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Il y a 4 ans et 168 jours

Il y a 300 ans, un gigantesque incendie ravageait Rennes

En ce dimanche 22 décembre 1720, tout est calme à Rennes. La ville, l'une des plus importantes du royaume de France avec ses 40.000 habitants, grâce notamment à l'implantation du Parlement de Bretagne au XVIe, présente une architecture en pans de bois avec des ruelles denses et tortueuses.Rue Tristin, une artère en plein centre-ville désormais disparue, un feu part de l'atelier d'un menuisier. Rapidement, l'incendie devient incontrôlable. Mais pourquoi n'a-t-il pas été contenu comme cela a été le cas ailleurs ?"On a préparé la période hivernale: dans les maisons, il y a beaucoup de bois de chauffage mais aussi des denrées alimentaires hautement inflammables comme des matières grasses, du saindoux, du suif...", avance Gilles Brohan, animateur du patrimoine à l'office de tourisme de Rennes.La nuit est tombée et on est dimanche, un jour chômé où l'on a parfois l'habitude de boire plus que de raison... Aucune véritable aide n'est à attendre des secours, le corps des pompiers n'existant pas encore.Attisée par un fort vent, une "mer de feu", selon les témoignages, consume la cité. Au bout de quelques jours, l'intendant, ancêtre du préfet, ordonne même de... détruire des maisons pour créer des pare-feux.Fin décembre, la pluie, tant attendue, tombe enfin. Le feu est maîtrisé le 30. Si le bilan humain se limite à une dizaine de victimes - la plupart des habitants ayant eu le temps de s'échapper -, le centre n'est plus qu'un amas de ruines fumantes: un millier de maisons détruites, soit 40% de la ville, tandis qu'une trentaine de rues sont rayées de la carte."En Europe, à l'époque moderne, l'incendie de Rennes fut un événement exceptionnel. Si les incendies urbains étaient loin d'être rares, très peu amenèrent une destruction aussi importante", relève l'historien australien David Garrioch, cité dans "Rennes 1720. l'incendie" (PUR).1720, annus horribilisPlace désormais à la reconstruction de la ville. Après avoir dépêché pour s'y atteler un militaire en la personne d'Isaac Robelin, une nomination qui peut faire écho à celle du général Jean-Louis Georgelin pour la restauration de Notre-Dame de Paris, c'est finalement l'architecte du roi Jacques Gabriel qui est nommé, une décision qui flatte l'ego des notables bretons.La reconstruction, qui va durer jusqu'en 1760, s'appuie sur un plan orthogonal, "avec des îlots qui se coupent à angle droit", formant "une ville rationnelle qui tranche avec l'imbrication médiévale", souligne M. Brohan."Le tour de force de Gabriel est qu'il va densifier tout en aérant la ville, qui va gagner en salubrité, en lumière, en espaces publics, avec deux places royales, conçues dans l'esprit des Lumières du XVIIIe", ajoute-t-il.Pour ne pas revivre le traumatisme du feu, les Rennais, très pieux dans cette ville où couvents et congrégations sont en nombre, vont se protéger symboliquement: les niches à vierge, dont beaucoup sont encore visibles, se multiplient.Mais Rennes n'en a pas pour autant totalement fini avec les flammes. En 1994, à la suite d'une manifestation de marins-pêcheurs, le Parlement de Bretagne, monument le plus emblématique de la capitale bretonne, brûle... alors qu'il avait été presque miraculeusement épargné en 1720.Et là où à Londres, "The monument", une impressionnante colonne dorique, rappelle le terrible incendie de 1666, il a fallu attendre 1993 pour qu'un monument commémoratif soit inauguré à Rennes: la fontaine de l'artiste italien Claudio Parmiggiani, installée sur une place où le feu a été stoppé.Reste que cet incendie ponctue une "année 1720 absolument épouvantable", rappelle l'historien Georges Provost, avec en plus une crise financière majeure et la peste en Provence. Une "annus horribilis" 300 ans avant celle de 2020 marquée par une épidémie mondiale, une crise économique et des attentats islamistes.
Il y a 4 ans et 168 jours

Jérôme Nérot, nommé directeur Commercial et Marketing du CSTB

Photo : Raphaël DautignyDans ce cadre, il sera notamment chargé d'accompagner le déploiement du projet d'entreprise, dans une dynamique de réseau fédérant l'ensemble des équipes autour d'un objectif commun : renforcer la place centrale des clients et partenaires au cœur de tous les projets et orientations du CSTB. Après avoir débuté sa carrière au sein du Groupe Total, Jérôme Nérot la poursuit dans le secteur de la construction en devenant contrôleur de gestion chez Leroy-Merlin. Par la suite, il renforce son expertise dans les domaines de la stratégie commerciale, du marketing et de l'accompagnement des organisations en phase de transformation, au sein de différentes structures, publiques et privées. Il maitrise ainsi l'ensemble des fonctions marketing & commerciales fondamentales dans le développement des organisations, et connait parfaitement les marchés et enjeux du BTP. C'est dans ce contexte qu'il rejoint le CSTB, prenant la tête de la Direction Commerciale & Marketing, sous la responsabilité de son Président, Etienne Crépon. Il devient par ailleurs membre du Comité Exécutif du CSTB. L'enjeu pour la Direction Commerciale & Marketing, est notamment de permettre aux acteurs d'appréhender plus facilement la diversité de services et de prestations proposés par le CSTB. Elle travaillera en synergie avec toutes les Directions opérationnelles et s'appuiera sur l'ensemble des compétences complémentaires portées par les équipes du CSTB. Le CSTB est un acteur incontournable de la construction, avec des expertises et des savoir-faire techniques reconnus. Intégrer ses équipes, structurer et déployer la stratégie et le plan d'actions commercial et marketing qui vont contribuer à renforcer la place centrale du client, au cœur de tous les projets et orientations, est particulièrement enthousiasmant. Jérôme Nérot, Directeur Commercial & Marketing du CSTB En savoir plus : Communiqué de presse janvier 2021
Il y a 4 ans et 168 jours

Les régions mettent un pied dans l’infrastructure ferroviaire

Les petites lignes ferroviaires abordent 2021 sur le bon rail. Le 1er janvier, l’entrée en vigueur du décret d’application de l’article 172 de la loi d'orientation sur les mobilités (LOM) a ouvert un nouveau chapitre de la décentralisation ferroviaire : les régions deviennent gestionnaires d’infrastructures. Après la propriété du matériel roulant, la maîtrise des tarifs et celle de l’exploitation, cette nouvelle étape achève leur mutation en ensemblier du chemin de fer.
Il y a 4 ans et 168 jours

SPIE France dynamise sa politique RH au bénéfice de ses collaborateurs

La démarche concerne la valorisation des évolutions de carrière dans un groupe ambitieux et en pleine transformation. Chaque collaborateur a les moyens de construire sa trajectoire et de se projeter au sein des différentes filiales de SPIE France. Tous ont désormais une vision globale de leur fonction, ils visualisent précisément les compétences attendues et évaluent mieux celles qu’ils doivent développer et comment le faire.Lancée en février 2019, cette démarche permet d’optimiser la gestion des compétences, de préparer les évolutions professionnelles et organisationnelles. Marqueur de la transformation de SPIE France, le projet s’est tout d’abord constitué sur un socle de 5 communautés professionnelles : Offres et actions commerciales – Management de Centres de profits / Gestion des affaires et projets – Chantiers Opérations (travaux, maintenance et management de chantiers) – Etudes – Experts.L’ensemble de ces communautés représente 10 filières et 62 fonctions. 80% des métiers opérationnels de SPIE France ont été étudiés et ont donné lieu à la réalisation d’un référentiel commun.Chaque fonction a fait l’objet d’une présentation en 5 parties créant un référentiel commun pour la description de la fonction, les compétences transverses et métiers nécessaires, les perspectives d’évolution au sein de chaque filière, les passerelles inter-métiers au sein de chaque filiale et de SPIE France et les parcours de formation.Les objectifs de la démarche sont les suivants :Mettre en adéquation les ressources humaines d’aujourd’hui et les besoins en compétences de demain en lien avec le plan stratégique de SPIE France et de ses filialesRendre plus lisibles les métiers et les évolutions possibles au sein des filiales et des filières de SPIE FranceOptimiser le recrutement des équipes opérationnelles et managérialesRendre les collaborateurs les acteurs de leur évolution en leur permettant d’évaluer les opportunités qui leur sont offertesCartographier les compétences attendues pour chaque fonction, tracer la progression pour chacune d’entre ellePromouvoir la mobilité interne entre les filiales et les filièresLe référentiel des fonctions et des compétences désormais déployé pour les 62 fonctions opérationnelles, en cours de réalisation pour 45 fonctions supports, est accessible via le Système d'Information Ressources Humaines (SIRH) pour l’ensemble des collaborateurs et managers. Tous disposent d’un socle commun particulièrement utile lors des entretiens annuels d’évaluation, des entretiens professionnels ou de l’intégration des nouveaux collaborateurs.Pour construire ce dispositif, SPIE France a choisi le mode collaboratif et s’est inscrit dès le début des travaux dans une démarche très opérationnelle en appui sur 13 ateliers, chacun composé d’un sponsor membre d’une filiale, d’un pilote RH et de 4 à 5 opérationnels issus de différents métiers et filiales. Au total, une centaine de collaborateurs ont conduit un diagnostic pertinent des métiers et des compétences.Les responsables des ateliers se sont régulièrement réunis pour partager les avancées de leurs travaux et formaliser leurs contributions respectives. Les résultats ont été recueillis et synthétisés dans le « book GDC » présenté aux dirigeants de SPIE France, à l’occasion d’un séminaire de direction.Ce livrable est destiné aux collaborateurs, aux managers, aux futurs candidats et aux représentants de la filière RH. Il est aussi utilisé en externe par les futurs candidats et les ambassadeurs Ecoles pour mieux maîtriser les métiers des filiales et promouvoir les besoins en compétences au sein des 34 écoles partenaires de SPIE France.« L’implication des opérationnels dans la démarche a été déterminante. L’adhésion a dépassé nos attentes et a permis une contribution collective d’une grande utilité pour qualifier les compétences et explorer de manière très concrète le périmètre de chacune des fonctions », indique Patricia Léné, responsable développement ressources humaines et diversité chez SPIE France et chef de projet GDC. « L’ensemble de cette démarche valorise la mobilité interne des collaborateurs au niveau national ou au sein d’un même bassin d’emploi. Le contexte économique actuel, très complexe, qui nécessite une grande agilité a révélé l’efficacité de la démarche qui nous a permis d’accompagner les collaborateurs et de répondre rapidement aux enjeux d’adaptation des compétences aux besoins du marché », conclut Olga Martin-Jarousse, directrice des ressources humaines de SPIE France.
Il y a 4 ans et 169 jours

L'EPA Nice Écovallée sélectionne Architecturestudio pour la maîtrise d'œuvre urbaine de Parc Méridia

Architecturestudio sera chargée de faire émerger un nouveau quartier de vie au sein de l'Opération d'Intérêt National Nice Écovallée poursuivant la structuration et la requalification urbaine du territoire sur une soixantaine d'hectares entre la ZAC Nice Méridia et le stade Allianz Riviera.Pour Sarah Bellier, Directeur général par intérim de l'EPA Nice Écovallée« Le projet proposé par Architecturestudio a répondu à nos aspirations en termes de praticité, opérationnel, avec une justesse d'échelle urbaine. Il s'agit de faire émerger d'ici 12 ans, un nouveau quartier de vie paysager dans le prolongement de Nice Méridia. Parc Méridia participera au changement d'échelle de la technopole urbaine. La concertation publique débutera courant 2021. Parmi les 23 groupements qui ont répondu à notre consultation, trois ont été admis à concourir : le groupement avec Architecturestudio, le groupement Agence Ter (mandataire) avec CAB, TECTA, INDDIGO, Guam Conseil et Builders&Partners et le groupement TVK (mandataire) avec BASE, SOA, Suez Consulting SAFEGE, EODD, Roland Ribi et Associés et la Société du canal de Provence et d'aménagement de la région provençale. Nous sommes très fiers, le territoire est attractif pour les professionnels de la ville. »Pour Philippe Pradal, Président de l'EPA Nice Écovallée« Parc Méridia lance concrètement la phase 2 de l'OIN Nice Écovallée. Aujourd'hui, à l'ouest de Nice, la ville polycentrique se dessine. Nice Méridia, Grand Arénas et Parc Méridia sont et seront de nouveaux pôles de vie et d'attractivité qui répondent aux besoins de logements des habitants et usagers du territoire et au-delà des entreprises. Une nouvelle dynamique économique et urbaine est enclenchée. »Parc Méridia, un projet d'envergure pour donner une nouvelle échelle à la technopole urbaine, Nice MéridiaParc Méridia s'inscrit dans le contrat de PPA (Projet partenarial d'aménagement) signé en 2019 pour la période 2019-2032 par les partenaires. Il prévoit le développement d'environ 589.000 m2 de surface de plancher. Il s'agit de créer un nouveau quartier de vie mixte, animé et intergénérationnel visant à accueillir logements, entreprises et emplois, ainsi que les commerces et services de proximité et équipements publics nécessaires aux habitants et usagers.Parc Méridia, un quartier paysagerCe développement urbain va de pair avec la préservation et la mise en valeur des zones naturelles et agricoles. Au titre de la Directive territoriale d'aménagement (DTA), un minimum de cinquante hectares de terres agricoles seront préservés. La zone agricole au nord du périmètre a vocation à faire l'objet d'un projet agricole. Le quartier s'articulera autour d'un grand parc paysager de 20 ha (plus important que la Promenade du Paillon (15ha)) sur ce territoire historiquement et symboliquement agricole et paysager, pour une reconquête de la nature sur des espaces aujourd'hui très dégradés. Ce parc sera réalisé sous maîtrise d'ouvrage de la Métropole Nice Côte d'Azur.« Habiter le parc, les sillons » selon ArchitecturestudioLe groupement lauréat propose une urbanisation douce, où se mêlent densité désirable, mixité plurielle, maillage performant et souple et paysage continu. L'enjeu est de valoriser un lien fort avec le parc de 20 ha dans une subtile cohabitation avec les équipements sportifs du parc des Sports et dans un dialogue avec les espaces naturels et agricoles remontant vers l'Allianz Riviera et son écoquartier. La qualité de vie, l'exemplarité environnementale et l'innovation seront les fondamentaux de Parc Méridia. Le quartier se dessine selon un principe de sillons d'est en ouest pour ouvrir les bâtiments sur le paysage de la plaine du Var. La trame urbaine s'inscrit dans le prolongement de celle de la ville traditionnelle et de Nice Méridia.Un parc de 20 ha qui s'inscrit dans le plan de verdissement de Nice, ville verte de la méditerranéeAu XIXe siècle, Nice était déjà la ville-jardin de l'Europe. Ce patrimoine exceptionnellement préservé est un des axes majeurs du développement de la ville et de la métropole Nice Côte d'Azur. Aux plus de 300 hectares d'espaces verts déjà accessibles au public à Nice et en complément des 50 nouveaux hectares de parcs et jardins qui sont programmés d'ici fin 2025, dont 30ha sur le grand parc paysager de la plaine du Var, 10ha sur l'extension de la Promenade du Paillon, s'ajoute ainsi le parc de l'écoquartier Grand Méridia à l'ouest du centre historique de Nice, dans l'OIN ou l'urbanisme repose sur un modèle de transition écologique. Il ne s'agit pas seulement de faire naître un nouvel espace naturel. « Il s'agit d'aménager, de valoriser les complémentarités entre ville et campagne et de préserver les précieuses ressources » selon Christian Estrosi, Maire de Nice, Président de la Métropole Nice Côte d'Azur, Président délégué de la Région Provence Alpes Côte d'Azur,Dès 2008, ces priorités et notamment la Trame Verte et Bleue ont été inscrites dans le Plan Local d'Urbanisme de Nice. Cela a permis de préserver les espaces agricoles et naturels, notamment ceux des collines et de la plaine du Var mais aussi de redévelopper la culture du maraîchage comme élément économique structurant en écho à la forte vocation agricole du lieu. Grâce à tous les efforts engagés en faveur de la végétalisation du territoire, Nice recense 1 arbre pour 5 habitants soit l'une des communes les plus vertes de France.Ces nouveaux espaces verts augmentent considérablement la surface perméable du territoire permettant d'améliorer durablement le drainage des espaces publics et de supprimer progressivement les ilots de chaleur.Ils atténuent les épisodes d'inondation ou de ruissellement des eaux et favorisent l'infiltration dans les réserves d'eau souterraines pour redonner au sol son rôle naturel d'éponge en évitant la saturation des réseaux.Parc Méridia, une opération majeure de la deuxième phase de Nice ÉcovalléeDix ans après la création de l'Opération d'Intérêt National Nice Écovallée, la première phase de développement s'achève avec la livraison des premiers aménagements publics et programmes immobiliers dans Grand Arénas, le quartier d'affaires à vivre 100% azuréen, et Nice Méridia, la technopole urbaine au cœur de la Métropole de Nice Côte d'Azur. Alors qu'une nouvelle centralité métropolitaine émerge, plébiscitée par les habitants et les entreprises qui y créent de l'emploi autour du futur pôle d'échanges multimodal et des lignes 2 et 3 du tramway, une nouvelle page s'écrit pour Nice Écovallée depuis l'approbation en décembre 2019 du contrat de Projet Partenarial d'Aménagement. Ce contrat de PPA identifie trois nouvelles opérations, le hameau de La Baronne à la Gaude, Lingostière sud et Parc Méridia pour la période 2019-2032.
Il y a 4 ans et 169 jours

A Nantes, la gare de Rudy Ricciotti cache une forêt

La nouvelle gare de Nantes (Loire-Atlantique), signée Rudy Ricciotti pour un budget de 37,5 M€, a été inaugurée (finalement) le 20 novembre 2020. Sous la maîtrise d’ouvrage de SNCF Mobilités – Gares & Connexions, le projet consistait en la construction d’une passerelle-mezzanine de 160 m de long et 18 m de hauteur afin de relier […] L’article A Nantes, la gare de Rudy Ricciotti cache une forêt est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 4 ans et 169 jours

Briser la glace dans des espaces de glisse

Programmation et conception sont des étapes essentielles pour maîtriser les coûts de construction et d'exploitation d'équipements très techniques qui marquent l'espace public de leur architecture forte.
Il y a 4 ans et 173 jours

L'enjeu climatique en tête des préoccupations des architectes, selon une étude

"Le premier défi cité par les architectes est celui des enjeux liés au dérèglement climatique (78% d'entre eux) alors qu'il était cité par 50% des répondants en 2018", souligne cette étude réalisée par le CREDOC (Centre de recherche pour l'étude et l'observation des conditions de vie) pour l'Ordre des architectes.Autre évolution saillante: la féminisation du métier. En près de 20 ans, la part des femmes est passée de 16,6% à 30,7%, cette augmentation touchant surtout les moins de 35 ans.83% des femmes architectes placent le défi climatique en tête de leurs préoccupations, contre 76% des hommes, selon cette enquête réalisée en avril auprès de 2.233 architectes.Ils devaient prioriser six types de défis: nouveaux modes de management, nouvelles clientèles, diversification du métier, impact du numérique, place de l'architecte dans la maîtrise d'oeuvre, enjeux liés au dérèglement climatique."Les femmes ont plus vite compris leur rôle social dans une société en mutation écologique incontournable", a souligné à l'AFP Elizabeth Gossart, qui a piloté le groupe de travail.Les nouvelles générations d'architectes "ne veulent plus mettre de côté leur vie sociale. Notre métier est d'anticiper l'évolution du bâti, sa longévité, son exploitation, la vie de ses usagers, de leur confort de vie", a-t-elle ajouté.Le taux de renouvellement des bâtiments anciens par des bâtiments neufs étant trop lent, c'est la rénovation thermique que l'Ordre des architectes voudrait accélérer avec comme objectifs la réduction de la consommation d'énergie finale de 50% (par rapport à 2012) et la division par 4 des émissions de gaz à effet de serre en 2050.Selon "Archigraphie 2020", les architectes se regroupent de plus en plus en organismes et associations pour répondre à ces défis écologiques: gestion des déchets sur les chantiers, utilisation de matériaux biosourcés et locaux, meilleure gestion de la consommation du bâtiment.Le secteur du bâtiment et de la construction représente 35% de la consommation d'énergie finale mondiale et près de 40% des émissions de CO² liées à l'énergie.
Il y a 4 ans et 177 jours

Un fonds de 300M d’euros pour le recyclage des friches

La reconquête des friches constitue un enjeu majeur d’aménagement durable des territoires pour répondre aux objectifs croisés de maîtrise de l’étalement urbain, de revitalisation urbaine et, par conséquent, de limitation de la consommation des espaces naturels, agricoles et forestiers. Dans le cadre du plan de relance, le Gouvernement déploie un fonds de 300M d’euros pour le financement des opérations de recyclage des friches. 40M d’euros seront consacrés à la reconversion des friches polluées issues d’anciens sites industriels ICPE ou sites miniers dans le cadre d’un appel à projets national lancé par l’ADEME le 6 novembre 2020. 1M d’euros seront consacré au développement d’outils de connaissance du foncier par le Cerema afin d’appuyer les collectivités et opérateurs dans l’inventaire des friches, mais également dans la mise en oeuvre opérationnelle des projets. 259M d’euros, entièrement territorialisés, seront consacrés au recyclage foncier pour des projets d’aménagement urbain, de revitalisation des coeurs de ville et de périphérie urbaine, et pour des projets de requalification à vocation productive.
Il y a 4 ans et 181 jours

Les premiers logements étudiants en bois lancés à Paris-Saclay

CONSTRUCTION BOIS. L'EPA Paris-Saclay a signé un acte de vente avec le groupement mené par Demathieu Bard Immobilier, promoteur immobilier en charge de la maîtrise d'ouvrage du projet de résidence étudiante privée située sur le lot S1.2, au sein de la Zac du quartier de l'Ecole polytechnique. Il s'agit de la première résidence étudiante en bois du campus.
Il y a 4 ans et 182 jours

Le béton, une nouvelle perspective pour l'impression 3D

Pour "imprimer" un mur, un long bras articulé diffuse une mince coulée de béton selon un parcours déterminé en appliquant une couche sur la précédente. En quelques heures, un mur est érigé, ouvrant de nouvelles perspectives aux métiers de la construction."L'intérêt de l'impression 3D, c'est comment aller plus loin que l'utilisation courante du béton" et "chercher des formes qu'on ne pourrait pas faire de façon traditionnelle, ou qui demanderaient beaucoup plus de temps", explique Alain Guillen, directeur général Développement et Applications de XTreeE.Cette start-up basée à Rungis a lancé dans son atelier la fabrication d'une trentaine de murs, destinés à la construction en 2021 de cinq maisons à Reims, dans le cadre du projet Viliaprint, porté par le bailleur social Plurial Novilia.L'entreprise vient d'obtenir une Appréciation technique d'expérimentation (Atex) pour la construction en impression 3D béton, délivrée par le Centre scientifique et technique du bâtiment (CSTB).Une phase industrielle"Aujourd'hui pour la première fois en France, on a une construction en impression 3D béton qui est validée par les autorités publiques", souligne M. Guillen. "Grâce à cet avis technique, on va pouvoir passer maintenant à une phase vraiment industrielle".Pour le responsable de la maîtrise d'ouvrage chez Plurial Novilia, Jérôme Florentin, "c'est certainement le début d'une longue histoire". "On commence à avoir beaucoup de concurrents", observe-t-il, en mentionnant les Pays-Bas, la Chine, les Etats-Unis, la Russie.Ce type de construction "va avoir tendance à se développer, pas de façon fulgurante dans les prochains mois, mais sur des constructions mixtes" avec "des murs imprimés associés à des modes constructifs classiques", estime-t-il.De son côté, le fabricant de machines Constructions-3D, basé à Valenciennes, vient de réaliser son premier bâtiment en impression 3D béton pour son futur siège.Antoine Motte, fondateur et dirigeant de Constructions-3D, est confiant sur les perspectives de cette technologie, citant une étude du cabinet SmarTech en 2018, qui prévoit pour 2027 un chiffre d'affaires mondial de 20 milliards de dollars pour l'impression 3D dans la construction, dont 4 milliards pour les fabricants de matériels."Un quart de l'humanité est mal logée aujourd'hui, et donc si on peut, par la technologie, apporter une machine qui va construire une maison par jour (...) on se dit qu'avec un million de machines, on peut déjà juguler la croissance du mal logement, et deux millions de machines résoudront le problème", fait valoir Antoine Motte.Améliorer "l'imprimabilité"Mais il reste encore des étapes à franchir, reconnaît le patron de Constructions-3D. "Ces machines pourront apporter des solutions quand on aura réussi à imprimer des 'encres' locales, réalisées à partir de l'argile", explique-t-il.Reste ensuite à former les futurs travailleurs du bâtiment à cette nouvelle technologie."Demain, pour faire fonctionner ces machines, l'opérateur idéal est quelqu'un qui aura un peu de compétences en numérique, qui connaîtra les contraintes d'un chantier de bâtiment et qui sera un petit peu mécanicien", décrit Didier Malbranque, co-fondateur de Constructions-3D.La start-up valenciennoise a mis au point une petite machine, plutôt destinée à la formation, qui est installée dans une douzaine de lycées professionnels ou écoles du bâtiment des Hauts-de-France.Cette nouvelle technologie intéresse au premier chef les groupes cimentiers, qui fournissent la matière première."On est encore en phase de recherche, mais on évolue vers les premiers chantiers, les premières réalisations", assure Olivier Martinage, ingénieur R&D du groupe Vicat, partenaire de XTreeE dans le projet Viliaprint.La recherche porte notamment sur "l'imprimabilité" du béton pour "améliorer les performances, les vitesses d'impression, le rendu esthétique", explique-t-il."C'est une technologie en devenir", confirme Yves Baroulier, directeur Grands Projets de LafargeHolcim. "L'impression 3D va nous permettre (...) une plus grande sobriété: moins de matériau et bas carbone".LafargeHolcim collabore avec XtreeE sur la construction en impression 3D d'ici 2023 d'une passerelle de 40 mètres sur le site des futurs Jeux olympiques de Paris 2024 en Seine-Saint-Denis.
Il y a 4 ans et 182 jours

RE2020 : les professionnels réclament un changement de méthode pour ne pas aggraver la chute de la construction neuve

La nouvelle réglementation environnementale sur la construction neuve s'inscrit dans cette exigence et la filière de la construction, fortement impliquée dès les prémices avec l'expérimentation E+C- et moteur de l'innovation dans le secteur, reste clairement attachée à ces objectifs. Tout comme elle reste attachée à la production d'une offre de bâtiments abordables et accessibles à tous, adaptée aux besoins des territoires et aux usages des occupants.L'USH, la FPI, le Pôle Habitat FFB, la FFB, la CAPEB, l'UNSFA, la Fédération CINOV et l'AIMCC s'inquiètent cependant des impacts du projet de la nouvelle réglementation environnementale (RE2020) proposé par le gouvernement. Elles estiment que ce projet fait courir un risque d'aggravation de la chute de la construction neuve dès 2021 et que des ajustements importants doivent être apportés pour garantir une trajectoire soutenable vers la neutralité carbone à l'horizon 2050.Les projets de texte, déjà notifiés auprès de la Commission européenne, ont été présentés jeudi 17 décembre au Conseil Supérieur de la Construction et de l'Efficacité Énergétique (CSCEE), qui a aussi découvert à cette occasion l'étude d'impact associée.Pour les signataires, si l'ambition d'accélérer la réduction des émissions de gaz à effet de serre fait consensus, la méthode retenue unilatéralement suscite de nombreuses interrogations et inquiétudes.Il en est de même s'agissant de la méthode de calcul du confort d'été qui n'a jamais été testée et du fort renforcement des seuils de calcul conventionnel de besoin bioclimatique et de consommation énergétique.Les signataires estiment que les documents présentés par le gouvernement n'apportent pas les éléments d'objectivation nécessaires à l'évaluation de la soutenabilité des performances annoncées, notamment sur le volet de la maîtrise des coûts et des impacts sur les filières constructives et industrielles. D'autant plus qu'une réelle présentation de l'impact économique et social global tant à la mise en œuvre qu'au cours de la durée de vie du bâtiment et de ses équipements fait toujours défaut.Pour l'ensemble des acteurs, la réforme proposée induit une évolution majeure dans les pratiques et les compétences, tant en conception que dans la mise en œuvre et l'exploitation des bâtiments. À défaut d'ajustements importants, elle risque de provoquer une rupture majeure et critique pour l'offre de bâtiments, l'activité et les emplois du secteur.Pour les signataires, il est nécessaire de partager une trajectoire et un calendrier de mise en œuvre progressif et adapté, qui intègrent maturité des solutions disponibles, soutenabilité économique et temporalité des projets, qui permettent à la filière de stimuler les innovations pour répondre à coûts maîtrisés aux objectifs poursuivis, et qui garantissent in fine aux occupants confort, bien-être et économies.Pour les signataires, l'esprit de co-construction qui a prévalu depuis l'origine de la réforme doit se poursuivre. Une RE 2020 équilibrée, soutenable et maîtrisée permettra d'impulser et d'accompagner le changement attendu, que nous voulons positif pour le secteur de la construction.
Il y a 4 ans et 183 jours

Pour atteindre les objectifs de la PPE, il ne faut pas entraver le développement de la géothermie

Le SNCU, syndicat des opérateurs de réseaux de chaleur et de froid, membre de la FEDENE, s'associe à l'ADEME et au Syndicat des Énergies Renouvelables (SER) pour rappeler que la grande majorité des projets de géothermie profonde est réalisée dans les bassins sédimentaires et n'a jamais présenté de risque de sismicité induite. Il réaffirme les bénéfices et les perspectives prometteuses offertes par la géothermie pour avancer résolument dans la transition énergétique. Un forage spécifique en contexte failléLe projet alsacien mené à Vedenheim reposait sur une opération en contexte « faillé », à plus de 4 000 mètres de profondeur. Dans ces failles, la circulation de l'eau en profondeur modifie l'équilibre mécanique des roches. Cette modification peut entrainer un risque sismique d'intensité variable, principalement dans les phases de test sur les forages et de mise en route. Les opérations de géothermie sont strictement encadrées par les autorités et réalisées en concertation avec l'ensemble des acteurs afin de pouvoir agir et informer rapidement en cas de problème. Le projet ECOGI, centrale géothermique dans un contexte similaire mais moins profond (2 500 m) fonctionne d'ailleurs depuis plusieurs années sans présenter aucune difficulté.La grande majorité des projets de géothermie profonde en France métropolitaine sont exploités dans un contexte différent, en bassin sédimentaire, à des profondeurs allant jusqu'à 2 500 mètres, comme par exemple dans les bassins parisien et aquitain. Cette technologie consiste à exploiter le potentiel thermique de couches géologiques homogènes et stables mécaniquement. S'appuyant sur une expérience éprouvée pendant plus de 50 ans, ce type d'intervention n'a jamais fait apparaitre le moindre risque de micro-sismicité, tant lors de la réalisation que de l'exploitation.Énergie d'avenir, la géothermie est indispensable pour atteindre les objectifs de la PPEVertueuse, locale et durable, parfaitement adaptée aux milieux urbains denses, l'énergie géothermique puisée dans les couches géologiques demeure indispensable pour accélérer l'accroissement de la chaleur renouvelable dans le mix énergétique français. La Programmation Pluriannuelle de l'Énergie fixe à la filière un objectif ambitieux à atteindre d'ici 2028 : + 3,6 TWh de chaleur issue de la géothermie profonde. Cette trajectoire reste accessible en se concentrant sur la valorisation des ressources sédimentaires du territoire.Des régions fortement urbanisées disposent à la fois de ressources géothermales abondantes, telles que le bassin parisien (avec l'aquifère du Dogger notamment) et le bassin aquitain, et une forte demande très localisée en chauffage et eau chaude sanitaire. Les projets géothermiques en cours sur le territoire sont sûrs et doivent être poursuivis et encouragés. Pour la filière, rappeler ces distinctions techniques est crucial pour ne pas entraver le développement de la géothermie en France ni amoindrir ses bénéfices. En s'appuyant sur l'indispensable apport de cette technologie d'avenir, la filière reste optimiste sur l'objectif fixé par la PPE.« La filière entend réaffirmer l'absence de risque des projets géothermiques menés par les adhérents du SNCU. Nous sommes convaincus que la géothermie demeure une technologie résolument tournée vers l'avenir et très prometteuse, associant performances énergétique et économique. Associée au développement des réseaux de chaleur et de froid, la géothermie offre un potentiel considérable pour produire une chaleur renouvelable et responsable et ainsi atteindre les objectifs de la PPE en temps et en heure ».Aurélie Lehericy, présidente du SNCU« Plus de 70 opérations de géothermie profonde en France chauffent depuis plus de 50 ans plus d'un million d'habitants, essentiellement en Région parisienne et en Aquitaine et valorisent 1,8 TWh par an d'énergie renouvelable1. Le développement de la filière géothermique garde donc toute sa place pour l'atteinte des objectifs de chaleur renouvelable fixés par la PPE. La géothermie en contexte faillé peut permettre de développer cette ressource renouvelable et décarbonée ailleurs que là où elle est traditionnellement implantée, mais pour cela il est impératif que les porteurs de projet démontrent au préalable la maîtrise des risques de sismicité induite. »Fabrice Boissier, Directeur général délégué de l'ADEME« L'évènement sismique intervenu en Alsace doit être rigoureusement analysé pour en tirer les enseignements. Mais il est aussi essentiel de comprendre qu'il concerne une filière totalement distincte des opérations de géothermie de surface, et de géothermie profonde sur des nappes aquifères situées dans des couches géologiques sédimentaires, qui alimentent en chaleur et en froid des milliers d'habitants sur une grande partie du territoire, depuis des décennies. La production de chaleur renouvelable est un enjeu essentiel face au défi climatique, et la géothermie est pour cela un atout majeur dont notre pays doit continuer à développer le potentiel - en travaillant par exemple, pour la géothermie profonde de haute température, sur des profondeurs plus réduites offrant des températures plus basses et qui permettent de produire de grandes quantités de chaleur, comme c'est le cas de l'installation de Rittershoffen. »Jean-Louis BAL, Président du SER1 Soit l'équivalent de la consommation de chauffage annuelle de 180 000 logements
Il y a 4 ans et 183 jours

Rémunérations dans le BTP à l'ère post-Covid

Hays, leader du recrutement spécialisé, dresse un état des lieux des tendances de recrutement et de rémunération dans le BTP post Covid-19.Tendances de recrutementProfils les plus recherchésConducteur de travaux / OPCChef de chantierCoordonnateur SPSCompétences les plus priséesFlexibilitéRésistance au stressEngagementTendances de rémunération"Malgré la crise, les rémunérations restent globalement stables dans le BTP. Néanmoins, on observe aujourd'hui une recrudescence des besoins sur certains types de postes, qui conduit, de fait, à une revalorisation salariale. Les profils concernés sont essentiellement les conducteurs de travaux et chefs de chantier en entreprise générale, ainsi que les coordinateurs travaux et coordonnateurs SPS en maîtrise d'œuvre."Cécily Bretel, Business Manager BTPDe leur côté, les professionnels évoluant dans le BTP sont confiants pour l'avenir puisque 82% d'entre eux estiment leur dirigeant capable de mener l'entreprise vers la réussite.**Enquête administrée par Hays en septembre 2020 auprès d'un échantillon de plus de 200 professionnels du BTP, issus de sa base de données clients et candidats.
Il y a 4 ans et 184 jours

Distriartisan.fr : Commandez vos matériaux en ligne

Distriartisan.fr est depuis plus de 10 ans la référence sur internet en matière d’achats de matériaux et d’outillage pour les professionnels du BTP et les gros bricoleurs. Le site Distriartisan offre un choix de qualité quant aux matériaux sélectionnés. La plateforme d’achat en ligne fait également référence par la qualité et la disponibilité de son service client. Des  matériaux et  de l’outillage spécialisé pour vos chantier Historiquement, distriartisan.fr propose aux professionnels du BTP des matériaux de chantier et de l’outillage spécialisé: matériaux de toiture, de plomberie, du bardage, de la quincaillerie… La gamme de produits proposée s’est étoffée avec le temps pour proposer aujourd’hui plus de 200 000 références en bricolage et travaux. La plateforme propose également une large gamme d’outillage spécialisés en couverture et plomberie afin de répondre aux besoins précis des différents corps de métier des professionnels du bâtiment. Les équipes développent depuis plusieurs années des partenariats forts avec leurs fournisseurs dans le but de satisfaire les clients pros et particuliers. Ces partenariats avec les fournisseurs permettent également au distributeur de proposer des prix très compétitifs sur le marché du matériaux et de l’outillage. Chaque demande de devis est étudiée de façon personnalisée et adaptée à chaque chantier et projets de gros œuvres. Pourquoi commander ses matériaux en ligne ? En tant que professionnels, vous êtes à même de savoir quels sont les matériaux nécessaires à vos chantiers et vos besoins précis en outillage spécialisé. Distriartisan.fr vous propose d’une part des produits compétitifs et d’autre part une qualité de service reconnue. Le service de livraison et l’étroite collaboration avec leurs transporteurs permet d’effectuer des livraisons avec des délais maîtrisés. Que ce soit à votre domicile ou sur vos chantiers, nos équipes s’engagent à vous fournir les pièces dans le timing nécessaire à la réalisation de vos interventions. Pour les charges lourdes et les commandes les plus importantes, vous avez également la possibilité de souscrire à une option de livraison avec engin de levage. De plus, la plateforme propose également plusieurs configurateurs en ligne. Exemple avec  le configurateur de gouttières qui  permet de schématiser les mesures de vos projets et d’établir un devis personnalisé comprenant les matériaux nécessaires à la réalisation d’un réseau de gouttière complet. Cet outil, combiné à une livraison sur chantier, vous offre alors un confort et une praticité qui présente une véritable valeur ajoutée dans la gestion de vos interventions. Un service client offrant une grande réactivité pour les professionnels du bâtiment Des professionnels du bâtiment au bout du fil Le site internet met à disposition une équipe commerciale dédiée de 5 personnes disponible pour vous répondre au téléphone. Puisque certaines situations ne peuvent attendre, le service client de Distriartisan se démarque par une grande disponibilité au téléphone. Qualité de conseil et d’accompagnement L’équipe de professionnels dédiée aux métiers du BTP pourra vous accompagner dans vos choix et vos doutes quant aux diverses questions qui peuvent se poser sur des matériaux, des outils ou encore des délais de livraison. La marketplace Distriartisan : toujours plus de produits pour les professionnels du bâtiment Depuis bientôt 3 ans, l’offre Distriartisan s’est élargie en offrant la possibilité aux sites internet acteurs du bricolage de proposer leurs offres sur la plateforme. L’orientation que prend le site internet spécialisé en bricolage est de faire converger sur leur site web les meilleures offres brico du web afin de proposer toujours plus de choix et de solutions aux pros et particuliers.  
Il y a 4 ans et 184 jours

Wedi et Hansgrohe s'allient pour développer le marché français de l'encastré dans la salle de bain

Alors que l’encastré est très développé dans les pays limitrophes (environ une salle de bain sur deux), il représente sur le territoire national une vraie opportunité de développement qui pourrait conduire les industriels à doubler leur chiffre d’affaires. On compte actuellement 1 salle de bain rénovée sur 10 qui intègre une solution encastrée, soit seulement 10% du marché, malgré des bénéfices évidents autant pour les installateurs que les particuliers.Pour simplifier et étendre le recours à l’encastré sur toute la chaîne de valeur, depuis le distributeur et jusqu’au particulier, wedi et Hansgrohe misent sur la complémentarité de leurs produits, qui associés ensemble, créent un vrai système constructif pour une douche étanche, rapide à installer, et esthétique.Un système constructif innovant et 100% étancheEn s’associant, wedi et Hansgrohe combinent les points forts de leurs deux solutions afin de proposer un ensemble design et étanche.Fondée il y a 37 ans par Helmut Wedi, maître carreleur qui lui a donné son nom, wedi est devenue une marque incontournable et leader sur le marché du bien-être et de l’agencement de la salle de bain. Ses matériaux de construction prêts à l’emploi, ses éléments pour douche de plain-pied, et ses modules design sont aujourd’hui reconnus pour leur étanchéité, leur fiabilité et leur installation simple et rapide. Les produits wedi sont légers, propres à découper, et faciles à manipuler pour l’installation d’une douche. La matière des panneaux, le polystyrène extrudé, permet une étanchéité à 100% de toutes les installations wedi.De son côté, Hansgrohe façonne l’univers de la douche depuis plus de 120 ans. Fidèle à son ADN, le groupe est unanimement reconnu pour son confort de douche. Le fruit d’un enveloppement total, une palette de jets régulièrement enrichie, un large choix de design et la garantie d’un investissement durable au travers d’un produit testé en usine qui traversera les années. Du côté du montage, le corps d’encastrement iBox Universal Hansgrohe assure une gestion du chantier en toute sérénité : adapté à tous les murs entre 58 et 105 mm, il garantit une étanchéité parfaite via ses joints en caoutchouc totalement hermétiques au niveau des 4 raccords, et pourra être réexploité pour une évolution de la douche via 200 sets de finitions disponibles.De nouvelles opportunités business pour les artisansFace aux évolutions du marché, wedi et Hansgrohe innovent afin de proposer des produits qui correspondent aux besoins et à la réalité sur le terrain des artisans pour les aider à valoriser et dynamiser leur activité. Les deux industriels font le constat que le marché actuel de la douche ne permet plus aux artisans de faire valoir leurs compétences. La solution la plus plébiscitée, la colonne de douche, apparente, simple et peu technique à installer pour un bricoleur averti, a banalisé le savoir-faire des professionnels. L’encastré, promu par le partenariat entre wedi et Hansgrohe, remet les compétences de l’installateur au cœur de la pose et élargit ses opportunités business. Ces solutions nécessitent un savoir-faire et une maîtrise parfaite, quasiment inaccessible à celles et ceux qui ne sont pas du métier. Cette valeur ajoutée permet aux professionnels de retrouver des marges saines, de valoriser leur main d’œuvre et leurs produits, tout en montant en gamme leurs installations.La cloison modulaire : Une innovation conjointe primée lors des Salles de Bains Remarquables 2020Pour aller plus loin, les deux industriels ont lancé un produit pré-assemblé en usine, avec leurs deux solutions combinées: la cloison modulaire avec iBox intégrée. Les tubes multicouches sont directement intégrés dans la cloison pour une facilité de mise en œuvre : l’intervention est limitée au raccord eau chaude/eau froide. La pose de la cloison modulaire se fait en 90% de temps en moins par rapport aux méthodes classiques qui utilisent la maçonnerie ou les plaques de plâtres. L’installateur est assuré de réaliser une installation rapide, pérenne et à forte valeur ajoutée. Grâce à sa pose accessible et facile, le produit s’ouvre à toutes les typologies d’installateurs quelle que soit leur formation.Lever les freins chez les distributeurs, les artisans et les particuliersPour démocratiser le recours à l’encastré, wedi et Hansgrohe souhaitent en faciliter sa vente et sa mise en œuvre.Côté installateurs, les freins sont principalement la peur d’une fuite d’eau et d’une salle de bain sinistrée. Au travers de leurs centres de formations respectifs de 250m2 pour Hansgrohe à Antony (92) et 150m² pour wedi à Lyon, sont proposées des formations pratiques qui permettront aux artisans d’avoir les bons réflexes pour une installation rapide, étanche et de haute qualité. Des manuels de mise en œuvre « pas-à-pas » viendront compléter les outils mis à disposition des professionnels en janvier 2021.Pour le distributeur, le recours à l’encastré peut signifier un chiffrage complexe à effectuer, avec une longue liste de références à intégrer dans un devis. Pour répondre à ce défi, Hansgrohe dispense une formation commerciale sur l’encastré par le biais de son équipe de vente. En s’appuyant sur un guide de choix, les vendeurs de salles d’expositions se verront guidés au travers des bénéfices utilisateurs, des étapes clés du chiffrage, d’un outil de sélection de produits à la carte, ou plus simplement de 15 packs commandables en une seule référence.Et enfin, ce programme n’aurait certainement pas les mêmes retombées sans le lancement d’une offre de recrutement, ayant vocation à progressivement prendre le relai des colonnes de douches. C’est ainsi qu’Hansgrohe propose des packs dès 579€, soit le prix d’une colonne dans le réseau pro, pour encourager le transfert.L’encastré, une solution esthétique pour les particuliersLes solutions encastrées permettent de réaliser des salles de bains élégantes et minimalistes en mettant en valeur le carrelage, véritable clou de la salle de bain depuis quelques années. L’encastré est aussi plus facilement modulable et permet d’adapter la disposition de la douche aux contraintes de la salle de bain pour un rendu esthétique adapté aux volontés des consommateurs.
Il y a 4 ans et 187 jours

Un constructeur du Pays basque fête son 130ème anniversaire

L'histoire, le supplément d'âme des maisons CastelC’est Pierre Castel qui en 1890 déposa la première pierre de cette maison d’exception dont la transmission s’est toujours faite sur le terrain. Edouard et Albert, ses fils, Jean-Paul et Jean-Claude, ses petits-fils puis Daniel Rospide ont ensuite pris le relais. Construction, rénovation et réalisations sur-mesure : depuis plus d’un siècle, ce sont ainsi 5 générations de bâtisseurs passionnés qui perpétuent l’histoire et les savoir-faire de Castel Fils. C’est aujourd’hui au tour de Philippe Idiart de souffler cette 130ème bougie. De s’appuyer sur des fondations solides pour porter toujours plus haut l’excellence et les valeurs de l’entreprise.L'entretien du patrimoine local comme fer de lanceAu travers de ses différents travaux de construction ou de rénovation, Castel a toujours eu à cœur de mettre en avant et de protéger le style et l’esthétisme basques. Chaque projet architectural est mené en accord avec les singularités du paysage local. « Nous souhaitons inscrire nos réalisations dans le temps pour qu’elles traversent les générations, en conjuguant maîtrise des savoir-faire traditionnels et techniques innovantes. Nous créons et sublimons des lieux de vies dans le respect du patrimoine local et des aspirations de nos clients avec qui nous bâtissons des relations privilégiées. C’est là que réside toute la richesse du travail de nos équipes. » souligne Philippe Idiart.L'innovation au cœur de la traditionCôté menuiserie, Castel a modernisé son atelier l’année dernière en s’équipant de machines à commande numérique, en particulier d’un centre d’usinage 5 axes. Un équipement qui lui permet de mieux répondre aux demandes personnalisées de ses clients et de donner vie aux créations et agencements intégralement sur-mesure : cuisine, dressing, bibliothèques ou bien encore mobiliers en bois massif.Chez Castel on recrute !Parce que chez Castel « Il n’y a pas d’histoire sans bâtisseurs », ce sont aujourd’hui les savoir-faire conjugués d’une trentaine d’artisans intégrés à l’entreprise et de jeunes en apprentissage qui font sa richesse : maçons, carreleurs, menuisiers, ou ébénistes. Des partenaires fidèles viennent compléter cette belle équipe : architectes et décorateurs d’ici et d’ailleurs, plombiers, électriciens, plâtriers, peintres... Face aux demandes grandissantes de projets de rénovation ou de construction à venir, Castel ouvre ses portes à de nouveaux collaborateurs. Alors si vous êtes maçon, carreleur ou menuisier passionnés par votre métier, l’équipe Castel n’attend plus que vous pour souffler la prochaine bougie.
Il y a 4 ans et 187 jours

EJ Energies maîtrise son virage numérique

Est -
Il y a 4 ans et 188 jours

Podcast #3 – Renforcer une structure par des matériaux composites

ACPresse – Renforcer une structure – Raconté par Yann Butillon ACPresse · Renforcer une structure par des matériaux composites à base de fibres de carbone Quelles sont les solutions permettant un renforcement structurel d’un ouvrage en béton ? Plusieurs raisons imposent de renforcer une structure en béton : impact accidentel ou incendie, erreur de conception ou de positionnement des armatures, mise en conformité d’un ouvrage existant ou encore changement de destination de l’ouvrage. Selon le type d’ouvrages, la nature de la dégradation, le moment de l’intervention ou l’accessibilité au chantier, les techniques de renforcement peuvent être différentes. On en dénombre six différentes. A un moment ou à un autre, un ouvrage aura besoin d’un entretien plus ou moins poussé, d’une réparation, voire d’un renforcement structurel. [©ACPresse] a – La projection d’un béton Projeter du béton sur une structure constitue la première solution de renforcement. Cette technique présente toutefois quelques inconvénients : elle est bruyante, émettrice de poussières et nécessite pas mal de manutention. Sans compter la création d’une surépaisseur et de poids sur la structure existante. La projection de béton constitue une des alternatives techniques, permettant une réparation et/ou un renforcement structurel. [©ACPresse] b – La précontrainte additionnelle par post-tension Cette technique est bien adaptée aux ouvrages de génie civil. Elle voit la mise en tension des câbles de précontrainte à l’extérieur de l’ouvrage. Son avantage est de permettre une importante reprise d’efforts. En bâtiment, sa mise en œuvre est beaucoup plus complexe, car elle impose des équipements lourds et un savoir-faire particulier. c – Le renforcement en sous-œuvre Il s’agit ici d’injecter en sous-sol un coulis ou un mortier qui, une fois durci, reprendra les efforts de l’ouvrage situé au-dessus. Bien maîtrisée et pérenne, cette technique reste limitée aux fondations, impose beaucoup de manutention, de produits et nécessite des équipements de mise en œuvre particuliers.    d – Le renforcement par plats métalliques Cette technologie consiste à coller et à cheviller des plats métalliques sur une structure en béton. La reprise d’efforts est importante et il y a peu d’immobilisation de l’ouvrage. Mais le métal est sensible à la corrosion. e – Le renforcement par profilés métalliques La mise en place de profilés métalliques demande de la manutention, du personnel et d’importantes étapes de chantier (engravures dans la structure existante pour scellement des poutres, mise en place de sabots…). On rapporte des épaisseurs supplémentaires qui peuvent être importantes et pas toujours compatibles avec des gabarits de passage imposés. Les profilés métalliques sont lourds et difficiles à manutentionner. Et peuvent être sensibles à la corrosion. f – Le renforcement par éléments composites Ces éléments de renfort sont constitués de fibres (de carbone, de verre ou d’aramide) maintenues dans une matrice (résine). Légers, les composites de renforcement se déclinent en plusieurs sous-familles et domaines d’emplois. Leur rôle est d’apporter une matière sans surépaisseur sur un ouvrage existant pour le renforcer et assurer ainsi une meilleure tenue, aussi bien à la flexion, qu’au cisaillement. Légers, les composites de renforcement se déclinent en plusieurs sous-familles et domaines d’emploi. [©Mapei] Quels sont les domaines d’emploi des composites de renforcement ? A vrai dire, les applications sont multiples. Cela va du renforcement de poutres, de trémies ou d’ouvertures, au chemisage de poteaux. L’application de composites de renforcement permet une augmentation de la résistance à la flexion, une réduction des effets du cisaillement ou une annulation du flambement. En effet, le manque de cadres dans une poutre aboutit à une hausse de l’effort de cisaillement. Idem avec le manque de cerces dans un poteau circulaire, qui peut induire du flambement. Quels sont les différents types de matériaux composites à base de fibres de carbone ? Et pour quels usages ? Il existe plusieurs types matériaux de renforcement à base de fibres de carbone, dont les principaux sont : les tissus, les lames et les mèches d’ancrage. Tous offrent un module d’élasticité élevé, les rendant aptes à reprendre des contraintes mécaniques importantes. Ces trois types sont proposés par Mapei, industriel qui nous a aidés à préparer le présent Béton Pratique. Les tissus s’appellent Mapewrap C Uni-Ax. Les lamelles sont baptisées Carboplate. Les mèches d’ancrage se nomment Mapewrap C Fiocco. a – Le tissu carbone Elément souple par définition, le tissu carbone permet d’enrober une surface pour en épouser au plus près la forme. C’est la solution idéale pour envelopper, par exemple, un poteau et une retombée de poutres. Le tissu impose l’utilisation d’un primaire d’imprégnation du support, puis d’une colle époxy spécifique. Collage de tissus carbone au niveau de la jonction entre deux poutres et un poteau. [©Mapei] b – La lamelle carbone Comme son leur nom l’indique, les lamelles carbone présentent une forme linéaire, plate et assez étroite. Elles se mettent en œuvre en sous-face de poutres ou de planchers par collage époxy. Elles peuvent se chevaucher pour former un quadrillage (cas des renforts d’ouverture). Il est aussi possible d’utiliser des lamelles en partie supérieure d’ouvrages. Dans ce cas, la création d’engravures est nécessaire pour intégrer et protéger les lamelles ainsi positionnées.   Renforcement de la sous-face d’une poutre de pont à l’aide de lamelles en carbone. [©Mapei] c – La mèche d’ancrage carbone La mèche se décompose en deux parties. D’un côté, le jonc (ensemble de fibres et de résine durcie maintenues dans une sorte de fourreau) et le fouet (ensemble de fibres libres non enduites). La partie “jonc” est à ancrer dans des trous pré-percés dans la structure à renforcer. Quant à la partie “fouet”, elle vient se positionner, par exemple, sur les retombées de poutres. Et éventuellement, sur des tissus carbone déjà en place pour assurer un parfait raccordement de l’ensemble. Mèches carbone et leur mise en œuvre. [©Mapei] Quelles sont les limites d’emploi et les précautions à prendre ? a – Que dit la réglementation ? A ce jour, les solutions de renforcement par matériaux composites à base de carbone ne bénéficient d’aucune uniformisation normative ou de certification. En France, les Avis techniques délivrés par le CSTB constituent les seuls documents certifiés et reconnus. Dans ce contexte, les industriels proposant ces solutions doivent former les bureaux d’études techniques et les entreprises applicatrices. b – Bon à savoir avant de commencer Le support à renforcer doit être sec. Il doit être poncé pour obtenir une surface propre et plane. Sa résistance à l’arrachement doit être d’au moins 1,5 MPa. Enfin, il faut s’assurer que l’ouvrage renforcé ne soit pas exposé de manière continue à une température supérieure de 45 °C de manière continue (ou à 58 °C de façon ponctuelle). En effet, les colles époxy sont sensibles à la chaleur, peuvent devenir visqueuses au-delà de ces températures, et perdre leur rôle mécanique au sein du composite. Dans le même ordre d’idées, une protection au feu est indispensable, si la vérification de la stabilité au feu de l’ouvrage le demande. Préparation du support à renforcer. Ici, l’opération de ponçage. [©ACPresse] Avec nos remerciements à Mapei pour l’aide technique apportée à la préparation de ce document.
Il y a 4 ans et 189 jours

Aménagement : six fiches diffusent les solutions fondées sur la nature

Cadeau de Noël de France Nature Environnement aux 35 000 maires de France, une série de fiches pratiques et thématiques présente les bienfaits des solutions fondées sur la nature : elles concilient l’écologie, l’économie et le bien-être, à un coût maîtrisé. Outre les collectivités invitées à repenser leurs projets, la fédération adresse le document aux associations locales de protection de la nature, pour conforter leurs argumentaires.
Il y a 4 ans et 189 jours

Poces : Environnement souterrain, et si on parlait béton ?

Une soixantaine de participants scientifiques, maîtres d’ouvrage et d’œuvre, entrepreneurs, fournisseurs et institutionnels ont assisté aux conférences. [©Poces] Inauguré en 2017, le Pôle de compétences en environnement souterrain (Poces) est hébergé à Ecurey (55), au Pôle d’Avenir. Il s’est rapidement imposé comme une référence technique et pédagogique auprès de nombreux acteurs du secteur des travaux souterrains. Depuis plus de deux ans, il propose des évènements et des formations professionnelles spécialisées. Le tout avec des mises en pratiques dans les galeries du laboratoire de l’Agence nationale pour la gestion des déchets radioactifs (Andra), à Bure (54). Ainsi, douze modules de formation ont été déployés. Ils abordent différents thèmes comme la maîtrise des risques en souterrain, la sécurité incendie. Mais aussi, les risques projets, l’environnement de travail souterrain, la gestion de travaux… Une deuxième édition Intitulées “Durabilité des bétons en milieu souterrain”, les Journées techniques du Pôle de compétences en environnement souterrain (Poces) ont eu lieu cet automne. [©Poces] C’est toujours dans cette même démarche que le Poces a organisé la 2eédition de ses Journées techniques, intitulées “Durabilité des bétons en milieu souterrain”. Organisé à Ecurey (55), cet évènement a constitué un rendez-vous regroupant scientifiques, industriels et institutionnels du secteur. Ces derniers ont partagé leurs expériences, leurs pratiques et leurs progrès. Pour cette 2eédition, le béton et ses innovations étaient au cœur des discussions. Considéré comme un matériau incontournable dans la réalisation d’ouvrages, tels que les galeries et les tunnels. Autour de la durabilité des bétons Ainsi, une soixantaine de participants scientifiques, maîtres d’ouvrage et d’œuvre, entrepreneurs, fournisseurs et institutionnels ont assisté aux conférences. Et participé aux tables rondes. Ces deux journées ont été l’occasion de partager des expériences et de discuter des meilleures pratiques. Ainsi que de s’informer sur les innovations dans le domaine des bétons pour la construction des tunnels de demain. Ces rencontres ont permis de valoriser toute la filière des milieux souterrains. Et de diffuser de la façon la plus large possible les connaissances acquises par des professionnels et des chercheurs. Quatre conférences François Martin, chef de projets travaux souterrains chez BG Ingénieurs Conseils, a abordé la thématique de l’emploi des bétons dans les travaux de réalisation de tunnels et de galeries. [©Poces] Quatre grandes conférences ont ponctué ces Journées techniques. Déjà, l’exposé de François Martin, chef de projets travaux souterrains chez BG Ingénieurs Conseils. Thématique abordée : l’emploi des bétons dans les travaux de réalisation de tunnels et de galeries. François Martin a ainsi démontré que ce matériau était incontournable dans ces ouvrages. Mais aussi, qu’apparemment simple et facile à confectionner, ainsi qu’à mettre en œuvre, le béton était en réalité « prodigieusement compliqué » dans cet environnement. Laurie Lacarrière, enseignante-chercheuse à l’Insa-LMCD Toulouse, a communiqué sur le thème de la durabilité des bétons et de ses constituants. [©Poces] Puis, c’est l’intervention de Laurie Lacarrière, enseignante-chercheuse à l’Insa-LMCD Toulouse, qui a suivi. Avec comme thème : la durabilité des bétons et de ses constituants. L’enseignante-chercheuse a fait la synthèse sur l’état des connaissances. Temps fort : la “prise en compte des couplages thermo-hydro-chemo-mécaniques pour la prédiction de la durabilité des ouvrages enterrés”. Laurie Lacarrière a appréhendé la durée de vie et de service des constructions selon des conditions environnementales. Cette approche académique a été complétée par l’intervention de Frédéric Duprat, enseignant-chercheur à l’Insa-LMCD Toulouse. Celui-ci a transporté les auditeurs dans le monde de la gestion des ouvrages.  Des tables rondes, marque de fabrique du PoCes Une troisième conférence menée par Sylvie Geromey (Cetu/Asquapro) et Abdel Mestari (ABCCR/Asquapro) a porté sur les bétons projetés. [©Poces] Une troisième conférence menée par Sylvie Geromey (Cetu/Asquapro) et Abdel Mestari (ABCCR/Asquapro) a porté sur les bétons projetés. Les différentes méthodes de projection avec leurs spécificités ont été ici détaillées. Précisant les avantages et les difficultés de chacune. La présence sur le site d’un simulateur virtuel de projection de béton et des démonstrations encadrées par Yves Girard (Master Builders Solutions) ont permis aux participants de s’initier à cette technique innovante. Interventions des scientifiques de l’Andra avec Odile Azanam. [©Poces] Enfin, il y a eu les interventions des scientifiques de l’Andra avec Odile Azanam, Gilles Armand et Jad Zghondi. Qui ont permis de rendre compte des problématiques liées à l’utilisation et à la durabilité du béton dans la future installation souterraine Cigéo. Cette dernière est implantée dans l’Est de la France, à Bure, à la limite des départements de la Haute-Marne et de la Meuse. Marque de fabrique du Poces, le format des tables rondes a aussi permis de partager des expériences autour de la durabilité des bétons.  
Il y a 4 ans et 189 jours

Restauration du décor sculpté de la rose occidentale de la cathédrale de Soissons

Suite à la tempête Egon de 2017, des éléments anthropomorphes authentiques ont été mis à jour à l’occasion de la restauration de la rose occidentale de la cathédrale de Soissons. La maîtrise d’œuvre a pu, dans le cadre de son étude de diagnostic, bénéficier de moyens d’accès exceptionnels pour réaliser les relevés d’état sanitaire au niveau des décors sculptés de l’arc brisé de la façade. Des petites têtes anthropomorphes du XIIIe ont été distinguées de la plupart des fleurons à motifs végétaux. Celles-ci sont discrètement dissimulées : les personnages se trouvent au centre de la composition, à la place des stigmates des fleurons. D’autres visages sculptés présents sur l’arc brisé datent clairement des travaux de la reconstruction après-guerre. En raison de leur exposition aux intempéries et de la nature de la pierre locale mise en œuvre, ces décors présentaient pour la plupart un épiderme fragilisé. Des petites fenêtres d’essais réalisées au début du chantier par la société TOLLIS, attributaire du marché de restauration du décor sculpté, ont permis de confirmer le choix de l’architecte d’utiliser le laser. Après avoir réalisé un micro-gommage fin et délicat, ces crochets anthropomorphes ont fait l’objet d’un nettoyage complémentaire à l’aide d’une machine, à exemplaire unique, fruit du développement de la société TOLLIS dans le but d’élaborer un laser de nouvelle génération. Une diode laser à haut rendement (et non plus une lampe flash) au rayonnement ultra-précis permet une désintégration photonique des encroûtements noirs qui sont littéralement pulvérisés. La pierre sous-jacente, de couleur claire, ne peut accumuler l’énergie lumineuse et se retrouve ainsi protégée, assurant ainsi la très grande sélectivité du nettoyage. L’énergie du faisceau est systématiquement calibrée.   Photo : Ville de Soissons – Frédéric Sartiaux
Il y a 4 ans et 189 jours

Le trésor de la cathédrale d’Orléans est visible dans un nouvel écrin

Exposé dans deux vitrines mises en place dans la sacristie en 1939, le trésor de la cathédrale d’Orléans n’était plus visible du public depuis plusieurs décennies. Il bénéficie depuis 2020 d’un nouvel aménagement dans l’une des chapelles du déambulatoire, dédiée à saint Michel, qui est désormais vouée à sa présentation permanente. Une grande vitrine habillée de bois de chêne a été créée, offrant une bonne vue d’ensemble des objets et reprenant le volume du confessionnal néo-gothique en vis-à-vis duquel elle est implantée. Conçue dans le strict respect des normes de sécurité et de conservation préventive avec contrôle et régulation de l’hygrométrie intérieure, la vitrine bénéficie d’un éclairage soigné, mettant en valeur les pièces d’orfèvrerie exposées. La sécurité de la chapelle, placée, comme la vitrine, sous alarme électronique, a été renforcée par la pose, à l’extérieur, d’une grille de défense sur chacune des baies et, à l’entrée, d’une grille haute monumentale ; celle-ci intègre, en la renforçant, la clôture du XIXe siècle, ce qui a pour effet de maintenir, en partie basse, la continuité de niveau et de décor avec les clôtures des autres chapelles. Maîtrise d’ouvrage : Drac Centre-Val de Loire Maîtrise d’œuvre : Régis Martin (ACMH) Réalisation de la vitrine : Ateliers de la Chapelle  
Il y a 4 ans et 190 jours

Gamme de contrôle d’accès électronique ENIQ de DOM-Metalux : Une nouvelle finition antibactérienne au service d’une protection sanitaire renforcée

Actionnées à plusieurs reprises dans une journée par de nombreux usagers, en particulier dans les Etablissements Recevant du Public, les poignées de porte sont un vecteur important de transmission des bactéries. Près de 80% des maladies courantes se transmettant par le toucher, trouver des solutions efficaces pour limiter le risque de propagation des microbes constitue une priorité d’autant plus essentielle dans le contexte sanitaire actuel. Fidèle à sa volonté d’assurer la protection des biens et des personnes, DOM-Metalux met aujourd’hui son expertise au service de ce véritable enjeu de santé publique et propose une nouvelle finition antibactérienne disponible sur les produits de sa gamme de contrôle d’accès électronique ENIQ. Un revêtement antibactérien au service d’un risque sanitaire maîtrisé La gamme de solutions de contrôle d’accès électronique ENIQ de DOM-Metalux répond aux besoins de sécurisation de sites très fréquentés tels que les immeubles de bureaux, les établissements scolaires, les hôpitaux ou encore les centres commerciaux. Autant d’établissements qui, en période épidémique, se trouvent confrontés à des problématiques d’hygiène. Pour les aider à concilier sécurité et protection sanitaire renforcée, le cylindre électronique ENIQ Pro et la béquille GUARD peuvent désormais bénéficier, en option, d’une finition antibactérienne SANPURE®. Innovant et invisible, ce film antimicrobien repose sur la nanotechnologie avec comme principal composant actif des ions d’argent. Reconnu scientifiquement pour ses propriétés naturelles permettant de lutter contre les moisissures, les bactéries, les virus et les champignons, l’argent peut éliminer, en deux heures, jusqu’à 99,9% de micro-organismes nuisibles. Une protection constante A l’effet antibactérien vérifié, le revêtement SANPURE®, choisi par DOM-Metalux pour équiper ses solutions, agit en continu. Contrairement aux protocoles de désinfection effectués ponctuellement dans une journée, il neutralise de façon permanente et sûre la prolifération des bactéries et germes dangereux, en libérant lentement et constamment des ions d’argent. S’inscrivant en parfait complément du nettoyage des surfaces parfois insuffisant pour lutter efficacement contre les risques d’infection, ENIQ Pro et ENIQ GUARD de DOM-Metalux dotés du traitement SANPURE® contribuent, pendant tout le cycle de vie des produits, à interrompre les chaînes de transmission des virus. ENIQ PRO et ENIQ GUARD avec finition SANPURE®, quand sécurité rime avec santé Afin de garantir une sécurité sans compromis quelles que soient les configurations, l’écosystème de sécurité ENIQ de DOM-Metalux se compose d’une large gamme de solutions connectées de contrôle d’accès parmi lesquelles, les produits électroniques proposés avec la nouvelle finition antibactérienne SANPURE® : les béquilles GUARD réversibles et conçues pour s’adapter à une grande variété de portes. Disponibles dans quatre styles différents pour s’intégrer harmonieusement à tous les environnements, elles se déclinent en version Compact avec rosace, Slimline ou Wideline (avec ou sans entrée de cylindre), le cylindre électronique universel ENIQ PRO qui, grâce à un embrayage magnétique breveté révolutionnaire, garantit une protection optimale contre toute tentative d’intrusion. Avec 12 variantes au choix (double cylindre à bouton, demi-cylindre, cylindre à deux têtes électroniques…), il s’adapte à toutes les exigences et toutes les configurations pour assurer un haut niveau de sécurité. En proposant une finition antibactérienne pour ses solutions de contrôle d’accès ENIQ qui allient fiabilité et simplicité d’utilisation, DOM-Métalux répond non seulement aux exigences de sécurité les plus élevées mais aussi aux contraintes d’hygiène liées aux nouvelles règles sanitaires. https://www.dom-security.com/fr/fr
Il y a 4 ans et 194 jours

Consultation pour la réalisation d’un bâtiment mixte à Paris-Saclay

L’EPA Paris-Saclay lance une consultation pour la réalisation d’un bâtiment mixte stationnement / restauration d’entreprise au sein de la ZAC de Satory Ouest à Versailles. Jusqu’au 8 janvier 2021. Cette consultation a pour objet la désignation d’une maitrise d’œuvre pour la construction d’un programme mixte de 4 niveaux comprenant un parking silo et un restaurant […] L’article Consultation pour la réalisation d’un bâtiment mixte à Paris-Saclay est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 4 ans et 194 jours

La famille fondatrice de Compobaie Solutions reprend sa direction

Jacques Anglade et ses trois enfants reprennent, ainsi, les rênes de la société créée il y a plus de 30 ans. Depuis début novembre, Compobaie Solutions est sortie officiellement de sa procédure de sauvegarde lui offrant désormais un horizon éclairci et rempli de projets.Cette fin d'année 2020 sonne comme une nouvelle ère pour Compobaie Solutions et ses équipes. Jacques Anglade, fondateur, a décidé de racheter l'entreprise il y a quelques mois pour la relancer et recréer les conditions de sa réussite.La période critique traversée par le monde du bâtiment en 2008 avait conduit à un changement d'actionnariat pour une poursuite d'activité sous l'entité Compobaie Solutions.Aujourd'hui, c'est accompagné de ses trois enfants que Jacques Anglade reprend les commandes d'une entreprise qu'il connait tant et qui lui est cher. L'histoire familiale est en marche !La famille Anglade souhaite conforter l'organisation et la structure de Compobaie Solutions. Son principal objectif est d'asseoir, après 30 années d'existence, la place de Compobaie Solutions sur le marché du bâtiment. Cette reprise aura permis de sauver 150 emplois et ouvre de nouveaux horizons pour le groupe.Aujourd'hui, la sortie de la procédure de sauvegarde permet à l'entreprise de recentrer ses objectifs sur l'innovation de son produit spécialisé. Le groupe propose une solution de traitement des ouvertures intelligentes : le bloc baie béton, assemblé en usine pour optimiser sa qualité optimale qui facilite sa mise en œuvre sur les chantiers et ses performances techniques.Les ambitions de la famille Anglade s'inscrivent dans une réelle volonté d'innover autour du Bloc baie béton déjà maîtrisé, pour le rendre encore plus performant et incontournable.Le savoir-faire et l'expertise de Compobaie Solutions s'appuient également sur cette force de pouvoir faire cohabiter l'aspect industriel et entrepreneur, autrement dit : la rigueur et la souplesse d'adaptation autour d'un seul et même produit.Compobaie Solutions souhaite rester fidèle à son cœur de métier et à son savoir-faire en continuant son orientation sur le segment de la maison individuelle et du logement collectif.C'est une bouffée d'oxygène et de nouveaux horizons qui s'offrent ainsi à cette entreprise leader sur son marché.
Il y a 4 ans et 194 jours

La cybersécurité

La numérisation des infrastructures des villes et le déploiement de capteurs qui fondent les décisions des pouvoirs publics posent un redoutable défi aux projets de villes technologiques. Car ce double numérique embarque avec lui un risque en pleine expansion, celui des cyberattaques. Vols de données, blocages de systèmes, voire prises de contrôle de machines ou de réseaux, les menaces peuvent être anodines ou gravissimes pour les populations. La ville du futur ne pourra être sûre que si elle maîtrise ces nouvelles menaces. Il s’agit d’abord de les prévenir et, si cela ne suffit pas, de ne pas voir ses systèmes d’information paralysés. Ce qui suppose une profonde et lourde acculturation de l’ensemble des acteurs, jusqu’aux citoyens, aux règles de base de la sécurité informatique.
Il y a 4 ans et 194 jours

La santé

S’il en était besoin, la crise sanitaire a fait de la santé publique la priorité des priorités pour les villes. Si elle veut être sûre, la ville du futur devra garantir à ses habitants que l’air qu’ils respirent, l’eau qu’ils boivent, les plantes qu’ils croisent, ne présentent pas de dangers. Et ce en extérieur, comme en intérieur. Ce qui impose de repenser la construction de nos immeubles, d’habitations ou de bureaux, et de maîtriser de bout en bout l’acheminement des ressources naturelles, comme la traçabilité des biens de consommation. Des capteurs, ou nos données personnelles peuvent servir ces objectifs. Sauf que les données de santé sont particulièrement sensibles et qu’il faudra gagner la con… ance des citoyens avant de pouvoir les utiliser.
Il y a 4 ans et 196 jours

Sopranature, une solution pour le rafraîchissement urbain

La maîtrise des eaux de pluie en milieu urbain est un enjeu majeur dans la lutte contre les îlots de chaleur. Soprema propose... Cet article Sopranature, une solution pour le rafraîchissement urbain est apparu en premier sur Archicree - Créations et Recherches Esthétiques Européennes.
Il y a 4 ans et 196 jours

Le gisant de la reine Berengère de retour dans l’Abbaye royale de l’Epau (72)

Après des années de recherche et des mois de travaux de restauration, le gisant de la reine Berengère a retrouvé sa place d’origine au sein de l’église abbatiale de l’Abbaye royale de l’Epau. Les travaux ont été́ pilotés par le Département, en délégation de maîtrise d’ouvrage de la DRAC des Pays de la Loire sous maitrise d’œuvre du Cabinet ARCHITRAV et de son responsable François Jeanneau (architecte en chef des Monuments Historiques). L’opération de restauration a démarré́ fin septembre et s’est achevée le 30 novembre. Ce chantier de restauration a été labellisé « Chantier de France » et a mobilisé les savoirs faire et l’expertise de véritables métiers d’arts ancestraux, tout en y intégrant les techniques d’investigation innovantes d’aujourd’hui. En 2018, le gisant a fait l’objet d’une étude historique et architecturale générale intégrant des relevés de polychromie et un diagnostic sanitaire complet. Grâce à cette étude, le gisant de la reine a pu être déplacé au chœur de l’église abbatiale. L’objectif de ce déplacement était d’améliorer les conditions de conservation et de présentation du gisant. Sculpté dans la seconde moitié du XIIIème siècle, le gisant de la reine est en pierre calcaire, type cliquart. La représentation de Bérengère, sans doute idéalisée, porte la couronne, signe distinctif d’une reine. Au Moyen Âge, le gisant était entièrement peint : bleu azurite pour la robe, rouge clair pour le manteau, bleu-vert pour le voile, ocre-jaune pour le lion. Le coût de ce déplacement s’élève à 218 000 €, soit 36% pris en charge par la DRAC des Pays de la Loire. Source et photo : Drac Pays de la Loire  
Il y a 4 ans et 197 jours

Picard Serrures livre un retour d'expérience sur MyPrycer et la commande dématérialisée

L'objectif : leur offrir une solution de chiffrage 100% Web clé en main pour leurs devis, et simplifier le passage et le traitement des commandes. Mise en place, accompagnement, bénéfices: rencontre avec Julien MALIAR, Animateur Réseaux Installateurs agréés PICARD en France, Belgique et Suisse.Julien, voilà un peu moins d'un an que Picard Serrures a déployé MyPricer et l'EDI auprès de ses clients. Comment sont nés ces projets ?Cette décision est liée à la forte évolution des commandes de portes. Il y a 10 ans, nous recevions une cinquantaine de commandes de portes par mois pour la France. Aujourd'hui, rien que sur le mois de juin 2020, nous avons enregistré 650 commandes de portes! Il fallait trouver une solution simplifiant le passage de commandes de nos clients, tout en nous permettant d'optimiser le traitement de ces commandes en interne. Avant MyPricer et l'EDI, nos clients nous transmettaient leurs commandes de portes par fax ou par e-mail. En interne, un traitement manuel était nécessaire pour enregistrer la commande sur le plan commercial, enregistrer et valider avec le client les données techniques de porte sur-mesure et enfin recevoir la confirmation de commande signée par le client. Tous ces échanges retardaient la mise en fabrication de plusieurs jours. Nous et nos clients pouvions perdre une semaine! Avec MyPricer, notre objectif était d'accélérer ce process et de simplifier cette méthodologie pour éviter un goulot d'étranglement en interne. Pourquoi avoir choisi MyPricer et l'EDI ?Régis DIDIA, Chef de produit porte chez Picard Serrures, travaillait déjà avec ProDevis pour nos clients Menuisiers. Il a donc proposé ELCIA et sa solution MyPricer. La présentation de la solution de chiffrage nous a convaincu. Simple, pratique, qui puisse s'utiliser de partout: c'était vraiment la solution adaptée à notre cible de clientèle !Justement, vous avez décidé de déployer MyPricer seulement auprès de certains de vos clients...Il faut savoir que nous avons trois grandes typologies de clients: notre réseau Installateurs Agréés PICARD (IAP), les Menuisiers et enfin les serruriers. Les Menuisiers utilisent déjà majoritairement ProDevis pour leur chiffrage. MyPricer s'adresse à tous nos clients mais principalement à notre réseau Installateurs Agréés Picard(IAP). Ils possèdent leur propre magasin sous enseigne Picard Serrures, nos serrures et produits sont présentés dans leur showroom, et certains produits Picard Serrures leur sont réservés. En tant que Responsable duréseau IAP, mon rôle est de m'assurer que leurs magasins fonctionnent bien, les aider à avancer tout en les formant. Les équiper de MyPricer entre dans cette logique.Est ensuite venu le moment de mettre en place MyPricer. Comment vous y êtes-vous pris ?Il y a d'abord eu un gros travail de la part de nos commerciaux. Aujourd'hui encore, beaucoup de nos clients nous passent commande par fax. Il a donc fallu les sensibiliser, leur faire comprendre que MyPricer est un outil pratique qui leur permet de gagner du temps, de faire leurs devis directement sur leur téléphone, d'être réactifs. Il y a ensuite eu une deuxième phase avec le Service Customer Success d'ELCIA. En novembre 2019, nous avons organisé un tour de France, avec trois rassemblements sur Marseille, Bordeaux et à Lyon, dans les locaux d'ELCIA. Marie-Anne FOSSIER, Customer Success Manager à ELCIA, était présente pour présenter MyPricer et faire des démonstrations en direct. Un vrai plus !En complément de ces rendez-vous physiques, vous avez également mis en place un accompagnement de vos clients à distance...Oui, et la période de confinement a d'ailleurs été propice pour cela ! Nous en avons profité pour accélérer sur la formation à distance, en organisant notamment des webinars. Pas besoin de se déplacer, nous pouvions prendre le contrôle de leur PC à distance et leur expliquer clairement. Ensemble, nous avons créé leur compte sur MyPricer et simuler leur première commande de portes. L'idée était de leur montrer concrètement la simplicité d'utilisation de MyPricer. Certains de nos clients chiffrent des portes complexes. Ils ne trouvaient pas comment passer leur commande. Mais une fois la formation faite, ils ont reconnu que c'était très simple et pratique. C'est très important de prendre ces quelques minutes avec nos clients, car au final, cela leur permet de gagner un temps précieux.Avez-vous rencontré des freins du côté de vos clients ?Certains de nos clients ne maîtrisent pas bien l'outil informatique. Nos installateurs sont des professionnels, excellents techniquement, qui maîtrisent leur métier à la perfection. Mais, à l'inverse, qui sont aussi capables de faire des devis et des factures à la main. Or, aujourd'hui, quand un client particulier achète une porte, il veut que tout soit professionnel. Il ne fera pas forcément confiance à quelqu'un qui lui envoie un devis fait à la main sur un bout de papier. Un devis précis, bien organisé, détaillé sera plus vendeur ! En plus, il permet de rappeler point par point toutes les caractéristiques du produit, les notions importantes, les couleurs... et ainsi éviter les oublis. Pour pallier à ce manque de connaissance informatique, les formations personnalisées étaient nécessaires. En complément, nous leur avons également envoyé un book de formation. Une petite bible dans laquelle ils peuvent trouver les réponses à leurs besoins.Quels sont les bénéfices de MyPricer pour vos clients ?La facilité de chiffrage. Avec MyPricer, ils peuvent faire leurs devis de n'importe où, sans avoir besoin de retourner à leur bureau ou d'appeler leur secrétaire. Ils peuvent dupliquer leurs devis de manière très facile, personnaliser leurs documents avec leurs logos ou certifications. MyPricer, c'est vraiment un outil utile et pratique pour eux, nécessaire pour leur développement. Le côté 100% Web de la solution aussi ! Ils ont une solution accessible via une URL, sans installation nécessaire. C'est un avantage conséquent pour nos clients pas tous informatisés : même en 3G ou en données partagées, ils peuvent facilement utiliser leur solution et chiffrer depuis leur téléphone ou leur tablette. Enfin, la simplification de leurs commandes. Ils n'ont plus besoin d'aller vérifier leur commande dans leurs e-mails, de l'imprimer, de la tamponner et de nous renvoyer la fiche de validation pour mise en fabrication. Avec MyPricer et l'EDI, ils n'ont plus rien à faire, c'est un gros gain de temps et de simplicité !Et du côté de vos équipes internes ?L'EDI nous permet d'éviter la ressaisie manuelle des commandes de nos clients. Nous avons gagné en praticité et en réactivité dans le traitement des commandes de nos clients. Une fois qu'un client nous a passé sa commande, cette dernière part en fabrication en moins de 24h. C'est un temps précieux qui est gagné au niveau de la fabrication, et donc pour nos clients.S'il fallait résumer MyPricer et l'EDI en quelques mots ?C'est vraiment la simplicité de l'outil pour nos clients ! Avec MyPricer et l'EDI, cinq minutes leur suffisent pour passer leur commande. Autre point important: ils vont avoir accès en direct à toutes les informations importantes. Par exemple, beaucoup de nos clients appellent notre bureau technique pour connaître la perte de passage lorsqu'ils commandent une porte en rénovation. Avec MyPricer, ils remplissent directement les dimensions et obtiennent instantanément leur compte-rendu, avec notamment cette notion de passage. Cela peut sembler pas grand-chose, mais ce sont des informations très précieuses et utiles pour nos serruriers. Même s'il est 18h un samedi, que notre bureau d'étude est fermé, que leur commercial n'est pas joignable, le client a tout de suite son information sur MyPricer. Il n'a pas à attendre et peut répondre directement à son client particulier ou prendre une décision sur son chantier. Cette réactivité est très importante !Maintenant que la mise en place et la prise en main de vos clients sont lancées, quels sont vos objectifs ?Début 2020, 19% de nos commandes de portes ont été passées via MyPricer. Depuis que nous avons décidé d'accélérer le passage de commandevia MyPricer, nous sommes passés à 36%. C'est une belle évolution ! Il faut continuer à promouvoir la solution auprès de nos clients, en poursuivant les formations, notamment sur le réseau IAP. L'objectif est d'avoir au moins 1 porte sur 2 commandées via MyPricer d'ici fin 2020, et 3 portes sur 4 d'ici 2021.
Il y a 4 ans et 197 jours

Picard Serrures livre un retour d'expérience sur MyPricer et la commande dématérialisée

L'objectif : leur offrir une solution de chiffrage 100% Web clé en main pour leurs devis, et simplifier le passage et le traitement des commandes. Mise en place, accompagnement, bénéfices: rencontre avec Julien MALIAR, Animateur Réseaux Installateurs agréés PICARD en France, Belgique et Suisse.Julien, voilà un peu moins d'un an que Picard Serrures a déployé MyPricer et l'EDI auprès de ses clients. Comment sont nés ces projets ?Cette décision est liée à la forte évolution des commandes de portes. Il y a 10 ans, nous recevions une cinquantaine de commandes de portes par mois pour la France. Aujourd'hui, rien que sur le mois de juin 2020, nous avons enregistré 650 commandes de portes! Il fallait trouver une solution simplifiant le passage de commandes de nos clients, tout en nous permettant d'optimiser le traitement de ces commandes en interne. Avant MyPricer et l'EDI, nos clients nous transmettaient leurs commandes de portes par fax ou par e-mail. En interne, un traitement manuel était nécessaire pour enregistrer la commande sur le plan commercial, enregistrer et valider avec le client les données techniques de porte sur-mesure et enfin recevoir la confirmation de commande signée par le client. Tous ces échanges retardaient la mise en fabrication de plusieurs jours. Nous et nos clients pouvions perdre une semaine! Avec MyPricer, notre objectif était d'accélérer ce process et de simplifier cette méthodologie pour éviter un goulot d'étranglement en interne. Pourquoi avoir choisi MyPricer et l'EDI ?Régis DIDIA, Chef de produit porte chez Picard Serrures, travaillait déjà avec ProDevis pour nos clients Menuisiers. Il a donc proposé ELCIA et sa solution MyPricer. La présentation de la solution de chiffrage nous a convaincu. Simple, pratique, qui puisse s'utiliser de partout: c'était vraiment la solution adaptée à notre cible de clientèle !Justement, vous avez décidé de déployer MyPricer seulement auprès de certains de vos clients...Il faut savoir que nous avons trois grandes typologies de clients: notre réseau Installateurs Agréés PICARD (IAP), les Menuisiers et enfin les serruriers. Les Menuisiers utilisent déjà majoritairement ProDevis pour leur chiffrage. MyPricer s'adresse à tous nos clients mais principalement à notre réseau Installateurs Agréés Picard(IAP). Ils possèdent leur propre magasin sous enseigne Picard Serrures, nos serrures et produits sont présentés dans leur showroom, et certains produits Picard Serrures leur sont réservés. En tant que Responsable duréseau IAP, mon rôle est de m'assurer que leurs magasins fonctionnent bien, les aider à avancer tout en les formant. Les équiper de MyPricer entre dans cette logique.Est ensuite venu le moment de mettre en place MyPricer. Comment vous y êtes-vous pris ?Il y a d'abord eu un gros travail de la part de nos commerciaux. Aujourd'hui encore, beaucoup de nos clients nous passent commande par fax. Il a donc fallu les sensibiliser, leur faire comprendre que MyPricer est un outil pratique qui leur permet de gagner du temps, de faire leurs devis directement sur leur téléphone, d'être réactifs. Il y a ensuite eu une deuxième phase avec le Service Customer Success d'ELCIA. En novembre 2019, nous avons organisé un tour de France, avec trois rassemblements sur Marseille, Bordeaux et à Lyon, dans les locaux d'ELCIA. Marie-Anne FOSSIER, Customer Success Manager à ELCIA, était présente pour présenter MyPricer et faire des démonstrations en direct. Un vrai plus !En complément de ces rendez-vous physiques, vous avez également mis en place un accompagnement de vos clients à distance...Oui, et la période de confinement a d'ailleurs été propice pour cela ! Nous en avons profité pour accélérer sur la formation à distance, en organisant notamment des webinars. Pas besoin de se déplacer, nous pouvions prendre le contrôle de leur PC à distance et leur expliquer clairement. Ensemble, nous avons créé leur compte sur MyPricer et simuler leur première commande de portes. L'idée était de leur montrer concrètement la simplicité d'utilisation de MyPricer. Certains de nos clients chiffrent des portes complexes. Ils ne trouvaient pas comment passer leur commande. Mais une fois la formation faite, ils ont reconnu que c'était très simple et pratique. C'est très important de prendre ces quelques minutes avec nos clients, car au final, cela leur permet de gagner un temps précieux.Avez-vous rencontré des freins du côté de vos clients ?Certains de nos clients ne maîtrisent pas bien l'outil informatique. Nos installateurs sont des professionnels, excellents techniquement, qui maîtrisent leur métier à la perfection. Mais, à l'inverse, qui sont aussi capables de faire des devis et des factures à la main. Or, aujourd'hui, quand un client particulier achète une porte, il veut que tout soit professionnel. Il ne fera pas forcément confiance à quelqu'un qui lui envoie un devis fait à la main sur un bout de papier. Un devis précis, bien organisé, détaillé sera plus vendeur ! En plus, il permet de rappeler point par point toutes les caractéristiques du produit, les notions importantes, les couleurs... et ainsi éviter les oublis. Pour pallier à ce manque de connaissance informatique, les formations personnalisées étaient nécessaires. En complément, nous leur avons également envoyé un book de formation. Une petite bible dans laquelle ils peuvent trouver les réponses à leurs besoins.Quels sont les bénéfices de MyPricer pour vos clients ?La facilité de chiffrage. Avec MyPricer, ils peuvent faire leurs devis de n'importe où, sans avoir besoin de retourner à leur bureau ou d'appeler leur secrétaire. Ils peuvent dupliquer leurs devis de manière très facile, personnaliser leurs documents avec leurs logos ou certifications. MyPricer, c'est vraiment un outil utile et pratique pour eux, nécessaire pour leur développement. Le côté 100% Web de la solution aussi ! Ils ont une solution accessible via une URL, sans installation nécessaire. C'est un avantage conséquent pour nos clients pas tous informatisés : même en 3G ou en données partagées, ils peuvent facilement utiliser leur solution et chiffrer depuis leur téléphone ou leur tablette. Enfin, la simplification de leurs commandes. Ils n'ont plus besoin d'aller vérifier leur commande dans leurs e-mails, de l'imprimer, de la tamponner et de nous renvoyer la fiche de validation pour mise en fabrication. Avec MyPricer et l'EDI, ils n'ont plus rien à faire, c'est un gros gain de temps et de simplicité !Et du côté de vos équipes internes ?L'EDI nous permet d'éviter la ressaisie manuelle des commandes de nos clients. Nous avons gagné en praticité et en réactivité dans le traitement des commandes de nos clients. Une fois qu'un client nous a passé sa commande, cette dernière part en fabrication en moins de 24h. C'est un temps précieux qui est gagné au niveau de la fabrication, et donc pour nos clients.S'il fallait résumer MyPricer et l'EDI en quelques mots ?C'est vraiment la simplicité de l'outil pour nos clients ! Avec MyPricer et l'EDI, cinq minutes leur suffisent pour passer leur commande. Autre point important: ils vont avoir accès en direct à toutes les informations importantes. Par exemple, beaucoup de nos clients appellent notre bureau technique pour connaître la perte de passage lorsqu'ils commandent une porte en rénovation. Avec MyPricer, ils remplissent directement les dimensions et obtiennent instantanément leur compte-rendu, avec notamment cette notion de passage. Cela peut sembler pas grand-chose, mais ce sont des informations très précieuses et utiles pour nos serruriers. Même s'il est 18h un samedi, que notre bureau d'étude est fermé, que leur commercial n'est pas joignable, le client a tout de suite son information sur MyPricer. Il n'a pas à attendre et peut répondre directement à son client particulier ou prendre une décision sur son chantier. Cette réactivité est très importante !Maintenant que la mise en place et la prise en main de vos clients sont lancées, quels sont vos objectifs ?Début 2020, 19% de nos commandes de portes ont été passées via MyPricer. Depuis que nous avons décidé d'accélérer le passage de commandevia MyPricer, nous sommes passés à 36%. C'est une belle évolution ! Il faut continuer à promouvoir la solution auprès de nos clients, en poursuivant les formations, notamment sur le réseau IAP. L'objectif est d'avoir au moins 1 porte sur 2 commandées via MyPricer d'ici fin 2020, et 3 portes sur 4 d'ici 2021.
Il y a 4 ans et 198 jours

Vers un nouveau parc éolien en mer au large de la Normandie

D’une capacité d’environ 1000 MW, ce 8e parc éolien en mer français permettra de produire l’électricité nécessaire aux besoins d’environ 800 000 foyers. La présente décision s’accompagne du lancement de la procédure de mise en concurrence en vue de désigner un lauréat pour le développement du parc en 2022. Ce parc s’inscrit dans la programmation pluriannuelle de l’énergie, qui a été publiée en avril 2020. L’éolien en mer est un enjeu majeur de la transition énergétique, qui va permettre de réduire nos émissions de gaz à effet de serre tout en diversifiant notre mix électrique, ce qui le rend plus à même de faire face à toutes les situations. La décision sur la zone retenue pour lancer la procédure de mise en concurrence sera complétée ultérieurement de réponses détaillées à chacune des questions soulevées par le débat public, en particulier en matière d’évaluation des impacts environnementaux et socio-économiques, ainsi que de planification de long terme. De novembre 2019 à août 2020, un débat public a permis de recueillir les avis de plus de 2700 participants. Il a été conclu le 19 octobre 2020 par la publication du bilan par la Commission nationale du débat public. Ce débat a été le premier à se tenir selon les nouvelles modalités prévues par la loi ESSOC de 2018. Il a permis de consulter au plus tôt le public concerné par l’installation d’éoliennes en mer, sur un projet porté par l’Etat. Le débat a été innovant dans sa forme, avec une grande diversité d’outils et d’ateliers de travail pour toucher un large public, mieux l’informer et permettre le recueil de leurs argumentaires. La participation a été bien supérieure à celle observée lors des précédents débats publics sur l’éolien en mer, ce qui confirme la pertinence de ce format. Les conclusions du débat public ont participé au choix de la zone retenue pour le lancement de la procédure de mise en concurrence. Les zones situées en mer territoriale ont été exclues. La zone retenue se situe à plus de 32 km des côtes et 40 km des tours-observatoires Vauban de St-Vaast-La-Hougue. Sur l’ensemble de la zone portée au débat, celle-ci présente un niveau d’activité de pêche faible et des enjeux de biodiversité limités. Le débat a mis en avant des points d’attention sur la cohabitation des usages en mer, dont la pêche, et sur la nécessité de maîtriser les impacts environnementaux du parc. Il fait également ressortir le besoin de visibilité à long terme des acteurs locaux. Le choix de la zone ne résume pas la prise en compte des avis du public. Sous l’égide de la Commission nationale du débat public, un garant va s’assurer des réponses apportées par l’Etat aux interrogations soulevées lors du débat public. Le ministère de la mer a spécifiquement engagé un travail expérimental sur la planification de l’éolien en mer et de son articulation avec les autres usages de la mer sur le long terme, en concertation avec le conseil maritime de façade. Dans sa décision, la ministre de la transition écologique a annoncé différents engagements pour le développement du nouveau parc, notamment :Le cahier des charges de la procédure de mise en concurrence tiendra compte des contributions des participants au débat public lorsque cela est possible et pertinent ;Le futur développeur du parc devra étudier les conditions de cohabitation avec la pêche au sein du parc éolien ;Des études environnementales seront lancées sur la zone de projet, en concertation avec les acteurs de la façade, et le suivi scientifique du projet ;Un site internet d’information du public sur l’ensemble des projets éoliens en mer sera mis en ligne courant 2021. Outre la mobilisation d’un garant pour s’assurer des suites données au débat public, une enquête publique aura lieu dans le cadre de la future procédure d’autorisation du parc. Enfin, une instance de concertation et de suivi sera mise en place pour constituer un lieu de dialogue privilégié entre les différentes parties prenantes durant l’ensemble de la vie du parc.Barbara Pompili, ministre de la Transition écologique : « La transition écologique doit être une ambition partagée, bénéfique pour tous, adoptée par tous. L’éolien en mer est une formidable opportunité pour le pays, qui dispose du deuxième gisement d’Europe. C’est une technologie décarbonée, renouvelable, compétitive et créatrice d’emplois. Mais son déploiement doit se faire en pleine concertation avec les territoires concernés. C’est pour cela que, pour ce nouveau parc normand, nous avons organisé un débat public inédit, très en amont du projet, avant même qu’une zone d’implantation ne soit définie. Cet exercice a montré qu’il y avait un consensus sur la nécessité de la transition écologique. J’ai également entendu les attentes fortes des riverains, des acteurs économiques locaux et de la société civile. C’est pourquoi j’ai décidé que le futur parc éolien en mer serait installé à plus de 40 km des côtes, dans une zone permettant de limiter au maximum les impacts sur notre paysage, nos activités de pêche, le trafic maritime et l’environnement marin. »Annick Girardin, ministre de la Mer : « Ce débat public a souligné combien la question de la planification du développement des énergies marines et plus généralement des usages de la mer est désormais prioritaire. C’est l’une des raisons d’être du ministère de la mer. Le développement de l’éolien en mer est un grand projet de société qui ne se décide pas dans un bureau parisien. Nous poursuivrons les échanges et la concertation, autant que nécessaire, afin de construire un projet commun de mise en valeur, de développement et de préservation de la mer, notre bien commun. Le lancement d’un nouveau projet éolien et l’ambition de planification de long terme doivent aussi tenir compte du contexte de forte incertitude auquel font déjà face les acteurs de la mer en Manche, en particulier au regard du Brexit et pour la pêche, avec un accompagnement spécifique. »La décision est consultable au Journal Officiel du samedi 5 décembre 2020.
Il y a 4 ans et 198 jours

Plan de relance exceptionnel doté de 18 M€ pour le développement de l'apprentissage BTP

Le CCCA-BTP au rendez-vous de la relance Dans un contexte inédit de crise sanitaire qui risque de se prolonger encore plusieurs mois et qui pourrait avoir des conséquences sans précédent sur l'écosystème de l'apprentissage BTP, le CCCA-BTP porte, en complément du plan de relance de l'État en faveur de l'apprentissage, Relance apprentissage BTP, un dispositif exceptionnel, doté de 18 M€. Il vise à limiter l'impact de la crise sur l'apprentissage BTP, consolider son développement et assurer sa pérennité, accompagner et soutenir l'ensemble des organismes de formation aux métiers du BTP.Faire de l'apprentissage BTP un accélérateur de reprise Alors que l'apprentissage était dans une très bonne dynamique en 2019, l'un des enjeux majeurs de Relance apprentissage BTP est d'éviter une rupture dans les recrutements d'apprentis par les entreprises du BTP, qui ont toujours beaucoup investi dans la formation des jeunes à leurs métiers et réaffirmé, dans un environnement économique difficile, leur volonté de maintenir, autant que possible, leur investissement dans l'apprentissage.Agir dans la durée et dynamiser le développement de l'apprentissage BTP Relance apprentissage BTP, proposé par le CCCA-BTP, est un dispositif complet de huit solutions concrètes, déployées dès aujourd'hui et tout au long de l'année 2021, au profit des organismes de formation du BTP, en les accompagnant et en les conseillant au plus près de leurs besoins et des réalités du terrain. Le dispositif est conçu pour accompagner les organismes de formation du BTP tout au long du « parcours client », qu'il s'agisse des jeunes, dans leur souhait de se former à un métier du BTP par l'apprentissage et de la nécessité d'assurer leur intégration professionnelle en entrée et en sortie de formation, que des entreprises, dans leur volonté de recruter des apprentis préparés et motivés. Cela concerne également les attentes des jeunes et des entreprises en termes d'actions de formation et de modalités pédagogiques, avec le renforcement du numérique dans la formation des apprentis et la montée en compétences des collaborateurs des organismes de formation dans son utilisation et dans le développement commercial, nécessaire pour assurer la pérennité de leur activité.Dans un environnement de la formation professionnelle, qui connaît de profondes mutations, notamment économiques et d'organisation, Relance apprentissage BTP vise également, grâce à ses huit solutions concrètes, à accompagner la transformation des organismes de formation, pour s'adapter à un marché de l'apprentissage de plus en plus concurrentiel, au plus près de leurs besoins et des réalités de leur territoire.Les huit solutions pour accompagner et conseiller les organismes de formation du BTP Solution #1 : Communication sur les métiers et l'apprentissage BTP, avec la campagne « La construction. Demain s'invente avec nous ». Pilotée par le CCCA-BTP, la campagne se déploie de décembre 2020 à mars 2021 afin de promouvoir auprès des jeunes les métiers du BTP et l'apprentissage comme voie de formation d'excellence et de réussite pour s'y former. Pour susciter de nouvelles vocations auprès d'eux et attirer les talents vers le secteur, un casting de jeunes professionnels du BTP, fiers de leur métier, incarnent et portent les messages, au travers d'un dispositif pluri-média à la hauteur des ambitions de développement de l'apprentissage BTP.>> www.laconstruction.frSolution #2 : Orientation des jeunes en recherche d'une formation dans le BTP,avec l'opération « Boost Apprentissage BTP »Afin de soutenir les organismes de formation dans leurs actions de recrutement de jeunes, le CCCA-BTP organise une nouvelle vague de l'opération « Boost Apprentissage BTP », une campagne de marketing digital destinée à attirer des candidats prospects souhaitant se former à un métier du BTP par l'apprentissage et à les orienter vers les organismes de formation du BTP. >> www.boost-apprentissage-btp.frSolution #3 : Participation au financement d'un équipement informatique des apprentis en 1ère année de formation, avec une participation au financement d'un ordinateur portable ou d'une tabletteAfin qu'il n'existe pas de fracture numérique entre les apprentis, le CCCA-BTP s'engage en apportant un financement pour l'achat d'un ordinateur portable (PC ou tablette) pour les apprentis en première année de formation (niveaux 3 et 4) à un métier du BTP en apprentissage. Plus de 21 000 jeunes pourraient bénéficier de ce dispositif inédit mis en place par le CCCA-BTP.Solution #4 : Montée en compétences des collaborateurs des organismes de formation du BTP, avec des parcours sur le numérique éducatif et le développement commercial Cette solution vise à permettre à tous les collaborateurs d'un organisme de formation du BTP de mieux intégrer les nouveaux outils du numérique éducatif dans leurs pratiques pédagogiques, de concevoir et déployer des parcours de formation individualisés et multimodaux, d'agir pour une meilleure maîtrise des ruptures de contrat, de développer les prépa apprentissage, de mieux identifier les jeunes en quête d'orientation professionnelle, de prospecter de nouvelles entreprises formatrices et les fidéliser… Classes virtuelles, webinaires, ateliers d'échanges de pratiques, quiz formatifs, vidéos pédagogiques, modules de « rapid learning », conférences, composent le dispositif.Solution #5 : Solutions pour développer le numérique éducatif, avec des solutions digitales mises à disposition à titre gratuitQuatre solutions et outils numériques sont mis à disposition, à titre gratuit, des organismes de formation : Net Parcours Alternance BTP (NPA BTP) : application digitale et interactive dédiée à la programmation et au suivi de la montée en compétences des apprentis. Aptyce : plateforme LMS pour l'animation et la formation pédagogique multimodale. Accompagnement Vie Apprenant (AVA) : application d'accompagnement socio-éducatif permettant de suivre les événements quotidiens qui ponctuent la vie des apprentis.C KI L'BOSS : jeu sérieux dédié à la sensibilisation des apprentis à l'esprit d'entreprendre et la gestion d'entreprise. Solution #6 : Soutien aux expérimentations pour développer les entrées permanentes de jeunes en formation tout au long de l'année, avec l'organisation d'appels à candidatures Le CCCA-BTP organise des appels à candidatures ouverts aux organismes de formation sur le thème : « Les actions innovantes visant à garantir la réussite des entrées permanentes » :nouvelles organisations et modalités de fonctionnement innovantes, adaptation des durées de formation, types de diplômes et certifications professionnelle, sourcing des jeunes tout au long de l'année, adéquation optimale entre les besoins des entreprises et les attentes des jeunes. >> www.appels-a-projets-cccabtp.fr Solution #7 : Diversification des actions de formation, avec des webinaires d'information sur de nouveaux dispositifs pédagogiquesLe CCCA-BTP propose aux organismes de formation une série de webinaires d'information sur de nouveaux dispositifs pédagogiques, pour enrichir leurs pratiques, identifier les leviers à disposition pour les financer et s'ouvrir sur de nouveaux modes de fonctionnement. Au programme des webinaires : Prépa apprentissage, pour créer des opportunités de recrutement de jeunes et les articuler avec les politiques territoriales ;Modularisation des formations, pour concevoir un dispositif de formation à partir d'activités et de situations professionnelles, développé dans une logique d'acquisition de compétences ;Action de formation en situation de travail (AFEST), pour ces apports méthodologiques dans la formation par apprentissage ;Mixité des publics d'apprenants, pour optimiser les ressources des organismes de formation ;Programme FEEBAT, pour ses enjeux et son positionnement stratégique dans le plan de la rénovation énergétique des bâtiments de l'État.Solution #8 : Accompagnement des jeunes en entrée et en sortie de formation, avec des solutions sur mesure pour développer l'intégration des jeunes en entrepriseLe CCCA-BTP propose aux organismes de formation trois axes d'accompagnement sur mesure pour :favoriser la montée en compétences des jeunes avant leur intégration en entreprise (recherche d'une entreprise formatrice en contrat d'apprentissage) ;accompagner les jeunes diplômés à l'issue de leur formation dans leur insertion professionnelle ;accompagner dans leurs démarches les jeunes sans affectation scolaire ou en désaccord avec la filière proposée pour trouver une solution via la voie de l'apprentissage BTP.Et des solutions avec notamment des conseils pour mettre en place un service dédié à l'accompagnement des apprentis pour favoriser leur intégration en entreprise et des jeunes en recherche d'un contrat d'apprentissage, des ateliers de maîtrise des techniques de recherche d'emploi (ATRE), collectifs et individualisés, en présentiel et en distanciel, pour aider les jeunes à définir leur projet, simuler un entretien d'embauche, etc., des outils pratiques et des ressources : mode opératoire, kit d'organisation d'ateliers et portefeuille de prestataires et partenaires pour les animer.Pour en savoir plus : https://www.ccca-btp.fr/relance-apprentissage-btp
Il y a 4 ans et 198 jours

Plan de relance de l'apprentissage BTP

Le CCCA-BTP au rendez-vous de la relanceDans un contexte inédit de crise sanitaire qui risque de se prolonger encore plusieurs mois et qui pourrait avoir des conséquences sans précédent sur l’écosystème de l’apprentissage BTP, le CCCA-BTP porte, en complément du plan de relance de l’État en faveur de l’apprentissage, Relance apprentissage BTP, un dispositif exceptionnel, doté de 18 M€. Il vise à limiter l’impact de la crise sur l’apprentissage BTP, consolider son développement et assurer sa pérennité, accompagner et soutenir l’ensemble des organismes de formation aux métiers du BTP.Faire de l’apprentissage BTP un accélérateur de reprise Alors que l’apprentissage était dans une très bonne dynamique en 2019, l’un des enjeux majeurs de Relance apprentissage BTP est d’éviter une rupture dans les recrutements d’apprentis par les entreprises du BTP, qui ont toujours beaucoup investi dans la formation des jeunes à leurs métiers et réaffirmé, dans un environnement économique difficile, leur volonté de maintenir, autant que possible, leur investissement dans l’apprentissage.Agir dans la durée et dynamiser le développement de l’apprentissage BTPRelance apprentissage BTP, proposé par le CCCA-BTP, est un dispositif complet de huit solutions concrètes, déployées dès aujourd’hui et tout au long de l’année 2021, au profit des organismes de formation du BTP, en les accompagnant et en les conseillant au plus près de leurs besoins et des réalités du terrain. Le dispositif est conçu pour accompagner les organismes de formation du BTP tout au long du « parcours client », qu’il s’agisse des jeunes, dans leur souhait de se former à un métier du BTP par l’apprentissage et de la nécessité d’assurer leur intégration professionnelle en entrée et en sortie de formation, que des entreprises, dans leur volonté de recruter des apprentis préparés et motivés. Cela concerne également les attentes des jeunes et des entreprises en termes d’actions de formation et de modalités pédagogiques, avec le renforcement du numérique dans la formation des apprentis et la montée en compétences des collaborateurs des organismes de formation dans son utilisation et dans le développement commercial, nécessaire pour assurer la pérennité de leur activité.Dans un environnement de la formation professionnelle, qui connaît de profondes mutations, notamment économiques et d’organisation, Relance apprentissage BTP vise également, grâce à ses huit solutions concrètes, à accompagner la transformation des organismes de formation, pour s’adapter à un marché de l’apprentissage de plus en plus concurrentiel, au plus près de leurs besoins et des réalités de leur territoire.Les huit solutions pour accompagner et conseiller les organismes de formation du BTPSolution #1 : Communication sur les métiers et l’apprentissage BTP, avec la campagne "La construction. Demain s’invente avec nous".Pilotée par le CCCA-BTP, la campagne se déploie de décembre 2020 à mars 2021 afin de promouvoir auprès des jeunes les métiers du BTP et l’apprentissage comme voie de formation d’excellence et de réussite pour s’y former. Pour susciter de nouvelles vocations auprès d’eux et attirer les talents vers le secteur, un casting de jeunes professionnels du BTP, fiers de leur métier, incarnent et portent les messages, au travers d’un dispositif pluri média à la hauteur des ambitions de développement de l’apprentissage BTP. >> www.laconstruction.fr Solution #2 : Orientation des jeunes en recherche d’une formation dans le BTP, avec l’opération « Boost Apprentissage BTP »Afin de soutenir les organismes de formation dans leurs actions de recrutement de jeunes, le CCCA-BTP organise une nouvelle vague de l’opération « Boost Apprentissage BTP », une campagne de marketing digital destinée à attirer des candidats prospects souhaitant se former à un métier du BTP par l’apprentissage et à les orienter vers les organismes de formation du BTP. >> www.boost-apprentissage-btp.fr Solution #3 : Participation au financement d’un équipement informatique des apprentis en 1ère année de formation, avec une participation au financement d’un ordinateur portable ou d’une tabletteAfin qu’il n’existe pas de fracture numérique entre les apprentis, le CCCA-BTP s’engage en apportant un financement pour l’achat d’un ordinateur portable (PC ou tablette) pour les apprentis en première année de formation (niveaux 3 et 4) à un métier du BTP en apprentissage. Plus de 21 000 jeunes pourraient bénéficier de ce dispositif inédit mis en place par le CCCA-BTP.Solution #4 : Montée en compétences des collaborateurs des organismes de formation du BTP, avec des parcours sur le numérique éducatif et le développement commercial Cette solution vise à permettre à tous les collaborateurs d’un organisme de formation du BTP de mieux intégrer les nouveaux outils du numérique éducatif dans leurs pratiques pédagogiques, de concevoir et déployer des parcours de formation individualisés et multimodaux, d’agir pour une meilleure maîtrise des ruptures de contrat, de développer les prépa apprentissage, de mieux identifier les jeunes en quête d’orientation professionnelle, de prospecter de nouvelles entreprises formatrices et les fidéliser… Classes virtuelles, webinaires, ateliers d’échanges de pratiques, quiz formatifs, vidéos pédagogiques, modules de « rapid learning », conférences, composent le dispositif.Solution #5 : Solutions pour développer le numérique éducatif, avec des solutions digitales mises à disposition à titre gratuitQuatre solutions et outils numériques sont mis à disposition, à titre gratuit, des organismes de formation : Net Parcours Alternance BTP (NPA BTP) : application digitale et interactive dédiée à la programmation et au suivi de la montée en compétences des apprentis. Aptyce : plateforme LMS pour l’animation et la formation pédagogique multimodale. Accompagnement Vie Apprenant (AVA) : application d’accompagnement socio-éducatif permettant de suivre les événements quotidiens qui ponctuent la vie des apprentis.C KI L’BOSS : jeu sérieux dédié à la sensibilisation des apprentis à l’esprit d’entreprendre et la gestion d’entreprise. Solution #6 : Soutien aux expérimentations pour développer les entrées permanentes de jeunes en formation tout au long de l’année, avec l’organisation d’appels à candidatures Le CCCA-BTP organise des appels à candidatures ouverts aux organismes de formation sur le thème : « Les actions innovantes visant à garantir la réussite des entrées permanentes » : nouvelles organisations et modalités de fonctionnement innovantes, adaptation des durées de formation, types de diplômes et certifications professionnelle, sourcing des jeunes tout au long de l’année, adéquation optimale entre les besoins des entreprises et les attentes des jeunes. >> www.appels-a-projets-cccabtp.fr Solution #7 : Diversification des actions de formation, avec des webinaires d’information sur de nouveaux dispositifs pédagogiquesLe CCCA-BTP propose aux organismes de formation une série de webinaires d’information sur de nouveaux dispositifs pédagogiques, pour enrichir leurs pratiques, identifier les leviers à disposition pour les financer et s’ouvrir sur de nouveaux modes de fonctionnement. Au programme des webinaires : Prépa apprentissage, pour créer des opportunités de recrutement de jeunes et les articuler avec les politiques territoriales ;Modularisation des formations, pour concevoir un dispositif de formation à partir d’activités et de situations professionnelles, développé dans une logique d’acquisition de compétences ;Action de formation en situation de travail (AFEST), pour ces apports méthodologiques dans la formation par apprentissage ;Mixité des publics d’apprenants, pour optimiser les ressources des organismes de formation ;Programme FEEBAT, pour ses enjeux et son positionnement stratégique dans le plan de la rénovation énergétique des bâtiments de l’État.Solution #8 : Accompagnement des jeunes en entrée et en sortie de formation, avec des solutions sur mesure pour développer l’intégration des jeunes en entrepriseLe CCCA-BTP propose aux organismes de formation trois axes d’accompagnement sur mesure pour :favoriser la montée en compétences des jeunes avant leur intégration en entreprise (recherche d’une entreprise formatrice en contrat d’apprentissage) ;accompagner les jeunes diplômés à l’issue de leur formation dans leur insertion professionnelle ;accompagner dans leurs démarches les jeunes sans affectation scolaire ou en désaccord avec la filière proposée pour trouver une solution via la voie de l’apprentissage BTP.Et des solutions avec notamment des conseils pour mettre en place un service dédié à l’accompagnement des apprentis pour favoriser leur intégration en entreprise et des jeunes en recherche d’un contrat d’apprentissage, des ateliers de maîtrise des techniques de recherche d’emploi (ATRE), collectifs et individualisés, en présentiel et en distanciel, pour aider les jeunes à définir leur projet, simuler un entretien d’embauche, etc., des outils pratiques et des ressources : mode opératoire, kit d’organisation d’ateliers et portefeuille de prestataires et partenaires pour les animer.
Il y a 4 ans et 198 jours

iQspot passe le cap des 1 million de m² de bâtiments connectés en France en 2020 !

iQspot passe le cap des 1 million de m² de bâtiments connectés en France en 2020 ! La société bordelaise iQspot agit concrètement en faveur de la transition énergétique immobilière, en plaçant des capteurs dans les bâtiments tertiaires pour collecter en temps réel les consommations de tous les fluides et alerter des éventuelles anomalies. En 2020, la société annonce avoir doublé la surface de bâtiments connectés et pilotés, pour atteindre le million de m², et cela en dépit de la crise sanitaire ! Une tendance forte qui montre l’implication croissante des foncières et gestionnaires de parcs immobiliers en faveur des sujets énergétiques et environnementaux. Le seul acteur en France à proposer un suivi tous fluides en temps réel. Depuis 3 ans, iQspot propose aux foncières et gestionnaires immobiliers de collecter en temps réel les données énergétiques de leur parc de bâtiments. L’objectif final ? Connaître de manière exhaustive et fine les consommations d’un bâtiment pour faciliter leur diminution. Pour cela, des capteurs basse consommation sont installés sur les compteurs (eau, gaz, électricité, réseaux chaud/froid…) et collectent les données en continu. Puis, les algorithmes analysent ces datas pour mieux piloter l’activité des bâtiments et alerter les gestionnaires en temps réel des éventuelles dérives de consommation. iQspot détecte ainsi automatiquement les comportements inhabituels, et permet aussi de mesurer l’impact des travaux de réparation ou d’amélioration. A date, c’est le seul acteur en France à proposer un suivi complet tous fluides en temps réel. Grâce à ses capteurs, iQspot permet de réduire de 10% à 20% la consommation énergétique des bâtiments tertiaires, dès les premières semaines d’installation. Les sujets énergétiques et environnementaux, au cœur des préoccupations. “Nous avons observé une tendance, qui se confirme et même s’accélère en 2020. Les foncières et gestionnaires immobiliers se préoccupent de plus en plus des sujets énergétiques et environnementaux. Prise de conscience collective et réglementation drastique ont fait évoluer les pratiques et les demandes.” observe Julien Bruneau, Co-fondateur et CEO d’iQspot. La publication du décret tertiaire en juillet 2019, oblige en effet tous les bâtiments à usage tertiaire d’une superficie égale ou supérieure à 1 000 m² à réduire leur consommation d’énergie de 40% d’ici 2030. Une réglementation mise en place pour contraindre les propriétaires immobiliers et leurs locataires à améliorer la performance de leurs bâtiments, et qui sanctionnera d’une amende allant jusqu’à 7500 euros en cas de non-conformité. Grâce aux alertes instantanées et aux données détaillées sur chaque fluide, les gestionnaires repèrent immédiatement les fuites d’une canalisation ou d’une chasse d’eau, les espaces qui restent allumés la nuit, les équipements de chauffage et climatisation non éteints les soirs et week-ends (jusqu’à 30% des consommations thermiques inutiles !), les zones sur-alimentées… pour agir sur le terrain rapidement. Un nouveau bureau à Station F (Paris) et des recrutements à venir. “En 2020, nous avons eu le plaisir de franchir la barre des 1 million de m² de bâtiments connectés en France. C’est un signal fort qui nous réjouit, car il montre l’implication des gestionnaires dans la maîtrise des consommations de leurs bâtiments. Pour répondre à la demande croissante, nous avons ouvert un bureau à Paris en juillet dernier. Il accueille 2 collaborateurs sur des postes de Responsable des Opérations et Responsable Commerciale. La moitié des actifs de bureaux sont à Paris. Il devenait indispensable de nous implanter physiquement là-bas pour gérer avec plus de proximité nos clients et futurs clients” précise Julien Bruneau. A noter, l’antenne parisienne prend ses bureaux au cœur de Station F. Le choix de ce lieu fait suite à la sélection d’iQspot par Impulse Partners, pour rejoindre l’accélérateur “Bâtiment et Construction”, un écosystème d’innovations dédié à relever les grands défis de la construction parmi lesquels la performance énergétique et environnementale et la réduction des coûts. iQspot entend bien poursuivre cette dynamique en 2021, en multipliant par 2 le nombre de bâtiments connectés et en recrutant de nouveaux collaborateurs pour son antenne parisienne. A propos iQspot est le fruit de la rencontre entre deux ingénieurs Julien Bruneau et Quentin Enard. Deux docteurs convaincus que la technologie peut servir de grandes ambitions écologiques, notamment dans le domaine de l’immobilier, responsable de 40% des consommations énergétiques et de 20% des émissions de gaz à effet de serre (GES). En 2015, ils créent iQspot, une solution pour faciliter et valoriser les diminutions de consommations dans les bâtiments à usage tertiaire. En savoir plus : www.iqspot.fr
Il y a 4 ans et 198 jours

Le CCCA-BTP propose son propre plan de relance pour dynamiser et consolider l’apprentissage BTP

Dans le contexte sanitaire actuel qui risque de se prolonger encore plusieurs mois et qui pourrait avoir des conséquences sans précédent sur l’écosystème de l’apprentissage BTP, le CCCA-BTP porte, en complément du plan de relance de l’État en faveur de l’apprentissage, Relance apprentissage BTP, un dispositif exceptionnel, doté de 18 M€. Il vise à limiter l’impact de la crise sur l’apprentissage BTP, consolider son développement et assurer sa pérennité, accompagner et soutenir l’ensemble des organismes de formation aux métiers du BTP. C’est un dispositif complet de huit solutions concrètes, déployées dès aujourd’hui et tout au long de l’année 2021, au profit des organismes de formation du BTP, en les accompagnant et en les conseillant au plus près de leurs besoins et des réalités du terrain. Solution #1 : Communication sur les métiers et l’apprentissage BTP, avec la campagne « La construction. Demain s’invente avec nous ». Pilotée par le CCCA-BTP, la campagne se déploie de décembre 2020 à mars 2021 afin de promouvoir auprès des jeunes les métiers du BTP et l’apprentissage comme voie de formation d’excellence et de réussite pour s’y former. Pour susciter de nouvelles vocations auprès d’eux et attirer les talents vers le secteur, un casting de jeunes professionnels du BTP, fiers de leur métier, incarnent et portent les messages, au travers d’un dispositif pluri média à la hauteur des ambitions de développement de l’apprentissage BTP.  www.laconstruction.fr Solution #2 : Orientation des jeunes en recherche d’une formation dans le BTP, avec l’opération « Boost Apprentissage BTP » Afin de soutenir les organismes de formation dans leurs actions de recrutement de jeunes, le CCCA-BTP organise une nouvelle vague de l’opération « Boost Apprentissage BTP », une campagne de marketing digital destinée à attirer des candidats prospects souhaitant se former à un métier du BTP par l’apprentissage et à les orienter vers les organismes de formation du BTP.  www.boost-apprentissage-btp.fr Solution #3 : Participation au financement d’un équipement informatique des apprentis en
1ère année de formation, avec une participation au financement d’un ordinateur portable ou d’une tablette Afin qu’il n’existe pas de fracture numérique entre les apprentis, le CCCA-BTP s’engage en apportant un financement pour l’achat d’un ordinateur portable (PC ou tablette) pour les apprentis en première année de formation (niveaux 3 et 4) à un métier du BTP en apprentissage. Plus de 21 000 jeunes pourraient bénéficier de ce dispositif inédit mis en place par le CCCA-BTP. Solution #4 : Montée en compétences des collaborateurs des organismes de formation du BTP, avec des parcours sur le numérique éducatif et le développement commercial Cette solution vise à permettre à tous les collaborateurs d’un organisme de formation du BTP de mieux intégrer les nouveaux outils du numérique éducatif dans leurs pratiques pédagogiques, de concevoir et déployer des parcours de formation individualisés et multimodaux, d’agir pour une meilleure maîtrise des ruptures de contrat, de développer les prépa apprentissage, de mieux identifier les jeunes en quête d’orientation professionnelle, de prospecter de nouvelles entreprises formatrices et les fidéliser… Classes virtuelles, webinaires, ateliers d’échanges de pratiques, quiz formatifs, vidéos pédagogiques, modules de « rapid learning », conférences, composent le dispositif. Solution #5 : Solutions pour développer le numérique éducatif, avec des solutions digitales mises à disposition à titre gratuit Quatre solutions et outils numériques sont mis à disposition, à titre gratuit, des organismes de formation : Net Parcours Alternance BTP (NPA BTP) : application digitale et interactive dédiée à la programmation et au suivi de la montée en compétences des apprentis. Aptyce : plateforme LMS pour l’animation et la formation pédagogique multimodale. Accompagnement Vie Apprenant (AVA) : application d’accompagnement socio-éducatif permettant de suivre les événements quotidiens qui ponctuent la vie des apprentis. C KI L’BOSS : jeu sérieux dédié à la sensibilisation des apprentis à l’esprit d’entreprendre et la gestion d’entreprise. Solution #6 : Soutien aux expérimentations pour développer les entrées permanentes de jeunes en formation tout au long de l’année, avec l’organisation d’appels à candidatures Le CCCA-BTP organise des appels à candidatures ouverts aux organismes de formation sur le thème : « Les actions innovantes visant à garantir la réussite des entrées permanentes » : nouvelles organisations et modalités de fonctionnement innovantes, adaptation des durées de formation, types de diplômes et certifications professionnelle, sourcing des jeunes tout au long de l’année, adéquation optimale entre les besoins des entreprises et les attentes des jeunes.  www.appels-a-projets-cccabtp.fr Solution #7 : Diversification des actions de formation, avec des webinaires d’information sur de nouveaux dispositifs pédagogiques Le CCCA-BTP propose aux organismes de formation une série de webinaires d’information sur de nouveaux dispositifs pédagogiques, pour enrichir leurs pratiques, identifier les leviers à disposition pour les financer et s’ouvrir sur de nouveaux modes de fonctionnement. Au programme des webinaires : Prépa apprentissage, pour créer des opportunités de recrutement de jeunes et les articuler avec les politiques territoriales ; Modularisation des formations, pour concevoir un dispositif de formation à partir d’activités et de situations professionnelles, développé dans une logique d’acquisition de compétences ; Action de formation en situation de travail (AFEST), pour ces apports méthodologiques dans la formation par apprentissage ; Mixité des publics d’apprenants, pour optimiser les ressources des organismes de formation ; Programme FEEBAT, pour ses enjeux et son positionnement stratégique dans le plan de la rénovation énergétique des bâtiments de l’État. Solution #8 : Accompagnement des jeunes en entrée et en sortie de formation, avec des solutions sur mesure pour développer l’intégration des jeunes en entreprise Le CCCA-BTP propose aux organismes de formation trois axes d’accompagnement sur mesure pour : favoriser la montée en compétences des jeunes avant leur intégration en entreprise (recherche d’une entreprise formatrice en contrat d’apprentissage) ; accompagner les jeunes diplômés à l’issue de leur formation dans leur insertion professionnelle ; accompagner dans leurs démarches les jeunes sans affectation scolaire ou en désaccord avec la filière proposée pour trouver une solution via la voie de l’apprentissage BTP. Et des solutions avec notamment des conseils pour mettre en place un service dédié à l’accompagnement des apprentis pour favoriser leur intégration en entreprise et des jeunes en recherche d’un contrat d’apprentissage, des ateliers de maîtrise des techniques de recherche d’emploi (ATRE), collectifs et individualisés, en présentiel et en distanciel, pour aider les jeunes à définir leur projet, simuler un entretien d’embauche, etc., des outils pratiques et des ressources : mode opératoire, kit d’organisation d’ateliers et portefeuille de prestataires et partenaires pour les animer.
Il y a 4 ans et 201 jours

Lancement des travaux du premier bâtiment de logements étudiants en bois du Campus urbain de Paris-Saclay

Première résidence étudiante en bois du Campus urbain de Paris-Saclay, elle sera conçue sur le modèle des « hacker houses » conçues par Seed Up. Après une consultation lancée en août 2018, l'EPA Paris-Saclay a retenu le groupement* mené par Demathieu Bard Immobilier (DBI) pour la réalisation d'un programme de 122 logements privés, soit 233 lits, pour étudiant de 5 509 m² Surface Plancher Construit (lot S1.2). Située au sud de la ZAC du quartier de l'Ecole polytechnique, à Palaiseau, à proximité notamment des écoles de Telecom Paris et Telecom Sud Paris, cette résidence sera livrée en septembre 2022. Après la sélection d'un groupement de maîtrise d'œuvre mené par l'agence d'architecture Atelier WOA, l'EPA Paris-Saclay et Demathieu Bard Immobilier ont signé en fin d'année 2019 une promesse synallagmatique de vente. E, L'EPA Paris-Saclay et Demathieu Bard Immobilier ont signé, en novembre 2020, un acte authentique de vente permettant le lancement du chantier.Une résidence étudiante conçue sur le modèle des « hacker houses »Cette résidence étudiante proposera un programme de gestion innovant mêlant logements étudiants « classiques » et un programme pour « hackers ». La résidence sera gérée par Global Exploitation et intègrera environ 40 lits à destination de Seed Up, gestionnaire pour la partie « Hacker house ».Les étudiants, logeant dans cette résidence, pourront ainsi formuler le souhait d'être intégré au sein d'un logement en colocation géré par Seed Up. Ces derniers réaliseront des missions commanditées par des entreprises et des grands comptes du territoire (codage informatique, recherche,…). En contrepartie, les étudiants membres de ce programme bénéficieront d'une réduction, voire d'une gratuité totale de leur loyer et pourront même percevoir une rémunération.Au sein des locaux, la résidence offrira des espaces dits « hackers » au sein desquels les étudiants de Seed Up auront accès à des équipements de pointe comme un studio de musique, un fablab, un espace reprographie ou encore un atelier mécanique.La résidence proposera à l'ensemble des étudiants y vivant une grande diversité de typologies de logements de sorte à répondre à la diversité des profils étudiants. Ainsi, 12 typologies seront proposées, allant du T1 au T7. Des espaces communs ouverts à tous les résidents seront proposés en rez-de-chaussée du bâtiment : espace de détente, cuisine commune, espace de travail, salle de sport.Un bâtiment bas-carbone et exemplaire en matière environnementaleLe projet conçu par l'Atelier WOA, conformément au cahier des charges fixé par l'EPA Paris-Saclay, respectera des ambitions environnementales élevées.Le bâtiment sera conçu en structure majoritairement en bois (seuls les noyaux et l'infrastructure du bâtiment seront en béton) avec des façades en ossature bois. Ainsi, près de 80% de la structure du bâtiment sera en bois et matériaux biosourcés.Cela va dans le sens de l'implication de l'EPA Paris-Saclay dans le Pacte Bois Biosourcés signé le 5 novembre dernier, par lequel l'EPA s'engage à réaliser 40% de Surface de Plancher de ses constructions en bois et biosourcés avec un objectif d'utilisation de 30% de bois d'origine France et 100% du bois utilisé gérées durablement (certifié FSC ou PEFC ou équivalent).Le projet, à terme, sera certifié NF Habitat HQE niveau « Excellent », obtiendra le label BBCA et Biosourcé de niveau 2 et sera labellisé E+C- au niveau E3C2. Il sera à ce titre, le premier projet du Campus urbain à être certifié E3C2 et BBCA.*Le groupement se compose de Demathieu Bard Immobilier (opérateur-mandataire), Seed Up (gestionnaire de hacker houses) et Global Exploitation (via sa filiale SuitEtudes). Le groupement est accompagné de l'Atelier WOA (Architecte et MOE d'exécution), Pouget Consultants (BET fluides et thermique) META Atelier Acoustique (BET acoustique) mais également de Sylva Conseil pour la construction bois et GERA'nium pour la dimension environnementale.
Il y a 4 ans et 201 jours

Premier bâtiment de logements étudiants en bois du Campus de Paris-Saclay

L’EPA Paris-Saclay a signé un acte de vente avec le groupement mené par Demathieu Bard Immobilier, promoteur immobilier en charge de la maîtrise d’ouvrage de la première résidence étudiante en bois du Campus urbain de Paris-Saclay. Elle sera conçue sur le modèle des « hacker houses » conçues par Seed Up. Le programme comprend 122 logements privés, soit 233 lits, pour étudiant sur 5 509 m² Surface Plancher Construit (lot S1.2). Située au sud de la ZAC du quartier de l’Ecole polytechnique, à Palaiseau, à proximité notamment des écoles de Telecom Paris et Telecom Sud Paris, cette résidence sera livrée en septembre 2022. L’agence d’architecture Atelier WOA avait préalablement été sélectionnée pour la maîtrise d’œuvre. Cette résidence étudiante proposera un programme de gestion innovant mêlant logements étudiants « classiques » et des espaces dits « hackers » au sein desquels les étudiants auront accès à des équipements de pointe comme un studio de musique, un fablab, un espace reprographie ou encore un atelier mécanique. La résidence proposera à l’ensemble des étudiants y vivant une grande diversité de typologies de logements de sorte à répondre à la diversité des profils étudiants. Ainsi, 12 typologies seront proposées, allant du T1 au T7. Des espaces communs ouverts à tous les résidents seront proposés en rez-de-chaussée du bâtiment : espace de détente, cuisine commune, espace de travail, salle de sport. Un bâtiment bas-carbone et exemplaire en matière environnementale Le projet conçu par l’Atelier WOA, conformément au cahier des charges fixé par l’EPA Paris-Saclay, respectera des ambitions environnementales élevées. Le bâtiment sera conçu en structure majoritairement en bois (seuls les noyaux et l’infrastructure du bâtiment seront en béton) avec des façades en ossature bois. Ainsi, près de 80% de la structure du bâtiment sera en bois et matériaux biosourcés. Cela va dans le sens de l’implication de l’EPA Paris-Saclay dans le Pacte Bois Biosourcés signé le 5 novembre 2020, par lequel l’EPA s’engage à réaliser 40% de Surface de Plancher de ses constructions en bois et biosourcés avec un objectif d’utilisation de 30% de bois d’origine France et 100% du bois utilisé gérées durablement (certifié FSC ou PEFC ou équivalent). Le projet, à terme, sera certifié NF Habitat HQE niveau « Excellent », obtiendra le label BBCA et Biosourcé de niveau 2 et sera labellisé E+C- au niveau E3C2. Il sera à ce titre, le premier projet du Campus urbain à être certifié E3C2 et BBCA. Aménageur : EPA Paris-Saclay Maîtrise d’ouvrage : Demathieu Bard Immobilier Maîtrise d’œuvre : Atelier WOA Surface de plancher : 5 509m² Début des travaux : novembre 2020 Livraison : septembre 2022 Visuel : Atelier WOA
Il y a 4 ans et 202 jours

L’Anah adopte un budget de 2,7 milliards d’euros avec l'objectif de rénover 600.000 logements en 2021

Ce budget permettra d’accélérer la rénovation du parc privé, que cela soit au travers des aides traditionnelles de l’Agence ou de l’élargissement au 1er janvier 2021 de MaPrimeRénov’ à l’ensemble des propriétaires, occupants comme bailleurs, et des copropriétaires.Des objectifs 2020 en passe d’être atteints malgré la situation sanitaireEn 2020, l’Anah constate une activité dynamique sur l’ensemble de ses programmes, supérieure à celle de 2019 à la même période (+11%). Ces résultats témoignent de la mobilisation de l’ensemble du réseau de l’Anah, au siège comme dans les territoires, pour assurer la continuité du service public pendant les périodes de confinement. Ils démontrent aussi les attentes fortes des citoyens en matière d’amélioration de l’habitat.2,7 milliards d’euros et des objectifs renforcés pour l’amélioration du parc privéLe budget 2021 de l’Anah atteint pour la première fois les 2,7 milliards d’euros, notamment grâce aux crédits de France Relance. Ce budget inédit conforte l’Agence dans ses missions et va permettre l’accélération de la rénovation des logements, en lien avec la montée en puissance de MaPrimeRénov’, les évolutions du programme Habiter Mieux, l‘accélération du Plan Initiative Copropriétés et l’accompagnement des programmes Action Cœur de Ville et Petites Villes de Demain. Plus que jamais, il s’agit pour l’Anah de déployer ses aides afin d’améliorer les logements du parc privé, lutter contre l’artificialisation des sols, redynamiser les centres-villes et réduire les émissions de gaz à effets de serre. Des moyens supplémentaires sont alloués également à l’humanisation des centres d’hébergement avec une augmentation de 3 millions d’euros dans le cadre de France Relance, portant les aides à 11M€ en 2021.Au total, ce sont plus de 600 000 logements dont la rénovation sera financée par l’Agence.Evolutions de MaPrimeRénov’ et de Habiter MieuxDans le cadre de France Relance, MaPrimeRénov’ est élargie à l’ensemble des propriétaires et copropriétaires, favorise les rénovations les plus ambitieuses (primes pour les sorties de passoires thermiques et rénovations BBC) et finance désormais l’assistance à maîtrise d'ouvrage pour faciliter l’accompagnement des ménages. Par ailleurs, MaPrimeRénov’ Copropriété se substitue au programme Habiter Mieux Copropriétés pour devenir une aide collective unique, à destination de toutes les copropriétés engageant des travaux de rénovation énergétique permettant un gain énergétique d’au moins 35%. Cette évolution permet de créer un dispositif simple et accessible à l’ensemble des copropriétés.Afin de renforcer la lutte contre la précarité énergétique des ménages modestes et très modestes, le programme Habiter Mieux évolue également. Il subventionnera désormais jusqu’à 50% des travaux de rénovation énergétique permettant un gain d’au moins 35%, avec un plafond de travaux porté à 30 000€. Une prime pour les sorties de passoires énergétiques et un bonus pour les rénovations atteignant l’étiquette A ou B complètent le dispositif.Emmanuelle Wargon, Ministre déléguée au logement : « L’amélioration de l’habitat est au cœur des préoccupations de nos concitoyens, comme en atteste le niveau d’activités de l’Agence. Cette forte dynamique se poursuivra en 2021, grâce à des moyens exceptionnels, mobilisés notamment grâce à France Relance. L’élargissement de MaPrimeRénov’, qui rencontre d’ores et déjà un succès grandissant, va permettre d’accélérer massivement la rénovation énergétique pour tenir les engagements climatiques de notre pays. Au-delà, c’est l’ensemble des missions de l’Agence qui sont confortées, ce dont je me félicite. »Thierry Repentin, Président de l’Anah : « Malgré la situation sanitaire, l’Anah sera, en 2020, une nouvelle fois au rendez-vous des objectifs que le gouvernement lui a fixé. En 2021, le budget dont bénéficie l’Agence lui donne les moyens de massifier les aides à la rénovation, en continuant d’apporter une attention particulière aux plusfragiles. Cela sera possible grâce à l’ouverture de MaPrimeRénov’ à tous les propriétaires, et à la mobilisation des territoires en faveur de l’amélioration de l’habitat dans le cadre des grands programmes nationaux tels que le Plan Initiative Copropriétés, Action Cœur de Ville, Petites Villes de Demain. »
Il y a 4 ans et 202 jours

Alogia Groupe annonce l'acquisition d'un cabinet d'architectes spécialisés

Cette union se concrétise par la création d'une nouvelle filiale dénommée "cabinet Gardinier Chargé et associés". Avec l'internalisation de cette compétence à très forte valeur ajoutée de la chaîne du maintien à domicile, ALOGIA Groupe renforce son expertise pluridisciplinaire pour s'imposer sur les marchés de l'assistance à maîtrise d'ouvrage (AMO) et de l'expertise juridique.L'architecture spécialisée "vieillissement et handicap" au cœur de l'enjeux sociétal de la transition démographiqueAujourd'hui en France, 94,5% des personnes âgées de 65 ans et plus vivent à domicile1. Ces seniors expriment pour 90% d'entre eux le souhait d'y rester2. Au cœur des enjeux de l'adaptation de notre société au vieillissement, l'habitat est ainsi devenu un déterminant de santé et d'autonomie mais aussi un défi majeur : 94% du parc immobilier n'est pas adapté aux seniors3.Face à ce constat, le Groupe ALOGIA défend une approche préventive du vieillissement en accompagnant les professionnels du secteur (bailleurs sociaux, assurances, collectivités, promoteurs…) dans leur réponse aux enjeux du "bien vieillir" à domicile. Le Groupe, qui a déjà accompagné ses clients par des actions préventives sur plus de 10 000 logements, rassemble une équipe pluridisciplinaire : professionnels de santé ergothérapeutes, UX designers, chercheurs doctorants, experts, architectes… Cette complémentarité des profils, qui permet d'apporter une réponse exhaustive aux enjeux de l'adaptation du parc immobilier, fait aujourd'hui le succès d'ALOGIA.L'intégration du cabinet Gardinier, fruit de la stratégie du Groupe pour s'imposer sur les marchés de l'AMO et de l'expertise juridiqueExpert reconnu auprès des compagnies d'assurance depuis 30 ans et chargé de cours à la faculté de médecine Paris VI, Vincent Gardinier, Architecte DPLG spécialisé Grand Handicap, interviendra dans les missions d'Assistance à Maîtrise d'Ouvrage (AMO) du groupe et pilotera la filiale "Cabinet Gardinier Chargé et associés".À destination des acteurs de l'assurance, cette division propose une offre d'expertises juridiques pour les conseiller dans le dimensionnement juste et impartial de l'indemnisation des victimes de dommages corporels. Élément de différenciation fort, le binôme unique ergothérapeute-architecte formé par Thomas Chargé, directeur santé d'ALOGIA Groupe et Vincent Gardinier, s'est donné pour mission de s'imposer sur le marché des expertises juridiques.Avec leurs équipes, ils offrent aux assureurs la garantie d'une prise en charge globale des problématiques de la victime, tant architecturale qu'ergonomique. Le cabinet intervient déjà au niveau national auprès des principaux acteurs de l'assurance parmi lesquels Covéa, Axa, Groupama, Gan et bien d'autres.« Ce rapprochement est une réelle opportunité de transmettre des savoirs concrets, techniques et spécifiques, accumulés tout au long de 30 années de terrain au contact des victimes, et de former une nouvelle génération d'architectes. La complémentarité du binôme ergothérapeute / architecte renforce notre expertise ; les savoirs de l'un nourrissant la pratique de l'autre », souligne Vincent Gardinier.« La création du Cabinet Gardinier Chargé marque l'aboutissement de plusieurs années de collaboration entre Vincent Gardinier et nos équipes. L'arrivée de Vincent, dont la réputation auprès des compagnies d'assurance n'est plus à démontrer, nous permet de consolider nos activités tant au niveau du groupe qu'au sein de cette nouvelle filiale auprès des assureurs.», conclut Alexandre Petit, Président du groupe.1 Source INSEE, France, portrait social – édition 20162 Source, INSEE, Les tableaux de l'économie française – mars 20193 Source, rapport d'étude du groupe Caisse des Dépots – octobre 2013
Il y a 4 ans et 202 jours

Du neuf du côté de la prévention et de la santé au travail

[©ACPresse] Avec la crise sanitaire, la prévention retrouve toute son utilité. Quels que soient le corps de métier ou la taille d’une entreprise, aucun secteur d’activité n’échappe aux accidents du travail ou aux maladies professionnelles. Selon Albert David, auteur du “Manuel de référence sur la prévention, la sécurité et la santé au travail de A à Z” : « On n’a jamais produit autant de matière que de risques dans la société d’aujourd’hui ». Ces risques sont à présent bien connus et identifiables via “L’évaluation des risques” obligatoire pour tout employeur. Dans le sillage de l’épidémie de coronavirus, tous les membres de l’entreprise se voient contraints et forcés de faire évoluer les standards, codes et règles de vie au travail. « Il aura fallu une crise sanitaire de l’ampleur du Covid-19 pour que nos consciences déploient un arsenal de bon sens et de responsabilité. » A présent, il est « capital pour l’employeur de disposer bien en amont d’un plan de prévention, d’action et de maitrise du risque ». « Un document indispensable pour le monde du travail privé et public », selon Jean Auroux, ancien ministre du Travail, qui en assure la préface. Editeur : Editions PréventionAuteur : Albert DavidPrix : 77,90 €TTC
Il y a 4 ans et 202 jours

L'industrie des matériaux de construction représente un potentiel de 1.400 recrutements par an

Dans un contexte économique et social perturbé par la crise sanitaire, ces travaux ont le mérite d'apporter un éclairage sur l'état du marché du travail du secteur des matériaux avant l'arrivée de la pandémie. On y découvre une industrie pourvoyeuse d'emplois stables, riche en métiers variés, présente dans tous les territoires, et offrant des carrières professionnelles évolutives et pérennes.L'industrie des matériaux de construction en France : les grandes lignesL'industrie de matériaux de construction couvre un large spectre d'activités, allant de l'exploitation de carrières pour l'extraction de matière première à la fabrication de produits tels que le béton prêt à l'emploi (BPE), les mortiers et ciments, produits préfabriqués en béton, mais aussi la taille et le façonnage de pierres.Selon la dernière enquête annuelle de l'UNICEM*, en 2018, l'industrie de matériaux de construction représentait 2.888 entreprises, réparties sur 5.861 sites, générant un chiffre d'affaires de 9.210 millions d'euros. Cette production, essentiellement destinée au bâtiment (46%) et TP (44%), concentre plus de 73.500 emplois, un chiffre relativement stable sur ces 4 dernières années (72.189 en 2015 vs 73.576 en 2019).La majorité des salariés du secteur des matériaux travaille dans des métiers liés à la production (44%), un quart dans des emplois administratifs et commerciaux, tandis que moins d'un cinquième occupe des fonctions techniques et d'encadrement. Les emplois de chauffeurs/conducteurs d'engins et de maintenance représentent respectivement 9 % et 5 % des emplois totaux.96 % des salariés de l'industrie des matériaux sont employés en CDI soit 8 points de plus que pour l'ensemble des industries. Le salaire brut médian annuel dépasse les 30.000 euros.Si le secteur reste encore très masculin, il attire cependant aussi des femmes. Elles représentent 17% des salariés.L'étude fait également ressortir que 52% des salariés ont 45 ans et plus. Cette constatation amène une évidence. Le secteur va devoir faire face aux départs à la retraite et reconquérir des vocations chez les plus jeunes. C'est l'une des missions que s'est fixée l'UNICEM en promouvant notamment la formation et l'apprentissage via ses CFA, mais aussi en multipliant des rencontres d'information sur les différents métiers de l'industrie.Carrières et matériaux : une industrie qui forme et qui recruteDes métiers et savoir-faire diversifiésDu niveau CAP au diplôme d'ingénieur, de l'extraction des roches et minéraux jusqu'à leur transformation et leur mise en œuvre, l'industrie des matériaux de construction propose un large éventail de métiers aux savoir-faire diversifiés et offre de nombreuses opportunités professionnelles.Cependant, un constat demeure : malgré les enjeux d'avenir que le secteur représente, très souvent les entreprises peinent à recruter le personnel qualifié nécessaire au bon développement de leur activité et des territoires. Or, les défis environnementaux couplés aux enjeux de la construction de demain font de ce secteur l'un des plus dynamiques et des plus attractifs en termes d'évolution de carrière, de pérennité de l'emploi et d'innovation.L'UNICEM estime que les entreprises de la filière « carrières et matériaux » auront besoin de recruter 1.400 collaborateurs chaque année, et ce pendant 20 ans.Les entreprises adhérentes à l'UNICEM offrent une grande diversité de métiers (quelques exemples) :Sur une carrière : conducteur d'engins, pilote d'installation de traitement, chef de carrière…Sur une unité de production de béton prêt à l'emploi : conducteur de camions toupies, pilote d'installation automatisée, agent de planning…Métiers de la pierre et atelier de transformation : tailleur de pierre, marbrier du bâtiment et décoration, usinage, découpe…Métiers transverses : technicien de laboratoire, maintenance, fonctions administratives, comptabilité, gestion ressources humaines, foncier et environnement, commercial, animateur santé sécurité…Près de 2 500 stagiaires en alternanceSur l'année 2018-2019, 2.429 jeunes ont suivi une formation initiale en alternance. Un chiffre qui, même s'il reste encore inférieur à celui d'il y a 5 ans (2.545 pour 2013-2014), se révèle assez stable, sur les 4 dernières années. La formation en alternance concerne essentiellement les métiers de conducteurs (913) et mécaniciens d'engins (1.008). Les métiers de la pierre et du marbre attirent quant à eux 341 apprentis.Plus d'un million d'heures de formation engagées en un anAfin de mobiliser les compétences professionnelles et de les adapter à l'évolution des métiers, les collaborateurs sont formés tout au long de leur carrière. En 2019, 2.012 entreprises de l'industrie des matériaux ont déployé des actions de formation représentant 1.002.364 heures auprès de 44.876 bénéficiaires. Ces derniers se répartissent entre les ouvriers (41%), les techniciens et agents de maitrise (27%), les ingénieurs et cadres (18%) et les employés (14%). Les formations continues les plus suivies sont la conduite d'engins et la sécurité, représentant respectivement 14% et 13% des stagiaires.Des CFA UNICEM dédiés pour une meilleure approche des métiersLes CFA UNICEM (Centres de formation d'apprentis gérés par l'Union nationale des industries de carrières et matériaux de construction) situés en Bretagne, en Occitanie et en Auvergne-Rhône-Alpes, forment chaque année plus de 600 jeunes de 15 à 25 ans, dans les différents métiers des industries de carrières et matériaux.Accédez à l'étude complète*L'enquête annuelle UNICEM porte sur le champ : granulats, béton prêt à l'emploi, pierres de construction et produits pour l'industrie et n'intègre pas les mortiers, le ciment, et le béton préfabriqué.
Il y a 4 ans et 202 jours

Jeux Olympiques et Paralympiques : attribution du marché de construction du Centre aquatique de Marville

L’entreprise GCC s’est vue attribuer le marché global de performances (comprenant la conception, la construction et la maintenance) du futur Centre aquatique de Marville en Seine-Saint-Denis, en groupement avec BVL Architecture, ASB Architectures OAW, INCET, TUAL, Ginger BURGEAP, Vivace Latitude, ABC Décibel, BIM BAM BOOM et Idex. GCC opérera sous maîtrise d’ouvrage du Conseil départemental de la Seine-Saint-Denis et sous la supervision de la SOLIDEO. Après une phase de conception, d’études et d’obtention du permis de construire, les travaux débuteront en janvier 2022 et s’achèveront en octobre 2023, avant une ouverture du nouveau Centre aquatique début 2024. Cet équipement sera financé à hauteur de 30,5 millions d’euros (valeur 2016) par la SOLIDEO, grâce notamment aux importantes contributions de la Ville de Paris et du Conseil Départemental de la Seine-Saint-Denis à son budget. Ce nouveau centre aquatique offrira un espace totalement neuf de 4 600m2 dont près de 1 600m2 de plan d’eau, avec des bassins intérieurs et extérieurs, un espace bien-être et balnéothérapie, deux solariums, une plage aqualudique ou encore une lagune de jeux. Pendant les Jeux Olympiques, le Centre aquatique accueillera les entraînements de water-polo. Après 2024, ce nouvel équipement public renforcera considérablement l’offre aquatique du parc des sports de Marville, que ce soit pour une pratique sportive ou de loisirs, des clubs, des groupes scolaires et des habitant.e.s de la Seine-Saint-Denis. Le futur Centre aquatique s’inscrit ainsi pleinement dans le « Plan piscines » de 40 millions d’euros voté par le Département fin 2015 et visant à la rénovation de la moitié des piscines et à la construction de 5 nouvelles piscines en Seine-Saint-Denis.