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Résultats de recherche pour acquisition societe

(641 résultats)
Il y a 2 ans et 189 jours

Deux acquisitions pour Kiloutou

CROISSANCE EXTERNE. Le spécialiste de la location de matériels, Kiloutou, annonce avoir fait l'acquisition de deux nouvelles sociétés, une en France et une en Italie.
Il y a 2 ans et 201 jours

Vinci étend son portefeuille de concessions brésiliennes

INTERNATIONAL. Déjà présent dans le domaine aéroportuaire au Brésil, Vinci Concessions annonce l'acquisition d'une société d'autoroutes dans le pays.
Il y a 2 ans et 204 jours

Ingérop se renforce en Allemagne

ACQUISITION. Le spécialiste de l'ingénierie et du conseil, Ingérop, annonce avoir mis la main sur une société allemande IBF Ingenieure.
Il y a 2 ans et 206 jours

Orne : Guibout Matériaux inaugure sa centrale BPE rénovée

Article paru dans le n° 103 de Béton[s] le Magazine. L’acquisition de leur première centrale à béton permet à Guibout Matériaux de produire chaque année 20 000 m3 de béton. [©Guibout matériaux] Fondée en 1867, à Flers, l’entreprise Guibout Matériaux, spécialisée dans la distribution de matériaux de construction, continue son essor. Forte de ses six points de vente dans l’Orne, la Mayenne et le Calvados, la société a inauguré, le 22 septembre 2022, sa centrale à béton rénovée. Acquise en mai 2020, l’unité Guibout Béton est située à Messei, à 5 km au Sud de Flers. « C’est un nouveau défi pour notre société, déclare François Guibout, président de l’entreprise éponyme. Nous avions déjà notre unité de préfabrication, à Magny-le-Désert, mais elle ne faisait pas de BPE. Nous avons appris que Norma Béton, un acteur historique du BTP local souhaitait vendre son activité. Après de longues réflexions, nous nous sommes dit que c’était une parfaite opportunité de renforcer la complémentarité et la synergie de nos activités. Nous nous sommes donc lancés dans cette belle aventure ! » Plusieurs séries de travaux ont été réalisées durant ces deux ans, afin de mettre en conformité cette centrale. En tout premier lieu, l’accueil clients des bureaux a été déplacé au plus près du site de production et des locaux sociaux ont été créés. Par la suite, plusieurs cases à granulats ont été rénovées. Lire aussi : OMG, nouveau malaxeur italien Plus récemment, 4 bassins de décantation pour le traitement des eaux de process ont été installés par Eiffage. S’ajoute à cela un système de recyclage des eaux décantées. Il est utilisé pour le nettoyage des toupies, de la piste et du malaxeur OMG à doubles arbres verticaux, d’une capacité de 1,5 m3. Concernant les outils informatiques et téléphoniques, une modernisation a été opérée. Guibout Matériaux est passé au logiciel de Command Alkon. Grâce à ce dernier, l’industriel produit en moyenne chaque année, 20 000 m3 de béton. La zone de chalandise couvre 50 km autour de la centrale. Article paru dans le n°103 de Béton[s] le Magazine Retrouvez nous sur tous nos réseaux sociaux en cliquant ici !
Il y a 2 ans et 230 jours

Assa Abloy annonce l’acquisition d’Alcea et renforce sa position sur le marché des infrastructures critiques

ASSA ABLOY développe son activité Critical Infrastructure avec l’acquisition d’ALCEAASSA ABLOY a récemment annoncé avoir reçu l’ensemble des approbations réglementaires nécessaires permettant clôturer l’acquisition de la société française ALCEA. La fusion des opérations d’ALCEA dans l’activité Critical Infrastructure d’ASSA ABLOY Global Solutions peut désormais se poursuivre.Pour Jorma ISSAKAINEN, vice-président Senior de l’activité Critical Infrastructure d’ASSA ABLOY Global Solutions : « Grâce à l’acquisition d’ALCEA, nous complétons notre offre logicielle et concrétisons ainsi notre stratégie autour des solutions centrées sur le contrôle d’accès. Notre objectif est de renforcer notre expertise et de devenir le leader mondial dans les environnements de protection des infrastructures critiques. »Pour Pascal LENGLART, Fondateur d’ALCEA : « ALCEA a été fondée en 1995 et emploie aujourd’hui 120 personnes. Il était important pour ALCEA, et donc pour ses clients, que la motivation première de cette acquisition soit la dimension industrielle du projet. »Pour Bruno ALSINA, Directeur des opérations d’ALCEA : « Nous sommes ravis que les solutions, relations et services d’accompagnement que nous avons développés avec nos clients s’inscrivent dans la continuité et bénéficient de la dynamique d’un des principaux groupes de sécurité au monde. »ALCEA, le concepteur français de solutions de sûretéALCEA, qui réalise un chiffre d’affaires de 20 millions d’euros, est un fabricant de logiciel de supervision de sûreté et de matériel de commande électronique associé. ALCEA propose une offre complète et évolutive pour répondre aux besoins de sécurisation des sites publics comme privés.Pour Dominique JARDIN, Directeur d’activité Critical Infrastructure France chez ASSA ABLOY Global Solutions : « ALCEA dispose d’une forte expertise en matière de contrôle d’accès, notamment dans les secteurs des télécommunications et des transports. Cette expertise s’inscrit parfaitement dans l’offre que nous proposons à nos clients. Grâce à cette acquisition, nous proposons désormais une offre complète et sur-mesure pour répondre aux besoins des infrastructures critiques. »La solution de surveillance ALWIN, le produit phare d’ALCEAALWIN est une solution de supervision sûreté et le produit phare d’ALCEA. Cette solution est certifiée par l’Agence Nationale de la Cybersécurité en France (ANSSI). Le système ALWIN est un logiciel modulaire et ouvert qui pilote différents dispositifs : des accès, des caméras de surveillance, des capteurs de détection d’intrusion. La solution ALWIN intègre déjà les solutions Aperio et CLIQ d’ASSA ABLOY et prochainement ABLOY BEAT.ExpoprotectionALCEA et Critical Infrastructure participeront à la prochaine édition du salon Expoprotection, du 15 au 17 novembre à Paris, porte de Versailles.
Il y a 2 ans et 247 jours

Vinci Energies poursuit sa stratégie de croissance externe en Finlande

ACQUISITION. Vinci Energies a annoncé avoir racheté deux sociétés finlandaises, afin de poursuivre son développement dans cette géographie et de renforcer un peu plus sa présence dans les infrastructures d'énergie et des télécommunications.
Il y a 2 ans et 250 jours

Big Bag’n Go devient EndLess

Le changement de marque et d’identité était une évidence à l’heure où tout évolue. [©EndLess] Septembre 2022 marque un nouveau tournant pour le groupe Big Bag’n Go qui devient EndLess1. Cette appellation « incarne bien sa mission : rendre accessible l’économie circulaire, en alliant pragmatisme et technologie. Ceci, pour faciliter la valorisation des déchets. Représentant un processus continu sans point final, telle la boucle vertueuse de l’économie circulaire. C’est aussi le reflet de la persévérance de ce groupe », peut-on lire dans le communiqué de presse de la marque. Un changement d’identité évident  Ce changement d’identité était une évidence à l’heure où tout évolue. Tant au niveau de l’entreprise, qui a fait l’acquisition, en 2021, de SOS Bennes et propose désormais une nouvelle offre globale. Qu’au point de vue du secteur, en pleine transformation, porté par de nouvelles règlementations et de nouvelles pratiques. Le groupe EndLess est une société française spécialisée dans la collecte, le tri et la valorisation de déchets de chantier. Son siège est situé à Montreuil-sous-Bois (93). Le groupe est co-dirigé par Arnaud Rongier et Thibaut D’Hau Décuypère. EndLess gère la collecte de plus de 155 000 m3/an de déchets (données 2021), en bennes ou en big bags. Et aussi les flux de déchets non dangereux et dangereux produits par les chantiers. Afin d’optimiser les flux logistiques et la chaîne de traitement, EndLess s’est doté d’un système propriétaire d’optimisation et de traçabilité des déchets. Qui permet des gains de productivité. Une démarche vertueuse qui contribue à la décarbonation des circuits de collecte. 1Qui signifie “sans fin”.
Il y a 2 ans et 250 jours

Vaste escroquerie à l'immobilier : 19 personnes dont d'ex-légionnaires condamnés

La fraude consistait à souscrire des prêts auprès d'établissements de crédit en fournissant de faux documents, ce qui avait permis l'acquisition de plus de 80 biens immobiliers via des prête-noms ou des sociétés de façade. Leur revente rapide après des travaux souvent non réalisés permettaient des plus-values artificielles.Dépeint comme "le chef d'orchestre" de l'escroquerie, Sébastian Celea, 41 ans, engagé dans la Légion étrangère de 2001 à 2007, a été condamné à cinq ans de prison avec mandat de dépôt ainsi qu'à une interdiction définitive de gérer une entreprise et d'exercer une profession commerciale ou industrielle.L'accusation l'a dépeint comme "l'organisateur et l'animateur d'un système dont il a tiré d'importants bénéfices financiers". Son épouse a été condamnée à un an de prison à purger sous le régime de la détention à domicile sous surveillance électronique et à une amende de 15.000 euros.Un autre ancien légionnaire roumain a lui été condamné à trois ans de prison et une amende de 100.000 euros. Il a été placé sous mandat de dépôt. Les prête-noms, anciens compagnons d'arme de Sebastian Celea, ont été condamnés à des peines s'échelonnant d'un an de prison avec sursis assorti d'une amende de 10.000 euros à un an de prison dont six mois avec sursis.De nombreuses confiscations y compris un appartement en Roumanie ont été prononcées par le tribunal.Deux notaires du Sud-Ouest ont été relaxés des faits d'escroquerie en bande organisée mais condamnés à un an de prison avec sursis pour complicité de blanchiment. Le tribunal n'a pas retenu l'interdiction d'exercer requis contre l'un d'eux, ni le délit de participation à une association de malfaiteurs visant certains prévenus.Il a relaxé totalement deux d'entre eux, notamment un salarié d'une banque que l'accusation présentait comme un "facilitateur bancaire".
Il y a 2 ans et 253 jours

Geplast réalise l’acquisition de la société F.M.I. Moules et Injection

La volonté d'acquérir un nouveau savoir-faireAprès 15 ans de partenariat, les discussions de cette opération se sont installées assez naturellement entre les deux entreprises familiales. « Au départ, il était seulement question d'échanger sur les futurs investissements entre nos deux sociétés » affirme Christophe GUEGAN avant de poursuivre « mais quand l'opportunité de créer cette synergie s'est présentée de manière plus concrète, j'ai jugé que Geplast était un partenaire solide, de confiance avec qui je partageais les mêmes valeurs et la même vision globale d'entreprise. Je savais qu'elle pourrait perpétuer notre savoir-faire, si important à mes yeux et nous amener à développer nos activités communes ».L'acquisition de F.M.I. Moules et Injection rentre parfaitement dans une volonté d'intégrer de nouvelles compétences dans le domaine de la transformation de matières polymères. Cette maîtrise complète de la conception, du développement jusqu'à la production des pièces injectées et des profilés extrudés permet à Geplast de répondre aux demandes spécifiques de la clientèle et de diversifier son offre en s'inscrivant sur de nouveaux secteurs d'activités.Concepteur et fabricant de moules et pièces injectées 100% françaisCréée en 1996 par Christophe GUEGAN, F.M.I. Moules et Injection est spécialisée dans la conception et la fabrication de moules d'injection permettant la production intégrée de pièces injectées en matières polymères PVC, ABS, ASA, polyamide et matières biosourcées. Elle compte aujourd'hui 11 salariés pour un chiffre d'affaires de 1,5M€ et rayonne sur le territoire national dans des secteurs d'activités variés : bâtiment, PLV, aménagement extérieur, médical, cosmétique…Avec une superficie couverte de 2500 m² pour une surface totale de 7000 m² ; la société possède un parc machines de 8 presses d'injection.Mutualiser les compétences et les investissementsSi la société F.M.I. Moules et Injection est désormais intégrée à la stratégie de développement de Geplast, celleci reste une entité à part entière pilotée par Christophe GUEGAN et sa femme Laurence, en étroite collaboration avec la direction de Geplast. « Pour nous, c'est une manière de les impliquer dans nos projets futurs. Nous souhaitons également rassurer et garder un lien de confiance avec les salariés présents sur le site de Bellevigny » indique Etienne GRIMAULT, président.Les deux entreprises souhaitent donc développer une stratégie commerciale ayant pour objectif principal d'étoffer le portefeuille clients et par conséquent la demande en pièces injectées et extrudées.« L'objectif à 5 ans est de multiplier par trois le chiffre d'affaires actuel. Cela passera notamment par la création de nouveaux emplois, un réaménagement des espaces de production et de stockage et l'arrivée de nouvelles machines » concluent Maxime GRIMAULT et Christophe GUEGAN.
Il y a 2 ans et 257 jours

Le Groupe EDILIANS finalise l’acquisition de La Escandella

Dardilly, France, le 5 octobre – Le Groupe EDILIANS annonce qu’il a finalisé l’acquisition de la société La Escandella, située à Alicante (Espagne) le 4 octobre 2022. La Escandella est un fabricant de tuiles terre cuite qui fournit des produits et services en Espagne, ainsi qu’à plus de 80 marchés d’exportation. La Escandella continuera à opérer à travers l’ensemble de ses marques, et à délivrer à tous ses clients des produits et services de haute qualité. Le Groupe EDILIANS est déjà présent en Espagne par le biais de sa filiale Tejas Borja, située à Valence, qui continuera elle aussi à opérer avec ses marques existantes, offrant des produits et services de haute qualité à ses clients. www.edilians.com
Il y a 2 ans et 258 jours

L'acquisition géante d'Equans par Bouygues finalisée

Le géant du BTP aura payé 6,5 milliards d'euros pour cette acquisition, soit 6,1 milliards de titres d'Equans, plus la reprise de la dette de la société à Engie (800 millions d'euros), moins 400 milions d'euros de trésorerie positive, explique-t-il.Engie indique pour sa part que "cette opération (lui) permet de réduire sa dette nette d'environ 7,1 milliards d'euros".L'accord était intervenu entre les deux groupes en novembre 2021.Ce rachat, le plus important par son montant jamais réalisé par la société Bouygues depuis sa création en 1952 par Francis Bouygues, lui permet "de devenir un leader mondial sur le marché porteur des services multi-techniques dont les activités sont au coeur des transitions environnementale, industrielle et numérique", souligne-t-il mardi dans un communiqué.Le nouvel ensemble, qui garde le nom Equans et intègre aussi le pôle Energies & Services de Bouygues, représentera environ 17 milliards d'euros de chiffre d'affaires.Il regroupera environ la moitié des collaborateurs du groupe Bouygues, soit 97.000 personnes (dont 75.000 venus d'Equans) dans plus de 20 pays, sur des services incluant le génie électrique, climatique, mécanique, les systèmes d'information et de télécommunication, la gestion des installations ainsi que la "ville intelligente"."L'acquisition d'Equans constitue une étape majeure dans l'histoire de Bouygues. Nous devenons un leader mondial des services multitechniques, et renforçons la résilience du groupe", a commenté Martin Bouygues, le président du conseil d'administration, cité dans le communiqué.Le groupe Bouygues voit ainsi son chiffre d'affaires total porté de 38 milliards d'euros à près de 51 milliards d'euros. Ses effectifs atteindront environ 200.000 collaborateurs dans plus de 80 pays.Historiquement connu pour la construction, Bouygues s'était déjà diversifié dans les télécoms (avec Bouygues Telecom) et les médias (avec TF1). Mais son quatrième pôle "Energies & Services" restait relativement modeste avec un chiffre d'affaires de 4 milliards d'euros.Du côté du géant français de l'énergie Engie, "la finalisation de cette cession est une étape majeure dans le recentrage d'Engie, et permet au groupe d'investir dans la croissance de ses métiers clés pour continuer d'accélérer la transition énergétique", a commenté sa directrice générale, Catherine MacGregor, dans un communiqué distinct.Face à Bouygues, d'autres candidats au rachat s'étaient présentés, dont l'entreprise de BTP Eiffage et le fonds américain Bain Capital allié au financier Marc Ladreit de Lacharrière via sa holding Fimalac, ainsi que Spie."L'offre de Bouygues était la mieux-disante au regard de l'ensemble des critères retenus par Engie, y compris sur le plan financier", avait expliqué en novembre l'énergéticien, détenu à 23,64% par l'Etat français et qui souhaite se concentrer notamment sur les énergies renouvelables et les réseaux.
Il y a 2 ans et 270 jours

Pas-de-Calais : Une réception en grande pompe chez Transports Dacquin

Article paru dans le n° 102 de Béton[s] le Magazine De gauche à droite, Gérald Dulary, pompiste, Guillaume Roelandt, technicien SAV Liebherr, William Siffert, responsable commercial Liebherr, Yvan Schmitt, responsable du service pompe Liebherr, Arnaud Haudiquet, directeur de l’exploitation des Transports Dacquin, Ghislain Dacquin, fondateur de l’entreprise, Clémence Dacquin, Dg de l’entreprise. [©ACPresse] Sous un ciel couvert, une flèche blanche se détache dans le paysage de Marconnelle. Il s’agit de la nouvelle pompe à béton Liebherr 36 M5 XXT acquise par les Transports Dacquin. Montée sur un porteur Mercedes Arocs 3 essieux d’un PTAC de 26 t, cette nouvelle machine présente une longueur de 10,34 m pour une hauteur minimale de dépliage de 7,20 m. Elle offre une capacité de 167 m³/h. Et sa cinématique 5 bras en “M” facilitera son utilisation sur les chantiers. Retrouvez l’actualité des entreprises en région Hauts-de-France Particularité de la pompe Une des particularités de la machine est sa stabilisation adaptative. « Nous sommes les seuls à pouvoir coller le stabilisateur à la cabine d’un côté, à l’avant comme à l’arrière, afin d’avoir une largeur de stabilisation qui ne dépasse pas les 4,90 m de large. L’autre avantage se situe au niveau de la trémie. Là, le tuyau en “S” profite d’un double amortissement en fin de course du vérin de basculement. Ainsi, la pompe bouge beaucoup moins et le pompage est plus souple et silencieux », détaille William Siffert responsable commercial Nord/Est et Auvergne Rhône Alpes chez Liebherr. Cette nouvelle acquisition rejoint une pompe Putzmeister de 47 m, achetée en 2017. Elle remplace une 32 m plus ancienne, tout juste revendue à une société hollandaise de négoce. « La nouvelle 36 m est plus demandée et elle permet d’élargir notre gamme, d’autant plus que nous allons recevoir notre 3e pompe, une 28 m, d’ici la fin du mois d’août. Celle-ci va faire exactement le même travail que la 32 m », conclut Clémence Dacquin, Dg de l’entreprise éponyme. Article paru dans le n° 102 de Béton[s] le Magazine
Il y a 2 ans et 271 jours

BRUNO MALERBA FINANCES acquiert la société MENUISERIE MAGNIN , spécialiste des escaliers

Bruno MALERBA, Président de BRUNO MALERBA FINANCES, annonce l’acquisition au 15 septembre 2022, de la société MENUISERIE MAGNIN, dont le siège social est situé à Charlieu dans la Loire (42). Avec ce rachat, l’entreprise rejoint le giron des activités de BRUNO MALERBA FINANCES, qui inclut notamment la société MALERBA, fabricant référent de blocs-portes techniques, basé […]
Il y a 2 ans et 272 jours

Cantillana passe sous giron Holcim

Holcim a complété le rachat de Cantillana. [©Cantillana] Holcim annonce avoir complété l’acquisition du Belge Cantillana, spécialiste des produits de gros œuvre, des enduits de façade et des granulats. Les bénéfices de Cantillana sont estimés à 80 M€ pour 2022. Les 200 employés et les neuf usines de production de la marque passent donc dans le giron d’Holcim. Avec les achats récents de PRB en France, de PTB-Compaktuna en Belgique et d’Izolbet en Pologne, Holcim renforce sa présence sur les marchés allemands, belges, français et hollandais. Les actifs et les solutions de la marque belge rejoignent le catalogue “Solution et Produits” d’Holcim. Lire aussi : Holcim en passe de racheter Cantillana « Je suis heureux d’accueillir tous les employés de Cantillana dans la famille Holcim, déclare Miljan Gutovic, responsable des marchés Europe, Moyen-Orient et Afrique d’Holcim. Cet achat constitue une nouvelle avancée dans l’expansion de notre catalogue “Solutions et Produits”. Et une progression dans notre “Stratégie 2025 -accéléré la croissance verte”. Ainsi, cette acquisition renforce notre présence en Europe. Notamment sur les secteurs de la rénovation, et des solutions d’efficience énergétique. » Cantillana a été fondée en 1875 à Sint-Niklaas, en Belgique. La société avait été acquise en 1982 pour la compagnie Stadsbader Group.
Il y a 2 ans et 274 jours

L'entreprise Le Foll TP rejoint le groupe Spie batignolles

Historiquement implantée dans l'Eure, à Corneville-sur-Risle, Le Foll TP est une entreprise familiale créée en 1922 et reprise par Madame Sophie Le Foll au décès de son fondateur, Monsieur Pierre Le Foll. Elle est dirigée depuis plusieurs années par Monsieur Pierre Gil. En plus de son siège social, Le Foll TP dispose de 3 agences situées à Pont-Audemer (27), Caen (14) et Andrésy (78).Le positionnement client et la zone géographique couverte par cette entreprise complètent parfaitement l'offre proposée par Spie batignolles et sa branche Travaux Publics et Environnement composée de Spie batignolles malet, Spie batignolles valérian, Spie batignolles favier et Spie batignolles vallia (travaux routiers, terrassement, paysage).Pour Eric de Balincourt, directeur général de la branche infrastructures de Spie batignolles : « Spie batignolles a toujours affirmé sa volonté d'élargir ses positions à l'ensemble du territoire national sur ces métiers. Fort de notre ancrage sur toute la moitié sud de la France avec les équipes de Spie batignolles malet et de Spie batignolles favier, l'acquisition de la société Le Foll TP va désormais nous permettre de rayonner sur toute la Normandie mais aussi l'Ile de France et de développer des synergies clients fortes. Nous sommes très heureux d'accueillir ces équipes au sein de notre Groupe ! »Trois autres sociétés sont également concernées par ce rachat :Transloc, spécialisée dans le transport et la location de matérielsLennuyeux, entreprise de démolition dans le bâtiment, l'industrie et les ouvrages d'artSepra, société de construction qui intervient sur des petits programmes résidentiels et des équipements publics.L'ensemble représente un chiffre d'affaires annuel de 45 millions d'euros et 270 collaborateurs.Parmi les références en grands projets de ces équipes, citons la construction de l'A28 sections Rouen (76) - Alençon (61) et Rouen - Neufchâtel (76) ou encore de l'A29 entre Beuzeville (27) et Honfleur (14), de l'A88 de Sées à Falaise (61) ou l'élargissement autoroutier de l'A13 et de l'A31 de Crimolois (21) à Langres (52).Pour Sophie Le Foll qui transmet la présidence de l'entreprise à Jean-Charles Robin, président de Spie batignolles : « Je tiens à remercier chaleureusement l'ensemble des collaborateurs de la filiale historique du Groupe pour tout le chemin parcouru au cours de ces longues années, parfois dans des conditions de marché difficiles et suis satisfaite de passer la main à un acteur majeur et reconnu qui partage nos valeurs. Je suis convaincue que ce rapprochement est une magnifique opportunité de croissance et de développement pour le futur groupe constitué. »Les différents acteurs de l'opération ont été assistés des conseils de Natixis Partners et de Fieldfisher pour les cédants et de ceux de King & Spalding, Pwc et Arsène pour Spie batignolles.
Il y a 2 ans et 278 jours

De retour à INTERCLIMA, Zehnder s’ouvre au secteur tertiaire et renforce son offre pour le marché du résidentiel

Pour son retour à Interclima, Zehnder dévoile sa nouvelle offre de ventilation double flux décentralisée dédiée au tertiaire, et plus particulièrement celle pour les écoles, fruit de l’acquisition de la société française CALADAIR. Ce salon sera également l’occasion pour le spécialiste du climat intérieur sain, confortable et économe en énergie de mettre en lumière ses […]
Il y a 2 ans et 287 jours

Wienerberger affiche une forte croissance au premier semestre 2022

Wienerberger constate à l’échelle du Groupe une forte progression de son chiffre d’affaires (+38%), pour atteindre 2.572 millions €, tandis que l'EBITDA opérationnel grimpe à 545 millions €, soit un bond de 79% par rapport au premier semestre 2021.Faits marquantsCroissance généralisée de Wienerberger dans toutes ses régions et secteurs d'activitéForte progression (+38%) du chiffre d'affaires, qui s’établit à 2.572 millions €EBITDA opérationnel en hausse de 79% à 545 millions €Intégration réussie des acquisitions réalisées en Europe et en Amérique du NordPerspectives pour 2022Poursuite de la croissance attendue au second semestre grâce à l'innovation et aux solutions systèmesEBITDA opérationnel prévu pour 2022 > 900 millions €Grâce à la résilience de son modèle économique, Wienerberger réalise une solide performance au premier semestre 2022 malgré un environnement difficile caractérisé par l'instabilité géopolitique, la hausse des taux d'intérêt, notamment en Europe, ainsi que l’envolée des coûts et de la dette publique qui en résulte.Pour Heimo Scheuch, PDG et président du conseil d'administration de Wienerberger AG : « Le Groupe doit son excellente performance au travail acharné de tous nos salariés et à la transformation réussie de notre modèle économique, sans oublier notre force d'innovation dans tous les secteurs où nous évoluons. Aujourd'hui, nos activités sont davantage diversifiées en matière de débouchés et de répartition géographique. Étant donnée notre forte exposition aux marchés de la rénovation et des infrastructures dans le secteur de l’eau, nous avons indiscutablement gagné en résilience. Nous sommes résolus à poursuivre sur cette voie, grâce à une stratégie de croissance éprouvée, axée sur l'innovation, les solutions système et le développement durable. Ces efforts soutenus, qui sont essentiels pour élaborer des solutions durables et économes en énergie, nous permettent de contribuer utilement à l’atteinte des objectifs climatiques. »La performance du premier semestre 2022 a bénéficié d’une forte demande, de la mise en œuvre de gains d’efficacité, d’une excellente gestion des achats et de l'intégration rapide et efficace des sociétés acquises l'année dernière, dont la contribution aux bénéfices a été substantielle.Depuis plusieurs semaines/mois, Wienerberger œuvre sans relâche pour sécuriser l'approvisionnement énergétique de ses 220 sites de production. À cette fin, l'entreprise a élaboré des plans d'urgence et travaillent en étroite collaboration avec les États. Conformément aux ambitions de notre stratégie ESG, nous accélérons notre programme d'investissements pour convertir nos usines de production à des sources d'énergie renouvelables comme l'électricité, l'hydrogène, le biogaz et le gaz de synthèse. Nous privilégions un approvisionnement énergétique local et indépendant.Performance des entités opérationnelles de WienerbergerAu cours du premier semestre 2022, Wienerberger Building Solutions a affiché des résultats extrêmement satisfaisants malgré un marché du logement en légère baisse, de - 2% à - 5%. Grâce à une forte demande et à un carnet de commandes bien rempli, l'activité Wienerberger Building Solutions a enregistré une forte croissance de son chiffre d’affaires et de ses bénéfices. Au cours des six premiers mois de l'année, le chiffre d’affaires externe a crû de 22% pour atteindre 1.358,3 millions € (2021 : 1.115,4 millions €). L'EBITDA opérationnel a grimpé de 56% pour s’établir à 341,4 millions € (2021 : 218,8 millions €) sur la même période.L’activité Wienerberger Piping Solutions continue sur sa lancée avec une croissance soutenue et d’excellents résultats au premier semestre 2022. Dans le domaine des infrastructures, l’entité opérationnelle a de nouveau enregistré une forte demande pour les systèmes « tout-en-un » associant gestion de l'eau et de l'énergie. Dans l'ensemble, le chiffre d’affaires externe généré par Wienerberger Piping Solutions a grimpé de 30% pour atteindre 742,2 millions € (2021 : 569,7 millions €), tandis que l'EBITDA opérationnel s'est amélioré de 56% pour s’établir à 92,7 millions € (2021 : 59,4 millions €).Grâce à des conditions de marché favorables, l’activité Wienerberger Amérique du Nord a de nouveau enregistré une augmentation remarquable de son chiffre d’affaires et de ses bénéfices au cours du premier semestre. On doit cet excellent résultat à une croissance interne toujours forte dans le secteur des tuyaux en plastique, à la bonne tenue du marché de la brique et à l'acquisition de Meridian Brick, dont la contribution est satisfaisante. Le chiffre d’affaires a plus que doublé pour s’établir à 470,6 millions € (2021 : 180,2 millions €) au cours de la période considérée. L'EBITDA opérationnel a atteint le niveau exceptionnel de 111,2 millions € (2021 : 26,8 millions €).Perspectives pour 2022Wienerberger anticipe un développement stable du secteur de la rénovation en 2022. Des fonds considérables sont disponibles pour améliorer l'efficacité énergétique du parc immobilier vieillissant et réduire ainsi les émissions de CO2 (Pacte vert de l'UE et autres initiatives nationales). De même, nous anticipons une évolution stable dans le secteur des infrastructures, car des fonds supplémentaires sont également disponibles pour la modernisation et la réparation des réseaux d'eau et d'énergie en Europe et en Amérique du Nord. La rénovation et l'infrastructure représentaient 51% de l'exposition totale de Wienerberger au marché en 2021. Le marché du logement neuf pâtit actuellement d’une offre insuffisante, tandis que la demande de logements reste élevée. Compte tenu d’un environnement difficile, Wienerberger anticipe un léger déclin des marchés du neuf en Europe et en Amérique du Nord au cours du second semestre. En fonction de chaque marché, cette baisse pourrait atteindre - 5%, dans la ligne droite du premier semestre.Pour Heimo Scheuch, PDG et président du conseil d'administration du groupe Wienerberger : « Nous sommes bien conscients que les marchés financiers anticipent actuellement une tendance à la récession sur l'ensemble des marchés du BTP. Cependant, nos activités sous-jacentes se portent bien. Nous n’anticipons pas d’apaisement sur le plan géopolitique au cours du second semestre, et l’incidence sur l'économie restera perceptible. Chez Wienerberger, nous sommes préparés à toute éventualité et en mesure de réagir rapidement à toute évolution du marché. Nous poursuivons donc nos investissements dans le développement de solutions novatrices et durables pour la construction, la rénovation et les infrastructures dans le domaine de l’eau. C’est en privilégiant l'innovation et les solutions systèmes que nous maintiendrons une croissance interne forte. »Wienerberger a réussi à diversifier son modèle économique ces dernières années, réalisant ainsi des gains de résilience conséquents. Grâce aux mesures mises en œuvre ces derniers mois et à la poursuite du bon développement de l'activité, Wienerberger cible en 2022 un EBITDA opérationnel > 900 millions €.Le rapport semestriel 2022 complet est disponible à l’adresse suivante : https://www.wienerberger.com/en.
Il y a 2 ans et 295 jours

La famille Bouygues dépasse le seuil des 25% du capital de Bouygues

Martin Bouygues, président du conseil d'administration du groupe, son frère Olivier et leurs familles détiennent désormais "25,02% du capital et 29,37% des droits de vote" du groupe, indique l'Autorité des marchés financiers (AMF)."Ce franchissement de seuil résulte d'une acquisition d'actions Bouygues sur le marché", précise l'AMF.Ces parts dans le groupe sont détenus par les deux frères et leurs familles en quasi totalité via leur société commune SCDM, qui a réalisé cette acquisition "en utilisant ses ressources financières disponibles".Selon la déclaration à l'AMF, les familles Bouygues "agissent de concert entre elles et n'ont pas conclu d'accord de concert avec un tiers". Elles indiquent aussi envisager "d'accroître leur participation dans la société Bouygues en fonction des conditions et des opportunités de marché, sans que cela ne leur fasse franchir 30% du capital ou des droits de vote".La réglementation boursière oblige un actionnaire qui dépasse le seuil de 30% d'une entreprise à lancer une OPA (offre publique d'achat).Les familles Bouygues "n'envisagent pas de prendre le contrôle de la société Bouygues", "n'envisagent pas de solliciter de sièges supplémentaires au conseil d'administration" et affirment qu'elles "soutiennent la stratégie actuelle mise en oeuvre par la direction générale de Bouygues".Celle-ci a été confiée en février 2021, à Olivier Roussat, lorsque Martin Bouygues a commencé à passer la main à la tête en dissociant ses fonctions de président et de directeur général.Le groupe français est actuellement engagé dans deux grandes et couteuses opérations de fusion-acquisition.Bouygues tente d'acquérir Equans auprès du groupe Engie, plus grosse opération de rachat jamais réalisée par le groupe créé en 1952, et de mener à bien le rapprochement entre sa chaîne TF1 et M6.Le bouclage du rachat d'Equans, qui regroupe des services techniques allant de la gestion de l'énergie dans les bâtiments à la sécurité-incendie en passant par la climatisation ou le numérique, est toutefois contestée par l'autorité de la concurrence britannique CMA.Bouygues, qui a conclu la séance de mercredi à la Bourse de Paris en baisse de 1,23%, est valorisé à 11,6 milliards d'euros sur la place parisienne.
Il y a 2 ans et 317 jours

Le Groupe Poujoulat accélère son développement dans le bois-énergie via l'acquisition des sociétés Soccem et la Bûche Forestière

Les cessionnaires (Jean-Luc Corbin, Pascal Marchand et Johnny Corbin) ont signé le protocole de vente des deux sociétés avec les représentants du Groupe Poujoulat le 19 juillet dernier. La SOCCEM et la Bûche forestière sont respectivement producteur de charbon de bois à Saint-Ulphace et producteur/distributeur de biocombustibles à Champagné, à proximité du Mans. L'ensemble représente un chiffre d'affaires consolidé de 4 millions d'euros et emploie une vingtaine de salariés.Les actionnaires historiques accompagneront le Groupe Poujoulat dans ses nouveaux projets. En effet, le gisement foncier des structures permettra d'accélérer le développement des capacités de production de biocombustibles pour le chauffage et la cuisson.La construction d'une unité de production de bois de chauffage performant est prévue dans les prochains mois sur le site de production de charbon de bois, dont le process sera également renouvelé, pour répondre à la croissance des marchés normands, bretons, ligériens et de l'Ouest de la région parisienne. Pour Frédéric COIRIER, PDG du Groupe Poujoulat : « Avec l'acquisition de ces deux entreprises saines disposant d'une bonne rentabilité, le Groupe Poujoulat franchit une nouvelle étape dans le déploiement de son offre de biocombustibles performants pour le chauffage et la cuisson. Cette opération complète notre maillage national et nous offre des perspectives et des moyens en ligne avec nos ambitions à 2025/2026. Nous accueillons avec plaisir ces deux sociétés au sein du groupe. » Pour les actionnaires historiques : « Nous sommes heureux de rejoindre le Groupe Poujoulat, leader français des biocombustibles haute performance, porteur d'une stratégie de long terme qui correspond à nos valeurs. Nous sommes convaincus que la SOCCEM et La Bûche Forestière vont pouvoir accélérer leur développement au sein de ce groupe familial. »
Il y a 2 ans et 329 jours

Le parquet financier ouvre une enquête sur les biens d'oligarques russes en France

Cette enquête a été ouverte le 1er juillet pour "blanchiment en bande organisée des délits de corruption, de détournements de fonds publics et fraude fiscale aggravée", a indiqué à l'AFP le PNF, confirmant une information du Parisien.Les investigations ont été confiées à l'Office central pour la répression de la grande délinquance financière (OCRGDF).L'ouverture de cette enquête survient après la plainte déposée fin mai à Paris par l'ONG anticorruption, notamment pour des faits de "blanchiment" visant de possibles biens mal acquis en France par "des hommes d'affaires et hauts fonctionnaires proches de Vladimir Poutine".La plainte contre X de l'ONG visait, outre le blanchiment, la non justification de ressources, Transparency expliquant ainsi "dénoncer le système de capture de l'Etat russe et de la richesse nationale par" des proches de M. Poutine.Selon l'ONG, qui ne donnait pas les noms des personnes visées pour "éviter des représailles", le système élaboré "étend(ait) ses ramifications jusqu'en France, dans le secteur de l'immobilier notamment, du fait d'un manque de vigilance des intermédiaires"."L'ambition des mesures de sanctions contre la Russie et les premières annonces de gel se heurtent aux difficultés d'identifier le patrimoine des personnes sanctionnées", avait relevé Transparency International."En France, comme ailleurs, la traque des avoirs des oligarques et des proches du régime russe piétine", avait ajouté l'ONG, en insistant sur les "intermédiaires, prête-noms, sociétés-écran ou trusts dans des paradis fiscaux ou judiciaires".Propriétés luxueusesGrâce à diverses sources, "nous avons pu dresser un inventaire du patrimoine immobilier en France de plusieurs oligarques et proches du régime russe, identifier les chaînes de propriétés mises en place à cet effet, et réunir un faisceau d'indices sur l'origine illicite des ressources ayant permis l'acquisition de ce patrimoine", avait alors affirmé Patrick Lefas, président de TIF.Selon les avocats de l'ONG, Mes William Bourdon, Apolline Cagnat et Amélie Lefebvre, "le développement de cette plainte s'est fait avec la rigueur qu'imposent les enjeux.""Certains oligarques de premier plan pourraient devoir rendre des comptes sur des faits qui nous apparaissent très documentés. On peut former des vœux qu'un jour la question de la restitution de ces biens mal acquis, dans le respect de l'intérêt général du peuple russe, sera sur la table", ont-ils ajouté.Depuis l'invasion de l'Ukraine par la Russie, la communauté internationale a dressé une liste d'oligarques russes dont les avoirs ont été gelés.En France, plusieurs propriétés (villas, domaines, appartements) ont été recensées sur la côte d'Azur, en région Rhône-Alpes, à Paris mais aussi dans le Sud-Ouest.A la fin avril, la France avait immobilisé 23,7 milliards d'euros d'actifs russes sur son territoire, dont des biens immobiliers pour une valeur d'acquisition de 573,6 millions.Parmi ces biens figurent quatre cargos, quatre yachts pour une valeur supérieure à 125,2 millions d'euros ; six hélicoptères pour une valeur supérieure à 60 millions d'euros ; et pour 7 millions d'euros d’œuvres d'art.Le cap d'Antibes, le cap Ferrat, Courchevel, la Corse sont depuis plusieurs années des destinations prisées des milliardaires russes, qui ont parfois fait flamber les prix par les montants de leurs acquisitions.Dans une enquête de l'AFP diffusée en avril, une directrice d'agence immobilière faisait état d'achat de maisons à "50 millions d'euros" au Cap Ferrat, entre Nice et Monaco.Parmi les biens possédés par des milliardaires russes figurent de vastes chalets luxueux à Courchevel au dans d'autres stations de skis, dont les prix avoisinent les 100 millions d'euros.Les propriétaires se cachent souvent derrière des sociétés écrans domiciliées aux Bahamas ou à Guernesey.Les enquêteurs soupçonnent l'usage de prête-noms afin que l'on ne puisse pas remonter jusqu'au véritable propriétaire du bien.
Il y a 2 ans et 334 jours

Poujoulat accélère encore sur le marché du bois-énergie

ACQUISITIONS. Le spécialiste des conduits de cheminées, Poujoulat, annonce avoir racheté deux sociétés sur le marché du bois-énergie dans la Sarthe.
Il y a 2 ans et 334 jours

Le Groupe Nadia rachète les Fermetures Voltech et 2B2F

Les Fermetures VOLTECH, basée aux Sablesd’Olonne (85), est spécialisée dans la fabrication de volets roulants (réno, tradi, coffre tunnel) et portes de garage enroulables. Ses produits sont distribués via un réseau d’artisans. Elle emploie une cinquantaine de personnes pour un CA de 17,3M €.2B2F est basée à Saint-Christophe-du-Bois (49) et compte 5 personnes pour un CA de 1,8 M €. Elle fabrique des volets roulants et blocs baies demi-linteaux à destination d’industriels de la fenêtre.Grâce à ces deux acquisitions, le Groupe NADIA conforte et complète son pôle menuiserie aluminium (SIB, ALUCLOS, ABS), qui offre déjà plusieurs gammes de portails, de clôtures, de volets battants et coulissants, de portes de garage ou autres gardes corps et pergolas.Ce rapprochement va ainsi permettre de proposer une offre large de fermetures, innovante et différenciée sur l’ensemble du territoire. Comme le précise Eric de PONTBRIAND, Président du Groupe NADIA. « Les Fermetures VOLTECH et 2B2F vont bénéficier de la présence nationale du Groupe NADIA pour étendre leur champ d’action sur l’ensemble du territoire, alors qu’elles étaient jusqu’à présent surtout implantées dans le grand Ouest »David POUZET, qui a fondé Les Fermetures VOLTECH en 2006, désormais Directeur Général des deux sociétés, va accompagner cette transition. Il a à ses côtés Guillaume SAVIDAN en tant que Directeur Général Délégué ; ce dernier a rejoint l’entreprise en 2015.Pour rappel, le Groupe NADIA a acquis NGV électronique, spécialisée dans l’étude et la fabrication de cartes et modules électroniques, ainsi que la start-up WIRESTONE spécialisée dans les objets connectés, en juin 2022.
Il y a 2 ans et 348 jours

Juridique : Céder un fonds de commerce – Partie II

Article paru dans le n° 101 de Béton[s] le Magazine Après l’acquisition, l’acquéreur dispose de garanties de délivrance, d’éviction, contre les vices cachés, et d’une garantie contractuelle. [©ACPresse] Comme détaillé dans la partie I, parue dans Béton[s] le Magazine n° 100, la cession d’un fonds de commerce consiste à vendre l’ensemble des éléments d’une activité. Il s’agit d’une alternative à la cession de la société toute entière, permettant une fiscalité à optimiser et l’absence de transmission des dettes antérieures à l’acquéreur. Après avoir listé les éléments à céder, répondu aux obligations d’informations préalables et fait sa promesse de cession, trois étapes finales attendent encore le cédant. Etape 4 : Cession de fonds de commerce La loi n° 2019-744 du 19 juillet 2019 a supprimé les informations obligatoires de l’article L. 141-1 du Code de commerce. Mais il est néanmoins indispensable de préciser plusieurs points : – le prix de cession du fonds, avec ventilation du prix des différents éléments ; – la date, la nature et le prix de l’acquisition des éléments par le vendeur ; – l’état des privilèges et nantissements grevant le fonds sur les dix ans précédant la vente, ou l’absence d’inscription le cas échéant ; Lire aussi : Partie I – Céder un fonds de commerce – le chiffre d’affaires et le résultat d’exploitation des trois derniers exercices comptables. Ainsi que les chiffres d’affaires mensuels entre la clôture du dernier exercice et le mois précédant la vente1 ; – le bail commercial, sa date, sa durée, le nom et l’adresse du bailleur et son information de la cession ; – les noms et adresses de tous les cédants précédents le cas échéant. Rappelons enfin que par application de l’article 1112-1 du Code civil, toute partie à un contrat qui connaît une information, dont l’importance est déterminante pour le consentement de l’autre (outre la valeur de la prestation), doit l’en informer sous peine de nullité. Etape 5 : Les formalités postérieures à la signature Les formalités suivantes sont obligatoires : – enregistrement de l’acte de cession auprès de l’administration fiscale ; – publication de la cession du fonds dans le Journal d’annonces légales2 (Jal), avec mentions obligatoires, dans un délai de 15 j à compter de la vente ; – publication au Bodacc3 dans un délai de 3 j suivant l’insertion dans le Jal, afin que les créanciers du vendeur puissent faire opposition au paiement du prix de vente à l’acquéreur (délai de 60 j pour l’administration fiscale et de 10 j pour les autres créanciers) ; – mise sous séquestre du prix de cession, qui ne sera payé qu’après désintéressement des créanciers du vendeur ; – déclarations fiscales du vendeur (déclaration de la cession dans un délai de 45 j à compter de la publication dans le Jal, de ses bénéfices et plus-values imposables au jour de la cession dans un délai dépendant de son statut juridique, et de sa TVA dans un délai de 30 ou 60 j à partir de la publication dans le Jal en fonction de son régime de TVA4). – immatriculation au Registre du Commerce et des Sociétés par l’acquéreur (immatriculation secondaire ou modificative). Etape 6 : Les garanties de l’acquéreur après la cession Après l’acquisition, l’acquéreur dispose de garanties de délivrance, d’éviction, contre les vices cachés et d’une garantie contractuelle (au titre des mentions obligatoires). Il est néanmoins indispensable de stipuler une garantie d’actif-passif. Par cette garantie, le vendeur s’engage à prendre en charge les dettes non déclarées dans l’acte de cession et les diminutions de l’actif net, survenant après la cession, mais et dont l’origine est antérieure. Pierre LacoinAvocat à la CourCabinet 1792 Avocats [Lien vers site du cabinet d’avocats pour la version en ligne] 1Cette information est obligatoire par application de l’article L. 141-2 du Code de commerce.2Journal d’annonces légales3Bulletin officiel des annonces civiles et commerciales4La cession du fonds est exonérée de TVA si la vente porte sur l’intégralité du fonds de commerce et si l’acquéreur est lui-même redevable de la TVA. Article paru dans le n° 101 de Béton[s] le Magazine
Il y a 2 ans et 351 jours

“1 immeuble, 1 œuvre” : L’importance de l’art dans la ville

L’art et l’architecture ont toujours été intimement liés dans l’histoire. [©Eva Jospin] L’art ne laisse pas indifférent. On aime ou on déteste, mais il stimule les émotions. L’art et l’architecture ont toujours été intimement liés dans l’histoire. « Il n’y a pas si longtemps qu’il existe une rupture entre l’architecture et les artistes, depuis que la construction s’est industrialisée et normalisée », insiste l’artiste Eva Jospin. C’est pourquoi en 2015, le ministère de la Culture et de la Communication a lancé le programme “1 immeuble, 1 œuvre”, en lien avec la Fédération des promoteurs immobiliers (FPI). Ceci, afin d’accompagner les promoteurs et sociétés foncières dans cette démarche de soutien à la création artistique et de diffusion des arts plastiques. 72 signataires actuellement « Notre objectif ? Rendre systémique et collective cette commande, d’où la charte signée le 16 décembre 2015 avec le ministère de la Culture et ses 13 premiers signataires. Ils sont désormais 72 », rappelle Artur Toscan du Plantier, président du Club “1 immeuble, 1 œuvre” et directeur de la stratégie d’Emerige. [©Emerige] Ils étaient 13 signataires alors, s’engageant à commander ou à acquérir une œuvre d’art auprès d’un artiste pour tout immeuble à construire ou à rénover. En 2018, c’est l’envol du programme de commandes artistiques. Aujourd’hui, les acteurs de l’immobilier sont toujours plus nombreux à s’engager volontairement, en signant la charte ministérielle, à financer l’acquisition ou la production d’une œuvre. Ils sont désormais 72, du grand groupe immobilier comme Emerige, dirigé par Laurent Dumas, à l’initiative de la proposition ministérielle, Vinci Immobilier, Bouygues Immobilier ou de plus petits acteurs, citons Bâti-Nantes ou des bailleurs sociaux à l’instar de Toit et Joie – Poste Habitat. Tous s’engagent à faire appel à un artiste vivant, en procédant à la commande ou à l’achat d’une œuvre existante, dans le champ des arts visuels. Et à prendre à leur charge la rémunération de l’artiste, ainsi que les coûts de réalisation et d’installation de l’œuvre. 554 œuvres produites, partout en France Agnès Pezeu, directrice du fonds de dotation d’Interconstruction. [Interconstruction] Au final, depuis sa création, l’association a vu la commande de 554 œuvres, partout en France. A l’intérieur ou à l’extérieur des bâtiments, dans les parties communes ou sur la place publique, un véritable parcours d’œuvres se dessine sur l’ensemble du territoire. Sculptures, peintures, installations lumineuses, photographies ou créations originales de mobilier : les réalisations renouent avec une pratique historique d’un dialogue concerté entre art et architecture. Et confirment la diversité et la richesse de la scène française. Depuis le lancement de l’opération, des artistes, émergents ou confirmés, ont convié habitants et visiteurs à la réflexion, à la rêverie, à la discussion, mais aussi au débat. Parmi lesquels Daniel Buren, Johan Creten, Gloria Friedman, Fabrice Hyber, Eva Jospin, Arik Levy, Théo Mercier, Yann Lestrat ou encore Prune Nourry. Le programme s’est aussi ouvert aux propositions artistiques temporaires conduites sur le temps de chantiers. « J’ai la conviction que l’art doit infuser dans la ville par l’architecture. Pour Linkcity, il est important de développer une vision artistique dans nos réalisations architecturales. C’est une vraie volonté de Linkcity. La majorité des opérations livrées comprennent une œuvre. Quand je suis arrivé chez Linkcity il y a dix ans, cette volonté artistique était déjà présente », insiste Philippe Da Silva, directeur d’opération maîtrise d’ouvrage d’exécution chez Linkcity, filiale de développement immobilier de Bouygues Construction. Un cheminement piéton « Quand je suis arrivé chez Linkcity il y a dix ans, cette volonté artistique était déjà présente », insiste Philippe Da Silva, directeur d’opération maîtrise d’ouvrage d’exécution chez Linkcity, filiale de développement immobilier de Bouygues Construction. [©Linkcity] « Je suis attaché à “L’empreinte du Mammouth”, réalisée par Stefan Shankland. Cette œuvre s’inscrit au cœur du lot O8 dans la Zac des Batignolles (Paris VIIe). L’artiste a utilisé le “Marbre d’ici”, qui est le nom donné à la nouvelle matière première produite à partir du recyclage des gravats et déchets de chantier. Réduits en poudre, mélangés à du ciment et coulés en strates, ces déchets inertes ont été transformés en une ressource : un matériau noble, un béton à haute valeur patrimoniale, esthétique et écologique, pour la réalisation d’un cheminement piéton sillonnant à travers le jardin au pied des immeubles du lot O8 », explique Philippe Da Silva. Et l’artiste Stefan Shankland, de poursuivre : « Cette œuvre produit un monument ordinaire à l’effigie de la transformation de la matière et crée une continuité entre l’avant, le pendant et l’après transformation urbaine. Le chantier est un métabolisme qui transforme les ressources naturelles au cours du temps et laisse, pour trace ultime de son activité, un immeuble. Cette sculpture horizontale nous parle de stratification, de géologie, de gisements venus du sous-sol avant d’être érigés en architecture verticale ». Grâce à l’art contemporain « Cette sculpture horizontale nous parle de stratification, de géologie, de gisements venus du sous-sol avant d’être érigés en architecture verticale. » ©Stefan Shankland] En 2021, Intercontruction a signé la charte “1 immeuble, 1 œuvre”, mais depuis plus de 20 ans, ce promoteur associe une œuvre d’art par construction. L’artiste est choisi en fonction du lieu et des habitants. « Derrière chaque œuvre, il y a un artiste. Comme tout chercheur, il évolue dans un processus méthodique de réflexion et d’exploration souvent long et intuitif. Nous souhaitons mettre un supplément d’âme dans nos constructions grâce à l’art contemporain. Nos chantiers les plus emblématiques ? Nous avons posé avec les artistes de Duoduo une œuvre en céramique sur un pignon d’immeubles à Vanves. Je me souviens aussi des photos de Corinne Mercadier à Courbevoie ou encore les peintures abstraites de Patrice Pantin, à Guyancourt », souligne Agnès Pezeu, directrice du fonds de dotation d’Interconstruction.En finançant l’acquisition d’œuvres artistiques dans leurs programmes immobiliers, les promoteurs soutiennent la création contemporaine et valorisent l’architecture. Cet engagement inédit améliore la qualité de vie des habitants, en permettant au plus grand nombre d’accéder à la création artistique. Aujourd’hui, le programme “1 immeuble, 1 œuvre” continue de fédérer et de mobiliser promoteurs immobiliers, sociétés foncières et bailleurs sociaux. De plus en plus nombreux à rejoindre le programme, désireux d’engager un échange et un partage autour d’œuvres d’art dans des lieux de vie ou de travail. « Depuis les années 1950, la commande artistique était l’apanage de la puissance publique notamment à travers le 1 % artistique. Des acteurs de l’immobilier commandaient des œuvres de manière individuelle. Notre objectif ? Rendre systémique et collective cette commande, d’où la charte signée le 16 décembre 2015 avec le ministère de la Culture et ses 13 premiers signataires. Ils sont désormais 72 », rappelle Artur Toscan du Plantier, président du Club “1 immeuble, 1 œuvre” et directeur de la stratégie d’Emerige. L’art et l’architecture ne font plus qu’un “Matera”, œuvre d’Eva Jospin. [©Cyrille Dubreuil] Et de poursuivre : « Les projets qui m’ont beaucoup touché ? La forêt d’Eva Jospin dans le VIIe arrondissement. Cette œuvre pour Beaupassage a été réalisée, en 2017, dans d’anciens entrepôts appartenant à Emerige, rue de Tolbiac à Paris, et qui servaient d’atelier d’artistes mis à disposition par le groupe. Telle une grande forêt immersive dans la longueur de la galerie d’accès au boulevard, “La Traversée” est apposée le long du mur, côté droit. Côté gauche, cette futaie est réfléchie par des poly-miroirs plans. La forêt de carton, matériau de prédilection de l’artiste, forme un immense haut-relief de 530 cm de long par 280 cm de haut. Bois, branches, rameaux, racines, frondaisons, cimes, troncs, ramifications, feuilles, fruits, bourgeons, greffons, buissons, arbres, arbustes, tiges, mousses… Tout ce qui forme l’enchevêtrement sylvestre, mystérieux, insondable, voire labyrinthique d’une forêt devient, dans les mains d’Eva Jospin, un paysage modelé, découpé, incisé et ciselé dans du carton ». Et Eva Jospin, de reprendre : « A Massy-Palaiseau, dernièrement je suis intervenue sur toute une façade pour le cabinet Brenac et Gonzales Associés. Et également à Bagneux pour le cabinet Lambert Lenack. Les deux étant des commandes d’Emerige. J’ai utilisé la technique du béton matricé avec des bas-reliefs en carton, moulés. Je travaille sur les façades, sur toute l’architecture. L’art crée une passerelle, un langage avec le bâtiment ». Une expo photos sur les palissades de chantier Sacha Goldberger a habillé au sens propre six compagnons œuvrant sur le chantier avec des costumes renaissance en vue d’exposer leurs portraits sur la façade d’habillage urbain, comme s’il s’agissait d’une galerie renaissance. On peut être une entreprise assise sur des milliards d’euros de gestion d’actifs en Europe, en Asie et en Amérique, et faire une pause dans le temps. C’est ce qu’a fait Ardian, présidé par Dominique Sénéquier, qui a confié au photographe Sacha Goldberger, le soin de donner vie à un chantier de réhabilitation de l’ancien immeuble d’Europe 1, rue François 1er à Paris. Les noms de la rue et du chantier lui-même (“Renaissance“) l’ont inspiré pour mettre en scène les artisans intervenant sur place pour restaurer l’immeuble racheté en 2018 par Ardian Real Estate, la branche “Immobilier” du groupe. Il a habillé au sens propre six compagnons œuvrant sur le chantier avec des costumes renaissance en vue d’exposer leurs portraits sur la façade d’habillage urbain, comme s’il s’agissait d’une galerie renaissance. Chacun pose avec son outil de travail. Toutes ces réalisations témoignent du lien prégnant entre l’art et l’architecture, qui refait son apparition dans la construction et fait connaître à un plus grand nombre l’art contemporain. Muriel Carbonnet
Il y a 2 ans et 351 jours

Le groupe CDVI rachète le fabricant espagnol de produits de verrouillage JIS

Le groupe CDVI est heureux de pouvoir annoncer la finalisation de l’acquisition de la société NADAL BADAL, fabricant espagnol des serrures JIS. Situé près de Barcelone dans la région de la Catalogne en Espagne, NADAL BADAL est devenu un expert mondial en serrures, gâches et verrous. Cette acquisition permet à CDVI d’intégrer l’expérience et l’expertise technique de l’ensemble des collaborateurs de NADAL BADAL, et de proposer une gamme de verrouillage plus complète que jamais. L’entreprise exportant vers plus de 40 pays, ce rachat représente une opportunité complémentaire pour CDVI qui s’ouvre ainsi vers encore plus de nouveaux partenaires distributeurs à travers le monde. « Toute l’équipe du groupe CDVI est ravie de finaliser et d’annoncer l’acquisition de la société NADAL BADAL. Largement reconnu dans l’industrie de la sécurité pour la gamme et la qualité de nos serrures et gâches, le groupe CDVI sera désormais en mesure d’offrir des solutions à des clients multisectoriels, sur de nombreux et différents projets. Nous accueillons chaleureusement NADAL BADAL dans notre famille et nous nous réjouissons à l’idée de remporter à l’avenir de nouveaux succès, ensemble » déclare Yoram Benhamou, PDG du Groupe CDVI. « NADAL BADAL a été fondée en 1950 en tant qu’entreprise familiale. Restée dans le giron familial depuis cette date, elle compte aujourd’hui plus de 50 employés. Nous sommes maintenant heureux de rejoindre une autre famille, celle du groupe CDVI, et impatients de voir où ce voyage nous mènera ensemble » se réjouit Joan Nadal, NADAL BADAL. Rappelons que le groupe CDVI est un fabricant mondial de solutions de contrôle d’accès et de verrouillage électronique de pointe, avec des produits allant de la biométrie au verrouillage électromagnétique, des claviers codés aux systèmes de contrôle d’accès autonomes et à l’automatisation de portes. http://www.cdvi.com/
Il y a 2 ans et 357 jours

Lancement de SMA Transport dédié à l’assurance “transport et maritime”

Le groupe SMA a annoncé le lancement de SMA Transport, son département dédié à l’assurance “transport et maritime”. [©SMA] En tant que mutuelle professionnelle, le groupe SMA se devait de répondre aux besoins spécifiques de ses clients. C’est dans ce cadre qu’il propose une offre d’assurance transport et maritime, conformément aux orientations de son plan stratégique “Ambitions 2024”. Ainsi, le groupe a annoncé, ce 28 juin, le lancement de SMA Transport. Ceci, afin de couvrir les entreprises de la construction pour le transport de leurs matériaux, de leurs engins, des éléments destinés à leurs ouvrages ou des biens qui leur sont confiés. Plusieurs acquisitions pour le groupe SMA SMA avait déjà acquis, en novembre 2021, Cinabre, société spécialisée dans l’assurance transport créée en 1867. Le groupe mutualiste a aussi repris, par un transfert de portefeuille, toujours en 2021, la Compagnie nantaise d’assurances maritimes et terrestres (Cnamt). SMA Transport sera basé à Bordeaux et s’appuiera sur les équipes et le savoir-faire de Cinabre. « Le transport est une nécessité pour un grand nombre de secteurs d’activité, dont celui du BTP. Et les besoins vont croître du fait du renchérissement des prix. La protection du matériel, des marchandises et des activités maritime et transport est donc une réelle préoccupation pour laquelle le groupe SMA a la capacité de répondre. Cette offre est portée par notre filiale SMA SA, notée A+ par Fitch. Par notre parfaite connaissance sectorielle de l’assurance maritime transport, nous sommes en mesure d’accompagner. Mais aussi de protéger nos sociétaires et de répondre aux besoins du marché », a commenté Grégory Kron, directeur général adjoint assurances Iard du groupe SMA. Un double objectif pour SMA Transport SMA Transport vise un double objectif. A savoir, proposer aux assurés du groupe SMA une offre complète en assurance transport et maritime. Ceci, avec des solutions adaptées au secteur de la construction. Ces dernières étant créées par des spécialistes de leur secteur et répondant aux exigences du groupe SMA en matière de qualité de service. Mais aussi, devenir un acteur de référence dans l’assurance transport et maritime avec des experts dédiés et une offre d’assurance pour tous les industriels ayant des risques liés au transport. Ainsi que pour les entreprises spécialisées dans la chaîne de valeur du transport. La gamme des produits d’assurance de SMA SA proposée par SMA Transport répond aux besoins de toutes tailles d’entreprises, de l’artisan au groupe opérant dans le monde entier.  Elle comprend toutes les garanties couvrant les activités liées au transport avec des solutions standards et des offres sur mesure.
Il y a 3 ans et 10 jours

Digitalisation : Eldo à l'assaut de l'Europe

ACQUISITION. Considérée comme un tripadvisor des professionnels du Bâtiment, Eldo annonce l'acquisition d'une société éditrice d'un logiciel pour digitaliser la communication et gestion commerciale. Avec cette opération, la start-up compte conquérir le marché européen.
Il y a 3 ans et 13 jours

Saint-Gobain acquiert le nord-américain Kaycan, numéro un du bardage

Kaycan, qui emploie 1.300 personnes sur 12 sites de production aux Etats-Unis et au Canada, "est un acteur majeur des matériaux de rénovation", en particulier pour les revêtements de façade, bardages en bois, vinyle, composite et aluminium, a indiqué Benoit Bazin, directeur général de Saint-Gobain au cours d'un bref entretien avec la presse.Cette acquisition qui devrait être finalisée "d'ici fin 2022" s'inscrit doublement dans la stratégie du groupe français, qui s'investit dans la construction durable et souhaite se développer en Amérique du Nord, a souligné M. Bazin.Au total, le chiffre d'affaires de Saint-Gobain aux Etats-Unis "va dépasser 10 milliards de dollars en 2022", contre 6,5 milliards USD en 2018, a-t-il précisé.Saint-Gobain a prévu de revendre 10 agences de distribution appartenant à Kaycan aux Etats-Unis, dont le chiffre d'affaires annuel s'élève à 70 millions de dollars.Au Canada, le groupe gardera toute l'implantation très forte de Kaycan, et notamment son réseau de distribution "solide et intégré" qui servira aussi à diffuser les produits Saint-Gobain, a indiqué M. Bazin.L'opération de rachat est financée en numéraire. "C'est la deuxième fois en un an que nous réalisons une opération d'achat de gré à gré après celle de Chryso", leader français de la chimie de construction, a indiqué M. Bazin."C'est nous qui sommes allés chercher cette société familiale fondée en 1974" en raison d'un "alignement parfait des activités" des deux groupes, a-t-il dit.
Il y a 3 ans et 21 jours

Vaste escroquerie immobilière : la société Apollonia sera jugée à Marseille

Quatorze ans après les premières plaintes, le juge d'instruction marseillais Valéry Muller a rendu mi-avril une ordonnance de renvoi devant le tribunal correctionnel (ORTC) dans ce dossier tentaculaire que l'AFP a pu consulter. Le procès devrait avoir lieu au printemps 2023.Parmi les principaux prévenus figurent la société de gestion de patrimoine Apollonia basée à Aix-en-Provence (Bouches-du-Rhône), ses fondateurs : le couple Moussa-Jean Badache, un ancien commerçant de 67 ans, et sa femme Viviane, 65 ans, esthéticienne, ainsi que leur fils, Benjamin Heysen-Badache, 44 ans, qui fut un temps aux commandes de l'entreprise.Sont également renvoyés en justice, l'avocat de l'entreprise, Me René Spadola, des commerciaux -- Rémy Suchan, François Mélis, Jean-Luc Puig et Amélie d'Almeida --, trois employés administratifs d'Apollonia chargés des relations avec les banques : Lynda Quintart, Fabienne Florentino et Holda Dahir ainsi que deux notaires -- Jean-Pierre Brines et Philippe Jourdeneaud.Au début des années 2000, Apollonia connaissait un essor spectaculaire qui la conduisait à faire la une de journaux économiques. Son secret? Proposer à des clients aisés, principalement issus du milieu médical, des investissements immobiliers afin de se constituer un patrimoine pour leur retraite.Apollonia proposait à ses prospects, par démarchage téléphonique, d'acquérir des lots de programmes immobiliers éligibles au dispositif des loueurs meublés professionnels (LMP) fiscalement avantageux.Le mécanisme semblait d'autant plus attractif que "les effets combinés de ces avantages fiscaux et des revenus tirés de la mise en location des biens étaient censés", selon les promoteurs du projet, garantir aux clients "l'autofinancement des acquisitions leur permettant de se constituer, quasiment sans bourse délier, un important patrimoine à l'orée de leur retraite", résume le juge d'instruction."Mirage"Mais le ticket d'entrée pour atteindre ce "Graal" était élevé, l'investisseur devant justifier de plus de 23.000 euros par an de son activité de loueur.Un impératif qui a conduit à la multiplication des acquisitions pour des montants compris entre 800.000 et quatre millions d'euros par les investisseurs. Au final, des centaines d'entre eux ont accepté le deal. Aujourd'hui, 690 se sont constitués parties civiles.Car, l'autofinancement promis "n'était qu'un mirage", souligne le juge dans son ordonnance. "Les déductions fiscales" promises "n'avaient qu'une portée limitée" et "la location au prix du marché ne permettait pas à elle seule de dégager suffisamment de trésorerie pour boucler l'autofinancement" allégué par rapport à des biens surévalués.De plus, la multiplication des investissements se faisait sans considération de la capacité réelle d'endettement des investisseurs.Un moment mises en cause, vingt-six banques partenaires de l'opération se sont constituées partie civile. Elles aussi auraient été flouées par des faux, des demandes de prêts signées en blanc par les clients et complétées par Apollonia qui ne les prévenait pas que d'autres prêts étaient en cours pour que "les dossiers passent". L'implication de notaires qui auraient rédigé des actes en pleine connaissance de cause a également été dénoncée.Rassurés par les interventions de ces notaires qui ont procédé à l'acquisition de 3.316 lots pour 618 acheteurs et 650 millions d'euros d'investissement, mais aussi par celles d'un avocat et de grandes enseignes bancaires, les investisseurs ont cru Apollonia qui leur promettait de leur livrer un produit "clef en main".Au final, de 2002 à 2010, la société aixoise aura procédé à la vente de 5.305 biens immobiliers pour près de 950 millions d'euros.La commission de 15% (sur le prix de vente) perçue par les époux Badache leur a permis de mener grand train (utilisation d'avions privées, de Ferrari...) et d'accumuler un impressionnant patrimoine : une quarantaine d'appartements du dispositif LMP, une maison dans les Bouches-du-Rhône évaluée à 1,5 million d'euros ou encore un chalet de six millions d'euros en Suisse. Une partie de ces biens a été saisie.
Il y a 3 ans et 26 jours

Deux acquisitions au Portugal dans la ligne de mire de Saint-Gobain

ACQUISITIONS. Le géant des matériaux de construction, Saint-Gobain, annonce se renforcer au Portugal via l'acquisition de deux sociétés.
Il y a 3 ans et 27 jours

Intérêt patrimonial majeur pour le modèle réduit de la statue équestre de Louis XIV

Initialement destinée à Nantes, la statue équestre de Louis XIV créée par Antoine Coysevox (1640-1720) a été finalement accueillie le 6 juillet 1726 par Rennes sur la nouvelle place du Palais (aujourd’hui place du Parlement). D’une hauteur d’environ 4 mètres, elle reposait sur un piédestal de 3 mètres de hauteur, orné de chaque côté de reliefs en bronze du même sculpteur. Cette statue a été démontée en 1793 et fondue pour réaliser des canons, à l’exception des deux reliefs latéraux en bronze qui sont conservés au Musée des beaux-arts depuis sa fondation en 1801. Conservée depuis plus d’un siècle dans une collection aristocratique britannique, la réduction en bronze est aujourd’hui l’unique témoignage en volume de l’œuvre monumentale de Coysevox. D’une hauteur de 94 cm, elle repose sur un piédestal de 120 cm qui date du XIXe siècle. En octobre 2019, la Commission consultative des trésors nationaux du ministère de la Culture a rendu un avis favorable à la reconnaissance de la sculpture comme « œuvre d’intérêt patrimonial majeur ». Cette qualification témoigne de la valeur artistique exceptionnelle de la statue et permet notamment à des musées de France territoriaux d’acquérir des biens culturels, en mobilisant le dispositif fiscal de l’article 238 bis 0A du code général des impôts. Cet article prévoit que le financement par une entreprise de l’acquisition d’un bien culturel reconnu « d’intérêt patrimonial majeur » au profit d’une collection publique ouvre droit à celle-ci à une réduction de son impôt sur les sociétés égale à 90% du montant du versement effectué, dans la limite de 50% de l’impôt dû. Le Groupe Norac, a participé a l’achat du modèle réduit comme mécène. Le Musée des beaux-arts de Rennes devient ainsi, après ceux de Lyon, de Montpellier et le musée de Grenoble, l’un des musées de France en région à bénéficier du dispositif. Il intègre dans ses collections l’œuvre d’un artiste majeur pour l’histoire de l’art et exceptionnelle par sa rareté, sa qualité artistique et ses dimensions. Photo : Ministère de la Culture – Alexis Komenda  
Il y a 3 ans et 27 jours

Saint-Gobain sur la voie de la construction modulaire au Portugal

Saint-Gobain a annoncé mardi 24 mai avoir signé un accord en vue de l’acquisition des sociétés Fibroplac (plaques de plâtre) et Falper (structures légères en acier)
Il y a 3 ans et 33 jours

Une politique soutenue d’investissements pour le site de production Watts/Socla de Virey-le-Grand (71)

Présentation du site de production Créée en 1951 par la famille Trémeau Jambon à Chalon-sur-Saône, l’unité de production SOCLA est implantée aujourd’hui à Virey-le-Grand, au cœur de la région Bourgogne Franche Comté, sur un site d’une surface de 20.600 m2. Filiale du groupe WATTS Water Technologies Inc. depuis 2011, l’entreprise, dont le nom signifie SOciété des CLApets, a développé son savoir-faire au fur et à mesure de différentes acquisitions pour devenir la marque leader dans les domaines de l’eau et du contrôle des fluides en mouvement. Son expertise s’articule autour de 4 thématiques principales : – la protection des réseaux d’eau potable au travers d’une large gamme de clapets anti-pollution avec dispositifs de contrôle d’étanchéité et de vidange de l’installation, mais surtout de disconnecteurs hydrauliques à la pointe de la technologie, dont l’un des modèles s’est imposé comme une référence sur le marché (BA2860). Des solutions pour lesquelles Socla associe un service dédié, le CRAN ou encore l’application DigiscoTM, afin de répondre aux exigences de la réglementation qui impose l’entretien annuel obligatoire des disconnecteurs. – le non-retour grâce à une offre complète de clapets allant de 15 à 800 mm, d’une fiabilité à toute épreuve et proposant différentes technologies (16 systèmes d’obturation intérieurs) pour s’adapter aux contraintes liées à chaque installation (pression, étanchéité, perte de charge, type de fluide…), – la régulation au travers d’une large gamme de vannes de régulation automatiques, de réducteurs de pression, ventouses, dispositifs anti-bélier destinés à contrôler ou réguler la pression, niveau de l’eau et de l’air dans les réseaux de distribution d’eau potable, – l’obturation grâce à la richesse d’une offre de vannes papillon proposées en standard et sur-mesure, les seules sur le marché à disposer d’un papillon flottant sur un axe traversant, garantie d’étanchéité et de maintenance facilitées. Elles équipent les réseaux afin de réguler ou d’interrompre le débit qu’il s’agisse d’eaux ou de fluides industriels. Autant de produits phares qui bénéficient d’agréments reconnus (NF, ACS, Bureau Veritas, WRAS, Kiwa, VA, Uni, Belgaqua) et d’une garantie de 5 ans. D’une capacité de production de plus de 9,5 millions de produits, le site de Virey-le-Grand dispose d’un laboratoire d’analyse à la pointe de la technologie, d’une surface de 620 m2. Equipé d’une piscine d’une capacité de 340 m3, il permet à l’entreprise de réaliser une multitude de tests tels que des essais d’endurance ou encore de résistance au brouillard salin pour mesurer la durabilité de ses solutions à la corrosion. Fonctionnant en circuit fermé, le débit maximum de ces installations est de 3400 m3/heure soit l’équivalent de 5,5 baignoires (170 litres) par seconde. Par ailleurs, dans une véritable démarche d’amélioration continue, le site de production de Virey-le-Grand est certifié ISO 9001 (management de la qualité), 14001 (management environnemental) et 45001 (management de la santé et de la sécurité au travail). Une politique soutenue d’investissements Afin de moderniser son site de production et ce, dans une volonté d’augmenter l’engagement qualité et d’optimiser la sécurité des équipes sur le site, SOCLA a investi près de 900.000 € à raison de : – 450.000 € pour automatiser la production des clapets incorporables afin de gagner en productivité sur certaines opérations (montage des joints, tests d’étanchéité, marquage) et d’améliorer le process en remplaçant l’utilisation des encres à solvant par des cartouches d’impression, – 300.000 € pour l’usinage des vannes papillon de gros diamètre (supérieur à 400 mm) afin d’améliorer la sécurité des opérateurs, d’optimiser la flexibilité de la ligne de production et ainsi de gagner en réactivité pour répondre aux demandes des clients, – 140.000 € pour maîtriser son empreinte carbone via la récupération de chaleur du compresseur situé dans le laboratoire d’analyse pour chauffer en autonomie différents locaux (service maintenance, laboratoire), mais aussi en remplaçant dans les bâtiments de grande surface les anciens éclairages par des lampes LED dimmables qui captent la lumière naturelle et s’ajustent en fonction. En plus d’offrir un meilleur confort visuel et de chauffe à ses collaborateurs, cette démarche environnementale a permis au site d’économiser 548.516 kWh par an. La protection de l’environnement s’inscrivant au cœur de la stratégie de SOCLA, d’autres investissements sont d’ores et déjà à l’étude avec pour objectifs, d’ici 2023-2024, de : – récupérer la chaleur des fours de l’activité poudrage pour chauffer une partie de l’usine, – mettre en place des panneaux photovoltaïques sur les parkings et ainsi produire de l’énergie verte, – tondre naturellement les espaces verts grâce à des ovins. Un site en constante évolution qui participe au dynamisme de la région Après une première campagne de recrutements initiée en 2021 qui lui a permis de passer de 180 à 204 collaborateurs, SOCLA propose actuellement une quinzaine de postes supplémentaires à pourvoir immédiatement en CDI afin d‘accompagner son évolution. En parallèle, plaçant l’inclusion au cœur de sa démarche RSE, le site de production de Virey-le-Grand accorde sa confiance à des travailleurs handicapés issus des Etablissements ou Services d’Aide par le Travail depuis  bientôt 10 ans. Grâce à son partenariat avec l’ESAT Georges Fauconnet, une équipe d’une vingtaine de personnes en situation de handicap travaille au sein de l’usine pour assurer des opérations telles que le contrôle et le conditionnement de certaines solutions du fabricant (réducteurs de pression, robinets de purge, clapets), la soudure de composants sur des machines semi-automatiques ou encore le test de produits finis. Un peu d’histoire 1951 : Création de la société à Chalon sur Saône par la famille Trémeau Jambon 1973 : Introduction du nom de SOCLA (SOciété des CLApets TJ) 1992 : Rachat de la société par le Groupe Danfoss 1996 : Acquisition de Oreg, ajout de la gamme des vannes papillon 2003 : Acquisition de la société Desbordes, ajout de la gamme des réducteurs de pression 2006 : Acquisition de la société BAR, actionneur pneumatique 2008 : Acquisition de la société Valpes, actionneur électrique 2011 : Rachat de la société par le groupe Watts Quelques chiffres clés – plus de 70 ans d’expérience – plus de 77 pays utilisateurs des produits SOCLA – plus de 25.000 références – plus de 6 millions de vannes papillons en service – plus de 8 millions de réducteurs de pression installés http://www.wattswater.fr/
Il y a 3 ans et 33 jours

Herige monte en puissance pour l’année 2022

Benoît Hennaut, président du directoire d’Herige. [©Charles Marion/Herige] En 2020, le groupe Herige annonçait les grandes lignes de son projet de transformation articulé autour de trois piliers : “l’humain”, “l’environnement”, “l’innovation et le digital”. Il a pour ambition d’être un acteur majeur pour tous ses clients et tous ses territoires. Tout en contribuant à l’évolution et à la décarbonation des secteurs de la construction et de l’industrie. Cet objectif se caractérise par une montée en puissance du groupe. En effet, le chiffre d’affaires d’Herige a atteint 720 M€ en 2021. Un record ! Les trois corps de métiers du groupe, que sont la menuiserie industrielle (Atlantem), le béton (Edycem) et le négoce (VM), ont contribué à cette croissance. Tout comme les récentes acquisitions d’Activence (Paca) et d’Audoin & Fils Béton (Aquitaine). Ces filiales s’adaptent aux nouvelles normes du secteur et proposent des solutions capables de répondre aux enjeux actuels. Ainsi, Herige place l’environnement au cœur de ses activités. Il a mis en place une politique RSE qui touche tous les métiers. En témoigne la filiale de négoce VM qui développe ses offres biosourcées pour contribuer à la rénovation énergétique des bâtiments. Herige engagé dans la RSE Mais aussi, le groupe lutte contre la surexploitation de matières premières. Il veut privilégier l’économie circulaire et mieux valoriser les déchets. « La priorité est d’être dans le “faire”, en encourageant la prise d’initiative, déclare Caroline Lutinier, directrice RSE et communication d’Herige. Cela, afin de favoriser au mieux l’appropriation de ces enjeux par toutes nos parties prenantes. Nous voulons aussi nous inscrire dans une démarche de dialogue à la fois à l’interne et à l’externe. La communication sera donc essentielle, afin de fédérer et d’encourager l’engagement de chacun. » Lire aussi : Capeb et Herige : Un partenariat environnemental Par ailleurs, Herige a signé un partenariat avec WWF, en 2021, pour une durée de trois ans. Cette collaboration porte sur plusieurs thématiques comme le climat ou encore la biodiversité. Elle a pour objectif de réduire l’empreinte carbone du groupe et de préserver les forêts françaises, en soutenant le projet “Cœur Forestier de la France”. En ce qui concerne le pilier “innovation et digital”, la data est au cœur des priorités d’Herige. Le groupe s’ancre pleinement dans la transition numérique. Il compte bien enrichir les données BIM de VM, moderniser les outils d’Edycem ou encore accompagner Atlantem dans la transformation digitale, avec la solution Digit’Am. Les services d’Herige Au niveau des datas, Herige a pour ambition d’exploiter au mieux ces données. Une réflexion a été engagée en interne, afin de mieux valoriser la donnée au service du pilotage de la performance interne (économique, RH, et environnementale), des clients, des fournisseurs et des parties prenantes. Après avoir déjà analysé les pratiques et dégagé une trentaine d’usages identifiés, Herige prépare une stratégie de budgétisation et de déploiement de nouveaux procédés dans les mois à venir. La RSE d’Herige place aussi l’humain au cœur de sa politique RH. Le groupe propose des opportunités de formation et de développement de carrière. Lire aussi : Herige entre au capital de Valobat Il souhaite mettre en œuvre des dispositifs comme la digitalisation du système d’information RH. Cela, afin d’assurer le suivi des entretiens annuels. Ainsi, il adapte ses moyens pour répondre aux attentes des équipes et attirer de nouveaux talents. Il a notamment lancé la Herige Académie, qui propose des parcours de formation “leaders” et “sprint managers”. Cette dernière place la RSE au cœur de l’enseignement. Enfin, Herige a créé “Graines d’impact”. Ce collectif a pour objectif de partager, en interne, la feuille de route de la société pour renforcer l’engagement RSE. Pour cela, une newsletter est diffusée chaque mois. Elle permet d’informer les collaborateurs sur les actions en cours.
Il y a 3 ans et 46 jours

Husqvarna fait l’acquisition de Heger

L’acquisition de Heger par Husqvarna renforcera et complètera son activité principale de forage et de sciage de béton en Europe centrale. [©Husqvarna] La division “Construction” du groupe Husqvarna vient d’annoncer avoir convenu d’acquérir Heger, une entreprise allemande spécialisée dans les outils diamantés pour les professionnels du carottage/sciage. « Cette acquisition renforcera et complètera notre activité principale de forage et de sciage du béton en Europe centrale », affirme Henric Andersson, Pdg du groupe Husqvarna. 9 M€/an de chiffre d’affaires pour Heger Fondée en 1908, Heger possède une longue tradition d’assistance aux clients dans son secteur. Son siège social et son site de production sont situés à Heitersheim, au Sud-Est de l’Allemagne. La société possède aussi des bureaux de vente aux Pays-Bas. Elle compte environ 45 collaborateurs et totalise environ 9 M€/an de chiffres d’affaires. « Grâce à sa production flexible, ses délais de livraison courts et ses produits hautes performances et de qualité, Heger ajoutera une valeur significative à notre offre destinée à nos clients sur le marché des outils diamantés en Europe centrale. Et s’intègrera dans notre stratégie de croissance. En combinant nos forces, nous créons une plate-forme idéale pour poursuivre notre croissance sur le marché des outils diamantés pour les professionnels », déclare Karin Falk, présidente de la division “Construction” d’Husqvarna. La clôture de la transaction devrait avoir lieu au deuxième trimestre 2022 et reste soumise aux conditions de clôture habituelles.
Il y a 3 ans et 48 jours

TotalEnergies élargit son portefeuille de renouvelables aux Etats-Unis

TotalEnergies a annoncé le 26 avril l'acquisition de la société texane Core Solar, forte de plus de 4 gigawatts de projets solaires, selon un communiqué.
Il y a 3 ans et 61 jours

Blanchon accélère sa croissance internationale

Le groupe Blanchon annonce l’acquisition de Rigo Verffabriek et Rigo Verfcentrum, une entreprise familiale, spécialisée dans la conception et la fabrication de produits de finition pour le bois et de peintures pour les bâtiments patrimoniaux, dédiés à une clientèle professionnelle. Cette acquisition s’inscrit dans la stratégie du Groupe Blanchon d’accélérer sa croissance internationale et de devenir un leader européen de la protection, de l’entretien, de la rénovation et de la décoration des surfaces bois intérieures et extérieures et des sols vinyles. Grâce à des marques très fortes, dont les produits « Skylt », « Step », « Royl », « Toplin » et « Skyn », combinées à une croissance significative des ventes au cours de la dernière décennie, RIGO est devenu le leader du marché sur le segment des sols en bois aux Pays- Bas. La société est installée à Ijmuiden, Pays-Bas, et ce site viendra s’ajouter aux autres filiales européennes de Blanchon, afin d’accélérer la croissance des activités internationales du groupe. S’appuyant sur la complémentarité des gammes de produits Blanchon et RIGO, sur la forte notoriété de leurs marques, et sur leur large portefeuille de clients, cette acquisition permet au groupe Blanchon de devenir le leader du marché de la protection et de la décoration des sols parquets pour les professionnels aux Pays-Bas. Suite à l’acquisition de Ciranova en juin 2021, le Groupe Blanchon est à présent pleinement établi comme le leader du marché en Belgique, aux Pays-Bas et au Luxembourg, deuxième plus importante région du groupe par son chiffre d’affaires, après la France.
Il y a 3 ans et 77 jours

Le spécialiste français en géothermie Groupe Géotec fait l'acquisition de l'Italien CSI

Après un partenariat d'une quinzaine d'année, le Groupe Géotec finalise en janvier 2022 l’acquisition de CSI, société italienne de géotechnique spécialisée dans les forages profonds ou difficiles d’accès.
Il y a 3 ans et 77 jours

EDMA acquiert topomesure, distributeur exclusif en France des instruments de mesure de la marque CONDTROL

EDMA étend son offre d’outillage pour les professionnels du BTP avec une large gamme d’instruments de mesure laser et de détection. EDMA a annoncé l’acquisition de la société Topomesure, distributeur  exclusif en France de la marque CONDTROL, l’un des leaders européens de l’instrumentation de mesure, dont le siège est basé en Allemagne et qui propose […]
Il y a 3 ans et 85 jours

Le loueur de matériel Kiloutou réalise sa "plus grosse acquisition" avec le rachat du danois GSV

L'acquisition de GSV, qui réalise des ventes annuelles de 130 millions d'euros, "va nous permettre d'approcher le milliard d'euros de chiffre d'affaires", a expliqué à l'AFP le Président exécutif de Kiloutou Olivier Colleau. "J'ai l'espoir que pendant l'année 2022 on dépassera ce cap".Kiloutou a réalisé en 2021 un chiffre d'affaires de 793 millions d'euros, dont les deux tiers auprès de sociétés de construction du bâtiment ou des travaux publics.Cette opération représente à la fois "la plus grosse acquisition de Kiloutou", a affirmé le dirigeant de l'entreprise numéro 2 du marché en France et troisième au niveau européen.Elle est aussi majeure pour le fonds HLD, qui détient 69% du capital de la société, a ajouté auprès de l'AFP l'associé Jean-Hubert Vial. "Accompagné depuis 2018 par HLD et Dentressangle", Kiloutou franchit "une nouvelle étape dans son développement international en entrant sur le marché danois", a annoncé le groupe dans un communiqué publié mardi soir.GSV, leader du marché au Danemark (22% de parts de marché) qui compte 485 employés et 19 agences, rejoint les 5.000 employés et 550 sites du groupe déjà présent en France, en Pologne, en Espagne, en Italie et en Allemagne.Jusqu'ici de 18%, la part du chiffre d'affaires réalisée à l'étranger du groupe français va atteindre 30%: "une prise de risque modérée", selon Olivier Colleau alors que le Danemark est "une économie peu endettée et qui dans notre marché a des perspectives solides sur les prochaines années".Le montant de l'opération n'a pas été communiqué par le fonds d'investissement ni par la société, mais il est "autour de 300 millions d'euros", a indiqué une source proche du dossier à l'AFP. L'acquisition sera financée en puisant dans la trésorerie de Kiloutou et avec "des lignes de financement complémentaires" sans que les actionnaires ne rajoutent de fonds propres, a précisé Jean-Hubert Vial. De la dette sera émise sur les marchés financiers "dans un deuxième temps".L'équipe de GSV et la marque, "extrêmement connue des clients danois", resteront "en place", a précisé le dirigeant Olivier Colleau. L'actuel patron de la société danoise, Dan O. Vorsholt, entrera au Conseil exécutif de Kiloutou comme neuvième membre lorsque l'acquisition sera effective le 11 avril.
Il y a 3 ans et 90 jours

Le bus rétrofité, la révolution verte des transports collectifs

Ces métropoles disposent de la compétence transport urbain et doivent dès à présent se préoccuper de la transformation de leur flotte.Un engagement fort mais qui peut s'avérer surtout très coûteux pour le contribuable, d'autant plus si ces véhicules étaient remplacés par des véhicules électriques neufs.C'est pour apporter une solution complémentaire, bien plus économique et vertueuse avec 87% de réduction des GES que l'entreprise à mission REV Mobilities et le groupe industriel allemand pepper motion ont conclu un accord pour transformer la motorisation des bus urbains et inter-urbains du thermique vers l'électrique. Le rétrofit électrique : la solution pour maintenir nos cars et bus en circulation dans nos agglomérations en les rendant non polluants et silencieuxAu sein de chaque agglomération, les mobilités sont devenues en quelques années des enjeux essentiels pour les décideurs publics en raison des pressions exercées par les habitants de plus en plus soucieux de solutions fiables, pratiques, économiques et vertueuses. Elles le sont également devenues en raison de l'urgence des réponses aux exigences des futures ZFE - zones à faibles émissions et aux nouvelles mesures en faveur de l'environnement en proposant aux Français une offre conjuguant disponibilité, accessibilité, confort et sécurité. Le bus est le moyen de transport collectif par excellence qui chaque jour transporte des centaines de milliers de personnes sur le territoire dont plus des 2/3 en dehors de l'Ile de France. Ces bus désengorgent la circulation dans les centres urbains et sont aussi une source non négligeable de mobilité active. La plupart des agglomérations et leurs délégataires disposent d'un parc d'un âge moyen à peine supérieur à 8 ans, bien inférieur au parc automobile qui est de 11 ans, mais avec des motorisations essentiellement thermiques (diesel et gaz). Pour accompagner les acteurs dans la transformation de leur offre de mobilité, Rev-Mobilities et le groupe industriel allemand pepper motion peuvent désormais convertir les flottes de cars et bus en électrique ce qui évite une mise au rebus ou des prix et délais d’acquisition forcément beaucoup plus importants. Une solution technique d'économie circulaire qui va permettre de conserver une grande partie du parc roulant, de le rendre totalement propre et silencieux, d'améliorer la qualité de l'air et surtout de faire des économies sur toute la ligne.Convertir les cars et bus en mode électrique, mais aussi les camions qui livrent dans les agglomérations En décembre 2021, REV Mobilities et pepper motion GmbH pionniers du rétrofit ont signé un accord de partenariat pour convertir des bus avec le même niveau de qualité que les constructeurs d’origine. Avec cette première coopération franco-allemande dans le domaine de la conversion électrique, les deux acteurs s’engagent sur l’un des plus solides marchés de bus et poids lourds d’Europe. Leur offre rétrofit répond aux enjeux environnementaux et économiques et ouvre un nouveau secteur économique à fort potentiel, s’appuyant sur l'utilisation d’une main d’œuvre locale qualifiée pour la transformation (plus de 600 heures par unité).Pour Arnaud Pigounides, fondateur et PDG de REV Mobilities : ''Pionnier et fondateur du secteur de la conversion électrique en France, REV Mobilities est spécialisé dans l’upcycling des mobilités. Face aux défis que représentent les zones de décarbonation/faibles émissions, la réduction des gaz à effet de serre des flottes publiques et privées, la réindustrialisation de la France et les économies budgétaires générales pour les particuliers et les entreprises, la conversion électrique est l’une des meilleures solutions possibles. Nous sommes ravis d’engager un partenariat avec le leader du marché pepper motion GmbH afin de fournir des solutions durables pour l’électrification des véhicules en France.''Pour Andreas Hager, PDG de pepper motion GmbH : ''Dans le cadre de notre stratégie de mondialisation, le marché français représente un potentiel similaire à celui de l’Allemagne pour pepper et constitue donc une priorité. La société pepper est déjà présente dans d’autres pays européens, comme la Pologne, l’Italie, l’Autriche et la Bulgarie. En tant que leader technologique, nous sommes convaincus que nos solutions novatrices, en étroite coopération avec notre nouveau partenaire REV Mobilities, nous permettront d’offrir aux décideurs politiques français, ainsi qu’à toutes les entreprises de transport et aux exploitants de flottes un moyen rapide et économique de respecter l’objectif zéro émission de la transformation de la mobilité."La société pepper motion GmbH, lauréate de plusieurs récompenses internationales pour ses technologies novatrices, propose des solutions d’électrification pour les véhicules commerciaux d’occasion par le biais de systèmes retrofit qui contribuent à leur donner une seconde vie à la pointe de la technologie.
Il y a 3 ans et 92 jours

Sika affiche un chiffre d'affaires record pour 2021 avec une croissance de 17,1%

Malgré la persistance de la pandémie de COVID-19 et les goulets d'étranglement dans l'approvisionnement en matières premières, le chiffre d'affaires a augmenté de manière significative pour atteindre le chiffre record de 9,24 milliards CHF, ce qui correspond à une croissance de 17,1% en monnaies locales.L'effet de change s'est élevé à 0,2%. L'effet d'acquisition a été de 2,0 % et la croissance organique s'est élevée à 15,1 %. Par rapport à la même période en 2019, le gain organique a été de 11,9%.Pour Thomas Hasler, Président-Directeur Général : "On s'attendait à ce que 2021 soit une année difficile et elle s'est avérée très réussie pour Sika. Nous bénéficions d'un certain nombre de plateformes de croissance et sommes dans une position idéale pour parvenir à un succès à long terme. Grâce à nos technologies innovantes, nous sommes le partenaire de choix de nombreux clients dans les secteurs de la construction et de l'industrie. Nous disposons de solutions pour toutes les étapes de développement des marchés de la construction, et les programmes d'investissement soutenus par les gouvernements, qui se chiffrent en milliards, donneront un nouvel élan à nos activités. En outre, nous utilisons de manière ciblée les mégatendances qui animent nos marchés clés. La demande de solutions durables est énorme. Nos produits et services permettent à nos clients d'atteindre leurs objectifs ambitieux en matière de développement durable."Mise à jour relative à l'acquisition de MBCCEn novembre 2021, Sika a signé un accord ferme pour acquérir MBCC Group (ex BASF Construction Chemicals). Avec un chiffre d'affaires de 2,9 milliards de francs suisses, MBCC Group est l'un des principaux fournisseurs de produits chimiques de construction dans le monde. Cette acquisition permettra de compléter et d'élargir l'offre de produits et de solutions de Sika dans quatre des cinq technologies de base et sept des huit marchés cibles de Sika, tout en renforçant l’implantation géographique de la société. Cette transaction donnera naissance à un acteur majeur favorisant un plus fort engagement dans le développement durable.Le marché des produits et solutions chimiques de construction devrait atteindre environ 80 milliards de francs suisses d'ici 2023 et, étant fortement fragmenté, il continuera d'offrir des opportunités de croissance substantielles même après l'acquisition de MBCC par Sika. MBCC réalise environ 53% de ses ventes dans le secteur des systèmes de construction et les 47% restants dans le segment des adjuvants pour béton. L'acquisition est soumise à l'approbation des autorités réglementaires. Sika est convaincu que toutes les approbations requises seront obtenues en temps voulu et travaillera en étroite collaboration avec les autorités. La clôture de l'acquisition est prévue pour le deuxième semestre de 2022.Gains de parts de marché dans toutes les régions en 2021Dans un environnement caractérisé par un certain nombre de confinements temporaires, Sika a connu une croissance plus forte que le marché dans toutes les régions en 2021. Les activités de distribution ont également enregistré des gains significatifs dans toutes les régions.La région EMEA (Europe, Moyen-Orient, Afrique) a enregistré une augmentation des ventes en monnaies locales de 16,1 % (année précédente : 4,4 %). Comme en 2020, la croissance des activités de distribution et de réparation a dépassé celle des autres secteurs d'activité. Presque tous les pays de la région ont atteint des taux de croissance à deux chiffres. Les pays du Moyen-Orient, ainsi que l'Europe de l'Est, y compris la Russie, le Royaume-Uni, et les pays d'Afrique ont bénéficié d'un regain de croissance. En général, les achats de solutions de produits Sika via des plateformes de commerce électronique ont connu une augmentation supérieure à la moyenne.Au cours de la période considérée, Sika a fait l'acquisition de Kreps LLC, un fabricant leader de produits de mortier en Russie, élargissant ainsi davantage son portefeuille de produits existants et sa présence géographique.La région Amériques a enregistré une croissance en monnaies locales de 21,0% (année précédente : 1,0%). Aux États-Unis, Sika a pris un élan considérable. La croissance a été tirée principalement par des projets de rénovation à grande échelle et des nouveaux projets de construction dans le domaine de la distribution et des centres de bases de données. De forts taux de croissance ont été atteints en particulier au Mexique, en Colombie, au Brésil, au Pérou et au Chili. Dans la région Amériques, l'orientation stratégique des activités commerciales sur les grandes villes et les zones métropolitaines a de nouveau porté ses fruits, tout comme la concentration sur les grands projets d'infrastructure et la réalisation ciblée du potentiel de vente croisée.Au cours de la période sous revue, Sika a fait l'acquisition de DriTac, une société américaine occupant une position forte sur le marché du collage de parquets. En outre, un fabricant de produits de mortier au Brésil a été intégré au groupe Sika sous le nom de BR Massa. Grâce à cette acquisition, Sika a amélioré sa position dans l'une des principales régions économiques du Brésil, tout en augmentant sa capacité de production.En juillet, la société a acquis American Hydrotech Inc. aux Etats-Unis et sa filiale canadienne Hydrotech Membrane Corporation. Hydrotech est un fabricant établi de membranes liquides et offre des solutions complètes pour la toiture et l'étanchéité. Elle est le leader incontesté du marché nord-américain dans le segment en pleine expansion des systèmes de toitures vertes.De plus, Sika a acquis l'entreprise familiale Bexel Internacional S.A. de C.V., un important fabricant de colles à carrelage et de stucs au Mexique. Grâce à cette acquisition, Sika renforce sa position sur le marché mexicain des produits de mortier, qui connaît une croissance rapide, et augmente considérablement sa capacité de production avec cinq installations de production stratégiquement situées.Le chiffre d'affaires en monnaies locales dans la région Asie/Pacifique a augmenté de 19,4 % (année précédente : 12,6 %). L'année dernière, la Chine en particulier a profité de la forte dynamique de croissance en cours avec des taux de croissance organique à deux chiffres et a développé avec succès ses activités d'infrastructure et de distribution. L'Inde a continué à connaître un développement dynamique, tandis que les pays d'Asie du Sud-Est se sont lentement remis des importants confinements du dernier trimestre de l'année. Au Japon, la tendance reste difficile. L'activité d'investissement sur le marché de la construction du pays est toujours modérée.Au cours de la période considérée, Sika a acquis Hamatite, la division des adhésifs de Yokohama Rubber Co., Ltd. Hamatite est un leader du marché au Japon, offrant des adhésifs et des mastics pour les industries de l'automobile et de la construction. Cette acquisition améliore considérablement la position de Sika sur le marché japonais, lui donnant un accès plus complet à tous les grands constructeurs automobiles japonais et une gamme plus large de mastics et d'adhésifs pour le secteur de la construction japonais.En Chine, Sika a acquis Shenzhen Landun Holding Co. Ltd, un fabricant d'une gamme complète de produits et de technologies d'étanchéité. La société exploite deux installations de production à la fine pointe de la technologie qui fabriquent une gamme complète de membranes et de revêtements pour diverses applications d'étanchéité, fournissant principalement des projets d'infrastructure et les projets commerciaux.Dans le segment Global Business, Sika a enregistré une croissance en monnaies locales de 4,3 % (année précédente : -11,4 %). Au cours de l'exercice écoulé, l'industrie automobile a connu d'importants goulets d'étranglement dans la chaîne d'approvisionnement des composants électroniques. Alors que les prévisions du début de l'année annonçaient une forte reprise du volume de véhicules neufs construits par rapport à l'année précédente, il y a eu en fait une forte baisse au second semestre en raison du manque de disponibilité des semi-conducteurs.Néanmoins, Sika prévoit que les mégatendances de la production automobile moderne, à savoir l'électromobilité et la construction légère, continueront à stimuler la croissance. En particulier, la transition des systèmes de transport traditionnels vers l'électromobilité s'est accélérée pendant la pandémie et bénéficie de divers programmes de soutien gouvernementaux dans un certain nombre de pays.PerspectivesSika confirme ses objectifs stratégiques pour 2023. L'entreprise reste axée sur le succès à long terme et la croissance rentable. En se concentrant sur les six piliers stratégiques - pénétration du marché, innovation, efficacité opérationnelle, acquisitions, valeurs d'entreprise fortes et durabilité - Sika cherche à croître de 6 à 8 % par an en monnaies locales jusqu'en 2023. À partir de 2021, l'entreprise vise une marge EBIT plus élevée de 15 à 18 %. Des projets dans les domaines des opérations, de la logistique, de l'approvisionnement et de la formulation des produits devraient permettre une amélioration annuelle des coûts d'exploitation équivalente à 0,5 % du Chiffre d’affaires.Pour l'année fiscale 2021, Sika prévoit une augmentation sur-proportionnelle de l'EBIT et une marge EBIT de 15%.
Il y a 3 ans et 97 jours

Edma se renforce dans l'instrumentation de mesure

ACQUISITION. Le fabricant d'outils, Edma, annonce avoir fait l'acquisition de la société Topomesure, un spécialiste de l'instrumentation de mesure, qui distribue en France la marque Condtrol.
Il y a 3 ans et 99 jours

Mint rachète Planète Oui et devient le 5ème fournisseur d’énergie français

Avec 230 000 clients résidentiels au total, cette acquisition fait passer Mint au cinquième rang des fournisseurs d’énergie en France. Mint souhaite ainsi peser encore plus dans la balance pour une énergie verte accessible à tous.Mint et Planète OUI : des valeurs engagées communesMint est une filiale d’EODEN RESSOURCES, la branche énergie de l’entreprise familiale EODEN EODEN RESSOURCES est un élément central de la stratégie du groupe EODEN sur la transition énergétique : elle vise à proposer une offre d’énergie verte et décarbonée au plus grand nombre et à agir sur la réduction des consommations énergétiques – des valeurs et une mission similaires poursuivies par Mint.« Nous sommes très heureux d‘accueillir les clients résidentiels de Planète Oui au sein de Mint. Notre vision de la transition énergétique est parfaitement alignée. Les marques Mint Energie et Planète Oui continueront à co-exister et à proposer chacune les services promis à leurs clients respectifs aux mêmes conditions qu’avant », indique Kaled Zourray , Directeur Général de Mint.Mint : 230 000 clients résidentiels, 5ème fournisseur d’énergie en FranceAvec l’acquisition de la marque et du portefeuille-clients Planète OUI de 120 000 clients résidentiels (électricité et gaz) de la société OUI ENERGY, Mint double ainsi son portefeuille-clients actuel. Cette acquisition, financée grâce à ses fonds propres solides, permet à MINT d’entrer dans le top 5 des fournisseurs d’énergie en France.« L’actualité économique et géopolitique actuelle est préoccupante, et la place de l’énergie y tient un rôle central », commente Kaled Zourray. « Nous avons, en tant que fournisseur d’énergie, une responsabilité. Ce rachat de Planète OUI, outre les valeurs communes qui nous animent, permet à Mint de passer une étape fondamentale : en tant que cinquième fournisseur français, nous participons encore plus activement à l’accès à une énergie verte, accessible au plus grand nombre. Ensemble, nous sommes plus fort ! ».Avec cette opération, Mint franchit donc une étape structurante de son développement et satisfait son objectif volontaire de conquête commerciale pour 2022.Label « Service France Garanti » : Mint certifié pour son service client 100% français Obtenu fin 2021, le label « Service France Garanti » vise à valoriser Mint comme étant une entreprise de service qui emploie en France. Alors que le service client de Mint était déjà assuré localement à Montpellier pour son propre portefeuille client, les clients de Planète OUI conserveront également les 44 salariés sur Lille, pour les relations clients et de télévente.