Toute l’actualité du bâtiment regroupée sur un seul site

Résultats de recherche pour maitrise

(3737 résultats)
Il y a 4 ans et 133 jours

Vaste restauration de l’orgue de la cathédrale de Reims

La DRAC Grand Est va lancer la restauration de l’orgue de tribune de la cathédrale de Reims. Il s’agira de conserver l’esthétique musicale de l’instrument, tout en améliorant les performances sonores et en préservant l’intégrité de la tribune et des buffets anciens classés au titre des Monuments historiques. L’orgue étant destiné à être joué lors de manifestations importantes, cette restauration s’accompagne de la réalisation d’une console mobile. La partie instrumentale, de facture néoclassique, a été conçue par Victor Gonzalez en 1937, pour s’adapter aux buffets anciens, dont les dispositions sont héritées de remaniements successifs, les plus importants étant datés des XVe, XVIe et XVIIe siècles. Malgré un entretien régulier durant le XXe siècle, l’instrument devient difficilement jouable dès les années 1990, sa mécanique révélant ses faiblesses. Si une campagne mineure a été réalisée en 2010-2011 pour que l’orgue puisse être entendu lors des célébrations du 800e anniversaire de la cathédrale, l’instrument a beaucoup souffert de la sécheresse de 2018 et n’est aujourd’hui presque plus utilisé. 6 000 tuyaux sont à restaurer en 30 000 heures de travail et 42 mois de chantier. Les premiers mois du chantier seront consacrés aux études complémentaires destinées à préciser l’implantation de l’échafaudage et les descentes de charge. L’installation de ce dernier devrait débuter courant avril, s’en suivront des tests acoustiques, puis la dépose de la partie instrumentale, qui sera restaurée pendant plus d’un an et demi dans l’atelier du facteur d’orgues Pascal Quoirin, situé dans le Vaucluse. Sur place, le chantier ne sera pas pour autant inactif : les voûtes et les maçonneries environnantes feront l’objet d’un nettoyage, puis les buffets et la tribune d’un traitement sur place. Maîtrise d’ouvrage : Direction régionale des affaires culturelles Grand Est Maîtrise d’œuvre : Eric Brottier Restauration de la partie instrumentale : SARL Orgues Quoirin Restauration du buffet : Groupement EURL Atelier Gabriel Quoirin ; EI Alice Quoirin Photo : Michel Feck – Direction régionale des affaires culturelles Grand Est  
Il y a 4 ans et 133 jours

Helioz s’associe à BIM&CO en tant que content partner pour la modélisation d’objets BIM

Helioz Technologies est une entreprise croate, développant des solutions de configuration de produits pour les fabricants de produits architecturaux et mécaniques. La société propose du contenu BIM facilement utilisable par toutes les entreprises, contenant un grand nombre d’informations avec des propriétés spécifiques. C’est en février 2020 que la société Helioz est devenue partenaire de BIM&CO. Mia Velikanović, créatrice de contenu chez Helioz Technologies explique son parcours. « Je travaille chez Helioz depuis l’automne 2019. J’ai commencé à travailler avec des outils BIM à l’université. Cela m’a beaucoup intéressé  car le BIM aide à améliorer les processus, la communication et permet de faire le travail de manière plus rapide et plus efficace. » Les systèmes BIM sont pour elle le moteur de l’architecture et du génie civil. « Les outils BIM&CO sont simples et intuitifs dans leur utilisation, tout en étant très puissants et c’est ce que j’aime vraiment chez eux. » ajoute-t-elle. Les équipes d’Helioz Technologies sont également intervenues sur la création de contenu fabricant : les produits du fabricant Aiphone, spécialiste dans la fabrication de systèmes d’interphone, ont été modélisés au format BIM par leurs équipes.  La content creator d’Helioz, Mia Velikanović précise : « Les équipes de BIM&CO nous fournissent la donnée fabricant par le biais d’Onfly, ce qui représente un gain de temps significatif pour les deux parties concernées. Nous importons ensuite la donnée dans Revit par le biais du plugin BIM&CO, et créons la géométrie. Puis, les objets sont publiés au format Revit ou IFC sur bimandco.com ». Avant leur publication, les objets sont contrôlés par les BIM Content Specialists de BIM&CO et soumis à la validation finale du client. « Les technologies mises à notre disposition pour la création d’objets génériques ou fabricant nous permettent de réaliser un gain de temps, mais aussi de générer des objets à la qualité éprouvée », complète Mia Velikanović. Helioz profite d’autre part d’une visibilité accrue grâce à une page entreprise « Content Partner » dédiée, disponible en sept langues. Actuellement, plus de 120 objets génériques répondant à divers besoins (matériel médical, objets méthodes, éléments d’extérieur…) ont été publiés par Helioz sur bimandco.com : Voir les objets Helioz À propos d’Helioz – helioztechnologies.com – @HeliozMT Helioz Technologies développe et met en œuvre des solutions de configuration de produits pour les fabricants de produits mécaniques et architecturaux. Ils s’associent avec les meilleurs fournisseurs de technologie du monde pour le développement de contenu BIM 2D/3D et de produits mécaniques, afin de fournir la meilleure expérience digitale à leurs clients. Helioz Technologies crée des objets BIM simplifiés et riches en informations, utilisables par tous les groupes d’entreprises et contenant des informations et des propriétés spécifiques aux produits. À propos de BIM&CO – bimandco.com/fr – @bimandco Filiale du groupe Trace, BIM&CO est née en 2015 et bénéficie de plus de 30 ans d’héritage technologique dans le calcul, le traitement et la redistribution de la donnée technique. BIM&CO a pour mission de connecter tout corps d’état aux pouvoirs de la data, pour bâtir ensemble le monde de demain. BIM&CO met en place des solutions de gestion des données pour les ingénieries et fabricant, au-delà des barrières de langues, standards et formats. Pour répondre aux enjeux de la digitalisation des métiers de l’industrie, BIM&CO préconise une approche ingénieuse et maîtrisée du BIM, basée sur l’usage optimisé de la donnée partagée. Sa technologie d’harmonisation et de synchronisation s’enrichit quotidiennement pour permettre à tout corps d’état de disposer d’objets validés et de données connectées qualifiées, exploitables sur toute plateforme (dans tous standards ou formats). BIM&CO est un acteur global, présent à Paris, Bologne, Madrid et Montréal. BIM&CO s’appuie sur son réseau de partenaires pour construire une communauté de spécialistes. Contact Presse BIM&CO : press@bimandco.com
Il y a 4 ans et 133 jours

Parade : La chaussure de sécurité Connect

Une chaussure connectée Parade Connect qui permet d’alerter les secours en cas de problèmes de son utilisateur. [©ParadeConnect] C’est une première en France, la commercialisation d’une chaussure de sécurité connectée. Innovation rendue possible par l’entreprise Parade. Filiale du groupe français Eram, Parade est un acteur majeur du marché des EPI depuis son lancement en 1978. La gamme Parade Connect comprend 8 modèles, tous dotés de connexions contre les chutes. Et ceci, grâce à un boîtier installé dans le talon de la chaussure qui repère les mouvements. Celui-ci a aussi comme fonction de géolocaliser et d’alerter les secours, grâce au Bluetooth. Pour une maîtrise optimale, Parade s’est entourée des meilleurs spécialistes de l’IoT1.  Toujours plus de technologie Ces chaussures comptabilisent un total simulé de 220 cas de chutes, afin de calibrer au mieux leur utilisation. Cette innovation a fait l’objet de plusieurs brevets. « Nous avons voulu passer de la sécurité passive à la sécurité active avec un dispositif permettant de détecter les chutes d’un travailleur isolé »,déclare Franck Cherek, président de Parade. Les 8 modèles sont aussi normés SRC (anti-glisse) et disposent du plus haut niveau de sécurité (S3) de la norme “Chaussure de sécurité”. Enfin, la gamme est certifiée EN ISO 20345, réglementation européenne des équipements de protection individuelle. De plus, chaque chaussure a un embout de sécurité à 200 J, une semelle anti-perforation et anti-glisse. Et elle absorbe les chocs… Pour répondre aux attentes et aux besoins des clients, les 8 modèles de la gamme ont des designs bien différents. Pour garantir le confort, elles restent légères et leur semelle est souple.  1L’IoT (Internet of Things) ou Internet des objets. Charline David
Il y a 4 ans et 135 jours

Le marché des matériaux de construction poursuit son redressement au quatrième trimestre 2020

Ainsi, après une chute d'activité de -17% sur les six premiers mois de 2020 (CJO), l'indicateur matériaux a regagné +4,5% de juillet à décembre mais l'année se solde par un repli de près de 7% (données provisoires). Les derniers indicateurs suggèrent que, côté bâtiment, l'activité reste soutenue par des carnets de commandes encore étoffés tandis que, côté travaux publics, même si les appels d'offre, notamment de la clientèle publique, tardent encore à se réveiller, les perspectives se redressent lentement ; un contexte qui pourrait alimenter la demande de matériaux au moins sur les premiers mois de 2021.Le rebond n'efface pas le plongeonSelon les résultats provisoires de l'enquête mensuelle de décembre, l'activité dans le secteur des granulats et du BPE se serait contractée par rapport à novembre, mois plutôt dynamique, mais serait en hausse par rapport à l'an passé. Ainsi, la production de granulats, en repli de -4,5% sur novembre, est supérieure de +1,2% par rapport à décembre 2019 (données CVS-CJO). Au cours du dernier trimestre, l'activité granulats s'est stabilisée à son niveau du troisième trimestre mais affiche encore une progression de +1,3% au regard du quatrième trimestre de 2019. Ainsi, après la chute de -16,3% au premier semestre, l'activité des granulats s'est redressée de +2,6% au second. Sur l'année 2020, la contraction des volumes produits en granulats approche ainsi -7%. Du côté du BPE, les livraisons ont reculé de -5,1% par rapport à novembre mais sont +4% au-dessus de leur niveau de décembre 2019. Au cours des trois derniers mois, l'activité a certes perdu -2,4% par rapport au troisième trimestre mais s'inscrit encore en hausse de +3,8% au regard du dernier trimestre de l'an passé. Le second semestre décrit donc un rebond de +5% après le plongeon de -22,8% observé au premier. Au total sur l'année, les cubages de BPE enregistrent ainsi une baisse de plus de +9%.L'indicateur matériaux confirme ce profil contrasté. Après l'effondrement sur les six premiers mois de 2020 (-17% sur un an, données CJO), le rebond amorcé au troisième trimestre (+7,3%) s'est prolongé au quatrième avec bien moins d'ampleur toutefois (+1,7%). L'activité du panier des matériaux composant l'indicateur pourrait finalement se contracter de -6,7% en 2020.Résilience de la confiance dans le bâtimentEn janvier 2021, selon l'INSEE, l'opinion des entrepreneurs du bâtiment sur leur activité pour les trois prochains mois s'améliore de nouveau après le net rebond constaté en décembre. Bien que le solde d'opinion sur l'activité très récente se soit un peu dégradé, les professionnels du bâtiment restent en revanche très optimistes sur le niveau de leurs carnets de commandes qui affichent plus de 9 mois de réserve d'activité dans le gros œuvre, soit un niveau inchangé en moyenne depuis octobre. Pourtant, les dernières données sur la construction ne sont guère rassurantes. En 2020, le nombre de permis logements fond de 65 800 unités (soit -14,7% pour 381 600 autorisations), tandis que les mises en chantier se contractent de -6,9% (soit 28 200 unités en moins qu'en 2019 pour 376 700 unités au total). Dans les deux cas, le segment du collectif apparaît plus impacté que celui de l'individuel, notamment dans le secteur diffus où les permis progressent de +3,4% sur un an au dernier trimestre. Si, globalement, les chiffres du quatrième trimestre traduisent la poursuite du redressement des permis (+15,8% par rapport au troisième trimestre, CVS-CJO), ceux du mois de décembre sont très décevants avec une nouvelle baisse des autorisations pourtant en redressement continu depuis juillet. Quant aux mises en chantier de logements, elles se replient également entre le troisième et le quatrième trimestre (- 8,5%). Un signal plutôt encourageant se perçoit cependant du côté de la promotion immobilière. En effet, dans l'enquête trimestrielle de janvier 2021 menée par l'INSEE, l'opinion des promoteurs sur la demande de logements neufs s'améliore et ces derniers sont plus nombreux qu'en octobre à prévoir des mises en chantier au cours des prochains mois.Ce rebond concerne aussi bien les logements destinés à la vente que ceux destinés à la location. Après un resserrement en 2020, les contraintes pesant sur l'octroi des crédits bancaires ont été assouplies début janvier par le Haut Conseil pour la Sécurité Financière - HCSF, offrant sans doute ainsi des marges d'éligibilité à des ménages jusqu'ici écartés du marché par les critères de solvabilité.Enfin, s'agissant des locaux d'activité, la situation est beaucoup plus sombre : le déclin se poursuit au fil des mois tant pour les surfaces autorisées (-14,5% au quatrième trimestre, soit -19,2% sur l'année 2020) que pour les surfaces commencées (-11,9% et -16,3% respectivement). Le marché non résidentiel semble durablement impacté du fait de l'attentisme des donneurs d'ordre, tant publics que privés, et la FFB table désormais pour 2021 sur des surfaces commencées inférieures de 30% à leur niveau moyen de long terme (soit 16,8 millions de m² contre une moyenne de 24 millions).TP : toute petite éclaircieEn janvier 2021, l'opinion des entrepreneurs des travaux publics sur leurs perspectives d'activité pour les trois prochains mois s'améliore légèrement,notamment du côté de la maitrise d'ouvrage privée, même s'il demeure en dessous de sa moyenne de longue période. Si les entreprises constatent une certaine décélération de leur activité récente,elles notent néanmoins un léger frémissement de leurs carnets de commandes, encore jugés peu garnis à ce jour. Le réveil de l'activité reste conditionné par le retour des appels d'offre des collectivités locales, notamment du bloc communal, qui représente près de 40% de la maitrise d'ouvrage des travaux publics. La FNTP souligne ainsi l'urgence du soutien à l'investissement en infrastructures. En effet, selon des travaux menés par l'OFCE*, la forte chute de l'investissement public au premier semestre 2020 (-26%) pourrait se solder par une dépréciation de l'actif existant. Dans un tel contexte, la mise en place rapide du Plan de relance paraît tout aussi indispensable pour sauver l'activité et l'emploi que pour préserver la qualité de service et les exigences de sécurité du patrimoine et des réseaux actuels. Les collectivités sont ainsi les acteurs incontournables pour assurer la territorialisation de cette relance mais, pour l'heure, les chantiers se font attendre.
Il y a 4 ans et 137 jours

A Nantes, YHNOVA, une maison imprimée en 3D conçue par TICA

Début 2018, l’agence nantaise TICA architecture a livré la première maison imprimée en 3D en France. Baptisée YHNOVA, la maison est un logement T5 locatif social de 95 m² réalisé pour Nantes Métropole Habitat, maître d’ouvrage. Communiqué de la maîtrise d’ouvrage. La première maison d’habitat social construite par un robot-imprimante 3D a été inaugurée le […] L’article A Nantes, YHNOVA, une maison imprimée en 3D conçue par TICA est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 4 ans et 138 jours

Le groupe Hellio présente ses nouvelles ambitions stratégiques à l'horizon 2022

Un nouveau positionnement : Hellio, l'acteur de référence de la maîtrise de l'énergie en FranceDepuis sa création en 2008 sous la marque GEO PLC, Hellio reste le pionnier du marché des économies d'énergie en France (métropole et Outre-Mer). Le groupe, avec le soutien de ses bureaux d'études intégrés, adresse ses services à tous les consommateurs d'énergie : des particuliers aux entreprises, en passant par les collectivités locales, et ce pour tous les types de bâtiments et leurs équipements (habitat individuel et collectif, industriel, agricole, tertiaire public et privé).Hellio se démarque par le savoir-faire, l'innovation et la culture métiers de ses équipes sur toute la chaîne de valeur de la rénovation énergétique : du conseil à la réalisation des travaux garantis dans leur performance, en passant par la prise en charge administrative et financière pouvant aller jusqu'à 100 % selon le type de travaux (audit, conseil, renégociation de contrats d'énergie, travaux, fourniture de matériaux, financements, études et suivi de performance – CPE).Pour démocratiser les économies d'énergie, Hellio se positionne comme un interlocuteur unique pour toutes les problématiques de maîtrise de l'énergie, développant ses propres solutions en BtoB comme en BtoC.Partenaire de confiance, Hellio s'organise grâce à :Des équipes spécialisées proposant un accompagnement personnalisé et simplifié dans les démarches.6 bureaux implantés en France (métropole et Outre-Mer) pour interagir au plus près de l'échelon local.Un réseau de 6 500 artisans RGE agréés et audités qui oeuvrent chaque année à la réalisation de plus de 50 000 chantiers, et de 2 600 négoces de matériaux en France.Une expertise sur toutes les aides à la rénovation énergétique incluant une délégation historique aux Certificats d'Economies d'Energie et notre mandat administratif et financier MaPrimeRénov'.Au plus près des territoires, nous accompagnons les types de travaux suivants allant du sur-mesure à la rénovation globale :Particuliers : isolation, chauffage, rénovation globaleHabitat collectif : isolation, chauffage, rénovation globale, renégociation des contrats d'énergie, rénovation globaleIndustriels, tertiaire et agriculture : Indicateurs et Contrats de Performance Énergétique, groupes froids, tout équipement d'efficacité énergétiqueCollectivités : isolation, chauffage, ventilation, éclairage public, raccordement au réseau de chaleur…Engagé depuis plus de 12 ans, Hellio ambitionne de permettre au plus grand nombre de maîtriser son énergie : des solutions pour des économies d'énergies réelles, plus de confort et plus de pouvoir d'achat.Indépendant, expert et pleinement ancré dans la transition énergétique au quotidien, Hellio prend part à l'effort de relance pour faire de l'énergie de demain, une énergie positive et d'impact, au service de tous.Bilan du groupe en 20201 chantier sur 20 de rénovation énergétique sur lequel est intervenu HellioMaîtrise du changement de chaudières fioul, biomasse, gaz et PAC+ de 50 % de demandes d'audits énergétiques+ 12 ans de croissance+ 30 % de collaborateurs en 2020Des ambitions fortes pour 2021-2022Au service des particuliersHellio prend la responsabilité des travauxAu-delà des financements, Hellio est le seul acteur qui prend la responsabilité des travaux de rénovation énergétique sur l'ensemble de la chaîne de valeur : de l'étude de dimensionnement jusqu'à la réalisation du chantier et jusqu'au SAV. En amont des travaux, Hellio réalise les audits pour définir les travaux prioritaires et préconiser les meilleures solutions. Hellio se charge ensuite d'expliquer les aides, le reste à charge et la gestion administrative prise en charge par ses équipes pour le compte du particulier. Hellio réalise les travaux, via son réseau d'entreprises partenaires certifiées, et garantit le prix juste, avec toujours le même niveau de qualité. L'intervention de Hellio se termine avec la visite du bureau de contrôle, chargé de vérifier la bonne réalisation des travaux.50 000 visites techniques offertes aux particuliers en 2021Hellio a décidé d'allouer un budget spécial afin d'offrir 50 000 visites techniques aux particuliers en 2021. L'enjeu : trouver les moyens et les travaux les plus adaptés à chaque foyer et à chaque logement. C'est pourquoi, Hellio propose de réaliser une étude des logements pour préconiser les meilleurs travaux, afin de réduire les consommations énergétiques. Un chauffage adapté aux logementsDepuis son 1er programme d'économies d'énergie “Mes Ampoules Gratuites” en 2016 jusqu'à aujourd'hui, Hellio a appris à connaître les besoins de ses clients et a su développer une relation client de confiance pour apporter une solution personnalisée adaptée à chaque problématique.Dans la perspective de l'accompagnement pour la sortie du fioul en 2022, Hellio fait le choix de proposer tous les types de chauffage afin de conseiller les particuliers sur le plus adapté à leur habitat : biomasse, gaz, et prochainement la pompe à chaleur. En effet, Hellio reste persuadé qu'un seul type de chauffage ne peut apporter une solution unique pour tous les logements et chacun comporte ses avantages et ses limites : risque de mauvais dimensionnements pour les pompes à chaleur, barrières techniques pour l'installation d'une chaudière à granulés, etc. La pompe à chaleur apparaît aujourd'hui comme la solution de facilité, mais son installation n'est pas si simple et nécessite avant tout un dimensionnement approfondi.En proposant plusieurs solutions de chauffage, Hellio entend assurer la pérennité et la durabilité des équipements, garantir la baisse des consommations énergétiques du foyer et surtout s'assurer de ne pas mettre en péril la situation financière des ménages en installant des moyens de chauffage mal adaptés.Au service de l'habitat collectifRénovation globale des copropriétés avec un accompagnement en tant qu'assistant à maîtrise d'ouvrage (AMO) et pour l'obtention des financements MaPrimeRénov' Copropriétés et le Coup de pouce.Un engagement sur les économies d'énergie réellement attendues sur les chantiersLe passeport énergétique des copropriétésHellio a lancé le 1er janvier 2021 sa plateforme à destination des gestionnaires d'immeubles, pour favoriser la rénovation énergétique de leurs copropriétés. Suivi et demandes de travaux, valorisation des CEE, Hellio offre un service d'accompagnement personnalisé par copropriété afin d'accélérer l'accès à la connaissance des aides et des dispositifs de rénovation.Au service des collectivités localesÊtre un acteur de la relance des petits et moyens territoiresSolutions intégrées pour atteindre les objectifs du décret tertiaireL'équipe secteur public accompagne au plus près les territoires (de la commune jusqu'aux régions ), de la phase avant-projet à la réception des travaux, en mettant à disposition une ingénierie technique et financière afin de faciliter la réalisation de travaux offrant des performances énergétiques optimisées associées à un plan de financement maîtrisé.Au service de l'industrieRenforcement du déploiement des opérations spécifiques CEEAccompagnement des sites soumis aux quotas carbone, éligibles aux CEE uniquement sur des Opérations Spécifiques, avec des modalités réglementaires de montage de dossiers particulièresLancement d'un service d'obtention des aides France RelanceHellio est expert du financement de la performance environnementale qui englobe économies d'énergie et réduction des gaz à effet de serre. En tant qu'interlocuteur unique qui regroupe plusieurs compétences techniques et financières (gisements d'économies d'énergie et solutions via son bureau d'études), Hellio peut adresser des plans de financement complets et optimisés comprenant les aides dans le cadre de France Relance et du dispositif des CEE. Son objectif : optimiser le plan de financement pour ses bénéficiaires.Au service du tertiaire privéDéploiement d'offres clés en main supplémentaires (chauffage)Après l'isolation des combles, des planchers bas, des points singuliers et le calorifugeage en solutions clés en main, Hellio donne des moyens supplémentaires au tertiaire privé en proposant une offre complémentaire sur la conversion des modes de chauffage vers des solutions à impact carbone plus réduit grâce au dispositif Coup de pouce Chauffage tertiaire. Objectif : aider ces bâtiments à usage tertiaire dont la surface dépasse les 1 000 m² à atteindre les obligations du décret tertiaire, à savoir : une réduction de la consommation énergétique de 40 % en 2030, 50 % en 2040 et 60 % en 2050.Au service des négoces400 formations chez les négoces dès janvier 2021Convaincu depuis la première heure que les négoces sont les premiers relais d'informations auprès des professionnels, mais aussi des particuliers, grâce à leur maillage national pour promouvoir la rénovation énergétique, Hellio déploie depuis septembre 2020 un nouveau dispositif d'accompagnement : le guichet primes. Objectif : faire monter en compétences les négoces sur les aides possibles pour le financement des travaux de rénovation énergétique, et ainsi mieux conseiller leurs clients : les professionnels et les bénéficiaires des travaux. Une démarche qui s'avère nécessaire, comme le révèle une étude réalisée en ligne par Infopro Digital Etudes pour Négoce et Hellio, du 1er octobre au 8 novembre 2020, auprès 121 décideurs en négoce : seuls 54 % d'entre eux estiment connaître les démarches à effectuer, 51 % les aides financières existantes et 47 % les profils éligibles aux aides et les démarches à effectuer.Au service des professionnels du bâtimentRenforcement d'accompagnement / opportunité business et de qualité :Élargir le champs de compétencesÉvolution réglementaireHellio renforce son accompagnement auprès de ses entreprises partenaires de travaux en élargissant son service avec des chargés d'affaires supplémentaires pour la gestion administrative de leurs dossiers de financement et leurs quotations.Formation : Hellio Académie Hellio met un point d'honneur à faire monter en compétences ses entreprises partenaires pour les inciter à faire de la rénovation globale et pouvoir proposer plusieurs modes de chauffage.Ils ne doivent pas se limiter à un type de travaux, comme par exemple, l'isolation des combles, mais doivent être des professionnels qui renouvellent leur champ de compétences car ils sont la courroie entre l'actualité réglementaire et le terrain.Enfin, cette montée en compétences représente une réelle opportunité de développer et diversifier leur activité.Une nouvelle identité visuelleHellio s'adresse désormais à plusieurs types de consommateurs : grand public, collectivités, gestionnaires de l'habitat, grandes et petites entreprises, industriels, agriculteurs et professionnels de la rénovation. Pour refléter cette évolution, sa nouvelle identité a été conçue afin de s'adresser à chacun, de manière cohérente et homogène, à travers des codes et de visuels simples, affirmés et contemporains. Un nouveau logoMélangeant les bords arrondis et à angles droits, les lettres hellio s'adressent désormais avec un ton à la fois humain et professionnel.Le h se simplifie pour ne plus être un symbole uniquement à destination des particuliers (l'ancien h représentait la forme du toit d'une maison).“Votre énergie a de l'impact” : une nouvelle signature pour accompagner la communication B2B et B2C Combinant logotype et signature, le bloc-marque de Hellio renforce un message fort qui met l'humain au centre et lui donne un rôle d'acteur. Grâce aux services proposés par Hellio, l'énergie de ses clients a un impact financier et écologique qui leur permet d'améliorer leur quotidien, de réaliser leur projet et d'avoir de nouvelles ambitions, tout en protégeant la planète.Des symboles pour personnifier chaque secteurÀ chaque cible de Hellio correspond un symbole, conçu pour leur donner une voix, leur donner de l'impact. Ensemble, ces symboles forment une “famille”. Pour mettre en avant le développement d'une offre de services globale, Hellio a choisi une couleur par public pour montrer la diversité d'expertises et de solutions.De nouveaux sites InternetLe site Internet Hellio fait peau neuve et fait des petits ! Un site Internet corporate, aux couleurs de la nouvelle identité visuelle, s'adresse à l'ensemble des cibles pour présenter l'entreprise et ses actualités.Des sites dédiés à chacune des cibles ont été déclinés pour présenter les différentes offres pour les copropriétés et les particuliers.
Il y a 4 ans et 138 jours

Le Groupe ISB investit sur ses sites industriels et logistiques

Pour servir sa marque SILVERWOOD, le Groupe ISB investit 1,45 million d’euros en 2020 dans l’augmentation de ses capacités de production. Il accompagne ses deux activités : la transformation de bois rabotés et le trading de bois bruts, produits de structure et panneaux, dans le but de mieux répondre à ses clients. Le programme d’investissement a représenté le montage d’une ligne de rabotage, opérationnelle sur le 1er semestre 2021 et le montage d’un tunnel autoclave pour augmenter la capacité de traitement des produits sortis d’usine sur le site d’Honfleur. Sur le site de Saint-Malo, le montage d’une ligne de rabotage pour raboter des profils complexes à destination de la finition (peintures, saturateurs). Le Groupe a fortement recruté dans cette période afin d’accompagner l’accroissement de ses capacités de production (environ 30 personnes en 2020). Par ailleurs, un accord d’entreprise a été conclu avec les partenaires sociaux pour travailler la nuit sur les sites de Moult, Honfleur et Nantes sur des périodes définies afin de répondre aux besoins de l’activité du Groupe. La capacité logistique a, en outre, été repensée en centralisant et spécialisant les plateformes nationales de distribution des bois rabotés. Pour sa marque SINBPLA, le Groupe ISB va s’appuyer sur 3 grandes plateformes logistiques portuaires à Honfleur, Nantes et Rochefort pour régionaliser son activité trading. Un plan de stock a été construit pour répondre aux besoins locaux de chaque marché. Ces 3 plateformes s’appuient sur des infrastructures portuaires solides. Le Groupe ISB va d’ailleurs renforcer ses infrastructures pour augmenter ses capacités logistiques avec un investissement de 600 000 euros en 2021. Concrètement, cette évolution logistique représente sur le site d’Honfleur, un nouvel AOT supplémentaire d’une superficie de 20 000 m2 et deux bâtiments légers de 2 500 m2 chacun pour accueillir du stockage. Sur le site de Nantes, le montage d’un bâtiment de 2 500 m2, le doublement de la capacité de traitement classe 2 et l’arrivée d’une nouvelle calibreuse pour les produits de structure. Sur le site de Rochefort, 1 bâtiment de 1 500 m2 pour augmenter la capacité de stockage et d’une piste résinée pour les traitements classe 2. Ce site va également faire l’objet d’un programme d’investissement conséquent sur trois ans ayant pour but de moderniser son outil de production (nouvelles machines), d’équiper ses machines de système de détection/extension d’incendie et de maîtriser plus fortement son empreinte environnementale. Lauréat du plan France Relance, le Groupe a reçu une subvention de l’Etat qui va venir soutenir les investissements déjà lancés dont certains vont permettre de réduire de manière conséquente sa consommation d’énergie. Cette aide, d’un montant de 800 000 euros, devrait également accélérer un projet d’investissement de nouvelles machines dans le but d’élargir son offre de produits de structure bois et des services associés.
Il y a 4 ans et 140 jours

Le Gouvernement prépare la 5ème période du dispositif des Certificats d'économies d’énergie (CEE)

Les certificats d'économies d'énergie (CEE) constituent un des principaux instruments de la politique de maîtrise de la demande énergétique mise en œuvre par le Gouvernement.La mise en consultation des textes encadrant leur évolution à venir près d'un an avant l'entrée en vigueur de la prochaine période vise à donner de la visibilité à l'ensemble des acteurs concernés sur les principaux paramètres des futures obligations. Il s'agit notamment pour les fournisseurs d'énergie (qui sont les « obligés » du dispositif), de pouvoir préparer l'atteinte des objectifs de baisse de la consommation d'énergie fixés pour cette prochaine période, qui durera 4 ans, jusqu'à la fin de l'année 2025.Le mécanisme des certificats d'économie d'énergie sera conforté en 5ème période tout en veillant à limiter l'impact sur la facture d'énergie des consommateurs : le volume total de l'obligation sera en hausse de 12,5% et s'établira ainsi à 2400 TWhc sur 4 ans (contre 2133 TWhc sur 4 ans pour la période en cours). Sur ces 4 années, les CEE permettront de financer des actions d'économie contribuant pour environ 45 % aux objectifs d'économies d'énergie fixés par la stratégie nationale bas-carbone (SNBC) et la programmation pluriannuelle de l'énergie (PPE).Par ailleurs, le mode de calcul de l'obligation fixée à chaque fournisseur d'énergie évolue, afin d'être plus directement représentatif du volume d'énergie mis sur le marché.La part des bonifications et « coups de pouce », qui augmentent les certificats accordés pour certaines opérations afin d'en encourager le développement, sera limitée à 25% du volume total de l'obligation, afin de renforcer l'efficience générale du dispositif des CEE. Les bonifications seront ainsi recentrées sur les actions qui poursuivent un objectif de décarbonation renforcée, un objectif social ou qui s'accompagnent de garanties de performance.Pour soutenir les ménages les plus précaires, la part de l'obligation dédiée à la lutte contre la précarité énergétique sera portée à 600 TWhc et sera centrée sur les ménages les plus précaires.Les bonifications pour le remplacement d'un chauffage aux énergies fossiles (fioul et gaz) par des énergies renouvelables et les bonifications pour la rénovation performante des logements sont prolongées jusqu'en 2025.« Avec un niveau d'obligation en hausse et des règles de fonctionnement améliorées, nous confortons un levier efficace pour atteindre nos objectifs de baisse de la consommation d'énergie et accompagner nos concitoyens, nos entreprises et nos collectivités territoriales dans la transition énergétique et la lutte contre le changement climatique » a déclaré Barbara Pompili.Retrouvez en ligne le décret et son rapport de présentation, et l’arrêté et son rapport de présentationLes certificats d'économies d'énergies, qu'est-ce-que c'est ?Il s'agit d'un dispositif qui impose aux fournisseurs d'énergie (gaz, électricité, carburants, fioul domestique, chaleur et froid) de soutenir des actions d'économies d'énergie, en proportion des volumes d'énergie qu'ils fournissent.Le dispositif permettra de mobiliser de l'ordre de 20 milliards d'euros sur la période 2022-2025 en faveur d'actions d'économie d'énergie.Pour la seule année 2019, les CEE ont permis l'engagement de plus de 1,4 million d'opérations, dont plus de 700.000 isolations de combles ou planchers et plus de 250.000 installations de système de chauffage performants. Dans l'industrie, l'agriculture ou les transports, ce sont plus de 100.000 opérations qui ont été engagées, pour optimiser par exemple la récupération de chaleur ou le suivi et la régulation des systèmes énergétiques.En 2019 et 2020, le seul « coup de pouce chauffage » a soutenu le remplacement de plus 200.000 chaudières au fioul, très majoritairement remplacées par des systèmes renouvelables (pompe à chaleur, biomasse, géothermie, solaire thermique) et le remplacement de 56.000 chaudières au gaz par des systèmes renouvelables (pompe à chaleur, biomasse, géothermie, solaire thermique).Depuis l'été 2020, le coup de pouce chauffage tertiaire a permis de rénover le chauffage de 600.000 m² de bâtiments tertiaires.En 2020, deux nouveaux coups de pouce pour la rénovation globale performante des logements collectifs et des maisons individuelles ont été créés. Ils permettent aux ménages de financer des travaux de rénovation ambitieux et performants et peuvent être cumulés avec l'aide MaPrimeRénov'.Plusieurs programmes d'accompagnement sont également mis en place dans le cadre des CEE : service public de la rénovation énergétique (à travers le programme SARE qui co-finance avec les collectivités les espaces FAIRE) ; aides au vélo (dont le « coup de pouce vélo », qui a déjà permis la réparation de près de 1,4 million de vélos) ; aides aux bornes de recharge de véhicules électriques (dont 23.000 points de charge installés sur des parkings d'entreprises et de copropriétés ou sur la voirie) ; accompagnement des transporteurs routiers ; formation de référents énergie dans l'industrie ; amélioration de la formation initiale des artisans du bâtiment ; bonification et garantie de prêts éco-énergie pour les TPE-PME des secteurs industriels et tertiaire ; ou encore service d'accompagnement des collectivités locales pour la rénovation de leurs propres bâtiments (programme ACTEE, porté par la FNCCR - fédération nationale des collectivités concédantes et régies).
Il y a 4 ans et 140 jours

Quelle est la place de la santé dans vos projets ?

Pour contribuer à faire progresser ce sujet clé pour le bâtiment, une première enquête vient d’être lancée : « Diagnostic Bâtiment Santé » Une enquête inédite menée par l’association Bâtiment Santé Plus en partenariat avec le Conseil National de l’Ordre des Architectes, avec le soutien de l’ADEME et du Service de l’Architecture du Ministère de la Culture. Il y a 10 ans, le Dr Suzanne Déoux, présidente de l’Association Bâtiment Santé Plus, lançait le 1er colloque « Défis Bâtiment Santé » avec les étudiants du Master RISEB destiné à former au nouveau métier d’ingénierie de santé dans le cadre bâti et urbain. L’objectif ? Encourager une meilleure prise en compte de la santé par les acteurs du bâtiment, tout en permettant aux étudiants de se confronter à la réalité des professionnels, dans un secteur où la formation est un enjeu clé. Chaque édition du colloque s’est attachée à croiser les actualités du secteur avec la santé, dans toutes ses dimensions – physiques et psychosociales – afin que celle-ci ne soit pas oubliée face à la montée en puissance des exigences environnementales, de maîtrise de l’énergie et de l’impact carbone. 2021 : 10 ans… de nombreuses connaissances accumulées, un vrai recul sur l’évolution de la prise en compte des critères sanitaires dans le bâtiment et un contexte tout particulier : la RE 2020 et la crise sanitaire. Certes, la santé est mise en lumière, mais les difficultés économiques freinent la capacité d’investissement des acteurs du secteur. Comment les acteurs du bâtiment intègrent-ils ces différents paramètres pour le mieux-être des occupants ? Quels sont les critères prioritaires qui guident leurs choix de matériaux, d’équipements ? Disposent-ils de toutes les informations nécessaires ? Associée au Conseil National de l’Ordre des Architectes, avec le soutien de l’ADEME et du Service de l’Architecture du Ministère de la Culture et les conseils de son comité scientifique, l’association Bâtiment Santé Plus a mis au point un questionnaire destiné à mieux cerner l’ensemble de ces enjeux et à les mettre en perspective avec la grande nouveauté réglementaire : la prise en compte du facteur carbone et le développement attendu de l’économie circulaire.   Les acteurs de la construction sont appelés à contribuer, en 22 questions, à un état des lieux du secteur du bâtiment sur ces sujets d’actualité ! Largement diffusée jusqu’au 1er mars, l’enquête sera ensuite analysée par l’ENSAI Junior Consultant, junior entreprise de l’École Nationale de la Statistique et de l’Analyse de l’Information, dont la tutelle technique est assurée par l’INSEE. Afin de couvrir un large domaine d’activités et de compétences, l’enquête « Diagnostic Bâtiment Santé » interroge sur la prise en compte des enjeux de la santé dans le bâtiment par les différents acteurs, mais également sur les opérations de recyclage, de réemploi et de réutilisation dans le secteur des produits et équipements du bâtiment. Pour découvrir, participer ou relayer l’enquête « Diagnostic Bâtiment Santé » avant le 1er mars 2021 : Lien
Il y a 4 ans et 145 jours

Service, travail hors site et technologie : les grands changements de paradigme pour le secteur de la construction en 2021

La pandémie ayant entrainé une baisse du nombre de projets de construction, l’heure est à la réinvention des business models, étape cruciale pour l’avenir des entreprises.Il est prouvé que de nombreuses entreprises profitent de cette période d'accalmie pour s'armer d'outils qui leur permettront de revenir en force une fois la crise terminée. Une étude récente menée par IFS démontre en effet que 70% des entreprises ont augmenté ou maintenu leurs dépenses liées à la transformation numérique, malgré le contexte sanitaire. Dans les secteurs de l'ingénierie, de la construction et de l'infrastructure, ce chiffre s'élève à plus de 75%.L'année qui s'annonce sera tout aussi imprévisible que 2020 au regard des défis et opportunités qui se présenteront. Voici cependant les tendances qui se dessinent sur le secteur, pour 2021 et au-delà.Constructeurs et services : quand le cycle de vie des ressources devient une prioritéEn 2020, le secteur de la construction a redoublé d'efforts pour assurer des flux de revenus stables et faire face aux difficultés. Plusieurs entreprises de construction traditionnelles se sont ainsi transformées en de véritables fournisseurs de services pour leurs clients, capables de s'adapter à chaque étape du cycle de vie des ressources, mais aussi de gérer les infrastructures et la maintenance.Les coûts sont désormais définis pour le cycle de vie dans son ensemble, et non pour chaque étape séparément. Les entreprises en charge de la construction de ces ressources matérielles font donc face à un réel changement de paradigme car pour assurer un service de bout en bout, il convient de se concentrer davantage sur la qualité, la longévité et la facilité de maintenance.La plupart des acteurs de la construction et de l'ingénierie fonctionnent toujours sur la base de deux contrats distincts : l'un pour la construction, l'autre pour le service. En 2021 cependant, la tendance sera à la fusion de ceux-ci en un seul contrat, reprenant le cycle de vie de la ressource dans son ensemble.Les matériaux et processus opérationnels devront être standardisés pour favoriser la construction hors siteLa construction hors site suscite un intérêt croissant et a acquis de plus en plus d'importance. Traditionnellement, dans le cas de la construction d'une maison, l'ensemble des matériaux étaient disponibles sur le chantier. De plus en plus d'entreprises délocalisent désormais les projets vers des espaces couverts, où différents modules sont fabriqués séparément, puis expédiés et assemblés sur le chantier.Les entreprises de construction étant par conséquent amenées à manier des procédés logistiques de plus en plus complexes pour chaque projet, de bonnes pratiques de gestion de la supply chain verront le jour. La plupart des entreprises traditionnelles admettent en effet avoir très peu d'expérience en matière de références ou d'inventaires, et l'exemple d'entreprises comme Amazon, dont la supply chain est au cœur de la stratégie, ne reflète pas vraiment leur réalité. Elles devront donc s'approprier assez vite certains concepts afin de pouvoir jongler avec les multiples modules préfabriqués à expédier, au bon moment et dans le bon ordre, sur les chantiers.Il y a de fortes chances que nous constations une accélération des investissements réalisés par les entreprises de construction dans des logiciels capables de les accompagner sur le contrôle de la supply chain. Celles-ci vont peu à peu changer d'état d'esprit et adopter cette approche de fabrication standardisée, impliquant le recours à des numéros de série pouvant être réutilisés sur plusieurs projets.En d'autres termes, 2021 sera l'année où la construction hors site entrainera les entreprises traditionnelles dans sa course effrénée, s'appuyant sur un besoin urgent de standardisation des matériaux et processus.Le BIM en 5D ayant atteint son stade de maturité, place à la 6DLa plupart des connaisseurs du secteur savent ce qu'est le BIM et en connaissent les avantages. Cette technologie autonome de conception en 3D facilite considérablement le développement et la construction de ressources complexes. De nombreux acteurs du secteur parlent à présent du BIM en 4D, capable d'assimiler la planification d'un projet, et de fournir une vidéo de simulation détaillant les étapes et la manière par lesquelles une ressource devrait être idéalement construite.Le BIM et l'ERP (Enterprise Ressource Planning), ne forment cependant pas encore un duo gagnant, alors que cette combinaison est pleine de potentiel, la plupart des données importantes pouvant y être stockées. Celle-ci est connue sous le nom de BIM en 5D. Cette cinquième dimension symbolise les revenus, c'est la raison pour laquelle les défis rencontrés en 2020 vont probablement pousser les entreprises à combler le fossé entre BIM et ERP.Sachant que le BIM en 5D est en train de gagner du terrain et dans le but de simplifier les processus, il est fort probable que 2021 soit l'année où les entreprises de construction transféreront, de manière automatisée, leurs modèles BIM vers leur ERP. Cela permettra une circulation libre de la donnée entre les différents systèmes. L'équipe chargée de répondre aux appels d'offre devra cependant être en mesure de trier et structurer la donnée afin d'automatiser le pricing.Les entreprises avant-gardistes, qui en sont déjà au stade d'implémentation de solutions BIM et ERP en 5D, seront assez vite à même d'explorer le BIM sous sa sixième dimension, dédiée à la maintenance des projets.Continuer à aller de l'avantMême dans des conditions optimales, la construction est un secteur exigeant, qui requiert l'exécution et la maîtrise de projets complexes. Investir à long terme dans des technologies adaptées reste le meilleur moyen de s'assurer de la valeur commerciale et de la résilience d'une entreprise.Malgré le lot de surprises qu'elle réserve, 2021 sera une année d'opportunités pour les secteurs de la construction, de l'ingénierie et de l'infrastructure. Cependant, une bonne dose de stratégie et de ténacité, ainsi qu'une vision claire de ce que servicisation et technologie peuvent apporter seront de mise pour pouvoir les saisir.
Il y a 4 ans et 145 jours

MG Lilienfeld : La centrale, mais “Fabriquée en France”

« Une centrale est faite pour durer dans le temps, d’où le soin que nous apportons dans sa conception et sa construction », indique Valentin Mazzocchi, président de MG Lillienfeld. [©MG Lilienfeld] Le “Fabriqué en France” est un peu la marque de qualité de MG Lilienfeld. Installé en Isère, l’industriel est un incontournable de la centrale à béton. A son actif, quelque 175 unités en service sur l’ensemble du territoire. Depuis bientôt trente ans, l’industriel MG Lilienfeld est un incontournable de la centrale à béton. L’entreprise est née en 1992, à Morestel, en Isère. « En tant que telle, la marque Lilienfeld existait déjà, puisque créée dans l’immédiat après-guerre pour construire, justement, des centrales », confie Valentin Mazzocchi, président de MG Lilienfeld. L’héritage et le savoir-faire sont donc très forts dans l’entreprise. Aujourd’hui, la centrale à béton continue à être le cœur de l’activité, dont le montant s’élève 3,4 M€ en 2020. « En moyenne, nous construisons six unités par an, qu’il s’agisse de centrales sur mesure ou d’installations dites “mobiles”. » Car, c’est là une des spécialités connexes de l’entreprise. La particularité de ces outils : une installation rapide avec un génie civil réduit. Sous 15 j, les premiers bétons sortent du malaxeur. A ce niveau, MG Lilienfeld travaille principalement avec Teka ou OMG Sicoma. « Mais toutes les marques sont accessibles, suivant la demande du client », précise Valentin Mazzocchi. Outre le malaxeur, MG Lilienfeld maîtrise l’ensemble de la production de ses centrales. Le process débute au sein du bureau d’études intégré où opèrent trois ingénieurs qualifiés. « Nous disposons d’un logiciel 3D qui permet de visualiser toutes les subtilités des pièces à produire. » C’est l’humain qui fait la qualité Les études sont réalisées en étroite collaboration avec les clients, afin de répondre au plus juste à leurs attentes. « Une centrale est faite pour durer dans le temps, d’où le soin que nous apportons dans sa conception et sa construction », insiste Valentin Mazzocchi. Avec plus de 3 000 m2 d’atelier, complétés par une vaste zone de stockage extérieur d’une superficie de 2,6 ha, l’industriel dispose de toute la place nécessaire pour effectuer un travail de qualité. « Nous bénéficions d’outils de pointe pour assurer la fabrication, telles notre unité plasma HPI ou nos plieuses de 320 t. » L’atelier intègre aussi une cabine de peinture chauffée et ventilée. Mais surtout, c’est l’humain qui fait la qualité de la production. « Dix-neuf collaborateurs constituent les forces vives de l’entreprise. Ce sont toutes des personnes très qualifiées. Et celles travaillant dans l’atelier assurent aussi bien la fabrication des pièces que leur assemblage sur les unités en cours de fabrication. » Côté sous-ensembles, pour l’essentiel, MG Lilienfeld privilégie les industriels français. « Nous défendons le “Fabriqué en France” et nous mettons aussi en avant notre production locale, au cœur de notre territoire », reprend Valentin Mazzocchi. Cela permet une grande réactivité. Un élément qui caractérise l’entreprise, tant au niveau du montage des unités neuves que de la maintenance en cas de panne. Bien connaître la réglementation en vigueur « Nous avons nos propres équipes de montage. Il n’y a pas de sous-traitance. » Toujours le souci du meilleur service possible et l’écoute du client. Et le SAV, chacun est content lorsqu’il répond présent. Et s’il intervient tout de suite, c’est encore mieux. Des centrales à béton, MG Lilienfeld en comptabilise près de 175 en service sur le territoire national. Et quelques-unes aussi en dehors des frontières. « Nous savons accompagner nos clients à l’international. Nous l’avons déjà fait dans le passé. » Ceci, aussi bien pour installer des unités neuves que dans le cadre de réhabilitations. Une activité complémentaire, dont le chiffre d’affaires est variable d’une année à l’autre. « La rénovation peut être un thème complexe, car elle induit une notion de normes. Il est indispensable de bien connaître la réglementation. En tant que constructeur spécialisé, c’est un sujet que nous maîtrisons sur le bout des doigts », conclut Valentin Mazzocchi.
Il y a 4 ans et 145 jours

Bertrand Bedel, nouveau président du Cerib

Deux vice-présidents ont été également nommés le 26 janvier au conseil d'administration du Cerib : Philippe Gruat, président de la Filière Béton et président de l'École Supérieure des Ingénieurs des Travaux de la Construction (ESITC) de Caen,Laure Hélard, déléguée générale du Syndicat Français de l'Industrie Cimentière (SFIC) et de l'Association Technique de l'Industrie des Liants Hydrauliques (ATILH.) Après une formation bâtiment et génie civil, Bertrand Bedel a commencé sa carrière en qualité de conducteur de travaux chez Cipec puis a créé sa propre entreprise générale de bâtiment. Après deux années au sein du groupe Point P, c'est en 1983 qu'il débute sa carrière dans l'industrie des produits en béton en rejoignant Premat Yonne, qui intégrera en 1989 le groupe Alkern. Pendant 36 ans, il a occupé plusieurs postes au sein du groupe Alkern, puis sa présidence jusqu'en avril 2019, date à laquelle il a rejoint son conseil de surveillance. Le mot de Bertrand Bedel « Ma très longue expérience industrielle dans le secteur des produits en béton, ma présidence de la FIB depuis un an et demi et ma présence depuis neuf ans au conseil d'administration du Cerib sont autant d'atouts pour aborder la présidence d'un Centre, dont je partage de longue date l'engagement au service de l'industrie du béton. Le Cerib est un formidable outil de progrès technique, de performance et d'innovation environnementale, technologique et numérique pour le secteur de la construction, le matériau béton et les produits préfabriqués en béton. Ses 15.000 m2 de laboratoires, ses équipements de pointe, l'expertise de ses 170 collaborateurs lui permettent d'accompagner l'ensemble des parties prenantes de la construction, d'informer et d'apporter un appui technique aux industriels et prescripteurs du marché. Ma feuille de route pour les trois ans à venir s'inscrit en particulier dans la continuité du Contrat d'objectifs et de performance (COP) 2020-2023 signé en février 2020 entre l'État, la FIB et le Cerib pour accompagner l'industrie du béton vers le futur et accélérer les grandes transitions du secteur de la construction. Ce Contrat repose sur des enjeux stratégiques forts, notamment pour :Accompagner les PME/TPE vers l'industrie du futur par le déploiement de la construction numérique et du BIM, et des outils innovants de maîtrise de la production ;Répondre à l'intérêt général des parties prenantes pour la transition écologique et énergétique ;Accélérer la transition vers une économie circulaire dans la construction.Ce Contrat réaffirme l'engagement du Cerib de rendre les services d'intérêt général, de proximité, les plus efficients et appropriés à l'industrie du béton et d'assurer un développement technologique, économique et harmonieux du Centre. C'est en investissant de nouveaux domaines d'avenir que nous pourrons, collectivement, mieux appréhender les défis de la construction de demain, répondre aux intérêts de l'industrie du béton et plus largement aux enjeux des politiques publiques pour la reconquête industrielle en France. C'est là tout le sens de mon engagement aux côtés des équipes compétentes du Cerib et des membres de sa gouvernance, qui, par leur diversité, permettent de croiser des champs d'expertise industrielle, technique, normative, environnementale ou encore universitaire ».Bertrand Bedel, Président du Cerib
Il y a 4 ans et 145 jours

Poutres en lamellé-collé hors normes

SOFRILOG, spécialiste de la logistique et du transport frigorifique, a entrepris la modernisation de ses sites à travers |’hexagone. Cette stratégie a amené le groupe familial à agrandir l’un de ses entrepôts vendéens : de 3800 m2, le bâtiment atteindra 9 200 m2 grâce à deux larges extensions de 2 700 m2 chacune, implantées de part et d’autre. Faisant du lamellé-collé leur marque de fabrique depuis 1968, les CHARPENTES FOURNIER ont été mandatées pour entreprendre les travaux de la structure bois. Douze poutres jumelées XXL, soit vingt-quatre au total, ont été usinées dans leur atelier au Poiré-sur-Vie (85) : 43 m de longueur, 2,8 m de hauteur, 2 m de largeur et 13 tonnes. Des dimensions et un poids spectaculaires qui ont nécessité une logistique spécifique de la fabrication à la mise en œuvre, en passant par le chargement, le transport et le déchargement sur chantier. Leur expertise de plus de 50 ans sur des programmes ambitieux, leur outil industriel ã la pointe de la technologie et leur proximité avec le chantier ont constitué des critères déterminants pour les maîtrises d’œuvre et d’ouvrage. Il aura fallu 240 heures de collage et 400 heures de taillage et de colisage pour réaliser l’ensemble des poutres en Épicéa du Nord de l’Europe. Maître d’œuvre : Bexi Ingéniérie   Photo : CHARPENTES FOURNIER  
Il y a 4 ans et 147 jours

Un nouveau président et deux vice-présidents pour le Cérib

Le 26 janvier 2021, Bertrand Bedel a été élu à la présidence du Cérib. [©Cérib] Le 26 janvier 2021, Bertrand Bedel a été élu à la présidence du Cérib. Ceci, pour une durée de trois ans. Il succède à Philippe Gruat, en poste depuis 2018. Engagé de longue date dans l’industrie du béton, Bertrand Bedel est membre du conseil d’administration du Cérib depuis 2012. Et président de la Fédération de l’industrie du béton (Fib) depuis juin 2019. Le mot de Bertrand Bedel  « […] Ma feuille de route pour les trois ans à venir s’inscrit en particulier dans la continuité du Contrat d’objectifs et de performance (COP) 2020-2023. Signé en février 2020 entre l’Etat, la Fib et le Cérib. Et ce, pour accompagner l’industrie du béton vers le futur. Et accélérer les grandes transitions du secteur de la construction. Ce Contrat repose sur des enjeux stratégiques forts. Déjà, accompagner les PME/TPE vers l’industrie du futur par le déploiement de la construction numérique et du BIM. Et des outils innovants de maîtrise de la production. Puis, répondre à l’intérêt général des parties prenantes pour la transition écologique et énergétique. Enfin, accélérer la transition vers une économie circulaire dans la construction […] », souligne Bertrand Bedel. Le parcours de Bertrand Bedel Deux vice-présidents ont été aussi nommés au conseil d’administration. A savoir, Philippe Gruat, président de la Filière Béton et président de l’Ecole supérieure des ingénieurs des travaux de la construction (Esitc) de Caen. Et Laure Hélard, déléguée générale du Syndicat français de l’industrie cimentière (Sfic) et de l’Association technique de l’industrie des liants hydrauliques (Atilh). Après une formation bâtiment et génie civil, Bertrand Bedel a commencé comme conducteur de travaux chez Cipec. Après deux années au sein du groupe Point.P, c’est en 1983 qu’il débute sa carrière dans l’industrie des produits en béton. Ceci, en rejoignant Premat Yonne, qui intégrera, en 1989, Alkern. Pendant 36 ans, il a occupé plusieurs postes au sein de ce groupe. Dont la présidence. Et ce, jusqu’en avril 2019, date à laquelle il a rejoint son conseil de surveillance. 
Il y a 4 ans et 147 jours

Legoupil Industrie double l’activité de sa gamme Intégral + en 2020

L’entreprise normande a spécialement développé une cellule dédiée aux chantiers tous corps d’état gérés de A à Z dans des délais records. Appelée Intégral +, elle a en 2 ans a vu son activité doubler : 2 fois plus de projets étudiés, un chiffre d’affaires multiplié par 2 et de nouveaux recrutements en cours !Le développement de la gamme Intégral + adresse tous les secteurs de l’industrie automobile ou pharmaceutique, à la grande distribution, en passant par le secteur des ambulances ou des pompes funèbres. Christophe Koeppel, DG de Legoupil Industrie, est disponible pour partager son expertise du Made In France et échanger sur les coulisses du succès de cette gamme.Une cellule développée pour assurer une gestion intégrale des chantiers tous corps d’étatAvec ses gammes traditionnelles de bâtiments industriels Extend et Master, le fabricant normand spécialiste des bâtiments industriels et modulaires peut installer plus de 1000 m² en seulement 2 semaines. Alliant les avantages du bâti traditionnel à la rapidité d’exécution, ce type de bâtiment est de plus en recherché. Legoupil Industrie observe depuis quelques années une tendance forte de globalisation des besoins de ses clients. La cellule Intégral + intervient en réponse à ce besoin croissant de gestion intégrale des projets tous corps d’état.De la conception à la livraison clé en main, Legoupil Industrie assure la gestion de ces chantiers de A à Z. Le bureau d’études conçoit sur-mesure un bâtiment adapté aux contraintes du client, garanti conforme à toutes les normes en vigueur, même les plus strictes.Avec XX chantiers Intégral + réalisés en 2020, Legoupil Industrie a donc doublé en 2 ans le nombre de projets étudiés, consacrant le succès de ce mode de gestion des chantiers.“Internaliser notre production est un gage d’efficacité et de flexibilité, mais aussi un engagement sociétal et de maîtrise de la chaîne de production”, souligne Christophe Koeppel, DG de Legoupil Industrie.Des références chantiers tous secteurs industriels confondusL’entreprise normande a équipé des industriels de tous les secteurs de ses bâtiments industriels et modulaires : industrie automobile ou pharmaceutique, grande distribution, transport et logistique, ambulances ou encore pompes funèbres.
Il y a 4 ans et 148 jours

Réforme de MaPrimeRénov : les décrets sont parus

RÉGLEMENTATION. Avec la parution, le 26 janvier, de deux décrets et deux arrêtés, la nouvelle mouture de MaPrimeRénov est désormais inscrite dans l'ordre réglementaire. Les nouvelles dépenses éligibles, prestation d'assistance à maîtrise d'ouvrage et rénovation globale, ainsi que les bonifications, sont notamment précisées.
Il y a 4 ans et 148 jours

RE2020 : avis favorable du CSCEE

Le Conseil supérieur de la construction et de l’efficacité énergétique (CSCEE) a voté un avis favorable à la RE2020. Les représentants de la maîtrise d’ouvrage et des entreprises ont demandé à ajouter une mention.
Il y a 4 ans et 148 jours

L’architecte français victime d’emphytéose exogène

A l’heure où la France va s’engager dans un vaste plan de relance de son économie, il paraît pertinent d’interroger la façon dont celui-ci va être injecté dans le secteur du bâtiment, notamment au niveau de la maîtrise d’œuvre. La France est une terre d’accueil* très hospitalière pour les maîtres d’œuvre étrangers : entre attrait de […] L’article L’architecte français victime d’emphytéose exogène est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 4 ans et 148 jours

Sanijura : Colombine

Avec l’ensemble Colombine, Sanijura confirme sa belle réputation. Ici, la marque joue des contrastes, afin d’insuffler confort et finesse à la salle de bain. Un miroir vertical très contemporain se marie avec une élégante tablette en chêne massif, tandis que le plan de toilette en verre givré s’accorde avec une sous-table en chêne massif ajouré. Le tout est éclairé par deux suspensions bubble noires, créant une ambiance lumineuse agréable. Alliant belles matières et sens du confort, les concepteurs imaginent un équipement à la fois décoratif et fonctionnel.Robuste et chaleureux, le chêne massif est devenu indissociable de l’univers Sanijura qui en maîtrise toutes les déclinaisons. Colombine en est une nouvelle fois l’illustration, puisque cet ensemble fait la part belle à ce beau matériau. D'une longueur de 140 cm, le meuble vasque se distingue en effet par sa structure en chêne massif ajourée et graphique. L'intérieur du meuble est également rétroéclairé, pour laisser passer la lumière entre les traverses de la structure. Le meuble de bain aux formes graphiques se voit associé d’une table en verre givré noir, d'un miroir au cadre en bois laqué et d'une tablette en chêne massif. Minimaliste, l’ensemble Colombine apportera une touche de caractère à la salle de bain. Un ensemble en passe de devenir iconique. À propos de SanijuraConnue pour ses équipements de salle de bain, Sanijura développe depuis plus d’un siècle des produits d’exception en portant une attention particulière aux demandes les plus complexes de sa clientèle. C’est d’ailleurs en répondant à un appel d’offre pour des armoires à pharmacie en 1960 que Sanijura a inventé la première armoire de toilette française. La créativité de Sanijura s’est ensuite illustrée dans la création de meubles modulaires et clé en main.Le choix de la rédaction Associant design raffiné et qualités techniques, l’équipement de salle de bain Colombine apporte douceur et sensualité à cet espace intime. Une jolie prouesse que la rédaction de Muuuz salue en lui attribuant le Muuuz International Award 2020 de la catégorie « Équipement intérieur / Équipement du bain ».Pour en savoir plus, visitez le site de Sanijura. Visuels : © SanijuraLa rédaction  
Il y a 4 ans et 148 jours

Le bureau d'études Construire renouvelle l'apport de l'ingénierie dans le BTP

Il propose de revenir à une conception plus traditionnelle de l'ingénieur : un professionnel qui s'efforce de faire progresser les technologies et le savoir-faire de son époque.L'ingénieur traditionnel est beaucoup plus rentable que l'ingénieur machine. Il cherche la meilleure solution par le bon sens et l'intuition, qu'elle soit standard ou non. Il utilise les normes comme un guide et non comme un frein.Lorsque la meilleure solution n'est pas standard, elle le devient. Ainsi, il gagne un temps précieux non seulement pour lui-même, mais également pour l'intégralité des équipes de construction.Une ingénierie traditionnelle et innovanteConstruire défend une ingénierie traditionnelle dont l'objectif est de perfectionner encore et toujours. C'est cette passion et cette soif de progrès technologique qui ont donné envie à Axel Sundermann et Xavier Laborde, lassés par le management entravant des grands groupes du BTP, de créer leur propre bureau d'études.Les capacités techniques de Construire permettent d'atteindre un niveau de flexibilité architecturale pour répondre au plus près aux souhaits du client.Le modèle développé par ConstruireConstruire défend la synergie architectes / ingénieurs, ticket gagnant du BTP. Cette alliance associe les 2 compétences complémentaires indissociables de la valorisation et de l'optimisation des projets : l'artiste qui fournit le rêve et le réalisateur.La mise en place de passerelles entre la réflexion architecturale et technique permet de configurer des détails constructifs en cohérence avec les concepts architecturaux.Inversement les ingénieurs développent des innovations techniques pour donner une plus grande dimension à la conception architecturale, comme ce fut le cas pour la construction en containers des années 90. Cette phase d'élaboration nécessite un important travail collaboratif dans lequel l'implication de l'ensemble des intervenants, y compris la maîtrise d'ouvrage, est indispensable.Construire promeut la construction paille et la construction en container maritime et développe d'autres techniques innovantes de construction écologique plus performantes que les techniques traditionnelles.Une ingénierie qui optimise la rentabilité des projets architecturauxPlus un projet est complexe techniquement, plus les économies réalisées grâce au savoir-faire des ingénieurs de Construire sont importantes ! Construire imagine et propose des solutions qui permettent d'optimiser les délais et les coûts de réalisation sans pertes en qualités architecturales.Construire s'appuie sur la modélisation numérique 4D, la réalité augmentée, des algorithmes d'optimisation de géométrie, de reconstruction numérique de l'existant à partir de photos ou vidéos et sur des calculs éléments finis. Ces outils viennent en support d'une bonne compréhension préalable des principes mathématiques et physiques qui constituent la base du savoir-faire des ingénieurs de Construire.Ceci permet à la fois d'optimiser les gains pendant la construction et de maintenir la qualité de l'ouvrage tout au long de sa vie. La rentabilité est optimale avec la solution la plus simple.L'évaluation par les ingénieurs de Construire peut permettre une réduction des coûts sans perte de qualité sur la durée de vie d'un ouvrage pouvant aller jusqu'à plus de 50 % par rapport au standard.Le prix cumulé d'un projet de la première pierre jusqu'au démantèlement est un indicateur assez fiable du coût écologique car il représente les dépenses énergétiques et donc écologique réelle de toutes les étapes. Un projet moins cher est un projet qui endommage moins la planète.Les ingénieurs de Construire pensent que construire écologique signifie améliorer la rentabilité et donc construire moins cher à qualité constante. Cette vision va à l'encontre des idées reçues, qui prétendent que l'écologie implique un surcoût.Les prestations de ConstruireElles vont des études en amont jusqu'au suivi des travaux.Les ingénieurs de Construire interviennent aussi bien en ingénierie générale qu'en ingénierie mono-technique : structure, énergie, électricité, VRD, fluides CVC, économie de la construction, bâtiments connectés, OPC.Construire souhaite devenir la référence de la réalité augmentée au service des particuliers. Celle-ci permet au client de visualiser sans surcoût le résultat architectural achevé avant même que les travaux n'aient commencé et donc de définir le projet au plus proche des besoins du client.Elle peut être utilisée par exemple dans le contexte d'une restructuration d'intérieur (agrandissement de salon, création de baies vitrées, …) ou dans le cadre de la construction ou de l'extension d'une maison individuelle.Construire développe la réalité augmentée au service des entreprises. Cette technique leur permet d'avoir accès à toutes les données relatives aux projets et aux différents composants à chaque étape de la réalisation sur place pendant la construction. Le maçon visualise chacun des parpaings qu'il doit installer de façon transparente, la réalité étant visible en vue de fond. Plus besoin de plans 2D en noir et blanc dont l'impression fini par coûter plus que les ingénieurs qui les dessinent !Construire souhaite également développer la réalité augmentée sur les marchés publics encore largement dominé par les plans 2D, 3D ou BIM traditionnels.Indépendants, pragmatiques et créatifs, les ingénieurs de Construire ont pour ambition d'allier innovation technique, simplicité, durabilité et réductions des coûts.
Il y a 4 ans et 148 jours

Le Centre Pompidou fermé 3 ans pour rénovation

Suite à la commission ministérielle des projets immobiliers (CMPI) qui s’est tenue le 22 janvier 2021, le ministère de la Culture a approuvé la mise en œuvre du schéma directeur des travaux du Centre Pompidou. La rénovation totale du bâtiment conçu par Renzo Piano et Richard Rogers, débutera en site fermé à la fin de l’année 2023 pour s’achever fin 2026. Cette fermeture permettra de procéder au désamiantage total du bâtiment et de le rénover entièrement afin de répondre aux normes de sécurité, aux normes techniques et énergétiques en vigueur ainsi qu’aux obligations d’accessibilité pour les publics en situation de handicap. Le shéma directeur vise trois grands objectifs : – La fiabilisation des installations avec le désamiantage total de la façade et changement de l’ensemble des baies vitrées ; le traitement des corrosions de la structure principale et des ouvrages de serrurerie métallique ; la réfection des peintures et des sols ; le remplacement ou rénovation des ascenseurs, monte-charges et escaliers mécaniques du forum, remplacement des installations de courants forts en fin de vie ou détériorées et des installations de plomberie sanitaire. Reprise de l’architecture informatique et serveurs, modernisation des systèmes courants faibles, et des installations sûreté. – La rénovation et l’optimisation énergétique avec l’adaptation du niveau de traitement d’air par zone en fonction de leur usage, remplacement des boîtes de mélange (système de climatisation), et remplacement des centrales de traitement d’air en infrastructure ; la rénovation des tours aéroréfrigérantes (traitement du risque légionellose) et le remplacement des systèmes de courants faibles et la migration vers le tout IP… – La mise en sécurité incendie et la mise en accessibilité avec le traitement de la stabilité au feu, remplacement des clapets coupe-feu et mise en conformité du désenfumage et le remplacement des peintures intumescentes, réalisation des travaux d’accessibilité. L’OPPIC, opérateur du patrimoine et des projets immobiliers de la culture, en assurera la maîtrise d’ouvrage.     Photo : RG72 – Wikimedia commons  
Il y a 4 ans et 149 jours

2021, ANNÉE PROMETTEUSE POUR LA FORMATION INITIALE

En signant la prolongation de leur convention jusqu’en juin 2022, les partenaires engagés sur FEEBAT attestent de la pertinence et de la qualité de ce programme de formation. Conçues pour les artisans et entreprises du Bâtiment, les architectes et maîtres d’œuvre, les enseignants, formateurs en lycée, CFA et ENSA(P) (1), les formations à la rénovation énergétique sont un enjeu majeur dans la transition écologique et un levier de reprise économique pour l’ensemble de la filière. NOUVEAU PARTENAIRE INSTITUTIONNEL Le MTEI, ministère du Travail, de l’Emploi et de l’Insertion, rejoint le programme FEEBAT Le MTEI, ministère du Travail, de l’Emploi et de l’Insertion, rejoint le programme FEEBAT. Depuis la signature de sa prolongation, FEEBAT compte un nouveau partenaire : le MTEI vient compléter, par ses missions en matière d’emploi, d’insertion et de formation, la représentation, dans FEEBAT, des ministères aux côtés des autres acteurs engagés. Pour le MTEI, il s’agit à court terme de développer et faire évoluer les formations pour que les professionnels puissent développer leurs compétences pour répondre aux opportunités du marché de la rénovation énergétique. A moyen terme, il s’agit de mieux articuler FEEBAT avec les dispositifs du Ministère, dont les EDEC (2) visant à travailler sur l’emploi, l’attractivité des métiers, l’apprentissage, le développement des compétences… VERS DE NOUVEAUX MODULES EN 2021 Conception de nouveaux parcours pour accompagner la formation initiale sur la rénovation énergétique FEEBAT a lancé deux consultations ambitieuses pour sélectionner les prestataires qui seront chargés de concevoir ces parcours de formation. L’une est tournée vers les enseignants des lycées et les formateurs des CFA. L’autre concerne les enseignants des ENSA(P). La première consultation, publiée le 12 novembre, concerne plus de 140 diplômes et 15 000 enseignants et formateurs. La seconde consultation a été lancée le 10 décembre. Les premiers modules sont attendus à l’été 2021…. ET AUSSI Pour les artisans et les entreprises du Bâtiment Le module de formation AUDIT Reno, portant sur l’audit énergétique en maison individuelle, est désormais disponible en version 100% distancielle (en autonomie et en classes virtuelles). Pour les architectes Le module DynaMOE, à destination des architectes et des professionnels de la maîtrise d’œuvre, est à présent disponible en version distancielle jusqu’à 4 jours sur 5 (également en autonomie et en classe virtuelle). Pour les enseignants-chercheurs des ENSA(P) Le ministère de la Culture communiquera sur le programme de formation FEEBAT en octobre 2021, lors des Assises nationales des ENSA(P). L’une des thématiques de ces Assises portera sur les enjeux environnementaux de l’intervention architecturale sur le bâti existant : nouveaux modèles de transition décarbonée. Participeront notamment l’Agence nationale de la cohésion des territoires (ANCT), la Caisse des dépôts, Action logement, l’ADEME. Plus d’information sur cattoire@cattoire.com
Il y a 4 ans et 149 jours

La nouvelle version de Diapason, l’ERP spécialisé Menuiserie, est disponible pour les industriels

Une nouvelle interface plus fluide et ergonomiqueEn harmonie graphique avec les autres solutions du Groupe ELCIA, l’interface de Diapason a été repensée avec une nouvelle ergonomie, un visuel épuré (icones, menu utilisateurs, onglets des applications ouvertes pour switcher facilement...) et une nouvelle navigation plus facile et fluide (zone de recherche, favoris, critères...). Totalement adaptée à l’utilisation quotidienne et aux contraintes métiers, cette nouvelle interface permet une prise en main facile et rapide pour les équipes, pour une meilleure expérience utilisateur et une efficacité immédiate.Destinée dans un premier temps aux Services ADV (devis, commandes, tarifs) et aux Services Facturation (factures clients, relevés de factures), la nouvelle interface de Diapason permet notamment un suivi des commandes, une configuration des produits et une recherche d’informations plus clairs pour l’utilisateur.Les autres fonctionnalités clés de la V16 de Diapason :Le coût de revient sur les devisA l’image de ce qui existait déjà sur les commandes, le coût de revient apparaît désormais sur les devis pour une meilleure maîtrise des marges et un pilotage des coûts précis et fiable.Services Web 100% paramétrablesDiapason s’équipe de services web paramétrables et déployables simplement. De quoi automatiser la réception et l’envoi d’informations de type simple structurées ainsi que des listes de données.SAV : la duplication des commandes archivéesDiapason offre désormais la possibilité de créer une nouvelle commande à partir d’une commande déjà archivée pour gagner un temps précieux.« Plus intuitive et aérée avec un design moderne, la nouvelle interface améliore l’utilisabilité de Diapason. C’était un axe d’amélioration attendu par nos utilisateurs. »Laurent HARISTOY Directeur des Opérations ISIAComment est née cette nouvelle version de Diapason ?Dans le cadre de notre labellisation ScoreFact 2019, un audit a été mené par un organisme indépendant auprès d’un échantillon de nos utilisateurs. L’objectif était de recueillir leurs retours d’expérience et leurs souhaits d’optimisation. La modernisation de l’interface Diapason est ressortie comme l’un des axes d’amélioration les plus attendus par notre parc installé. Suite à cela, nous avons lancé le projet « nouvelle interface » en 2019. Durant le premier trimestre, Stéphanie PEYROT, Product Owner chez ISIA, a réalisé des ateliers auprès d’une dizaine de clients Diapason. Ceci nous a permis de recueillir, retranscrire et comprendre les besoins autour de l’expérience utilisateur de l’ERP et configurateur technique spécialisé Menuiserie.Comment s’est déroulé son développement ?Le projet n’a pas été simple ! Il a fallu commencer par un gros travail de restructuration et de refactorisation de l’existant pour permettre à Diapason de prendre un virage technologique. La nouvelle interface est la première brique de futurs développements. Cette nouvelle version de Diapason est le fruit de nombreuses heures de développement et j’en profite pour dire un grand bravo à toute l’équipe ISIA.Quel est le principal bénéfice de cette nouvelle version pour les utilisateurs Diapason ?L’utilisabilité ! C’est un critère primordial dans le choix d’un logiciel parce que c’est elle qui permet d’améliorer la productivité et l’efficience de l’entreprise mais aussi l’environnement de travail des collaborateurs. L’utilisabilité de Diapason a été améliorée notamment grâce à sa nouvelle interface plus intuitive et plus aérée avec un design moderne. La navigation et la recherche d’informations sont simplifiées et cela permet une intégration de nouveaux collaborateurs beaucoup plus facile.Pour terminer, s’il fallait résumer cette nouvelle version en 3 mots ?Moderne, simple et intuitive !
Il y a 4 ans et 152 jours

Pour les Hauts de Rangiport, Espace Libre et Urban & Sens

En novembre 2020, à l’issue de la consultation de maîtrise d’œuvre urbaine lancée en juin 2020 pour la ZAC des Hauts de Rangiport, la commission consultative d’attribution des marchés de l’EPAMSA a désigné l’équipe composée d’Espace libre, d’Urban & Sens et de SETU (bureau d’études VRD) pour poursuivre le développement de ce quartier mixte à […] L’article Pour les Hauts de Rangiport, Espace Libre et Urban & Sens est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 4 ans et 152 jours

Logement social : deux projets innovants en matière de performance énergétique de Plurial Novilia récompensés

Plurial Novilia, Entreprise Sociale pour l’Habitat (ESH) filiale du groupe Action Logement, annonce aujourd’hui être lauréat d’ALINOV 2020, le fonds d’innovation d’Action Logement Immobilier, pour deux projets : « 1, 2, 3 Soleil » et « NoviliaSun », dans les catégories Innovation technique et Innovation en matière de service clients. Désireux d’anticiper les évolutions de la législation européenne en faveur d’une construction à la fois neutre en carbone et autonome en électricité, Plurial Novilia a imaginé un nouveau mode de construction permettant de développer des « bâtiments autonomes en énergie ». Première concrétisation de ce concept, « NoviliaSun » proposera deux bâtiments autonomes (soit 14 logements au total), l’un réalisé avec une enveloppe en bois et en paille, l’autre avec une enveloppe en brique. Ce programme verra le jour au cœur des Promenades de Damoiselle, vaste projet d’aménagement de 14 hectares mené par Plurial Novilia sur la commune de Bétheny. À travers ce nouveau concept, le bailleur social entend bâtir un nouveau modèle économique, à la fois plus rentable et plus durable pour les gestionnaires comme pour les locataires, et parfaitement en phase avec les enjeux environnementaux des décennies à venir. Parmi les axes imaginés par Plurial Novilia, la possibilité de proposer un forfait « loyer + électricité + chauffage + mobilité », fixe pendant 5 années, représenterait une véritable révolution dans le secteur de l’habitat. Quant au projet « 1, 2, 3 Soleil », il propose une nouvelle expérimentation autour de la maîtrise des consommations, via la mise en place d’un système d’autoconsommation sur 123 pavillons individuels existants. L’objectif : réduire la facture d’électricité des usagers et accompagner la transition énergétique en combinant un stockage électrique, et le pilotage d’équipements, à du solaire photovoltaïque. Illustration issue d’une vidéo ©MélodiaProduction
Il y a 4 ans et 153 jours

EPA Paris-Sarclay : appel à candidature pour la maîtrise d’œuvre pour un projet de bâtiment réversible à Satory

L’Établissement Public Administratif (EPA) Paris-Sarclay souhaite construire un programme mixte à Satory. Il lance une consultation pour trouver une maîtrise d’œuvre.
Il y a 4 ans et 153 jours

Manehome : un site unique de 22.400 m² pour regrouper 180 agents Enedis à Blois

Le lieu, à la Chaussée Saint-Victor près de Cap Ciné, a été choisi pour son potentiel en termes d’espace (22 400 m²) et de proximité avec l’autoroute A10. C’est clairement le choix de l’efficacité et de l’optimisation qui a été fait, choix qui se décline sur l’ensemble des points clés de ce projet.Réunir activités industrielles et tertiairesLe site a été conçu en arc de cercle, pour masquer l’intérieur, la cour et les équipements.La mixité des activités se traduit dans le concept même du bâtiment : une structure béton pour les bureaux et l’accueil du public, associée à une ossature métallique pour les locaux techniques. Un concept créé par Apside Architecture, qui allie les dimensions esthétiques et fonctionnelles, et qui a mis le cabinet de maîtrise d’œuvre du chantier, Manehome, face à des défis techniques de taille.3 défis techniques majeurs à releverSi le maître d’œuvre a un important rôle de coordination des équipes et d’organisation du chantier, il a en amont une mission délicate : apporter des solutions techniques qui vont permettre de concrétiser le concept architectural.La “signature” de ce bâtiment : une façade de 13 m de haut en béton apparentL’entrée principale donne sur un immense mur en béton gris, brut et épuré. Ce type de finition impose une solution technique innovante, le bétomur pour un rendu parfait. Ce sontdes murs béton préfabriqués avec isolation intégrée ce qui les rends ultra-performantsrépondant aux exigences de la RT 2012 et anticipant les futures réglementations de laRT 2020. Anticorrosion et étanche à l’air, le mur est également adapté à toute zone de sismicité 1 à 5. Les différents éléments, fabriqués hors site, sont assemblés sur place. Le coulage du béton vient consolider l’ensemble. Un assemblage qui demande une manipulation pointilleuse des différents modules, mais permet un important gain de temps sur le chantier et d’être moinstributaire des intempéries. Ces éléments, préfabriqués en région parisienne par SORIBA,sont en effet produits en intérieur, dans des conditions de travail optimales. Chaque élément est composé de deux parois béton préfabriquées servant de coffrage, d’une paroi isolante assurant l’isolation thermique par l’extérieur et d’un vide central permettant le coulage d’un noyau béton tout en limitant fortement les pertes thermiques.Faire cohabiter la structure béton et la structure à ossature métalliqueDifférentes solutions de jonction des structures en béton et en métal ont été étudiées enamont pour permettre d’assurer la jonction entre ses deux matériaux. C’est un véritabledilemme : l’évolution dans le temps des deux types de matériaux est très différente, ce qui ne permet pas de les lier. Pour autant, l’étanchéité doit être parfaite. Assurer la jonction entre l’ossature métallique bardée et les bétomurs doit donc être réalisé avec la plus grande rigueur afin d’assurer le calfeutrement entre les diverses zones. Pour optimiser cette jonction, bureaux d’études et entreprises intervenantes ont travaillé ensemble et choisi de mettre en attente les deux structures pour se coordonner et les achever simultanément, et non l’une avant l’autre. Finir l’une avant l’autre aurait pu créer des ponts thermiques et des défauts d’étanchéité.Pour prendre ce type de décision et coordonner les parties prenantes, il faut un véritable esprit collectif sur le chantier, une exigence qualité commune et un bon chef d’orchestre. C’est la mission du maître d’œuvre, Manehome, cabinet créé par Anthony Conte en 2014 qui relève quotidiennement ce type de défis : optimiser les solutions techniques, coordonner les intervenants sur les chantiers et assurer un véritable suivi sur le terrain.Aménagement modulaire des cloisons avec un haut niveau de traitement acoustiqueLe bâtiment est réalisé avec un niveau d’isolation acoustique élevé, rarement misen œuvre dans des locaux tertiaires. Ce qui a nécessité une étude préalable complexe.Le défi est cette fois de combiner un haut niveau d’isolation acoustique, avec des cloisons mobiles en verre qui permettent de redistribuer totalement les espaces de bureau et de réunion en cas de besoin et les réseaux électriques et informatiques qui passent en faux-plafond et faux-plancher.Il n’y a pas de cas préexistant auquel se référer. La solution a donc été tout d’abord calculée de manière théorique, puis mise en œuvre et testée dans une salle témoin. Les tests acoustiques ont validé la solution technique qui a alors été déployée sur les 3 450 m² de la partie tertiaire.Favoriser l'emploi local, les matériaux et les équipements françaisEnedis n’a pas vocation à être propriétaire de ses locaux. C’est donc un investisseur privé qui en est propriétaire et a délégué la construction au promoteur Essor. Essor a confié une partie de la maîtrise d’œuvre à Manehome, qui a piloté le chantier et coordonné les intervenants. Une vigilance toute particulière a été apportée au choix des prestataires, aussi bien pour les travaux que les équipements et matériaux. Sur le rapport qualité / prix de leur prestation, mais également sur leur proximité. Dans une logique responsable, les intervenants étaient des entreprises locales, de Blois ou des alentours, sauf pour deux prestations très spécifiques (faux-plancher et charpente couverture). Les matériaux et équipements made in France ont été privilégiés. Plus d’une centaine de personnes ont travaillé sur ce chantier pendant un an et demi, apportant une belle dynamique à l’emploi local et aux emplois induits.La maîtrise d'œuvre en univers incertainLe contraste est toujours saisissant entre la rigueur dont doit faire preuve une équipede maîtrise d’œuvre sur un projet de cette dimension et la diversité des aléas qui vontvenir perturber le chantier. Malgré une organisation méthodique et précise, le maître d’œuvre est amené à s’adapter sans cesse à des circonstances extérieuresinattendues. Un métier qui nécessite des nerfs en acier, surtout en 2020. Ainsi ce chantier a, tour à tour été : interrompu par un obus découvert sur site et qu’il a fallu désamorcer ; bouleversé par un accident quia fait quatre blessés avec arrêt immédiat des travaux par sécurité puis réorganisation ;ralentit par des intempéries ; et finalement bloqué par le confinement de mars-avril 2020.La crise sanitaire a nécessité une réinvention totale de l’organisation du travail sur siteManehome a pu reprendre les travaux dès la fin avril, en réorganisant totalement lesinterventions et le planning. Le respect des gestes barrière a limité le nombre d’intervenants en simultané sur le site. Pour optimiser une nouvelle organisation dans un contexte totalement inédit, il fallait : - bien connaître les spécificités des métiers de chacun pour proposer une organisation agileet efficace,- savoir conjuguer les impératifs du maître d’ouvrage et les contraintes multiples de laconstruction,- savoir parler le langage du client et celui du bâtiment, être la passerelle entre ces deuxunivers et maintenir le chantier dans un délai raisonnable sans compromis sur la qualité deréalisation.“Face à la crise Covid, il a été salvateur d’avoir des intervenants de proximité. Le planning est au cœur de leur métier et tout était à repenser. Cela les a amenés à prendre plus de responsabilités et d’initiatives, en relais avec nous qui avions une mobilité limitée en raison des restrictions de déplacement. La confiance a été primordiale.” Benoit Leroux, Directeur Travaux de la Maîtrise d’Ouvrage, groupe Essor
Il y a 4 ans et 154 jours

L'agence Dragon Rouge éclaire la « Lighthouse » de Nanterre

C'est un immeuble de bureaux classique que l'agence DRAGON ROUGE vient de totalement transformer. Le chantier initié pendant l'été 2019 vient de s'achever. Exit le Magellan, siège depuis 2001 de l'équipementier automobile FAURECIA. Place à la «LIGHTHOUSE » -littéralement le Phare- que l'on ne devrait pas rater en effet. Et pour cause, puisque l'un de ses signes distinctifs est une gigantesque lampe surmontée d'un abat-jour éclairée la nuit qui traverse l'immeuble de 23 mètres de bas en haut. Les propriétaires ont confié à l'agence DRAGON ROUGE la tâche de reconfigurer et de repositionner cet immeuble de bureaux de six étages et 10600 mètres carrés de surface. L'objectif était de revitaliser l'immeuble, en bordure de Paris et de La Défense, d'y créer des services, de l'intérêt et de susciter l'envie de venir travailler à Nanterre. Il s'agissait de donner à l'immeuble une nouvelle personnalité forte et différenciante. Aux côtés du studio K de Karl Petit qui a signé l'architecture et l'agencement des espaces bureaux proprement dits, l'agence de design DRAGON ROUGE signe une grande partie des espaces de la LIGHTHOUSE, soit 2600 mètres carrés au total, du rez-de-chaussée au 6e étage, en passant par le toit terrasse et les extérieurs. La traduction d'une nouvelle façon de travaillerPour susciter l'envie de venir travailler dans cet immeuble, DRAGON ROUGE a travaillé selon deux axes créatifs : d'abord, la création d'un nom et d'une identité forte, innovante et provoquant un effet « waouh ». D'où l'idée d'un objet symbolique et iconique. C'est cette lampe colossale, véritable colonne vertébrale de l'immeuble qui traverse la tour de bas en haut, du pied au rez-de-chaussée au gigantesque abat-jour sur le toit terrasse du 5e étage. Si l'immeuble est investi par une seule société, elle fédérera les équipes. Dans le cas contraire, elle créera en tout état de cause des liens entre les différents plateaux. Par ailleurs, l'agence s'est fondée sur les nouvelles attentes des salariés en matière d'espaces de travail : disposer de lieux confortables, hybrides, polyvalents qui peuvent s'adapter au gré des besoins dans la journée. Des lieux de travail chaleureux, conviviaux, un peu comme un intérieur de maison. Espaces polyvalents, lieux hybrides et matériaux modernesDu bas en haut de l'immeuble, les espaces dessinés par DRAGON ROUGE sont la traduction créative de l'équation nécessaire aux nouveaux immeubles de bureaux : des plateaux confortables, modulables avec cloisons ou en open space, polyvalents. Quant aux matériaux, ils sont modernes et pratiques à l'usage, adaptés aux lieux de fort passage que sont des bureaux. Les sols sont souples et silencieux, faciles d'entretien, de même que le néo skaï des fauteuils. Le rez-de-chaussée. Le hall d'entrée majestueux est occupé en grande partie par le pied de la lampe géante, transformé en assise circulaire pour les visiteurs. Le rez-de-chaussée accueille aussi une conciergerie et des vestiaires. C'est à ce niveau que se trouve aussi le business center : quatre salles de réunion modulables pour accueillir de 8 à 24 personnes, un « work café » et un espace lounge, sans oublier un espace de coworking dans la mezzanine du hall. Au rez-de-chaussée toujours, se trouve le restaurant inter-entreprise. Ici, DRAGON ROUGE soucieuse de proposer de la diversité aux salariés, a imaginé plusieurs ambiances de restauration : Des espaces déjeuner comme à la cuisine avec des vitrages façon atelier, des assises hautes ou normales, des lampes à ampoules filaments apparents.Des espaces déjeuner au salon avec de grandes cloisons arrondies, des banquettes circulaires, des paravents claustras, et des luminaires rappelant les moulures haussmanniennes.Une ambiance salle à manger avec de grandes tables en bois façon tables d'hôtes, des chaises dépareillées de couleurs différentes. Des petits boxes pour des déjeuners plus intimistes pour manger seul ou à deux. Des matériaux différents spécifient chacun des espaces, l'effet général évoquant les pièces à vivre d'une maison.Le forum. C'est l'autre pièce maîtresse du rez-de-chaussée. Cet espace modulable, doté d'estrades escamotables, de placards intégrés dans les cloisons, de projecteurs, avec au centre un grand tapis mosaïque de couleurs rouges orangées et des poufs assortis, est polyvalent et se module en fonction des activités : salle de repos, de ping-pong, salle de sports, show room d'exposition en lumière naturelle ou auditorium de 100 places opaque…. Le toit terrasse et les espaces extérieurs : DRAGON ROUGE a investi les espaces extérieurs en cherchant un équilibre entre les parkings et les espaces végétalisés. Au 5e étage, le toit-terrasse d'où émerge l'abat-jour de la lampe géante a demandé un soin particulier pour que cet abat-jour colossal et ajouré soit source de lumière.Dragon Rouge a assuré les missions de conception et de suivi d'exécution de l'ensemble du programme en tant que mandataire du groupement de maîtrise d'œuvre.Avec la LIGHTHOUSE, c'est un nouvel éclairage sur les façons de travailler et sur l'immobilier de bureaux de demain que traduit DRAGON ROUGE. Parmi ses activités, Dragon Rouge crée des espaces commerciaux et tertiaires, portant une attention particulière sur les bureaux.L'accélération du travail à distance et la digitalisation des outils de travail font évoluer ce modèle des bureaux. D'un lieu de production, les bureaux deviennent des lieux de statut, d'innovation, et de célébration de la culture de l'entreprise. Ils contribuent à valoriser l'actif immatériel qu'est la marque de l'entreprise, et sont plus que jamais l'expression de sa culture et de sa raison d'être.
Il y a 4 ans et 155 jours

iQspot reçoit le label international “Solar Impulse Efficient Solution” !

iQspot reçoit le label international “Solar Impulse Efficient Solution” ! “Solar Impulse Efficient Solution” est le premier label qui évalue la rentabilité économique des solutions et des produits développés pour protéger l’environnement. Grâce à une évaluation stricte effectuée par des experts indépendants, et basée sur des normes élevées de durabilité et de rentabilité, ce label reconnu à l’international est un vrai gage de reconnaissance et de qualité pour les solutions sélectionnées. “Nous sommes très heureux et fiers de voir notre solution iQspot récompensée par ce prestigieux label. Le processus de labellisation est en effet particulièrement rigoureux ! Des experts externes ont évalué notre solution en profondeur, selon 5 grands axes, pour en évaluer tant la performance que la viabilité technique, environnementale et socio-économique. C’est une belle récompense qui vient saluer des années de R&D et le déploiement de la solution dans 1 million de m² d’immobilier tertiaire partout en France, pour réduire de 10 à 20% leur consommation énergétique dès les premières semaines d’utilisation.” précise Julien Bruneau, co-fondateur et CEO d’iQspot. Depuis 3 ans, iQspot propose aux foncières et gestionnaires immobiliers de collecter automatiquement et en temps réel les données énergétiques de leur parc de bâtiments. L’objectif final ? Connaître de manière exhaustive et fine les consommations d’un bâtiment pour faciliter leur diminution. Pour cela, des capteurs basse consommation sont installés sur les compteurs (électricité, gaz, eau, réseaux chaud/froid…) et collectent les données en continu. Puis, les algorithmes analysent ces datas pour mieux piloter l’activité des bâtiments et alerter immédiatement les gestionnaires en cas de dérive ou d’anomalie de consommation. iQspot détecte ainsi automatiquement les comportements inhabituels, et permet de mesurer l’impact des travaux de réparation ou d’amélioration. A date, c’est le seul acteur en France à proposer un suivi complet tous fluides en temps réel. La solution iQspot rejoint ainsi le #1000Solutions Challenge, une initiative de la Fondation Solar Impulse pour convaincre les décisionnaires politiques et économiques de fixer des politiques énergétiques et des objectifs environnementaux plus ambitieux, nécessaires à la diffusion à grande échelle de ces solutions sur le marché. Les 1000 solutions labellisées font partie du portefeuille #1000Solutions qui sera présenté aux décideurs des entreprises et des gouvernements par Bertrand Piccard, Président de la Fondation Solar Impulse. A propos d’iQspot iQspot est le fruit de la rencontre entre deux ingénieurs Julien Bruneau et Quentin Enard. Deux docteurs convaincus que la technologie peut servir de grandes ambitions écologiques, notamment dans le domaine de l’immobilier, responsable de 40% des consommations énergétiques et de 20% des émissions de gaz à effet de serre (GES). En 2015, ils créent iQspot, une solution pour faciliter et valoriser les diminutions de consommations dans les bâtiments à usage tertiaire. En savoir plus : www.iqspot.fr A propos du label “Solar Impulse Efficient Solution” “Solar Impulse Efficient Solution” est un label international, qui récompense les solutions à impact positif, alliant protection de l’environnement et viabilité financière. Il est attribué suite à une évaluation stricte réalisée par des experts externes indépendants et se base sur des normes élevées de durabilité et de rentabilité. Son objectif ? Encourager le développement et accélérer la commercialisation de solutions agissant concrètement sur la réduction des émissions de CO2, la maîtrise des consommations d’eau, d’énergie… En savoir + : https://solarimpulse.com/efficient-solutions
Il y a 4 ans et 155 jours

La SACVL choisit des solutions Rockwool pour la réhabilitation de la résidence Roger Poisson à Lyon

La façade est un élément majeur à prendre en compte lors de travaux de rénovation, en ce qu’elle reflète et révèle la personnalité du bâtiment. Les revêtements de façade, par le choix des matériaux et des couleurs, participent à l’intégration paysagère tout en apportant un côté unique à chaque bâtiment. Ces choix esthétiques réalisés dans le cadre d’une réhabilitation énergétique constituent également une occasion de répondre aux exigences règlementaires nationales et européennes en termes de performance thermique et environnementale : maîtriser les charges de chauffage, limiter la précarité énergétique et agir ainsi en faveur d’une baisse significative des émissions de gaz à effet de serre.Dans le cadre de sa réhabilitation par les sociétés Chanel et Soriev – avec la mise en place d’un système d’Isolation Thermique par l’Extérieur, la résidence Roger Poisson bénéficie des solutions en laine de roche et du service de recyclage des matériaux Rockcycle de ROCKWOOL.Sur les chantiers de réhabilitation de la SACVL, une attention toute particulière est aujourd’hui portée au recyclage des matériaux : en limitant les déchets ultimes ou valorisés énergétiquement, l’utilisation de matériaux isolants recyclables à l’infini participe à l’économie circulaire. C’est le cas des solutions en laine de roche qui ont été utilisées sur ce chantier résidentiel.« En s’associant à des fournisseurs certifiés ISO 14001, la SACVL souligne sa volonté de travailler avec des entreprises aux fortes exigences quant à l’amélioration continue en matière de performance énergétique, de gestion des déchets et de préservation des ressources naturelles. »Christophe DEGRAVE, Directeur Adjoint du service Patrimoine de la SACVLRespect de l’environnement et sécurité des occupantsCette réhabilitation respectueuse de l’environnement s’articule de surcroît avec les problématiques liées à la sécurité du bâtiment. La garantie que la sécurité des occupants ne serait pas impactée a motivé le choix des matériaux isolants en laine de roche ROCKWOOL, incombustibles par nature.« Il s’agit d’un choix de matériaux qui permet de maitriser, d’une part, les risques liés à la phase chantier (stockage d’isolant en pied d’immeuble) et d’autre part, le risque du feu de façade sur toute la durée de vie de l’Isolation Thermique par l’Extérieur ». Christophe DEGRAVE, Directeur Adjoint du service Patrimoine de la SACVLLa mise en œuvre du système REVITHERM EP LDR de la société PPG Seigneurie en façade, associant un isolant en laine de roche et des enduits ignifugés, respecte scrupuleusement les dernières normes de résistance au feu les plus exigeantes.Durabilité et stabilité dimensionnelle associées au recyclage des matériauxLa durabilité étant une notion essentielle pour la gestion sur le temps long d’une résidence, les isolants constitués à 97% de basalte permettent d’éviter toute prolifération fongique. Quant au système enduit mince sur isolant mis en œuvre (qui fait l’objet d’une certification en cours de validité), il permet d’estimer une durabilité de plus d’une vingtaine d’années, moyennant entretien (certificats ETE et DTA validés par le CSTB).« La stabilité dimensionnelle, au feu et aux moisissures ont déjà fait leurs preuves sur de précédents projets de la SACVL. C’est donc tout naturellement que nous avons réédité ce choix, en y ajoutant le programme de recyclage des matériaux Rockcycle pour coller à l’urgence environnementale »Christophe DEGRAVE, Directeur Adjoint du service Patrimoine de la SACVLConcrètement, avec Rockcycle, les entreprises trient les chutes de laine, les emballages polyéthylènes et les palettes en bois récupérés sur les chantiers dans des Big Bags. Ces chutes sont ensuite réinjectées sur les lignes de fabrications de ROCKWOOL et transformées en produits. Les emballages polyéthylènes sont recyclés et les palettes en bois, quant à elles, sont réparées, si besoin, et même réutilisées. C’est la possibilité d’allier la qualité de réalisation et l’écologie.« L’essence même de notre profession consiste à rénover des bâtiments pour garantir leur esthétique, la performance énergétique et la pérennité. Il est par conséquent primordial pour nous d’être acteur des différents procédés mis à disposition par nos fournisseurs, tel que le service de recyclage Rockcycle de ROCKWOOL. »Nathan DEJERT, Conducteur de Travaux chez ChanelDes ressources locales mises en œuvre sur ce chantierSur cette opération de réhabilitation lyonnaise, l’ensemble des parties prenantes – maitrise d’œuvre, entreprises, sont des acteurs locaux et partenaires. Les matériaux utilisés proviennent de France et plus particulièrement de la région Auvergne Rhône-Alpes, où ROCKWOOL France abrite son site historique à Saint-Éloy-les-Mines depuis 40 ans, ce qui permet de limiter les flux logistiques.L’expertise et le savoir-faire des entreprises locales associés à la qualité des matériaux régionaux recyclables permettent à ce projet de satisfaire en tout point la maitrise d’ouvrage en associant ressources locales et environnementales, recyclabilité, protection passive contre l’incendie et durabilité.Maître d’ouvrage : SACVLMaitrise d’œuvre : SIRADEX, Atelier Coursac / WaterkeynRevêtements extérieurs : Chanel, SorievProduits utilisés : Système Seigneurie PPG : REVITHERM EP LDR incluant Ecorock DUO, Rockfaçade Premium, Rockpanel
Il y a 4 ans et 155 jours

Recyclage et proximité pour une réhabilitation lyonnaise

La SACVL (Société Anonyme de Construction de la Ville de Lyon) poursuit la rénovation et la valorisation de son patrimoine tout en améliorant le confort des habitants. Très engagé pour le développement durable au travers notamment de son plan de réhabilitation énergétique, ce bailleur porte une attention toute particulière à la qualité et au recyclage des matériaux. La résidence Roger Poisson est réhabilitée par les sociétés Chanel et Soriev avec la mise en place d’un système d’ITE. Sur ce type de chantier, une attention toute particulière est aujourd’hui portée au recyclage des matériaux : en limitant les déchets ultimes ou valorisés énergétiquement, l’utilisation de matériaux isolants recyclables à l’infini participe à l’économie circulaire. Avec la solution Rockcycle de ROCKWOOL, les entreprises trient les chutes de laine, les emballages polyéthylènes et les palettes en bois récupérés sur les chantiers dans des Big Bags. Ces chutes sont ensuite réinjectées sur les lignes de fabrications de l’industriel et transformées en produits. Les emballages polyéthylènes sont recyclés et les palettes en bois, quant à elles, sont réparées, si besoin, et même réutilisées. Sur cette opération de réhabilitation lyonnaise, l’ensemble des parties prenantes – maitrise d’œuvre, entreprises, sont des acteurs locaux et partenaires. Les matériaux utilisés proviennent de France et plus particulièrement de la région Auvergne Rhône-Alpes, où ROCKWOOL France abrite son site historique à Saint-Éloy-les-Mines depuis 40 ans, ce qui permet de limiter les flux logistiques.
Il y a 4 ans et 155 jours

Kiloutou : vers la neutralité carbone

Le Groupe Kiloutou annonce la mise en place d’une nouvelle stratégie environnementale visant à réduire de 40 % ses émissions directes de CO2 d’ici 2030 et d’atteindre la neutralité carbone en 2050. Pour tenir ces objectifs, le groupe a défini une stratégie environnementale qui vise à réduire l’empreinte carbone de ses activités directes (les transports et les agences) et indirectes (l’utilisation de ses matériels). En ce qui concerne les transports : – Accélération du renouvellement de la flotte poids lourds dédiée aux livraisons de matériels par des véhicules à énergie alternative (Gaz Naturel Liquéfié, Gaz Naturel Comprimé). Aujourd’hui, 27 poids lourds composent cette flotte. – Intégration de fourgons fonctionnant au Gaz Naturel Comprimé pour les livraisons de petits matériels. À date, 23 fourgons GNC sont exploités. – Livraisons du dernier kilomètre, réalisées à vélo et remorque motorisée électrique pour les petits matériels (expérimentation actuellement en cours dans la ville de Marseille). – Renouvellement progressif de la flotte commerciale par des voitures hybrides et électriques. Actuellement, cette flotte intègre 22 véhicules. Baisser de 40% la consommation énergétique globale des agences d’ici 2030 : accélération du programme de rénovation et de construction d’agences pour répondre aux exigences réglementaires énergétique et environnementale : choix de solutions favorisant la maîtrise des consommations énergétiques et plus respectueuses de l’environnement (récupération des eaux de toiture pour lavage des matériels, éclairage leds dans toutes les agences, bardage bois, toitures végétalisées…). Matériels : Évolution vers des matériels à énergie alternative. – En France, 37% du parc matériel de terrassement et d’élévation proposé par Kiloutou fonctionne dès aujourd’hui avec des énergies plus responsables (hybride, bi-énergie, électrique et Stage V). – Anticipation de la réglementation Stage V effective en 2021 par l’intégration dès 2020 de près de 1500 matériels Stage V répartis dans les 5 pays où le Groupe est présent. – Déploiement d’un programme de maintenance préventive pour anticiper les pannes et augmenter la durée de vie des matériels grâce à des méthodes industrielles inédites. Ce programme permet par exemple d’allonger la durée de vie des pelleteuses de 2 ans. – Accompagnement des acteurs du BTP sur leur stratégie bas carbone par l’analyse des émissions carbone des matériels loués et co- construction de solutions plus vertueuses. – Lancement d’une gamme rassemblant plus de 3000 matériels alternatifs en France pour aider les acteurs du BTP dans leur politique bas carbone.  
Il y a 4 ans et 159 jours

Réhabilitation en 2020 et perspectives 2021

TBC Innovations a publié la nouvelle édition de l’étude “Réhabilitation”. [©Nexity] TBC Innovations a publié l’édition 2020 de l’étude de Réhabilitation, outil prévisionnel de référence pour les professionnels du bâtiment en France. Cette analyse comporte 3 objectifs : Identifier les enjeux du marché sur le plan national et régional,Comprendre la structuration du marché de la rénovation, notamment par région, par grande activité ou bien par catégorie de bâtiments,Déceler les opportunités des sujets de préoccupation actuels du secteur. L’association de Développement Construction et TBC Innovations sont partenaires dans l’étude de la Réhabilitation. L’activité entretien-rénovation en recul En 2020, une baisse de – 7% du CA est annoncée par l’étude de Réhabilitation pour l’activité entretien-rénovation. [©ACPresse] A cause du contexte sanitaire, un recul de – 7 % du chiffre d’affaires de l’activité entretien-rénovation est déjà envisagé en 2020 par rapport à 2019. Toutefois, selon TBC Innovations : « l’activité entretien-rénovation a moins souffert de la crise que le neuf ». D’après le bureau de conseil et d’études, ce serait grâce à la bonne maîtrise de la crise de la part des entreprises. Ces dernières ont su se montrer souples pour rattraper leur retard, en reprenant dès que possible leurs activités après le premier confinement. Mais aussi, en intégrant rapidement les mesures sanitaires. Par ailleurs, une grande majorité des professionnels a continué de travailler lors du second confinement de fin d’année. Un soutien du gouvernement Dans son plan de relance, le gouvernement a exprimé son intention de soutenir la rénovation énergétique des bâtiments. En effet, quelque 30 Md €, sont consacrés à la transition écologique. Dont près de 6,7 Md € seront mobilisés pour la rénovation énergétique des bâtiments. Aussi, 500 M€ sont attendus pour la rénovation du parc de logements sociaux. Et 200 M€ pour le parc des PME/TPE. 3 hypothèses pour 2021 Dans l’étude sur le marché de la réhabilitation, TBC Innovations a avancé 3 scénarios possibles pour 2021, en France. En effet, afin d’estimer l’impact de la Covid-19 sur l’activité du bâtiment en entretien-rénovation. Tout d’abord, TBC Innovations dégage une hypothèse positive avec une relance dynamique. Ainsi, l’année 2021 permettrait une nette croissance pour l’activité entretien-rénovation. Le chiffre d’affaires serait en évolution et dépasserait même celui de 2019. Ensuite, l’hypothèse prudente avec un démarrage balbutiant. Le chiffre d’affaires du secteur serait en légère progression en 2021. Toutefois, il resterait inférieur à celui de 2019. Et enfin, l’hypothèse négative avec une faiblesse persistante. Ici, le chiffre d’affaires de l’industrie serait en chute libre. Et ne devrait pas croître en 2022… Allez, soyons optimistes et espérons que le premier scénario sera retenu… Pour consulter l’étude, c’est ici.
Il y a 4 ans et 159 jours

Le réseau d'architecture d'intérieur Notes de Styles prépare ses collaborateurs à la RE2020

Autrement dit, tous les nouveaux bâtiments devront être pensés et construits de manière à produire autant d'énergie qu'ils n'en consomment. Afin de limiter la pollution liée aux émissions de CO², la RE2020 s'appuiera sur 4 piliers : l'isolation, l'énergie, l'innovation et l'empreinte carbone.Directement impacté par cette nouvelle réglementation, le secteur de l'architecture va devoir repenser son mode de fonctionnement. Jérémy Hérard, gérant et fondateur du réseau Notes de Styles, s'intéresse de près à la RE2020 qui ouvre de nouvelles perspectives aux architectes.Une réglementation qui repose sur 4 piliersL'isolationUne bonne isolation et l'utilisation de matériaux de qualité vont permettre aux bâtiments de mieux conserver la chaleur et de réduire leur empreinte carbone. La résistance thermique devra aussi être plus importante : elle était de R≥8 (en m2.K/W) en neuf dans la RT2012 et passera à R≥10 avec la RE 2020.« L'isolation est le point clé de la RE2020. En effet, on nous demande de diviser par 6 les dimensions du total des fuites d'air : on passe désormais de la taille d'une feuille A4 à la taille d'une carte de crédit ! Pour cela, nous accordons notamment une attention toute particulière à l'isolation naturelle et biosourcée. Conçue à base de matière renouvelables fabriquées à partir de fibre végétale ou animale, elle offre un rendement efficace et durable en termes de confort thermique. Nous privilégions également certains matériaux comme les panneaux de fibre de bois, laine de bois, laine de chanvre, liège, paille, ouate de cellulose… »Guillaume Detollenaere, Gérant de l'agence Notes de Styles des Côtes d'ArmorL'énergieAfin de répondre aux nouveaux objectifs énergétiques fixés par la RE2020, les énergies renouvelables vont occuper une place croissante dans les constructions neuves et les rénovations. Panneaux solaires ou photovoltaïques, géothermie, éolien, pompe à chaleur etc, ces dispositifs couplés à un système de gestion intelligente de l'énergie permettront de produire l'électricité nécessaire à tous les équipements de la maison.« Pour atteindre le niveau Energie E3 ou E4, la production et la consommation domestique d'électricité renouvelable devient incontournable. En effet, il ne s'agira plus de revendre son électricité mais de l'auto-consommer pour couvrir partiellement (niveau E3) ou intégralement (niveau E4) les besoins annuels du foyer en matière d'éclairage, de chauffage, de bureautique, etc. ».Jérémy Hérard, Fondateur du réseau Notes de StylesLa RE 2020 imposera également 2 nouveaux usages pour le calcul de la consommation d'énergie : l'utilisation des appareils ménagers et des appareils électroniques (ordinateurs, télévision, réfrigérateur) ainsi que les effets du carbone de la construction. Cette notion de consommation d'usage du bâtiment s'inspire notamment des réglementations adoptées par d'autres pays européens, comme par exemple le label allemand Passivhaus.Enfin, la RE2020 va permettre de combler un défaut souvent pointé du doigt : la RT2012 se basait sur les consommations estimées. Désormais, les particuliers pourront suivre en temps réel leur consommation et leur production d'énergie.L'innovationL'isolation thermique des nouvelles constructions va demander l'intégration de nouveaux matériaux plus efficaces, capables d'accumuler la chaleur afin de réduire la consommation énergétique. Pour cela, la domotique s'avère être une solution particulièrement efficace : elle doit permettre de contrôler avec davantage de précision les équipements de chauffage et de climatisation, afin d'ajuster au mieux la consommation.« Je propose systématiquement aux clients qui se lancent dans une rénovation d'installer un thermostat intelligent. Ce thermostat permet de réaliser en moyenne 30% d'économies en réglant la température en fonction de la détection des personnes dans la maison. La domotique permet également d'éteindre automatiquement les lumières et de fermer les volets pour conserver l'énergie dans le bâtiment en hiver et le garder frais en été. J'invite d'ailleurs mes clients à voir l'installation de ces systèmes comme un investissement à long terme car les économies réalisées couvriront rapidement leurs coûts ».Jérémy Hérard, Fondateur du réseau Notes de StylesUne digitalisation des métiers de la construction reste néanmoins indispensable pour pouvoir traiter des données volumineuses, nécessaires à la valorisation et à l'optimisation des empreintes énergétiques et carbone. Pour cela, Jérémy Hérard recommande aux professionnels du secteur l'utilisation du BIM (Building Information Modeling), réponse logicielle et organisationnelle parfaitement adaptée à ces enjeux.Le réseau Notes de Styles s'intéresse à la digitalisation depuis plusieurs années. Jérémy Hérard a d'ailleurs développé l'application Vitruve en 2018. Celle-ci permet à l'ensemble des parties prenantes - clients, architectes, maîtres d'œuvre et professionnels du terrain - de suivre en temps réel l'évolution des chantiers.L'impact carboneSelon l'Ademe, les bâtiments représentent 45% de notre consommation énergétique et 27% des émissions de gaz à effet de serre en France. La RT2012 permettait déjà depuis presque 10 ans de construire des maisons qui ne produisent pas plus de 50 kWh/m²/an. La RE2020 va donc venir renforcer cette norme en obligeant les constructeurs à produire des maisons auto-suffisantes.« La consommation annuelle maximale d'énergie autorisée sera de 0 kWh/m² ! Nous avons bon espoir que la plupart des bâtiments ne se limitent pas à la neutralité. A terme, l'objectif est de construire des bâtiments à énergie positive (BEPOS) qui créent plus d'énergie qu'ils n'en consomment (jusqu'à 12 kWh/m²/an). Le coefficient d'énergie primaire (Cep) de l'électricité sera ramené de 2,58 à 2,3. Il faudra donc se limiter à 2.3 kWh d'énergie primaire pour produire 1 kWh d'énergie électrique finale »Adrien Maury, Gérant de l'agence Notes de Styles de MontpellierAinsi, les architectes et les constructeurs vont devoir évaluer très précisément leur propre impact environnemental lors des phases de construction et d'exploitation de leurs projets: prise en compte du carburant pour les trajets, calcul de la pollution sur les livraisons, choix des matériaux… Avec la RE2020, l'empreinte carbone devra se calculer sur une durée de vie de 50 ans.« Les stratégies de construction vont donc être entièrement repensées avec l'arrivée de cette nouvelle réglementation, ce qui va permettre une redistribution des filières courtes en France. Les constructeurs vont davantage se tourner vers des fournisseurs français pour s'assurer de la qualité des produits mais aussi pour diminuer l'empreinte carbone des livraisons ».Jérémy Hérard, Fondateur du réseau Notes de StylesLa formation à la RE2020 : un incontournable pour le réseau Notes de StylesJérémy Hérard met un point d'honneur à former régulièrement l'ensemble de ses collaborateurs à toutes les nouvelles réglementations. Les équipes ont d'ailleurs été sensibilisées à la RE2020 dès 2019. Afin d'assurer le respect de ces nouvelles normes, le réseau s'engage également à ne travailler qu'avec des partenaires et des fournisseurs qui maîtrisent cette nouvelle réglementation.« Ce changement de mentalité dans les constructions ne doit pas venir uniquement des particuliers. C'est aux entreprises d'être force de conseil et de proposition et de s'investir dans ces nouvelles réglementations respectueuses de l'environnement. C'est pourquoi il m'a semblé indispensable de sensibiliser et former l'ensemble de mes équipes afin qu'ils mettent en place ces nouvelles façon d'aborder l'architecture, avant même que la réglementation n'entre en vigueur ».Jérémy Hérard, Fondateur du réseau Notes de StylesL'application de la RE2020 fortement conseillée pour des travaux de rénovationSi les nouvelles habitations et les projets d'extension sont directement concernés, les projets de rénovation le sont finalement aussi tout autant.« Même si la RE2020 n'est pas obligatoire dans le cadre d'une rénovation, nous le conseillons fortement à l'ensemble de nos clients. Dans un premier temps cela leur permet d'être propriétaires d'une maison qui possède les mêmes avantages que le neuf, accompagné du charme de l'ancien. Et dans un second temps ils deviennent éligibles à des aides financières comme le crédit d'impôt. Les dépenses liées à la RE2020 peuvent rapidement être remboursées grâce à cela mais aussi avec les économies d'énergies qui en découlent ».Jérémy Hérard, Fondateur du réseau Notes de Styles
Il y a 4 ans et 159 jours

Frans Bonhomme intensifie sa présence dans les produits en béton

Frans Bonhomme compte 156 agences spécialisées dans les produits en béton à destination des travaux publics. [©Frans Bonhomme] Il y a un peu plus d’un an, Frans Bonhomme finalisait la reprise des 58 points de vente Distribution Matériaux pour les Travaux Publics (DMTP) de Point.P (groupe Saint-Gobain). Une acquisition d’un montant de 70 M€ qui permettait au groupe de distribution tourangeau de passer le cap des 400 agences de négoce sur le territoire national. Mais surtout qui lui a permis d’étoffer son offre “béton”. De quoi permettre à Frans Bonhomme de proposer l’offre la plus complète aux entreprises de travaux publics pour leurs chantiers “réseaux et infrastructures”. Aujourd’hui, le distributeur veut poursuit cette dynamique. Ceci, en renforçant encore son expertise pour devenir un leader national dans les produits béton à destination des travaux publics. Son réseau de 156 agences spécialisées dans ce domaine particulier devrait l’y aider…   L’autre pan de ce programme de déploiement concerne le renforcement de sa politique de prévention des risques. D’une part, pour assurer la sécurité des utilisateurs. Et, d’autre part, pour accompagner les équipes internes au travers de formations. En effet, la manutention de produits béton – par définition pondéreux – nécessite la mise à disposition d’outils logistiques spécifiques. En particulier des chariots élévateurs, accessoires que tous les points de vente concernés ne possédaient pas !  Former les collaborateurs à la prévention des risques Aussi, début octobre 2019, Frans Bonhomme a procédé à un inventaire précis, afin d’identifier les besoins de chaque agence. Et garantir ainsi aux collaborateurs de travailler en toute sécurité. « Depuis plusieurs années, Frans Bonhomme est pleinement engagé dans une démarche de prévention des risques, explique Alexandra David, directrice Sécurité et Environnement du groupe. Il est impératif que chaque site dispose du matériel et des accessoires adéquats. Et que chaque collaborateur soit formé à leur utilisation. » Dans cet ordre d’idée, Frans Bonhomme veille à ce que les collaborateurs bénéficient de formations. Ces dernières sont basées sur un guide de préconisations composé, entre autres, d’instructions de travail. D’un côté, une formation en e-learning dédiée à la prévention des risques a été dispensée dès la fin de l’année. De l’autre, une formation animée sur site en début d’année par des référents internes. Elle comprendra des mises en situation de manipulation de produits béton. Et présentera les risques associés aux accessoires de levage. Renforcer la connaissance sur les bétons Ces formations sont organisées en deux temps. En premier lieu, les collaborateurs référents qui, leur tour, formeront les autres collaborateurs. Ceux, en charge de la commercialisation des produits. « Ce dispositif de formation interne permet de conserver le savoir-faire de Frans Bonhomme et de développer les compétences des équipes », reprend Alexandra David. Et de conclure : « Aujourd’hui, l’expertise de nos collaborateurs constitue un point d’entrée du plan de relance du groupe en ce qui concerne l’évolution de notre offre. Elle est tant basée sur la connaissance des produits que sur la maîtrise des risques liés à leur manutention. Sachant que les produits en béton sont pondéreux et parfois volumineux ». Ainsi, la direction Sécurité Environnement a travaillé à un guide reprenant tous les risques identifiés. Un développement mené en association avec les partenaires, fournisseurs et avec la collaboration d’experts travaux publics. Et concernant aussi bien le stockage que la manutention et le transport des produits en béton. L’objectif final est de proposer des mesures de prévention adaptées. Et ainsi permettre d’évoluer dans un environnement de travail sécurisé, tout en renforçant le sens du service au client. 
Il y a 4 ans et 161 jours

RE 2020 : "Créons un cadre favorable à son déploiement et sortons de la logique administrative", Nicolas Prudhomme, directeur de la maîtrise d'ouvrage de l'USH

Huit organisations professionnelles du secteur de la construction et du logement ont appelé, mardi 12 janvier 2021, le gouvernement à revoir sa copie sur le projet de RE2020. Elles avancent quinze propositions d’amendements aux projets de décrets et d’arrêtés sur lesquels le Conseil supérieur de la construction et de l'efficacité énergétique devra se prononcer. Le directeur de la maîtrise d'ouvrage de l'USH, Nicolas Prudhomme, explique les tenants et les aboutissants de cette démarche au Moniteur.
Il y a 4 ans et 162 jours

Les énergies renouvelables en France : entre objectifs et réalité

"La crise sanitaire n'explique pas à elle seule ces ralentissements", souligne le baromètre 2020 produit par l'observatoire spécialisé indépendant Observ'ER avec la Fédération des collectivités concédantes et régies (FNCCR) et l'Agence de l'environnement et de la maîtrise de l'énergie (Ademe).L'an passé (octobre 2019-septembre 2020), la production renouvelable a couvert plus de 27% de la consommation électrique, en phase avec les objectifs nationaux (grâce aussi à une moindre demande liée au ralentissement industriel et à des températures clémentes). Ce fut même plus de 35% en Auvergne Rhône-Alpes, Occitanie, Grand Est et Provence-Alpes-Côte d'Azur.A fin septembre, la puissance renouvelable raccordée était de 56,5 gigawatts (GW), dont une petite moitié issue de l'hydro-électricité (2,8 GW installés en un an, après 2,7 GW l'année précédente). Quelque 89% de cette puissance nouvellement installée vient de l'éolien terrestre et du photovoltaïque.Par rapport à la feuille de route énergétique de la France à horizon 2028, le baromètre relève toutefois "un risque de décrochage pour la filière éolienne" (avec une projection à 31 GW, au rythme actuel, au lieu de 33-34 prévus).Et c'est "un décrochage déjà réel pour la filière photovoltaïque" (18 GW anticipés au lieu d'une fourchette de 35-44 GW): il faudrait que le secteur multiplie par plus de trois sa dynamique et raccorde 3 GW par an, "une gageure au vu des performances passées"."Le rythme n'est pas suffisant pour atteindre les objectifs, et c'est un retard difficile à rattraper", souligne Frédéric Tuillé, responsable des études chez Observ'ER.Les projets portés par des acteurs locaux (professionnels, collectivités, syndicats d'énergie...) se développent, et les régions disposent pratiquement toutes d'orientations via leur schéma d'aménagement du territoire. "Mais se pose la question des moyens dont elles disposent pour l'atteindre", ajoute le rapport.Les auteurs soulignent l'enjeu de l'acceptation locale des projets. A cette fin, l'Ademe a annoncé le déploiement de conseillers territoriaux.Vincent Jacques Le Seigneur, président d'Observ'ER, a notamment déploré que "les pouvoirs publics soufflent en permanence le chaud et le froid, au niveau de l'Etat comme de collectivités", sur l'éolien, disant ses craintes de voir les contestations s'étendre au photovoltaïque "s'il n'y a pas plus de
Il y a 4 ans et 162 jours

Stream Building : une structure mixte en bois/béton

Lauréat de l’Appel à Projets Urbains Innovants « Réinventer Paris », lancé par la Mairie de Paris en 2015, Stream Building est un projet manifeste adapté aux nouveaux modes de travail et de vie contemporains, développé par l’agence d’architecture PCA-STREAM, qui propose un programme évolutif offrant des espaces modulables et réversibles. Il est le fruit d’un travail de co-conception inédit engageant de nombreux acteurs publics et privés, aménageurs, investisseurs, concepteurs et associations de riverains. Situé au sein du quartier des Batignolles, le bâtiment s’insère dans un projet plus large, celui du Grand Paris. Conformément aux ambitions de l’appel à projets, la conception du Stream Building met en œuvre plusieurs innovations environnementales, à commencer par la construction d’une structure mixte en bois/béton. Il existera deux types de structure : – Jusqu’au R+5 : structure mixte avec charpente bois et plancher béton. Le noyau central sera réalisé en béton et toute la périphérie en poteaux poutres bois. – En R+6 et R+7 : plancher CLT en bois avec d’imposants panneaux de bois massif. Il s’agit d’un choix constructif bien maîtrisé par Spie batignolles Ile-de-France, qui est à l’origine de la construction du siège social de l’INPI réalisé entièrement en bois, entre autres opérations menées avec le même type de matériaux. Le bilan carbone très positif du bois comme élément structurant a été déterminant dans le choix des matériaux utilisés. Cette structure mixte bois/béton présente également l’avantage d’être plus rapidement exécutée qu’une construction tout béton. Le groupement s’appuie également sur la maquette numérique grâce à l’utilisation du BIM, que le groupe Spie batignolles déploie de plus en plus fréquemment concernant les opérations d’envergure. Pour valider tous les choix de matériaux et de décoration intérieure, les partenaires du groupement ont aménagé un témoin déporté à Meudon, comparable à une maison. Celui-ci accueille, sur une surface de 200 m², une zone de bureaux, un palier ascenseur, un sanitaire de bureaux, un espace tisanerie et une chambre d’hôtel de 25 m². Cette opération vise l’obtention des certifications suivantes pour la partie bureaux : – La certification « NF Bâtiments Tertiaires Démarche HQE » (Version Millésime 2015). Cette certification devrait être assortie d’un « Passeport » délivré par CERTIVEA au niveau « Exceptionnel HQE ». – La labellisation « EFFINERGIE + ». – La certification BREEAM International New Construction 2016 recherchée au niveau « Excellent » (score >70%). – La labellisation BBCA et E+ C-. Pour cette opération, Covivio accompagné des Assurances du Crédit Mutuel (co-investisseur) et Hines (co-promoteur), maîtres d’ouvrage, ont renouvelé leur confiance en Spie batignolles ile-de-france à la suite de plusieurs chantiers menés en étroit partenariat, engagé en tant que mandataire solidaire au sein d’un groupement d’entreprises.
Il y a 4 ans et 162 jours

Premier DCE Numérique BIM adapté et accessible à des TPE-PME locales

L’opération Olympi de 36 logements collectifs à Chartres, d’une surface habitable de 2 215 m2, est une promotion immobilière classique d’accession à la propriété de Pierres & Territoires Eure-et-Loir. Elle s’inscrit dans la volonté de construire plus et de produire mieux, notamment par la généralisation de l’usage du numérique et du BIM et par une progression plus rapide sur le terrain. L’appel d’offres en 20 lots séparés, lancé le 16 décembre 2020, a permis de proposer le premier DCE Numérique BIM Cible adapté et accessible aux TPE-PME locales, ainsi qu’un accompagnement de ces entreprises dans leur utilisation du numérique et du BIM pour leurs réponses. Cette première étape sera clôturée le 26 février 2021 pour un démarrage des travaux à la fin du 1er trimestre 2021 et une livraison de la résidence en 2022. La production par la maitrise d’œuvre en phase conception de ce DCE Numérique BIM cible qui répond aux besoins et attentes exprimées par les entreprises, permet d’assurer la continuité numérique et de favoriser son exploitation par les entreprises pour répondre à l’appel d’offres. Deux webinaires ont été organisés fin 2020 pour inciter le plus grand nombre d’entreprises TPE-PME locales à exploiter ce DCE Numérique BIM et pour répondre à l’appel d’offres en ligne. Un parcours d’accompagnement numérique et BIM a été élaboré pour qu’elles soient sereines et confiantes. Les outils déployés visent à les aider à exploiter d’une manière optimale le DCE Numérique BIM en utilisant les maquettes numériques mises à leur disposition, en lien avec le CCTP et le DPGF, d’en vérifier par échantillonnage la fiabilité et pertinence en toute transparence, afin de réaliser avec efficience leurs études de prix et de répondre en ligne à l’appel d’offres. Six tutoriels vidéo et PDF associés pour exploiter les maquettes numériques via un viewer BIM gratuit et une Hotline Olympi, avec une adresse email et une assistance en ligne dédiées au projet sur la durée de la réponse à l’appel d’offres et un manuel d’utilisation de la plateforme BIMoffice du téléchargement du DCE à la signature dématérialisée des marchés, et une assistance en ligne mise en place par ABVENT avec une adresse email dédiée au support des entreprises pour la réponse à l’appel d’offres Olympi. Le démonstrateur Olympi vise à évaluer si l’investissement en phase conception dans la production d’un « DCE numérique BIM » de qualité, contribue à générer des gains partagés en phase appel d’offres pour les entreprises, la MOE et la MOA, à identifier les éventuels freins et difficultés, et à déterminer les meilleures pratiques et les conditions de leur réplicabilité. Le projet Démonstrateur Olympi, est un projet du Plan BIM 2022 proposé par Pierres & Territoires, porté par l’USH, PROCIVIS et ADNc, soutenu par AGYRE, le CERIB et ABVENT et suivi par de nombreux de partenaires et observateurs, dont, entre autres, la FFB et la CAPEB.   Visuel : Démonstrateur Olympi – Vue axonométrique #4 – Archicad © Abvent 2021 – Architecte – Y.Mouton  
Il y a 4 ans et 163 jours

Création du Conseil national de l'hydrogène

Cette stratégie vise trois priorités qui conjuguent développement technologique et transition écologique :la décarbonation de l'industrie pour contribuer à l'atteinte de la neutralité carbone en 2050 en faisant émerger une filière française de l'hydrogène;le développement des mobilités lourdes à l'hydrogène ;le soutien à la recherche, l'innovation et le développement des compétences.L'objectif de cette stratégie est d'accélérer la maîtrise technologique des composants essentiels de la chaîne de valeur et un passage rapide à l'échelle industrielle pour permettre une baisse significative des coûts de production.Depuis l'annonce de la Stratégie nationale pour le développement de l'hydrogène décarboné, en septembre dernier, des actions ont déjà été engagées :le lancement, le 14 octobre 2020, des deux Appels à Projets « Briques technologiques et démonstrateurs » et « Ecosystèmes territoriaux », dotés respectivement de 350 et 275 millions d'euros mobilisant le Programme Investissements d'Avenir ;l'installation d'un Programme Prioritaire de Recherche (PPR) « applications de l'hydrogène » mobilisant également les moyens du Programme des Investissements d'Avenir pour soutenir la recherche en amont et préparer la future génération des technologies de l'hydrogène ; ce programme sera piloté scientifiquement par le CEA et le CNRS ;au niveau européen, la signature conjointe par 23 Etats-membres, le 17 décembre 2020, d'un manifeste pour le développement d'une chaîne de valeur de l'hydrogène. Il s'agit du point de départ d'un nouveau Projet important d'intérêt européen commun (PIIEC) qui sera mis en œuvre sur l'année 2021.Pour assurer une mise en œuvre efficace de la Stratégie nationale pour le développement de l'hydrogène décarboné, Barbara Pompili, Bruno Le Maire, Frédérique Vidal et Agnès Pannier-Runacher ont décidé la création du Conseil national de l'hydrogène.Cette instance, dont la composition a été proposée aux Ministres par Alexandre Saubot, vice-président du Conseil national de l'industrie, aura pour rôle de structurer les échanges entre l'Etat et les parties prenantes de la mise en œuvre de la stratégie, en particulier les filières industrielles, et de mesurer le bon déroulement des actions prévues pour identifier, le cas échéant, les éventuels freins. Elle contribuera ainsi au développement d'une filière française compétitive de l'hydrogène décarboné, favorisera l'émergence de projets collectifs visant à la structuration d'une chaîne de valeur complète sur notre territoire ou dans le cadre de coopérations européennes.La composition de ce conseil, qui se réunira dans le cadre du Conseil national de l'industrie et associera également Régions de France, est la suivante : Philippe Boucly, président de France Hydrogène ;Laurent Carme, directeur général de McPhy ;Frédéric Chalmin, directeur général de KemOne, représentant le Comité Stratégique de Filière Chimie & Matériaux ;Philippe Darmayan, président d'ArcelorMittal France, représentant le Comité Stratégique de Filière Mines et Métallurgie ;Jean-Brice Dumont, directeur exécutif de l'ingénierie et membre du comité exécutif d'Airbus, représentant le Comité Stratégique de Filière Aéronautique ;Gabrielle Gauthey, directrice générale du Carbon Neutrality Business de Total ;Hervé Guillou, président du Comité Stratégique de Filière Industriels de la Mer ;François Jacq, administrateur Général du CEA ;Patrick Koller, directeur Général de Faurecia, représentant le Comité Stratégique de Filière Automobile ;Jean-Bernard Lévy, président-directeur général d'EDF ;Catherine MacGregor, directrice générale d'Engie ;Benoît Potier, président-directeur général d'Air Liquide et co-président du Conseil mondial de l'hydrogène ;Henri Poupart-Lafarge, président-directeur général d'Alstom et représentant le Comité Stratégique de Filière Ferroviaire ;Alexandre Saubot, président de France Industrie ;Guy Sidos, président-directeur général de Vicat et représentant le Comité Stratégique de Filière Construction ;Pierre Verzat, président de Syntec ingénierie.La coordination des industriels membres du Conseil national de l'hydrogène sera assurée via une co-présidence entre Patrick Koller et Benoit Potier. Le secrétariat du conseil sera assuré par le coordinateur interministériel qui sera prochainement nommé, en lien avec les délégués permanents du comité stratégique de filière Nouveaux systèmes énergétiques et de France Hydrogène.La première réunion du Conseil national de l'hydrogène se tiendra dans le courant du mois de janvier. Elle permettra notamment de faire un premier bilan de la mise en œuvre de la Stratégie nationale pour le développement de l'hydrogène décarboné et de faire un point d'étape sur la construction et le calendrier du PIIEC.Réaction de Philippe Boucly, président de France Hydrogène« Une étape importante dans la mise en œuvre de la stratégie française »L'État a annoncé aujourd'hui la mise en place et la composition du Conseil National de l'Hydrogène. Une étape importante que je salue car elle installe l'hydrogène en tant qu'industrie stratégique en France. Elle illustre la volonté du gouvernement de maintenir un dialogue soutenu et de proximité avec les industriels afin de réussir la mise en œuvre d'une stratégie nationale ambitieuse. Le Conseil National de l'Hydrogène qui réunit de grands industriels représentant plusieurs filières industrielles, aura notamment pour mission d'évaluer le bon déroulement des actions prévues pour identifier, le cas échéant, les éventuels freins ou les nouvelles actions à mettre en place. L'objectif est clair et partagé entre l'État et les industriels : réussir à développer une filière française compétitive de l'hydrogène décarboné d'ici 10 ans. Au-delà de l'enjeu climatique, il nous faut également gagner la bataille de la réindustrialisation. Cela passe nécessairement aussi par la structuration d'une chaine de valeur complète sur notre territoire. Je suis sûr qu'au travers de coopérations, les locomotives que sont les grands groupes, alliées aux PME-PMI et start-up innovantes sauront trouver le chemin et les moyens pour développer des projets d'envergure et changer d'échelle. Nous sommes tous alignés sur l'objectif à atteindre. La tâche est grande et les objectifs ambitieux. Nous avons les moyens d'y parvenir et les forces réunies au sein du Conseil National de l'Hydrogène vont en permettre une utilisation des plus efficientes.Philippe Boucly, Président de France Hydrogène
Il y a 4 ans et 163 jours

BioZone, la solution la plus puissante pour purifier l'air du SARS-CoV-2

Ooria, distributeur exclusif pour la France des dispositifs BioZone de purification de l'air, se réjouit de la confirmation de l'efficacité de ces solutions contre le SARS-CoV-2. Ooria commercialise à titre exclusif depuis 15 ans, les dispositifs BioZone pour la France, ainsi que pour la Suisse, le Benelux et le Maghreb.Ces dispositifs permettent de purifier l'air sans utilisation de produits chimiques. Ils utilisent une technologie rassemblant 5 mécanismes différents et indépendants de purification réunis en une seule technologie développée par la NASA et brevetée. Contrairement à de nombreuses autres technologies présentes sur le marché, la technologie BioZone ne se résume pas à l'utilisation isolée des lampes UV, des ions ou de l'ozone. C'est la combinaison mesurée de cinq mécanismes qui en fait la meilleure technologie qui soit pour la décontamination de l'air et des surfaces en continu et en présence humaine (voir encadré).Les tests ont été réalisés par BCS Laboratories, un laboratoire de Floride (États-Unis) certifié ISO/IEC 17025, accrédité par l'US Centers for Disease Control, l'US Environmental Protection Agency, l'US Department of Agriculture et le Florida Department of Health. Les tests ont été conçus pour modéliser le temps d'exposition par rapport à l'inactivation du virus SRAS-CoV-2 dans le flux d'air en mouvement dans les systèmes de chauffage, ventilation, climatisation (CVC). Les résultats de ces tests publiés le 10 décembre 2020 montrent que les dispositifs BioZone permettent d'inactiver les virus, dont le SARS-CoV-2, en moins d'une seconde.« L'annonce de l'efficacité de la technologie BioZone contre le Sars-CoV-2 est une excellente nouvelle dans le contexte de la crise de la Covid-19. Ooria et ses équipes sont fiers d'apporter une solution majeure pour lutter contre l'épidémie en France, en Suisse, au Benelux et au Maghreb et distribuant de manière exclusive les dispositifs issus de la technologie BioZone. »Philippe Simon, Président d'OoriaZoom sur la technologie BioZoneÀ l'intérieur de l'appareil, l'oxydation photocatalytique décompose les Composés Organiques Volatils (COV) tels que le méthane ou le benzène et les lampes UV-C brevetées de BioZone exercent leur pouvoir germicide en éliminant les bactéries, moisissures, micro-organismes et virus.À l'extérieur de l'appareil, BioZone utilise un processus photochimique pour produire du PhotoPlasma (plasma froid d'oxygène) qui contient des molécules réactives, des ions, des électrons et des radicaux qui détruisent et décomposent activement les structures biologiques et chimiques des contaminants atmosphériques, y compris les virus.Ce PhotoPlasma contient :un oxygène très réactif et énergisé qui désinfecte l'air ;un taux maîtrisé d'ozone (conforme aux normes d'exposition européennes et mondiales) qui élimine les bactéries, moisissures, micro-organismes et les virus ;des ions négatifs qui augmentent l'efficacité du processus en supprimant les impuretés et les poussières en suspension dans l'air.Ce PhotoPlasma a été testé et vérifié pour être extrêmement puissant contre les virus aéroportés et déposés sur les surfaces.La gamme BioZone propose deux types de solutions. Elle s'adapte à des problématiques ciblées de purification d'air dans certains espaces comme des bureaux, des vestiaires, des sanitaires, au travers de la gamme EASY avec des appareils autonomes, prêts à l'emploi à fixer ou à poser. Elle se décline également pour des problématiques plus techniques aux applications industrielles et commerciales, grâce à la gamme TECHNIC implantée directement au cœur des systèmes CVC ou réseaux de centrales de traitement de l'air (CTA), permettant ainsi d'assurer une destruction des virus à 100% à l'intérieur des bâtiments.
Il y a 4 ans et 163 jours

Réhabilitation de logements sociaux : La résidence Bel Air s'anime d'enduits personnalisés

A Sannois (Val d'Oise), la résidence Bel Air a belle allure depuis la rénovation de ses façades. Propriété de CDC Habitat, filiale de la Caisse des Dépôts, elle abrite 143 logements répartis dans cinq immeubles construits en 1975. Le premier bailleur de France avait déjà modernisé les logements. « Il restait à améliorer les performances énergétiques des cinq bâtiments par l'isolation des façades », explique Thierry Brocheriou, responsable de groupe opérationnel à la Direction de la Maîtrise d'Ouvrage. L'objectif est d'atteindre un niveau de performance BBC Effinergie Rénovation, certification NF Habitat.Une consultation est lancée fin 2017 afin de conclure un marché de conception-réalisation pour ces travaux d'isolation thermique par l'extérieur.Respect de l'architecture d'origineParmi les trois groupements sélectionnés pour proposer une offre, c'est l'équipe constituée de l'Agence Olivier Cabanes Architecte (AOCA), de l'entreprise Demathieu Bard et du bureau d'études Sogeti qui est retenue. Un point fort de sa proposition est le respect de l'architecture d'origine. Les cinq bâtiments R+4, R+7 et R+9 sont animés par des arêtes en béton préfabriqué qui rythment les façades et affirment leur verticalité. Placés aux angles des bâtiments et entre les rangées de fenêtres, ces éléments verticaux présentent deux faces concaves qui les relient de part et d'autre au mur de façade.Comment apporter une isolation thermique par l'extérieur sur de tels reliefs sans dénaturer l'aspect des façades ? Olivier Cabanes trouve la solution avec la toute nouvelle offre proposée par Sto : des panneaux de polystyrène expansé cintrés à la demande. En fonction du rayon de courbure demandé, les plaques courbes sont produites à partir d'un bloc de polystyrène en enlevant la matière superflue. Ces surfaces courbes seront revêtues du même enduit que la façade tandis que la partie plate en saillie sera habillée d'aluminium. « Sa teinte changeante en fonction de l'ensoleillement, du blanc au doré, rappelle les jeux de lumière sur les émaux qui recouvraient à l'origine les allèges et les pignons aveugles des immeubles », souligne l'architecte.Effet déperlantRompu aux opérations de réhabilitation de logements sociaux, Olivier Cabanes se dit souvent insatisfait des enduits appliqués dans le cadre de l'isolation thermique par l'extérieur des bâtiments : « Ils s'encrassent en quelques années ». Il choisit donc pour cette opération un produit qui promet d'être plus durable : l'enduit StoLotusan K. Ce revêtement de façade à fonction autonettoyante reproduit la microstructure de la feuille de lotus qui présente une surface microstructurée, réduisant considérablement la surface de contact de l'eau. Les gouttes de pluie perlent sur la surface, entraînant les salissures avec elles.Sur le chantier de Sannois, l'enduit StoLotusan K est appliqué en finition sur un système d'isolation thermique par l'extérieur StoTherm Classic. Après quelques reprises de maçonnerie, les panneaux isolants de polystyrène expansé sont collés sur le support en béton puis fixés au moyen de chevilles. Un enduit de marouflage (StoArmat Classic plus) est appliqué sur l'isolant et un treillis d'armature en fibre de verre est noyé dans son épaisseur. Enfin, l'enduit de finition grésé StoLotusan K vient recouvrir le tout.Place à la créativitéUne autre proposition de l'équipe AOCA-Demathieu Bard-Sogeti a séduit le maître d'ouvrage : animer quatre murs aveugles grâce à des éléments d'enduit préfabriqués. Encore une innovation Sto ! Le concept Sto-Ecoshapes consiste à coller ces éléments en façade sur un système d'ITE Sto ou sur une maçonnerie verticale. L'architecte détermine le format, la couleur et la texture des éléments d'enduit. Il réalise ainsi son motif unique et crée son plan de calepinage en toute liberté. Il peut combiner les parements de façade avec de l'enduit traditionnel et jouer avec des joints plus ou moins contrastés. Bref, le concept se prête à des compositions de façades très originales, pour un coût maîtrisé.Olivier Cabanes propose de réaliser quatre motifs différents qui apportent une identité à chaque immeuble et associe le maître d'ouvrage ainsi que la Mairie de Sannois au choix des motifs et des teintes. Deux des motifs soulignent la verticalité des immeubles en assemblant de longues plaquettes rectangulaires de trois teintes différentes. Un calepinage plus cinétique reproduit des cubes en associant des losanges de trois teintes et trois textures différentes. Enfin, un quatrième mur est habillé de chevrons en trois teintes.Mise en œuvre soigneuse« Cette proposition nous a séduits, explose Thierry Brocheriou, car elle permet une création originale de l'architecte, tout en étant assez économique. Mais elle nécessite d'être mise en œuvre par une entreprise très soigneuse. »Consulté par l'entreprise Demathieu Bard qui recherchait un sous-traitant pour réaliser l'ensemble des travaux de façade, Sto a proposé l'entreprise PMR (Plaquette Maçonnerie Ravalement) qui a fait la preuve, depuis près d'une quinzaine d'années, de sa compétence dans la pose de plaquettes. Le fondateur et gérant de cette société de 38 personnes, Murat Delikaya, et le conducteur de travaux, Firat Doner, apprécient l'assistance d'un technicien d'application envoyé par Sto pour les premiers jours du chantier de pose du système Sto-Ecoshapes.« La pose des éléments a été réalisée par trois compagnons, décrit le conducteur de travaux. La colle et le mortier de jointoiement sont un seul et même produit teinté dans la masse. Celui-ci est étalé à la taloche crantée sur le support (le mortier de marouflage de l'armature de l'ITE) puis les éléments préfabriqués sont posés dans le mortier frais et pressés à l'aide d'un rouleau. Les joints sont ensuite lissés à l'aide d'un pinceau légèrement humide avant un deuxième passage au pinceau sec. »« Nous sommes fiers d'avoir réalisé la première application de produits Ecoshapes sur un chantier de taille importante en France, complète Murat Delikaya. Et nos compagnons ont trouvé cette technique agréable à travailler. »Fiche techniqueType de bâtiment : rénovation de logements sociauxLocalisation : rue des Maraîchers, 95118 SannoisSurface de façade traitée : 6.000 m²Maître d'ouvrage : CDC-HabitatGroupement conception-réalisation : Agence Olivier Cabanes Architecte AOCA, entreprise Demathieu Bard, BET SogetiEntreprise applicatrice : PMRDate du chantier : août 2019 – février 2020Solution utilisée : système d'isolation StoTherm Vario, enduit StoLotusan K, peinture StoColor Lotusan® et éléments d'enduit préfabriqués Sto-Ecoshapes l'échauffement. Ravalement de classe D2
Il y a 4 ans et 166 jours

Leslie Laroche, nouvelle secrétaire générale des Canalisateurs

Précédemment chargée de projets au sein des Canalisateurs, elle maîtrise déjà l'ensemble des expertises qui font la force de ses entreprises dans les domaines de l'eau et de l'assainissement, du gaz et des fluides divers et de la réhabilitation des réseaux. En charge des commissions Économie et Formation depuis 2015, elle a aussi travaillé sur de nombreux projets de communication, mobilisant des acteurs et des compétences multiples.Un parcours résolument dédié à la responsabilité environnementaleFemme de conviction, engagée pour la protection de l'environnement, Leslie Laroche est titulaire d'un Master 2 en Économie et Gestion de l'Environnement, avec une expertise dans les domaines de l'économie des ressources naturelles, les politiques publiques environnementales, l'aménagement du territoire et le développement économique.Leslie Laroche a débuté sa carrière à l'ADEME lors d'un stage en 2013 en qualité de chargée de mission Rénovation Énergétique et travaillé en particulier sur la rénovation énergétique du parc de logement privé en Midi-Pyrénées. Elle a ensuite occupé le poste de chargée d'études économiques au sein de la CERC (Cellule Economique Régionale de la Construction) Nouvelle-Aquitaine et produit des études et publications sur des thématiques liées à la construction (conjoncture, perspectives d'activité, emploi-formation, développement durable, …).
Il y a 4 ans et 167 jours

Jérôme Nérot, nommé Directeur Commercial & Marketing du CSTB

Jérôme Nérot, une double expertise commerciale & marketing, développée dans le secteur de la constructionTitulaire d'un Master II en marketing international (ISEC Paris) et d'un Executive MBA (EDHEC Business School), Jérôme Nérot démarre sa carrière dans le domaine du management commercial en 1996, dans une filiale du groupe Total.En 2000, il poursuit son parcours dans le secteur de la construction et devient contrôleur de gestion chez Leroy-Merlin. Par la suite, il renforce son expertise dans les domaines de la stratégie commerciale, du marketing et de l'accompagnement des organisations en phase de transformation, au sein de différentes structures :Le Ministère du Travail, de 2004 à 2007 - Consultant en conduite du changement.Wilo Group, fabricant européen de pompes et circulateurs pour les secteurs du bâtiment, de l'eau et de l'industrie, de 2008 à 2017 - Successivement Responsable des Grands Comptes et de l'équipe statistiques, puis Sales Manager.Lahyer France, spécialiste des systèmes d'échafaudages, de 2017 à 2020 - Directeur Commercial & Marketing France.Jérôme Nérot maitrise ainsi l'ensemble des fonctions marketing & commerciales fondamentales dans le développement des organisations, et connait parfaitement les marchés et enjeux du BTP.C'est dans ce contexte qu'il rejoint aujourd'hui le CSTB, prenant la responsabilité de la Direction Commerciale & Marketing, sous la responsabilité de son Président, Etienne Crépon.Il devient par ailleurs membre du Comité Exécutif du CSTB.« La double expertise de Jérôme Nérot dans les domaines complémentaires de la stratégie commerciale et du marketing, associée à sa parfaite connaissance de l'écosystème de la construction, constituent des atouts-clés pour optimiser les services développés par le CSTB et répondre aux besoins actuels et futurs de nos clients et du marché en constante évolution. »Étienne Crépon, Président du CSTBUne Direction Commerciale & Marketing en appui au déploiement du projet d'entreprise du CSTBLieu d'expertise et d'écoute, le CSTB, qui anticipe les bâtiments, quartiers et villes de demain, place ses clients et partenaires, acteurs publics ou privés, grands groupes ou TPE/PME, au cœur de toutes ses actions et orientations.Cet engagement fort, gage de qualité de services et de réponses opérationnelles novatrices aux attentes du marché, constitue le fil conducteur du projet d'entreprise qui formalise la dynamique d'évolution et de modernisation du CSTB.Pour accompagner son déploiement, le CSTB renforce son organisation avec une Direction Commerciale & Marketing dédiée, intégrant l'actuelle Direction Marketing. Pilotée par Jérôme Nérot, cette Direction aura pour mission de proposer aux acteurs, clients et partenaires une offre simplifiée et accessible, dans une logique de pluridisciplinarité.Organisée autour de 5 activités-clés (recherche et expertise, évaluation, essais, certification et diffusion des connaissances), couvrant l'ensemble des composantes de la construction, à l'échelle des matériaux et procédés, du bâtiment et de la ville, s'appuyant sur des compétences multiples et des équipements de pointe, cette offre est aujourd'hui inégalée en France.L'enjeu, pour la Direction Commerciale & Marketing, est de permettre aux acteurs d'appréhender plus facilement cette diversité de services et de prestations proposés. Pour ce faire, elle agira à la fois :En amont pour analyser et comprendre les évolutions du marché de la construction, aujourd'hui et demain ;En aval pour définir des offres en phase avec ces évolutions, répondant aux grands enjeux et tendances du secteur, en lien avec les transitions environnementale, énergétique et numérique.Elle travaillera en synergie avec toutes les Directions opérationnelles et s'appuiera sur l'ensemble des compétences complémentaires portées par les équipes du CSTB.« Le CSTB est un acteur incontournable de la construction, avec des expertises et des savoir-faire techniques reconnus. Intégrer ses équipes, structurer et déployer la stratégie et le plan d'actions commercial et marketing qui vont contribuer à renforcer la place centrale du client, au cœur de tous les projets et orientations, est particulièrement enthousiasmant. »Jérôme Nérot, Directeur Commercial & Marketing du CSTB