Toute l’actualité du bâtiment regroupée sur un seul site

Résultats de recherche pour fonds

(3426 résultats)
Il y a 4 ans et 98 jours

Faisant fi de l'épidémie, le gouvernement veut accélérer la relance économique

"Mon objectif est d'accélérer le déploiement de ce plan de relance, et quelle que soit la situation sanitaire", a affirmé lundi le ministre de l'Economie Bruno Le Maire lors d'un point presse, estimant que la situation sanitaire ne devait pas être "un obstacle" à la relance."C'est maintenant que (...) se joue" la reprise, a-t-il insisté.Le défi est de taille, avec tout un pan de l'activité, notamment dans le tourisme, qui subit encore massivement la persistance de l'épidémie et pour qui le soutien d'urgence se poursuit.En parallèle, de nombreux secteurs se sont bien ressaisis, et se projettent déjà vers l'avenir, notamment dans l'industrie, bien moins pénalisée par le couvre-feu.La croissance de l'activité manufacturière a ainsi atteint en février son plus haut niveau depuis trois ans, selon l'enquête mensuelle du cabinet IHS Markit.Le gouvernement compte donc sur la dynamique du plan de relance de 100 milliards d'euros d'ici 2022 pour soutenir la croissance française, qu'il attend toujours à 6% cette année.Ce plan "donne des résultats très tangibles", s'est félicité Bruno Le Maire, citant un chômage des jeunes "contenu", le déploiement des véhicules électriques ou encore l'ouverture de nouvelles liaisons ferroviaires.Sur les 40 milliards d'euros que le gouvernement a l'ambition de dépenser d'ici la fin de l'année, 16 milliards ont été déployés, auquel il faut ajouter la baisse annuelle de 10 milliards d'euros d'impôts de production.Trois voletsLe plan comprend trois volets essentiels: le soutien à l'investissement industriel, à la transition écologique, et des aides à la formation et à l'emploi des jeunes.Plus de 30.000 entreprises, dont 70% de PME, en ont bénéficié à ce stade, et un million de ménages et de jeunes, a précisé le ministre.Pour accélérer sur le volet industriel, un milliard d'euros de crédits seront redéployés, a confirmé M. Le Maire, dans la logique - fixée à l'annonce du plan -de favoriser les projets qui seront les plus rapides à aboutir.La relocalisation des secteurs industriels critiques sera dotée de 250 millions d'euros supplémentaires, soit une enveloppe globale de 850 millions, tandis que le dispositif Territoires d'industrie bénéficiera de 150 millions d'euros en plus des 400 millions prévus.Enfin, la numérisation des petites et moyennes entreprises industrielles voit son enveloppe passer de 280 millions à 880 millions d'euros.Autre avancée: la France a enfin obtenu le feu vert de Bruxelles pour déployer les prêts participatifs, dédiés au renforcement des fonds propres des entreprises mis à mal pendant la crise. Il sera détaillé jeudi.En revanche, pas question de rajouter à ce stade des crédits supplémentaires, comme le réclament par exemple certains économistes ou le Medef. "Notre objectif, c'est de dépenser rapidement et efficacement les crédits" existants, a jugé Bruno le Maire. Pas de taxe sur l'épargneLe président du Medef Geoffroy Roux de Bézieux avait notamment plaidé début janvier pour la mise en place d'un "deuxième volet" au plan, dédié à la reprise des secteurs les plus en difficulté (hôtellerie, évènementiel, etc.).Il prône aussi des mesures ciblées, comme un chèque vert, pour inciter les ménages à consommer l'épargne qu'ils ont accumulée l'an dernier à la fois par crainte de l'avenir mais aussi du fait d'une consommation empêchée par les restrictions sanitaires.L'épargne des ménages constitue d'ailleurs l'autre "défi" du gouvernement pour réussir la relance, a reconnu Bruno Le Maire.L'an dernier, les ménages ont engrangé une épargne supplémentaire de 100 à 120 milliards d'euros, selon la Banque de France, et elle pourrait atteindre les 200 milliards d'ici la fin 2021.Bercy travaille à "des incitations" mais rejette toute "taxation" de cette épargne, a indiqué le ministre, alors que certains élus de gauche et des économistes proposent d'instaurer une taxe exceptionnelle sur les ménages les plus aisés ou sur les entreprises qui ont tiré partie de la crise, comme les géants de la distribution.
Il y a 4 ans et 101 jours

Podcast #5 – Francis Bouygues, l’épopée du “Roi du béton”

ACPresse – Francis Bouygues – Raconté par Muriel Carbonnet ACPresse · Podcast #5 – Francis Bouygues Francis Bouygues naît en 1922 à Paris. Son père est ingénieur de l’armement, puis, ingénieur conseil. Le jeune Francis suit ses traces et sort diplômé de l’Ecole centrale de Paris (1946). Après un passage rapide dans une entreprise de travaux d’entretien, puis chez Dumont et Besson, l’une des entreprises les plus prestigieuses de Paris, il fonde à 29 ans l’Entreprise Francis Bouygues avec des capitaux familiaux. Et, en 1953, la société décroche son premier gros contrat : la construction des bureaux d’IBM Europe à la Défense.  L’entrepreneur investit le marché immobilier privé et impose une méthode originale : acquérir un terrain, emprunter des fonds et faire financer les travaux par les acquéreurs, avant même la construction des fondations.  En 1959, pour soutenir le développement de son entreprise, Francis Bouygues s’associe à René Augereau qui lui apporte un important soutien financier. Des filiales régionales apparaissent. Pour valoriser et fidéliser la main d’œuvre, Francis crée l’ordre des Compagnons du Minorange. On est en 1963. L’innovation qui paie Le Parc des Princes a été livré au début des années 70. [©Bouygues Construction] Francis a toujours misé sur l’innovation. Un bureau d’études, un bureau des méthodes et une filiale spécialisée dans la préfabrication, entre autres, permettent à l’entreprise de se démarquer de la concurrence. En 1967, l’arrivé de Pierre Richard en tant que directeur scientifique permet à l’entreprise de combler son retard dans le domaine du béton précontraint.  Bouygues introduit de nouvelles méthodes de management, se dote d’une organisation hiérarchique, recourt aux nouvelles techniques de planification et adopte, dès 1972, l’informatique. Le développement de l’entreprise nécessite d’importants investissements. La décision d’une introduction en bourse est prise en juin 1970. Bouygues devient SA et augmente ses activités de génie civil avec, en particulier, la construction du Parc des Princes.  L’année 1972 marque le début de l’activité internationale. C’est aussi l’année de la création du logo Bouygues. En 1974, c’est Bouygues Off-Shore qui voit le jour. Malgré cette croissance fulgurante, Francis Bouygues garde une forte emprise sur le groupe. Atteint d’un cancer en 1976, il doit se retirer de l’entreprise pour quatorze mois. En 1978, Bouygues assure la construction du terminal II de l’aéroport Roissy Charles de Gaulle.  Construction du Pont de l’Ile de Ré. [©Bouygues Construction] TF1 et la Leçon de piano Dans les années 80, le développement du groupe est assuré par la croissance externe et la diversification. Francis se renforce dans l’immobilier et se positionne sur le marché de l’ingénierie conseil, via le rachat de l’Américain HDR. Il fait l’acquisition de plusieurs sociétés : Saur, ETDE, Screg, Colas et Sacer, Dragages, Smac Acieroïd. Bouygues devient n° 1 mondial de la construction.  A partir de 1985, le groupe se diversifie à travers une nouvelle filiale : Bouygues Loisirs. Le point d’orgue est évidemment la reprise de TF1 en 1987. En parallèle, Bouygues marque les esprits avec la construction du Pont de l’Ile de Ré, de la Grande Arche de la Défense ou du Tunnel sous la Manche.  Travaux de construction de la Grande Arche de la Défense. [©Bouygues Construction] En 1989, Francis se retire du groupe et passe la main à son fils Martin, tout en restant l’administrateur. Le groupe réalise alors 57 MdF (8,7 M€) de chiffre d’affaires et emploie presque 70 000 personnes. L’année suivante, l’homme s’engage dans la production de longs métrages, à travers Ciby 2000. Il produit Une époque formidable, Talons aiguilles, ou encore La leçon de piano qui a remporté la Palme d’Or du Festival de Cannes en 1993 et trois Oscars l’année suivante.  Francis Bouygues disparaît au cours de l’été 1993. [Source : Service communication de Bouygues Construction et “Francis Bouygues. L’ascension d’un entrepreneur”, de D. Barjot, Revue d’histoire, 1992.]
Il y a 4 ans et 102 jours

Première réunion du Conseil National de l’Hydrogène

La stratégie pour le développement d’un hydrogène décarboné place la France parmi les pays les plus en pointe sur cette technologieCette stratégie, qui a été annoncée par le gouvernement le 8 septembre 2020, prévoit 7 milliards d'euros de soutien public d'ici 2030, dont 2 milliards d'euros d'ici 2022, dans le cadre de France Relance et des Investissements d’Avenir.La supervision des travaux menés pour la mise en œuvre de cette stratégie est assurée par un coordonnateur, Hoang Bui, dont la nomination a été confirmée.Les co-présidents du CNH, Benoit Potier, président directeur général d’Air Liquide, et Patrick Koller, directeur général de Faurecia, ont présenté une analyse comparative des stratégies internationales sur l’hydrogène, se fondant notamment sur les travaux du Conseil mondial de l’hydrogène (Hydrogen Council).Il en ressort que la France est positionnée dans le peloton de tête des pays les plus avancés pour leur stratégie, aux côtés de l’Allemagne en Europe ou de la Chine, la Corée et le Japon en Asie. Les critères d’évaluation suivants ont été analysés : développement de la production de l’hydrogène renouvelable et bas carbone, définition d’objectifs clairs, dispositif de pilotage et de suivi de la stratégie, moyens financiers, adaptation des réglementations.Le lancement de la stratégie en septembre a engendré une forte dynamique industrielleLe Conseil national de l’hydrogène constate une forte dynamique industrielle qui est amenée à se poursuivre dans les prochains mois.Dans le cadre de France Relance, 27 projets de R&D et d’intégration de technologies hydrogène ont d’ores et déjà été soutenus, pour 212 M€ d’investissement total et 37 M€ de soutien public(2).A ces projets viennent s’ajouter 60 M€ de soutien à la filière aéronautique dans le cadre du CORAC (Comité d’orientation de la recherche pour l’aéronautique civile). Par ailleurs, début 2021, un soutien financier a été annoncé pour aider 4 régions (Occitanie, Bourgogne-Franche-Comté, Auvergne-Rhône-Alpes, Grand-Est) à acquérir 14 trains hydrogène représentant un investissement total de 300 M€.Dans le cadre de la première session de l’appel à projets « écosystèmes territoriaux » de l’ADEME, 7 projets, représentant un investissement de 136M€ et une demande d’aide de 45M€, ont été présélectionnés pour soutenir la production par électrolyse et la mobilité hydrogène. La deuxième session de cet appel à projets compte déjà plus de 47 nouvelles demandes ouvertes, pour une présélection en juin.De premiers éléments ont été présentés concernant les projets d’envergure qui pourraient bénéficier d’un accompagnement dans le cadre du PIIEC(3) en cours de construction au niveau européen, sous l’impulsion de la France et de l’Allemagne. Ces projets français représentent un montant total d’aide avoisinant les 8 Mds € et concernent la production d’électrolyseurs, la décarbonation de l’industrie lourde, la production des équipements pour la mobilité. Les projets retenus donneront lieu aux premiers versements d’aides dès la fin de l’année.Dans ce cadre France Hydrogène a dénombré 4 projets d’usines en France de fabrication d’électrolyseurs et a identifié des installations d’électrolyse projetées d’une puissance totale de 3,2 GW, soit d’ores et déjà près de 50% de l’objectif fixé par la stratégie nationale de disposer d’une capacité d’électrolyse sur notre territoire de 6,5 GW en 2030.Des projets innovants utilisant les technologies de l’hydrogène sont également en développement dans les systèmes électriques des zones non interconnectées en outre-mer, tel que le projet CEOG(4) de centrale photovoltaïque à puissance garantie avec stockage hydrogène. Les modalités de son soutien sont en cours d’étude.Les écosystèmes français affichent une bonne maîtrise des technologies clés et le CNH travaille à renforcer les compétences et la chaine de valeur françaiseLe Conseil national Hydrogène a établi une cartographie des technologies clés, en s’appuyant sur l’expertise de l’ensemble des comités stratégiques de filières concernés. Cette analyse montre que la France maîtrise ou disposera rapidement de toutes les technologies critiques nécessaires à sa souveraineté et permettant un passage rapide à l'échelle industrielle. Des thématiques prioritaires ont été identifiées pour faire l’objet de travaux complémentaires. Il s’agit par exemple des membranes, des compresseurs d’air pour piles à combustible et électrolyseurs, ou encore des procédés de décarbonation pour l’industrie sidérurgique et les cimenteries.Le Conseil national de l’Hydrogène a ainsi initié des travaux pour identifier des contributeurs, former des consortia et développer des technologies, équipements, applications et logiciels correspondant pour renforcer la chaine de valeur française.Afin de soutenir ces nouveaux projets de R&D, le Secrétariat général pour l'investissement a amélioré le dispositif d’aide « briques technologiques et démonstrateurs hydrogène » opéré par l’ADEME, en portant notamment la part de subvention dans les aides accordées à 60%, voire 75% sous certaines conditions.Les industriels du Conseil national de l’hydrogène s’engagent pour développer les formations au sein de la filièreLa dynamique de la filière hydrogène est porteuse de perspectives importantes d’emplois.France Hydrogène est ainsi en cours de finalisation d’un référentiel des compétences-métiers qui sera présenté fin mars et accessible par internet. Sur les 75 métiers identifiés, une quinzaine apparait déjà en tension. Pour y remédier, des initiatives dans le domaine de la formation professionnelle ont été évoquées lors de cette réunion, telles que « la Symbio Hydrogen Academy » portée par l’entreprise Symbio et ses actionnaires Faurecia et Michelin. Elle vise à former 300 personnes par an aux métiers de l’hydrogène dans la région lyonnaise.De la même manière, le groupe Air Liquide apporte son soutien aux initiatives telles que la « H2 Académie », qui est destinée notamment à former des étudiants en BTS à partir de septembre 2021 à Port-Jérôme, près du Havre.Le Conseil national de l’hydrogène se réunira régulièrement pour s’assurer de la bonne mise en œuvre de la stratégie hydrogèneLa prochaine réunion du Conseil national de l'hydrogène se tiendra d’ici l’été. Elle permettra de faire le point sur des thématiques d’intérêt commun telles que :les enjeux de réglementation et de normalisation spécifiques au domaine de l’hydrogène, via des groupes de travail associant les industriels pour construire un cadre réglementaire permettant le développement de la filière en toute sécuritéles projets et partenariats autour des technologies clefs qui font encore défaut à la filière françaisela mise en place de mécanismes de soutien à la production d’hydrogène renouvelable et décarbonéla question des infrastructures de transport et de distribution(1) Le rôle et la constitution du Conseil national de l’hydrogène avaient été précisés lors d’un communiqué de presse le 11 janvier 2021.(2) Les subventions proviennent des fonds de modernisation automobile et aéronautique, du soutien aux projets industriels dans les territoires, du Programme Investissements d’Avenir dans le cadre du Comité d’orientation de la recherche pour l’automobile et les mobilités (CORAM).(3) Projet Important d’Intérêt Européen Commun. Le dispositif, à l’instar de celui sur les batteries, autorise les Etats membres à financer les projets au-delà des limites habituellement fixées par la réglementation européenne lorsqu’il s’agit de soutenir des projets de grande ampleur qui apportent une contribution très importante à la croissance économique, à l’emploi et à la compétitivité de l’industrie et de l’économie de l’Union(4) Centrale Electrique de l’Ouest Guyanais
Il y a 4 ans et 102 jours

La justice entérine la poursuite du chantier contesté de déviation de la RN88 en Haute-Loire

"Aucun des moyens invoqués" par ces quatre associations "n'est de nature à faire naître un doute sérieux quant à la légalité de la décision attaquée", estime le tribunal, saisi en référé, dans son ordonnance dont une copie a été transmise à l'AFP.En conséquence, la demande de suspension des travaux déposée par France Nature Environnement (Haute-Loire et Auvergne-Rhône-Alpes), AUTA (usagers) et SOS Loire Vivante est rejetée."C'est une décision sans aucune motivation, qui se contente de résumer les positions des uns et des autres, comme si tout était déjà décidé", a regretté Jean-Jacques Orfeuvre, responsable de FNE 43."J'espère sincèrement que les opposants vont enfin comprendre tout l'intérêt (de cette déviation) à la fois pour limiter l'accidentologie pour le bien des habitants mais aussi pour l'économie et le tourisme", a réagi de son côté Michel Chapuis, maire du Puy-en-Velay.Les travaux, permettant la création d'une 2x2 voies entre Saint-Hostien et Le Pertuis, ont commencé début janvier après l'accord donné par la préfecture le 28 octobre dernier, malgré plusieurs manifestations d'opposants.Les 10,7 km de route menacent "140 hectares d'espaces naturels, forestiers et agricoles, 16 habitats d'intérêt communautaire, plus de 100 espèces protégées", alors que "l'actuelle RN88 ne présente pas une dangerosité plus élevée que la moyenne des routes du même type", selon ces associations.Au-delà de leur demande de suspension en référé, elles ont déposé un recours sur le fond pour réclamer l'annulation de l'autorisation environnementale.Des élues du groupe d'opposition RCES (Rassemblement citoyen, écologiste et solidaire) au conseil régional ont également déposé des recours devant les tribunaux administratifs de Lyon et Clermont-Ferrand, dénonçant un "conflit d'intérêts du président de région Laurent Wauquiez" dans son fief de Haute-Loire, où il a été député et maire du Puy-en-Velay.Le budget primitif 2021 de la Région comprend un investissement de 23,3 millions d'euros dévolu à ces travaux.Le coût total de cette déviation est estimé à 226,5 millions d'euros, dont 198 millions d'euros financés par la Région, auxquels s'ajoute le coût du doublement de la déviation d'Yssingeaux, dans le même département, pour un montant de 37,8 millions d'euros de fonds exclusivement régionaux, selon le groupe RCES.
Il y a 4 ans et 104 jours

Husqvarna lance deux nouveaux moteurs de forage

Les nouveaux moteurs de forage Husqvarna facilitent l’introduction de réseaux dans le béton. [©Husqvarna] Pour réaliser un passage de gaines, de tuyaux ou l’installation de systèmes climatiques à travers des murs ou des planchers en béton, les professionnels ont besoin de moteurs de forage de qualité. Alliant robustesse, légèreté et performances, les nouveaux moteurs de forage DM 400 et DM 430 d’Husqvarna Construction Products sont conçus pour des travaux de forage lourds. Ces moteurs offrent maniabilité et sécurité. De quoi faire la différence sur les chantiers, en gagnant en rapidité et en confort d’utilisation. Pour améliorer leurs performances, ils sont équipés d’une boîte à 3 vitesses permettant de régler facilement les tr/mn pour des plages de diamètre de 55 mm à 350 mm pour le DM 400, et de 100 mm à 450 mm pour le DM 430. Une connectivité embarquée : Husqvarna Fleet Service Intelligents, les DM 400 et DM 430 intègrent le nouveau système de connectivité embarquée, Husqvarna Fleet Service. Qui collecte et affiche des analyses de données détaillées sur l’état de la machine. A savoir, le temps d’utilisation et le suivi entretien. Autant d’indicateurs gérant à distance la maintenance de l’appareil. Les DM 400 et DM 430 sont les pièces centrales d’un système de forage complet, dont tous les éléments sont aussi conçus et fabriqués pour faciliter le travail de l’opérateur. Le nouveau bâti de forage DS 500, développé pour les moteurs de forage de la marque, est stable, robuste et léger. Fabriqué avec des composants en acier, en aluminium et en magnésium, il dispose d’un système de connexion au moteur de forage rapide et simple à installer. Les nouveaux forets diamantés Z-Edge présentent des segments en “Z” garantissant un travail régulier. Ils sont faciles à monter et démonter, grâce à la bague de libération présente sur le moteur. La gamme est complétée par une colonne de forage et de nouveaux anneaux récupérateurs de boues, qui fonctionnent sur un vaste éventail de surfaces (plafonds…). Placés autour du foret et connectés à un aspirateur à boues hautes performances, ces éléments garantissent un chantier propre.
Il y a 4 ans et 104 jours

De nouvelles accusations de fraude à l'office HLM de Bobigny (93)

L'organisme HLM de Bobigny a déposé deux nouvelles plaintes pour des soupçons d'opérations illégales et de détournement de fonds pendant la précédente mandature UDI de cette ville.
Il y a 4 ans et 105 jours

Séismes, pollution des sols...: un site public pour évaluer les risques immobiliers

L'état des risques est l'un des diagnostics immobiliers obligatoires devant figurer dans le dossier de diagnostic technique (DDT) annexé, selon le cas, à la promesse de vente, à l'acte authentique de vente ou au contrat de location et informe sur les risques naturels, technologiques ou miniers, les pollutions et nuisances sonores (aéroports).Cette information est désormais accessible à partir de l'adresse du bien, sur le site: https://errial.georisques.gouv.frElle est complétée par des messages et conseils de prévention pour se protéger face aux risques, a indiqué le ministère dans un communiqué.Ce nouvel outil numérique, "au-delà des simplifications administratives qu'il offre aux vendeurs et aux bailleurs, permettra de développer une meilleure compréhension des risques sur l'ensemble du territoire national", a indiqué le ministère.Il donne également des informations sur d'autres risques, non couverts par une obligation d'information des acquéreurs et locataires (IAL), comme les sols argileux, auxquels la parcelle est exposée.Par ailleurs, le ministère a annoncé une augmentation de 50% des moyens consacrés à la prévention des risques naturels en 2021, avec 205 millions d'euros par an.Ces fonds doivent permettre "de financer les travaux de réduction de vulnérabilité des habitations des particuliers à hauteur de 80% pour tous les risques naturels (inondations, mouvements de terrain, cavités naturelles, séismes...)" et, après les crues du 2 octobre 2020 dans les Alpes-Maritimes, "à titre expérimental, de financer les travaux nécessaires" pour reconstruire les habitations touchées "de façon plus résiliente (construction d'une pièce refuge, rehaussement des compteurs électriques...)".
Il y a 4 ans et 105 jours

Bilan des sanctions prises par la DGCCRF en 2020 en matière de délais de paiement interprofessionnels

La DGCCRF contrôle chaque année le respect des délais de paiement légaux. En 2020, elle a contrôlé à ce titre plus de 900 établissements, dont 35 entreprises publiques et 278 entreprises ayant bénéficié d’un prêt garanti par l’Etat.Si toutes les entreprises sont tenues de respecter les délais légaux de paiement, il est tout particulièrement important de vérifier que tel est bien le cas de celles bénéficiaires d’un prêt garanti par l’Etat (PGE).Ce dispositif de soutien vise notamment à aider les entreprises à régler leurs fournisseurs dans le respect des délais légaux afin d’éviter une transmission des incidents de paiement à l’ensemble de l’économie.Lors de ces contrôles, il a été constaté que près de 30% des entreprises payaient une fraction non négligeable de leurs factures au-delà des délais légaux(2). À l’issue des contrôles, lorsque des manquements ont été mis en évidence, les suites ont consisté pour 40% en des avertissements, pour 20% en des injonctions – suites dites pédagogiques et correctives – et pour 40% en des procédures d’amende administrative. 182 procédures d’amende administrative, représentant au total plus de 29,9 millions d’euros ont ainsi été lancées en 2020, dont 91 décisions de sanction notifiées aux entreprises contrôlées (pour un montant total d’amendes de près de 9,4 millions d’euros), et 91 procédures de sanction en cours (pour un montant, non encore définitif, de plus de 20,5 millions d’euros).Depuis l’entrée en vigueur des sanctions administratives en 2014, 1.375 amendes administratives ont ainsi été notifiées par la DGCCRF, pour près de 91,3 millions d’euros au total.En 2020, plusieurs amendes d’un montant supérieur à l’ancien plafond de 375.000 euros (relevé à 2 millions d’euros par la loi «Transparence» du 9 décembre 2016) ont été prononcées à la suite de manquements à la législation relative aux délais de paiement :2.000.000 € à l’encontre de la société CORA, spécialisée dans la grande distribution1.230.000 € à l’encontre de la société XPO Distribution France, spécialisée dans le transport routier990.000 € à l’encontre de la société La Banque Postale, spécialisée dans la banque et les services financiers750.000 € à l’encontre de la société AGEFOS PME Ile-de-France, spécialisée dans la gestion des fonds de la formation professionnelle des entreprises530.000 € à l’encontre de la société Lubrizol France, spécialisée dans la fabrication de produits chimiques390.000 € à l’encontre de la société TEREOS France, spécialisée dans le transport et la transformation de la betterave en produits finis383.000 € à l’encontre de la société Nocibé France distribution, spécialisée dans le commerce de détail de parfumerie et de produits de beautéEn 2021, la DGCCRF continuera de mener une action résolue de lutte contre les retards de paiement, en ciblant particulièrement ses contrôles sur les grandes entreprises et ETI ayant bénéficié d’un prêt garanti par l’Etat.La DGCCRF saura également faire preuve de pragmatisme dans ses contrôles et les suites qu’elle leur donnera, en tenant compte dans chaque dossier, à la fois de la gravité des manquements relevés et de la situation financière de l’entreprise qui en est l’auteur.En application de la règlementation, ces sanctions pour retards de paiement font l’objet d’une publication sur le site internet de la DGCCRF : https://www.economie.gouv.fr/dgccrf/sanctions-delaispaiement.Pour renforcer la dimension préventive et dissuasive de son action, la DGCCRF communique plus spécifiquement sur les sanctions prononcées les plus importantes. Cette communication illustre la détermination du Gouvernement à lutter contre les retards de paiement de toutes les entreprises, y compris les entreprises publiques.(1) Voir rapports annuels de l’Observatoire des délais de paiement.(2) Une fiche pratique relative à la règlementation des délais de paiement peut être consultée à l’adresse suivante: https://www.economie.gouv.fr/files/files/directions_services/dgccrf/documentation/fiches_pratiques/fiches/delais-de-paiement.pdf
Il y a 4 ans et 105 jours

Tours Duo : structure béton pour Duo 2, l'acier en prime pour Duo 1 !

La structure des Tours Duo associe béton coulé sur site, poutres et prédalles en béton armé préfabriqués, poutres acier et plafonds acier collaborants.
Il y a 4 ans et 109 jours

Déchets du BTP : la solution digitale Ecodrop veut étendre ses services pour les pros

Ecodrop, collecteur de déchets chantier des professionnels via une solution digitale, a fait une levée de fonds de 5 millions d’euros pour accélérer son développement.
Il y a 4 ans et 110 jours

Rhône : Martel Groupe élargit son offre

Cet article est à retrouver dans le n° 92 de Béton[s] le Magazine. Martel Groupe a fait l’acquisition des entreprises Clivio TP et LMTS. [©Martel Groupe] Martel Groupe poursuit son développement, tant en matière de panel de métiers, que de géographie. En effet, l’entreprise lyonnaise a fait l’acquisition des sociétés Clivio TP et LMTS, appartenant à Fabrice Clivio. Spécialisées dans les travaux spéciaux et les fondations profondes (parois clouées, berlinoises, pieux), ces dernières opèrent respectivement en Bourgogne – Franche Comté et dans la région autour de Monaco. Avec 12 M€ de chiffre d’affaires annuel cumulé, ces deux acquisitions vont permettre à Martel Groupe de poursuivre la stratégie de diversification entamée depuis plusieurs années. Surtout, les nouvelles sociétés sont complémentaires des activités historiques du groupe, permettant d’apporter des synergies de métiers. Croissance externe « Ces acquisitions marquent un tournant dans notre modèle de développement et vient compléter notre position de multi-spécialiste du BTP, commente Lionel Martel, président de Martel Groupe. Clivio TP et LMTS apportent à Martel Groupe de nouveaux savoir-faire, complémentaires de nos métiers actuels. Ce qui va nous permettre d’améliorer encore l’accompagnement et la satisfaction de nos clients. » En 2019, le groupe Martel avait réalisé une levée de fonds auprès de Garibaldi Participations, Rhône – Alpes PME et Carvest. Ceci, dans l’objectif d’avoir les moyens de poursuivre ses projets de développement. Notamment par la croissance externe. « L’ensemble des partenaires investisseurs s’inscrit dans la réalisation de cette opération de croissance externe, indique Yvan Noble, directeur de participation chez Garibaldi Participations. Qui illustre la stratégie du groupe de diversification métier. Ceci, afin de maîtriser l’ensemble de la chaîne de valeur et de gérer pleinement les cycles économiques. » Cet article est à retrouver dans le n° 92 de Béton[s] le Magazine.
Il y a 4 ans et 110 jours

Saint-Gobain cède des activités de distribution en Espagne et en Italie

En Espagne, Saint-Gobain a finalisé la vente de Sanigrif (produits de plomberie, sanitaire et chauffage) et Saniplast (matériaux pour le génie civil), a-t-il indiqué dans un communiqué.Ces deux activités représentent ensemble une trentaine de magasins, 220 employés et un chiffre d'affaires cumulé de 90 millions d'euros.Saint-Gobain a d'autre part indiqué avoir cédé courant 2020 son activité de distribution en Italie, qui représentait un chiffre d'affaires de 15 millions d'euros.Au tout début de l'année 2021, le groupe a déjà annoncé être en négociations exclusives pour céder son activité de distribution aux Pays-Bas, qui représentait un chiffre d'affaires de plus de 520 millions d'euros en 2019.Par ailleurs en France, Saint-Gobain a engagé la vente de sa chaîne de magasins Lapeyre (équipement de la maison), qui emploie environ 3.500 salariés, au fonds allemand Mutares.
Il y a 4 ans et 111 jours

L'AP-HP vend un hôtel particulier 60 millions d'euros pour payer la rénovation de l'Hôtel-Dieu

Les pièces jaunes vont changer de tirelire: l'hôtel Scipion, dans le Ve arrondissement, qui héberge entre autres la Fondation Hôpitaux de Paris-Hôpitaux de France, a été vendu vendredi au groupe français GDG Investissements, sélectionné "à l'issue d'une procédure de consultation publique lancée en 2019", précise l'AP-HP dans un communiqué.Bâtie au XVIe siècle, l'ancienne demeure du banquier de Catherine de Médicis, transformée en hospice au XVIIe, puis en boulangerie centrale des hôpitaux parisiens après la Révolution, avait été reconvertie en bureaux et logements au début des années 1980.Le nouveau propriétaire prévoit d'y ouvrir "pour la rentrée universitaire 2023" un "campus international d'exception" doté d'une "résidence sociale réservée aux étudiants".L'opération rapporte 60,5 millions d'euros à l'AP-HP qui "affectera une partie du produit de cette vente au financement du projet hospitalier de l'Hôtel-Dieu".Le plus vieil hôpital parisien, sur l'île de la Cité, doit regrouper ses activités médicales (urgences, consultations, psychiatrie, recherche) sur deux-tiers de sa surface après une rénovation en profondeur.Un chantier à 100 millions d'euros, qui doit être financé par "des cessions de bâtiments" et "sans recourir à l'emprunt ni à des financements qui auraient pu bénéficier à d'autre hôpitaux", selon l'institution.Le tiers restant, dont l'aile donnant sur le parvis de la cathédrale Notre-Dame, a été cédé en 2019 au promoteur Novaxia, via un bail de 80 ans d'une valeur totale de 241 millions d'euros.Une somme censée "équilibrer le plan de financement global de la transformation de l'Hôtel-Dieu", mais pas seulement: 30 millions sont déjà fléchés vers un fonds "consacré à l'amélioration des conditions de travail et aux prises en charges innovantes des patients".
Il y a 4 ans et 111 jours

BTP Consultants change de gouvernance et d’actionnaires

De gauche à droite, Roland Le Roux, nouveau président du groupe BTP Consultants, et Jean-François Baron, nouveau président de BTP Consultants. [©BTP Consultants] Pour accélérer son développement, le groupe BTP Consultants (BTP Consultants, Citae et MBAcity) s’appuie sur une nouvelle gouvernance. Ainsi que sur de nouveaux actionnaires à compter du 1ermars 2021. Ainsi, Roland Le Roux en devient le nouveau président. Et succède à Patrick Vrignon, fondateur du groupe. Ce dernier est nommé président du conseil de surveillance auprès des investisseurs. Jean-François Baron, actuel directeur opérationnel, est, quant à lui, le nouveau président de BTP Consultants. Rony Chebib reste directeur général de cette entité et aidera Jean-François Baron dans ses nouvelles fonctions. Vers une croissance organique De plus, le groupe BTP Consultants fait entrer les fonds d’investissement Apax Partners et Bpifrance. Fort de ce soutien, il ambitionne de poursuivre sa croissance organique et de déployer une stratégie d’acquisitions ciblées. « L’arrivée d’Apax et de BpiFrance et l’entrée au capital de plus de 20 managers vont nous permettre d’aller plus loin encore. De précurseur dans nos métiers, nous nous donnons les moyens de devenir acteur de référence de la transformation complète des secteurs de l’immobilier et de la construction, explique Roland Le Roux, nouveau président du groupe. Et de poursuivre : « Fort de ce soutien, le groupe BTP Consultants vise à poursuivre sa croissance annuelle supérieure à 10 %. Et à déployer une stratégie d’acquisitions ciblées. A horizon 2025, nous avons pour ambition de doubler notre chiffre d’affaires en régions. Ainsi que de renforcer notre présence sur des segments à fort potentiel de croissance. Industrialisation et digitalisation de la conception et de la construction, rénovation énergétique et impact carbone. Mais aussi mise à disposition et gestion des données sont autant de thématiques sur lesquelles nous nous positionnons comme leader pour nos professions. Ainsi que pour l’ensemble du secteur d’activité ». Près de 60 M€ de chiffre d’affaires Spécialiste du secteur des Tic (Testing, Inspection et Certification), le groupe BTP Consultants s’est imposé comme référent technique des acteurs du bâtiment et de la conception des projets de rénovation. Créé en 1996, il propose une offre complète de services de contrôle technique pour la construction, la coordination SPS (Sécurité et Protection de la Santé), les diagnostics immobiliers et l’assistance à maîtrise d’ouvrage. Ainsi que des prestations liées au BIM. Il emploie plus de 500 collaborateurs à travers un réseau de 24 agences en France. De plus, il réalise un chiffre d’affaires de près de 60 M€. Et compte plus de 6 000 clients au sein de son portefeuille. « Nous franchissons une étape importante dans la transmission progressive du groupe à son management. Je suis fier du travail accompli par l’ensemble des collaborateurs du de BTP Consultants. Et certain que le savoir-faire des investisseurs et de la nouvelle équipe dirigeante lui permettra de poursuivre sa croissance basée sur la culture clients et l’innovation »,conclut Patrick Vrignon, fondateur et président du conseil de surveillance.
Il y a 4 ans et 111 jours

La division “Véhicules industriels” de Daimler va se scinder en deux

En 2019, Daimler a livré un total d’environ 500 000 camions et bus dans le monde. [©Daimler] Daimler prévoit un changement fondamental dans sa structure. Le but ? Libérer le plein potentiel de ses activités, afin d’accélérer la mise en place du “zéro émission”. Le conseil de surveillance et le directoire envisagent une scission partielle de ses activités industrielles dans le secteur des camions et des bus. L’idée est de créer, d’un côté, Mercedes-Benz Cars & Vans et, de l’autre, Daimler Truck & Bus. Cette dernière entité aura une gestion indépendante et une gouvernance d’entreprise autonom. Y compris un président indépendant du conseil de surveillance. La transaction et la cotation de Daimler Truck & Bus à la bourse de Francfort devraient être achevées avant la fin de l’année 2021. En outre, Daimler a l’intention de se rebaptiser Mercedes-Benz, en temps voulu…  Mercedes-Benz est la marque automobile la plus connue au monde « C’est un moment historique pour Daimler. Il représente le début d’un profond remodelage pour la société. Mercedes-Benz Cars & Vans et Daimler Trucks & Bus sont des entreprises différentes, avec des clients, des voies technologiques et des besoins en capitaux spécifiques », déclare Ola Källenius, président du conseil d’administration de Daimler et Mercedes-Benz. Et de poursuivre : « Mercedes-Benz est la marque automobile la plus connue au monde, offrant des voitures désirables à des clients exigeants. Daimler Truck & Bus fournit des solutions de transport et des services de pointe à ses clients. Les deux sociétés opèrent dans des secteurs qui sont confrontés à des changements structurels et technologiques majeurs. Dans ce contexte, nous pensons qu’elles seront en mesure de fonctionner plus efficacement en tant qu’entités indépendantes. Dotées de fortes liquidités nettes et libérées des contraintes d’une structure de conglomérat ». A travers cette scission, Daimler Truck entend créer de la valeur pour ses actionnaires. Ceci, en accélérant l’exécution de ses plans stratégiques. En augmentant sa rentabilité et en poursuivant le développement de technologies sans émissions pour ses camions et ses bus. 500 000 camions et bus en 2019 « L’indépendance s’accompagne de plus grandes possibilités, d’une plus grande visibilité et d’une plus grande transparence, explique Martin Daum, membre du conseil d’administration de Daimler et président du conseil d’administration de Daimler Truck.  Nous allons poursuivre notre croissance dans le domaine des moteurs alternatifs et de l’automatisation. Nous avons déjà défini l’avenir de nos activités avec des camions à batteries et à piles à combustible. Ainsi que des positions fortes dans la conduite autonome. Grâce à des partenariats ciblés, nous allons accélérer le développement des technologies clefs. Ceci, pour proposer à nos clients les meilleurs produits de leur catégorie. » Daimler Truck & Bus est le plus important constructeur de camions et de bus à l’échelle mondiale. Avec plus de 100 000 employés, il réunit 7 marques : BharatBenz, Freightliner, Fuso, Mercedes-Benz, Setra, Thomas Built Buses et Western Star. En 2019, un total d’environ 500 000 camions et bus de la marque a été livré dans le monde. Le chiffre d’affaires 2019 des différentes divisions a atteint 40,2 Md€ pour la partie “Trucks” et 4,7 Md€ pour la partie “Bus”. « La transformation de notre industrie progresse très vite. Pour que nous puissions suivre le rythme, nous devons investir dans l’innovation. A cette fin, nous allons créer un fonds de 1,5 Md€ pour Daimler Truck. En plus de nos plans financiers actuels », conclut Michael Brecht, Président du Comité d’Entreprise de Daimler.
Il y a 4 ans et 111 jours

"Nous sommes prêts à attaquer le marché", DG France Knauf Ceiling Solutions

INTERVIEW. Nouvelle division du groupe Knauf, Knauf Ceiling Solutions affiche des ambitions marquées sur le secteur des plafonds. Niels-Christian Havsteen, directeur général France de cette division, nous en dit plus.
Il y a 4 ans et 111 jours

Insens, une douche connectée pour économiser l’eau et augmenter le confort

Inman, start-up strasbourgeoise, a créé Insens, une douche électronique, connectable ou autonome, qui assure d’importantes économies d’eau et un confort accru. Elle lance une levée de fonds sur WiSeed
Il y a 4 ans et 112 jours

KP1 : Longrines et planchers sur vide sanitaire conformes à la loi Elan

KP1 propose des solutions industrielles conformes aux exigences de la loi Elan. [©KP1] Pour tout contrat de construction de maisons individuelles conclu depuis le 1eroctobre 2020, la loi Elan instaure de nouvelles obligations dans les zones à risques argiles “moyen” ou “fort”. Plus de la moitié du territoire est concernée ! Cela implique de renforcer les fondations et de rigidifier les structures, après la réalisation d’une étude de sol. Ceci, afin de supprimer toute menace géotechnique, à l’image du phénomène de retrait-gonflement. Ainsi, KP1, spécialiste des systèmes constructifs préfabriqués, propose des solutions industrielles conformes à ces exigences. A savoir, ses longrines sur mesure et ses planchers sur vide sanitaire associés. Les atouts des longrines et des planchers KP1 Livrées en 7 j, les longrines KP1 sont une alternative aux pratiques traditionnelles de “murs de soubassement maçonnés/fondations avec semelles filantes”. Elles sont compatibles avec les différents types de fondations. D’une part, superficielles ou semi-profondes à l’aide de semelles isolées ou de puits. D’autre part, profondes et intégrant des pieux, micropieux ou puits profonds.KP1 propose aussi différents systèmes de planchers sur vide sanitaire : Isoleader, Milliwatt classique ou chauffant pour des planchers isolants. Ainsi que EMS EcoVS pour des planchers non isolants ou associés à une isolation rapportée en chape flottante. Ces planchers sur vide sanitaire limitent les risques liés à une accumulation d’humidité et de radon, engendrée par une mauvaise qualité des sols.
Il y a 4 ans et 115 jours

La métropole de Nice Côte d'Azur installe son Conseil du climat

"Naturellement, nous serons jugés", a souligné M. Estrosi, en promettant la publication d'"un observatoire avec les plus et les moins" et en annonçant une panoplie de mesures, qualifiées après la réunion de "positives mais tardives et pas assez ambitieuses" par le Collectif Citoyen 06."J'entends ceux qui parlent de la mobilité douce, non, il faut agir sur tout", a ajouté M. Estrosi. La loi impose aux collectivités de se doter d'un comité de suivi pour mettre en oeuvre leur plan climat respectif.Le Conseil niçois rassemble 80 membres, dont 30 représentants associatifs et citoyens qui siègent avec des acteurs économiques et administratifs.Parmi les mesures annoncées, M. Estrosi a indiqué qu'à compter du 1er juin, la circulation des poids lourds de plus de 3,5 tonnes sur la Promenade des Anglais serait "complètement interdite". Environ 1.800 camions circulent chaque jour sur ce boulevard longeant le littoral niçois.Une "mesure vitrine", a estimé auprès de l'AFP Airy Chrétien, siégeant pour le Collectif Citoyen 06 et qui milite pour un abandon de l'extension de l'aéroport.La métropole entend aussi puiser dans l'enveloppe du plan de relance gouvernementale pour la rénovation énergétique des bâtiments, à commencer par les vieux campus universitaire ou les HLM mal isolés de Côte d'Azur Habitat.Pour les particuliers, le nombre de rénovations doit passer de 200 à 1.500 par an, notamment grâce à ces fonds. "92% des logements en copropriété à Nice et 80% sur la métropole, contre 76% en France, doivent faire l'objet de rénovation", a pointé M. Estrosi.L'élu prévoit aussi de développer de nouveaux réseaux de chaleur par géothermie ou par récupération sur le circuit des eaux usées, d'aider les copropriétés à abandonner le fioul et de livrer un cadastre solaire d'ici fin 2021, de développer les pistes cyclables, etc."Cela fait deux ans qu'on réclame ce conseil et on sort de dix ans de léthargie avec un retard colossal dans tous les domaines", a commenté M. Chrétien en espérant que le comité ne reste pas une coquille vide.Selon la présentation du géographe Nicolas Martin, le climat sur la Côte d'Azur s'annonce "plus chaud" et avec "moins d'eau", et avec des températures maximales moyennes autour de 30°C d'ici 2100, soit un réchauffement de 6,5°à 7°C en juillet comparé à la fin du XXe siècle.
Il y a 4 ans et 115 jours

La réhabilitation des HLM, grande absente de l'accord entre Action Logement et le gouvernement

La Fédération et les Offices Publics de l'Habitat saluent ces avancées qui permettront effectivement d'amplifier la rénovation urbaine et d'accompagner une partie des publics mis en difficulté par la crise. En revanche, la Fédération doute que le nombre d'agréments puisse atteindre les 125.000 en 2021 et autant en 2022 alors qu'il a à peine tangenté les 88.000 en 2020 (contre plus de 120.000 en 2016). La réhabilitation, notamment thermique, grande absente des annoncesLa grande absente de ces annonces, c'est la réhabilitation, notamment thermique, des logements HLM, alors que va être bientôt débattu au Parlement le projet de loi « climat et résilience ». La Fédération nationale des Offices Publics de l'Habitat le déplore d'autant plus que la réhabilitation est un levier majeur d'une relance économique rapide dans tous les territoires, en bénéficiant aux entreprises locales. La crise sanitaire actuelle souligne l'importance pour les habitants de pouvoir vivre dans des logements confortables, adaptés à la taille des familles tout en étant moins énergivores. La FOPH regrette ainsi qu'il n'y ait pas eu d'accord entre le gouvernement et Action Logement pour mobiliser des fonds dédiés aux réhabilitations, notamment thermiques.Des besoins en subventions pour accélérer la réhabilitationEn juin 2020, une enquête fédérale, partagée avec les partenaires de la FOPH, a chiffré les besoins complémentaires des OPH en subventions pour accélérer la réhabilitation et la restructuration de leur patrimoine. Une subvention de 6.000 € par logement permettrait sur la période 2021-2025, d'accroître le nombre de logements réhabilités d'environ 120.000.Selon Marcel Rogemont, Président de la Fédération nationale des Offices Publics de l'Habitat :« Pour parvenir, par étape, à la neutralité carbone pour les logements HLM, il faut être plus ambitieux. Si France Relance va contribuer à financer 40.000 réhabilitations d'envergure, nous proposons d'aller plus vite, en mobilisant pendant 5 ans, 140 millions par an de subventions pour un montant total de travaux estimé à près de 3 milliards.»
Il y a 4 ans et 116 jours

Après l'incendie de Grenfell, des fonds massifs débloqués contre les revêtements dangereux

Cette enveloppe de 3,5 milliards de livres (environ 4 milliards d'euros) porte l'aide totale du gouvernement à plus de cinq milliards de livres."Cette intervention exceptionnelle constitue le plus important investissement jamais réalisé par le gouvernement dans la sécurité des bâtiments", a souligné le ministre du Logement, Robert Jenrick, devant les députés.Le revêtement posé sur la tour Grenfell, au cœur de Londres, composé de plaques de composite d'aluminium et polyéthylène (plastique), avait été mis en cause dans la virulence de l'incendie qui avait ravagé l'immeuble dans la nuit du 13 au 14 juin 2017, faisant 71 morts ainsi qu'un bébé mort-né.Pour répondre au scandale qui a suivi, le ministre a promis mercredi que les détenteurs d'un bail à très long terme dans les immeubles résidentiels d'au moins 18 mètres de haut ou six étages en Angleterre ne subiront "aucun coût pour les travaux de réhabilitation des revêtements" dangereux.Pour les immeubles plus petits, entre quatre et six étages, ils ne paieront jamais plus de 50 livres par mois, "nombre d'entre eux beaucoup moins", via un système de prêts à faible taux d'intérêt, a-t-il assuré."Il est clair que sans intervention supplémentaire du gouvernement, beaucoup de propriétaires d'immeubles passeraient simplement ces coûts potentiellement très élevés sur les détenteurs de baux à très long terme", a souligné Robert Jenrick. "Cela risquerait de punir ceux qui ont travaillé dur (...) (et) qui se retrouvent dans une situation totalement injuste sans qu'ils en soient responsables", a-t-il ajouté.Les professionnels de l'immobilier seront mis à contribution également, avec une nouvelle taxe que le gouvernement compte introduire dès 2022 sur les programmes de développement résidentiel, qui permettra de lever au moins deux milliards de livres en dix ans "pour participer aux coûts de réhabilitation des revêtements".
Il y a 4 ans et 117 jours

Une levée de fonds de 23 millions d'euros pour Bien'ici

PLATEFORME IMMOBILIERE. Née en 2015, Bien'ici espère devenir la plateforme immobilière de référence, créée et détenue par les professionnels. Elle annonce une levée de fonds de 23 millions d'euros pour poursuivre son développement.
Il y a 4 ans et 117 jours

La commission des affaires économiques du Sénat demande une concertation entre Veolia et Suez

Plutôt que de créer de la valeur et de renforcer leurs positions, elle risque de déstabiliser les deux entreprises dans une période cruciale aussi bien pour les contrats de services dans les territoires que pour le développement des filières environnementales mondiales.La commission des affaires économiques du Sénat, qui travaille avec celle de l'aménagement du territoire et du développement durable sur ce dossier depuis le mois de septembre, a acquis la conviction qu'il n'y aura de sortie de cette crise que de façon concertée.Une opération d'acquisition à caractère hostile, qui créerait nécessairement un « gagnant » et un « perdant », serait en réalité une perte pour tous deux et pour le pays. Elle conduirait inévitablement à une destruction de valeur plutôt qu'à un renforcement des positions du pays sur des marchés essentiels pour les collectivités territoriales comme pour la préservation de la planète.Les évènements intervenus ce dimanche et ce lundi, avec d'une part l'annonce par Veolia du lancement d'une OPA hostile sur la totalité du capital de Suez, et d'autre part la décision de justice en référé suspendant cette OPA, ne concourent pas à un retour au calme salvateur.La commission estime qu'il appartient au Gouvernement, dans son rôle de garant des intérêts économiques de la Nation, de faire cesser les hostilités entre les deux entreprises et de réunir les parties prenantes pour s'accorder sur un scénario concerté. La décision de justice intervenue ce lundi 8 février ne représente qu'une suspension temporaire et ne saurait dispenser le Gouvernement de travailler à une sortie de crise.Pour Sophie Primas, présidente de la commission des affaires économiques : « Le ministre Bruno Le Maire estimait il y a une semaine au Sénat qu'" une solution amiable est à portée de main " : il lui appartient désormais de s'assurer que le dialogue soit restauré et de faire aboutir un tel compromis. Le Gouvernement, dont les représentants ont soutenu la cession des parts d'Engie dans Suez à l'été, ne doit aujourd'hui pas s'en laver les mains mais engager les deux parties dans un scénario de sortie de crise ».Le comité de suivi commun à la commission des affaires économiques et à celle de l'aménagement du territoire et du développement durable, dont les rapporteurs sont Florence Blatrix Contat, Alain Cadec, Gilbert Favreau, Catherine Fournier, Hervé Gillé et Évelyne Perrot, poursuit ses auditions et entendra ce mardi 9 février l'Autorité de la concurrence ainsi que l'Autorité des marchés financiers (AMF).Le mardi 17 février prochain, les commissions des affaires économiques et de l'aménagement du territoire et du développement durable entendront les fonds Meridiam et Ardian, dans une audition commune qui fera l'objet d'une retransmission.
Il y a 4 ans et 118 jours

Chalet : Opter pour un parquet à la perfection imparfaite !

Le bois reste, en 2021, une tendance décorative majeure. Pour offrir à tous ceux qui prônent le wabi-sabi comme art de vivre et qui souhaitent faire entrer la nature dans leur intérieur, DESIGN PARQUET enrichit sa gamme Authentique avec CHALET, un parquet semi-massif en chêne à l’aspect fond de wagon, vieilli par le temps. Chalet, un parquet à la perfection imparfaite Empruntant l’aspect des fonds de wagons postaux, le nouveau parquet semi-massif en chêne CHALET affiche des marques d’usure (traces de sciage, bouchages noirs, décolorations et épaisseur irrégulière), caractéristiques du style wabi-sabi célébrant la perfection imparfaite. Brut, avec ses lames structurées et protégées par une finition huilée Natura ou incolore, il fait l’éloge de la nature dans son aspect le plus authentique. Sa patine et sa structure en surface vieillie par le temps sont autant de symboles de la durabilité de CHALET, parquet semi-massif Loft Pro sur support contreplaqué bouleau (parement de 4,5 mm). Arborant une teinte brune chaleureuse, il donne une dimension unique au sol et se marie autant avec des meubles contemporains qu’avec ceux chinés en brocante. Disponibles en 2 largeurs (130 et 220 mm) et en longueurs de 1000 à 2000 mm, le parquet CHALET se pose à l’anglaise. Son assemblage s’effectue par rainures et languettes. Il est compatible avec des sols chauffants rafraîchissants hydraulique basse température, en pose flottante ou collée. http://www.designparquet.fr/
Il y a 4 ans et 119 jours

Nouveau rassemblement contre le projet de serre tropicale sur la côte d'Opale

Cette serre avec un dôme de 20.000 m² et 35 m de haut, qui abritera papillons, colibris, poissons, reptiles et arbres exotiques, sera la plus grande serre tropicale au monde, selon ses promoteurs.Estimé à 73 millions d'euros, ce projet est en partie subventionné par la région (2 millions d'euros de prêt), la communauté d'agglomération (400.000 euros) et des fonds européens (10 millions)."Ce projet, idiot, absurde, ne tient pas la route. Il est d'un autre temps. Il ne faut pas se faire avoir par un miroir aux alouettes pour faire sortir de terre un énième éléphant blanc", a déclaré à l'AFP Julien Bayou, secrétaire national d'EELV, joint par téléphone.Selon lui, les champs en question promis à l'artificialisation devraient être utilisés notamment pour nourrir les cantines, en bio, et les pouvoirs publics devraient développer "l'écotourisme, une solution plus résistante", dans la région . "Ce qui est bon pour le climat est bon l'emploi", a-t-il répété.En soutien à l'eurodéputée et tête de liste EELV aux régionales Karima Delli, seule candidate capable selon lui pour engager les Hauts-de-France "dans cette voie", il a dénoncé un "Xavier Bertrand (président du conseil régional, ex-LR) qui dilapide des fonds publics pour des projets qui n'ont aucun sens".En présence du député LFI Ugo Bernalicis, de l'eurodéputé EELV Yannick Jadot et du maire de Grenoble EELV Eric Piolle, entre 150 personnes, selon la préfecture, et 200 selon EELV, se sont rassemblées près des quelque 9 ha de terrain agricole transformé en "zone d'aménagement concerté" en 2010, entre les communes de Verton et Rang-du-Fliers.Les promoteurs ont obtenu fin 2019 un permis de construire contre lequel un recours a été déposé devant la justice administrative. Une audience devrait se tenir d'ici à la fin de l'été, selon la préfecture samedi. Le 20 décembre dernier, environ 150 opposants au projet avaient déjà manifesté.
Il y a 4 ans et 119 jours

Val-de-Marne : six projets recevront des aides financières du Fonds de Solidarité Interdépartemental et d’Investissement

Plusieurs opérations dans le Val-de-Marne ont été retenues par le conseil d’administration du Fonds de Solidarité Interdépartemental et d’Investissement (FS2i).
Il y a 4 ans et 124 jours

650 millions d'euros de fonds européens pour le logement social en France

FINANCEMENTS. Dans le cadre d'un accord scellé il y a plusieurs mois, une première vague de prêts émanant de deux institutions européennes vont permettre de financer les bailleurs sociaux français, via la Banque des territoires.
Il y a 4 ans et 124 jours

GRÂCE AU SYSTÈME EXCLUSIF DE PROJECTION SANS BROUILLARD NESPRI, LES GALERIES LAFAYETTE DE SAINTES SE RÉNOVENT EN PLEIN JOUR

Programmés pendant la période estivale 2020, les travaux de rénovation des plafonds des Galeries Lafayette de Saintes imposaient un cahier des charges strict avec un impératif contextuel : avoir lieu pendant les heures d’ouverture du magasin sans bloquer les espaces d’achat. Repeindre les 2 700 m² de plafond de l’ensemble du magasin était donc un défi pour l’applicateur qui devait également respecter l’optimisation du délai d’intervention demandé par le maître d’ouvrage.   Système complet et unique de peinture par projection sans brouillard, Nespri était la solution la mieux adaptée pour cette réalisation. En 3 jours seulement, tous les plafonds du magasin ont été repeints, sans couper l’accès aux rayons à proximité. Le peintre a pu intervenir par petites zones, simplement recouvertes de protections plastiques, sans déménager les stands ni empêcher la circulation autour. Système révolutionnaire et breveté, Nespri permet une projection sans brouillard à l’intérieur comme à l’extérieur, même en cas de vent ! Pour la rénovation des plafonds des Galeries Lafayette de Saintes, l’utilisation de la solution Nespri a permis : d’assurer un travail impeccable sans fermeture du lieu et sans gêne pour les clients ; de repeindre tous les plafonds en 3 jours seulement (contre plusieurs semaines avec une mise en œuvre traditionnelle) ; de réduire significativement la pénibilité pour l’applicateur et de lui assurer un gain de productivité.   Côté environnement et santé, les plafonds ont été peints avec la peinture Nespri TeXX Mat classée A+ en émission pour l’intérieur grâce à sa teneur de moins de 1 g/L de COV. Son application est donc sans aucun danger pour les personnes autour.   Un système complet développé par Caparol Pour assurer la qualité et la fiabilité de son système de projection sans brouillard, Caparol a associé 4 éléments de haute qualité : une machine de projection Nespri PRO, système airless à membrane à pression constante, de dernière génération; un tuyau chauffant à 40 °C de 30 m ; une buse équipée de 2 sorties et d’une rallonge pour mieux visualiser l’orientation de la projection ; des peintures brevetées Nespri pour un résultat parfait avec 1 couche seulement (selon les peintures).   Des avantages uniques pour les applicateurs et pour les clients En proposant cette dernière génération de système par projection sans brouillard, Caparol répond à la fois aux impératifs de qualité et de performance des chantiers, mais également aux contraintes d’application pour les professionnels. Grâce au système Nespri, les gains de temps sont estimés à 35 % pour les applications intérieures et jusqu’à 50 % en extérieur (par rapport à une application traditionnelle au rouleau). La précision du système permet en outre de réduire les temps de préparation : une simple bande de masquage suffit à protéger les contours des fenêtres. Pour le peintre, Nespri permet une application plus confortable, sans avoir à se baisser ou à porter le pot de peinture. La machine à projection est directement alimentée et le tuyau de 30 m. permet une grande liberté de mouvement. Caparol a également pensé à la manutention avec une machine peu encombrante et maniable avec ses roues de transport. Grâce à la projection sans brouillard, fini les émanations accidentelles ou les équipements de protection superflus.
Il y a 4 ans et 124 jours

Béton Solutions Mobiles accélère son développement

Béton Solutions Mobiles compte bien accélérer son développement. [©BSM] InnovaFonds et Capza Expansion entrent dans le capital de Béton Solutions Mobiles (BSM). Une façon pour l’industriel aux toupies fuchsia d’accélérer sa croissance et de poursuivre son développement dans un contexte sanitaire et économique plus que tendu. Ce nouvel investissement, qui comprend divers montages financiers, permettra à BSM de miser sur l’expansion de ses moyens de production et sur son offre produits. Cette opération permet ainsi à l’industriel de bénéficier d’un apport de 70 M€. Dont plus de 30 M€ sont dédiés à des investissements à concrétiser sur 12 mois. Ceux-ci sont déjà matérialisés en 2020, par l’ouverture de trois centrales à béton. De nouvelles entrées au capital En 2020, BSM a réalisé un chiffre d’affaires de 110 M€. Avec ce programme d’investissements, l’industriel ambitionne d’atteindre les 200 M€ d’ici 3 à 4 ans. En effet, depuis 5 ans, le groupe affiche une croissance annuelle de 50 % ! En grande partie, grâce à ses 14 centrales fixes et à ses 9 centrales mobiles, alimentant pour la plupart les chantiers de l’Ile-de-France. Mais aussi, à l’étendue de son offre “béton”, notamment bas carbone. Un axe d’évolution majeur dans ce plan d’investissement, tout comme celui d’arriver à une trentaine de centrales. « Béton Solutions Mobiles est bien positionné pour gagner des parts de marché sur un secteur en croissance, porté par l’essor du Grand Paris, mais aussi en province », explique Philippe Tibère-Inglesse, fondateur et président de BSM. Vers plus de béton bas carbone Par ailleurs, BSM emploie 150 collaborateurs et pourrait en compter 200  fin 2021. La société détient 18 % des parts du marché francilien et est le premier fournisseur du Grand Paris Express. Ce marché représente 20 à 25 % de son chiffre d’affaires. D’ailleurs, à ce jour, BSM est le 4e producteur régional de BPE en France et le 1er indépendant d’Ile-de-France [Lire notre article à ce sujet]. Pour information, Entrepreneur Invest, investisseur de première date continuera de conserver une part significative du capital de BSM.
Il y a 4 ans et 125 jours

SYSTÈME EXCLUSIF DE PROJECTION SANS BROUILLARD NESPRI

Programmés pendant la période estivale 2020, les travaux de rénovation des plafonds des Galeries Lafayette de Saintes imposaient un cahier des charges strict avec un impératif contextuel : avoir lieu pendant les heures d'ouverture du magasin sans bloquer les espaces d'achat. Repeindre les 2 700 m² de plafond de l'ensemble du magasin était donc un défi pour l'applicateur qui devait également respecter l'optimisation du délai d'intervention demandé par le maître d'ouvrage.
Il y a 4 ans et 125 jours

Icade veut suivre une "trajectoire 1,5 degré"

BAS CARBONE. La foncière s'engage, en 2021, sur une trajectoire de réduction de ses émissions de CO2, en particulier sur ses activités de promotion et de construction. Un fonds climat de 2,5 millions d'euros viendra en appui des politiques de compensation, notamment.
Il y a 4 ans et 126 jours

Déchets du BTP : Ecodrop lève 5 M€ auprès de deux fonds d'investissement

Les fonds Turenne et Amundi, accompagnés de business angels et de Saint-Gobain, accompagnent la start-up spécialisée dans le traitement des déchets de chantier.
Il y a 4 ans et 126 jours

Levée de fonds : Ecodrop en passe de devenir le "Uber" des déchets du bâtiment

LEVEE DE FONDS. La start-up, Ecodrop, spécialisée dans la gestion et collecte des déchets de chantiers, annonce avoir levé 5 millions d'euros. Découvrez auprès de qui et à quoi servira cette enveloppe.
Il y a 4 ans et 126 jours

Combien coûterait un reconfinement à l'économie et aux finances publiques

Impact sur l'activitéSelon plusieurs économistes interrogés par l'AFP, un confinement d'un mois, avec un niveau de restrictions globalement similaire à celui observé en novembre, amputerait le produit intérieur brut (PIB) d'environ un point, soit un peu plus de 20 milliards d'euros, sur l'année.Sachant que le couvre-feu pénalise déjà l'activité, "le premier trimestre sera certainement un trimestre de récession", avance Ludovic Subran, chef économiste de l'assureur Allianz.Selon le ministère de l'Économie, le confinement pourrait entraîner une perte mensuelle d'activité allant de 10 à 18% par rapport au niveau d'avant la crise. En novembre, l'activité avait baissé de 12% par rapport à son niveau de fin 2019 et en avril, de plus de 30%.Le ministre de l'Économie Bruno Le Maire a aussi reconnu mercredi qu'en cas de nouvelles mesures de restrictions, "bien entendu, nous aurons une croissance qui ne pourrait pas atteindre les 6% en 2021", comme le prévoit pour l'instant le gouvernement.Nouvelles dépenses et pertes de recettesActuellement, avec le couvre-feu à 18H00, "les aides coûtent environ 6 à 7 milliards d'euros par mois à l'État", montant auquel il faut ajouter les pertes de recettes fiscales, ce qui conduit à plus de 10 milliards d'euros, selon le député LREM et rapporteur général du budget à l'Assemblée Laurent Saint-Martin."En confinement, si on est sur le format du mois de novembre dernier, cela va probablement coûter encore plus cher (...) ça peut approcher les 15 milliards d'euros toutes dépenses et non-ressources confondues", a-t-il affirmé sur Radio J dimanche dernier.Les trois principales mesures de soutien mises en place par le gouvernement sont le fonds de solidarité pour les entreprises, la prise en charge du chômage partiel et les exonérations de charges.Pour le mois de novembre par exemple, le gouvernement a dépensé plus de 4 milliards d'euros au titre du fonds de solidarité, et l'addition pourrait encore monter car les entreprises ont jusqu'au 31 janvier pour en faire la demande.Le chômage partiel a concerné 3,1 millions de salariés en novembre pour un montant de 2,3 milliards d'euros, selon les chiffres de la Dares.A cela s'ajoutent de possibles aides supplémentaires pour soutenir les secteurs qui restent très touchés par la crise. Bruno Le Maire a ainsi évoqué mercredi au Sénat la possibilité de convertir certains prêts garantis par l'État en subvention, si Bruxelles donne son feu vert.Comment l'État va financer ces aidesLe gouvernement a été "prévoyant" en 2020, a affirmé à plusieurs reprises Bruno Le Maire. De fait, sur le budget prévu pour financer les aides, 28,8 milliards d'euros n'ont pas été dépensés l'an dernier. Cette enveloppe est donc disponible pour cette année, même si environ 9 milliards sont déjà préemptés pour financer les aides attribuées au titre de 2020, mais qui n'ont pas encore été payées.La semaine dernière, le ministre avait indiqué qu'à situation sanitaire constante, le gouvernement pouvait "tenir 3 mois et demi" sans avoir besoin de réabonder le budget 2021.Mais en cas de reconfinement, il faudra en passer par un projet de loi de finances rectificative.Il pourrait survenir "probablement à la fin du premier trimestre (...) fin mars-début avril, mais cela peut-être accéléré en fonction des besoins", selon Laurent Saint-Martin.
Il y a 4 ans et 126 jours

Capremib : Etre encore plus réactif

Clément Blanc, directeur général de Capremib-Cibetec : « Nous sommes de plus en plus engagés sur la voie du bas carbone ». [©ACPresse] Pour Capremib, l’année 2020 a été celle des grandes évolutions. Et le programme a été chargé. Entre l’intégration du BIM, la mise en service d’une centrale à béton dédiée aux Bfup et la signature d’un partenariat avec HGCT, les changements s’annoncent profonds. « La préfabrication, c’est un puzzle pour les chantiers. » Ainsi Clément Blanc, directeur général de Capremib et Cibetec, définit-il le travail de l’industrie du béton. Aussi et malgré le développement du BIM, les plans fournis par les entreprises ne sont pas toujours exploitables en usine de préfabrication. « Les bureaux d’études réalisent le dimensionnement des pièces et non des dessins exploitables en atelier. Les clients ne sont pas des spécialistes de la préfabrication, d’où des décalages entre leurs besoins et nos impératifs techniques. » A vrai dire, les contraintes de la préfabrication ne sont pas intégrées au BIM. C’est pour combler ce manque que Capremib vient d’adopter le BIM au sein de son bureau d’études. « Nous serons pleinement opérationnels dès le début de l’année 2021 », confirme Clément Blanc. Trois postes sont, d’ores et déjà, équipés du logiciel Tekla Structures de Trimble. « A présent, nous sommes en mesure de recevoir les plans BIM de nos client. Et de leur proposer des solutions plus lisibles. La visualisation 3D est aussi très utile pour bien comprendre les pièces en préfabrication. » Une centrale dédiée aux Bfup Surtout, Tekla Structures va faciliter le travail de Capremib autour des plans BIM, que l’industriel pourra compléter à loisir selon ses propres impératifs. Et sans devoir repartir de zéro. La division Cibetec, spécialiste des bétons architectoniques, profitera de la technologie BIM du bureau d’études Capremib. De même que les projets clients non encore développés en BIM. Et puis, cette technologie permettra d’aller plus loin. Comme d’indiquer le bilan carbone des pièces préfabriquées directement dans les données BIM. « Le délai est notre meilleur allié, reprend Clément Blanc. La préfabrication est un travail en temps masqué pour le chantier. Avec le BIM, nous sommes en mesure d’être encore plus réactifs. » L’autre porte d’entrée vers une meilleure réactivité se situe dans l’atelier. Là, Capremib vient d’inaugurer une nouvelle centrale à béton, installée dans un bâtiment neuf et isolé de 250 m2. « Cet équipement est dédié à la production de Bfup et de bétons fibrés. C’est une centrale d’ingénierie qui nous permettra aussi de tester de nouvelles formules, de réaliser des bétons spéciaux en petites quantités. » Un partenariat avec HGCT L’installation s’articule autour d’un malaxeur conique Kniele, d’une capacité de 1 500 l. C’est BSC qui en a assuré la fourniture, mais aussi la conception et la construction de la centrale à béton dans son ensemble. Côté matériaux, Capremib a opté pour le BSI du groupe Eiffage. Outre l’intégration du Bfup dans ses process de production, Capremib a signé un accord avec l’industriel du ciment Hoffmann Green Cement Technologies. L’objectif ici est de permettre une accélération vers la transition écologique, tout en luttant contre la mauvaise image du béton auprès des non-initiés… « Avec HGCT, nous pensons aller plus vite, car ils sont en pointe sur ces sujets », insiste Clément Blanc. Capremib a signé pour la fourniture du ciment décarboné H-UKR, même s’il n’est pas encore “qualifié” génie civil. « C’est un premier pas dans ce sens, pour eux comme pour nous. » Aussi, les premières utilisations de ce ciment se feront dans les écrans acoustiques. Des petits ouvrages d’art, à leur niveau…, qui intéressent les collectivités. Alors proposer des éléments plus vertueux vis-à-vis de l’environnement, réduits en carbone, permet de se démarquer face à la concurrence. « Ce choix de l’H-UKR, c’est aussi un moyen efficace pour mettre au défi les autres industriels du ciment », conclut Clément Blanc.
Il y a 4 ans et 129 jours

Deux milliards de plus pour la rénovation urbaine

ANRU. Jean Castex a envoyé vendredi un signal aux quartiers prioritaires de la ville, inquiets des répercussions économiques et sociales de la crise sanitaire, en annonçant des fonds supplémentaires pour la rénovation urbaine, lors d'une visite dans un quartier prioritaire.
Il y a 4 ans et 129 jours

Le gouvernement annonce 2 milliards d'euros pour la rénovation urbaine des quartiers prioritaires

Cette nouvelle enveloppe, qui porte à 12 milliards d'euros la dotation de l'Agence nationale pour la rénovation urbaine (ANRU), sera officiellement dévoilée vendredi à l'occasion d'un déplacement du Premier ministre Jean Castex à Grigny (Essonne), où se tiendra un Comité interministériel de la ville. Elle doit notamment servir à "débloquer des projets en attente de financements, notamment des gros quartiers à Marseille ou en Ile-de-France", a précisé Matignon.Elle correspond exactement à la revendication formulée cette semaine par l'Union sociale pour l'habitat (USH), qui fédère tout le monde HLM, "pour améliorer à court et moyen terme les conditions de vie des habitants".Ces deux milliards d'euros ne seront toutefois pas entièrement déboursés par l'Etat, puisqu'une grande partie des fonds de l'ANRU proviennent d'Action Logement, l'ancien 1% logement géré par le patronat et les syndicats.Mais, alors que le budget de l'ANRU était déjà passé de 5 à 10 milliards d'euros durant le quinquennat, cette accélération entend marquer la considération portée aux quartiers prioritaires de la ville (QPV), durement éprouvés par les conséquences de la crise du coronavirus.Le ministère de la Ville rappelle ainsi que le taux de pauvreté s'y établit à 40%, soit trois fois la moyenne nationale, et le taux de chômage à plus de 22%. Et les remontées de terrain de ces derniers mois sont préoccupantes, avec "un recours accru aux aides sociales".L'exécutif veut aussi répondre à "l'appel au secours" d'une centaine d'élus de tous bords lancé en fin d'année dernière, inquiets de la "détresse sociale et économique" des quartiers.Dans ce cadre, M. Castex avait déjà promis qu'au moins 1% du plan de relance - soit 1 milliard d'euros - serait bien destiné aux quartiers défavorisés, ce qu'il réaffirmera vendredi. En épluchant "ligne par ligne" le plan de relance, le gouvernement a établi que 810 millions d'euros de mesures d'insertion professionnelle bénéficieront aux QPV, ou encore 300 millions pour la rénovation énergétique des bâtiments...En tout, M. Castex dévoilera vendredi 15 mesures, touchant à la sécurité, au logement, à l'éducation ou l'emploi."Promesse d'émancipation"Il s'agira par exemple d'indiquer les noms des communes retenues pour les sept "quartiers de reconquête républicaine" encore en suspens, où 180 policiers et gendarmes arriveront en renfort. Quelque 300 médiateurs et autant d'éducateurs spécialisés seront également envoyés dans les QPV.Sur le volet éducation, le Premier ministre annoncera la reconduction des dispositifs de "vacances apprenantes" et de "quartiers d'été", dont un million de jeunes ont profité en 2020. Et il détaillera la liste de 46 nouvelles "cités éducatives", en plus des 80 existantes, qui visent à améliorer la réussite scolaire dans les quartiers.Par ailleurs, 30 millions d'euros seront consacrés au recrutement de 500 conseillers Pôle emploi dans 66 agences.De même, quelque 100 millions d'euros serviront à améliorer les équipements sportifs de ces communes.Enfin, en matière de logement, le gouvernement souhaite "pousser à la diversification de l'habitat" et "éviter de continuer à concentrer des populations pauvres dans des quartiers pauvres". En ce sens, les préfets seront invités "au cas par cas" à ne pas délivrer d'agréments pour la construction de nouveaux logements parmi les plus sociaux dans les communes en comptant déjà au moins 40%.Ces dispositions ne devraient cependant être que le coup d'envoi du plan plus large pour l'égalité des chances qu'entend égréner l'exécutif dans les prochaines semaines, alors que plusieurs ministères doivent remettre leurs propositions à M. Castex.Ce plan doit permettre de former la "jambe gauche", dixit un conseiller ministériel, du très régalien projet de loi de lutte contre le "séparatisme" actuellement à l'examen au Parlement.En ce sens, sont par exemple attendues des mesures contre les discriminations, sur l'accès aux responsablités dans la fonction publique ou encore la possible généralisation de la "garantie jeunes", à savoir une allocation mensuelle d'un montant maximal de 497 euros, couplée à un parcours d'insertion dans l'emploi.
Il y a 4 ans et 129 jours

Un ancien tribunal d’instance doté de deux systèmes de plafond Hunter Douglas Architectural

Ce sont les lames HeartFelt® et les panneaux de grille en chêne massif qui ont été choisis pour composer le plafond de ce bâtiment, lui conférant ainsi une allure nouvelle, en accord avec sa nouvelle fonction. Désormais, la « Old Court House » accueille en effet les bureaux de la distillerie familiale de scotch whisky William Grant & Sons.Une transformation spectaculaire, pour une nouvelle vieCe n’est que depuis 2019 que l’ancien tribunal de première instance de Richmond, un bâtiment contruit dans les années 1970, accueille les bureaux de l’entreprise William Grant & Sons. Connu sous le nom d'Old Court House, l’édifice avait en effet été acquis par le promoteur immobilier Exton Estates et le fond de pension British Airways pour son potentiel, avant d’être sujet à une rénovation et un réaménagement spectaculaires, puis d’être vendu en mai 2018 au distillateur familial de whisky écossais.D’une grande valeur architecturale, le tribunal d’instance avait été construit dans un style contemporain et moderniste. En charge du projet de rénovation, les architectes de l’agence ESA architecture ont permis à l’édifice de conserver une grande partie de son individualité et de son caractère. Et ce malgré les importants travaux de rénovation, qui ont depuis permis à la Old Court House de faire partie des bâtiments de la catégorie de A selon la classification britannique (les bâtiments neufs ou ayant subi une rénovation de qualité, présentant des finitions de haute qualité, des systèmes de pointe, une accessibilité exceptionnelle et une présence certaine sur le marché) et de bénéficier de la mention « excellent » de la certification BREEAM (Building Research Establishment Environmental Assessment Method - méthode d’évaluation environnementale des bâtiments).Ainsi l’intérieur du bâtiment, de près de 3 350m2 de surface, est transformé : les architectes lui ont permis d’acquérir un design spectaculaire, plein d'élégance et de sophistication. Et pour trouver les plafonds architecturaux adéquats, le bureau d’architecture s’est tourné vers le fabricant Hunter Douglas Architectural.Deux systèmes Hunter Douglas Architectural, pour des plafonds performants et designCe sont donc deux des nombreux systèmes du fabricant qui ont été installés. Au total, Hunter Douglas Architectural a fourni 150 m2 de panneaux de grille en bois massif de chêne européen de 20 mm x 68 mm, ainsi que 250m2 de panneaux HeartFelt® dans différents tons de gris.Pour Justyna Rzeszotarska, Cheffe de projet chez ESA architecture, ce sont les attraits esthétique et la bonne acoustique de ces systèmes qui ont motivé ce choix. Au sujet du système multi-primé HeartFelt®, elle explique : « Les plafonds HeartFelt® ont ajouté de la chaleur à l'intérieur du bâtiment, tout en améliorant l'acoustique. Nous avons choisi quelques tons de gris, car ils s'harmonisent avec le reste de la palette de matériaux et créent ainsi une toile de fond pour les activités de bureau. » Les panneaux de feutre ont également été utilisés de manière inhabituelle dans certains lieux ouverts informels, dans lesquels les employés peuvent se réunir pour travailler en groupe ou se rendre s'ils ont besoin d'un espace privé. En effet, dans ces pièces, ils ont été installés de manière à créer un design circulaire spécifique. Justyna Rzeszotarska précise : « Ces formes circulaires ajoutentun élément original et permettent de réduire encore plus la réverbération.Panneaux HeartFelt® : différents types de pose, pour différentes ambiancesLes panneaux de grilles en bois massif, quant à eux, ont été installés dans les zones d’échange et le bar pour créer un espace élégant, en complétant le parquet en chêne massif. La Cheffe de projet ajoute : « Nous voulions des plafonds attrayants en bois massif dans les espaces dans lesquels les membres du personnel et leurs invités peuvent se retrouver, se détendre et assister à une présentation. » Les panneaux ont été installés avec un espace de 120 mm, un support acoustique noir et des spots incorporés, pour assurer un environnement confortable aux usagers. Un luminaire sur mesure suspendu en dessous du plafond accroche le regard, sa forme dynamique contrastant avec le rythme calme de la grille.Les panneaux de grille en chêne massif Hunter Douglas Architectural, dans l’espace bar de William Grant & sonsPour Juliette Halliday, Directrice des ventes Royaume-Uni chez Hunter Douglas Architectural, le choix des plafonds complète l'esthétique grandiose du bâtiment : « Il y a des caractéristiques de conception frappantes dans l'ensemble de l'ancien palais de justice ; HeartFelt® et les panneaux de grille en bois massif participent à cet aspect unique et complètent l’esthétique globale du bâtiment. Nous sommes heureux d'avoir joué notre rôle dans cette rénovation spectaculaire ».HeartFelt® et panneaux de grille en bois massif : exigence de durabilité et liberté de conceptionAvec la durabilité comme fil rouge, l’entreprise de produits architecturaux propose des solutions dont la fabrication est basée sur le principe Cradle to Cradle. Ainsi, les panneaux HeartFelt® sont fabriqués à partir de fibres de polyester thermoformées 100% recyclables, ce qui leur vaut le certificat C2C Bronze du Cradle to Cradle Products Innovation Institute. Quant aux panneaux de grille en bois massif, ils sont certifiés C2C Silver et le bois est issu de forêts gérées durablement (certifications FSC et PEFC). Des caractéristiques en accord avec la mention « excellent » de la certification BREEAM dont jouissent les nouveaux locaux de William Grant & sons, à Richmond.Côté design, la gamme de plafonds à grilles en bois massif de Hunter Douglas Architectural permet de concevoir des plafonds uniques. Elle est composée de plus de vingt essences différentes ; côté finitions, outre la laque transparente standard, il existe de nombreux teintures et coloris disponibles. De plus, architectes et concepteurs peuvent choisir leurs propres dimensions de grilles, et ajouter des luminaires, des aérations ou des haut-parleurs dans le plafond. Tous les panneaux sont ainsi fabriqués sur mesure hors site. Ainsi, la quantité de coupe nécessaire au stade de l'installation est minimisée et les coûts d'installation sont réduits. Les panneaux du système de plafond linéaire HeartFelt® permettent également de jouir d’une grande liberté de conception. Ils existent dans des longueurs allant jusqu'à 6 mètres et sont fixés par un système de support spécial qui permet également une utilisation en tant que revêtement mural. Ils sont disponibles dans une large gamme de tailles de panneaux, de largeurs de joints et de hauteurs de montage et dans dix teintes.Ces systèmes disposent également de divers avantages en matière de sécurité. Ainsi le bois massif, imprégné, permet d'atteindre une tenue au feu de classe B-s2, d0 conformément à la norme EN13501-1 ; dans certains cas, des classes plus élevées sont également disponibles sur demande. Le système de plafond linéaire modulaire en feutre, lui, est conforme aux réglementations relatives à l'utilisation dans des bâtiments non polluants et il répond à la norme européenne EN 15251 pour les intérieurs et à la certification incendie EN 13501 Classe B, S1, d0.
Il y a 4 ans et 130 jours

Rockwool dévoile Rockfeu Wood FdC pour l'isolation des sous-sols et parkings

Rockfeu Wood FdC est la solution idéale pour l'isolation des plafonds en fond de coffrage. C'est une solution qui offre l'esthétisme du bois allié aux 7 forces de la laine de roche. Rockfeu Wood FdC s'installe dans les parkings, les sous-sols, les caves, les garages, les vides sanitaires et les locaux techniques.Rockfeu Wood FdC est installé avant le coulage de la dalle en béton et est optimisé pour le fond de coffrage, permettant de gagner du temps sur les chantiers. En vente dès Janvier 2021 dans les négoces.Signes particuliers : Rockfeu Wood FdC dispose d'une excellente performance thermique et d'une excellente protection contre le feu. Grâce aux fixations intégrées, les panneaux sont très faciles à poser, ce qui permet de gagner en temps de pose.À savoir : La technique du fond de coffrage est particulièrement appropriée pour l'isolation thermique des locaux non chauffés ou en extérieur. Elle représente aussi la technique de sécurité incendie la plus performante à destination des commerces et des logements ou pour les établissements recevant du public en alliant les performances acoustiques et thermiques intrinsèques à la laine de roche.
Il y a 4 ans et 131 jours

RE2020 : vigilance des fabricants de systèmes intégrés de chauffage, rafraîchissement et sanitaires

« Il faut aller au bout des choses, sans arbitrer trop rapidement, pour apporter les bonnes réponses et agir pour le climat. Les surfaces chauffantes rafraîchissantes basses températures sont des solutions non polluantes, qui s'inscrivent d'ores et déjà dans des projets de bâtiment à neutralité carbone. Les adhérents de Cochebat s'inquiètent plus des effets d'annonce qui accompagnent la publication des textes et des modes de calculs de la RE 2020, qui mettent en exergue de faux arguments pour favoriser telle ou telle technologie… ainsi la possible disparition de la boucle à eau chaude, alors même que c'est l'une des solutions les plus vertueuses, qui répond aux enjeux du grenelle de l'environnement » indique Florent KIEFFER, Directeur Général de Thermacome et Président de Cochebat, le syndicat national des fabricants de composants et de systèmes intégrés de chauffage, rafraîchissement et sanitaire.Le Plancher Chauffant Rafraîchissant basse température : un atout pour la RE 2020La RE2020 prend en compte des émissions de gaz à effet de serre sur toute la durée de vie des bâtiments. Or, les solutions de plancher chauffant rafraîchissant basse température offrent un atout de poids : ce mode de chauffage par rayonnement permet d'obtenir le même confort thermique avec 1°C de moins en consigne. D'après l'Adème, un degré de moins au générateur équivaut à 7% d'économies d'énergie. « Cela s'explique par le fait que contrairement à d'autres systèmes chauffants ou rafraîchissants, la chaleur est diffusée par rayonnement. Elle est donc homogène dans toute la pièce, sans zone froide » poursuit-il.De plus, ces systèmes sont compatibles avec la régulation thermique pièce par pièce, et sur le plan sanitaire : sans mouvement d'air lié à la convection, il n'y a pas de déplacement de poussières et autres allergènes. Ainsi, ils ne dégradent pas la qualité de l'air.La marque Certitherm garantit l'adéquation des solutions avec la RE 2020« Les certificats Certitherm permettent de se prévaloir de la performance technique et environnementale du Plancher Chauffant Rafraîchissant Basse Température. C'est la garantie d'un bon résultat dans le temps. » explique Elisabeth CHARRIER, Déléguée Générale de Cochebat.En 2020, ce sont 85 systèmes de surfaces chauffantes rafraîchissantes qui sont admis à la marque CERTITHERM, majoritairement des systèmes de planchers chauffants rafraîchissants basse température (96,5%), mais aussi des systèmes de murs et plafonds chauffants-rafraîchissants.Une année 2020 en demi-teinte pour les professionnels de Cochebat et un regard confiant pour 2021L'année s'annonçait positive et a brutalement connu un frein avec le premier confinement en mars 2020. « D'après notre baromètre, les entreprises ont été quasi à l'arrêt, avec une faible activité logistique et très peu d'approvisionnements de chantiers. Les entreprises ont fait preuve de beaucoup d'agilité à la reprise et lors du second confinement, notamment pour organiser le maintien de l'activité avec des règles sanitaires strictes et des difficultés liées aux personnels touchés ou cas contacts. » note Elisabeth CHARRIER. « Il subsiste une incertitude pour 2021, avec un ralentissement des permis de construire que l'on ne sait pas encore mesurer. Cependant, nous restons confiants, car les entreprises ont continué à innover avec des solutions de moins en moins énergivores et de plus en plus régulées pour continuer à améliorer leurs offres » conclut Florent KIEFFER.
Il y a 4 ans et 132 jours

Alphi contribue au développement industriel savoyard

Plate-forme logistique de Saint-Genix-Les-Villages d’Alphi. [©Alphi] Spécialiste français du coffrage et de l’étaiement, Alphi est l’une des trois entreprises savoyardes. Lauréates du fonds d’accélération aux investissements industriels dans les territoires. Qui fait partie du Plan de relance – Territoires d’industrie. Alphi a donc proposé un projet concernant sa plate-forme logistique de Saint-Genix-Les-Villages (73). Programme retenu et financé. « Notre projet consiste en la création d’un atelier de production et de réparation, intégrant des technologies innovantes. Seize nouveaux collaborateurs devraient ainsi nous rejoindre d’ici fin 2022 », annonce Alexandre Souvignet, président d’Alphi. Cette réalisation revêt quatre objectifs : • relocalisation, intégration et développement de la production de l’entreprise. Via la création d’un atelier de fabrication au sein d’un nouveau bâtiment de 4 000 m2 ; • robotisation qui favorisera la montée en compétences des équipes. Ceci, par le biais d’une technologie innovante : Cobot, un robot collaboratif ; • création d’un atelier bois pour les coffrages sur mesure. Favorisant l’essor de l’entreprise en Suisse. Ainsi que le renforcement de sa position nationale ; • réaménagement des postes de travail. Afin de gagner en ergonomie et en sécurité. L’investissement global est évalué à 2,6 M€ d’ici fin 2022. En attendant, l’année 2021 marque l’anniversaire d’Alphi, qui fête ses 25 ans. Et verra l’achèvement de la construction de son nouveau siège social de 1 400 m2, à Chambéry, sur la zone d’activités de Savoie Hexapole.
Il y a 4 ans et 132 jours

Nouvelle Gamme Rigitone® Design pour des plafonds acoustiques et esthétiques en ERP

Faisant du confort sa première promesse, PLACO® dévoile sa nouvelle gamme d'ilots acoustiques RIGITONE® DESIGN, imaginée pour des plafonds acoustiques et esthétiques.Liberté créative, design, facilité et rapidité de mise en œuvre, les caractérisent. Tels des nuages flottant au-dessus des espaces, les produits RIGITONE® DESIGN jouent les effets de style avec leurs formes concaves ou convexes, une hauteur de suspension ajustable jusqu'à 2 m et des motifs perforés carrés ou aléatoires.Source de confort, les ilots à base de plaques de plâtre RIGITONE® intègrent la technologie ACTIV'AIR®, qui permet d'éliminer jusqu'à 80% du formaldéhyde présent dans l'air intérieur. Ils offrent ainsi une atmosphère saine et chaleureuse, et optimisent l'intelligibilité des échanges. L'autre prouesse en matière de confort réside dans leur conception en kit qui permet une installation rapide !Une fabrication responsable made in savoieLa gamme RIGITONE® DESIGN est fabriquée dans l'usine PLACO® située au cœur de la Savoie, à Chambéry. Un parti pris économique et écologique cher à la marque, à l'heure où la relocalisation des productions est au cœur des débats en France et dans le monde. Le système est assemblé et conditionné en kit par l'ESAT SATREC de La Ravoire (Établissement et Service d'Aide par le Travail). Cette démarche favorise la réinsertion et l'inclusion professionnelle de personnes en situation de handicap.Des îlots tout en légèretéL'inspiration créative constitue l'un des piliers de RIGITONE® DESIGN. Aériennes et élégantes, les plaques de plâtre (L. 1980 mm x l. 1000 mm) ondoient en toute légèreté et révèlent une ambiance harmonieuse, douce et raffinée.Création de designs mixtes, en vague ou dispersés, large choix de motifs décoratifs pour un style épuré (8-18 perforé rond - 8 mm de diamètre et 18 mm d'entraxe - ou 8-15-20 Super avec perforations rondes aléatoires)…, le système s'adapte aux ambiances nouvelles ou existantes, et permet de façonner des espaces singuliers, empreints de modernité et d'élégance. Telle une sculpture, le plafond aux formes concaves et convexes offre une grande flexibilité de design.Un système, un kit, une installation facilitéeLa facilité d'installation de RIGITONE® DESIGN se retrouve dans sa conception en kit qui se compose de :1 plaque de plâtre RIGITONE® Activ'Air® 8/18 ou 8-15-20 Super,1 panneau de laine de verre ISOVER CLEANTEC®,6 entretoises F 530,2 profilés cintrés F 530 (rayon de cintrage de 2 870 mm),16 cavaliers DF STIL® F 530,1 kit de suspension de 4 câbles de 2 m avec accessoires,des accessoires de pose.Le tout est accompagné d'un « Guide de mise en œuvre » richement illustré. Des schémas expliquent les étapes de pose, pas-à-pas. Le kit étant déjà pré-préparé, il suffit de fixer les profilés cintrés à l'aide des cavaliers et d'accrocher l'ilot en ajustant la hauteur des câbles de suspension. Un véritable gain de temps et de confort pour les installateurs, et de praticité pour le référencement dans les négoces !
Il y a 4 ans et 133 jours

Le crowdfunding immobilier a battu tous les records en 2020 selon son baromètre annuel

« L'année 2020 s'est déroulée dans un contexte inédit, mais le crowdfunding immobilier a poursuivi sa croissance malgré les difficultés que le secteur immobilier a pu rencontrer pendant la crise. Cette forte progression démontre le poids grandissant que prend le crowdfunding immobilier dans l'univers des placements. Dans ce contexte singulier, les promoteurs et marchands de biens se sont encore plus tournés vers ce levier de croissance pour financer rapidement leurs opérations, et les épargnants ont plus que jamais été au rendez-vous.C'est un produit qui a déjà fait ses preuves auprès des investisseurs avertis, et qui séduit désormais aussi les épargnants désireux de diversifier leur épargne, et ce dès 1000 euros. Avec un rendement moyen de 9,3%/an et une durée moyenne de placement de 21 mois, ce produit d'investissement, aux fondamentaux solides, fait son chemin dans le portefeuille de placements des Français comme en atteste le milliard d'euros collecté depuis 2016. La démocratisation du crowdfunding immobilier va d'évidence se poursuivre et l'ensemble des acteurs ont un rôle à jouer pour en faire la pédagogie et apporter les bons conseils aux investisseurs moins avertis qui manifestent un intérêt croissant. Il répond aussi à un besoin actuel lié à la crise : soutenir financièrement les TPE/PME françaises de l'immobilier pour les aider à mener à bien leurs projets. »Jérémie Benmoussa, Président du Directoire de FundimmoNiveau de collecte et de remboursements recordsAvec 505 millions d'euros collectés en 2020 contre 373 en 2019, le marché bat un nouveau record en pleine crise économique, témoignant de la force du modèle et de la résilience du marché immobilier.Le nombre de projets financés est en progression (+8%) : 589 opérations en 2020 contre 544 en 2019, une hausse modérée en raison des confinements qui ont limité le nombre de projets. La hausse globale de la collecte s'explique donc par des projets financés plus importants que l'an passé.Les montants remboursés sont également en forte croissance : 180 millions d'euros en 2020 contre 103 millions d'euros en 2019, soit une hausse de 75%, directement liée à la croissance annuelle de la collecte des années précédentes, et qui témoigne de la solidité du modèle du crowdfunding immobilier, les confinements n'ayant pas impacté de manière significative la vitesse des remboursements sur l'année 2020. Le nombre de projets remboursés est également en hausse, passant de 220 en 2019 à 310 en 2020 (+41%).Un produit qui séduit et qui se démocratiseLe montant moyen financé par projet en 2020 s'élève à 857 329 euros, contre 689 150 euros en 2019. En hausse de 24%, il traduit la capacité des plateformes à attirer de gros opérateurs et d'importants volumes d'investisseurs par projet. Cette progression est également naturellement liée au rehaussement par la loi Pacte du plafond de collecte à 8 millions d'euros (contre 2,5 millions avant octobre 2019), permettant ainsi de financer des opérations immobilières de plus grande envergure. En 2020, environ 15% de la collecte a concerné des projets compris entre 5 et 8 millions d'euros, preuve que la loi Pacte a eu un véritable impact sur l'envolée des montants collectés. La durée de placement quant à elle réduit légèrement : 21 mois contre 21,3 mois en 2019.En se basant sur les données publiées par 28 plateformes*, représentant 100% de la collecte totale du marché, on voit que les investisseurs sont en moyenne 177 par collecte, avec un placement moyen de 4711 euros (contre 1581 euros en 2019, soit près de 198% d'augmentation).Le taux de rendement moyen quant à lui est en légère hausse, à 9,3% par an (9,2% par an en 2019).*sur les 32 plateformes étudiées, 4 d'entre elles n'ont pas collecté d'argent et ont uniquement procédé à des remboursementsL'Ile-de-France caracole en tête et le marché reste orienté vers le résidentielDans la continuité de l'année 2019, l'Ile-de-France reste en tête avec une collecte de 225 millions d'euros (+43% par rapport à l'an dernier), devant Auvergne-Rhône-Alpes (63 millions d'euros, +2%) et la Région Sud (59 millions d'euros) qui monte en puissance (+49% par rapport à 2019) en raison de la croissance de la collecte pour des opérations de marchands de biens de luxe, notamment sur la Côte d'Azur. A elles seules, ces 3 régions concentrent près de 70% de la collecte totale du marché en 2020. A noter également les fortes progressions de la collecte en Normandie (+377%), Bretagne (+282%), dans les hauts-de-France (+245%) ou encore dans les Pays de la Loire (+139%).Parmi les 578 projets financés en 2020, 79,2% étaient des projets orientés sur le résidentiel, loin devant les commerces (6%), les bureaux (4,8%), les résidences séniors & étudiantes (4,7%), les hôtels (2,2%), les projets d'aménagement (1,8%), et la logistique (1,3%). La baisse de la part des commerces et bureaux (moins de 11% en 2020 contre 13% en 2019) s'explique par l'impact de la crise sur la construction de nouveaux bâtiments de ce type. On note aussi la montée en puissance d'une nouvelle typologie d'actifs : les résidences seniors et étudiantes, qui étaient quasi négligeables en 2019 et qui représentent près de 5% des projets en 2020, soit 23,6 millions d'euros de collecte.La part des opérations de marchands de biens (achat de biens qui sont ensuite valorisés puis revendus avec une plus-value) est elle aussi en hausse : elles représentent 38,8% de la collecte en 2020, contre 23% en 2019, soit une augmentation de près de 69%. Cette diversification explique en partie la montée en puissance du résidentiel.En 2020, le « projet moyen » financé par le crowdfunding immobilier était une opération résidentielle de 43 logements en Ile-de-France, représentant un chiffre d'affaires d'environ 11 millions d'euros.Un levier business crucial pour les professionnels de l'immobilierSolution de financement innovante pour les professionnels de l'immobilier, le crowdfunding immobilier leur permet de gagner du temps pour lever des fonds propres et de faire appel à des investisseurs sans les faire entrer au capital de la société de projet, en gardant leur indépendance. Cette souplesse de trésorerie a séduit 321 opérateurs depuis la création du marché.Le marché du financement participatif de l'immobilier reste à date concentré autour de 5 plateformes majeures (dont Fundimmo), qui représentent deux tiers du marché global en termes de collecte, et qui ont chacune levé en moyenne 66,7 millions d'euros en 2020. Suivent ensuite 5 plateformes de taille intermédiaire qui représentent 23,1% de parts de marché (chacune ayant levé 23,3 millions d'euros en moyenne), puis 10 plateformes qui représentent 9,5% de part de marché (avec 4,8 millions d'euros levés en moyenne), et 7 plateformes qui représentent 1% de part de marché (697 000 euros levés). Les plateformes restantes n'ont pas fait de collecte en 2020, uniquement des remboursements.Baisse légère des retards de remboursements, stabilité du taux de défaut moyenLe taux de retard moyen, qui prend en compte uniquement les dépassements de l'échéance contractuelle maximum depuis 2012, est en baisse de 1,91 points sur les retards de moins de 6 mois, et de 1,99 points sur les retards de plus de 6 mois par rapport à l'année 2019. Ils s'élèvent respectivement à 4,4% et 5,7%. Dans le détail, seulement quelques acteurs concentrent des retards conséquents. Cette baisse peut s'expliquer mécaniquement par les montants remboursés qui suivent leurs cours et la croissance de la collecte.Le taux de défaut moyen, calculé sur la base de projets ayant subi une perte en capital et/ou une perte des intérêts depuis 2012, est évalué à 0,16%, en baisse de 0,41 points : aucun nouveau cas de défaut n'a été avéré en 2020. Dans une démarche de transparence, l'agrégateur de projets HelloCrowdfunding actualise tous les mois les données sur le déroulement des différents projets, permettant ainsi d'identifier les projets en retard.Principaux indicateurs :505 millions d'euros collectés (+35% par rapport à 2019), pour financer 589 projets (+8%).180 millions d'euros remboursés (+75% par rapport à 2019), représentant 310 projets (+41%).Un montant moyen par collecte de 857 329 euros (+24% par rapport à 2019).Une durée moyenne de placement de 21 mois (contre 21,3 mois en 2019).Un rendement annuel moyen de 9,3%.La région Ile-de-France concentre la plus forte collecte, qui a atteint 225 millions d'euros en 2020. L'Auvergne-Rhône-Alpes (63,2 millions d'euros) et la Région Sud (58,7 millions d'euros) complètent le podium, comme en 2019, avec une montée en puissance de la Région Sud (+49%).Un taux de retard moyen inférieur à 6 mois de 4,4% (-1,91 points par rapport à 2019), et un taux de retard moyen supérieur à 6 mois de 5,7% (-1,99 points). Le taux de défaut de remboursement est de 0,16% (-0,41 point).
Il y a 4 ans et 136 jours

L'assurance-vie s'engage en faveur du recyclage de bureaux vides en logements

Véritable marronnier, ce "recyclage" était une des mesures phares de la loi Elan de 2018 afin de répondre à la pénurie de logements, criante notamment en Ile-de-France où le foncier est rare et cher.Cette question est revenue sur le devant de la scène ces derniers mois avec la généralisation du télétravail qui a poussé de nombreuses entreprises à réfléchir à l'après-épidémie et repenser la taille de leurs bureaux.En région parisienne, la quantité de bureaux loués a ainsi reculé de près de moitié (-45%) par rapport à un an plus tôt."Il y a un alignement des planètes" favorable à une accélération du recyclage de bureaux vides en logement, a estimé Joachim Azan, le président fondateur de Novaxia, lors d'une conférence de presse à Paris.Cette accélération se concrétisera par le lancement au printemps d'un fonds spécifique "Novaxia R", soutenu par Suravenir, Spirica, AG2R la Mondiale et Generali, a-t-il ajouté."On ambitionne de déployer un milliard d'euros d'investissements, l'équivalent de 250.000 m² de surface de plancher ou l'équivalent de 4.000 logements" pour "les trois prochaines années", a précisé Joachim Azan.L'objectif de ce fonds, qui proposera aux épargnants de diversifier leur épargne dans le logement, est "d'acheter des immeubles de bureaux avec une décote de l'ordre de 20 à 30%" et de "fabriquer du logement à l'issue de cette transformation". Ses promoteurs espèrent un rendement de 5% par an.L'Ile-de-France - qui compte, selon Novaxia, trois millions de m² de bureaux vides auxquels se rajoutent entre "3 à 6 millions de m² du fait du télétravail" accru depuis la crise sanitaire - sera majoritairement concernée.Une première charte avait été signée en mars 2018 par dix opérateurs qui s'étaient engagés à transformer 500.000 m² de bureaux en logements en Ile-de-France d'ici 2022.Mais près de trois ans plus tard, aucun bilan n'a été communiqué.Il n'y a pour l'heure pas encore de "chiffre consolidé", a confirmé mardi la ministre du Logement Emmanuelle Wargon, mais "ça a marché, il y a plein de projets en cours".La ministre, qui visitait des bureaux transformés par Novaxia en logements dans le 20e arrondissement de Paris, a précisé qu'elle réunirait d'ici "une quinzaine de jours" les acteurs de 2018 pour faire le point.