalisé par le CSTB, pour l’installation globale ;Dont 340.000 euros pour les 3 nouvelles enceintes, cofinancés à hauteur de 169.789 euros par la région Auvergne-Rhône-Alpes et le Fonds européen de développement régional (FEDER)