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Il y a 2 ans et 130 jours

Jean-Michel Torrenti, nouveau président de l’Ecole française du béton

Jean-Michel Torrenti est le nouveau président de l’Ecole française du béton. [©EFB] La Fondation Ecole française du béton (EFB) annonce avoir nommé Jean-Michel Torrenti à sa présidence. Celui-ci succède à Daniel Tardy qui conserve le titre de président d’honneur. Chercheur à l’Université Gustave Eiffel et professeur à l’école des Ponts, Jean-Michel Torrenti dispose d’une expérience de plus de 35 ans en recherche dans le domaine du comportement mécanique et de la durabilité des bétons. Directeur du Projet national Fastcarb, il est aussi chef de la délégation française et membre du présidium de la Fédération internationale du béton et membre du conseil scientifique de l’Andra (Agence nationale pour la gestion des déchets radioactifs). Lire aussi : FastCarb : On peut réabsorber 40 kg de CO2/t de granulats recyclés « C’est un honneur pour moi de succéder à Daniel Tardy en tant que président et je tiens à le remercier pour toutes ces années d’engagement auprès de l’Ecole française du béton », déclare Jean-Michel Torrenti. Et d’ajouter : « J’entends poursuivre ses actions, réaffirmer les fondamentaux de l’EFB. Et mettre mon expérience et mes compétences au service de la connaissance et de la valorisation du béton pour construire le monde de demain ». Daniel Tardy, président d’honneur de l’EFB Daniel Tardy devient président d’honneur de l’Ecole française du béton. [©EFB] Pour sa part, après 15 ans d’engagement auprès de l’EFB, Daniel Tardy passe le relais, tout en restant président d’honneur. Ancien dirigeant du groupe ETPO, il est un brillant scientifique, ingénieur polytechnicien, directeur d’IUT et d’école d’ingénieur. Sans oublier ses fonctions de président honoraire de la FNTP. Daniel Tardy a soutenu la Fondation EFB et ses actions en faveur de la valorisation des métiers de la construction. Mais aussi de la diffusion des connaissances sur le béton avec conviction et bienveillance depuis sa création. Le béton fait partie du paysage architectural et reste l’un des matériaux fondateurs de la construction. L’EFB est une fondation d’entreprise créée il y a plus de 25 ans. Elle œuvre au quotidien pour soutenir et valoriser toute action visant à améliorer la connaissance et l’utilisation du béton. En particulier, dans le cadre de la transition écologique et l’innovation technologique. Mieux faire connaître les métiers du béton Aujourd’hui, nombre d’entreprises de la construction et de la filière béton peinent à recruter des personnes qualifiées nécessaires au bon développement des territoires. C’est pourquoi l’EFB s’attache à faire connaître les métiers de la construction et du béton auprès des jeunes, des responsables d’orientation et des enseignants. Outre des démarches d’information et pédagogiques via une plate-forme web dédiée, elle met en place plusieurs programmes d’actions de terrain. Ces dernières visent à mobiliser les compétences professionnelles. Et à recréer des liens pérennes entre les acteurs industriels et les établissements scolaires et universitaires. Suivez-nous sur tous nos réseaux sociaux !
Il y a 2 ans et 131 jours

le solaire booste par la crise energetique

Dans un contexte d’explosion du prix des énergies fossiles, le marché des énergies renouvelables – et notamment du solaire – a été boosté. C’est ce que constate Peter Thiele, président de Sharp Energy Solutions Europe, dans une tribune. Malgré la hausse des coûts et la pénurie d’installateurs expérimentés, le développement devrait encore s’accélérer en 2023.
Il y a 2 ans et 131 jours

Moins de demande pour les entrepôts en 2022

Pour des entrepôts de plus de 10.000 mètres carrés, elle a reculé de 8% en 2022 par rapport à 2021, passant de 3,68 à 3,38 millions de mètres carrés.Les entrepôts logistiques se développent rapidement sur le territoire français depuis plusieurs années, surtout aux abords des grands axes autoroutiers, du fait de l'essor de l'e-commerce et la pression du "zéro stock".En 2022, l'érosion de la demande a surtout été marquée hors région parisienne, où elle a reculé de 14,6%.En Ile-de-France, la baisse a été de 10,3%, lestée par les entrepôts de 5.000 à 10.000 mètres carrés (-36,4%), une catégorie qui n'est pas comptée dans le reste du pays. Pour les seuls entrepôts de plus de 10.000 mètres carrés, la demande a au contraire augmenté de 13,9%."Les volumes en 2022 restent particulièrement solides", a commenté dans une note René Jeannetot, directeur du pôle logistique de BNP Paribas Real Estate."Même si la livraison prochaine d'entrepôts en cours de construction devrait permettre de fluidifier temporairement certains marchés, la transformation continue de la supply-chain (chaîne d'approvisionnement ndlr), observée chez les acteurs du commerce et de l'industrie, soutiendra le bon niveau de demandes constaté actuellement sur ce marché", affirme-t-il."Les grands logisticiens et les acteurs de la grande distribution alimentaire ont poursuivi leurs prises de positions dans l'Hexagone tout au long de l'année, demeurant le principal soutien du marché. Les spécialistes du e-commerce accusent quant à eux un net repli en 2022, reflet d'une surcapacité logistique conjoncturelle", estiment de leur côté les analystes de CBRE. "La politique de sobriété foncière et la conjoncture macroéconomique limitent le potentiel de développement. Ces tensions sur l'offre orientent considérablement à la hausse les valeurs locatives sur les secteurs les plus tendus", ajoutent-ils.La mise en place progressive de la règle "zéro artificialisation nette", qui vise à limiter le grignotage des espaces naturels par la ville pour protéger l'environnement, menace la construction de nouveaux entrepôts, très gourmands en foncier.Leur installation est aussi confrontée, dans certains territoires, à l'opposition de riverains qui craignent notamment l'augmentation du trafic de camions.
Il y a 2 ans et 131 jours

Les principales mesures du projet de loi d'accélération des énergies renouvelables qui devrait être voté aujourd'hui à l'Assemblée

Des objectifs ambitieuxEn France, qui s'est longtemps reposée sur la puissance de son parc nucléaire, les énergies renouvelables ne représentent que 19,3% de la consommation finale brute d'énergie, une part plus faible qu'ailleurs en Europe et déjà en deçà de l'objectif fixé en 2020 de 23%.A l'urgence climatique, la guerre en Ukraine vient aujourd'hui ajouter la menace d'un "blackout", rendant nécessaire pour le gouvernement un changement d'échelle.Pour 2050, le président Emmanuel Macron s'est fixé comme objectifs de multiplier par dix la capacité de production d'énergie solaire pour dépasser les 100 GW, et de déployer 50 parcs éoliens en mer pour atteindre 40 GW.Délais réduitsIl faut en moyenne en France 5 ans de procédures pour construire un parc solaire, 7 ans pour un parc éolien et 10 ans pour un parc éolien en mer.Le texte prévoit des adaptations temporaires des procédures administratives pour simplifier et accélérer la réalisation des projets, l'objectif étant de raccourcir significativement les délais de déploiement.Le gouvernement veut notamment réduire certains recours, en reconnaissant une "raison impérative d'intérêt public majeur (RIIPM)" pour des projets d'énergies renouvelables.Planification et approbation des communesC'était un des sujets les plus sensibles du texte.Après un compromis trouvé au Sénat, les communes pourront faire remonter - dans un dispositif de planification "ascendante" - les zones d'accélération, prioritaires pour déployer des projets d'énergies renouvelables. Pour la phase d'application de ces zones "propices", l'approbation du maire sera requise.La mesure a crispé la gauche, qui redoute le retour du "veto des maires" que réclamaient des députés LR pour l'ensemble du territoire.À l'exception des procédés de production en toitures, ces zones ne pourront être incluses dans les parcs nationaux et les réserves naturelles, a précisé l'Assemblée.AcceptabilitéL'Assemblée a adopté en première lecture des amendements écologistes pour instaurer un observatoire et un médiateur des énergies renouvelables.Pour une meilleure "acceptabilité", les députés ont ajouté au texte un objectif paysager incitant les collectivités à "veiller à limiter les effets de saturation visuelle", notamment des éoliennes.Afin de mieux répartir les énergies renouvelables sur le territoire, le texte rend possible une modulation tarifaire qui inciterait des porteurs de projets à s'installer dans des zones aux conditions naturelles a priori moins favorables.Plus d'espace pour le solaireLe projet de loi facilite l'installation de panneaux photovoltaïques aux abords des autoroutes et grands axes. Il permet de déroger à la loi Littoral, dans un cadre très contraint, pour l'implantation de panneaux dans des "friches". Il facilite aussi l'implantation dans les communes de montagne.Il impose l'équipement progressif des parkings extérieurs de plus de 1.500 m2 avec des ombrières photovoltaïques.L'éolien prend la merLe projet de loi propose de mutualiser les débats publics sur la localisation des projets de parcs éoliens en mer "pour améliorer la planification spatiale" et accélérer leur développement.L'Assemblée a rejeté en séance des amendements LR réclamant que les zones d'implantation soient situées à une distance minimale de 40 km du rivage.Seront toutefois "ciblées en priorité des zones propices situées dans la zone économique exclusive", soit un peu plus de 22 km des côtes, et en dehors des parcs nationaux ayant une partie maritime.RedistributionSur proposition des socialistes, l'Assemblée a renoncé à un principe de ristourne sur la facture des riverains d'énergies renouvelables. Les députés privilégient des mesures territoriales plus larges comme des fonds pour aider les ménages modestes en situation de précarité énergétique ou pour financer des projets en faveur de la biodiversité.AgrivoltaïsmeLe texte entend définir "l'agrivoltaïsme", combinant exploitation agricole et production d'électricité, par exemple avec des panneaux solaires montés sur des pieds, permettant la culture voire le passage d'animaux. La production agricole devrait rester "l'activité principale" ou les installations être "réversibles".
Il y a 2 ans et 131 jours

Le Groupe Airvance fait l’acquisition de la société AEIB, spécialiste de la ventilation industrielle

Depuis près de 50 ans, AEIB Ventilateurs, société familiale, conçoit et fabrique des solutions de désenfumage et de ventilation industrielle certifiées ATEX et IECEX, c’est-à-dire destinées aux atmosphères explosives ou dangereuses, à l’attention des marchés du nucléaire et de la marine. AEIB est basée dans la région de Bordeaux, à Tresses (33) et dispose d’un site de production de 5300 m². L’entreprise est certifiée ISO 9001 depuis 2003. Avec un CA de 8 M€ en 2021 et un effectif de 50 salariés, la société sert des clients dans le monde entier, dans le secteur de la défense et du nucléaire. Par ailleurs, AEIB a développé ces dernières années plusieurs gammes de ventilateurs de désenfumage, en collaboration avec le Groupe Airvance.En tant qu’expert du traitement de l’air, le Groupe Airvance assure le bien-être et la sécurité des personnes sur leurs lieux de vie et de travail. La protection incendie et le désenfumage sont la composante sécuritaire majeure dans un bâtiment. Le matériel de protection incendie vise à éviter la naissance du feu, par le choix de matériaux adaptés. Le désenfumage, quant à lui, a pour objectif l’évacuation des fumées et des gaz toxiques. Avec cette acquisition, le Groupe Airvance vient renforcer son pôle d’expertise dans le secteur du désenfumage et de l’industrie, et souhaite développer les synergies au niveau des offres de produits. AEIB dispose d’un solide savoir-faire en désenfumage : son équipe Recherche & Développement, la qualité de ses produits (certifiés ISO 9001 depuis plus de 10 ans), ses gammes étoffées et son laboratoire de tests renforceront l’expertise du Groupe Airvance dans le désenfumage et l’industrie.« La société AEIB, tout comme le Groupe Airvance, sont deux entreprises familiales. Je suis heureux d’accueillir AEIB et toutes ses équipes au sein du Groupe Airvance. Ce rapprochement traduit notre volonté de nous développer dans le secteur du désenfumage et de renforcer les moyens de production européens du Groupe Airvance auprès de nos partenaires industriels historiques. » - Laurent Dolbeau (CEO Airvance Group)« Nous travaillons avec le groupe Airvance depuis 2002, nous leur sommes reconnaissants de leur confiance depuis toutes ces années et savons que AEIB va continuer à croître au sein d’un groupe leader sur le marché de la ventilation. » - Gilles Beauquin (Gérant AEIB)La concordance des stratégies des deux entreprises, ajouté à la complémentarité des savoir-faire techniques, montrent tout l’intérêt de ce rapprochement.
Il y a 2 ans et 131 jours

Nouvelle fenêtre Prismatic Oknoplast avec poignée centrée

Ce nouveau modèle se distingue par son design épuré et ses hautes performances d'isolation. Grâce à un profilé affiné de 76 mm et un battement central de 120 mm, il propose de plus grandes surfaces vitrées qui laissent entrer plus de lumière à l'intérieur de l'habitat. Salon, bureau, cuisine, chambre..., toutes les pièces de la maison profitent d'une grande clarté à laquelle s'ajoute de remarquables performances thermiques, pour un plus grand confort et d'importantes réductions de la consommation d'énergie.Harmonie & designAvec son design exceptionnel, la nouvelle fenêtre PRISMATIC OKNOPLAST répond aux dernières tendances architecturales avec des formes plus modernes, sans arrondis. Conçue pour une harmonie parfaite, la PRISMATIC est un élément de décoration qui sublime l'habitat. Et pour mettre en avant et affiner ce profilé élégant, OKNOPLAST propose une nouvelle poignée centrée très esthétique.24 couleurs de plaxage sont également disponibles afin de donner un caractère unique aux pièces de la maison. Couleur béton brut ou effet bois, le plaxage peut être choisi en fonction du style de l'habitation.À la pointe des dernières innovations sur le marché, la fenêtre PRISMATIC OKNOPLAST combine design et technologie.« PRISMATIC est une fenêtre destinée aux personnes qui recherchent une solution complète. L'association d'un profilé exclusif et moderne, et d'un grand vitrage n'est pas seulement esthétique, mais offre également plusieurs fonctions : avant tout, la fenêtre «capte» les rayons du soleil, ce qui rend l'intérieur nettement plus lumineux, plus confortable et plus chaleureux. En même temps, grâce à la faible perte de chaleur, notre produit permet d'augmenter les économies de chaque maison », déclare Mike Żyrek, directeur recherche et développement du groupe OKNOPLAST.Un vitrage 4xglass pour une isolation thermique et acoustique renforcéeLa finesse du profilé de la nouvelle PRISMATIC OKNOPLAST réduit la quantité de PVC utilisé dans la production de la fenêtre. Le vitrage 4Xglass plus grand, aux propriétés thermiques élevées, permet de profiter d'espaces plus lumineux et agréables en toute saison. Innovant, il est composé d'une vitre de 4 mm d'épaisseur, de deux vitres de 3 mm d'épaisseur et de deux intercalaires de largeur différentes : 18 mm et 16 mm. Avec ces différentes épaisseurs des vitres et des intercalaires, le vitrage 4Xglass constitue une protection efficace contre les déperditions de chaleur et supprime la sensation de parois froides à l'intérieur de l'habitat.La nouvelle fenêtre PRISMATIC OKNOPLAST dispose de belles performances d'isolation avec son profilé de classe A à 5 chambres qui garantit une protection phonique, supprime les déperditions thermiques, les infiltrations d'air et la condensation. Grâce à un triple joint, la fenêtre PVC PRISMATIC assure une très bonne isolation thermique de la maison, ce qui permet de réduire les dépenses en chauffage. De plus, avec une épaisseur de vitrage allant de 24 à 48 mm, elle offre également une très bonne isolation acoustique, idéale pour un intérieur calme. Elle affiche ainsi un coefficient de performance thermique Uw = 0,78 W/(m²K)* et un coefficient d'isolation phonique Rw = 34 dB**.La sécurité avant toutLes fenêtres étant avec les portes la principale voie d'accès des cambrioleurs, OKNOPLAST a doté sa nouvelle fenêtre PRISMATIC d'une nouvelle génération d'équipements destinés à assurer la sécurité des biens et des personnes : renforts brevetés des ouvrants et dormants, double point de sécurité, vitrage retardateur d'effraction, ainsi que deux gâches anti-effraction vissées dans le renfort en acier du dormant. Les classes de résistance RC1 ou RC2 sont disponibles en option.* Pour une fenêtre de référence avec un vitrage de Ug=0,5W/(m²K) munie d'un intercalaire Warmatec.** Pour une fenêtre de référence avec un vitrage de 4/18/3/16/3
Il y a 2 ans et 131 jours

Rénovation de l’éclairage au siège social de SAIPEM France : des économies d’énergie qui dépassent l’objectif attendu !

Installée à Montigny le Bretonneux dans le département des Yvelines, SAIPEM en France est l’une des plus importantes sociétés d’ingénierie, d’exécution de projets et de développements technologiques offshore et onshore du Groupe SAIPEM. Dans le cadre du décret de la loi ELAN qui impose au parc tertiaire existant de réduire sa consommation énergétique de -40% en 2030 à -60% en 2050 par rapport à 2010, l’entreprise vient de remplacer son installation d’éclairage par des luminaires LED de Sylvania, associés à la solution de gestion d’éclairage intelligente SylSmart. D’une surface de 26.000 m2, le siège social de SAIPEM en France reçoit ses 2.000 salariés dans un immeuble R+6 divisé en 4 zones (A, B, C, D). Il est constitué d’un rez-de-chaussée où se trouve l’espace d’accueil et de 6 étages identiques où sont réunis les plateaux de bureaux, les salles de réunion et deux zones de confort. Construit en 2001, le bâtiment aux larges façades vitrées disposait, entre autres, d’un éclairage indirect par dalle équipée de deux tubes fluocompacts d’une puissance de 55W chacun, allumé en permanence de 6h00 à 21h00. Celui-ci devenu obsolète, l’entreprise décide fin 2021 de procéder à son remplacement afin de répondre aux objectifs de réduction de consommations énergétiques fixés par la loi ELAN. Sur recommandation de Bouygues Energies & Services, en charge des travaux et de la maintenance du bâtiment, David Halluin – Responsable des Services Généraux SAIPEM France – a choisi les luminaires LED éco-performants de Sylvania associés à la solution de gestion d’éclairage intelligent SylSmart Connected. Un objectif initial de 75% d’économie d’énergie en hiverAfin d’atteindre les économies d’énergie visées par SAIPEM France, Sylvania a commencé par effectuer un audit énergétique des systèmes d’éclairage en place, de leurs coûts et des réglementations à respecter (loi ELAN, arrêt des tubes fluorescents au 1er septembre 2023). Il a été suivi par une étude d’éclairage réalisée par le bureau d’études de Sylvania qui a ainsi préconisé de remplacer : – les dalles lumineuses en blanc chaud (3000 K) par le luminaire éco-responsable OPTICLIP à modules LED remplaçables, associé à la solution de gestion d’éclairage intelligent SylSmart Connected, – les spots fluocompacts d’une puissance de 26W situés dans les zones de circulation par le downlight décoratif ASCENT 100 II. Pour apprécier l’efficacité de la solution d’éclairage recommandée et s’assurer qu’elle répondait aux besoins de SAIPEM France, 8 luminaires OPTICLIP avec double détection (capteur de présence et prise en compte de l’apport de lumière naturelle) ont d’abord été installés pendant 6 mois dans un bureau. Le résultat étant concluant, le remplacement de l’ensemble des luminaires des ailes A et B au 4ème étage a débuté en avril 2022. Associant une haute efficacité lumineuse (122 lm/W) et un bon indice d’éblouissement (UGR80, SDCM
Il y a 2 ans et 132 jours

A Nice, Corinne Vezzoni et ABC pour le Campus Sud des Métiers

Les agences ABC et Corine Vezzoni architectes associés ont achevé en 2022 le Campus Sud des Métiers de Nice (Alpes-Maritimes). Les 24 000 m² de l’îlot mixte condensent les ambitions de développement économique du territoire de l’Eco-Vallée. Communiqué. Implanté sur le territoire de l’Eco-Vallée, le Campus Sud des Métiers constitue l’un des projets emblématiques de la […] L’article A Nice, Corinne Vezzoni et ABC pour le Campus Sud des Métiers est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 2 ans et 132 jours

Airwell consolide son développement futur

Pour accompagner sa croissance et notamment pour financer des projets de croissance externe, le fabricant français de solutions thermiques et...-Négoce
Il y a 2 ans et 132 jours

Rockwool poursuit ses actions dans la lutte contre le logement indigne et toutes formes de discrimination

Créé en 2012 par l’Association QUALITEL dans le cadre de sa mission de promotion de qualité de l’habitat, le Fonds de dotation QUALITEL s’engage en faveur du logement des plus défavorisés en soutenant financièrement des initiatives novatrices. Pour sa 11e édition, l’appel à projets du Fonds de dotation QUALITEL a connu un véritable succès avec 177 candidatures déposées parmi 4 axes d’intervention : l’hébergement, l’accompagnement et l’éducation, la recherche et le numérique. Leur répartition est toujours très axée sur l’hébergement avec 53 % des dossiers, dont un vivier fort des besoins d’hébergement d’urgence et temporaire, l’accompagnement et la formation qui représentent 27 % des dossiers, ainsi que le numérique (13 %) et la recherche (8 %) qui prennent davantage d’ampleur chaque année. Le prix récompense 25 lauréats qui se verront répartir une dotation totale de 196 500 €, une aide financière essentielle et précieuse pour concrétiser leur projet en faveur du logement digne et de qualité pour tous.Au regard de l’actualité, un prix a également été spécialement créé lors de cette 11e édition de l’appel à projet pour soutenir une association venant en aide aux ressortissants ukrainiens.Depuis sa création, ROCKWOOL a pour vocation d’assurer les besoins fondamentaux de l’être humain. Parmi eux, celui de disposer d’un habitat sûr et commode est essentiel. C’est pourquoi, face aux enjeux du logement, ROCKWOOL a décidé de s’impliquer auprès du Fonds de dotation QUALITEL en soutenant cette année : La création de la nouvelle communauté de L’Arche à Aix-en-Provence pour accueillir 18 adultes en situation de handicap mental au sein d’un habitat partagé avec 12 assistants.Le développement de l’habitat intergénérationnel solidaire sur le territoire du Puy-de-Dôme pour pallier l’isolement des personnes âgées et remédier à la difficulté de logement des jeunes, par le service Partage 1 Toit du SIRA.La création d’une équipe mobile pluridisciplinaire d’intervention sociale pour accompagner les publics fragiles dans leurs difficultés à la bonne gestion de leur logement et prévenir les ruptures dans les parcours résidentiels sur le territoire de Montluçon (03) par l’association Viltaïs.« Le mal-logement est une cause nationale qui tient particulièrement à cœur à ROCKWOOL. Alors que le nombre de passoires thermiques en France a été réévalué cette année à 5,2 millions, ces logements abritent un grand nombre de familles en situation de grande précarité. Une précarité plus que jamais accentuée par la flambée des prix de l’énergie. Notre engagement au côté du Fonds de dotation QUALITEL est donc plus qu’une évidence. ROCKWOOL a pour vocation d’améliorer le confort de vie dans de nombreuses familles, cela passe par un soutien renforcé à des initiatives sociales innovantes qui œuvrent pour réduire les inégalités face au logement et luttent contre toutes les formes de discrimination », déclare Rafaël Rodriguez, Directeur général de ROCKWOOL France et Europe du sud.
Il y a 2 ans et 132 jours

Pôle de recherche urbain à Arras par Atelier Téqui

L’agence parisienne Atelier Téqui (AAT) a signé en 2022 la construction du pôle de recherche & développement agronomique et agroalimentaire du Grand Arras pour l’unité de laboratoire d’analyse des sols de l’INRAE et pour l’Université d’Artois (maîtres d’ouvrage) à Saint-Laurent-Blangy (Pas-de-Calais), un édifice de 1 821 en quête d’urbanité. Communiqué. Un pôle d’excellence pour une économie […] L’article Pôle de recherche urbain à Arras par Atelier Téqui est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 2 ans et 132 jours

SPIE annonce la création de deux nouvelles filiales en France : SPIE Industrie et SPIE Building Solutions

Depuis le 1er janvier 2023, SPIE Industrie & Tertiaire, filiale de SPIE France, s'est structurée en deux entités : la division Industrie est transférée au sein de SPIE Industrie, nouvelle filiale de SPIE France au service de la performance industrielle afin de relever l’enjeu d’une industrie innovante et décarbonée, la division Tertiaire est renommée SPIE Building Solutions, et offre des expertises dédiées à l’intelligence du bâtiment et à sa performance pour accélérer la transition énergétique.Une nouvelle dynamique pour SPIE FranceCette ultime étape de transformation ouvre un nouveau chapitre de croissance pour SPIE France, désormais composée de 6 filiales de dimension nationale, avec un positionnement stratégique clair et des offres globales capables d’apporter une qualité de service homogène et performante à leurs clients. Cette évolution renforce également la capacité de SPIE à attirer les talents et à leur proposer des parcours de carrières attractifs et enrichissants.Pour Arnaud Tirmarche, directeur général de SPIE France : « SPIE France achève avec succès sa transformation qui donne une meilleure visibilité à nos expertises et nous permet d’être au plus près des besoins de nos clients pour leur offrir les meilleures solutions concrètes, vertes et durables. Cette configuration, avec des filiales de dimension nationale spécialisées par domaines d’activités, nous confère une véritable force pour attirer les talents, saisir de nouvelles opportunités de développement et accroitre la valeur pour nos clients en les accompagnant dans leurs enjeux de transitions énergétique, numérique et industrielle. Entouré d’équipes très engagées, je suis très enthousiaste quant à l’avenir de SPIE ! »
Il y a 2 ans et 133 jours

Pourquoi l'Indonésie veut-elle transférer sa capitale dans les forêts de Bornéo ?

Voici ce qui motive la plus grande économie d'Asie du Sud-Est à déplacer son centre administratif à Nusantara, dans une région abritant une riche biodiversité et des forêts tropicales parmi les plus anciennes au monde.Une ville gagnée par les eauxJakarta, située au bord de la mer de Java, s'enfonce à un rythme inquiétant à cause de l'extraction incontrôlée de ses eaux souterraines.Selon une étude de 2021 de l'Agence indonésienne pour l'évaluation et l'application des technologies, la vaste mégalopole s'enfonce d'environ six centimètres par an, un phénomène particulièrement rapide par rapport aux autres villes côtières."La construction d'une digue en mer est inévitable parce que des inondations se produisent déjà, mais avec le temps, le barrage s'enfoncera et les inondations se répèteront", indique à l'AFP Heri Andreas, spécialiste en sciences de la Terre à l'Institut technologique de Bandung."La meilleure solution est de contrôler l'affaissement du terrain en maîtrisant l'exploitation des eaux souterraines", dit-il.Si des mesures urgentes ne sont pas prises, un quart de la capitale pourrait être submergé d'ici 2050, selon l'Agence nationale pour la recherche et l'innovation.Embouteillages et pollutionJakarta est l'une des villes les plus denses au monde avec une conurbation de quelque 30 millions d'habitants.Elle est fortement polluée par le trafic routier, un système de collecte des ordures déficient qui pousse des habitants à brûler leurs déchets, et les émanations de centrales à charbon environnantes.Le gouvernement estime que les embouteillages monstres qui peuvent paralyser la circulation pendant des heures font perdre des milliards de dollars à l'économie du pays qui compte la plus grande population musulmane au monde."Les modes de transports sont très peu efficaces, avec des trajets longs et épuisants, qui font baisser la productivité des gens", explique Djoko Setijowarno, un analyste des transports à l'AFP.Le président indonésien a déclaré qu'il concevait la nouvelle capitale comme une ville moderne où tout un chacun pourra se déplacer en vélo ou à pied entre des lieux proches les uns des autres.RééquilibrageAvec plus de 17.000 îles, l'Indonésie est le plus grand archipel au monde. Mais sa population et son économie se concentrent de façon disproportionnée à Jakarta et plus largement sur l'île de Java qui abrite plus de la moitié des 270 millions d'habitants du pays.Le gouvernement veut rééquilibrer les pôles économiques et politiques dans le pays."Le transfert de la capitale permettra une meilleure distribution et plus d'équité", a souligné Joko Widodo en mars."Nous avons 17.000 îles mais 56% de la population est à Java", avec 156 millions d'habitants sur cette île, a-t-il noté.Par comparaison, la province de Kalimantan Est, où la nouvelle capitale se construit, compte moins de quatre millions d'habitants.Le gouvernement a réservé une zone de 56.180 hectares pour son projet dans cette province, située dans la partie indonésienne de l'île de Bornéo que se partagent aussi la Malaisie et Brunei.Moins de catastrophes naturellesLa prévention des catastrophes naturelles motive également le déménagement de la capitale. Jakarta est située à proximité des failles tectoniques qui traversent l'archipel, ce qui rend la capitale vulnérable aux séismes.L'île de Bornéo est quant à elle la zone du pays la moins susceptible d'être affectée par des tremblements de terre car elle est plus éloignée de la "ceinture de feu" du Pacifique.Jakarta est par ailleurs souvent inondée, ayant été bâtie sur d'anciennes zones marécageuses.Les chercheurs estiment en outre que l'approvisionnement en eau de Jakarta et de sa région pourrait venir à manquer si le gouvernement ne ralentit pas l'expansion de la mégalopole."Jakarta et l'île de Java se dirigent vers une crise de l'eau, que nous prévoyons vers 2050" à cause de la croissance de la population et du développement industriel, souligne Heri Andreas."A mesure que la population explose, les problèmes relatifs au système d'assainissement vont empirer, les polluants vont contaminer les rivières et les eaux souterraines peu profondes, les rendant inutilisables", avertit-il.
Il y a 2 ans et 135 jours

Le monde dispose d'un énorme potentiel inexploité d'énergies renouvelables selon un nouveau rapport

Et seuls 12 pays se sont engagés à respecter un pourcentage d'énergies renouvelables dans leur bouquet énergétique global.Renewable Energy Targets in 2022: A Guide to Design, publié par l'Agence internationale pour les énergies renouvelables (IRENA) à l'occasion de la Conférence des Nations Unies sur les changements climatiques COP27, évalue le niveau d'ambition en matière d'énergies renouvelables dans les engagements nationaux sur le climat et compare les objectifs au regard de l'objectif climatique mondial de limiter l'augmentation des températures à 1,5°C. Ce rapport montre clairement que le niveau collectif d'ambition en matière de transition énergétique est insuffisant, malgré le Pacte de Glasgow pour le climat qui vise à améliorer les objectifs pour 2030 dans les engagements nationaux. Pour Francesco La Camera, directeur général de l'IRENA : « À l'heure où nous avons désespérément besoin d'une mise en œuvre rapide, j'appelle les dirigeants du monde entier à combler de toute urgence le déficit de déploiement des énergies renouvelables en faveur de la résilience, de la sécurité énergétique et des économies inclusives. Le rapport de l'IRENA est un avertissement adressé à la communauté internationale, lui signalant que si les énergies renouvelables offrent une solution climatique facilement réalisable, elles nécessitent une action immédiate. Les engagements en matière de climat doivent être plus ambitieux si l'on veut libérer tout le potentiel inexploité des énergies renouvelables. Il y a une véritable urgence. Malgré certains progrès, la transition énergétique est loin d'être sur la bonne voie. Tout manque d'action à court terme réduira encore les chances de maintenir l'objectif d'augmentation de la température mondiale à 1,5°C. Sous le slogan de la COP27 « Together for implementation » (Tous unis dans l'action), nous devons passer des promesses aux solutions concrètes en faveur des personnes et des communautés sur le terrain. »Les Perspectives pour les transitions énergétiques mondiales de l'IRENA estiment que la moitié de l'énergie consommée en 2050 proviendra de l'électricité. Quatre-vingt-dix pour cent de l'ensemble de la décarbonisation fera appel aux énergies renouvelables, à travers la fourniture directe d'électricité à faible coût, l'amélioration de l'efficacité énergétique, l'électrification, la bioénergie durable et l'hydrogène vert. Cependant, la réalisation de l'objectif climatique à l'horizon 2050 dépend de la mise en œuvre de mesures suffisantes d'ici à 2030.La nouvelle analyse de l'IRENA révèle que d'ici 2030, les pays visent à atteindre 5,4 TW de capacité renouvelable installée. Cela ne représenterait que la moitié des 10,8 TW de capacité installée nécessaires selon le Scénario à 1,5°C de l'IRENA. Pour atteindre des émissions nettes nulles, la capacité renouvelable ciblée d'ici 2030 devrait être doublée par rapport au niveau d'ambition des objectifs actuels.Or, ceci est facilement réalisable aujourd'hui, dans la mesure où, selon le rapport de l'IRENA, les objectifs actuels en matière d'énergie renouvelable sont inférieurs aux niveaux de déploiement récents. Pour atteindre les objectifs actuels d'ici 2030, les pays ont besoin de 2,3 TW de capacité supplémentaire, soit l'équivalent d'un ajout annuel moyen de 259 gigawatts (GW) sur les neuf prochaines années. Ce chiffre est inférieur à la capacité installée réelle ajoutée au cours des deux dernières années, puisqu'en 2020 et 2021, malgré les difficultés liées à la pandémie et aux perturbations de la chaîne d'approvisionnement qui en ont résulté, près de 261 GW ont été ajoutés chaque année dans le monde.Par ailleurs, l'énergie renouvelable ciblée d'ici 2030 reste concentrée dans seulement quelques régions du monde. L'Asie représente la moitié de la capacité mondiale ciblée, suivie de l'Europe et de l'Amérique du Nord. En comparaison, le Moyen-Orient et l'Afrique du Nord totalisent à peine 3% des objectifs de déploiement mondiaux à l'horizon 2030, malgré le fort potentiel de la région. L'Afrique subsaharienne, quant à elle, ne compte que pour un peu plus de 2% dans le total mondial ciblé d'ici à 2030.Les pays ciblant le niveau de déploiement le plus élevé font tous partie du G20, et représentent près de 90% de l'objectif mondial agrégé. Bien que par le passé, ils ne représentent qu'une faible part du déploiement des énergies renouvelables, les objectifs agrégés des pays les moins avancés (PMA) et des petits États insulaires en développement (PEID) permettraient de doubler leur capacité actuelle en matière d'énergies renouvelables.L'analyse de l'IRENA s'appuie sur la récente publication d'ONU Climat Rapport de synthèse NDC 2022, qui montre que les plans climatiques restent insuffisants pour limiter l'augmentation de la température mondiale à 1,5°C d'ici la fin du siècle.
Il y a 2 ans et 135 jours

Brico Fenêtre double son CA en 18 mois et annonce son lancement en Espagne

Pari réussi pour Brico-Fenêtre.com qui dépasse les 21 M€ de chiffre d’affairesBrico Fenêtre annonçait, il y a 18 mois, un objectif ambitieux : doubler son chiffre d’affaires d’ici fin 2022. Un challenge annoncé peu de temps avant que la conjoncture et le contexte actuel fassent terriblement bouger les lignes du secteur de l’industrie et du bâtiment. Et pourtant, Brico Fenêtre a gardé le cap et a relevé le défi avec un chiffre d’affaires qui s’élève aujourd’hui à plus de 21 M€.La recette du succès ? Une stratégie de plus en plus tournée vers l’aluminium et le développement de ses ventes auprès des professionnels artisans.Brico Fenêtre suit et analyse de près les tendances de consommation pour toujours s’adapter aux attentes des Français. Consciente que la tendance du marché est à l’aluminium, l’entreprise a misé sur ce matériau pour accélérer son développement. Pour cela, fin 2021, le fabricant inaugurait son nouvel outil industriel dédié à l’aluminium. Une usine de pointe qui lui a permis de faire grimper sa capacité de production de 200 à 400 menuiseries/jour et ainsi répondre à une demande croissante. En 2022, l’aluminium représente 25% des quantités vendues par la plateforme (vs. 21% en 2021).Les professionnels du bâtiment font face à l’explosion des rénovations énergétiques des logements, notamment boostée par la RE2020 et la hausse des coûts de l’énergie. De fait, conscient que les artisans sont un véritable levier de croissance, Brico Fenêtre a choisi, cette année, d’en faire un axe de développement prioritaire. Les services (livraison sur chantier par exemple) et la flexibilité (comme la possibilité de commander à toute heure) proposés par le e-commerçant séduisent les artisans. La preuve :la plateforme a doublé son chiffre d’affaires réalisé auprès des professionnels en deux ans (5 M€ en 2022 vs. 2,5 M€ en 2020).Pour Thierry Rambert, fondateur et dirigeant de Brico Fenêtre : "Malgré la complexité du marché dans lequel nous évoluons depuis plus d’un an, nous affichons une croissance exceptionnelle dans l’histoire de Brico Fenêtre. C’est une vraie fierté. Pour les prochains mois, notre priorité en France est de consolider durablement cette belle dynamique de développement."Le e-commerçant duplique son modèle en Espagne et lance brico-ventana.esLa croissance remarquable qu’a connu Brico Fenêtre cette dernière année adossée à la demande exponentielle qu’il rencontre en Europe, en dehors du territoire français (soit 4% de son chiffre d’affaires), amènent l’entreprise à miser sur une nouvelle stratégie de développement : l’internationalisation. Elle se lance ainsi le challenge de s’imposer sur le marché européen.Afin d’être au plus proche des besoins des consommateurs et rester fidèle à son concept basé sur le direct-usine en circuit court, Brico Fenêtre a choisi de dupliquer son modèle dans d’autres pays européens, plutôt que de simplement exporter ses produits en dehors de ses frontières. Une stratégie qui lui permet également de s’adapter aux spécificités de chaque territoire (en termes d’architecture, de réglementations, de méthodes de construction et d’isolation…) en fabricant des produits appropriés à chaque marché.C’est l’Espagne qui a ouvert le bal avec le lancement de brico-ventana.es en mars 2022. Pour la production de ses menuiseries, Brico Ventana s’appuie sur l’usine du groupe Biason de 7.000 m2 située à Sant-Celoni et dédiée au PVC avec une capacité de production de 300 menuiseries/jour. En parallèle, l’entreprise a sélectionné des partenaires espagnols et portugais pour venir compléter son offre et proposer une plus large gamme de produits (volets, portes d’entrée, accessoires...).Pour Thierry Rambert : "Neuf mois après notre lancement en Espagne, Brico Ventana se développe jour après jour. On observe d’ailleurs un bond de son chiffre d’affaires ces trois derniers mois. Une donnée prometteuse qui nous conforte dans notre stratégie de développement au-delà de nos frontières d’origines. Maintenant, le défi est de faire de cette première implantation européenne un succès et, pourquoi pas, commencer à réfléchir à de nouveaux ancrages."
Il y a 2 ans et 135 jours

Groupe Roy Energie envoie 2 centrales photovoltaïques autonomes en Ukraine

GROUPE ROY ÉNERGIE soutient l’UkraineSensible à la situation d’urgence en Ukraine et souhaitant agir en mettant à disposition son savoir-faire, Groupe Roy Energie va envoyer deux centrales solaires autonomes à Kiev, fin janvier 2023.L’une d’entre elles permettra d’alimenter un étage d’hôpital de façon autonome pendant 7 heures et l’autre fournira de l’énergie dans une zone d’invincibilité.Les deux containers seront aménagés avec des prises électriques (ports USA / B / C de recharges de téléphones), un relais Wi-Fi Internet, un éclairage LED intérieur, du chauffage...Ces installations répondront de façon autonome à des besoins d’alimentation en électricité. Groupe Roy Energie collabore avec la Mairie de Kiev et l’Ambassade de France en Ukraine pour l’organisation du déplacement et le déploiement des centrales.Caractéristiques des 2 centrales photovoltaïques autonomesGroupe Roy Energie souhaite démocratiser le solaire et créer de l’énergie propre et locale, ponctuellement et durablement, où que l’on se situe sur la planète. La société a expérimenté deux centrales solaires autonomes différentes, pour le concert de Sting à Chambord au mois de juin 2022 et pour les illuminations de Noël du château actuellement. Elle est à l’origine de l’idée, de la recherche et du développement.Les résultats étant concluants, Groupe Roy Energie a désormais la certitude de pouvoir les déployer de façon sécurisée en base vie de chantier, dans le désert, sur des zones sinistrées, de conflits ou de catastrophes naturelles : partout, tout le temps, quelles que soient les conditions.Fonctionnement de la centrale photovoltaïque autonome au sol de 150 PVCette centrale photovoltaïque déployée lors du concert de Sting mesure au sol 80x20 mètres. Elle comprend 150 panneaux photovoltaïques de 370WC posés au sol, orientés est/ouest pour favoriser une production optimale sur la journée. Elle comprend également un container équipé du système de transformation et de stockage de l’énergie destiné à alimenter l’hôpital. Elle fonctionne sur et hors réseau et est capable de produire jusqu’à 60 kW de puissance. La réserve d’énergie utile de la batterie est de 76,8 kWh.Fonctionnement de la centrale photovoltaïque autonome au sol de 54 PVCette centrale photovoltaïque déployée pour les illuminations du château de Chambord de Noël 2022 mesure 20 x 20 mètres. Elle est composée de 54 panneaux photovoltaïques de 365 WC et de 2 onduleurs de 10 kva. Elle fonctionne sur et hors réseau et est capable de produire une puissance de 20kW. La réserve d’énergie utile de la batterie est de 25,6 kWh.La jeune chambre économique française s’associe à cette opération et lance un appel aux dons pour finaliser l’envoiEn soutien de ce projet au service de la population ukrainienne, la Jeune Chambre Économique Française lance un appel aux dons auprès des particuliers et des entreprises pour financer l’aménagement des containers et les commandes de batteries et d’onduleurs. Cela complètera l’apport des deux centrales photovoltaïques d’un montant de 200.000€.La collecte des dons aura lieu du 23 décembre 2022 au 15 janvier 2023 via la plateforme Hello Asso (https://www.helloasso.com/associations/jeune-chambre-economique-francaise/collectes/repondons-aux-besoins-energetiques-de-la-population-ukrainienne), avec un objectif de 100.000€ (don déductible, cette association étant reconnue d’utilité publique).Les noms de tous les donateurs seront indiqués au dos des panneaux photovoltaïques. Et ils auront la certitude d’apporter une aide concrète en Ukraine.GROUPE ROY ENERGIE, expert photovoltaïqueActeur majeur dans la préservation de l’environnement en France, dont le siège social est situé à Orléans, Groupe Roy Energie conçoit et installe des solutions photovoltaïques innovantes adaptées à chaque besoin spécifique de construction ou rénovation des agriculteurs, collectivités, entreprises et industriels, particuliers et spécialistes de l’immobilier.Groupe Roy Energie propose un accompagnement complet, incluant également la maintenance, le service après-vente et le suivi à distance de votre installation. Le bureau d’étude, composé d’une équipe d’ingénieurs bâtiments, dessine chaque projet clé en main, grâce à leur expertise, et assiste jusque dans les démarches administratives et bancaires. Groupe Roy Energie est d’ailleurs référencé et labellisé dans toutes les agences bancaires, ce qui garantit une réponse rapide aux demandes de prêt.Groupe Roy Energie propose des prestations premium à prix compétitifs, afin de démocratiser le photovoltaïque et le rendre accessible à tous. L’entreprise souhaite amener un maximum de particuliers et d'entreprises à tendre vers l’indépendance énergétique.Toutes les prestations sont réalisées en interne, sans aucune sous-traitance. Les équipes collaborent avec les meilleurs partenaires locaux ancrés sur leur territoire et garantissent des prestations premium, à un prix juste, sur 60 départements. Groupe Roy Energie veille à la formation et la qualification continues des salariés, afin de garantir des prestations optimales. L’excellence et l’innovation font partie de son ADN.La jeune chambre économique française, incubateur de leaders citoyens.Depuis près de 70 ans, la Jeune Chambre Économique Française rassemble une communauté de citoyens de 18 à 40 ans : entrepreneurs, salariés, professionnels libéraux ou encore étudiants. Ensemble, ils relèvent les défis économiques, sociaux et environnementaux d’aujourd’hui et de demain et portent des projets d’intérêt général sur le territoire français.En construisant ces actions de façon collective et en recherchant des solutions aux problématiques rencontrées par les territoires, les membres se forment à la prise de responsabilités. En 2022, la JCEF rassemble près de 2.000 bénévoles engagés en France dans 135 Jeunes Chambres économiques locales. Elle est affiliée à JCI (Junior Chamber International) qui compte 200 000 leaders citoyens dans plus de 100 pays et agit en lien avec les 17 Objectifs du Développement Durable de l’ONU.
Il y a 2 ans et 136 jours

Pose de la première pierre du projet "Le 8ème Chemin" à Bron

Première opération de Léon Grosse Immobilier dans la métropole lyonnaise, ce projet mixte porte sur la réalisation de bureaux neufs, de logements et de divers services.Implanté à Bron depuis 55 ans, Léon Grosse, Groupe diversifié du BTP, spécialisé dans la construction, les solutions de transitions énergétiques et l’immobilier, vient de dévoiler ce projet de construction qui accueillera notamment les nouveaux locaux de sa Direction régionale, opérationnels à l’été 2024. Il s’agira de la troisième plus grande implantation du Groupe, après l’Île-de-France et le siège historique d’Aix-Les-Bains.Ce projet éco-conçu, mobilise les expertises des trois pôles du Groupe (Construction, Solutions et Immobilier). Il contribue à l’accélération du développement de son activité dans la région Auvergne-Rhône-Alpes et la consolidation de son ancrage territorial à Bron.Tourné vers le bien-être de ses futurs occupants et soucieux des performances énergétiques, Léon Grosse Immobilier valorise cet ancien site tertiaire en le transformant, dans un environnement paysager de qualité, en un projet qui regroupe :5.100 m2 de bureaux70 logements en accession15 logements locatifs sociaux2 locaux à vocation de service ou commercial en pied d’immeuble230 places de stationnement“Le 8ème Chemin”, un démonstrateur des savoir-faire et des engagements de Léon GrosseGrâce à l’intégration de la géothermie, les logements et les bureaux seront alimentés par un réseau de chaleur renouvelable, qui couvrira plus de 80% des besoins du chauffage du site. L’opération bénéficiera également de l’électricité renouvelable produite sur site par des panneaux photovoltaïques, avec près de 1.800 m2 d’ombrières. Ces solutions permettent de garantir un prix de l’énergie sur des durées longues à un niveau compétitif.En matière d’impact environnemental, Léon Grosse a fait le choix de dépasser les standards de la construction, en expérimentant avec son partenaire VICAT, unique cimentier français, un béton très bas carbone (utilisant le liant CARAT), permettant une réduction de près de 90% de son empreinte carbone. Le 8ème Chemin est la première utilisation à grande échelle de cette solution innovante sur des bâtiments de bureau en France.De plus, l’entreprise a conçu l’ouvrage dans une logique d’économie circulaire pour favoriser le réemploi d’un certain nombre de matériaux grâce au curage, récupérant ainsi 13 tonnes de matériaux. En phase avec les valeurs et les engagements RSE ambitieux du Groupe, au bénéfice des futurs habitants et salariés, toutes ces démarches auront un effet de levier qui permettront de mieux répondre aux différents enjeux climatiques.En adaptant ce projet autour de ces ambitions environnementales, l’opération vise à s’affranchir de la dépendance aux énergies fossiles, sans transiger sur le niveau de confort des usagers et l’esthétique du projet.“Le 8ème Chemin” illustre de manière concrète l’accélération de la transformation du Groupe dans un souci de performance globale et durable, intégrant le triptyque économique, environnemental et sociétal.L’opération reflète les engagements ambitieux et la politique RSE de Léon Grosse qui constitue véritablement « le bras armé » de sa stratégie d’entreprise. Le Groupe s’engage à agir à son échelle dès l’horizon 2025.Pour Lionel Christolomme, Président du Directoire de Léon Grosse : « Ce projet ambitieux, illustrant notre fort ancrage local et régional, permet de répondre au plus près aux attentes de nos clients et contribue à l’attractivité du territoire. Agissant comme un véritable démonstrateur de nos savoir-faire, il témoigne de notre capacité à mobiliser toutes les ressources et expertises nécessaires à la bonne conception et réalisation d’une telle opération. Elle incarne notre Raison d’Être* et notre modèle d’entreprise responsable et responsabilisant. »* « Entreprendre pour laisser une empreinte qui suscite la fierté de tous »Pour Rémi Hovaere, Directeur régional Bâtiment Sud de Léon Grosse : « Cette nouvelle implantation de la Direction Régionale illustre nos ambitions pour développer notre activité économique au sein de la région Auvergne-Rhône-Alpes, au cœur d’un écosystème dynamique. Notre objectif est de réunir nos trois entités opérationnelles sur un même site, afin d’optimiser notre organisation au service de nos clients. »Pour Emilie Palanque, Directrice Générale de Léon Grosse Immobilier : « C’est dans un souci permanent de prendre soin de la ville et de ses habitants, que Léon Grosse Immobilier a conçu cet ensemble mixte de bureaux et de logements, autour du bien être au quotidien, de la qualité de l’environnement, de la sobriété énergétique pour les utilisateurs et acquéreurs, dans le respect du quartier. “Le 8ème Chemin” offre ainsi des espaces de vie qualitatifs et confortables, regroupant tous les services de proximité, conformes à notre volonté d’épanouissement des futurs habitants. »
Il y a 2 ans et 136 jours

Holcim France acquiert Chrono Chape

Acquis par Holcim France, Chrono Chape détient 63 centrales mobiles de malaxage. [©Holcim France] Holcim France annonce l’acquisition de Chrono Chape, une des premières entreprises indépendantes du marché des chapes fluides en France. Cet industriel détient aujourd’hui 63 centrales mobiles de malaxage pour chapes (camions). Il compte aussi 2 sites de production de prémix installés en Normandie et en Bourgogne, et 8 stations logistiques de rechargement des camions. Il est ainsi en mesure de desservir plus de la moitié du territoire national pour produire les chapes fluides directement sur les chantiers. Une complémentarité avec Cantillana, Lafarge France et PRB Le dispositif industriel de Chrono Chape offre une importante complémentarité avec le réseau de centrales à béton fixes d’Holcim en France et avec la gamme Agilia Chape. De fait, Chrono Chape va pouvoir s’appuyer sur les sites opérationnels du groupe en France (Cantillana, Lafarge et PRB). Ceci, pour consolider et étendre le champ d’action de ses centrales mobiles et conforter sa dynamique de croissance. En effet, depuis sa création en 2005 à Longeault-Pluvault, près de Dijon, Chrono Chape a su saisir les opportunités offertes par un marché de la chape fluide, très dynamique. Et développer son offre pour atteindre une croissance régulière à deux chiffres… « Les synergies avec Lafarge Bétons, PRB et Cantillana vont permettre à Chrono Chape de poursuivre sa croissance et de contribuer à la décarbonation du bâtiment », confirme François Petry, président Holcim France. Lire aussi : Chapes-Info annual 2022 En même temps, Chrono Chapes bénéficiera du savoir-faire d’un grand groupe cimentier disposant du plus important centre de R&D du secteur de la construction dans le monde. Basé à Saint-Quentin-Fallavier, en Isère, celui-ci permettra d’accélérer l’essor des produits de la marque, en particulier pour répondre aux enjeux du marché de la rénovation et pour faire baisser leur poids carbone. Service “zéro déchet” et développement bas carbone Le savoir-faire et la technologie mobile qu’a mis en place Chrono Chapes permettent de maîtriser au plus juste les quantités de matériaux nécessaires pour chaque opération sur site. De quoi assurer un service “zéro déchet” en phase avec les attentes et demandes actuelles. Chrono Chape a su développer une forte expertise digitale. Avec cette opération, Lafarge Bétons va pouvoir renforcer la palette des services proposés à ses clients partenaires et accéder à de nouveaux marchés. « Avec Chrono Chape, nous confortons notre place de leader sur le marché très dynamique de la chape, conclut Jean-Marc Golberg, directeur général de Lafarge Bétons. Cette intégration s’inscrit dans notre volonté de développer le bas carbone au service de la construction et de la planète. » Suivez-nous sur tous nos réseaux sociaux !
Il y a 2 ans et 137 jours

Blanchon rachète un industriel suisse

Le groupe lyonnais poursuit son développement à l'international avec l'acquisition de Bigler Lacke und Leime, entreprise spécialisée dans...-Négoce
Il y a 2 ans et 137 jours

En Autriche, un pionnier du "retour à la terre" pour construire durable

Dans sa commune de Schlins, au coeur d'une région du Vorarlberg portée depuis longtemps sur l'habitat écologique, l'ancien céramiste est passé à la vitesse supérieure en construisant une usine unique en Europe, destinée à produire des murs en pisé préfabriqués."Devant l'enjeu écologique et le problème de l'énergie, il commence à y avoir une grande demande pour ce matériau. Mon espoir est qu'avec cette crise, de plus en plus d'entreprises décident de construire en terre," dit ce géant à la tignasse toute blanche.Car la production de béton c'est près de 8% des émissions mondiales de C02, quand l'empreinte carbone de la terre crue tient surtout à son transport. Ses défenseurs vantent ses propriétés hygrométriques, acoustiques. Et au moment de la démolition, la terre retourne à la terre, sans questionnement sur les déchets.Martin Rauch affiche déjà de spectaculaires créations: en Suisse, la Maison des herbes de l'entreprise Ricola, une maison de vacances, le centre de visite d'une station ornithologique, ou en Autriche les bureaux d'une imprimerie. Avant cela, il avait d'abord fait sa maison, une construction aux lignes contemporaines et grandes baies vitrées, comme une démonstration, un "manifeste".En ce jour pluvieux, la maison accrochée sur une pente de Schlins revêt des tons bistrés, fondue dans le paysage près des chalets traditionnels. De légers débords en lignes horizontales protègent les murs de la pluie.Pour l'atelier, les murs extérieurs incluent des morceaux de terracotta chargés de freiner pluie et érosion, une technique empruntée aux constructions anciennes de l'Arabie saoudite. Le tout tient sans problème depuis 1994, souligne-t-il.Alors que ce savoir-faire a reculé en Europe, cela fait 30 ans qu'il teste, pour déterminer la bonne terre, le degré d'humidité approprié pour la travailler, et ainsi proposer murs intérieurs, extérieurs, enduits...Dans sa région, l'entreprise a réalisé les sols d'une école maternelle, d'un cabinet d'architectes...Chez l'architecte Georg Bechter, l'effet est bluffant: pour un oeil non averti, le sol ressemble à du béton ciré, avec en plus le détail visuel des petits cailloux.Battue au pilon pneumatique, la terre - 15 cm d'épaisseur posée sur une structure de bois - a été prise sur place, lors d'une création de cave. Avec cependant une contrainte: il faut poncer le sol, puis cirer, chaque année.Terre et clientèles localesMais avec son usine, Martin Rauch veut aller plus loin, pour "répondre à des projets de grande envergure".L'endroit est, bien sûr, doté d'un mur en terre, selon lui aujourd'hui le plus long d'Europe (67 m).En son coeur se trouve une machine destinée à pilonner la terre pour la compacter dans un vaste coffrage permettant de produire des murs longs de 40 mètres. Les blocs, une fois séchés à l'usine et découpés, peuvent ensuite partir pour être assemblés à destination.Pour les machines, l'équipe a dû inventer, emprunter à différents secteurs. Le patron met lui-même la main à la pâte, râtissant la terre ce jour-là. L'industrialisation attendra.La terre, elle, vient des alentours, chantiers de construction et autres excavations, explique Sami Akkach, architecte et collaborateur de M. Rauch: "elle doit contenir de l'argile, et du gravier, anguleux plutôt que rond pour bien accrocher".Dans le même esprit écolo, l'entreprise n'accepte que des projets peu éloignés."Nous n'avons pas envie de monter en échelle", explique Martin Rauch: "nous souhaitons plutôt que la terre monte en échelle. Aujourd'hui nous avons quasiment un monopole, alors qu'il faudrait une usine comme celle-ci tous les 200 km!""Le problème est qu'il n'y a pas assez d'artisans, et qu'on a encore trop peur de ce matériau naturel. Il faut travailler là-dessus, encourager la formation, la qualité de l'architecture et la recherche-développement", dit-il, allusion à la récurrente question du risque d'érosion.Oui, les premières années, un peu de poussière d'argile peut partir, répond l'entreprise, mais "les structures en terre dureront des siècles si elles sont faites correctement".
Il y a 2 ans et 137 jours

Terreal investit sur son site de Lahera à Mazamet (81) pour augmenter sa capacité de production de closoirs

Face à une demande qui s’est accélérée depuis la crise sanitaire, TERREAL double ainsi sa production de closoirs certifiés et made in France pour continuer à livrer ses clients en France et à l’export, et ainsi renforcer sa présence chez les distributeurs en matériaux.TERREAL continue d’investir dans son activité de composants de toitureLahera, société du groupe TERREAL depuis novembre 2006, est spécialisée dans la conception, la fabrication et la commercialisation de composants de toiture ainsi que dans le développement de l’offre solaire de TERREAL depuis 2008.Depuis 2016, une seule ligne assurait la production des closoirs souples et rigides. La nouvelle ligne, destinée à la production des closoirs souples bi-matières LAHE FIRST, permet ainsi de décupler les capacités de production jusqu’à 2 millions de mètres linéaires par an, soit l’équivalent d’environ 130 000 maison par an, et de répondre à la demande croissante de ses clients depuis la crise sanitaire. « Cet investissement est bénéfique tant sur la qualité de l’offre avec des possibilités d’innovations sur des nouvelles matières ou des nouvelles largeurs, que pour les opérateurs sur site car en produisant sur deux lignes de fabrication, nous évitons le recours au travail de nuit que nous avons connu pendant la crise », explique Julie Etavard, Chef de Marché Accessoires Fonctionnels chez TERREAL.Cet investissement s’inscrit dans le plan de la performance opérationnelle des sites TERREAL qui s’est traduit notamment sur le site de Lahera par l’installation de cabines de découpes laser et de thermo-laquage pour les accessoires de toiture en 2018.Une gamme complète de closoirs TERREAL made in France et certifiée QB35TERREAL devient ainsi le plus important producteur de closoirs en France et le seul industriel à être certifié QB35 sur l’ensemble de sa gamme avec deux technologies de closoirs ventilés : les closoirs souples LAHE ROLL et LAHE FIRST et les closoirs rigides LAHE-PRO et LAHE-PRO Alu.Le référentiel QB35 repose sur la performance de trois critères : l’adaptabilité aux tuiles (classes G), l’étanchéité (classes E) et la ventilation (classes V). La combinaison de ces trois critères détermine le classement GEV du closoir et permet de trouver le produit le plus adapté aux tuiles. « En doublant notre capacité de production, nous entendons également nous positionner auprès de nos partenaires, négoces et sites de distribution spécialisés, en leur livrant un produit de qualité, made in France et certifié pour leurs clients », conclut Eric Risser, Directeur Marketing de Terreal en France.
Il y a 2 ans et 137 jours

JACKOBOARD® Aqua 

JACKOBOARD® Aqua, les solutions receveur prêt à carreler 100% étanche. Le meilleur écoulement, la plus faible épaisseur. Le point crucial de l’espace douche : l’étanchéité. Avec les solutions JACKOBOARD® Aqua pour receveur, le fabricant allemand Jackon Insulation garantit une étanchéité intégrale, y compris aux points les plus sensibles grâce à un matériau constitutif ultra-performant et un système d’écoulement parfaitement adapté. Un produit innovant pour des réalisations d’excellence. Un receveur panneau en XPS hydrofuge Le panneau en mousse rigide de polystyrène extrudé (XPS) de haute qualité qui constitue le receveur est entièrement élaboré et fabriqué avec une sélection minutieuse des matières premières, à Mechau en Allemagne. Hydrofuge, isolant, résistant à la compression (résistance > 300 kPa) et indéformable, le receveur ne peut pas être endommagé et peut être mis en œuvre avec des tolérances minimes. Il intègre une pente préformée et une évacuation. JACKOBOARD® Aqua Innovantes, ces solutions proposées par Jackon Insulation sont destinées à des applications exigeantes notamment celles qui requièrent une résistance à un taux d’humidité élevé et qui sont exposées à des conditions extrêmes. La mise en œuvre est simplifiée en raison de la légèreté du matériau (11,65 kg pour le 140 x 90 cm) et de son revêtement spécial sur les deux faces pouvant être directement carrelé. Des systèmes d’écoulement efficace, pérennes et design La bride d’écoulement étanchéifiée et les siphons sont parfaitement adaptés aux solutions JACKOBOARD® Aqua, pour une réalisation efficace, zéro défaut, facile et rapide en raison des caractéristiques suivantes : Une garde d’eau de 50 mm Une très faible hauteur du siphon horizontal ultra-plat (DN 50) avec une épaisseur minimale de 97 mm seulement, receveur compris. A noter qu’il existe également un siphon vertical (DN 40/50). Un important débit correspondant à un écoulement d’eau de 3 à 4 fois plus important que les débits de tête de douche (20 l/min). Une surface de mortier entièrement compatible avec les mortiers colle. Un système de fixation du siphon par vissage. Un choix de carrelage illimité y compris de très faible épaisseur (3 mm), sans accessoire. Les atouts des solutions JACKOBOARD® Aqua : Nombreux formats standard, une large palette de dimensions et de formes sur-mesure, en 40 et 50 mm d’épaisseur pour de très faibles hauteurs d’installation. Version spéciale « zéro ressaut » pour les planchers bois avec Aqua Flat qui propose une épaisseur de 20 mm seulement en intégrant un siphon horizontal pour une hauteur d’encastrement variable de 97 mm à 116 mm. JACKOBOARD® Aqua Flat Equipements spéciaux adaptés, à la fois design et performants : grilles avec support et caniveaux de douche en acier inoxydable massif existant en plusieurs modèles, pouvant également être carrelés par retournement du dispositif. JACKOBOARD® Aqua Kits complets comprenant des bandes et des coins préformés avec caoutchoutage au central pour étancher tous les éléments JACKOBOARD® (dans la zone humide), des nattes pour étancher les passages de tuyaux, des produits adaptés pour le collage. JACKOBOARD® kit complet Une pose et un carrelage effectué dans la journée pour une réalisation durable, sans risque de fuite et parfaitement étanche avec un revêtement de sol carrelé et son jointoiement, par principe non étanches à l’eau. À propos de JACKON Insulation : Fabricant d’isolants et de panneaux de construction de grande qualité en mousse rigide de polystyrène extrudée (XPS), JACKON Insulation GmbH remporte depuis plus de 30 ans un franc succès sur le marché national et international. Avec plus de 300 collaborateurs, la société gère, en plus de ses deux sites d’implantation en Allemagne, des filiales en Belgique, en France et en Suisse. Grâce au développement de matériaux innovants comme les isolants JACKODUR® et les panneaux de construction JACKOBOARD®, JACKON Insulation GmbH a su s’imposer durablement sur un marché très concurrentiel et compte aujourd’hui parmi les sociétés les plus innovantes du secteur.  Pour plus d’informations, rendez-vous sur www.jackon-insulation.fr 
Il y a 2 ans et 138 jours

Bilan 2022 des activités de la construction métallique

Pour Roger Briand : « Malgré les difficultés d’approvisionnement des premiers mois, l’impossibilité de répercuter sur le prix de vente l’intégralité des hausses des matières premières, ainsi qu’un ralentissement des prises de décisions des maîtres d’ouvrage en cette fin d’exercice, 2022 restera une bonne année pour notre profession. Le chiffre d’affaires réalisé par le secteur est en progression (+ 19%), du fait des très fortes hausses des matières premières et en particulier l’acier (+ 140%) dans un marché national inflationniste. »Ainsi, l’activité 2022 a essentiellement été assurée par l’investissement privé même si les investissements publics s’avèrent en évolution. Les travaux du Grand-Paris, des jeux olympiques et la requalification de centre-ville contribuent au développement d’une commande publique atone ces dernières années. Si la production annuelle devrait atteindre les 768.000 tonnes, soit un résultat proche de celui de 2021, notons que l’évolution des affaires conclues en 2022, est légèrement inférieure vs 2021, avec un regain de dynamisme marqué depuis août.Tendances des carnets de commandeL’évolution des carnets de commandes de la construction métallique française affiche, en moyenne, 6 mois d’activité. Notons, de plus, que le premier semestre 2023 devrait connaître une activité toujours soutenue, avec un horizon pour le second semestre demeurant incertain. Roger Briand de préciser : « Globalement, les dossiers de consultation sont nombreux, avec des disparités selon les régions. »Répartition par type d’activitéSi les bâtiments industriels demeurent l’activité principale des constructeurs métalliques (64% de parts de marché), mentionnons qu’en 2022, les bâtiments de commerces, ainsi que les bâtiments de stockage et les bureaux, connaissent également de fortes hausses. Précisons enfin que la construction de ponts et passerelles reste soutenue, en affichant des carnets de commande de plus de 6 mois.Taux des capacités de productionCe taux des capacités de production est un indicateur très suivi par la profession. Aujourd’hui celui-ci demeure, depuis 2021, très élevé, proche des 80%. Les industriels sont donc enclins à investir fortement, notamment pour la construction de bâtiments industriels. Ces extensions ou nouvelles réalisations sont en grande majorité exécutées par des constructeurs métalliques qui voient ainsi leur activité se développer.Pour Roger Briand : « Les constructeurs métalliques envisagent l’avenir avec sérénité grâce notamment à des carnets de commandent qui se remplissent et à de nombreuses demandes en études et chiffrages de dossiers, en cette fin d’année. Cependant, les alertes des économistes nous obligent à la prudence pour fin 2023. »L’engagement de toute une filière pour des bilans bas carbone et le réemploi des matériauxLes constructeurs métalliques n’ont pas attendu l’application de la RE2020 pour s’engager en faveur d’une construction responsable et répondant aux enjeux environnementaux. L’acier est l’unique matériau de construction à pouvoir être recyclé à l’infini tout en conservant la totalité de ses performances. Spécificité unique pour un matériau de construction, ses propriétés magnétiques facilitent grandement le tri. Fort de toutes ces caractéristiques, l’acier constitue également le matériau le plus recyclé dans le monde, contribuant à la préservation des ressources naturelles, à l’optimisation du cycle de vie et à la vitalité de l’économie circulaire. De plus, précisons que la construction métallique utilise surtout de l’acier recyclé, les déchets métalliques sont en effet revalorisés en quasi-totalité et réintroduits dans le process. Aujourd’hui, afin de toujours améliorer les performances des bilans carbone des constructions, les constructeurs utilisent des aciers bas carbone qui peuvent réduire significativement les émissions de CO2.S’il est généralement avancé que la production d’1 kg d’acier émet 2 kg de CO2, le marché propose des aciers dont les FDES confirment des résultats bien plus performants. Ainsi, Xcarb, acier d’Arcelor, revendique seulement 0,3 kg de CO2 par Kg de construction métallique produite. Par ailleurs, soulignons que les récentes FDES du CTICM affichent également de belles performances. À titre d’exemples, pour des profils du commerce, seulement 1,3 Kg de CO2 sera généré par Kg de construction métallique produit ; pour un profil reconstitué soudé, il ne sera que de 1,4 kg de CO2.Dans la même logique, la généralisation de l’utilisation d’énergie renouvelable dans la fabrication d’ossature acier va contribuer à la réduction de cette emprunte carbone.Par ailleurs, rappelons aussi que les constructions métalliques se prêtent idéalement à la démontabilité et au réemploi, qu’il s’agisse d’un bâtiment dans son ensemble, d’éléments modulaires ou bien encore de pièces détachées. En effet, véritables mécanos géants, les éléments métalliques peuvent aisément se démonter, se transporter et se remonter dans de nouvelles constructions. Une option évitant la démolition et donc une reconstruction impactante en termes d’émissions de CO2.Pour Roger Briand Président du SCMF : « Essentiel dans la réalisation de structure antisismique, incombustible, imputrescible et insensible aux attaques de parasites, l’acier est, par définition, infiniment durable. Dans cette approche, la traçabilité du matériau et des éléments constitutifs est essentielle afin de définir ses réemplois futurs. Une banque de poutrelles, plaques, modules, peut ainsi être répertoriée selon les poids, tailles, capacités structurelles. C’est un marché de l’occasion qui verra prochainement le jour. » Parfaite illustration de cette philosophie verte, Briand va utiliser pour la construction de sa prochaine usine aux Herbiers en 2023, 100 tonnes de poutrelle d’acier provenant de l’ossature des ex-halles Alstom de Nantes dont le démontage s’est achevé en début d’automne.Pour Roger Briand : « L’acier se positionne comme un fantastique matériau circulaire. Il dispose de deux leviers fort de décarbonation. Le premier, son outil de production primaire qui largement se décarbone. Le second réside dans la possibilité d’intégrer une part de réemploi dans une construction, proche d’une émission 0 carbone, renforçant d’autant la décarbonation de l’ensemble de la structure métallique. Les bâtiments métalliques ainsi construits peuvent désormais afficher un niveau de décarbonation atteignant les objectifs futurs de 2030, 2040 ready. L’objectif de 0,5 Kg d’émission CO2 voire moindre par Kg d’acier est un objectif atteignable. »Des besoins en recrutement, en formation, une nécessité : « Faire connaître nos métiers »Alors que la semaine nationale de journées portes ouvertes des constructeurs métalliques s’est déroulée du 10 au 15 octobre 2022. La profession, en présentant ses métiers aux ateliers très automatisés et robotisés, a accueilli de très nombreux collégiens, lycéens et leurs professeurs. Une opération séduction déployée pour la troisième année et qui s’est révélée à nouveau très appréciée des jeunes comme du corps enseignant. Rappelons que les besoins en recrutement des constructeurs métalliques se chiffre à plus de 20.000 emplois sur les 4 ans à venir. Le manque de formations pour ces métiers contraint d’ailleurs les entrepreneurs à concevoir des formations internes comme à multiplier les contrats d’alternance.Enfin, autre initiative marquante de la filière construction métallique : la création des « écoles de production » comme celle mise en place par l’entreprise SERRU de Château Gonthier, accompagnée par les pouvoirs publics. Malgré ces efforts, les constructeurs métalliques attirent l’attention de l’Éducation Nationale et les Régions pour le développement de ses métiers.
Il y a 2 ans et 138 jours

Comment les opérateurs de télécommunications peuvent mettre la gestion de l’énergie au premier plan et lutter contre le dérèglement climatique

C’est un point important mais la 5G n’est qu’un élément dans la liste des sujets qui motivent les opérateurs de télécommunication à se focaliser de plus en plus sur la réduction de leur consommation d’énergie et leurs émissions de gaz à effet de serre. Jusqu’ici engagés dans un cycle continu de mises à niveau de leurs réseaux, ils se focalisent désormais sur les coûts et l’empreinte carbone liés à ces évolutions. Selon les experts, il s’agira d’ailleurs de leur priorité absolue pour les années à venir.La bonne nouvelle, c’est que les opérateurs ont déjà fait de grands progrès vers la réduction de leur consommation d’énergie. Ils déploient des systèmes énergétiques hybrides depuis des décennies et sont parmi les premiers à avoir adopté l’énergie solaire, bien que ces applications soient restées limitées et spécifiques.Mais quelles stratégies à court et à long terme ces entreprises peuvent-elles déployer pour accroître leur efficacité énergétique et progresser sur le plan du développement durable ?Remplacer les anciens systèmes d’alimentation en courant continuSoyons clairs : il n’y a pas de solution miracle pour réduire la consommation brute d’énergie des réseaux des opérateurs. Cependant, différentes mesures immédiates peuvent être prises pour soutenir leur transition vers des énergies renouvelables, comme l’énergie solaire.Déjà massivement adoptée, la stratégie la plus évidente est d’opter pour des redresseurs à haut rendement dans les systèmes d’alimentation DC présents sur chaque site d’accès. Le remplacement de ces anciens systèmes par des modèles plus récents et affichant un meilleur rendement peut augmenter leur efficacité énergétique de 5-6%.De plus, les équipements modernes disposent souvent de modes et fonctions d’économie d’énergie qui sont trop souvent ignorés. Les systèmes d’alimentation DC actuels, par exemple, sont plus intelligents et assurent une gestion de l’énergie plus évoluée que celle de leurs prédécesseurs. Adapter les stratégies énergétiques aux sites d’accès S’il est exagéré d’affirmer que chaque site est unique, lorsque l’on tient compte des facteurs de différentiation (région, climat, fiabilité du réseau, disponibilité de l’eau ou réglementations), il est clair qu’aucune stratégie ne saurait convenir à tous les sites d’accès.Les stratégies de gestion énergétique et des émissions doivent être liées aux efforts de planification et à l’immobilier disponible et les opérateurs doivent adapter leur approche aux conditions sur l’ensemble de leurs réseaux. Par exemple, les systèmes hybrides, utilisant l’énergie solaire comme un complément aux réseaux non fiables ou surtaxés, sont bien plus fréquents dans une grande partie de l’Afrique, en Amérique du Sud, au Moyen-Orient et dans certaines contrées d’Asie qu’aux États-Unis, où le réseau est généralement fiable et abordable.Utiliser des contrôleurs intelligents pour la gestion de la charge Aujourd’hui, il est possible de superviser en temps réel les infrastructures d’alimentation en courant continu.Grâce aux contrôleurs intelligents dotés de fonctionnalités avancées de gestion de la charge, les opérateurs visualisent l’emplacement de la charge, la performance énergétique et les problèmes de répartition de charge, afin d’optimiser l’alimentation en courant continu, de maximiser l’utilisation de systèmes de refroidissement, et d’éviter toute surcharge. Avec des outils efficaces, il est possible d’atteindre une haute disponibilité et d’optimiser le rendement et en réduisant les coûts.Avec une gestion de charge proactive, les opérateurs peuvent identifier l’emplacement et le profil d’alimentation de chaque rack, , visualiser les points chauds potentiels, et repérer les problèmes de répartition de charge. Après avoir cartographiée la distribution d’énergie et la puissance de refroidissement du site, ils pourront déplacer la charge d’un rack à un autre pour améliorer la circulation d’air et son refroidissement.Adopter une vision à long termeAujourd’hui , les opérateurs doivent également adopter une vision à long terme et des approches créatives et ambitieuses pour gérer leur consommation. Par exemple, l’abandon des groupes électrogènes au diesel au profit de technologies de piles à combustible hydrogène.Parmi les autres innovations pourraient figurer des technologies émergentes (ex. : batteries au sodium-ion), qui offriraient des opportunités supplémentaires pour un fonctionnement hors réseau et pour la gestion de l’énergie. Enfin, , les réseaux sont susceptibles de se transformer en micro-réseaux générant, partageant leur propre énergie en interne et avec les fournisseurs d’électricité.Bien que nombre de ces nouvelles technologies ne soient pas des alternatives viables sur les réseaux d’accès d’aujourd’hui, il est certain que ce secteur innovant continuera à servir de moteur du progrès et à promouvoir un avenir plus efficient et plus vert pour l’industrie.Tribune de Séverine Hanauer, Directrice Segments Stratégiques Telco & Déploiement Edge, Europe du Sud chez Vertiv (Linkedin).
Il y a 2 ans et 138 jours

Altarea annonce le renouvellement de son partenariat historique avec Habitat & Humanisme

Depuis le début de son partenariat avec Habitat & Humanisme, Altarea a participé au financement de plus de 20 projets, pensions de famille ou résidences intergénérationnelles, représentant 427 logements créés pour des familles et des personnes isolées.Dans les trois prbochaines années, Altarea poursuivra son soutien à travers l’accompagnement de projets immobiliers et le financement de trois postes permanents au sein de l’association pour participer à la lutte contre le mal logement. Conscient des enjeux de développement durable pour la société, et en particulier de l’impact carbone de l’activité immobilière, Altarea accompagnera également Habitat & Humanisme en matière d’ingénierie technique, pour améliorer la performance énergétique du parc des logements actuel et à venir. En effet, développer par la construction neuve et la rénovation un parc de logements de qualité présentant des performances énergétiques satisfaisantes reste un défi à relever.Altarea a souhaité poursuivre également son soutien sur les actions en faveur de l’habitat inclusif et intergénérationnel et ajouter une nouvelle dimension, sur l’accueil des personnes âgées et du personnel soignant, en lien avec la structure Habitat et Humanisme Soin.« Cela fait plus de 15 ans que nous accompagnons Habitat & Humanisme avec qui nous partageons des valeurs communes et la volonté de créer une ville plus inclusive, à impact positif où chacun trouve sa place. En cette journée de la solidarité internationale, et alors que 4 millions de personnes sont mal-logées ou privées de domicile en France, nous renouvelons notre partenariat pour apporter des réponses concrètes aux plus fragilisés. C’est un partenariat dont je suis particulièrement fier qui associe de nombreux collaborateurs du Groupe et qui illustre, à travers le logement, notre vision de la ville, celle d’une ville pour tous », affirme Alain Taravella, Président-Fondateur d’Altarea.« La journée internationale de la solidarité humaine est le jour retenu pour mentionner le renouvellement du mécénat qu’offre Altarea à Habitat et Humanisme. 15 ans, déjà qui témoigne de relations qui ont construit autour de la solidarité. L’accompagnement d’Altarea, notre premier mécène, n’est pas que financier, même s’il est important, il est aussi humain. Notre association est sensible à l’aide apportée par des professionnels qui ont une exigence de qualité en veillant à concevoir des lieux qui font naître des liens, d’où l’intergénérationnel qu’Altarea nous a aidés à développer. Alain Taravella, Président du Groupe, met l’accent sur la santé qui ne se réduit pas seulement à une exigence des soins, mais à une approche environnementale au sein de laquelle l’habitat doit trouver pleinement sa place. Bâtir doit se révéler un acte de réconciliation, un humanisme, celui-là même qui conduit à ce renouvellement d’un partenariat historique, non seulement pour continuer, mais pour faire du neuf. La solidarité est un appel à imaginer un autrement et à le construire », répond Bernard Devert, Président-Fondateur d’Habitat et Humanisme.
Il y a 2 ans et 139 jours

Les lauréats des Grands prix SIMI 2022

Le palmarès 2022 a distingué 7 lauréats saluant des réalisations d’exception qui, chacune à sa manière, contribuent à « Faire de demain le plus bel endroit à vivre ».Grand prix SIMI 2022 immeuble de bureaux neuf – de 10.000 m2 :SIÈGE SOCIAL BLABLACAR PARIS (75011), présenté par 6EME SENS IMMOBILIERLe bureau, nouveau lieu de vie et d’échanges.Situé au cœur de 11e arrondissement de Paris, cet immeuble de 5000 m2 possède des qualités architecturales rares dans la capitale. Il réunit sur 8 niveaux des espaces de vie haut de gamme, une luminosité forte des bureaux, un auditorium de 175 places, un espace fitness, 8 cafétérias-tisaneries, de nombreux espaces extérieurs dont un rooftop végétalisé de 492 m2 doté d’un potager offrant une vue à 360° sur les toits de Paris...Ce véritable “Village» BlaBlaCar sert de point d’ancrage aux 500 employés de la société basés en France. Réalisé par 6e Sens Immobilier en collaboration avec le Studio Vincent Eschalier, ce nouveau bâtiment a été pensé d’abord comme un lieu de rencontres, où se mêlent espaces de travail partagés et espaces de vie. « Nous avons anticipé le changement d’usage du bureau, devenant un lieu de vie et d’échange, acteur de la cohésion sociale”, raconte Muriel Havas, Directrice de l’Environnement de Travail de BlaBlaCar.Bâtiment éco-responsable au cœur de Paris, s’inscrivant dans la démarche environnementale de BlaBlaCar, ce lieu aspire à être un modèle d’immeubles de bureaux aux usages responsables. Sa construction a respecté les critères énergétiques et environnementaux les plus exigeants et a obtenu les labels de performance environnementale BREEAM International “Very Good” et Wiresdscore Silver. Par ailleurs, “BlaBlaCar a imprimé dans la conception de son siège une intention de responsabilité, d’efficience, de bien- être et de bon sens”, souligne Damien Bertuli, DG associé de 6e Sens Immobilier.Pour conforter la politique de télétravail souple et ouverte à tous mise en œuvre par BlaBlacar, le « BlaBlaNomad », ce bâtiment a été conçu comme un lieu de rencontres entre les équipes « à même de renforcer la renforcer le lien humain, si fondamental à leur cohésion et à leur performance. » analyse Nicolas Brusson, cofondateur et CEO de BlaBlaCar. Pari réussi !Grand prix SIMI 2022 immeuble de bureaux neuf + de 10.000 m2 :SO POP SAINT-OUEN (93), présenté par COVIVIOUn projet en perpétuelle évolution.Avec ses 32.000 m² de bureaux et ses 4.000 m² d’espaces extérieurs, So Pop se construit, s’améliore, grandit au rythme de ceux qui y vivent, en intégrant l’ensemble des dimensions spatiales, sociales et culturelles.Dans le quartier de la Porte de Saint-Ouen et de la Porte Pouchet, cet immeuble tout en courbes et en larges volumes, dessiné par LBBA architecture, devient l’un des signaux d’un quartier en plein renouveau où tout s’invente et se réinvente - les Docks, l’espace 1789, le MOB Hôtel, le Conseil Général d’Île-de-France, les mobilités avec l’arrivée de la ligne 14, etc.Avec So Pop les technologies servent de ressources essentielles. En effet, la data produite in situ grâce à plus de 1.000 capteurs intelligents permet de monitorer l’immeuble. Ses services et ses surfaces privatives évoluent en fonction des données, des besoins et des habitudes. C’est dans un échange interactif avec les occupants que la métamorphose s’organise.Tel un musée, les larges surfaces murales blanches et noires du hall et de la galerie accueillent différentes expositions inspirantes et surprenantes. Le système d’assises Tribu, spécialement pensé et dessiné pour So Pop, se module pour former des ensembles cohérents et fonctionnels.Côté restauration, la palette est large grâce aux différentes offres : restaurant, cafeteria, click & collect... Côté ambiance, le restaurant principal, qui se transforme en espace de travail en dehors du déjeuner, s’inspire des marchés parisiens et audonniens et séduit par sa convivialité. Côté saveurs, des chefs et restaurateurs locaux invitent à la découverte de recettes traditionnelles mais aussi d’encas les plus exotiques.So Pop est le premier immeuble Covivio livré postCOVID. Il est une opportunité pour Covivio de marquer la transition entre l’avant et l’après : proposer un bâtiment prenant en compte les aspirations de changement de notre société avec un environnement professionnel (vraiment) évolutif et ajustable.Grand prix SIMI 2022 immeuble rénové ou réaménagement particulièrement innovantMETAL 57 BOULOGNE – BILLANCOURT (92), présenté par BNP PARIBAS REAL ESTATEUn immeuble de bureaux ouvert au public.« Metal 57 », c’est d’abord l’histoire du sauvetage, de la réinvention et de la métamorphose d’un bâtiment industriel en immeuble tertiaire.Livrée en 1984, la construction d’origine, « 57 Metal », avait été conçue pour être un atelier des usines Renault. Elle servit à du travail de modelage et de fonderie avant de se métamorphoser, au début des années 2000, en espace d’accueil de grands événements de communication de Renault suite au transfert du site de Boulogne-Billancourt à Saint Quentin. Puis désaffecté et menacé de se dégrader, l’édifice fut acquis en 2010 par un investisseur immobilier anglais décidé à faire table rase du passé pour construire une tour à la place...Pour sauver ce bâtiment emblématique conçu par l’architecte Claude Vasconi, Grand Prix National d’architecture, BNP Paribas Real Estate et l’architecte Dominique Perrault imaginèrent, en accord avec les ayant-droits de Claude Vasconi, un projet immobilier tourné vers le futur tout en préservant son histoire.Le choix fut fait de :Réhabiliter 50% du bâtiment d’origine (dont les sheds et la façade forteresse)Y intégrer un immeuble neuf en R+8 et rooftopFaire des 37.000 m2 du nouvel ensemble un site tertiaire : Fier de son passé comme le rappelle l’architecture, la structure, les volumes intérieurs et plusieurs caractéristiques de la décoration de l’immeuble réhabilitéRSE (3 certifications, 5 labels, agriculture urbaine, mobilités douces...)Multi-locataires (6 entreprises pour une utilisation à 100%)Equipé de grands plateaux de bureaux équipés en flex-offices avec 80% d’espaces collaboratifsDoté de nombreux services rassemblés autour d’une grande rue intérieureOuvert sur la ville et aux riverains (ERP 1ère catégorie)Cette porosité extérieure est une des grandes originalités de « Metal 57 » qui est une opération pilote d’ouverture d’un immeuble de bureaux au public. Ce qui va dans le sens d’une ville plus économe de ses ressources qui mutualise ses espaces et ses équipements. Habitants de Boulogne-Billancourt comme salariés des entreprises utilisatrices ou riveraines peuvent emprunter la rue intérieure qui dessert l’immeuble et autour de laquelle s’organisent de nombreux services.« Metal 57 » se veut ainsi un immeuble de destination pour se rencontrer, sociabiliser, trouver de nombreux services et bien sûr travailler.Grand prix SIMI 2022 immobilier logistiqueV.PARK COMPANS COMPANS (77), présenté par VIRTUO INDUSTRIAL PROPERTYRéalisation d’une messagerie bas-carbone de 15.273m² pour Colis Privé.Ce centre de tri et de distribution de colis d’une surface de 15.273 m² (dont 960 m² de bureaux) s’étend sur un terrain de 49.105 m² appartenant à Aéroports de Paris (ADP). Il a été conçu par le cabinet d’architecture Aeco tandis que la maîtrise d’œuvre confiée à CLC Ingénierie.La messagerie double-face dispose d’une halle de tri de 14.200 m², de 88 portes à quai et a été développée avec le soutien de l’aménageur ADP. Réalisé pour le compte de Colis Privé, spécialiste des livraisons de colis B2C à domicile et en point relais, il illustre désormais la démarche zéro émission nette de Virtuo, sur le périmètre de la construction de l’immeuble. Lancé en septembre 2021, ce projet pilote a ainsi concentré toutes les innovations et les réflexions du V.Lab de Virtuo, un laboratoire créé tout spécialement pour répondre à l’objectif de neutralité carbone des bâtiments développés par l’entreprise.Le projet du V. PARK COMPANS est né :D’un besoin : celui de Colis Privé (le client) de disposer d’une plateforme moderne et durable pour assurer sa croissance ;D’une attente forte : celle d’ADP en sa qualité d’aménageur éco-responsable qui souhaitait attribuer les terrains à un promoteur engagé dans une vraie démarche environnementale ;D’une exigence : celle de la Mairie de Compans d’accueillir sur son territoire un immeuble exemplaire, qui puisse servir de référence à de futurs promoteurs,D’une conviction : celle d’Argan (en sa qualité d’investisseur engagé) ;D’une volonté : celle de Virtuo (en sa qualité de porteur de projet) de s’inscrire dans une démarche innovante.C’est ainsi qu’un consensus a été trouvé, toutes les parties prenantes unies, autour d’un même projet et objectif, à la recherche de l’excellence... Virtuo a accompagné son client, son investisseur, ses partenaires, en étant à la hauteur de leurs attentes.Preuve en est, le V.PARK COMPANS n’est pas un bâtiment comme les autres. En effet, l’enjeu n’était pas de construire l’immeuble le plus imposant, ni le plus haut mais de pousser le curseur sur le volet de l’éco-responsabilité et celui de la recherche d’économie d’énergie, qui sont les vrais enjeux de demain. Virtuo a, par ses actions, réduit l’impact carbone du projet de 30% et initié une action complémentaire pour restaurer l’impact environnemental de son bâtiment. Il vise aujourd’hui à obtenir le Label BiodiverCity et la certification Breeam Excellent.Grand prix SIMI 2022 immobilier mixteL’ODYSSEE LES ULIS (91), présenté par SIVUn immeuble techtiaire, acteur du renouvellement économique du territoire.Conscient des enjeux sociétaux et notamment de la demande croissante des filières scientifiques sur le territoire de Paris-Saclay, SIV (Société foncière d’investissement du groupe Mercator) acquiert, fin 2020, l’Odyssée, un immeuble de bureaux de plus de 3.300m2 sur 3 niveaux aux Ulis, pour accueillir des laboratoires et start-ups scientifiques.Son challenge : Répondre aux besoins très spécifiques de la filière scientifique, tout en garantissant une sobriété énergétique Redéfinir les espaces : laboratoire, bureau, technique, privatif ou partagé, afin de créer un environnement collaboratif, innovant et dynamique Rénover l’immeuble en moins de six mois pour les premières livraisonsSon idéologie : Préservation des ressources et de l’environnement Performance technologique et innovation Développement de l’écosystème scientifique Collaboration étroite avec l’agglomération Paris-SaclayDans le cadre d’une démarche environnementale, SIV a pris le parti de rénover plutôt que détruire pour reconstruire. Son programme s’est articulé autour des principes de l’immobilier bas-carbone, à savoir un maximum de réemploi dans les matériaux, le choix de mobiliers recyclés ou encore le don d’équipements non utilisés.L’Odyssée accueille aujourd’hui 4 laboratoires sur plus de 80% de l’immeuble et joue un rôle d’acteur du renouvellement économique du territoire salé par l’agglomération de Paris Saclay. Il sera bientôt rejoint par un second programme sur la même parcelle : l’Iliade, développé par SIV en 2023.Grand prix SIMI 2022 immobilier mixteMORLAND MIXITE CAPITALE PARIS ( 75004), présenté par EMERIGELe prototype de la ville de demain.En plein cœur de Paris, la réhabilitation de l’ancienne cité administrative de la préfecture de la Seine incarne le prototype de la ville de demain : mixte, vertueuse, désirable. C’est là le site le plus ambitieux de l’Appel à projets urbains innovants « Réinventer Paris » lancé en novembre 2014 par la Ville de Paris auprès des promoteurs, investisseurs, concepteurs du monde entier et remporté par Emerige.Conçue par une équipe de grands talents français et internationaux composée de David Chipperfield Architects Berlin, CALQ, Michel Desvigne et Studio Other Spaces, Ólafur Elíasson et Sebastian Behmann, l’œuvre architecturale issue du patrimoine historique est aujourd’hui un modèle durable de la ville du futur rassemblant, en un maillage complexe et innovant, onze programmes différents : des bureaux, un marché alimentaire, une crèche associative, une piscine, un spa et un fitness, un hôtel 5 étoiles de 162 chambres, une auberge de jeunesse de 404 lits, des commerces, des restaurants, un bar, des logements sociaux et privés, de l’agriculture urbaine, une galerie d’art. Plus de 43.000 m² dédiés à une mixité fonctionnelle et sociale ou la promesse d’espaces de vie ouverts à tous, Parisiens et visiteurs de Paris.La dimension environnementale y est pionnière, enrichie par la présence d’agriculture urbaine et de forêts miniatures. Morland Mixité Capitale est emblématique de cette vaste reconfiguration des villes appelant chaque citoyen à participer à l’expérimentation de nouvelles manières de vivre ensemble.Grand prix SIMI 2022 coup de cœur du juryLE 1 SAINT THOMAS PARIS 75007, présenté par SOGELYM DIXENCELe nouveau site du campus parisien de Sciences Po.Situé en cœur d’îlot dans l’un des quartiers les plus renommés de Paris, Saint Germain des Prés, ce projet vise à regrouper dans l’ancien Hôtel de l’Artillerie plusieurs unités d’enseignement et de recherche de Sciences Po jusqu’alors disséminés.La préoccupation principale de l’équipe architecturale – Wilmotte & associés, Moreau Kusunoki et Pierre Bortolussi, architecte en chef des Monuments Historiques – a consisté à désenclaver la parcelle, à connecter les 3 cours existantes par un axe de circulation majeur et à relier ce nouveau bâtiment au 13 rue de l’Université, autre propriété de l’école. Ceci afin de proposer aux étudiants un grand site unique et unifié de 20.000 m2 aux articulations fluides tout en préservant la majesté des bâtiments à haute valeur patrimoniale. Pour ce faire, une large poutre horizontale de 4.300 m2 a été construite, véritable socle contemporain sur lequel repose le bâti ancien, fédérateur et garant de l’unité du lieu.Le lieu comprend trois beaux jardins paysagés par l’agence Mugo, un amphithéâtre de plein air pour favoriser les rencontres et accueillir les événements.La réalisation de ce campus a mis en avant le savoir-faire ancestral de nombreux métiers d’art (pas moins de 70 entreprises sont intervenues) notamment dans le domaine de la pierre, de la charpente et de l’architecture. Mêlant patrimoine, nature et innovation au cœur de la ville historique, cette réalisation exceptionnelle du nouveau campus de Sciences Po pose les jalons d’une nouvelle typologie de campus urbain pour le XXe siècle.Un jury d’experts présidé par :BERNARD MICHEL président du conseil d’administration de VIPARIS, le jury est composé de directeurs immobiliers de grandes entreprises françaises :GILLES ALLARD Président d’honneur de l’Association des Directeurs ImmobiliersJÉROME ARNAUD Directeur Immobilier groupe ALSTOMSABINE BRUNEL Directeur de l’Immobilier AXA FranceSOLANGE DARBES – PICCA Directrice de l’immobilier et des services généraux BANQUE DE FRANCEVALÉRIE FOURTHIES Directrice de l’Immobilier VEOLIA ENVIRONNEMENTFRÉDÉRIC GOUPIL DE BOUILLE Directeur exécutif SNCF IMMOBILIER Président de l’Association des Directeurs ImmobiliersADRIEN RAFFIN Real Estate Manager DOCTOLIBDIANE DE SARNEZ Directeur Immobilier – NAVAL GROUPMARIE-ALBA TERNISIEN Head of Corporate Real Estate STELLANTISEDDIE TURCON Directeur Immobilier Groupe VEEPEE
Il y a 2 ans et 139 jours

Économie circulaire, énergie, rénovation, logement... changements et entrées en vigueur au 1er janvier 2023

Mieux consommer, mieux produirePour les particuliers : Fin de la vaisselle jetable dans les fast-food pour les repas consommés sur place : La vaisselle jetable est interdite dès le 1er janvier 2023 dans les établissements de restauration rapide, pour tout ce qui est consommé sur place : les repas seront désormais servis dans de la vaisselle lavable et réutilisable. Cela concerne les enseignes servant plus de 20 couverts simultanément. Mise en place de la reprise en magasin des produits usagés pour les jouets, les articles de sport et de loisirs, ainsi que les articles de bricolage et de jardinage : Les consommateurs pourront désormais déposer leurs produits usagés ou cassés directement en magasin, dans des bornes de collecte spécifiques mises à disposition. Ils pourront ainsi être réparés pour avoir une deuxième vie ou seront sinon recyclés. Collecte de tous les déchets d’emballages plastiques dans le bac jaune : Tous les Français de Métropole pourront désormais trier les emballages plastique dans le bac jaune afin qu’ils soient recyclés. Pour les professionnels : Disponibilité des pièces détachées pendant au moins 5 ans pour allonger la durée de réparation des produits : Les pièces détachées des équipements électro-ménagers, des petits équipements informatiques et télécommunications, des écrans et des moniteurs, des outils de bricolage et de jardinage motorisés (perceuses, tondeuses à gazon…), des articles de sport et de loisirs, y compris les bicyclettes, les bicyclettes à assistance électrique et les engins de déplacement personnel motorisés, devront être disponibles pendant au moins 5 ans. Cette mesure permettra d’allonger la durée de réparation de ces produits. Les moquettes ou tapis utilisés dans le cadre d’événements (type salons) intègrent la filière REP des éléments d’ameublement : Cela leur permettra à présent d’être collectés, réutilisés et recyclés. Rappelons qu’en France, l'équivalent d'une route de moquette Lille-Marseille est jetée chaque année. Obligation pour les sites industriels manipulant des granulés de plastiques de se doter de filtres pour lutter contre la pollution du plastique : La loi anti-gaspillage prévoit l'obligation pour les sites manipulant des granulés de plastiques industriels de se doter d’équipements et de procédures pour prévenir les fuites de granulés plastiques dans l’environnement, et de faire l’objet d’inspections régulières par des organismes certifiés indépendants. Cette disposition entre en vigueur le 1er janvier 2023 pour les sites dont l’exploitation a démarré avant 2021. Démarrage de la nouvelle filière REP des déchets du bâtiment : A compter du 1er janvier 2023, les déchèteries qui collectent les déchets du bâtiment et les entreprises de la construction pourront demander à l’un des éco-organismes agréé pour cette nouvelle filière de prendre en charge gratuitement les déchets du bâtiment. Le maillage de points de collecte gratuits des déchets du bâtiment sera étendu tout au long de l’année 2023. Les déchets pourront ainsi être réutilisés ou recyclés. Mieux se loger Pour les particuliers : Revalorisation des aides personnelles au logement (APL) Au 1er janvier 2023, les aides personnelles au logement (APL) seront rehaussées. Il s’agit d’une revalorisation du paramètre de ressources R0 (niveau de ressources en dessous duquel l'aide est maximale), conformément à l'article D. 823-17 du Code de la construction et de l'habitation (revalorisation à l'IPCHT - Indice des prix à la consommation hors tabac, dont le niveau est supérieur aux 4% appliqués en juillet par décret n° 2022-1096 du 29 juillet 2022). En outre, pour répondre à la demande des collectivités ultramarines, le plafonnement à 6 personnes à charge dans le barème du calcul des aides en Outre-mer sera supprimé. Augmentation des plafonds de loyer du dispositif de réduction fiscal “Loc'Avantages” Les plafonds de loyer du dispositif de réduction d'impôt "Loc'Avantages" seront augmentés en 2023 de la variation de l'indice de référence des loyers (IRL) calculée entre les valeurs des deuxièmes trimestres 2021 et 2022, soit une hausse significative de + 3,60%. Révision des plafonds encadrant le logement locatif social et l'accession sociale à la propriété Au 1er janvier 2023, les plafonds encadrant le logement locatif social et l'accession sociale à la propriété seront revalorisés pour tenir compte de l'inflation et de l'évolution des coûts de construction. Ces revalorisations, qui visent notamment à garantir un ciblage social adéquat de ces dispositifs de soutien au logement, concerneront :les plafonds de ressources pour l'éligibilité à un logement locatif social (PLAI, PLUS, PLS) sur l'ensemble du territoire ;les plafonds de ressources et de prix d'acquisition pour le PSLA et le BRS ;les plafonds de loyer pour la phase locative du PSLA. Révision des plafonds de ressources dit « ANAH » Les plafonds de ressources dit « ANAH » concernant les ménages modestes et très modestes seront révisés à hauteur de 6,3% pour 2023 par rapport à 2022 afin d'intégrer les impacts de l'inflation observée en 2022. Ces plafonds de ressources sont également pris en compte pour vérifier l'éligibilité aux aides de l'ANAH - Agence nationale de l'habitat (MaPrimeRénov' Sérénité, MaPrimeRénov' Copropriétés, Habitat indigne), le dispositif MaPrimeRénov', les CEE (Certificats d'économie d'énergie) précarité énergétiques, le dispositif de garantie de couverture de reste à charge pour les plus modestes (FGRE) comme l’Éco-prêt à taux zéro (éco-PTZ) et le prêt Avance rénovation (PAR). Démarrage du dispositif « MonAccompagnateurRenov » L'accompagnement obligatoire des ménages lors de rénovations énergétiques de l'habitat privé sera mis en œuvre à compter du 1er janvier 2023 et concernera dans un premier temps les rénovations pour lesquelles les aides MaPrimeRénov’ Sérénité (MPRS) seront mobilisées. Logement décent : évolution des critères La loi Climat & Résilience a demandé l'introduction d'un critère de performance énergétique minimal dans la définition du "logement décent". À compter du 1er janvier 2023, un logement sera qualifié de énergétiquement décent lorsque sa consommation d'énergie (chauffage, éclairage, eau chaude, ventilation, refroidissement...), estimée par le DPE et exprimée en énergie finale par mètre carré de surface habitable et par an, sera inférieure à 450 kWh/m2 en France métropolitaine. Les logements les plus énergivores, dont la consommation d'énergie dépasse cette valeur, ne pourront plus être proposés à la location.Mieux se déplacer Pour les particuliers : Plan national covoiturage du quotidien : Une prime de 100€ pour les primo-conducteurs À partir de janvier 2023, les conducteurs qui se lancent dans le covoiturage de courte distance recevront une prime de 100€, reversée par les plateformes de covoiturage, sous la forme d’un versement progressif : une première partie au 1er covoiturage (25€ minimum) et le reste au 10e covoiturage, dans un délai de 3 mois à compter de son premier covoiturage. Un soutien aux covoitureurs en complément des collectivités sur le principe 1 € de l’État pour 1 € de la collectivité Le Gouvernement soutiendra aussi le covoiturage dans la durée en finançant la moitié de l’incitation financière que proposent certaines collectivités aux conducteurs et passagers sur la base du principe 1 € de l’État pour 1 € de la collectivité. Cela incitera davantage de collectivités à lancer de tels dispositifs et celles qui le font déjà à les poursuivre.Prolongation et renforcement des aides à l’achat vélo Afin de favoriser l’équipement des ménages et notamment des plus précaires, les aides à l’achat de vélo (bonus et prime à la conversion) ont été renforcées du 15 août au 31 décembre 2022. Ces aides seront prolongés sur l’ensemble de l’année 2023. De plus, pour accompagner un nombre plus important de Français dans l’achat de vélos, les seuils d’éligibilité seront rehaussés, à partir du 1er janvier 2023, pour couvrir 50% des ménages les plus modestes (revenu fiscal de référence par part inférieur à 14.089 €, contre 13.489 € actuellement) et 20% pour les aides renforcées (revenu fiscal par part inférieur à 6.358 € contre 6.300 € actuellement). Le bonus écologique pour l’acquisition d’un véhicule neuf électrique À compter du 1er janvier 2023, le bonus écologique pour l'acquisition d'un véhicule neuf sera réservé aux voitures particulières électriques dont le coût d'acquisition est inférieur à 47.000 euros et la masse inférieur à 2,4 tonnes, et aux camionnettes électriques. Le montant d'aide pourra s'élever jusqu'à 5.000 euros pour l'acquisition d'une voiture et 6.000 euros pour une camionnette. Comme annoncé par le Président de la république lors du Mondial de l'automobile, ces montants d'aide seront augmentés de 2.000 euros pour les ménages dont le revenus de référence par part est inférieur à 14.089 euros (soit 50% des ménages), soit une aide maximale de 7.000 euros pour l'acquisition d'une voiture et 8.000 euros pour une camionnette. Concernant la prime à la conversion, elle sera réservée aux ménages dont le revenus de référence par part est inférieur à 22.983 euros (soit 80% des ménages). Son montant sera renforcé pour les ménages des deux premiers déciles de revenus (RFR/part inférieur à 6.358 €) et pour les ménages des cinq premiers déciles de revenus et gros rouleurs (RFR/part inférieur à 14.089 €) pour lesquels la prime pourra atteindre jusqu'à 6.000 euros pour l'acquisition d'une voiture et 10.000 euros pour l'acquisition d'une camionnette. De plus, le montant de la prime sera majoré de 1.000 euros dans les ZFE et jusqu'à 3.000 euros si une collectivité locale octroie une aide de même nature en ZFE. Pour les professionnels : Le forfait mobilités durables (FMD) Dans toute la fonction publique, le FMD passera au 1er janvier 2023 de 200€ à 300€.De plus, l'élargissement du FMD aux engins de déplacement personnel, motorisés et non motorisés, aux services de mobilité partagée, et la possibilité de cumul de ce forfait avec le remboursement partiel d’un abonnement de transport en commun sera possible de manière rétroactive au 1er septembre pour la fonction publique d'Etat et hospitalière, et applicables au 1er janvier pour la fonction publique territoriale. Entrée en vigueur du nouveau dispositif sur la captation aérienne de données Le 1er janvier 2023 entre en vigueur du décret n° 2022-1397 du 2 novembre 2022 portant application de l'article L. 6224-1 du code des transports relatif au régime encadrant la captation et le traitement des données recueillies depuis un aéronef dans certaines zones. Ces dispositions concrétisent la refonte, la modernisation et la simplification des dispositions actuelles relatives aux zones interdites de prise de vue aérienne. Les régimes d’autorisation pour les prises de vue en dehors du spectre visible et de déclaration préalable pour les prises de vue dans le champ du spectre visible sont supprimés. Subsiste un régime d’autorisation pour les prises de vue de zones identifiées comme particulièrement sensibles du point de vue de la défense ou de la sécurité nationale. Mieux protéger notre santé Qualité de l’air extérieur Plusieurs zones à faibles émissions sont renforcées au 1er janvier 2023 : Montpellier : renforcement des restrictions de circulation dans la ZFE-m : sont désormais concernés les Crit'air 5 et non classés pour les véhicules légers, Crit'air 4 et plus pour les véhicule utilitaire léger et les poids lourds ;Nice : entrée en vigueur des restrictions de circulation dans la ZFE-m pour les Crit'air 5 (véhicules légers et véhicules utilitaires légers), et Crit'air 4 et plus pour les poids lourds ;Reims : entrée en vigueur des restrictions de circulation dans la ZFE-m pour les Crit'air 4 et plus ;Strasbourg : poursuite des restrictions pour les véhicules Crit'air 5 et non classés. Le prix de la vignette Crit'Air passera de 3,70 à 3,72 € frais de port inclus pour un envoi en France. Qualité de l’air intérieur : un nouveau dispositif de surveillance Le dispositif de surveillance de l'air intérieur dans les établissements recevant du public (ERP) est révisé dans le cadre du quatrième Plan national santé environnement. Intégrant les acquis de la crise de la Covid-19, cette révision a permis de rendre la surveillance de la qualité de l’air intérieur (QAI) plus complète et adaptée tout en facilitant son appropriation par les acteurs concernés. Le dispositif révisé est désormais constitué des quatre volets suivants : une évaluation annuelle des moyens d’aération des bâtiments incluant notamment une mesure à lecture directe de la concentration en dioxyde de carbone de l'air intérieur ;un autodiagnostic de la QAI, réalisé au moins tous les quatre ans ;une campagne de mesures des polluants réglementaires réalisée à chaque étape clé de la vie du bâtiment pouvant impacter la QAI ;un plan d’actions régulièrement actualisé, proposant des actions correctives à mettre en œuvre afin d’améliorer la QAI en prenant en compte les résultats de la surveillance. Mise en place d’indicateurs de bruit dans les transports ferroviaires L'arrêté du 29 septembre 2022 pris en application de l’article 90 de la loi n°2019-1428 du 24 décembre 2019 d’orientation des mobilités fait suite à trois avis du Conseil National du Bruit rendus depuis l'adoption de la loi. Cet arrêté prévoit la mise en place d’indicateurs de gêne due à la soudaineté, la répétitivité et à l’intensité du bruit des infrastructures de transport ferroviaire. L’arrêté précise les modalités applicables d’évaluation des nuisances sonores des infrastructures de transports ferroviaires durant une période d’observation de 6 mois entre le 1er novembre 2022 et le 30 avril 2023 pour un panel représentatif d'infrastructures existantes, et pour deux années et demi à compter du 1er mai 2023 pour toute nouvelle infrastructure ferroviaire. Mieux prévenir les risques, mieux s’adapter Pour les particuliers : Décret n° 2022-1289 du 1er octobre 2022 relatif à l'information des acquéreurs et des locataires sur les risques L’information des acquéreurs et des locataires (IAL) fait partie des diagnostics immobiliers obligatoires que les propriétaires doivent adresser aux futurs acquéreurs ou locataires. Un état des risques doit figurer dans le dossier de diagnostic technique annexé à la promesse et à l’acte de vente ou au bail de location. A partir du 1er janvier 2023, ce dispositif d'information évolue : avant d'acheter ou de louer un bien, vous serez ainsi mieux informés des risques auxquels ce bien est exposé dès l'annonce immobilière, l’acheteur ou le locataire pourra se renseigner sur ces risques en allant sur le site georisques.gouv.fr ;l'état des risques sera remis dès la première visite du bien et non plus au moment de la finalisation de la transaction. Par ailleurs, l'état des risques intègre désormais le phénomène de recul du trait de côte : l’acheteur ou le locataire saura donc si le bien est soumis à ce phénomène lorsque la commune est concernée. Pour les professionnels de l'immobilier, leurs obligations évoluent : l'annonce immobilière, quel que soit son support devra comporter la mention suivante : “Les informations sur les risques auxquels ce bien est exposé sont disponibles sur le site Géorisques : www.georisques.gouv.fr” l'état des risques devra être remis dès la première visite et actualisé en tant que de besoin lors des phases suivantes de la transaction." Dans le domaine des sites et sols pollués (secteurs d’information sur les sols)Évolutions pour les vendeurs et bailleurs :obligation de transmettre un document d'information sur la pollution des sols dont le contenu est conforme au R. 125-26 du code de l'environnement (ce contenu n'était jusqu'alors pas défini),obligation d'annexer ce document dès la promesse de vente (ou au contrat préliminaire en cas de vente en l'état futur d'achèvement), et pas seulement à l'acte authentique, comme préalablement. Pour les professionnels Gestion des sites et sols pollués : publication du décret relatif à la définition des types d'usage dans la gestion des sites et sols pollués Évolutions pour les exploitants : Obligation de définir l'usage futur du site au moment où l'installation classée sera mise à l'arrêt définitif, pour les demandes d'autorisation déposées après le 1er janvier 2023 et les cessations notifiées après cette date (pour rappel l'usage est déterminé en concertation avec les maires ou les présidents d'EPCI compétent en matière d'urbanisme, et les propriétaires de terrain) Évolutions pour les porteurs de projets : Depuis la loi ALUR, un porteur de projet qui souhaite implanter une nouvelle activité avec un changement d'usage sur une ancienne installation classée pour l’environnement (ICPE), doit faire appel à un bureau d’étude qui certifiera ou non de la nécessité de dépolluer le site. Le facteur déclenchant cette obligation à savoir un changement d'usage, est précisé dans ce décret et s'appliquera dans ce contexte pour tous les permis de construire, permis d'aménager ou toutes les demandes préalables de travaux déposés à partir du 1er janvier 2023.Obligation pour les maîtres d'ouvrage de projets comportant un usage d'accueil de populations sensibles (jeunes enfants, femmes enceintes, personnes âgées, fragiles) de transmettre l'attestation prévue aux articles L. 556-1 et L. 556-2 du code de l'environnement (dite ATTES-ALUR) à l'Agence Régionale de Santé, et, si le site est un site ayant accueilli une installation industrielle, à l'inspection des installations classées. L'objectif est d'informer les services de l’État le plus amont possible de manière qu'ils soient en capacité de réagir en cas de projets susceptibles de présenter des risques pour la santé des populations destinées à fréquenter ces établissements. Suite à l’incendie de Lubrizol et de Normandie Logistique en septembre 2019 à Rouen, plusieurs mesures entreront en vigueur dès le 1er janvier pour améliorer la maîtrise des risques des sites industriels déjà en activité afin de garantir la sécurité des riverains vivant aux alentours de ces sites, ainsi que la préservation de l’environnement : Le stockage de liquide très inflammable dans des contenants susceptibles de libérer leur contenu, tels que des conteneurs plastiques, est désormais interdit au sein des installations de stockages de liquides inflammables à autorisation ainsi que dans les entrepôts de matières combustibles.Les installations de stockages de liquides inflammables à autorisation ainsi que les entrepôts de matières combustibles à autorisation et enregistrement doivent avoir réalisé au 1er janvier une « étude des flux thermiques en limite de site », qui doit permettre d’identifier les éventuels risques de propagation d’un incendie au voisinage immédiat (« effet domino »), puis définir et programmer, le cas échéant, les mesures correctives nécessaires pour remédier à cette situation. Entrée en vigueur pour les installations Seveso de la disposition visant l’identification des produits de décomposition dans les études de dangers et l’anticipation des premiers prélèvements environnementaux en cas d’accident. Les nouvelles études de dangers ou mises à jour réalisées après le 1er janvier devront ainsi contenir une partie spécifique relative à l’identification des produits de décomposition en cas d’incendie important. Il devient également obligatoire d’inclure dans les nouveaux plans d’opérations interne POI) ou lors des prochaines mises à jour, les dispositions relatives à l’organisation de ces premiers prélèvements environnementaux. L’ensemble des établissements Seveso Seuils bas devront avoir établi un plan d’opération interne au 1er janvier 2023. Prévention des pollutions industrielles L'arrêté ministériel du 24 août 2017 concernant les rejets de substances dangereuses dans l'eau en provenance des installations classées pour la protection de l'environnement (ICPE), appelé arrêté "RSDE", a imposé la surveillance par les industriels de nouvelles substances dangereuses susceptibles d'être présentes dans les rejets de leurs effluents. Pour ces substances dangereuses visées par une directive européenne de 2013, après cette phase initiale de surveillance, l'exploitant doit, à partir du 1er janvier 2023, respecter des valeurs limites de concentration dans ses rejets dans l'eau mais aussi rechercher la réduction maximale de ses émissions. On trouve notamment dans cette liste de 27 substances, les dioxines, le mercure et une substance perfluorée, l'acide perfluororooctanesulfonique plus connus sous le nom de PFOS.Mieux engager les territoires Augmentation de la dotation globale de fonctionnement de 320 M€ - une première depuis 13 ans La dotation globale de fonctionnement (DGF) prévue dans le projet de loi de finances pour 2023 est portée de 210 à 320 M€ :200 M€ sur la dotation de solidarité rurale,90 M€ sur la dotation de solidarité urbaine,30 M€ sur la dotation d’intercommunalité.Grâce à cet effort inédit depuis 13 ans, 95% des communes verront leur dotation se maintenir ou progresser, contre la moitié en 2022 et un tiers en 2023 si rien n’avait été fait.Soutien aux collectivités en situation de tension énergétiqueLes mécanismes de soutien budgétaire mis en œuvre pour aider les collectivités locales à lutter contre les effets de l'inflation entrent en vigueur : amortisseur électricité, filets de sécurité, tarif règlementé de vente ;L'année 2023 verra la mise en œuvre effective du filet de sécurité voté dans la dernière LFR Ce sont aussi les ressources qui vont augmenter en 2023 : pas de plafonnement de l'indexation des bases fiscales, ce qui donnera des recettes supplémentaires aux collectivités. Le quintuplement de l'enveloppe à destination des communes en grande difficulté, qui atteint 10M€ Mise en place du fonds vert Mise en place d’un fonds d’accélération inédit pour la transition écologique dans les territoires (fonds vert) doté de 2 Md€. Complémentaire aux dotations d’investissement de l’État, le fonds vert répond à un triple objectif :renforcer la performance environnementale ; adapter les territoires au changement climatique ; améliorer le cadre de vie. Suppression de la CVAE qui entraîne, en compensation, le versement d'une fraction de TVA dynamique dès 2023 La suppression de la cotisation sur la valeur ajoutée des entreprises (CVAE) est étalée sur 2 ans (2023 et 2024). Le mécanisme de compensation proposé dès 2023 repose sur la TVA avec 2020-2023 comme période de référence. Il permet une augmentation de la compensation de 19,5% par rapport à la CVAE touchée en 2022. Pour le bloc communal, sa dynamique sera répartie selon des critères économiques de taille (surface et effectifs) des entreprises. Pour les départements, la dynamique sera soclée, à la demande de l’Assemblée des départements de France (ADF). Renouvellement de l'Observatoire des territoires Créé en 2004, l'Observatoire des territoires est placé auprès du ministre chargé de l'aménagement du territoire. Il est chargé de rassembler, d'analyser et de diffuser les données relatives aux dynamiques et aux disparités territoriales ainsi qu'aux politiques menées dans le champ de l'aménagement et du développement des territoires. Le mandat précédent de son conseil d'orientation a pris fin au 31 décembre 2022. S'inscrivant de façon pertinente dans l'action de l'État en faveur de la cohésion des territoires, son renouvellement a été acté par décret. Actualisation du classement des communes en ZRCV Partant du constat d'une perte de dynamisme et d'attractivité des villes moyennes, la loi portant évolution du logement, de l'aménagement et du numérique (Elan) du 23 novembre 2018 a donné aux élus locaux les moyens de revitaliser les centres-villes par la création d'un contrat intégrateur – l'opération de revitalisation de territoire (ORT). Afin de compléter ce dispositif, la loi de finances pour 2020 a créé les zones de revitalisation des centres-villes (ZRCV), adossées aux ORT. Il s'agit d'un outil de soutien fiscal aux petites et moyennes entreprises (PME) exerçant une activité commerciale ou artisanale. Un arrêté actualise, pour l'année 2023, la liste des communes éligibles aux ZRCV (101 communes sont ajoutées et 3 sortent du classement) : 474 communes sont éligibles en 2023 à ce dispositif.Le mandat précédent de son conseil d'orientation a pris fin au 31 décembre 2022. S'inscrivant de façon pertinente dans l'action de l'État en faveur de la cohésion des territoires, son renouvellement a été acté par décret. Améliorer l’information du public en garantissant la disponibilité de l'ensemble des documents d'urbanisme sur un site internet unique A compter du 1er janvier 2023, le caractère exécutoire des documents d'urbanisme sera conditionné à leur publication électronique sur le Géoportail de l'urbanisme. Cette publication sur le Géoportail de l'urbanisme était déjà obligatoire depuis le 1er janvier 2020, sans toutefois que l'absence de publication n'ait de conséquence pour les actes des collectivités territoriales. L’ordonnance n° 2021-1310 du 7 octobre 2021 portant réforme des règles de publicité, d'entrée en vigueur et de conservation des actes pris par les collectivités territoriales et leurs groupements renforce cette obligation en conditionnant désormais le caractère exécutoire des documents d'urbanisme à leur publication sur le Géoportail de l'urbanisme et à leur transmission aux services de l’État chargés du contrôle de légalité.
Il y a 2 ans et 142 jours

Wienerberger fait une offre pour l’acquisition de Terreal

Terreal : Fournisseur européen de premier plan dans le domaine des produits de couverture dédiés à la rénovation et à la réparationLe périmètre de l'opération comprendrait les activités de Terreal en France, en Italie, en Espagne et aux États-Unis, ainsi que les activités allemandes et du Benelux de Creaton, acquises par Terreal en 2020, qui emploient près de 3 000 personnes. À l'issue de cette opération, Wienerberger agrandirait son empreinte opérationnelle de 29 sites. L'acquisition des activités de Terreal, qui devraient générer un chiffre d'affaires annuel d'environ 740 millions d'euros en 2022, constituerait un complément important aux activités de Wienerberger, en particulier dans le contexte de la nouvelle Réglementation Environnementale française (RE 2020) relative à l'efficacité thermique et à la sobriété des matériaux utilisés pour la construction, adoptée parallèlement aux réglementations européennes portant sur la réduction de consommation énergétique. Par ailleurs, Terreal exploite des installations de pointe, notamment en France, dont le centre de recherche et de développement de Castelnaudary, et en Allemagne.L'étape idéale dans la stratégie de croissance créatrice de valeur de WienerbergerPour Wienerberger, l'acquisition de Terreal viendrait en complément des activités existantes, offrirait des opportunités de croissance uniques, notamment sur les marchés français et allemand, et permettrait à l'entreprise de renforcer encore sa position de pionnier de l'innovation et de la décarbonisation dans le secteur.Pour Heimo Scheuch, Président Directeur Général du Groupe Wienerberger : « La rénovation du parc immobilier vieillissant en l'Europe est une étape essentielle pour atteindre la neutralité climatique. Pour Wienerberger, ce domaine d'activité recèle un énorme potentiel de croissance à exploiter dans les années à venir, notamment dans le segment des toitures, y compris les solutions solaires et de gestion de l'eau. L'acquisition de Terreal doublerait nos ventes de toiture. En les faisant passer à 75 millions m2, elle constituerait une étape importante dans la mise en œuvre de notre stratégie de croissance créatrice de valeur. Avec les activités de Terreal qui complètent parfaitement notre propre gamme de produits, nous renforcerions notre capacité à fournir des solutions de premier ordre, surtout sur les marchés stratégiquement importants que sont la France et l'Allemagne. Dans le même temps, notre position dans le secteur de la rénovation et de la réparation s'améliorerait considérablement. Grâce à l'importance commune que nous accordons à la durabilité, aux solutions innovantes et aux modèles commerciaux digitalisés, l'installation de nos solutions permettra de réduire les émissions de CO2 de 225.000 tonnes par an. En outre, nous dégagerons des synergies durables en combinant nos installations de production et nos technologies et en élargissant notre gamme de produits en ce qui concerne le toit en pente, y compris les accessoires et l'isolation. En créant le premier véritable expert européen en matière de toits en pente qui intègre des solutions pour l'énergie solaire, l'eau et d'autres solutions pour le toit, Wienerberger construit une plate-forme solide pour la poursuite de sa croissance. »Pour Laurent Musy, Président Directeur Général du groupe Terreal : « Ces dernières années, Terreal a mis en œuvre avec succès une stratégie de croissance durable, grâce au engagement de nos équipes, au soutien de nos clients, de nos communautés et de nos actionnaires que je tiens à remercier tout particulièrement. L'acquisition et l'intégration réussies de Creaton en Allemagne et en Europe de l'Est ont été un point fort très positif. A l'heure où des défis sans précédent liés aux prix élevés de l'énergie et des besoins toujours plus urgents de décarbonisation de notre industrie et du bâtiment nous assaillent, unir nos forces avec Wienerberger nous permettrait d'accélérer notre feuille de route actuelle grâce au partage des meilleures pratiques, aux investissements, à l'innovation et à la digitalisation. Wienerberger est une entreprise européenne très réputée qui possède une grande expertise dans le secteur des tuiles et des briques en terre cuite dans le monde entier. Elle bénéficierait clairement de la complémentarité de notre empreinte industrielle et de l'ajout des marques, des actifs et des capacités de Terreal/Creaton, notamment en France et en Allemagne, dans le domaine des toits en pente et du solaire. Wienerberger a un projet industriel et commercial ambitieux qui assurera la croissance durable de nos activités. Nos collègues autrichiens, polonais et hongrois, qui connaissent un grand succès, resteraient sous le contrôle de nos actionnaires actuels. Nous continuerons à les soutenir dans la phase de transition. »En achetant Terreal, Wienerberger franchirait sa plus grande étape à ce jour dans le cadre de sa stratégie de croissance créatrice de valeur, qui repose sur des critères ESG ambitieux et se concentre sur le développement de produits et de solutions durables. À cette fin, l'entreprise s'est complètement repositionnée stratégiquement au cours des dix dernières années et est devenue un fournisseur complet de solutions efficaces de rénovation, de construction neuve et de la gestion de l'eau. La combinaison de produits innovants, de savoir-faire industriel et de modèles de distribution basés sur un partenariat dans toute l'Europe renforce le réseau commercial de Wienerberger et, dans le même temps, accélère l'avancée dans les objectifs environnementaux ambitieux de l'entreprise.
Il y a 2 ans et 144 jours

Blanchon Group annonce l'acquisition de Bigler Lacke und Leime, une entreprise familiale suisse

Blanchon Group annonce l'acquisition de Bigler Lacke und Leime, une entreprise familiale suisse, spécialisée dans le développement et la fabrication de produits d'entretien du bois dédiés à la clientèle professionnelle suisse. Cette acquisition s'inscrit dans la stratégie du Groupe Blanchon d'accélérer sa croissance internationale et de devenir un leader européen de la protection, de l'entretien, de la rénovation et de la décoration des surfaces en bois intérieures et extérieures.Avec une qualité de produit très forte et une marque très reconnue, BIGLER est devenu le leader du marché dans le segment des parquets en Suisse et la marque de référence pour les professionnels. En outre, BIGLER est fier de vendre les produits de la marque KIESEL - colles et primaires - aux professionnels du parquet en Suisse, société avec laquelle un partenariat stratégique et de long terme a été établi depuis plus de vingt ans. BIGLER opère depuis Lyss, en Suisse, et ce site s'ajoutera aux filiales européennes de Blanchon, afin d'accélérer la croissance des activités internationales du groupe. Les anciens propriétaires et dirigeants de BIGLER resteront pleinement impliqués dans l'entreprise et assumeront la responsabilité globale de la Suisse.Guillaume Clément, Président du groupe Blanchon a déclaré: “Nous sommes très heureux d'accueillir la talentueuse équipe de BIGLER au sein du Groupe Blanchon. Cette acquisition est un excellent complément aux récentes acquisitions de DEBAL Coatings en Belgique et de RIGO aux Pays-Bas. Elle positionne le Groupe Blanchon avec une valeur et une offre de produits uniques en Europe. BIGLER a des racines familiales comme Blanchon et un profond esprit d'entreprise forgé par trois générations depuis 1934. La qualité des produits et la réputation de la marque BIGLER sont inégalées en Suisse et ses produits sont très complémentaires du portefeuille de produits de Blanchon". Adrian Bigler, Co-propriétaire de BIGLER et représentant la troisième génération de l’entreprise rajoute: " Nous sommes très heureux de rejoindre le Groupe Blanchon car nous partageons la même ambition et les mêmes valeurs. Nous sommes désormais en mesure d'étendre nos services et notre offre dans toute la Suisse".Martin Bigler, Président de BIGLER indique: “La transaction assurera l'avenir de la marque et des produits BIGLER en profitant de l’incroyable capacité en R&D du Groupe Blanchon. J'ai repris la société BIGLER de mon père qui l'a créée en 1934 et je suis très heureux de devenir un membre de la famille Blanchon. C'est un chapitre très prometteur qui s’ouvre pour nos clients et pour notre famille".
Il y a 2 ans et 145 jours

RSE : Une démarche au cœur de la stratégie du groupe fischer

Pour fischer la RSE est bien au cœur des investissements. Groupe international avec 50 filiales dans plus de 30 pays fischer partage et porte des valeurs communes qui sont l’innovation la responsabilité le sérieux. Véritable philosophie du groupe elles sont le pilier de sa démarche RSE. Menée par une approche environnementale initiée depuis plus de 60 ans cette démarche est aujourd’hui globale et solidement ancrée dans le quotidien de l’entreprise. Elle s’articule autour de 7 principes fondamentaux.Une démarche RSE déclinée en 7 principes fondamentauxLe bien-être des collaborateursfischer a toujours accordé une grande importance au bien-être et à la motivation de ses collaborateurs. Pour contribuer à l’épanouissement des salariés et à des conditions de travail, fischer met à leur disposition des salles de pause et de sport, des mesures pour les protéger et limiter les risques d’accidents au travail, des formations…L’avis des parties prenantesEn étroite collaboration avec ses partenaires - clients, revendeurs, distributeurs, fournisseurs, représentants de groupements, associations ou encore organisations – fischer est attentif aux suggestions et aux besoins de ces parties prenantes. Leurs recommandations permettent à l’entreprise de s’améliorer continuellement et de faire évoluer ses activités.Des ressources préservéesLe groupe fischer ne cesse de perfectionner la gestion de ses ressources. 85% de ses produits sont fabriqués au sein de l’Union Européenne, dont 48% proviennent des usines allemandes. Soucieux de limiter l’impact de ses produits sur l’environnement, fischer valorise près de 100% des déchets issus de la production de chevilles en plastique. En 2021, 99,99% des 2 791 tonnes de déchets produits ont été recyclés.Gestion de l’énergie et des émissionsPour évaluer et améliorer ses performances environnementales, et minimiser les risques, fischer est conforme aux normes ISO 14001 pour le Système de management environnemental, ISO 50001 pour le Système de management de l’énergie et ISO 9001 pour le Système de management de la qualité. Afin d’augmenter l’efficience énergétique d’au moins 1,5% par an, ses installations de production sont continuellement modernisées. L’entreprise souhaite également augmenter le pourcentage d’énergie produite en interne via l’installation de ses propres centrales de production, des panneaux photovoltaïques... Par ailleurs, fischer veille a ce que les émissions de CO2 soient maitrisées et augmentent moins fortement que le volume de production Des produits responsablesDu choix des matières premières à la fin de vie des produits en passant par la fabrication, le conditionnement et le merchandising, fischer porte une attention particulière sur le cycle de vie de ses solutions de fixation pour les rendre plus responsables. Les matières premières et les moyens de production mis en place doivent répondre aux exigences de recyclage et de gestion des déchets.Pour la conception de ses produits, le groupe recherche des solutions qui peuvent valoriser des matériaux durables. La gamme Greenline en est le parfait exemple. Elle est la première gamme de fixation au monde fabriquée à partir de matières premières renouvelables. fischer cherche également à limiter l’impact de ses produits sur l’environnement et sur l’Homme en développant des formulations sans substances nocives comme la résine d’injection FIS V Zero.fischer s’est engagé à modifier les emballages de ses produits afin qu’ils soient respectueux de l’environnement et recyclables au maximum. Le carton utilisé pour les boîtes et les blisters est recyclé jusqu’à 98% et recyclable.La formation Prospère et en pleine croissance, le groupe fischer comptait plus de 5 400 collaborateurs fin 2021. Il soutient activement le développement professionnel et personnel de ses collaborateurs, et ce de nombreuses façons. Des programmes de formation interne préparent les managers de demain, et soutiennent les collaborateurs qui souhaitent acquérir ou parfaire des compétences techniques. Des formations continues sont proposées aux apprentis et aux étudiants qui recherchent une expérience professionnelle.Des innovations constantesAvec plus de 14 000 références, l’offre fischer couvre l’ensemble des besoins des professionnels comme des particuliers : solutions de fixation métalliques, chimiques, nylon, sanitaires, isolants, visserie et accessoires, forets, coupe-feu, techniques de supportage, inserts pour A|C|T, systèmes de rails insert, chimie du bâtiment ou encore outils électriques.Avec plus 1 500 brevets déposés, l’entreprise a su imposer de nouvelles références et devenir un acteur incontournable dans le domaine des systèmes de fixation. Les produits fischer sont utilisés dans la vie courante des bricoleurs comme sur les chantiers des artisans et des professionnels du bâtiment.Parmi les dernières innovations :La FIS V Plus : 1ère résine universelle agréé 100 ans dans le béton.La FIS V Zero : 1ère résine exempte de substances nocives (peroxyde de benzoyle) plus respectueuse de l’Homme et l’environnement. La gamme DuoLine : avec les chevilles multi-matériaux DuoPower, à bascule DuoTec, autoforeuse DuoBlade, étanche DuoSeal et rallongée DuoXpand.Le système de rails insert : une nouvelle génération qui intègre le processus BIM (Building Information Modeling).La recherche de performanceL’obtention de prix est un important indicateur de performance pour le groupe fischer. Parmi les dernières récompenses, fischer a reçu le « Prix allemand de la durabilité 2020 », le « Trophée de l’Innovation LSA » en 2021 pour la FIS V Zero, et le « Plus X Award » 2022, le plus grand prix d’innovation au monde dans le domaine de la technologie, du sport et du style de vie.
Il y a 2 ans et 149 jours

Aide pour le chauffage au bois : le décret est publié et les demandes pourront être faites dès le 27 décembre

L’aide concernera 70% des ménages se chauffant principalement au bois. Ainsi, 2,6 millions de ménages y seront éligibles, pour un budget total de 230 millions d’euros. Le montant sera compris entre 50 et 200 euros, selon le revenu des ménages et le type de combustible utilisé.Le chèque bois sera accessible sur demande auprès de l’Agence de Services et de Paiements (ASP), sur présentation d’une facture nominative prouvant un achat de bois d’un montant minimal de 50 € (ou une attestation pour les ménages en chauffage collectif).A partir du 27 décembre 2022, et jusqu’au 30 avril 2023, les ménages pourront en faire la demande sur : https://chequeboisfioul.asp-public.fr. Les chèques seront envoyés à partir de mi-février 2023.Cette aide est complémentaire du chèque énergie exceptionnel de 100 à 200€ pour 12 millions de ménages et du chèque énergie annuel dont bénéficient 20% des Français.Le chèque bois 2022 s’utilise exactement comme le chèque énergie. Il pourra être utilisé auprès d’un vendeur de bois, mais également auprès d’autres fournisseurs pour toute facture d’énergie (électricité, gaz naturel, fioul…).En plus de cette aide, le Gouvernement continue de déployer des appels à projets pour accélérer le développement de production française de pellets, afin de répondre à la demande grandissante dans le contexte de transition énergétique par une filière nationale de qualité et à la durabilité exemplaire.Un couple avec un enfant qui gagne moins de 4000€/mois en 2020 et qui se chauffe principalement au bois pourra toucher 100€.
Il y a 2 ans et 150 jours

Punaises de lit : mieux vaut éviter les insecticides autant que possible

"Pour se débarrasser des punaises de lit, et avant de recourir aux insecticides (...), il est recommandé de privilégier d'abord des moyens non chimiques", a rappelé dans un communiqué l'Agence nationale de sécurité sanitaire (Anses).Les punaises de lit sont des insectes dont les piqûres provoquent notamment des démangeaisons, qui se développent dans les matelas et les draps, ainsi que les meubles et les recoins.Alors qu'elles avaient pratiquement été éradiquées en France au milieu du XXe siècle, le phénomène connaît une recrudescence. Selon une étude du ministère de la Santé en 2020, les punaises de lit sont à l'origine de 70.000 consultations annuelles chez le médecin généraliste.Face à ce problème, les personnes se sentent souvent démunies et tentent parfois de lutter directement contre les punaises de lit en utilisant des insecticides.Mais cette méthode est risquée, car de tels produits peuvent être "inadaptés", "inefficaces voire dangereux", prévient l'Anses.Entre 2007 et 2021, elle rapporte que 1.056 cas d'intoxications ont été recensés à la suite de l'emploi d'insecticides contre les punaises de lit, dont un s'est soldé par le décès d'un enfant.Les autorités recommandent donc plutôt de passer l'aspirateur de très près sur toutes les surfaces du logement - et de nettoyer ensuite l'appareil tout en jetant immédiatement le sac à l'extérieur.Autre conseil: passer à la machine à laver vêtements et linge de maison, à plus de 55°C, même si cette température risque d'abîmer certains habits. Si les personnes n'ont pas de machine, elles peuvent mettre leurs vêtements trois jours au congélateur.L'Anses recommande aussi de nettoyer les recoins du logement avec un appareil à vapeur, à plus de 120°C, rappelant qu'on peut en trouver en location. Cette opération détruit normalement les punaises de lit, quel que soit leur stade de développement."En cas d'échec, il est recommandé de contacter un spécialiste de la lutte antiparasitaire plutôt que d'appliquer soi-même les produits insecticides", insiste l'agence.
Il y a 2 ans et 150 jours

Les plus petites entreprises du BTP à la pointe dans le partage des ressources

FOCUS. Une étude réalisée par l'institut Kantar pour le compte de l'assureur MMA démontre que les TPE de la construction basées dans des régions rurales sont les entreprises qui recourent le plus, tous secteurs confondus, aux pratiques collaboratives, comme par exemple les prêts de véhicules, de matériels ou encore de bureaux. La marge de développement est toutefois très importante.
Il y a 2 ans et 150 jours

CRH Ventures soutient les start-up de la construction

CRH Ventures cherche des partenariats avec les start-up de la construction. [©CRH] Le groupe irlandais CRH vient d’annoncer la création de CRH Ventures. Cette unité de capital-risque a vocation à soutenir le développement de technologies et de solutions innovantes. Ceci, afin de répondre aux besoins de plus en plus complexes des clients du secteur de la construction et aux tendances évolutives qui s’y rattachent. Ayant accès à un fonds de 236 M€ à investir, CRH Ventures s’associera à des entreprises de construction et de technologie climatique qui interviennent sur l’ensemble de la chaîne de valeur du BTP. Elle se concentrera sur les technologies de pointe, en se focalisant sur différents profils d’entreprises. Tout d’abord, celles qui développent la prochaine génération de produits de construction, durables et engagés sur la voie de la décarbonation. Ensuite, celles qui se concentrent sur l’automatisation et les méthodes de construction hors site pour édifier des constructions avec davantage d’efficacité et de sécurité. Puis, celles qui cherchent à tirer parti des technologies numériques pour construire plus intelligemment. Et enfin, celles qui veulent accroître l’efficacité et l’optimisation du marché pour offrir une meilleure valeur aux clients. CRH Ventures cherche des opportunités d’investissement « Le lancement de CRH Ventures démontre notre engagement continu à investir dans les nouvelles technologies qui façonneront l’environnement bâti de demain, déclare Albert Manifold, directeur général de CRH. CRH Ventures servira de partenaire précieux pour les start-up et les entrepreneurs qui bénéficieront des capacités techniques. Mais aussi des connaissances et de l’expertise d’un leader mondial de l’industrie des matériaux de construction. Ils pourront ainsi mieux piloter et mettre à l’échelle de nouvelles technologies et innovations qui permettront une construction plus sûre, plus intelligente et plus durable. » Lire aussi : Impulse Partners : « Innover constitue un droit à continuer à construire » Dès à présent, CRH Ventures recherche activement des opportunités d’investissement. Elle a d’ailleurs déjà établi des partenariats avec des start-up de la construction et des technologies climatiques, dans les domaines de la numérisation et de la décarbonation. A bon entendeur… Suivez-nous sur tous nos réseaux sociaux !
Il y a 2 ans et 150 jours

Reconvertir les bureaux et bâtiments d’activités en logements : un potentiel encore sous-exploité

Un contexte favorable Les objectifs ZAN et ZEN, l'obsolescence d'une partie des bâtiments, le télétravail, la nécessaire densification de la ville, son rééquilibrage entre emploi et logement, la recherche d'une plus grande mixité, autant d'éléments qui constituent un contexte particulièrement favorable à l'essor des transformations de bâtiments non résidentiels en logements. Une envolée de la vacance des bureaux après la crise sanitaire Les surfaces de bureaux, à l'origine de 53% des logements produits en reconversion de 2013 à 2021 constituent un enjeu spécifique et incontournable pour le développement de ces reconversions.Les évolutions récentes, télétravail, diffusion du flex office, ont été l'occasion pour les entreprises d'optimiser leurs stratégies immobilières, augmentant la vacance des bureaux : de 2,6 millions de m2 fin 2019, juste avant la crise, à 4,4 millions de m2 à la mi-2022. Une généralisation qui demande à être accompagnée Ce contexte ne saurait masquer d'importants freins à la transformation de millions de m2. Ainsi pour une collectivité un bâtiment d'activités génère davantage de recettes fiscales tout en pesant moins sur les services publics locaux. Un investisseur devra engager des études techniques plus coûteuses, auxquelles s'ajoutent des risques d'imprévus plus importants, la présence possible d'amiante, les normes différentes, la perte de surfaces, etc. autant d'aspects qui augmentent le coût de revient d'une opération. Un accompagnement, financier et technique, pourrait rapidement doubler les opérations. C'est pourquoi L'Institut Paris Region a souhaité mieux appréhender ce gisement de transformation et cerner l'apport réel à attendre, dans un avenir proche, de ce mode de production. Retrouvez ici la note rapide de l'Institut Paris Région.Un changement de paradigme de la part des acteurs de la production immobilière, l'intégration d'un potentiel de réversibilité des bâtiments dès leur conception, l'intégration de cette problématique aux documents de planification urbaine, autant de prérequis à une généralisation souhaitée. 1.900 logements autorisés par an en reconversion de bâtiments d’activités sur la période 2013- 2021, dont 53% issus de surfaces de bureaux800 opérations recensées depuis 2013 pour un total de 873.000 m² reconvertis 2/3 des reconversions à Paris et en petite couronne dont 32% dans Paris intra-muros28% des reconversions franciliennes sont le fait de bailleurs sociaux (46% dans Paris intra-muros)4,4 M de m² de surfaces de bureaux vacantes en Île-de-France à la mi-2022 dont 1,1 million de m² d'immeubles en vacance durable (+ de 2 ans)
Il y a 2 ans et 150 jours

Grue connectée : Spie batignolles et la start-up CAD.42 signent un contrat de partenariat de 3 ans

D'une durée de 3 ans, ce partenariat porte sur le co-développement de nouveaux services aux chantiers, basés sur une technologie d'Intelligence Artificielle (IA) alimentée par les données captées sur les grues des projets Spie batignolles.Pour Alexis Hermet : « Ce partenariat répond à notre quête continue de solutions d'optimisation de nos engins et de nos process pour gagner en productivité, en logistique et en planification. »Pour Jean-Philippe Panaget : « Ce partenariat est à la fois l'occasion d'enrichir massivement la banque de données exploitée par nos algorithmes d'intelligence artificielle, mais aussi de co-construire les services de demain pour les chantiers, et les méthodes/études de prix. »Un partenariat formalisé après deux années de collaboration fructueuseDans sa recherche de solutions d'optimisation du fonctionnement de ses grues, Spie batignolles a sollicité, début 2021, le savoir-faire de la start-up CAD.42, experte en matière de capteurs sur grue et engins mobiles.Dans le cadre d'un POC (Proof of Concept), un premier chantier de la branche construction de Spie batignolles a été équipé d'un boîtier connecté au cloud, conçu par CAD.42, afin de monitorer l'utilisation de la grue.Celui-ci intégrait 3 technologies :Capteur de géolocalisation pour mesurer en temps réel tous les déplacements d'une grue au cours d'une journée.Capteur dynamométrique, une technologie de mesure du poids soulevéTechnologie d'identification visuelle des charges de la grue (banche, benne à béton, poutre préfabriquée…).Le croisement de ces 3 capteurs a permis de recueillir de précieuses données sur l'exploitation de la grue et d'identifier des développements à initier, notamment le lien avec le BIM 4D (planification) ou l'élaboration de tableaux de bords.De nouvelles méthodes constructives pour gagner en productivitéDans le cadre du partenariat, une équipe projet a été mise en place, réunissant à la fois des collaborateurs de Spie batignolles et de CAD.42.Le protocole prévoit l'acquisition par Spie batignolles de boîtiers intelligents supplémentaires dans un objectif de massification des données alimentant la technologie d'IA. Ils sont notamment équipés de cellules photographiques alimentant une photothèque exhaustive, l'un des objectifs principaux étant, à terme, la reconnaissance de tous les matériaux et matériels soulevés par la grue. Ces boîtiers seront déployés sur plusieurs chantiers de construction menés par le Groupe sur l'ensemble du territoire français.L'équipe projet sera alors chargée d'analyser les données réceptionnées par chacune des grues équipées, d'exploiter les rapports journaliers de la grue, et de faire progresser conjointement cette solution. Ce travail permettra de parfaire le fonctionnement et codévelopper de nouvelles fonctionnalités.Le partenariat « gagnant-gagnant » vise à la fois un bénéfice pour Spie batignolles, à travers l'amélioration de sa productivité, et à la fois un accompagnement de la startup CAD.42 pour entraîner et améliorer sa solution.Pour Alexis Hermet : « C'est la grue qui donne le rythme d'un chantier de construction. Or nous ne nous servons pas actuellement des données instantanées de la grue pour mesurer la performance et la productivité d'un chantier. Notre collaboration avec CAD.42 vise à mieux comprendre l'exploitation de nos grues grâce à des données croisées particulièrement précises. Cela nous permettra d'en optimiser l'utilisation, comme réduire les temps de déplacements à vide, ou encore réaliser des chrono-analyses automatisées. Les tableaux de bord de productivité seront des outils précieux d'aide à la décision pour nos conducteurs de travaux et d'amélioration continue afin de définir et fiabiliser nos standards et nos bibliothèques de temps unitaires. »Au-delà de la construction, des tests avec les boîtiers connectés sont déjà en cours sur des usages complémentaires tel que la gestion des interférences de grues chez Spie batignolles fondations et Spie batignolles génie civil.
Il y a 2 ans et 150 jours

RSE : Une démarche au cœur de la stratégie du groupe fischer 

« La durabilité associe des aspects tels que la protection de l’environnement, la technologie et l’innovation ainsi que la réussite économique et la responsabilité sociale. Chez fischer, nous considérons cette interaction comme un défi pour vivre, travailler et prospérer en accord avec la nature. »Professeur Klaus Fischer – Propriétaire du groupe d’entreprises fischer  ©fischer Respect de l’environnement, bien-être des collaborateurs ou encore pérennité financière sont des défis quotidiens pour les entreprises. La RSE guide les investissements tant elle pousse à inscrire le développement économique dans une démarche environnementale et sociale. Pour fischer, la RSE est bien au cœur des investissements. Groupe international avec 50 filiales dans plus de 30 pays, fischer partage et porte des valeurs communes qui sont l’innovation, la responsabilité, le sérieux. Véritable philosophie du groupe, elles sont le pilier de sa démarche RSE. Menée par une approche environnementale, initiée depuis plus de 60 ans, cette démarche est aujourd’hui globale et solidement ancrée dans le quotidien de l’entreprise. Elle s’articule autour de 7 principes fondamentaux.  Le développement durable chez fischer, une histoire qui dure « Pour une entreprise, le développement durable est une action responsable qui vise la réussite économique à long terme en accord avec l’environnement et la société. » Devise fischer  Une démarche RSE déclinée en 7 principes fondamentaux – Le bien-être des collaborateursfischer a toujours accordé une grande importance au bien-être et à la motivation de ses collaborateurs. Inspirer les personnes, apporter une qualité de vie au travail, et donner les valeurs et les outils pour atteindre au mieux les objectifs fixés : ce sont les facteurs clés de la réussite de l’entreprise familiale. Pour contribuer à l’épanouissement des salariés et à l’amélioration des conditions de travail, fischer met à leur disposition des salles de pause et de sport, des mesures pour les protéger et limiter les risques d’accidents au travail, des formations…– L’avis des parties prenantesEn étroite collaboration avec ses partenaires – clients, revendeurs, distributeurs, fournisseurs, représentants de groupements, associations ou encore organisations – fischer est attentif aux suggestions et aux besoins de ces parties prenantes. Leurs recommandations permettent à l’entreprise de s’améliorer continuellement et de faire évoluer ses activités.– Des ressources préservéesLe groupe fischer ne cesse de perfectionner la gestion de ses ressources. 85% de ses produits sont fabriqués au sein de l’Union Européenne, dont 48% proviennent des usines allemandes. Soucieux de limiter l’impact de ses produits sur l’environnement, fischer valorise près de 100% des déchets issus de la production de chevilles en plastique. En 2021, 99,99% des 2 791 tonnes de déchets produits ont été recyclés. Autre mesure, sur le site de production en Allemagne, l’eau de source est utilisée pour le refroidissement indirect des installations de production et l’arrosage des espaces verts.  ©Fischer – Gestion de l’énergie et des émissionsL’efficacité énergétique et la réduction des émissions (CO2, sonores, polluantes) sont au cœur de la stratégie de développement durable de fischer.Pour évaluer et améliorer ses performances environnementales, et minimiser les risques, fischer est conforme aux normes ISO 14001 pour le Système de management environnemental, ISO 50001 pour le Système de management de l’énergie et ISO 9001 pour le Système de management de la qualité. Afin d’augmenter l’efficience énergétique d’au moins 1,5% par an, ses installations de production sont continuellement modernisées. Les éclairages conventionnels sont substitués par la technologie LED, les systèmes de ventilation, de pompage et de production sont remplacés par des systèmes plus performants… L’entreprise souhaite également augmenter le pourcentage d’énergie produite en interne via l’installation de ses propres centrales de production, des panneaux photovoltaïques… Depuis 2018, tous les sites allemands sont alimentés en électricité verte, qui provient entièrement de centrales utilisant des sources d’énergie renouvelables.Par ailleurs, fischer veille a ce que les émissions de CO2 soient maitrisées et augmentent moins fortement que le volume de production.Enfin, les émissions sonores des usines de production ainsi que les émissions de substances polluantes, via les ventilations, sont rigoureusement analysées afin de ne pas nuire à l’environnement et aux zones résidentielles avoisinantes. – Des produits responsablesSelon les idées du concept japonais Kaizen (amélioration continue), le groupe fischer a développé une philosophie visant à améliorer les procédures de l’entreprise et à éviter le gaspillage. La conception de chaque produit fischer suit ainsi ce processus afin d’apporter aux utilisateurs la meilleure solution d’ancrage en termes de qualité et d’usage. Du choix des matières premières à la fin de vie des produits en passant par la fabrication, le conditionnement et le merchandising, fischer porte une attention particulière sur le cycle de vie de ses solutions de fixation pour les rendre plus responsables. Les matières premières et les moyens de production mis en place doivent répondre aux exigences de recyclage et de gestion des déchets.Pour la conception de ses produits, le groupe recherche des solutions qui peuvent valoriser des matériaux durables. La gamme Greenline en est le parfait exemple. Elle est la première gamme de fixation au monde fabriquée à partir de matières premières renouvelables. fischer cherche également à limiter l’impact de ses produits sur l’environnement et sur l’Homme en développant des formulations sans substances nocives comme la résine d’injection FIS V Zero.Outre la formulation des produits, fischer s’est engagé à modifier les emballages de ses produits afin qu’ils soient respectueux de l’environnement et recyclables au maximum. Le carton utilisé pour les boîtes et les blisters est recyclé jusqu’à 98% et recyclable. Pour l’implantation en magasin, fischer accorde une attention aux matériaux qu’il utilise. Les matières plastiques et le PVC sont délaissés progressivement pour des outils à base de carton ou de PVC recyclé, qui ne comportent pas d’encres solvantées.– La formation Prospère et en pleine croissance, le groupe fischer comptait plus de 5 400 collaborateurs fin 2021. Il soutient activement le développement professionnel et personnel de ses collaborateurs, et ce de nombreuses façons. Des programmes de formation interne préparent les managers de demain, et soutiennent les collaborateurs qui souhaitent acquérir ou parfaire des compétences techniques. Des formations continues sont proposées aux apprentis et aux étudiants qui recherchent une expérience professionnelle. ©Fischer – Des innovations constantesAvec plus de 14 000 références, l’offre fischer couvre l’ensemble des besoins des professionnels comme des particuliers : solutions de fixation métalliques, chimiques, nylon, sanitaires, isolants, visserie et accessoires, forets, coupe-feu, techniques de supportage, inserts pour A|C|T, systèmes de rails insert, chimie du bâtiment ou encore outils électriques.  Avec plus 1 500 brevets déposés, l’entreprise a su, grâce à son savoir-faire et à sa capacité d’innovation, imposer de nouvelles références et devenir un acteur incontournable dans le domaine des systèmes de fixation. Les produits fischer sont utilisés dans la vie courante des bricoleurs comme sur les chantiers des artisans et des professionnels du bâtiment, c’est pourquoi fischer œuvre en permanence à l’amélioration de la qualité de ses produits. Parmi les dernières innovations :– La FIS V Plus : 1ère résine universelle agréé 100 ans dans le béton. Avec un seul produit, les utilisateurs peuvent réaliser de nombreuses applications dans le béton fissuré, non fissuré et la maçonnerie, sismiques C1 ou C2 et des ancrages dans des forages inondés.– La FIS V Zero : 1ère résine exempte de substances nocives (peroxyde de benzoyle) plus respectueuse de l’Homme et l’environnement. Universelle, polyvalente et aussi performante qu’une résine traditionnelle, elle dispose de nombreuses ETE.– La gamme DuoLine : avec les chevilles multi-matériaux DuoPower, à bascule DuoTec, autoforeuse DuoBlade, étanche DuoSeal et rallongée DuoXpand, qui regroupent les meilleures caractéristiques techniques pour couvrir un large champ d’application. – Le système de rails insert : une nouvelle génération qui intègre le processus BIM (Building Information Modeling). Disposant d’une ETE-18/0862 (Evaluation Technique Européenne) dans le béton fissuré, ce système de fixation complet, composé de rails et de tiges d’ancrage prémontés en usine, offre une grande souplesse d’utilisation et un réel gain de temps de pose. La recherche de performanceL’obtention de prix est un important indicateur de performance pour le groupe fischer. Parmi les dernières récompenses, fischer a reçu le « Prix allemand de la durabilité 2020 », le « Trophée de l’Innovation LSA » en 2021 pour la FIS V Zero, et le « Plus X Award » 2022, le plus grand prix d’innovation au monde dans le domaine de la technologie, du sport et du style de vie.  https://www.fischer.fr/fr-fr
Il y a 2 ans et 150 jours

Bouches-du-Rhône : Lancement du village BTP&co à Marseille

La présidente de la Fédération BTP 13 Isabelle Lonchampt et Laure-Agnès Caradec, présidente du conseil d’administration d’Euroméditerranée, ont reçu le ministre du Travail, du Plein emploi et de l’Insertion Olivier Dussopt, lors de l’inauguration du Village BTP&co. [©VillageBTPandco] C’est l’aboutissement d’un projet ambitieux et unique en France mené par la Fédération du BTP 13. Le Village BTP&co a été inauguré le 25 novembre 2022. Il se situe au 99 rue de Lyon, à Marseille. C’est un espace dédié à l’emploi, avec pour objectif la création d’un lieu permettant de répondre à toutes les interrogations et demandes des personnes en recherche de travail. Le Village propose un accompagnement personnalisé aux demandeurs d’emploi. Le cheminement se divise en plusieurs phases, de l’accueil du candidat à son intégration dans un parcours de formation et de recrutement. Tout au long de sa visite, l’ensemble des métiers du BTP lui sont présentés. Il peut ainsi choisir celui qui lui correspond le mieux, grâce à des films en réalité virtuelle, une application mobile, des visites de chantier et des rencontres avec des professionnels. Des objectifs bien définis Mis en place dans le cadre du plan Macron “Marseille en grand”, le Village BTP&co a des objectifs bien définis. Tout d’abord, promouvoir les métiers du BTP auprès de tous les publics, ainsi que le développement économique du secteur. Le Village doit accompagner les personnes ayant un projet développé. Il doit favoriser le lien entre l’offre et la demande d’emploi dans le BTP et permettre le développement des compétences des publics les plus éloignés de l’emploi. La finalité de tous ces objectifs est de mettre en lien les candidats et les entreprises, via la FBTP 13. Les premiers résultats du Village permettront d’établir le pouvoir de cette initiative. Sur le papier, c’est un moyen important de développement du recrutement dans le BTP en région Paca. Suivez-nous sur tous nos réseaux sociaux !
Il y a 2 ans et 151 jours

Comment la pandémie a-t-elle redéfini l’usage et la conception du logement dans le monde entier ?

En s'appuyant sur les données provenant de 12 pays* en Europe, Amérique du Nord et au Moyen-Orient, PlanRadar fournit une analyse détaillée de l'influence de la pandémie sur la conception et l'usage du logement. Ainsi portée par le développement du travail à distance, la maison du futur se doit d'être davantage fonctionnelle, durable et connectée pour s'adapter aux nouveaux besoins de ses occupants. Le logement sera plus grand et modulableAujourd'hui en Europe, la République Tchèque est le pays en Europe où la surface minimum d'une pièce de vie est la plus grande : 16 m². L'Italie suit de près, avec une surface minimum de 14 m². La France semble se situer dans la moyenne (9 m²), loin des Etats-Unis (6,5 m²) et des Emirats Arabes Unis (3 m²).L'enquête de PlanRadar révèle surtout que dans la plupart des pays étudiés, la taille minimale des logements augmente, alors que les surfaces moyennes par habitant restent très disparates d'un pays à l'autre : 46 m² en Allemagne et 27,5 en Pologne par exemple. En Autriche, la taille des logements est passée de 86 m² dans les années 90 à 99,2 m² en 2015. En France, la taille minimum des logements pouvant bénéficier d'aides fiscales immobilières (Pinel) va doubler en 2023, pour passer à 28m² pour un T1. La tendance va donc vers une augmentation de la taille minimale des surfaces.Avec l'émergence du télétravail et du travail hybride, la frontière entre espace privé et espace de travail s'est progressivement amincie participant à l'émergence de nouveaux besoins et désirs de ses occupants. Ainsi, des millions de propriétaires et de locataires recherchent désormais des logements dotés d'un espace où ils peuvent travailler sans être interrompus par la vie de famille. Lorsque cela n'est pas possible, ils recherchent un mobilier flexible qui leur permet de transformer certaines pièces en bureau pendant la journée, avant de les réaménager en cuisine, salon ou chambre, la journée de travail terminée.L'étude de PlanRadar montre que les espaces multifonctionnels sont à présent une priorité dans 7 pays sur les 12 étudiés (États-Unis, Royaume-Uni, Allemagne, Autriche, Slovaquie, Italie et les Émirats Arabes Unis). Certains pays comme la France, les États-Unis, le Royaume-Uni, l'Allemagne et l'Autriche affirment même que les bureaux à domicile seront une tendance clé à l'avenir.De nouvelles aspirations vers des espaces partagés et durablesDe plus en plus préoccupés par la crise climatique, les citoyens se tournent vers le « vivre durable ». Cette aspiration partagée dans la majorité des pays, se décline sous différents prismes. L'Allemagne, la France et la République Tchèque misent sur les matériaux biosourcés tandis que le Royaume-Uni priorise les maisons passives. De leur côté, les États-Unis orientent leurs efforts vers la mobilité durable avec le développement de bornes de recharge pour les véhicules électriques. Tous sont soucieux de l'impact du mobilier sur l'environnement. 9 pays sur les 12 interrogés s'attendent à ce que leurs meubles soient fabriqués à partir de matériaux recyclés, durables ou d'origine naturelle. Ainsi, quatre pays (Allemagne, Autriche, France et Hongrie) montrent un intérêt pour les meubles d'origine locale, à la fois pour soutenir les efforts de durabilité et pour éviter les retards d'approvisionnement observés pendant la pandémie de COVID-19. L'Allemagne quant à elle est le seul pays à exprimer un intérêt pour les surfaces autonettoyantes et les matériaux antibactériens.Enfin, l'enquête révèle que durabilité rime avec partage des usages. Privés d'espaces extérieurs pendant la pandémie, les habitants ont de nouvelles attentes en termes d'espaces verts. Ainsi, les Américains, les Britanniques et les Italiens sont particulièrement désireux de disposer d'un espace extérieur directement accessible depuis leur maison. Il ne s'agit pas nécessairement d'un jardin privé ; beaucoup s'intéressent aux espaces extérieurs communs.La maison connectée : une priorité pour la France et les Etats-UnisGrâce aux progrès technologiques, la domotique se développe et les maisons connectées ou « intelligentes » deviennent réalité. Ces équipements connectés doivent rendre les logements plus confortables, plus faciles à gérer et plus sûrs, mais doivent aussi permettre de réaliser des économies. C'est ce que révèle l'étude PlanRadar qui montre que l'ouverture aux technologies intelligentes se généralise dans le monde entier. Parmi les technologies les plus populaires, on retrouve les systèmes d'éclairage intelligents, les thermostats connectés et les dispositifs de sécurité domestique connectée. La France et les États-Unis sont les plus en avance de phase et prévoient l'adoption de 14 des 24 technologies répertoriées dans cette étude tels que (le thermostat et éclairage intelligents ainsi que les dispositifs de sécurité connectés).Retrouvez l'étude complète de ce troisième volet sur ce lien.*Étude menée par PlanRadar en juin 2022 sur les tendances et priorités des architectes concernant la construction, l'habitat et les bureaux du futur dans 12 pays Etats-Unis, Royaume-Uni, Allemagne, Autriche, France, Espagne, République tchèque, Slovaquie, Hongrie, Italie, Emirats arabes unis et Pologne. Les sources proviennent principalement des données publiques d'experts, d'instituts indépendants et d'organismes professionnels et gouvernementaux. En France, il s'agit principalement du Conseil national des architectes, du Ministère de la Transition écologique et de l'UNSFA.
Il y a 2 ans et 151 jours

Nouvelle gamme éco-performante de foyers vitrés

L’attribution de la toute nouvelle mention spéciale « durabilité » décernée fin 2021 au Gyrofocus Vitré lors des Archiproducts Design Awards (ADA) est la reconnaissance de la démarche engagée par Focus depuis des années dans la transformation de ses foyers à bois, avec un triple objectif de performances énergétiques, d’écoresponsabilité et ce sans jamais toucher au design.Au-delà du design, les performances énergétiques !Focus présente une sélection de trois modèles certifiés Ecodesign. Ces trois modèles iconiques de la marque, désormais disponibles en version vitrée dans le respect des réglementations environnementales en vigueur, sont protégés par un Brevet. Le Gyrofocus et le Domofocus affichent également une notation 4 étoiles (4 stelle) dans la réglementation italienne parmi les plus exigeantes au monde.Absolument rien du design de l’Ergofocus et du Domofocus n’a été modifié. La forme pure et ergonomique de l’un et l’épanouissement des courbes du second, petit frère du Gyrofocus, ont été parfaitement préservés ainsi que leur pivotement à 360°. Comme sur le Gyrofocus, des parois vitrées, dépourvues de montants et coulissant latéralement, offrent une vue intacte sur le feu sans risque de projection d’étincelles.Au-delà du design, les défis technologiques !Focus est l’unique entreprise du secteur à contraindre la chambre de combustion de ses cheminées à leur design. Ce challenge déjà difficile s’est largement complexifié avec l’ambition de fermer ses foyers et de les doter de réelles performances énergétiques… les formes organiques de ces modèles iconiques n’étant initialement pas adaptées à ce double défi technologique !Il y a une dizaine d’années, Focus a engagé une véritable transformation de son processus industriel en créant un service R&D et en y investissant plus de 6 millions d’euros. Afin d’accélérer et fluidifier encore les processus de certification, Focus s’est également dotée d’un banc de test identique à celui utilisé par les laboratoires européens qui décernent l’agrément Ecodesign. C’est grâce à cette forte composante technologique, à une culture très spécifique à ses propres produits et à une production en série limitée que Focus relève ces défis.Performances énergétiques Gyrofocus et Domofocus :• Rendement : 81%• CO à 13% de O2 : 0,09% (1102 mg/Nm3)• NOx aà 13% de O2 : 151 mg/Nm3• OGC à 13% de O2 : 34 mg/Nm3• Émissions de poussières : 19 mg/Nm3• Puissance : 18 kWPerformances énergétiques Ergofocus :• Rendement : 80%• CO à 13% de O2 : 0,09 % (1187 mg/Nm3)• NOx aà 13% de O2 : 93 mg/Nm3• OGC à 13% de O2 : 33 mg/Nm3• Émissions de poussières : 16 mg/Nm3• Puissance : de 6 à 10 kWLe Gyrofocus vitré couronné lors des Archiproducts Design Awards [ADA] 2021Depuis l’automne 2021 déjà, l’emblématique Gyrofocus, première cheminée suspendue et pivotante au monde, existe dans une version vitrée qui ne trahit en rien son statut d’icône du design international.Preuve que les modèles Focus ne sont pas seulement beaux, mais aussi intelligents, la première reconnaissance officielle est arrivée fin novembre 2021 pour l’engagement dont l’entreprise a fait preuve dans la création de produits écoresponsables. Parmi les lauréats de la catégorie « Finitions », le Gyrofocus vitré s’est également vu décerner la toute nouvelle mention spéciale durabilité.Le jury, composé d’experts en environnement d’écoconception et de durabilité, issus du monde de l’architecture et du design, a récompensé les produits capables de se distinguer par l’utilisation de matériaux recyclables et biodégradables, les techniques de production à faibles émissions polluantes, leur engagement à garantir un impact environnemental minimal pendant tout le cycle de vie du produit.Il y avait plus de 100 nominés venant du monde entier pour la mention spéciale sur le développement durable. Le Gyrofocus Vitré s’est démarqué par sa capacité d’innovation, sa haute technologie et surtout par son design légendaire, désormais aussi éthique que durable.A ses côtés désormais dans la gamme des foyers à bois vitrés, son frère cadet, le Domofocus et l’intemporel Ergofocus.
Il y a 2 ans et 151 jours

Le CSTB crée la direction Économie et Ressources, confiée à Sylvain Laurenceau

La direction opérationnelle Économie et Ressources Le secteur de la construction doit répondre à de nouveaux enjeux : accélération des dynamiques pour limiter les impacts environnementaux et développer l’économie circulaire, sécurisation des approvisionnements, besoin de création de valeur locale...Le CSTB crée une entité dédiée à ces défis : la direction Économie et Ressources. Fondée sur une approche systémique, cette nouvelle direction concentre son activité sur deux fondamentaux qui sous-tendent les différentes mutations en cours du secteur de la construction : la disponibilité de ressources permettant d’alimenter l’activité, et l’existence de modèles économiques pérennes.Elle assoit son expertise sur l'analyse et l'accompagnement des solutions constructives liées à l'économie circulaire, l'analyse des modèles économiques, les dynamiques de parc et la prospective, ainsi que le développement de méthodes et outils pour accompagner les acteurs dans la prise en compte de ces nouvelles pratiques.S’appuyant sur une dominante Recherche et Expertise, la direction Économie et Ressources intègre une équipe de près de 30 chercheurs, ingénieurs et économistes. En synergie avec la plupart des autres directions du CSTB, ils travailleront sur les 3 échelles :Produits : intégration des matières recyclées, réemploi, traitement des déchets, accompagnement à l’innovation, caractérisation de l’écoconception, etc.Bâtiments : optimisation de l’analyse en coût global, analyse des externalités, anticipation des différents usages tout au long de la vie de l’ouvrage, conception des bâtiments en banques de matière, outils d’analyse de la circularité, etc.Territoires : analyse des flux de matières, analyse de la structuration des filières, dont les filières émergentes, dynamiques de parc, analyse prospective, accompagnement des politiques publiques, optimisation de l’équilibre entre tensions locales et globales et répartition de la valeur, etc.Ainsi organisée, la direction Economie et Ressources entend accompagner l’ensemble des acteurs, entreprises et maîtres d’ouvrages, industriels et institutionnels, mais aussi les pouvoirs publics, pour leur permettre de répondre au mieux aux enjeux de préservation des ressources et d’une économie circulaire, pérenne et vertueuse.Une nouvelle direction pilotée par Sylvain LaurenceauIngénieur économiste, Sylvain Laurenceau est diplômé de l’École Polytechnique et de la London School of Economics.Il débute sa carrière à Londres, en 2007, où il travaille sur le développement local, avant de rejoindre le CSTB en 2009. Au sein de la direction Économie et Sciences Humaines, il est en charge de l’analyse et de l’évaluation de différents dispositifs publics de soutien au secteur du bâtiment.En 2015, il intègre la direction Energie-Environnement. En 2018, il coordonne l’élaboration d’une feuille de route du CSTB autour de l’économie circulaire, puis constitue en 2020 une équipe dédiée, toujours au sein de la direction Energie-Environnement.Fort de ce parcours et de cette expertise, il est aujourd’hui nommé Directeur opérationnel Économie et Ressources :« La création de la direction Économie et Ressources s’inscrit dans un contexte de mutations profondes auxquelles toute la filière est confrontée. Les travaux que nous mènerons, tant en termes de recherche, que d’expertise technique et d’accompagnement de l’innovation, viseront à répondre aux nouveaux besoins ainsi induits. Menés dans une approche transversale, ils contribueront également à irriguer une large partie des activités du CSTB, au service du secteur de la construction. » Sylvain Laurenceau – Directeur opérationnel Économie et Ressources - CSTB
Il y a 2 ans et 151 jours

Saint-Gobain, élève assidu contre le changement climatique

Saint-Gobain a été reconnu pour son engagement dans la lutte contre le changement climatique par le Carbon Disclosure Project (CDP). [©Saint-Gobain] Cette année encore, Saint-Gobain a été reconnu pour son engagement dans la lutte contre le changement climatique par le Carbon Disclosure Project (CDP). Organisation non gouvernementale publiant des données sur le bilan environnemental des grands groupes. Saint-Gobain figure sur sa liste “Climate Change a List”, qui recense 283 entreprises modèles dans le combat écologique. « Cette reconnaissance atteste de la cohérence et du sérieux des actions du groupe en matière de développement durable, se réjouit Claire Pedini, directrice des ressources humaines et de la RSE chez Saint-Gobain. Elle est la preuve de sa mobilisation pour atteindre la neutralité carbone d’ici 2050. » Lire aussi : Partenariat Icade – Saint-Gobain pour développer des bâtiments durables Des objectifs ambitieux en plusieurs étapes Avant d’atteindre la neutralité carbone d’ici 2050, Saint-Gobain s’est fixé une feuille de route 2030. Celle-ci vise à réduire de 33 % les émissions de CO2 pour les scopes 1 et 2, et de 16 % pour le scope 3. Ces objectifs ont été validés par la Science Based Targets Initiative, qui a aussi approuvé l’engagement net zéro carbone 2050 du groupe. En 2022, Saint-Gobain s’est affirmé comme l’un des leaders mondiaux de la construction durable. Il a réalisé plusieurs premières, notamment la production zéro carbone de verre plat en France. Ses acquisitions des adjuvantiers Chryso et GCP Applied Technologies lui ont permis de renforcer sa position dans la chimie de la construction. Au cœur du combat avec sa raison d’être “Making the world a better home”, Saint-Gobain n’en a pas fini de lutter pour transformer le secteur de la construction. Suivez-nous sur tous nos réseaux sociaux !
Il y a 2 ans et 151 jours

Emmanuel Demesmay, nouveau Directeur Général de Veka France

Cette décision prendra effet le 1er janvier 2023 et fait suite au décès brutal de Jos Lenferink en août dernier. Elle marque également la fin de la zone SWENA (South Ouest Europe et North Africa) pour retrouver les deux entités indépendantes VEKA France (en charge des marchés français et d’Afrique du Nord) et VEKA Ibérica (en charge des marchés espagnol et portugais).« Le Groupe confie la direction générale de VEKA France à Emmanuel, qui peut compter sur le soutien des équipes de la maison mère pour mener à bien les projets à venir » indique Andréas Hartleif, CEO Groupe VEKA. « L’organisation française sera progressivement précisée pour dimensionner les équipes de façon optimale et répondre aux impératifs du marché avec justesse et réactivité. »Agé de 42 ans, Emmanuel Demesmay a rejoint VEKA en 2020 en tant que Directeur commercial France, puis Country Manager France, où il dirige les équipes marketing, prescription et commerciale depuis près de 3 ans.Auparavant, c’est au sein du groupe SFS qu’il a effectué les 20 premières années de sa carrière. D’abord technico-commercial sur différents secteurs en France, il accède au poste de responsable Grands Comptes puis de Product Manager. Il a alors pour mission de développer et lancer de nouveaux produits en collaboration avec les filiales étrangères du Groupe. C’est naturellement qu’il se verra confier ensuite la direction du département Menuiserie et Industrie avec le management de l’équipe technique et commerciale.« C’est avec fierté et sens des responsabilités que j’aborde ce nouveau challenge et je remercie la Direction du groupe VEKA pour sa confiance renouvelée » déclare Emmanuel Demesmay. « VEKA est une entreprise familiale, indépendante financièrement, qui a prouvé son haut niveau de performance et de résilience lors des crises que nous venons de traverser. J’ai à cœur de poursuivre le développement de VEKA France sur le marché national et en Afrique du Nord, en incarnant les valeurs du Groupe auxquelles je crois. »Et de poursuivre : « Concernant notre outil industriel en Haute-Savoie, je souhaite accroître encore notre niveau d’exigence, pour que VEKA France soit une filiale exemplaire dans le Groupe. Performante, réactive, moderne, digitale et rentable, dimensionnée pour accompagner notre croissance avec de nouveaux clients dans un environnement en constante évolution. Et cela débutera très prochainement par la mise en chantier de notre nouveau centre logistique, validé par le Groupe en novembre dernier. »Et de conclure : « Proposer des solutions innovantes et industrielles, conçues et produites en France, pour permettre à nos fabricants partenaires de se différencier sur leurs marchés respectifs. Poursuivre nos investissements industriels pour optimiser notre niveau de qualité et de services. Nous engager toujours davantage dans la décarbonation en nous appuyant sur VEKA Recyclage et notre expertise en coextrusion. Renforcer encore l’attractivité de la marque VEKA, non seulement auprès des professionnels mais aussi auprès du grand public et des collaborateurs… Ce sont autant d’objectifs sur lesquels nous allons travailler avec les équipes VEKA, que je sais déjà compétentes et engagées.»
Il y a 2 ans et 152 jours

Fusion Sika – MBCC : Le “oui, mais…” de la CMA britannique

Sika est en phase d’intégrer définitivement MBCC, suite au feu vert de la CMA, l’autorité britannique de la concurrence. [©ACPresse] Après plusieurs mois de réflexion, la Competition & Markets Authority (CMA) britannique vient de donner son feu à la fusion mondiale entre Sika et MBCC. Ceci, suite au recours du groupe suisse formulé il y a quelques mois. Petit retour en arrière… En novembre 2021, Sika a annoncé le rachat de MBCC dans le cadre d’un accord passé avec le fonds d’investissement Lone Star Funds, pour un montant record de 5,2 Md€. Toutefois, différentes autorités de la concurrence avaient émis des réserves sur cette fusion. Dont la CMA qui à la suite d’une première enquête avait identifié des problèmes de concurrence dans la fourniture d’adjuvants chimiques au Royaume-Uni. En effet, outre-Manche, MBCC et Sika s’avèrent être les deux plus grands et principaux fournisseurs d’adjuvants pour l’industrie du ciment et du béton. Ensemble, ils risquaient de représenter plus de la moitié de l’offre britannique. Inacceptable pour la CMA. Lire aussi : Sika acquiert MBCC Group (ex-BASF CC) pour un montant de 5,2 Md€ Retour au périmètre historique de Master Builders Technologies Afin de débloquer la situation, Sika a proposé de revendre, à un seul et unique acheteur, l’activité adjuvants de MBCC au Royaume-Uni. Mais aussi dans plusieurs autres pays. A savoir, le Canada et les Etats-Unis – cession annoncée dès la proposition de rachat -, et l’ensemble des pays de l’Union européenne élargie (c’est-à-dire Suisse y compris). De fait, l’activité française est pleinement concernée. A cela s’ajoutent l’Australie et la Nouvelle-Zélande. La cession intègre, en plus, les actifs centraux de recherche et développement. En résumé, cet ensemble correspond, ni plus, ni moins, au périmètre occupé par l’historique entité Master Builders Technologies (MBT) il y a environ 25 ans… L’étape suivante est donc de choisir l’acquéreur de toute cette activité adjuvants. Plusieurs acteurs sont aujourd’hui sur les rangs. La réponse définitive devrait arriver dans le courant du premier trimestre 2023. Sachant que la CMA devra encore approuver l’acheteur retenu. Suivez-nous sur tous nos réseaux sociaux !