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Il y a 2 ans et 364 jours

En stockant les calories, Wienerberger réduit l’impact carbone de son site de production de Pontigny

Poursuivant ses engagements environnementaux, Wienerberger France s’associe avec l’entreprise Eco-Tech Ceram pour l’installation d’un Eco-Stock® sur son site historique de Pontigny (89), spécialisé dans la fabrication des tuiles de la marque Aléonard. Véritable innovation dédiée à la transition énergétique dans le secteur industriel, l’Eco-Stock® permet de récupérer et de stocker la chaleur fatale rejetée par les six fours intermittents de l’usine. Cette chaleur accumulée dans l’Eco-Stock® sera ensuite réorientée vers les séchoirs eux aussi intermittents. Ils n’auront plus besoin de gaz pour fonctionner. Le site réduira considérablement son impact carbone en supprimant l’émission de l’équivalent en Co2 de 6 000 000 de kms de voiture . L’Eco-Stock® est un système de stockage thermique pouvant aller jusqu’à 1 000 °C et permettant de gérer l’intermittence et la variabilité des gisements et des consommations énergétiques. Il est capable de capter, stocker et restituer une énergie décarbonée moins coûteuse que celle issue de la combustion de matières fossiles (gaz naturel, pétrole…) en contrôlant la durée, la puissance, la température et le débit des flux d’énergie. Cet article En stockant les calories, Wienerberger réduit l’impact carbone de son site de production de Pontigny est apparu en premier sur Planète Bâtiment.
Il y a 3 ans et 2 jours

Vague de chaleur : comment avoir des bâtiments plus frais ?

Comment protège-t-on un bâtiment de la chaleur ?Il y a deux leviers d'action : "se protéger du rayonnement solaire, et pouvoir faire sortir la chaleur", pointe Karine Jan, responsable du service Bâtiment durable au Cerema (Centre d'études et d'expertise sur les risques, l'environnement, la mobilité et l'aménagement).Pour la seconde partie, la solution la plus efficace est la plus évidente : aérer la nuit. Mais c'est dès la conception que cela peut être facilité, avec des bâtiments dits traversants, c'est-à-dire ouverts sur au moins deux façades, qui permettent de créer des courants d'air.A l'intérieur, les ventilateurs de plafond, déjà très présents en outre-mer, devraient aussi devenir de plus en plus courants, pronostique Karine Jan.Pour réduire l'exposition, il faut "limiter les grandes surfaces vitrées ouvertes sur le sud", explique Loïs Moulas, directeur général de l'Observatoire de l'immobilier durable, "introduire des alcôves, des terrasses, pour faire en sorte qu'il y ait des zones d'ombre".On peut également ajouter aux fenêtres des "brise-soleil", des lames de bois orientées d'une façon qui permet à la lumière d'entrer en hiver, quand le soleil est rasant, mais pas en été, quand il est haut dans le ciel, détaille-t-il.Et bien sûr l'installation de volets permettant d'être au frais sans être dans le noir, comme il en existe déjà dans le Sud (espagnolettes, volets niçois...).L'objectif le plus crucial est d'éviter l'installation de climatiseurs, qui aggravent le réchauffement climatique et augmentent, dans un cercle vicieux, le besoin d'y avoir recours, souligne Loïs Moulas.Quels matériaux sont les plus efficaces ?Les matériaux de construction les plus lourds, comme la pierre de taille ou le béton, sont les plus isolants. En revanche, ils sont aussi chers et polluants.Ils entrent donc en contradiction avec la réglementation environnementale 2020 (RE2020), en vigueur depuis le 1er janvier. Pour limiter les émissions de gaz à effet de serre de la construction neuve, elle favorise plutôt les matériaux dits biosourcés (d'origine naturelle), comme le bois.Mais à des matériaux biosourcés, on peut associer des isolants efficaces, comme du béton avec du bois... ou des isolants biosourcés eux aussi, tout aussi efficaces, comme la laine de chanvre ou de bois, ou la ouate de cellulose, avance Karine Jan.Que fait l'Etat pour adapter les bâtiments ?La RE2020 fait du confort d'été, soit la protection contre la chaleur, un critère essentiel pour les bâtiments neufs.L'indicateur pour le mesurer s'appelle les degrés-heure d'inconfort. A la conception d'un bâtiment par l'architecte, on calcule le nombre d'heures dans l'année (canicules comprises) où la température intérieure devrait théoriquement dépasser un certain seuil, généralement de 26 degrés.Chaque heure où ce seuil est dépassé, un degré de plus représente un point d'inconfort. Et sur une année, le bâtiment ne pourra pas en cumuler plus de 1.250. Au-delà de 350 degrés-heures d'inconfort, un bâtiment peut être autorisé, mais il sera considéré comme plus consommateur d'énergie, car les occupants seront d'autant plus susceptibles d'y installer un climatiseur.Pour le calculer, on va tenir compte d'une multitude de critères, explique Marc Schoeffter, ingénieur au service bâtiment de l'Ademe (Agence de l'environnement et de la maîtrise de l'énergie)."Le confort d'été, il va être pris en compte par rapport à la dimension du bâtiment, la taille des ouvertures, les protections solaires qu'on va pouvoir y mettre, l'inertie... un bâtiment qui a une forte inertie va pouvoir amortir l'onde solaire au cours de la journée et restituer au cours de la nuit l'énergie emmagasinée".Les diagnostics de performance énergétique (DPE), obligatoires pour vendre ou louer un bien immobilier, prennent également en compte des paramètres de confort d'été : isolation, présence ou non de volets, possibilité de créer des courants d'air...
Il y a 3 ans et 3 jours

Une politique soutenue d’investissements pour le site de production Watts/Socla de Virey-le-Grand (71)

Présentation du site de production Créée en 1951 par la famille Trémeau Jambon à Chalon-sur-Saône, l’unité de production SOCLA est implantée aujourd’hui à Virey-le-Grand, au cœur de la région Bourgogne Franche Comté, sur un site d’une surface de 20.600 m2. Filiale du groupe WATTS Water Technologies Inc. depuis 2011, l’entreprise, dont le nom signifie SOciété des CLApets, a développé son savoir-faire au fur et à mesure de différentes acquisitions pour devenir la marque leader dans les domaines de l’eau et du contrôle des fluides en mouvement. Son expertise s’articule autour de 4 thématiques principales : – la protection des réseaux d’eau potable au travers d’une large gamme de clapets anti-pollution avec dispositifs de contrôle d’étanchéité et de vidange de l’installation, mais surtout de disconnecteurs hydrauliques à la pointe de la technologie, dont l’un des modèles s’est imposé comme une référence sur le marché (BA2860). Des solutions pour lesquelles Socla associe un service dédié, le CRAN ou encore l’application DigiscoTM, afin de répondre aux exigences de la réglementation qui impose l’entretien annuel obligatoire des disconnecteurs. – le non-retour grâce à une offre complète de clapets allant de 15 à 800 mm, d’une fiabilité à toute épreuve et proposant différentes technologies (16 systèmes d’obturation intérieurs) pour s’adapter aux contraintes liées à chaque installation (pression, étanchéité, perte de charge, type de fluide…), – la régulation au travers d’une large gamme de vannes de régulation automatiques, de réducteurs de pression, ventouses, dispositifs anti-bélier destinés à contrôler ou réguler la pression, niveau de l’eau et de l’air dans les réseaux de distribution d’eau potable, – l’obturation grâce à la richesse d’une offre de vannes papillon proposées en standard et sur-mesure, les seules sur le marché à disposer d’un papillon flottant sur un axe traversant, garantie d’étanchéité et de maintenance facilitées. Elles équipent les réseaux afin de réguler ou d’interrompre le débit qu’il s’agisse d’eaux ou de fluides industriels. Autant de produits phares qui bénéficient d’agréments reconnus (NF, ACS, Bureau Veritas, WRAS, Kiwa, VA, Uni, Belgaqua) et d’une garantie de 5 ans. D’une capacité de production de plus de 9,5 millions de produits, le site de Virey-le-Grand dispose d’un laboratoire d’analyse à la pointe de la technologie, d’une surface de 620 m2. Equipé d’une piscine d’une capacité de 340 m3, il permet à l’entreprise de réaliser une multitude de tests tels que des essais d’endurance ou encore de résistance au brouillard salin pour mesurer la durabilité de ses solutions à la corrosion. Fonctionnant en circuit fermé, le débit maximum de ces installations est de 3400 m3/heure soit l’équivalent de 5,5 baignoires (170 litres) par seconde. Par ailleurs, dans une véritable démarche d’amélioration continue, le site de production de Virey-le-Grand est certifié ISO 9001 (management de la qualité), 14001 (management environnemental) et 45001 (management de la santé et de la sécurité au travail). Une politique soutenue d’investissements Afin de moderniser son site de production et ce, dans une volonté d’augmenter l’engagement qualité et d’optimiser la sécurité des équipes sur le site, SOCLA a investi près de 900.000 € à raison de : – 450.000 € pour automatiser la production des clapets incorporables afin de gagner en productivité sur certaines opérations (montage des joints, tests d’étanchéité, marquage) et d’améliorer le process en remplaçant l’utilisation des encres à solvant par des cartouches d’impression, – 300.000 € pour l’usinage des vannes papillon de gros diamètre (supérieur à 400 mm) afin d’améliorer la sécurité des opérateurs, d’optimiser la flexibilité de la ligne de production et ainsi de gagner en réactivité pour répondre aux demandes des clients, – 140.000 € pour maîtriser son empreinte carbone via la récupération de chaleur du compresseur situé dans le laboratoire d’analyse pour chauffer en autonomie différents locaux (service maintenance, laboratoire), mais aussi en remplaçant dans les bâtiments de grande surface les anciens éclairages par des lampes LED dimmables qui captent la lumière naturelle et s’ajustent en fonction. En plus d’offrir un meilleur confort visuel et de chauffe à ses collaborateurs, cette démarche environnementale a permis au site d’économiser 548.516 kWh par an. La protection de l’environnement s’inscrivant au cœur de la stratégie de SOCLA, d’autres investissements sont d’ores et déjà à l’étude avec pour objectifs, d’ici 2023-2024, de : – récupérer la chaleur des fours de l’activité poudrage pour chauffer une partie de l’usine, – mettre en place des panneaux photovoltaïques sur les parkings et ainsi produire de l’énergie verte, – tondre naturellement les espaces verts grâce à des ovins. Un site en constante évolution qui participe au dynamisme de la région Après une première campagne de recrutements initiée en 2021 qui lui a permis de passer de 180 à 204 collaborateurs, SOCLA propose actuellement une quinzaine de postes supplémentaires à pourvoir immédiatement en CDI afin d‘accompagner son évolution. En parallèle, plaçant l’inclusion au cœur de sa démarche RSE, le site de production de Virey-le-Grand accorde sa confiance à des travailleurs handicapés issus des Etablissements ou Services d’Aide par le Travail depuis  bientôt 10 ans. Grâce à son partenariat avec l’ESAT Georges Fauconnet, une équipe d’une vingtaine de personnes en situation de handicap travaille au sein de l’usine pour assurer des opérations telles que le contrôle et le conditionnement de certaines solutions du fabricant (réducteurs de pression, robinets de purge, clapets), la soudure de composants sur des machines semi-automatiques ou encore le test de produits finis. Un peu d’histoire 1951 : Création de la société à Chalon sur Saône par la famille Trémeau Jambon 1973 : Introduction du nom de SOCLA (SOciété des CLApets TJ) 1992 : Rachat de la société par le Groupe Danfoss 1996 : Acquisition de Oreg, ajout de la gamme des vannes papillon 2003 : Acquisition de la société Desbordes, ajout de la gamme des réducteurs de pression 2006 : Acquisition de la société BAR, actionneur pneumatique 2008 : Acquisition de la société Valpes, actionneur électrique 2011 : Rachat de la société par le groupe Watts Quelques chiffres clés – plus de 70 ans d’expérience – plus de 77 pays utilisateurs des produits SOCLA – plus de 25.000 références – plus de 6 millions de vannes papillons en service – plus de 8 millions de réducteurs de pression installés http://www.wattswater.fr/
Il y a 3 ans et 3 jours

Wilo contribue au « Ruban de glace » de l’Anneau national de patinage de vitesse

De 2008 à 2022, le gouvernement chinois a construit des sites de compétition et des installations ultramodernes pour les Jeux olympiques d’été et d’hiver. Comme la pompe à eau est considérée comme l’équipement important des sites sportifs, Wilo, le premier fabricant mondial de pompes à eau et de systèmes de pompes à eau, a également contribué aux Jeux olympiques et paralympiques d’hiver !L’anneau national de patinage de vitesse « Ice Ribbon » est le site emblématique de la principale zone de compétition des Jeux olympiques d’hiver de Beijing 2022, et c’est également le seul site de compétition sur glace nouvellement construit. Pour obtenir une couverture complète de tous les sports de glace tels que le patinage de vitesse, le patinage de vitesse sur piste courte, le patinage artistique et le hockey sur glace, l’Anneau national de patinage de vitesse est conçu comme un site entièrement sur glace, couvrant une surface de glace de 12 000 mètres carrés, également le plus grand d’Asie. L’immense surface de glace est faite du « matériau le plus respectueux de l’environnement », le réfrigérant au dioxyde de carbone, établissant une nouvelle référence pour les Jeux Olympiques en termes de protection de l’environnement et de durabilité.Wilo fournit des solutions de pompage pour le Capital Gymnasium Le Capital Gymnasium a commencé à être rénové le 16 novembre 2018 et a été officiellement achevé le 25 décembre 2020. Construit en 1968, il est en activité depuis 53 ans. Aujourd’hui, il a la capacité d’accueillir toutes les compétitions de patinage de vitesse sur piste courte et de patinage artistique, où un total de 14 médailles d’or sont décernées.Le patinage artistique et le patinage de vitesse sur piste courte nécessitent une température et une dureté différentes pour le plancher de glace, et ce changement doit être effectif en deux heures. Face à ces exigences, l’équipe de conception a mené des recherches et des discussions approfondies avec les experts en fabrication de glace du Comité d’organisation olympique, et a finalement adopté la nouvelle technologie de refroidissement direct transcritique au dioxyde de carbone respectueuse de l’environnement dans le système de fabrication de glace de la grande patinoire, fabriquant ainsi de la glace de manière rapide et uniforme.Grâce à des installations avancées de récupération de la chaleur, la chaleur est réutilisée sur les lieux de la compétition pour chauffer l'eau destinée à l'arrosage de la glace et à la rotation des déshumidificateurs, etc., réalisant ainsi l’utilisation de la chaleur résiduelle et réduisant considérablement les coûts d’exploitation ultérieurs. Lors de la conversion de la température de surface de la glace, la puissance de refroidissement de l’unité de réfrigération est contrôlée en temps réel, grâce au capteur de température, tandis que la glace est arrosée avec de l’eau chaude pour assurer la conversion rapide de la température de la surface de la glace. Wilo a démontré son extraordinaire capacité technique lors des Jeux Olympiques d'hiver de Pékin, notamment en contribuant au projet de reconstruction et d'extension du Capital Gymnasium. Wilo a fourni d'excellentes solutions de pompes à eau pour différents sous-systèmes du Capital Gymnasium :Salle de déshumidification du site, salle de l'unité d'injection directe de l'air conditionné : 12 pompes centrifuges horizontales à aspiration en bout Wilo-GIGA N.Salle de bains du sous-sol : 2 dispositifs de relevage des eaux uséesInstallations d'évacuation des eaux usées et de fonte de la glace pour chaque salle des machines : 16 pompes submersibles eaux usées Wilo-FAG ; 7 armoires de commande de support Wilo-CORCentre national de motoneige et de lugeEn plus d'entreprendre les deux projets des Jeux olympiques d'hiver ci-dessus dans le secteur des bâtiments commerciaux, Wilo Chine a également obtenu des commandes dans le secteur de l'eau municipale. En 2018, Wilo a entrepris le projet de dérivation de l'eau de neige et d'approvisionnement centralisé en eau dans la zone de compétition de Yanqing des Jeux olympiques d'hiver de Pékin.Les Jeux olympiques d'hiver de Pékin comptent trois zones de compétition, et la zone de compétition de Yanqing est celle qui compte le plus de nouveaux sites, et elle est également considérée comme la zone de compétition ayant la période de construction la plus courte, le plus de difficultés et le niveau le plus élevé dans l'histoire des Jeux olympiques d'hiver. Il y a deux sites de compétition dans la zone de compétition : le Centre national de ski alpin et le Centre national de motoneige et de luge.Les deux sites de compétition nécessitent un grand volume de glace artificielle et de services d'enneigement. La source d'eau est principalement fournie par le réservoir de Foyukou dans le district de Yanqing, qui est adjacent à la zone de compétition. L'eau est acheminée du réservoir de Foyukou vers un petit réservoir situé à l'intérieur de la zone de compétition via la station de pompage située à l'extérieur de la zone de compétition, puis pompée vers le réservoir de retenue via la station de pompage. Enfin, les trois autres stations de pompage alimentent en eau les équipements d'enneigement de la zone de compétition.La pompe multicellulaire horizontale segmentée Wilo-RSPH, un produit de la série de transport d'eau claire sur de longues distances de Wilo, est appliquée au projet de station de pompage d'entrée d'eau de première classe pour la fabrication de neige et la dérivation de l'eau et la source d'approvisionnement en eau centralisée dans le district de Yanqing des Jeux olympiques d'hiver.Wilo fournit un total de 11 pompes multicellulaires RSPH pour ce projet. Les pompes multicellulaires RSPH de différents modèles ont une hauteur de refoulement maximale de 499 m et un débit maximal de 430 m³/H h.La pompe centrifuge multicellulaire horizontale Wilo-RSPH est une pompe à eau à haut rendement énergétique.Wilo a testé les performances de chaque pompe de manière exhaustive. Le projet nécessite une courte période de construction et un délai de livraison urgent. En moins de cinq mois, Wilo mobilise tous ses services pour livrer les produits dans les temps, ce qui prouve la force de Wilo sur le marché de l'eau municipale.
Il y a 3 ans et 3 jours

La couverture, interface clé entre les éléments extérieurs et le bâtiment

Photo : ShutterStockLa couverture est la partie visible de la toiture qui recouvre la charpente et l'isolation du toit. Elle protège le bâtiment et ses occupants contre les agressions climatiques : la pluie, le soleil, la chaleur, la neige et le vent. Afin de remplir cette fonction, elle doit présenter des caractéristiques telles que l'imperméabilité et la résistance au poids et aux chocs. Pour s'assurer de l'efficacité du système, le choix d'éléments de couverture de qualité est essentiel. Il doit être déterminé en fonction des performances attendues des produits dans la durée, au regard du climat, des règles d'urbanisme et, idéalement, de l'utilisation des ressources locales. Les couvertures en tuiles sont les plus répandues dans l'Hexagone, devant celles en ardoises et les éléments en zinc, mais les bacs acier, les plaques en fibres-ciment ou, dans une moindre mesure, les bardeaux bitumés sont également utilisés pour certains types de bâtiments, industriels et agricoles notamment. Dans un contexte de fluctuations importantes des prix et de raréfaction de certains gisements comme ceux de zinc, on assiste à l'émergence de nouvelles applications pour certains matériaux de couverture - l'aluminium et l'acier notamment. La RE2020, nouvelle règlementation environnementale entrée en vigueur le 1er janvier 2022, met à ce titre l'accent sur la nécessaire optimisation de l'utilisation des matériaux et procédés, ainsi que sur leur durabilité, leur potentiel de circularité et de réemploi - facilité de réparation et de remplacement -, attributs décisifs pour réduire l'empreinte carbone de la couverture sur l'ensemble de son cycle de vie. La RE2020 a également stimulé l'innovation portée par les industriels du secteur. Ceux-ci proposent aujourd'hui des solutions améliorant significativement les performances énergétiques et thermiques des bâtiments, tout en procurant à leurs usagers davantage de confort, en hiver comme en été. Le sarking, par exemple, technique d'isolation de la toiture par l'extérieur, protège ainsi les bâtiments du froid en hiver et permet de limiter les apports de chaleur en été, sans occasionner de perte d'espace dans les combles, devenus de vraies pièces de vie dans de nombreux foyers. On observe également le développement et la démocratisation des écrans de sous-toiture, toujours plus performants, qui bien que non obligatoires dans les DTU, sont très fortement recommandés, car ils permettent de protéger les combles contre les fines particules : poussières, pollens et surtout neige poudreuse. Ils sont d'ailleurs systématiquement proposés par les tenants d'Avis Techniques de procédés de tuiles de terre cuite à pente abaissée, tendance forte portée par le marché et les architectes. Les innovations des fabricants concernent par ailleurs de nouvelles fonctionnalités de la couverture, qui répondent elles aussi aux exigences de la RE2020. Ainsi, la production d'énergie renouvelable au moyen de panneaux photovoltaïques intégrés à la couverture ou surimposés peut couvrir tout ou partie des besoins énergétiques de fonctionnement d'un bâtiment et de ses usagers, mais génère de nouveaux défis de conservation du niveau d'étanchéité de la couverture dans le temps. Dans cette optique, on constate une tendance forte du marché en faveur de la pose de modules photovoltaïques de plus grande dimension. Ces innovations supposent de nouvelles modalités de mise en œuvre, qui doivent être compatibles avec la sécurisation des chantiers de couverture, pour lesquels des guides de sécurité et de prévention sont disponibles. Solutions & Performances - Numéro 7 : « Couverture » Le numéro 7 de Solutions & Performances est consacré à la couverture qui permet d'assurer la protection du bâtiment et de ses occupants contre les agressions climatiques. PDF 2.5 Mo Consultez les éditions précédentes Inscrivez-vous !
Il y a 3 ans et 3 jours

Le marché des pompes à chaleur en 2050 selon l’AFPAC

90% de part de marché en maisons neuves, 80% en collectif neuf, 2 millions de pac vendues par an en 2050, toutes techniques confondues, … l’AFPAC est très optimiste, au prix de quelques non-dits.
Il y a 3 ans et 4 jours

Une piscine devient éco-responsable

Depuis septembre 2021, un groupement mené par Spie batignolles construction régions réalise la nouvelle piscine intercontinentale de Vernouillet. L’Agglo du Pays de Dreux a souhaité se doter d’une toute nouvelle infrastructure de loisirs pour moderniser son équipement d’origine, devenu vétuste, répondre aux nouveaux besoins de ses administrés et inscrire l’exploitation du bâtiment dans une démarche éco-responsable. La précédente piscine avait été mise en service en 1974, ne répondant donc plus aux normes de sécurité en vigueur, ni à la règlementation PMR. De surcroît, elle affichait des consommations énergiques trop élevées. Le groupement composé de Spie batignolles construction régions (mandataire), AP.MA (architecte), Sebat (BE) et Agir Acoustique (BE acoustique) a proposé une opération pour tenir compte des règlementations les plus actuelles en matière de construction, de sécurité et d’accès pour les PMR et éco-responsable. Le coefficient d’énergie primaire (Cep) est inférieur à 4 000 kWep/m2/bassin/an pour les installations rénovées (niveau C sur l’étiquette énergétique) et un Cep inférieur à 2 800 kWep/m2/bassin/an concernant l’extension (niveau B). Pour atteindre ces objectifs de performance, la nouvelle piscine sera dotée d’un nouvel équipement de chauffage avec l’installation d’une pompe à chaleur à eau chaude servant à la déshumidification et au préchauffage, et de 2 chaufferies à condensation au gaz. Des capteurs photovoltaïques, ont été positionnés sur le futur local à vélos pour réduire les divers coûts de consommation électrique. L’installation d’un nouveau système de filtration par diatomée permettra une meilleure maîtrise de la consommation d’eau, pour atteindre une consommation d’eau de 99,7 litres/baigneur. La piscine disposera d’un équipement dédié à sa propre production de chlore afin d’éviter les approvisionnements extérieurs, dans un objectif de réduction de son bilan carbone. Spie batignolles construction régions a proposé de s’associer au sous-traitant Les Bâtineurs, spécialisé dans l’instauration d’une démarche d’économie circulaire sociale et écologique (valorisation des éléments constructifs issus de la construction existante). Le partenariat avec Les Bâtineurs permet également à l’Agglo du Pays-de-Dreux et à Spie batignolles construction régions de valoriser l’insertion professionnelle puisque la société travaille exclusivement avec des personnes en état de fragilité sociaux-professionnelle dans le cadre de contrat de travail en insertion via une agence d’intérim d’insertion (ETTI). Les Bâtineurs sont en charge de la dépose, Satri de la logistique et du traitement. Ensemble, ils mettent en place la loi AGEC (Anti-Gaspillage et pour l’Economie Circulaire) et les décrets rentrés en vigueur depuis le 1er janvier 2022.Parmi les déchets qui seront valorisés figurent le métal, le verre, le plastique, le plâtre, le bois, tous les déchets électroniques, des faux-plafonds, des kayaks, optimistes, canoë et bateau… Cet article Une piscine devient éco-responsable est apparu en premier sur Planète Bâtiment.
Il y a 3 ans et 5 jours

Kit d’occultation Clovision – Une installation en un temps record

L’aménagement du jardin passe souvent par l’installation d’une clôture. Indispensable, elle permet de délimiter et de sécuriser l’espace de vie autour de la maison mais aussi de préserver la tranquillité et l’intimité des occupants vis à vis du voisinage ou de la rue. Son aspect esthétique et décoratif est de plus en plus privilégié pour embellir cet espace de vie, si important lorsque les beaux jours reviennent. Pour occulter le jardin en toute simplicité, Clovision, une marque française située en Gironde, propose une solution innovante : un kit d’occultation pour clôtures en lames PVC 100 % recyclables. 9 minutes. C’est le temps qu’il faut à un seul et unique poseur pour installer le kit d’occultation Clovision sur une section de 2,5 m. La création de ce système breveté de support de lames a permis à l’entreprise de répondre à une attente précise dans le domaine de la pose de clôture : la rapidité d’installation. Aucun outil n’est nécessaire pour fixer le kit d’occultation. La pose est accessible à tous et ne demande pas d’avoir accès aux 2 côtés de la clôture. Disponible en 5 hauteurs et 5 couleurs au choix (gris, noir, bambou, vert et blanc), le kit d’occultation Clovision est compatible avec la plupart des panneaux rigides en acier du marché. Un montage express : Clipser, glisser et c’est terminé ! Le kit d’occultation Clovision est un système performant breveté qui permet de créer en toute simplicité un espace protégé et chaleureux, et d’occulter la vue des regards indiscrets, tout en protégeant du vent. Un seul poseur est nécessaire pour installer en seulement 9 minutes un intervalle de clôture de 2,5 m avec le kit d’occultation Clovision. Très simple à poser sur la plupart des panneaux en acier du marché, il ne nécessite pas d’avoir accès aux 2 côtés de la clôture. Il suffit d’accrocher le supports de lames aux pieds des panneaux, de faire glisser les lames PVC occultantes à travers le panneau puis de les insérer dans les supports de lames. Un jeu d’enfants ! Une solution efficace et sans entretien Le kit d’occultation Clovision, c’est l’assurance d’une clôture esthétique et discrète associée à la robustesse et la solidité des lames PVC inaltérables à double profils. Fabriquées en France, elles n’ont pas besoin d’entretien spécifique après leur installation. 100 % recyclable, le PVC est un matériau élégant et très résistant parfait pour occulter durablement le jardin. Des essais, les plus rigoureux et d’une durée de 18 mois, sur les matières premières et produits finis ont été effectués avant la commercialisation du kit d’occultation Clovision. Ces tests ont permis d’obtenir un produit haut de gamme, résistant et garanti 5 ans.
Il y a 3 ans et 5 jours

Un nouveau nuancier Acova pour de nouvelles inspirations

Inventeur du radiateur décoratif en 1964 et du sèche-serviettes en 1978 en France, ACOVA a été la première marque à proposer ses produits en couleur afin de les harmoniser, avec style, à la décoration intérieure de l’habitat. Aujourd’hui, Acova s’associe à Juliette Baumgartner, architecte coloriste renommée, pour renouveler son offre couleur et proposer de nouvelles inspirations intemporelles ou tendances. Fruit de cette collaboration, un nuancier riche de 46 teintes, déclinées au travers de 5 univers décoratifs, élaborés à partir d’une analyse de l’évolution des modes et des espaces de vie, du design et des matériaux utilisés dans le bâtiment. La crise sanitaire a accentué l’engouement des Français pour l’aménagement de leur habitat, le considérant comme un lieu de refuge. Leur leitmotiv à cela : se sentir bien chez soi. C’est ainsi, qu’en fonction des aspirations et des styles de vie de chacun, la couleur a pris de plus en plus d’importance dans la décoration que ce soit pour agrandir ou illuminer un espace ou créer une atmosphère agréable. Peinture, tissus, accessoires et équipements participent à cet équilibre tant recherché. Un concept basé sur des tendances décoratives durables Dans ce contexte, Acova a souhaité renouveler son nuancier et s’est entourée de l’expertise de Juliette Baugartner, consultante en architecture et spécialiste des tendances colorielles. « Acova étant déjà synonyme de couleur, la nouvelle palette a été travaillée dans un esprit de continuité. En me basant sur une analyse de l’évolution des modes et des espaces de vie, des matériaux, du design des objets et en tenant compte qu’un radiateur n’est pas un équipement que nous changeons souvent, j’ai recherché un équilibre entre couleurs tendances et intemporelles. Lors du choix d’un radiateur et de sa finition, je me suis aussi demandé avec quel type de robinet, de céramique, de carrelage ou d’accessoire il serait associé afin que le particulier profite longtemps de celui-ci », explique Juliette Baumgartner. Un équilibre entre couleurs chaudes et froides Divisé en tons chauds et froids, le nouveau nuancier se compose de 46 couleurs teintées d’élégance dont 25 inédites en finitions mates, brillantes ou métalliques (Cement Grey, Olive Green, Terracotta Faded, Champagne, Gentian Blue, Pigeon Blue, Blue Night…) pour offrir une sélection tout à fait en phase avec les aspirations des consommateurs d’aujourd’hui. 5 univers décoratifs inspirants pour choisir la couleur de son radiateur Pour inspirer et accompagner les particuliers et les professionnels, Acova propose de sélectionner la couleur de son radiateur au travers de 5 univers décoratifs, chacun reflétant une ambiance unique, définie par Juliette Baumgartner. A partir de ces 5 déclinaisons, Acova invite ainsi le particulier à se projeter dans des harmonies de teintes, de matériaux et de style qui lui ressemblent le mieux : La douceur du cocon Minimalisme, pureté et simplicité sont les maîtres mots de cet univers dans lequel la maison et la salle de bain sont des lieux de repos dans lesquels se ressourcer est essentiel. Les blancs (Pure White, Cream, …), les tons brun clair (Champagne) et gris (Telegrey) associés à des matières naturelles (le bois), des surfaces en métal brossé (le laiton) sont la clé d’un environnement sobre et confortable, dédié à la détente. La chaleur de la terre Tous les amoureux de la terre vont se retrouver dans cet espace dans lequel les nuances d’ocre, de terracotta, de rouge brique (Ruby Red) et de brun (bronze, brown quartz) réchauffent les pièces. Du séjour à la cuisine, en passant par la chambre et la salle de bains, elles créent une ambiance chaleureuse, intemporelle et au charme authentique. Côtés matériaux et textiles, le bois et le lin restent des valeurs sûres. Invitation à l’évasion Des atmosphères raffinées caractérisent cet univers. Les finitions brutes contrastant avec des intérieurs raffinés créent une expérience multi- sensorielle. Les teintes graphites (Titane, Telegrey 2) et taupe (Beige Grey) accentuées par les palettes de bleus (Blue Night, Gentian Blue) permettent de concevoir un espace tranquille et serein propice à la rêverie et l’évasion. L’esprit de la nature Renouer avec la nature, tel est le credo ! Les tonalités vertes (Olive Green, Reseda Green) qui investissent les murs, les sols, en passant par les radiateurs sèche-serviettes reflètent le désir d’un environnement naturel. Leur association avec des couleurs nude (Edelweiss), brun clair (Beige Quartz) et gris (White Aluminium) favorisent l’harmonie et la tranquillité. La matière à l’état brut Inspiré par l’architecture brutaliste, cet univers met en scène des formes géométriques anguleuses, des matériaux bruts comme le béton, des finitions noires mates, des accessoires en métal brossé. L’utilisation d’une seule matière crée une homogénéité visuelle et donne une continuité à l’espace. En total look (Black Quartz, Anthracite Grey) ou en contraste avec des tons bruns naturels (Brown Quartz, Concrete Grey), l’intérieur de l’habitat adopte une ambiance contemporaine, masculine. En complément des 46 couleurs du nouveau nuancier Acova, les 5 univers décoratifs sont présentés sur le site internet, dans les guides d’aide au choix et sur les PLV de la marque en salles d’exposition. De quoi laisser aux particuliers et professionnels (architectes, designers, artisans) exprimer leur créativité et harmoniser parfaitement les radiateurs et radiateurs sèche-serviettes à tous les intérieurs, des plus classiques au plus modernes ! http://www.acova.fr/
Il y a 3 ans et 5 jours

Thermotechnologie , Nouvelle gamme de climatisation réversible mono-split Climate 5000 L dédiée au résidentiel et au petit tertiaire

Bosch Thermotechnologie poursuit le renforcement de son offre de pompe à chaleur air/air (climatisation réversible) avec la nouvelle gamme Climate 5000 L. Couvrant un spectre de puissances élargi de 3,5 kW à 16 kW, elle se destine aux habitations individuelles et au tertiaire tels que les restaurants, les salons de coiffure, les cabinets médicaux, les […]
Il y a 3 ans et 6 jours

Les fluides frigorigènes sont pris entre le marteau F-Gaz et l’enclume Reach

Les fluides utilisés en climatisation et dans les pompes à chaleur sont simultanément concernés par la révision du règlement F-Gaz qui diminue les GWP et le règlement Reach qui va interdire les PFAS
Il y a 3 ans et 6 jours

Testo fait évoluer la thermographie avec ses nouvelles caméras thermiques intelligentes et connectées

Bénéficiant de plus de 60 ans d’expertise dans le domaine de la mesure, Testo est engagé depuis toujours dans l’innovation pour offrir aux professionnels de tous les secteurs d’activités (bâtiment, industrie, &#8230;) des appareils de qualité, faciles à utiliser. Après avoir lancé en 2007 la première caméra thermique entièrement développée en Allemagne, Testo n’a eu de cesse de faire évoluer ses solutions de thermographie infrarouge. Visant l’excellence, Testo lance une nouvelle gamme de caméras thermiques intelligentes et connectées disposant de la meilleure qualité d’image de leur catégorie, en plus de leurs fonctions avancées. Utilisée dans de nombreux corps de métiers, la thermographie infrarouge est indispensable pour détecter et visualiser les déperditions de chaleur ou les vices de construction cachés d’un bâtiment, les fuites sur des installations de chauffage, ou encore, en maintenance préventive des installations électriques. Permettant de mesurer les températures avec précision et sans contact, la nouvelle gamme de caméras thermiques infrarouge testo (testo 865s, testo 868s, testo 871s et testo 872s) se distingue par ses nombreux atouts. Des images thermiques de très grande qualité • Les caméras thermiques testo offrent une sensibilité thermique (NETD) très élevée puisqu’elles visualisent les différences de température à partir de 0,1 °C jusqu’à 0,05 °C. • testo SuperResolution pour une haute résolution d’image. Cette fonction multiplie le nombre de pixels par quatre et permet de visualiser directement sur l’écran de la caméra des images avec des résolutions pouvant atteindre jusqu’à 640 x 480 pixels selon les modèles. • testo ScaleAssist pour un réglage toujours optimal du contraste et l’obtention d’images thermiques comparables de manière objective, quelles que soient les différences de température intérieure/extérieure. Cette fonction rend l’évaluation des anomalies et des ponts thermiques d’un bâtiment plus facile que jamais. En effet, la répartition des couleurs de l’image thermique est automatiquement adaptée pendant la mesure en fonction de la température intérieure et extérieure. Les erreurs d’interprétation dues à un mauvais cadrage thermique sont ainsi réduites. • l’avertisseur IFOV testo permet de voir, grâce à un curseur carré qui s’affiche sur l’écran de la caméra, si l’objet mesuré se trouve bien à l’intérieur de ce cadre. L’utilisateur peut ainsi éviter les erreurs de mesure. Ces deux dernières fonctions facilitent l’utilisation et l’interprétation. Des fonctions pratiques Outre la testo 865s, caméra idéale pour s’initier à la thermographie, les 3 autres modèles de la gamme (testo 868s, testo 871s et testo 872s) sont équipés d’un appareil photo numérique. Elles peuvent être connectés à l’Application testo Thermography, disponible sur IOS et Android, pour une analyse rapide sur site : génération de rapports succincts, enregistrement en ligne et envoi de ceux-ci par e-mail, ajout de points de mesure supplémentaires. Elle permet également de transmettre les images thermiques en direct à un Smartphone ou une tablette et de l’utiliser comme deuxième écran. Pratiques, les caméras testo 871s et 872s disposent, en plus, d’une connectivité sans fil avec le thermo-hygromètre testo 605 i et la pince ampèremétrique testo 770-3 pour rechercher les zones humides et à risque de moisissures dans un bâtiment ou pour détecter la charge d’une armoire électrique. Les valeurs de mesure des deux appareils de mesure sont transmises aux caméras via Bluethooth. Une manipulation aisée Grâce à une interface optimisée, la commande des caméras est intuitive. Elles sont faciles à tenir en main et assez robustes pour résister aux conditions de travail parfois extrêmes. Une gamme pour toutes les exigences Avec différents niveaux d’équipements et fonctions, la nouvelle gamme de caméras thermiques infrarouge de testo répond à tous les besoins : testo 865s Avec ses 160 x 120 pixels, cette caméra est idéale pour les novices en thermographie. Elle permet de visualiser les différences de température à partir de 0,10 °C et de détecter automatiquement les points chauds et froids. Elle intègre les fonctions testo SuperResolution (320 x 240 pixels) et ScaleAssist. testo 868s Appareil photo numérique et images thermiques de 160 x 120 pixels permettant de visualiser les différences de température de 0,08 °C. Fonctions SuperResolution (320 x 240 pixels) et testo ScaleAssist intégrées. Connexion avec l’Application testo Thermography via WiFi. testo 871s Résolution de 240 x 180 pixels, sensibilité thermique < 80mK et détection de différences de température à partir de 0,08 °C. Appareil photo numérique, fonctions SuperResolution (480 x 360 pixels) et testo ScaleAssist intégrées. Application testo Thermography et connectivité via Bluethooth avec testo 605i et testo 770-3. testo 872s Cette caméra thermique professionnelle convainc par une qualité d’image maximale (320 x 240 pixels) et une très bonne sensibilité thermique (
Il y a 3 ans et 10 jours

Nouvelle plateforme logistique de Reynaers Aluminium &amp; Forster France

Cet événement clé est une nouvelle étape dans le plan d'investissement industriel défini jusqu'à 2025 renforçant la position du groupe Reynaers en tant qu'acteur majeur dynamique et engagé depuis plusieurs années dans une politique de développement forte et affirmée. Un investissement de 6 millions d'euros pour répondre à la demande croissanteCe nouveau bâtiment porte les infrastructures du Groupe Reynaers à 15.000m² de surface logistique en France. L'investissement était devenu indispensable pour faire face à la demande croissante que connaissent les deux marques Reynaers Aluminium et Forster sur le marché français. Proche des principaux axes routiers qui desservent la France et la Belgique, ce site stratégique permet d'optimiser les transports de marchandises entre les sites de production et de renforcer la qualité de des services auprès des spécialistes de la menuiserie aluminium et acier.Une croissance soutenue des activités de Reynaers Aluminium et de ForsterFocus Reynaers Aluminium :Reynaers Aluminium a enregistré une croissance de 27% entre les années 2016 et 2019. En 2021, le chiffre d'affaires de l'entreprise a progressé de 24%, traduisant sa capacité à concevoir et à distribuer des solutions techniques pour les projets les plus variés en neuf comme en rénovation.Projet significatif Reynaers Aluminium : le savoir-faire de Reynaers Aluminium s'est illustré récemment dans la conception et la fourniture de solutions sur mesure pour le projet « Jardins du Lou » situé au cœur du quartier de Gerland à Lyon. Les six immeubles de bureaux , signés par l'agence d'architecture AIA Life Designers, représentent 28.000m² de surface et près de 13 000m² de façades.. Focus Forster :Partenariat, excellence et accompagnement sont les maîtres mots qui caractérisent l'offre de solutions techniques et de services proposée par la société Forster. Spécialisée dans la conception et la vente de systèmes de menuiseries en acier, Forster a repris ses ventes en direct en France depuis août 2020. La nouvelle organisation logistique sur le site de Brouchy permet de répondre aux projets les plus variés avec des délais de livraison optimisés. Les professionnels de la menuiserie acier bénéficient ainsi d'une offre complète permettant de réaliser tout type de portes, de fenêtres et de façades, sans oublier la profondeur de l'offre des solutions coupe-feu ou antieffraction indispensable pour les projets nécessitant un traitement spécifique en matière de sécurité des édifices et des occupants.Projet emblématique Forster : le savoir-faire des équipes projets de Forster a permis de répondre aux exigences réglementaires et architecturales de la rénovation de la Samaritaine. Les 800 châssis acier des séries Unico XS et Fuego Light fabriqués et installés dans le bâtiment ont permis de recréer à l'identique l'esthétique des menuiseries acier de cette architecture art moderne et art déco du 19ème siècle.Un investissement logistique pour gagner en performance ServiceCe nouveau site a permis de repenser et d'optimiser les flux logistiques. Ainsi, le site de Brouchy recentre son activité sur le pré équipement de profilés de la gamme Reynaers Aluminium, le stockage et la préparation des commandes en finition thermolaquée et anodisée . La plupart des produits proposés dans l'offre sont stockés dans les teintes blanche et «gris anthracite, permettant de livrer partout en France sous un délai de 8 jours. Afin de gagner en réactivité, les activités de stockage des profilés bruts seront centralisées en 2022 dans les usines de thermolaquage et d'anodisation du groupe en Belgique. Un bâtiment conçu pour améliorer les conditions de travail et réduire les coûts énergétiquesSoucieux de créer un cadre de travail agréable et sécurisant pour les salariés, le bâtiment s'est doté de nouveaux espaces favorisant l'échange entre le personnel administratif et la production. Pour gagner en confort d'été et minimiser les transferts de température toute l'année vers l'intérieur, la toiture de la nouvelle surface logistique est équipée du système CoolRoof (Soprema) limitant la température de surface à 42° durant les fortes chaleurs (72° pour une toiture traditionnelle). Conçue pour recevoir en 2022 des panneaux photovoltaïques, l'installation permettra de réduire de 14% la consommation électrique et d'ouvrir une partie du bâtiment à l'auto consommation. Une attention particulière a été portée également sur le traitement de l'éclairage avec LED, ce qui permet de renforcer le bien-être au travail et de diminuer de 11% la consommation électrique de l'ensemble du bâtiment.Un engagement au quotidien pour répondre aux enjeux environnementauxSensible aux enjeux environnementaux actuels et à venir, ce projet s'inscrit pleinement dans la démarche que le groupe Reynaers mène depuis plusieurs années visant à réduire son impact carbone.Grâce à cette nouvelle chaîne logistique optimisée, le groupe Reynaers diminue significativement les étapes de transports entre les différentes unités et renforce son engagement dans la protection de l'environnement. Les nouvelles installations ont permis de concentrer également les efforts sur la réduction des déchets et notamment sur la mise en place de nouveaux modes d'emballage des commandes clients. Grace à l'utilisation de films recyclables et de civières spécialement conçues pour garantir la qualité des produits transportés, la consommation de carton a été réduite de 50%, avec un objectif de -70% sur les prochaines années.Le Groupe Reynaers, acteur économique de la région PicardieLe site de Brouchy emploie 93 personnes dont 53 permanents et 40 salariés intérimaires permettant de s'adapter avec souplesse et efficacité aux pics d'activité de plus en plus réguliers. En se dotant de cette extension de 5.400m², Reynaers Aluminium et Forster affichent de belles perspectives laissant entrevoir un renforcement de ses activités économiques au plan local et national.
Il y a 3 ans et 11 jours

Une « accélération verte » des filières gaz, chaleur et solutions énergétiques permettrait jusqu’à 170.000 embauches d’ici 2030

Une filière attractive qui doit faire face aux enjeux de développement dans l’ensemble du territoireL’étude, conduite par LHH et Adecco Analytics, fait apparaitre le potentiel de développement de la filière pour la prochaine décennie par la concrétisation d’un scénario « d’accélération verte » et la convergence de plusieurs facteurs : les dépenses d’investissements de l’État, des collectivités publiques et des entreprises, une révolution comportementale des clients accompagnés par les acteurs de la filière, et la conversion des infrastructures vers les biogaz et l’hydrogène. Le bouleversement actuel des grands équilibres énergétiques et stratégiques, par l’urgence de la transition écologique et le contexte géopolitique mondial, est pleinement de nature à accélérer encore davantage la mobilisation des acteurs et l’investissement des entreprises.Ainsi, 170.000 nouvelles embauches sont attendues dans la production de gaz (dont hydrogène, biométhane et biopropane) et dans les services énergétiques (rénovation, installation, exploitation, maintenance des équipements et des installations). Qualifiées, durables, ouvertes à la mixité, elles profiteront à l’économie française, dans l’ensemble des régions et en particulier aux territoires ruraux.Elles s’ajouteront aux 231.400 salariés de la filière positionnés sur les cinq maillons de la chaîne de valeur : production, transport et stockage, distribution, commerce et vente, services énergétiques, équipements et installations, répartis sur l’ensemble du territoire de manière diffuse au sein d’entreprises très diverses, dont une majorité de TPE et PME.Des tendances d’évolution forte des métiers et compétences en lien avec des enjeux géopolitiques et de transition écologiqueEn lien avec l’objectif ambitieux de la France d’atteindre la neutralité carbone à l’horizon 2050, cette étude prospective, au périmètre inédit, identifie plusieurs enjeux :la décarbonation des réseaux et de la distribution de l’énergie dans sa globalité grâce aux nouveaux procédés verts ;la poursuite, voire l’accélération des évolutions technologiques : digitalisation, internet des objets, pilotage à distance des installations, gestion automatisée des données, des réseaux et blockchain ;le développement de nouveaux usages de l’énergie en lien avec la performance énergétique réelle et le service aux occupants des bâtiments ;l'attractivité d’une filière qui présente de forts besoins de recrutement à horizon 2030 mais doit faire face à un vieillissement des effectifs et à des tensions déjà très fortes sur certains métiers.Un élargissement des besoins de compétences pour tous les métiers de la filièreCes tendances se traduisent par des attentes fortes des entreprises qui auront davantage besoin de salariés disposant d’un socle de compétences élargi et d’aptitudes à gérer la relation client, voire de nouvelles briques de compétences :l’agilité digitale devra être développée pour tous les métiers en particulier celui de technicien au contact d’outils et d’équipements de plus en plus automatisés ;l'amélioration de la performance énergétique sera au cœur des enjeux de demain (conception & exploitation d’ouvrages plus sobres, maintenance d’équipements et d’installations de plus en plus complexes, capacité à conseiller les solutions plus efficaces). Dans cette perspective de montée en compétences et au regard des enjeux d’attractivité et de recrutement auxquels fait face la filière, l’évolution de l’offre de formation (continue et initiale) est indispensable. Plus lisible, mieux répartie et adaptée en fonction des spécificités territoriales, l’offre devra être orientée sur les besoins des entreprises, notamment des TPE et PME, et plus accessible aux salariés qui souhaitent s’inscrire dans des parcours professionnels au service de la transition énergétique.Conscient de la transformation en profondeur de la filière, historiquement ancrée dans un système d’exploitation d’énergie fossile, l’ensemble des acteurs se mobilise pour offrir des formations, des métiers et des parcours au service de la maîtrise des consommations et de la décarbonation du mix énergétique des territoires.A ce titre, afin de développer son attractivité et accompagner ses transformations, les acteurs de l’EDEC travaillent dès aujourd’hui à la création d’un portail digital destiné à mieux faire connaître l’ancrage et l’empreinte sociale de leurs entreprises dans les territoires, les métiers qui recrutent, mais aussi l’offre de formation et les nombreuses initiatives régionales sur les énergies et les solutions de demain qui témoignent de la vitalité de la filière.Les signataires de l’EDEC des gaz, de la chaleur et des solutions énergétiques associées : Ministère du Travail Emploi et de l’Insertion, organisations professionnelles d’employeurs : UNEMIG Union nationale des employeurs des industries gazières, Fédération des services énergies environnement - FEDENE, organisations syndicales de salariés représentatives de la branche des Industries Electriques et Gazières : Fédération CFE-CGC Energies, Fédération Chimie Energie CFDT, Fédération FO Energie et Mines, les organisations syndicales de salariés représentatives de la branche des équipements thermiques et de génie climatique : Fédération Nationale de la Construction et du Bois CFDT, Syndicat National du Chauffage et de l’Habitat SNCH affilié à la fédération Enermine CFE-CGC, Fédération générale FO Construction, Fédération UNSA Industrie et construction, les associations syndicales professionnelles de la filière des gaz, de la chaleur et des solutions énergétiques associées : Association française du gaz – AFG, Syndicat national de la maintenance et des services en efficacité énergétique – SYNASAV, Union des métiers du génie climatique, de la couverture et de la plomberie – UMGCCP, France Hydrogène, France Biométhane, France Gaz Liquides.
Il y a 3 ans et 12 jours

Illuminez les intérieurs avec les fenêtres pour toits plats Fakro !

Les fenêtres pour toits plats FAKRO apportent une lumière naturelle et offre une possibilité d'aérer la pièce tout en conjuguant une haute fonctionnalité avec des performances thermiques accrues. Maintenant chaque pièce sous un toit plat peut être à la fois chaleureuse et lumineuse.FAKRO propose quatre types de fenêtres de toit plat type F - fenêtre plane, qui se caractérise en effet par une haute performance thermo-isolante et son aspect moderne,type C - fenêtre pour toits plats avec coupole en polycarbonate,type G – fenêtre pour toits plats avec survitrage plan,type Z – fenêtre pour toits plats avec segment de verre incliné.Construction de nos fenêtres pour toits platsLe dormant des fenêtres pour toits plats est constitué de profilés en PVC multi-chambres, partiellement fabriqué à partir de matières premières recyclées.L'intérieur des profilés est remplie d'un matériau thermo-isolant (polystirène) qui améliore les performances du produit.La surface intérieure du dormant est de couleur blanche (RAL 9010). Les profilés en PVC sont composés de granulat à base de stabilisateur calcium-zinc, et non de plomb.Elles ont une grande résistance aux acides et une faible absorption de l'humidité : les fenêtres pour toit plat peuvent donc être utilisées dans chaque type de pièce.AvantagesConstruction avec haute efficacité énergétiqueGrâce à leur construction spéciale les fenêtres pour toits plats de Fakro ont des paramètres thermo-isolants très performants. Les fenêtres pour toits plats sont équipées d'un double, triple ou même quadruple vitrage.Beaucoup de lumière naturelleGrâce aux fenêtres pour toits plats, les pièces situées sous des toits plats baignent dans la lumière du jour. Elles ont en effet une surface vitrée 16% plus grande par rapport aux solutions proposées par la concurrence.Dimensions non standardLes fenêtres planes de type F peuvent être fabriquées dans des dimensions non standard (dans le cadre 60x60cm – 120x220cm). La possibilité de réaliser une fenêtre plane F précisément sur commande permet de remplacer facilement les anciennes lucarnes et d’améliorer l’isolation thermique de tout le bâtiment.Commande à distanceLes fenêtres motorisées pour toits plats sont commandées avec une télécommande (vendue séparément) dans le système Z- Wave sans fil. Le servomoteur installé dans l’ouvrant limite son exposition aux intempéries pour prolonger sa longévité et une utilisation sans faille. En plus ces fenêtres sont équipées d’un détecteur de pluie qui active la fermeture pendant la pluie.Pour en savoir plus : cliquez ici
Il y a 3 ans et 12 jours

GRDF lance une campagne de pub pour promouvoir les pompes à chaleur hybrides

La pompe à chaleur hybride est "un équipement performant encore trop méconnu", indiquent GRDF et Rosa Paris dans un communiqué commun le 2 mai, qui permet "d'équilibrer son mix énergétique" entre l'électricité et le gaz.
Il y a 3 ans et 12 jours

Pompes à chaleur : et si cela n'était que le début d'un âge d'or ?

DYNAMIQUE. La filière de fabrication des pompes à chaleur espère bien, à terme, franchir la barre symbolique des deux millions d'unités commercialisées annuellement en France.
Il y a 3 ans et 12 jours

Puy-de-Dôme : l’extension des réseaux de chaleur clermontois se poursuit

Dans le Puy-de-Dôme, Clermont Auvergne Métropole mise sur l’extension de ses réseaux de chaleur urbains.
Il y a 3 ans et 13 jours

Lois "Anti-gaspillage pour une économie circulaire" et "Climat et Résilience" : des textes d'application importants ont été publiés

Depuis leur promulgation, de nombreux décrets ayant un impact direct sur le quotidien des Français ont été publiés, dont plusieurs importants ces dernières semaines.Une responsabilité plus importante des producteursRéduction, réutilisation et recyclage les emballages en plastique à usage uniqueLe décret n° 2022-549 du 14 avril 2022 acte la stratégie nationale pour la réduction, la réutilisation, le réemploi et le recyclage des emballages en plastique à usage unique dite « Stratégie 3R », qui vise à :définir les actions à mettre en place par les entreprises, les collectivités territoriales, les éco-organismes et l’Etat pour atteindre les objectifs définis par le décret 3R d’ici 2025 : 20 % de réduction dont au moins la moitié atteinte par le recours au réemploi, tendre vers 100 % de recyclage et donc un objectif que tous les emballages en plastique à usage unique soient recyclables en 2025, et tendre vers l'élimination totale des emballages inutiles. La stratégie prévoit notamment l’élaboration par chaque grande filière de feuilles de route sectorielles 3R, qui pourront bénéficier d’un financement spécifique dans le cadre du plan de relance ;dresser les perspectives et problématiques à l'horizon 2040 concernant l'objectif de la fin de la mise en marché des emballages en plastique à usage unique.Développement des emballages réemployés mis sur le marchéLe décret n° 2022-507 du 8 avril 2022 définit la trajectoire minimale d'emballages réemployés à mettre sur le marché annuellement en France pour la période 2023-2027 afin d'atteindre les objectifs fixés par la loi AGEC et viser ainsi 10% d'emballages réemployés en 2027. Il précise également comment les producteurs participeront à cet objectif, en s'appuyant notamment sur les éco-organismes des filières à responsabilité élargie des producteurs (REP) et en mobilisant un fonds de développement de solutions de réemploi et réutilisation des emballages de près de 50 M€/an.Verdissement des véhicules utilisés dans la mise en relation par des plateformes de livraisonLe décret n° 2022-474 du 4 avril 2022 prévoit l'obligation pour les plateformes de livraison de plus de 50 travailleurs de respecter une part minimale, croissante dans le temps, de véhicules à très faibles émissions à deux ou trois roues, vélos et vélos à assistance électrique.L’objectif est d’atteindre 100% de véhicules à très faibles émissions d’ici 2030. Pour la mise en relation, à partir de juillet 2023 et jusqu’à fin 2024, la part de vélos, vélos à assistance électrique, et véhicules motorisés à très faibles émissions à deux ou trois roues devra atteindre au moins 20%. Cette transition se poursuit sur les années suivantes : 50% à partir de 2025, 80% à partir de 2027 et 100% à partir de 2030.Lancement de l'expérimentation "Oui Pub" le 1er mai 2022Afin de tendre vers une publicité moins subie et de réduire le gaspillage, l'article 21 de la loi Climat et Résilience prévoit la possibilité d'expérimenter le dispositif « Oui Pub », visant à restreindre la distribution d'imprimés publicitaires non adressés aux seuls ménages ayant explicitement indiqué de manière visible sur la boîte aux lettres leur volonté de les recevoir.Treize collectivités territoriales ou groupements de collectivités territoriales prendront part à cette expérimentation entre 2022 et 2025 (cf. décret n°2022-764). La restriction de diffusion des imprimés publicitaires sans adresse (IPSA) sera effective à partir du 1er septembre 2022, après un délai assurant la bonne information des habitants des collectivités concernées et la distribution des autocollants « Oui Pub », en étroite concertation avec les acteurs économiques locaux. La liste des treize territoires concernés est fixée dans le décret n°2022-765. Deux autres territoires, Troyes Champagne Métropole et la Communauté urbaine de Dunkerque Grand Littoral, rejoindront l’expérimentation une fois leur programme local de prévention des déchets ménagers voté, pour un démarrage de la phase d’information le 1er décembre 2022 et de la phase de restriction de distribution le 1er février 2023.Un comité de pilotage associant l’ensemble des collectivités et entreprises concernées sera prochainement mis en place sous la présidence de l‘Ademe. Un comité d’évaluation sera également institué afin d'évaluer l'impact de l’expérimentation sur la production et le traitement des déchets papier, ses conséquences sur l'emploi, sur les secteurs d'activités concernés, sur les comportements des consommateurs, mais aussi sur les éventuelles difficultés de généralisation d'une telle mesure.Obligation de compensation des émissions de gaz à effet de serre (GES) des vols domestiquesLa loi Climat et Résilience a instauré l’obligation d’une compensation progressive des émissions de gaz à effet de serre des vols domestiques pour les exploitants d’aéronefs soumis au Système d’échange de quotas d’émission de l’UE (SEQE-UE) sous peine de sanction. A l’heure actuelle, les vols entre la métropole et les départements et régions d’outre-mer ne sont pas soumis au SEQE-UE. Pour l’année 2022, les exploitants doivent compenser 50% de leurs émissions, ce sera 70% en 2023 et l’ensemble de leurs émissions dès 2024.Le décret n° 2022-667 du 26 avril 2022 fixe l’obligation pour les exploitants d’aéronefs générant plus 1 000 tonnes de CO2 par an sur le territoire national de transmettre au ministère de la Transition écologique une déclaration portant sur les émissions de l'année précédente ainsi qu‘un rapport de compensation justifiant les réductions et séquestrations de ces émissions déclarées. Le pourcentage minimum d’émissions réduites ou séquestrées par des projets situés dans l’Union européenne est fixé à 20% pour les émissions de 2022, 35 % pour les émissions de 2023, 50% pour les émissions de 2024. Une clause de revoyure est prévue en 2024 pour fixer l’évolution de la trajectoire à partir de 2025.Interdiction des terrasses chaufféesL’interdiction des terrasses chauffées, fixée au 1er avril 2022 par la loi Climat et Résilience, vise à mettre fin au gaspillage d’énergie consistant à chauffer l’air extérieur. Fruit d’une concertation étroite et constructive avec les fédérations de professionnels et des collectivités, le décret du 30 mars 2022 permet de créer des dérogations encadrées, notamment pour les terrasses hermétiquement fermées (fermées, étanches à l’air et avec des parois latérales rigides). Le décret crée par ailleurs une sanction pécuniaire en cas d’infraction, visant à apporter une réponse graduée pour les contrevenants.Une accélération de la transition énergétiqueRéduction des émissions de particules du chauffage au bois domestiqueSi les bûches de bois ou les granulés de bois sont une source d’énergie renouvelable, leur utilisation dans de mauvaises conditions leur combustion peut générer une part significative de la pollution aux particules fines. Celles-ci ont un fort impact sur la santé humaine, puisqu’elles sont responsables de 40.000 décès prématurés par an selon les estimations de Santé Publique France.Le décret n° 2022-446 du 30 mars 2022, publié en application de la loi Climat et Résilience, garantit une meilleure information des consommateurs. La qualité du combustible utilisé, notamment son taux d’humidité, et son utilisation ont une forte influence sur la quantité de particules émises et le rendement énergétique de la combustion. La connaissance par les usagers de ces enjeux demeure cependant faible.Le décret fixe les modalités d’informations générales sur les conditions appropriées de stockage et d’utilisation que les distributeurs devront fournir lors de la vente à des utilisateurs non professionnels. Une information devra ainsi être réalisée sur le lieu de vente et sur la facture, s’agissant de la nature du combustible utilisé et de son taux d’humidité. De plus, des recommandations sur le stockage ainsi que des informations générales sur l’impact d’un combustible de mauvaise qualité sur la qualité de l’air et la consommation énergétique devront être fournies par le distributeur.Évolution des règles de classement des réseaux de chaleur et de froidEn application de la loi Climat et Résilience, le décret n° 2022-666 du 26 avril 2022 fait évoluer les règles de classement des réseaux de chaleur et de froid. Ces réseaux sont appelés à se développer massivement pour faire face aux enjeux majeurs du réchauffement climatique et pour l'atteinte de la neutralité carbone à horizon 2050.Ce décret permet de faciliter le classement pour favoriser leur développement dans des périmètres prioritaires, et ainsi encourager les collectivités territoriales à poursuivre le développement des énergies renouvelables et la lutte contre les émissions de gaz à effet de serre. Ce classement permet d’imposer, sauf dérogation, le raccordement au réseau de chaleur ou de froid des bâtiments neufs ou remplaçant une installation de chauffage ou de refroidissement d'une puissance supérieure à 30 kilowatts, situés dans le périmètre de développement prioritaire du réseau. Par ailleurs, un arrêté listant les réseaux concernés à partir du 1er septembre 2022 a été publié.Certificats de production de biogaz par les fournisseursLes fournisseurs de gaz naturel auront désormais l’obligation de contribuer à la production de biogaz. Les fournisseurs de gaz naturel pourront s’acquitter de cette obligation soit en produisant directement du biogaz injecté dans un réseau de gaz naturel, soit en acquérant des certificats auprès de producteurs de biogaz. Ce dispositif, précisé dans le décret n° 2022-640, permet ainsi aux producteurs de biogaz de disposer d’un revenu associé à la commercialisation des certificats de production de biogaz, venant s’ajouter au revenu de la vente physique du biogaz.Une meilleure information du consommateurInformation du consommateur sur les qualités et caractéristiques environnementales des produits générateurs de déchetsLe décret n° 2022-748 du 29 avril 2022 mettant en application l'article 13 I de la loi AGEC encadre désormais les allégations environnementales des metteurs sur le marché et rend obligatoire l’information du consommateur sur certaines caractéristiques environnementales des produits achetés. Cette information sera donnée sous la forme d’une fiche produit des qualités et caractéristiques environnementales, sous forme dématérialisée, accessible au moment de l'acte d'achat.Ce dispositif d'affichage dématérialisé permettra à partir de 2023 au consommateur de connaitre, selon les catégories de produits et pour chaque modèle, leur proportion de matière recyclée, leur recyclabilité, la présence de substances dangereuses, de métaux précieux ou de terres rares, ou encore leur compostabilité ou leur caractère réemployable. Pour les textiles, deux informations supplémentaires seront obligatoires : la traçabilité géographique des 3 grandes étapes de fabrication (tissage, teinture, assemblage/finition) ainsi qu'un avertissement pour les textiles majoritairement synthétiques qui rejettent des fibres micro plastiques lors du lavage.Par ailleurs, le texte reprend et précise l'interdiction déjà prévue par la loi d'utilisation, pour tout produit ou emballage, de l'allégation « biodégradable », « respectueux de l'environnement » ou toute autre allégation similaire.Extension de l'indice de réparabilité à 4 nouvelles catégories de produitsL’indice de réparabilité, note sur 10 obligatoire, sera visible, dans un délai de six mois, sur 4 nouvelles catégories de produits, à savoir les lave-linges « top » (à chargement par le dessus), les lave-vaisselles, les aspirateurs et les nettoyeurs haute pression. Ils viennent ainsi s’ajouter aux téléphones mobiles, ordinateurs portables, téléviseurs, lave-linge hublot et tondeuses à gazon qui étaient déjà concernés par l’indice de réparabilité depuis 2021. Les tablettes ne figurent pas dans cette liste, car elles vont prochainement faire l'objet d'un indice de réparabilité européen.Encadrement des allégations de neutralité carboneA compter du 1er janvier 2023, il sera interdit aux annonceurs d'affirmer dans une publicité qu'un produit ou service est « neutre en carbone » sans présenter un bilan des émissions de gaz à effet de serre sur l'ensemble du cycle de vie du produit ou service, la trajectoire de réduction prévue des émissions, ainsi que les modalités de compensation des émissions résiduelles. Ces éléments devront être facilement accessibles pour le public et mis à jour tous les ans.Ce dispositif, prévu à l'article 12 de la Loi Climat et Résilience, vise à garantir une information complète du public sur les allégations « neutre en carbone » et permettra de renforcer progressivement les engagements des annonceurs tout en luttant contre « l’éco-blanchiment » (cf. décrets n° 2022-538 et 2022-539).Publication des premiers « contrats climat » dès le 15 juillet 2022En application de l’article 7 de la loi Climat et Résilience, le ministère de la Transition écologique a lancé, le 25 avril dernier, une plateforme numérique sur laquelle les entreprises soumises à des obligations d'affichage environnemental doivent se déclarer. Toutes les entreprises volontaires peuvent également y souscrire un « contrat climat communications commerciales et transition écologique ». Ces contrats visent à réduire les communications commerciales relatives à des produits ou des services ayant un impact négatif sur l'environnement, mais aussi à favoriser la transparence de la publicité et l’engagement des annonceurs, médias, plateformes, agences et régies pour la transition écologique.La liste des acteurs ayant souscrit un « contrat climat » sera publiée le 15 juillet de chaque année et leurs contenus seront rendus publics. Par ailleurs, la plateforme dévoilera la liste des entreprises assujetties à une déclaration mais ne l'ayant pas réalisée, ainsi que la liste des entreprises s’étant déclarées mais n’ayant pas souscrit un contrat climat (cf. décret n°2022-616).Un prêt à taux zéro pour financer l’acquisition de véhicules propres expérimenté de 2023 à 2025 dans certaines zones à faibles émissions mobilité (ZFE-m)Le décret n° 2022-615 du 22 avril 2022 définit les modalités de l’expérimentation, débutant le 1er janvier 2023, d’un prêt à taux zéro pour l’acquisition de véhicules neufs ou d'occasion, électriques ou hybrides rechargeables, dans, ou à proximité, des zones à faibles émissions mobilité (ZFE-m) en dépassement régulier des normes de qualité de l’air. Les particuliers ainsi que les microentreprises seront éligibles à ce prêt sous conditions de ressources.Le montant du prêt ne pourra pas excéder le coût d’acquisition du véhicule, aides publiques déduites, et sera plafonné à 30.000 € dans le cas d’un achat et 10.000 € dans le cas d’une location. Il sera cumulable avec les aides à l’acquisition de véhicules peu polluants (bonus écologique et prime à la conversion). Dans l’attente des données locales sur la qualité de l’air en 2022, sont éligibles au dispositif les ZFE-m de Paris et des Métropoles du Grand Paris, de Lyon, d’Aix-Marseille et de Rouen.Protection et préservation des espaces menacésRéduction de l’artificialisation des solsDans le cadre des objectifs d'atteinte du « zéro artificialisation nette des sols », le décret n° 2022-763 du 29 avril 2022 précise les critères des surfaces considérées comme artificialisées ou non artificialisées. Ces surfaces sont appréciées compte tenu de l’occupation des sols observée, qui résulte à la fois de leur couverture mais également de leur usage. Cette appréciation est réalisée en fonction de seuils de référence, qui seront définis par un arrêté du ministre en charge de l’urbanisme et révisés autant que de besoin en fonction de l’évolution des standards du Conseil National de l’Information Géographique.Le décret n° 2022-762 du 29 avril 2022 permet de préciser le contenu des objectifs et des règles du SRADDET (schémas régionaux d’aménagement, de développement durable et d’égalité des territoires) en matière de gestion économe de l'espace et la lutte contre l’artificialisation des sols. Il permet notamment de fixer les modalités de la déclinaison infrarégionale des objectifs d'atteinte du « zéro artificialisation nette des sols ».Prise en compte du risque de déforestation importée dans les achats de l’EtatL'article 272 de la loi Climat et Résilience fixe pour objectif aux acheteurs de l’Etat - ceux des services centraux comme ceux des services déconcentrés - de ne plus acheter de biens ayant contribué directement à la déforestation, à la dégradation des forêts ou à la dégradation d'écosystèmes naturels en dehors du territoire national.Le décret n° 2022-641 du 25 avril détaille notamment la liste des segments d’achats concernés par cette mesure et les modalités de mise en œuvre.Établissement d’une liste des communes littorales concernées par le recul du trait de côteLe décret n° 2022-750 du 29 avril 2022 établit la liste des communes dont l’action en matière d’urbanisme et la politique d’aménagement doivent être adaptées aux phénomènes d’érosion du littoral. La liste comprend 126 communes ayant délibéré favorablement à leur inscription et sera progressivement complétée au gré des expressions de volonté de communes qui souhaiteraient l'intégrer, et a minima révisée une fois tous les 9 ans.Les communes figurant sur la liste seront accompagnées par l’Etat et ses opérateurs. Elles devront intégrer avant 2026 au plus tard, une cartographie d’exposition au recul du trait de côte aux horizons 0-30 ans et 30-100 ans dans leur document d’urbanisme, sauf celles qui disposent d’un Plan de Prévention des Risques Littoraux (PPRL) et font le choix de le maintenir. Au sein des zones d’exposition, les collectivités pourront utiliser les nouveaux outils créés par la loi Climat et Résilience (droit de préemption trait de côte, bail réel d'adaptation au changement climatique, possibilités de déroger à certaines dispositions de la loi littoral, etc.).Définition de la notion de protection forte et modalités de mise en œuvreFace à l'érosion de la biodiversité, la Stratégie nationale pour les aires protégées 2030 a pour ambition de couvrir 30% du territoire national en aires protégées dont 10% en protection forte. Le décret n°2022-527 du 12 avril 2022 vient préciser la définition de la notion de protection forte ainsi que les conditions de reconnaissance des zones de protection fortes pour les espaces terrestres et maritimes. Cette labellisation est automatique pour un certain nombre d'outils. Dans les autres cas, la reconnaissance intervient après un examen au cas par cas au regard de critères, à travers une procédure régionalisée et sur décision des ministres compétents. Mise en place du bureau « enquête accidents risques industriels » A la suite de l'accident de Lubrizol et Normandie Logistique, le Gouvernement a décidé de constituer un « bureau enquête accidents risques industriels », à l'instar des bureaux enquêtes accidents qui existent déjà pour les transports aériens et les transports terrestres. Ce bureau est en préfiguration depuis 2021. La loi Climat et Résilience, et le décret n° 2022-427 du 25 mars 2022, permettent désormais de lui donner une assise juridique, de garantir son indépendance et la qualité de ses recrutements, ainsi que les accès aux pièces et aux experts nécessaires pour ses enquêtes.
Il y a 3 ans et 13 jours

Le site Réseaux de Chaleur du Cerema : Une nouvelle plateforme pour les acteurs de l'aménagement et du bâtiment

Ce centre de ressource à destination des collectivités, des acteurs de la filière et des particuliers curieux a été créé en 2011 sous l'impulsion de la direction générale de l’énergie et du climat (DGEC) du ministère de la transition écologique, et du pôle d'expertise du Cerema (à l'époque le CETE de l'Ouest, centres d'études techniques de l'équipement). En 2022, le site du Cerema propose de nouvelles fonctionnalités avec une ergonomie facilitant la navigation des internautes. Aisé à consulter, agréable à lire avec ses nombreuses illustrations, c'est une mine d'informations qui ont toutes été actualisées. Un outil pour les collectivités et leurs partenaires Depuis sa création en 2011, le Pôle Réseaux de chaleur et de froid du Cerema produit et diffuse de la connaissance et de la méthodologie pour contribuer à l’atteinte des objectifs de développement de la chaleur et du froid renouvelables, fixés par l’Europe et l’État français. Alors que les réseaux de chaleur et de froid sont de plus en plus identifiés comme un levier majeur pour le développement des énergies renouvelables et de récupération ainsi que l'adaptation au changement climatique des territoires, le site Réseaux de Chaleur accompagne les collectivités et leurs partenaires pour promouvoir la chaleur et le froid renouvelables et mettre en place les conditions favorables à leur déploiement dans les territoires. Un site pour les acteurs concernés par la création et la gestion des réseaux de chaleurCe site nouvelle mouture a été réalisé par l'équipe du pôle réseaux de chaleur avec l'appui d'autres experts du Cerema Ouest, pour des contenus sur la planification de l'énergie ou la thermique des bâtiments notamment. L'enjeu était de mettre à la disposition des collectivités, des professionnels, et même du grand public, un centre de ressources avec des contenus pédagogiques et l'actualité réglementaire via un outil dynamique et facile d'utilisation. On y retrouve des guides méthodologiques, des fiches thématiques, des retours d’expérience ou des études de cas, des cartographies des besoins en termes de développement de ces réseauxDéveloppé en interne, il propose aussi des rapports d'études et des diaporamas de formation et répond aux questions que des techniciens territoriaux peuvent se poser grâce à sa rubrique FAQ.
Il y a 3 ans et 13 jours

Un matériau qui rafraîchit les toitures à base de papier

Cette invention de Yi Zheng, professeur agrégé de génie mécanique et industriel à l&#8217;université de Northeastern, Usa, pourrait réduire l&#8217;impact climatique de nos bâtiments tout en améliorant le confort d&#8217;été ! Le soleil tape fort, ce qui fait que tout ce que vous touchez dégage une chaleur brûlante. Des perles de sueur se forment sur tout [&#8230;]
Il y a 3 ans et 13 jours

RÉGULATION POUR PLANCHER CHAUFFANT ET RAFRAÎCHISSANT RÉVERSIBLE WAVIN SENTIO

Une bonne maîtrise des températures est indispensable pour optimiser la performance énergétique du bâtiment. En neuf comme en rénovation, les solutions de plancher chauffant et rafraîchissant Wavin distribuent la chaleur de manière uniforme et réduisent la consommation d'énergie. Elles sont pilotées, depuis un écran tactile intuitif ou une application mobile, par le système de régulation Sentio de Wavin qui comprend des unités de contrôle central et d'extension, des thermostats et des sondes. Véritable « cerveau » de l'installation, cette solution très simple d'installation puis d'utilisation au quotidien permet un pilotage précis du confort climatique pièce par pièce, tout en limitant la consommation énergétique : jusqu'à 15% d'économies d'énergie de chauffage*.
Il y a 3 ans et 16 jours

Les pompes à chaleur aérothermiques confirment leur domination en 2021

Selon une étude d'Oberv'ER publiée le 28 avril 2022, le marché des pompes à chaleur (PAC) aérothermiques a progressé de 12,4% en 2021 et dépasse désormais le seuil du million d'unités vendues en une année.
Il y a 3 ans et 18 jours

La biomasse à l'honneur d'Interclima 2022

Pour la deuxième édition consécutive, un « Espace Chaudières Biomasse » rassemble la plupart des marques de chaudières bois présentes sur le marché français, pour différents types de combustibles : granulés, bois buches, plaquettes… Cette vitrine inédite et incontournable, pour tous les installateurs les plus militants de la chaleur renouvelable en général et des chaudières bois en particulier, s’accompagnera également de nombreux temps forts et animations.La biomasse, appelée à jouer un rôle important au moment d’accroître l’indépendance aux énergies fossiles et de réussir la transition énergétique !Deuxième source d’énergie renouvelable en France, la biomasse énergie joue un rôle clé pour atteindre les objectifs énergétiques et climatiques français et réduire la dépendance aux énergies fossiles. Première source d’énergie renouvelable en France, la biomasse énergie s’inscrit dans la trajectoire nationale bas carbone qui permettra d’atteindre les objectifs 2030 en matière de chaleur renouvelable. Alors qu’il s’intallait 17 300 chaudières bois en France en 2019 et 2020, le marché a doublé en 2021. Ainsi, quatre millions de tonnes de CO2 seront économisées dans les 20 prochaines années, grâce aux 36 400 chaudières bois installées en 2021. Le marché poursuit sa croissance, avec deux moteurs : en construction neuve, la nouvelle réglementation environnementale RE2020 favorise l’utilisation de la chaleur renouvelable ; en rénovation, il s’agit à la fois de subsituer aux énergies fossiles comme le fioul ou le gaz, et d’accélérer le renouvellement d’un parc vieillissant d’appareils.INTERCLIMA est devenu l’un des rendez-vous les plus représentatifs en France de l’offre de chaudières biomasse sur le marchéLors de son édition 2022, INTERCLIMA réserve à la biomasse énergie une place toute particulière :Un Espace Chaudières BiomasseSitué dans au coeur du Pavillon 3, cet espace est entièrement dédié aux chaudières bois sur la fameuse boucle à eau chaude, chère aux chauffagistes. Il est réalisé en partenariat avec le Syndicat français des chaudiéristes biomasse (SFCB), avec la participation de Propellet et l’appui d’Uniclima. Cet espace accueille 14 stands de fabricants dont les principales marques de chaudières bois-énergie du marché : Windhager (Biomassterre), Compte R, Fröling France, Hargassner France, Herz Energietechnik, HKS Lazar, HS France, Laudevco, Okofen, Heizomat (Saelen Energie), Self Climat Morvan, Thermoflux, Zaegel Held. L’offre débordera même littéralement de cet espace spécialisé puisqu’elle sera visible également chez De Dietrich et Oertli, Domusa Teknik, Grant, Perge et Viessmann.Le salon sera également l’occasion de souligner l’existence du label Flamme Verte porté par le Syndicat des énergies renouvelables pour pomouvoir la performance des matériels.Des temps forts et animations au quotidienAnimé par le SFCB, l’Espace Chaudières Biomasse proposera différents événements parmi lesquels une conférence de presse sur l’évolution de la filière et des combustibles. Au sein de l’Espace conférence, une thématique sera entièrement dédiée au bois-énergie le mercredi 5 octobre de 16H30 à 18H00. Elle passera en revue les sujets d’actualités de la filière à travers une série d’interventions courtes de 15 minutes chacunes par des spécialistes : disponibilité des différents combustibles avec un focus sur les granulés de feuillus, évolution technologique des matériels pour les différents marchés (résidentiel individuel, collectivités), les points clés pour réussir l’installation d’une chaudière bois-énergie…En rapport avec le bois-énergie, l’édition 2022 d’Interclima s’est considérablement renforcée dans le domaines des conduits de fumées et du ramonage avec la présence de spécialistes comme : Cheminées Poujoulat, Joncoux, Ten, Ubbink, M&G, Progalva…
Il y a 3 ans et 18 jours

Les gaziers vantent de nouveau les atouts de la pompe à chaleur hybride

COMPLÉMENTARITÉ. Avec une nouvelle campagne de communication à la clé, GRDF met encore une fois en avant les avantages de la pompe à chaleur hybride, assurant que "gaz et électricité font bon ménage". La solution est présentée comme intéressante d'un point de vue technique, économique et écologique.
Il y a 3 ans et 18 jours

Infographie de la consommation d'électricité : dans quelles villes françaises consomme-t-on le plus ?

Consommation par habitant et par ville d'électricité en FranceConsommation d'électricité par habitant : 2.223kWh/anLes villes qui consomment le plus en France : Aix-en-Provence, Bordeaux, NiceLes villes qui consomment le moins en France : Saint-Étienne, Rennes, MulhouseLes conclusions :Cette disparité peut être liée à une électrification des usages qui varie d'une ville et/ou d'une région à l'autre, ainsi qu'à des investissements dans les solutions d'isolation plus ou moins élevés (grâce au dispositif MaPrimeRenov').À noter :Concernant l'électrification des usages que certaines villes ont des usages du fioul et du gaz encore importants ce qui réduit leur consommation d'électricité par habitant.Ce qu'il faut anticiper : Les actions du gouvernement en terme de renouvellement d'équipements incitent à se tourner vers des équipements de plus en plus électriques. Il faut donc prévoir dans les années à venir une part plus importante de l'électricité dans notre consommation d'énergie versus les énergies fossiles (fioul, gaz, charbon…). Ce constat nous oblige à anticiper un accroissement de la consommation et donc de la production d'électricité qui nous sera nécessaire.Le top trois des villes qui consomment le plus ?Les trois villes qui consomment le plus en France sont Aix-en-Provence, Bordeaux et Nice. Situées dans des régions aux hivers doux, ce résultat a de quoi surprendre. On consomme en effet davantage en hiver quand les températures sont au plus bas. Mais c'est sans compter les étés chauds. Lorsque les températures grimpent trop, les particuliers enclenchent la climatisation ou la ventilation.Or, les études montrent que 1°C de plus entraîne une hausse de consommation de 500MW. Ainsi lors des pics d'été, la consommation s'élève à 12.3kWh par habitant, soit 2 fois plus qu'en Île-de-France à la même saison.A contrario, les villes où l'on consomme le moins d'électricité sont Saint-Étienne (- 7°C en hiver), Rennes (ville très humide) et Mulhouse (climat semi-continental avec des chutes de neige fréquentes). Ce classement se vérifie à l'échelle de l'hexagone si l'on compare la consommation électrique par habitant dans plusieurs villes françaises :Fréjus (Var) : 3.15 MWh/habitantNarbonne (Occitanie) : 2.77 MWh/habitantLa Rochelle (Nouvelle-Aquitaine) : 2.08 MWh/habitantIssy-les-Moulineaux (Hauts-de-Seine) : 2.05 MWh/habitantParis (Île-de-France) : 1.82 MWh/habitantNancy (Grand Est) : 1.83 MWh/habitantLille (Hauts-de-France) : 1.87 MWh/habitantLyon (Rhône) : 1.73 MWh/habitantPlusieurs hypothèses peuvent expliquer ces écarts de consommation. Si les régions les plus froides ne sont pas les plus grandes consommatrices d'électricité, c'est peut-être parce que dans le Nord, les particuliers utilisent encore leur vieille chaudière au fioul domestique.En revanche, si les régions du Centre-Val de Loire et de Normandie ont consommé la plus grande quantité d'électricité en 2021, c'est parce qu'elles sont aussi les plus équipées en chaudières électriques.La démographie jouerait aussi un rôle. En Occitanie par exemple, la population a augmenté de 10.3% entre 2006 et 2009 d'après l'Insee, ce qui justifierait une augmentation de la consommation de 9.5% sur la même période.Enfin, les Français sont thermosensibles, ce qui expliquerait leur comportement de chauffe. Cela explique que plus les températures baissent, plus les Français ont tendance à augmenter la température du chauffage.Le RTE (Réseau de transport d'électricité) estime d'ailleurs qu'une baisse de 1°C entraîne une hausse de consommation de 3,2% sur la période hivernale. Concrètement, cela correspond à une consommation supplémentaire de 24MW soit la consommation totale de Paris intra-muros.Sensibilité aux variations du thermomètreC'est dans les Hauts-de-France que l'on est plus sensible aux variations du thermomètre si l'on en croit les chiffres. En 2021, la consommation y a en effet augmenté de 7,3% sur l'année. Parallèlement, elle n'a augmenté que de 5,6% dans la région PACA.L'écart de consommation entre le nord et le sud de la France dépend très certainement aussi de la qualité de l'isolation des logements. Un logement moins isolé souffre davantage de déperditions de chaleur, il faut donc chauffer davantage pour compenser cette perte. D'ailleurs, dans les villes où le nombre de logements BBC (Bâtiment basse consommation) construits selon la RT 2012 est important, les factures d'énergie sont beaucoup moins élevées.Le type de logement importe plus que le nombre de personnesLes données fournies par la Commission de régulation de l'Énergie ont servi de base de calcul à la consommation moyenne d'électricité par personne et par an dans le secteur résidentiel en France. Pour le troisième trimestre 2020, elle s'élève à 2240kW, soit une moyenne de 6kW par jour.L'étude montre aussi qu'une personne supplémentaire dans un logement ne génère que 5 à 10% de consommation supplémentaire. En revanche, une pièce augmente la consommation électrique de 20%. Ce qui signifie que la consommation par personne n'est pas un critère suffisant.En effet, plus que le nombre d'occupants dans un logement, c'est sa taille qui explique la consommation électrique (nombre de pièces à éclairer et à chauffer), le nombre d'équipements installés (électroménager, électronique…) et la qualité des équipements (étiquette A+++).La consommation électrique est également à pondérer selon que le logement est tout électrique (avec chauffe-eau et chauffage) ou partiellement électrique (uniquement éclairage, électroménager, électronique). La consommation dépend ainsi des usages.Répartition des usages en électricité (source ADEME, 2019) :Chauffage : 27.6%Ventilation : 1.7%Éclairage : 5.6%Cuisson : 7.8%Eau chaude sanitaire : 12.9%Multimédia et informatique : 13.6%Froid et lavage : 18.6%S'agissant du chauffage, la consommation dépend d'un certain nombre de paramètres : la surface à chauffer, l'isolation thermique et les habitudes de chauffe (certains sont plus frileux que d'autres et ont besoin de monter la température).Exemples de consommation moyenne selon le type d'installation, la surface et le nombre de personnes :Tout électrique : 50m²/ 2 personnes – 80m²/ 3 personnes, consommation de 5.261kWh – 13.292kWhPartiellement électrique : 50m²/ 2 personnes – 80m²/ 3 personnes, consommation de 1.669kWh – 2.092kWhLe chauffage : poids lourd des dépensesD'après l'ADEME, le chauffage représente 60% de la consommation électrique en France. Les statistiques du Ministère du Développement durable illustrent ces chiffres puisque 10 millions de logements étaient encore chauffés à l'électricité en 2018.La performance des équipements joue donc un rôle important dans la consommation électrique. Des convecteurs, des radiateurs, une chaudière électrique ne consomment pas la même quantité d'énergie. Un radiateur à inertie par exemple est bien moins énergivore qu'un convecteur basique. Un logement équipé d'une pompe à chaleur ou de panneaux photovoltaïque fait baisser la facture d'énergie jusqu'à 80%.
Il y a 3 ans et 19 jours

Les PAC aérothermiques confirment leur domination en 2021

Cette progression est notamment due à la dynamique du marché des PAC air/eau qui croit fortement (+ 48,6%) pour 253.140 unités. Derrière les PAC air/air monosplits, les PAC air/eau deviennent donc le deuxième type de PAC le plus vendu en France. Les aides publiques comme Coup de pouce chauffage et MaPrimeRenov', ainsi que le remplacement des équipements installés il y a une quinzaine d'années, ont porté l'activité en 2021. De son côté, le marché des PAC air/air reste le premier pour les systèmes de chauffage individuel toutes technologies confondues, bien qu'en 2021 les ventes n'aient augmenté que de 3,9% (758.270 unités). Les acteurs ont observé un recul des ventes en été, rappelant que, sur ce segment, les achats restent très dépendants des pics de chaleur. Enfin, les ventes de chauffe-eau thermodynamiques enregistrent également une très bonne année (+ 40%) avec 153.300 unités écoulées et cela grâce notamment aux installations faites dans les logements neufs dont les mises en chantier sont reparties à la hausse en 2021.Avec 3.220 unités vendues en 2021, le marché des pompes à chaleur géothermiques est certes en hausse (+7,2%), mais il reste en deçà de son niveau de pré-crise sanitaire de 2019 (3.475 unités). Ces équipements sont relativement chers à l'achat, notamment comparés à leurs équivalents aérothermiques, mais surtout ils sont mal connus du grand public. La mise en place de Coup de pouce chauffage, proposant une aide entre 2.500 et 4.000 euros, n'a pas permis au secteur de rebondir.Retrouvez l'intégralité de l'étude ici.
Il y a 3 ans et 19 jours

Ruée sur les permis de construire avant le durcissement des normes

D'avril 2021 à mars 2022, 496.900 logements ont été autorisés à la construction, selon les dernières estimations du ministère de la Transition écologique. Un chiffre qui n'a été dépassé que deux fois depuis 2013 (en octobre 2017 et février 2018).C'est nettement plus qu'avant la crise sanitaire. Et sur le seul premier trimestre 2022, le nombre trimestriel de permis de construire délivrés (141.900) n'a jamais été aussi élevé depuis 15 ans, note le ministère.Sur douze mois, on frôle la barre symbolique des 500.000 logements neufs, considérée par beaucoup de professionnels du secteur comme le rythme de construction à atteindre.Car la demande est toujours forte et l'offre ne suit pas, alimentant la progression constante des prix de l'immobilier, notamment des maisons individuelles. Le logement est déjà le premier poste de dépenses des Français, de plus en plus préoccupés par leur pouvoir d'achat, en pleine poussée inflationniste.Éviter le surcoûtMais le nombre élevé de permis de construire est sans doute un trompe-l'oeil. "Cette forte hausse des autorisations (surtout pour les logements individuels) provient du nombre exceptionnel de demandes de permis déposées en décembre 2021", souligne le ministère.Et elle traduit "probablement" un afflux de demandes de permis de construire avant l'entrée en vigueur, au 1er janvier 2022, de normes environnementales plus contraignantes pour le bâtiment neuf, la règlementation dite "RE2020".Cette règlementation oblige les nouveaux logements à être mieux isolés contre le froid et la chaleur et à avoir un impact modéré sur le climat."Beaucoup d'investisseurs, de primo-accédants, ont réservé des logements ou des maisons individuelles, surtout en fin d'année 2021, pour éviter de rentrer dans la RE2020, donc sûrement d'avoir un renchérissement de prix", explique à l'AFP Olivier Salleron, président de la Fédération française du bâtiment (FFB), qui estime entre 7 et 8% le surcoût de la RE2020 en 2022.Les maisons individuelles et lotissements connaissent en effet les hausses d'autorisation de construire les plus sensibles. Plusieurs explications à cela: d'abord, selon le ministère, les délais d'instruction des permis étant plus longs pour les immeubles, les demandes de décembre ne sont pas encore visibles dans les statistiques."Pas les bras"Une autre disposition entrée en vigueur au 1er janvier peut également expliquer la ruée de décembre: la première étape de l'objectif zéro artificialisation nette (ZAN), qui vise à diviser par deux le rythme de grignotage des espaces naturels par rapport à la période 2012-2021.Logiquement, les maisons individuelles, plus gourmandes en foncier que l'habitat collectif, sont plus concernées par cet objectif."Ça entre en porte-à-faux avec l'imaginaire de la maison et du jardin, et je pense que les gens se sont dépêchés pour ne pas louper la fenêtre d'opportunité", a commenté pour l'AFP Sabine Brunel, directrice adjointe de l'Observatoire de l'immobilier durable.Les mises en chantier, qui ont habituellement quelques mois de retard sur les permis de construire, progressent aussi selon les estimations du ministère, mais à un rythme bien plus lent.En cause, les turbulences subies par le secteur du bâtiment: problèmes d'approvisionnement en matériaux de construction, carnets de commandes déjà bien chargés... et manque de main-d'oeuvre qualifiée pour des chantiers plus écologiques."Soit on n'a pas les bras, soit on n'a pas les gens qui veulent y aller, soit on n'a pas les matériaux; ou alors plus cher", résume Sabine Brunel.
Il y a 3 ans et 19 jours

JDM Expert présente Hydroway®, le premier revêtement perméable

Soucieux des enjeux environnementaux, Denis Joandel, fondateur de JDM Expert a développé la solution HYDROWAY®, un revêtement d’extérieur 100% perméable et facile d’entretien. Grâce à ce procédé novateur, l’eau n’est donc plus en stagnation sur le sol mais elle rejoint directement les nappes phréatiques, une réponse écologique permettant d’être plus respectueuse de l’environnement et du cycle naturel de l’eau.En 2008, JDM Expert a déposé un brevet pour sa solution HYDROWAY® et celle-ci répond fièrement à la Loi Climat et Résilience de 2021 qui prévoit la division par deux du rythme de la bétonisation d’ici 2030.Un revêtement de sols extérieur respectueux de l’environnement, c’est possibleDans une logique environnementale et pour le bien commun, il n’est plus question de favoriser l’imperméabilisation des sols, les collectivités et particuliers sont à la recherche d’une réponse au plus près des enjeux environnementaux. Depuis plusieurs années, nous assistons à une multiplication des revêtements imperméables, les eaux de pluie ne pénètrent donc pas dans le sol et reste en surface. Une quantité d’eau considérable doit être ainsi évacuée, nécessitant l’installation de réseaux d’égouttage et provoquant bien souvent l’inondation des rivières, des rues et des habitations mais aussi la pollution des eaux par le ruissellement.HYDROWAY® répond aux enjeux environnementaux par sa réduction de son empreinte carbone réduite, 5 fois moins élevée qu’un béton. Mais aussi, grâce à sa perméabilité qui laisse presque instantanément passer l’eau évitant ainsi la pollution des eaux par ruissellement et l’alimentation des nappes phréatiques. Enfin, ses coloris clairs évite l’accumulation de chaleur en journée limitant ainsi les îlots de chaleur.HYDROWAY® : une innovation responsable et simplePour la pose de l’HYDROWAY®, JDM Expert fait appel à un réseau d’applicateurs formés et agréés dans toute la France métropolitaine, les DOPM TOM, la suisse et la Belgique. Les professionnels du bâtiment s’occupent étape par étape de la pose du revêtement. HYDROWAY® se présente sous forme d’une structure perméable et offre une excellente résistance aux intempéries et aux charges comme les engins motorisés.Cette solution répond parfaitement aux cahiers des charges de la Loi Climat et Résilience de 2021 en réalimentant directement les réserves des nappes phréatiques. HYDROWAY® évite les flaques stagnantes et la prolifération des plantes aquatiques comme les algues et les mousses. La conception perméable de l’HYDROWAY® est basée sur le calcul du débit d’eau pouvant être infiltré, lors d’une forte pluie ou d’averses faibles, mais continues. HYDROWAY® en bref :Un sol esthétique et responsable : fabriqué en France et composé de plus de 90% d’éléments naturels, le revêtement unique est créé par un alliage de granulats et d'un liant adapté permettant un rendu naturel.Un sol perméable : sa structure innovante permet une infiltration de l'eau jusqu'à 1 litre par m2 et par secondes. Grâce à cela le revêtement ne nécessite aucune pente pour être posé en plus d'éviter ruissellements et flaques. Cela permet de faire une véritable une économie sur les VRD (grille, réseaux d’égouts…)Une solution résistante : idéal pour les cours d’écoles, allées et chemins, plages de piscines, voire aires de stationnement, la portabilité du revêtement supporte des poids lourds jusqu’à 26 tonnes.Un sol antidérapant et carrossable : le rendu reste confortable tout évitant les dérapages et en permettant aux véhicules de rouler dessus.Facilité d’entretien : possibilité de le nettoyer très facilement avec un balai, un souffleur à feuilles, un nettoyeur à haute pression.
Il y a 3 ans et 20 jours

Pompes à chaleur en collectif : la filière va devoir mener sa "révolution"

ANALYSE. Dans un objectif de décarbonation du parc, les pompes à chaleur devraient être amenées à progresser en logement collectif, en neuf comme en rénovation. Un défi de taille pour l'ensemble de la filière qui a commencé à se pencher sérieusement sur le sujet.
Il y a 3 ans et 20 jours

Le groupe Zehnder acquiert le fabricant européen de filtres à air Filtech

Le groupe Zehnder, l’un des principaux fournisseurs internationaux de solutions complètes pour un climat intérieur sain, acquiert Filtech. La société, dont le siège social est implanté aux Pays-Bas, développe, fabrique et distribue des filtres à air de haute qualité &#8211; un composant essentiel qui participe à la qualité de l’air intérieur. Avec Filtech, le groupe Zehnder acquiert un fournisseur de filtres à air de haute qualité avec lequel il collabore depuis longtemps. En plus de son siège social et d’un site de production dans la commune néerlandaise d’Udenhout, l’entreprise possède également deux autres sites de production dont un à Modane en France (Savoie), qui emploie 25 personnes, et à Rancate- Mendrisio, en Suisse. A partir de ses unités de production hautement automatisées, elle fournit de nombreux marchés, dont des clients clés dans les secteurs du chauffage, de la ventilation et de la climatisation. Filtech compte environ 70 employés et a réalisé un chiffre d’affaires d’environ 15 millions d’euros en 2021. Avec l’acquisition de Filtech, le groupe Zehnder franchit une nouvelle étape stratégique pour accroître sa présence dans le domaine de la ventilation et renforcer son expertise technologique. Les filtres à air sont un élément essentiel pour un air intérieur sain. La demande de filtres de haute qualité, tels que ceux utilisés pour les poussières et les particules fines, augmente régulièrement grâce à une prise de conscience croissante de l’importance d’une bonne qualité de l’air, et du parc existant d’unités de ventilation. Filtech dispose de l’expertise et d’un très bon positionnement sur le marché. Les ventes via la distribution – notamment aux professionnels et aux particuliers du groupe Zehnder – devraient créer des synergies. Le groupe Zehnder conservera la marque Filtech et les trois sites et accueille chaleureusement le personnel, y compris la direction, au sein du groupe. Le contrat a été signé le 31 mars 2022. L’acquisition sera effective dans les prochaines semaines, elle est soumise aux conditions contractuelles habituelles. Les parties ont convenu de ne pas divulguer le prix d’achat. http://www.zehnder.fr/
Il y a 3 ans et 22 jours

Ciel couvert pour une usine allemande de verre solaire dépendante du gaz russe

A l'intérieur du hangar coiffé d'une cheminée blanche, des bras mécaniques s'activent pour mettre en forme des plaques de verre destinées aux producteurs de panneaux solaires."Nous fournissons tous les grands fabricants en Europe", explique Torsten Schroeter, directeur général de la société GMB Glasmanufaktur Brandenburg. Chaque année, 10 millions de m2 de plaques sortent des fours de l'usine qui dégagent une vive lumière rouge et une chaleur intense.Or pour produire ce verre essentiel à l'énergie solaire , il faut ... du gaz, beaucoup de gaz.Grâce aux pipelines reliant la Russie à l'Allemagne, la ressource est disponible en abondance.Mais pour combien de temps ?Après la décision de Gazprom de suspendre, dès mercredi, les livraisons de gaz russe vers la Bulgarie et la Pologne, arguant de leur refus de payer en roubles comme exigé par Moscou, l'Allemagne craint d'être le prochain pays sur la liste."La sécurité de l'approvisionnement est actuellement garantie", a réagi le ministère de l'Economie et du Climat, tout en exprimant son "inquiétude" après l'annonce de Gazprom.D'autant que Berlin est par ailleurs sous pression croissante de ses alliés pour approuver un embargo sur le gaz russe.Or, le gouvernement du social-démocrate Olaf Scholz, allié aux écologistes et aux libéraux, soutient qu'un arrêt brutal des livraisons serait dévastateur pour l'économie du pays.Et pour cause: la Russie fournissait avant la guerre 55% des importations allemandes de gaz naturel, une part ramenée ces derniers mois à 40%."Pas d'alternative"Ce refus fait débat au sein de la classe politique allemande et parmi les experts dont certains jugent que la première puissance européenne serait en mesure d'encaisser le choc.Dans le camp de ceux pour qui la vie sans gaz russe est inimaginable à court terme, les industriels sont en première ligne."Un arrêt de l'approvisionnement en gaz russe signifierait pour nous un arrêt de la production", résume le patron de GMB, qui emploie 300 salariés.L'arrêt des flux de gaz impliquerait de stopper les fours, causant des dommages irréversibles.Cela obligera l'entreprise à "tout reconstruire", ce qui pourrait prendre plusieurs mois, voire des années, selon M. Schroeter.Car "il n'y a pas d'alternative" au gaz russe, déplore-t-il.L'utilisation de charbon ou pétrole, n'est pas adapté. Quant à l'électricité, l'entreprise a déjà investi dans un système hybride, permettant un chauffage électrique partiel dans ses fours, mais cela ne répond qu'à "10%" de ses besoins.L'hydrogène pourrait remplacer le gaz naturel, mais son développement n'est pas encore suffisamment avancé en Allemagne. Le gouvernement allemand frappe à toutes les portes pour diversifier ses sources d'approvisionnement mais estime ne pouvoir se passer du fournisseur russe avant mi-2024."Le moins cher""Les dernières décennies, marquées par la dérégulation du marché de l'énergie, nous ont conduits à choisir le gaz le moins cher, celui fourni par le gazoduc russe", a reconnu début février l'ancien vice-chancelier social-démocrate Sigmar Gabriel.Une fin des livraisons entraînerait des "interruptions de production", "des pertes d'emploi" et "des dommages massifs aux installations", a plaidé de son côté le BDI, puissant lobby industriel.Le géant de la chimie BASF a par exemple prévenu qu'une division par deux de l'approvisionnement en gaz russe suffirait pour "arrêter" son emblématique site de Ludwighsafen (Ouest), où travaillent près de 30.000 personnes.Parmi les secteurs les plus vulnérables à la consommation de gaz figurent l'industrie du papier, la sidérurgie et la chimie, selon un rapport de la banque LBBW.Même sans embargo, l'industrie allemande est déjà fragilisée par la flambée des prix de l'énergie, qui ont bondi sur un an de 39,5% en mars, après des augmentations de 22,5% en février et de 20,5% en janvier.Résultat: la verrerie de Tschernitz est à la peine pour rester compétitive face à la concurrence chinoise.Près de 170 gigawatt/heure de gaz sont consommés chaque année dans les fours de l'usine pour chauffer, à plus de 1.600 degrés, la matière première - du quartz ou du dolomite-, et la transformer en verre pour panneaux solaires.
Il y a 3 ans et 23 jours

En 2021, le marché des Pac aérothermiques a dépassé le million d'unités

ÉCONOMIE. Le marché de la pompe à chaleur aérothermique a confirmé sa bonne dynamique en 2021, avec une percée, notamment, des équipements air/eau.
Il y a 3 ans et 23 jours

Un projet Bercy-Charenton à Paris plus vert et moins dense

Les travaux de ce serpent de mer parisien, dont les premières études remontent au milieu des années 2000 sous le précédent maire Bertrand Delanoë, doivent désormais débuter "au mieux" en 2025 pour livraisons entre 2028 et 2030, a indiqué M. Grégoire lors d'une conférence de presse à l'Hôtel de Ville.Il n'y a aura aucun bâtiment de plus de 50 m de haut et la surface totale construite diminuera de moitié, passant de 500.000 m2 à 230.000 m2, notamment en raison de la création d'un parc d'au moins 3 hectares au cœur du futur quartier, a annoncé le bras droit de la maire PS Anne Hidalgo.Des immeubles devaient à l'origine être construits à l'emplacement de ce parc, sur un triangle de pleine terre situé au milieu de faisceaux ferroviaires.Juste à côté, une ancienne gare de marchandises aujourd'hui désaffectée sera elle finalement conservée dans un esprit de "préservation totale de l'héritage ferroviaire", a souligné M. Grégoire.Résultat, le projet ne prévoit plus que d'accueillir 3.500 habitants au lieu des 9.000 prévus en 2018, a indiqué M. Grégoire, même si 2.200 de plus pourraient être à terme logés dans des bureaux réversibles.Le projet vise à désenclaver non seulement la zone coincée entre les rails menant aux gares de Lyon et Bercy, la petite ceinture désaffectée, le périphérique et la Seine, mais aussi la commune voisine de Charenton-le-Pont (Val-de-Marne), via le prolongement de la rue Baron Le Roy qui sera surélevée pour franchir les boulevards des Maréchaux.Avec cette refonte, Bercy-Charenton "devrait coûter moins cher" à la Ville, avec 150 millions de déficit au lieu de 200 millions dans le projet d'origine, qui "imposait trop de lourdes contraintes", a souligné M. Grégoire, rappelant que l'aménageur de la Ville, la Semapa, doit racheter les terrains à la SNCF pour ensuite les revendre.Le compromis trouvé entre socialistes, Verts et communistes, les trois composantes de la majorité d'Anne Hidalgo, est très favorable aux écologistes. Présente lors de la conférence, Emmanuelle Pierre-Marie, la maire EELV du XIIe arrondissement, s'est félicitée de "l'absence d'immeuble de très grande hauteur" qui a "permis de trouver des consensus"."C'est une concession du groupe communiste, sinon il n'y avait rien", a réagi auprès de l'AFP Nicolas Bonnet-Oulaldj, chef des élus communistes parisiens et élu du XIIe."Si le projet ne sort pas, on n'aura rien fait du mandat", a ajouté l'élu communiste en insistant sur le respect de "l'équilibre" trouvé pour les "logements et équipements publics", dont une future piscine "très attendue" dans un arrondissement qui n'en compte que deux pour 140.000 habitants."L'abandon des immeubles de grandes hauteurs de 180 mètres de haut est une avancée indéniable" mais "les immeubles prévus atteignent tout de même 50 mètres et sont très concentrés, ce qui préfigure de véritables îlots de chaleur urbain", a réagi de son côté Valérie Montandon, opposante LR de l'arrondissement.
Il y a 3 ans et 24 jours

La gamme Usystem Roof s’élargit avec deux nouveaux panneaux de toiture en fibre de bois pour une isolation éco-responsable

Pour qu’isolation thermique, confort d’été et construction durable ne fassent qu’un, Unilin Insulation étoffe sa gamme de panneaux de toiture Usystem Roof avec de la fibre de bois. Deux nouveaux produits voient ainsi le jour : Usystem Roof OS Comfort Natural et Usystem Roof DS Natural Wool.Des matériaux durables au service de l’efficacitéLes nouveaux panneaux Usystem Roof d’Unilin Insulation conviennent particulièrement à l’isolation par l’extérieur des rampants de toiture en bio-construction, en neuf comme en rénovation.Ils offrent tous les avantages de deux matériaux durables (fibre de bois et polyuréthane pour Usystem Roof OS Comfort Natural et fibre de bois pour Usystem Roof DS Natural Wool) caractérisés par des cycles de vie étendus et une réduction des émissions de gaz à effet de serre des bâtiments.USYSTEM Roof OS Comfort NaturalUsystem Roof OS Comfort Natural est un panneau de toiture bi-matière 3 en 1 assurant à la fois le support de couverture, l’isolation thermique et la finition intérieure du plafond.Il permet de traiter toutes les configurations de manière traditionnelle : découpes noues et arêtiers, débords de toiture, fenêtres de toit, passage de cheminées, ...Composé de mousse de polyuréthane, de fibre de bois (60 mm) et d’un écran de sous-toiture HPV intégré, Usystem Roof OS Comfort Natural offre une isolation thermique performante, tout en préservant le toit des risques d’humidité, pour un confort en toute saison : gain de chaleur en hiver et maintien de la fraîcheur en été !L’écran de sous-toiture permet un jointement parfait sans bande ni manipulation complémentaire grâce aux recouvrements adhésifs intégrés pour un temps de pose réduit et une sécurité optimale des couvreurs.USYSTEM Roof DS Natural WoolPanneau sandwich chevronné à base de fibre de bois (densité de 50 kg/m3) et pare-vapeur intégré, Usystem Roof DS Natural Wool est une solution constructive bio-sourcée assurant l’isolation thermique et acoustique, le confort d’été et la ventilation du bâtiment.Autorisant de grands entraxes entre pannes, il convient à toutes les formes de toiture en pente et il est aussi facile à mettre en œuvre que le caisson chevronné Usystem Roof OS Comfort Natural. Il existe en version non lattée pour la pose parallèle à l’égout.Des finitions intérieures pour tous les goûtsPour répondre à toutes les envies en matière de décoration intérieure, les solutions Usystem Roof avec fibre de bois d’Unilin Insulation sont proposées dans une large gamme de finitions pour les plafonds, de la finition semi-finie à la finition complète :jusqu’à 12 finitions semi-finies personnalisables,2 décors synthétiques texturés pour une esthétique contemporaine (Deco White etDeco Beige),4 finitions bois véritable, brut, flotté, cérusé pour un intérieur authentique.Moins carbonés, les nouveaux panneaux de toiture avec fibre de bois Usystem Roof répondent aux exigences de la réglementation RE2020, contribuant à la réduction des émissions sur le cycle de vie du bâtiment. Ils sont par ailleurs éligibles à MaPrimeRénov'. Enfin, ils sont certifiés ACERMI, gage de qualité.
Il y a 3 ans et 24 jours

Pompe à chaleur 3 en 1 Qlima – Un choix essentiel au confort de la maison

Les pompes à chaleur (PAC) air/air connaissent un fort engouement en France. Ces systèmes, au mode de fonctionnement simple mais ingénieux, permettent d’allier confort et éco-nomies d’énergie, avec un impact moindre sur l’environnement. Assurant à la fois le chauffage de l’habitation et son rafraîchissement, les pompes à chaleur réversibles offrent un confort thermique idéal dans [&hellip;]
Il y a 3 ans et 25 jours

Zehnder ComfoTube Therm, nouvelle gaines de ventilation double-flux isolées

Adaptées au chauffage en hiver et au rafraîchissement sur l’air en été, les nouvelles gaines de ventilation isolées Zehnder ComfoTube Therm 90 et Zehnder ComfoTube Therm flat 51 offrent non seulement aux bâtiments performants une solution limitant les pertes de charge et les déperditions thermiques, mais évitent également la condensation générée par de trop grands écarts de température.Performances thermiques élevéesLes solutions de ventilation double-flux Zehnder récupèrent la fraîcheur en été et la chaleur en hiver. S’adaptant automatiquement, elles constituent un moyen durable pour créer un climat intérieur sain et confortable dans une habitation en toute saison. Dotées d’une couche extérieure d’isolation d’une épaisseur de 9 mm en caoutchouc cellulaire, les nouvelles gammes de gaines semi-rigides en PEHD Zehnder Comfotube Therm 90 et Zehnder Comfotube Therm flat 51(de forme oblongue et extra plate) participent aux performances thermiques du système de ventilation.Isolées, ces nouvelles gaines permettent de limiter les pertes de charge, d’éviter la condensation, mais également de réduire les déperditions thermiques liées au réseau, entre la batterie et le soufflage à la bouche. Elles sont particulièrement adaptées aux longueurs de gaines réduites (inférieures à 10 mètres) grâce à leur bonne conductivité thermique : λ=0,035 W/m*K à 20°C.FlexiblesLa couche d’isolation n’étant pas collée, les gaines de ventilation conservent tout leur rayon de courbure afin de s’intégrer facilement à l’architecture du bâtiment (en faux- plafond, au sol ou derrière des cloisons).DurablesLes nouvelles gaines isolées sont constituées d’une paroi extérieure ondulée et d’une paroi intérieure lisse, Clinside, favorisant le nettoyage à plus de 98% et garantissant la durabilité de l’ensemble. Sans couture, la couche d’isolation ne risque pas de se détacher dans le temps.Montage simple et rapideLivrées isolées, les gaines Zehnder Comfotube Therm et Zehnder Comfotube Therm flat 51 sont prêtes à installer et ne nécessitent ainsi pas de temps de main d’œuvre supplémentaire.Les manchons de raccordement isolés Zehnder ComfoFit Therm en polypropylène expansé complètent cette offre réseau afin de réaliser des connections sans pont thermique.Avec cette nouvelle offre complète de réseaux isolés, Zehnder pense à la fois au confort des habitants en toute saison mais aussi à celui des installateurs lors de la pose du système de ventilation double-flux.
Il y a 3 ans et 26 jours

Terrao appelle les industries à agir en faveur de la dépollution et de la transition énergétique

Le film Terrao, réalisé par Havas & Compagnies, sera diffusé du 9 au 25 avril sur BFM. L’objectif est d’alerter les industries sur l’urgence de limiter voire d’éliminer la pollution de l’air liée aux activités industrielles et humaines, au-delà de la feuille de route européenne de neutralité carbone. Le film commence par l’échéance 2030 : « il faudra attendre 2030 pour que les émissions de méthane diminuent de 30% ».Créée en 2012 par le Professeur Jaouad Zemmouri, la technologie Terrao permet, grâce à un échange direct par brassage de l’air ou des fumées avec de l’eau, d’assurer un transfert quasi parfait des calories et de la matière entre les deux fluides. Ce brassage conduit au lavage de l’air ou des fumées et à la récupération de leur chaleur latente et sensible. La régénération de l’eau permet d’en extraire ensuite la pollution.Multibreveté, Terrao est une véritable innovation qui permet d’ouvrir le champ des possibles dans le combat pour la qualité de l’air et la transition énergétique*. La technologie Terrao est un principe unique qui se décline en différentes solutions adaptées à chaque exigence : TerraoTherm : Le recyclage de la chaleur ; TerraoSave : Le traitement des fumées ; TerraoPur : La purification de l’air. Pour Jaouad Zemmouri, Président de Terrao : « Nous sommes fiers de collaborer avec des industries de renom qui voient en notre technologie une opportunité d’intégrer l’ère de la transition énergétique tout en contribuant à limiter la pollution atmosphérique. On ne peut pas aimer ses enfants et leur laisser une Terre avec un air pollué. »* Selon le ministère de la Transition énergétique, en 2020, la part des énergies renouvelables dans la consommation finale brute d’énergie en France s’élevait à 19%. Un taux en deçà de l’objectif fixé par l’Europe à la France, à savoir 23%. Selon la loi de transition énergétique de 2015 et la loi climat de 2019, cette fameuse part devra atteindre, en 2030, l’objectif de 33%.
Il y a 3 ans et 26 jours

La gamme Inspirio d'Argeton : une source de créativité pour des façades en terre cuite inédites

6 collections inspirées des éléments de la nature composent la gamme Inspirio (minéral, métal, béton, nature, classique et graphique) et se déclinent dans une grande variété de coloris. La gamme Inspirio bénéficie de tous les avantages de la terre cuite : économe en énergie pour sa fabrication, recyclable et résistante au temps.Inspirio, une nouvelle créativitéGrâce à la grande diversité esthétique et technique de ses bardages en terre cuite, Argeton a su, ces dernières années, donner une dimension de modernité aux systèmes d’habillage de façades.Aujourd’hui, Argeton va plus loin en propulsant la créativité dans une nouvelle dimension, celle de l'Engobe Digital Inspirio.Innovante, la gamme de bardage en terre cuite Inspirio exploite la technologie d’engobe digital, pour proposer de nouveaux designs et l’ouverture vers la concrétisation d’idées créatives inédites pour tous les projets architecturaux.Les engobes sont des pigments minéraux de surface de haute qualité appliqués sur les bardeaux en terre cuite avant le processus de cuisson.L’avantage de l’application des pigments minéraux et de leur cuisson est que tous les composants sont fusionnés ensemble : contrairement aux revêtements organiques, les surfaces ne peuvent pas se délaver ou se décolorer avec le temps. Cela confère aux façades Inspirio d’Argeton une qualité et une finition haut de gamme.Enfin, en associant les propriétés naturelles des matériaux de construction en terre cuite aux nouvelles esthétiques innovantes et respectueuses de l’environnement d'aujourd'hui, les bardeaux Inspirio sont adaptés pour toute démarche de construction durable.Inspirio, des expressions uniques pour les façadesConçue pour offrir un choix illimité en matière de formes, de surfaces et de coloris, la gamme Inspirio d’Argeton se compose de 6 collections inspirées des éléments issus de la nature. Elles comprennent à ce jour 41 modèles disponibles et se déclinent à l’infini grâce à la possibilité de créer des décors sur-mesure.Spécialiste des systèmes de bardage en terre cuite, Argeton de Wienerberger innove avec la gamme Inspirio. Celle-ci s’appuie sur la technologie de l’engobage digital afin de proposer une source inégalée de créativité pour tous les projets architecturaux. 6 collections inspirées des éléments de la nature composent la gamme Inspirio (minéral, métal, béton, nature, classique et graphique) et se déclinent dans une grande variété de coloris. La gamme Inspirio bénéficie de tous les avantages de la terre cuite : économe en énergie pour sa fabrication, recyclable et résistante au temps.Fondé à Vienne en 1819, Wienerberger est aujourd’hui le 1er briquetier mondial et le 1er tuilier Européen. Présent dans 28 pays, ses usines emploient plus 17 624 personnes à travers le monde. En France, 749 collaborateurs travaillent dans les 8 usines de tuiles et de briques détenues par le Groupe. Le chiffre d’affaires 2021 atteint 202 240 millions d’euros avec 6 marques reconnues : Aléonard (solutions toiture), Argeton (solutions façade), Climamur (solution à isolation répartie),Koramic (solutions toiture et façade), Porotherm (solutions mur) et Terca (solutions façade). La terre cuite, matériau sain, économique et écologique, répond idéalement aux projets de construction à haute performance énergétique. Matériaux écoresponsables, les briques et les tuiles terres cuites ont une durée de vie minimum de 100 ans.Inspiration minéraleLa collection "Inspiration minérale" offre subtilement l’aspect de la pierre naturelle. Les bardages reproduisent fidèlement les veines subtiles et les motifs présents dans ce matériau. La collection se compose de 6 modèles (Venere, Travertino , Sandro, Maestro, Palazzo et Juno) et se décline dans 9 coloris : light grey, dark grey, blue grey, white, red, rose, brown, orange brown et beige.Inspiration métalLa collection "Inspiration métal" exprime toute la puissance esthétique de ce matériau vivant. Les reflets subtils et les ombres sur les nombreuses facettes confèrent aux surfaces du bardage une valeur esthétique très forte. Tout en représentant les aspects du métal, la collection bénéficie des avantages de la terre cuite contre la corrosion, l'abrasion, la longévité des couleurs, ainsi que son respect de l’environnement. La collection "Inspiration métal" se compose de 3 modèles (Comet, Patino, Verona) et se décline dans 6 coloris : rusty, blue, rusty blue, rusty orange, grey, light grey.Inspiration bétonLa collection "Inspiration béton" simule l’esthétique du béton brut. Les travaux de transformation tels que l'acidification, le sablage, le lavage et le ponçage apparaissent aussi réalistes grâce à l’engobage numérique qu'avec le béton coulé. Grâce à ce nouveau design, il est enfin possible de bénéficier d’une esthétique béton tout en profitant du naturel de la terre cuite et des avantages d’une façade ventilée.La collection "Inspiration béton" se compose de 4 modèles (Marbeto, Griseo, Terrazzo, Marlo) et se décline dans 6 coloris : grey, light grey, medium grey, warm grey, dark grey, cream.Inspiration natureLa collection "Inspiration Nature" associe le charme et la chaleur des surfaces naturelles à une touche d’ingéniosité humaine. Les nuances de couleurs, les nœuds et les stries sont reproduits si fidèlement sur le bardage en terre cuite qu’ils n’ont rien à envier aux sources d’inspiration. La collection "Inspiration Nature" se compose de 4 modèles (Quercia, Ebano, Carbone, Rustico) et se décline dans 7 coloris : brown, medium brown, light brown, reddish brown, black, ash grey et washed out grey.Inspiration classiqueLa collection "Inspiration classique" offre une façade rustique et minimaliste. Bénéficiant des avantages de durabilité et économe en énergie de la terre cuite, « Inspiration classique" est résistante aux chocs, facile à nettoyer et pratiquement sans entretien. Elle se compose d’un modèle (Aurea) décliné dans 3 coloris : (light grey, dark grey et reddish brown).Inspiration graphiqueLa collection "Inspiration graphique" a été réalisée en collaboration avec des architectes pour créer des visuels inédits basés sur des lignes géométriques ou des formes organiques et donner ainsi aux façades une vivacité et une profondeur particulière. La collection "Inspiration graphique" se compose d’un modèle (Génio) décliné dans 4 coloris : mars, blue marble, blue triangle et beige circle.
Il y a 3 ans et 30 jours

Chauffage : comment l'Etat veut "tuer" le recours aux énergies fossiles

TRANSITION ENERGETIQUE. Le conflit ukrainien entraîne l'Union européenne et la France à accélérer leur transition énergétique, de manière à supprimer, à terme, le recours aux énergies fossiles. Dans le domaine du chauffage, cela confirmera l'avantage offert à des équipements tels que les pompes à chaleur.
Il y a 3 ans et 30 jours

Rencontre de l'aluminium Technal, du bois et du béton pour une maison familiale à Fontcouverte (17)

L’agence FÉLIX BIRON ARCHITECTE a travaillé avec l’ALUMINIER AGRÉÉ TECHNAL BIRON SAS afin de faire pénétrer généreusement la lumière naturelle et profiter des différentes vues dans toutes les pièces de l’habitation. Une collaboration père/fils en toute confiance, qui a permis de réaliser des ouvertures en aluminium TECHNAL à la fois architecturales, épurées et aux détails complexes : baies coulissantes XXL ou à galandage double, fenêtres et portes sur pivot désaxé...Ce projet minimaliste, qui fait l’éloge du minéral et du végétal, a reçu le Prix HABITER LOGEMENTS INDIVIDUELS lors du dernier PALMARÈS ARCHITECTURE ALUMINIUM TECHNAL organisé en décembre 2021. La couleur gris métal givré TECHNAL des menuiseries aluminium rappelle celle du bois de l’enveloppe.Ouvertures architecturales du rez-de-chausséeLes occupants entrent sous un volume en bois, porté par deux murs monolithiques en béton. Cette séquence est mise en valeur par une porte d’entrée SOLEAL sur pivot désaxé (L. 1,4 x H. 2,6 m), qui offre une emprise visuelle minimale sur ces deux murs. Les occupants semblent glisser dans la maison à travers cette ouverture !Dans toute sa largeur, le salon s'ouvre sur le jardin au travers d’une baie coulissante LUMEAL qui s’étire sur 15 m (6 vantaux). Son orientation plein Sud maximise les apports de lumière. À ouvrant caché, elle est naturellement anti-effraction. Un gage de sécurité optimal ! Des brise-soleil en bois créent de l’ombre et participent au contrôle de la chaleur.Ouvertures architecturales à l'étageEn empruntant l'escalier, une diagonale visuelle se dessine au travers d'une grande fenêtre carrée SOLEAL 65 (L. 1,9 x H. 1,9 m). Une fois à l'étage, cette ouverture originale sur pivot offre un cadrage intimiste sur la falaise.Une large circulation, baignée d'une lumière zénithale, accueille bureaux et rangements. Elle dessert les trois chambres des enfants, ouvertes sur l’extérieur grâce à des coulissants à galandage double SOLEAL. Ces baies spécifiques permettent de créer à la fois une ouverture et un système d’occultation à l’intérieur. Leur retrait d’un mètre, par rapport à la façade, protège des rayons du soleil et facilite l’intégration de rangements dans l’épaisseur du mur.
Il y a 3 ans et 30 jours

Paré pour l'été : des chemises, des polos et des pantalons de travail pour les chaleurs estivales

L'été approche à grands pas ! Dans l'artisanat, à l'atelier, sur les chantiers ou dans l'industrie, l'exigence envers ses vêtements de travail évolue soudainement dès les premières chaleurs printanières. La demande des clients s'oriente alors vers des vêtements de travail plus légers et plus respirants.
Il y a 3 ans et 30 jours

NOUVEAU VITRIFICATEUR INVISIBLE VX302i

Le vitrificateur est de très loin l'une des finitions les plus utilisées pour assurer au parquet une protection durable et esthétique contre les taches, les salissures et les agressions. De plus, il offre une très grande résistance au trafic, aux chocs, aux rayures et à l'abrasion. Ces dernières années, le parquet aspect bois brut a le vent en poupe. À la fois moderne et intemporel, authentique et chic, il s'adapte à tous les aménagements intérieurs et contribue à offrir une ambiance cosy et chaleureuse aux pièces à vivre.
Il y a 3 ans et 30 jours

La balance connectée testo 560i destinée à la charge des installations frigorifiques et des pompes à chaleur

Le fabricant Testo commercialise une nouvelle balance connectée testo 560i pour la charge des installations frigorifiques et des pompes à chaleur. Couplée à une vanne intelligente, un manomètre électronique de la marque et/ou l'App testo Smart, cette dernière réalise l'opération automatiquement, avec précision et rapidité.