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Il y a 2 ans et 178 jours

Prison avec sursis pour le déversement de déchets dans les Calanques de Marseille

Entre le 17 janvier et le 29 mars 2018, des caméras-pièges installées sur un vaste terrain appartenant au Consistoire Israélite de Marseille avaient filmé seize rotations de deux camions appartenant aux prévenus.Aucun autre véhicule n'avait été surpris. Quelques mois plus tôt, le parc national avait dressé un procès-verbal établissant la présence de gravats composés de blocs rocheux, de béton, laine de verre, plastiques et carrelages, fraîchement déposés, la nature n'ayant pas repris ses droits.Le montant des amendes prononcées par le tribunal (11.500 euros pour l'un et 21.500 euros pour l'autre) correspond à peu près à la somme que les deux entrepreneurs auraient dû débourser pour mettre en décharge le volume de ces seize rotations.Dénonçant "un fléau qui dénature notre région", le procureur Michel Sastre avait requis une peine mixte de 18 mois de prison dont six mois ferme et une amende de 15.000 euros contre chacun des prévenus qu'il avait qualifiés de "patrons-voyous".Ce terrain situé dans le parc national bénéficie aussi d'un classement Natura 2000 et au titre des Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique.La présidente du tribunal Azanie Julien-Rama a justifié la peine prononcée par "la gravité des faits qui ont perduré pendant plusieurs mois avec des conséquences très graves".Entendue à l'audience, une inspectrice de l'environnement du Parc avait souligné l'impact grave de ces déversements de déchets polluants sur la faune, la flore et les habitats du parc dans un site également classé au titre des paysages pour leur exceptionnelle beauté. Elle ajoutait: "après les incendies, la nature se répare mais avec ces déversements de déchets, aucune réparation n'est possible".Le tribunal a écarté les arguments des deux entrepreneurs qui disaient n'avoir fait que déplacer des déchets déjà présents sur les lieux et soutenaient avoir un accord verbal avec le propriétaire du terrain. "Ils n'ont jamais pu justifier d'un tel accord", a relevé le tribunal.Les juges ont également écarté leur bonne foi fondée sur la fourniture à l'audience de factures de déchetteries mais une seule concernait la période des faits.Les deux entrepreneurs devront également indemniser le préjudice matériel du propriétaire, le Consistoire s'étant vu allouer 2.500 euros de dommages et intérêts pour son préjudice matériel.
Il y a 2 ans et 185 jours

RE 2020 : un (grand ?) pas vers la construction bas carbone

Au-delà de la promotion d’une sobriété énergétique dans la construction neuve, la singularité de la réglementation RE 2020 « Eco-construire pour le confort de tous » réside dans son approche des émissions carbone du bâtiment, désormais prises en compte sur l’ensemble de son cycle de vie. Les matériaux à plus faible impact représentent donc un atout indéniable. Et la démarche va plus loin encore, puisqu’elle repose également sur l’intelligence de la conception, la recherche de l’adéquation du bâtiment aux besoins de ses usagers, la frugalité dans les quantités de ressources utilisées… Dossier réalisé par Stéphane Miget      Siège de l’Office national des forêts (ONF), à Maisons-Alfort (93) : Vincent Lavergne Architecture + Atelier WOA, Elioth, Egis bâtiment, Hervé, Mathis, Réolian Multitec. Photo : Sergio Grazia Photo : Sergio Grazia Guillaume Meunier, directeur délégué d’Elioth « La RE 2020 replace l’architecture au cœur de la dimension technique du bâtiment. »   En réunissant plus de quarante experts en structure, enveloppe et environnement, Elioth by Egis constitue une force d’innovation au service de l’excellence constructive durable, de la conception jusqu’au suivi de réalisation. Ce collectif se compose de trois équipes dédiées, boostées par un laboratoire transversal de recherches. Focus sur la RE 2020 et la construction bas carbone avec son directeur délégué, Guillaume Meunier. Photo : Elioth Quelle est aujourd’hui votre vision de l’approche bas carbone ? Guillaume Meunier – S’intéresser à l’impact climat et carbone des bâtiments n’est pas une nouveauté. Cela fait plus de dix ans que nous étudions le sujet. Ce qui a accéléré l’intérêt, c’est l’expérimentation E+C-, dont l’objectif était de réfléchir à l’intégration de critères carbone dans la RE 2020. Dans le même sens, il faut citer aussi la création du label BBCA. C’est cela qui nous a permis de fixer des règles plus précises sur la manière de conduire un bilan carbone, de créer une base de données de matériaux. Et à partir de là, on a pu réaliser lesdits bilans, comparer entre projets, entre équipes, et fournir des chiffres crédibles sur lesquels il est possible de discuter. Quels enseignements en avez-vous tirés ? L’impact principal des bâtiments découle du poids carbone des matériaux. Ce qui nous a permis de comprendre que nous pouvions réellement le réduire. Un constat qui est en lien avec les observations du Giec et avec la stratégie nationale bas carbone… Car la conception bas carbone, c’est penser la manière dont un projet constructif peut réduire son impact sur la planète. Tous les secteurs vont devoir faire des efforts, mais tout tourne un peu autour du bâtiment. Engager ce secteur est donc primordial. Les critères carbone sont désormais intégrés à la RE 2020. Pensez-vous que la réglementation va accélérer la prise de conscience des acteurs du secteur ? Oui, car nous sommes passés d’un label expérimental E+C- à une obligation de la RE 2020. Ce qui signifie, d’un point de vue réglementaire, que si l’impact carbone d’un bâtiment à l’état de projet n’est pas réduit, on n’a tout simplement pas le droit de construire. Nous sommes les premiers dans le monde à adopter une règle aussi contraignante. Nous préparons la RE 2020 depuis sept ans, l’Angleterre commence tout juste à préparer l’équivalent d’E+C-. Sa mise en place devrait aller plus vite car ils vont pouvoir bénéficier de notre expérience. De son côté, l’association BBCA est en train de créer un label européen. Donc tout devrait bouger assez rapidement.  Siège de l’Office national des forêts (ONF), à Maisons-Alfort (93). L’ONF a souhaité la construction d’un bâtiment à ossature bois, qui fasse la promotion des technologies de la construction-bois et permette de valoriser les savoir-faire de la filière bois.Photo : Sergio Grazia Comment voyez-vous la place des architectes dans cette approche bas carbone ? Jusqu’à présent, une grande partie d’entre eux pensaient que la RT 2012 ne les concernait pas vraiment et que les consommations énergétiques étaient un sujet mineur. Mais la RE 2020 replace l’architecture au cœur de la dimension technique du bâtiment. Un architecte ne peut pas dire à un bureau d’études de gérer la RE 2020. Pour les projets bas carbone sur lesquels j’ai travaillés, tous les intervenants – maîtrise d’ouvrage, architecte, bureau d’études et entreprises – se mettent autour de la table. Aujourd’hui, je peux, en tant qu’ingénieur, suggérer à l’architecte une forme de bâtiment pour qu’elle soit compatible avec la RE 2020. Idem pour les matériaux. Cela pourrait venir directement de l’architecte. Et je ne parle pas uniquement de la structure. Il s’agit donc d’avoir des discussions, des échanges. En revanche, il y a un retard dans cette prise de conscience et je passe, en ce moment, beaucoup de temps à leur expliquer la réglementation. Comment les promoteurs et maîtres d’ouvrage réagissent-ils ? Aujourd’hui, la plupart comprennent globalement la démarche. Normal puisque c’est désormais réglementaire et l’interdiction de construire les concerne en premier lieu. On peut aussi établir nombre d’analogies entre un bilan carbone et un bilan financier. Ce sont les mêmes discussions ; certains promoteurs saisissent parfois mieux l’approche que les architectes ou ingénieurs. Sans compter que ceux qui ont une vision bas carbone sont mis en avant, c’est une nouvelle manière de se différencier. Autre point : la démolition, dont l’impact n’est pas pris en compte dans la RE 2020. Qu’est-ce que cela vous inspire ? C’est exact. En revanche, elle est prise en compte dans le label BBCA. Je pense que pour la RE 2020, c’était trop compliqué, notamment parce que l’apprentissage E+C- l’avait déjà été. Mais maintenant que l’on sait réaliser des bilans carbone, on peut intégrer tout ce que l’on veut. Sur certains projets, il y avait des calculs E+C-, BBCA, et parfois d’autres méthodes. Donc il est possible d’étendre le périmètre de calcul ; la méthode est désormais claire, on peut s’appuyer dessus. C’est vrai, c’est dommage que la démolition ne soit pas prise en compte, mais il existe tant de contraintes sur les bâtiments neufs. À l’inverse, c’est plus simple sur la réhabilitation. Et désormais, je ne connais pas un promoteur auquel on ne demande pas s’il est sûr de vouloir démolir plutôt que de réhabiliter. Auparavant, ils démolissaient d’emblée, aujourd’hui ils réfléchissent avant de se lancer. Car le niveau de complexité de la RE 2020 rend la réhabilitation plus intéressante, contrairement à la démolition. Le gap est tellement grand entre RT 2012 et RE 2020 que l’absence de prise en compte de la démolition peut être pardonnée… À condition qu’elle soit intégrée dans les années à venir.  Engagé sur l’exemplarité en termes d’empreinte carbone, le nouveau siège de l’ONF a obtenu le niveau E3C2 du label expérimental E+C-, ainsi que le niveau Excellence du label BBCA.Photo : Sergio Grazia Dans votre analyse, vous regrettez la non-prise en compte de l’ensemble des usages des consommations énergétiques. C’est en effet mon seul regret. Le périmètre du poste RT du bâtiment, qui représente un tiers à un quart des consommations, a été augmenté par rapport à la RT 2012, mais la réglementation ne prend pas encore en compte toutes les consommations. Dans le label E+C-, on ajoutait les consommations spécifiques, ce qui n’est pas le cas avec la RE 2020. La raison est qu’elles sont très difficiles à calculer. Exemple avec les consommations d’un parc d’ordinateurs dans un bâtiment tertiaire, dont il faut connaître le type, le nombre… Dans le label E+C-, on appliquait juste un ratio. Vous vous intéressez à la vie du bâtiment et, dans la prise en compte de l’impact carbone, le calcul de l’ACV (Analyse du cycle de vie) suffit-il ? Pour réaliser l’ACV d’un bâtiment, sont considérés l’impact des matériaux à la construction et les renouvellements techniques nécessaires pour maintenir la fonctionnalité de l’ouvrage sur une période de cinquante ans. Par exemple, l’impact d’un carrelage est pris en compte deux fois et demie pour intégrer la perte de performance au bout de vingt ans. Cela concerne l’ensemble des matériaux. Mais on sait que lorsqu’un logement ou un immeuble de bureaux change de mains, il y a des travaux (nouvelle peinture, changement de moquettes…) et que ceux-là ne sont pas intégrés. Je pense qu’il faudrait l’anticiper pour inciter à la sobriété. Dans l’absolu, il faudrait aussi prendre en compte le mobilier. Et également les restructurations, d’après vous ? De plus en plus… Nous travaillons sur des projets en réfléchissant à l’adaptabilité : la transformation de bureaux en logements, par exemple. En général dans la vie d’un bâtiment, de nombreux changements interviennent au bout de vingt-cinq ou trente ans de vie. La restructuration lourde ou le changement d’usage ne sont comptabilisés nulle part. Vous vous intéressez également aux mobilités, pourquoi ? Il n’est pas possible de décorréler l’impact carbone d’un bâtiment de celui de la mobilité. Par exemple, la création d’une zone pavillonnaire à 15 km d’une ville va forcément induire des déplacements en voiture. Mais si l’on pense avant vélo, arrêt de bus à proximité, les habitants iront plus naturellement vers les mobilités douces. C’est aussi cela, la démarche de construire bas carbone. Architectes, ingénieurs, etc. nous sommes souvent déconnectés du quotidien des gens. Il faut penser ce que vont être leurs déplacements, les lieux où ils iront faire leurs courses… Un bâtiment devrait proposer des services bas carbone. Les anticiper permettrait de « décarboner » les pratiques des habitants eux-mêmes. Ce sont des effets subtils et secondaires qu’il faudrait aussi prendre en compte.    École d’Heudebouville, Hemaa et Hesters-Oyon : l’usage du bois, de l’ardoise, l’intégration de panneaux photovoltaïques et l’absence de consommation d’énergie fossile pour le chauffage de l’équipement permettent d’atteindre les niveaux E3C2 et Bepos. Photo : Sergio Grazia Solutions bas carbone RE 2020 Construire selon les critères de la RE 2020, impose, entre autres, de s’intéresser aux produits et systèmes à plus faible impact carbone. Une démarche déjà bien engagée, qui reste à peaufiner en multipliant les FDES. Et s’il y a révolution, elle sera peut-être davantage du côté de la conception des ouvrages. Applicable depuis janvier 2022 pour le logement et juillet 2022 pour certains bâtiments du secteur tertiaire, la RE 2020 impose, comme chacun sait, une diminution de l’impact carbone des bâtiments. Dans les faits, sa mise en application est progressive. Ainsi, les exigences, relativement faibles les premières années, suivront une trajectoire à la hausse, avec des seuils tous les trois ans jusqu’en 2030. Comptage du carbone Aujourd’hui, le sujet majeur est le comptage du carbone avec les Fiches de déclaration environnementale et sanitaire (FDES) pour les produits de construction et les Profils environnementaux produits (PEP) pour les équipements des bâtiments inventoriés dans la base Inies. Capitales pour calculer l’analyse du cycle de vie (ACV) du bâtiment sur cinquante ans, celles-ci sont encore, selon nombre d’experts, insuffisantes ou incomplètes pour consolider un calcul carbone. Il est donc difficile de connaître la réalité du bilan carbone d’une opération, son calcul étant encore réalisé sur la base de nombreuses valeurs par défaut. C’est l’un des enseignements de l’expérimentation E+C-. La consolidation de la base Inies va s’effectuer durant les trois premières années de la RE 2020, entre 2022 et 2025. Passé cette période, il sera plus aisé de comparer les produits, les matériaux, les industriels… Intelligence de la conception Autre enseignement important issu de l’expérimentation : construire bas carbone ne se limite pas à utiliser des matériaux à faible impact. C’est sur l’ensemble de la chaîne de production du bâtiment qu’il faut agir. Les retours d’expérience montrent, en effet, que si les matériaux bas carbone sont importants dans le processus vertueux, ils ne suffisent pas, à eux-seuls, pour rendre un bâtiment bas carbone. C’est dans l’intelligence de la conception, l’adéquation aux besoins, la frugalité des quantités et la mixité des matériaux, ainsi que dans le recours aux énergies renouvelables que résident les clés d’une construction bas carbone réussie. Soit un triptyque : éviter, réduire, stocker.     École d’Heudebouville : le système structurel en portiques autorise une évolution future et une modularité complète des locaux. Les façades et la toiture sont constituées de modules préassemblés hors site, associant étanchéité air/eau, isolant et structure.Photo : Sergio Grazia Adaptations et évolutions Ces bases étant posées, l’application de la RE 2020 aura forcément un impact sur les systèmes proposés par les industriels. Sans attendre de révolution – les innovations de rupture sont rares dans le secteur du bâtiment –, il y aura nécessairement des adaptations, des évolutions… Les industriels d’ailleurs n’ont pas attendu et proposent d’ores et déjà des solutions à plus faible impact carbone, qu’il s’agisse de produits traditionnels ou issus de matières premières biosourcées ou géosourcées. Une chose est sûre : aucun matériau ne sera exclu. Il n’en est pas de même des équipements techniques. Dès l’entrée en application de la nouvelle réglementation, les chaudières gaz ont été bannies des maisons individuelles. Au chapitre des matériaux de construction, les évolutions visant à limiter l’impact carbone des composants d’un bâtiment sont de trois ordres. Primo, une action sur les process de fabrication des industriels ; secundo, l’impact carbone du produit en lui-même ; tertio, sa capacité à répondre aux objectifs de la réglementation, via les six indicateurs réglementaires. À savoir : Ic énergie et Ic construction pour le carbone, Bbio, Cep, Cep nr pour l’énergie et DH pour le confort d’été.   Bois et biosourcés La RE 2020 va bien sûr booster le développement des matériaux dits « biosourcés ». L’ACV dynamique qui les favorise n’y est pas étrangère. Et de fait, la construction bois, alliée à ce type de matériaux, est assurément une réponse positive aux besoins de décarbonation de nos activités. D’ores et déjà en phase avec la réglementation, ces solutions sont aujourd’hui matures. Les différents systèmes constructifs disponibles (poteaux/poutres, poteaux /dalles, ossature bois, bois/béton…) répondent aux contraintes et réglementations en termes de feu, d’acoustique, de thermique, à travers des solutions génériques et évaluées. Le bois s’impose parce qu’il offre de vraies qualités constructives : légèreté, inertie moyenne, possibilité de préfabriquer, rapidité d’exécution, chantiers à faible nuisance – pour en citer quelques-unes. Là encore, il ne faut pas s’attendre à des innovations de rupture. Les systèmes constructifs existent. La difficulté provient davantage de la disponibilité de la ressource et de l’organisation des filières. C’est le premier travail à réaliser pour que les produits biosourcés, le bois en premier lieu, se développent à grande échelle. Ces filières, au même titre que les autres, doivent encore travailler sur le fond et prouver la performance environnementale en produisant des FDES complètes. Un travail qui est en cours. Avec eux, l’innovation sera davantage dans l’intelligence de la conception des bâtiments. Et ce, en jouant sur deux leviers : le mariage du bois et des matériaux biosourcés – les isolants notamment –, et la réduction de matière. Sur ce dernier point, il s’agit d’utiliser le bois non plus en substitution du béton, mais comme une option technique permettant de construire avec moins de matériaux – point crucial de la démarche bas carbone. Et le bilan sera d’autant plus positif si les bois utilisés sont d’origine locale.    Interface, Lyon 8e, Sud Architectes, Nexity. Cet ensemble immobilier utilise des bétons 100 % bas carbone, dont EcoPact AA de Lafarge France, béton autoplaçant offrant un taux de réduction de 90 % du poids de CO2 par mètre cube.Photo : Lafarge/Mazaud Du côté de la brique terre cuite Depuis plusieurs années, la filière mène un travail sur les aspects fabrication et ressources dans l’esprit de la RE 2020, autrement dit sur la décarbonation de l’activité. La profession s’est organisée pour réfléchir aux process et à la réduction des gaz à effet de serre (GES). Sur la période courant de 1990 à 2018, les consommations d’énergie ont déjà pu être réduites de 17 %, et les émissions de CO2 de 37 % entre 2000 et 2017 (source FFTB). Ce travail est loin d’être terminé. La filière a engagé un plan « Usine bas carbone 2050 » au niveau européen pour détecter et déployer des technologies de rupture. La brique en elle-même va bien sûr évoluer, mais sans qu’il y ait de révolution. En revanche pour répondre aux indicateurs, notamment les Bbio, les briques de 20 ou de 25 avec un R supérieur à 1 vont s’imposer pour permettre, à épaisseurs de murs égales (brique + complexe d’isolation), une isolation plus performante du bâtiment et une limitation des consommation d’énergie. Du côté du béton Ciment et béton, plusieurs approches au choix. La première consiste à remplacer une partie du clinker par d’autres types de liants. Par exemple, le CEM III/A, B ou C, ou ciment de haut fourneau, contient entre 36 et 80 % de laitier de haut fourneau (S) et 20 à 64 % de clinker (K) ou des liants géopolymères zéro clinker. Selon le CSTB, ces derniers ont un bilan carbone divisé par cinq comparé à un ciment CEM I (Portland classique, le plus utilisé aujourd’hui), soit 188 kg de CO2 par tonne contre 966 kg. Ce sont les entreprises du BTP qui testent ces ciments pour cadrer leur employabilité sur les chantiers. Ils travaillent notamment sur des règles d’usage avec des abaques, afin d’établir, en fonction des projets et des températures extérieures, les délais à respecter avant décoffrage. Les CEM III et CEM V sont, pour le moment, bien adaptés aux travaux hydrauliques souterrains, aux fondations et aux travaux en milieu agressif. La part des équipements techniques Les retours d’expérience E+C- concernant les équipements techniques ont démontré leurs performances quand ils sont associés à une enveloppe parfaitement conçue. Car c’est bien elle qui diminuera massivement les consommations de chauffage et de climatisation. Reste un point critique : l’eau chaude sanitaire (ECS). Rappelons que dans un logement parfaitement isolé et étanche à l’air, l’ECS est le poste le plus consommateur !   Le recours aux énergies renouvelables, dont le solaire photovoltaïque en autoconsommation, devrait fortement se développer pour répondre aux exigences de décarbonation. Tuile solaire Edilians.Photo : Edilians  Qualité de l’air intérieur, prise en compte du confort d’été… Les pompes à chaleur air/air évoluent vers des systèmes réversibles apportant un complément de chauffage et de rafraîchissement. Ici, Zehnder Comfoclime 24/36.Photo : Zehnder Pour la partie carbone, deux aspects sont à prendre en compte : l’impact de l’équipement en lui-même et l’énergie qu’il utilise pour fonctionner. Côté énergie, on comprend bien que plus on a recours aux renouvelables, plus on la récupère, plus l’impact carbone diminue. Là où les choses se compliquent, c’est qu’il faut ajouter l’empreinte carbone de l’équipement. D’où l’importance des PEP écopasseport pour les équipements des bâtiments. Les évolutions sont probablement à aller chercher du côté du confort d’été, la RE 2020 ayant des objectifs en degrés heure (DH) bien plus stricts que la TIC (température intérieure de confort) de la RT 2012. Il faudra mettre en œuvre des solutions pour rafraîchir sans recourir à la climatisation. Ces solutions existent déjà, mais elles devront sans nul doute être optimisées. Parmi les plus simples : les brasseurs d’air, le refroidissement ou le rafraîchissement adiabatique (qui s’effectue sans échange de chaleur), le puits provençal, ou encore le plafond ou plancher rafraîchissant. À cela s’ajoutent tous les systèmes d’occultation solaires fixes ou automatisés, tels les volets roulants, eux aussi appelés à se développer. Cet article est extrait de Planète Bâtiment 68, découvrez le numéro en intégralité sur la plateforme Calameo.com Cet article RE 2020 : un (grand ?) pas vers la construction bas carbone est apparu en premier sur Planète Bâtiment.
Il y a 2 ans et 190 jours

La découpe mobile automatisée arrive en France

La découpe mobile automatisée arrive en France chez NOMAD ROBOTICS pour libérer les employés du travail fastidieux et épuisant de la coupe des carreaux La découpe mobile automatisée arrive sur le marché français. Nomad Robotics propose assurément la solution plus performante d’entre elles : le Cut’nMove. Autonome, intuitif et adaptatif sont les principaux caractères de cette solution. Elle propose un système entièrement équipé qui permet de s’adapter à vos besoins. En bref, le Cut’nMove c’est : Un système entièrement équipé Un Software intuitif Une augmentation de la productivité Une découpe adaptative Nomad Robotics, expert et distributeur en solution robotiques, à destination de la construction, lance cette solution robotique. Le Cut’nMove est la solution robotique mobile révolutionnaire de découpe mobile automatisée, elle vient révolutionner le quotidien de nombreux projet de construction en accélérant considérablement les tâches compliquées et supprimant des tâches répétitives voir dangereuses pour les salariés. Pourquoi le Cut’nMove plutôt qu’un autre ? Cut’nMove est une plateforme technologique révolutionnaire qui amène les robots directement sur le chantier de construction. Alors que la plupart des projets de construction nécessitent l’aide humaine, le Cut’nMove vient automatiser les découpes de pavés, qui sont des tâches compliquées lorsqu’on utilise la méthode traditionnelle.  Avec sa petite taille, son boîtier pour remorque de voiture et ses commandes faciles sur iPad, Cut’nMove est le robot coupeur de carreaux agile et mobile qui va révolutionner le pavage et le jardinage paysager. Cette solution est en réalité un système complet permettant de s’adapter à une multitude de situation grâce à sa technologie révolutionnaire. Sa plateforme robotisée de coupe de carreaux est hébergée dans le châssis d’une remorque de voiture, le Cut’nMove est mobile et se transporte facilement d’un chantier à un autre. Le système est équipé d’un robot 6 axes connecté au cloud pour une liberté de coupe totale. Le robot est monté avec une lame diamantée, qui peut typiquement couper des carreaux de béton, céramique, granite, brique, marbre, pierre naturelle et bien d’autres. La taille de l’objet peut aller de 10 x 10 cm à 60 x 80 cm et de 4 à 16 cm d’épaisseur. Un générateur embarqué est présent sur la solution, cela augmente sa capacité d’automatisation et prouve encore une fois que le Cut’nMove est autonome grâce à l’alimentation électrique autonome. L’aspirateur complète le système afin de gérer les découpes de carreaux lourds en diminuant considérablement les particules de poussières. De plus, la solution est équipée de la mise à niveau automatique qui permet le déploiement de celle-ci sur des terrains irréguliers. L’ensemble du système est commandé par une interface iPad facile à utiliser. Vous n’avez plus besoin de former vos salariés pendant de longues périodes, l’IPad est un outil de la vie de tous les jours. Pour utiliser le Cut’nMove, il vous suffit de l’accrocher à votre voiture, de le déployer et de couper, il n’a jamais été aussi facile d’effectuer ces tâches compliquées. Une utilisation simplifiée, au service de besoins changeants Cut’nMove décharge le travail de coupe des carreaux et permet de se concentrer sur l’artisanat du pavage. En automatisant le processus de coupe, il peut être réalisé en toute sécurité par une seule personne alors qu’un travail de pavage nécessite deux personnes avec la méthode traditionnelle. Cette solution permet donc de doubler votre productivité. Grâce à l’interface IPad, l’environnement de travail de vos salariés sera plus ergonomique, changeant ainsi l’image entière des chantiers. Cut’nMove vous permet de créer facilement des conceptions avancées, accélérant ainsi considérablement les tâches compliquées. Enfin, c’est un procédé sûr et silencieux qui encapsule la poussière, l’eau et les particules dans son environnement fermé, augmentant la sécurité du travail à des niveaux sans précédent, réduisant le niveau de bruit au travail et éliminant les particules de poussière provenant de la coupe processus. Pourquoi a-t-il été créé ? Cut’nMove est une solution robotique mobile révolutionnaire, la première en son genre, pour la découpe adaptative sur site de tuiles de construction. Nous avons créé Cut’nMove pour libérer les paveurs du travail fastidieux et éprouvant de la coupe de carreaux et permettre la création de motifs de carrelage avancés en appuyant simplement sur un bouton.  Il fonctionne en synchronisation avec un processus de pavage conventionnel, automatise le processus de coupe et vous permet de doubler la quantité et qualité de travail dans le même temps. Comparaison de la méthode traditionnelle au Cut’nMove Avec la méthode traditionnelle, les risques étaient nombreux : Nombre de particules de poussière élevé (14,4 mg/m3 en moyenne) Niveaux sonores élevés > 110 dB  Inconvénients pour les citoyens  Mauvaise ergonomie  Risque de blessures liées au travail Avec le Cut’nMove, les risques sont considérablement réduits : Moins de particules de poussière provenant de la coupe, en moyenne 0,212 mg/m3 Faibles niveaux sonores
Il y a 2 ans et 191 jours

Quel revêtement choisir pour une terrasse ?

Lieu privilégié pour profiter de l’extérieur d’une maison au printemps, la terrasse crée un lieu convivial ouvert sur un jardin, une piscine ou simplement sur un balcon. De nombreux matériaux sont disponibles pour sa construction, comme le carrelage, la pierre, les pavés, le béton, le gazon synthétique et le bois. Découvrez quels sont les revêtements adaptés pour tous vos espaces extérieurs.  Le bois : intemporel et traditionnel Choisir le bois pour construire une terrasse, c’est avant tout choisir un matériau chaleureux, écologique, durable et facile à travailler. Cependant, tous les bois ne peuvent pas être utilisés. Pour une terrasse, il est d’usage d’opter pour du bois résineux ou des bois exotiques.  Le bois résineux fait partie des essences de bois les moins chères du marché. Pin, mélèze ou cèdre rouge, les bois résineux sont très résistants, mais nécessitent toutefois un traitement insecticide et fongicide et un entretien régulier. Nettoyez votre terrasse en bois régulièrement.  Les bois exotiques forment le haut de gamme des essences de bois pour la réalisation d’une terrasse. Extrêmement denses et naturellement imputrescibles et résistants aux intempéries, ces bois ont une durabilité intrinsèque incomparable, c’est pourquoi ils sont si appréciés pour une utilisation en terrasse.  Le bois composite : l’alternative durable Très différent du bois naturel, on peut dire que le bois composite est un hybride entre le bois et le plastique, parfois de fibres végétales comme le chanvre ou le bambou. Contrairement aux planches en bois naturel qui peuvent être vissées, les bois composites ont des fixations avec clips. Ils peuvent être considérés comme une alternative au bois exotique, victime d’une déforestation massive.  Le bois composite semble réaliste, mais demande beaucoup moins d’entretien que le bois naturel. Il se nettoie facilement avec de l’eau et du savon noir. En prime, le bois composite est résistant au feu, de sorte que votre famille reste en sécurité. La pierre naturelle : unique et authentique Choisir la pierre naturelle, c’est choisir un matériau durable, écologique, et facile à entretenir. Fondamentalement, la pierre naturelle pour l’extérieur doit aussi être robuste, résistante aux intempéries et antidérapante.  Pierre de Bourgogne, ardoise, granit ou pierre bleue, privilégiez la pierre brossée, sablée ou striée qui sera moins glissante. Les pierres naturelles à surface rugueuse sont très appréciées pour les espaces extérieurs, notamment car il est agréable de marcher pieds nus dessus.  Pour profiter longtemps de votre sol en pierre, imperméabilisez votre terrasse pour protéger la pierre. Nettoyer régulièrement à l’eau tiède savonneuse à l’aide d’un balai-brosse, sans oublier de rincer à l’eau claire.  Le carrelage : chic et élégant La pose de carrelage sur votre terrasse améliorera non seulement l’apparence de votre espace extérieur, mais donnera également l’avantage d’un revêtement de sol durable. Pour garantir cela, il convient de respecter certaines normes.  Le classement UPEC qui correspond à la résistance à l’usure à la marche (U), au poinçonnement et chocs (P), à l’eau (E) et aux agents chimiques (C).  La norme PEI comprise entre 3 et 5 qui indique la résistance à l’abrasion, mais surtout la solidité face au gel et aux intempéries.  Norme de glissance pieds chaussés. Elle définit le degré d’adhérence des carreaux. Moins ça glisse, moins il y a de risques de chutes. Petits ou grands, en imitation pierre, en céramique (grès cérame, faïence ou tomettes) ou en ciment, il existe des carreaux de toutes les tailles et de toutes les couleurs. Attention, certains carrelages comme la faïence, restent fragiles.  Le béton : moderne et résistant Le béton est un matériau polyvalent et peu coûteux. Désactivé, drainant, fibré, imprimé ou précontraint, le béton est privilégié dans la construction des terrasses, car il résiste très bien aux conditions météorologiques extrêmes. Le béton est fait pour supporter un trafic intense, et conserve sa fière allure au fil du temps qui passe.   Son principal avantage réside dans sa pose qui ne nécessite pas de joints, ce qui empêche les mauvaises herbes de s’y installer. Et vu qu’une terrasse en béton peut se couler, les possibilités d’aménagement peuvent se faire sur mesure. Vous pouvez même changer l’apparence de la surface de votre béton, pour donner l’illusion que votre terrasse est composée de grandes dalles bétonnées. 
Il y a 2 ans et 194 jours

NOUVEAU PRIM UNIV' PLASTOR : PRÉPARER SON SUPPORT EN UN TEMPS RECORD

Un parquet peut être posé sur différents types de supports : un carrelage, un parquet existant, une chape béton, ciment, Epoxy... La préparation du support est une étape essentielle car elle va conditionner la réussite de la pose et la pérennité du parquet. Une fois les surfaces lisses, planes, propres et sèches, l'artisan a plusieurs possibilités qui s'offrent à lui en fonction de la porosité du support : poncer ou dérocher pour un sol fermé, ou trouver la bonne sous-couche pour réguler une porosité trop importante. Il terminera par appliquer une colle pour la pose de son parquet.
Il y a 2 ans et 197 jours

NOUVEAU PRIM UNIV’ PLASTOR : PRÉPARER SON SUPPORT EN UN TEMPS RECORD 

Plastor – Prim Univ’ Le primaire sablé polyvalent qui sèche en 30 minutes seulement ! Un parquet peut être posé sur différents types de supports : un carrelage, un parquet existant, une chape béton, ciment, Epoxy… La préparation du support est une étape essentielle car elle va conditionner la réussite de la pose et la pérennité du parquet. Une fois les surfaces lisses, planes, propres et sèches, l’artisan a plusieurs possibilités qui s’offrent à lui en fonction de la porosité du support : poncer ou dérocher pour un sol fermé, ou trouver la bonne sous-couche pour réguler une porosité trop importante. Il terminera par appliquer une colle pour la pose de son parquet. Pour simplifier cette étape de préparation et garantir aux artisans un chantier rapide et réussi, quel que soit le support, PLASTOR, spécialiste dans la fabrication des finitions pour la protection de sols parquet et béton, lance un nouveau primaire polyvalent pour sols poreux et fermés : PRIM UNIV’.  Hautement polyvalent, ce primaire sablé en phase aqueuse à séchage rapide a été spécialement conçu pour offrir un véritable gain de temps aux artisans sur les chantiers de pose de parquets. Plus besoin de poncer ou dérocher le carrelage existant, ou de réaliser un sablage sur une barrière anti-remontée d’humidité pour que la colle adhère, le PRIM UNIV’ élimine toutes ces étapes et remplace tous les types de primaires d’accrochage. Séchage rapide, adhérence optimale sur tous les supports Le PRIM UNIV’ Plastor pour sol est une résine sablée monocomposante en phase aqueuse qui convient en neuf comme en rénovation, en intérieur ou extérieur. Elle s’utilise avant l’application des ragréages de sols, des chapes, des mortiers-colles, des enduits mortiers.  Un primaire tout-terrain La résine qui compose le primaire PRIM UNIV’ a été spécifiquement choisie pour son accroche et son exceptionnelle dureté. En effet, elle assure une excellente adhérence des mortiers et colles à parquet sur tous les supports : carrelages, faïences, peintures de sol, peintures façade (acrylique, alkyde), béton, terre-cuite, pierre, enduits, béton cellulaire, carreau de plâtre, dalles en plastique rigide, panneaux de bois (CTBX, CTBH, OSB), chapes liquides anhydrite et ciment, et primaire Epoxy. Un gain de temps sur les chantiers Efficace, le primaire sablé PRIM UNIV’ Plastor garantit non seulement une meilleure adhérence en recouvrement mais il offre aux artisans un véritable gain de temps sur les chantiers, car il s’applique directement sur les supports poreux et non poreux. Il élimine toutes les étapes de préparation du support qui peuvent être contraignantes (odeur, poussière, bruit…) telles que la dépose de carrelage, le dérochage, le ponçage, le sablage pour l’application d’une barrière anti-remontée d’humidité base epoxy… De plus, grâce à sa formule à séchage rapide, il est recouvrable en 30 minutes ! Une pose réussie La formulation de PRIM UNIV’ limite le risque de faïençage car elle réduit le retrait des mortiers ou des enduits. En régulant la porosité des supports, elle diminue le risque de bullage. Résultat, le primaire PRIM UNIV’ limite les phénomènes qui pourraient provoquer le décollement du parquet.  Prêt à l’emploi et classé A+, le PRIM UNIV’ est simple d’utilisation et sans odeur pour un meilleur confort d’application en intérieur. Il ne nécessite pas de mélange et peut être réutilisé à tout moment.Enfin, pratique, sa couleur verte permet un contrôle visuel pendant et après application. https://www.plastor.fr
Il y a 2 ans et 207 jours

Nouveau copieur de forme multiangle pour carreleur EDMA

EDMA lance un nouveau copieur de forme multiangle : un outil indispensable pour faciliter la reprise précise d’informations d’un support à l’autre. Le nouveau copieur de forme multiangle pour carreleur EDMA simplifie la pose de carrelage. Il permet le report et le traçage fidèle et rapide de l’emplacement d’un trou avant perçage. Fonctionnel, il est muni de 6 segments coulissants de 175 mm en aluminium, gradués en cm et en inch repliables et faciles à ajuster grâce à des boutons en croix. Il peut s’adapter ainsi à différents types d’angles à transposer avant découpe. Son localisateur de 108 x 108 mm propose 5 gabarits de traçage de diamètres 25, 40, 45, 55 et 75 cm, donnant la possibilité dereproduire et tracer rapidement l’emplacement de n’importe quel trou sur des carreaux avant leur perçage. La combinaison des segments pour relever les angles et des gabarits pour reporter des trous font du copieur de forme multiangle EDMA un outil idéal pour effectuer des travaux de perçage lors de la pose de carrelage. À la fois précis, rapide et simple d’utilisation, le nouveau copieur de forme multiangle EDMA devient un incontournable dans la boite à outils des carreleurs soucieux de gagner du temps sur leurs chantiers.
Il y a 2 ans et 214 jours

Rencontre avec Rémy Montrieux, PDG de Rairies Montrieux, sur la salon Batimat 2022

Batinfo : Pouvez-vous nous présenter l'entreprise Rairies Montrieux et son histoire ?Rémy Montrieux : Rairies-Montrieux est une entreprise qui existe depuis 110 ans. Je suis à sa tête depuis les années 70 et je suis la 5ème génération de la famille à gérer l'entreprise. Du côté Montrieux, je suis la 3ème génération car l'entreprise a été créé en 1910 par mon grand-père. En 1985 nous avons racheté la briqueterie voisine appartenant au côté maternel de ma famille et de ce côté-ci j'étais la 5ème génération. Rairies Montrieux est donc une entreprise familiale, multigénérationnelle porteuse d'un savoir-faire ancré dans la tradition française.À l'origine, l'entreprise était axée sur la fabrication de tomettes et carreaux de sols rustiques en terre cuite. Dans les années 70, le marché des carrelages en terre cuite était un secteur très porteur car il y avait énormément de projets de rénovation de fermettes. Au début des années 2000 l'arrivée du mouvement minimaliste entraina un arrêt brutal du secteur. A la recherche de nouveaux débouchés, nous avons réorienté notre stratégie vers les produits de façade. Ce choix s'est avéré gagnant car aujourd'hui ces produits représentent la grande majorité de notre activité.Batinfo : Quelle est votre positionnement sur le marché aujourd'hui ?Nous produisons aujourd'hui des briques, des carreaux et des plaquettes de parement en terre cuite naturelle ou émaillées pour les sols, murs intérieurs, façades extérieures et aménagement de jardins. Nous continuons à enrichir nos gammes façades dont le succès ne s'est jamais démenti avec une croissance continue depuis leurs lancements, jusqu'à supplanter nos produits historiques et devenir notre activité principale. Cette année encore nous avons ajouté de nouvelles références à notre nuancier afin de permettre à nos clients professionnels, dont beaucoup d'architectes, de réaliser des projets toujours plus personnalisés.Batinfo : Quel est la prochaine étape pour Rairies Montrieux ?Rémy Montrieux : Nous avons évidemment beaucoup de projets pour l'avenir. Nous souhaitons par exemple continuer à moderniser nos outils de production. Nous avions fait le choix dès le départ d'utiliser des chaudières biomasse dans nos usines. L'utilisation du bois pour la cuisson, pour les tomettes et le séchage naturel, nous permet aujourd'hui de maitriser nos coûts en énergie tout en étant plus respectueux de l'environnement en réduisant au maximum la consommation d'énergie fossile.Nous avons également à cœur de travailler sur la pénibilité au travail afin de préserver la santé de nos collaborateurs.Nous allons également poursuivre nos projets sur la réduction et la valorisation de nos déchets et de nos invendus. Nous travaillons actuellement avec l'architecte Gaëtan Engasser de l'Agence Engasser & Associés spécialisé dans l'utilisation de matériaux de récupération pour réaliser des projets uniques et écoresponsables.Nous continuerons bien sur à développer nos gammes de briques de formes et nous pouvons déjà vous annoncer que nous participerons à la construction de plusieurs bâtiments pour un grand événement sportif en 2024.Notre objectif est de passer d'un chiffre-d'affaire de 12 millions d'euros aujourd'hui à 20 millions dans 4 ans.
Il y a 2 ans et 219 jours

gliss gripmineral r le traitement antiderapant special carrelage ceramique pierre

Chaque année, on recense en France plus de 450.000 chutes. Près de 10 000 personnes de plus de 65 ans décèdent chaque année des suites d’une chute. Plus de 100 000 chutes de plain-pied sont recensées dans les entreprises. La majorité de ses chutes pourraient être évitée.
Il y a 2 ans et 226 jours

EDMA lance deux types de genouillères dans sa gamme d'outils pour l'artisan carreleur

Fidèle à son objectif de procurer aux artisans un gain d'effort avec des outils particulièrement adaptés, EDMA vient de lancer deux types de genouillères destinées à apporter stabilité et protection aux carreleurs lors de leurs chantiers de pose de carrelage.
Il y a 2 ans et 231 jours

Sécheresse : comment déclarer efficacement un sinistre à son assurance ?

Ce phénomène cyclique peut fragiliser les fondations des bâtiments, mais aussi causer l’apparition de fissures importantes sur leurs murs, leurs carrelages, ou leurs plafonds. Selon leur intensité, elles peuvent représenter un réel danger pour les habitants. Si l’indemnisation des dommages causés par la sécheresse est encadrée par la loi du 13 juillet 1982 ainsi que par celle du 28 décembre 2021 relatives à l’indemnisation des victimes de catastrophes naturelles, il y a 3 conditions à remplir pour l’obtenir.Selon l’article L.125-1 du Code des assurances, il est possible d’être indemnisé d’un dommage causé par un état de sécheresse lorsque trois conditions sont remplies :La publication au Journal Officiel d’un arrêté interministériel reconnaissant un état de sécheresse ayant provoqué un phénomène de mouvements de terrain différentiels consécutifs à la sécheresse et à la réhydratation des sols dans une commune ou une région donnée. A compter de cette publication, les assurés ont 10 jours pour déclarer le sinistre à leur assureur et 2 ans pour demander une indemnisation. Il faut cependant noter que le seul fait de ne pas respecter ce délai de 10 jours n’entraîne pas la perte du droit à garantie.L’habitation doit être garantie par une assurance de dommages (incendie, dégâts des eaux, etc). Il faut savoir que si les contrats d’assurance habitation proposent plusieurs garanties, les assureurs ont l’obligation d’insérer la garantie catastrophe naturelle dite « Cat’Nat » dans leurs contrats. Elle couvre notamment les dégâts résultant d’une sécheresse. Par contre, les habitations concernées sont uniquement les résidences principales. En général, cette garantie couvre les dommages matériels directs affectant les bâtiments, les frais d’études géotechniques, ainsi que la réparation des fondations du bâtiment.Les dommages doivent avoir pour cause déterminante les conséquences de mouvements de terrain différentiels consécutifs à la sécheresse et à la réhydratation des sols. Les risques couverts sont les dommages matériels directs non assurables. Concrètement seuls les dégâts matériels engendrés par l’évènement naturel sont pris en charge.Que faire si la sécheresse n’a pas encore été reconnue par un arrêté interministériel ?Il est impératif de notifier les dommages subis par son logement à la mairie de sa commune. C’est elle qui effectuera une demande de reconnaissance d’un état de catastrophe naturelle.Quelles sont les démarches à effectuer après la déclaration ?ExpertiseUne fois le sinistre déclaré, un expert est désigné par l’assureur afin de déterminer le lien entre la sécheresse et les dégâts subis par l’habitation et d’évaluer le coût de ces dégâts. Le montant de l’indemnisation varie selon la nature des dégâts et des travaux nécessaires à la remise en état de l’habitation.DevisIl est nécessaire de faire établir un devis de réparation, une fois que l’expert d’assurance a déterminé si les fondations ont été impactées par la catastrophe, ou même avant cela, en cas d’urgence. Si la date de publication de l’arrêté de reconnaissance de l’état de catastrophe naturelle est postérieure à l’envoi du devis à l’assureur, la date de l’arrêté sera le point de départ d’un délai de trois mois pour indemnisation. En cas de non-respect de ce délai par l’assureur, il devra verser, en plus de l’indemnité contractuelle, une somme correspondant aux intérêts légaux en réparation du retard de paiement de l’indemnité.Avant d’effectuer des réparations sur le logement, il est impératif d’attendre qu’un expert de la compagnie ait pu au préalable se déplacer et constater les désordres avant de les entreprendre. Si l’urgence est caractérisée (par exemple :fuite d’eau continue), il est obligatoire de conserver les justificatifs de l’état avant travaux (un constat d’huissier pourra être utile) ainsi que les factures et bons de commande des différentes réparations effectuées afin de les transmettre à l’assureur en temps utiles.Quels changements avec la loi énergie-climat qui sera mise en application le 1er janvier 2023 ?Plus de frais seront pris en chargeÀ compter du 1er janvier 2023, les frais de relogement ainsi que les frais d’architecte et de maîtrise d’œuvre associés à la remise en état des biens, lorsqu’ils sont obligatoires, seront automatiquement inclus dans la garantie.Les délais de déclaration et d’indemnisation seront allongésLes assurés auront désormais 20 jours de plus pour déclarer un sinistre lié à une sécheresse à leur assureur, l’actuel délai légal de 10 jours suivants la parution de l’arrêté reconnaissant l’état de catastrophe naturelle au Journal Officiel étant porté à 30 jours.De même, les assurés auront 3 ans de plus pour demander une indemnisation à leur assureur, l’actuel délai étant de 2 ans.La modulation de franchise sera suppriméeActuellement, le montant de la franchise pour les sinistres résultant d’une sécheresse est fixé par la loi à 1.520 euros, sachant que ce montant est modulable, en fonction du nombre d’états de catastrophes naturelles intervenues pour le même risque au cours des 5 dernières années et si la commune de l’habitation concernée n’est pas dotée d’un plan de prévention des risques naturels prévisible pour le risque sécheresse. Ainsi, la franchise est doublée à compter de la 3e reconnaissance (soit 3.040 euros), triplée à la 4e (soit 4.560 euros) et quadruplée à la 5e (soit 6.080 euros).Ce mécanisme de modulation de la franchise sera supprimé à compter du 1er janvier 2023.Les délais d’indemnisation seront raccourcisL’indemnisation doit intervenir dans un délai de 3 mois suivant la date de remise effective de l’état estimatif des biens endommagés. À compter du 1er janvier 2023, ce délai sera réduit à un mois à compter soit de la réception de l’état estimatif transmis par l’assuré en l’absence d’expertise, soit de la réception du rapport d’expertise définitif.Que faire en cas de refus d’indemnisation de la part de l’assureur ?En cas de refus d’indemnisation pour un sinistre causé par un état de sécheresse, il est possible de faire une contestation pour obtenir une indemnisation. Dans un premier temps, il est recommandé d’entamer une négociation afin d’obtenir une solution amiable. Dans ce cadre, il est possible de se rapprocher d’un avocat spécialisé afin d’obtenir des conseils et un accompagnement durant cette procédure. Si cette négociation n’aboutit pas, il sera alors possible d’engager une procédure contentieuse en assignant l’assureur afin d’obtenir une indemnisation.A propos de Guillaume AksilAvocat en assurance depuis 12 ans, Me Guillaume Aksil dirige Lincoln Avocats Conseil depuis 2010. Titulaire d’un Master en management de l’innovation de l’Institut Mines-Télécom Business School (IMT-BS), il a fondé la plateforme indemnisation-assurance.com ainsi que plusieurs legaltech et est membre d’Avotech, première association d’avocats créateurs de legaltech.Disponibilité, rigueur et pugnacité, tels sont les maîtres mots de Me Guillaume Aksil, qui est quotidiennement guidé par le succès des affaires qui lui sont confiées. Sa phrase-clé : « pas d’excuses : des résultats ».Quotidiennement sur le terrain du contentieux assurantiel, Me Guillaume Aksil dispose d’une expertise ultra-spécifique qui lui permet de dispenser un conseil pertinent, tenant compte de toutes les dernières décisions prises en la matière.
Il y a 2 ans et 235 jours

Saint-Goblain Weber : La RSE par l’exemple

Marine Charles, directrice générale de Saint-Gobain Weber France. [©ACPresse] Chez Saint-Gobain Weber, le programme RSE est porté par le slogan “#VertEtFier”. Pour autant, afficher un emblème n’a jamais été une fin en soi. L’action doit surtout être appliquée sur le terrain. « Notre stratégie de développement durable s’articule autour de trois axes : l’offre de produits, la manière de les produire et un engagement sur des modes constructifs plus vertueux », confirme Marine Charles, directrice générale de Saint-Gobain Weber France. L’industriel a lancé nombre de démarches allant dans ce sens. Par exemple, il a fait le choix d’une électricité renouvelable. De quoi diviser par 3 les émissions de CO2 liées à l’électricité, soit une économie de 500 t/an. Autre engagement fort, l’économie de matières non renouvelables. Sur trois de ses usines (Bonneuil-sur-Marne – 94, Ludres – 54 et Nemours – 77), l’industriel utilise, à présent, des cendres de biomasse d’origines locales. Résultat : une substitution du ciment à hauteur de 15 % dans les mortiers-colles et de 30 % des fines minérales dans les mortiers et les bétons en sacs. Soit 1 700 t de matières premières économisées. Le site de Sorgues (84), lui, bénéficie d’un partenariat interne avec Saint-Gobain SEPR (industrie céramique). Ce dernier fournit son sable de moulage usagé, permettant un remplacement à 100 % de la charge minérale des mortiers produits. Réduire le gaspillage au maximum Toujours côté usines, certains process industriels ont été revus. Ludres a inauguré un système de récupération des matériaux générés lors de l’élaboration des enduits et des colles. Il s’agit des produits tombés sur les tapis, sous les ensacheuses. « A ce niveau, ce sont 145 t qui ont été réinjectées dans les produits finis en 2021. » Le site de Dissay (86), lui, a mis en place un processus permettant de réduire le volume de reliquats de chaque campagne de production. Cette initiative consiste à renvoyer le reliquat sur un seul bec d’ensacheuse au lieu de 4 auparavant, réduisant ainsi la perte globale. « Là, on parle d’une économie de 230 t/an ! » Un autre moyen de préserver la ressource est de prolonger la date limite d’utilisation des produits. Celle-ci passe à 1 an pour les produits en poudre, à 18 mois pour les enduits de façades et à 2 ans pour les colles à carrelage. Saint-Gobain Weber prend aussi soin de ses contenants. « Nous utilisons 50 % de plastique recyclé dans nos hausses, ce qui correspond à 450 t de polyéthylène vierge non utilisées et 1 000 t de CO2 non émises. » Idem pour les seaux, dont la moitié du polypropylène est issue du recyclage. Un accord de distribution exclusif Les mêmes seaux et autres sacs usagés profitent de points de collecte, grâce à un partenariat avec Rekupo. A présent, six sites Saint-Gobain Weber (Habsheim – 68, Heyrieux – 38, Ludres – 54, Mérignac – 33, Nemours – 77 et Sorgues – 84) assurent ce service. La mixité des matériaux et les nouveaux modes constructifs représentent un autre pan de la démarche engagée par Saint-Gobain Weber. Déjà, 4 systèmes d’ITE sur ossatures bois sont sous Avis technique : les webertherm XM Natura (basé sur un isolant liège), Fibre de Bois, Roche et PSE ECA. D’un point de vue esthétique, on retrouve les mêmes types de finitions minérales que sur maçonnerie. Enfin, la construction hors site laisse présager de beaux lendemains. La première étape s’appelle Tradical. « Depuis le 1er mars dernier, nous avons un accord avec le groupe Lhoist pour distribuer les produits de cette gamme », confirme Camille Fabre, nouvelle directrice stratégie et construction durable. Dans un second temps, des synergies devraient être mises en place avec des industriels de construction hors site, tant bois que béton. Des développements à suivre… Frédéric Gluzicki
Il y a 2 ans et 259 jours

Nouveau Edmalevel Screw système auto-nivelant et auto-vissant pour la pose de carrelage

En plus de la fonction auto-nivelante reconnue, le système EDMALEVEL SCREW, qui fait l’objet d’un dépôt de brevet, offre de nombreux avantages qui le rendent encore plus pratique :La tête de serrage transparente permet de conserver la visibilité du croisillon et du carreau,Cette tête de serrage est auto-vissante : une fois posée sur le croisillon et en lui donnant une simple impulsion, elle effectue elle-même la fonction de vissage sur le croisillon.Une fois la pose terminée, les croisillons se cassent très nettement d’un léger coup de pied, quel que soit le sens dans lequel est donné ce coup.Les différentes formes de croisillons de la gamme EDMALEVEL SCREW autorisent par ailleurs de multiples techniques de pose de carreaux :Croisillons linéaires pour tous les types de pose,Croisillons en croix pour les poses droites, en diagonale et les joints en croix,Croisillons en T pour les poses en chevrons, opus romain, parquets, joints contrariés et joints en croix.La gamme EDMALEVEL SCREW comprend des têtes de serrage, des croisillons de formes et d’épaisseurs différentes ainsi que deux kits de départ regroupant dans un même packaging, l’ensemble des éléments nécessaires (50 têtes de serrage + 100 croisillons linéaires) pour la pose de carreaux.Prix hors taxes indicatifs (les prix étant fixés librement par le distributeur) : Kit de départ 1 mm (Réf. 282055) ou 2 mm (Réf. : 282155) : 61 € HT Tête de serrage x 50 pièces (Réf. 281955) : 41 € HT Croisillons linéaires 1 mm (Réf. 281055) / 2 mm (Réf. 281355) / 3 mm (Réf. 281655) : 200 pièces : 21 € HT Croisillons en croix 1 mm (Réf. 281155) / 2 mm (Réf. 281455) / 3 mm (Réf. 281755) : 200 pièces : 21 € HT Croisillons en T 1 mm (Réf. 281255) / 2 mm (Réf. 281555) / 3 mm (Réf. 281855) : 200 pièces : 21 € HT Disponibles dans tous les points de vente spécialistes du métier du carreleur.
Il y a 2 ans et 261 jours

AEG lance sa gamme d'instruments de mesure laser pour les professionnels

Niveau laser croix vert CLG330-K, avec point d’aplomb et 30 m de portéeKit niveau laser CLG220-K et niveau laser croix vert CLG220-B avec une portée de 20 mNiveau laser croix rouge CLR215-B avec portée à 15 mLes lasers AEG sont destinés aux professionnels du bâtiment tout corps d’état - plaquistes, soliers, menuisiers, charpentiers, carreleurs, cuisinistes, fenêtriers… et répondent à toutes les applications sur les chantiers.Précision et simplicité d’utilisation caractérisent ces instruments de mesure offrant une haute intensité lumineuse quelles que soient leurs portées, un réglage facile et une grande fiabilité.Points communs des différents modèlesPrécis et performants, ils sont pourvus d’un nivellement automatique et d’un avertisseur visuel lorsqu’ils ne sont pas de niveau. Leur bouton de blocage de lignes est idéal pour projeter des lignes en pente (installation d’un escalier, par exemple) et assurer un transport sécurisé.Faciles à utiliser, ils disposent d’un pavé de commande intuitif pour travailler rapidement avec précision.Polyvalents, ils s’installent rapidement sur tout type de support même dans les zones les plus complexes et bénéficient d’une conception antichocs pour des conditions de travail difficiles. Ils sont équipés d’un support aimanté puissant avec molette de réglage et d’un filetage 5/8” et ¼” compatible avec les trépieds standards du marché.Robustes, les niveaux lasers AEG bénéficient de l’indice de protection IP54 pour une haute résistance aux poussières et à l’eau. Leur boîtier est recouvert de protections caoutchouc et plastiques ultra résistantes en cas de choc.Les spécificitésLes niveaux laser CLG330-K, CLG220-K et CLG220-B sont équipés d’un faisceau vert à diodes haute densité d’une portée respective de 30 m et 20 m. Le modèle CLR215-B dispose d’une optique à laser rouge pour une portée de 15 m.Selon le modèle, les lasers AEG présentent différentes fonctions de projections.Niveau laser CLG330-K, polyvalence et longue portée de travail pour une meilleure productivité sur les chantiersLe laser CLG330-K garantit une grande précision grâce à son faisceau vert haute visibilité 4 fois plus intense qu’un laser croix rouge. Les professionnels peuvent l’utiliser à l’intérieur ou à l’extérieur et quelles que soient les conditions de luminosité. Il garantit différents types de projection : ligne horizontale, 2 lignes verticales, lignes transversales et il dispose également d’un point d’aplomb pour projection du sol au plafond.Sa portée de 30 m couvre toutes les applications sur les chantiers avec une précision de +/- 0,02 mm/m.3 modes d’utilisation sont possibles : manuel, auto (horizontal/vertical) et un mode détection pour réaliser simplement tous types de projet.Il est facile d’emploi et très précis avec sa mise à niveau automatique ; la durée d’auto-nivellement est de 3 secondes et sa plage de nivellement de +/- 3°. Un avertissement visuel et sonore se met en marche si le laser n’est pas de niveau.Pratique et très polyvalent, le laser CLG330-K est équipé de pieds pliables en métal avec appuis en caoutchouc pour une bonne stabilité au sol. Autonome, il permet de travailler pendant 6 heures avec 3 piles AA et est livré avec une cible laser qui étend sa portée à 50 m, un support de fixation aimanté avec un filetage 5/8” et 1/4” compatible avec tous les trépieds ainsi qu’une bande velcro pour le fixer sur les surfaces non métalliques.Une version accessoirisée CLG220-B & une version sur-accessoirisée CLG220-K : une offre de choix pour les professionnelsLes 2 modèles projettent une ligne horizontale et verticale simultanément jusqu’à 20 mètres. La couleur verte du laser améliore 4 fois plus la visibilité dans toutes les conditions de luminosité et est idéale pour tous les chantiers.Ils garantissent une précision de 0,04 mm/m, ceci grâce à une technologie de laser vert très puissante, un bouton de blocage des lignes et une plage de nivellement de +/- 3°. Rapide, le nivellement automatique des lasers croix vert AEG CLG220-K et CLG220-B se fait en moins de 3 secondes accélérant ainsi considérablement la productivité de travail des professionnels. L’utilisateur est averti par un signal visuel lorsqu’il est hors de la plage de calage automatique. Un support mural magnétique rotatif robuste assure une utilisation sur des surfaces métalliques et peut être fixé à toute autre surface à travers un trou d’accrochage. Ils disposent également d’un filetage 5/8” et 1/4” pour un montage sur trépied.Le kit laser CLG220-K est équipé en plus d’une pince de fixation aimantée ainsi que d’une cible laser vert pour améliorer la visibilité du faisceau laser sur de longues distances.D’une grande autonomie, ces 2 lasers permettent de travailler pendant 15 heures avec 2 piles AA.Niveau laser croix rouge CLR215-B, avec portée à 15 mètresIl projette 2 lignes indépendantes avec fonctions horizontale, verticale, ligne en croix jusqu’à 15 mètres ; avec cette portée, il facilite les mesures de moyenne distance et devient l’outil de mesure idéal pour tous les travaux de pose de carrelage, de lambris, d’étagères…Un interrupteur marche/arrêt avec verrouillage pendulaire garantit un transport sécurisé.Un support mural magnétique rotatif robuste permet une utilisation sur des surfaces métalliques et une fixation à toute autre surface grâce à un trou d’accrochage. Pratique, le filetage 5/8” et 1/4” assure un montage sur tous les trépieds standards.Les lignes clignotent lorsque le laser est hors niveau afin de garantir un alignement parfait avec une précision jusqu’à +/- 0,3 mm/m.Côté praticité, polyvalence et robustesse, le niveau laser croix rouge présente les mêmes caractéristiques que les autres modèles de la gamme.Autonome, il fonctionne jusqu’à 10 heures avec 2 piles AA.
Il y a 2 ans et 290 jours

Husqvarna Constructions France présente sa nouvelle gamme de préparation de surface de sols

Grâce à l’intégration de l’offre Blastrac et HTC sous la marque Husqvarna, Husqvarna Construction France propose, aujourd’hui, la plus large gamme d’équipements pour la préparation de surface en s’appuyant sur le meilleur savoir-faire du marché. Cette triple expertise technique, associée à de nombreux services, permet à Husqvarna Construction France de répondre aux besoins des professionnels quels que soient les marchés (décontamination, sols industriels, sols décoratifs, routes et aéroports...).Avec sa nouvelle gamme élargie de machines et équipements dédiée à la rénovation, à la préparation et au polissage de surface des sols en béton, Husqvarna Construction France offre une réponse adaptée à toutes les demandes.Des rectifieuses pour niveler les sols irréguliers et enlever les revêtements mincesDe différentes tailles, la large gamme de ponceuses/ rectifieuses mono-disque d’Husqvarna Construction France (BG 250, BGS 250, PG 280, PG 400, HTC 270 EG et BB 700) convient aux supports en béton, pierre, asphalte et matériaux souples. Elles utilisent des disques à rotation horizontale pour effectuer une multitude de tâches, de la texturation légère pour ouvrir les pores de la surface à l’élimination des peintures et des revêtements.Compactes, faciles à transporter et à manœuvrer, elles sont idéales pour des chantiers de petite et grande taille.Véritable référence dans le désamiantage, la ponceuse mono- disque BG 250 est dotée d’un faible niveau de vibrations (moins de 2,5 m/s2) pour un confort idéal d’utilisation. Equipée d’un système d’entraînement spécial pour une répartition optimale de la charge, elle dispose aussi d’un système de captation à la source pour une extraction optimisée des poussières. Husqvarna Construction France propose, en option, différents disques de ponçage de diamètre 250 mm pour des applications spécifiques.Des surfaceuses pour le ponçage et le polissage de grandes surfacesLa préparation, le ponçage et le polissage des sols en béton, ainsi que la réparation et le polissage du terrazzo et d’autres pierres naturelles, constituent des tâches exigeantes. Que ce soient pour les sols industriels et décoratifs ou pour les marchés de la décontamination (retrait d’amiante ou de peinture au plomb) et de la démolition, la large gamme de surfaceuses à trois têtes, de différentes tailles, d’Husqvarna Construction France garantit des résultats parfaits, reconnus des professionnels.Elles sont, pour certaines, équipées de trois plateaux porte- outils, ce qui permet à la tête de ponçage de suivre en douceur les irrégularités des sols.Conçue pour réaliser la finition de surfaces horizontales de grandes dimensions, la surfaceuse à trois têtes BMG 780RC est télécommandée. Elle est équipée en standard d’un variateur de vitesse. La poignée de direction réglable (4 positions) comprend un panneau de commande indiquant toutes les informations pertinentes (Ampères, Volt, ...). Elle possède un pack batterie 24 V et deux moteurs électriques intégrés pour un déplacement autonome sur le chantier.Des raboteuses pour niveler les grandes surfaces ou enlever des revêtements épaisPour la mise à niveau de surfaces inégales en béton, asphalte et pierre ou pour enlever d’anciens revêtements épais, la gamme est composée de 8 raboteuses de différentes tailles dont une scieuse rainureuse électrique, première machine télécommandée du marché. Le principe de fonctionnement des raboteuses est simple : l’utilisation d’un tambour rotatif sur lequel une variété de différents outils (molettes, fraises) sont fixés sur des axes. Situé à l’intérieur du châssis, le tambour génère, une fois la machine en marche, une force centrifuge qui «projette l’outil sur la surface à traiter induisant ainsi une action coupante mécanique. Manuelles ou télécommandées, toutes les raboteuses Husqvarna Construction France sont équipées d’un système de réglage précis de la profondeur de rainurage.La BMP 335 est une nouvelle fraiseuse électrique à usage intensif. Elle est parfaitement adaptée aux besoins de rabotage les plus exigeants. Son poids élevé (430 kg sans le tambour) lui permet de générer une meilleure efficacité de travail. Grâce à un système d’entraînement électrique, elle évite à l’opérateur d’avoir un contact permanent avec la poignée, ce qui la rend facilement manœuvrable. De plus, le carter du tambour, cerné de joints anti-poussière, est monté dans le châssis par des silent blocs pour réduire le niveau de vibration (3,1 m/s2).Des décolleuses de sol pour l’enlèvement de revêtements posés ou collésHusqvarna Construction France propose une gamme complète de 4 machines, dont 3 modèles totalement électriques (BS 75, BS 110, BSM 150) et 1 avec batterie (BMS 220ADB), ainsi que des outils de curage pour la dépose des revêtements de sol collés et souples (linoléum, moquette, dalles vinyle, carrelage, parquet, revêtement bitumineux, ...). De la petite mais puissante décolleuse à pied à l’unité autoportée à usage intensif, il existe une solution Husqvarna pour répondre à tous les besoins des locaux commerciaux, industriels ou privés. Toutes les lames Husqvarna sont fabriquées à partir de matériaux et de composants de la meilleure qualité pour assurer une durée de vie et des performances optimales aux décolleuses.La décolleuse de sol BMS 150 autoportée est parfaitement adaptée aux chantiers de taille moyenne à importante. Totalement électrique, elle est dotée d’un câble d’alimentation auto-rétractable de 25 mètres et dispose d’un bras porte-câble rotatif. Facile à manœuvrer grâce à un joystick de contrôle à portée de main, un réglage de l’angle de la lame et des pneus non marquants, elle est en plus très compacte.Des chantiers propres et sûrsAfin de garantir un chantier propre et réduire l’exposition des opérateurs à d’éventuelles substances nocives telles que la silice cristalline, toutes les machines dédiées à la préparation de surface des sols peuvent être raccordées à un aspirateur Husqvarna qui capte la poussière à la source.Des services associésPartenaire de confiance des professionnels de la préparation de surface des sols, Husqvarna Construction France met à leur disposition, en complément de sa gamme élargie d’équipements, une série de services destinés à faciliter leur quotidien :Husqvarna Fleet ServicesTM, système de connectivité embarquée qui collecte et affiche des analyses de données détaillées sur l’état de la machine : temps d’utilisation, suivi entretien, ... autant d’indicateurs permettant de gérer facilement et à distance la maintenance de l’appareil.Upcare, contrat d’entretien à prix fixe.TotalCare, combine les solutions Husqvarna Fleet Service et Upcare avec une solution de financement Husqvarna Financial Services pour être certain de travailler en toute tranquillité.Grâce à ses centres services Husqvarna et son réseau de partenaires distributeurs réparateurs agréés sur l’ensemble du territoire national, Husqvarna Construction France assure, en plus, la mise en service, l’assistance technique et la maintenance.Avec cette nouvelle offre étendue dédiée à la préparation de surface des sols qui inclut également des solutions pour le grenaillage, Husqvarna Construction France entre dans une nouvelle dimension en proposant la plus large gamme de solutions et services et le meilleur savoir-faire du secteur.
Il y a 2 ans et 311 jours

VM dévoile la vitrine de son nouveau concept « VM LE SHOW-ROOM »

VM, activité négoce du groupe HERIGE, franchit un nouveau cap dans son plan de transformation avec la concrétisation de l’un de ses objectifs majeurs : la modernisation de ses points de vente. Il a ainsi totalement réinventé son concept de salle d’exposition carrelage désormais baptisé « VM le show-room », véritable innovation dans l’univers du […]
Il y a 2 ans et 331 jours

La tuilerie Aléonard a 150 ans

Créée en 1872 à Pontigny par Jules Aléonard, l’entreprise de tuiles, carrelages et briques a su s’adapter à l’ensemble des révolutions industrielles du XXe siècle. La fin de la première guerre mondiale est un tournant pour l’entreprise Aléonard puisque les dégâts de la guerre nécessitent des efforts considérables en matière de reconstruction. C’est ainsi que l’emblématique tuile Monuments Historiques voit le jour pour une première rénovation historique celle de l’Abbaye de Pontigny. Rachetée par le groupe Koramic en 1997, la marque Aleonard entre dans le giron de Wienerberger et se recentre sur la production de tuiles uniquement. L’usine de Pontigny (89) est située dans le département de l’Yonne à 25 km d’Auxerre. D’une superficie totale de 45 300 m2, la tuilerie Aléonard emploie 38 personnes réparties sur deux unités de production et garantes d’un savoir-faire ancestral permettant de sublimer les toitures d’édifices historiques telles que les églises ou cathédrales, rénover d’anciennes bâtisses ou de réaliser des constructions neuves au caractère unique. Le site de Pontigny présente aujourd’hui une production annuelle de 5,4 millions de tuiles par an réparties en plusieurs modèles : Saint Vincent, Pontigny, Patrimoine et Monuments Historiques. Afin de faire face à l’accroissement de la demande, Wienerberger France investit, en 2000, dans une nouvelle unité de production (tuiles filées, fours et séchoirs cellules) pour l’usine de Pontigny. Signe que depuis toutes ces années, Aléonard est devenue une marque symbole du savoir-faire français reconnue et appréciée au niveau international, national et régional, Marie-Guite Dufay, Présidente de la région Bourgogne Franche Comté, et Patrick Gendraud, Président du département de l’Yonne, ont fait le déplacement à Pontigny pour venir célébrer les 150 ans du site.
Il y a 2 ans et 331 jours

Rajeunir, magnifier , donner une deuxième vie aux matériaux poreux ternes et farineux avec le Polytrol

PVC, tomettes, composites... ces matériaux qui habillent meubles, sols, gouttières, portes, … sont poreux par nature ou le deviennent avec le temps. Lorsque ce stade est atteint, leur aspect devient terne, farineux : ils perdent tout leur éclat et leur couleur et la décision de s'en débarrasser n’est pas loin… Il existe néanmoins des solutions pour donner une deuxième chance à tous ces ouvrages.Pourquoi le PVC vieillit mal sous les UV et les agressions climatiques ? Au fil des ans, sous l’action de l’oxygène, de l’eau et de la lumière de multiples microcavités se forment à la surface du plastique. Devenu poreux, le plastique perd son éclat, sa couleur ternit : elle se « perd », se « dilue » dans les cavités.Et la pierre ? De même, la pierre s’use sous l’effet de l’abrasion des passages répétés et devient de plus en poreuse car les microcavités présentes dans la pierre naturellement s’agrandissent. C’est la raison pour laquelle les tomettes deviennent ternes au cours du temps.Le principe est le même avec les parties métalliques polies ou chromées de certains supports (cycles en particulier) qui avec l’usure due à leur utilisation plus ou moins intensive, perdent leur éclat. Il faut donc trouver une solution qui permette de combler ces cavités afin d'arrêter le process et en même temps de redonner de l’éclat à tous ces supports.Dans cette optique, Durieu a mis au point le POLYTROL® dont la formulation fait presque des miracles ! Plastiques ternes, pierres vieillies, métaux polis ou chromés : il ressuscite aussi bien le mobilier de jardin que les gouttières PVC, les tableaux de bord de voiture, les parties PVC ou métal des cycles, les sols...Explications :À base de RUSTOL-OWATROL®, le POLYTROL® possède des propriétés mouillantes exceptionnelles qui vont redonner de la couleur instantanément grâce à un effet mouillé immédiat sur l’ouvrage mais surtout qui lui permettent d’agir de l’intérieur et d’assurer une protection durable. Au-delà de l’effet « mouillé », le POLYTROL® agit en profondeur dans le support. Il procède ainsi à une véritable restauration de la couche superficielle des plastiques, de la pierre ou des métaux polis ou chromés.Comment ?À la manière d’une crème cicatrisante, riche en résines, le POLYTROL® comble toutes les microcavités (nées de l’usure et des agressions climatiques) du support où il est appliqué. En plus de lui redonner de l’éclat, il l’imperméabilise, lui assure une excellente protection dans la durée et facilite son entretien car les saletés s’accrochent moins sur les ouvrages protégés avec le POLYTROL®.Le secret : grâce sa composition ultra technique, le POLYTROL® pénètre en profondeur et remplit toutes les microcavités du support avec ses résines. Grâce à leur effet miroir, les résines font ressortir la couleur et remettent à neuf l’aspect de tous les ouvrages en matériaux poreux ternis. • Le plus : avec une application soignée, le POLYTROL® ne dépose pas de film en surface évitant ainsi tout risque d’écaillage.Cure de jouvence : POLYTROL® by OWATROL® ou la deuxième vie des matériaux poreux ternis, PVC, pierres, chromes... !Fiche technique POLYTROL*Description produit : Rénovateur de couleurs pour plastiques, pierre, métal, ciment, carrelage…Propriétés :Restaure le brillant et assure la protection des métaux polis ou chromés : alu, chrome, laiton, bronze...Ravive la teinte et l’aspect des plastiques et gelcoats ternis (pare-chocs autos, coques de bateaux, meubles de jardin, volets).Régénère marbres, carrelages, pierres tombales, ardoises, terres cuites, dalles dont la coloration s’est altérée avec le temps.Redonne de l’éclat aux peintures et vernis ayant souffert des intempéries.Ne contient pas de silicone.Destinations :Maison / Sol / Huisserie : Carrelages, tomettes, marbres, ardoises, alu des baies vitrées, vérandas, peintures et vernis, laiton, bronze...Extérieur / Jardin : Meubles de jardin, volets, portillons, dalles, pierres tombales, terrescuites...Moto : Plastiques...Auto : Chrome, enjoliveurs, pare-chocs, tableaux de bord...Marine : Coque de bateau...
Il y a 2 ans et 333 jours

Préparation de surface des sols : Husqvarna Constructions France entre dans une nouvelle dimension

La bonne préparation de surfaces des sols en béton est essentielle à la réussite d’un projet et à l’application ultérieure d’un revêtement. En fonction de l’état de surface souhaité et du revêtement à poser, il existe plusieurs méthodes – ponçage, grenaillage, fraisage, rabotage – nécessitant l’utilisation de différentes machines. Grâce à l’intégration de l’offre Blastrac et HTC sous la marque Husqvarna, Husqvarna Construction France propose, aujourd’hui, la plus large gamme d’équipements pour la préparation de surface en s’appuyant sur le meilleur savoir-faire du marché. Cette triple expertise technique, associée à de nombreux services, permet à Husqvarna Construction France de répondre aux besoins des professionnels quels que soient les marchés (décontamination, sols industriels, sols décoratifs, routes et aéroports…). Avec sa nouvelle gamme élargie de machines et équipements dédiée à la rénovation, à la préparation et au polissage de surface des sols en béton, Husqvarna Construction France offre une réponse adaptée à toutes les demandes. Des rectifieuses pour niveler les sols irréguliers et enlever les revêtements minces De différentes tailles, la large gamme de ponceuses/ rectifieuses mono-disque d’Husqvarna Construction France (BG 250, BGS 250, PG 280, PG 400, HTC 270 EG et BB 700) convient aux supports en béton, pierre, asphalte et matériaux souples. Elles utilisent des disques à rotation horizontale pour effectuer une multitude de tâches, de la texturation légère pour ouvrir les pores de la surface à l’élimination des peintures et des revêtements. Compactes, faciles à transporter et à manœuvrer, elles sont idéales pour des chantiers de petite et grande taille. Véritable référence dans le désamiantage, la ponceuse mono- disque BG 250 est dotée d’un faible niveau de vibrations (moins de 2,5 m/s2) pour un confort idéal d’utilisation. Equipée d’un système d’entraînement spécial pour une répartition optimale de la charge, elle dispose aussi d’un système de captation à la source pour une extraction optimisée des poussières. Husqvarna Construction France propose, en option, différents disques de ponçage de diamètre 250 mm pour des applications spécifiques. Des surfaceuses pour le ponçage et le polissage de grandes surfaces La préparation, le ponçage et le polissage des sols en béton, ainsi que la réparation et le polissage du terrazzo et d’autres pierres naturelles, constituent des tâches exigeantes. Que ce soient pour les sols industriels et décoratifs ou pour les marchés de la décontamination (retrait d’amiante ou de peinture au plomb) et de la démolition, la large gamme de surfaceuses à trois têtes, de différentes tailles, d’Husqvarna Construction France garantit des résultats parfaits, reconnus des professionnels. Elles sont, pour certaines, équipées de trois plateaux porte- outils, ce qui permet à la tête de ponçage de suivre en douceur les irrégularités des sols. Conçue pour réaliser la finition de surfaces horizontales de grandes dimensions, la surfaceuse à trois têtes BMG 780RC est télécommandée. Elle est équipée en standard d’un variateur de vitesse. La poignée de direction réglable (4 positions) comprend un panneau de commande indiquant toutes les informations pertinentes (Ampères, Volt, …). Elle possède un pack batterie 24 V et deux moteurs électriques intégrés pour un déplacement autonome sur le chantier. Des raboteuses pour niveler les grandes surfaces ou enlever des revêtements épais Pour la mise à niveau de surfaces inégales en béton, asphalte et pierre ou pour enlever d’anciens revêtements épais, la gamme est composée de 8 raboteuses de différentes tailles dont une scieuse rainureuse électrique, première machine télécommandée du marché. Le principe de fonctionnement des raboteuses est simple : l’utilisation d’un tambour rotatif sur lequel une variété de différents outils (molettes, fraises) sont fixés sur des axes. Situé à l’intérieur du châssis, le tambour génère, une fois la machine en marche, une force centrifuge qui «projette l’outil sur la surface à traiter induisant ainsi une action coupante mécanique. Manuelles ou télécommandées, toutes les raboteuses Husqvarna Construction France sont équipées d’un système de réglage précis de la profondeur de rainurage. La BMP 335 est une nouvelle fraiseuse électrique à usage intensif. Elle est parfaitement adaptée aux besoins de rabotage les plus exigeants. Son poids élevé (430 kg sans le tambour) lui permet de générer une meilleure efficacité de travail. Grâce à un système d’entraînement électrique, elle évite à l’opérateur d’avoir un contact permanent avec la poignée, ce qui la rend facilement manœuvrable. De plus, le carter du tambour, cerné de joints anti-poussière, est monté dans le châssis par des silent blocs pour réduire le niveau de vibration (3,1 m/s2). Des décolleuses de sol pour l’enlèvement de revêtements posés ou collés Husqvarna Construction France propose une gamme complète de 4 machines, dont 3 modèles totalement électriques (BS 75, BS 110, BSM 150) et 1 avec batterie (BMS 220ADB), ainsi que des outils de curage pour la dépose des revêtements de sol collés et souples (linoléum, moquette, dalles vinyle, carrelage, parquet, revêtement bitumineux, …). De la petite mais puissante décolleuse à pied à l’unité autoportée à usage intensif, il existe une solution Husqvarna pour répondre à tous les besoins des locaux commerciaux, industriels ou privés. Toutes les lames Husqvarna sont fabriquées à partir de matériaux et de composants de la meilleure qualité pour assurer une durée de vie et des performances optimales aux décolleuses. La décolleuse de sol BMS 150 autoportée est parfaitement adaptée aux chantiers de taille moyenne à importante. Totalement électrique, elle est dotée d’un câble d’alimentation auto-rétractable de 25 mètres et dispose d’un bras porte-câble rotatif. Facile à manœuvrer grâce à un joystick de contrôle à portée de main, un réglage de l’angle de la lame et des pneus non marquants, elle est en plus très compacte. Des chantiers propres et sûrs Afin de garantir un chantier propre et réduire l’exposition des opérateurs à d’éventuelles substances nocives telles que la silice cristalline, toutes les machines dédiées à la préparation de surface des sols peuvent être raccordées à un aspirateur Husqvarna qui capte la poussière à la source. Des services associés Partenaire de confiance des professionnels de la préparation de surface des sols, Husqvarna Construction France met à leur disposition, en complément de sa gamme élargie d’équipements, une série de services destinés à faciliter leur quotidien : • Husqvarna Fleet ServicesTM, système de connectivité embarquée qui collecte et affiche des analyses de données détaillées sur l’état de la machine : temps d’utilisation, suivi entretien, … autant d’indicateurs permettant de gérer facilement et à distance la maintenance de l’appareil. • Upcare, contrat d’entretien à prix fixe. • TotalCare, combine les solutions Husqvarna Fleet Service et Upcare avec une solution de financement Husqvarna Financial Services pour être certain de travailler en toute tranquillité. Grâce à ses centres services Husqvarna et son réseau de partenaires distributeurs réparateurs agréés sur l’ensemble du territoire national, Husqvarna Construction France assure, en plus, la mise en service, l’assistance technique et la maintenance. Avec cette nouvelle offre étendue dédiée à la préparation de surface des sols qui inclut également des solutions pour le grenaillage, Husqvarna Construction France entre dans une nouvelle dimension en proposant la plus large gamme de solutions et services et le meilleur savoir-faire du secteur. http://www.husqvarnacp.com/fr
Il y a 2 ans et 338 jours

Comment financer ses travaux de rénovation ?

  Vous envisagez d’entamer des travaux coûteux mais ne savez pas comment les financer ? Entre le budget à établir, les coûts des imprévus, le financement et les différentes aides de l’Etat, nous allons tenter d’y voir plus clair et de vous aider à financer vos travaux. Bien budgéter ses travaux Pendant la phase de recherche du ou des artisans qui réaliseront votre chantier, il est important de porter une attention forte aux devis qui vous seront transmis. Il faudra veiller à ce que les devis soient comparables entre eux, et permettent de bien distinguer les coûts liés à la main-d’œuvre de ceux liés à la fourniture des matériaux. Vérifiez bien que vous êtes en accord avec le type de matériaux sélectionnés. Le prix d’un simple radiateur peut aller d’une centaine d’euros à plus de 1000€ pour les plus design et les plus qualitatifs. Idem pour les interrupteurs, qui vont de 5 à 150€. Selon les matériaux choisis, la facture finale peut être bien différente de celle affichée initialement. Il est donc important de bien regarder le devis et de valider chaque matériau en fonction de ce que vous souhaitez. Beaucoup d’artisans n’indiquent pas spontanément le détail, n’hésitez pas à insister pour l’obtenir. Une fois cette étape réalisée, vous avez a priori une vision exhaustive du coût du chantier. Ceci étant, il est tout de même fortement recommandé de prévoir une enveloppe un peu plus grosse que le montant affiché dans les devis. Pourquoi ? Car les chantiers réservent toujours des surprises une fois les travaux commencés : découverte d’une plomberie en piteux état, d’une dalle abimée au sol, de poutres fissurées qu’il faut changer, découverte d’un joli parquet après dépose du carrelage existant…. Ces découvertes en cours de chantier sont rarement de bonnes nouvelles d’un point de vue budgétaire et génèrent des surcoûts parfois importants par rapport au budget initial. C’est pourquoi il est recommandé de prévoir un budget de 10% supérieur à celui du prix des travaux, afin de faire face à ce type d’imprévus sans chambouler le plan de financement du projet. Voilà, le budget est établi, passons maintenant au financement des travaux. Le financement Pour boucler le plan de financement d’un projet de travaux, quel qu’en soit le budget, vous avez la possibilité de recourir à 3 types de financements : La première possibilité consiste à mobiliser son épargne pour financer tout ou partie de son projet. Actuellement, compte tenu du contexte d’inflation il peut être assez judicieux de « consommer » son épargne dans un projet de rénovation. Ceci étant, mieux vaut maintenir une épargne de précaution en cas de coup dur. La seconde possibilité consiste à demander une aide ponctuelle à ses parents par exemple. Cette aide peut être formalisée à l’aide d’une reconnaissance de dettes et devra par ailleurs être déclarée à l’administration fiscale pour toute somme supérieure à 5.000€. Troisième possibilité, le recours à l’emprunt auprès d’une banque ou d’un établissement financier. Dans ce cas, vous pourrez opter par exemple pour un prêt personnel travaux qui permet de financer l’ensemble des travaux de rénovation ou d’amélioration d’un logement. En France, les taux des prêts personnels comptent parmi les plus faibles d’Europe car la concurrence est forte sur le marché national. Il est donc fortement recommandé de faire jouer la concurrence entre les banques pour obtenir la meilleure offre de financement. Fort heureusement, pour comparer les offres, il n’est pas nécessaire de faire les démarches auprès de chacune des banques. Il existe des outils en ligne gratuits qui permettent de comparer les offres d’un seul coup. C’est le cas de CheckmonCredit.fr, un comparateur de crédit en ligne qui analyse les taux d’intérêts de 30 banques, assurances et organismes de crédit. Il suffit de renseigner le type de crédit, travaux en l’occurrence, le montant et la durée de remboursement. A vous ensuite de sélectionner la banque ou la société proposant le taux d’intérêt le plus faible. Par ailleurs, les banques peuvent proposer des taux préférentiels pour certains projets lorsqu’ils ont vocation notamment à améliorer la performance énergétique du logement. C’est par exemple le cas de certaines offres de prêt personnel Boursorama Banque destinées au financement de projets éco-responsables et font bénéficier leurs clients d’un taux réduit de 10% par rapport au taux en vigueur dans ce cas. D’autres banques proposent également des taux préférentiels sur les projets ayant un impact positif sur l’environnement, n’hésitez donc pas à les demander. Pour les travaux de rénovation avec un coût élevé, cela peut générer de belles économies. Enfin, il existe des aides de l’Etat pour financer ses travaux de rénovation. Cela concerne là encore les projets destinés à l’amélioration de la performance énergétique du logement. Avant de solliciter ces aides, il convient de tester l’éligibilité de son projet sur le site : https ://france-renov.gouv.fr/aides. Ce test permet également de préciser le montant auquel vous pouvez avoir droit. Les aides peuvent prendre différentes formes. Par exemple, Ma Prime Renov’ est une enveloppe financière qui concerne les logements de plus de 15 ans tandis que l’Eco prêt à taux 0 est un prêt à taux bonifié, à rembourser sur une durée maximum de 20 ans, délivré par les banques mais dans le cadre d’un dispositif mis en place par l’Etat. L’Eco prêt à taux 0 est accessible à tous, le montant ne doit cependant pas dépasser 50 000€ et le logement doit avoir été construit depuis plus de 2 ans. Ces aides allègent pas mal la facture donc profitez-en. L’amélioration de la qualité énergétique des logements est un enjeu considérable dans la perspective du changement climatique et l’Etat a mis en œuvre des moyens importants pour inciter les particuliers à s’engager dans la rénovation de leur logement. Les banques et établissements financiers lui ont également emboîté le pas avec des offres dédiées. Et même si votre projet n’est pas directement lié à l’amélioration de la performance énergétique, des solutions de financement existent pour le mettre en œuvre. Et si c’était le bon moment pour réaliser vos projets de rénovation ?
Il y a 2 ans et 339 jours

Idéobain 2022 : lieu de toutes les réponses aux besoins des professionnels de la salle de bains

Une édition prometteuseOrganisé à Paris Expo Porte de Versailles (Hall 2) de, du 3 au 6 octobre prochain, IDÉOBAIN est le lieu de convergence physique de tous les acteurs du secteur. L’édition 2022, qui s’annonce comme prometteuse pour le business, l’innovation et la convivialité, enregistre une participation forte des acteurs et leaders du marché avec 95 exposants, dont 66% d’exposants internationaux, prêts accueillir les visiteurs et leur présenter leurs innovations et nouvelles solutions. Parmi les exposants, on compte 39 nouveaux arrivants et 56 retours. 74% de la surface d’exposition est ainsi déjà vendue.Le carrefour des métiers de la salle de bainsRendez-vous de référence des professionnels du secteur de la salle de bains, IDÉOBAIN est le lieu où tous les acteurs peuvent trouver les produits répondant aux attentes des clients finaux des secteurs du logement, du tertiaire, des établissements recevant du public etc.Au-delà de l’offre de solutions proposée par les exposants, les différents profils de visiteurs du salon (installateurs, bainistes, vendeurs de salles d’exposition, architectes, décorateurs et maîtres d’ouvrage...) bénéficieront des temps forts et actions inédites imaginés par IDÉOBAIN pour leur permettre de trouver les réponses aux défis actuels et futurs du secteur de la salle de bains.1. Un lieu unique d’inspirationL’Espace Créateurs est un espace de rencontres des industriels, mis en place en 2019, qui a vocation à influencer les tendances de la décoration grâce à l’innovation ou à des collaborations artistiques remarquées. Il est construit autour de marques exclusives et de spécialistes de projets haut de gamme. À date, la majorité des exposants de 2019 se sont déjà réinscris comme Aquaelite, Bongio, Herbeau, Idea Group, ou encore Winckelmans. À leurs côtés, de nombreuses nouvelles marques font leur apparition comme Alpi, Burgbad, Burlington, Ceresa Spa Keuco et Laufen.2. Un programme de conférences richePrès de 15 conférences sont d’ores et déjà programmées avec un tiers d’expertises techniques, un tiers de formation et un tiers destiné à l’architecture et à l’aménagement extérieur. Le programme précis sera disponible sur le site IDÉOBAIN à partir de la fin du mois de mai.3. Des démonstrations produitsPrès de 50 stands présenteront des démonstrations de produits sur des espaces dédiés. Un parcours thématisé et en autonomie permettra de découvrir toutes ces démonstrations. Pour promouvoir en amont du salon ce nouveau dispositif, des influenceurs seront amenés à réaliser tous les mois une vidéo sur une des démonstrations prévues. Ces vidéos seront relayées sur les réseaux sociaux à partir du mois de juin.4. Valoriser les savoir-faire et les compétencesL’AFISB animera un espace Métiers, Formation & Compétences.Après plusieurs années de gestation, la Salle de Bains Académie sera lancée sur le prochain salon Idéobain (3 au 6 octobre 2022), avec des compétences qui s’articuleront autour de 4 grands piliers : la plomberie, le carrelage, l’électricité et la maçonnerie. Son ambition : faire connaître toutes les formations initiales et continues pour améliorer les compétences des professionnels du secteur.Toute la semaine, dans le cadre de l’Académie de la Salle de Bains, des speed-dating permettent à des formateurs, des installateurs et des concepteurs-vendeurs de se rencontrer. En outre, l’AFISB fera un focus sur les Salles de Bains Remarquables, qui récompensent les innovations du secteur. Le palmarès de la 6ème édition sera dévoilé le 9 mai, à l’occasion des Etats Généraux de la Salle de Bains. Les 12 projets récompensés seront présentés lors du prochain salon.IDÉOBAIN se mobilise pour faire venirPlus que jamais, IDÉOBAIN met tout en œuvre pour permettre à l’ensemble des professionnels de participer à cet événement majeur pour la filière. Le salon propose aux distributeurs et négociants de mettre à leur disposition des bus pour accompagner leurs clients sur le salon. Plus de 3.200 professionnels seront ainsi transportés vers Paris depuis différentes villes : Tours, Blois, Bourges, Vierzon, Orléans, Le Mans, Chartres, Le Havre, Evreux, Dreux, Rouen, Beauvais, Auxerre, Montargis, Troyes, Sens, Reims, Epernay, Lille, Lens, Amiens, Compiègne, Caen...
Il y a 2 ans et 340 jours

POINT.P ÉTOFFE son expertise carrelage à ALBI (81) avec l’acquisition d’un point de vente sup caro

POINT.P, négoce généraliste et multi spécialiste et enseigne principale de Saint-Gobain Distribution Bâtiment France, vient de finaliser l’acquisition du point de vente SUP CARO d’Albi. Située plus précisément sur la commune de Puygouzon, cette agence compte 5 collaborateurs. Elle est spécialisée en carrelage, aménagement extérieur, parquet et sanitaire.  « Cette acquisition renforce nos positions sur […]
Il y a 2 ans et 341 jours

Les différentes étapes essentielles pour réussir votre ravalement de façade

Pour mener à bien vos travaux de ravalement, vous devez effectivement prendre soin de respecter la succession des différentes tâches indiquées avant d’obtenir une belle façade. Dans cette optique, le mieux est de faire appel à un façadier expérimenté pour avoir l’assurance que votre projet soit couronné de succès. En effet, cette pratique nécessite la maîtrise des compétences spécifiques pour déterminer les traitements adaptés en vue de rafraîchir votre façade et lui rendre son bel aspect esthétique. De plus, ce type d’intervention requiert la mobilisation d’outils dédiés et la mise en place de dispositif sécuritaire, étant donné qu’il s’effectue en hauteur. Assimiler les principes de base pour obtenir un résultat exceptionnel Dans la pratique, un ravalement de façade est le meilleur moyen de redonner à votre devanture une belle esthétique en rénovant vos murs. Cependant, cette pratique doit être exécutée en tenant compte du plan local d’urbanisme (PLU) en vigueur dans votre commune, afin de préserver le style architectural régional. De plus, une intervention menée efficacement vous permet également de garantir par la même occasion sa pérennité en assurant la protection de votre construction contre les sources de dégradation. A savoir : Les intempéries, La pollution du climat et de l’air… Autrement, il est important de souligner qu’il s’agit d’une obligation légale et que vous êtes tenu de solliciter l’expertise d’un ravaleur confirmé pour sa prise en charge. En effet, un ravalement de façade exige la maîtrise des compétences spécifiques, afin de pallier le défaut d’étanchéité de votre revêtement et d’assurer l’isolation de votre devanture. Prendre connaissance des 4 phases indispensables Avant de commencer votre chantier, le diagnostic constitue la première étape que le ravaleur de façade réalisera, afin de détecter précisément l’étendue des interventions nécessaires. Il s’agit notamment d’un point majeur, car il vous donne la possibilité d’évaluer en conséquence le coût global des travaux à engager. Par la suite, votre prestataire procèdera à la préparation de votre chantier après avoir estimé les grandes lignes de votre plan, à l’instar de : type de revêtement adapté à votre besoin (peinture ou crépi), devis de l’opération, durée du projet… Dans cette optique, il installera des échafaudages pour la sécurisation du chantier et pour la protection du sol en étendant des bâches sur la surface. Pour passer à la prochaine étape, avant d’appliquer votre nouveau revêtement, le professionnel entreprendra au préalable le nettoyage de votre façade. Pour ce faire, il s’organise pour décontaminer la peinture défraîchie et utiliser la technique de décapage thermique ou chimique, afin de parfaire son intervention. Il fera notamment les réparations qui s’imposent et pour finit il engagera la dernière étape qui consiste à poser l’habillage sélectionné au préalable : enduit, carrelage, Pour résumer, les travaux de ravalement ne permettent pas uniquement de redonner plus de fraîcheur à votre devanture et d’améliorer son aspect esthétique. En effet, cette intervention spécifique vous offre notamment l’opportunité d’optimiser la protection de votre édifice contre les risques de détérioration majeures. Dans cette optique, vous devez faire appel à un façadier expérimenté comme sur ce site : https://www.facadier-peintre-30.fr/facadier-ravalement-facade-nimes-30000 afin de réussir à mener à bien votre chantier.
Il y a 2 ans et 350 jours

Interview de Jean-Pierre Guallarano, Président de Créazur France

Batinfo : Pouvez-vous nous présenter Créazur France ?Jean-Pierre Guallarano : CREAZUR France est concepteur-distributeur d’articles de salles de bain et de kitchenettes destinés à 3 canaux de distribution essentiels : la promotion immobilière par des prescriptions ou des référencements auprès de promoteurs immobiliers nationaux, la vente en ligne en B2C sur www.cuisibane.com et la vente en ligne en B2B sur www.creazurpro.com.Nous avons choisi d'être concepteurs en plus de distributeurs parce que plus de 80% de nos produits sont conceptualisés dans notre bureau R&D et disposent pour la plupart de brevets ou de propriétés industrielles.Nous distribuons de nombreuses familles de produits telles que les plans vasques et vasques en résine de synthèse, les receveurs de douche extra plat en résine allégée, les meubles de salles de bains, les miroirs éclairants à LED, les parois de douche, les DOUCH’ETANCH, concept de remplacement de baignoire par une douche en une journée, la robinetterie et les kitchenettes avec planiquartz (plan de travail monobloc avec évier moulé).Nous stockons nos produits dans nos dépôts 40.000 m3 et bientôt, fin 2022, 60.000 m3. Ce volume de stockage nous permet de répondre à un besoin de stocks permanents pour assurer des livraisons à nos clients sous 3 à 4 jours.Notre entreprise connaît des croissances importantes à deux chiffres chaque année et compte actuellement 30 salariés.Batinfo : Quelles sont les innovations faites par Créazur France ?Jean-Pierre Guallarano : Elles sont nombreuses et très différenciantes par rapport à la distribution classique. Forts d’une longue expertise de l’équipe dirigeante sur l’activité de « fourniture et pose » d’abord, et maintenant de distributeur uniquement, notre objectif a toujours été de concevoir des produits de qualité et de durabilité au meilleur prix avec des conceptions permettant des gains de productivité sensibles à la pose.Pour n’en citer que quelques-unes, nous avons par exemple imaginé il y a 10 ans le vidage du « trop plein moulé » pour nos vasques et certains éviers. Nous avons été aussi les précurseurs de l’augmentation sensible de 8 à 12 cm des vides sanitaires à l’arrière des meubles de salle de bain pour permettre un confort de pose.Nous avons également conçu il y a près de 10 années des meubles de salle de bain adaptés pour les PMR (les gammes ALTEA ou EPURE) qui rencontrent un grand succès. Ce concept est aujourd’hui repris pas d’autres fabricants.Nos receveurs de douche en résine, pourtant plus solides aux « crash test », pèsent environ 50% de moins que ceux qui sont sur le marché grâce une matière allégée « la créasine ». Les installateurs qui les posent savent que ces receveurs diminuent la pénibilité et se manipulent avec un poseur au lieu de deux, d’où encore un gain de pose.Le process breveté « STOP WATER » est adopté sur l’ensemble de nos parois de douche. Il permet une étanchéité mécanique entre le profilé mural vertical et le mur d’appui du profilé.La nouvelle gamme de meubles de salles de bain ROSINOX met sur le marché un meuble « tout en inox » avec des finitions « bluffantes » similaires au bois et aux laques. Ce meuble, offre une longévité « à vie » évitant les déposent et reposes dans les univers très humides des salles de bains.L’astucieux meuble KORA permet, dans un espace réduit, de positionner un meuble de salle de bain avec un espace lave-linge intégré.Les solutions « DOUCH’ETANCH » et « DOUCH’EXPRESS » permettent le remplacement d’une baignoire par une douche en un temps record de 24h sans réfection des faïences murales et des carrelages de sol.Batinfo : Pouvez-vous nous présenter vos projets à venir ?Jean-Pierre Guallarano : Nous démarrons dès début juin 2022 l’extension d’un dépôt de stockage de 2.000 m² pour agrandir notre dépôt actuel de 4.000 m². Notre capacité de stockage atteindra donc d’ici fin 2022 6.000 m² sur une hauteur de 10 m. Pour développer encore d’avantage nos actions environnementales, nous installons déjà près de 1.000 m² de panneaux photovoltaïques sur notre bâtiment actuel.Nous acquérons actuellement une réserve foncière de près d’un hectare en juxtaposition de notre structure actuelle en prévision des fortes croissances que nous attendons pour les futures prochaines années.Nous ouvrirons notre commercialisation à l’export en 2023 sur l’Allemagne, le Bénélux, la Suisse et l’Autriche.
Il y a 2 ans et 353 jours

A Clichy-sous-Bois, les commerces vitrines de la rénovation urbaine

"C'était beau avant. On a eu tout le monde ici : Pierre Tchernia, Michel Drucker, Sim. Il y avait un fleuriste, un aquariophile, une boucherie chevaline", raconte Olivier Klein, 55 ans, enfant du quartier devenu maire de cette ville de Seine-Saint-Denis, où le centre commercial avait été construit dans les années 1970.Mais les rêves d'autoroute qui devaient renforcer l'attractivité du quartier densément peuplé se sont évaporés dans les années 1980, et avec eux l'éclat des 4.000 m2 de la galerie marchande.Quarante ans plus tard et l'implantation non loin de supermarchés, seuls un café, des épiceries et une douzaine de commerces vivotent encore sous les néons et le carrelage blanchâtre du centre, construit en partie sous les barres aux façades calamiteuses."Avec la fermeture du magasin de vêtements discount et les départs de professionnels de santé, on a perdu 20-25% de notre activité", déplore le pharmacien Christian Moafo.Ce manque à gagner a été accentué, selon les commerçants interrogés, par le départ de centaines de personnes lié à l'opération de requalification des copropriétés dégradées. Entamé en 2015, ce programme titanesque aujourd'hui piloté par l'établissement public foncier d'Ile-de-France prévoit la destruction d'une dizaine de bâtiments et la construction de plus de 1.300 logements."Je vis un enfer", assure M. Moafo. A chaque orage, le pharmacien dit redouter que les fuites n'inondent son local. "Je rêve de voir les bulldozers détruire le centre". Ils devraient arriver en 2026.Boulangerie, coiffeur, caféD'ici là, des jalons se posent. Il s'agit de choisir les commerces du nouveau Chêne-Pointu, chevilles ouvrières de la métamorphose censée désenclaver le quartier et réduire les obstacles à la mixité sociale. Ils seront répartis au rez-de-chaussée de nouveaux immeubles.Les candidats ont jusqu'à fin mai pour présenter un dossier avant une présélection d'ici juillet et l'examen de leur situation financière, indique Isabelle Labaye de Immobilière 3F, le bailleur en charge du transfert et de l'accompagnement des commerces. S'agissant des commerces envisagés, "on reste dans le basique" avec une boulangerie, un coiffeur, un café. "Le but est de créer une zone commerçante pour donner de la vie et créer du lien. L'enjeu est énorme pour les habitants", explique-t-elle.Mais comment combiner le "panier moyen" de la population actuelle avec la "montée en gamme" souhaitée par la mairie ?La Cour des comptes relevait en 2019 "un phénomène de déprise économique et commerciale" dans les quartiers prioritaires de la ville tels que celui de Clichy-sous-Bois, et ce malgré dix ans de programmes de rénovation, impuissants à embellir durablement l'image de ces territoires. Dans ces quartiers, le taux de pauvreté est de 42%, trois fois plus élevé qu'ailleurs, et le taux de chômage de 22,5%, selon des données gouvernementales.Rue de l'AvenirLe Chêne-Pointu entend donc initier un cercle vertueux. "Refaire la ville c'est s'intéresser à l'école, aux mobilités, à l'emploi, et à l'accès aux commerces", résume M. Klein.Dans la rue de l'Avenir, la Poste servira de "locomotive d'attractivité" tout comme le futur conservatoire, une gare du Grand Paris toute proche, et, espère la mairie, des moyennes surfaces de type Aldi et Lidl avec qui des discussions sont en cours.Si la mairie dit n'avoir pas les moyens financiers pour draguer les commerces, elle a une ambition : "avoir la capacité d'être plus sexy" et d'"empêcher qu'un kebab moche soit remplacé par un kebab moche".Cela passera par un accompagnement dans la présentation des vitrines, par la présence de médiateurs commerciaux et de "gardiens très en lien avec les commerces", selon I3F.Tous les commerçants actuels ne pourront s'aligner sur les nouveaux loyers. Le pharmacien du quartier voisin tout juste réhabilité confirme que son loyer a plus que doublé depuis la rénovation.Mais pour certains professionnels du Chêne-Pointu, "on en a tellement marre d'être ici, c'est tellement toxique qu'on ne réfléchit même pas à cette problématique des loyers", dit M. Moafo. "On prie juste pour qu'il n'y ait pas de retard" dans les travaux.
Il y a 2 ans et 356 jours

Mapei : « Nous allons poursuivre l’essor »

Article paru dans le n° 100 de Béton[s] le Magazine Christophe Jeauneau est le directeur général de Mapei France depuis 2015. [©ACPresse] L’année 2022 est celle du 85e anniversaire de la naissance de Mapei. Quel regard portez-vous sur le chemin parcouru par cette entreprise ? On pourrait dire que c’est vieux… Mais pour un groupe familial, c’est l’âge de la maturité, de l’engagement et de la pérennité. Rodolfo Squinzi a fondé Mapei, en 1937, à Milan et a développé le marché italien. Son fils Giorgio en a assuré l’internationalisation et la diversification. Au fil des ans sont apparues les gammes “Adjuvants”, “Chimie de la construction”, “Etanchéité” et “Sols industriels”. Aujourd’hui, la 3e génération à la tête de l’entreprise a pour objectif d’en poursuivre l’essor. Mapei reste une des rares entreprises familiales du secteur de la construction. Mais le véritable évènement ne sera-t-il pas le 40e anniversaire de la création de Mapei France, fêté en 2024 ? Depuis son arrivée sur le territoire français en 1984, puis en 1989, avec le siège et l’usine de Toulouse Saint-Alban, Mapei a connu un important développement. Pour moi, les 40 ans marqueront une étape où Mapei ne sera plus seulement vue comme un industriel de la colle et du carrelage. Mais comme un acteur légitime de l’ensemble des secteurs du gros œuvre et du second œuvre. Toutefois, il reste encore un peu de travail à accomplir… D’autant plus que nous devrions atteindre d’ici là les 150 M€ de chiffre d’affaires ! Cet article est réservé aux abonnés des revues Béton[s] le Magazine et Bâti & Isolation. Déjà abonné Mon email Mon mot de passe Oublié ? En plus de votre magazine, profitez d’un accès illimité à l’ensemble des contenus et services du site www.acpresse.fr : Lecture de l’intégralité des dossiers thématiques, reportages chantiers, fondamentaux, histoire de la construction… Consultation des indicateurs économiques (chiffres et analyses) + vos newsletters pour suivre l’info en continu Je m'abonne
Il y a 3 ans et 2 jours

Un nouveau nuancier Acova pour de nouvelles inspirations

Inventeur du radiateur décoratif en 1964 et du sèche-serviettes en 1978 en France, ACOVA a été la première marque à proposer ses produits en couleur afin de les harmoniser, avec style, à la décoration intérieure de l’habitat. Aujourd’hui, Acova s’associe à Juliette Baumgartner, architecte coloriste renommée, pour renouveler son offre couleur et proposer de nouvelles inspirations intemporelles ou tendances. Fruit de cette collaboration, un nuancier riche de 46 teintes, déclinées au travers de 5 univers décoratifs, élaborés à partir d’une analyse de l’évolution des modes et des espaces de vie, du design et des matériaux utilisés dans le bâtiment. La crise sanitaire a accentué l’engouement des Français pour l’aménagement de leur habitat, le considérant comme un lieu de refuge. Leur leitmotiv à cela : se sentir bien chez soi. C’est ainsi, qu’en fonction des aspirations et des styles de vie de chacun, la couleur a pris de plus en plus d’importance dans la décoration que ce soit pour agrandir ou illuminer un espace ou créer une atmosphère agréable. Peinture, tissus, accessoires et équipements participent à cet équilibre tant recherché. Un concept basé sur des tendances décoratives durables Dans ce contexte, Acova a souhaité renouveler son nuancier et s’est entourée de l’expertise de Juliette Baugartner, consultante en architecture et spécialiste des tendances colorielles. « Acova étant déjà synonyme de couleur, la nouvelle palette a été travaillée dans un esprit de continuité. En me basant sur une analyse de l’évolution des modes et des espaces de vie, des matériaux, du design des objets et en tenant compte qu’un radiateur n’est pas un équipement que nous changeons souvent, j’ai recherché un équilibre entre couleurs tendances et intemporelles. Lors du choix d’un radiateur et de sa finition, je me suis aussi demandé avec quel type de robinet, de céramique, de carrelage ou d’accessoire il serait associé afin que le particulier profite longtemps de celui-ci », explique Juliette Baumgartner. Un équilibre entre couleurs chaudes et froides Divisé en tons chauds et froids, le nouveau nuancier se compose de 46 couleurs teintées d’élégance dont 25 inédites en finitions mates, brillantes ou métalliques (Cement Grey, Olive Green, Terracotta Faded, Champagne, Gentian Blue, Pigeon Blue, Blue Night…) pour offrir une sélection tout à fait en phase avec les aspirations des consommateurs d’aujourd’hui. 5 univers décoratifs inspirants pour choisir la couleur de son radiateur Pour inspirer et accompagner les particuliers et les professionnels, Acova propose de sélectionner la couleur de son radiateur au travers de 5 univers décoratifs, chacun reflétant une ambiance unique, définie par Juliette Baumgartner. A partir de ces 5 déclinaisons, Acova invite ainsi le particulier à se projeter dans des harmonies de teintes, de matériaux et de style qui lui ressemblent le mieux : La douceur du cocon Minimalisme, pureté et simplicité sont les maîtres mots de cet univers dans lequel la maison et la salle de bain sont des lieux de repos dans lesquels se ressourcer est essentiel. Les blancs (Pure White, Cream, …), les tons brun clair (Champagne) et gris (Telegrey) associés à des matières naturelles (le bois), des surfaces en métal brossé (le laiton) sont la clé d’un environnement sobre et confortable, dédié à la détente. La chaleur de la terre Tous les amoureux de la terre vont se retrouver dans cet espace dans lequel les nuances d’ocre, de terracotta, de rouge brique (Ruby Red) et de brun (bronze, brown quartz) réchauffent les pièces. Du séjour à la cuisine, en passant par la chambre et la salle de bains, elles créent une ambiance chaleureuse, intemporelle et au charme authentique. Côtés matériaux et textiles, le bois et le lin restent des valeurs sûres. Invitation à l’évasion Des atmosphères raffinées caractérisent cet univers. Les finitions brutes contrastant avec des intérieurs raffinés créent une expérience multi- sensorielle. Les teintes graphites (Titane, Telegrey 2) et taupe (Beige Grey) accentuées par les palettes de bleus (Blue Night, Gentian Blue) permettent de concevoir un espace tranquille et serein propice à la rêverie et l’évasion. L’esprit de la nature Renouer avec la nature, tel est le credo ! Les tonalités vertes (Olive Green, Reseda Green) qui investissent les murs, les sols, en passant par les radiateurs sèche-serviettes reflètent le désir d’un environnement naturel. Leur association avec des couleurs nude (Edelweiss), brun clair (Beige Quartz) et gris (White Aluminium) favorisent l’harmonie et la tranquillité. La matière à l’état brut Inspiré par l’architecture brutaliste, cet univers met en scène des formes géométriques anguleuses, des matériaux bruts comme le béton, des finitions noires mates, des accessoires en métal brossé. L’utilisation d’une seule matière crée une homogénéité visuelle et donne une continuité à l’espace. En total look (Black Quartz, Anthracite Grey) ou en contraste avec des tons bruns naturels (Brown Quartz, Concrete Grey), l’intérieur de l’habitat adopte une ambiance contemporaine, masculine. En complément des 46 couleurs du nouveau nuancier Acova, les 5 univers décoratifs sont présentés sur le site internet, dans les guides d’aide au choix et sur les PLV de la marque en salles d’exposition. De quoi laisser aux particuliers et professionnels (architectes, designers, artisans) exprimer leur créativité et harmoniser parfaitement les radiateurs et radiateurs sèche-serviettes à tous les intérieurs, des plus classiques au plus modernes ! http://www.acova.fr/
Il y a 3 ans et 8 jours

Ôm2c et Chablais Habitat lancent « Les Balcons du Lyaud » : un programme de 40 logements sur les hauteurs de Thonon-les-Bains

Située au cœur du village Le Lyaud – à deux pas de la mairie, de l’église, de la micro crèche, du cabinet médical et de l’école primaire – la résidence compte 40 logements (du T2 au T4) organisés en 2 bâtiments qui s’élèvent sur 3 étages pour une surface habitable totale de 2.805 m². Mitoyenne, mais sans vis-à-vis de la résidence Odelia pour seniors, que le Groupe em2c a livrée en 2021, elle bénéficie de la sérénité de son emplacement et tire parti d’un cadre naturel et d’une orientation favorable à un réel confort.La grande majorité des logements ont des vues dégagées soit sur les champs voisins soit sur le Lac Léman au lointain, ainsi que sur les collines environnantes. De larges ouvertures dans toutes les pièces permettent à la lumière naturelle d’irradier les intérieurs pour le bien-être des occupants. Ces espaces se prolongent tous sur des Rez-de jardin, des terrasses ou des balcons généreux.L’architecture, signée par Yohann Forel du cabinet Thononais 58 bis, est simple et traditionnelle dans le respect des codes architecturaux de la région. Les constructions sont couvertes de vastes toits en pente avec des débords qui protègent tant les balcons que les pieds de façade. Durables et d’entretien facile, les matériaux sélectionnés renforcent le caractère recherché et l’intégration de la résidence dans son environnement.Les extérieurs comptent une part importante d’espaces végétalisés, qu’ils soient des jardins privatifs ou des espaces communs à la résidence. Tous participent à la qualité visuelle générale du lieu mais aussi à la qualité de l’air et à la réduction des surchauffes estivales. Les prestations sont soignées, en termes d’esthétique, de confort thermique et d’usage. Chaque appartement offre des volumes fonctionnels et généreux où chaque m² est valorisé. Les équipements ont quant à eux et rigoureusement sélectionnés pour un quotidien confortable et facilité (volets roulants électriques, double vitrage, revêtement stratifié dans les chambres et carrelage dans les pièces de vie, serrure sécurisée des portes palières. Les stationnements sont en sous-sol (certains boxés).La commercialisation des logements vient de commencer. Cette opération est menée en co-promotion avec Chablais Habitat (promoteur à Thonon-les-Bains). Les travaux sont programmés en juin 2022 pour une livraison envisagée au 1er trimestre 2024.Avec Les Balcons du Lyaud, ôm2c propose un nouveau programme accessible et en phase avec les attentes et les nouveaux usages des familles en matière de logement. öm2c poursuit sa progression sur le marché de l’immobilier résidentiel.
Il y a 3 ans et 9 jours

Les inscriptions sont ouvertes pour le concours des Meilleurs Artisans de France

Le concours des Meilleurs Artisans de France, comporte 7 catégories, dont 5 pour le bâtiment : la maçonnerie, le carrelage, la plomberie-chauffage, la peinture-décoration et la plâtrerie.
Il y a 3 ans et 10 jours

Le Conseil d’administration a élu un nouveau Bureau autour du Président de la CAPEB

La composition du nouveau Bureau confédéral Corine Postel a été réélue au poste de 1ère Vice-Présidente en charge des questions sociales.Christophe Bellanger est élu au poste de Trésorier confédéral. Laure Vial est élue au poste de Secrétaire confédéral et Thierry Ravon a été réélu au poste de Secrétaire adjoint.Bio express des nouveaux élus au Bureau et au Conseil d'administrationLaure VIALLaure Vial intègre le Bureau confédéral au poste de Secrétaire. Entrée au Conseil d'administration en 2020 en tant que membre individuel, elle est devenue cheffe de file des questions Compétences et formation en 2021 et conduit à ce titre les négociations sur ce champ au nom de la CAPEB. Elle gère une entreprise de plomberie chauffage avec son fils dans les Alpes de Haute-Provence. Son entreprise familiale adhère à la CAPEB depuis 1986. Elle a présidé la CAPEB de son département de 2011 à 2020 et en est vice-présidente tout comme à l’Union régionale CAPEB PACA Corse. Elle a également assuré la présidence de la Chambre de Métiers des Alpes de Haute-Provence de 2016 à 2021.Hervé PRUVOTHervé Pruvot est élu au sein du Conseil d'administration en tant que délégué de la 2ème circonscription élective qui regroupe les départements des Hauts-de-France et de Normandie. Plombier chauffagiste, il est chef d’entreprise depuis 2002 et s’est installé à Aisonville et Bernoville dans l’Aisne. Il emploie 4 salariés. Hervé Pruvot adhère à la CAPEB de son département en 2003 où il prend les responsabilités de trésorier adjoint. Il siège au service de santé au travail du BTP, à la commission départementale de Qualibat, au CPSTI et il est membre de la commission territoriale de la Chambre de Métiers des Hauts-de-France.Christelle ROZIERChristelle Rozier est élue au sein du Conseil d'administration au titre de la 8ème circonscription élective qui couvre tous les départements de la région Auvergne Rhône-Alpes. Gestionnaire d’une entreprise artisanale de maçonnerie spécialisée dans la restauration du bâti ancien et installée à Claveyson dans la Drôme, elle assure la comptabilité, le secrétariat et des missions de géomètre-topographe pour son entreprise qui emploie 3 salariés et 1 apprenti en Taille de Pierre. Elle est inscrite à la CAPEB depuis 1992 et conjointe associée depuis 2006. Christelle Rozier est 1ère vice-présidente de la CAPEB Drôme. Dans la région AURA, elle est Présidente de la commission emploi formation et de la CPREF, Trésorière d’ACORA BTP et membre du CREFOP et a assuré la présidence du BTP CFA de 2019 à 2022.Gilles MAILETGilles Mailet est élu au Conseil d’administration Confédéral au titre de Président de l’UNA Équipement Électrique et Électro-Domotique. Électricien à Doué la Fontaine, spécialisé dans les Énergies Renouvelables, l’électricité, l’éclairage et la domotique, il emploie 14 salariés. En 2000, il reprend une entreprise qui était adhérente à la CAPEB depuis 1970. Conseiller professionnel de l’UNA Equipement Électrique et Électro-Domotique depuis avril 2014, il siège notamment à Promotelec où il apporte ses astuces métier et des propositions d’articles. Il est administrateur du Crédit Agricole de Montreuil Bellay où il siège au comité des prêts professionnels et de la vie locale.Maurice KAROTSCHMaurice Karostch entre au Conseil d'administration confédéral en tant que membre individuel. Il a repris en 1984 l'entreprise familiale créée en 1870 pour la 5ème génération. Il la dirige avec le soutien de ses 2 filles et une vingtaine de collaborateurs pour effectuer tous les travaux intérieurs et extérieurs en peinture et isolation. Chef d’entreprise depuis 2002, il est adhérent depuis 2006. Président de la CAPEB Bas-Rhin et de la CAPEB Grand Est, il est également élu à la Chambre de Métiers Alsace et 1er vice-président de l’U2P du Grand Est. Il est, depuis 2017, conseiller technique au sein de l’UNIEP (Union internationale des entrepreneurs en peinture) et en a intégré le comité exécutif en 2018 pour prolonger son engagement à l’échelon européen.Liste alphabétique complète du Conseil d’Administration après renouvellement du tiers de ses membres lors de l’Assemblée Générale des 21 et 22 avril 2022BEAUDONNAT Cécile > Puy-de-Dôme (63210 Vernines)Conjoint collaborateur : Charpente CouverturePrésidente de la CNFA - RéélueBELLANGER Christophe > Maine et Loire (49000 Angers)ÉlectricienTrésorierDélégué de la 3ème circonscription élective (Bretagne - Pays-de-la-Loire) - éluBERGERE Nathalie > Mayenne (53000 Laval)Co-gérante entreprise de plomberie-chauffage-électricitéMembre individuelBOUNHOL Patrick > Aveyron (12120 Arvieu)Couvreur-ZingueurDélégué de la 5ème circonscription élective (Occitanie) - RééluCHATRAS Gilles > Puy-de-Dôme (63830 Nohanent)Plâtrier Peintre DécorateurVice-Président en charge du RéseauDEJOIE Vincent > Côte d’Armor (22490 Pleslin Trigavou)PeintreMembre individuelFORNES Sylvain > Rhône (69250 Montanay)PeintrePrésident de l’UNA Peinture-Vitrerie-RevêtementsGASPAR Dominique > Meuse (55800 Revigny-sur-Ornain)MenuisierDélégué de la 6ème circonscription élective (Grand Est)GAUTHIER Benoit > Ardèche (07340 Saint Desirat)MaçonMembre individuelHADJIPANAYOTOU Antony > Hauts-de-Seine (92140 Clamart)Plombier ChauffagisteDélégué de la 1ère circonscription élective (Ile-de-France)HATTON Bruno > Sarthe (72650 Trange)Serrurier MétallierPrésident de l’UNA Serrurerie-MétallerieKAROTSCH Maurice > Bas-Rhin (67230 Benfeld)PeintreMembre individuel - EluLABAT Jean-Yves > Landes (40180 Saugnac et Cambran)PlâtrierPrésident de l’UNA Métiers et Techniques du Plâtre et de l’Isolation - RééluLE DEVEHAT Éric > Ille-et-Vilaine (35600 Redon)Tailleur de pierrePrésident de l’UNA Métiers de la PierreMAILET Gilles > Maine et Loire (49260 VAUDELNAY)ÉlectricienPrésident de l’UNA Equipement Électrique et Électro-Domotique - EluMARMONIER Laurent > Isère (38140 Poliénas)MaçonMembre individuelMARTIN Jean-Michel > Maine et Loire (49310 Montilliers)Charpentier MenuisierPrésident de l’UNA Charpente-Menuiserie-AgencementMATHIEU Francis > Creuse (23300 St Agnant de Versillat)Couvreur Charpentier ZingueurTrésorier adjointMORALES David > Haute-Garonne (31160 Encausse les Thermes)Plaquiste PlâtrierVice-Président en charge des questions économiquesPOSTEL Corine > Yvelines (78270 Chaufour les Bonnières)Conjointe collaboratrice (Couvreur)1ere Vice-Présidente en charge des questions sociales - RééluePRUVOT Hervé > Aisne (Saint Quentin)Plombier ChauffagisteDélégué de la 2ème circonscription élective (Hauts-de-France et Normandie) - EluRANCUREL Jean-Claude > Vaucluse (84150 Violes)Plombier-ChauffagistePrésident de l’UNA Couverture-Plomberie-Chauffage - RééluRAVON Thierry > Charente (16430 Balzac)CarreleurMembre individuelREPON Jean-Christophe > Var (83000 Toulon)ÉlectricienPrésident confédéralRICHARD Jean-Pierre > Yonne (89470 Moneteau)ÉlectricienDélégué de la 7ème circonscription élective (Bourgogne Franche-Comté)ROZIER Christelle > Drôme (26240 CLAVEYSON)Gestionnaire d'une entreprise de maçonnerie restauration du bâti ancienDéléguée de la 8ème circonscription élective (Auvergne - Rhône-Alpes) - ElueTOFFOLI Thierry > Haute-Garonne (31840 Aussonne)CarreleurPrésident de l’UNA Maçonnerie CarrelageVIAL Laure > Alpes de Haute-Provence (04300 Mane)Gestionnaire d'une entreprise de plomberie-chauffageMembre individuel
Il y a 3 ans et 28 jours

NOUVEAUTÉ GRIFFON

Restaure la couleur d'origine et protège les matériaux Plastique, métal, pierre naturelle ou encore carrelage... tous ces matériaux utilisés pour les volets, les fenêtres, les clôtures, les portes de garage, les rebords de fenêtre, les murets, les revêtements de terrasse... sont soumis quotidiennement aux assauts du temps (pluie, gel, rayons UV), à la pollution, aux salissures... A terme, des micro-fissures peuvent apparaître en surface et altérer les supports, qui vont perdent leur éclat et leur couleur d'origine, s'ils ne sont pas protégés.
Il y a 3 ans et 35 jours

Nouveauté Griffon rénovateur pour surface RPS-300

 Restaure la couleur d’origine et protège les matériaux Plastique, métal, pierre naturelle ou encore carrelage… tous ces matériaux utilisés pour les volets, les fenêtres, les clôtures, les portes de garage, les rebords de fenêtre, les murets, les revêtements de terrasse… sont soumis quotidiennement aux assauts du temps (pluie, gel, rayons UV), à la pollution, aux salissures… A terme, […]
Il y a 3 ans et 38 jours

NOUVEAUTÉ GRIFFON – RÉNOVATEUR POUR SURFACE RPS-300

Restaure la couleur d’origine et protège les matériaux Plastique, métal, pierre naturelle ou encore carrelage… tous ces matériaux utilisés pour les volets, les fenêtres, les clôtures, les portes de garage, les rebords de fenêtre, les murets, les revêtements de terrasse… sont soumis quotidiennement aux assauts du temps (pluie, gel, rayons UV), à la pollution, aux salissures… A terme, des micro-fissures peuvent apparaître en surface et altérer les supports, qui vont perdent leur éclat et leur couleur d’origine, s’ils ne sont pas protégés. Rénover les matériaux existant est plus bénéfique pour l’environnement que de tout remplacer. Pour raviver et protéger durablement les surfaces du phénomène de décoloration, Griffon, le spécialiste des systèmes de collage, soudage et étanchéité dédiés aux professionnels, lance un nouveau rénovateur pour surface : RPS-300. Idéal pour tous les chantiers en rénovation, ce revêtement haute performance permet aux professionnels de restaurer la couleur d’origine des matériaux ternis et délavés par le temps tout en imperméabilisant et en protégeant durablement les surfaces. Rénovateur pour surface RPS-300 GRIFFON Rénover sans remplacer Le nouveau rénovateur pour surface RPS-300 Griffon a été conçu pour raviver les couleurs des surfaces ternies et décolorées, et prolonger la durée de vie des matériaux. Transparent, ce revêtement peut être appliqué sur une multitude de matériaux : plastique (PVC, ABS, PE…), métal peint, pierre naturelle et carrelage. Sa formulation hydrophobe rend les surfaces étanches à l’eau et résistantes à la saleté. Imperméabilisé, le support traité bénéficie d’un bouclier protecteur invisible (une fois sec), qui ne modifie pas son aspect. Efficace, le RPS-300 a la particularité de combler les micro-fissures des surfaces. Les supports traités redeviennent lisses et retrouvent ainsi leur couleur d’origine. Par ailleurs, ils profitent de 5 ans de protection contre les rayons UV et les intempéries. D’un grand confort d’application, le rénovateur pour surface RPS-300 est sans solvant et à faible teneur en COV. Il s’applique simplement à l’aide d’un chiffon, une éponge, une brosse ou un pinceau pour les surfaces poreuses comme la pierre naturelle. Polyvalent et prêt à l’emploi, il s’utilise sur des surfaces horizontales et verticales, et son effet est visible immédiatement. Il offre aux surfaces un effet mat ou brillant selon le support, et améliore la couleur de la pierre naturelle et des carrelages non traités. Avec le rénovateur RPS-300 Griffon, il est plus facile et économique de redonner aux surfaces l’aspect du neuf que de les remplacer !
Il y a 3 ans et 44 jours

Des solutions innovantes pour faciliter la pose de carrelages grands formats

La Capeb, l'IRIS-ST et l'OPPBTP présentent les résultats d'un programme d'expérimentations mené sur chantier avec pour objectif d'améliorer les conditions de travail des carreleurs. (©Robotile)
Il y a 3 ans et 45 jours

La CAPEB, l'IRIS-ST et l'OPPBTP présentent des solutions innovantes pour faciliter la pose de carrelages grands format

Ce programme, issu d’une étude menée depuis 2019, a pour objectif d’améliorer les conditions de travail des carreleurs confrontés à une augmentation des dimensions des carrelages. L’OPPBTP a mené une étude ergonomique avec la CAPEB et l’IRIS-ST en collaboration avec des équipementiers, afin d’identifier des solutions innovantes améliorant significativement les conditions de pose en préservant la performance.Le 25 mars, l’UNA Maçonnerie-Carrelage de la CAPEB, l’IRIS-ST, l’OPPBTP et les équipementiers présentent à des apprentis carreleurs du CFA d’Angers des solutions techniques pour améliorer les conditions de travail et faciliter la pose des grands carreaux.Une évolution majeure des formats de carrelage à prendre en compteDepuis quelques années, la tendance est au format XXL pour les carrelages. Il s’agit de carreaux dont les dimensions sont supérieures à 60 cm x 60 cm et peuvent même souvent dépasser le m2. Ces augmentations de format crées des difficultés aux carreleurs en termes de transport, manutention, découpe et pose. Elles imposent souvent d’avoir recours à deux personnes pour manipuler les carreaux et les poser. Ces contraintes peuvent même parfois conduire les artisans à décliner ce type de chantier.Face à ce constat, l’UNA Maçonnerie-Carrelage de la CAPEB et l’IRIS-ST ont engagé, en partenariat avec l’OPPBTP, une étude ergonomique sur les conditions de travail des carreleurs pour la pose de carreaux de grand format début 2019. Cette étude avait pour principal objectif de lister les problématiques rencontrées par les artisans carreleurs mais surtout de réfléchir aux moyens d’améliorer leurs conditions de travail. Pour cela, les partenaires ont décidé de collaborer avec des équipementiers pour trouver des solutions adaptées.L’observation, une étape fondamentaleEn 2019, une première phase observatoire a été lancée directement sur deux chantiers et menée avec un ergonome de l’OPPBTP. En parallèle, un relevé des caractéristiques des chantiers (neuf/rénovation – individuel/collectif), des matériaux mis en œuvre ainsi qu’un recensement des équipements existants ont été réalisés. Cela a permis d’obtenir des résultats concrets sur l’organisation d’un chantier, les postures de travail des carreleurs et les contraintes rencontrées. À l’issue de cette première phase de bibliographie et d’analyse du travail, l’UNA Maçonnerie Carrelage, l’IRIS-ST et l’OPPBTP ont réuni des équipementiers, des industriels et des start-ups afin de présenter les résultats de l’étude ergonomique et les constats établis.A ce stade il s’agissait essentiellement d’alerter et de sensibiliser les acteurs de la profession, et de déterminer l’appétence de chacun à s’engager sur le sujet en vue de trouver des solutions aux difficultés identifiées. L’ensemble des équipementiers, a confirmé son intérêt pour cette problématique et trois d’entre eux, Probst, Robotile et Raimondi, se sont engagés à collaborer dans la recherche de solutions.Identifier des solutions concrètesDifférents équipements, présents aux catalogues de Probst, Robotile et Raimondi, ont été expérimentés sur trois chantiers en 2021. Ce sont ces solutions qui sont présentées au CFA d’Angers le 25 mars.RobotileCarlita : machine d’assistance à la pose de carreaux de grands formats. Réduit les efforts liés à la pose des grands carreaux en permettant aux carreleurs de ne pas avoir à porter le poids des carreaux à l’encollage et à la mise en place.Tire-colle express : permet l’application de colle au sol en position debout donc en réduisant les contraintes posturales et en gagnant du temps.Probst :FXAH-120 : L’entreprise distribue des ventouses électriques pour faciliter la préhension manuelle (portage, positionnement). Elle conçoit et fabrique des accessoires (Solo et Duo sets) s’adaptant à ces ventouses et permettant la manipulation et la mise en place des carreaux en position debout.Raimondi :L’Easy move 150 associé au Only One est un dispositif de manutention et de mobilisation de carreaux de grands et très grands formats permettant de réduire les contraintes des carreleurs en facilitant la préhension et réduisant les charges à porter puisqu’une partie du poids est porté par des roulettes.Le Raizor est un outil de découpe de grands et très grands carreaux (jusqu’à 450 cm) se posant sur le carreau à découper et permettant ainsi d’éviter d’avoir à porter le carreau pour l’insérer dans la carrelette.Le Tyrrel, petit chariot permettant le déplacement des grands carreaux entre zone de stockage et zone de préparation, par une seule personne et évitant le déplacement sous charge.La publication d’un rapport de synthèse sur l’étude et ses résultats est prévue pour le second semestre 2022 en vue de faire connaître largement ces solutions.Pour Thierry Toffoli, Président de l’UNA Maçonnerie Carrelage de la CAPEB : « Les professionnels posent de plus en plus de carreaux grands formats qui sont très appréciés des clients. Ainsi, les apprentis sont amenés à mettre en œuvre ces produits lorsqu’ils sont en entreprise alors que l’enseignement qu’ils reçoivent en CFA ne le prévoit pas. Présenter les innovations auxquelles nous sommes parvenus en travaillant avec les fabricants est ainsi pour nous un moyen de faire avancer les choses, de rassurer les jeunes sur l’adéquation de leur formation avec l’évolution de leur métier et de leur montrer que leurs aînés s’emploient à la renforcer. Il importe que les innovations et ces progrès constants soient connus des futurs professionnels du carrelage, qui sont pour beaucoup les futurs chefs d’entreprise de l’artisanat du bâtiment. C’est la raison pour laquelle nous avons tenu à présenter les résultats de notre étude métier au sein du CFA BTP d’Angers. »Pour Jean-Christophe Repon, Président de la CAPEB : « Faire évoluer les produits et les techniques de mise en œuvre est un objectif constant de la CAPEB et l’objet d’un grand nombre des partenariats qu’elle noue avec les fabricants du bâtiment. C’est aussi l’objectif des études métiers que nous réalisons avec l’OPPBTP en vue d’améliorer les conditions de travail dans nos professions. Nous nous réjouissons que les innovations qui découlent de ces travaux soient dévoilées en avant-première à celles et ceux qui apprennent le métier au sein d’un BTP CFA. Une initiative que nous approuvons d’autant plus que la CAPEB vient de signer avec le CCCA-BTP une convention de partenariat qui vise précisément à intégrer l’innovation dans la pédagogie afin que nos métiers soient toujours à la pointe des connaissances et deviennent encore plus attractifs pour les jeunes en recherche d’orientation. »Pour Paul Duphil, Secrétaire général de l’OPPBTP : « L’ingénierie prévention des métiers de demain avec l’objectif d’une prévention intégrée portée par l’innovation est l’une des 5 priorités stratégiques du plan @Horizon 2025 de l’Organisme. Cette étude menée en partenariat avec la CAPEB et l’IRIS-ST a suscité l’adhésion d'équipementiers et d’industriels. Leur engagement a permis de développer des solutions novatrices très opérationnelles, intégrant pleinement la dimension « prévention et performance » et répondant ainsi à des enjeux très concrets du métier de carreleur. Former les jeunes et les nouveaux arrivants dans le BTP en leur assurant un haut niveau de compétence est une autre priorité stratégique de l’Organisme. Présenter ces solutions novatrices aux futurs professionnels du BTP, est donc une opportunité pour porter un message positif sur les métiers du BTP et montrer que ces acteurs accompagnés de l’OPPBTP sont engagés pour un avenir plus sûr pour le BTP »
Il y a 3 ans et 48 jours

Carrelage : le salon Cevisama reporté du fait de la crise des matières premières

La manifestation espagnole prévue en juin prochain est décalée, non plus du fait du Covid, mais à cause de la flambée des prix et des pénuries.
Il y a 3 ans et 50 jours

Aco Showerdrain S+ : la solution idéale pour une douche à l’italienne raffinée en toute simplicité

Purement élégant« ACO Showerdrain S+, c’est une autre façon de concevoir le caniveau de douche. En effet, c’est son profilé haute qualité en inox AISI 304 et finition brossée, qui sublime la salle de bains avec élégance » précise Joëlle TSHIBANGU, Chef de Marché Marketing Building Drainage.En effet, ACO Showerdrain S+ se distingue par son design novateur et discret. La finesse du profilé et son esthétique pure séduisent dès le premier regard. Sa surface en acier inoxydable ultra moderne et intemporelle, se marie à merveille avec les salles de bains épurées.L’élégance de ce caniveau impressionne aussi grâce sa finition brossée et électropolie qui lui donne un éclat particulier et une grande durabilité.Deux design de grilles, aux lignes épurées, viennent subtilement habiller le profilé de caniveau et lui confèrent encore plus de raffinement.La couverture Stripe se distingue par ses fentes galbées qui vont charmer tous ceux qui recherchent un côté cosy et chaleureux, son débit d’écoulement s’élève à 36 l/min.Avec son design minimaliste, la couverture Plate s’invite dans les salles de bains à la décoration plus classique et insuffle une ambiance toute en sobriété. Une fente de 7 mm de largeur et de 13 mm de longueur favorise le ruissellement de l’eau en toute fluidité (débit d’écoulement : 30 l/min).Étonnamment simple à installerPlus facile à installer et à nettoyer, ACO Showerdrain S+ se révèle l’allié confort pour les poseurs.Un emballage pratique pour une pose en deux tempsL’emballage est composé de deux colis avec tous les éléments nécessaires pour installer le caniveau en deux temps. La boîte avec le profilé de caniveau contient également la grille, le filtre à cheveux et la rehausse ajustable. Une seconde boîte comprend le boîtier siphon, la cloche siphoïde et la protection de chantier.Le plombier installe le corps de l’avaloir, puis le carreleur réalise les finitions de la douche et positionne le profilé du caniveau avec la couverture pour une parfaite intégration avec le design du carrelage.Des pieds ajustables pour un réglage aisé de la hauteurUn kit de fixation est prévu il comprend notamment 3 pieds sécables qui facilitent la mise à niveau et l’ancrage dans le sol du boitier siphon et assurent un gain de temps pour l’installateur. ACO Showerdrain S+ s’accorde à tous les types de carrelage notamment la pierre naturelle. En effet pour les sols d’une hauteur supérieure à 10 mm, une rehausse ajustable sur chantier est fournie avec le profilé de caniveau (hauteur ajustable de 12 à 35 mm).Une natte d’étanchéité fiable collée en usineAvec une douche à l’italienne, l’écoulement de l’eau et l’étanchéité doivent être parfaites sous peine d’inonder toute la salle de bain. ACO Showerdrain S+ est proposé avec une natte d’étanchéité pré-montée en usine sur le boîtier siphon en PVC DN 50. Elle garantit un raccordement parfaitement étanche du caniveau à la douche italienne et offre plus de flexibilité à l’installateur.Protection de chantier astucieuseLe boîtier siphon est livré avec une protection sur laquelle apparait des points de centrage, cette même protection de chantier fait office de gabarit de positionnement afin d’aligner et installer aisément le caniveau de façon centrale ou directement contre la cloison du mur.Une solution modulaire pour un nettoyage aisé et une hygiène parfaiteACO ShowerDrain+ se révèle très facile d’entretien. Les différents composants sont démontables pour un nettoyage tout en confort.La cuve à triple pente intégrée en acier inoxydable et en pleine matière favorise un drainage optimal de l’eau vers la grille, sa finition électropolie donne un effet perlant élégant et réduit l’apparition de tâches d’eau séchées.Plus besoin d’outillages supplémentaires, grâce à l’ingénieux système « Tip & Flip », une simple pression du doigt suffit pour retirer la grille et accéder au filtre à cheveux pour une bonne évacuation après chaque utilisation.Pratique, la cloche siphoïde située à l’intérieur du boîtier siphon, est extractible en un tour de main et démontable en deux parties grâce à deux poignées.ACO Showerdrain S+, c’est l’assurance d’une hygiène irréprochable.Autres points forts du caniveau ACO Showerdrain S+4 longueurs sont proposées - 800 mm, 900 mm, 1 000 mm et 1 200 mm.Les longueurs 1 000 mm et 1 200 mm sont particulièrement recommandées dans le cadre d’installation pour les personnes à mobilité réduite.Afin de bloquer la remontée d’odeurs indésirables, deux tailles de gardes d’eau sont disponibles : 50 mm pour les douches normées (conformément à la norme EN 1253) et 30 mm pour la rénovation basse hauteur.La surface extra-plate et anti-dérapante du profilé de caniveau permet de marcher pieds nus en toute sécurité (classe de charge K3).« Une attention particulière fut accordée à la conception du caniveau. ACO Showerdrain S+ est une solution intelligente qui offre une grande flexibilité lors de l’installation, il permet de répondre à toutes les configurations et s’adapte à tous les types de carrelage grâce à la rehausse ajustable. Il a été conçu en tenant compte de toutes les phases de mise en oeuvre, de sorte que le processus est sûr et simple du début à la fin ». Stéphane Savary, Coordinateur Technique ACO France.
Il y a 3 ans et 51 jours

Le réseau de menuiserie GAP Référencement célèbre son 30ème adhérent pendant sa convention

Une convention pleine de musclesCommencer l’année comme elle s'était terminée c’est à dire pied au plancher.Voici l’objectif de toute l’équipe du réseau GAP Référencement pour 2022 en continuant son développement et l’accompagnement de tous les adhérents de plus en plus nombreux comme le constate Éric Beyne, Directeur commercial du réseau.Pour Éric Beyne, Directeur commercial du réseau GAP : « Aucun doute, nous venons de changer de division en cette année 2022 avec la signature du 30ème adhérent. C’est une immense satisfaction lorsque l’on regarde le travail accompli en deux années. Le réseau continue naturellement son développement et le terme « adhérent » n’a jamais aussi bien porté son nom lorsque l’on voit l’adhésion et l’enthousiasme des entrepreneurs membres du réseau. Cette convention est un succès autant sur le plan professionnel qu’amical. »En effet, la quasi-totalité des adhérents se sont réunis sous le soleil Montpelliérain fin janvier pour 2 jours de découverte mais surtout d’échanges entre professionnels de la menuiserie. Au programme de la « feuille de match », objectifs 2022, rencontres fournisseurs, ateliers pratiques et présentation des nouveaux outils pour un objectif simple : Accompagner les adhérents à développer leur entreprise en termes de chiffre d’affaires et notoriété.« ON GARDE NOTRE SYSTÈME DE JEU » rappelle souriant Éric Beyne faisant référence à l’identité Rugby du Réseau à savoir valoriser leur entreprise sous leur propre enseigne en leur apportant notre savoir-faire en matière de vente, logistique, communication en complément de produits de qualité à des tarifs négociés et compétitifs. « A les écouter, tout porte à croire que notre vision du jeu est gagnante. Dans tous les cas, ils sont tous fiers de porter le maillot GAP. » conclut Éric Beyne.10 adhérents de plus en 3 mois pour 30 adhérentsAprès ATC Menuiserie, CHUTEL, GT HABITAT, J&V34, Carrelage Menuiserie du Haut Vivarais, Mode & Fenêtres les derniers adhérents de 2021, c’est au tour des sociétés Tendance Menuiseries, Alu Vaison, Cap Travo, La Nouvelle Miroiterie Landaise, Taravello, Nomu et Partner Sdim de rejoindre la TEAM GAP Référencement.Ils ont tous été séduits par la même approche qui fait le succès du réseau comme l’explique Nicolas Taravello, PDG de la société TARAVELLO implantée dans la Drôme et titulaire du maillot numéro 25 du réseau.Pour Nicolas Taravello, PDG de la société TARAVELLO : « L’entreprise TARAVELLO, c’est 4 générations de menuisiers et 35 personnes réparties dans 4 sociétés différentes et 10 M€ de chiffre d’affaires. Autant dire que notre choix de rejoindre un Réseau a été mûrement réfléchi. En premier lieu, Nous avons été séduits par le fait de garder notre propre image, la volonté de pouvoir communiquer en groupe, mais sous notre nom. Ensuite, les gammes de produits sont très qualitatives à partir de fabricants reconnus sur le marché avec des BFA très valorisantes. Enfin, la vision de se développer facilement sur d’autres segments que je ne connais pas est un vrai challenge. Pour ce faire, nous sommes très bien accompagnés par les outils et les hommes GAP avec une simplicité et un naturel qui nous vont très bien. »Le réseau compte actuellement 30 adhérents et plus de 45 points de vente répartis plus particulièrement sur le Sud-est et Sud-ouest de la France. La volonté du réseau GAP Référencement est de rester sur cette dynamique de croissance en remontant vers le Nord comme le résume Jordan Khalifa, le fondateur du réseau.Pour Jordan Khalifa, le fondateur du réseau : « Au même titre que nos adhérents , notre notoriété est grandissante. Si notre ADN sudiste nous a naturellement positionné sur le sud, les frontières évoluent. De nombreux contacts un peu plus haut sont en cours et les portes du nord devraient bientôt s'ouvrir. »
Il y a 3 ans et 55 jours

Carrelages grands formats : des solutions innovantes pour faciliter la pose

ERGONOMIE. Plusieurs solutions innovantes permettant de faciliter la pose de carreaux grands formats viennent d'être présentées par l'Organisme professionnel de prévention du BTP au CFA d'Angers, ce 25 mars 2022.
Il y a 3 ans et 57 jours

Ryobi  poursuit le développement de sa gamme d’outils de mesure avec 4 nouveaux niveaux lasers pratiques et simples d’utilisation pour faciliter tous les travaux de bricolage, rénovation, décoration…

Réaliser des traçages précis et des cloisons bien droites, poser des cadres bien centrés, installer du carrelage ou des moulures d’équerre, fixer des étagères alignées… des tâches qui peuvent rapidement devenir mission impossible sans un bon niveau laser. Pour réussir ces travaux rapidement et sans difficulté, Ryobi® a conçu 4 nouveaux lasers simples et astucieux.  […]
Il y a 3 ans et 59 jours

Vincent Rappaport, DG de Carrelia : « l’incertitude est totale sur le marché du carrelage »

Après les inévitables conséquences sur le coût des transports, le conflit ukrainien entraine des répercussions sur les possibilités d’approvisionnement de certaines matières premières pouvant conduire à une rupture partielle, voire totale, d’approvisionnement. Vincent Rappaport, directeur général du groupement de négociants Carrelage et Bain, nous en dit plus.
Il y a 3 ans et 59 jours

Vincent Rappaport, DG de Carrelage & Bain : « L’incertitude est totale sur le marché du carrelage »

Après les inévitables conséquences sur le coût des transports, le conflit ukrainien entraine des répercussions sur les possibilités d’approvisionnement de certaines matières premières pouvant conduire à une rupture partielle, voire totale, d’approvisionnement. Vincent Rappaport, directeur général du groupement de négociants Carrelage et Bain, nous en dit plus.
Il y a 3 ans et 59 jours

Sika affiche un chiffre d'affaires record pour 2021 avec une croissance de 17,1%

Malgré la persistance de la pandémie de COVID-19 et les goulets d'étranglement dans l'approvisionnement en matières premières, le chiffre d'affaires a augmenté de manière significative pour atteindre le chiffre record de 9,24 milliards CHF, ce qui correspond à une croissance de 17,1% en monnaies locales.L'effet de change s'est élevé à 0,2%. L'effet d'acquisition a été de 2,0 % et la croissance organique s'est élevée à 15,1 %. Par rapport à la même période en 2019, le gain organique a été de 11,9%.Pour Thomas Hasler, Président-Directeur Général : "On s'attendait à ce que 2021 soit une année difficile et elle s'est avérée très réussie pour Sika. Nous bénéficions d'un certain nombre de plateformes de croissance et sommes dans une position idéale pour parvenir à un succès à long terme. Grâce à nos technologies innovantes, nous sommes le partenaire de choix de nombreux clients dans les secteurs de la construction et de l'industrie. Nous disposons de solutions pour toutes les étapes de développement des marchés de la construction, et les programmes d'investissement soutenus par les gouvernements, qui se chiffrent en milliards, donneront un nouvel élan à nos activités. En outre, nous utilisons de manière ciblée les mégatendances qui animent nos marchés clés. La demande de solutions durables est énorme. Nos produits et services permettent à nos clients d'atteindre leurs objectifs ambitieux en matière de développement durable."Mise à jour relative à l'acquisition de MBCCEn novembre 2021, Sika a signé un accord ferme pour acquérir MBCC Group (ex BASF Construction Chemicals). Avec un chiffre d'affaires de 2,9 milliards de francs suisses, MBCC Group est l'un des principaux fournisseurs de produits chimiques de construction dans le monde. Cette acquisition permettra de compléter et d'élargir l'offre de produits et de solutions de Sika dans quatre des cinq technologies de base et sept des huit marchés cibles de Sika, tout en renforçant l’implantation géographique de la société. Cette transaction donnera naissance à un acteur majeur favorisant un plus fort engagement dans le développement durable.Le marché des produits et solutions chimiques de construction devrait atteindre environ 80 milliards de francs suisses d'ici 2023 et, étant fortement fragmenté, il continuera d'offrir des opportunités de croissance substantielles même après l'acquisition de MBCC par Sika. MBCC réalise environ 53% de ses ventes dans le secteur des systèmes de construction et les 47% restants dans le segment des adjuvants pour béton. L'acquisition est soumise à l'approbation des autorités réglementaires. Sika est convaincu que toutes les approbations requises seront obtenues en temps voulu et travaillera en étroite collaboration avec les autorités. La clôture de l'acquisition est prévue pour le deuxième semestre de 2022.Gains de parts de marché dans toutes les régions en 2021Dans un environnement caractérisé par un certain nombre de confinements temporaires, Sika a connu une croissance plus forte que le marché dans toutes les régions en 2021. Les activités de distribution ont également enregistré des gains significatifs dans toutes les régions.La région EMEA (Europe, Moyen-Orient, Afrique) a enregistré une augmentation des ventes en monnaies locales de 16,1 % (année précédente : 4,4 %). Comme en 2020, la croissance des activités de distribution et de réparation a dépassé celle des autres secteurs d'activité. Presque tous les pays de la région ont atteint des taux de croissance à deux chiffres. Les pays du Moyen-Orient, ainsi que l'Europe de l'Est, y compris la Russie, le Royaume-Uni, et les pays d'Afrique ont bénéficié d'un regain de croissance. En général, les achats de solutions de produits Sika via des plateformes de commerce électronique ont connu une augmentation supérieure à la moyenne.Au cours de la période considérée, Sika a fait l'acquisition de Kreps LLC, un fabricant leader de produits de mortier en Russie, élargissant ainsi davantage son portefeuille de produits existants et sa présence géographique.La région Amériques a enregistré une croissance en monnaies locales de 21,0% (année précédente : 1,0%). Aux États-Unis, Sika a pris un élan considérable. La croissance a été tirée principalement par des projets de rénovation à grande échelle et des nouveaux projets de construction dans le domaine de la distribution et des centres de bases de données. De forts taux de croissance ont été atteints en particulier au Mexique, en Colombie, au Brésil, au Pérou et au Chili. Dans la région Amériques, l'orientation stratégique des activités commerciales sur les grandes villes et les zones métropolitaines a de nouveau porté ses fruits, tout comme la concentration sur les grands projets d'infrastructure et la réalisation ciblée du potentiel de vente croisée.Au cours de la période sous revue, Sika a fait l'acquisition de DriTac, une société américaine occupant une position forte sur le marché du collage de parquets. En outre, un fabricant de produits de mortier au Brésil a été intégré au groupe Sika sous le nom de BR Massa. Grâce à cette acquisition, Sika a amélioré sa position dans l'une des principales régions économiques du Brésil, tout en augmentant sa capacité de production.En juillet, la société a acquis American Hydrotech Inc. aux Etats-Unis et sa filiale canadienne Hydrotech Membrane Corporation. Hydrotech est un fabricant établi de membranes liquides et offre des solutions complètes pour la toiture et l'étanchéité. Elle est le leader incontesté du marché nord-américain dans le segment en pleine expansion des systèmes de toitures vertes.De plus, Sika a acquis l'entreprise familiale Bexel Internacional S.A. de C.V., un important fabricant de colles à carrelage et de stucs au Mexique. Grâce à cette acquisition, Sika renforce sa position sur le marché mexicain des produits de mortier, qui connaît une croissance rapide, et augmente considérablement sa capacité de production avec cinq installations de production stratégiquement situées.Le chiffre d'affaires en monnaies locales dans la région Asie/Pacifique a augmenté de 19,4 % (année précédente : 12,6 %). L'année dernière, la Chine en particulier a profité de la forte dynamique de croissance en cours avec des taux de croissance organique à deux chiffres et a développé avec succès ses activités d'infrastructure et de distribution. L'Inde a continué à connaître un développement dynamique, tandis que les pays d'Asie du Sud-Est se sont lentement remis des importants confinements du dernier trimestre de l'année. Au Japon, la tendance reste difficile. L'activité d'investissement sur le marché de la construction du pays est toujours modérée.Au cours de la période considérée, Sika a acquis Hamatite, la division des adhésifs de Yokohama Rubber Co., Ltd. Hamatite est un leader du marché au Japon, offrant des adhésifs et des mastics pour les industries de l'automobile et de la construction. Cette acquisition améliore considérablement la position de Sika sur le marché japonais, lui donnant un accès plus complet à tous les grands constructeurs automobiles japonais et une gamme plus large de mastics et d'adhésifs pour le secteur de la construction japonais.En Chine, Sika a acquis Shenzhen Landun Holding Co. Ltd, un fabricant d'une gamme complète de produits et de technologies d'étanchéité. La société exploite deux installations de production à la fine pointe de la technologie qui fabriquent une gamme complète de membranes et de revêtements pour diverses applications d'étanchéité, fournissant principalement des projets d'infrastructure et les projets commerciaux.Dans le segment Global Business, Sika a enregistré une croissance en monnaies locales de 4,3 % (année précédente : -11,4 %). Au cours de l'exercice écoulé, l'industrie automobile a connu d'importants goulets d'étranglement dans la chaîne d'approvisionnement des composants électroniques. Alors que les prévisions du début de l'année annonçaient une forte reprise du volume de véhicules neufs construits par rapport à l'année précédente, il y a eu en fait une forte baisse au second semestre en raison du manque de disponibilité des semi-conducteurs.Néanmoins, Sika prévoit que les mégatendances de la production automobile moderne, à savoir l'électromobilité et la construction légère, continueront à stimuler la croissance. En particulier, la transition des systèmes de transport traditionnels vers l'électromobilité s'est accélérée pendant la pandémie et bénéficie de divers programmes de soutien gouvernementaux dans un certain nombre de pays.PerspectivesSika confirme ses objectifs stratégiques pour 2023. L'entreprise reste axée sur le succès à long terme et la croissance rentable. En se concentrant sur les six piliers stratégiques - pénétration du marché, innovation, efficacité opérationnelle, acquisitions, valeurs d'entreprise fortes et durabilité - Sika cherche à croître de 6 à 8 % par an en monnaies locales jusqu'en 2023. À partir de 2021, l'entreprise vise une marge EBIT plus élevée de 15 à 18 %. Des projets dans les domaines des opérations, de la logistique, de l'approvisionnement et de la formulation des produits devraient permettre une amélioration annuelle des coûts d'exploitation équivalente à 0,5 % du Chiffre d’affaires.Pour l'année fiscale 2021, Sika prévoit une augmentation sur-proportionnelle de l'EBIT et une marge EBIT de 15%.
Il y a 3 ans et 65 jours

Les nouveaux catalogues Kinedo 2022 Balnéo, Douche et Spas sont disponibles

Catalogue Kinedo Douche 2022 : Tirée en 35 000 exemplaires et consultable sur le site internet Kinedo, la bible des solutions Douches présente toute la richesse des offres Kinedo pour la salle de bains. Les 468 pages de cette édition largement illustrées, aident à se projeter quel que soit son projet parmi les solutions de remplacement de baignoire par une douche mais aussi de nombreuses références en receveurs, parois, panneaux muraux, colonnes, vasques et plans, cabines, pare-bains, baignoire îlot… Une largeur d’offres qui se complète, comme de tradition, par de nombreuses nouveautés 2022 (Alpha solo, un espace ouvert sans contrainte, H20 Solo, une association paroi avec plan toilette et vasque, nouveaux panneaux muraux Kinewall Design pour une alternative au carrelage)…Catalogue Kinedo Balnéo 2022 : Imprimé en 30 000 exemplaires et également consultable en ligne, le catalogue Kinedo Balnéo dévoile, sur 86 pages, toute l’étendue des modèles de baignoires balnéo (d’exception, rectangulaires, d’angle ou asymétriques, combinés bain/douche) et des divers systèmes de massages Kinedo proposés (Star Mixte Digit, Duo Mass, Silence Air, Oxygen Pool Air, Mix Color, Vitalité, Sensation Airpool, Kineplus). Et 2022 voit la richesse de l’offre se compléter de nouvelles dimensions pour sa baignoire Zumba (170 x 75 cm, 170 x 70 cm) et de nouvelles compatibilités du système Vitalité qui peut désormais équiper les baignoires Samba, Java et Conga. Précisons de plus que Kinedo y présente également ses références dévolues au secteur de l’hôtellerie.Catalogue Kinedo SPA 2022 : Avec une édition 2022 de 60 pages, imprimée en 30 000 exemplaires et visualisable sur le site internet de l’industriel, Kinedo démontre une fois de plus toute son expertise et les qualités de sa fabrication française spécialement dédiées au monde du spa. Que l’on soit seul, à deux ou bien encore en famille, avec des spas tout équipés, à personnaliser ou encore prêt-à-poser, la riche collection des Spas Kinedo répond à chaque besoin, chaque envie. D’autant que l’on peut, selon l’humeur et le souhait du moment, jouer sur les nombreuses possibilités de massages ou encore y adjoindre les bienfaits de la chromothérapie ou de la musicothérapie pour une expérience spa des plus immersives et bénéfiques… Mentionnons là-encore, que Kinedo dispense des solutions adaptées aux collectivités avec de nombreuses combinaisons possibles et que 2022 voit l’arrivée de plusieurs innovations sur l’ensemble de la gamme (nouvelle coque pour le Magic Spa, nouvelle couleur de coque, trois tabliers sur l’offre Happy Spa…).