Résultats de recherche pour architecture

Réalisée par l'Atelier d'architecture Chaix & Morel et Associés, la nouvelle salle sportive de Rezé, près de Nantes, a été inaugurée vendredi 14 août. 

Avec plus de 260.000 visiteurs, la monographie consacrée à Le Corbusier est devenue la plus fréquentée des expositions d'architecture du musée.

Ombre portée est un atelier, installé à Paris, qui depuis une quinzaine d'années réalise des sculptures lumineuses. Créations originales, qui marient l'art aux luminaires, elles mettent en scène le jeu subtil entre ombre et lumière au c"ur de matières travaillées par l'artiste devenu artisan. Ombre portée sera présent au Salon Révélations cette année. Ombre portée réalise des créations hors normes, atypiques et intemporelles, parfois monumentales, pièces uniques ou en éditions limitées. Ces ouvrages d'art et de métier sont le fruit de la rencontre entre une architecture, le désir du commanditaire, l'imagination des parties, et le savoir-faire d'une équipe de professionnels, orfèvres de la matière-lumière. Les projets s'ébauchent avec le client, peu à peu ils prennent forme en suivant ses désirs et ses attentes. Les sculptures lumineuses sont d'abord travaillées au dessin, de croquis en croquis, au travers d'un foisonnement de lignes qui aboutissent aux motifs finaux. L'objet est ensuite modélisé sur logiciel, permettant de corriger les derniers problèmes de proportion et d'équilibre. La mise en lumière de l'objet final apporte à l'ouvrage toute sa poésie. "Reflets, chatoiements, découpes et vibrations dansantes sur les murs : ces sculptures vouées aux jeux subtils de l'ombre et de la lumière racontent une histoire unique et intense. Une histoire de la matière, d'énergie inventive et d'intelligence de la main." Révélations invite au partage du 9 au 13 septembre 2015, au Grand Palais Pour en savoir plus, visitez le site de Ombre portée et de Révélations

L'atelier Emmanuel Barrois travaille le verre pour l'architecture, à la recherche de nouvelles lumières et de nouveaux reflets pour de nouveaux espaces. L'atelier exposera son savoir-faire au salon Révélations de cette année au Grand Palais. L'atelier rassemble une équipe pluridisciplinaire d'artisans, de techniciens et de designers. Il mène une activité de création, d'étude, et de réalisation d'éléments verriers exigeants à destination de l'architecture, du design et des arts. Les travaux de l'atelier Emmanuel Barrois s'inscrivent dans une démarche résolument contextuelle en respectant, pour chacun d'entre eux, l'essence du projet auquel ils se rattachent. Ils empruntent autant aux savoir-faire artisanaux qu'aux technologies industrielles les plus récentes. Pour le salon Révélations 2015, au Grand Palais à Paris, L'Atelier Emmanuel Barrois aspire à partager et faire ressentir cette pratique, cette manière de penser et de faire. Un espace sera aménagé au c"ur du salon. Tentant de redéfinir la notion même de stand, ou en tout cas en donnant une version alternative, cet espace se veut un lieu d'échanges et d'expérimentation. La démarche et les pratiques de l'Atelier Emmanuel Barrois y seront exposées par la présentation de nombreux projets réalisés en collaboration avec des architectes, artistes ou designers tels que Kengo Kuma, Paul Andreu, Patrick Berger, Julian Bonder, Olafur Eliasson, et d'autres encore. Les derniers travaux de l'atelier, issus de technologies innovantes, seront présentés sous la forme de panneaux verriers inédits. Pièce majeure de l'espace, un mur de verre expérimental pourra instaurer un dialogue singulier avec le visiteur et l'architecture du Grand Palais. Cet objet spectaculaire et interactif, matérialisera le travail de recherche du collectif constitué par l'agence d'architecture Woma, l'atelier verrier Emmanuel Barrois et l'architecte ingénieur Philippe Bompas. Enfin ponctuellement, les visiteurs, experts, architectes, journalistes seront invités à partager quelques discussions libres et informelles. Révélations invite au partage du 9 au 13 septembre 2015, au Grand Palais Pour en savoir plus, visitez le site de Révélations

Feridun Akgüngör est un jeune artiste turc installé à Istanbul. Minimal Pure est une série de clichés où figurent des fragments d'architecture au milieu d'un ciel complètement lisse et éclatant de couleurs, où aucun élément extérieur ne vient troubler sa tranquillité. Seuls quelques éléments lointains, comme quelques nuages, un avion ou le vol d'un oiseau offre un minimum de mouvement. L'artiste retouche ses photographies à l'aide d'un ordinateur pour un résultat plus vrai que réel. La série Minimal Pure évoque des instants reposés, où plus qu'en photo, le moment semble figé. Pour en savoir plus, visitez la page Behance de site Feridun Akgüngör

L'artiste canadien Guillaume Lachapelle a présenté une série d'"uvres intitulée "Visions" à la galerie Art Mûr à Montréal l'an dernier. Il joue avec les illusions d'optique grâce à la technique de l'imprimante 3D et crée ainsi des petites sculptures empreintes de profondeur et de lumière. Il utilise cette technologie pour créer des paysages urbains immaculés de blancs ou au contraire plongés dans l'obscurité. Très minimalistes, ces "uvres se présentent sous formes de vitrines de verres posées sur des socles. Très inspiré par l'architecture et le mobilier urbain, Guillaume Lachapelle recrée en lumière des miniatures de quartier, de bibliothèque, de métro, de grue, etc. Dans cette série d'"uvres, tout est question d'illusions optiques en imposant une distance entre la petite taille des "uvres et le caractère infini de la vision, aidée de mirroirs et de surfaces réfléchissantes. Pour en savoir plus, visitez le site de la galerie Art Mûr  

Le sculpteur britannique Antony Gormley expose, dans une galerie à Pantin en région parisienne, une "uvre imposante constituée de soixante personnages faits de cubes métalliques empilés. L'artiste explore une nouvelle fois le corps comme un lieu plutôt que simplement comme un objet. Expansion Field évoque le développement d'un monde appliqué à l'espace subjectif du corps. L'espace est ici une série de corps en expansion tout comme le monde qui l'entoure. L'"uvre est composée de soixante cases, figurant l'espace instable du corps. Les caissons en acier sont bruts et acérés. Les corps représentés sont travaillés d'une manière géométrique à la manière d'une architecture. A propos de son travail, Antony Gormley précise :"Over the years, my obsession has been to try to explore the body as a place rather than simply as an object and to reconcile its space with space at large. I want to acknowledge that while we live within a built environment and we are the only animal to construct a habitat using Euclidean principles, the moment we close our eyes and become conscious of the darkness of the body, we are in an unbounded, ever extending space without dimension. This intimate zone of experience has the same unlimited properties as the sky at night." Expansion Field, Second Body du 1er mars au 18 juillet 2015 Galerie Thaddaeus Ropac à Pantin Pour en savoir plus, visitez le site de Antony Gormley et de la Galerie Thaddaeus Ropac

Quelques temps à peine les études d'architecture terminées, retourner à son école d'architecture pour cette fois-ci réaliser son extension éphémère n'est pas une chose facile. Sur place, les critiques peuvent fuser et les avis risquent tout autant de blesser. Comment produire un gracieux édifice préfabriqué censé accueillir des futurs confrères et cons"urs tout en respectant un budget serré ?

Markus Roselieb, fondateur de Chiangmai Life Construction, a développé une architecture entre traditions et allure contemporaine dans le nord de la Thaïlande à Chiangmai. La philosophie de l'entreprise est de porter des matériaux endémiques et traditionnels, comme la terre et le bambou, dans le XXIe siècle. La Trika Villa affirme avec poésie le dessin organique propre à l'architecte. La Trika Villa est une résidence voulue luxueuse de plus de 400 mètres carrés. Elle est composée de 5 chambres, chacune avec une salle d'eau associée, d'un salon généreux et de larges espaces extérieurs en accord avec le climat et les modes de vie locaux. L'ensemble de la toiture est constituée de bambou. Le matériau résout avec brio les sujets relatifs à la structure, à l'isolation et à l'étanchéité. Une feuille de goudron est prise en sandwich entre des bardeaux de bambou garantissant ainsi la protection à la pluie et à l'isolation. Les murs sont faits de briques d'adobe,et l'architecte a imaginé une finition utilisant un enduit à base de terre très fine. Pour en savoir plus, visitez le site de Chiangmai Life Construction

Dans la région de Nagasaki, l'architecte japonais Yusuke Seki a réalisé la rénovation du magasin historique du fabricant Maruhiro, spécialiste de la céramique et de la porcelaine. Au centre de la nouvelle scénographie trône une plateforme constituée de pièces de porcelaine inondées de béton. L'architecte a mis en scène un hommage architectural à l'histoire et au savoir-faire de la fabrique. Il a fait épouser le dessin des objets en porcelaine à l'architecture. Un mariage réussi qui utilise les objets de porcelaines, remplies de béton, au même titre qu'une brique ou qu'un autre élément architectural. La plateforme est constituée de près de 25 000 pièces. Des caissons en bois viennent compléter la mise en scène. Ils ne sont pas fixés au sol garantissant ainsi une grande modularité du lieu. Photographies : Takumi Ota Pour en savoir plus, visitez le site de Yusuke Seki

Du 11 novembre 2015 au 29 février 2016, la cité de l'architecture & du patrimoine invite et initie à la méthode Piano. L'exposition est consacrée au travail de l'architecte Renzo Piano, elle interroge le parcours et l'approche architecturale singulière de son agence entre expérimentation et jeu collectif. Maître dans l'art de construire et d'assembler, Renzo Piano est issu d'une famille de constructeurs. Il a depuis été plongé dans l'univers riche des équations architecturales. Depuis le centre Pompidou, conçu avec son complice Richard Rogers, il a mené une grande variété de projet autour d'un processus de création propre à son agence : le Renzo Piano Building Workshop. L'exposition met en lumière ce laboratoire où l'énergie collective est force de conception. L'exposition est organisée en collaboration avec la Fondazione Renzo Piano  à Gênes et le Renzo Piano Building Workshop à Paris. Le parcours thématique de l'exposition est construit autour de six familles de projets sélectionnés principalement en Europe et aux États Unis, avec un focus particulier sur un projet humanitaire en Afrique. PAYSAGES : Centre culturel Tjibaou, Nouméa (1998) - Zentrum Paul Klee, Berne (2005) - Musée des sciences, San Francisco (2008) HAUTEURS : Shard of Glass, Londres (2013) - Palais de justice de Paris (livraison en 2017) CONFRONTATIONS : Monastère Sainte-Claire, Ronchamp (2011) - Kimbell Art Museum, Fort Worth (2013) PATRIMOINES URBAINS : Fondation Jérôme Seydou-Pathé, Paris (2014) - Whitney Museum, New York (2015) - Citadelle d'Amiens (2015) MORCEAUX DE VILLE : Quartier Le Albere, Trento (2013) - Campus de Columbia, New York (depuis 2002) - Centre culturel Stavros Niarchos, Athènes (depuis 2008) MATIÈRES : Parlement de Malte, La Vallette (2015) - Hopital pédiatrique, Entebbe, Ouganda (depuis 2013) Du 11 novembre 2015 au 19 février 2016 - Ouvert tous les jours, sauf le mardi, de 11h à 19h Nocturne le jeudi jusqu'à 21h - Entrée au 45, avenue du Président Wilson, Paris 16e - Tarifs : Plein tarif 9 ¤/Tarif réduit 6 ¤ Pour en savoir plus, visitez le site de la Cité de l'Architecture & du Patrimoine Photographies : 1.Ronchamp Gatehouse and Monastery, Ronchamp, France, Renzo Piano Building Workshop, 2006-2011 © Engel Georges - 2.Jérôme Seydou " Pathé Fondation, Paris, France, vue de l'intérieur, 5ème étage. Renzo Piano Building Workshop, 2006-2014 © Michel Denancé - 3.The Shard " London Bridge Tower, Londres, Royaume-Uni, vue aérienne. Renzo Piano Building Workshop, 2000-2012 © Chris Martin - 4.Centre Culturel Jean-Marie Tjibaou, Nouméa, Nouvelle-Calédonie. Renzo Piano Building Workshop, 1991-1998 © ADCK - Centre Culturel Tjibaou. RPBW - Renzo Piano Building Workshop Architects Ph. Pierre Alain Pantz - 5.Détail de la façade du nouveau Parlement de Malte, Renzo Piano Building Workshop, 2009-2015 © Michel Denancé

La villa G (une maison privée unifamiliale) est située à Sorengo, une commune limitrophe de Lugano, en Suisse. Cette maison à l'architecture volumétrique et non de façade s'inscrit totalement dans la démarche de cette jeune agence d'architecture italienne baptisée SCAPE (et basée à Rome et à Paris), un mot qui correspond à une notion extensive du paysage, à un point de vue ouvert entre la perspective et l'horizon.

Interrogeant toujours les liens entre l'art et l'architecture, le studio Gijs Van Vaerenbergh a conçu et réalisé un labyrinthe de métal sur l'ancien site minier de Winterslag, à Genk en Belgique, à l'occasion des 10 ans de son ouverture au public. Un kilomètre de parois en acier se croise pour donner forme au labyrinthe sur un carré de 37,5 m de coté. Les architectes se sont inspirés du travail et de la mise en espace des "uvres des artistes Dan Graham et Gordon Matta-Clark. La forme orthogonale et régulière d'un labyrinthe classique a été généré, puis a subi un découpage selon une série d'intersections avec des figures géométriques. Un cône, une sphère, et un dôme inversé, se dessinent ainsi par soustraction et offrent aux visiteurs un univers singulier ponctué de nombreux jeux d'optiques. Les plaques d'acier, de 5 mm d'épaisseur ont été découpées au laser. Bollinger+Grohmann a assisté les architectes depuis la phase de conception en explorant plusieurs options et solutions techniques. Les recherches menées et les échanges sur l'utilisation de différents matériaux ont conduit au projet final. L'agence a réalisé l'étude de la structure en ayant pour objectif de minimiser la quantité de matière; cela comprend la vérification des déformations, des contraintes et de la stabilité d'ensemble sous l'effet des différents cas de charges de vent. Elle a également développé des solutions techniques sur mesure pour les soudures, le système d'accroche au sol des panneaux en acier, la rigidification horizontale sous charge de vent et la prévention du flambement local des plaques d'acier. Pour en savoir plus, visitez le site de Gijs Van Vaerenbergh et de Bollinger+Grohmann

Ora-Ito invite cette année l'artiste new-yorkais Dan Graham au MaMo Audi Talents Awards : sur le toit de la Cité radieuse à Marseille. L'exposition Observatory / Playground joue sur les codes de la sculpture et de l'architecture pour un rendu tout en élégance et en transparence. Le créateur du MaMo, Ora-Ito confie :  "Après l'hommage de Xavier Veilhan à Le Corbusier et Défini, Fini, Infini de Daniel Buren, Dan Graham, artiste iconique, imagine un nouveau dialogue avec l'oeuvre de Le Corbusier. Mon projet est d'offrir chaque été aux visiteurs venus de Marseille et d'ailleurs une rencontre exceptionnelle entre l'une des plus belles architectures du monde et un grand artiste de notre temps. Qu'un artiste de la dimension de Dan Graham s'installe au MaMo est une formidable manière de rendre hommage à Le Corbusier, cet architecte de génie, à l'occasion du 50ème anniversaire de sa disparition". Dans la continuité des deux précédentes expositions, Dan Graham expose un ensemble de travaux constitué de deux pavillons, sept maquettes ainsi qu'une sélection de films montrés sur le toit de la Cité Radieuse. Selon les concepteurs de l'exposition "Les pavillons de verres exposés sont en réalité des structures fonctionnelles et hybrides à mi-chemin entre sculpture et architecture où s'affirme le questionnement entre espace privé/intérieur et espace public/extérieur ainsi que le jeu entre observateur et observé". Pour le spectateur, l'expérience est très ludique et l'impression esthétique très légère.  Au Mamo Audi Talents Awards du 14 juin au 20 septembre 2015 Photographies : Sebastien Veronese

Conjuguer architecture contemporaine et nature, c'est le sujet sur lequel les architectes québécois de l'agence YH2 ont voulu répondre au travers de la réalisation d'un projet d'envergure de résidences secondaires au bord du lac supérieur au Canada. C'est au pied d'une ancienne montagne, jadis propriété d'une ancienne congrégation religieuse, que les architectes ont été appelé à concevoir une série de cabanes contemporaines à vocation de résidence secondaire. Inspirés par les mythiques chalets en rondins de bois, les architectes ont dessiné des habitations proposant un mariage entre bois et béton au milieu de grands arbres. Les architectes ont mis un point d'honneur à respecter au mieux le site dans lequel leurs maisons allaient s'insérer malgré les contraintes liées au projet immobilier. Ils ont réussi à prendre le contrepied des maisons usinées qui ne cherchent pas à s'intégrer aux lieux. Les Spahaus, proposées à la vente, s'encastre aux courbes naturelles du relief du terrain, et respectent au mieux la végétation déjà présente sur le site. Loukas Yiacouvakis, architecte en charge du projet précise :"Pour nous, le concept de maisons usinées n'a pas sa place dans la nature, car cette proposition fait abstraction complète du site. La construction d'une maison usinée nécessite une coupe importante de la forêt pour mettre en place les différents éléments préfabriqués, livrés par de la machinerie lourde, rendant impossible un rapport intime entre architecture et nature." Pour en savoir plus, visitez le site de YH2

La ville de Chasseneuil-du-Poitou souhaitait se doter d'une salle culturelle et festive, un programme entrainant auquel les architectes de l'Atelier d'Architecture King Kong ont répondu par une salle compacte et intelligente recouverte de béton. Le programme s'est installé dans le quartier de la gare, une partie de la ville qui entre en restructuration. L'implantation du bâtiment par les architectes a dû composer avec les contraintes du Plan de Prévention des Risques Technologiques, tangeant au projet. Son orientation a aussi été dessinée de manière à réduire les nuisances acoustiques pour les logements situés à proximité. Le volume du projet joue avec les différentes altimétries, dues aux différentes salles à l'intérieur, et se dessine en pentes douces. Le béton matricé habille la salle de la Quintaine, le matériau a été retenu tant pour ses propriétés thermiques qu'acoustiques. Il inscrit également l'esthétique du bâtiment dans une sobriété laissant s'exprimer les lignes et les arrêtes de son volume. Le béton compose également la structure porteuse. Afin de faciliter la mise en "uvre sur le chantier, les architectes ont choisi de réaliser la charpente en métal, ce qui a donné lieu à une réduction de coûts. Le hall d'entrée est situé en proue du bâtiment, un porte-à-faux génère un confortable auvent sous lequel les spectateurs peuvent attendre en extérieur. A l'intérieur, le hall dirige vers les différentes fonctions du lieu. La salle principale est une salle de spectacle où des gradins rétractables ont été installés, offrant modularité et polyvalence au lieu. Sur l'un des flancs de la salle principale, un espace réduit en hauteur complète le volume et peut aisément être divisé du reste du plan. Intitulé du projet : Construction d'une salle festive et culturelle "la Quintaine" Lieu : Chasseneuil-du-Poitou (86 - France) Maîtrise d'ouvrage : Ville de Chasseneuil-du-Poitou Maîtrise d'oeuvre :Architecte mandataire : atelier d'architecture King KongChargé d'affaire : Jean-Christophe MasnadaChef de projet : Etienne HenryPaysagiste : A+R SallesScénographe : Ducks ScénoBureau d'études structure : Khephren IngénierieBureau d'études fluides et HQE : LBE FluidesBureau d'études VRD : IDTEC Projets de VilleAcousticien : idB AcoustiqueEconomiste de la construction : VPEAS Surface : 1 381 m2 Montant des travaux : 3 640 935 ¤ HT Calendrier :Attribution du marché : juillet 2012Début du chantier : octobre 2013Livraison : juin 2015 Procédure : marché de maîtrise d'oeuvre public sur concours restreint Photographies : Arthur Péquin Pour en savoir plus, visitez le site de l'Atelier d'Architecture King Kong