Toute l’actualité du bâtiment regroupée sur un seul site

Résultats de recherche pour centre commercial

(872 résultats)
Il y a 2 ans et 241 jours

Un plateau TV Bati-Journal à Batimat 2022

Organisé par Éditions des Halles et Batimat, avec le soutien de l’Interprofession nationale France Bois Forêt, les équipes de Bati-Journal vous retrouveront au cœur du salon Batimat pour une nouvelle édition de son plateau TV, animé par Stéphane Miget (rédacteur en chef de magazine 5façades et Planète Bâtiment). Véritable chaîne TV dédiée au monde du bâtiment, BATI-JOURNAL accompagne les grands événements du secteur afin de vous emmener au cœur de ces rencontres. Bati-Journal réunit dans une ambiance plateau TV des professionnels, des experts ou des politiques afin de débattre autour des enjeux du secteur. Autour des 4 grandes thématiques du salon : Préserver l’environnement Transformer les méthodes Bien vivre dans la ville de 2050 Valoriser les métiers Au travers de nos expertises sur les sujets : Construction bois Patrimoine & restauration Enveloppe du bâtiment Bâtiment durable Programme du plateau TV* (susceptible d’être modifié) : Lundi 03 octobre : 10h00 : Place et rôle des artisans et entreprises (Transformer les méthodes) avec Catherine Gillet (Pilote du Programme FEEBAT) et Aristide Belli (Chef de projet senir programme OSCAR) 11h30 : Bois-fôret : concilier construction et préservation de la ressource (Préserver l’environnement) avec Aymeric Albert (Directeur commercial Bois – ONF) 13h30 : Quelles infrastructures pour nourrir la ville en 2050 ? (Bien vivre dans la ville en 2050) avec Angel Menendez (Architecte – Atelier Lame) 14h45 : Développer l’intelligence de la main (Valoriser les métiers) avec Jérôme Carraz (Responsable de l’Institut de la charpente et de la construction bois – Les Compagnons du devoir) 15h45 : La parole à Piveteau Bois 16h15 : Retour d’expérience – Construction bois avec Benjamin Pirany (Architecte – HSP Architectes) 17h30 : Low Carbon – en partenariat avec Construction 21 avec Laetitia Belaube (Responsable de missions énergie-carbone – Artelia) Pierre-Yves Legrand (Directeur – Novabuild) et Christophe Rodriguez (Directeur général adjoint – IFEP)  Mardi 04 octobre : 09h30 : Préfabriquer avec le bois, pourquoi ? Comment ? Quelles innovations ? (Transformer les méthodes) avec Pierre Vaugoyeau (Directeur commercial – Maître Cube) 10h30 : La parole au CERIB avec Christophe Tessier (Directeur du Centre d’essais feu) 11h00 : Le bois, biosourcé par essence ? (Préserver l’environnement) avec Ambre Le Ferrec (Reponsable pôle 2nde transformation et suivi de la normalisation – Fédération Nationale du Bois) et Jérôme Martinez (Responsable du label Bois de France) 11h00 : La parole à Cadwork avec Denis Roblin (Directeur vente France) 12h00 : La parole au SNBVI 13h30 : Patrimoine et centre-ville, moteurs de la revitalisation urbaine ?  (Bien vivre dans la ville en 2050) avec Etienne Bourdais (Head of innovation projects – Vinci) 15h00 : Les métiers et savoir-faire du patrimoine au service de la construction à plus faible impact carbone (Valoriser les métiers) avec Jérôme Carraz (Responsable de l’Institut de la charpente et de la construction bois – Les Compagnons du devoir) et Frédéric Letoffé (Vice-Président – GMH) 16h15 : Retour d’expérience – Patrimoine & Restauration avec Élodie Heberlé (Responsable d’études énergie et environnement – Cerema) 17h00 : La parole à Actis 18h00 : Émission spéciale sur Le Prix National de la Construction Bois Mercredi 05 octobre :  09h30 : Construction métallique, polyvalence et design : dernières évolutions (Transformer les méthodes) avec Pascal Bonaud (Délégué général – ConstruirAcier) et Peggy Schouller (Head of Business Development France – Arcelor Mittal) 10h30 : La parole Simpson Strong-Tie 11h00 : Bois, biosourcés et géosourcés (terre crue et pierre) : les matériaux des circuits cours ? (Préserver l’environnement) avec Yves Hustache (Associé-fondateur – Karibati), Alec Bickersteth (Chef de projet Filière, Emploi & Formation – Fibois Île-de-France) et Ghislain Moret de Rocheprise (Directeur marketing et commercial – ISOL’en Paille) 12h00 : La parole au SNBVI 13h15 : La parole à Hellio avec Arthur Bernagaud (Directeur des opérations BtoC) 14h00 : La parole à SADEV 14h30 : La parole à Eiffage avec Thomas Doyon (Directeur Eiffage Immobilier Solutions Industrialisées)  15h00 : Focus Façadier (Valoriser les métiers) avec Vincent Bes (Directeur régional ouest – Wicona) et Sandrine Bertin (Déléguée générale – SNFA) 16h15 : Retour d’expérience – Enveloppe du bâtiment avec Myriam Humbert (Directrice de projets recherche et développement – Cerema) 17h30 : Low Tech – en partenariat avec Construction 21 avec Catherine Papillon (Directrice DD/RSE – BNP Real Estate), Anne Keusch (Directrice DD & Innovation – Groupama Immobilier) et Charlotte Girerd (Directrice Transition, RSE & Innovation – SNCF Immobilier) Jeudi 06 octobre : 09h30 : Audit : étape cruciale pour bien rénover (Transformer les méthodes) avec Xavier Bernard (Délégué régional Île-de-France – AQC) et Étienne Duhot (Responsable de projet – Hellio) 11h00 : Favoriser la réutilisation et la transformation des bâtiments existants (Préserver l’environnement) 12h00 : La parole au SNBVI 13h00 : Renaturer la ville (Bien vivre dans la ville en 2050) avec Sophie Rousse-Rivière (Déléguée générale de l’Advient) 14h15 : Focus Prescripteur bois (Valoriser les métiers) 15h15 : Retour d’expérience – Villes & constructions durables avec Laurent Arnaud (Directeur du domaine bâtiment – Cerema) Toutes les vidéos des émissions seront à retrouver dès le lundi 03 octobre sur la chaîne YouTube de Bati-Journal et sur les sites de nos partenaires institutionnels et médias. En partenariat avec les magazines 5façades, Atrium, Planète Bâtiment et Wood Surfer. Participez à l’événement et commandez votre badge d’accès gratuit avec le code BPA22ATCPR sur le site de batimat.com
Il y a 2 ans et 241 jours

Découvrez le centre de coût sur wurth.fr

La fonctionnalité « centres de coût » permet à l’acheteur de choisir l’entité à laquelle il souhaite imputer la facture d’une commande. Il peut s’agir d’un site géographie en particulier, d’un service, etc. Lors de la validation de la commande l’acheteur précisera le code de l’entité concernée et le comptable le retrouvera ensuite sur la facture. Ce nouveau service a pour objectif de faciliter et d’optimiser la comptabilité des clients.Pour mettre en place un circuit de validation, le client peut contacter son conseiller commercial qui se rapprochera de la Hotline Eshop.Découvrez également une vidéo tuto pour la mise en place de cette fonctionnalité.
Il y a 2 ans et 244 jours

Bas-Rhin : une seconde jeunesse pour le centre commercial Place des Halles à Strasbourg

Divers travaux de modernisation ont été effectués dans le centre commercial Place des Halles à Strasbourg (Bas-Rhin). Le centre commercial...
Il y a 2 ans et 244 jours

Bas-Rhin : une seconde jeunesse pour le centre commercial Place des Halles à Strasbourg

Divers travaux de modernisation ont été effectués dans le centre commercial Place des Halles à Strasbourg (Bas-Rhin). Le centre commercial...
Il y a 2 ans et 250 jours

Seine-et-Marne : poursuite de la restructuration du centre commercial de la rue Pablo-Picasso à Combs-la-Ville

Une opération d’aménagement a débuté sur le chantier du nouveau centre commercial de la rue Pablo-Picasso à Combs-la-Ville...
Il y a 2 ans et 252 jours

mall of sousse le centre commercial le plus grand de la tunisie

Aucune description
Il y a 2 ans et 256 jours

Pour construire demain, ensemble, France Matériaux fait monter en compétence ses adhérents

FRANCE MATÉRIAUX s’appuie sur son centre de formation certifié Qualiopi pour faire monter en compétence ses adhérents afin de les préparer à relever les défis d’aujourd’hui et de demain. L’objectif : assurer, ensemble, la pérennité du groupement de négoces en matériaux indépendants. « MANAGER D’UN CENTRE DE PROFIT », PRÉPARER L’AVENIR DES ADHÉRENTS L’organisme de formation certifié Qualiopi de FRANCE MATÉRIAUX a élaboré avec l’Institut d’Administration des Entreprises (IAE) de Lyon le parcours de formation « Manager d’un centre de profit » pour aider ses adhérents à développer les compétences de leurs collaborateurs susceptibles de reprendre leur entreprise. D’une durée de 9 mois, la première promotion, qui a accueilli 9 stagiaires, a été dispensée, de Septembre 2021 à Juin 2022, par une équipe pédagogique composée d’intervenants extérieurs de l’IAE. En présentiel et à distance, les sessions sont réparties en 7 modules spécifiques pour donner toutes les clés aux futurs dirigeants : • gestion de projet, • pilotage d’un budget et de son activité, • marketing, • achats, • commercial, • stratégie digitale, • management des équipes. A l’issue de ce parcours, chaque apprenant soutient son projet professionnel devant un jury au sein du centre de formation de FRANCE MATÉRIAUX à Chambéry afin d’obtenir son certificat. Répondant à un réel besoin, la prochaine session, qui débutera en Septembre 2002, a d’ores et déjà réuni 9 inscriptions. DES FORMATIONS TECHNIQUES POUR RELEVER LES DÉFIS D’AUJOURD’HUI ET DE DEMAIN En parallèle, FRANCE MATÉRIAUX a mis en place une dizaine de sessions de formations techniques sur la RE2020 et les Certificats d’Économie d’Énergie depuis le début de l’année. Animées par des prestataires extérieurs, elles ont pour objectif de renforcer l’expertise et la capacité de conseils des participants. Ces dernières se sont déroulées dans différentes villes (Lyon, Toulouse, Nancy, …) pour être au plus proche des adhérents du groupement ou en distanciel. Bénéficiant de la certification Qualiopi, le centre de formation de FRANCE MATÉRIAUX constitue une véritable aide pour les adhérents du groupement puisqu’il s’occupe non seulement de la prise en charge des formations par les OPCO (Opérateurs de Compétence) mais aussi parce qu’il les aide à construire demain, ensemble. Accueil
Il y a 2 ans et 257 jours

Essonne : Réaménagement du centre commercial de la Verville à Mennecy.

Des travaux de requalification du centre commercial de la Verville ont été menés par la municipalité de Mennecy (Essonne) depuis le début de l’été.
Il y a 2 ans et 278 jours

L'immobilier algérien fait salon en France pour la 1ère fois

Au programme : un large panorama de l’offre immobilière algérienne, exclusivement dans le neuf, enrichi par des journées thématiques pour informer les visiteurs et les aider à construire leur projet en Algérie.Co-organisé par "OK AGENCE", une agence d'évènementiel française basée à Nîmes et "Lepestate.com", agence immobilière basée à Alger, leurs équipes ont su rester fortement mobilisées pendant la crise sanitaire, et continuent à travailler d'arrache pied pour la réussite de cet évènement, qui a été reporté 2 fois à cause de la crise du COVID-19.Pour Karina Tifoura, co-Organisatrice du SINA PARIS et Directrice de OK AGENCE : "Le SINA PARIS participe pleinement à la dynamique économique entre la France et l'Algérie, et se positionne comme un rendez-vous incontournable, d'une part, pour les membres de la diaspora algérienne de France ayants le projet d’achat ou de construction d’une maison individuelle en Algérie, et d'autre part, pour tous les opérateurs économiques français souhaitant pénétrer le marché du BTP en Algérie."Promoteurs immobiliers, organismes de financement, spécialistes en droit immobilier, architectes urbanistes, le SINA PARIS réunit pour la première fois à l'étranger, les futurs acquéreurs de la diaspora et plus de 25 professionnels de l’immobilier venus de l'est, du centre et de l'ouest de l'Algérie.Pour Sofiane Ouhab, Directeur de Lpestate.com et co-Organisateur du SINA PARIS : "En cette période de ralentissement de l'économie mondiale, il est plus que jamais nécessaire, de développer plus de perspectives commerciales entre les deux rives de la Méditerranée."
Il y a 2 ans et 284 jours

Seine-et-Marne : travaux jusqu’au 25 août 2022 sur l’A5a

Des travaux de rénovation sont actuellement menés sur plusieurs échangeurs de l’A5a, dans le secteur du centre commercial Westfield Carré Sénart à Lieusaint, en Seine-et-Marne.
Il y a 2 ans et 287 jours

Le CIE veut sensibiliser les particuliers à une consommation de l'eau plus raisonnable durant l'été

Les particuliers, eux aussi sont impactés par des interdictions d’arrosage de jardins d’agrément, de potagers, de lavage de véhicules, remplissage des piscines etc...Il existe des gestes simples pour ne pas gaspiller l'eau, sans forcément perdre en confort.Bien sûr, ne pas laisser couler l'eau, limiter l'arrosage, mieux s'équiper, mieux consommer... Mais pourquoi, et surtout quel intérêt exactement ?Sensibiliser l'opinion fait partie de l'ADN du Centre d'Information sur l'Eau. Pour arriver ensemble à se mobiliser, les équipes du CIE sont convaincues qu'il est indispensable de bien expliquer les tenants et les aboutissants des enjeux auxquels nous faisons face.Des injonctions sans une bonne compréhension sont vaines.Restrictions d'eau, pourquoi ? La France a soif : il n'y a pas eu assez de pluie, les nappes phréatiques ne sont pas rechargées et les épisodes de canicule aggravent la situation. L'augmentation des températures a accentué l'évaporation des sols qui se sont asséchés. Seuls 5 départements échappent désormais à des restrictions d'eau imposées pour faire face à l'insuffisance des ressources.Restrictions d'eau, c'est quoi ? Ces mesures exceptionnelles de limitation et parfois même de suspension concernent tous les usages de l'eau. Les particuliers sont appelés, au même titre que les agriculteurs, les industriels, ou encore les activités commerciales et artisanales limiter leurs usages de l'eau.Etablies par arrêté préfectoral, ces mesures de restriction d'usage de l'eau prévoient l'interdiction d'arrosage aux heures les plus chaudes (généralement de 8h à 20h) et une réduction de consommation, notamment pour les agriculteurs et les industriels. Les espaces publics sont également concernés (interdiction d'arrosage de jardins, fermeture des fontaines...).
Il y a 2 ans et 290 jours

Centre commercial GINKO 2, un projet hors norme sur Bordeaux

Dessiné et conçu par le cabinet international L35 Architecture, ce projet hors norme a fait l’objet d’un traitement particulier par l’entreprise COVERIS, spécialiste dans la fabrication et la mise en œuvre de solutions à hautes valeurs techniques et architecturales. Le savoir-faire de l’entreprise s’est particulièrement concentré sur la réalisation des façades mur rideau vitrées, notamment sur les espaces commerciaux et de restauration des lots P7, P5, P4 et P3. Comme le souligne Damien ROMANI, directeur commercial et développement chez Coveris, « l’objectif était d’avoir une façade lisse, proche de l’aspect VEC, en intégrant différentes contraintes et notamment le calcul des verres bombés qui se situent sur un des îlots tout en ayant une économie de projet qui permettait d’y répondre favorablement ».Des façades aux vitrages bombés et clamés de grande dimensionAfin d’obtenir une façade vitrée lisse de type VEC, le choix s’est orienté vers le système CW60 SC à vitrage clamé qui offre l’avantage d’une structure porteuse à la vue d’aluminium réduite de 60mm de largeur. « L’utilisation du système à vitrage à clamer permet de s’adapter parfaitement à l’esthétique recherchée d’une façade lisse. Cette solution reste une solution intermédiaire intéressante entre la façade mur rideau à serrage et la façade VEC » précise Damien ROMANI. Le caractère hors norme du projet se traduit notamment par la mise en œuvre de vitrages de 5m de haut allant jusqu’à 1,8m de large, ayant un poids unitaire de 440kg. L’exigence de performance thermique élevée a trouvé sa réponse par l’intégration de triples virages, à l’image de la zone de restauration du lot P4. Comme précisé par le responsable technique « une attention particulière a été portée sur les aspects environnementaux du projet, ce qui a donné lieu à l’obtention d’une certification BREEAM pour les commerces.Le caractère singulier du projet provient également des vitrages des murs rideaux qui ont nécessité une étude approfondie. Le principe mis en œuvre est un patchwork de 2 à 3 couches de sérigraphie en bande filante verticale sur chaque vitrage, avec des zones de positionnement qui se chevauchent et d’autres ouvertes procurant ainsi, côté extérieur, une véritable sensation de volume et de profondeur aux façades des bâtiments. Des adaptations spécifiques pour le traitement des façades mur rideauDestiné à recevoir un large éventail de marques commerciales, les façades mur rideau des différents lots ont fait l’objet d’adaptations spécifiques et notamment l’intégration dans la structure porteuse de points d’ancrage pour la mise en œuvre de la signalétique de chaque enseigne. Afin de conserver la cohérence architecturale de l’aspect lisse et continue de la façade CW60 SC, des pièces de fixation ont été conçues, garantissant ainsi la parfaite résistance des garde-corps situés sur le rooftop du bâtiment P7.L’aboutissement d’un travail conjointLa solution technique de la façade mur rideau CW60 SC utilisée sur le projet Ginko 2 est issue de la collaboration entre Reynaers Aluminium et l’entreprise Coveris. Comme le souligne Damien ROMANI « le système technique existait dans la gamme des solutions proposées par le groupe Reynaers, mais demandait des adaptations afin de répondre aux réglementations et aux exigences du marché Français ». Le traitement des façades avec le mur rideau à clamer est le résultat d’une collaboration qui s’est exprimée sur de précédentes opérations qui ont donné lieu à plusieurs ATEX. « On a fait valoir ces expériences communes en s’appuyant sur les justifications des ATEX précédentes. Cette réalisation est une forme de capitalisation sur les développements que nous avons faits ensemble sur la base du système CW60 SC » précise le responsable technique du projet Ginko 2.Informations ProjetsCalendrier du projet :2017-2018 : études techniques façades2019-2020 : fabrication et pose des façades2020-2021 : livraison Intervenants :Maître d’ouvrage : Bouygues ImmobilierAgence d’architecture : cabinet L35 Architecture (Paris)Maîtrise d’oeuvre d’exécution : EGIS Bâtiment Sud OuestAMO certification : ELAN Bureau d’études structure : BET Le Joncour et SSOEntreprise de menuiseries : société COVERISSolutions techniques utilisées :Façade mur rideau à clamer CW60 SC Pièces de fixation spécifiquesRAL 9007
Il y a 2 ans et 297 jours

URW retrouve une activité proche de l'avant Covid-19

Le bénéfice récurrent net du groupe, l'indicateur de référence du secteur, a lui aussi connu une forte hausse de 50,5% par rapport au premier semestre 2021, à 711 millions, profitant de l'amélioration de la situation sanitaire."Le chiffre d'affaires des commerçants dépasse les niveaux de 2019" pour le deuxième trimestre, indique le groupe dans un communiqué. "Le pic de la crise était en 2021 pour URW", note Jean-Marie Tritant, le président du directoire du groupe."La reprise enregistrée au deuxième semestre de 2021 s'est améliorée au premier semestre de 2022, malgré les effets persistants de la pandémie", ajoute M. Tritant, évoquant la fermeture de certains centres aux Pays-Bas. La branche expositions d'URW, qui comprend notamment les parcs des expositions de Villepinte et de la Porte de Versailles à Paris, affiche des bons résultats en raison de la fin des mesures sanitaires. Elle bénéficie aussi de l'aide de l'État français de 25 millions d'euros en compensation des fermetures des années précédentes, indique le groupe dans son communiqué.La fréquentation de ses centres commerciaux n'a cependant toujours pas rattrapé les niveaux d'avant la pandémie: elle s'élève au premier semestre à 85% des niveaux de 2019 à la même période en Europe continentale, et à 89% aux Etats-Unis.La vacance dans les centres commerciaux est en très légère baisse, à 6,9% contre 7% à la fin de l'année 2021. Elle reste stable en Europe continentale, à 4%.Le groupe a réalisé 80% de son programme de 4 milliards d'euros de cession en Europe, dans un objectif de désendettement.Aux Etats-Unis, dont URW veut se désengager courant 2022-2023, "nous avons poursuivi la rationalisation de notre portefeuille d'actifs", indique M. Tritant dans le communiqué, avec la vente du terrain à bâtir de l'ancien centre commercial Promenade, dans la vallée de San Fernando en Californie. "Nous sommes en discussions actives concernant la vente d'autres actifs régionaux", explique le président du directoire du groupe, sans plus de précisions.Pour seule prévision pour l'année 2022, "dans un contexte global incertain", URW révise à la hausse son bénéfice net récurrent ajusté par action, "de 8,20-8,40 euros à au minimum 8,90 euros".
Il y a 2 ans et 298 jours

Klépierre confirme sa remontée au 1er semestre

Le chiffre d'affaires du groupe au premier semestre a atteint 613,8 millions d'euros, en hausse de 29,1% sur un an.Le chiffre d'affaires de ses locataires, de grandes enseignes commerçantes, a été lesté en janvier par les dernières mesures sanitaires liées à la pandémie de Covid-19, aux Pays-Bas et en Allemagne, et par le port obligatoire du masque dans certains magasins.Ses revenus locatifs nets, eux, ont bondi de 55,2% à 490,3 millions. La foncière, qui gère une centaine de centres commerciaux en Europe, notamment en France (Val d'Europe, Créteil Soleil) et en Italie, ses premiers marchés, a néanmoins rattrapé "à 95%" ses niveaux de fréquentation de 2019."Dans un contexte de tensions dans l'approvisionnement et de hausse des prix, le groupe maintient ses efforts en matière de réduction des coûts de l'énergie", a expliqué son patron.Par ailleurs, l'impact de l'inflation sur ses coûts d'exploitation devrait être limité pour 2022, ceux-ci ayant été "contractualisés" pour un an au 1er janvier 2021, a précisé M. Jestin à l'AFP.Le spécialiste européen du centre commercial relève ainsi ses perspectives pour la fin de l'année et escompte un cash-flow net courant "d'au moins 2,45 euros par action", soit une augmentation de 5,4% par rapport à l'objectif initial.
Il y a 2 ans et 302 jours

Les maisons saoudiennes se mettent aux tendances architecturales

Mais en 2020, en plein confinement, ce Saoudien de 52 ans a décidé de donner un coup de jeune à sa demeure : un patio donnant sur la rue, des murs en travertin gris et des fleurs dans le jardin."Nous avions deux choix : construire une nouvelle maison ou rénover l'ancienne", confie ce responsable des ressources humaines, en faisant visiter sa maison."Nous avons fait un pas vers l'amélioration de notre mode de vie", se réjouit-il.Ce père de famille a également égayé son jardin avec une piscine, un hamac et des amandiers importés de Thaïlande : un nouveau lieu de détente pour sa femme et ses sept enfants."Maintenant, il y a une utilisation optimale de l'espace", se félicite M. Madini.Selon des architectes et ingénieurs locaux, ces nouvelles tendances sont devenues l'archétype des projets de rénovation et de construction en cours à Ryad, avec des Saoudiens en quête de maisons chaleureuses plutôt qu'imposantes."Grand impact social"Dans un contexte de réformes sociales ces dernières années, l'Arabie saoudite a ainsi connu une "ouverture architecturale", constate Abdallah al-Jasser, propriétaire de l'agence de design qui s'est occupée de la maison de M. Madini."Les gens sont plus ouverts au changement et aux tendances", observe M. Jasser, ajoutant qu'ils y sont d'autant plus incités que l'achat de terres pour construire de nouvelles maisons est devenu très coûteux à Ryad.A l'image du pays, l'architecture de la capitale reste très austère avec pour seule fantaisie de minuscules fenêtres triangulaires typiques du Najd, la région centrale du royaume.La petite taille de ces fenêtres s'explique par le besoin de s'isoler du soleil, dans un pays où les températures tournent autour des 40 degrés Celsius une grande partie de l'année.Ces petites fenêtres offrent également "une plus grande intimité aux familles", ajoute Ali al-Luhidan, un architecte saoudien.Mais selon lui, et d'autres défenseurs d'une architecture plus moderne, ces espaces de vie mal éclairés et mal ventilés ont eu "un grand impact social" en contribuant à "une culture de fermeture sur soi".En 2018, les autorités ont rendu obligatoire, pour les nouveaux bâtiments, la présence de fenêtres plus grandes, en partie au nom de la santé publique, le soleil étant jugé essentiel au bon fonctionnement de l'organisme.De plus en plus de salons disposent ainsi de "baies vitrées donnant sur l'extérieur", se réjouit M. Luhidan : "tout est ouvert et c'est une nouvelle culture en Arabie saoudite"."Sans restriction"D'autres évolutions viennent aussi avec l'assouplissement des normes sociales promu par le jeune prince héritier Mohammed ben Salmane, dirigeant de facto qui, depuis cinq ans, tient son royaume d'une main de fer.Auparavant, la plupart des maisons comportaient des entrées et salons séparés pour les hommes et les femmes. Alors que la mixité se banalise dans les lieux publics, les villas n'abritent qu'une seule salle de réception pour optimiser l'espace, observe l'architecte M. Luhaidan.Et les nouvelles tendances ne se limitent pas qu'aux quartiers résidentiels, les grands centres commerciaux et d'autres espaces publics s'y mettent aussi.L'une des principales causes du changement : la fin, depuis 2019, de l'obligation de la ségrégation sexuelle, qui imposait aux restaurants d'avoir des entrées et espaces strictement séparés entre les familles et les hommes seuls."Les anciens designs répondaient à une culture de la séparation et de la ségrégation", explique Mohammed Abdelmoneim, chargé du design professionnel au sein d'une société de développement immobilier. Pour lui, la réforme a provoqué un "changement radical".Le Riyadh Front, un complexe commercial et gastronomique haut de gamme doté de fontaines et d'une promenade bordée d'arbres, rassemble ainsi des clients de tous âges, hommes et femmes, surtout après le coucher du soleil."Ces espaces ouverts connaissent un grand succès", assure M. Abdelmoneim, car "les gens y communiquent tous entre eux sans aucune restriction".
Il y a 2 ans et 307 jours

Les défaillances d'entreprises s’accélèrent avec une hausse de 49% sur un an

Avec 9.826 procédures collectives ouvertes entre le 1er avril et le 30 juin, le niveau des défaillances augmente de 49% par rapport au 2ème trimestre 2021, après avoir atteint +35% au 1er trimestre. La hausse s’accélère. Sur 12 mois glissés, on enregistre une augmentation générale de 15% pour 34.200 jugements. Les niveaux sont au plus haut depuis octobre 2020. S’ils restent inférieurs à ceux de 2019, année de référence pré Covid, l’écart se resserre. Avec 800 entreprises qui tombent en défaut chaque semaine, les courbes laissent présager un total de 37.000 défauts sur l’année 2022.Les secteurs d’activité B2C (service à la personne, restauration, commerce) sont les plus fragilisés et les jeunes structures créées juste avant ou pendant la crise sont en souffrance (+136%). Les PME, avec 731 procédures ouvertes en 3 mois, dépassent les seuils de 2019. Dans les territoires, la hausse concerne toutes les régions. La tendance est particulièrement marquée dans les Hauts de France, où le nombre de procédures double, et en Centre Val-de-Loire, qui dépasse ses niveaux d’avant crise.Pour Thierry Millon, directeur des études Altares : « Les chiffres de fin 2021 et du premier trimestre 2022 démontraient un retour à la réalité sur le front des défaillances. Depuis février, la tendance à la hausse s’accélère nettement avec une augmentation mensuelle moyenne de 45%. Nous approchons désormais des niveaux observés en 2019, période de référence d’avant crise. Les plus petites entreprises de moins de 3 salariés sont les plus touchées, en particulier les plus jeunes, qui présentent des taux de liquidation identiques à 2019. Autre signal d’inquiétude, les PME sont aussi de plus en plus nombreuses à faire défaut et retrouvent des seuils identiques à l’avant crise. »En hausse de 49,2% au 2ème trimestre 2022, le nombre de défaillances d’entreprises se rapproche des niveaux d’avant crise Covid9.826 entreprises sont tombées en défaillance entre le 1er avril et le 30 juin 2022, soit une hausse de 49,2% par rapport à la même période de 2021. L’augmentation est nette et de plus en plus rapide mais les niveaux restent encore très inférieurs à ceux du printemps 2019 et ses 12.300 procédures.Sur 12 mois glissés, 34.200 entreprises ont fait défaut. La hausse générale est «seulement» de 15% en raison des niveaux de juillet à octobre 2021 qui étaient encore à la baisse (-16%). En tendance annuelle, les volumes de défaillances sont donc plutôt similaires à la situation de fin 2020. (35.500 en octobre 2020 et 34.000 en novembre 2020 sur 12 mois glissés). Avec 289 dossiers enregistrés ce trimestre, le nombre de procédures de sauvegarde est au plus haut depuis 2018 et augmente de 75%. Ce dispositif représente cependant seulement 3% de l’ensemble des procédures. Les procédures de redressement judiciaire (RJ) sont en hausse rapide de 55,5% pour 2325 jugements prononcés. Elles représentent moins d’un jugement sur quatre (24%), un taux très en-dessous des 30% relevés au 2e trimestre 2019. 73% des jugements se concluent sur des liquidations judiciaires directes (LJ), un taux très supérieur aux niveaux observés traditionnellement (68%). Elles ont visé 7212 entreprises, soit une augmentation de 46,4%.La détresse des jeunes entreprises « Covid »La création d’entreprises n’a jamais été aussi dynamique. Alors que l’Insee annonçait un record de près d’1 million de nouvelles immatriculations pour la seule année 2021, 2,6 millions d’entreprises ont vu le jour en 3 ans, dont 700.000 sociétés commerciales. Mais ces structures commerciales sont aussi les plus fragiles. Elles représentent 85% des défaillances et même 93% des défaillances d’entreprises de moins de 3 ans. Certes, on crée plus d’entreprises mais on en perd plus.Un des indicateurs les plus marquants de ce trimestre concerne justement les jeunes structures dont les niveaux de défaillances explosent de 136%, avec 1750 procédures ouvertes. 1411 d’entre-elles ont été directement liquidées, un nombre très proche de celui du 2e trimestre 2019 (1431). Les jeunes restaurateurs (272), particulièrement fragilisés, sont quasi cinq fois plus nombreux qu’un an plus tôt à faire défaut.Les PME défaillantes quasi aussi nombreuses qu’avant la crise93% des entreprises en cessation de paiement sont des TPE, une part relativement constante. Avec 9095 procédures enregistrées, leur nombre augmente de 47% sur un an.Du côté des PME, la hausse s’accélère bien plus nettement. Avec 731 cessations contre 420 un an plus tôt, le niveau des défaillances augmente de 74%. In fine, les PME affichent des volumes similaires à la période d’avant crise.Une tendance d’autant plus marquée dans les PME des services informatiques (+100%) et du transport routier de marchandises (+200%).Les défaillances en hausse dans quasi tous les secteursPour Thierry Millon, directeur des études Altares : « Ce premier semestre se termine sur une tendance sans équivoque : la remontée des défaillances amorcée en fin d’année dernière est très nette. Pourtant le climat des affaires ne s’effondre pas, en dépit d’un alignement de facteurs géopolitiques et macroéconomiques qui inciteraient à l’attentisme. L’inflation, la flambée des prix de l’énergie, les ruptures de chaînes d’approvisionnement, la fermeture de certains marchés ralentissent la croissance mais l’économie tient et les entreprises résistent. Sur ces 12 derniers mois, plus de 34.000 sociétés sont tombées mais nous sommes encore loin des pics de la crise financière de 2008 qui dépassaient les 64.000, ni même les 52.000 procédures enregistrées en 2019. Notre tissu d’entreprises résiste donc mais les courbes que nous observons doivent nous préparer à enregistrer entre 35.000 et 40.000 défauts à la fin de l’année. Car le spectre de la récession plane et les entreprises ne pourront continuer à piocher éternellement dans leur trésorerie en attendant la reprise de la consommation des ménages. L’épargne des Français continue toujours d’augmenter. La Banque de France estime l’épargne totale à 319 milliards d’euros au 1er trimestre 2022, dont 151 milliards sont dus au « surplus Covid ». Pour aider les entreprises à faire face, l’exécutif déploie de nouveaux dispositifs de soutien comme l’ouverture d’un guichet d’aide « gaz & électricité » ou le maintien du plan d’accompagnement de sortie de crise (cf. encadré ci-dessous). Pour l’heure, Altares observe que les retards de paiement sont encore globalement maitrisés. Un signal d’autant plus important alors que la relation fournisseur et la résilience des chaines d’approvisionnement ont été particulièrement malmenées au gré des confinements successifs et de la guerre en Ukraine. Le Gouverneur de la Banque de France écarte pour le moment l’hypothèse d’une récession pour ces prochaines années. L’incertitude commande donc à la prudence. La vigilance et le pilotage au plus près de ses portefeuilles d’entreprises clientes et fournisseurs est de mise. Mais in fine, la résilience pourrait bien se confirmer cette année encore comme le maître mot de nos entreprises. »
Il y a 2 ans et 317 jours

Moselle : Béton Stone Consulting : Une palette de solutions industrielles

Article paru dans le n° 101 de Béton[s] le Magazine BSC intervient sur un large périmètre de l’industrie du béton. [©BSC] Centrales à béton, équipements pour carrières et préfabricants, cimentation nucléaire ou encore impression 3D, Béton Stone Consulting (BSC) intervient sur un large périmètre de l’industrie du béton. A sa création en 2006, à Etzling, par Sylvain Adam, l’entreprise se spécialise dans le conseil. L’objectif ? Accompagner les professionnels de la préfabrication et contribuer à l’amélioration des process industriels et des formulations existantes. Au fur et à mesure des années, l’activité “conseil” s’amenuise pour laisser place à la partie commerciale. Entre 2008 et 2010, BSC commence à proposer des malaxeurs coniques. Puis, dès 2015, elle s’intéresse aux systèmes de pompages des bétons et développe tout une usine de production de mortier au Moyen-Orient. Cette période marque aussi le début d’une ouverture à l’international. Depuis 2021, BSC se concentre sur la commercialisation de process pour les industriels du béton à l’étranger. Retrouvez l’actualité des entreprises en région Grand-Est L’entreprise ne propose pas seulement des centrales à béton, elle fournit aussi des composants pour constituer et compléter les centrales ou des installations spécifiques. Elle dispose aussi de stations de micronisation dans son catalogue. Dans le domaine des malaxeurs, l’entreprise a su parfaire son expertise. En plus de l’outil en lui-même, BSC fait du conseil sur les dosages des composants : fibres, colorants, adjuvants. Mais aussi, sur le transfert et le dosage des bétons frais et des produits finis, sur le pompage ou encore sur le recyclage des eaux de lavage et des retours béton. Pour les années à venir, BSC compte bien suivre les évolutions industrielles du béton et toujours proposer les solutions les plus innovantes. Aujourd’hui, elle compte 9 collaborateurs et 8 partenaires parmi lesquels Kniele, Eco-Frog, Klein ou encore Mantis ULV. Article paru dans le n° 101 de Béton[s] le Magazine
Il y a 2 ans et 320 jours

Wolf France, spécialiste de systèmes de chauffage, climatisation et ventilation, dresse un bilan positif de 2021

Une marque de confiance, pionnière dans le confort intérieurSpécialiste de systèmes de chauffage, de climatisation et de ventilation, WOLF se donne chaque année pour mission de répondre aux besoins les plus essentiels de chacun en termes d’eau, d’air et de chaleur pour un confort de vie au quotidien. Cet objectif s’est affirmé grâce à une large gamme de produits conçus avec des technologies ultra-modernes et dont la qualité et les hautes performances sont hors pair. De plus, tous les appareils de la marque se coordonnent parfaitement et peuvent être combinés ensemble, pour une gestion totale et globale du confort intérieur en résidentiel comme en tertiaire.Les distributeurs eux-mêmes sont conquis« La maintenance sur vos produits est vraiment facile, et rapide. La conception de vos produits est ingénieuse; vous vous mettez bien à la place des installateurs On voit bien que vous avez travaillé sur plein de détails qui nous facilitent la vie… La Wolf App est d’une simplicité exemplaire; on y trouve facilement toutes les pièces, avec les vues éclatées; et votre «inspecteur erreur» donnent bien les réponses attendues. Bravo pour votre service technique ; surtout n’en changez pas ! Vos techniciens à la hotline décrochent vite, et sont compétents. Félicitations pour votre logistique; la livraison à J+1, pour toute commande avant 12h30, marche parfaitement bien et est plus qu’appréciable. Les collaborateurs Wolf sont vraiment réactifs; on sent bien le sens du service, c’est très appréciable. WOLF en France, c’est un peu une grande famille; on connaît les gens par le prénom. Et on voit bien qu’ils se décarcassent pour nous. Quand je vois vos produits, je dis chapeau la qualité! Je peux proposer ça en toute tranquillité à mes clients. » La qualité PREMIUM comme ligne directriceLa qualité des produits WOLF n’est plus à prouver. WOLF veille à améliorer en continu ses technologies afin de proposer de nouvelles solutions toujours plus adaptées aux besoins futurs de la population et avec une qualité irréprochable « Made in Germany ».L’ensemble des produits WOLF chauffage sont PREMIUM et sont imaginés, créés et fabriqués dans leur usine à Mainburg en Bavière. 5 ans de garantie sont valables pour toutes les chaudières à condensation de 2e génération, pompes à chaleur et ventilations résidentielles. Outre la qualité que WOLF se fixe dans la fabrication de ses produits, l’entreprise a maintenu des délais de production courts en pleine crise de Covid-19 pour suivre l’exigence qu’elle s’est donnée. En pleine pandémie, WOLF est fière d’avoir continué à livrer ses clients dans les plus brefs délais, réel défi alors que les matières premières venaient à manquer.Le « Made in Germany » aspire aux quatre coins du monde à une image de qualité, de haut de gamme et de fiabilité reconnus depuis des décennies. Le label allemand est l’une des indications de provenance les plus réputées au monde, voire la plus prestigieuse.Les chiffres clés de l’année 2021Le C.A a connu une progression exceptionnelle de 50%Le C.A de WOLF Europe est de 500M€Toutes les familles de produits ont progressé : + 36% sur le gaz, + 183% sur les pompes-à-chaleurDes ambitions fortes pour l’année 2022Une entreprise pérenne qui recruteAvec plus de 3.000 employés à son actif, WOLF développe ses équipes d’année en année. En 2021, la structure a accru sa force commerciale (itinérante et sédentaire) pour accompagner son développement. 4 commerciaux ont rejoint l’équipe chauffage, basée à Lyon, et un chef de produit a également intégré les équipes pour superviser le lancement de la nouvelle gamme de pompes à chaleur FHA.Focus sur les produits phares de 2022WOLF développe son offre et va proposer une nouvelle gamme complète de pompes-à-chaleur monoblocs attendue pour l’automne 2022. Le segment des pompes-à-chaleur Air-Eau monoblocs est celui qui connaît la plus forte croissance (+ 82% en France en 2021). Ces produits, plus faciles à installer que les bi-blocs, répondaient à une demande constante de la part des clients. Les installateurs en rêvaient, WOLF l’a fait.La satisfaction client comme priorité continuePour cette nouvelle année, WOLF souhaite consolider ses liens personnels avec ses clients. Pour ce faire, les équipes ont pour projet de réaliser des présentations produits par le biais de quatre camions de démonstration qui parcourent la France. WOLF souhaite ainsi renforcer sa présence dans des départements français.Les équipes sont également mobilisées afin de réaliser des formations dans leur 4 centres de formation et comptent créer des événements destinés à leurs clients. En 2022, le positionnement de WOLF sur le marché de la pompe à chaleur sera confirmé grâce à la commercialisation d’une toute nouvelle gamme inédite, qui vient asseoir le statut d’expert de la marque sur son marché.
Il y a 2 ans et 323 jours

Au Caire, les maisons flottantes menacées de disparition

"J'ai réalisé un rêve en achetant cette péniche, je l'ai aménagée pour accueillir mes petits-enfants et y passer mes derniers jours", raconte à l'AFP l'écrivaine Ahdaf Soueif.Mais bientôt le Nil pourrait ne plus bercer ces maisons perchées sur des caissons en métal le long du quartier populaire d'Imbaba face à la très chic île de Zamalek.Déjà, certaines ont été emportées car les habitants ont reçu le 20 juin un ordre d'expulsion sous deux semaines --sans proposition de relogement ou de dédommagement.Elles pourraient être remplacées par cafés, hôtels et restaurants bien plus rentables pour l'armée, toujours aux commandes en Egypte depuis la fin de la monarchie et en position dominante dans les domaines de l'aménagement et des infrastructures."J'ai vendu mon appartement, mon père sa voiture et nous avons utilisé les indemnités de départ de mes deux parents retraités", raconte à l'AFP Manar, ingénieure de 35 ans, qui a ainsi pu acheter sa péniche il y a quatre ans.Aujourd'hui, elle a l'impression d'avoir tout perdu : "les gens des bidonvilles ont été relogés, l'Etat a déplacé des tombes quand il a construit une route à travers un cimetière et pour nous, rien".Son sort et celui de ses voisins a ému et, fait surprenant en Egypte, les talk-shows habituellement fervents partisans du président Abdel Fattah al-Sissi, ont pris leur parti.Ces bateaux sont surtout depuis les années 1950 le décor de la sérénade du crooner égyptien Abdel Halim Hafez dans le film "Ayam wa Layali" ou des discussions enfumées des "Dérives sur le Nil" du Nobel de littérature Naguib Mahfouz.Politique du bulldozerL'alarme est donnée en 2020 quand le gouverneur du Caire annonce "suspendre les autorisations de stationner des péniches".Depuis, les habitants sont restés sans nouvelles. Jusqu'à l'ordre d'éviction qui ne leur laisse, dit l'un d'eux, "pas le temps de déposer un recours en justice".Et surtout, l'Etat leur réclame des arriérés pour le stationnement, la concession du dock et l'immatriculation entre 40.000 et 50.000 euros, soit 20 fois plus que ce qu'ils payaient.Aymane Anouar, patron de l'Autorité du Nil au Caire, assure qu'ils ont été prévenus : "en 2020, l'Etat a interdit l'utilisation de péniches comme habitations car elles ne donnent pas une image civilisée et polluent le Nil", affirme le haut fonctionnaire dans un talk-show."Nous n'avons pas été assez informés, c'est en écoutant M. Anouar à la télévision" que Mme Soueif déclare avoir compris son unique alternative : transformer la péniche en local commercial."A mon âge, me reconvertir en gérante de café ? C'est une expulsion qui ne dit pas son nom", répond-elle.Les militants dénoncent un manque de concertation avec les habitants comme lors de démolitions précédentes, à Boulaq et Maspero, près du centre-ville.Si la politique du bulldozer a commencé dans ces quartiers informels pauvres, avec les péniches ce sont des familles plus aisées qui font les frais des grands travaux d'aménagement."Perdu d'avance"Auparavant parsemée de cafés où toutes les classes sociales venaient siroter un thé pour quelques livres, la corniche du Nil est un des rares espaces publics où échapper au vacarme de la mégalopole de 20 millions d'habitants.Sur l'autre rive, la "promenade du peuple égyptien" compte, aux côtés de la "nouvelle capitale" qui sort des sables à 50km du Caire, parmi les "méga-projets" voulus par l'ancien maréchal Sissi et pilotés par l'armée."C'est une catastrophe : chaque centimètre carré doit être rentable, il n'y a plus d'espace public, les gens ne peuvent plus être dehors sans payer", déplore Mme Soueif.Le gouvernement assure pourtant que cette promenade --avec "marina, théâtre à ciel ouvert, cafés et restaurants"-- va "garantir l'accès du public au Nil".Pour Awad, sur sa péniche avec femme et enfants depuis 25 ans, "un mètre carré de berge en location commerciale, c'est 1.000 livres, donc ils préfèrent louer à des cafés qu'à nous, pour gagner plus d'argent"."C'est dramatique car c'est un morceau du patrimoine du Caire qui a vu passer le roi Farouq, Oum Kalsoum et Mounira Mahdia", la plus grande chanteuse d'Egypte de l'entre-deux guerres, déplore le sexagénaire."C'est perdu d'avance : même devant le Conseil d'Etat, c'est l'Etat donc on ne peut rien faire, on nous dit que c'est une décision venue de tout en haut", dit-il en pointant le ciel.
Il y a 2 ans et 327 jours

« Les machines Cetec travaillent en papier comme en plastique »

Nouveau hall de l’usine Cetec de Périgueux, en Dordogne. [©Cetec] Cetec vient de fêter son 50e anniversaire. Quel bilan pouvez-vous tirer du chemin parcouru ? Mathias Elié : Cetec a réussi à traverser les époques en grandissant, et a su étendre ses gammes et ses technologies. Nous avons beaucoup travaillé sur l’innovation et sur nos positions de marché. A présent, Cetec arrive à maturité comme fournisseur français de chaînes d’ensachage complètes. Ceci, sur la gamme allant de 5 à 25 kg principalement. Au-delà, il reste quelques fournisseurs européens. Que des acteurs très professionnels de la chaîne d’ensachage… Au départ, Cetec était très centré sur les machines d’ensachage de nourritures pour animaux. Mais à une période, l’entreprise s’est retrouvée en difficulté. C’est toujours dangereux d’être mono-produit… Aussi, nous nous sommes diversifiés vers d’autres industries comme la semence, la minoterie, les matériaux pour le BTP ou les produits chimiques. Ces deux dernières activités génèrent chacune 15 % de notre chiffre d’affaires France. Cetec est très bien identifié sur ses marchés. Qui est Cetec aujourd’hui ? Comment envisagez-vous l’avenir ? Nous sommes une PME familiale de 90 personnes, basée en Dordogne. C’est-à-dire au cœur des territoires. Une entreprise fondée par Jean-Claude Labrue et reprise depuis par son fils Régis. Cetec possède un unique site de production, à Périgueux et réalise un chiffre d’affaires de 13 M€. Près de 40 % sont liés à l’export en direction de l’Afrique et des Amériques. Le gisement à l’international reste énorme. Mais, malgré tout, nous avons la volonté de rééquilibrer l’origine de nos revenus entre la France et le reste du monde. Notre plan de développement actuel court jusqu’en 2025 et prévoit un chiffre d’affaires de 15 M€ à parité entre la France et l’export. Parmi nos champs d’action, les sacs de 35 kg, qui s’intègrent tout à fait à notre scope. Tout comme les sacs de moins de 5 kg, parfaits pour la nourriture pour animaux. Toutefois, les sacs de 2 kg restent notre limite basse, car en deçà, il est nécessaire de changer de machines d’ensachage. De même, nous restons centrés sur les technologies de gaines ou de sacs formés. Pas de bobines donc en ligne de mire… Avez-vous mis en place des moyens particuliers pour atteindre vos objectifs ? Nous venons d’agrandir notre usine de près de 1 900 m2, ce qui nous a permis de retrouver plus d’aisance. Mais surtout des gains en productivité et la capacité de réaliser des tests d’ensembles complets avant livraison. Cetec assure l’essentiel de sa fabrication en interne, soit plus de 80 % des sous-ensembles. Qu’il s’agisse de la chaudronnerie, de la découpe, du pliage, de la peinture… Seuls, l’électronique ou les câbles sont sous-traités. Enfin, nous restons très réactifs, en termes de service après-vente et pour la refabrication de pièces pour nos machines. La disparition progressive du plastique dans les emballages impose une évolution des machines d’ensachage… Mais quels changements cela impose-t-il ? La véritable question devrait être : ce changement de matière pour les sacs est-il durable ? En effet, régulièrement, on passe d’une technologie à une autre, mais les cycles se raccourcissent. Jusqu’à peu, le marché était très déterminé à aller vers le plastique. Puis, le contexte législatif a changé et on est reparti vers le papier. Il y a une pression gouvernementale énorme, avec la mise en place d’une taxation non négligeable sur le plastique non recyclable. Mais les filières vont progresser sur le recyclage… Il faut savoir que le papier n’est recyclable que huit fois alors que le plastique l’est indéfiniment. D’autre part, il apparaît que le papier va permettre de plus en plus de choses. Mathias Elié, responsable commercial France de Cetec. [©Cetec] Ensacheuse Polyflex en cours d’assemblage dans l’usine Cetec. [©Cetec] Le nouvel atelier de câblage est équipé d’écrans tactiles. [©Cetec] Détail de ligne de fermeture de sacs sur l’ensacheuse Polyflex. [©Cetec] Ensacheuse Polyflex complète, prête à entrer en fonctionnement. [©Cetec] Dans ce contexte, Cetec est en train de créer de nouvelles générations de machines ? Déjà, nous avons procédé à pas mal de remplacements de machines. En parallèle, nous avons développé des machines acceptant les deux technologies. Ces installations s’articulent autour de deux postes. Tout d’abord, un magasin à sacs fait office de station d’ouverture. Puis, la zone de remplissage et de fermeture. Ainsi, la ligne Polyflex existe depuis cinq ans au sein de notre offre. Régis Labrue, directeur général de Cetec, avait su anticiper cette tendance lourde du marché. Aujourd’hui, une quinzaine de Polyflex tournent en France, travaillant aussi bien en 5 kg qu’en 25 kg, en papier comme en plastique. Notre leitmotiv est simple : “Ne vous casser pas la tête à choisir entre telle ou telle technologie, nos machines savent tout faire. Soit dès le départ, soit en termes d’évolutivité”. Ainsi, nos clients n’ont plus besoin de s’inquiéter en cas de changements de législation et de tendance de marché. Mais que vont devenir les équipements plus anciens ? En premier lieu, la modification de machines existante nous intéresse, car nous cherchons toujours à proposer des solutions durables. La démarche débute par un audit pour définir ce qu’il est possible de réaliser : amélioration, transformation, modification de parties spécifiques. Nous procédons souvent ainsi, mais dans la limite de certains process et d’un risque calculé. Nous faisons du rétrofit mécanique tant que cette approche est intelligente. 
Il y a 2 ans et 339 jours

Veka, une dynamique industrielle, commerciale, environnementale et sociétale exemplaire

Une année 2021 en croissance« Mais c’est surtout une augmentation de 20 % du volume en France qui est à noter, soit environ 20 millions de mètres linéaires produits au total à Thonon-les-Bains. » Jos Lenferink précise par ailleurs : « Notre métier d’extrudeur gammiste est particulièrement automatisé donc directement dépendant du coût des matières premières. Dans notre process, leur proportion peut représenter 60 %, voire plus, de notre chiffre d’affaires. Cette hausse, très difficile à gérer, a également fortement impacté nos clients et particulièrement ceux du segment du neuf collectif, qui doivent gérer des contrats aux prix fixes conclus bien souvent avant la période Covid. Toutefois, le plus grand défi fut d’avoir suffisamment de matière première pour produire et livrer nos clients. Chose faite, et l’ensemble de nos clients a su apprécier toute la fiabilité de VEKA et de ses équipes, à qui je rends hommage pour leur implication. Avec aucun allongement de délai tant pour les références standards que spécifiques, VEKA a fait preuve d’une grande fiabilité, essentielle pour la réussite de nos clients, fabricants d’excellentes menuiseries. »Rappelons que le groupe familial VEKA est non côté en bourse et dispose d’une assise économique solide, lui garantissant une large indépendance et une capacité de stockage au-dessus de la moyenne du métier. Cette spécificité, combinée à l’accès à la matière première issue de menuiseries PVC en fin de vie en provenance de VEKA Recyclage, lui a notamment permis de gérer parfaitement ses approvisionnements comme ses stocks. « Nous n’avons pas répercuté l’intégralité des hausses, ce qui a impacté nos marges », précise Emmanuel Demesmay, Country Manager France. Un impact quelque peu compensé par l’acquisition de nouveaux clients tricolores importants. « 2021 a également marqué le démarrage réussi en VEKA de nouveaux fabricants. C’est par exemple le cas de BIPA et WiBaie avec le lancement de leur nouvelle gamme Lum’Up ». Côté chiffres toujours, VEKA a enregistré une très belle performance sur le marché espagnol qui dépend de la même zone, avec une hausse de plus de 70 % de son chiffre d’affaires l’année passée. Une importante augmentation induite là-encore par l’acquisition de nouveaux clients, tel Ampuero, le n°1 de la fenêtre en Espagne et fournisseur de Leroy Merlin Espagne.Des investissements soutenus en 2022 et les prochaines annéesLe développement de ses ventes s’accompagne par ailleurs d’investissements industriels importants, tant en France qu’en Espagne (environ 7 millions d’euros, dont 4,7 pour la France).Ainsi, pour l’Hexagone, VEKA prévoit l’installation cette année de deux nouvelles lignes d’extrusion (une ligne duo) conférant au site de Thonon-les-Bains une capacité de production significativement augmentée. Deux nouvelles nacelles / chariots pour le picking viendront également étoffer l’outil industriel français.Mieux encore, VEKA annonce être à la recherche de foncier (entre 20 000 et 40 000 m²) pour la création d’un nouveau centre logistique, entre Thonon-les-Bains et Lyon. « Cet investissement est évalué aux environs de 10 millions d’euros » précise Jos Lenferink. « Il vise à augmenter notre capacité de stockage et à optimiser notre niveau de service. »Et de conclure : « À terme, nous prévoyons une croissance complémentaire importante grâce aux opportunités post Covid, poussée par les projets européens et nationaux pour l’efficacité énergétique et par l’attractivité de la marque VEKA, du fait de sa stabilité et de sa fiabilité. Dans les années à venir, nous prévoyons ainsi des investissements complémentaires importants, concernant nos lignes d’extrusion et nos capacités de plaxage (traditionnel et VEKA SPECTRAL) ».Côté espagnol, on retrouve cette même logique de développement industriel pour toujours plus de réactivité et de services. Ainsi, la capacité de production a été doublée en 2021 et des investissements sont planifiés en 2022 avec l’installation d’une nouvelle ligne d’extrusion (la 6ème) et d‘une nouvelle ligne de plaxage (la 3ème) et par l’acquisition d’une nouvelle machine de découpe de film.À nouvelle signature, nouvelle visionAvec pour nouvelle signature de marque, « Ensemble, créons de meilleurs espaces de vie », VEKA décline sa mission d’engagement sociétal à plusieurs niveaux. Le premier est celui d’offrir le meilleur espace de vie aux utilisateurs des menuiseries VEKA, pour à la fois plus de confort et plus d’esthétique. Ainsi, gagner toujours davantage en performance pour isoler du froid, de la chaleur et du bruit, pour résister aux intempéries et variations climatiques, tout en apportant plus de lumière naturelle et de confort d’utilisation… motivent au premier plan les équipes techniques VEKA.La performance n’exclut pas l’esthétique. « La finesse des profilés, leur design, les technologies de colorisation, les larges dimensions des menuiseries… sont parmi les forces de nos nouveaux produits et des développements à venir » précise Virginie Heckel, Directrice Marketing. Emmanuel Demesmay de conclure : « Nous différencier, répondre toujours mieux aux attentes du marché et monter en gamme la menuiserie PVC font partie intégrante de nos objectifs ».Autre échelon de ce credo « Ensemble, créons de meilleurs espaces de vie » : les collaborateurs VEKA. L’industriel s’est en effet engagé dans une démarche pour créer une communauté VEKA exemplaire avec un meilleur cadre de vie pour ses collaborateurs. En filigrane, aucune discrimination de race ou de genre, une équité parfaite et une attention toute particulière au bien-être en anticipant notamment les risques professionnels.Ainsi, le programme VEKA Vital est basé sur le « vivre ensemble », l’activité physique, l’alimentation et l’information santé. L’intervention d’un expert en ergonomie, des événements sportifs extérieurs, des aménagements pour faciliter le télétravail, la mise en place de sessions d’aides pour lutter contre les addictions, des cours de yoga et de sophrologie… sont quelques exemples d’initiatives mises en place dernièrement.Le troisième et dernier volet de ce triptyque « Ensemble, créons de meilleurs espaces de vie » est l’environnement ; « celui que l’on voit au travers de la fenêtre », comme aime à le rappeler Jos Lenferink. En effet, pour un monde un peu meilleur, les menuiseries VEKA isolent, donc luttent contre le réchauffement climatique, mais se veulent aussi citoyennes et responsables car recyclables.Depuis 30 ans, VEKA fait figure de pionnier engagé dans une démarche environnementale durable et forte, comprenant autant le choix des matières, le process de fabrication, le recyclage des chutes de production et des produits en fin de vie, que la réintégration de matière régénérée dans de nouveaux profilés. VEKA s’impose ainsi comme un acteur véritablement engagé dans l’économie circulaire.Une croissance qui passe par l’innovation, tant produit qu’environnementaleSeptembre 2022 marquera le début de commercialisation du nouveau coulissant VEKASLIDE Hi-5, dont la présentation en avant-première sur les derniers salons Equipbaie et Artibat a rencontré un vif succès. En mai prochain, c’est également le nouveau coffre de volet roulant VEKAVARANT MASTERBOX qui sera disponible auprès des industriels de la fermeture, ainsi que le nouveau seuil VEKA 3.0 en fin d’année.Mais l’innovation passe également par l’environnement, et sur ce plan, VEKA devance et anticipe régulièrement les réglementations. L’industriel affiche aujourd’hui une moyenne Groupe de 26 % de matière recyclée utilisée dans ses profilés (vs moyenne nationale située à 8 % et objectifs de la profession fixés à 20 % à l’horizon 2025). En 2022, VEKA va encore plus loin avec la solution VEKA REcycle. Virginie Heckel la présente comme « une solution totalement éco-responsable, développée pour les clients fabricants VEKA qui sont engagés dans une démarche environnementale partenariale en boucle fermée et évitant la mise en décharge ou l’enfouissement des menuiseries en fin de vie et des chutes de production. Cette nouvelle ligne fait ainsi appel à 100 % de matière recyclée « R-PVC » au cœur de ses profilés et, au global, jusqu’à 70 % de matière recyclée dans le cadre de la menuiserie ». Une ligne bien entendu 100 % recyclable, sous DTA, conforme à la RE 2020, la REP 2022 et aux certifications QB34, NF 126 et NF 220.VEKASLIDE Hi-5 : 5 atouts majeurs pour un nouveau concept de coulissant qui réunit les bénéfices d’un système coulissant (2 vantaux/2 rails) et d’une menuiserie à frappe.1. ConfortAvec un mouvement de coulissement sans frottement et un effort de manœuvre extrêmement faible, le déplacement des vantaux VEKASLIDE Hi-5 est particulièrement aisé (jusqu’à 150 kg de charge par ouvrant).2. PerformanceLe VEKASLIDE Hi-5 se dénote par des vantaux coulissant sur deux rails sans frottement et par une étanchéité assurée via la compression des joints de frappe. Deux innovations majeures lui conférant des performances AEV (A*4 E*8A V*A3) similaires à celles des meilleures menuiseries PVC. Revendiquant une performance thermique UW de 1,3 W/(m².K) en double vitrage standard, le coulissant VEKASLIDE Hi-5 peut aussi accepter des vitrages jusqu’à 36 mm d’épaisseur, pour des performances acoustiques atteignant les 38 dB.3. DesignLes grandes dimensions et la finesse des profilés VEKASLIDE Hi-5 (54 mm en partie centrale) apportent lumière naturelle et économies d’énergie accrues. Le coulissant se singularise également par sa large palette de couleurs (près de 50) qui se complète de la finition VEKA SPECTRAL, en mono ou bi-coloration, véritable garantie de personnalisation et d’élégance.4. IndustrialisationAvec une industrialisation identique à celle d’une fenêtre PVC traditionnelle, VEKASLIDE Hi-5 se fabrique par soudage des ouvrants et des dormants. L’option de l’assemblage mécanique du dormant est également possible pour faciliter l’installation des grandes dimensions sur chantier.5. Éco-conceptionPlusieurs profilés VEKASLIDE Hi-5 seront fabriqués en coextrusion, intégrant ainsi dans leur cœur de la matière recyclée. Fidèle à la stratégie environnementale de VEKA, le nouveau coulissant est par ailleurs conçu pour être 100 % recyclable.L’industrialisation du VEKASLIDE Hi-5 débutera en septembre 2022 et les prochains développements complémentaires porteront sur les systèmes à 4 vantaux et les solutions à galandage.
Il y a 2 ans et 341 jours

Dal'Alu fête 40 ans d'innovations et étoffe son réseau de franchisés en France

Et il entend le rester en s’appuyant notamment sur son centre de formation ALUCAMPUS et le recrutement de nouveaux ambassadeurs de la marque (10 par an en moyenne). Ses atouts ? Un goût prononcé pour l’innovation, une envie d’accompagner des entrepreneurs dans le développement et la transmission de leur activité, et une démarche RSE volontariste qui guide ses orientations stratégiques depuis 3 ans.C’est au retour d’un voyage aux Etats-Unis que Jean-Pierre et Marie-Françoise MICOULEAU ont l’idée d’intégrer une profileuse dans un véhicule atelier, première grande innovation de DAL’ALU. Celui-ci devenant le symbole et le vecteur principal de communication de la marque. Ils décident de se spécialiser sur un seul matériau, l’aluminium (quand les concurrents proposent davantage du zinc et du PVC), et de se lancer directement en franchise, alors une vraie différenciation dans le milieu du BTP (le réseau compte 100 franchises dès 1996). Ce sont les 3 clés qui expliquent la réussite et la trajectoire de l’entreprise. Depuis 2007, Jean-Baptiste MICOULEAU (l’un des fils du couple fondateur) poursuit l’aventure familiale aux côtés de Bernard Houtin, Directeur général. Innover & éco-concevoirExperte depuis 40 ans de la transformation du matériau aluminium en gouttière et plus largement de l’Avancée de Toit « tout alu » pour l’habitat, l’entreprise fondée en 1982 par Jean-Pierre MICOULEAU a créé le 1er concept de profilage en continu (gouttière aluminium en un seul tenant) embarqué dans un véhicule-atelier. Le poseur travaille les gouttières directement sur le chantier ce qui facilite le sur mesure, un gain de temps et une étanchéité parfaite en l’absence de raccords. Aujourd’hui, ce sont plus de 450 véhicules-ateliers qui sillonnent la France quotidiennement. Une innovation qui donne l’impulsion pour toutes les suivantes... INOA est la plus récente : la 1ère gouttière aluminium du marché éco-conçue et à l’étanchéité intégrée, dont l’impact carbone a été au cœur des préoccupations, dès la genèse.* Une action concrète issue d’une politique RSE (Responsabilité Sociétale des Entreprises) initiée en 2019 et qui porte sur la limitation des impacts environnementaux, l’engagement auprès de tous les collaborateurs et le rôle sociétal de l’entreprise. Depuis 3 ans, le positionnement de marque décalé et impactant est déployé autour d’une promesse forte « Demandez-nous l’ALU. », celle de l’engagement et de l’exigence au service de la satisfaction clients et du réseau.Les ambitions de DAL’ALU : former les collaborateurs et étoffer le réseauLe maillage partout en France de 150 entreprises agréées (principalement des structures familiales composées en moyenne de 4 collaborateurs) fait la force de DAL’ALU et lui permet aujourd’hui d’être leader sur l’évacuation des eaux pluviales en France. Devenir un véritable réseau de services pour les clients finaux, digitaliser la relation commerciale et accompagner au plus près les franchisés dans leurs compétences, leur développement et pour certains dans la transmission (les premiers franchisés des années 80 transmettent à leur tour l’activité) : tels sont les enjeux pour DAL’ALU dans les années à venir. C’est grâce au centre de Formation ALUCAMPUS** ouvert en 2018 et qui bénéficie des expertises des collaborateurs de DAL’ALU comme des professionnels externes, qu’il est désormais possible de - non seulement - former les entrepreneurs franchisés sur le savoir-faire d’artisan mais aussi de les doter des fonctions support utiles à toute entreprise : gestion, management, communication, RH, etc.Autre atout de cet organisme en cours de certification (qui dispose de 300 m² de dépôt-atelier et de salles de réunion dédiées), celui de palier et d’anticiper le manque de main d’œuvre et de savoir-faire technique. Ainsi, ALUCAMPUS forme des jeunes au métier spécifique du travail de l’aluminium qui recourt aux méthodes de couvreur et de menuisier mais pour lequel aucune formation ad hoc ni diplôme n’existent. A date, ce sont plus de 80 stagiaires qui ont été formés (et pour certains ont intégré des franchisés) pour plus de 1 400 heures de formation dispensées.« Travailler une matière toujours « en vogue », tout en distillant de l’innovation, pas seulement de produit mais aussi en termes de communication, d’usage et d’exploitation…C’est ce qui nous anime au quotidien dans l’atelier de fabrication, les services support et avec nos franchisés. Sourcer localement le plus possible la matière première, écoconcevoir, fabriquer en France et soutenir l’entreprenariat via notre réseau de franchises sont prioritaires pour les équipes de DAL’ALU. L’ADN de l’entreprise, à savoir ses valeurs familiales, ses partis-pris assumés depuis 40 ans et son exigence pour la qualité de service comme de produit, lui donnent les garanties de poursuivre sereinement son déploiement. » Bernard HOUTIN, Directeur généralChiffres et données-clésDAL’ALU (structure familiale) : CA 2020 de 17,5M€ HT et 35 salariésDAL’ALU, entreprise et réseau de 150 franchisés : CA 2020 de 56 M€ HT et 600 collaborateurs450 véhicules ateliers partout en FranceSite de fabrication, administratif et logistique sur St Médard d’Eyrans (33) au sud de BordeauxRSE : www.dalalu.com/rse-des-actions-concretes*FDES, Fiche de Données Environnementales et Sanitaires, à l’appui, il bénéficie d’un impact de 17% inférieur aux produits traditionnellement proposés sur le marché. ** Alucampus - premier centre de formation dédié à l’aluminium dans l’enveloppe du bâtiment
Il y a 2 ans et 343 jours

Mondial du bâtiment : Le programme des conférences révélé

Près de 1 000 intervenants sont attendus avec plus de 450 conférences et animations durant 4 j… [©Mondial du bâtiment] Pour son retour à la Porte de Versailles en octobre prochain, le Mondial du bâtiment voit les choses en grand avec un programme inédit de conférences. De nouveaux formats d’échanges font leur apparition, afin d’aborder les grandes thématiques qui portent cette édition : “Préserver le climat et l’environnement”, “Bien vivre dans la ville en 2050”, “Transformer les méthodes”, “Valoriser les métiers”. Un programme ambitieux qui va représenter 14 scènes ouvertes sur les 3 salons : Batimat, Idéobain et Interclima. Près de 1 000 intervenants sont attendus avec plus de 450 conférences et animations durant 4 j… « Ces conférences permettront à tous les professionnels et aux acteurs des transitions d’avoir une vue d’ensemble des grands défis du secteur grâce aux analyses et aux décryptages de grands témoins venant de tous horizons », indique l’organisateur. De nouveaux formats d’échanges font leur apparition, afin d’aborder les grandes thématiques qui portent cette édition. Un “Davos” du bâtiment « Les hommes et les femmes du bâtiment sont à la tête d’un formidable défi. Ils auront la responsabilité de permettre à la France de réussir ses transitions et notamment la décarbonation de l’acte de construire, souligne Guillaume Loizeaud, directeur du Mondial du Bâtiment. Face à cette urgence et cette responsabilité immense, nous avons souhaité donner une dimension inédite au programme de conférences, en associant tous les acteurs du bâtiment. Mais aussi des personnalités diverses et inspirantes venant d’autres univers. C’est en quelque sorte un “Davos” du bâtiment que nous préparons. Le programme des interventions de cette édition du Mondial du bâtiment sera exceptionnel par son ampleur, la qualité et la diversité des intervenants, le nombre de thématiques abordées qui couvriront l’intégralité du spectre des problématiques du secteur en les mettant en perspective dans un contexte plus large : économique, politique, environnemental, sociétal et solidaire… ». Quatre grands thèmes Le programme des conférences est porté par 4 grands thèmes. En voici un aperçu non exhaustif : • Préserver l’environnement : l’urgence de la lutte contre le réchauffement de la planète nous est rappelée chaque jour. Les alertes des experts et la multiplication des épisodes climatiques extrêmes nous obligent à prendre nos responsabilités. Toute la chaîne de valeur du bâtiment doit se transformer pour freiner son impact sur l’environnement et préserver le vivant. Le lundi 3 octobre  11 h 00 – 12 h 30 : Est-il vraiment urgent d’industrialiser la construction ?14 h 00 – 15 h 30 : Réhabiliter plutôt que de construire. Quels leviers pour atteindre la neutralité carbone ?16 h 00 – 16 h 45 : Les territoires, acteurs de la décarbonation. Le mardi 4 octobre  9 h 00 – 10 h 30 : Economie circulaire, par et pour les acteurs du bâtiment11 h 00 – 12 h 30 : Economiser les ressources et valoriser les matériaux16 h 00 – 19 h 00 : Retrouver de la productivité et améliorer le bilan carbone Le mercredi 5 octobre  9 h 30 – 10 h 30 : Nouvelles filières des matériaux bio- et géosourcés11 h 00 – 12 h 30 : Accélérer l’efficacité et la sobriété énergétique des bâtiments Le jeudi 6 octobre  9 h 30 – 10 h 30 : La formation et les compétences au centre de la transformation du secteur • Bien vivre dans la ville en 2050 : en 2050, près de 70 % de la population mondiale vivra en ville. A quoi ressembleront les villes et nos modes de vie à cet horizon ? Penser la ville de 2050, c’est répondre aux nombreux défis auxquels les urbains sont déjà soumis. Le mercredi 5 octobre  9 h 30 – 10 h 30 : Panorama européen des architectes engagés dans la décarbonation11 h 00 – 12 h 30 : Le futur en cours de construction14 h 00 – 15 h 30 : Repenser notre habitat pour mieux vivre ensemble16 h 00 – 17 h 30 : Retour sur l’opération Low Carbon Construction Tour. Décarbonation du secteur de la construction Le jeudi 6 octobre  9 h 30 – 10 h 30 : Architecture durable, réhabiliter plus que construire16 h 00 – 16 h 45 : Le bois et le biosourcé pour atteindre la neutralité carbone à l’horizon 2030 • Valoriser les métiers : à l’ère digitale, tous les métiers de la construction et du bâtiment sont en profonde mutation. Les nouveaux outils de collaboration, la data et l’intelligence artificielle font émerger de nouvelles compétences, voire de nouveaux métiers. Le lundi 3 octobre  10 h 00 – 10 h 45 : RE 2020 et études ACV. Enjeux et défis pour engager le bâtiment et les acteurs de la construction dans la démarche bas carbone11 h 00 – 11h 45 : Renouveau urbain pour la requalification architectu-rale des cœurs de ville Le mardi 4 octobre  9 h 30 – 10 h 15 : Quel coût de construction en RE 2020 ?11 h 30– 12 h 15 : Les spécificités de la RE 2020 en logements collectifs14 h 00 – 14 h 45 : Anticiper le changement d’usage d’un bâtiment dans le temps16 h 00 – 16 h 45 : La construction bas carbone : points cruciaux et recommandations Le mercredi 5 octobre  11 h 00 – 12 h 15 : Décarbonation des matériaux de construction • Transformer les méthodes : assurer la transition écologique du secteur, réussir sa digitalisation, garantir son modèle économique et améliorer sa productivité : la filière du bâtiment est sous pression. Moderniser nos méthodes s’impose. Organisation du travail, outils de production, gestion des équipes, commercialisation et relation clients : tous les chantiers sont ouverts. Ces interventions seront portées et organisées par l’Ecole des ponts Paris Tech. Le lundi 3 octobre  A partir de 9 h 00 et toute la journée, interventions de l’Ecole des Ponts Paris Tech autour de l’architecture décarbonée et solidaire Les mardi et mercredi 4 et 5 octobre  A partir de 9 h 00 et toute la journée, interventions de l’Ecole des Ponts Paris Tech, de Marjolaine Meynier-Millefert, présidente Alliance HQE – GBC France, et de Romain Duballet, co-fondateur d’XtreeE, autour de la politique environnementale Le jeudi 6 octobre  A partir de 9 h 00 et toute la journée, interventions de l’Ecole des Ponts Paris Tech et de Guy Sidos, Pdg de Vicat, autour de l’industrie de la construction. En savoir plus ici 
Il y a 2 ans et 347 jours

Diderot Real Estate annonce la signature du parc Quatuor composé de 4 bâtiments clé-en-main

Avec ce projet, Diderot s’affirme aujourd’hui comme l’acteur de référence en matière d’immobilier d’entreprise sur-mesure en région.Diderot, partenaire de confiance des territoiresConstruire des bâtiments sur-mesure et ainsi contribuer au développement du tissu économique régional, c’est la raison d’être de Diderot Real Estate depuis plus de 10 ans.C’est dans cet esprit de partenariat que l’Etablissement public d’aménagement du Mantois Seine Aval (EPAMSA) et Diderot ont collaboré étroitement pour rendre possible ce projet complexe à Buchelay, au cœur de ZAC Mantes Innovaparc.Ce territoire stratégique situé à proximité de l’autoroute A13 connaît un fort développement, incarné par de grands projets d’aménagement, la réhabilitation de la Halle Sulzer ou encore la mise en service de la gare Eole, qui reliera Paris en moins 40 minutes dès 2024.Un projet qui exprime tout le savoir-faire de DiderotAu cœur de cette ZAC qui se développe sur 58 hectares, Diderot lance aujourd’hui QUATUOR, un parc d’activités qui accueillera 4 nouveaux bâtiments, conçus avec l’agence d’architecture Franc, pour une surface totale de plus de 10.000 m2.Le programme QUATUOR s’est appuyé sur la méthodologie Diderot, afin de co-concevoir avec chacun des utilisateurs des bâtiments performants, adaptés à leurs enjeux organisationnels et leurs ambitions environnementales (RT 2012-20%, labellisation BREEAM).Parmi les utilisateurs qui ont choisi de s’installer dans le parc QUATUOR : le Groupe ACCEDIA et sa filiale SAFIR (bâtiment mixte : siège social, showroom, production), le centre de services partagés de RATP Développement (bureaux) et l’entreprise PROMUSEUM (bâtiment mixte : siège social, showroom, activités). ALTO, un quatrième bâtiment d’activités, est en cours de commercialisation. Les travaux qui seront pilotés par GSE commenceront en 2022, pour une livraison prévue en septembre 2023.Avec ces 4 opérations engagées simultanément, Diderot démontre à nouveau sa capacité à satisfaire des attentes variées des futurs occupants, tout en apportant un soin particulier au traitement architectural et paysager, qui fait sa signature.
Il y a 2 ans et 349 jours

Centre commercial GINKO 2 , un projet hors norme sur Bordeaux

Un exemple de mixité architecturale Depuis plus de 10 ans, la ville de Bordeaux enregistre une croissance démographique soutenue, donnant lieu à un développement urbain continu. Situé dans le nouveau quartier de Bordeaux Lac, au nord de la ville, le nouveau centre commercial GINKO 2 vient renforcer la tendance actuelle à créer des zones de […]
Il y a 2 ans et 356 jours

A Clichy-sous-Bois, les commerces vitrines de la rénovation urbaine

"C'était beau avant. On a eu tout le monde ici : Pierre Tchernia, Michel Drucker, Sim. Il y avait un fleuriste, un aquariophile, une boucherie chevaline", raconte Olivier Klein, 55 ans, enfant du quartier devenu maire de cette ville de Seine-Saint-Denis, où le centre commercial avait été construit dans les années 1970.Mais les rêves d'autoroute qui devaient renforcer l'attractivité du quartier densément peuplé se sont évaporés dans les années 1980, et avec eux l'éclat des 4.000 m2 de la galerie marchande.Quarante ans plus tard et l'implantation non loin de supermarchés, seuls un café, des épiceries et une douzaine de commerces vivotent encore sous les néons et le carrelage blanchâtre du centre, construit en partie sous les barres aux façades calamiteuses."Avec la fermeture du magasin de vêtements discount et les départs de professionnels de santé, on a perdu 20-25% de notre activité", déplore le pharmacien Christian Moafo.Ce manque à gagner a été accentué, selon les commerçants interrogés, par le départ de centaines de personnes lié à l'opération de requalification des copropriétés dégradées. Entamé en 2015, ce programme titanesque aujourd'hui piloté par l'établissement public foncier d'Ile-de-France prévoit la destruction d'une dizaine de bâtiments et la construction de plus de 1.300 logements."Je vis un enfer", assure M. Moafo. A chaque orage, le pharmacien dit redouter que les fuites n'inondent son local. "Je rêve de voir les bulldozers détruire le centre". Ils devraient arriver en 2026.Boulangerie, coiffeur, caféD'ici là, des jalons se posent. Il s'agit de choisir les commerces du nouveau Chêne-Pointu, chevilles ouvrières de la métamorphose censée désenclaver le quartier et réduire les obstacles à la mixité sociale. Ils seront répartis au rez-de-chaussée de nouveaux immeubles.Les candidats ont jusqu'à fin mai pour présenter un dossier avant une présélection d'ici juillet et l'examen de leur situation financière, indique Isabelle Labaye de Immobilière 3F, le bailleur en charge du transfert et de l'accompagnement des commerces. S'agissant des commerces envisagés, "on reste dans le basique" avec une boulangerie, un coiffeur, un café. "Le but est de créer une zone commerçante pour donner de la vie et créer du lien. L'enjeu est énorme pour les habitants", explique-t-elle.Mais comment combiner le "panier moyen" de la population actuelle avec la "montée en gamme" souhaitée par la mairie ?La Cour des comptes relevait en 2019 "un phénomène de déprise économique et commerciale" dans les quartiers prioritaires de la ville tels que celui de Clichy-sous-Bois, et ce malgré dix ans de programmes de rénovation, impuissants à embellir durablement l'image de ces territoires. Dans ces quartiers, le taux de pauvreté est de 42%, trois fois plus élevé qu'ailleurs, et le taux de chômage de 22,5%, selon des données gouvernementales.Rue de l'AvenirLe Chêne-Pointu entend donc initier un cercle vertueux. "Refaire la ville c'est s'intéresser à l'école, aux mobilités, à l'emploi, et à l'accès aux commerces", résume M. Klein.Dans la rue de l'Avenir, la Poste servira de "locomotive d'attractivité" tout comme le futur conservatoire, une gare du Grand Paris toute proche, et, espère la mairie, des moyennes surfaces de type Aldi et Lidl avec qui des discussions sont en cours.Si la mairie dit n'avoir pas les moyens financiers pour draguer les commerces, elle a une ambition : "avoir la capacité d'être plus sexy" et d'"empêcher qu'un kebab moche soit remplacé par un kebab moche".Cela passera par un accompagnement dans la présentation des vitrines, par la présence de médiateurs commerciaux et de "gardiens très en lien avec les commerces", selon I3F.Tous les commerçants actuels ne pourront s'aligner sur les nouveaux loyers. Le pharmacien du quartier voisin tout juste réhabilité confirme que son loyer a plus que doublé depuis la rénovation.Mais pour certains professionnels du Chêne-Pointu, "on en a tellement marre d'être ici, c'est tellement toxique qu'on ne réfléchit même pas à cette problématique des loyers", dit M. Moafo. "On prie juste pour qu'il n'y ait pas de retard" dans les travaux.
Il y a 2 ans et 356 jours

Matterport propose de nouvelles solutions pour le monde bâti avec Amazon Web Services

Matterport, Inc. (« Matterport ») (Nasdaq : MTTR), l’entreprise de données spatiales à la tête de la transformation digitale du monde bâti, a annoncé la mise en ligne de sa plateforme sur AWS Marketplace, la boutique de logiciels en ligne permettant de trouver, acheter et utiliser les logiciels et services qui fonctionnent sur Amazon Web Services (AWS). La puissance et les capacités des jumeaux digitaux de Matterport seront ainsi à la portée des utilisateurs d’AWS, renforcés par les modules complémentaires d'Amazon Web Services. Matterport et AWS proposeront également des offres conjointes en associant leurs équipes techniques pour réaliser d’importantes intégrations technologiques, mais aussi leurs équipes de vente et de marketing pour accompagner de nouveaux clients.« Parmi les centaines de services AWS, nous sommes ravis que nos clients puissent désormais capturer leurs espaces et utiliser la plateforme de données spatiales Matterport », a déclaré Prabal Acharyya, responsable mondial des partenaires IoT pour l’énergie et les industries de transformation chez AWS. « Unique sur le marché, Matterport accompagne des clients de toute sorte dans la numérisation de leurs espaces et dans l’exploitation des données des jumeaux numériques notamment via le cloud AWS. »Des centaines de milliers d'entreprises dans plus de 170 pays utilisent la plateforme de données spatiales de Matterport pour transformer n'importe quel espace en un jumeau numérique photoréaliste aux dimensions précises. En tant que partenaire officiel de l'AWS Independent Software Vendor (ISV) et membre de l'AWS Partner Network (APN), Matterport pourra s’adresser à touche les entreprises dans le monde à la recherche d'un moyen simple et rentable de numériser leurs bâtiments et leurs espaces. Il est d’ailleurs possible de tester gratuitement la technologie Matterport via l’application disponible sur les appareils iOS ou Android. « Bien que l’objectif premier de nos jumeaux numérique était d’améliorer le quotidien des opérateurs et des mécaniciens, nous avons rapidement élargi leur usage à la formation, l'orientation des employés et l'optimisation des espaces de bureau. À l'avenir, je prévois d'utiliser Matterport pour d’autres opportunités au sein de notre organisation », déclare Dane Laughlin, ingénieur en innovation chez INVISTA, leader mondial dans la fourniture d'intermédiaires chimiques, de polymères et de fibres de nylon 6,6 utilisés dans les industries de l'automobile, de l'électronique, des tapis et des vêtements.Matterport propose une solution IoT innovante pour les entreprisesAvec plus de six millions d'espaces capturés à ce jour, Matterport constitue la plus grande bibliothèque de données spatiales, accessible aux développeurs via des programmes d’innovation. Les interfaces de programmation d'applications (API) et les kits de développement logiciel (SDK) de Matterport permettent à ses partenaires de créer de nouvelles solutions et des modules complémentaires à partir de sa plateforme pour répondre à de multiples besoins dans un large éventail de secteurs.Matterport travaillera avec AWS pour développer et fournir des solutions d'entreprise de premier ordre qui s'appuient sur les jumeaux numériques Matterport. La première offre lancée aujourd'hui par AWS est AWS IoT TwinMaker, un nouveau service qui permet aux développeurs de créer plus facilement des jumeaux numériques pour l'IoT (Internet des objets), les bâtiments intelligents, l'industrie et la fabrication. Avec Matterport comme partenaire de lancement, AWS IoT TwinMaker permet aux clients de contextualiser leurs données de jumeaux numériques, de recueillir des informations et des analyses, ainsi que d'accéder virtuellement à des répliques en temps réel et à l’évolution chronologique de leurs espaces. Les capacités innovantes comprennent :La possibilité de créer des scènes 3D avec des ancrages spatiaux liés à des données du monde réel. Les clients peuvent prendre un jumeau numérique Matterport, y superposer des équipements, puis étiqueter l'espace avec des ancres pour connecter ces modèles avec un graphe de connaissances créé et géré par AWS IoT TwinMaker. Ce graphe de connaissances permet d'intégrer des données, telles que la cartographie thermique ou le contrôle de la température, dans le jumeau numérique Matterport. Une meilleure gestion des installations en établissant une surveillance à distance en temps réel, une optimisation des processus et une analyse historique des causes profondes. Les clients peuvent se connecter à des sources de données disparates pour optimiser les visites sur site et évaluer les problèmes immédiatement. La possibilité de créer des applications web centrées sur l'utilisateur à partir des jumeaux numériques, qu'il s'agisse d'une application pour la formation des employés ou d'une application pour déclencher des notifications en cas de changement anormal dans les données de l'appareil.« AWS IoT TwinMaker est un parfait exemple de la façon dont des entreprises comme AWS peuvent travailler avec Matterport pour créer des expériences uniques pour leurs entreprises clientes communes. Matterport permet de visualiser n'importe quel espace et d’accéder à une vue contextuelle des données et des analyses associées à cet espace, notamment en temps réel et en série temporelle », a déclaré Conway Chen, vice-président du développement commercial et des alliances chez Matterport. « Nous constatons que Matterport est utilisé pour de nombreux usages dans le monde bâti, des smart buildings aux maisons intelligentes, grâce aux capacités inédites des jumeaux numériques fondées sur l’intelligence artificielle et le deep-learning."
Il y a 2 ans et 358 jours

Building Partner Coffrages : Un mur de pierres transformé en matrice

Article paru dans le n° 100 de Béton[s] le Magazine Pour le collège de Luçon, Building Partner Coffrages a fourni des matrices pour les voiles du rez-de-chaussée et du R+1. [©Building Partner Coffrages] En Vendée, la ville de Luçon comptait jusqu’à présent deux collèges. Chacun construit durant la seconde moitié du XXe siècle. Si l’un d’eux a été rénové il y a une dizaine d’années, les deux établissements souffraient d’une perte continue d’élèves… Le département a donc décidé de la construction d’un nouvel établissement, qui va regrouper les élèves des deux anciennes écoles en un même lieu. Ceci, afin d’assurer la pérennité de l’enseignement local et d’offrir des locaux modernes et adaptés aux nouveaux enjeux d’éducation. Le lieu choisi est un ancien site de la gendarmerie, en centre-ville. Il portera le nom d’Arnaud Beltrame, officier assassiné lors d’une attaque terroriste, à Trèbes, dans l’Aude, en 2018. Mandataire du projet, le cabinet d’architectes Ataub, accompagné du cabinet GDV, a trouvé à proximité du chantier son inspiration pour la réalisation des voiles de béton. Les architectes ont identifié un vieux mur en pierres locales, qui devait disparaître. Celui-ci a ainsi servi de modèle pour couler les voiles du rez-de-chaussée, du R+1 et de certaines faces sur toute la hauteur. C’est là qu’intervient Coffrage Gaillard, à travers son service de production de matrices. « Notre créneau est de proposer aux entreprises de gros œuvre des matrices sur mesure, et aux architectes, un motif unique et personnalisé, explique Corentin Boissinot, responsable développement commercial. Sur le chantier de Luçon, l’idée était de transformer le mur en pierres locales en une matrice pour les voiles du collège. Nous avons analysé, puis prélevé plusieurs pierres pour être inspirés dans la création du motif final. » Au total, Building Partner Coffrages a fabriqué, mais aussi posé 92 m2 de matrices, nécessaires au coulage de 1 790 m2 de voiles en béton. Chaque matrice peut être utilisée une cinquantaine de fois… Produites, puis installées par Coffrage Gaillard Autre particularité de l’opération, l’industriel a assuré la pose des matrices sur les banches « Pour cela, nous demandons que les coffrages soient couchés sur le sol, sur une zone dégagée et sécurisée. Et surtout qu’’ils soient propres, reprend Corentin Boissinot. Avant de poursuivre : « Pour assurer les opérations de pose, plusieurs équipes de techniciens se déplacent sur les chantiers, partout en France. En effet, par manque de main-d’œuvre, de temps ou de savoir-faire, de plus en plus d’entreprises préfèrent nous déléguer cette mission ». La matrice a été conçue à partir d’un mur en pierres locales, situé à proximité du chantier. [©Building Partner Coffrages]Building Partner Coffrages assure la mise en place de ses matrices sur chantier. [©Building Partner Coffrages]Pour l’entreprise, c’est un gain de temps, puisque les banches sont prêtes au coulage, sans avoir besoin d’y retoucher. [©Building Partner Coffrages]C’est la centrale Bétons du Littoral Vendéen de Champagné-les-Marais qui a livré tous les bétons de parement. [©Building Partner Coffrages] Le service est apprécié par David Praud, conducteur de travaux de MRC Constructions, en charge des travaux de construction du nouvel établissement scolaire : « Pour nous, c’est d’abord un gain de temps, puisque les banches sont prêtes au coulage, sans que l’on ait à y toucher. En plus, la mise en place est de qualité, l’assurance pour nous d’une bonne mise en œuvre. Cela change un peu notre méthodologie d’installation des banches, mais c’est une simple adaptation. Enfin, c’est la centrale Bétons du Littoral Vendéen de Champagné-les-Marais qui nous a livrés un béton de parement classique. Il suffisait d’assurer une bonne vibration, comme sur les coffrages complexes ou les autres matrices ». Repère Maître d'ouvrage : Département de Vendée Maîtrise d’œuvre : Ataub Architectes BET “structure” : Area Entreprise : MRC Constructions BPE : Bétons du Littoral Vendéen Matrices : Building Partner Coffrages Délai : Ouverture rentrée 2023 Coût : 12,50 M€ Yann Butillon Article paru dans le n° 100 de Béton[s] le Magazine
Il y a 2 ans et 362 jours

Bilan 2021 et perspectives du groupe immobilier Mercure

Le groupe immobilier Mercure a entamé l’année 2021 avec un calme relatif, dans la continuité du dernier trimestre de 2020, marqué par le second confinement. Les deuxième et troisième trimestres de l’année ont cependant connu une accélération des actes et des visites, avec une clientèle plus mature dans ses projets immobiliers. La fin de l’année a quant à elle été caractérisée par un ralentissement de son activité commerciale en région, contrastant avec une reprise à Paris ainsi que dans les grandes métropoles françaises sur le marché urbain.Si cette année 2021 fut globalement bonne pour le groupe immobilier Mercure (+9% de chiffre d’affaires), on observe les conséquences du contexte Covid, à savoir une accélération de nouvelles tendances de vies de ses clients avec un attrait grandissant pour les belles propriétés en zones périurbaines. On constate une baisse de sa clientèle étrangère hors Europe qui représente aujourd’hui 75% des acquéreurs étrangers.2021 : un marché urbain contrastéTout comme pour l’année 2021, le marché de l’urbain a été largement influencé par l’effet Covid caractérisé par le développement du télétravail et la quête d’authenticité. Les centre villes ont perdu, dans un premier temps, de leur attrait au profit des zones péri-urbaines et rurales, permettant de gagner de la surface ou un extérieur. Les ventes de maisons et appartement avec terrasse ont ainsi représenté 64% des ventes en 2021.Avec la pérennisation du télétravail, les zones rurales ont gagné en attractivité : les Parisiens ou habitants de grandes métropoles envisagent de plus en plus de faire de longs trajets deux ou trois fois par semaine au profit d’une meilleure qualité de vie et d’une plus grande surface.Face à ces nouvelles tendances, le groupe immobilier Mercure a décidé d’adapter ses stocks de biens en choisissant de rentrer en portefeuille les beaux biens situés en zone rurale (70% de son stock actuel).2022 : des perspectives d’évolution tournées vers la clientèle« Propriétés d’Excellence : une promesse de qualité totale. A la fois sur le caractère exceptionnel de nos biens, mais également sur L’Engagement de nos équipes, véritable marque de fabrique du groupe Mercure »Le groupe immobilier Mercure a décidé d’orienter sa stratégie vers sa clientèle. Dans un marché de l’immobilier de luxe à la concurrence accrue, Mercure se différencie par la qualité de ses services, une expertise reconnue, et en modélisant toujours plus ses services d’Excellence. Il entend pour cela améliorer ses formations et recrutements ainsi que la structuration de ses réseaux. À l’international, il souhaite pérenniser ses partenariats internationaux tout en développant les perspectives offertes par sa participation à la création de Forbes Global Properties.Au niveau national, le groupe souhaite également se développer en ouvrant 15 agences supplémentaires d’ici 2026.Les domaines viticoles : une expertise du groupe Mercure au service du patrimoineToujours dans un contexte Covid, Mercure a constaté l’apparition d’une clientèle nouvelle, attirée par l’union d’un bâti d’exception et de la vigne. Projet successoral ou fiscal, cet engouement des néo vignerons a donné l’ambition au groupe de pousser son expertise encore plus loin en engageant un expert du monde viticole et de l’œnotourisme.Celui-ci propose son expertise sur cette typologie de biens spécifiques en permettant à ses clients d’avoir une vue globale sur leurs projets : sur les éléments d’acquisition ainsi que l’entretien et la rentabilisation du domaine. Il peut ainsi proposer son expertise sur l’œnotourisme ou sur les modes de commercialisation du vin.Fidèle à son ADN, le groupe suit sa clientèle dans ses les envies de beau et d’espace avec une expertise fine et de proximité.
Il y a 2 ans et 363 jours

Au moins six morts dans l'effondrement d'un immeuble en construction en Iran

"Des parties de l'immeuble Metropol de dix étages, à Abadan, dans la province du Khouzestan, se sont effondrées", a annoncé la télévision d'Etat."Six personnes ont perdu la vie et 27 autres sont blessées dans le sinistre", selon la même source.Un précédent bilan, donné à la télévision par le porte-parole du service national des secours, Mojtaba Khaledi, faisait état de quatre morts et 21 blessés.Trente-deux personnes piégées sous les décombres ont été secourues, selon l'agence de presse Ilna, citant le chef des opérations d'aide et de secours d'urgence du Croissant-Rouge iranien, Mehdi Valipour."Selon des témoins, 50 personnes se trouvent toujours sous les décombres", a ajouté le chef du service national des secours, Jafar Miadfar, cité par l'agence officielle Irna.Sous une épaisse poussière grise flottant dans l'air, des habitants et des passants observaient les ruines de l'ancien immeuble, certains encore hébétés, d'autres hurlant d'horreur, d'après des images de la télévision iranienne.Des pompiers déblayaient les décombres à l'aide de grues, à la recherche de survivants, selon la même source.D'autres vidéos sur les réseaux sociaux montrent l'évacuation de corps recouverts d'une couverture sur des brancards, tandis que des femmes pleurent.De nombreuses voitures ont été abîmées voire détruites par la chute de débris, certaines alors que leurs occupants étaient à bord, selon ces vidéos.Secours d'urgenceLe président iranien Ebrahim Raïssi, en visite à Oman, a ordonné aux sapeurs-pompiers de "déployer immédiatement des forces de secours et les équipements nécessaires pour déblayer les débris" à Abadan, selon l'agence Irna."Environ 40% de l'immeuble a été détruit et il risque de s'effondrer complètement", a averti le gouverneur de la ville, Ehsan Abbaspour, ordonnant l'évacuation des bâtiments voisins, très proches.L'immeuble était encore en construction, selon la télévision.L'entrepreneur supervisant les travaux et son propriétaire ont été arrêtés, a indiqué Hamid Maranipour, procureur de la ville, qui compte plus de 230.000 habitants.Une enquête a été ouverte pour déterminer les causes de l'accident.Le bâtiment se trouvait sur la "rue centrale la plus fréquentée de la ville", où les immeubles environnants sont principalement dédiés à des activités "commerciales, médicales" ou accueillent "des bureaux", à l'instar de l'immeuble qui s'est effondré, a indiqué la télévision.Début 2017, le Plasco building, un centre commercial de 15 étages datant du début des années 1960, s'est effondré dans le centre de Téhéran alors que les pompiers luttaient depuis des heures contre un incendie et en évacuaient les occupants.Selon le bilan officiel, 22 personnes dont 16 pompiers avaient péris lors de ce drame, qui a provoqué environ des dégâts d'un coût total de 15.000 milliards de rials (365 millions d'euros) et mis 3.500 personnes au chômage.
Il y a 3 ans et 3 jours

Efficacité énergétique et digital : la révolution est proche

Alors que de plus en plus d’acteurs partent à l’assaut des marchés de la Smart Home et du Smart Building, la prochaine révolution qui s’annonce passera par l’arrivée de solutions globales répondant aux différents besoins des consommateurs, analysent les consultants des Echos Etudes dans leur dernière publication « Le marché des solutions d’efficacité énergétique ». Encore émergent, le marché de l’energy management est loin d’avoir exprimé tout son potentiel chez les particuliers comme chez les professionnels. Du côté de la Smart Home, la demande bondit depuis 2020. La crise sanitaire et l’augmentation du temps passé chez soi ont provoqué un engouement des consommateurs pour tous les équipements liés au foyer. Certes, les ventes se concentrent encore essentiellement sur les montres connectées, les télévisions et autres assistants vocaux. Les objets liés à l’énergie comme les ampoules, les prises et les thermostats connectés rencontrent, eux, moins de succès. Mais toutes les enquêtes le montrent : l’intérêt est là. Les solutions digitales d’efficacité énergétique font aussi une percée dans le secteur tertiaire. D’après une enquête réalisée par Les Echos Etudes, 44 % des entreprises ont installé des équipements connectés (capteurs, thermostats intelligents…) au sein de leurs bâtiments pour réduire leur consommation d’énergie. C’est la solution privilégiée devant des équipements à haute performance énergétique. Et pour cause : les coûts de déploiement sont relativement faibles et l’IoT permet d’accéder facilement à des informations exploitables, a minima de prendre conscience de la problématique énergétique. En revanche, la mise en place de plateformes de monitoring des consommations est une solution nettement moins courante avec seulement 24 % des entreprises qui y recourent.Le réveil du marchéSi le développement des solutions digitales pour l’énergie a été jusqu’à présent un peu poussif, le marché est à l’aube d’une nouvelle donne. L’augmentation sans précédent des prix de l’énergie devrait pousser particuliers comme entreprises à s’impliquer davantage dans la maîtrise de leurs consommations énergétiques. D’après l’enquête des Echos Etudes, les deux-tiers des décideurs interrogés pensent que l’augmentation des prix de l’énergie va conduire leur organisation à accélérer ses investissements dans l’efficacité énergétique dans les douze prochains mois. La proportion grimpe même à 94 % pour les entreprises de plus de 5.000 salariés. Du côté de la réglementation, les signaux sont également au vert. Après près d’une décennie d’un parcours très chaotique, le décret tertiaire, en vigueur depuis le 1er octobre 2021, réveille enfin le segment BtoB. 43 % des entreprises estiment que sa mise en œuvre devrait les conduire à accélérer leurs investissements dans l’efficacité énergétique. En revanche, un travail de pédagogie est encore à faire pour tous les acteurs de l’efficacité énergétique, car 37 % des répondants ne connaissent pas encore cette nouvelle réglementation.Vers la fin des approches en silos ?Ce gisement de croissance attise une forte concurrence. Editeurs de logiciels, énergéticiens, sociétés de services énergétiques, fabricants d’équipements électriques et de génie climatique, start-up… de plus en plus d’acteurs partent à l’assaut du marché. Le panel des solutions disponibles sur le marché est aujourd’hui très large, avec de nombreux équipements, logiciels et plateformes de monitoring des consommations proposés. Il n’y aura probablement pas de place pour tout le monde, d’autant que certains dispositifs sont en concurrence partielle ou frontale. Mais la véritable révolution va venir de l’arrivée d’offres globales. Pour le moment, les opérateurs enrichissent leur gamme brique par brique, commercialisées chacune de leur côté. Résultat : les ménages comme les entreprises voient arriver une profusion d’équipements, dont l’énergie n’est parfois qu’une fonctionnalité parmi d’autres. Charge à eux de bâtir leur écosystème. A terme, cette approche est amenée à disparaître pour laisser place à une unique interface de pilotage de la fonction énergie de la maison ou du bâtiment. Reste à savoir quels sont les acteurs les mieux placés pour s’imposer…Le secteur tertiaire face aux enjeux d'efficacité énergétiqueLe marché de l'efficacité énergétique offre des perspectives prometteuses sur le segment tertiaire. Une enquête menée par Les Echos Etudes dresse un état des lieux chiffré des actions menées par les entreprises et administrations publiques.48% des répondants estiment que leur entreprise ou administration publique n'a pas encore engagé d'initiatives concrètes pour réduire ses consommations d'énergie.43% des entreprises et administrations publiques pensent que le décret tertiaire va les conduire à accélérer leurs investissements dans l'efficacité énergétique au cours des douze prochains mois.24% seulement des entreprises et administrations publiques ont installé un logiciel ou une plateforme de monitoring de leurs consommations énergétiques.
Il y a 3 ans et 12 jours

Bilan 2021 de l’ensemble du marché immobilier résidentiel

La tendance haussière, portée par l’atterrissage des taux de rendement des autres classes (principalement bureau et logistique) et par des taux d’emprunt toujours très bas, semble se confirmer pour le début 2022. Il faudra tout de même rester attentif à l’évolution et la mise en place des nouvelles réglementations environnementales ainsi qu’aux incidences du conflit russo-ukrainien.Le marché de la Vente en Bloc de neuf confirme son attractivitéAvec un volume total investi de 7,4 milliards d’euros, soit 7% d’augmentation par rapport à 2020, le marché de la vente en bloc a donc battu un nouveau record en 2021, avec 299 transactions.Le neuf, figure de proue des investisseurs, représente 57% de ce marché. La préférence marquée pour la construction s’explique par le changement de stratégie des promoteurs (vente en bloc vs lot par lot). Elle devrait se poursuivre avec la promulgation de la loi Climat et Résilience qui pousse les investisseurs à privilégier les logements les plus énergétiquement vertueux.Le marché de l’Ancien profite d’une année 2021 en nette augmentationAvec 1.178.000 ventes en 2021, soit une progression de 15% par rapport à 2020, le marché de l’immobilier résidentiel dans l’ancien a atteint un niveau record. Cette augmentation se retrouve notamment au niveau des prix avec une évolution nationale pour les maisons de 9%, et pour les appartements de 4,6% (une différence qui ne s’est pas produite depuis 2016). Le phénomène pourrait être lié à un effet post crise sanitaire porté par un besoin d’espace et d’extérieurs plus important et par la généralisation du télétravail, mais également à la forte hausse des prix dans les grandes métropoles qui a contraint une partie de la population plus modeste à s’éloigner des centres-villes.Si un léger ralentissement des prix se fait sentir sur le marché parisien, avec en moyenne 10 600 €/m² (soit -0,9% intramuros et -0,8% en Ile de France), le marché en Régions tire son épingle du jeu – notamment les zones péri-urbaines et rurales - avec une croissance importante des volumes (+15,4%) et des prix (+9,4% pour les maisons et +8% pour les appartements).« A moyen terme, la remontée des taux d’emprunt de ce début d’année 2022 couplée à l’inflation généralisée des coûts de construction pourraient davantage impacter le volume et les prix de ventes sur les années à venir. » Stéphane Imowicz, Président d’IKORYLe marché du Neuf reprend légèrement malgré l’impact de la crise sanitairePour le marché du résidentiel neuf, l’année 2021 se termine sur une note positive avec plus de 116.000 ventes réalisées, soit une hausse de 15% par rapport à 2020. Les mises en vente prennent la même trajectoire avec une hausse de 21% sur un an. L’offre commerciale, quant à elle, se contracte avec une baisse de 2% par rapport à 2020 et de 4% par rapport à la moyenne décennale.Le marché du Neuf souffre d’une pénurie de produits – malgré une hausse des permis de construire de 19% sur un an - pouvant s’expliquer par du foncier plutôt rare et cher, une demande soutenue, des coûts de construction en hausse, des délais administratifs trop long et des recours trop nombreux mettant en péril la rentabilité économique des projets.A moyen terme, le développement du neuf peut se trouver d’avantage impacté qu’aujourd’hui par des réglementations environnementales plus complexes à mettre en place et leurs conséquences en termes de valorisation.L’immobilier résidentiel en transitionLe parc immobilier résidentiel français est soumis à une importante évolution réglementaire avec, d’une part, la promulgation de la loi Climat et Résilience en août 2021 et, d’autre part, la mise en œuvre de la norme RE2020 depuis le 1er janvier 2022 pour les constructions neuves.Concernant les opérations neuves, la RE2020 ne concerne que les permis de construire déposés après le 1er janvier 2022 (pour les immeubles d’habitation) ; il n’y a donc encore que très peu de recul sur l’impact réel de l’application de la règlementation.Concernant les bâtiments existants, 4,8 millions de logements sont classés F ou G (33% à Paris intramuros) et sont donc à terme condamnés à être retirés du marché locatif s’ils ne sont pas rénovés et ce dès 2025 pour les plus dégradés d’entre eux. On observe une hausse des mises en vente de logements énergétiquement dégradés (8% pour les appartements, 7,4% pour les maisons), montrant la volonté des propriétaires d’arbitrer en priorité leurs actifs condamnés à l’obsolescence.La rénovation du parc existant constitue donc un enjeu majeur. D’autant qu’une étude des Notaires de France montre que les actifs résidentiels dégageaient en 2020 une plus ou moins-value par rapport à la moyenne selon leur classe énergétique. La décote va jusqu’à 20% pour des maisons et 14% pour des appartements. Il est cependant difficile d’en déduire la présence d’une valeur verte ou une décote brune, l’obsolescence thermique d’un actif ne venant jamais seule.« L’aspect contraignant des nouvelles réglementations mises en place va nécessairement se manifester dans les statistiques de volume et de prix dans les prochains mois. Si nous manquons à ce jour de données pour suivre ces transformations, les propriétaires institutionnels et privés sont déjà sur le terrain pour réagir : verdissement du parc, arbitrage des passoires thermiques, travaux de rénovation énergétique, le marché a bien compris quel était l’enjeu et se préoccupe déjà de trouver des réponses. » Stéphane Imowicz, Président d’IKORY
Il y a 3 ans et 13 jours

Pourquoi des éoliennes flottantes en Méditerranée ?

Pour lutter contre le réchauffement climatique et répondre à ses besoins, la France doit accroître fortement sa production électrique décarbonée d'ici 2050, ce qui implique, nucléaire ou pas, un déploiement massif des énergies renouvelables, soulignent tous les scénarios récents.Le pays, très en retard dans l'éolien en mer, compte à ce stade sept parcs "posés" dans les tuyaux, dont quatre en construction. Le premier doit démarrer en mai pour mise en service complète fin 2022, face à Saint-Nazaire.Dans le flottant, technologie non mature et donc plus chère, un premier appel d'offres commercial a été lancé mi-2021 par l'Etat, pour un parc au large de Belle-Ile-en-Mer et Groix : 250 mégawatts (MW), avant un autre de 500. En grandes profondeursA partir de 60 mètres de fond, au moins pour des raisons économiques, il faut passer au flottant. Cela permet de s'installer à plus grande distance des côtes, à moindre impact visuel, et en zones plus ventées, ce qui améliore la capacité de production.En Méditerranée, cette technique s'impose car le plancher marin descend vite.Chaque éolienne est fixée sur un flotteur maintenu par des lignes d'ancrage reliées au fond, plus ou moins tendues. La stabilité est garantie par la taille du flotteur ou par un centre de gravité très bas, expliquent les industriels.Les flotteurs des fermes pilotes vont jusqu'à 100 m de long. Ils dépendront aussi de la taille des éoliennes choisies.Car plus le diamètre de l'éolienne est grand, plus elle produit d'électricité : par exemple, un parc de 250 MW nécessite 42 éoliennes de 6 MW, mais 17 suffisent avec des modèles de 15 MW.Boom attenduAu niveau mondial, 80% du potentiel de l'éolien en mer repose sur des technologies flottantes, selon l'Agence internationale de l'énergie. En France, l'Ademe a évalué le potentiel à 16 gigawatts (GW) accessibles pour l'éolien posé et 33 GW pour le flottant.L'Europe fait figure de pionnière. Un premier parc commercial, "Hywind", a été inauguré en Ecosse en 2017, pour plus de 30 MW. Au Portugal, WindFloat Atlantic a été mis en service mi-2020: les trois plus grandes turbines au monde sur flotteur, pour 25 MW au total.Des parcs commerciaux bien plus grands s'annoncent: au large de la Corée du Sud, en face des Canaries, de l'Ecosse, dans la baie de Rosas (nord de la Catalogne)... Un autre, 7SeasMed, porté par des développeurs danois, est évoqué entre Sicile et Tunisie, où les fonds atteignent 300 m.En Méditerranée française, on attend dans l'immédiat des fermes pilotes, avec 3 éoliennes à chaque fois. C'est le projet EolMed, 30 MW à 18 km de Gruissan (Aude), attendu cette année. En 2023, ce sera les éoliennes du golfe du Lion, au large de Leucate, et Provence Grand Large face à Port Saint-Louis du Rhône.Questions environnementalesObjectif de ces sites pilotes : tester flotteurs et impacts. Mais l'Autorité environnementale, sollicitée sur Provence Grand Large, avait rendu un avis prudent : quel impact sur la biodiversité ? Ces pilotes suffiront-ils à répondre ?De nombreux participants au débat public sur l'installation d'éoliennes flottantes en Méditerranée, mer particulièrement fragile, ont pour leur part demandé un report, le temps d'étudier les effets sur l'environnement.Lundi le gouvernement a maintenu son calendrier. Tout en promettant de revoir la localisation au large de Fos en fonction d'études environnementales en cours, notamment sur les oiseaux migrateurs.Avantage industrielLa France compte plusieurs "flottoristes", comme Ideol à La Ciotat ou Eolink en Bretagne. C'était en 2020 plus de 600 emplois (5.000 pour les énergies marines dans leur ensemble), selon l'Observatoire des énergies de la mer.Les énergéticiens y voient aussi un débouché. Comme TotalEnergies qui, pour le projet pilote EolMed, a fait appel à une trentaine d'ingénieurs pétroliers experts des plateformes offshore.Lundi, le gouvernement a lancé deux appels à manifestation d'intérêt pour le développement de la filière industrielle et d'infrastructures portuaires dédiées. Objectif : "que la France devienne une nation clef" dans ce secteur, dit Matignon.Dans le cadre de France 2030, quelque 300 millions d'euros lui auront été consacrés, ajoute-t-on.EnvironnementLe développement de l’éolien ne pourra se faire que dans le plus grand respect de l’environnement. A cet effet, la création de l’Observatoire national de l’éolien en mer, annoncé par le Premier ministre en août dernier et doté de 50 millions d’euros sur trois ans, a vocation à nourrir les démarches de planification du développement à venir de l’éolien en mer et répondre aux préoccupations des acteurs, notamment en ce qui concerne les impacts sur la biodiversité marine et sur la ressource halieutique. Ses objectifs sont doubles : valoriser les connaissances existantes et lancer de nouveaux programmes d’acquisition de connaissances afin de garantir la bonne prise en compte des enjeux de biodiversité dans le déploiement de l’éolien en mer.Les travaux pour mettre en place l’Observatoire ont débuté dès l’automne 2021 et ont associé les conseils scientifiques des comités de façade. Le travail réalisé a permis d’établir un premier programme d’études pour l’Observatoire et des premières études seront menées dès 2022. Le Premier ministre a notamment annoncé le lancement d’un programme de grande ampleur sur les migrations de l’avifaune et des chiroptères sur l’arc Atlantique. Il est également prévu que l’Ifremer lance un travail de cartographie des frayères en Méditerranée.Afin de se prononcer sur l’intérêt et la qualité scientifique des études, un conseil scientifique national va être mis en place. Ce conseil sera épaulé dans son action par un comité des parties prenantes regroupant des représentants des principales ONG environnementales, de la pêche, des industriels, des énergéticiens, des élus littoraux, des associations de riverains, des services de l’Etat, etc.La filière s’engage : sur la base des premiers projets attribués, depuis 2011, une filière de l’éolien en mer s’est structurée en France, comptant déjà des implantations industrielles de premier plan et plus de 5 000 emplois à la fin de l’année 2020.Afin de favoriser la création d’emplois dans l’éolien en mer en France, il est nécessaire que soit donnée de la visibilité sur les volumes qui seront attribués dans les années à venir. Cette visibilité doit permettre aux industriels d’investir massivement en France en offrant des perspectives fortes de débouchés.L’Etat et la filière de l’éolien en mer en France s’engagent donc collectivement pour un développement massif de l’éolien en mer et de l’industrie afférente par la signature d’un Pacte éolien en mer.Dans ce pacte, l’Etat confirme son engagement pour un déploiement ambitieux de l’éolien en mer au large des côtes françaises avec un objectif d’attribution d’environ 2GW/an dès 2025 et 40 GW installés en 2050. La filière s’engage quant à elle à quadrupler le nombre d’emplois directs et indirects liés à l’éolien en mer d’ici 2035, à engager plus de 40 milliards d’euros d’investissement au cours des 15 prochaines années et à atteindre un contenu local à hauteur de 50 % sur les projets.
Il y a 3 ans et 17 jours

Maison Empreinte : bilan et retour d’expérience d’un chantier pas comme les autres

Pour réinventer la construction, la force de l’innovation collectiveEmpreinte a été lancé par ERB, Entreprise Générale du Bâtiment située à Chalones (49), en septembre 2020. Dès les premiers mois, le collectif a bousculé les codes du secteur.« Pour repenser l’habitat, Empreinte a misé dès la conception sur le collectif : les partenaires se sont réunis pour questionner les processus traditionnels du secteur et faire gagner en performance le déploiement des expertises de chacun. Une étape décisive qui reste aujourd’hui une innovation méthodologique inédite » relève Michel Ballarini - DG d’Alter, aménageur de l’écoquartier des Echats III de Beaucouzé, dans lequel a été construite la maison.Le chantier a été lancé au printemps 2021 et a été ouvert aux professionnels du secteur comme au grand public, pour permettre une appropriation la plus large possible et de la démarche. Plus de 1000 visiteurs s’y sont rendus.« Empreinte a voulu réunir les acteurs qui partagent l’envie de repenser les impacts de la construction et de l’habitat. Ce premier chantier a été un démonstrateur, un test grandeur réelle de méthodologies, de technologies et de déploiement de matériaux. Il nous a montré que changer nos manières de construire était possible, et qu’ensemble ces changements nous font gagner en performances » explique Thomas Grenouilleau, président d’ERB et porteur du projet Empreinte.Le chantier s’est terminé en mars 2022, permettant de partager un premier retour d’expérience.Penser l’empreinte globale de l’habitatLe projet Empreinte s’est concentré sur quatre grands axes de travail : l’innovation collective, l’intégration du numérique, l’économie circulaire et la place de l’habitant. C’est ainsi l’empreinte globale de la construction, des chantiers et de l’habitat sur l’environnement qui a été repensée« L’innovation pour l’innovation n’a pas d’intérêt en soi. Nous avons fait en sorte que les différentes opportunités ouvertes par le numérique, comme la réalité 3D ou l’impression additive, ou par les matériaux sélectionnés permettent d’arriver à une amélioration globale de l’empreinte de la maison sur l’environnement, tant sur le plan de la gestion des déchets, que de la consommation énergétique ou que de son insertion dans l’écosystème du quartier » poursuit Thomas Grenouilleau.Par exemple, le chantier a permis de tester l’industrialisation sur site : au lieu de fabriquer en usine et d’assembler ailleurs, les robots sont venus sur le chantier pour monter les murs en impression additive (impression 3D). Une technique qui permet aussi de limiter le gaspillage de matière, calculée au plus près des besoins.L’étape de sélection des matériaux a cherché à privilégier les propositions qui répondaient à la fois à la démarche d’innovation durable et aux besoins établis par les études d’ingénierie. Une sélection pragmatique qui a permi de rassembler des matériaux biosourcés (argile, liège, bois…) mais aussi issus de l’économie circulaire (granulats, peinture…). La structure est faite en mousse PET issus de bouteilles recyclées, dans laquelle a été coulé du béton bas carbone.Une nouvelle étape pour la révolution de la constructionCe chantier hors norme a d’abord été un laboratoire, un terrain dédié à la révolution que doit opérer le secteur de la construction pour rester en phase avec les enjeux qui s’imposent à elle. 20% des émissions de carbone proviennent en effet du secteur, qui doit faire face à une demande sans cesse croissante.« ERB a proposé de mettre à notre disposition la maison Empreinte. Nous réfléchissons à en faire un espace dédié à la transition écologique et à toutes les questions que celle-ci soulève. Cela nous semble être dans la continuité de la dynamique lancée par le collectif » avance Yves Colliot, Maire de Beaucouzé.Les solutions validées par ce premier chantier peuvent dès aujourd’hui être isolées, pour fournir des briques technologiques répondant aux problématiques de chantiers plus conventionnels.Pour Empreinte, le défi est maintenant de poursuivre l’expérimentation collective.« Commercialiser la maison ou la refaire ne nous intéresse pas. Ce que nous cherchons c’est continuer à faire encore mieux, à trouver de nouvelles pistes de solutions pour proposer des modes de construction toujours plus positifs pour l’environnement, tout en étant raisonnable économiquement. Le prochain objectif que nous avons est de déployer une solution d’impression additive des murs à base de terre crue, excavée sur le chantier ; potentiellement, cela permettrait de réunir en une étape technologie numérique, industrialisation sur site, matériaux biosourcés et économie circulaire tout en validant les standards d’isolation thermique » s’enthousiasme Thomas Grenouilleau.Une innovation qui demanderait environ deux ans de R&D, pour laquelle les ouvertures potentielles sont déjà prometteuses.
Il y a 3 ans et 17 jours

Eqiom lance le premier CEM II/C-M marqué NF

Broyeur à clinker du centre de broyage Eqiom de La Rochelle. [©ACPresse] Eqiom met sur le marché son premier ciment CEM II/C. Un matériau qui s’inscrit dans la continuité directe de l’entrée en application de la norme ciment NF EN 197-5. A empreinte carbone réduite et marqué NF, il permet à l’industriel de poursuivre son engagement en faveur de la transition environnementale du secteur. Ce CEM II/C-M (S-L) 42,5 N NF résulte d’un mélange ternaire constitué de clinker. Mais aussi de filler calcaire et de laitier moulu de hauts fourneaux. Il est produit au sein du centre de broyage de La Rochelle. Il est surtout le premier ciment de cette famille présent sur le marché à être normalisé NF. Ceci, dans le cadre de la nouvelle norme NF EN 197-5. Cette dernière autorise la commercialisation de ciments moins riches en clinker en comparaison aux compositions admises par la NF EN 197-1. Un ciment produit à La Rochelle Le nouveau CEM II/C est issu du savoir-faire des laboratoires et des usines d’Eqiom. Il développe ainsi une formule à taux de clinker réduit. Ce qui permet de diminuer les émissions de CO2 issues de la fabrication du ciment. C’est-à-dire du résultat combiné de la combustion et de la décarbonation des matières premières que sont l’argile et le calcaire. Ce lancement est l’occasion pour Eqiom de compléter son offre de ciments à empreinte carbone réduite.« Nous sommes fiers de ce résultat, qui est le fruit d’une étroite collaboration entre les différentes équipes d’Eqiom, déclare Ahmed Mansouri, responsable d’exploitation du site de La Rochelle. Cet engagement permet d’apporter à nos clients une solution à faible émission de CO2, tout en garantissant des performances suffisantes pour ne pas impacter les pratiques sur les chantiers. »Dès la fin du premier semestre 2022, le CEM II/C d’Eqiom pourra être utilisé dans les bétons structurels. Ceci, grâce à la prise en compte de la norme NF EN 197-5 dans le cadre de la mise à jour la norme béton NF EN 206/CN.
Il y a 3 ans et 18 jours

EdiliziAcrobatica dévégétalise la Forteresse de Salses

Après avoir sublimé les remparts de la Cité de Carcassonne, EdiliziAcrobatica a de nouveau été choisie par le Centre des Monuments Nationaux pour l’opération de dévégétalisation de la Forteresse de Salses. Les travaux ont été réalisés selon les prescriptions particulières liées aux monuments historiques : arrachage de végétaux à racines vivaces tels que les figuiers, palmiers et autres plantes grimpantes suivi d’une consolidation de la surface, dans le but de redonner à la Forteresse son plus bel aspect. Implantée depuis 2019 en France, EdiliziAcrobatica développe son activité commerciale dans six villes du Sud de la France : Nice, Marseille, Toulouse, Montpellier, Narbonne et Lyon. L’entreprise s’est récemment implantée dans la Principauté de Monaco grâce à son partenariat avec la société monégasque Engeco S.A.M., société historique de construction et de développement immobilier. Située dans un cadre naturel exceptionnel, entre les étangs de Salses et les Corbières, la forteresse de Salses offre aux visiteurs des points de vue remarquables et une atmosphère unique. Ils pourront découvrir au sein de ce monument du XVe siècle le dialogue surprenant entre le lieu et les installations d’artistes contemporains majeurs.
Il y a 3 ans et 20 jours

L’entreprise Molénat fête ses 100 ans !

Entre tradition et modernité, l’enseigne ne manque pas d’ambitions et se donne les moyens de performer. Tout a commencé il y a 100 ans, en 1922 ; Louis Molénat fonde son entreprise de fabrication de menuiserie généraliste et devient rapidement le menuisier incontournable de la région. En 1945, Robert Molénat reprend la suite jusqu’en 1965, où il laisse la direction de Molénat à son fils Pierre qui au fil du temps cessera les activités de chantier au bénéfice de la menuiserie extérieure en bois sur laquelle l’entreprise va se concentrer pour développer une gamme d’excellence. Dans les années 1990, Molénat prend un tournant capital et se diversifie sous l’impulsion de Philippe Molénat, fils de Pierre, qui va étendre le développement industriel de l’enseigne vers d’autres matériaux que le bois. Il intègre le PVC en 1991, puis l’aluminium en 1997 et déploie 4 autres sites de production autour de Decazeville. Les années qui suivent sont prospères. L’entreprise devient un pôle d’emploi régional éminent qui compte plus de 200 salariés et se forge une notoriété notable et grandissante de la Gironde à la Savoie jusqu’à la région PACA. A gauche, Pierre Molénat, à droite, Robert Molénat © Molenat-Groupe Lorillard Equipe Molénat Bois en 2000 © Molenat-Groupe Lorillard Un esprit visionnaire. Esprit agile, innovant ou créatif, les qualificatifs sont multiples mais le plus approprié pour traduire le caractère intrinsèque de la famille Molénat serait visionnaire. En effet, les dirigeants ont toujours su anticiper l’avenir et, très tôt, ont pensé une industrialisation et une conception spécifiques des menuiseries. Principalement destinées aux négoces, les menuiseries Molénat tirent parti d’un assemblage mécanique spécifique et d’un ouvrant en portefeuille pour une conception plus rapide. Toujours visionnaire, en 2005, l’entreprise se dote d’une ligne d’industrialisation Celaschi, entièrement automatisée. Cette ligne de plus de 100 mètres intègre 7 machines qui usinent toutes les pièces de bois pour l’assemblage des menuiseries. L’enseigne franchit un seuil d’industrialisation et est en capacité de produire plus de 2 000 menuiseries par semaine (bois, aluminium et PVC confondus). Durant près de 85 ans, l’entreprise Molénat n’a cessé de prospérer, bénéficiant d’un ancrage régional fort et de solides relations commerciales. C’était sans compter la crise de 2008 qui a lentement érodé la santé économique du marché durant près de 7 ans. Molénat n’a pas été épargnée. L’opportunité Lorillard En 2015, le Groupe Lorillard fait une offre de rachat, une opportunité unique pour l’enseigne de rejoindre un grand groupe auquel s’adosser pour mieux rebondir. Une réorganisation est menée et Molénat s’oriente essentiellement sur la production bois dans la cohérence de son savoir-faire originel et de l’ambition stratégique du Groupe. Cependant, forte de sa notoriété sur la région, notamment auprès des particuliers, l’enseigne continue de commercialiser sous sa marque les menuiseries pvc et aluminium que le Groupe conçoit. Ainsi, en 2018, le site de production aluminium ferme, puis en 2020 celui du PVC, au profit d’une industrialisation efficiente des outils et process de fabrication bois. Les salariés des sites aluminium et PVC qui le souhaitent, sont réintégrés à Decazeville. Le Groupe Lorillard introduit des nouvelles essences de bois, le laquage (garanties 10 ans sur les peintures laquées et 5 ans sur les lasures laquées), des évolutions dans les gammes et dans la typologie des menuiseries qui deviennent plus complexes pour répondre aux besoins des négoces mais également des chantiers. Lorillard intègre également le LEAN et revoit les méthodes de production. Les 15 000 m² d’atelier, du parc à bois jusqu’à l’expédition, sont réorganisés de manière linéaire afin d’assurer un cheminement logique – sans contrainte et perte de temps inutile – et une production efficiente. Depuis le rachat, des investissements réguliers configurent l’outil industriel de manière à ce qu’il soit optimal. En 2015, une chaîne de finition complète est installée pouvant assurer une cadence de 100 menuiserie/jour ; en 2020, un centre d’usinage 5 axes est intégré pour le développement des menuiseries cintrées ; en 2021, une ponceuse automatique est ajoutée à la sortie de la ligne Celaschi. Et tout récemment, la signature d’un accord d’automatisation d’une ligne d’assemblage (investissement de plus d’un million d’euros) vient soutenir l’amélioration des conditions de travail. Effective en 2023, cette ligne vise à automatiser la pénibilité de certaines tâches. En effet, Molénat conçoit aujourd’hui des menuiseries plus complexes, notamment plus grandes et plus lourdes. Egreneuse automatique © Molenat-Groupe Lorillard 4 faces moulurière © Molenat-Groupe Lorillard Tunnel de séchage par infrarouge pour un séchage à cœur. © Molenat-Groupe Lorillard Centre usinage numérisé 5 axes © Molenat-Groupe Lorillard En 3 ans, l’atelier a quasiment doublé sa capacité de fabrication, passant de 50 à 90 menuiseries/jour. Molénat vise les 100 menuiseries/jour sur le second semestre 2022 et ambitionne 110 à 120 menuiseries/jour à l’horizon 2023. L’enseigne qui a su saisir les opportunités de développement, affirme clairement aujourd’hui ses capacités de performance, en témoigne le chantier du Carlton de Cannes pour lequel 1 000 menuiseries dont 300 cintrées ont été conçues en seulement 4 mois. Menuiseries de l’Hôtel Carlton à Cannes – 1 000 menuiseries bois dont 300 cintrées, conçues en seulement 4 mois © Molenat-Groupe Lorillard Un avenir ambitieux L’ambition n’a jamais fait défaut à Molénat et tel un sillon, elle sème l’espoir de performer toujours plus. L’entreprise ne cesse d’œuvrer pour développer des atouts commerciaux, techniques et industriels. Entre autres : en 2021, l’enseigne a développé sur son site un magasin « Molénat by Lorenove » avec la création d’un showroom pour la vente aux particuliers de la région (CA de 500 000 € en 18 mois) ; courant 2022, la prochaine validation des procès-verbaux pour la certification pare-flamme EI30 des menuiseries bois de la gamme LENA 68 ou encore la mise en place d’une gamme bois spécifiquement dédiée aux chantiers du Groupe. Le showroom du magasin « Molénat by Lorenove » pour la vente aux particuliers de la région © Molenat-Groupe Lorillard En 2021, Molénat a réalisé un chiffre d’affaires de 13,7 millions d’euros dont 1,7 millions concernent les ventes PVC et Aluminium conçues par le Groupe et 12 millions celles du bois, dont le ratio s’équilibre entre le négoce et le chantier. L’enseigne projette un chiffre d’affaires de 15,5 millions d’euros pour 2022 et entre 18 et 19 millions d’euros pour 2023 ; des prévisions boostées notamment par le lancement d’une gamme mixte en cours de développement. Aujourd’hui, l’entreprise livre entre 450 et 500 menuiseries par semaine et affiche des délais de conception de 10 semaines, là où d’autres en nécessitent 5 de plus. De prochains investissements, à hauteur de 2 à 3 millions d’euros, sont évoqués par le Groupe Lorillard pour ces deux prochaines années afin de développer encore un peu plus l’industrialisation du bois chez Molénat mais également d’attribuer plus de capacité à la production dédiée aux chantiers. L’enseigne qui a l’ambition d’aller toujours plus loin, commence en effet à développer davantage son savoir-faire sur des chantiers exceptionnels et atypiques comme la Résidence Hôtelière « Vacanciel » de Menton ou encore l’hôtel « Diamond Rock » à Tignes. L’entreprise centenaire entame une renaissance ! Hôtel «Diamond Rock» à Tignes © Menuiserie Anzalone.
Il y a 3 ans et 20 jours

Klépierre annonce un chiffre d'affaires en hausse et maintient ses objectifs

Le groupe, propriétaire des centres commerciaux Val d'Europe et Créteil Soleil à l'est de Paris, maintient ses objectifs financiers pour 2022, tout en estimant qu'"une inflation persistante pourrait potentiellement impacter la consommation des ménages pour certains produits et services commercialisés par les locataires". Klépierre, qui focalise son activité sur les métropoles européennes, a vu ses revenus locatifs nets grimper en flèche par rapport au premier trimestre 2021 (+71%), quand beaucoup de pays imposaient des restrictions ou des fermetures aux commerces.Présent dans 13 pays, le groupe a tout de même vu son activité perturbée par le Covid-19 notamment aux Pays-Bas, qui avaient imposé d'importantes restrictions en janvier, ainsi qu'en Allemagne, où un pass sanitaire était exigé dans les commerces."Le segment de la mode a été perturbé en janvier par le variant Omicron", explique Klépierre, tout comme celui de la restauration où subsistaient des règles sanitaires.
Il y a 3 ans et 23 jours

Podcast #12 – Arcosanti : Et au milieu du désert, une cité utopique

Raconté par Muriel Carbonnet – Production & réalisation : Sivagami Casimir Article original paru en juillet 2021 dans le n° 95 de Béton[s] le Magazine C’est une ville en béton compacte et éco-responsable, conçue dans les années 1970 et édifiée depuis par plus de 8 000 personnes. Elle émerge du désert de la Sonora, à 110 km, au Nord de Phoenix, en Arizona, aux Etats-Unis. Ici l’architecture est travaillée. Les formes sont cubiques, angulaires ou absidiales. Les infrastructures unissent le béton brut et le bois. Les fenêtres sont plus volontiers rondes que rectangulaires. Les toits sont construits en escaliers. Et les bâtiments individuels se fondent les uns dans les autres à travers un réseau de couloirs donnant sur le désert environnant. Vous êtes à Arcosanti, une cité écologique créée de toutes pièces par l’Italo-Américain Paolo Soleri (1919-2013). ACPresse · Podcast ACPresse Arcosanti Ecolos avant l’heure Adepte de l’Arcologie (contraction d’architecture et d’écologie), l’architecte voulait montrer qu’il était possible de développer un projet urbain unique. Tout en respectant l’environnement. Thème peu en vogue il y a 50 ans – en dehors peut-être du mouvement hippie -, mais qui trouve tout son sens à notre époque. Ses idées semblent aussi logiques qu’attrayantes… Il s’agit bien d’un “laboratoire urbain”, comme l’annonce le panneau de bienvenue aux portes d’Arcosanti. Dans cette ville idéale auto-suffisante, les habitants n’ont plus besoin de voitures, la notion même de route n’a plus aucun sens. Les espaces de vie et de travail sont indistincts. Fini aussi les ampoules le jour, l’air conditionné l’été, même au beau milieu du désert ! L’ensemble forme un drôle de hameau ramassé, couvert d’oliviers et de cyprès, comme un peu d’Italie que l’architecte aurait semé çà et là. Un zeste loufoque.  Les espaces de vie et de travail sont indistincts. Ici, le Café, moments conviviaux en perspective. [©Elitemedia.network] Les principes de l’Arcologie Le projet s’appuie sur une structure communautaire dirigée par Paolo Soleri. Les réalisations d’Arcosanti ont toutes été construites avant 1990. Le “Crafts III” sert de centre d’accueil pour les visiteurs. Il comprend des magasins et des logements. Sa climatisation est passive organisée autour de systèmes de ventilation et de grandes baies. Le “Ceramics Apse” est une abside en béton coulé en place, en utilisant un moule en terre. Sa forme permet de capter le maximum de lumière en hiver et le minimum en été. On y fabrique des carillons éoliens (“Wind Bell”), l’une des sources de revenus de la communauté. Les formes sont cubiques, angulaires ou absidiales. Les infrastructures unissent le béton brut et le bois. Les fenêtres sont plus volontiers rondes que rectangulaires. [©Rosa Menkman]L’ensemble forme un drôle de hameau ramassé, couvert d’oliviers et de cyprès, comme un peu d’Italie que l’architecte Paolo Soleri aurait semé çà et là. [©Jan Pauw]Les toits sont construits en escaliers. Et les bâtiments individuels se fondent les uns dans les autres à travers un réseau de couloirs donnant sur le désert environnant. [©Ted Major] Le béton à l’honneur Le “East & West Housing” est un bâtiment d’habitation en béton coulé en place ou préfabriqué. Les “Vaults” sont constitués de deux voûtes en berceau non jointives et ouvertes à leurs extrémités, utilisées pour l’organisation d’ateliers, de réunions… Leur partie inférieure est réalisée en béton aussi, tandis que leur partie supérieure est formée de panneaux de béton préfabriqués. Des espaces sont accolées de part et d’autre sur le côté Est pour le stockage et l’atelier paysagiste. Et sur le côté Ouest pour les activités commerciales. Le sommet de la voûte sert de belvédère… Une vie communautaire et assez drastique somme toute pour les quelque 80 personnes qui vivent encore là au quotidien. [©Cody from Phoenix]Les “Vaults” sont constitués de deux voûtes en berceau, utilisées pour l’organisation d’ateliers, de réunions… [©Graeme Maclean] Piscine au milieu du désert environnant. [©heather vescent] Une vie communautaire et assez drastique somme toute pour les quelque 80 personnes qui vivent encore là au quotidien. Défendant toujours les principes de Paolo Soleri, même après sa disparition… Et qui fera peut-être de nouveaux adeptes, l’écologie étant dans l’air du temps ! En savoir plus sur la cité d’Arcosanti Muriel Carbonnet Article paru dans le n° 95 de Béton[s] le Magazine
Il y a 3 ans et 24 jours

URW proche d'un retour à la normale d'avant-Covid 19

Début 2022, le groupe, propriétaire du Forum des Halles à Paris et du centre commercial de la Part-Dieu à Lyon a dégagé 897,1 millions d'euros de loyers nets.C'est 34% de plus qu'au premier trimestre 2021, quand la lutte contre la pandémie avait largement ralenti l'activité des centres commerciaux, et à peine 5% de moins qu'en 2019.URW se félicite dans un communiqué d'une "forte reprise post-Covid-19".Le chiffre d'affaires des commerçants hébergés par URW est remonté à 93% de son niveau d'avant-Covid 19, et l'a même dépassé aux États-Unis, dont le groupe veut se désengager courant 2022-2023.Au cours du trimestre, il s'est d'ailleurs débarrassé d'un centre commercial à Los Angeles, ainsi que d'un centre à Solna (Suède) et d'une part dans le Carré Sénart en banlieue parisienne. Reflet de sa stratégie de désendettement et de concentration sur les emplacements au coeur des grandes métropoles européennes.La fréquentation de ses centres est cependant restée en retrait au cours du trimestre, à 82% du niveau de 2019. Les visites sont donc "plus productives", explique le groupe.URW, qui a annoncé en mars une nouvelle stratégie publicitaire basée sur la publicité ciblée et l'exploitation des données des visiteurs, a signé un partenariat de 8 ans avec Clear Channel France portant sur 600 écrans installés dans 20 centres commerciaux français.Sa branche expositions, comprenant notamment les parcs des expositions de Villepinte et de la Porte de Versailles, a logiquement bien profité de la fin des mesures sanitaires et de la reprise des évènements en présentiel.
Il y a 3 ans et 37 jours

Un nouvel établissement médico-social durable à Béziers

CEMEX fournit du béton bas carbone pour ce nouveau bâtiment dont la conception respecte de nombreux critères de durabilité.Un emplacement qui a du sensCe nouvel établissement de 4 500 m² remplacera l’actuelle maison d’accueil spécialisée « Château Saint Pierre » située à Mont-Blanc. L’architecture de cette dernière ne répondait plus aux normes d’accessibilité nécessaires aux résidents, tandis que sa vétusté et sa surface disproportionnée étaient génératrices de coût de maintenance trop élevés. APF France handicap a choisi d’implanter le nouveau pôle médico-social « Résidence Belles Terres » dans la ZAC de Mazéran ayant pour vocation de regrouper des entreprises de pointe, notamment dans le secteur de la santé et du para-médical. Ce technoparc bénéficie par ailleurs d’une proximité avec les grands axes de transport facilitant ainsi l’accès au futur centre socio-médical pour le personnel et les visiteurs.Sous le signe de la concertationLa durabilité est un enjeu prégnant du projet. L’aspect social a été soutenu dès le début puisque les résidents et le personnel ont été consultés très en amont, durant les phases de programmation et de conception, au côté d’APF France handicap. L’intégration à proximité d’un domaine viticole, la forte attente d’un environnement paysager de qualité, le besoin de créer un lieu de vie ou l’on soigne et non pas l’inverse, ont également été pris en considération ainsi que la volonté de favoriser des matériaux de construction locaux et recyclés, d’optimiser la performance énergétique et de réduire les nuisances vis-à-vis des entreprises riveraines durant le chantier. Au total, CEMEX aura ainsi fourni 5 000 m3 de béton bas carbone Vertua® classic et 200 m3 de béton architectonique matricé effet pierre à l’entreprise Olacia en charge des travaux de gros œuvre. Ces livraisons se sont effectuées depuis les unités de production voisines de Béziers et Lignan. Les bétons Vertua®, commercialisés par CEMEX dès 2018, sont largement plébiscités par les maîtres d’ouvrage et d’œuvre car ils permettent de diminuer le bilan carbone du béton au-delà de 60% et, optionnellement, de compenser les émissions restantes.Béton bas carbone et outils respectueux de l’environnementEn plus de la qualité du béton bas carbone et des livraisons sur chantier, l’entreprise Olacia a apprécié la disponibilité des équipes CEMEX quant à leur présence sur le terrain, leur écoute et la cadence des livraisons depuis le début du chantier démarré en juin 2021, ainsi que la digitalisation du parcours client via l’outil CEMEX Go qui facilite la vie des acteurs de la construction - commandes de matériaux, suivi des livraisons en temps réel, gestion documentaire, … - le tout sans papier. Les équipes du secteur Occitanie Est sont fières de contribuer à ce projet socio-économique vertueux qui a par ailleurs été reconnu « Bâtiment Durable Occitanie, niveau argent » pour sa phase conception. Les travaux de gros œuvre sont prévus d’être terminés en juin prochain.
Il y a 3 ans et 38 jours

L'ascenseur intelligent : la colonne vertébrale du bâtiment de demain

Qu'est-ce qu'un ascenseur intelligent ?Un ascenseur intelligent est un ascenseur « amélioré » : en plus de fonctions que l'on attend d'un ascenseur classique, il est équipé de capteurs permettant de compter le nombre de trajets effectués, le nombre d'occupants, mais aussi d'une IA capable de détecter les signes avant-coureurs d'usure ou de défaillance permettant de prévoir plus vite et plus facilement une maintenance. Un ascenseur intelligent permet donc un gain de sécurité, un gain d'énergie et un gain en termes d'efficacité.Il peut aussi être équipé de fonctionnalités utiles au quotidien des utilisateurs comme l'appel de l'ascenseur sans contact via un smartphone, l'affichage d'informations relatives à la vie du bâtiment, à la conciergerie ou même de divertissements comme de la musique personnalisée pour une expérience de trajet inégalable.Une valeur ajoutée pour tous les acteurs du bâtimentL'ascenseur est un indispensable pour les bâtiments et est même obligatoire à partir du 3ème étage au-dessus du rez-de-chaussée en France. Il représente le bâtiment entier de par son rôle de transport entre les différents étages et il ne faut donc pas le négliger. Pour 96% des Français, il est important de remplacer les ascenseurs vétustes selon un sondage Ipsos réalisé pour la Fédération des Ascenseurs, montrant bien la nécessité d'innover dans ce domaine pour sortir des ascenseurs sombres et oppressants.Les ascenseurs intelligents permettent également un design plus moderne et en adéquation avec le reste du bâtiment via leurs salles des machines très discrètes voire intégrées à la cabine, facilitant le travail de l'architecte en amont de la construction et celui de la maintenance en aval grâce à des systèmes de maintenance et de surveillance du fonctionnement à distance par exemple.Avoir un ascenseur intelligent est donc un excellent moyen de se différencier et d'accroître pour l'investisseur la valeur de l'immeuble dans lequel l'ascenseur est installé.Une capacité d'adaptation sans limites aux besoins des utilisateursSelon l'étude Ipsos menée pour la Fédération des Ascenseurs, un tiers des français souhaitent profiter des dernières technologies numériques dans leur ascenseur, avec par exemple une commande vocale pour sélectionner son étage et ouvrir les portes et 37% désirent profiter d'une musique d’ambiance pendant le trajet, démontrant l'intérêt des utilisateurs pour les possibilités multiples de personnaliser la cabine de l'ascenseur et l'expérience des passagers.Du design sobre et épuré au design ultra moderne, en passant par le choix des couleurs et des matériaux ou de l'éclairage, qu'il soit diffus, direct ou indirect, les acteurs de la mobilité comme KONE ont prévu tout le nécessaire afin que chaque ascenseur intelligent s'ajuste parfaitement aux besoins et aux contraintes de chaque projet, avec par exemple la modélisation 3D de la cabine via des modèles CAD et BIM pour faciliter la visualisation de la future réalisation.
Il y a 3 ans et 40 jours

Des grues de chantier dansent dans le ciel de Bobigny en Seine-Saint-Denis

"C'est Boboche (surnom de Bobigny, ndlr), il n'y a qu'ici qu'on voit ça", sourit Thomas, un habitant venu assister au spectacle comme de nombreuses familles.Sous les yeux du public, dix grues se sont émancipées de leurs tâches répétitives pour s'adonner à une réalisation inhabituelle dans la lumière rasante du soir.Entre la mairie et la préfecture, au milieu des HLM, elles officient sur le chantier du centre-ville de Bobigny, en lieu et place d'un centre commercial vétuste, qui accaparait depuis les années 1970 le cœur de cette ville populaire de banlieue parisienne.Avec les grutiers, "on a fait des répétitions au sol, et on disait +quart de tour à droite+, +attendez le top+, ils ont chacun un plan avec leur chorégraphie", des indications par talkie-walkie et des repères visuels dans le paysage urbain, explique la chorégraphe Kitsou Dubois, connue pour son travail en apesanteur."On n'a pas l'habitude de ces engins, qui se déplacent très lentement, il y a une grande disparité de vitesse des grues. On a simulé les grues en 3D pour pouvoir ensuite écrire la musique", enchaîne Alexandre Bouvier, compositeur qui a mêlé aussi bien les sonorités enfantines d'une boîte à musique que le célèbre psaume de Vivaldi "Nisi Dominus".D'ici 2023 un quartier flambant neuf doit sortir de terre, avec des logements, commerces, espaces verts et même un cinéma. Une petite révolution urbaine pour les quelque 50.000 Balbyniens de cette commune marquée par des cités bétonnées, construites sur dalles.La ville communiste, qui a porté ce spectacle avec le promoteur Cogedim, veut que le chantier ne soit pas uniquement synonyme "du bruit, des gravats. On fait en sorte d'inverser un peu les choses, de lever les yeux et de regarder vers l'avenir", encourage Claire Dupoizat, adjointe au maire chargée de la culture.
Il y a 3 ans et 40 jours

Tarkett publie son rapport 2021 de responsabilité sociale et environnementale

Entièrement audité par un tiers indépendant - KPMG -, ce rapport décrit les performances significatives de l'entreprise en matière de développement durable et sa forte ambition, dont de nouveaux objectifs climatiques.Tarkett a récemment défini sa feuille de route ambitieuse Climat 2030 sur l'ensemble de sa chaîne de valeur[1], visant à réduire de 30 % les émissions de gaz à effet de serre. Cela couvre les émissions des activités du Groupe (Scope 1) et de son énergie achetée (Scope 2) – ainsi que celles issues du reste de sa chaîne de valeur, des fournisseurs aux clients finaux (scope 3).« Au cours des deux dernières années, nous avons réduit nos émissions de gaz à effet de serre[2] de 27 %. Nous voulons désormais aller plus loin en mettant en place cette feuille de route climatique ambitieuse. Nous construisons de plus en plus de partenariats dans l'économie circulaire et l'action climatique, par nos choix engagés pour les personnes et la planète. Ensemble avec notre écosystème, nous contribuons activement aux objectifs de développement durable des Nations Unies et il est essentiel que nous nous lancions dans cette aventure avec nos clients », explique Fabrice Barthélemy, Président du Directoire de Tarkett.Au-delà de son ambition d’être un acteur clé dans l'économie circulaire, le Groupe met également l'accent sur l'utilisation de matériaux de qualité, contribuant à la santé et au bienêtre des personnes. Dans le cadre de sa responsabilité sociale, Tarkett protège et développe également ses équipes, crée une culture de la diversité et de l’inclusion tout en soutenant ses communautés locales.Tarkett a réalisé des progrès considérables avec son programme de reprise et de recyclage Tarkett a réalisé des progrès considérables avec ReStart®, son programme de collecte et de recyclage, en transformant les revêtements de sol en fin d’usage et les matériaux recyclés en nouveaux revêtements de sol. Cela permet de réduire les déchets et l'empreinte carbone, en diminuant le besoin de matières premières vierges tout en évitant l'enfouissement et l'incinération.Au cours des 11 dernières années, l'entreprise a collecté l'équivalent de 11 tours Eiffel (112 000 tonnes) de revêtements de sol dans le cadre de son programme ReStart® en Europe, en Amérique du Nord et au Brésil, dans huit centres de recyclage.De solides progrès dans ReStart® ont été réalisés au centre de recyclage de moquette unique de Waalwijk, aux Pays-Bas, au centre de recyclage de vinyle à Ronneby, en Suède et au centre de recyclage de linoléum à Narni, en Italie. Ensemble, ces centres de recyclage ont augmenté leur collecte ReStart® de 69 % par rapport à 2019. En complément des progrès réalisés avec ReStart®, 15% des matières premières (147 000 tonnes par an) sont des matériaux recyclés en 2021, l’objectif étant d'atteindre 30% en 2030. Tarkett a réduit son empreinte carboneDouze sites de production dans dix pays s'approvisionnent en électricité 100% renouvelable et 38% de la consommation totale d'énergie provient d'énergies renouvelables.Les émissions de gaz à effet de serre provenant de l'électricité achetée, de la consommation de vapeur et de la combustion de carburant sur les 34 sites de production de Tarkett dans 19 pays ont été réduites de 44 % par rapport à 2010, ce qui correspond aux émissions annuelles de gaz à effet de serre de 21 000 habitants européens.[3]Les systèmes de chauffage à énergie fossile ont été remplacés par des systèmes électriques ou à biomasse. Par exemple, l'usine de Jacareí (Brésil) a changé la source d'énergie de sa presse à chaud du gaz naturel à l'électricité, réduisant ainsi les émissions de gaz à effet de serre associées. Jacareí s'approvisionne désormais en électricité 100 % renouvelable à partir de sources hydroélectriques, solaires et éoliennes.Des exemples récents illustrant notre performance RSEEn Suède et en Belgique, nous avons collaboré avec IKEA pour collecter et recycler les revêtements de sol usagés de leurs magasins à Stockholm (Suède) et Arlon (Belgique). Plus de 14 500 m2 de matériaux ont été collectés puis traités dans notre site de recyclage à Ronneby (Suède).Tarkett est le seul fabricant de moquette en Europe capable de recycler entièrement ses dalles de moquette commerciale, grâce à son centre de recyclage de moquette unique à Waalwijk (Pays-Bas) et en étroite collaboration avec son fournisseur Aquafil. Recycler 1 m² de revêtement de sol en dalles de moquette EcoBase® après utilisation permet d'économiser 10 kgCO2e.En Europe, nous déployons des couches de remplissage renouvelables à utiliser dans le gazon artificiel. Le remplissage PureMix, qui mélange des noyaux d'olive broyés avec un remplissage en liège existant, a été déployé sur le terrain de football de la municipalité de La Haye (Pays-Bas). A Saint-Ouen (France), lors de la rénovation du gazon artificiel du terrain d'entraînement de l'école de football Red Star, des matériaux recyclés et renouvelables ont été utilisés. Un remplissage composé de sable récupéré d'un ancien gazon artificiel a été utilisé avec des noyaux d'olives concassées PureSelect.En Europe, notre solution de remplissage sportif ProMax HydroFlex - fabriquée en Allemagne - est composée à 30% de polyéthylène recyclé provenant de terrains en gazon artificiel en fin d'usage.Aux États-Unis, nous avons incorporé du PVB recyclé post-utilisation dans notre ethos® Modular avec Omnicoat Technology™, une solution de revêtement de sol souple de haute qualité fabriquée à partir de matériaux sains et sûrs, dont 33 % de PVB recyclé post-consommation. De 2004 à 2021, nous avons réutilisé 37 000 tonnes de films PVB provenant de 36 millions de pare-brise.Dans le cadre de notre programme Tarkett Cares et afin de soutenir les communautés locales, nous avons impliqué nos équipes dans plus de 700 initiatives solidaires, avec 3 300 jours de bénévolat de nos collaborateurs et plus d'un million d'euros de dons de produits (2017-2021).1 Compare à 2019, scope 1, 2 and 32 Emissions de gaz à effet de serre comparées à 2019, Scope 1 & 23 EuroStat a rapporté en 2021 que l'empreinte carbone totale de l'UE-27 était égale à 6,7 tonnes de CO2 par personne en 2019. Les émissions absolues de GES (scope 1 et 2) des sites de production de Tarkett en 2021 représentent 177 500 tonnes de CO2e, ce qui correspond à une réduction de plus de 140 000 tonnes CO2e par rapport à 2010.