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Résultats de recherche pour bretagne

(1379 résultats)
Il y a 1 ans et 327 jours

Trecobat utilise la construction bas carbone comme levier de croissance

Initialement constructeur de maison, Trecobat est devenu un groupe de construction, d’aménagement et de promotion immobilière qui possède ses propres usines de préfabrication bois en Bretagne.
Il y a 1 ans et 354 jours

Prix de la construction bois Bretagne 2023 – Lauréats et coups de cœur

Les lauréats du Prix régional de la construction bois Bretagne 2023 ont été dévoilés le 13 juin 2023. Si les projets de construction neuve représentent la majorité des 94 réalisations bretonnes candidates au Prix, les réhabilitations de même que les extensions/surélévations de logements ou d’équipements se font nombreuses, illustrant le rôle du bois et des […] L’article Prix de la construction bois Bretagne 2023 – Lauréats et coups de cœur est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 2 ans et 4 jours

Intégration spectaculaire d’une maison de ville anglaise tout bois et son studio

Le cabinet d’architecture londonien ao-ft a récemment achevé son premier projet, la Spruce House and Studio dans une zone de conservation de Walthamstow à Londres (Grande Bretagne). Moderne et durable, la maison neuve et le studio de design indépendant reflètent l’engagement du cabinet d’architectes envers les techniques de construction et de fabrication respectueuses de l’environnement. […]
Il y a 2 ans et 9 jours

Loire-Atlantique : démarrage du chantier de la nouvelle voie reliant l’’échangeur de Montoir-de-Bretagne à Trignac

À Trignac (Loire-Atlantique), la Communauté d’agglomération de la région nazairienne et de l’Estuaire a engagé l’aménagement de la...-Vie du BTP
Il y a 2 ans et 12 jours

En Bretagne, des résidences secondaires surtout occupées par ... des Bretons

Les résidences secondaires en Bretagne, un sujet polémique dans une région au parc immobilier en tension, sont souvent situées le long du littoral et détenues par des ménages bretons, plutôt aisés et âgés.
Il y a 2 ans et 12 jours

en bretagne odile decq r alise une maison de r ve

C’est l’histoire d’un site exceptionnel, où se niche une maison discrète aux traits épurés et à l’intérieur exubérant. L’ensemble porte avec fierté la signature particulière et reconnue parmi toutes de l’architecte Odile Decq.
Il y a 2 ans et 15 jours

realites buildtech sp cialiste de la construction bas carbone devient mayers

Au cours de sa conférence-événement « Reborn » donnée sur son site industriel de La Janais, à Chartres-de-Bretagne, le groupe REALITES a annoncé sa volonté d’accélérer le développement de sa filiale REALITES BuildTech, spécialisée dans la construction bas carbone et hors-site. Pour exprimer cette volonté, REALITES BuildTech devient « Mayers » et proposera ses produits à l’ensemble du marché.
Il y a 2 ans et 29 jours

En Bretagne, des résidences secondaires surtout pour les Bretons, selon l'Insee

Les résidences secondaires en Bretagne, un sujet de plus en plus polémique dans une région au parc immobilier souvent en tension, sont essentiellement situées le long du littoral et détenues par des ménages eux-mêmes bretons, plutôt aisés et âgés, indique une étude publiée jeudi 4 mai par l'Insee.
Il y a 2 ans et 30 jours

Défi d'une rénovation hors norme, le phare de Tévennec en Bretagne

La rénovation du phare de Tévennec, construit sur un rocher au milieu du raz de Sein (Finistère), doit commencer fin avril. Un chantier de taille qui devrait se poursuivre jusqu'en 2024, ont annoncé les Ateliers DLB.
Il y a 2 ans et 30 jours

En Bretagne, la filière paille rêve de grands soirs

Maisons individuelles, mais aussi écoles ou logements collectifs : la construction paille connaît un fort développement dans l’ouest de la...-Artisans
Il y a 2 ans et 47 jours

"La crise de l'énergie fragilise certains projets" (S. Meneghini, architecte)

PAROLES D'ARCHITECTES. Le Laboratoire d'architecture de Bretagne (Lab) participe à la rénovation de sa région en travaillant sur des projets portés par des petites communes. La cogérante de l'agence, Silvia Meneghini, architecte DE HMONP, raconte en interview la volonté de son équipe de participer à la dynamique de son territoire à travers sa discipline.
Il y a 2 ans et 48 jours

La rénovation du phare de Tévennec en Bretagne, un chantier "extraordinaire"

La rénovation de la maison-feu de Tévennec, construite sur un rocher au milieu du raz de Sein (Finistère), doit commencer fin avril, un chantier qui s'annonce "extraordinaire" et doit durer jusqu'en 2024, ont annoncé les Ateliers DLB vendredi 14 avril.
Il y a 2 ans et 57 jours

s quoia un b timent coh rent avec l environnement

Détendez-vous... Situé à Larmor-Plage, en Bretagne (France), le Centre de bien-être Séquoia a été conçu pour se fondre dans le cadre exceptionnel des rives du Ter. Amarré sur les bords du Ter, à quelques minutes du centre de Lorient et du littoral de Larmor-Plage, Séquoia propose une expérience complète de bien-être dans un cocon de verdure et de sérénité.
Il y a 2 ans et 58 jours

SARC mise sur le rétrofit pour verdir son activité de travaux publics

Face à l’impossibilité d’embaucher du personnel qualifié, la société de travaux publics SARC, basée en Bretagne, mise sur la...-Travaux publics
Il y a 2 ans et 96 jours

Immobilier neuf : La Normandie, n° 1 des recherches

Située dans le Gard, Uzès se classe n° 1 du Top 20 des villes les plus recherchées pour investir dans un logement. [©ACPresse] A l’heure à la crise du logement neuf, constat alarmant invoqué par la FFB, Valorissimo vient de réaliser une étude autour des tendances du marché de l’immobilier. Expert de l’habitat neuf, il met en relation promoteurs et prescripteurs à travers sa place de marché B2B. Ainsi, en termes de recherches de biens, l’année 2022 a été marquée par l’émergence de certaines régions. Et c’est en Normandie que la variation a été́ la plus importante, à + 66,8 % entre les semestres 1 et 2, en termes de recherches de biens neufs. Deuxième région sur ce podium, le Centre – Val de Loire, avec une augmentation de + 61,7 %. La Bretagne achève ce classement avec une variation de + 17,7 %. Quant aux zones qui connaissent historiquement les plus fortes recherches, elles restent ou connaissent une diminution : Ile-de-France (+ 6,66 %), Auvergne – Rhône-Alpes (- 5,49 %) et Provence – Alpes – Côte d’Azur (- 22,8 %). Lire aussi : Logements neufs : Une crise historique pour la FFB « Nous observons l’émergence de régions, telles que la Normandie, le Grand Est ou encore le Centre – Val de Loire, confirme Emma Leca, directrice générale de Valorissimo. Les investisseurs plébiscitent ces zones, en particulier pour leurs prix accessibles, autour de 200 000 € [pour un logement neuf moyen] et un potentiel de rendement intéressant. Cette tendance est liée au contexte actuel, avec une capacité de financement inférieure à celle de 2021. Nous pensons que cette tendance se poursuivra en 2023. » Si l’on prend les villes les plus attractives pour les investisseurs, Thonon-les-Bains (74) affiche 16 934 recherches en 2022. Elle est suivie par Cergy (95) et ses 10 335 recherches, et Bussy-Saint-Georges (77) avec 10 282 recherches. Uzès, ville la plus recherchée Valorissimo s’est ensuite intéressé à la variation du volume de recherches par ville, afin d’en ressortir un Top 20 [des villes ayant au moins 1 000 recherches par semestre]. La palme revient à Uzès (30), avec une augmentation de +168,8 % ! « Cette ville du Gard bénéficie d’une position géographique avantageuse, à 25 km de Nîmes, 40 km d’Avignon ou encore 80 km de Montpellier, détaille Emma Leca. Elle est intéressante pour investir dans une résidence secondaire. Et figure parmi les plus beaux villages de France… » Lire aussi : Les Français, leur logement et la rénovation énergétique Arrive en seconde position de ce classement, Honfleur, dans le Calvados (+ 88,9 %). Elle devance Narbonne (+ 74,7 %), ville située dans l’Aude. Les trois dernières villes du ce Top 20 sont Reims (51) à + 3,7 %, Strasbourg (67), à + 3,4 %) et, enfin, La Roche-sur-Yon (85) à + 2,05 % de hausse des recherches. Suivez-nous sur tous nos réseaux sociaux !
Il y a 2 ans et 96 jours

L'attrait pour les biens immobiliers en bord de mer plus puissant que la montée des eaux

Géographe à l'Université de Bretagne occidentale (UBO), Eugénie Cazaux a commencé à s'intéresser au sujet en 2015-2016, lors d'une mission au Bureau des risques inondation et littoraux au ministère de l'Écologie.La problématique de l'érosion côtière prend alors un caractère imminent avec le cas de l'immeuble Le Signal à Soulac-sur-Mer (Gironde), menacé par l'avancée de la mer. "J'avais appris que des gens avaient continué à acheter au prix du marché dans cette résidence jusqu'en 2011-2012", raconte-t-elle à l'AFP.L'immeuble sera évacué quelques années plus tard, en janvier 2014, par arrêté de péril imminent, avant d'être détruit en février 2023."Les atouts offerts par la mer sont tellement grands qu'il y a des gens qui trouveront toujours un intérêt à faire l'acquisition de ces biens, quel que soit le degré d'exposition aux risques côtiers", assure Mme Cazaux."Achat plaisir"Pour vérifier cette intuition, la géographe a exploité la base de données nationales des transactions foncières immobilières entre 2010 et 2016, dans le cadre de sa thèse, soutenue en octobre 2022. Elle a ensuite comparé ces données aux cartes de risques d'érosion et de submersion marine, avant de compléter ses recherches par des entretiens avec des agents immobiliers, élus et responsables de collectivités locales."Un travail sans précédent à l'échelle nationale", salue Didier Vye, maître de conférences en géographie à l'Université de La Rochelle.La chercheuse a ainsi découvert toute une série de "profils d'acquéreurs" prêts à acheter "des biens immobiliers menacés à très court terme par l'érosion".Cela va des investisseurs qui font de la location saisonnière et "savent qu'ils vont rentabiliser le coût d'acquisition de leur bien sur des temps très courts", en passant par les retraités soucieux de réaliser leur rêve d'une vie en bord de mer, sans oublier les acheteurs plus aisés "qui fonctionnent à l'achat coup de coeur", décrit-elle."Aujourd'hui, il y a un très fort décalage entre l'offre et la demande sur le littoral. Si un acheteur se rétracte, il y en a dix derrière prêts à acheter au prix", raconte-t-elle en décrivant le "biais d'optimisme" d'acheteurs qui "mettent à distance le risque".Agent immobilier à La Trinité-sur-Mer (Morbihan), Hervé Pinson (Côtes West Immobilier) ne dit pas autre chose: "Aujourd'hui, le problème, c'est pas de vendre, c'est de trouver le produit.""On a une bonne partie de la clientèle qui achète en connaissance de cause.Ils disent : ça sera inondé dans 30 ou 40 ans, on s'en fiche, on prend quand même", observe-t-il à l'AFP, en parlant d'"achat plaisir" pour des maisons dont le prix peut atteindre 3 millions d'euros.Pas d'effet XynthiaMême après le passage de Xynthia en février 2010 (53 morts), Mme Cazaux n'a pas réussi à trouver d'influence de la tempête sur les prix de l'immobilier dans les zones touchées de Charente-Maritime."Les prix n'ont jamais baissé", dit-elle. "Le désir de rivage reste plus fort."Certains quartiers frappés par la tempête ont même gagné en attractivité depuis la catastrophe, grâce aux travaux de reconstruction.La persistance de prix immobiliers élevés dans des zones menacées à terme par le réchauffement climatique pose la question des éventuelles indemnisations futures.En cas de submersion marine, le régime "Catastrophe naturelle", payé par chaque Français sur son assurance habitation, prend en charge les réparations.Dans d'autres cas, des fonds publics peuvent être engagés. Ainsi, les copropriétaires du Signal ont été indemnisés par l'État à hauteur de 70% de la valeur de leur logement, pourtant devenue négative."On a créé une forme de précédent", pointe la chercheuse, qui estime que cela peut empêcher l'émergence d'une "culture de la responsabilité" chez les résidents du littoral.
Il y a 2 ans et 105 jours

Un petit équipement à contre-courant à Tréméven par BRA

A Tréméven (Côtes-d’Armor), se positionnant à contre-courant de la commande initiale de la commune, l’agence rennaise BRA (Timothée  Château et Simon Masson) a préféré proposer la mise en valeur contemporaine et une extension couverte (295 m²) de l’ancienne école pour la reconstruction de la salle polyvalente livrée en 2021. Une rénovation patrimoniale qui laisse entrer […] L’article Un petit équipement à contre-courant à Tréméven par BRA est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 2 ans et 107 jours

Leonard présente les finalistes du Hello Tomorrow Global Challenge 2022 dans la catégorie « Construction et infrastructures durables »

Leonard, la plate-forme de prospective et d’innovation du Groupe VINCI, présente les start-up finalistes du Hello Tomorrow Global Challenge 2022 dans la catégorie « Construction et infrastructures durables ». Partenaire de Hello Tomorrow pour la quatrième année consécutive, Leonard s’est entouré des experts de VINCI et de Hello Tomorrow pour sélectionner six start-up parmi des centaines de candidats désireux de répondre aux défis climatiques et sociétaux d’aujourd’hui et de demain :BioZeroc (Grande-Bretagne) : création d’un béton sans ciment grâce aux biotechnologiesCaeli Energie (France) : conception de systèmes de climatisation à faible émission de carbone et à haut rendement énergétique. Caeli Energie a bénéficié de l’accompagnement du programme SEED de Leonard en 2021.Made of Air (Allemagne) : prélèvement du dioxyde de carbone dans l’air et réutilisation en vue de fabriquer des produits qui remplacent les plastiques d’origine fossile ou les matériaux à fortes émissions.Mykor (Grande-Bretagne) : transformation de déchets cellulosiques et de champignons en matériaux de construction durables.Peafowl Plasmonics (Suède) : des cellules solaires transparentes donnant du pouvoir à la prochaine génération de dispositifs IoT pour permettre un déploiement de masse.Strong by Form (Chili) : un composite à base de bois de haute performance et de forme libre destiné à remplacer le béton, l’acier et l’aluminium dans l’environnement bâti.Plus de 4 000 solutions ont été présentées aux différents jurys dans les 11 catégories du Global Challenge, pour un total de 70 start-up finalistes. Traitements médicaux révolutionnaires, économie circulaire des matériaux, réduction drastique des émissions de CO2, intelligence artificielle, etc. : ces technologies innovantes visent un réel impact sur l’industrie, la société et la planète. Les start-up auront l’occasion de présenter leurs solutions devant un jury les 9 et 10 mars prochains à l’occasion du Global Summit au Centquatre-Paris. Dix d’entre elles remporteront des prix en nature (sessions de coaching personnalisées, rencontres avec des investisseurs et clients potentiels) et les trois meilleures remporteront respectivement 100 000, 30 000 et 20 000 euros.« Depuis quatre ans, nous sommes fiers d’accompagner Hello Tomorrow dans la révélation des meilleures entreprises de la Deep Tech en étant partenaire du Global Challenge. Leonard, porté par l’expertise des diverses entités du Groupe VINCI, explore la Deep Tech pour identifier et accompagner des solutions disruptives dans les secteurs de la construction, de l’énergie ou encore de la mobilité. C’est en partie grâce à elles que nous répondrons aux grands défis environnementaux et sociétaux auxquels sont confrontées les villes et les infrastructures », déclare Julien Villalongue, directeur de Leonard.En janvier 2023, Leonard a accueilli 45 nouvelles start-up au sein de ses programmes SEED, CATALYST, intrapreneurs et IA. Ces projets apportent des solutions pionnières répondant aux défis de transition écologique, de sécurité et de productivité dans les domaines de la construction, de la mobilité et de l'énergie. Ils bénéficieront d’un accompagnement de 6 mois de la part de Leonard.
Il y a 2 ans et 107 jours

Lorillard Bâtiment s’installe à Rennes 

LORILLARD BÂTIMENT a ouvert sa 7ème agence sur le territoire Ouest, près de Rennes.L’entité n’étant pas présente en Bretagne, alors que le Groupe couvre pratiquement l’ensemble du territoire, il était nécessaire de pallier ce manque. De Caen à Royan, en passant par Nantes, Angers et Rennes, cette 7ème agence permet à la marque de se développer sur la Bretagne et les Pays de la Loire. Laurent ROBERT, nouveau Chef d’Agence C’est Laurent ROBERT, Conducteur de Travaux au sein de l’Agence Ile-de-France/Centre Val-de-Loire, qui est désormais le Chef d’Agence de Lorillard Bâtiment Ouest.Issu d’une formation en charpente métallique, Laurent Robert a toujours évolué au sein du marché de la menuiserie. Cet ancien gérant d’une PME Blésoise spécialisée dans la menuiserie Aluminium (17 ans) a intégré l’entité Lorillard Bâtiment, en juin 2017 en tant que conducteur de travaux et conducteur de travaux principal.Aujourd’hui en charge du développement de cette nouvelle agence, ses missions relèvent, entre autres, du développement de la partie commerciale menuiserie sur la région Bretagne et du contrôle du bon déroulement des chantiers. Bâtir à l’Ouest A court terme, les objectifs de croissance de l’Agence portent sur un permis de construire, en cours, pour l’implantation d’un bâtiment de 150 m²; accolé aux entrepôts de la Menuiserie POUPIN – rachetée par le Groupe Lorillard début 2022 – à Saint-Jacques-de-la-Lande (35). Ce bâtiment accueillera les bureaux et le dépôt qui devraient être emménagés au 1er trimestre 2023.A plus long terme, les objectifs de 2022 briguent un chiffre d’affaires de 2 millions d’euros et ceux de 2023, 4 millions d’euros, dont 2 millions sont d’ores et déjà en commande. Emergence de chantiers notables Aux côtés de Laurent Robert, un conducteur de travaux oeuvre sur la prescription. En 2023, un chef de chantier sera recruté puis dans les deux années à venir une secrétaire, un dessinateur et un métreur.L’Agence qui s’adresse aux bailleurs sociaux, administrations publiques, promoteurs, maîtres d’ouvrage privés et architectes, a donc déjà signé plusieurs chantiers notamment avec Nantes Métropole (menuiseries en PVC pour des logements sociaux), Rennes Métropole (menuiseries bois et mur rideau en aluminium pour une école), la gendarmerie de Rennes (menuiseries aluminium et PVC).Adossée aux capacités et aux ressources du Groupe Lorillard, l’agence de Rennes bénéficie de moyens industriels éminents pour répondre à des chantiers d’envergure (400 à 500 menuiseries à minima). Un potentiel qui lui permet d’offrir réactivité et rapidité d’exécution ainsi qu’une force de production qui la place en mesure de mettre en conception des volumes importants dans des délais extrêmement courts – à titre d’exemple 2000 châssis en 3 semaines. Dédiée aux chantiers conséquents allant de l’habitat social aux réalisations prestigieuses, en passant par les bâtiments tertiaires (de 300 000 à 5 millions d’euros), LORILLARD BÂTIMENT est désormais structurée autour de 7 agences régionales implantées sur l’ensemble de l’Hexagone (Centre Val-de-Loire / Ile-de-France, Hauts-de-France, Rhône-Alpes, PACA, Occitanie, Nouvelle Aquitaine et Bretagne Pays de la Loire).Aujourd’hui l’entité LORILLARD BÂTIMENT rassemble près de 200 salariés qui ont réalisé en 2022 un chiffre d’affaires de 79 millions d’euros.Avec cette 7ème agence, la marque ambitionne un chiffre d’affaires de près de 83 millions d’euros pour 2023.
Il y a 2 ans et 108 jours

Lancement d'une concertation sur la décentralisation de la politique du logement

Le ministre de la Transition écologique Christophe Béchu, le ministre du Logement Olivier Klein et la ministre des Collectivités territoriales Dominique Faure ont rencontré mardi les représentants des communes, intercommunalités, départements et régions.Les échanges ont porté sur l'amélioration des conditions de logement, "en premier lieu des plus fragiles", sur l'augmentation du rythme de construction "là où sont les besoins" et sur la nécessité de "rénover et bâtir de manière écologique", indique le ministère de la Transition écologique dans un communiqué.D'autres concertations auront lieu avec les représentants des maires des communes rurales, des petites villes, ainsi que des élus de montagne et du littoral.Les discussions concernent aussi bien la construction, la refonte des zonages où le marché immobilier est particulièrement tendu, ou encore l'expérimentation du dispositif de réduction d'impôt "Pinel" en Bretagne, que "tous les autres sujets qui intéressent de près la politique du logement", a expliqué l'entourage de Christophe Béchu lors d'un point presse."Les ministres ne vont certainement pas proposer un canevas pré-construit (...) On est dans une logique évidemment de différenciation et on attend de ces associations qu'elles fassent un constat et des propositions", a-t-on ajouté de même source, tout en précisant que toute décision "ne passe pas forcément par la loi".
Il y a 2 ans et 108 jours

Les Français & les énergies renouvelables : quelles perspectives face à la crise ?

Cette année, Qualit’EnR a souhaité proposer un éclairage spécifique sur la perception de la crise énergétique, les EnR sur le pouvoir d’achat des Français. Plus de 2.800 interviews ont été menées auprès des Français afin de disposer de résultats suffisants pour analyser l’évolution des comportements et opinions concernant la rénovation énergétique de leur foyer, leur confiance dans les solutions EnR de chauffage, d’eau chaude et d’électricité, leur connaissance des réseaux professionnels et labels de qualité. Il en ressort qu’une culture de la sobriété énergétique, de la consommation raisonnée est en train d’émerger chez les Français qui agissent par la force des choses. Cette culture passe par des écogestes et par la volonté d'un mix énergétique intégrant les énergies renouvelables dans les équipements de chauffage, d'eau et d'électricité. Mais les Français souhaitent s’y retrouver financièrement et demeurent pragmatiques.Crise énergétique et pouvoir d'achat : quelle perception des français ?45% des Français sont inquiets de leur capacité à faire face à la hausse des factures de chauffage, d'eau chaude et d'électricité et 11% sont très inquiets de leur capacité à gérer l’augmentation (notamment les foyers avec personnes à charge, la Région Bourgogne-Franche-Comté). À contrario, 55% se déclarent confiants et 12% très confiants dans leur capacité à gérer l’augmentation des factures (notamment les jeunes, les seniors, les hommes, les Régions PACA et Île-de-France).Face à la crise, 55% des Français s’estiment incapables d’estimer la hausse de leur facture énergétique cette année. Sur les 45% qui s’estiment en capacité de l’évaluer, 26% pensent que l’augmentation sera supérieure à 500 € (parmi eux, les jeunes et les seniors, les CSP+ et les inactifs). 14% des Français estiment que les factures n’augmenteront pas (notamment les femmes, les 18-24 ans).Pour faire baisser les factures, les Français se montrent pragmatiques et pratiquent les écogestes : 96% déclarent avoir pris des mesures pour réduire leurs dépenses énergétiques. Ainsi, 92% privilégient les programmes éco, 90% économisent l’eau chaude, 89% diminuent sensiblement la température de leur chauffage (notamment en Bretagne), 89% repoussent la date d’allumage de leur chauffage.Dans ce contexte, 30% des Français se renseignent sur les solutions EnR pour le chauffage, l’électricité ou l’eau chaude et 36% l’envisagent.Crise et pouvoir d'achat : quelles énergies ont la confiance des français ?Pour 82% des Français, l’efficacité énergétique passe par un mix associant EnR et énergies conventionnelles (+2 points / moyenne nationale).Dans ce contexte, 98% des Français soutiennent le développement des filières EnR pour le chauffage, l’eau chaude et l’électricité (+1 point / 2022). Notamment le solaire thermique (86%, +1 point / 2022), l’hydraulique (84%) et les panneaux photovoltaïques (83%, +2 points / 2022). À noter que la filière nucléaire connaît un soutien grandissant (65%, +5 points / 2022).Pour 88% des Français, les énergies renouvelables sont chères. L’aspect économique est essentiel à leurs yeux puisqu’ils affirment dans le même temps que les EnR permettent d’augmenter la valeur d’un bien immobilier (80%, +4 points / 2022) et qu’elles permettent de faire des économies et de gagner en pouvoir d’achat (73%, +2 points / 2022).En outre, les EnR sont respectueuses de l’environnement (84%, +5 points / 2022) et permettent de se sentir bien chez soi (83%, +1 point / 2022).Rénovation énergétique et EnR : quelles solutions de chauffage et eau chaude plébiscitées ?En 2023, 37% des Français ont pris la décision d’effectuer des travaux de rénovation énergétique. La progression est remarquable (+12 points / 2022). Idem pour ceux qui ont maintenu leurs projets de travaux dans ce contexte (26% ; +10 points / 2022). La décision de procéder à des travaux de rénovation énergétique reste conditionnée par l’aspect économique : 30% des consommateurs ayant décidé de ne pas faire de travaux estiment qu’ils sont trop chers (-4 points / 2022).Aujourd’hui, 45% des Français déclarent disposer d’au moins un équipement EnR (+1 point / 2022). En 2023, leur top 3 des solutions EnR et à haute performance énergétique installées talonne les équipements gaz et fioul (16%) : le chauffe-eau thermodynamique (15%, +2 points / 2022), le poêle à bois (14%, -1 point / 2022), la pompe à chaleur (13%, +2 points / 2022). Les panneaux solaires photovoltaïques connaissent une certaine progression (10%, +3 points / 2022). Les équipements électriques restent les plus installés (28%, -1 point / 2022).Rénovation énergétique et EnR : comment les français choisissent leur installateur ?71% des Français ont aujourd’hui confiance dans les installateurs de solutions de chauffage, d’eau-chaude et d’électricité : c’est un record (+2 points / 2022). Parmi les plus confiants, on trouve les catégories populaires (74%), les femmes (73%), les jeunes (80%), et la région des Pays de la Loire.Pour leurs travaux de rénovation énergétique, les Français réclament une installation technique de qualité (56%), une maintenance et un service après-vente de qualité (44%) et souhaitent que les délais d’intervention soient respectés (27%).Pour choisir leur installateur (plombier, chauffagiste, électricien, climaticien), les Français se tournent vers des professionnels disposant d’un label qualité ou d’une qualification (78%), disposant de la mention RGE (77%). Les professionnels de proximité implantés près de chez eux (72%, +25 points en 9 ans) et ceux présentant de bons avis sur internet (57%, +13 points sur 4 ans) progressent fortement.Pour cette édition du baromètre, 2.806 personnes de 18 ans et plus ont été interrogées par questionnaire selon la méthode des quotas et une approche par région.
Il y a 2 ans et 110 jours

Plus de 4 milliards d'euros de bénéfice pour Vinci, géant français du BTP et des autoroutes

Plus de la moitié des profits vient des autoroutes, soit 2,2 milliards d'euros (+15%), au côté des pôles Construction et Energies, dont tous affichent des progressions marquées, à part Vinci Immobilier en léger repli. Au total, le chiffre d'affaires du groupe progresse de 25%, à 61,675 milliards."Dans un contexte géopolitique et macroéconomique particulièrement perturbé, Vinci a réalisé en 2022 une performance d'ensemble de grande qualité", a commenté son PDG, Xavier Huillard, cité dans le communiqué. "La forte hausse du chiffre d'affaires et des résultats s'accompagne d'une génération de cash-flow libre record", ajoute-t-il, relevant que toutes ses régions se portent bien (et pour la première fois, Vinci réalise plus de la moitié -- 55% -- de son activité hors de France).Pour Antoine Fraysse-Soulier, analyste de marchés chez eToro, "Vinci profite des effets post-pandémie", avec "comme un bon nombre de sociétés du CAC40, des résultats meilleurs qu'attendus".Ainsi, le bénéfice net de ses concessions dans les infrastructures a quasiment doublé à 2,7 milliards d'euros (soit +96,3%, par rapport à une année 2021 post-Covid négative pour Vinci Airports).L'activité aéroports profite en effet d'une vive reprise du trafic, sortant du rouge l'an dernier pour engranger plus de 500 millions d'euros: ses sites ont accueilli deux fois plus de passagers qu'en 2021, retrouvant les trois quarts de leur niveau de 2019.Côté autoroutes, le trafic remonte "légèrement", en Amérique du nord, Portugal, Grande-Bretagne... Celui des poids lourds en particulier continue à progresser du fait du e-commerce, selon le PDG, qui constate un doublement du nombre d'entrepôts logistiques le long des corridors autoroutiers.Ces résultats sont publiés alors qu'est relancé en France le débat sur les concessions d'autoroutes, attribuées depuis 2006 à des entreprises privées dont Vinci. Le ministère de l'Economie, interpellé sur la hausse des péages et sur la rentabilité des concessionnaires, a indiqué mercredi réfléchir à la possibilité de raccourcir la durée des concessions.Accent sur l'énergieCe sujet "m'inspire un sentiment de redite", a répondu jeudi devant la presse le président de Vinci Autoroutes, Pierre Coppey, blâmant plus généralement une "incompréhension" du modèle économique des concessionnaires. Autre activité en croissance, Vinci Energies, à 693 millions d'euros de bénéfice net (+25%), et pour laquelle 31 acquisitions ont été réalisées l'an dernier.Cette année a notamment marqué l'intégration de Cobra IS, rachété à l'espagnol ACS et qui va par exemple lui permettre de faire de l'éolien offshore au large de l'Allemagne, ou l'installation de lignes à haute tension au Brésil.Pour Xavier Huillard, ce pôle énergie, qui a fait "une très très belle année", "à 22 milliards d'euros de chiffre d'affaires, va continuer de performer car il est au coeur des puissantes transformations liées à la transition énergétique et à la révolution numérique".Du côté de Vinci Construction, principal pôle du groupe (la moitié du chiffre d'affaires), le bénéfice net est à 680 millions (+19%), avec "un renouvellement satisfaisant des carnets de commandes"."Ici on ne vise pas les volumes mais l'excellence opérationnelle, la taille de nos carnets de commandes nous confère la sérénité nécessaires pour nous permettre d'être sélectifs", explique le PDG.Parmi ses chantiers, le nouveau métro de Toronto, ou encore une part du village des athlètes des JO de Paris 2024, qu'"on sera dans les temps pour livrer", a-t-il assuré. En France il constate que la commande publique se porte plutôt bien, et entrevoit avec satisfaction un éventuel nouveau programme de contruction de réacteurs nucléaires.Époque plus compliquée en revanche pour Vinci Immobilier, avec une baisse des réservations de logements et "un attentisme" dans la construction. In fine, pour 2023, le groupe aux 270.000 collaborateurs prévoit une "nouvelle progression du chiffre d'affaires" et un résultat net "légèrement supérieur à son niveau de 2022".
Il y a 2 ans et 116 jours

Ille-et-Vilaine : un prêt d’environ 3 millions d’euros complète le financement du nouveau musée de Fougères

La ville de Fougères (Ille-et-Vilaine) a contracté un prêt auprès de la Banque des territoires de Bretagne pour financer la construction du...-Vie du BTP
Il y a 2 ans et 128 jours

Dans la métropole de Rennes, construire avec un balcon est une obligation

Depuis mi-janvier, après une modification du Plan local d'urbanisme intercommunal (Plui) adopté lors d'un conseil métropolitain, chaque nouveau logement doit disposer d'un "espace extérieur privatif" de 4 m2, une mesure "inédite" par son ampleur en France, selon la métropole.Cette contrainte n'est pas réservée aux seuls immeubles d'habitation: les résidences pour étudiants, les personnes âgées ou les foyers pour jeunes travailleurs doivent aussi obligatoirement offrir un espace extérieur, fixé là à 3 m2, pour tout logement."Le contexte sanitaire, le confinement, sont passés par là mais aussi le développement de modes de vie un peu différents, le télétravail", explique Laurence Besserve (PS), vice-présidente de Rennes métropole en charge de l'aménagement et de l'habitat.Autre raison qui a poussé les élus de la métropole bretonne (460.000 habitants et 43 communes) à sauter le pas: les prévisions démographiques."La population va vieillir: on va aller vers un maintien à domicile le plus longtemps possible, donc il va y avoir cette nécessité d'avoir un espace intérieur et extérieur (...). On sait tous les bienfaits d'être dehors", argumente Mme Besserve, également maire de Betton, une commune aux portes de Rennes en pleine expansion.Car Rennes et son agglomération, comme beaucoup de villes de l'Ouest, attire et doit répondre à une forte poussée démographique, avec une prévision de 533.000 habitants en 2035 et la nécessité de créer 65.000 nouveaux logements.Avec la loi Climat et résilience de 2021 et la perspective d'atteindre zéro artificialisation nette des sols à l'horizon 2050, "on sera de plus en plus nombreux à vivre en forme urbaine collective et cette nécessité d'espace extérieur devient vitale", plaide l'élue.Pour l'architecte établi à Rennes Gwénaël Le Chapelain, "on revient un petit peu en arrière: on avait des surfaces bien supérieures après guerre, durant les années 1950, 1960 et 1970. Progressivement on a grignoté, compacté les appartements, intérieur comme extérieur, jusqu'à supprimer les balcons, pour des histoires d'économie et d'augmentation du foncier", rappelle M. Le Chapelain, qui juge bénéfique cette évolution normative."L'air du temps"Chez les promoteurs immobiliers bretons, cette mesure "formalise quelque chose qui était plutôt dans l'air du temps et s'est accentué avec le Covid et le télétravail. Le besoin d'avoir des espaces extérieurs s'est beaucoup exprimé chez les clients ces derniers temps", explique Guillaume Loyer, directeur promotion Bretagne et aménagement urbain du groupe Giboire.Cette nouvelle norme, avec une surface "généreuse" qui permet d'installer table et chaises, va "nécessairement" engendrer un surcoût, prévient M. Loyer, alors que l'accession à la propriété dans la capitale bretonne est un sujet de préoccupation qui fait régulièrement la Une des médias locaux.Le sociologue Jean Viard, qui a longtemps plaidé pour le "droit au soleil", salue cette politique dans une ville "qui a toujours été en avance sur les politiques d'aménagement du territoire, depuis très longtemps, avec le concept de ville archipel"."On est dans une société où le temps de travail n'arrête pas de diminuer, même si elle risque de réaugmenter un peu (avec la réforme des retraites, ndlr), le temps de travail, c'est 10% de la vie. La question du logement est très importante et l'agrandir vers l'extérieur est une idée extrêmement intéressante", souligne-t-il."Tout le monde a envie de pouvoir manger au soleil, d'avoir une plante et éventuellement un animal", observe l'auteur du "Sacre du temps libre", soulignant qu'"énormément de personnes âgées ne sortaient jamais de chez elles" et n'avaient malheureusement plus de lien avec l'air extérieur.
Il y a 2 ans et 129 jours

Rénovation de la tour Bretagne : les 8 équipes annoncées

La tour Bretagne de Nantes était fermée au public depuis juin 2020. Promise à un concours d'architectes pour sa rénovation, les huit équipes retenues viennent d'être annoncées. La tour Bretagne, icône de la skyline Nantaise est "dans un état de vieillissement avancé" selon les propres mots de Geoffroy Petit. Le directeur promotion régional du groupe Giboire, actuel propriétaire de la tour n'avait pas mâché ses mots lors de la fermeture au public il y a maintenant deux ans et demi. Amiante,...
Il y a 2 ans et 134 jours

Socotec n°1 du contrôle technique construction en Grande-Bretagne

Socotec UK a réalisé une grosse opération de consolidation du marché du contrôle des bâtiments au Royaume-Uni en procédant à deux...-International
Il y a 2 ans et 136 jours

Eolien en mer : un débat public organisé par façade maritime cette année

"Le gouvernement doit nous saisir très très prochainement pour qu'on puisse organiser ces débats", qui seront "simultanés" en Normandie, Bretagne, Nouvelle Aquitaine et Méditerranée, a-t-elle expliqué.Le projet de loi d'accélération des énergies renouvelables, en cours d'adoption au Parlement, prévoit une planification du déploiement des parcs, qui devraient être au nombre d'une cinquantaine (40 gigawatts au total) en France d'ici 2050.Pour la présidente de la CNDP, le public réclame plus de "visibilité" quant au devenir de la mer et au partage de ses usages."Quand en 2019 nous avons fait le débat sur l'éolien en mer en Normandie, cette question ressortait: +c'est quoi le coup d'après? A quoi va ressembler la mer à terme, et si on accepte un parc ici, que va t-on devoir accepter par la suite?+ On avait dit qu'il fallait donner de la visibilité", a-t-elle souligné."Il va y avoir plusieurs (questions): combien de gigawatts par façade ? Fait-on un gros parc, plusieurs petits, quels sont les points de raccordement ? (...) L'objectif est bien de déterminer les zones potentielles, les grandes caractéristiques", a précisé Mme Jouanno."C'est tellement déterminant pour ce que va devenir la mer, il faut réussir à mixer un débat avec les parties prenantes et avec le grand public", a encore dit l'ancienne ministre, qui a aussi dressé mardi le bilan de ses cinq ans à la tête de la Commission.L'ancienne sénatrice, dont le mandat s'achève le 19 mars, ne postulera pas pour un second mandat, "pour des raisons personnelles". "J'ai plein de projets", a-t-elle dit sans les dévoiler. "Un bon président de la CNDP se doit d'être absolument neutre, on doit mettre de côté un peu ses convictions sur le fond, sur les questions d'environnement ou autre, et j'ai un peu envie de revenir sur les questions de fond", a-t-elle juste ajouté, précisant qu'il ne s'agissait pas de revenir en politique.
Il y a 2 ans et 136 jours

Wardan Londres, un programme résidentiel au sommet

Dominant le quartier financier prestigieux de l’Isle of Dogs sur le quai de Canary Wharf de Londres, le programme Wardian, s’ancre toute en transparence. Le complexe construit par EcoWorld Ballymore se compose de deux tours résidentielles de 50 et de 55 étages qui abritent au total 768 logements, ce qui en fait l’un des programmes les plus haut de Grande Bretagne. Immédiatement reconnaissables à leurs balcons généreux et à leurs profils élancés, les deux tours sont situées au-dessus d'un podium, qui abrite un grand hall, des installations communes, des commerces, une salle de cinéma et un café au bord de l'eau. Le complexe a été habillé de façades vitrées de haute technicité signées WICONA, participant directement au confort thermique et acoustique des usagers. Pour répondre aux besoins particuliers des immeubles de grande hauteur soumis à une forte exposition (vent, pluie) WICONA a développé pour ce projet la fenêtre à translation WICSLIDE 150 « Pull and Slide », depuis commercialisée en gamme. Une première mise en œuvre spectaculaire.Inspiré par l’explorateur Dr Nathaniel Bagshaw WardWardian London a été inspiré par le grand explorateur et innovateur Dr Nathaniel Bagshaw Ward, responsable de la création du Wardian Case, utilisé pour transporter des plantes autour du monde à l'apogée de l'Empire britannique.Le projet s’inspire de la botanique et de l’idée des serres portables tout en considérant la durabilité comme un autre facteur clé. La gestion des apports solaires et la volonté d’éviter le recours à la climatisation ont été des principes majeurs dans la philosophie de conception du Wardian. Par conséquent, en plus d'aménager des jardins sur le toit avec des arbres matures pour tempérer l'air entrant, la conception des tours fait un usage impressionnant de mesures passives pour protéger les espaces de vie contre les apports solaires. « Les jardins de toit du Wardian rafraîchissent l’air entrant tout en offrant à chaque logement un grand espace ombragé. La végétalisation contribue également à la qualité de l'air et créer un environnement relaxant et convivial » explique un porte-parole de Glenn Howells Architects. Ouverture maximale et confort optimal Sur ce chantier titanesque, pas moins par 3 525 m2 de façade WICONA, ayant nécessité la création de plus de 50 profilés aluminium, ont été mises en œuvre par le façadier tchèque Sipral. L’entreprise s’est en effet vue charger de la fourniture et la pose des consoles de support en acier et des structures aluminium de balcon d’une longueur de trois mètres à une balustrade entièrement vitrée, mais surtout par l’enveloppe complexe du bâtiment composée de portes des balcons, des fenêtres à translation WICSLIDE 150 PS, angles vitrés et fenêtres (WICLINE) donnant sur toute la hauteur de l’étage et permettant d’avoir une quantité suffisante de la lumière naturelle aux habitants de chaque appartement. Les parties opaques de la façade et des faux plafonds sont revêtues en tôles d’aluminium. Enjeux acoustiques relevésLa proximité avec la ligne de métro et l’aéroport de Londres City a obligé à une attention particulière sur l’isolation acoustique. Ainsi, les systèmes de fenêtres et de portes WICONA assurent une réduction sonore de 35 dB ou de 41 dB, obtenue à la fois par le soin apporté aux détails des châssis et par l’utilisation de verre acoustique. La majorité des fenêtres, y compris les éléments de balustrade peints en arrière, affichent une valeur de 1,0 W/m2K.
Il y a 2 ans et 137 jours

Les défaillances d'entreprises explosent en 2022 avec plus de 40.000 procédures soit une hausse de 49,9% sur un an

Le groupe Altares – expert historique et référent de l’information sur les entreprises - dévoile aujourd’hui les chiffres des défaillances d’entreprises en France pour le 4e trimestre et l’ensemble de l’année 2022.Le nombre global de procédures reste toutefois inférieur de 10.000 par rapport aux niveaux de 2019. Si le retour aux normes d’avant Covid s’amorce depuis un an, l’augmentation des défaillances s’accélère de manière alarmante pour les PME dont plus de 3200 ont défailli en 2022 avec le tiers sur le seul 4e trimestre. Dans ces conditions, 143.000 emplois directs sont aujourd’hui menacés.Pour Thierry Millon, directeur des études Altares : « Depuis 2020, 103.000 entreprises ont fait défaut contre 162.000 durant les trois années précédentes. 59.000 défaillances ont ainsi été « épargnées » grâce notamment aux dispositifs d’aides publiques déployés pour faire face aux conséquences de la crise sanitaire puis de la guerre en Ukraine. Pourtant, si le risque a été anesthésié, évitant la déferlante tant redoutée des faillites, les entreprises ne sortent pas indemnes de ces longs mois de turbulences. Entre inflation et crise énergétique, le climat se complique encore et les fonds propres sont mis à contribution. Or, l’Observatoire du Financement des Entreprises notait dans son rapport de mai 2021 sur les fonds propres des TPE et PME que si l’essentiel de ces entreprises a affronté la crise avec des situations en fonds propres renforcées avant la Covid, une partie disposait, en revanche, de structures financières très dégradées (un tiers des TPE) ou était insuffisamment capitalisée (20% des PME analysées). De son côté, la Commission européenne alerte sur le poids excessif de la dette des entreprises non financières de l'Union qui représentait 111% du PIB des 27 à fin 2020, soit 14.900 milliards d'euros. Or, le manque de fonds propres handicapant pour investir et se financer est un signal prépondérant du risque de défaillance. »Le volume des défaillances encore contenu mais la hausse des ouvertures accuse un taux historiqueAvec 42 514 procédures enregistrées, le volume des défaillances remonte à son niveau de mai 2020. La hausse sur un an est quant à elle exceptionnelle (+49,9%), un rythme annuel jamais connu qui confirme l’accélération de la sinistralité entrepreneuriale.La tendance est restée forte sur le dernier trimestre (+48%) après l’envolée de l’été (+70%) et les augmentations du début d’année (+35% au 1er trimestre et +50% au 2ème trimestre).A fin 2022, sur douze mois, le nombre d’ouvertures reste inférieur de 18% à celui enregistré fin 2019 ; un écart qui n’est déjà plus que de 9% sur le seul dernier trimestre, après un mauvais mois de novembre déjà identique à celui de 2019.Nombre de défaillances d’entreprises par type de procédure par annéeLes procédures de sauvegardes et redressements sont en hausse mais restent minoritairesAvec 1.125 jugements prononcés en 2022, le nombre de procédures de sauvegarde est au plus haut sur cinq ans. En augmentation de 54,3% sur un an, son rythme accélère encore au quatrième trimestre (350 ; +73%). Toutefois, ce dispositif réservé aux seules entreprises n’étant pas en cessation de paiement représente toujours moins de 3% de l’ensemble des procédures. Fin janvier 2023, les tribunaux devraient « seulement » prononcer la 6000e sauvegarde, un chiffre bien dérisoire, 17 ans après l’entrée en vigueur de cette procédure.Les procédures de redressement judiciaire (RJ) augmentent plus vite encore. 10.132 jugements ont été prononcés, soit 55,8% de plus sur un an. Mais moins d’un jugement sur quatre (23,8%) est une ouverture de RJ, un taux très en-dessous des 30% observés avant crise. Sur le dernier trimestre, le nombre de RJ (3027) est encore en hausse rapide, +57%.Depuis la crise, les liquidations directes sont devenues la norme31.257 liquidations judiciaires (LJ) ont été ouvertes (+47,9%) en 2022 et 8.879 (+44,8%) au cours du quatrième trimestre. Depuis 2020, les LJ concentrent les trois quarts des jugements prononcés contre les deux tiers avant Covid.L’éphémère procédure de traitement de sortie de crise reste anecdotiqueParmi ces procédures, Altares distingue seulement 72 traitements de sortie de crise (PTSC) contre 15 en 2021. Cette nouvelle procédure, qui s’apparente à un redressement judiciaire express, vise à faciliter le rebond des entreprises de moins de vingt salariés en cessation de paiement mais disposant des fonds nécessaires pour payer les créances salariales. En 2021, 11 des PTSC engagées avaient permis l’adoption d’un plan visant à assurer la pérennité de l'entreprise. En 2022, 38 PTSC ont validé un plan d’apurement, 16 ont finalement été converties en redressement judiciaire et/ou en liquidation, tandis qu’il est encore trop tôt pour connaitre l’issue des dossiers ouverts en novembre ou décembre.Le nombre d’emplois menacés repasse au-dessus de la barre des 140.000L’augmentation des défaillances touche toutes les tailles d’entreprises. Cependant, la situation est particulièrement préoccupante pour les PME de 10 à 99 salariés. 3.214 ont défailli en 2022 contre 1.804 en 2021, soit une envolée de +78% sur un an. Le 4e trimestre concentre le tiers de ces défauts (1.037) soit une augmentation de + 93% par rapport à la même période en 2021 (538). Ce quatrième trimestre se clôture sur la plus forte dégradation enregistrée depuis 2014 (1163).Les sociétés les plus grandes ne sont pas épargnées puisque près d’une centaine (95) a fait l’objet d’une procédure. La hausse des procédures sur ce « segment » (+28%) est très en-dessous de la moyenne globale (+50%).Dans ces conditions, le nombre d’emplois menacés bondit. Tombé en 2021 sous le seuil des 100.000, il augmente très nettement et atteint 143.500. C’est près de 50.000 de plus sur un an mais encore 40.000 de moins par rapport à 2019.Les activités B2C sont en première ligne sur le front des défauts, mais le B2B est aussi en tensionConstruction Le secteur de la construction, qui concentre le quart des faillites, repasse au-dessus des 10.000 défauts avec 10.033 procédures ouvertes soit 33,6% de plus qu’en 2021. Une tendance inférieure à la moyenne nationale (+49,9%), portée par le gros œuvre (2.874 ; +22,8%) et en particulier la maçonnerie générale (+22,3%) et la construction individuelle (+20,6%). Le second œuvre en revanche affiche une dégradation rapide (4.932 ; +51,5%). C’est particulièrement le cas dans les travaux d'isolation (+94%) qui retrouvent déjà le niveau des défaillances de 2019 (208). Les travaux publics accusent une hausse de 43,7% en dépit d’une relative résistance des travaux de terrassement courants (+30,7%). C’est la promotion immobilière qui enregistre la meilleure performance (+ 12,4%) tandis que la hausse atteint 41,9% dans les agences immobilières. Commerce Le commerce approche également 10.000 défauts (9 418), en hausse de 55,6%. C’est dans le commerce de détail que les tendances sont les plus sévères notamment dans le multi-rayons (827 ; + 85%) et plus particulièrement en épicerie dont le nombre des défaillances a doublé en 2022 (635) dépassant ainsi déjà largement celui de 2019 (568). Le détail alimentaire (990) est également fragilisé (+76,2%) et plus encore le e-commerce (+ 79%) qui compte désormais plus de défaillances qu’en 2019 (739 contre 543). 20% des commerçants défaillants se situent dans la vente et la réparation de véhicules (1871 ; + 36,7%). Le commerce de gros résiste un peu mieux (1873 ; +30,9%). Services Dans les services aux entreprises (5554), la hausse est limitée à +32,3%. Toutefois, quelques activités accusent des évolutions sévères. C’est notamment le cas de l’ingénierie qui compte désormais plus de défauts qu’en 2019 (598), mais aussi des services d'aménagement paysager qui enregistrent 374 procédures contre 359 en 2019. Dans les services aux particuliers, la fragilité est beaucoup plus marquée. Ils enregistrent 1.911 défaillances, en augmentation de 70,3%. Une dégradation très rapide dans les activités de coiffeurs, soins de beauté et corporels (+87,9%).IndustrieDans le secteur de l’industrie, les défaillances d’entreprises augmentent rapidement (+68%). 3083 procédures ont été ouvertes dont 1314 en agroalimentaire, parmi lesquelles 874 boulangers-pâtissiers (+124,7%).En manufacture, l’imprimerie accuse la dégradation la plus forte (182 ; +65,5%). Les activités de l’énergie, eau et environnement (production d'électricité, eaux usées, déchets) enregistrent une hausse à peine moindre (+ 49%).TransportsPlus d’un millier (1079) de transporteurs de marchandises ont défailli (+60,8%), soit seulement une centaine de moins qu’en 2019. 404 sont des transporteurs interurbains (+58,4%), un nombre désormais très proche de celui constaté en 2019 (415). 612 sont des transporteurs de proximité (+63,6%), ils étaient 693 en 2019.Restauration4434 établissements de restauration ont défailli en 2022, c’est 112,7% de plus qu’en 2021. Sur le dernier trimestre, le rythme ne faiblit pas (+108%).Au cours de l’année 2022, 2473 restaurateurs traditionnels (+ 119,8%) et 1787 établissements de restauration rapide (+109%) sont entrés en procédure ainsi que 803 débits de boisson (+101,3%). L’hébergement résiste mieux (279 ; +23,5%).La résistance des entreprises provençales et franciliennes ralentit la dégradation nationaleUne défaillance sur trois se concentre en Provence-Alpes-Côte-D’azur et Ile-de-France. Dans ces deux régions, la hausse des procédures est contenue sous les 40%, maintenant la tendance nationale sous la barre des +50%.En PACA, 4.493 procédures ont été ouvertes soit une hausse de +37,9% sur un an. Elles sont 9.197 en Ile-de-France (+35,3%). Au quatrième trimestre, le rythme n’accélère pas.Dans trois régions l’augmentation avoisine 50%. Bourgogne-Franche-Comté (+48,6%), Grand-Est (+50,9%) et Pays-de-la-Loire (+51,9%). La première parvient à ramener la hausse à +22% sur le dernier trimestre contrairement au Grand Est où les défauts s’envolent de 67% en fin d’année.Trois autres régions enregistrent des augmentations comprises entre +55% et +60%. Il s’agit de Centre-Val-de-Loire (+55,3%), Nouvelle-Aquitaine (+56,4%) et Auvergne-Rhône-Alpes (+58,4%). Dans chacune de ces régions, la tendance se dégrade encore sur le quatrième trimestre.Dans quatre régions la hausse est comprise entre +60% et +70%. C’est le cas de la Bretagne (+60%), la Normandie (+64,5%), la Corse (+65,8%) et l’Occitanie (+67,9%).Les Hauts-de-France ferment la marche avec un nombre de défaillances qui flambe de +77,1%. A noter toutefois, la région s’inscrit dans une meilleure tendance au 4e trimestre avec une hausse de 37,4%.2023, une année de transition à bien négocierPour Thierry Millon : « Il y a un an, nous rejetions l’hypothèse d’une explosion des défaillances en 2022, en anticipant malgré tout une hausse sensible des défauts. Si le cataclysme n’a pas eu lieu, le rythme est plus soutenu qu’envisagé, faisant craindre un retour aux valeurs d’avant crise plus tôt que prévu. 2019 s’était achevé sur 52.000 défaillances, 2023 pourrait dépasser ce seuil et nous ramener aux valeurs de 2017 au-delà de 55.000. Un nombre certes important mais plutôt raisonnable au regard du contexte très difficile que nous traversons. Pour certaines TPE et PME, les chances de survie sont compromises. Pour certaines, la fragilité de leur structure financière est en cause. Pour d’autres c’est paradoxalement leur incapacité à honorer des carnets de commande pourtant bien remplis qui pourrait les amener au défaut. En cause, les difficultés d’approvisionnement, l’explosion des coûts des matériaux et les problèmes de recrutement. Dans tous les cas, les prêteurs seront plus exigeants et se concentreront sur les sociétés dont les bilans seront les plus solides. Les contraintes financières (remboursement des dettes Covid et notamment PGE ; inflation ; hausse des taux ; facture énergétique, etc.) sont malheureusement vouées à peser toujours plus lourd. Alors que les tensions sur les trésoreries des entreprises se font déjà ressentir, le financement de l’exploitation et donc du BFR (Besoin en Fonds de Roulement) aura à n’en pas douter l’attention des directions financières des TPE PME comme des ETI. »[1] L’Observatoire du Financement des Entreprises (OFE) est présidé par le Médiateur National du Crédit. Rapport sur les fonds propres des TPE et PME - 12 mai 2021 [2] EPRS | European Parliamentary Research Service - Debt-equity bias reduction allowance (DEBRA) - Briefing 04-10-2022[3] Les traitements de sortie de crise (PTSC), nouvelle procédure entrée en vigueur le 18 octobre 2021 qui devrait s’appliquer jusqu’au 1er juin 2023, s’adressent aux entreprises de moins de vingt salariés présentant sur le dernier exercice comptable un total du passif hors capitaux propres inférieur à 3 M€. Ils sont confondus statistiquement avec les redressements judiciaires. Méthodologie : Les statistiques Altares de défaillances d’entreprises comptabilisent l’ensemble des entités légales disposant d’un numéro SIREN (entreprises individuelles, professions libérales, sociétés, associations) et ayant fait l’objet d’un jugement d’ouverture de procédure prononcé par un Tribunal de Commerce ou Judiciaire (ex TGI - TI)Glossaire : La défaillance d’entreprise correspond à l’ouverture d’une procédure de sauvegarde, redressement judiciaire ou liquidation judiciaire directe auprès d’un Tribunal de Commerce ou Judiciaire. Cela concerne aussi les ouvertures après résolution du plan de redressement. En revanche, les statistiques de défaillances ne considèrent ni les procédures amiables (mandat Adhoc ou conciliation) ni les suites d’ouverture (arrêt de plan ou conversion en liquidation).
Il y a 2 ans et 142 jours

Les importations de GNL ont fortement augmenté en Europe en 2022

La plupart du GNL importé l'année dernière provenait des Etats-Unis (+143% par rapport à 2021), du Qatar (+23%) mais aussi de Russie (+12%), d'après le groupe de réflexion IEEFA (Institute for Energy Economics and Financial Analysis).La France est le principal importateur de GNL russe en Europe, selon le rapport. Ensemble, la France, la Belgique, les Pays-Bas et l'Espagne affichent une hausse de leurs importations de 55% par rapport à 2021. "Alors que les livraisons de gaz naturel russe à l'Union européenne (UE) ont diminué en 2022, certains pays ont continué à importer du GNL russe, agissant à l'encontre de l'objectif commun de garantir la sécurité énergétique et la fin de la dépendance à l'égard des ressources russes", indique l'IEEFA. D'autres pays comme la Croatie, la Lituanie, le Portugal, la Suède et la Grande-Bretagne ont eux fortement réduit leurs importations de GNL russe en 2022.L'importation de gaz destiné à la production d'électricité a considérablement augmenté en Europe l'an dernier, pour compenser "un manque de pluie qui a réduit la production hydroélectrique dans les pays de l'UE" ou encore "les pannes dans les centrales nucléaires en France", souligne le rapport.Si la France est le premier importateur européen de GNL russe et américain, la Grande-Bretagne est le client numéro un du Qatar.Au total, l'Union européenne a importé 155 milliards de m3 de GNL en 2022. D'après les estimations de l'Agence internationale de l'énergie (AIE), la consommation totale de gaz de l'UE pourrait atteindre 360 milliards de m3 en 2022, sensiblement moins qu'en 2021 - 412 milliards de m3.En décembre, l'AIE a prévenu qu'en cas d'arrêt total des livraisons de gaz russe et sans effort pour réduire ses besoins, l'UE pourrait manquer de gaz à l'hiver 2023/2024.Des craintes existent aussi concernant la concurrence pour les cargaisons de GNL entre l'Europe et l'Asie: la demande de Pékin pourrait repartir du fait d'un rebond de l'économie chinoise. En outre, si les températures sont plus rudes l'hiver prochain en Europe, les besoins pourraient être plus importants et le gaz venir à manquer.
Il y a 2 ans et 162 jours

Chauffer à 19°C : 70% des Français comptent appliquer cette consigne et 63% jugent cette demande justifiée

Dans le cadre du plan de sobriété énergétique, la Première ministre Elisabeth Borne a martelé à plusieurs reprises au cours du mois d’octobre 2022 « La règle, c’est de se chauffer à 19 C ». Principaux concernés (avec les entreprises), les foyers français sont ainsi appelés par la Première ministre à faire face aux difficultés énergétiques attendues cet hiver via une plus forte responsabilisation individuelle quant à leurs habitudes en matière de chauffage de leur logement.Température intérieure idéale, podium des pièces où il doit faire chaud, petits gestes pour réduire la facture énergétique, utilisation de chauffages d’appoint… les Français ont-ils changé leur rapport au chauffage depuis 2018 ? Comment réagissent-ils aux annonces gouvernementales et à la « règle des 19°C » ? Sont-ils de meilleurs élèves en matière d’économies d’énergie ?A travers ce deuxième volet, Eni et l’IFOP s’intéressent aux attitudes et comportements des Français vis-à-vis du chauffage, dans le but de prendre la température de l’opinion à l’égard de cette « règle » des 19°C, et d’actualiser plus largement les connaissances du rapport des Français à leur chauffage par rapport à 2018. Une étude menée du 25 octobre au 4 novembre 2022 auprès d’un échantillon de 2500 personnes, représentatif de la population française âgée de 18 ans et plus.Impacts de la crise énergétique sur les ménages et leur rapport au chauffage19,9°C, la température intérieure idéale des français… en légère baisse par rapport a 2018Pour les Français, la température moyenne idéale du foyer est de 19,9°C. Une moyenne en légère baisse par rapport au sondage mené en 2018, où la température idéale se situait à 20,2°.Coté spécificités à signaler, la différence entre « Mars et Vénus » est toujours persistante. Les hommes se sentent à l’aise à 19,7°C (contre 20°C en 2018) tandis que les femmes aiment disposer de quelques décimales supplémentaires à 20°C (contre 20,4°C en 2018).En région, ce sont les Bretons qui se révèlent les moins frileux, avec une température intérieure idéale moyenne de 19,4°C. A l’opposé, pour les Bourgo-Francs-Comtois, la température intérieure idéale est bien au-dessus : 20,2°C !Halte aux idées reçues ! Côté âge, pas de différence significative, avec une température intérieure moyenne à 19,9°C, aussi bien chez les moins de 35 ans que pour les plus de 35 ans.Règle des 19°c en intérieur : forte adhésion des français !Depuis 2018, la température intérieure idéale des Français a baissé. Pour autant, se situant à presque 20°C, elle reste supérieure à la règle fixée par le Gouvernement : 19°C en intérieur. Alors comment les Français réagissent-ils à cette injonction ?70% des Français sondés comptent bien appliquer cette consigne et 63% jugent cette déclaration justifiée.Une adhésion plus marquée chez les plus jeunes, avec 74% des 18-24 comptant appliquer cette mesure et 65% dans cette même tranche estimant cette déclaration justifiée, soit deux points de plus que la moyenne nationale ! Les seniors (65 ans et plus) y adhèrent également d’avantage : 73% comptent appliquer la règle et 68% la trouvent justifiée.A contrario, en région, les habitants de la région Bourgogne-Franche-Comté s’avèrent plus réticents, avec seulement 56% des sondés considérant cette mesure justifiée. En toute logique, pour les Bourgo-Francs-Comtois, les plus frileux des sondés, seulement 59% comptent appliquer cette consigne, 11 points de moins que la moyenne nationale !Si cette consigne remporte de prime abord une large adhésion, la propension à appliquer la consigne des 19°C reste cependant très dépendante des habitudes de chauffage au sein du foyer et du degré de sensibilité aux économies d’énergie.7 Français sur 10 (70%) déclarent qu’ils vont appliquer la règle des 19° C en moyenne au sein de leur logement. Dans les faits, cette volonté à appliquer « tout à fait » la consigne émane principalement des Français les plus sensibles aux économies d’énergie, ou ceux pour qui cette règle aurait peu d’impact sur leurs habitudes à l’égard de leur chauffage.Si une large majorité d’interviewés qui considèrent que la température idéale au sein de leur foyer est supérieure à 20° C déclarent être prêts à faire un effort c’est-à-dire concernant leur confort en appliquant la consigne des 19°C (59%), ils ne sont en revanche que 19% à déclarer qu’ils sont « tout à fait » prêts à le faire. Par opposition, ceux pour qui l’application de la consigne est moins coûteuse en matière de confort c’est-à-dire ceux dont la température idéale pour se sentir bien chez soi est inférieure ou égale à 19°C sont beaucoup plus nombreux à déclarer qu’ils vont appliquer la consigne (88%). Ces derniers sont par la même occasion plus nombreux à la considérer comme justifiée (47%).Ce constat peut donc laisser penser que le choix du confort inciterait à une certaine irrégularité des plus frileux dans l’application quotidienne de cette consigne jugée moins largement parmi eux comme justifiée. Elle est peut être alors le signal d’une adhésion plus théorique, qu’une application de faits qui entrainerait dans la foulée une transformation des habitudes à l’égard de son chauffage.Au-delà du confort, le degré de sensibilité aux économies d’énergies joue un rôle majeur. Parmi les répondants qui se déclarent sensibles aux économies d’énergie, 85% déclarent qu’ils vont appliquer la consigne des 19°C (contre 49% qui le sont mais pas au point de réduire leur confort et 30% pour ceux qui ne sont pas sensibles aux économies d’énergie). De même, 77% d’entre eux jugent cette déclaration justifiée (contre 43% de ceux qui sont sensibles aux économies d’énergies mais pas au point de réduire leur confort et 29% pour ceux qui n’y sont pas vraiment sensibles).Dans un contexte de forte inflation, où le pouvoir d’achat se hisse parmi les sujets qui préoccupent le plus les Français, la propension plus forte à respecter la consigne des 19° C dans les foyers aux plus faibles revenus n’est pas observée. Alors que l’on aurait pu s’attendre à une plus forte adhésion, pour des raisons financières notamment et de baisse de pouvoir d’achat, les plus faibles revenus sont en revanche surreprésentés parmi les répondants ayant déclaré qu’ils n’appliqueraient « pas du tout » la consigne.De plus en plus de français sensibles aux économies d’énergie, au point de réduire leur confortLes répondants à l’enquête font en effet état d’une sensibilité quasi unanime à l’égard des économies d’énergie (95%, stable par rapport à 2018) même plus marquée encore cette année qu’en octobre 2018 puisque 61% des Français déclarent même l’être « au point de réduire un peu leur confort » +8 points.Dans le détail, les principaux concernés sont les plus âgés et les plus faibles revenus. A 35 ans et moins, 56% des sondés se disent prêts à réduire leur confort, contre 62% au-delà de 35 ans.Les Français sont par conséquent moins nombreux à déclarer ne pas vouloir répercuter leur sensibilité vis-à- vis de sujets énergétiques sur une détérioration de leur confort thermique (34%, -8 points par rapport à 2018 et -7 points par rapport à 2012) et la proportion de Français ne se déclarant pas vraiment sensible aux économies d’énergies reste stable, mais marginale (5% en 2022 et 2018). 84% déclarent ainsi qu’ils préfèreront s’habiller plus chaudement cet hiver pour maîtriser leur consommation d’énergie (+1 point par rapport à 2018).Le soir, moment cocooning où le besoin de chaleur est le plus importantDepuis 2018, les Français ont évolué dans lesur rapport à la chaleur. S’ils tolèrent une température plus basse, ont-ils besoin de confort aux mêmes moments, et aux mêmes endroits ?Et bien… pas totalement ! En 2018, 1 Français sur deux indiquait avoir le plus besoin d’avoir chaud, de se sentir bien sans avoir à se couvrir, le matin. En 2022, ce chiffre est en baisse avec seulement 41% des sondés indiquant le matin comme le moment le plus important pour avoir bien chaud chez soi.A contrario, le confort du soir devant la télévision gagne du terrain, avec 34% des sondés en 2022 estimant ce moment comme celui où le besoin de chaleur est le plus important, contre 26% en 2018. Malgré l’essor du télétravail, bien moins pratiqué en 2018, le besoin de chaleur en journée reste identique en 2022 et en 2018 ; seulement 16% des sondés considèrent qu’il s’agit du moment où le besoin d’avoir chaud, sans avoir besoin de se couvrir, est le plus important.Côté distribution, peu voire pas d’évolution depuis 2018. En toute logique, les pièces du logement dans lesquelles le besoin de chaleur est le plus important sont le salon (85% du total des citations) et la salle de bain (77% du total des citations). Les toilettes (6%) ou encore le garage (1%) arrivant en fin de classement.Si le recours au chauffage est de plus en plus raisonné, l’habitude de mettre ses appareils en veille se perd !Les Français sont de plus en plus sensibilisés au besoin de réduire leur consommation énergétique. Dernier exemple en date, la vaste campagne de communication portée par le Gouvernement : « Chaque geste compte », visant à rappeler tous ces écogestes qui permettent de réduire sa consommation énergétique, et par la même occasion, sa facture. Alors, depuis 2018, les Français ont-ils vraiment modifié leurs habitudes de consommation en vue de réaliser des économies d’énergies ?Selon les résultats de l’enquête, le taux de « bons élèves » en matière d’écogestes progresse sur une majorité d’items.En 2018, 53% des sondés avaient toujours pour habitude d’ajouter un pull ou une couverture quand ils avaient froid plutôt que d’allumer ou d’augmenter le thermostat de leur chauffage. En 2022, ils sont désormais 58% à le faire systématiquement.De même, 51% des sondés indiquaient mettre toujours le chauffage en veille durant la journée et durant leurs absences en 2018, en hausse de 4 points en 2022.De plus en plus de Français pensent également désormais systématiquement à dégivrer leur réfrigérateur : 34% en 2022 contre seulement 23% en 2018.A contrario, certains écogestes se perdent. Alors que 64% des Français sondés en 2018 éteignaient toujours leurs appareils électroniques (ordinateur, télévision, box) pour ne pas le laisser en veille, ils ne sont plus que 41% en 2022.Côté écogestes, une fracture générationnelle existe. Si 85% des seniors (65 ans et plus) indiquent utiliser toujours des ampoules basse consommation… seulement 57% des moins de 35 ans ont cette même habitude.En cuisine, même constat. 77% des seniors sondés mettent toujours un couvercle sur leurs casseroles lors de la cuisson… contre 44% des moins de 35 ans.La mise en route des appareils électroménagers pendant les heures creuses peine à entrer dans la routine des Français… tout particulièrement des Franciliens. S’ils sont en moyenne 36% à toujours utiliser leurs appareils électroménagers en heures creuses, ils ne sont que 26% en Île-de-France. Côté bons élèves, l’Occitanie sort son épingle du jeu avec 46% de sondés le faisant toujours.Quand la nuit tombe, les habitudes diffèrent selon les régions. Quand 39% des Bretons sondés indiquent toujours arrêter leur chauffage pour dormir… seuls 25% des Normands témoignent de cette même habitude.Ces 5 dernières années un tiers des français ont revu leur isolation et leur équipement de chauffageAu cours des 5 dernières années, une part importante de Français a réalisé des travaux de rénovation énergétique pour réduire leur consommation d’énergie.Près d’un propriétaire sur deux (47%) a investi dans l’isolation (combles, murs, sous-sols, fenêtre) au cours des 5 dernières années.C’est la Bourgogne Franche Comté qui comptabilise le score le plus important, avec 46% des sondés ayant réalisé des travaux d’isolation ces 5 dernières années (propriétaires et locataires confondus) … contre seulement 27% en Bretagne !En seconde place des travaux les plus réalisés au cours de ces 5 dernières années arrive la régulation du chauffage (thermostats programmables, robinets thermostatiques…) avec 30% des sondés indiquant avoir mis en oeuvre ces travaux de rénovation.Près d’un tiers des Français (27%) ont également revu l’installation de leur mode de chauffage pour un équipement plus performant (chaudière individuelle, pompe à chaleur, radiateurs nouvelle génération…).En revanche, ils ne sont que 18% à avoir installé un équipement de chauffage renouvelable, tel qu’un chauffage au bois, des panneaux solaires ou un chauffe-eau solaire. Des équipements qui séduisent majoritairement les plus jeunes : 24% des moins de 35 ans ont indiqué avoir investi dans un équipement de chauffage renouvelable, contre seulement 12% des plus de 65 ans.Un engouement en faveur de la rénovation énergétique qui se maintient… mais pas a court terme !Dans le contexte énergétique actuel, les économies d’énergie préoccupent de plus en plus les Français et de fait, accroit le besoin de réaliser des travaux de rénovation énergétique.Si près de la moitié des Français sondés (43%) envisagent de réaliser des travaux énergétiques, ils ne sont que 8% à l’envisager à court terme (c’est-à-dire dans l’année). Pour 16% des sondés, ce projet s’inscrit dans une durée à moyen terme, il s’agit d’un projet certain mais pas dans les années à venir. 19% des sondés indiquent quant à eux l’envisager, mais à long terme et sans savoir quand exactement.Dans les faits, ceux qui songent à réaliser ce type de travaux, quelle que soit la temporalité sont les plus hauts revenus, les propriétaires (55%, 43% pour l’ensemble) et les Français qui passent plus de temps chez eux en journée, notamment ceux qui pratiquent le télétravail (dont 64% pour la totalité de leur temps de travail, contre 38% pour ceux qui n’en n’ont jamais fait).Du côté du portefeuille, le budget moyen qu’ils seraient prêts à dépenser pour effectuer ces travaux s’élève en moyenne à 5 991€. A noter qu’une forte proportion de Français n’a sans doute pas commencé à concrétiser ce projet, notamment par la réalisation de devis, puisque 65% des interviewés ne parviennent pas à indiquer quel montant ils seraient prêts à investir.Légère baisse du recours au chauffage d’appointEn 2018, 67% des sondés indiquaient avoir rarement, voire jamais recours, au sein de leur logement principal, à un chauffage d’appoint (électrique ou à pétrole), en complément de son chauffage principal.De moins en moins plébiscité par les Français, 71% indiquent désormais avoir recours rarement, voire jamais à ces chauffages d’appoint, souvent très énergivores.Une habitude qui persiste pourtant chez les plus jeunes. Ils sont en effet 38% des moins de 35 ans à y avoir recours souvent, ou de temps en temps, en complément du chauffage principal.Une région, une typicité ! la carte des spécialistes régionales du chauffage en 2022Frédéric DABI, Directeur Général de l’IFOP indique : « Le message de la Première ministre, perçu comme légitime par une majorité de Français, est le signe d’une réelle prise de conscience collective. L’adhésion mesurée à la consigne des 19°C est en effet le corolaire d’un processus de plus long terme de progressive adoption de comportements destinés à réduire ses dépenses énergétiques. La crise énergétique annoncée pour cet hiver a en revanche accéléré ce processus, et renforcé de manière indéniable les habitudes de chauffage de son foyer qui avaient déjà été observées en 2018 ». Benoît IGNACE, Directeur Général Adjoint d’Eni précise : « Si l’énergie a toujours été une préoccupation importante, la prise de conscience écologique couplée à la crise énergétique en ont fait un enjeu majeur pour les Français. Lancé en 2018, le sondage « ENI – IFOP, les français et le chauffage » permet de mieux comprendre le rapport des Français à leur consommation d’énergie et surtout d’y déceler les enjeux de demain. Cette nouvelle édition nous offre un nouvel éclairage sur la nécessité d’assister les Français sur les travaux d’efficacité énergétique car si près de 50% envisagent de réaliser des travaux d’amélioration énergétique, seuls 8% l’envisagent à court terme alors que c’est un levier majeur d’économies d’énergie… Il est urgent d’accompagner les consommateurs et c’est la mission que s’est donnée Eni depuis plusieurs années. » En complément de cette grande vision nationale, l'enquête Eni - Ifop permet également d'observer les grandes typicités régionales, le chauffage n'échappant pas au phénomène de « frontières territoriales ».
Il y a 2 ans et 166 jours

Concord Equinox : la nouvelle vision du downlight par Sylvania

Expert de l’éclairage professionnel et architectural, Concord, l’une des marques de Sylvania, place depuis toujours l’innovation au cœur de ses priorités afin de proposer des solutions qui concilient qualité d’éclairage premium et élégance. Aujourd’hui, elle va encore plus loin et présente Concord Equinox, un luminaire exceptionnel qui rompt avec les codes traditionnels et réinvente le concept du downlight qui n’avait pas connu de grandes évolutions depuis sa création. CONCORD EQUINOX RENVERSE LES CODES DU DESIGN POUR MIEUX STRUCTURER ET EMBELLIR LES LIEUX Réunissant le meilleur du design et de la technologie, Concord Equinox révolutionne l’univers de l’éclairage en proposant une nouvelle vision du downlight. Faisant passer Concord Equinox d’une simple solution d’éclairage à un luminaire aussi beau que la lumière qu’il produit, Sylvania invite les architectes et concepteurs lumière à entrer dans une nouvelle ère : « The beauty of light ». Tout en délivrant une qualité d’éclairage premium (IRC>90, UGR
Il y a 2 ans et 166 jours

En Belgique, stocker l'électricité pour gérer les pics de consommation et épargner le climat

Bien caché derrière un talus herbeux, le site raccordé au réseau public contribue désormais à la réserve électrique de la Belgique, et à réguler ainsi la fréquence sur le réseau européen, tout interconnecté.Avec ses 100 mégawattheures (MWh) de stockage équivalant aux besoins de 8.000 foyers, il remplit une fonction de stabilisation encore largement assurée aujourd'hui par des centrales au fioul ou au gaz.Pour sortir des énergies fossiles, "le stockage en batteries est crucial car il permet de mieux intégrer les énergies renouvelables, en atténuant les effets négatifs de leur intermittence", et en optimisant les infrastructures, explique Jean-Philippe Deckers, responsable d'Elia, le gestionnaire du réseau électrique à haute tension belge."Il aura un rôle majeur à jouer dans la transition énergétique, et fait partie de notre vision", a-t-il ajouté, en inaugurant les lieux jeudi à Deux-Acren, entre Bruxelles et Tournai.Accolés à une ligne à haute tension, les 40 conteneurs remplis de batteries Tesla au lithium-ion produites dans le Nevada, stockent et déstockent l'électricité du réseau, à la demande.La technologie au lithium-ion a été choisie pour sa maturité, explique Michael Coudyser, directeur général de Corsica Sole, un acteur pionnier du photovoltaïque et du stockage, qui a conçu et exploite ce site: "on sait que ces batteries vont durer au moins dix ans".Les talus anti-bruit préservent les voisins du bourdon des ventilateurs. Un moindre mal "à côté du moteur d'avion" qu'il fallait actionner pour mobiliser le dépôt de fioul adjacent, dit-il. Cette cuve doit être déposée prochainement.Clé de la transition"Si nous voulons nous séparer du gaz, qui fait que le prix de l'électricité explose, il faut du stockage", souligne M. Coudyser, qui rappelle là une particularité du marché européen de l'électricité, dont les prix sont aujourd'hui liés à ceux du gaz quand la demande est forte.Mais au-delà, stocker et déstocker l'électricité sera un des grands sujets de la transition énergétique car il déterminera l'essor des énergies renouvelables, en lissant leurs variations de puissance au sein d'une même journée, quand un nuage passe au dessus du champ de panneaux solaires ou que le vent ralentit...Le stockage permet également de conserver l'énergie produite aux heures de basse consommation et de la réinjecter aux heures de forte demande. Idem sur une semaine, pour la stocker le dimanche, journée de moindre consommation.La Grande-Bretagne, une île qui mise fortement sur les énergies vertes, l'a bien compris, et est très en avance sur le stockage."Un monde sans énergies fossiles est nécessaire et un monde 100% renouvelable est possible. Mais si on veut beaucoup d'énergie renouvelable, il faudra beaucoup de stockage également," résume M. Coudyser.Mais cela coûte cher: 33 millions d'euros pour le site de Deux-Acren, dont 80% pour les batteries, financés sans subventions. Il faudra environ 7 ans pour le rentabiliser, avec des ventes sur le marché de l'électricité.Pour pouvoir le construire en moins d'un an, la société de gestion Mirova, filiale de Natixis-BPCE spécialisée dans le développement durable et déjà actionnaire de Corsica Sole, a avancé la somme, avant l'arrivée de la banque Edmond de Rothschild."Les besoins de développer les renouvelables n'ont jamais été aussi immenses dans cette période de crise énergétique, de besoin de souveraineté énergétique et de lutte contre les problématiques climatiques, et cela ne se fera pas sans des investissements majeurs", commente Raphaël Lance, de Mirova.Pour autant, pas question à ce stade d'envisager un stockage sous cette forme de volumes trop important: trop coûteux, soulignent les acteurs de l'énergie, qui misent plutôt, comme Corsica Sole, sur l'hydrogène pour pouvoir un jour stocker plus massivement les énergies venues du vent et du soleil.
Il y a 2 ans et 172 jours

Dans un lycée breton, la chasse au kilowatt est déclarée

Passé le portail et les drapeaux breton, français et de l'UE, un regard attentif dans le hall permet de remarquer que les horloges électroniques ne sont pas en fonction dans ce lycée moderne, construit en 2005."On a coupé 21 horloges qui fonctionnaient 24/24H et 365 jours par an pour une consommation de 11 watts chaque jour, soit une économie de 800 euros par an", détaille Guillaume Talon, agent de la région encadrant les personnels de maintenance.Dans les couloirs, la minuterie a été modifiée et l'éclairage s'éteint désormais au bout de trois minutes, contre cinq auparavant.Avec la hausse vertigineuse des coûts de l'énergie, chaque kWh est soupesé, avec comme principal objectif de disposer d'une température n'excédant pas 19°C dans les classes et 16°C dans les espaces communs comme les couloirs ou les toilettes.Aussi, avec l'aide d'un logiciel, chaque radiateur est équipé de têtes thermostatiques qui viennent fermer l'arrivée d'eau chaude quand la température atteint le seuil limite.Pour aider les établissements à réguler leur température et réduire la facture de gaz et d'électricité, des techniciens-conseils et des Équipes mobiles d'assistance technique (EMAT) interviennent pour prodiguer leurs précieux conseils, comme le fait Laurent Descieux.Dans la chaufferie, depuis septembre, "on a joué sur les différents circuits pour que les chaudières démarrent en décalage" alors qu'auparavant "elles démarraient d'un seul coup, faisant un appel de consommation importante", explique cet agent de la région chargé des installations thermiques dans plusieurs lycées rennais.Et chacun, dans cet établissement qui accueille quelque 1.100 personnes par jour, tente d'apporter sa pierre à l'édifice, comme l'explique Thierry Glo, responsable de la restauration."On essaye de faire des économies d'énergie à notre niveau, notamment le matin en n'allumant pas les machines trop tôt comme on faisait bêtement avant, ou ne pas laisser les lumières dans les frigos sans qu'il y ait quelqu'un dedans", dit-il, privilégiant en outre des menus consommant moins d'énergie, comme des pommes de terre au four plutôt que des frites.Écharpe en coursEntre deux sonneries pour rentrer en classe, les lycéens disent largement comprendre ces mesures."C'est mieux pour l'écologie d'avoir une température plus basse et du coup de consommer moins d'électricité et d'énergie", estime Johanna Moreau, en seconde. "Plus de gens mettent des manteaux et gardent leur veste quand ils s'assoient, moi je mets un sweat en plus".Louise Chauvel, en première, qui fait partie de la quarantaine d'éco-délégués du lycée, garde l'écharpe en cours. "Il y en a qui râlent car il fait froid mais c'est accepté par la plupart des gens car ils comprennent l'enjeu écologique et économique".Malgré cette somme de petites économies, les coûts devraient tout de même s'envoler avec des augmentations "par trois sur l'électricité et un peu moins fortes sur le gaz", rappelle Stéphane Perrin, vice-président en chargée des finances de la région Bretagne.En 2021, la facture énergétique des 115 lycées publics bretons affichait 14,5 millions d'euros, dont huit pour le chauffage. En 2022, le surcoût est estimé à... 28,5 millions (25 millions pour l'électricité et 3,5 millions pour le gaz).En fonction des lycées, la région et ses équipes se fixent comme objectif de réaliser entre 15% et 20% d'économie d'énergie.Certes, "il faut faire face à l'urgence et l'augmentation des coûts, mais il faut aussi garder la capacité à investir, la rénovation des lycées est le premier budget d'investissement de la collectivité. Ce qui compte surtout c'est le travail de fond" pour améliorer la performance thermique des établissements, assure M. Perrin.
Il y a 2 ans et 174 jours

Wardian Londres, un programme résidentiel au sommet

Dominant le quartier financier prestigieux de l’Isle of Dogs sur le quai de Canary Wharf de Londres, le programme résidentiel de luxe, Wardian, s’ancre toute en transparence. Le complexe construit par EcoWorld Ballymore se compose de deux tours résidentielles de 50 et de 55 étages qui abritent au total 768 logements,ce qui en fait l’un des programmes les plus haut de Grande Bretagne.   Immédiatement reconnaissables à leurs balcons généreux et à leurs profils élancés, les deux tours sont situées au-dessus d’un podium, qui abrite un grand hall, des installations communes, des commerces, une salle de cinéma et un café au bord de l’eau.  Le complexe a été habillé de façades vitrées de haute technicité signées WICONA, participant directement au confort thermique et acoustique des usagers. Pour répondre aux besoins particuliers des immeubles de grande hauteur soumis à une forte exposition (vent, pluie) WICONA a développé pour ce projet la fenêtre à translation WICSLIDE 150 « Pull and Slide », depuis commercialisée en gamme. Une première mise en œuvre spectaculaire. Crédit photo : John Kees  Inspiré par l’explorateur Dr Nathaniel Bagshaw Ward Wardian London a été inspiré par le grand explorateur et innovateur Dr Nathaniel Bagshaw Ward, responsable de la création du Wardian Case, utilisé pour transporter des plantes autour du monde à l’apogée de l’Empire britannique.  Le projet s’inspire de la botanique et de l’idée des serres portables tout en considérant la durabilité comme un autre facteur clé. Le renommé cabinet de design Glenn Howells Architects a été chargé d’élaborer non seulement le concept global et la conception détaillée, mais aussi une grande partie de l’aménagement intérieur. Le choix d’utiliser des portes WICLINE 75 de WICONA, des vitrages coulissants WICSLIDE 150 PS sur mesure et des fenêtres WICLINE 90 SG, tous intégrés dans la solution de façade à éléments personnalisée, a été défini par le constructeur de façade tchèque Sipral.  Les installations techniques contribuant de manière significative à la consommation d’énergie d’un bâtiment tout au long de son cycle de vie, la gestion des apports solaires et la volonté d’éviter le recours à la climatisation ont été des principes majeurs dans la philosophie de conception du Wardian. Par conséquent, en plus d’aménager des jardins sur le toit avec des arbres matures pour tempérer l’air entrant, la conception des tours fait un usage impressionnant de mesures passives pour protéger les espaces de vie contre les apports solaires.  Crédit photo : John Kees  « Le projet s’inspire de la botanique et de l’idée des serres portables inventées par Nathaniel Bagshaw Ward, tout en considérant la durabilité comme un autre facteur clé. La conception du complexe Wardian avec des terrasses en saillie permet de limiter les apports solaires et ainsi de réduire de 42% la charge de refroidissement par rapport à des tours dont les façades sont moins ombragées. Cette réduction devrait atteindre 55% d’ici 2050 face au réchauffement climatique.   Au lieu de miser sur des systèmes de climatisation, les jardins de toit du Wardian rafraîchis-sent l’air entrant tout en offrant à chaque logement un grand espace ombragé. La végétalisation contribue également à la qualité de l’air, tout en créant un environnement relaxant et convivial. Nous avons aussi étroitement collaboré avec Sipral pour mettre au point les spécifications du vitrage et satisfaire aux exigences en matière d’apport solaire mais avons également dû investir beaucoup d’efforts pour relever les défis d’isolation acoustique. Les niveaux inférieurs qui font face à ligne de métro léger DLR ont été dotés d’une seconde couche de vitrages alors qu’une grande partie de la façade orientée vers l’aéroport de Londres City a été équipée de vitrages insonorisants. »  Porte-parole de Glenn Howells Architects. Ouverture maximale et confort optimal  Spécifiés en fonction de leur position sur les façades des deux tours, les systèmes de fenêtres et de portes WICONA installés par Sipral assurent une réduction sonore de 35 dB ou de 41 dB, obtenue à la fois par le soin apporté aux détails des châssis et par l’utilisation de verre acoustique. La majorité des fenêtres, y compris les éléments de balustrade peints en arrière, affichent une valeur de 1,0 W/m2K.  Les appartements et les penthouses sont équipés de fenêtres WICLINE 90 SG, avec plus de mille unités installées sur les deux bâtiments. Le contrat de Sipral incluait l’installation de 3 525 m2 de façade rideau dotés de plus de 50 éléments sur mesure tels que des capots.  Crédit photo : John Kees  Crédit photo : John Kees  Le système WICLINE offre à la fois une flexibilité esthétique et un haut niveau de fonctionnalité, permettant ainsi au spécificateur d’optimiser la performance énergétique, l’isolation acoustique et la sécurité. Comme tous les autres systèmes WICONA, il est compatible avec les différents types de façade WICTEC, des assemblages classiques à montants et traverses aux grandes façades à éléments, voire même aux façades à vitrage structurel. WICTEC satisfait pleinement aux exigences des essais de résistance aux intempéries et au feu définies par la norme EN 13830 et s’adapte facilement à presque tous les styles architecturaux grâce à la disponibilité de différents types de profilés.  « Le Wardian a été un projet difficile face aux défis acoustiques et d’autres exigences technologiques qui ont nécessité une solution de façade à éléments sur mesure. Notre client Sipral a fourni à cet effet des portes de balcon WICLINE 75, des fenêtres WICLINE 90 SG et des portes coulissantes WICSLIDE 150 PS, alors que la façade à éléments même a nécessité la mise au point de 54 nouveaux profilés. » Tim Rook, concepteur de projet pour Wicona  Parties-prenantes Projet: Wardian  Lieu: London, Royaume-Uni  Architecte: Glenn Howells  Façades par: SIPRAL  Solutions WICONA: WICTEC EL evo (solution personnalisée), WICLINE 75, WICLINE 90 SG, WICSLIDE 150 PS (solution personnalisée)  Photographe: John Kees 
Il y a 2 ans et 178 jours

À la découverte du Groupe Seguin avec son Directeur Commercial, Cédric Laurent

Batinfo : Pouvez-vous nous présenter le groupe Seguin ainsi que son histoire ?Cédric Laurent : Créée en 1976, Seguin est une entreprise familiale française, basée essentiellement en région Auvergne Rhône Alpes, fabriquant des chauffages au bois et granulés. Nous faisons partie du groupe Seguin comptant près de 300 salariés et constitué de marques comme Seguin, JC Bordelet, Axis et Hwam. Globalement, nous disposons de deux réseaux: Seguin une histoire de flamme, dédié aux cheministes avec 150 revendeurs et 115 magasins exclusifs à notre marque et Cheminées Artense, destiné au monde des plombiers chauffagistes où nous collaborons directement avec les professionnels via des grossistes.Notre métier est basé sur la distribution en B2B, à destination des cheministes, de la fumisterie et de la fourniture au sens large d'appareils de chauffage au bois et à la biomasse. Notre savoir-faire nous donne une place privilégiée sur le secteur du chauffage pour les maisons individuelles.Leader sur notre marché en France, nous sommes présents également dans 40 pays comme en Scandinavie, au Japon, en Grande-Bretagne, en Italie, dans le bassin méditerranéen, en Australie et d'autres. Pour résumer l'activité de nos différentes marques, je dirais que :Chez Seguin, la spécialité est la fonte et le granulé. Situé à Randan, dans le Puy-de-Dôme depuis près de 40 ans, nos 130 salariés sur ce site s'occupent de la partie administrative et logistique ainsi que de l'administration des ventes pour les différentes filiales. Sur ce site, nous sommes en pleine ruralité au cœur des bois. Nous y dispensons également des formations certifiées Qualiopi pour les installateurs, qu'ils soient clients directs ou indirects. Les formations proposées vont de quelques jours à trois mois et accueillent environ 400 stagiaires à l'année pour leur permettre une montée en compétence et favoriser la professionnalisation de notre secteur.Axis, aussi situé en région Rhône Alpes, s'occupe de la production de foyers et des poêles en acier.Thermolab est notre marque de chaudières à granulés, situé à Randan comme Seguin.Nous sommes également propriétaires d'une marque au Danemark nommée Hwam, qui fabrique des poêles à bois scandinaves. Grâce à Hwam, nous sommes aujourd'hui le seul fabricant français de poêle en acier scandinave.JC Bordelet, basé dans l'Hérault, fabrique à la main des cheminées métal design suspendues. Avec des produits reconnus, cette filiale est un vecteur important pour nous à l'étranger.Enfin, nous avons une petite diversification dans notre cœur de métier avec Vulx qui fabrique des braseros planchas, pour les particuliers mais aussi pour le milieu de l'hôtellerie restauration.Batinfo : Actuellement, où en est le groupe Seguin ?Cédric Laurent : La situation énergétique actuelle a entrainé une inversion totale de notre marché avec une explosion de la demande de poêle à bois et à bûches. Habituellement nous assurions des livraisons en moins d'une semaine, aujourd'hui les délais sont d'environ 3 mois.Entre les pénuries de gaz et de matières premières, notre filière est sous tension sur ce deuxième semestre 2022. Grâce à la taille de notre entreprise et à des partenaires fiables, nous arrivons à trouver des solutions et répondre à la demande croissante des ménages qui souhaitent pratiquer le mix énergétique afin de faire baisser leur facture cet hiver.Batinfo : Quels sont vos prochains projets ?Cédric Laurent : Nous avons une vraie volonté de nous développer en continuant à améliorer nos produits et en concevoir de nouveaux. Nous souhaitons également explorer de nouveaux axes de marchés. Les métiers autour de la chaudière sont évidemment un secteur sur lequel nous nous développons déjà et comptons continuer dans cette direction.Notre département R&D avance également vers des produits faciles à installer et à utiliser.Nous lançons aussi notre première école de poseur avec des formations longues.Enfin, le secteur du chauffage pour des habitations en verticalité est bien sûr dans notre viseur même si je ne peux pas encore en dire plus.Concernant notre politique RSE, nous faisions déjà beaucoup de choses mais maintenant nous les mettons en avant. Nous avons donc choisi quatre piliers :L'environnement : nous essayons d'être les plus au point sur la gestion des déchets. Nous avons par exemple investit fortement pour avoir un laboratoire d'essais chez nous pour mesurer nos rejets dans l'atmosphère de manière professionnelle. Des groupes de travail ont été également mis en place avec nos revendeurs afin de cibler des formes de déchets que l'on génère et que nous pourrions réduire. Par exemple actuellement nous travaillons sur des emballages consignés que nous pourrions récupérer et réutiliser. Notre ancrage territorial : lors de nos rachats de JC Bordelet et d'Axis, il aurait été plus simple de rapatrier les équipes près de notre centre de Randan. Nous avons choisi de ne pas le faire et de plutôt réinvestir dans de nouvelles usines sur les lieux d'origines de ces entreprises afin de ne pas déraciner les salariés et de maintenir le tissu de sous-traitant que nous souhaitons conserver. Nous avons une véritable responsabilité à notre échelle locale.L'économie durable : nous sommes très vigilants de ce que l'on achète, à combien on l'achète et chez qui l'on achète. Dans la période où nous sommes, si nous n'avions pas des partenaires fiables, nous tiendrions bien plus difficilement.L'humain au centre : nous avons tous une participation au bénéfice avec une particularité: elle est égalitaire, elle ne prend pas en compte l'échelon dans l'entreprise.
Il y a 2 ans et 182 jours

Au Maghreb, des centaines de jours de soleil, mais un gros retard à rattraper dans l'exploitation de cette énergie

Face à un développement poussif des énergies renouvelables, la flambée des prix des hydrocarbures qui a suivi l'invasion russe de l'Ukraine a provoqué une prise de conscience, selon les experts."La pression extrême sur le gaz naturel, en particulier en Europe, a changé la logique pour ce type d'investissements", souligne auprès de l'AFP le professeur Michael Tanchum, un expert en énergie.Or, "l'Algérie, la Tunisie et le Maroc disposent d'abondantes ressources en énergies solaire et éolienne", rappelle-t-il.Omar Bey, un dirigeant de Qair, un producteur d'énergie renouvelable fondé en France, espère que son prototype de centrale flottante de 200 KW, la première de la zone Moyen-Orient et Afrique du nord, stimulera des projets plus ambitieux.La Tunisie, aux ressources en hydrocarbures très limitées, "n'a pas d'autre choix que miser sur les renouvelables", souligne-t-il.L'avantage d'une centrale flottante est de permettre un refroidissement naturel des panneaux, qui les rend plus efficaces, tout en réduisant l'évaporation et cela, sans accaparer de terres cultivables ou constructibles, explique-t-il.Ensoleillée des milliers d'heures par an, la Tunisie a le potentiel de produire pour ses propres besoins et d'exporter vers l'Europe située à quelques centaines de kilomètres.Mais aujourd'hui, seuls 2,8% de son électricité sont tirés des renouvelables, contre un objectif de 35% d'ici à 2030."Paralysie politique"Le professeur Tanchum, chercheur non résident au Middle East Institute, explique ce retard par une "paralysie politique", avec une dizaine de gouvernements qui se sont succédé depuis la révolution qui a renversé le dictateur Ben Ali en 2011.Le pays est en outre très endetté ce qui mine le financement de grands programmes.Sans compter les obstacles juridiques et administratifs : les panneaux importés "restent parfois bloqués pendant un mois, un mois et demi à la douane. Il faut des lois plus flexibles, tout le processus doit être accéléré", plaide Ali Kanzari, président de l'Union des entreprises solaires.M. Bey évoque pour sa part des "malentendus" avec des syndicalistes qui, redoutant une privatisation du groupe public Steg, ont retardé le raccordement de centrales photovoltaïques.Une centrale de 10 MW, construite il y a plus de deux ans à Tataouine (sud) pour alimenter 10.000 foyers, a ainsi été mise en route en octobre seulement."Aujourd'hui, tous ces problèmes sont derrière nous", assure M. Bey.Pour l'heure, toutefois, "seul le Maroc a émergé comme un leader" dans la région, pointe M. Tanchum. Le Royaume qui a décidé en 2009 d'investir massivement dans les renouvelables pour les hisser à 52% de son mix énergétique d'ici à 2030, produit déjà un cinquième de son électricité à partir de cette ressource. Au total, 111 projets sont "terminés ou en cours de développement", selon le ministère de l'Energie.L'un des programmes phare est "X-links" combinant solaire et éolien, capable de générer plus de 10 gigawatts et de les expédier en Grande-Bretagne grâce à 3.800 kilomètres de câbles sous-marins, pour y alimenter 7 millions de foyers en 2030.La Tunisie s'est lancée dans un projet plus modeste : en octobre, elle a déposé une demande d'aide européenne pour un câble de 200 kilomètres la reliant à l'Italie, un projet de 800 millions d'euros, à horizon 2027."Si le câble était déjà en place, avec 4 ou 5 gigawatts provenant de centrales solaires dans le désert, on vendrait de l'électricité à l'Europe et on engrangerait déjà d'importants revenus", regrette M. Kanzari.L'Algérie voisine, consciente d'un possible épuisement de ses ressources, s'est fixé, elle aussi, l'ambitieux objectif d'installer 15.000 MW d'énergie solaire d'ici à 2035, dont un méga-projet de 1 GW (Solar 1000) qui entrera en service fin 2023 ou début 2024.Pour le moment, le pays n'en est qu'aux balbutiements avec 3% de son électricité provenant du solaire.Malgré des assouplissements législatifs, "des obstacles persistent pour les investissements étrangers, dont la fameuse bureaucratie algérienne", souligne Intissar Fakir, analyste au Middle East Institute.En outre, note-t-elle, même si les exportations de gaz génèrent des milliards de dollars, Alger va devoir les "injecter dans la modernisation d'infrastructures vieillissantes dans les hydrocarbures plutôt que dans les renouvelables".
Il y a 2 ans et 186 jours

Cette maison en pierre serait la plus ancienne de Grande Bretagne

Voici la plus ancienne maison en pierre du nord-ouest de l’Europe dans cette île écossaise lointaine des îles Orcades. La plus ancienne maison préservée d’Écosse (et même de tout le Royaume-Uni) se trouve sur l’île lointaine de Papa Westray dans les îles Orcades en Écosse. La maison est une ancienne ferme néolithique appelée Knap of […]
Il y a 2 ans et 187 jours

L’hôtellerie réinvente ses espaces outdoor

Hôtel Adlon en Italie, un espace bien-être face à la merCet hôtel 4 étoiles en bord de mer est situé dans la ville de Jesolo Lido près de Venise. L’hôtel Adlon est reconnu pour la qualité de ses services haut de gamme et pour son très grand niveau de confort. Situé dans le quartier Piazza Drago, près de la mer Adriatique, à quelques pas du musée d’histoire naturelle de Jesolo, il abrite en plus de ses 70 chambres, une salle de fitness, un restaurant ultra lumineux et une terrasse avec piscine extérieure ouverte en hiver. Piscine et terrasse surplombent la mer offrant un superbe panorama pour se baigner et se relaxer.Propriétaire : Rizzante HotelsDate des travaux : début juillet 2021Savoir-faire KE Outdoor DesignKE a été sollicitée par l’établissement pour créer une zone protégée dans l’espace extérieur du restaurant et dans l’espace piscine. Ont été installés 8 Stores KE avec coffre QUBICA LIGHT, teinte 9006 Aluminium Mat, dans les dimensions : largeur 512 cm x avancée 210 cm, toile Tempotest Starlight resinato 6079/200, avec anémomètre, capteur soleil/vent et télécommande moteur.Hôtel-restaurant Les Sables Blancs en Bretagne, une terrasse de restaurant confortable et accueillante... en toutes saisonsSitué à Concarneau et surplombant l’une des plus belles plages de Bretagne, l’établissement 4 étoiles Les Sables Blancs bénéficie d’un cadre privilégié pour accueillir une clientèle en recherche de quiétude et de services haut de gamme. L’établissement conjugue haut standing et dépaysement avec ses 18 chambres et balcons dominant la mer, 3 suites, terrasse avec jacuzzi, restaurant panoramique avec double terrasse, accès direct à la mer, etc.Propriétaire : Les Sables BlancsDate des travaux : mai 2022Savoir-faire KE Outdoor DesignKE a été choisie par l’établissement pour couvrir et agrandir la terrasse du restaurant afin de pouvoir accueillir davantage de clients sur les demi-saisons. Ont été installées en quinconce 3 pergolas bioclimatiques KEDRY SKYLIFE à lames rétractables (80 m2 de couverture totale), en version autoportante, équipées de fermetures en vitrages panoramique Line Glass.Falkensteiner Hôtel & SPA Jesolo, une salle de relaxation panoramique baignée de lumièreNiché en plein cœur de la riviera vénitienne, ce complexe balnéaire 5 étoiles au design épuré et contemporain porte la signature de l’architecte américain Richard Meier, spécialiste d’une architecture abstraite reliée à son environnement. Colossal, l’hôtel propose 102 chambres double et 52 suites ultra-modernes, avec vue sur la mer. L’établissement accueille également 3 restaurants aux influences du monde, un SPA avec piscines (espace sauna, de relaxation, plusieurs espaces de bien-être, salle de sport...). La station bénéficie également d’une plage de sable privée et préservée pour une plus grande intimité et un séjour sur-mesure.Propriétaire : Falkensteiner Hotels & ResidencesSavoir-faire KE Outdoor DesignEn partenariat avec l’architecte d’intérieur Bea Mitterhoffer, KE a été chargée de protéger avec discrétion et efficacité la terrasse extérieure de l’espace détente du Spa, via la mise en place d’une couverture lumineuse. Un choix qui a permis de masquer la vue des chambres des étages supérieurs donnant sur la terrasse. Ont été installées côte à côte 3 voiles d’ombrage KHEOPE (80 m2 de couverture) motorisées et équipées d’un anémomètre pour assurer une fermeture automatique en cas d’intempéries.Dans l’univers de l’hôtellerie, les espaces extérieurs de détente et de restauration reflètent la qualité du lieu. C’est pourquoi ils font l’objet de plus en plus d’attention de la part de professionnels parfaitement conscients de la plus-value qu’ils représentent en termes d’attractivité et de fidélisation. L’un des équipements clés pour valoriser ces espaces réside dans les systèmes d’ombrage qui doivent garantir la protection solaire de manière esthétique.KE Outdoor Design accompagne les professionnels de l’hôtellerie et plus largement des cafés et restaurants partout dans le monde. La marque dispose d’une ligne de produits parfaitement adaptée au marché du CHR avec des protections solaires qui font dialoguer formes architecturales, attentes esthétiques et exigences du chantier.Lumière sur trois solutions KE dédiées aux professionnelsLes pergolasParmi les solutions KE les plus plébiscitées sur ce marché, la pergola toile ISOLA 3 avec sa double toiture* spéciale CHR et la pergola bioclimatique KEDRY SKYLIFE et son toit à lames orientables et rétractables, figurent en bonne place. Elles bénéficient d’un large choix de couleurs et d’options personnalisées : éclairage par leds, fermetures latérales, automatisation... Avec une configuration sur mesure, ces structures fixes s’intègrent dans leur environnement et assurent une protection maximale tout en offrant le prolongement de la saison en extérieur, un atout à haute valeur ajoutée. Ces pergolas participent à créer des cadres de réception exceptionnels et à assurer le confort.* Toile rétractable en PVC sur le dessus et toile micro-perforée sur le dessous.Les storesAutre solution KE appréciée par les professionnels du secteur de l’hôtellerie, café restauration : le store banne coffre QUBICA imaginé par le Designer italien à la renommée internationale, Robby CANTARUTTI. Ce store haut de gamme aux performances techniques élevées s’adapte à tous les types d’architecture. Il est doté de lignes géométriques, d’un coffre bicolore, de dimensions généreuses avec notamment une inclinaison importante qui permet de bien ombrager balcons et terrasses aux heures les plus chaudes de la journée. Il est également entièrement personnalisable en termes d’automatisation, d’éclairage, de coloris (coffre et toile), de technologie (pour les bras mécanisés du store)... autant d’atouts pour valoriser les terrasses.Les voilesLes voiles tendues élégantes et aériennes sont de plus en plus recherchées par les établissements haut de gamme pour aménager leurs espaces extérieurs : terrasses, aires de repos, de bien-être... KE propose plusieurs modèles de voile d’ombrage parmi lesquels KHEOPE dont les lignes fluides peuvent couvrir environ 20 m2 et près de 50 m2 avec le système motorisé. Confectionnée sur mesure, elle allie protection solaire efficace, raffinement, confection de qualité supérieure et installation simple. Composée de matériaux d’origine nautique comme le Dacron, elle est résistante à l’usure et au vent. Pratique à utiliser, simple à manœuvrer, elle permet de modifier librement l’inclinaison de la voile depuis le sol, de jouer avec les hauteurs pour adapter la zone ombrée aux besoins. KHEOPE se décline aussi en version adossée au mur pour limiter l’utilisation de poteaux de soutien et souligner le panorama environnant, tout en préservant l’esthétique du lieu.
Il y a 2 ans et 190 jours

Bretagne : Le conflit en Ukraine impacte le secteur de la construction

Article paru dans le n°103 de Béton[s] le Magazine Suite au conflit russo-ukrainien, les entreprises bretonnes dans le secteur de la construction rencontrent des problèmes d’approvisionnement. [©ACPresse] Dans sa dernière enquête, l’Institut économique des territoires a publié une étude qui démontre l’impact du conflit russo-ukrainien sur le secteur de la construction en Bretagne. En effet, près de 6 entreprises bretonnes sur 10 ont des chantiers perturbés en raison des retards de livraison. Un constat qui s’explique par l’importation des matières premières (titane, gaz naturel, acier et pétrole) de Russie. Cette situation engendre des problèmes d’approvisionnement. Ainsi, près de 9 entreprises sur 10 ont déclaré connaître des difficultés pour acquérir certains produits, équipements ou composants. Lire aussi : Liebherr : Deux toupies électriques ETM 1204 DA pour la Bretagne Concernant le GNR (gaz non routier), 33 % d’entre elles ressentent actuellement des tensions sur leurs achats. Elles font aussi face à une inflation des coûts liés à l’énergie. La hausse des carburants représente 8,3 % de leur chiffre d’affaires et celle du gaz, 2,3 % en moyenne. Cette augmentation se traduit par une difficulté de réviser à la hausse les montants de leurs contrats en cours. Près de 64 % des entreprises bretonnes ont été confrontées à ce problème. « Aujourd’hui, elles ont de plus en plus de mal à établir leurs devis et à s’engager sur un prix, s’inquiète Rachel Denis-Lucas, Pdg de Denis Matériaux. Et puis, comment vont se comporter les maîtres d’œuvre, les clients face à l’augmentation des prix ? Reporter les travaux, impossibilité de financer les hausses… L’incertitude et l’inquiétude sont importantes pour les mois à venir. De plus, les négociants ont mis en place une politique de stock pour fournir leurs clients et éviter les arrêts de chantier. » Retrouvez aussi les autres actualités de la région Bretagne. Cet impact influe sur leur trésorerie. Malgré tout, 69 % d’entre elles jugent leur situation financière sereine et même pour 6 % aisée. Article paru dans le n°103 de Béton[s] le Magazine Retrouvez nous sur tous nos réseaux sociaux en cliquant ici !
Il y a 2 ans et 198 jours

Abandon d'un projet pilote d'éoliennes flottantes au large de Belle-Ile

Ce projet de 300 millions d'euros, attribué sur appel d'offres en 2016, était porté par un consortium réunissant Shell, la Banque des territoires (Caisse des dépôts) et le chinois CGN.Il "a été confronté à plusieurs défis techniques, commerciaux et financiers, le tout dans un contexte de coûts en constante augmentation et de contraintes très fortes, en termes d'inflation et de chaîne d'approvisionnement", a expliqué le consortium dans un communiqué mardi, confirmant une information des Echos."Les conditions économiques liées au projet ont été significativement modifiées, remettant en cause, pour l'ensemble des partenaires du consortium la viabilité économique du projet", a-t-il ajouté.Le projet breton devait permettre de tester trois éoliennes flottantes, technologie vue comme l'avenir de l'éolien en mer car permettant d'installer des parcs plus en profondeur, donc notamment plus loin des côtes, que les éoliennes rivées dans le plancher marin.Trois autres fermes pilotes flottantes sont annoncées en France, toutes en Méditerranée. Ainsi par exemple, les flotteurs du projet prévu au large de Port-St-Louis-du-Rhône (Bouches-du-Rhône) ont-ils été dévoilés lundi. Parcs commerciaux 10 fois plus grosLe projet s'est en particulier heurté au retrait des turbiniers General Electric (GE), puis Vestas, qui devaient fournir les éoliennes de 6 mégawatts (MW), puis du fabricant de flotteurs Naval Group, qui a cédé son activité dans l'éolien flottant.Shell avait repris le projet en 2019 en rachetant la société Eolfi, ex-filiale de Veolia et pionnier de l'éolien flottant."L'Etat regrette l'abandon du projet, qui est la conséquence notamment de l'arrêt de production par Vestas des turbines devant alimenter le parc", a réagi le ministère de la Transition énergétique. Ce projet, "qui devait initialement être en service en 2018, a été retardé plusieurs fois, notamment avec le départ de Naval Group qui constituait le référent industriel du projet"."Pour autant, les trois autres fermes pilotes seront bien mises en services dans les deux ans qui viennent, alors que la France s'est mis en ordre de marche très tôt (depuis bientôt 8 ans) pour structurer une filière forte de l'éolien flottant", ajoute le ministère, qui rappelle aussi le lancement cette année d'appels d'offres commerciaux pour des parcs flottants 10 fois plus gros que les pilotes, un au sud de la Bretagne et deux en Méditerranée. L'Etat a aussi alloué via le plan France 2030 près de 300 millions d'euros en soutien au développement des technologies et installations industrielles et portuaires nécessaires à la montée en puissance d'une filière hexagonale. La France, qui doit inaugurer dans quelques jours son tout premier parc éolien (80 éoliennes posées sur le fond) face à Saint-Nazaire, compte sur la technologie flottante pour pouvoir répondre à ses ambitions: quelque 40 gigawatts (environ 50 parcs) d'ici 2050.
Il y a 2 ans et 201 jours

JCB lance un ravitailleur a hydrogène mobile

Un système rapide et facile pour se ravitailler en hydrogène sur siteJCB a investi 100 millions de livres sterling dans un projet destiné à produire des moteurs à hydrogène performants. L’entreprise a d’ailleurs déjà présenté des prototypes fonctionnels d'une chargeuse-pelleteuse et d'un chariot télescopique alimentés à l'hydrogène.Aujourd'hui, la société annonce une autre première mondiale : un ravitailleur à d'hydrogène mobile monté sur un FASTRAC JCB, qui offre aux clients un moyen rapide et facile de ravitailler leurs machines sur site. 97 % environ des engins de chantiers sont approvisionnés en carburant lorsqu'ils travaillent sur site. Les clients sont donc déjà habitués à un carburant transportable, permettant de faire le plein en quelques minutes.Lord Bamford, président de JCB, qui dirige le projet hydrogène de JCB, a déclaré : « Depuis que nous sommes devenus la première entreprise d’engins de construction à dévoiler des machines alimentées à l'hydrogène, nombreux sont ceux qui ont demandé comment les ravitailler.Aujourd'hui, nous avons une réponse avec notre nouveau système mobile de ravitaillement en hydrogène. L’hydrogène est délivré grâce à une cuve mobile qui alimente les engins directement sur le chantier.Ce n'est pas différent de ce qui est pratiqué aujourd'hui lorsque le diesel est transporté dans des camions-citernes pour ravitailler les engins.Les combustibles fossiles ne sont pas l'avenir. L'hydrogène est la solution pratique pour alimenter nos machines dans les décennies à venir. Nos ingénieurs britanniques font un travail fantastique pour développer cette technologie et de nombreux autres développements passionnants sont à venir. »Une technologie présentée en 2020Une équipe de 100 ingénieurs travaille sur ce développement. La première machine fonctionnant à l'hydrogène dévoilée était une chargeuse-pelleteuse JCB suivie, il y a un an, par un chargeur télescopique JCB. La technologie a ensuite été présentée en 2021 dans la « Zone Verte » de la COP26 à Glasgow, alors que les dirigeants du monde entier débattaient des mesures à prendre pour réduire de manière drastique les émissions de gaz à effet de serre.Pour mémo, JCB fabrique des moteurs depuis 2004, dans ses usines situées dans le Derbyshire (Grande-Bretagne) et à Delhi, en Inde. L'année passée, JCB a célébré une étape importante avec la production de son 750 000ème moteur.
Il y a 2 ans et 207 jours

Kermarrec Promotion déploie sa présence à Vitré et lance son 1er programme immobilier : le parc d’activités Daskemm

Conçu dans une logique de durabilité et de respect de l’environnement, le projet intègre la possibilité d’installer des panneaux photovoltaïques sur le toit d’un des 3 bâtiments. Une vision contemporaine de laquelle le parc tire son nom car DASKEMM signifie « évolution, transformation » en breton.Une structure prête à accueillir tout type d’activités Premier parc d’activités de Kermarrec Promotion sur le pays Vitréen, ce projet est situé à l’Est de Vitré, P.A. de la Grande Haie, en direction de Laval. Les 2.507 m2 répartis en 3 bâtiments accueilleront 12 cellules d’activités, de 179 m2 minimum. Équipé d’une porte sectionnelle, chaque local d’activités est pensé pour accueillir une surface de bureau et un espace d’atelier ou de stockage. A l’extérieur, une aire de retournement pour les poids-lourds est prévue afin de permettre l’approvisionnement des différents artisans du parc. Côté stationnement, 51 places sont prévues dont certaines en intérieur. DASKEMM s’insère dans un cadre verdoyant et arboré. Une construction durable La conception de la structure des 3 bâtiments intègre la possibilité d’installer des panneaux photovoltaïques sur la toiture pour permettre aux futurs occupants de réaliser des économies d’énergie et faire baisser leurs charges, tout en réduisant leur impact environnemental. Sur ce projet, Kermarrec Promotion met l’accent sur la qualité du bâti et sur l’esthétique des façades : bardage bois sur les façades, apportant un aspect plus contemporain et qualitatif. A ce titre, le nom du parc « DASKEMM » prend tout son sens, car il signifie « évolution, transformation » en breton. Le choix stratégique de Vitré Le territoire vitréen est proche des axes Paris-Rennes et Caen-Rennes et permet de rayonner sur le Grand-Ouest, tout en étant à 30 minutes de Rennes. Son positionnement est un véritable atout stratégique en étant à équidistance de Rennes, Fougères et Laval (environ 35 km de chaque ville). Sur le plan économique, Vitré est une ville dynamique avec un secteur des services en plein développement grâce au commerce (13% des emplois) et à la logistique avec de belles implantations ces 5 dernières années sur le territoire aux portes de la Bretagne. Après ce premier programme immobilier vitréen, Kermarrec Promotion va renforcer sa présence à Vitré, notamment en réalisant la résidence POEM (18 logements sur la ZAC des Ormeaux) dont la commercialisation débutera en prévision courant février 2023.Fiche technique du programme :Maître d’ouvrage : KERMARREC PromotionCommercialisateur : KERMARREC EntrepriseCommercialisation : Novembre 2022Surface totale : 2.507 m2 SPAdresse : ZAC de la Grande Haie 35500 Vitré
Il y a 2 ans et 211 jours

Ille-et-Vilaine : pose de la première pierre du centre aquatique de Bain-de-Bretagne

À Bain-de-Bretagne (Ille-et-Vilaine), la première pierre du futur complexe aquatique communautaire est...-Vie du BTP