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Il y a 2 ans et 336 jours

De la glace sous terre pour climatiser les tours de La Défense

Dans un monde qui se réchauffe, les "réseaux de froid urbain" à l'échelle de quartiers ou de villes entières, encore très marginaux dans le monde, visent à offrir une alternative plus environnementale à la multiplication des climatiseurs individuels problématiques pour le climat."Les réseaux de chaleur et de froid sont extrêmement performants. Une centralisation de la production d'énergie, c'est une meilleure performance de distribution, une meilleure compétitivité et une meilleure performance pour l'environnement", assure à l'AFP Frédéric Joseph, directeur d'Idex La Défense qui rafraîchit plus 3 millions de m2 du plus grand quartier d'affaires d'Europe, aux portes de la capitale française.Sur le site de Courbevoie, deux systèmes se complètent. D'abord plusieurs groupes frigorifiques géants reliés au réseau d'eau glacée: un circuit fermé où l'eau (au départ pompée dans la Seine) est refroidie à 4°C grâce au fluide frigorigène des réfrigérateurs géants, envoyée vers les clients et revient ensuite à 10-11°C avant d'être à nouveau refroidie.En parallèle, le bâtiment abrite dans ses sous-sols des piscines de 12 mètres de profondeur, sillonnées de tubes où circule une eau glycolée (pour qu'elle ne gèle pas) à -7°C, qui fait progressivement geler l'eau des bassins."Ce stockage de glace est le plus grand d'Europe", souligne Olivier Fleck, directeur des opérations. Mais la glace, "moins performante", est surtout utilisée en appoint, en cas de prévision de pic de consommation, comme cette semaine avec la vague de chaleur."On préfère s'affranchir de tout risque pour nos clients, on a choisi de stocker la moitié des bassins", note-t-il."Sobriété"Alors que les canicules se multiplient et s'intensifient en raison du réchauffement de la planète, les experts pointent du doigt le "cercle vicieux" lié à la multiplication des climatiseurs individuels, énergivores, émetteurs de gaz réfrigérants à effet de serre plus puissants que le CO2 et qui rejettent un air chaud amplifiant les bulles de chaleur urbaines.Selon l'Agence internationale de l'Energie, environ 2 millions de climatiseurs, en majorité des modèles peu efficients, étaient installés dans le monde en 2020, en faisant l'un des moteurs de la consommation d'électricité. Et l'augmentation de la demande risque de se poursuivre.Dans ce contexte, "mettre en place des réseaux de froid urbain dans des environnements denses fournit le même service de refroidissement" que des unités de climatisation individuelles "mais avec jusqu'à 50% d'énergie et d'émissions en moins", estime l'ONU-Environnement dans un récent rapport.Soulignant l'avantage d'éviter en outre de renforcer le phénomène d'"ilot de chaleur urbain" qui transforme les villes bétonnées en radiateurs, le rapport note toutefois les limites à un déploiement généralisé de tels systèmes, soulignant notamment la difficulté de les intégrer dans des zones déjà construites."Le réseau de froid doit être pensé dans le développement urbain, quand le quartier se crée", estime aussi Frédéric Joseph.Selon Via Sèva, association française de promotion des réseaux de chaleur et de froid, il existe 32 réseaux de froid en France, avec environ 1.400 bâtiments raccordés.Celui de Paris, le plus important d'Europe avec des dizaines de kilomètres de canalisations installées sous la capitale, fournit en froid des clients comme le Louvre, l'Assemblée nationale ou des grands magasins comme les Galeries Lafayette.Autre limite de ces systèmes centralisés, pour fabriquer le froid, il faut forcément de l'électricité, produite de façon plus ou moins décarbonnée selon les pays.Alors pour réduire les émissions, "il faut aller vers de la sobriété. Le meilleur kilowattheure est celui qu'on ne consomme pas", plaide Frédéric Joseph.
Il y a 2 ans et 339 jours

Veka, une dynamique industrielle, commerciale, environnementale et sociétale exemplaire

Une année 2021 en croissance« Mais c’est surtout une augmentation de 20 % du volume en France qui est à noter, soit environ 20 millions de mètres linéaires produits au total à Thonon-les-Bains. » Jos Lenferink précise par ailleurs : « Notre métier d’extrudeur gammiste est particulièrement automatisé donc directement dépendant du coût des matières premières. Dans notre process, leur proportion peut représenter 60 %, voire plus, de notre chiffre d’affaires. Cette hausse, très difficile à gérer, a également fortement impacté nos clients et particulièrement ceux du segment du neuf collectif, qui doivent gérer des contrats aux prix fixes conclus bien souvent avant la période Covid. Toutefois, le plus grand défi fut d’avoir suffisamment de matière première pour produire et livrer nos clients. Chose faite, et l’ensemble de nos clients a su apprécier toute la fiabilité de VEKA et de ses équipes, à qui je rends hommage pour leur implication. Avec aucun allongement de délai tant pour les références standards que spécifiques, VEKA a fait preuve d’une grande fiabilité, essentielle pour la réussite de nos clients, fabricants d’excellentes menuiseries. »Rappelons que le groupe familial VEKA est non côté en bourse et dispose d’une assise économique solide, lui garantissant une large indépendance et une capacité de stockage au-dessus de la moyenne du métier. Cette spécificité, combinée à l’accès à la matière première issue de menuiseries PVC en fin de vie en provenance de VEKA Recyclage, lui a notamment permis de gérer parfaitement ses approvisionnements comme ses stocks. « Nous n’avons pas répercuté l’intégralité des hausses, ce qui a impacté nos marges », précise Emmanuel Demesmay, Country Manager France. Un impact quelque peu compensé par l’acquisition de nouveaux clients tricolores importants. « 2021 a également marqué le démarrage réussi en VEKA de nouveaux fabricants. C’est par exemple le cas de BIPA et WiBaie avec le lancement de leur nouvelle gamme Lum’Up ». Côté chiffres toujours, VEKA a enregistré une très belle performance sur le marché espagnol qui dépend de la même zone, avec une hausse de plus de 70 % de son chiffre d’affaires l’année passée. Une importante augmentation induite là-encore par l’acquisition de nouveaux clients, tel Ampuero, le n°1 de la fenêtre en Espagne et fournisseur de Leroy Merlin Espagne.Des investissements soutenus en 2022 et les prochaines annéesLe développement de ses ventes s’accompagne par ailleurs d’investissements industriels importants, tant en France qu’en Espagne (environ 7 millions d’euros, dont 4,7 pour la France).Ainsi, pour l’Hexagone, VEKA prévoit l’installation cette année de deux nouvelles lignes d’extrusion (une ligne duo) conférant au site de Thonon-les-Bains une capacité de production significativement augmentée. Deux nouvelles nacelles / chariots pour le picking viendront également étoffer l’outil industriel français.Mieux encore, VEKA annonce être à la recherche de foncier (entre 20 000 et 40 000 m²) pour la création d’un nouveau centre logistique, entre Thonon-les-Bains et Lyon. « Cet investissement est évalué aux environs de 10 millions d’euros » précise Jos Lenferink. « Il vise à augmenter notre capacité de stockage et à optimiser notre niveau de service. »Et de conclure : « À terme, nous prévoyons une croissance complémentaire importante grâce aux opportunités post Covid, poussée par les projets européens et nationaux pour l’efficacité énergétique et par l’attractivité de la marque VEKA, du fait de sa stabilité et de sa fiabilité. Dans les années à venir, nous prévoyons ainsi des investissements complémentaires importants, concernant nos lignes d’extrusion et nos capacités de plaxage (traditionnel et VEKA SPECTRAL) ».Côté espagnol, on retrouve cette même logique de développement industriel pour toujours plus de réactivité et de services. Ainsi, la capacité de production a été doublée en 2021 et des investissements sont planifiés en 2022 avec l’installation d’une nouvelle ligne d’extrusion (la 6ème) et d‘une nouvelle ligne de plaxage (la 3ème) et par l’acquisition d’une nouvelle machine de découpe de film.À nouvelle signature, nouvelle visionAvec pour nouvelle signature de marque, « Ensemble, créons de meilleurs espaces de vie », VEKA décline sa mission d’engagement sociétal à plusieurs niveaux. Le premier est celui d’offrir le meilleur espace de vie aux utilisateurs des menuiseries VEKA, pour à la fois plus de confort et plus d’esthétique. Ainsi, gagner toujours davantage en performance pour isoler du froid, de la chaleur et du bruit, pour résister aux intempéries et variations climatiques, tout en apportant plus de lumière naturelle et de confort d’utilisation… motivent au premier plan les équipes techniques VEKA.La performance n’exclut pas l’esthétique. « La finesse des profilés, leur design, les technologies de colorisation, les larges dimensions des menuiseries… sont parmi les forces de nos nouveaux produits et des développements à venir » précise Virginie Heckel, Directrice Marketing. Emmanuel Demesmay de conclure : « Nous différencier, répondre toujours mieux aux attentes du marché et monter en gamme la menuiserie PVC font partie intégrante de nos objectifs ».Autre échelon de ce credo « Ensemble, créons de meilleurs espaces de vie » : les collaborateurs VEKA. L’industriel s’est en effet engagé dans une démarche pour créer une communauté VEKA exemplaire avec un meilleur cadre de vie pour ses collaborateurs. En filigrane, aucune discrimination de race ou de genre, une équité parfaite et une attention toute particulière au bien-être en anticipant notamment les risques professionnels.Ainsi, le programme VEKA Vital est basé sur le « vivre ensemble », l’activité physique, l’alimentation et l’information santé. L’intervention d’un expert en ergonomie, des événements sportifs extérieurs, des aménagements pour faciliter le télétravail, la mise en place de sessions d’aides pour lutter contre les addictions, des cours de yoga et de sophrologie… sont quelques exemples d’initiatives mises en place dernièrement.Le troisième et dernier volet de ce triptyque « Ensemble, créons de meilleurs espaces de vie » est l’environnement ; « celui que l’on voit au travers de la fenêtre », comme aime à le rappeler Jos Lenferink. En effet, pour un monde un peu meilleur, les menuiseries VEKA isolent, donc luttent contre le réchauffement climatique, mais se veulent aussi citoyennes et responsables car recyclables.Depuis 30 ans, VEKA fait figure de pionnier engagé dans une démarche environnementale durable et forte, comprenant autant le choix des matières, le process de fabrication, le recyclage des chutes de production et des produits en fin de vie, que la réintégration de matière régénérée dans de nouveaux profilés. VEKA s’impose ainsi comme un acteur véritablement engagé dans l’économie circulaire.Une croissance qui passe par l’innovation, tant produit qu’environnementaleSeptembre 2022 marquera le début de commercialisation du nouveau coulissant VEKASLIDE Hi-5, dont la présentation en avant-première sur les derniers salons Equipbaie et Artibat a rencontré un vif succès. En mai prochain, c’est également le nouveau coffre de volet roulant VEKAVARANT MASTERBOX qui sera disponible auprès des industriels de la fermeture, ainsi que le nouveau seuil VEKA 3.0 en fin d’année.Mais l’innovation passe également par l’environnement, et sur ce plan, VEKA devance et anticipe régulièrement les réglementations. L’industriel affiche aujourd’hui une moyenne Groupe de 26 % de matière recyclée utilisée dans ses profilés (vs moyenne nationale située à 8 % et objectifs de la profession fixés à 20 % à l’horizon 2025). En 2022, VEKA va encore plus loin avec la solution VEKA REcycle. Virginie Heckel la présente comme « une solution totalement éco-responsable, développée pour les clients fabricants VEKA qui sont engagés dans une démarche environnementale partenariale en boucle fermée et évitant la mise en décharge ou l’enfouissement des menuiseries en fin de vie et des chutes de production. Cette nouvelle ligne fait ainsi appel à 100 % de matière recyclée « R-PVC » au cœur de ses profilés et, au global, jusqu’à 70 % de matière recyclée dans le cadre de la menuiserie ». Une ligne bien entendu 100 % recyclable, sous DTA, conforme à la RE 2020, la REP 2022 et aux certifications QB34, NF 126 et NF 220.VEKASLIDE Hi-5 : 5 atouts majeurs pour un nouveau concept de coulissant qui réunit les bénéfices d’un système coulissant (2 vantaux/2 rails) et d’une menuiserie à frappe.1. ConfortAvec un mouvement de coulissement sans frottement et un effort de manœuvre extrêmement faible, le déplacement des vantaux VEKASLIDE Hi-5 est particulièrement aisé (jusqu’à 150 kg de charge par ouvrant).2. PerformanceLe VEKASLIDE Hi-5 se dénote par des vantaux coulissant sur deux rails sans frottement et par une étanchéité assurée via la compression des joints de frappe. Deux innovations majeures lui conférant des performances AEV (A*4 E*8A V*A3) similaires à celles des meilleures menuiseries PVC. Revendiquant une performance thermique UW de 1,3 W/(m².K) en double vitrage standard, le coulissant VEKASLIDE Hi-5 peut aussi accepter des vitrages jusqu’à 36 mm d’épaisseur, pour des performances acoustiques atteignant les 38 dB.3. DesignLes grandes dimensions et la finesse des profilés VEKASLIDE Hi-5 (54 mm en partie centrale) apportent lumière naturelle et économies d’énergie accrues. Le coulissant se singularise également par sa large palette de couleurs (près de 50) qui se complète de la finition VEKA SPECTRAL, en mono ou bi-coloration, véritable garantie de personnalisation et d’élégance.4. IndustrialisationAvec une industrialisation identique à celle d’une fenêtre PVC traditionnelle, VEKASLIDE Hi-5 se fabrique par soudage des ouvrants et des dormants. L’option de l’assemblage mécanique du dormant est également possible pour faciliter l’installation des grandes dimensions sur chantier.5. Éco-conceptionPlusieurs profilés VEKASLIDE Hi-5 seront fabriqués en coextrusion, intégrant ainsi dans leur cœur de la matière recyclée. Fidèle à la stratégie environnementale de VEKA, le nouveau coulissant est par ailleurs conçu pour être 100 % recyclable.L’industrialisation du VEKASLIDE Hi-5 débutera en septembre 2022 et les prochains développements complémentaires porteront sur les systèmes à 4 vantaux et les solutions à galandage.
Il y a 2 ans et 339 jours

Lancement d'un "tinder du carbone" pour entreprises

Baptisée "je décarbone", la plateforme a pour but de permettre aux entreprises de trouver des solutions pour réduire leurs émissions de CO2 ou leur consommation d'énergie, et à celles qui apportent des solutions techniques, de trouver des clientes.Un premier bilan d'activité sera tiré le 7 septembre lors d'un événement à Bercy rassemblant l'ensemble des parties prenantes, ont indiqué à l'AFP Sylvie Jehanno, PDG de Dalkia, filiale d'EDF, et Stéphane Michel, directeur de l'activité gaz renouvelable et électricité chez TotalEnergies, parrains du projet.Le projet est porté par la filière réunissant les industriels des "nouveaux systèmes énergétiques", présidé par Mme Jehanno et M. Michel. Il est financé par l'Ademe dans le cadre du plan France Relance."L'idée est de ne pas reproduire ce qui s'est passé dans le photovoltaïque où la plupart des panneaux solaires viennent d'Asie, il va y avoir beaucoup de projets de décarbonation, c'est une opportunité pour l'industrie française" qui joue un jeu "très collectif" sur le sujet en lançant cette plateforme, a indiqué Mme Jehanno.La fabrication de panneaux solaires en Europe est morte en raison de prix trop élevés, des prix cassés de la Chine et de politiques publiques erratiques."C'est une course de vitesse au déploiement de solutions qui va permettre de faire baisser les prix et de rester dans la course de la compétitivité" en soutenant les industriels français ou européens, a résumé Aurélie Picart, déléguée générale du Comité stratégique de filière.Le site propose trois grandes thématiques selon qu'une entreprise cherche à faire des "économies d'énergie", à réduire ses émissions de CO2 par "l'énergie ou la chaleur bas-carbone", ou encore, lorsque c'est impossible, à "capturer le CO2 émis" pour le valoriser.Pour l'instant, très peu d'entreprises émettrices de besoins ou qui ont des solutions à proposer y ont déposé leurs fiches.L'entreprise Aztep, basée au Pecq dans les Yvelines, propose des solutions de "chaleur solaire concentrée haute température" "pour "profiter de chaque heure de soleil afin de réduire sa consommation de gaz". Bultane, spécialisée initialement dans les fers à souder et basée à Montpellier, propose d'introduire des petits électrolyseurs directement dans une chaudière à gaz, pour fabriquer de l'hydrogène dans le bruleur."Les projets doivent être décrits des deux côtés de manière suffisamment précise, on ne veut pas que ce soit de la publicité, il faut qu'il y ait une finalité de service" a insisté M. Michel. "Il y aura une modération du site organisée par la filière", a-t-il prévenu. En particulier, les apporteurs de solutions doivent préciser si leur technologie est "origine France" ou pas.Le site est accessible gratuitement, après inscription. Il y aura aussi des "ateliers régionaux" en lien avec les collectivités territoriales."Nous travaillons sur ce projet depuis plus de 18 mois avec la "task force" interministérielle mise en place par l'Etat (Bercy, ministère de la transition énergétique, les services de Matignon, l'Ademe et la banque publique d'investissement), a précisé Aurélie Picart qui espère qu'il agisse comme un "accélérateur" pour la transition énergétique et pour l'industrie."Si le véhicule électrique était pourvoyeur net de plus d'emplois, on irait beaucoup plus vite vers l'électrique", souligne-t-elle.
Il y a 2 ans et 339 jours

Contre les îlots de chaleur, l'exécutif prévoit 500 M€ afin de "renaturer" les villes

URBANISME. Au moment où toute la France est touchée par une vague de chaleur "précoce et inédite" pour un mois de juin, le Gouvernement annonce "un programme de renaturation des villes" doté de 500 millions d'euros pour lutter contre les îlots de chaleur urbains. Il devrait essentiellement porter sur la création de canopées et la végétalisation de façades.
Il y a 2 ans et 339 jours

Puy-de-Dôme : travaux d’extension de réseaux de chaleur urbains au niveau de l’avenue d’Italie à Clermont-Ferrand

La circulation sera perturbée au niveau de l’avenue d’Italie, à Clermont-Ferrand (Puy-de-Dôme), jusqu’au 26 août 2022.
Il y a 2 ans et 340 jours

Création de la première capacité française de production d’aluminium bas carbone à même de trier tout type de déchet aluminium

Pour ce faire, les familles Corre (extrusion et thermolaquage de profilés aluminium) et Liébot (menuiseries, principalement aluminium, extrusion et thermolaquage de profilés aluminium), investissent ensemble pour l’avenir de la profession en créant le premier site français capable de trier tous les types de déchets aluminium et de les transformer en billettes d’aluminium à faible taux carbone.Des déchets aluminium actuellement perdus au profit d’autres marchésLa France compte à ce jour deux** fonderies produisant des billettes d’aluminium, uniquement à partir de déchets aluminium « blancs », c'est-à-dire d’aluminium brut. En l’absence de débouché, les chutes d’aluminium générées en usine (dans lesquelles l’aluminium est laqué et généralement barretté) et l’aluminium de fin de vie (issu de la déconstruction de produits ayant déjà vécu), quittent le territoire pour être recyclés à l’étranger. Ils reviennent rarement en France.Or dans les années à venir, la quantité d’aluminium de fin de vie, issu de la déconstruction, ne fera qu’augmenter sur le territoire, notamment en raison du Décret Tertiaire de juillet 2019, qui fixe des obligations de réduction de la consommation d’Energie dans les bâtiments à usage tertiaire de plus de 1 000 m².Il y a urgence à mettre en place une véritable « boucle fermée » pour baisser le poids carbone des ouvrages en aluminium, notamment dans le cadre de la RE2020. Les produits aluminium en fin de vie (fenêtres, façades, garde-corps, cloisons…) seront ainsi recyclés pour devenir de nouveaux produits pour le bâtiment, l’ensemble des opérations étant réalisé en France.Demain, la première fonderie capable de traiter tout type de déchet aluminiumLes familles Corre et Liébot unissent leurs forces afin de créer la première fonderie française capable de trier tout type de déchet pour produire de l’aluminium bas carbone. Celle-ci aura vocation à couvrir les besoins propres de ces deux groupes mais également les besoins des professionnels du bâtiment.Elle verra le jour à Sainte-Hermine en Vendée. Une société, Coralium, a été créée pour permettre cette activité. Un terrain de 70 000 m2 a été identifié et accueillera une usine de 9.000 m2. Le projet, d’un montant total de 30 millions d’euros, entraînera la création d'une soixantaine d’emplois.Un processus industriel global et très élaboréCette fonderie sera la première en France à être capable de traiter tout type de déchet aluminium (pur, laqué, barreté, ou fin de vie). Cela suppose un processus de tri particulièrement élaboré, composé de nombreuses étapes et de machines performantes pour arriver à un alliage 6060 ou 6063 qualité Bâtiment. Des étapes de broyage, séparation magnétique, tamisage, tri par rayons X, délaquage, se succèdent pour obtenir un métal identique à une première fusion.Elle aura une capacité de production de 20.000 tonnes de billettes aluminium par an dans un premier temps.Un site conçu pour limiter son impact environnementalPour la première fois, ces installations de tri sont situées sur le même site que la fonderie, contribuant ainsi à réduire le bilan carbone lié au transport. Celle-ci sera dotée des technologies les plus récentes et performantes, notamment avec l’installation d’une centrale de production d'électricité qui fonctionnera grâce à la chaleur récupérée sur le site de production, et qui permettra de réduire la consommation nécessaire pour alimenter ce type d’industrie.* https://www.ecologie.gouv.fr/construction-et-performance-environnementale-du-batiment** hors fonderie à usage interne
Il y a 2 ans et 340 jours

Vague de chaleur : l'Ademe invite à se détourner des climatiseurs monoblocs

CLIMAT. L'organisme d'Etat considère les climatiseurs comme une solution "de dernier recours". Il pointe notamment la consommation excessive d'électricité de ces appareils.
Il y a 2 ans et 340 jours

Le premier catalogue des pompes à chaleur hybrides gaz adaptées au marché de la rénovation

L'Association des Professionnels du Gaz présente le premier catalogue qui recense les modèles de pac hybrides gaz (de puissance 8kW maximum) disponibles en France sur le marché de la rénovation.
Il y a 2 ans et 340 jours

Mitsubishi Electric investit en Turquie pour répondre à la demande de PAC en Europe

INVESTISSEMENT. Mitsubishi Electric annonce un investissement de près de 108 millions d'euros dans son usine MACT en Turquie. Objectif : améliorer les capacités de production, notamment des pompes à chaleur Air/Eau afin de répondre à la demande européenne.
Il y a 2 ans et 340 jours

Fortes chaleurs : les entreprises et salariés du bâtiment appelés à la prudence

SANTÉ. Alors que le thermomètre devrait atteindre voire dépasser les 40°C un peu partout dans l'Hexagone d'ici à ce week-end, les acteurs du bâtiment appellent les chefs d'entreprises comme les salariés à adopter les bonnes pratiques. Tour d'horizon des mesures de bon sens qui peuvent éviter un coup de chaleur.
Il y a 2 ans et 341 jours

Thermactif®, la solution unique de sol chauffant-rafraîchissant ultra-réactif évolue vers une 2de génération, pour répondre encore mieux aux besoins de confort et à la RE2020

Précurseurs sur le marché, Thermacome et Anhydritec ont imaginé Thermactif®, le premier système complet de sol chauffant/rafraîchissant ultra-réactif, dès 2014. Répondant à la RT 2012 et aux besoins sociétaux, cette 1ère génération a fait valoir de nombreux atouts, comme la chape THERMIO®+ à haute performance thermique garantie, une régulation performante et certifiée et une garantie de 20 ans unique sur le marché. Après plus de 500 000 m² réalisés, notamment dans le non-résidentiel, Thermactif® évolue vers une 2de génération pour répondre aux nouvelles exigences thermiques et environnementales et proposer des solutions adaptées à chaque segment de marché de la construction. Cette nouvelle solution de sol chauffant-rafraîchissant ultra-réactif est conçue pour répondre aux exigences de confort toutes saisons. Thermactif 2de Génération s’inscrit dans les nouvelles directives réglementaires de la RE2020 qui favorisent : la sobriété énergétique et à la décarbonation de l’énergie ; la diminution de l’impact carbone de la construction des bâtiments ; la garantie de fraîcheur en cas de forte chaleur. Grâce à ses composants de haute technologie, Thermactif 2de Génération améliore la performance thermique des bâtiments et réduit de 40 % l’empreinte carbone du système (par rapport à un sol avec une chape ciment traditionnelle). Thermactif 2de Génération associe en effet un système de plancher chauffant/rafraîchissant fin et ultra-réactif à une nouvelle technologie de chape fluide Thermio® Max à forte conductivité thermique (l=2,5 W/m.K)  et à faible épaisseur (1.5 cm au-dessus du tube), ce qui augmente l’émission thermique de + 40 %, en chaud comme en froid. Résultat : un sol chauffant-rafraîchissant 3 fois plus réactif d’un système classique qui permet d’atteindre la température de confort en moins de 20 minutes ! Innovation Anhydritec, La Chape Liquide® Thermio® Max assure un rafraîchissement ultra performant grâce à la technologie COOL-TEC® qui apporte une effusivité très élevée, garantissant une capacité d’absorption de la chaleur 40 % supérieure à une chape ciment. En confort d’été, la technologie COOL-TEC® permet d’abaisser de la température de 5 à 7 °C par rapport à la température extérieure. Pour aller plus loin et répondre encore plus finement aux besoins constructifs, Thermacome et Anhydritec ont imaginé des solutions adaptées pour chaque secteur du bâtiment : maison individuelle, logement collectif, non-résidentiel et rénovation. Thermactif 2de Génération se décline ainsi en 4 solutions, chacune imaginée pour apporter le meilleur confort, mais également faciliter la mise en œuvre sur les chantiers. Toutes les solutions Thermactif 2de Génération bénéficient de la chape Thermio® Max de 1,5 cm seulement au-dessus du tube.
Il y a 2 ans et 341 jours

Lutte contre les ilots de chaleur : ECOVEGETAL végétalise le toit de la Capitainerie de Sanary-sur-Mer (83)

Pour lutter contre les effets du réchauffement et les ilots de chaleurs, ECOVEGETAL (1) vient de végétaliser, pour le compte d’une entreprise de travaux publics locale, SMC BTP, la toiture de la capitainerie de Sanary-sur-Mer pour une surface totale de 195 m².  Les toitures-terrasses végétalisées sont de plus en plus utilisées comme un espace de […]
Il y a 2 ans et 341 jours

Recharger les nappes pour parer les sécheresses

Parade contre le risque de pénurie d’eau souterraine, la recharge artificielle des nappes aquifères concerne une cinquantaine de sites en France. Ce bilan devrait rapidement s’enrichir, sous l’effet des sécheresses et des submersions marines qui polluent l’eau douce. Outre la sécurisation de la ressource, les techniques recensées par le Bureau de recherche géologique et minière peuvent contribuer à l’atténuation des pics de chaleur urbaine.
Il y a 2 ans et 341 jours

Canicule : les citadins face à la surchauffe urbaine

Microclimat urbainA la campagne, la végétation utilise le soleil et l'eau du sol pour la photosynthèse, puis restitue à l'atmosphère l'eau puisée dans le sol. La nuit, cette "évapotranspiration" s'arrête.Mais en ville, les surfaces largement imperméables emmagasinent l'énergie solaire. Et pendant la nuit, ces bâtiments, routes en bitume et trottoirs relâchent dans l'air la chaleur accumulée.Résultat, il fait souvent plus chaud dans une ville qu'en périphérie, avec des écarts encore plus marqués pendant les canicules et la nuit, qui peuvent aller jusqu'à plusieurs degrés de plus que dans la campagne environnante.Ce mécanisme est connu sous le nom d'"îlots de chaleur urbains" (ICU), mais il devient "surchauffe urbaine" lorsqu'on y ajoute l'inconfort thermique des habitants, qui dépend aussi de paramètres plus individuels (âge, logement sous les toits mal isolés, métabolisme...).Avec des impacts sanitaires majeurs. "La situation des citadins soumis à ces conditions extrêmes peut conduire à des coups de chaleur et des déshydratations jusqu'à la mort des personnes les plus fragiles", souligne l'Ademe dans son guide "Rafraîchir les villes".Par exemple, lors de la canicule historique de 2003 qui avait fait plus de 15.000 morts en France, la surmortalité avait atteint 141% à Paris ou 80% à Lyon, contre 40% dans les villes petites et moyennes, selon Santé Publique France.Des facteurs identifiésLes facteurs favorisant ces "bulles de chaleur" urbaines sont connus: beaucoup de surfaces artificielles minérales et sombres qui absorbent la chaleur, pas assez de végétation, propriétés des matériaux de construction, présence insuffisante d'eau, activités humaines, orientation des bâtiments, forme des villes...Sans oublier le cercle vicieux de la climatisation qui en rafraîchissant ceux qui peuvent se l'offrir réchauffe l'air extérieur par ses rejets.Des solutionsLa question du rafraîchissement urbain est un domaine de recherche encore récent mais crucial alors que les îlots de chaleur urbains risquent d'amplifier les effets des canicules qui se multiplient et s'intensifient avec le réchauffement de la planète.Des solutions existent pour faire éclater ces bulles de chaleur, comme l'explique l'Ademe dans son guide qui présente 19 types de mesures "émergentes ou éprouvées" parmi lesquels les villes peuvent piocher en fonction de leurs spécificités.D'abord des solutions basées sur la nature, en bref la végétation et l'eau: développement de parcs qui forment de vrais îlots de fraîcheur, plantation d'arbres pour l'ombrage, toitures végétalisées pour le confort intérieur, façades végétalisées pour limiter l'inconfort des piétons, ou encore plans d'eau et rivières avec leurs berges végétalisées.Parmi les solutions "grises", l'Ademe met notamment en avant des formes urbaines "bioclimatiques" qui permettent une meilleure circulation de l'air, l'arrosage de l'espace urbain, des structures d'ombrage, des panneaux solaires pour remplacer les surfaces qui emmagasinent la chaleur ou encore des revêtements drainants, l'isolation des bâtiments.Dernière piste évoquée, les solutions "douces" liées à l'usage de la ville, comme la réduction du trafic routier et des moteurs thermiques qui produisent de la chaleur ou encore la limitation de la climatisation.Pas de miracleMais attention, "aucune solution ne peut résoudre seule la problématique de la surchauffe urbaine", prévient l'Ademe qui suggère une combinaison de plusieurs solutions."Il est alors important de prendre en considération le fait que certaines solutions ne sont pas compatibles, voire s'annulent entre elles, tandis que d'autres agiront en synergie".Il faut également dans le choix des solutions possibles se pencher sur l'effet recherché de chaque solution: rafraîchissement global de la ville ou à l'échelle du confort du piéton.Ainsi par exemple, les fontaines et jets d'eau ont un impact fort pour le confort thermique mais aucun à l'échelle de la ville.Au contraire, des revêtements réfléchissant la lumière (peinture blanche ou matériaux innovants) sur les sols, les murs ou les toits, réduisent l'îlot de chaleur urbain mais peuvent créer de l'inconfort pour les passants à cause du rayonnement.
Il y a 2 ans et 342 jours

Vagues de chaleur : piqûre de rappel sur les bons gestes pour limiter les risques

SANTÉ. Avec l'arrivée des premiers épisodes de fortes chaleurs sur l'Hexagone, le ministère du Travail rappelle les précautions à prendre pour les employés exposés, dans le cadre de l'exercice de leur profession, à ces conditions météorologiques potentiellement dangereuses pour la santé. Le BTP est concerné au premier plan.
Il y a 2 ans et 342 jours

Vagues de chaleur : piqûre de rappel des obligations des employeurs

SANTÉ. Avec l'arrivée des premiers épisodes de fortes chaleurs sur l'Hexagone, le ministère du Travail rappelle les précautions à prendre pour les employés exposés, dans le cadre de l'exercice de leur profession, à ces conditions météorologiques potentiellement dangereuses pour la santé. Le BTP est concerné au premier plan.
Il y a 2 ans et 342 jours

Vagues de chaleur : piqûre de rappel des bons gestes et des obligations des employeurs

SANTÉ. Avec l'arrivée des premiers épisodes de fortes chaleurs sur l'Hexagone, le ministère du Travail rappelle les précautions à prendre pour les employés exposés, dans le cadre de l'exercice de leur profession, à ces conditions météorologiques potentiellement dangereuses pour la santé. Le BTP est concerné au premier plan.
Il y a 2 ans et 345 jours

Plus de 4.200 participants aux « Assises Européennes de la Transition Energétique » réunis sur le thème de la sobriété énergétique

Durant 3 jours, cette 23ème édition a rassemblé plus de 4.200 participants dans le Grand Genève sur le thème crucial de la sobriété énergétique. Retour sur cette édition 2022 qui a fait bouger les lignes de la transition énergétique.La sobriété au cœur des débats pour atteindre la neutralité carbone à l’horizon 2050 Le programme de cette édition menée par plus de 300 intervenants pour 114 ateliers et 17 plénières a permis d’aller plus loin sur les deux facettes de la sobriété : la sobriété à l'échelle individuelle de ses comportements et la sobriété collective dans la manière d'organiser nos sociétés. Les collectivités et leurs partenaires ont réaffirmé leur rôle moteur dans la transition énergétique et écologique de la société. Aux côtés des co-organisateurs et en présence de la Directrice Générale de l’Office des Nations Unis de Genève, la première journée des Assises a mis à l’honneur les contextes internationaux et nationaux où les divers plans de relance doivent tenir compte de l’exigence écologique. A une échelle plus locale, Régions, métropoles et communes rurales venues de divers pays européens ont illustré comment la logique « Moins pour plus ! » se décline dans les territoires du quotidien. Au-delà de la question de l’acceptabilité du changement, celles autour de la quête de sens et de la formation à ces enjeux se sont révélées essentielles. Jean-François Caron, Fondateur de la Fabrique des Transitions, grand témoin de cette édition, l’a rappelé « Nous devons embarquer la société dans un élan de construction positive ». La deuxième journée a ainsi dressé une analyse des changements de comportements individuels et collectifs nécessaires pour réduire les consommations d’énergie. Des aspects de production et de distribution de l’énergie, les énergies renouvelables autour des questions de préservation des espaces et du foncier, mais aussi de production et distribution de l’énergie à l’heure de la nécessaire maîtrise des besoins, ont aussi fait débat. La dernière journée a réuni des territoires et des acteurs particulièrement engagés, à l’instar des territoires identifiés par l’ADEME dans le cadre du programme « Territoire engagé Transition Écologique ». Elle a également permis de présenter différents scénarios de transition énergétique et a donné la parole aux acteurs de la finance durable et du numérique. En clôture du programme des 17 plénières, la Commission Nationale du Débat Public a diffusé en avant-première son nouveau documentaire "Ma parole a du pouvoir" . Chantal Jouanno, Présidente de la Commission Nationale du Débat Public, Antonio Hodgers, Président du Grand Genève, et Arnaud Leroy, Président de l’ADEME, ont questionné le thème ‘Transitions et Démocratie’ pour démontrer l’importance d’impliquer les citoyens dans les grands enjeux de la transition de demain. Le OFF dédié au Grand Public sur le territoire du Grand Genève, qui offre depuis le 10 mai plus de 180 animations sur le territoire, se poursuit jusqu’au dimanche 5 juin 2022. Voir le programme à cette adresse. Bordeaux Métropole aura le plaisir d’accueillir les prochaines Assises Européennes de la Transition Énergétique au Palais des Congrès de Bordeaux les 23, 24 et 25 mai 2023.Le replay des 17 plénières des Assises Européennes de la Transition énergétique 2022 est disponible ici.Retour sur les moments forts de cette 23ème édition des Assises :1/ Le « Carrefour des Métiers de la Transition Énergétique » a reçu 1.000 jeunes de 14 à 17 ans, en quête d’orientation, mais aussi 250 jeunes diplômés, personnes en reconversion professionnelle et demandeurs d’emplois, pour découvrir les nombreuses perspectives de formations et d’emplois offertes par le secteur de la transition énergétique, avec un focus sur 4 thèmes – l’habitat, la mobilité, le numérique, et l’économie circulaire.2/ Lancement du projet GoH, la première filière hydrogène verte 100% suisse avec la présentation du premier camion 40 tonnes à l'hydrogène rejetant uniquement de l'eau.3/ Publication des dernières études de l’ADEME sur le thème « ACCÉLÉRER LE DÉVELOPPEMENT DES ÉNERGIES RENOUVELABLES »Étude « Les bénéfices liés au développement des énergies renouvelables et de récupération en France » qui évalue les bénéfices économiques et climatiques liés à la diminution des importations de combustibles grâce au développement des EnR.Étude « Coûts des énergies renouvelables et de récupération en France », qui fait le point sur leur coût de production.Étude « Éolien et immobilier », qui objective l’évolution des prix de l’immobilier à proximité des parcs éoliens.4/ Des signatures clés :SYANE (Syndicat des énergies et de l’aménagement numérique de la Haute-Savoie) et Pôle métropolitain du Genevois français : mise en place d’un contrat chaleur renouvelable, aide à la structuration des Centrales Villageoises, accompagnement des collectivités à la gestion de l’éclairage urbain et partage de données cartographies.GRDF et Énergie Partagée : expertises au service de la réussite des projets biogaz pour développer des projets exemplaires comme methamoly, qui unit agriculteurs, collectivités et partenaires industriels.l'Agence du Climat de Strasbourg et l'Agence locale de l’énergie rejoignent le réseau FLAME.Territoire Énergie Loire et Énergies Demain : poursuite du déploiement de l’outil de planification énergétique« PROSPER », aidant les collectivités à prioriser les investissements en faveur de la transition énergétique.Lancement du Label ZEST par la Communauté de communes du Pays Rochois, pour la valorisation en circuitcourt des déchets liquides transformés en BioGNV"Mon Éclairage Public" entre le SYANE et France Nature Environnement5/ Six visites terrains dans le grand Genève, un territoire en action dans la transition énergétique :Des visites thématiques guidées par des initiatives exemplaires et innovantes, ont été organisées à Energie lacustre, réseau d’anergie et récupération chaleur fatale du CERN, méthanisation agricole, écologie industrielle, éco-quartiers, …6/ Et beaucoup d'autres témoignages et retours d'expériences qui ont mis à l'honneur les différents partenaires présents au sein du village de la transition.
Il y a 2 ans et 347 jours

Plus de 1500 pompes à chaleur sur boucle d’eau dans un bâtiment à Issy-les-Moulineaux

La pompe à chaleur sur boucle d’eau est une solution peu connue, mais vertueuse en tertiaire neuf et en rénovation. Bouygues Immobilier l’apprécie et l’a retenue pour le bâtiment de Canal+.
Il y a 2 ans et 347 jours

Panasonic révolutionne le chauffage et le rafraichissement avec Aquarea EcoFleX, sa solution 2 en 1 !

– Solution 2-en-1 alliant des systèmes air-air et air-eau ;  – Unité gainable connectée dotée de la technologie nanoe™X ;  – Installation et maintenance facilitées ;  – Récupération de chaleur pour une efficacité optimale.  Gennevilliers – Panasonic lance Aquarea EcoFleX, une solution flexible et innovante alliant chauffage, climatisation, production d’eau chaude sanitaire et qualité de […]
Il y a 2 ans et 347 jours

Un bracelet intelligent pour prévenir les coups de chaleur sur chantier

Une étude expérimentale sur un bracelet de détection du coup de chaleur a été menée par l'OPPBTP, Pro BTP et Biodata bank. Il doit être commercialisé sous peu.
Il y a 2 ans et 347 jours

Nouveau vitrificateur invisible VX302i pour protéger et préserver la beauté naturelle des parquets

Ces dernières années, le parquet aspect bois brut a le vent en poupe. À la fois moderne et intemporel, authentique et chic, il s’adapte à tous les aménagements intérieurs et contribue à offrir une ambiance cosy et chaleureuse aux pièces à vivre.Pour répondre aux attentes des utilisateurs qui souhaitent protéger leur parquet, sans le réchauffer ni le jaunir, Cecil Professionnel retravaille sa gamme avec une nouvelle référence, le vitrificateur VX302i.Innovante, sa formulation haute performance valorise les bois bruts et apporte au parquet une protection parfaitement invisible !Conçu et fabriqué en France, le nouveau vitrificateur VX302i, mis au point par le service Recherche & Développement, allie haute technicité et confort d’utilisation tout en conservant l’aspect brut du parquet et le toucher bois. Ce nouveau vitrificateur répond totalement à la tendance du marché qui est de conserver la beauté naturelle des parquets.Une finition « effet bois brut » bluffanteLe nouveau vitrificateur invisible VX302i Cecil Professionnel protège le parquet, tout en préservant la beauté naturelle du bois. Il offre un beau rendu pour les intérieurs tendance et contemporains en gardant un aspect brut invisible, sans jaunir ou réchauffer le bois ce qui est généralement le cas d’un vitrificateur classique incolore lors de l’application.Compatible avec toutes les essences de bois (sauf les bois foncés ou exotiques), il s’applique sur tous les supports bois intérieurs (parquets, boiseries, plinthes…) neufs ou anciens et est idéal pour les chambres et les pièces à vivre.Haute performance, sa formulation en phase aqueuse lui permet d’être aussi résistant aux chocs qu’un vitrificateur polyuréthane. Elle offre une finition durable avec une excellente résistance aux chocs, aux taches, à l’abrasion et aux rayures.Son aspect mat profond ne réchauffe pas le bois. L’effet invisible sur les chênes et les essences claires est bluffant et son toucher brut est très agréable.Classé A+ et disposant de fiche FDES, le vitrificateur VX302i est d’un grand confort d’utilisation.Monocomposant, il est prêt à l’emploi et sèche très rapidement, ce qui permet une application de 2 à 3 couches en une journée.Consommation : 15 m2/L - Conditionnement : 1 L, 2,5 LPrix de vente conseillé 2,5 L : 70,95 euros TTCPoints de vente : Négoces en matériaux
Il y a 2 ans et 348 jours

WOLF double ses capacités de production de pompes à chaleur

Afin de pouvoir continuer à répondre à la forte croissance de la demande, WOLF a investi massivement dans l’extension de ses capacités de production de pompes à chaleur. L’enntreprise a investi dans la production de la pompe à chaleur air/eau écologique CHA à Mainburg en Allemagne et a ainsi doublé les capacités existantes. Toutes les pompes à chaleur de la marque peuvent se combiner avec d’autres systèmes comme par exemple les capteurs solaires ou un système de ventilation domestique, la commande peut s’effectuer à distance avec l’application WOLF Smartset.
Il y a 2 ans et 348 jours

Malgré l'interdiction d'installer de nouvelles chaudières fioul, 40% des utilisateurs ne veulent pas changer

En effet, un décret publié au Journal Officiel le 6 janvier 2022 rend impossible l'installation de nouveaux appareils de chauffage fonctionnant au fioul ou au charbon en rénovation et dans le neuf, en fixant un seuil maximal d'émissions de gaz à effet de serre à respecter de 300gCO2eq/KWh.Un an après une première enquête réalisée auprès des consommateurs de fioul après l'annonce de l'interdiction, FioulReduc, site Internet indépendant de vente de fioul à prix bas, et Hellio, acteur de référence de la maîtrise de l'énergie, ont souhaité les interroger de nouveau afin d'observer les évolutions de comportement à l'approche de cette mesure.Cette étude, à laquelle 1.114 consommateurs de fioul ont répondu en ligne entre le 20 avril et le 12 mai 2022*, révèle que l'interdiction imminente ne semble pas provoquer de réel sursaut chez les utilisateurs de fioul : 40% d'entre eux souhaitent toujours conserver ce mode d'énergie pour se chauffer, malgré une hausse de son prix ces derniers mois, et sont de plus en plus inquiets.Cette étude fait apparaître quelques évolutions intéressantes à souligner, comme la désaffection des consommateurs pour la chaudière gaz, de moins en moins plébiscitée comme solution de remplacement, et un passage à l'acte plus rapide pour ceux décidés à franchir le pas.*Méthodologie : FioulReduc et Hellio ont organisé conjointement une consultation auprès des 124.000 clients de FioulReduc répartis sur toute la France, à laquelle 1.114 personnes ont répondu en ligne entre le 20 avril et le 12 mai 2022.Des consommateurs toujours satisfaits de leur équipement fioul en place malgré un prix variable et en hausseSelon les résultats de l'enquête, le profil des consommateurs de fioul reste similaire à celui de 2021 : leur foyer est composé de 2,2 personnes en moyenne, ils sont en majorité retraités, avec un âge moyen de 61 ans, le revenu moyen de leur foyer est de 38.885 €. Leur dépense annuelle moyenne de fioul s'élève à 1.710 €, elle était de 1.632 € en 2021, soit une augmentation de 5%.Pour Maëlle Ricard, directrice des opérations chez FioulReduc : « Le prix du fioul a augmenté de 78% en 1 an, sans compter une augmentation sans précédent de 135% pendant 1 mois due à la crise en Ukraine. Les dépenses des Français chauffés au fioul n'ont augmenté que de 5% sur un an. Plusieurs éléments peuvent expliquer cette différence : d'une part certaines personnes se sont restreintes sur leur chauffage, en remplissant leur cuve au minimum à chaque fois ; d'autre part, selon la date de leur dernier approvisionnement, ils ont pu répartir un peu le surcoût. Il est fort probable que la hausse de coût se fasse davantage ressentir l'année prochaine, si les prix ne baissent pas d'ici là. »Ces consommateurs apprécient toujours le fioul avant tout pour son confort de chauffe (38%), sa simplicité dans la gestion au quotidien (30%) et sa fiabilité (21%).Selon eux, cependant, le principal inconvénient du fioul reste son prix variable à 36% et son coût annuel arrive cette année en 2ème position des inconvénients avec 26% des répondants contre 18% en 2021. Preuve que l'augmentation des prix de l'énergie impacte aussi les utilisateurs de ce mode de chauffage.L'impact environnemental du fioul figure également parmi les inconvénients cités, mais de manière moindre et sans progresser par rapport à l'année dernière (14% en 2022 vs 15% en 2021).Perspectives d'interdiction d'installation de nouvelles chaudières au fioul : plus d'inquiétude, moins de gaz et un passage à l'acte plus rapide L'entrée en vigueur imminente de cette mesure réglementaire, ne portant que sur les nouvelles installations, suscite encore plus d'inquiétude et de mécontentement chez les consommateurs qu'en 2021, l'inquiétude passant de 36% à 40%. Ils sont encore 40% à déclarer que cette interdiction ne va pas les pousser à changer d'énergie dans les 5 années à venir, une proportion en léger recul par rapport à 2021 (47%). 21% envisagent de changer le brûleur de leur chaudière pour la rendre compatible au biofioul, 17% pensent ne rien changer et 2% souhaitent installer une nouvelle chaudière fioul avant l'interdiction. La principale motivation invoquée par les consommateurs reste le bon fonctionnement de leur installation avec 44% des réponses exprimées (47% en 2021). La part des indécis a quant à elle progressé : elle est passée de 38% en 2021 à 43% cette année.Parmi les autres évolutions notables à souligner, la part des consommateurs voulant changer leur chaudière fioul pour passer à une autre énergie enregistre une légère progression : ils sont 17% à l'envisager (15% en 2021). La pompe à chaleur reste le mode de chauffage le plus plébiscité (51%), devant la chaudière à granulés de bois (35%). Fait marquant : la chaudière gaz n'obtient plus que 4% des suffrages (12% en 2021). La baisse des aides pour son installation (Coup de pouce supprimé le 1er juillet 2021 et suppression de MaPrimeRénov' à venir à partir du 1er janvier 2023) et le conflit russo-ukrainien ont certainement joué dans le choix des réponses. À noter enfin que la chaudière hybride, combinant un système de pompe à chaleur et une chaudière fioul, est désormais citée comme une autre alternative possible par 6% des répondants.Pour ces 17% de répondants qui envisagent de se séparer de leur chaudière fioul, ils pensent sauter le pas dans un laps de temps plus rapide qu'en 2021 : dans l'année pour plus de la moitié (54% vs 40% en 2021).La possibilité d'utiliser du biofioul2 (fioul comportant des biocarburants afin de le rendre plus écologique en diminuant son taux de soufre et ses émissions de CO2) en remplacement du fioul suscite la curiosité d'une bonne partie des consommateurs (49%). Les réserves évoquées à ce sujet concernent toujours la compatibilité de leur matériel, le surcoût lié à ce produit et son impact écologique.À noter que les chaudières biofioul 30 respecteront la nouvelle norme pour le remplacement d'un système de chauffage (seuil maximal d'émissions de gaz à effet de serre de 300gCO2eq/KWh). La date d'autorisation de ce futur carburant n'est pas encore connue à ce jour.Les aides financières : un élément de plus en plus considéré comme déclencheurAfin d'atteindre son objectif de changement de toutes les chaudières fioul dans les 10 prochaines années, le gouvernement français a mis en place plusieurs aides financières : MaPrimeRénov', incluant le tout récent bonus supplémentaire de 1 000 € accordé depuis le 15 avril jusqu'au 31 décembre 2022 pour le remplacement par un équipement à énergies renouvelables, et le Coup de pouce Chauffage. Pourtant, le frein lié aux moyens financiers pour changer d'équipement concerne davantage de répondants qu'en 2021, passant de 17% à 23%.Pour 2/3 des consommateurs de fioul déclarant ne pas encore envisager le renouvellement de leur équipement au fioul, des aides financières plus généreuses ou accessibles à un plus grand nombre pourraient les pousser à reconsidérer leur mode de chauffage. Cette tendance s'est accrue en 2022, passant de 69% à 74%. Preuve que malgré le bonus supplémentaire accordé depuis le 15 avril 2022, les aides ne sont toujours pas considérées comme suffisantes.Pour Pierre Maillard, Président Directeur Général de Hellio : « Accompagner 3,5 millions de foyers chauffés au fioul vers une autre source d'énergie ne peut se faire en un claquement de doigts ! L'enjeu est important, tant pour chaque foyer que pour la filière fioul qui sait être force de proposition avec des biocombustibles. Il est primordial de souligner qu'un changement de système de chauffage doit être réfléchi en fonction de l'état du bien immobilier, de sa localisation, et de la composition du foyer occupant. Hellio conseille de ne pas se précipiter sur un système de chauffage qu'un foyer pourrait regretter ! Des professionnels comme Hellio sont mobilisés pour trouver la meilleure solution, et l'installer au meilleur moment. Notre objectif est de maximiser les économies d'énergies d'un foyer, d'améliorer son confort et de valoriser son bien immobilier. Ce triptyque doit primer sur le reste ! Attention aux vendeurs peu scrupuleux sur ces trois points. »Rappel des aides pour le remplacement d'une chaudière fioulMaPrimeRénov'Cette aide publique permet de financer, entre autres, les travaux de chauffage d'une maison individuelle ou d'un appartement en habitat collectif. Les travaux doivent être effectués par des entreprises labellisées RGE. MaPrimeRénov' est accessible à l'ensemble des propriétaires, occupants et bailleurs, quels que soient leurs revenus. Son montant varie en fonction des niveaux de revenus classés en 4 catégories : bleu (ménages très modestes), jaune (ménages modestes), violet (revenus intermédiaires), rose (revenus élevés).Depuis le 15 avril 2022 et jusqu'au 31 décembre 2022, le gouvernement accorde une prime supplémentaire de 1 000 € pour tout remplacement d'un système de chauffage par un équipement à énergies renouvelables.Hellio est mandataire de l'Anah depuis juillet 2020.Le Coup de pouce ChauffageLe dispositif “Coup de pouce” est une prime financière forfaitaire allouée à la réalisation de travaux d'économies d'énergie en échange d'exigences de qualité et de garantie de performance énergétique. Créé par le ministère de la transition écologique en janvier 2019, le dispositif “Coup de pouce Chauffage” aide les ménages à changer leur chaudière peu performante pour un équipement utilisant des énergies renouvelables.Hellio, signataire de la charte d'engagement de ce “Coup de pouce” accompagne les ménages dans ces changements.Le “Coup de pouce Chauffage” est cumulable avec MaPrimeRénov' et l'éco-PTZ.
Il y a 2 ans et 349 jours

Inauguration de Viliaprint : l’impression 3D réussit son examen d’entrée dans la construction de logement social

Plurial Novilia inaugure le 2 juin les 5 premières maisons entièrement réalisées en mix impression 3D béton et éléments préfabriqués hors-site. Un modèle entièrement reproductible et qui sera partagé au sein d’Action Logement pour un déploiement élargi partout en France.Après 4 années d’expérimentation, le projet Viliaprint mixant impression 3D béton et éléments préfabriqués hors-site sort de terre ; Les 5 maisons locatives (T3 au T5) qui ont été réalisées au cœur de l’écoquartier de Réma’Vert ont permis de valider la pertinence de l’approche portée par Plurial Novilia et ses partenaires en phase opérationnelle ;Certifié ATEx par le CSTB, le processus ouvre de nouvelles perspectives en matière de construction de logements sociaux, même si certains points techniques doivent encore être affinés pour renforcer davantage l’efficacité de la démarche.Comme l’explique Alain Nicole, Directeur Général de Plurial Novilia, « au bout de 4 années d’un travail acharné, c’est une vraie satisfaction pour nous de voir le projet Viliaprint enfin concrétisé. Tous les objectifs que nous nous étions fixés tant en termes de technique constructive que de modèle économique sont en passe d’être atteints : l’impression 3D a fait ses preuves en phase opérationnelle et ouvre des perspectives réjouissantes pour notre secteur, en matière de performances comme de délais de réalisation ».Viliaprint a en effet permis de démontrer la pertinence de l’approche globale de Plurial Novilia et de ses partenaires, aussi bien en termes de souplesse architecturale (intégration de courbes, paraboles, ellipses...) que de performances (étanchéité, résistance aux chocs, performance énergétique...), que de délais de construction puisqu’à terme, l’industrialisation du processus permettra de réduire grandement la durée des projets. En outre, l’assemblage de murs préfabriqués en usine permet de réduire grandement la pénibilité pour les équipes et les nuisances pour les riverains.Pour Jérôme Florentin, Directeur de la Maîtrise d’Ouvrage chez Plurial Novilia : « notre plus grande fierté dans le cadre de Viliaprint est que cette innovation a permis de démontrer que l’impression 3D est parfaitement compatible avec notre vision d’un habitat social de haute qualité, atypique, confortable et performant. Ce procédé demande évidemment une certaine acculturation des acteurs en phase de conception comme en phase de réalisation. Il faut former des entreprises, adapter les filières et renforcer les circuits courts. Mais les performances plaident en faveur de cette technologie : si la volonté politique suit et si les bailleurs se saisissent du procédé, l’impression 3D est promise à un bel avenir ».Parallèlement à la réalisation des 5 maisons sur Réma’Vert, Plurial Novilia a d’ailleurs mis au point un dossier technique complet qui peut être mis à disposition de l’ensemble des bailleurs sociaux réunis au sein d’Action Logement qui souhaiteraient à leur tour développer des opérations similaires.Le procédé ayant été par ailleurs certifié ATEx par le CSTB, tous les freins semblent désormais levés pour une adoption massive de ce procédé constructif par les acteurs du logement social.Un projet collectif aux multiples ambitions A travers Viliaprint, Plurial Novilia a souhaité repartir d’une feuille blanche et imaginer ce qu’il serait possible de faire en matière de logement social grâce à la technologie de l’impression 3D imaginée par XtreeE. Tous les curseurs ont ensuite été poussés au maximum, en conception comme en réalisation, dans une optique de reproductibilité et de partage d’expérience avec les autres bailleurs.L’outil de conception numérique offrant une grande liberté architecturale, un travail original a pu être mené avec le cabinet Coste Architectures autour de la conception des maisons.Parallèlement, un objectif de réduction de 40 à 70% du volume d’encre (béton spécifique) fournie par Vicat a été fixé, grâce à l’optimisation des vêtures et des structures, en produisant davantage de creux que de pleins.En phase de réalisation, assurée par les entreprises Demathieu Bard Construction, Le Bâtiment Associé et Soprema ainsi que leurs sous-traitants, plusieurs objectifs ont été fixés – et atteints - notamment la réduction des délais de construction.En outre, le déploiement de la solution a permis de réduire la pénibilité pour les équipes et les nuisances pour les riverains.Enfin, de nombreux équipements ont été intégrés au bâti afin d’en renforcer encore les performances et la qualité d’usage à tous les niveaux tels que les pompes à chaleur Atlantic.Les dimensions de ViliaprintUn projet à dimension sociale, visant à mettre l’impression 3D au service de la fonctionnalité du logement, du confort de ses occupants et du développement des territoires.Un projet à dimension économique, ayant permis de certifier une nouvelle technique de construction avec la volonté de la rendre reproductible, à travers un modèle économique pérenne.Un projet durable, ayant permis de valoriser les atouts de l’impression 3D en phase de chantier, aussi bien sur un plan environnemental (économies de matière, filière sèche...) que sur un plan sociétal (réduction de la pénibilité pour les équipes, réduction des nuisances pour les riverains...).Les grandes étapes du projetMai 2018 : Viliaprint, multiple lauréat des appels à projets innovantsViliaprint a été sélectionné en mai 2018 par la Caisse des Dépôts et l’USH dans le cadre de l’appel à projets « Architecture de la Transformation 2018 ». Ouverte à tous les bailleurs sociaux, cette initiative vise à faire émerger de nouvelles réponses architecturales, techniques et organisationnelles au service du logement social et intermédiaire - des réponses réplicables et qui seront partagées avec l’ensemble des bailleurs sociaux. Choisi parmi plus de 40 projets, Viliaprint a d’abord bénéficié d’un premier accompagnement du Hack’Archi, un atelier d’innovation ouverte, mobilisant autour d’eux 70 étudiants de formations variées, puis est passé pendant 9 mois en phase d’incubation afin de tester les solutions et valider les modalités de leur généralisation au sein du LabCDC, l’incubateur de projets innovants du groupe Caisse des Dépôts. Le projet a également obtenu le coup de cœur du jury d’ALINOV, le fonds d’innovation d’Action Logement.Avril 2019 : impression des premiers prototypes de mursAfin de tester « in situ » la fiabilité du concept, Plurial Novilia et XtreeE ont imprimé plusieurs prototypes de murs en béton 3D. Un important travail a été mené sur le béton, fourni et spécialement développé par le groupe cimentier Vicat – un mortier haute performance directement transformé dans la tête d’impression du robot de XtreeE. Les différents prototypes ont permis d’affiner le mélange afin de renforcer l’étanchéité ou la résistance aux chocs des murs - mais aussi de valider l’essentiel des intuitions de départ.Novembre 2020 : obtention de la certification ATExLa législation ne permettant pas d’utiliser d’éléments imprimés 3D comme éléments intégrés à la structure porteuse d’une construction, Plurial Novilia et XtreeE ont demandé au CSTB (Centre Scientifique et Technique du Bâtiment) de valider le principe technique imaginé à travers la certification ATEx. L’avis favorable, rendu après de nombreux échanges et ajustements techniques, a également permis de valider l’assurabilité du projet immobilier et par effet direct la possibilité de mise en location des maisons imprimées.Juin 2021 : liaisonnage des murs et montage des maisonsAprès 3 années de tests et de préparation, Viliaprint est rentré en phase opérationnelle à l’été 2021 avec le premier liaisonnage de murs imprimés en béton - et donc le montage des premières maisons. Sur la parcelle, tout était prêt pour accueillir les murs imprimés : les fondations avaient été réalisées, tout comme le dallage et la structure de poteaux et de poutres. Ne restaient plus que la pose et le liaisonnage à effectuer. Outre le chef de chantier, un chef d’équipe et deux maçons coffreurs expérimentés ont supervisé cette opération nécessitant un grutage au millimètre. Le montage sur site des murs a pris à peine plus d’une demi-journée pour une maison de plain-pied.
Il y a 2 ans et 350 jours

Comment isoler écologiquement les combles d’une maison ancienne 

Ce n’est plus un secret pour personne : stopper les pertes de chaleur par le toit est une priorité. En effet, l’air en se chargeant de calories s’allège et monte naturellement. Faire sciemment le choix de ne pas isoler votre toiture serait donc un comble ! Attention toutefois à ne pas confondre économies d’énergie et confort […]
Il y a 2 ans et 352 jours

Bouygues Immobilier veut réduire d'un tiers l'impact carbone de ses logements

PROMOTION. Respect de l'environnement, confort et modularité sont les trois axes de la nouvelle offre de logements de Bouygues Immobilier. Les matériaux français seront privilégiés et des pompes à chaleur réversibles chaud-froid seront installées dans 100% des logements conçus à compter de cette année.
Il y a 2 ans et 352 jours

Résultats d’une étude expérimentale sur le bracelet de détection du coup de chaleur

Réalisée dans le cadre de leur partenariat signé en juin 2021, cette étude a été menée sur 4 mois, dans des conditions réelles d’utilisation du bracelet par une population de 880 salariés du BTP. Les résultats obtenus démontrent la pertinence du bracelet intelligent comme dispositif d’assistance et d’aide pour prévenir les coups de chaleur, dans une démarche guidée par les principes généraux de prévention.Le coup de chaleur, un risque majeur sur les chantiersLes périodes caniculaires toujours plus intenses, fréquentes et prolongées, et les importantes variations climatiques impactent directement les métiers du bâtiment et des travaux publics dont de nombreuses activités sont réalisées en extérieur. Les professionnels du BTP sont ainsi de plus en plus exposés au risque de coup de chaleur, qui correspond à une élévation de la température du corps au-delà de 39° C. Cette hausse de la température interne est un signal très faible qui peut échapper à la vigilance du professionnel qui ne ressentira pas le besoin de solliciter une action de prévention. Or, le coup de chaleur doit être identifié et traité rapidement pour ne pas entraîner des lésions organiques sérieuses voire fatales. Conscients de son impact sur leur santé, les acteurs du BTP sont donc de plus en plus mobilisés sur cette problématique.La mise en œuvre d’un protocole d’expérimentation sur chantierDans ce contexte, l’OPPBTP, PRO BTP et Biodata bank ont conclu, en juin 2021, un partenariat afin d’identifier des solutions innovantes envisageables en réalisant un test national à grand échelle qui s’appuie sur la technologie développée par la start-up. Sa solution, la Heat Warning Watch CanariaTM, est un bracelet intelligent permettant d’estimer l’accumulation de chaleur dans le corps, sans connexion de communication requise. Facile à distribuer, hygiénique et imperméable, le bracelet a vocation à permettre d’alerter simplement l’utilisateur lorsque sa température corporelle augmente de façon dangereuse grâce à une alarme visuelle et sonore.Dans le cadre du protocole expérimental, le bracelet a ainsi été distribué à 880 salariés de 53 entreprises, sur 13 métiers différents, répartis sur 9 régions.Pendant le temps d’expérimentation, les responsables avaient pour missions de relever quotidiennement les températures météorologiques et de signaler le déclenchement d’un seuil d’alerte du Plan National Canicule. Quant aux porteurs des bracelets, ils devaient transmettre aux responsables toute information sur un déclenchement d’alarme et sur leur état au moment de l’alarme. Une procédure a également été mise en place pour accompagner le déclenchement de l’alarme et venir en aide au porteur du bracelet.Au terme de l’expérimentation, 555 bracelets ont pu être analysés (soit 75 % des bracelets distribués), et les informations recueillies (6 932 257 données) ont été évaluées :sur le plan quantitatif, grâce au croisement des données environnementales (géographie, environnement thermique météorologique, l’activité) et biométriques (âge, IMC, genre du porteur) ;sur le plan qualitatif, par le biais d’un questionnaire de retour d’expérience réalisé par l’OPPBTP et diffusé auprès des participants. Les 26 questions portaient sur la prise en main, l’appropriation du dispositif, la formation à son utilisation, les alarmes et leur fiabilité, le confort et l’esthétique, l’hygiène, la robustesse ainsi que l’intérêt du dispositif.Une première expérimentation concluanteA la lumière des résultats obtenus et des observations mentionnées, les partenaires ont pu constater la pertinence de la solution comme dispositif d’assistance et d’aide pour prévenir des coups de chaleur, dans une démarche guidée par les principes généraux de prévention. Cette version du bracelet apparaît comme étant bien adaptée aux spécificités des métiers du BTP couverts par le protocole, et conforme aux exigences réglementaires et aux directives européennes applicables en la matière. La durée de l’expérimentation a permis de s’assurer de la bonne résistance du dispositif et de son acceptabilité en conditions réelles. Les alarmes ont effectivement été perçues par les participants. Cependant des améliorations doivent être réalisées concernant les niveaux sonores et lumineux ainsi que le déclenchement d’alarmes intempestives. Par ailleurs, l’absence de connectivité et de collecte de données personnelles anonymes par le dispositif a également permis de rassurer les entreprises et les salariés quant au respect du RGPD.« Il s’agit d’une solution innovante et simple à mettre œuvre. Un très bon suivi a été mis en place, nous permettant d’expliquer le produit aux différents acteurs de l’entreprise ainsi qu’à nos clients, avec même une visite pour voir les conditions de travail des porteurs du bracelet ! La phase d’expérimentation a été une expérience enrichissante qui a été appréciée par nos salariés. » témoigne l’une des entreprises participantes.La commercialisation de cette version du bracelet est prévue dès mai 2022. Pour Mohamed Trabelsi, responsable du domaine EPI au sein de la Direction technique de l’OPPBTP : « Les visites sur le terrain menées dans le cadre de l’expérimentation pour assurer le suivi de la mise en œuvre du protocole ont également été l’occasion de sensibiliser les entreprises sur le risque lié aux fortes chaleurs et de leur présenter différentes solutions pour y remédier. Cette expérimentation a ainsi permis de mettre en exergue l’ensemble des solutions possibles organisationnelles, collectives et individuelles à disposition des entreprises du BTP pour se protéger de ce risque qui ne doit jamais être sous-estimé. » Pour David Antoine Malinas, responsable de la filiale française de « Biodata Bank » : « Mieux cerner la question du risque thermique sur les chantiers, c’est comprendre son impact sur la santé, sur notre système de protection sociale et sur l’organisation des entreprises. C’est aussi anticiper et prévenir les difficultés dans un contexte de dérèglement climatique. Cette étude confirme les risques de l’exposition au plein soleil sur les métiers d’extérieur. Les employeurs y sont sensibles. Le bracelet s’avère donc un excellent complément à l’hydratation, qui reste un pilier de la prévention santé. Son intégration au quotidien est simple et pragmatique, le bracelet permettant d'anticiper une action avant même que des signaux extérieurs visibles ne se manifestent. »Cette expérimentation concluante est le résultat d’un travail conjoint entre l’OPPBTP, la start-up BIODATA BANK et PRO BTP.Pour plus de détails concernant l’analyse des résultats de l’étude, consultez le rapport d’étude publié sur preventionbtp.fr.
Il y a 2 ans et 353 jours

Restrictions d'eau sans précédent dans le sud de la Californie, en proie à la sécheresse

Plus de six millions de clients sont concernés par ces mesures qui limitent notamment l'arrosage à une journée par semaine et uniquement aux heures les plus fraîches, sous peine d'amende et de réduction du débit.L'objectif est de diminuer de 35% la consommation d'eau dans la zone desservie par le Metropolitan Water District (MWD) de Californie du Sud, qui englobe 19 millions d'habitants, soit près de la moitié de la population de l'Etat."Nous n'avons pas obtenu les ressources pour satisfaire les demandes habituelles, et à présent nous devons arbitrer entre arroser nos pelouses et avoir de l'eau pour nos enfants, nos petits-enfants et notre vie quotidienne", avait résumé le responsable du MWD en annonçant les restrictions fin avril.Le district, qui agit pour le compte de 26 agences locales, dépend pour son approvisionnement en eau de ressources situées à des centaines de kilomètres de là.Près d'un tiers provient du nord de la Californie, via le State Water Project, colossal réseau de 21 barrages et de plus d'un millier de kilomètres de canaux et de tuyaux qui acheminent vers le sud l'eau descendant des montagnes de la Sierra Nevada.En raison de la sécheresse chronique aggravée par le changement climatique, le State Water Project a annoncé qu'il ne pourrait satisfaire cette année que 5% des livraisons habituelles vers le MWD, qui n'a pas eu d'autre choix que de prendre ces mesures drastiques.Changement climatique et "cliché américain"Plutôt que de limiter l'arrosage à un jour par semaine, les agences clientes du district ont également la possibilité de réduire la consommation d'eau à un peu plus de 300 litres par jour et par habitant.C'est l'option retenue par la ville de Los Angeles, où l'arrosage est désormais restreint à deux jours par semaine.Selon les experts, l'eau utilisée pour l'arrosage représente 70% à 80% de la consommation urbaine en Californie du Sud."Si nous opérions une transition vers des plantes et des jardins plus adaptés au climat californien, nous pourrions énormément réduire notre consommation d'eau", a déclaré au Washington Post Heather Cooley, directrice de la recherche au Pacific Institute, un groupe de réflexion sur les questions liées à l'eau.De nombreux propriétaires avaient déjà fait ce choix lors d'une précédente sécheresse, entre 2012 et 2016, lorsque le gouverneur de Californie avait imposé d'autorité une baisse de 25% de la consommation d'eau urbaine. Avec le changement climatique, "le cliché américain du jardin à l'herbe bien verte et à la barrière blanche n'a plus lieu d'être en Californie", déclare Javier, un jardinier rencontré par l'AFP dans une rue de Los Angeles en train de décharger des plantes grasses devant la maison d'un de ses clients."Maintenant, il faut de la végétation résistante à la chaleur, de plus en plus de gens nous en demandent. Ils préfèrent avoir devant chez eux un joli jardin avec des plantes locales peu gourmandes en eau, comme des succulentes ou des cactus, qu'une pelouse marron sale...", assure-t-il.Selon le bulletin hebdomadaire de l'observatoire américain de la sécheresse, plus de 97% de la Californie était mercredi en état de sécheresse "sévère, extrême ou exceptionnelle". Et de nombreux barrages et réservoirs d'eau sont à un niveau bien inférieur à la normale avant même le début de l'été.Le fleuve Colorado, autre source majeure de l'eau utilisée en Californie du Sud et par des dizaines de millions de personnes dans l'Ouest américain, est lui aussi très touché.Selon une étude publiée en 2020 par l'agence géologique américaine (USGS), le débit du Colorado a baissé en moyenne de 20% depuis un siècle, et au moins la moitié de cette baisse peut être attribuée à l'élévation des températures dans la zone.En Californie, les températures moyennes au cours de l'été sont supérieures de 1,6°C à leur niveau de la fin du 19e siècle.
Il y a 2 ans et 353 jours

Fortes chaleurs : quelles précautions prendre au travail ?

Ainsi l’employeur doit Mettre en place une organisation adaptée pour limiter l’exposition des travailleurs aux fortes chaleurs (horaires décalés, pauses plus fréquentes…) et privilégier le télétravail lorsque cela est possible ;Mettre à la disposition des salariés de l’eau potable et fraîche ;S’assurer que le port des protections individuelles est compatible avec les fortes chaleurs ;Contrôler le bon renouvellement de l’air dans les locaux fermés, et surveiller la température des locaux ;Fournir aux salariés des moyens de protection contre les fortes chaleurs et/ou de rafraîchissement ;Faire remonter toute situation anormale au système d’inspection du travail.Concernant les travailleurs en extérieur, l’employeur doit aménager leur poste de façon à ce qu’ils soient protégés des fortes chaleurs dans la mesure du possible. Il doit également prévoir un local permettant l’accueil des travailleurs dans des conditions préservant leur sécurité et leur santé : à défaut d’un tel local, des aménagements horaires de chantier doivent être prévus. Enfin, doivent être mis à disposition de chaque travailleur au moins 3 litres d’eau par jour.En cas de déclenchement par Météo France de la vigilance rouge dans un département, l’employeur doit réévaluer quotidiennement les risques d’exposition pour chacun de ses salariés en fonction de l’évolution de la température et de la nature des travaux à effectuer. Si les précautions prises sont insuffisantes pour garantir la santé et la sécurité des travailleurs, l’activité doit être suspendue. Les entreprises peuvent alors recourir au dispositif d’activité partielle ou de récupération des heures perdues. Concernant le secteur du BTP, les employeurs peuvent bénéficier du dispositif « intempéries ».L’inspection du travail reste mobilisée pour vérifier que ces mesures de précaution sont bien appliquées, notamment dans le secteur du bâtiment et des travaux publics. Les services de santé au travail sont également en alerte pour aider les employeurs à prendre les mesures de prévention nécessaires.Pour plus d’information et télécharger les outils d’information sur la prévention des risques liés aux fortes chaleurs au travail, consultez le site du ministère du Travail.
Il y a 2 ans et 353 jours

Réchauffement climatique : quel impact électrique du déploiement de la climatisation au sein des foyers français d’ici 2050 ?

Réalisée à partir de données réelles de la région Provence-Alpes-Côte-d’Azur et celles extrapolées à 2050, elle révèle que la climatisation peut faire doubler la consommation journalière d’électricité dans le pire scénario et par conséquent la facture énergétique des ménages.Les gradients de températures ont déjà un effet sur les consommations : 15°C de plus au-dessus de la normale, en été, entraîne une consommation supplémentaire de 2,5 EPR alors que l’équipement en climatisation est aujourd’hui marginal. Cette situation pourrait se produire régulièrement dès 2050.Demande électrique et santé publique : les nouveaux enjeuxDans les zones développées, les vagues de chaleur engendrent des conditions de vie difficiles et donc une hausse des besoins en électricité pour la climatisation.« Les derniers rapports du GIEC alertent à nouveau sur le réchauffement climatique et la vulnérabilité des populations face à des vagues de chaleur amenées à se multiplier et s’intensifier. Dans ces conditions de moins en moins supportables, l’usage de la climatisation se renforce et les équipements se multiplient dans les foyers car les populations cherchent à se rafraichir. La climatisation passe alors d’un rôle de confort à celui d’outil de prévention et de santé publique, notamment pour les plus fragiles et précaires. En conséquence, la consommation électrique des ménages augmente et l’alimentation de ces appareils devient un besoin critique pour ceux dont la santé en dépend », explique Cyril Gillot, Consultant Energie pour Colombus Consulting.Lorsque les températures sont élevées, les réseaux électriques sont vulnérables et leur capacité d’acheminement réduite. Or, en même temps, les besoins en électricité tendent à augmenter avec la climatisation. En France, un effet ciseau est déjà perceptible sur les infrastructures du réseau électrique lors des vagues de chaleur et tend à s’accroître.Avec un taux d’équipement des foyers en climatisation de seulement 5%, RTE a estimé à +250 à 300 MW consommés pour chaque degré supplémentaire au-dessus de 25°C : soit les besoins d’une ville comme Nantes. Un chiffre qui pourrait fortement augmenter lorsque le taux d’équipement en climatisation augmentera...Quels besoins en refroidissement des bâtiments pour 2050 ?Par un travail de modélisation basé sur des facteurs techniques, climatiques et humains, l’étude menée par Colombus Consulting et Callendar a permis de représenter plusieurs avenirs possibles et d’estimer l’évolution des besoins en refroidissement des bâtiments d’habitation. Après restitution et analyse, les résultats suivants en sont sortis :Une meilleure efficacité du climatiseur a plus d’impact à court terme sur la diminution de la consommation électrique liée à la climatisation qu’une plus grande isolation du logement (sauf cas des passoires thermiques). C’est donc sur ce point que les pouvoirs publics doivent agir au plus vite pour des questions d’efficience de l’adaptation au changement climatique et de pouvoir d’achat des citoyens dans un contexte de prix de l’énergie élevés.Les passoires thermiques, classées en performance F et G, doivent être éliminées pour éviter des surconsommations pour des ménages généralement précaires.Au-delà du renforcement des moyens, des approches et fléchages alternatifs doivent être trouvées par les pouvoirs publics concernant la rénovation des logements, afin d’optimiser les efforts et de maximiser les effets.Les gradients de températures ont déjà un effet sur les consommations : 15°C de plus au-dessus de la normale en été entraînent une consommation supplémentaire de 2,5 EPR alors que l’équipement en climatisation est aujourd’hui marginal. Cette situation pourrait se produire régulièrement dès 2050.L’augmentation de la consommation électrique due à la climatisation en été ne devrait pas mettre en difficulté le réseau électrique de distribution car elle reste inférieure à celle induite par le chauffage électrique durant l’hiver. Toutefois, les risques d’amorçage et de rupture de réseau enterré sont à étudier au cas par cas, en particulier pour les zones où sont raccordées de plus grandes surfaces que le résidentiel.Les capacités des installations électriques se réduisent avec la hausse des températures moyennes : + 5°C par rapport aux normales réduisent de 7 à 8% la capacité de transport des lignes électriques. Des défaillances matérielles, liées à la chaleur, adressées par les exploitants du réseau, se multiplient avec un risque d’amorçage, car la dilatation des câbles réduit la distance de sécurité sous les lignes, provoquent des ruptures sur les réseaux enterrés ainsi que des anomalies de mesures des transformateurs.L’étude conclut à la nécessité de renforcer les normes d’efficacité des équipements de climatisation, ainsi que de faire évoluer certaines stratégies et politiques publiques afin d’optimiser les efforts et de maximiser les effets.Pour Cyril Gillot, Consultant Energie pour Colombus Consulting : "La climatisation provoque un appel de puissance électrique qui peut être maîtrisé. La hausse de puissance appelée, induite par la climatisation, est notable mais n’est pas critique et reste inférieure à celle liée au chauffage en hiver. La diffusion de la climatisation doit être accompagnée afin de limiter l’augmentation de la consommation et les besoins de mise à niveau du réseau électrique."Quels leviers d’action pour une utilisation intelligente de la climatisation ?L’essor de la climatisation est représentatif des nouveaux défis d’adaptation liés au changement climatique, notamment dans les villes du sud de la France, posant ainsi des questions environnementales, de justice sociale ou de sécurité pour l’approvisionnement électrique.L’étude met ainsi en évidence des solutions pour limiter l’augmentation de la consommation électrique et donc le coût pour les ménages et le réseau :L’éducation et la sensibilisation à la sobriété, aux éco-gestes, à l’utilisation efficace de la climatisation, ainsi qu’aux effets de la chaleur et aux moyens de s’en protéger, afin d’optimiser le confort tout en maitrisant la consommation électrique.L’instauration rapide de normes plus strictes en France, en Europe... afin d’améliorer la performance des climatiseurs fabriqués et utilisés dans le cadre d’une première installation ou d’un renouvellement de l’équipement.La mise en place d'actions, de schémas directeurs et de financements publics afin de supprimer les passoires thermiques.L’évolution des schémas d’urbanisme afin de réduire le phénomène d’îlot de chaleur urbain.Pour Cyril Gillot, Consultant Energie pour Colombus Consulting : "C’est un sujet qui doit être pris à bras le corps de manière collégiale, par les collectivités, les États, les acteurs du monde de l’énergie, les citoyens, etc. Une vraie stratégie doit être pensée de manière urgente pour essayer de limiter les catastrophes ou impacts négatifs inhérents."
Il y a 2 ans et 354 jours

Immobilier neuf : les permis de construire crèvent le plafond

Ces chiffres, estimés à 500.400 sur un an, soit une hausse de 20,7% par rapport à l'année précédente - et de 9% par rapport à l'avant-crise sanitaire - sont cependant en trompe-l'oeil.Ils font en effet suite à un nombre "exceptionnel" de dépôts de demandes de permis en décembre 2021, avant l'entrée en vigueur d'une réglementation environnementale (RE2020) plus contraignante pour les constructions neuves.L'instruction des dossiers par les collectivités débouche logiquement sur ce pic dans les premiers mois de 2022, mais les chiffres devraient nettement décroître dans les mois à venir, selon les professionnels du secteur.Ainsi, les logements individuels "purs", c'est-à-dire hors lotissements, dont les permis de construire sont plus courts à délivrer, ont atteint leur pic en février et refluent nettement en avril.Les lotissements, eux, ont connu un pic en mars, tandis que les immeubles et résidences, dont les autorisations sont en général les plus complexes, restent encore à un niveau très élevé.La RE2020, entrée en vigueur au 1er janvier, a pour objectif de limiter les émissions de gaz à effet de serre de la construction neuve. Elle incite à construire en utilisant des matériaux dits biosourcés, comme le bois, plutôt que les plus classiques béton ou acier, dont la fabrication est polluante.Elle oblige également les nouveaux logements à être mieux isolés contre le froid et la chaleur, et à avoir un impact modéré sur le climat.La Fédération française du bâtiment a estimé entre 7 et 8% le surcoût de cette règlementation pour la filière en 2022.
Il y a 2 ans et 355 jours

Carrefour du Bois 2022 : Durieu passion bois !

Toujours en mouvement et avec la volonté constante d’améliorer et de garantir l’efficacité de ses formules, Durieu travaille étroitement avec son équipe R&D et reste en permanence à l’écoute du terrain pour répondre au plus proche des attentes de ses clients finaux.Les essentiels du bois by Durieu En France, la part des constructions en bois continue d’augmenter régulièrement dans le secteur des logements individuels, et le domaine de la rénovation des ouvrages en bois est lui aussi en hausse.Représentant un peu moins de 10 % des logements neufs, les ouvrages en bois ont un bel avenir face à eux surtout dans l’ère actuelle où la recherche de matériaux authentiques et moins impactants est primordiale. De même, terrasse et bardage bois continuent de séduire de plus en plus les français qui portent une attention particulière à la déco de leurs espaces intérieurs et extérieurs depuis les confinements successifs.En outre, le bois est le seul matériau de construction à stocker du CO2 et face à la variable environnement qui n’est plus une option mais une constante bien définie du cahier des charges, les acteurs du bâtiment, architectes et particuliers sont de plus en plus nombreux à plébisciter cette matière pour leurs réalisations.Mais attention ! Matériau noble s’il en est, il nécessite une attention, un soin et un entretien bien orchestrés pour garantir sa pérennité, les utilisateurs semblent en être de plus en plus conscients et commencent à adopter plus facilement l’étape soin des supports bois.Quid des essences de bois ? On peut simplifier le classement des bois en 3 catégories :Les bois tendres : souvent des résineux (mélèze, pin, red cedar…) ce sont des bois poreux qui nécessitent une protection riche et garnissante se combinant aux fibres du bois pour le protéger en profondeur, efficacement et durablement.Les bois durs difficilement imprégnables (type châtaignier, chêne...) : il faut un produit qui pénètre dans le bois et ensuite l’imprègne en profondeur pour assurer sa longévité.Les bois exotiques : ils présentent des pores très fins et serrés et il est très difficile de faire pénétrer une protection dans ces bois. Il est donc impératif d’avoir une solution très ciblée pour s’adapter à cette densité.Quel type de bois pour quel support - des fonctions différentes, des requis spécifiques :Les bois tendres sont plus souvent utilisés pour les supports verticaux extérieurs : bardages, volets, … Ces essences sont plus faciles à travailler pour les bardages que les bois durs moins « souples ». De plus, en façade, n’étant pas en confrontation directe avec les eaux de pluie et les UV, ils vont moins souffrir de leurs agressions et bien que moins durables que d’autres essences, ils vont bien résister en vertical. Ils sont parfois aussi moins onéreux…Les bois durs eux sont plutôt destinés aux parties bois de l’habitat en intérieur : escalier, parquet, porte, lambris… également pour les volets. Leur densité et leur stabilité les fait durer pour des usages intensifs à condition d’y appliquer la bonne finition.Les bois exotiques, à l’origine destinés aux ponts de bateaux de par leur résistance aux conditions climatiques rigoureuses, sont passés sur la terre ferme et généralement attribués aux terrasses et parfois certains parquets ou ouvrages intérieurs de par leur bonne longévité. Leur densité et leur aspect sont idéaux pour ces ouvrages qui subissent un usage extérieur intensif et des agressions climatiques de plein front, tout en offrant une belle esthétique.Pourquoi les bois s’abîment ?Qui dit bois dit matériau vivant comme notre peau et qui donc subit l’attaque quotidienne des UV, variations hygrométriques, pollution, vent, pluie, air marin, gel…Mise au point - Soleil et eau : deux ennemis du boisLes UV et le bois : avec les UV, la lignine, composant du bois avec l’eau et la cellulose, s’altère et engendre son vieillissement. Le support va blanchir, griser et aller jusqu’à se fendiller. Plus le soleil est fort, plus il vieillira prématurément.L’eau et le bois : présente dans le bois, l’eau entraîne naturellement des variations hygrométriques dans le support mais les intempéries intensifient le phénomène : avec l’eau, le bois gonfle puis dégonfle lorsqu’elle s’évapore. Sous les effets des variations hygrométriques, il s’use et se délamine, c’est-à-dire qu’il se désagrège en petites lames : la structure même du bois est abimée irrémédiablement. L’eau est également l’un des éléments moteurs pour nourrir tous les insectes et les champignons qui peuvent attaquer et envahir le bois.Protection et entretien sont donc les deux maximes pour des bois qui durent :Avant de penser à protéger il faut agir pour préparer, c’est-à-dire :Laisser déglacer si le bois est neuf.Nettoyer ou dégriser s’il est sale : il retrouve son éclat.Déshuiler s’il est encrassé : pour dissoudre les graisses qui encrassent le bois.Décaper le cas échéant : pour éliminer les anciennes protections très filmogènes et/ou incrustées dans le support.Les solutions préparation by Owatrol®NET-TROL® 200 pour dégriser.NET-TROL® 400 pour déshuiler puis application du dégriseur NET-TROL® 200.DILUNETT® pour décaper puis NET-TROL® 200.À noter : après avoir déshuilé ou décapé il faut ABSOLUMENT stabiliser le support avec une passe de NET-TROL®* 200 afin d’assurer la tenue de la finition qui viendra ensuite. Cette étape finale permet aussi d’éclaircir encore un peu le bois pour lui redonner tout son éclat.Une fois propre, étape protection : à chaque support son conseil…Quelles actions mener ? Pour éviter de subir les aléas climatiques, plusieurs options : lasurer, huiler ou saturer !Explications :Les lasures protègent contre le vieillissement en laissant un film en surface. Elles conservent l’aspect du bois et sont utilisées pour les bardages, le plus souvent en montagne. Néanmoins, leur film finit par s’écailler et il faut décaper avant d’effectuer la maintenance.Les huiles donnent un aspect chaleureux au bois et sont généralement aussi appliquées sur les bardages mais elles peuvent noircir sous l’effet des UV et de l’eau et encrasser le bois. Il faut décaper au moment de la maintenance.Les saturateurs imprègnent et rentrent dans le bois pour le protéger en profondeur. L’aspect chaleureux et le veinage du bois est préservé, il n’y a pas de film en surface et la maintenance est simplifiée car il n’y a pas besoin de décaper, un simple nettoyage suffit. Les saturateurs sont de plus en plus utilisés pour les bardages et depuis longtemps sur les terrasses.Les conseils de Durieu : Durieu privilégie les saturateurs qui apportent une solution particulièrement adaptée à l’ensemble des bois : tendres et durs, notamment grâce à leurs qualités d’imprégnation. Les premiers, poreux demandent une protection très nourrissante et les deuxièmes très durs ont besoin d’une finition imprégnante qui protège au coeur du bois. Protéger les bois exotiques peut sembler superflu de par leur apparente résistance naturelle néanmoins sans protection ils vont griser, ternir, se tacher, se déformer et parfois même se fendiller. Pour faire perdurer leur aspect unique, il faut donc impérativement les protéger.La gamme OWATROL® de Durieu offre des saturateurs avec des qualités d’imprégnation ultra perfomantes qui en font des références pour faire durer les supports.Zoom PROTEXT® :Saturateur phase aqueuse qui apporte une protection totale et parfaite de tous les bois et en particulier les bois durs. Il combine 3 technologies, réunissant 3 résines qui travaillent ensemble pour apporter au bois une imprégnation exceptionnelle et des qualités de durabilité hors normes. Il permet aussi de magnifier et conserver la belle esthétique des ouvrages en red cedar.Les plus :Protection UV renforcée pour assurer une durabilité des bois vraiment optimale.Régulateur d’hygrométrie : une fois appliqué, le PROTEXT®* empêche l’eau de rentrer dans le bois, tout en laissant s’échapper la vapeur d’eau qui se crée naturellement.
Il y a 2 ans et 356 jours

Mondial du bâtiment 2022 : Un programme de conférences inédit pour déterminer l'avenir du secteur

De nouveaux formats d’échanges font leur apparition afin d’aborder les grandes thématiques qui portent cette édition : Préserver le climat et l’environnement, Bien vivre dans la ville en 2050, Transformer les méthodes, Valoriser les métiers. « Les hommes et les femmes du bâtiment sont à la tête d’un formidable défi, ils auront la responsabilité de permettre à la France de réussir ses transitions et notamment la décarbonation de l’acte de construire. Face à cette urgence et cette responsabilité immense, nous avons souhaité donner une dimension inédite au programme de conférences du Mondial du Bâtiment en associant tous les acteurs du bâtiment mais aussi des personnalités diverses et inspirantes venant d’autres univers. C’est en quelque sorte un « Davos » du bâtiment que nous préparons. Le programme des interventions de cette édition du Mondial du Bâtiment sera exceptionnel par son ampleur, la qualité et la diversité des intervenants, le nombre de thématiques abordées qui couvriront l’intégralité du spectre des problématiques du secteur en les mettant en perspective dans un contexte plus large : économique, politique, environnemental, sociétal et solidaire… » indique Guillaume Loizeaud, Directeur du MONDIAL DU BÂTIMENT.Le programme de conférence est porté notamment par 4 grands thèmes :Préserver l’environnement : L’urgence de la lutte contre le réchauffement de la planète nous est rappelée chaque jour. Les alertes des experts et la multiplication des épisodes climatiques extrêmes nous obligent à prendre nos responsabilités. Toute la chaîne de valeur du bâtiment doit se transformer pour freiner son impact sur l’environnement et préserver le vivant.Bien vivre dans la ville en 2050 : En 2050, 70% de la population mondiale vivra en ville. A quoi ressembleront les villes et nos modes de vie à cet horizon ? Penser la ville de 2050 c’est répondre aux nombreux défis auxquels les urbains sont déjà soumis.Valoriser les métiers : A l’ère digitale, tous les métiers de la construction et du bâtiment sont en profonde mutation. Les nouveaux outils de collaboration, la data et l’intelligence artificielle font émerger de nouvelles compétences, voire de nouveaux métiers.Transformer les méthodes : Assurer la transition écologique du secteur, réussir sa digitalisation, garantir son modèle économique et améliorer sa productivité : la filière du bâtiment est sous pression. Moderniser nos méthodes s’impose. Organisation du travail, outils de production, gestion des équipes, commercialisation et relation clients : tous les chantiers sont ouverts.BATIMAT : une nouvelle vision des enjeux du secteurSous la bannière de ces 4 thématiques, le salon BATIMAT ouvre ses portes à une grande diversité d’intervenants. Philosophes, neuroscientifiques, enseignants… et bien sûr acteurs du monde du bâtiment, décrypteront les enjeux de la filière et les solutions pour penser le bâtiment d’aujourd’hui et de demain.Les formats des conférences ont également été repensés pour proposer différentes expériences aux visiteurs, en adéquation avec leurs attentes. Ainsi, trois nouveaux formats de rendez-vous verront le jour, allant de prises de parole longues à des pitchs de quelques minutes :BATITALKS : Une immersion au coeur des sujets phares de la constructionNouveauté 2022, deux agoras prennent place au coeur des Pavillons 1 et 6, toutes deux équipées de cabines de traduction pour retransmettre les contenus en 2 langues différentes (français/anglais) et disponibles en replay après le salon.Elles accueilleront chacune, chaque jour, deux conférences rassemblant des experts d’horizons variés, pour aider à mieux comprendre les changements en cours dans le secteur du bâtiment et dans la société, inspirer et permettre d’inventer les solutions adaptées aux spécificités des métiers du bâtiment.4 sessions auront lieu chaque jour, de 11h00 à 12h30 et de 14h00 à 15h30 et mixeront 6 formats différents :Panel : des conversations entre expertsFireside Chat : des interviews exclusives d’acteurs du secteurKeynote : une prise de parole individuelle d’une personnalité inspiranteAsk me anything : une prise de parole nourrie par les questions de l’audienceTalks : 3 prises de parole de 5 minutes présentant une approche innovante autour d’un enjeu cléDébat : un échange de points de vue entre professionnelsAu total, ce sont plus de 90 intervenants d’horizons divers qui prendront la parole au cours de ces sessions. Parmi eux : Bernard Anselem, Médecin, Neuroscientifique, Auteur ; Rémy Babut, Ingénieur, Urbaniste, Chef de projet logement au Shift Project ; Anne Démians, Architecte ; Mark Farmer, Consultant, Auteur du rapport “The Farmer Review of the UK Construction Labour Model” ; Cynthia Fleury, Philosophe, Psychanalyste, Auteur ; Jean-Marc Jancovici, Ingénieur, Président de l’association The Shift Project ; Carlos Moreno, Enseignant, Spécialiste d’innovation urbaine ; Philippe Pelletier, Président du Plan Bâtiment Durable ; Jean-Paul Philippon, Secrétaire général de l’Académie d’architecture ; Navi Radjou, Conseiller en innovation et leadership ; Jean-Christophe Repon, Président Confédération de l’Artisanat et des Petites Entreprises du Bâtiment (CAPEB) ; Yamina Saheb, Senior Energy Policy Analyst, Autrice principale du GIEC ; Carine Seiler, Haut-Commissaire aux compétences ; Olivier Salleron, Président Fédération française du bâtiment (FFB) ; François Taddei, Chercheur, Fondateur du Learning Planet Institute.EXPERTS’ CORNER : des décryptages par des experts sur des problématiques précisesLes Experts’ Corner proposeront plus de 150 colloques et conférences animés par environ 300 experts, avec des contenus pointus sur des solutions et des innovations.Les Experts’Corner pourront être suivis sur les AGORA 1 (pavillon 1) et 2 (pavillon 6) mais aussi sur l’Arena Principale (Pavillon 1), les Ateliers Hors-Site, Low Carbon Construction, Photovoltaïque, et sur l’Espace 2 000 (Pavillon 1).Le Mastère Spécialisée® immobilier et bâtiment durables (IBD), transitions énergétique et numérique de l’école des Ponts Paris Tech organisera sa semaine de conférences internationales sur Batimat (Espace 2000 Pavillon 1). Les conférences seront traduites et hybrides. Les sessions de conférences seront proposées de 9H à 18H30 et ouvertes à tous les professionnels avec 27 créneaux et 27 conférenciers internationaux.Lundi 3 octobre : Architecture décarbonée et solidaireMardi 4 octobre : Politique environnementaleMercredi 5 octobre : Démonstrateurs et solutions bas carbone Jeudi 6 octobre : Industrie de la constructionINNOVATION LAB : les innovations et technologies mises à l’honneurLes Innovation Lab ont vocation à proposer des présentations et des démonstrations d’innovations et de technologies, à retrouver chaque jour sur l’Arena Innovation Awards ainsi que sur l’Arena Start-up. Les visiteurs pourront ainsi assister à environ 200 pitchs de 10 à 12 minutes qui présenteront les innovations et les nouvelles technologies. Les premières start-up participantes : Adroneex, Batisimply, Pubotim, Supervan.Enfin, des démonstrations seront proposées par de nombreux exposants dans le Pavillon 4 dédié au secteur du Matériel de chantier et de l’Outillage (voir liste des participants en annexe).IDÉOBAIN : 15 conférences ciblées sur 3 thèmesAu sein du Forum Salle de Bains et Intérieurs à Vivre, 15 conférences sont d’ores et déjà programmées avec un tiers d’expertises techniques, un tiers de formation et un tiers destiné à l’architecture et à l’aménagement intérieur. Des interventions des partenaires sont aussi prévues tels que le Pôle action des architectes d’intérieur et le Club de l’amélioration de l’Habitat. Enfin, le palmarès des salles de bains remarquables sera mis à l’honneur avec un focus sur les salles de bains remarquables depuis 2017 et un book spécifique sera remis sur le salon. Les Innovations seront également présentées dans un format Pitch.INTERCLIMA : Une part importante aux expériences de terrain, à la formation et à l’évolution du mix énergétiqueLe salon INTERCLIMA a imaginé un programme de conférences co-construit avec les principales organisations professionnelles impliquées dans les sujets liés à la performance énergétique et au confort thermique. Toutes les grandes thématiques du secteur trouveront leurs illustrations sur le salon avec des prises de parole quotidiennes. Les grandes thématiques Interclima 2022 sont : la rénovation des bâtiments tertiaires, l'amélioration des logements individuels et collectifs, la qualité de l’air intérieur : une question de santé publique, la maitrise et productivité sur chantier, les enseignements de la RE2020 depuis son entrée en vigueur, les énergies renouvelables et la récupération de chaleur.Les conférences du Forum Interclima12 créneaux de conférences de 2 heures ont déjà été confirmés sur le Forum Interclima, avec 6 à 8 témoins par session. Ces sessions sont construites en partenariat avec les organisations professionnelles représentant des maîtres d’ouvrage, dont l’Union Sociale de l’Habitat (USH), l’Association des Ingénieurs Territoriaux de France (AITF) et le Pôle Habitat de la FFB, des maîtres d’oeuvre et les entreprises de maintenance et d’exploitation, avec le Synasav. Une session spéciale sur le sujet technique de l’évolution des chaudières gaz vers l’hydrogène et le gaz vert est également prévue.La qualité de l’air : un thème majeurUn espace est entièrement consacré à la qualité de l’air avec 56 créneaux de conférences et un atelier. Aux côtés d’Uniclima sera engagée l’ensemble de la filière professionnelle représentée par la nouvelle Association française de la ventilation.Forum QAICet espace est entièrement dédié à la qualité de l’air intérieur autour de conférences de 20 minutes qui se répartissent entre des prises de paroles d’exposants et des conférences menées par la filière professionnelle (Uniclima, Cetiat, Association Française de la ventilation, Agence Qualité Construction…). Les marques participantes à ce jour : Airzone, Aldes, Atlantic, Daikin, France Air, Hitachi, LG, Sauerman, VMI, Zehnder.Atelier QAICet espace animé par Uniclima en partenariat avec l’Association Française de la ventilation, propose trois « serious game » qui ont pour objectif de sensibiliser les différents acteurs (maîtres d’oeuvre, maîtres d’ouvrage, installateurs, exploitants-mainteneurs) à la qualité desinstallations de ventilation. L’Atelier sera co-animé par Uniclima, l’Association Française de la ventilation et plusieurs partenaires dont Cetiat, AQC…Ateliers Retour d’ExpérienceUn nouveau format de conférences prend place sur le salon en 2022. Une équipe projet comprenant au moins 3 personnes dont au moins un exposant replace une ou plusieurs solutions techniques dans le cadre d’un bâtiment neuf ou rénové, réalisé ou en projet. Il s’agit de donner la parole aux maîtres d’ouvrage, maîtres d’oeuvre, entreprises ainsi qu’aux industriels et démontrer les performances globales d’un bâtiment (confort, qualité d’air, énergie, environnement).Les matinées sont consacrées à la rénovation dans un contexte où le décret tertiaire entrera tout juste en application. Les après-midis sont consacrés à la construction neuve dans le contexte de la nouvelle RE2020 dont la partie bâtiment tertiaire sera sur le point d’entrer en vigueur.Les 28 conférences prévues dureront 45 minutes et s’enchaîneront toutes les heures. Un espace de convivialité est intégré à cet atelier pour permettre aux visiteurs de prolonger les discussions avec l’équipe projet. Les marques participantes à ce jour : Ariston, Atlantic, BWT, Daikin, Eurovent, Viessman, VMI, Zehnder…INTERCLIMA Job ConnectSur l’Espace Métiers et Recrutement, un programme rythmé sera proposé pour favoriser les rencontres et les échanges entre les étudiants, les professionnels débutants et confirmés, et les établissements et centres de formation.En matinée, des conférences des écoles et centres de formation destinées aux professionnels seront organisées pour échanger autour des évolutions majeures, comme par exemple l’ouverture du nouvel éco-campus de Vitry (94), la transformation des DUT génie thermique de deux ans en Bachelor de trois ans, ou encore le développement de l’alternance…L’après-midi, des job datings seront organisés entre des jeunes d’Île-de-France et les DRH des exposants d’INTERCLIMA, les représentants des organisations professionnelles et les visiteurs en cours de recrutement.
Il y a 2 ans et 356 jours

12 enseignements à retenir du rapport « Pompe à chaleur en rénovation » publié par l'AQC

Ce rapport est mis à la disposition de toutes les parties prenantes des opérations de rénovation.À l’heure où les réglementations françaises et européennes imposent la chasse aux dépenses énergétiques et la réduction des émissions de CO2, des bâtiments de plus en plus économes en énergie sont construits ou rénovés, avec la baisse des besoins de chauffage comme fer de lance.Les 12 principaux enseignements tirésLes enquêtes réalisées pour ce rapport s’appuient sur les programmes de rénovation comprenant différents types de pompes à chaleur avec une logique d’amélioration de la production de chaleur et, parfois, de froid. Les différentes situations de mise en œuvre rencontrées mettent en évidence 12 enseignements à prendre en compte pour respecter les principes réglementaires, assurer un confort aux occupants et garantir le bon fonctionnement des équipements dans le temps.Enseignement 1 : Dimensionner l’installation après une synthèse complète des données du projet.Enseignement 2 : Prendre en compte l’évolutivité du projet lors du dimensionnement de l’installation.Enseignement 3 : Contrôler l’adéquation des équipements livrés avec les prescriptions.Enseignement 4 : Vérifier la compatibilité entre la puissance électrique disponible et la puissance nécessaire à la PAC.Enseignement 5 : Prévoir des locaux techniques de taille suffisante.Enseignement 6 : Anticiper l’accessibilité aux différents éléments.Enseignement 7 : Calorifuger intégralement le réseau frigorifique.Enseignement 8 : Calorifuger intégralement le réseau hydraulique.Enseignement 9 : Afficher les informations concernant les fluides frigorigènes.Enseignement 10 : Identifier clairement les éléments de l’installation.Enseignement 11 : Caractériser et transmettre une installation.Enseignement 12 : Effectuer un entretien régulier et complet du système.Le rapport “Pompe à chaleur en rénovation” a fait l’objet d’un webinaire animé par Samuel Daucé, Responsable Technique du Dispositif REX Bâtiments performants et Cyrielle Leval, Chargée de mission bâtiment et aménagement durables au sein d’Envirobat Grand Est et est disponible à cette adresse.
Il y a 2 ans et 357 jours

En marche vers l’autarcie énergétique à Intersolar 2022

Panneaux photovoltaïques, onduleur, stockage d’électricité, pompe à chaleur, stockage thermique dans un ballon, automate pour gérer le tout, sont les ingrédients de base de l’autarcie énergétique.
Il y a 2 ans et 357 jours

CCB Greentech : La technologie TimberRoc

Article paru dans le n° 100 de Béton[s] le Magazine De gauche à droite, le staff de direction de CCB Greentech : Cédrik Longin, directeur exécutif et associé, François Cochet, président fondateur, et Laurent Noca, cofondateur et directeur technique. [©CCB Greentech] Comment est né l’idée de CCB Greentech ? Cédrik Longin : A l’origine de cette aventure, il y a un homme. François Cochet. Il a fait tout sa carrière dans le bois : bûcheron, exploitation forestière, commerce. Puis lancement et direction d’une des plus importantes scieries de France. Très vite, il avait constaté que le bois de trituration, c’est-à-dire toute la partie ne pouvant servir de bois d’œuvre, n’était pas exploitée à sa juste valeur. Alors même que cette partie représente près de 50 % du volume total traité. L’essentiel partait vers l’industrie de la pâte à papier ou du bois de chauffage. François Cochet voulait aller plus loin, trouver une voie permettant d’exploiter le côté “puits de carbone” du bois. Cette réflexion l’a conduit à fonder, dès 2006, CCB Greentech, pour développer une technologie inédite de granulats de bois à destination du béton, mais dans une utilisation structurelle. Quinze années de recherche & développement et 60 bâtiments prototypes plus tard, la solution est là, fonctionnelle. Elle permet la préfabrication de murs structurelles en béton de bois, porteurs jusqu’à R + 3. Et auto-portants autour d’une ossature poteaux-poutres jusqu’à R + 10. Personne n’a jamais proposé cela auparavant. C’est cela la technologie TimberRoc ? Exclusivement destiné à l’industrie du béton, le TimberRoc de CCB Greentech offre une résistance à la compression de 4 MPa. [©CCB Greentech] Absolument. TimberRoc est notre béton de bois, dont 60 % de la masse est constituée de granulats additivés. Nous attendons aujourd’hui quatre Atex de cas A. Le TimberRoc offre une résistance à la compression de 4 MPa. Il est exclusivement destiné à l’industrie du béton, la construction hors site. L’emploi en BPE n’est pour l’instant pas à l’ordre du jour. La formulation de base s’est faite autour d’un ciment de type CEM II, mais les préfabricants peuvent choisir un autre ciment, s’ils le souhaitent. En quoi consiste le processus de “bois additivé” ? Il s’agit tout simplement d’un traitement spécial permettant de rendre compatible nos granulats avec d’eau et le ciment, de manière à former un béton stable et durable. Il n’y a rien de chimique dans ce processus. Ainsi traité et emprisonné dans sa matrice cimentaire, le bois additivé reste sain, conserve son CO2, qui n’est pas relâché, est insensible à l’humidité. Les éléments préfabriqués peuvent être stockées en extérieur. Le TimberRoc est aussi stable au feu. Des essais menés au Cérib et au CSTB ont démontré une excellente résistance au feu avec un REI de plus de 4 h, dans le cas d’une prédalle. Qu’en est-il du bilan carbone ? Des performances énergétiques ? Acoustiques ? Et autres ? Le béton de bois TimberRoc de CCB Greentech permet la préfabrication de murs structurelles en béton de bois, porteurs jusqu’à R + 3. [©CCB Greentech] Notre béton de bois TimberRoc absorbe davantage de CO2 qu’il n’en émet pour sa fabrication et celles de ses matières premières. A vrai dire, en fonction du principe constructif choisi, son bilan carbone, toujours négatif, oscille entre – 40 et – 70 kg de CO2/m2. Côté résistance technique, un mur de 30 cm, préfabriqué en TimberRoc, affiche un R de 2 m2.K/W. Il fonctionne comme un système d’isolation thermique répartie, ce qui limite les points froids. Quant à son déphasage thermique, autrement dit sa capacité à retarder le moment où la chaleur extérieure en été entre dans la maison, il est de 18 h 00, toujours pour une paroi de 30 cm d’épaisseur. Le matériau est aussi perspirant. Son acoustique est remarquable : cela fait des années qu’on utilise le béton de bois pour réaliser des murs anti-bruits. Enfin, d’un point de vue technique, il est sciable, malgré son importante dureté et présente une masse volumique de 800 kg/m3, ce qui est faible pour un matériau structurel. En quoi le TimberRoc se distingue-t-il de solutions à base de granulats de bois déjà existantes sur le marché ? C’est une solution totalement structurelle et non un simple matériau de remplissage. Des brevets ont été déposés pour son utilisation en construction de bâtiments. Une utilisation de nos granulats additivés pour la préfabrication de blocs béton ne fait pas partie de notre scope actuel. Nous ne pouvons pas être présents sur tous les fronts. Mais la question mérite d’être posée… Par qui et où est fabriqué le granulat de bois ? Avec quelle matière première ? Nous possédons notre propre usine, installée sur la commune de Beaurepaire, en Isère. Nous ne travaillons qu’avec les exploitants forestiers de la région Rhône-Alpes, bénéficiant d’une certification PEFC1. De même, nous ne choisissons que quelques essences particulières pour fabriquer nos granulats. Quelle est votre stratégie de développement à venir ? CCB Greentech possède sa propre usine, installée sur la commune de Beaurepaire, en Isère. [©CCB Greentech] Déjà, François Cochet a très vite été rejoint au sein de CCB Greentech par Laurent Noca, en qualité de cofondateur. Cet ingénieur des Arts & Métiers est à l’origine des principes constructifs que nous proposons aujourd’hui. Pour ma part, j’ai rejoint cette équipe en 2021 pour m’occuper du développement commercial de l’entreprise. Quelques investisseurs privés complètent l’actionnariat de l’entreprise. Le développement actuel est opéré à travers des cessions de licence à des industriels du béton. Spurgin Léonhart en a acquis une pour une première usine affectée à la production d’éléments en béton de bois. A terme, quatre autres sont envisagées. R-Technologies, une filiale de Préfa du Léman, monte aussi aujourd’hui sa première unité de production dédiée. Et dont la mise en service effective doit intervenir début 2023. Il y aura d’autres industriels du béton partenaires, afin de former un véritable réseau. Mais nous souhaitons privilégier la qualité à la quantité. Enfin, nous avons aussi des velléités à l’international. En effet, notre technologie s’avérant être une des moins impactantes qui soit pour l’environnement, nous sommes très sollicités, y compris par de potentiels partenaires étrangers. Propos recueillis par Frédéric Gluzicki 1Certification forestière privée qui promeut la gestion durable des forêts. Article paru dans le n° 100 de Béton[s] le Magazine
Il y a 2 ans et 358 jours

Comment se sentir bien chez soi ? 6 astuces

Une maison doit être un lieu calme et paisible où l’on vient se ressourcer et se reposer après une longue journée de travail. Afin d’améliorer le niveau de vie, il est primordial d’aménager l’habitation afin qu’elle reflète le cocon dont on a besoin. Pour ce faire, plusieurs possibilités d’aménagement et de décoration existent. Découvrez ici 6 astuces pour vous sentir bien chez vous. Épurer la décoration Votre maison doit être un havre de paix. Elle ne doit pas être surchargée de bibelots ou d’objets en tout genre. La décoration doit être épurée afin d’apporter de la sérénité. Vous pouvez utiliser des matières réconfortantes et des couleurs douces pour créer une bonne ambiance. Certaines pièces comme la chambre à coucher se doivent d’être dans un style minimaliste et chaleureux. Elles pourront ainsi vous procurer le réconfort recherché. Il est possible de trouver tout pour votre maison dans des magasins ou sur des sites spécialisés. Ainsi, vous pouvez avoir tous vos accessoires de décoration au même endroit. Avoir une ambiance lumineuse pour chaque pièce Pour se sentir bien chez soi, l’éclairage est très important. Un bon éclairage agit sur le bien-être du corps et de l’esprit. Il faut alors donner une ambiance lumineuse pour chaque pièce. En journée, il est conseillé d’utiliser au maximum la lumière naturelle. Pour faciliter son utilisation, vous pouvez placer des rideaux fins, des stores ou des paravents qui laissent passer les éclats du soleil. Pour la soirée, il est recommandé de choisir un éclairage adapté à chaque pièce. La cuisine doit disposer de lampes au plafond pour assurer un éclairage maximal. La salle de bain et le salon doivent disposer de plusieurs lampes assurant à la fois un bon éclairage, mais aussi une certaine intimité. Aussi, il est possible avec l’éclairage de mettre en exergue un détail architectural ou élément décoratif. Adopter un purificateur d’air La qualité de l’air qu’on respire est primordiale pour notre bien-être. En intérieur, il est encore plus important de veiller sur l’air qu’on respire. Il faut alors purifier l’air des impuretés, des résidus de produits chimiques et de la poussière. Pour ce faire, il y a quelques habitudes à adopter. Il faut éviter l’utilisation des produits corrosifs et chimiques et adopter les produits plus naturels et écologiques. Il faut également aérer les pièces de la maison chaque matin pendant 10 à 15 minutes. Toutefois, il est également possible d’installer un purificateur d’air et un diffuseur d’huiles essentielles. Ces éléments aident à avoir une bonne odeur et une ambiance zen dans toute la maison. Optimiser l’espace Pour se sentir bien chez soi et profiter du calme, le sentiment d’espace est essentiel. Il est important de ne pas se sentir à l’étroit, quelle que soit la superficie du logement. Optimiser l’espace permet de gagner de la place. C’est une manière de disposer les objets pour que chaque chose soit à sa place tout en ayant un sentiment de grandeur. Pour y arriver, certaines réalisations doivent être faites. Il faut notamment adapter la taille des meubles à celle de vos pièces. Ensuite, il est mieux d’opter pour des placards modulaires ou des caisses en bois comme lieux de rangement. L’utilisation de meubles convertibles ou multifonctions est également conseillée pour optimiser au mieux son espace.
Il y a 2 ans et 359 jours

RGD : « Nous faisons tout pour le béton, sauf le béton »

Article paru dans le n° 100 de Béton[s] le Magazine Richard Guérin, président-fondateur de la société Recherche Gestion Développement. [©RGD/Pierre Ardouin] Qui est RGD ? Richard Guérin : C’est l’acronyme de Recherche Gestion Développement, une entreprise œuvrant à augmenter la durabilité des bétons armés. Le point de départ de RGD est un brevet sur un système de protection : un mortier aux micro-billes de type “anodes sacrificielles”. Aujourd’hui, cette spécialité constitue une bonne part de notre chiffre d’affaires… Vingt ans : quel bilan ? Malgré tout ce que nous avons traversé, je pense que je le referai. Mais sans doute d’une manière un peu différente, compte tenu de l’expérience accumulée. RGD fait tout pour le béton, sauf le béton ! Ainsi, nous assurons la revente exclusive de mortiers industriels de marques Ruredil, filiale de Chryso Italie, et Drizoro, d’origine espagnole. Ces produits permettent d’intervenir sur des marchés spécifiques de la réparation, du calage/scellement. Ils sont proposés en vente directe, car nous ne passons pas par le négoce. Drizoro, ce sont aussi des plats et des toiles carbone sous ATE, destinés aux renforcements structurels. Mais nous distribuons aussi, et ce depuis 2006, le système PBO, fabriqué par l’Italien Laterlite. Il s’agit d’une grille en kevlar à noyer dans une matrice cimentaire. Sa particularité est de pouvoir être appliquée sur support humide et d’être résistante au feu. Bien entendu, le cœur de l’activité reste la protection contre la corrosion. RGD importe les systèmes d’anodes sacrificielles CPT et Corrpre, complémentaires l’un de l’autre. A quoi s’ajoutent des solutions par courant imposé. Par ailleurs, nous distribuons la marque suisse Rascor. Celle-ci propose un système d’injection derrière les ouvrages de génie civil en vue de (re)créer une étanchéité. Enfin, RGD propose quelques adjuvants de type “accélérateurs pour mortiers et enduits”. Ou encore des agents de cure non filmogène, en phase aqueuse et sans solvants. RGD est-il aussi un fabricant de produits ? Tout à fait ! Nous bénéficions d’une unité de production de 1 000 m2, basée à Sérézin-sur-Rhône. Nous y fabriquons des peintures et des lasures pour bétons verticaux comme horizontaux. Ce sont des produits en phase aqueuse sur une base silicate. Les peintures sont, elles, surtout destinées à une utilisation en toitures, sur tuiles béton par exemple. Voire même sur tuiles amiantées, car permettant d’encapsuler les matériaux les constituant. Il y a dix ans, nous avons racheté la marque MP2, dont nous avons repris la fabrication des produits. Ces peintures vont du transparent à l’opaque, dans toutes les nuances Ral, y compris métallisées. Et nous sommes en mesure de répondre aux demandes “sur mesure”. Les produits MP2 sont proposés via un réseau de revendeurs de peintures spéciales. Toujours côté production, nous fabriquons des hydrofuges, des inhibiteurs de corrosion, des agents anti-mousse, tous disponibles en marque blanche. Comment voyez-vous les vingt ans à venir ? Je fais le vœu que RGD soit toujours là et qu’il ait consolidé sa place de spécialiste de spécialités que les autres ne proposent pas ! Quels sont les axes stratégiques du moment ? Nous en avons trois, tous centrés sur le développement durable. A travers des peintures réfléchissantes anti-UV et anti-infrarouge. Leur objectif est de permettre de lutter contre les îlots de chaleur, en réduisant de plus de 10 °C les températures ambiantes. Le deuxième axe est de proposer de solutions bas carbone de réparation d’ouvrage, sans solvants à base hydraulique. Enfin, nous continuons à travailler au développement de notre offre d’anodes sacrificielles. Notamment, des produits encore plus faciles à mettre en œuvre, de faible épaisseur ou faible encombrement. Propos recueillis par Frédéric Gluzicki Article paru dans le n° 100 de Béton[s] le Magazine
Il y a 2 ans et 362 jours

Campa présente de nouveaux radiateurs d’exception au design épuré

Depuis plus de 40 ans Campa a su imposer un véritable parti-pris dans la conception de ses radiateurs électriques haut de gamme. La sélection et la mise au point de matériaux les plus nobles adaptés à la fois aux exigences de la décoration d’intérieurs mais aussi à celle du confort thermique le plus précis sont au cœur de l’univers CAMPA. Conçus et fabriqués en France, ces radiateurs sont intelligents et 100% connectés (sans aucun accessoire supplémentaire) grâce à la technologie Muller’ Intuitiv pour une consommation adaptée au rythme de vie des utilisateurs. Une connectivité qui permet d’associer la performance technologique aux lignes remarquables de ces radiateurs. KERAMOS, le radiateur issu de la terre et du feu Cette nouvelle ligne de radiateur CAMPA valorise les qualités de la céramique, l’inertie, la conductivité thermique et la résistance élevée aux chocs. Le confort apporté par la seule façade et ses éléments chauffants intégrés est tel qu’il peut être suffisant pour couvrir l’essentiel des besoins durant la saison de chauffe. Il associe l’action d’éléments chauffants les mieux adaptés aux qualités thermo-physiques uniques de la céramique. Sa conception privilégie l’inertie et le rayonnement d’un matériau noble qui émet une chaleur d’ambiance douce, régulière et bien repartie dans la pièce, avec une finesse de réglage extrêmement précise. Comme tous les radiateurs d’exception CAMPA, les KERAMOS sont des modèles de référence du confort thermique bas carbone. Le style KERAMOS aux effets rouille, associe sa texture brute à une sensation de chaleur et confort unique. Née du mariage de la terre et du feu, la céramique s’affirme aujourd’hui comme une véritable tendance dans l’aménagement de l’habitat contemporain. Caractéristiques techniques :KERAMOS3 dimensions horizontales et 4 puissances : 84,4cm x 58,9cm à 1000W: 1460€ / 112,2 x 58,9cm à 1500: 1659€ / 112,2cm x 71,4 à 2000w : 1964€Épaisseur : 128mm1,546 x 45,1cm en 1100W : 1675€ et 1600W : 1911€Épaisseur : 125mm CAMPAVER Dépoli, un radiateur au caractère bien trempé Le radiateur Campaver Dépoli émet une chaleur d’ambiance douce, sans à-coup et bien répartie dans la pièce, avec une finesse de réglage extrêmement précise. L’élément rayonnant interne apporte un complément immédiat de chaleur en cas de besoin. La façade en verre trempé dépoli est déclinable en blanc et ficelle (beige) et permet une diffusion de la chaleur sur toute la surface avec une véritable inertie. CAMPAVER combine l’action de deux corps de chauffe associés aux qualités thermo-physiques de la glace de verre et au dessin de sa ligne. Avec sa façade transparente ou à effet miroir, le radiateur en verre ne sert pas seulement à chauffer une maison, mais il est également un élément de décoration à part. Ses lignes élégantes et épurées rehaussent tous les types d'aménagement. Il est très discret grâce à son faible encombrement et sa façade ultra-fine. Caractéristiques techniques :CAMPAVER DEPOLIDéclinable en deux couleurs : Dépoli blanc et Dépoli ficelle (beige)3 dimensions horizontales et 4 puissances :82cm x 56,5cm à 750W : 1225€ / 82 x 56,5cm à 1000W : 1264€ / 109,8cm x 56 ,5 à 1500w : 1450€ / 109,8CM X 69cm à 2000W : 1604€Épaisseur : 121mm 2 dimensions verticales et 2 puissances :1,522m x 42,7CM en 1100W : 1294€ et 1600W : 1450€Épaisseur : 121mm Une fabrication française qui garantit qualité, sécurité et traçabilitéCampa a défini comme une priorité d'intégrer l'ensemble des processus depuis la conception jusqu'à la fabrication sur le territoire national. La conception, le prototype, les opérations de préparation, de transformation et de conditionnement se déroulent en France, dans l’usine de Fismes en Champagne avec leurs réseaux de sous-traitants locaux. Toute la chaîne de production des créations est ainsi maitrisée. Cette volonté lui permet également de participer activement au développement du tissu économique régional et national. Une philosophie industrielle exigeante La notion de “design technologique” décrit la volonté dont Campa a toujours fait preuve pour imposer l’idée qu’un radiateur haut de gamme se définit par les qualités esthétiques de ses lignes mais également par des performances remarquables. Tous les modèles de la gamme CAMPAVER sont certifiés Origine France Garantie, qui contrairement aux mentions auto déclaratives «fabriqué en France» atteste, par un audit extérieur, que le produit prend ses caractéristiques essentielles en France et que 50 % à 100% du prix de revient unitaire du produit est acquis sur le territoire. La connectivité au service de l’efficacité énergétique Analyse des rythmes d’occupation, détection de fenêtre ouverte et d'absence, anticipation, auto-programmation, indicateur comportemental, consultation au jour le jour sur graphique, pilotage par la voix par assistants vocaux, verrouillage par code PIN, ... toutes ces fonctions à économies d'énergie sont accessibles via l’application et sont simples d’utilisation.
Il y a 2 ans et 362 jours

60 Millions de consommateurs épingle les diagnostiqueurs de performance énergétique des logements

Le diagnostic de performance énergétique (DPE), qui classe les logements de A à G en fonction de leur consommation d'énergie et de leur impact sur le climat, est obligatoire dans les logements destinés à être habités.Entre 2023 et 2028, les logements les moins bien classés seront progressivement interdits à la location. L'objectif est d'inciter à leur rénovation, l'usage des bâtiments représentant un cinquième des émissions de gaz à effet de serre de la France.Pour son test, réalisé en février et mars 2022, 60 Millions de consommateurs s'est associé aux propriétaires de quatre maisons, à Toulouse, Corbeil-Essonnes, en banlieue de Bordeaux et dans un village de Haute-Garonne.Chaque propriétaire a sollicité cinq diagnostiqueurs différents et le magazine a eu recours en plus à un expert indépendant.Or, les DPE réalisés comportent "des erreurs en pagaille", souligne Fanny Guibert, cheffe de rubrique au magazine, avec parfois des écarts de deux catégories de l'un à l'autre.Date de construction erronée, nombre de portes ou de fenêtres mal évalué, pompe à chaleur oubliée... "Sur la partie données, les diagnostiqueurs ne font pas un assez bon boulot", a-t-elle jugé.Depuis juillet 2021, les critères des DPE ont changé et ceux-ci sont désormais opposables, c'est-à-dire qu'il est possible de saisir la justice s'ils comportent des erreurs.Les changements conséquents qu'avait suscité la réforme dans le classement de certains logements avaient conduit le ministère à y apporter, à l'automne 2021, des corrections à la hâte."On a vérifié les dates de formation des diagnostiqueurs qui ont réalisé les DPE, et souvent elles étaient antérieures à la réforme", a noté Virginie Potiron, juriste à 60 Millions de consommateurs.Le magazine, qui s'est adressé au ministère de la Transition écologique, dont le logement fait partie des attributions, réclame donc une meilleure formation des professionnels."Oui, nous avons à mieux normer, à mieux encadrer, d'abord pour qu'il y ait moins de fraude", a répondu la ministre Amélie de Montchalin interrogée à ce sujet sur France Inter."On a fait un gros travail de normalisation et de contrôle. Et donc sur ce sujet, il faut effectivement qu'il y ait des pratiques beaucoup plus homogènes", a-t-elle ajouté.
Il y a 2 ans et 363 jours

Le groupe Viessmann va investir 1 milliard d’euros dans les pompes à chaleur et les solutions vertes . Le passage à des solutions intégrées porte ses fruits , 3,4 milliards d’Euros de chiffre d’affaires en 2021 , Croissance globale +21 % par rapport   202

● Un investissement historique : 1 milliard d’euros au cours des trois prochaines années pour étendre l’empreinte manufacturière, les laboratoires de R&D et la gamme d’offres de solutions vertes, en particulier dans le domaine des pompes à chaleur, renforçant ainsi l’indépendance énergétique géopolitique de l’Europe. ● Performances 2021 : Chiffre d’affaires de 3,4 milliards d’euros […]
Il y a 2 ans et 363 jours

RSE / Responsabilité sociétale des entreprises : Inoha engage ses adhérents dans la décarbonation

Pour lutter contre le changement climatique, la France s’est engagée dans la Stratégie Nationale Bas Carbone et s’est fixée comme objectif la neutralité carbone à l’horizon 2050. C’est dans ce contexte qu’INOHA a placé la RSE parmi les axes de sa stratégie 2022 – 2025 pour accompagner la filière du Nouvel Habitat. A l’issue de son Assemblée Générale du 18 mai 2022, INOHA, l’Association des Industriels du Nouvel Habitat, a dévoilé son plan de décarbonation des entreprises et notamment le parcours d’accompagnement adapté au niveau de maturité et à la taille de ces dernières. Cet événement a également été l’occasion de présenter Delphine de Labarrière, nommée au poste de Responsable RSE. RSE, des actions structurées autour de 3 axes Le 15 décembre 2021, les membres du Conseil d’Administration d’INOHA ont validé la feuille de route stratégique pour engager et accompagner la filière du Nouvel Habitat dans sa démarche RSE (Responsabilité Sociétale des Entreprises). Dans ce domaine, les actions d’INOHA sont structurées autour de 3 axes : • Eclairer ses adhérents sur les enjeux de la RSE, sur les meilleures pratiques à adopter et les guider sur les différentes démarches d’évaluation. • Construire des actions collectives qui contribuent à bâtir une filière à impact positif et à développer des offres durables (mesure de l’empreinte carbone des entreprises et stratégie de décarbonation). • Peser sur la conception de la règlementation et sur la mise en œuvre équitable des pratiques commerciales. Pour accompagner ses adhérents sur ces sujets, INOHA leur propose des formations pour comprendre les enjeux de la RSE et piloter une démarche de transition environnementale. Un module spécifique sur la Responsabilité Sociétale de la Marque a été également mis en place. Bilan Carbone®, quels périmètres ? Afin de construire une filière à impact positif, l’un des axes de sa démarche RSE, INOHA s’engage dans la décarbonation de ses entreprises adhérentes. Pour rappel, le Bilan Carbone sert à mesurer les émissions de gaz à effet de serre liées à l’activité d’une entreprise. Il permet de catégoriser les émissions en 3 périmètres : • Scope 1 : émissions directes de gaz à effet de serre qui ont lieu au sein de l’entreprise résultant de la combustion d’énergies fossiles, telles que le gaz, le pétrole, le charbon… et les émissions de gaz frigorigènes. • Scope 2 : émissions indirectes liées à l’énergie non fossile utilisée par l’entreprise comme, par exemple, la consommation d’électricité ou de la chaleur pour la fabrication d’un produit. • Scope 3 : toutes les autres émissions de gaz à effet de serre qui ne sont pas liées à la fabrication d’un produit mais à d’autres étapes du cycle de vie de celui-ci (approvisionnement, achats, transport, frêt, déchets, …). Ce périmètre constitue la part la plus importante d’émissions d’une entreprise. La réalisation d’un bilan Carbone passe par 3 étapes clés : la collecte et le calcul des émissions de gaz à effet de serre, l’analyse des données et la mise en place d’une stratégie pour réduire les postes d’émissions les plus significatifs. Un parcours d’accompagnement à la décarbonation sur-mesure Pour mener à bien sa mission, et parce que les objectifs de réduction des émission de gaz à effet de serre s’imposent à toutes les entreprises, INOHA a bâti, à l’aide d’experts, un programme d’accompagnement à la décarbonation pour ses adhérents. Basé sur des démarches collectives stimulantes qui permettent d’apprendre ensemble et de se comparer, il propose trois dispositifs adaptés à tous les niveaux de maturité sur le sujet et à toutes les tailles d’entreprises : • Premiers Pas Climat : 3 sessions collectives de 2 heures, alternant avec des actions individuelles en autonomie, destinées aux petites entreprises souhaitant se familiariser et réaliser une première évaluation simplifiée de leur empreinte carbone sur les scopes 1, 2 et 3. • Bilan Carbone sur-mesure : 3 sessions collectives, alternant avec des actions individuelles accompagnées par un consultant expert, pour les entreprises souhaitant réaliser leur bilan carbone. • ACT Pas à Pas, en partenariat avec l’ADEME, pour les entreprises ayant réalisé leur bilan carbone et voulant mettre en œuvre une stratégie bas carbone. Ce parcours, d’une durée d’environ 3 ans, alterne sessions collectives et accompagnement individuel par un consultant expert, formé ACT Pas à Pas. Toutes les données collectées seront intégrées dans l’Observatoire « Vigie Décarbonation INOHA » qui sera mis en place dès que celles-ci seront suffisantes. Véritable chef d’orchestre, INOHA assurera la promotion, la coordination et la gestion administrative de ce programme. « Ce plan de décarbonation est essentiel pour contribuer positivement à la stratégie Bas Carbone des Accords de Paris. Nous avons une responsabilité importante et nous avons décidé d’en faire une priorité au sein d’INOHA pour accompagner nos adhérents sur ce sujet » précise Jean-Luc GUÉRY, Président d’INOHA. Delphine de Labarrière, nouvelle responsable RSE d’INOHA Pour mettre en œuvre efficacement la démarche RSE globale de l’association et de ses adhérents, INOHA a recruté Delphine de Labarrière au poste de Responsable RSE. Avant de rejoindre INOHA, elle a passé 15 ans au Consortium Stade de France, filiale des groupes Bouygues et Vinci, comme Responsable Développement Durable. A ce poste, elle a, entre autres, défini et structuré la démarche RSE de l’entreprise, élaboré les indicateurs et piloté la politique déchets. Elle mettra ses compétences au service d’INOHA et de ses adhérents et présentera au Conseil d’Administration, d’ici la fin de l’année, un plan d’actions structuré qui permettra une implication forte de l’association et des industriels qu’elle représente sur ces enjeux majeurs. http://www.inoha.org/