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Résultats de recherche pour fibres

(654 résultats)
Il y a 2 ans et 111 jours

Recycler et valoriser l’amiante est désormais possible avec De Dietrich

De Dietrich Process Systems annonce l’achèvement imminent de la construction de son innovant pilote De Dietrich Waste Recycling dédié au traitement des déchets amiantés. Il entrera en phase opérationnelle et neutralisera ses premières fibres d’amiante au premier trimestre 2023. De Dietrich Process Systems, leader mondial pour la fourniture d’équipements, de systèmes complets et de solutions […]
Il y a 2 ans et 119 jours

a la recherche d isolants biosources pour vos projets

Architectes, prescripteurs, recevez gratuitement l’échantillon du nouvel isolant Knauf "Thermasoft Natura", composé de fibres végétales biosourcées et recyclées.
Il y a 2 ans et 120 jours

772 Lankorep HP de Parexlanko, nouveau mortier de réparation fibré

772 Lankorep HP qui se destine aux grosses réparations de structures, s’applique jusqu’à 10 cm de d’épaisseur en une seule passe. [©Parexlanko] Parexlanko propose le 772 Lankorep HP, un nouveau mortier de réparation fibré fin. A destination des ouvrages d’art, du génie civil, mais aussi du bâtiment. Ce produit vient enrichir la gamme Lankorep. Sa formulation offre un matériau facile à gâcher et à appliquer. Et dont la mise en œuvre est mécanisable. Son grain très fin (< 0,8 mm) pour un aspect lisse et sa teinte gris clair en font un atout en réparation. Lire aussi&nbsp;: Parexlanko : Mélange chaud-chanvre pour la rénovation du bâti ancien Ce nouveau mortier, qui se destine aux grosses réparations de structures, s’applique jusqu’à 10 cm de d’épaisseur en une seule passe. A base de sable, de ciments, de fibres et d’additifs, il prend la forme d’une poudre grise à mélanger avec de l’eau. Afin de réaliser des réfections bénéficiant d’une excellente résistance mécanique en quelques instants. 772 Lankorep HP, pour une grande résistance à la compression Son mélange de haute qualité offre un résultat très peu poreux, qui résiste de manière efficace à la carbonatation. Ce produit à retrait compensé peut être recouvert de peinture après 24 h. Ainis, il a été imaginé pour simplifier les travaux des professionnels. Il s’applique, au choix, à la main ou à la machine à projeter et se lisse sans difficulté. Il dispose d’un temps ouvert important de 30 mm à 20 °C. Parexlanko a développé ce mortier classé R4 correspondant à la norme en vigueur NF EN 1504-3, réglementation définissant la destination des mortiers de réparation en fonction de leurs performances (R2, R3, R4). Suivez-nous sur tous nos réseaux sociaux&nbsp;!
Il y a 2 ans et 121 jours

BSC : Une palette de solutions industrielles

L’activité de BSC occupe un large périmètre de l’industrie des bétons. [©BSC] Centrales à béton, équipements pour carrières et préfabricants, cimentation nucléaire ou encore impression 3D, l’activité de Béton Stone Consulting (BSC) occupe un large périmètre de l’industrie des bétons. A sa création, en 2006, par Sylvain Adam, l’entreprise se spécialise dans le conseil. L’objectif ? Accompagner les professionnels de la préfabrication et contribuer à l’amélioration des process industriels et des formulations existantes. Au fur et à mesure des années, l’activité “conseil” s’amenuise pour laisser place à la partie commerciale. Entre 2008 et 2010, BSC commence à proposer des malaxeurs coniques. Puis, dès 2015, elle s’intéresse aux systèmes de pompages des bétons et développe tout une usine de production de mortiers au Moyen-Orient. Cette période marque aussi le début d’une ouverture à l’international (Amérique du Nord, Europe, Moyen-Orient et Afrique). Depuis 2021, BSC se concentre sur la commercialisation de process pour les industriels du béton à l’international. L’entreprise ajoute aussi des stations de micronisation à son catalogue. Aujourd’hui, elle compte 9 collaborateurs et 8 partenaires parmi lesquels Kniele, Eco-Frog, Klein ou encore Mantis ULV. Par exemple, BSC a récemment proposé au préfabricant Capremib, une toute nouvelle centrale à béton Kniele pour son site de Cormicy, près de Reims. Implanté sur une surface de 250 m2, l’outil se destine à la fabrication de Bfup et de bétons fibrés. Lire aussi : Moselle : Béton Stone Consulting, une palette de solutions industrielles Un accompagnement complet Le produit-phare de BSC est le malaxeur conique KKM de Kniele. [©BSC] BSC ne propose pas seulement des centrales à béton, elle fournit aussi des composants pour constituer et compléter les centrales ou des installations spécifiques. Pour la société Delorenzo [Lire BLM 98, p. 21], l’entreprise a mis à disposition toute une série d’équipements. Dont un malaxeur conique KKM 1500/2250 de Kniele, une laveuse Rex23 Z d’EcoFrog, un doseur 4 colorants Com 70-1, 5 balances à adjuvants Würschum ou encore, un doseur de fibres MD400 avec système d’émottage signé Incite. Cet ensemble de solutions permet ainsi à Delorenzo de proposer une offre de BPE, de préfabrication et de Bfup avec un seul malaxeur. D’ailleurs, dans le domaine des malaxeurs, l’entreprise a su parfaire son expertise. En plus de l’outil en lui-même, BSC fait du conseil sur les dosages des composants&nbsp;: fibres, colorants, adjuvants. Mais aussi, sur le transfert et le dosage des bétons frais et des produits finis, sur le pompage ou encore sur le recyclage des eaux de lavage et des retours béton. Pour les années à venir, BSC compte bien suivre les évolutions industrielles du béton et toujours proposer les solutions les plus innovantes. BSC a fourni au préfabricant Capremib une centrale à béton Kniele, pour son site de Cormicy (51). [©ACPresse] Suivez-nous sur tous nos réseaux sociaux !
Il y a 2 ans et 153 jours

knauf renforce sa relation clients avec toujours plus de services et de digitalisation

Société familiale fondée en 1932, le Groupe Knauf est le premier producteur mondial de plaques de plâtre, avec 40 000 collaborateurs, 304 usines réparties dans plus de 90 pays, pour un chiffre d’affaires de 12,6 milliards d’euros en 2021. En France, le Groupe est présent via sa filiale Knauf France depuis 1984, qui s’impose aujourd’hui comme le leader français du PSE (Polystyrène Expansé) pour le bâtiment mais également comme l’unique producteur tricolore de laine de bois. À travers son Offre Globale - plaques de plâtre, panneaux isolants en polystyrène expansé, polyuréthane, laine de bois et fibres biosourcées - Knauf répond à l’ensemble des besoins des acteurs du bâtiment pour l’aménagement intérieur et l’isolation des bâtiments.
Il y a 2 ans et 156 jours

Knauf renforce sa relation clients avec toujours plus de services et de digitalisation

En France, le Groupe est présent via sa filiale Knauf France depuis 1984, qui s’impose aujourd’hui comme le leader français du PSE (Polystyrène Expansé) pour le bâtiment mais également comme l’unique producteur tricolore de laine de bois.A travers son Offre Globale - plaques de plâtre, panneaux isolants en polystyrène expansé, polyuréthane, laine de bois et fibres biosourcées - Knauf répond à l’ensemble des besoins des acteurs du bâtiment pour l’aménagement intérieur et l’isolation des bâtiments.Point conjoncturel, bilan 2022 et perspectives 2023Après une année 2021 de reprise très soutenue, l’exercice 2022 a été marqué par la demande de travaux en aménagement intérieur, plâtrerie et isolation, même si ceux-ci ont quelque peu fléchi au cours du second trimestre.Si la croissance du marché de la plaque de plâtre, cloisons et doublages, a ralenti après une année 2021 exceptionnelle (+15%), Knauf y revendique pour sa part une année 2022 stable, en dépit des problèmes rencontrés suite à une cyber-attaque mondiale.Et Christine Muscat, Directeur Général Knauf de développer :« Notre volume d’affaires tricolore est en légère croissance pour l’ensemble de notre Offre Globale vs 2021. Les plafonds en laine de bois Knauf affichent également une belle performance, avec une progression de +5% des ventes. Il en est de même des isolants PSE Knauf pour les façades, qui revendiquent une progression de +10%. Le volume des autres solutions d’isolants Knauf est quant à lui stable par rapport à 2021 ».Et de conclure :« Outre notre Offre Globale, Knauf s’engage vers toujours plus de services et de digitalisation afin d’accompagner les acteurs du bâtiment dans l’évolution incontournable des modes constructifs face notamment aux défis de la RE2020 et de la décarbonation ».Concernant les perspectives générales 2023, une année sous le signe d’une forte inflation, elles s’annoncent plus difficiles que l’exercice 2022 dans le logement neuf malgré une tendance annuelle encore positive (mise en chantier de logements +2,1% dans le diffus, 12 mois glissants à la fin du T3 2021 - +8,9% en 2021).Un ralentissement s’avère donc inéluctable. Quant au non-résidentiel, après un redémarrage plus tardif, la tendance commence juste à fléchir (+5,7%). Si les carnets de commande demeurent importants, les prix de l’énergie notamment ont atteint des sommets inédits, diffusant la crise à tous les secteurs et entraînant une inflation record.Aussi, la construction neuve ne devrait pas produire de croissance et la rénovation, portée par l’efficacité énergétique, poursuivra certainement sa tendance 2022 à +3% pour devenir le secteur moteur du bâtiment.Knauf renforce ses équipes au service des maitres d’ouvrage et maitres d’œuvreKnauf s’engage toujours plus pour accompagner les acteurs du bâtiment dans l’évolution incontournable des modes constructifs afin de relever les défis de la RE2020 et de la décarbonation. Ainsi, 5 personnes dédiées viennent renforcer les actions de prescription déjà menées chez Knauf, pour répondre aux projets les plus ambitieux dès l’étape de conception. Sous la direction de Jean-Philippe Estner (architecte ENSAIS), Kamélia Halhali (Île-de-France Ouest / Ouest), Catherine Lillemann (Île-de-France Est / Nord), François Dassé (Sud-Ouest) Alain Boujemaaoui (Rhône-Alpes/Sud-Est) constituent la toute nouvelle équipe Prescription Knauf.Celle-ci aura pour mission d’assister efficacement tous les intervenants d’un projet dans toutes les phases d’études. Les chargés de prescription interviendront en amont, auprès des maîtres d’ouvrage, architectes, bureaux d’études et économistes, afin de leur proposer les solutions Knauf les mieux optimisées pour leurs projets. Ils seront les garants des prescriptions des systèmes d’aménagement intérieur, des gammes de plafonds acoustiques, mais aussi de l’Offre Globale Knauf. L’objectif est ainsi de répondre efficacement à toutes les sollicitations, mais aussi d’identifier les projets futurs pour lesquels les solutions Knauf sont particulièrement adaptées.De nouveaux services digitaux Knauf dédiés a la prescription et aux plaquistesDans cette logique d’accompagnement et de développement de services, Knauf étoffe son offre à destination des professionnels du bâtiment avec une nouvelle application dédiée aux architectes, bureaux d’études et économistes : Planner Suite Knauf. Cet outil constitue pour ces acteurs, un outil 3 en 1 de productivité ultime de la planification de leurs projets.Accessible comme application sur le web ou comme Plug-in BIM disponible pour Revit et ArchiCAD, Planner Suite Knauf leur permet de rechercher et insérer aisément les produits et systèmes Knauf adaptés à leurs projets d’aménagement intérieur, ainsi que toutes les spécifications pertinentes par une simple recherche ou via une configuration multicritères, avec importation possible dans la maquette BIM.En posant quelques questions simples, sa fonction de recherche donne un aperçu des produits et systèmes qui correspondent aux besoins spécifiques, comme la résistance au feu ou l’affaiblissement acoustique. Il prend également en compte d’autres facteurs, tels que la disponibilité régionale, pour garantir que seuls les produits et systèmes pertinents pour l’emplacement du projet sont recommandés - une donnée particulièrement utile pour les projets transfrontaliers. Planner Suite Knauf valide immédiatement les données relatives aux systèmes proposés avec une vérification en continu de la validité des systèmes sélectionnés, pour une maquette BIM toujours à jour.La version Plug-in BIM les alerte également s’ils utilisent des produits qui ne sont plus commercialisés et leur recommande, de manière proactive, les alternatives possibles.Planner Suite Knauf leur permettra également, dans sa prochaine version, un processus d’appel d’offres simplifié, en fournissant les textes de cahiers des charges à télécharger et est leur facilitera aussi la rédaction de leurs appels d’offres grâce au configurateur intégré (à l’aide de descriptifs types d’ouvrages). Cette nouvelle version quantifiera aussi les métrés de manière automatisée pour le DCE.Par ailleurs, Knauf s’inscrit, depuis octobre 2022, en partenaire de BiM Cloisons, une entreprise qui facilite le travail des professionnels plaquistes 2.0. Conçu par des plaquistes pour les plaquistes, BiM Cloisons.Knauf constitue en effet un outil de dernière génération permettant une mobilité sans précédent et un accès universel aux données et documents générés avec, à la clé, plus de réactivité, plus de précision et plus de productivité.Avec l’aide d’un configurateur à l’interface intuitive et au design novateur, BiM Cloisons.Knauf s’impose comme compagnon digital idéal et 360°, assurant notamment la préconisation des choix technico-économiques les plus pertinents en fonction des contraintes de chaque chantier, en comparant et variantant, en quelques clics, les ouvrages les mieux adaptés techniquement et économiquement.BiM Cloisons.Knauf offre un accès rapide à la base de données Knauf Aménagement Intérieur. Un panel qui concentre à ce jour les systèmes Knauf les plus couramment utilisés en cloisons et contre-cloisons, doublages collés et plafonds démontables et non démontables pour les logements, les ERP et le tertiaire. Notons que le périmètre est appelé à se compléter pour présenter l’intégralité des solutions Knauf en Aménagement Intérieur.BiM Cloisons.Knauf s’adapte à toutes les phases de chantier, BIM ou non. Il assure un démarrage rapide des projets Revit® sous gabarits BIM Cloisons, afin de générer rapidement les métrés, les devis, les dossiers techniques et plans de repérage. Il s’impose également comme véritable atout concurrentiel grâce aux vues 3D dotées d’un niveau de détail très élevé.Enfin, en automatisant les processus de gestion, en générant en un clic tous les documents de gestion indispensables, BiM Cloisons.Knauf assure également la maîtrise des budgets et des évolutions, grâce à une mise à jour instantanée de toutes les données, supprimant ainsi les tâches redondantes et les saisies inutiles.BiM Cloisons.Knauf est donc un outil complet et polyvalent qui facilite le travail des plaquistes 2.0.Knauf : une longue tradition du biosourcéL’usine Knauf Fibre, qui vient de fêter cette année son 100ème anniversaire, constitue l’incarnation parfaite d’une longue tradition du biosourcé. Site certifié chaîne de contrôle PEFC, elle est la seule unité industrielle française de production de laine de bois. En 2021, elle a réalisé quelque 2,5 millions de m2 de panneaux monolithes et composites dédiés à l’isolation en sous-face de dalles (gamme Knauf Fibra®) et à l’isolation acoustique des plafonds et murs (gamme Organic).Dans une démarche d’éco-conception, la R&D Knauf est parvenue à encore augmenter le pourcentage de matériaux biosourcés en optimisant la composition des produits et leur procédé de fabrication. Ces améliorations ont permis de réduire les impacts de réchauffement climatique (total équivalent CO2) pour l’ensemble du cycle de vie des produits. Les FDES des produits concernés ont ensuite été recalculées, mises à jour et revérifiées par une tierce partie. Elles sont disponibles sur knauf.fr et sur la base INIES, ce qui favorise leur utilisation pour la construction bas carbone, notamment la RE2020.Et Knauf va encore plus loin. Dans la même lignée, afin d’apporter toujours plus de garanties aux concepteurs de bâtiments, Knauf s’est récemment rapproché de Karibati, expert du bâtiment biosourcé, pour certifier les produits Organic et Knauf Fibra® éligibles au label « Produit Biosourcé - Filière Française ».Une labellisation qui permet d’ailleurs aux maîtres d’ouvrages de bénéficier de « points » ou de « crédits » supplémentaires dans le cadre de certifications environnementales de chantier type « LEED » ou « BREEAM », ou encore de valoriser la quantité de bois utilisée dans les certifications d’ouvrage, par exemple pour les projets de construction ou de rénovation labélisés « Bâtiment Biosourcé » ou « BBCA » (Bâtiment Bas Carbone).Les produits Knauf concernés* (panneaux mono-composants, 100% laine de bois, certains complexes isolants mixant laine de bois, PSE et/ou laine de roche) deviennent ainsi les seuls produits en France à justifier de cette labellisation Karibati dans leurs catégories respectives : Knauf Fibra® pour l’isolation des sous-faces de dalles des logements collectifs, bâtiments tertiaires et ERP, les dalles Organic pour les parements intérieurs acoustiques et décoratifs. Notons que ce certificat « Produit Biosourcé et Filière Française » peut être librement téléchargé sur knauf.fr et que cette labellisation positionne sans équivoque les gammes Organic et Knauf Fibra® sélectionnées comme des « solutions biosourcées » pouvant ainsi pleinement répondre aux référentiels d’éco-construction comme le « Guide des matériaux biosourcés et commande publique » d’avril 2020.ThermaSoft® natura !Avec le lancement de la nouvelle solution d’isolation intérieure Knauf ThermaSoft® natura en début d’année, Knauf confirmait sa volonté d’élargir ses propositions d’isolants biosourcés. Si la période de référencement s’est avérée particulièrement longue, les retours terrain sont très positifs de la part des installateurs concernant les qualités du produit. Depuis août, la montée en puissance est exponentielle et devrait atteindre 300 000 m² vendus en 2022.
Il y a 2 ans et 164 jours

Grand Est : 28 logements passifs en Jackodur Atlas

C’est sur la commune de Bréviandes, en région Grand Est que quelque 18 logements passifs profitent de la performance Jackodur Atlas. [©ADS Architecture] C’est sur la commune de Bréviandes, en région Grand Est, qu’un projet de construction passive de 28 logements est en cours. Il se développe sur un terrain de 3 050 m2 prévoyant la réalisation de 3 bâtiments distincts, avec une emprise au sol de 2 x 280 m2 et de 265 m2. Les deux premiers compteront 10 logements individuels. Ils seront constitués à l’identique de 5 logements type 3 en duplex accolés. Le troisième bâtiment comprendra 8 logements collectifs de type 2 superposés. Des exigences élevées L’ensemble s’envisage dans une démarche environnementale forte avec la certification de ces habitations en construction passive. Le maître d’ouvrage (Troyes Aube Habitat) a choisi une structure à ossature bois et des isolants extérieurs issus de la filière bois. Il a prescrit le procédé Jackodur Altlas, qui offre une solution performante permettant de réaliser une isolation très efficace, sans ponts thermiques. Le procédé accorde aussi une rapidité et une simplicité de mise en œuvre. Les exigences de la certification sont les suivantes : des besoins de chauffage ≤ 15 KW/h/an/m, une infiltrométrie 0,6 h-1 à N50, un maintien du confort d’été. Mais aussi un contrôle de l’air intérieur et enfin, l’interdiction des fibres minérales dans les filtres. Lire aussi : Jackon Insulation dans le giron du groupe Bewi Une solution idéale pour l’architecte Pour l’architecte Sébastien Da Rosa, le système Jackodur Atlas a permis d’obtenir une isolation parfaite du radier béton. C’était une première pour lui. « Il est sans conteste très efficace, mais aussi simple à mettre en œuvre, ce qui n’est pas forcément le cas des autres techniques proposées sur le marché. C’est exactement ce que je recherchais et l’expérience a été concluante. L’absence de pont thermique est un atout incontestable pour atteindre les critères imposés par les constructions passives. Il faut aussi souligner l’accompagnement actif des équipes Jackon Insulation. La mise en place d’un système assurant le hors-gel de la construction a pu être élaborée très rapidement et simplement par l’encastrement vertical d’un écran thermique en XPS sur le pourtour du fond de forme. Le bureau technique de Jackon Insulation nous a immédiatement orientés vers cette solution technique qui devait avoir lieu avant la pose du système Jackodur Atlas. La décision a été à la fois rapide, pertinente et en parfaite conformité avec les hautes exigences de ce chantier. » Réalisée par l&rsquo;entreprise Geciba Les équipes de l’entreprise Geciba se sont chargées du terrassement et de la mise en place des dalles Jackodur Atlas. Pour Bernard Lebreton, gérant de Geciba, contrairement à l’architecte, ce n’était pas une première. Il connaît le procédé et apprécie en particulier sa facilité et rapidité de pose. Tout est préparé sur mesure en usine pour être livré prêt à poser selon un plan qui indique l’emplacement précis des éléments. L’ancrage supplémentaire pour le hors-gel n’a pas non plus posé de problème. « En plus de la facilité et de la rapidité de mise en œuvre, il faut insister sur l’absence de pénibilité du travail en raison de la légèreté des éléments, ainsi que sur la propreté du chantier permise avec le procédé Jackodur Atlas. » Une mise en œuvre sans aucun problème La pose du système s’effectue sur une chape en béton maigre de 3 à 4 cm. Les blocs de coffrage sont emboîtés au fur et à mesure dans les éléments latéraux spécifiques. Et les éléments de surface se posent aisément grâce aux feuillures alternées. Quant à la mise en œuvre et le repérage des éléments à l’avancement du chantier, ils sont définis par un plan de pose et de colisage précis. Les réservations à travers les panneaux sont, elles, réalisées avec une scie-sabre. La mousse de fixation Jackodur permet ainsi de verrouiller thermiquement et efficacement les sorties VRD. La pose a été effectuée en 1 journée et demie. Un film polyéthylène est mis en place par pose flottante et en recouvrement de 150 mm minimum. Les bâtiments passifs seront équipés par la suite de ballons de production d’eau chaude sanitaire avec panneaux solaires. Ceci, en corrélation avec la démarche environnementale souhaitée. Suivez-nous sur tous nos réseaux sociaux&nbsp;!
Il y a 2 ans et 165 jours

Isover présente Isocoton, un nouvel isolant biosourcé en textiles recyclés

Au delà de son savoir-faire historique sur la laine de verre et la laine de roche, ISOVER est une marque pionnière sur le marché des isolants biosourcés. Depuis le lancement de ses premières gammes, il y a près de 20 ans, la marque œuvre à la professionnalisation de ce segment de marché en proposant à ses clients la garantie de produits et de systèmes performants, certifiés et au cycle de vie plus vertueux.L’urgence climatique encourage aujourd’hui l’économie circulaire et une meilleure isolation des bâtiments pour plus de confort et moins d’émissions de CO2. ISOVER, acteur français de l’Isolation, développe et commercialise depuis de longues années des isolants issus de matières premières recyclées ou de chutes de production d’autres industries. Ainsi, ses laines de verre contiennent jusqu’à 80% de verre recyclé et ses isolants en fibre de bois sont issus de chutes de scieries approvisionnées en local.Il est donc aujourd’hui naturel pour ISOVER de présenter Isocoton, un isolant biosourcé performant, issu de textiles recyclés en local, ultra doux au toucher, confortable à poser et 100% made in France.Un lancement qui complète la large gamme d’isolants ISOVER et apporte une nouvelle alternative responsable pour l’isolation intérieure des bâtiments.De nombreux bénéfices pour l’homme et pour l’environnementIsocoton est un matériau répondant aux enjeux de l'économie circulaire et aux grandes tendances de la consommation responsable. Il s’agit d’une nouvelle alternative aux autres matériaux isolants commercialisés par ISOVER (laine de verre, laine de roche, fibre de bois, XPS, PSE). Isocoton vient renforcer la stratégie de développement de solutions d’isolation multi-matériaux, chacun de ces matériaux répondant à des enjeux et problématiques spécifiques de ses clients et usagers.Isocoton, comme les textiles que nous portons, a pour but de protéger durablement la maison contre le froid et le chaud. Un choix de bon sens pour améliorer le confort des ménages français.Confort et bien-être toute l’année, été comme hiverIsocoton apporte, via ses propriétés thermiques, un grand confort aux occupants des bâtiments toute l'année. En été comme en hiver. En plus d’être une bonne isolation contre le froid, Isocoton permet de lutter contre la chaleur en été et de conserver la fraîcheur nocturne durant les canicules. Son étiquetage sanitaire (A+), contribue activement à conserver la qualité de l’air de l’habitat.Les performances thermiques d’Isocoton atteignent un pouvoir isolant (lambda λ) de 37 mW/m.K, qui le positionne parmi les isolants biosourcés les plus performants du marché.Hautes performances certifiéesIsocoton est sous certification ACERMI (Association pour la Certification des matériaux isolants, n° ACERMI 21/018/1558).Il est le seul à se décliner en 5 épaisseurs de 40 mm / 100 mm / 120 mm / 140 mm / 200 mm pour répondre efficacement à tous les besoins et toutes les applications en isolation intérieure : cloisons, murs, combles perdus ou aménagés, plafonds.Côté phonique, Isocoton réduit la propagation du bruit grâce à sa texture fibreuse qui en fait un excellent isolant acoustique. Ses performances sont équivalentes à celles de la laine de verre Par Phonic ou celles des isolants flexibles Isonat en fibres de bois, notamment pour les cloisons distributives (RA = 38 dB pour une cloison 72/48 avec une plaque BA 13 et de l’Isocoton 40 mm).Isocoton bénéficie d’une réaction au feu sous ACERMI ainsi que des extensions feu avec l’ensemble des systèmes de plaques de plâtre Placo®, en cloisons, contre-cloisons et plafonds, assurant pour les logements collectifs et les Établissements Recevant du Public, la sérénité et la sécurité des occupants.Un produit biosourcé et issu du recyclage pour une gestion optimisée des ressourcesIsocoton permet la revalorisation de vêtements destinés au rebut et de chutes de tissu de l’industrie textile. En transformant cette matière en isolant, ISOVER participe à valoriser une matière première disponible en très grande quantité, en un produit à haute valeur ajoutée pour l’efficacité thermique des bâtiments et le confort des occupants.Cette solution d’isolation biosourcée s’inscrit en droite ligne avec les exigences de la RE 2020.Parallèlement, cette transformation par voie sèche 100% réalisée en France réduit l’impact de sa production sur l’environnement en limitant fortement sa consommation en eau.Confort de pose inégaléUne douceur extrêmeBénéfice majeur pour le poseur, Isocoton est un produit doux et moelleux, agréable à poser.Un poids plumeIsocoton, par sa légèreté, offre plus de confort aux poseurs tant dans sa pose que lors de la manutention sur les chantiers.Une mise en œuvre aiséeLégers, souples et semi-rigides (à partir de 100 mm), les panneaux se glissent facilement dans les espaces difficiles d’accès, entre chevrons notamment ou derrière les fourrures, permettant un calfeutrage optimal. Ils reprennent également leur forme grâce à leur haute conformabilité et épousent ainsi parfaitement la structure y compris sur les supports irréguliers.Isocoton est compatible avec les systèmes Optima (en murs) et les membranes Vario® Confort d’ISOVER.Enfin, la mise en œuvre des panneaux Isocoton est sous avis techniques, pour une pose sereine et assurable :DTA n° 20/19-439_V2_E1 pour l’application murs et cloisonsDTA n° 20/19-440_V2_E1 pour l’application comblesIsocoton s’associe à Placo® pour proposer des systèmes de cloisons, contre-cloisons et plafondsA l’écoute des évolutions et des besoins, ISOVER propose également une solution Isocoton avec Placo®, leader français du confort intérieur, mutualisant ainsi leurs expertises.Disposant de plus de 30 PV et extensions feu et acoustique pour valider un très grand nombre de configurations, ces systèmes répondent à la demande croissante du biosourcé en cloisons et contre-cloisons en murs maçonnés dans les Établissements Recevant du Public tels que les lieux de santé, d’enseignement, ou encore dans les logements collectifs.Ces systèmes allient les performances et bénéfices d’Isocoton aux qualités techniques multiples de la large gamme de plaques de plâtre Placo®.Plus de 30 PV et extensions validésCes solutions permettent d’atteindre des exigences feu EI30 à EI120 en cloisons, et EI45 à EI120 en contre-cloisons.Côté confort acoustique, elles offrent les avantages de l’isolant cumulés à celui de la plaque, procurant ainsi un important confort phonique.Isocoton est compatible avec les aides financièresAfin d’améliorer l’isolation des logements, de diminuer les factures de chauffage et de permettre d’éviter des émissions de CO₂, des aides financières existent en rénovation.Isocoton est éligible aux aides à la rénovation selon les épaisseurs et les applications.Cela concerne entre autres MaPrimeRénov’, l’Éco-prêt à taux zéro (Éco-PTZ), les CEE ou encore la TVA à 5,5 % pour les travaux de rénovation énergétique.
Il y a 2 ans et 169 jours

Saga vidéo Schöck : la saison 2 sensibilise aux impacts économiques d’une enveloppe de bâtiment non homogène

Tel est le pitch de la deuxième saison des vidéos lancées par Schöck en vue d’insuffler une prise de conscience collective pour un choix de logements économes, sains et durables. Avec trois nouveaux opus : « La grande évasion énergétique », « État des lieux, première partie : ça va chauffer ! », « État des lieux, seconde partie : un combat inégal ». Pouvoir d’achat des ménages accru et économies d’énergie Fervent défenseur de l’homogénéité de l’enveloppe des bâtiments, Schöck met son expertise au service du plus grand nombre à travers une série de vidéos, ludiques et didactiques, initiée en septembre 2022. Si la première saison scénarisait notamment la prédilection hexagonale pour l’ITI et non l’ITE (à l’inverse de la majorité des pays européens) et donnait le rôle principal aux passoires thermiques, le deuxième volet se consacre très concrètement aux impacts économiques d’une enveloppe non homogène. Il s’adresse toujours aux particuliers désireux d'acquérir un logement, tout en sensibilisant également associations de consommateurs, organismes en conseil immobilier, fédérations, institutionnels comme politiques... S’appuyant sur le Livre Blanc réalisé par le Groupe de Travail sur la Qualité de l’Enveloppe (GTQE) du Pôle Fibres-Énergivie, Schöck rappelle que les dépenses en chauffage représentent 14% du budget des Français. Or, augmenter le chauffage pour pallier la sensation de froid se révèle tout à fait inutile si le logement concerné est mal isolé. C’est autant d’argent évaporé que d’énergie s’échappant par les ponts thermiques non traités. Il suffit de comparer la durée de vie de l’enveloppe d’un bâtiment (10 à 20 ans) à celle des équipements (5 à 10 ans), ainsi que leur maintenance réciproque (décennale versus annuelle) pour comprendre l’intérêt évident d’agir en premier lieu sur la qualité de cette enveloppe, en particulier par le traitement systématique des ponts thermiques. A la clé : économies d'énergie, réduction de la facture de chauffage, augmentation du pouvoir d'achat des ménages, gain en confort et valorisation du bien immobilier. En d’autres termes, la garantie d'un choix gagnant pour toute la vie du logement, tant pour le propriétaire que pour l'occupant ! Il s’agit donc là-encore pour Schöck d’insuffler une véritable dynamique afin que les constructions d’aujourd’hui ne soient pas les rénovations de demain. Découvrez les épisodes de la saison 2 sur la chaîne YouTube Schöck France.
Il y a 2 ans et 169 jours

Isonat espère doubler sa production d’isolants en fibres de bois

L’entreprise, détenue par le groupe Saint-Gobain depuis 2015, investit 5 millions d’euros pour produire 42 000 tonnes panneaux isolants en...-Négoce
Il y a 2 ans et 171 jours

Qualité de l'air intérieur : concilier renouvellement d'air et performance énergétique

Les effets nocifs de la pollution de l’air intérieur sur la santé des occupants ne sont plus à démontrer. Le renouvellement d’air et la ventilation sont donc fondamentaux afin de satisfaire les exigences de confort et de santé des occupants.Afin d'atteindre les objectifs ambitieux en matière d'économie d'énergie et de lutte contre le réchauffement climatique, l’enjeu majeur est de maintenir un environnement intérieur de qualité (confort thermique, qualité d'air intérieur - QAI, confort acoustique) tout en réduisant les consommations énergétiques du bâtiment.La nécessité d’une bonne qualité de l’air et du renouvellement d’airNous passons aujourd'hui 90% de notre temps en milieux clos (logements, entreprises, crèches, écoles, transports…) où l'air intérieur peut révéler un taux de pollution jusqu’à dix fois plus élevé que l’air extérieur. Les effets nocifs de la pollution de l’air intérieur sur la santé des occupants ne sont plus à démontrer : syndrome du bâtiment malsain, asthme, effets cocktails, effets sur les performances du travail. On estime aujourd’hui le coût des effets socio-économiques d’une mauvaise qualité de l’air intérieur en France à 19 milliards d’euros par an pour 6 polluants seulement (voir sources 1). Véritable problématique sociétale car liée à la santé publique, l’amélioration de la qualité de l’air intérieur (QAI) passe par une ventilation performante avec des systèmes qui doivent répondre à un double défi : celui d’assurer un renouvellement de l’air suffisant tout en limitant au maximum l’impact énergétique. Pour ce faire, il faut travailler sur la réduction des consommations énergétiques directes liées à la consommation des auxiliaires et celles indirectes liées au renouvellement d'air (besoins de chauffage et de refroidissement).Les leviers d’action sont au nombre de trois : Agir sur la consommation électrique des ventilateurs avec l’utilisation de moteurs à commutation électronique (EC), dont la vitesse régulée permet de réduire sa consommation, et l'optimisation des rendements des ventilateurs. Optimiser le renouvellement d’air. Cela s’effectue de deux façons principalement : via la notion de balayage (amenée d'air dans les pièces de vie et extraction dans les locaux pollués), très présente en France, et via la modulation des débits en habitat et en tertiaire. Cette modulation permet d’adapter les débits d'air au besoin réel.Récupérer l’énergie sur l’air extrait en utilisant des échangeurs de chaleur (à plaque ou à roue) entre l'air extrait et l'air neuf et en utilisant l’air extrait comme source pour les appareils multifonctions (pompe à chaleur ou chauffe-eau thermodynamiques). Quels sont les enjeux du renouvellement de l’air ? Le premier enjeu est de satisfaire les exigences de santé et de confort des occupants en amenant l’air neuf de l’extérieur, en évacuant l’air vicié et en diluant les polluants. Le deuxième enjeu est de contribuer à la préservation du bâtiment en évitant les risques de condensation et donc le développement de moisissures. Le renouvellement d’air peut se faire de trois façons : les infiltrations d’air résultant de la perméabilité du bâtiment. Non maîtrisables, elles sont aujourd’hui incompatibles avec les exigences d'étanchéité à l'air des bâtiments. l’ouverture des fenêtres qui permet d'amener de façon ponctuelle un débit d'air élevé, notamment après un pic d’activité. Cependant, cette méthode reste étroitement liée à l’usager et aux contraintes extérieurs (climatique, acoustique, effraction…). Il n'est donc pas possible de s’en remettre à cette seule solution pour assurer une bonne QAI. un système de ventilation pour assurer le renouvellement d’air des bâtiments. Grâce à un apport d'air localisé, une maîtrise des débits et un traitement complet du bâtiment, cette solution est la plus probante et la plus efficiente. Ces systèmes de ventilation doivent satisfaire à des exigences portant notamment sur la performance énergétique, la sécurité incendie, le confort acoustique, le développement durable. Le cas échéant, ils doivent également être compatibles avec le bon fonctionnement des appareils à combustion, afin d'éviter les inversions de tirage. Il existe plusieurs leviers d'action afin d'améliorer l'efficacité du système de ventilation pour préserver une bonne QAI tout en réduisant les consommations énergétiques. Épurer l’air, un levier d’amélioration de la QAI bien connu Une première solution consiste à épurer l'air, soit avec différents types de média filtrant (fibres de verre, fibres, filtres avec traitement électrets…), soit par d'autres technologies (ionisation, photocatalyse, etc.). Cela va ainsi permettre de réduire le niveau de particules de l'air venant de l'extérieur, les pollens, les micro-organismes, les germes ou autres bactéries pénétrants dans les locaux (épuration intégrée à la ventilation) ou présents dans l'air ambiant (épurateur d'air autonome). Toutefois, à l'inverse d'un système de ventilation qui extrait tous les polluants de l'air sans distinction, l'épuration d'air ne traite qu'une famille cible de polluants (chimiques, bactériens ou particulaires). Il faut donc associer plusieurs techniques d'épuration si l'on veut traiter tout le panel des polluants. De plus, certains polluants ne sont pas traités par l'épuration (CO2 par exemple). L'épuration ne peut donc pas être à elle seule la solution. Elle doit être associée à une ventilation performante. La ventilation intelligente, un levier d'avenir La définition donnée par l'AIVC (sources 2) pour la ventilation intelligente des bâtiments est la suivante : "La ventilation intelligente est un processus d'ajustement permanent du système de ventilation au cours du temps, et éventuellement selon l'emplacement, pour fournir la qualité d'air intérieur (QAI) souhaitée tout en minimisant la consommation d'énergie et la facture énergétique, ainsi que d'autres inconvénients non liés à la QAI, comme par exemple l'inconfort thermique ou le bruit". Un système de ventilation intelligente réagit notamment à la présence d’occupants, à des critères de QAI, des besoins du réseau électrique, de température ou d’humidité relative extérieure, à de la pollution intérieure ou au fonctionnement d’autres systèmes. D’après une étude du CETIAT concernant les bâtiments tertiaires (sources 3), le taux d’occupation moyen d’un bureau est de 40 % et de 10 % pour une salle de réunion, ce qui tend à prouver l’intérêt de recourir à la modulation des débits. Cette modulation va être liée à des capteurs d’humidité (ce qu’on connaît surtout dans le secteur résidentiel avec les systèmes hygroréglables), de détection de présence (dans les toilettes et dans les bureaux dans le tertiaire), un comptage optique et des capteurs de CO2. La modulation de débit peut se faire soit par zone, au niveau des terminaux ou d'une branche complète du réseau aéraulique, soit à l'échelle complète du bâtiment en agissant directement sur le ventilateur. Afin de vérifier et de valoriser l'efficacité des systèmes de modulation de débit, différentes certifications existent tant au niveau français (NF, QB) qu'européen (Eurovent, Passivhaus). Les performances des produits et les valeurs annoncées par les fabricants sont ainsi contrôlées par un organisme tiers indépendant. Les équipements de ventilation, une fois installés, doivent être vérifiés. Dans le résidentiel neuf, la réglementation environnementale RE2020 a inscrit dans ses textes l’obligation de vérification des systèmes de ventilation par un professionnel indépendant. Un indicateur de conformité sera inscrit dans l’attestation RE2020, l’usager pourra donc avoir une information précise sur la conformité de son installation.La QAI est l’affaire de tous lors de la construction d’un bâtiment : de la programmation à la phase d’exploitation et au fonctionnement, tous les corps de métiers liés à la construction des bâtiments sont acteurs de cette qualité d'air intérieur. On perçoit depuis quelques temps que l'impact des bâtiments sur la santé et le bien-être des occupants prennent une place de plus en plus importante au sein de l'opinion publique, au même titre que la performance énergétique.1 : Rapport ANSES-CSTB, avril 2014 - https://www.oqai.fr/fr/campagnes/cout-socio-economique-de-la-pollution-de-l-air-interieur - Polluants étudiés : benzène, radon, trichloroéthylène, CO, particules, fumée de tabac environnementale2 : F. DURIER, R. CARRIÉ et M. SHERMAN. "Qu'est-ce que la ventilation intelligente (smart ventilation) ?". Ventilation Information Paper n° 38, mai 2018 - https://www.aivc.org/sites/default/files/VIP38_french.pdf3 : Note Technique CETIAT NTV 2000/071, "Modulation de débit", 176 pages, Septembre 2000Tribune de Benoît Golaz, chargé d'affaires Systèmes Aérauliques Ventilation au CETIAT (Linkedin)
Il y a 2 ans et 178 jours

A Nancy, un collège écolo pour économiser les factures d'énergie

Le bâtiment flambant neuf a connu sa première rentrée en septembre. C'est le premier collège "à énergie positive" du Grand Est: il consomme moins d'énergie qu'il n'en produit, critère désormais non négligeable pour le département de Meurthe-et-Moselle, qui gère 66 collèges publics et 13 privés.A cause de la flambée des prix de l'énergie, la facture de gaz du département a bondi de 7 millions d'euros, celle d'électricité de 12 millions d'euros pour 2023, soit "le coût" de construction "d'un nouveau collège", explique la présidente, Chaynesse Khirouni.Par rapport au bâtiment précédent, celui-ci devrait donc permettre de réaliser "90% d'économies en chauffage" et "50% en électricité", précise Mme Khirouni, ajoutant que pour le moment, le département "maintient ses investissements: l'éducation est la priorité".Paille, bois et panneaux solairesGrand bâtiment à la devanture noire, ce collège a été construit en grande partie avec des matériaux biosourcés, explique Delphine Montrelay, ingénieure qui a conçu l'édifice. La structure est en bois et l'isolation est faite avec de la paille compactée.Des panneaux photovoltaïques ont été installés sur le toit. Pour réguler la température à l'intérieur, les grandes baies vitrées sont en triple-vitrage et disposent toutes de stores modulables qui permettent de faire entrer la lumière du soleil mais pas la chaleur.Un système "de double flux" permet de renouveler l'air du bâtiment en l'aspirant de l'extérieur: puis une centrale le chauffe ou le refroidit selon les saisons, ajoute Mme Montrelay. Dans les salles de classe, très lumineuses, pas de climatisation: "On ventile" grâce à ce système; Et quand il fait chaud, des ventilateurs en bois au plafond aident à refroidir l'air. Résultat, il ne fait ni froid l'hiver dans le bâtiment, relié au réseau de chaleur urbaine, ni trop chaud l'été.Silence dans les sallesAutre avantage qui réjouit les enseignants et les 360 élèves: des plaques en fibres de bois apportent un confort sonore bienvenu. Malgré les grandes baies vitrées du CDI, Deïssiana Labonté, 11 ans, remarque qu'"on n'entend rien" dans les salles. "On peut mieux se concentrer" car "on entend moins les bruits de dehors", acquiesce sa camarade de classe assise à côté d'elle, Lola Wenck.Un cadre aussi plus agréable pour les enseignants: Delphine Chappe, 41 ans, est professeure de physique-chimie et ne regrette pas l'ancien collège, un vieux bâtiment aux "conditions thermiques détestables" où "on avait trop chaud l'été".Ici, c'est "plus calme" et "ça résonne moins, on a moins besoin de forcer sur nos voix", souligne Mme Chappe. Celle-ci indique avoir "moins mal à la tête" le soir à la fin de sa journée de cours, grâce à ce "cadre plus serein" pour les professeurs et les élèves.L'enseignante salue aussi le fait qu'elle et ses collègues aient été inclus dans le projet de construction, "pour prendre en compte" leurs "besoins et contraintes": "on est là au quotidien, c'est normal de nous associer". Elle a d'ailleurs demandé à avoir "suffisamment" de prises électriques dans sa salle de classe, nécessaires aux expériences scientifiques qu'elle fait faire à ses élèves.Quant aux autres établissements existants, le département de Meurthe-et-Moselle a lancé dès 2012 une politique de travaux de rénovation énergétique de 55 collèges, pour notamment renouveler les chaufferies, raccorder les bâtiments aux réseaux de chaleurs ou encore les isoler. Coût total de l'opération: près de 170 millions d'euros.
Il y a 2 ans et 178 jours

EQUITONE vise le zéro déchet et des matériaux à faible impact

Après plus de 3 générations à développer des panneaux de façade haut de gamme, légers et durables, EQUITONE se concentre désormais sur le futur. En collaboration étroite avec les architectes, la marque internationale de matériaux en fibres-ciment a accéléré et documenté son parcours vers la circularité avec deux ambitions majeures pour 2030 : un faible [&#8230;]
Il y a 2 ans et 184 jours

Le mortier weberep express de chez Weber - L'avis d'un artisan POINT.P

Le mortier weberep express permet de réaliser une réparation ponctuelle sur support béton, ainsi qu'une reprise d'épaufrures ou de saignée. Il s'utilise également pour un scellement courant ou une gorge de forme. Il est composé de ciments spéciaux, de fibres, de résine synthétique, d'adjuvants spécifiques non chlorés et de sables siliceux.
Il y a 2 ans et 184 jours

Le cahier des solutions

Bati Média & Planète Bâtiment présentent : Le Cahier des Solutions. Weber / Gamme Tradical et béton de chanvreUne offre enrichie Depuis le 1er mai 2022, suite à un accord signé avec le groupe belge Lhoist, Weber commercialise, en exclusivité sur le territoire français, les produits Tradical à base de chaux aérienne. Entre ces produits qui viennent enrichir la gamme Georges Weber et l’offre « bétons de chanvre » que le fabricant entend développer, ce dernier assoit davantage son expertise en restauration patrimoniale. Mélange de chanvre, de chaux et d’eau, le béton de chanvre, biosourcé, présente des propriétés isolantes et peut être utilisé en neuf comme en rénovation, y compris en préfabrication. Matériau de remplissage, il s’utilise notamment dans les systèmes constructifs poteaux-poutres, qu’ils soient en bois ou en béton. L’occasion pour Weber de se positionner sur l’enveloppe avec une solution durable et légère ! Avec le couple Tradical Thermo + Chanvribat, conforme aux règles professionnelles, il ajoute à sa gamme une solution béton de chanvre de hautes performances (temps de prise, lambda, etc.) reposant sur une formule brevetée. Pour en savoir plus rendez-vous sur le site de batimedianews.com Photo : Weber Photo : Isonat Isonat /DuoprotectIsolant rigide en fibres de bois Sous forme de panneau rigide, l’isolant Duoprotect est composé de fibres de bois issues de plaquettes des scieries du massif forestier du Beaujolais, situées à proximité immédiate des usines de production. Biosourcé, le produit présente la résistance mécanique la plus élevée de la gamme rigide d’Isonat, tout en offrant des performances thermiques intéressantes. Pour exemple, sa conductivité thermique est de 0,046 W/(m.K). En outre, il assure une bonne isolation acoustique, notamment aux impacts de pluie, ce qui le rend pertinent en isolation de toitures inclinées par l’extérieur. Pour en savoir plus rendez-vous sur le site de batimedianews.com Schöck / Rupteurs Rutherma Impact carbone minimum, performances maximum Assurant les liaisons structurelles dalle/façade, dalle/balcon, dalle/loggia, dalle/éléments saillants de l’enveloppe et refend/façade, les rupteurs Rutherma, types DFi, DFi/ VM, Ki, DB, D et RF, développés par Schöck sont désormais couverts par une nouvelle Fiche de déclaration  environnementale et sanitaire (FDES), valide jusqu’en avril 2027. Une pole position pour cette gamme qui affiche le meilleur impact carbone du marché des rupteurs de ponts thermiques linéiques, avec une valeur de 12,2 kg.eq.CO2/UF. Pour en savoir plus rendez-vous sur le site de batimedianews.com Photo : Forbo Flooring Systems Photo : Schöck Rutherma DFI Forbo Flooring Systems / Marmoleum MarbledEloge de l’écoconception Dès son élaboration, la collection de revêtements de sol Marmoleum Marbled de Forbo est, comme tous ceux de la famille Marmoleum, un hymne à la nature. Elle se compose, en effet, de matières premières naturelles, renouvelables pour la plupart – huile de lin, résine de pin, farine de bois (certifiée PEFC et issue de forêts gérées durablement), pigments et charges  minérales –, sur un support en toile de jute. Pour en savoir plus rendez-vous sur le site de batimedianews.com VisionAIR / Ciment CalciaDes ciments moins carbonés Grâce à des formulations variant la proportion de clinker et d’ajouts, Ciments Calcia propose VisionAIR, une gamme de ciments à l’empreinte carbone moindre (jusqu’à &#8211; 40 % de CO2). Des solutions moins carbonées pour une performance optimale des produits mis en œuvre, garantissant ainsi qualité et pérennité des ouvrages. À disposition, quatre produits livrés en sacs : Baticia, un ciment pour béton destiné à tous les usages du bâtiment ; Forcia, un ciment pour béton adapté aux milieux agressifs ; Flexia, un ciment pour mortier de montage avec air entraîné ; Poncia, un mortier de montage à base de pierre ponce pour blocs béton et briques, qui permet de supprimer la quasi-totalité des ponts thermiques. Autres choix durables du fabricant, des sacs en papier kraft sans traitement de blanchiment, des encres à l’eau avec des pigments de grade alimentaire et des colles à base d’amidon. En outre, VisionAIR décline des solutions dédiées aux applications BPE de type fondation, voile, plancher, et Préfa pour les bétons précontraints avec démoulage immédiat ou différé. Pour en savoir plus rendez-vous sur le site de batimedianews.com Photo : Calcia Photo : Hörmann Hörmann et Tubauto Engagement environnemental Leader européen dans la fabrication des portes, blocs-portes, huisseries et motorisations pour l’industrie, le tertiaire et l’habitat, le groupe Hörmann s’est engagé, depuis des années, dans la sauvegarde du climat et de l’environnement. À l’heure de la RE 2020 et de la réduction des émissions de carbone, il est déjà opérationnel avec des solutions neutres en carbone sur ses portes d’intérieur et dans son offre promotionnelle Europa Promotion. L’usine de production Tubauto, propriété du groupe allemand depuis 1991, lui emboîte le pas, opérant elle aussi sa transition environnementale. Pour en savoir plus rendez-vous sur le site de batimedianews.com &nbsp; Knauf Lightboard Horizon 4Plaque de plâtre allégée… comme son empreinte carbone Knauf innove avec Knauf Lightboard Horizon 4, première plaque de plâtre à quatre bords amincis pour plafonds, plus légère et plus facile à poser qu’une plaque standard. La formulation de son cœur de gypse permet, en effet, un gain de poids de près de 25 % – de quoi faciliter les chantiers au quotidien. Cette solution, unique sur le marché français (sous Atex du CSTB), est adaptée à la réalisation d’ouvrages de plafonds et rampants intérieurs, dans tous types de bâtiments (hors locaux humides). Autre argument fort, son empreinte environnementale allégée, qui séduira à coup sûr les maîtres d’ouvrages et maîtres d’œuvre. Pour en savoir plus rendez-vous sur le site de batimedianews.com Photo : Knauf Photo : Seigneurerie Seigneurerie/PhylopurPeinture biosourcée Composée d’alkyde d’origine végétale en phase aqueuse à 97 %, cette peinture biosourcée permet de répondre à tous les chantiers engagés dans une démarche environnementale. Dénommée Phylopur, elle propose aux professionnels des performances d’esthétique et d’application en positionnement haut de gamme. Déclinée en impression et finition mate et soie, elle est blanche de base et peut se teinter dans toutes les teintes pastel. Pour en savoir plus rendez-vous sur le site de batimedianews.com Viessmann / Vitodens SEChaudière auto-adaptative gaz à condensation Dévolue aux ménages modestes et d’une qualité éprouvée, la nouvelle chaudière auto-adaptative gaz à condensation Vitodens SE, signée Viessmann, garantit un haut confort en chauffage comme en production d’eau chaude sanitaire. Adaptée aussi bien à la construction neuve qu’à la rénovation, cette chaudière, avec échangeur de chaleur instantané intégré, est dotée d’une étiquette énergétique A. Elle couvre une plage de puissances allant de 3,2 à 25/29 kW (double service, chauffage et production d’eau chaude sanitaire à micro-accumulation : 15,4 l/min selon EN 13203). Pour en savoir plus rendez-vous sur le site de batimedianews.com Photo : Viessmann Photo : Alkern Alkern et RE2020 Cap sur la performance environnementale L’engagement d’Alkern pour améliorer l’impact carbone de ses solutions constructives reste une priorité. Ainsi en 2020, 2 millions d’euros ont été investis sur les sites d’Izeaux (38) et de Mouy (77) : d’une part dans une rectifieuse pour la fabrication de blocs à joints minces, d’autre part dans une ligne de fabrication de blocs intégrant la mousse 100 % minérale Airium, soit des blocs 100 % recyclables, sans étape de tri. Pour en savoir plus rendez-vous sur le site de batimedianews.com Veka / Veka RecycleEn avance sur le recyclage L’innovation passe par l’environnement et, en la matière, Veka anticipe régulièrement les réglementations. Pour preuve, le groupe affiche aujourd’hui une moyenne de 26 % de matière recyclée utilisée dans ses profilés, un pourcentage à comparer à la moyenne nationale située à 8 %, ou encore aux objectifs de la profession fixés à 20 % à l’horizon 2025. En 2022, l’industriel va encore plus loin avec la solution Veka REcycle. Pour en savoir plus rendez-vous sur le site de batimedianews.com Photo : Veka Photo : Kemica Coatings Kemica Coatings / Souplethane 5Résine d’étanchéité biosourcée Cette PME française développe des résines d’étanchéité et de revêtements de sols biosourcées et innovantes, destinées aux secteurs de la construction et du génie civil. Ainsi sa gamme de résines vertes et durables Souplethane 5, qui couvre une quinzaine d’applications dans le secteur du bâtiment et bénéficie des qualifications du CSTB. Pour en savoir plus rendez-vous sur le site de batimedianews.com Xella Ytong / Compact 20Construire malin avec le béton cellulaire Dédié à la construction de maisons individuelles, qu’elles soient de plain-pied ou à étages, le bloc Ytong Compact 20 permet d’alléger l’isolation du bâti en parois verticales, voire de plancher bas, et de gagner en Shab par rapport à d’autres matériaux de construction. Il se positionne donc comme la solution la plus économique, tout en respectant les différents indicateurs de la RE 2020. Pour en savoir plus rendez-vous sur le site de batimedianews.com Photo : Xella Ytong Photo : Onduline Onduline FlexoutuileUn matériau fiable et respectueux de l’environnement Les plaques de sous-toiture Onduline Flexoutuile contiennent environ 50 % de matières premières recyclées. En outre, leur process de fabrication intègre une démarche respectueuse de l’environnement. Sans oublier les émissions de CO2 réduites grâce au poids allégé des matériaux, ce qui limite l’impact du transport. Pour en savoir plus rendez-vous sur le site de batimedianews.com Saint-Gobain Glass Première gamme de verre bas carbone C’est une étape essentielle pour la construction durable que Saint-Gobain Glass franchit avec cette gamme de verres présentant la plus faible empreinte carbone du marché. Une première dans l’industrie, obtenue grâce à une production qui associe un contenu élevé en verre recyclé (environ 70 % de calcin), l’utilisation d’énergie renouvelable ainsi qu’un effort important en recherche et développement. Pour en savoir plus rendez-vous sur le site de batimedianews.com &nbsp; Photo : Saint-Gobain Glass Photo : Cem’In’Eu Cem’In’EuCiment bas carbone Cem’In’Eu investit pour produire un ciment à base de pouzzolane, une matière première naturelle extraite localement. Son utilisation permet de réduire fortement le pourcentage de clinker et représente donc un effet de levier considérable pour la baisse de l’empreinte carbone globale des ciments produits, en vrac comme en sac. Pour en savoir plus rendez-vous sur le site de batimedianews.com Sika / Sikadur -31+Adhésif structural « Développement Durable » Dernier arrivé dans la gamme des solutions « Développement Durable » développée par le spécialiste de la chimie de la construction, l’adhésif structural Sikadur -31+ offre de meilleures performances, tout en affichant une technologie et un mode d’application plus vertueux. Pour en savoir plus rendez-vous sur le site de batimedianews.com Photo : Sika Photo : Milliken Milliken & Company / Revêtement de solsEn route vers la neutralité carbone « Notre programme M/PACT prouve que les revêtements de sol peuvent satisfaire les attentes de design et de performance, tout en tenant compte des enjeux environnementaux », souligne Jim McCallum, vice-président exécutif de Milliken & Company. Plus concrètement, les matériaux non essentiels sont éliminés des produits, tandis que ceux issus du recyclage sont privilégiés. Privilégiés également, l’approvisionnement régional et la production locale, afin de limiter l’impact du transport. De même, l’industriel s’efforce de réduire sa dépendance au pétrole. Les revêtements de sol présentent une traçabilité intégrale des produits. Pour en savoir plus rendez-vous sur le site de batimedianews.com Solar-Paint / SolarcoatLa peinture de toit qui rafraîchit PME toulousaine, Solar-Paint a mis au point, en partenariat avec son fournisseur ariégeois Maestria, la solution Solarcoat, une peinture à l’eau qui intègre des ingrédients naturels et des matières recyclées, telle la brisure de verre. Simple, peu coûteuse et durable, cette peinture de toit blanche présente un taux de réflexion solaire supérieur à 92 %, ce qui permet d’abaisser de 5 °C en moyenne la température intérieure des bâtiments. Et donc de limiter le recours à la climatisation en période estivale. À la clé, des économies d’énergie ainsi qu’une amélioration du confort et du bien-être des occupants. Pour en savoir plus rendez-vous sur le site de batimedianews.com Photo : Solar-Paint Photo : Kompozite Deep Tech / KompozitePlateforme d’aide à la conception bas carbone Destinée aux architectes, bureaux d’études, constructeurs et maîtrises d’ouvrage, la plateforme Kompozite, développée par la startup Deep Tech, leur permet de prendre rapidement et efficacement des décisions complexes en termes de construction durable. La solution applique au secteur du BTP, des techniques de design génératif, bien connues dans les secteurs de l’aéronautique ou de l’automobile. Plus clairement, le logiciel compile les données pour générer des solutions constructives optimisées en fonction des contraintes spécifiques de chaque projet, que ce soit en construction neuve ou en rénovation thermique. Pour en savoir plus rendez-vous sur le site de batimedianews.com Immoblade / Vitrages de protection solaireEconomies d’énergie toute l’année Réduire l’empreinte carbone des bâtiments en diminuant leurs consommations d’énergie liées à la climatisation et au chauffage. Telle est l’ambition d’Immoblade, qui conçoit, fabrique et commercialise des vitrages de protection solaire uniques sur le marché. Efficaces toute l’année, ces derniers ne nécessitent aucune maintenance. Leur dimension innovante réside également dans leur capacité à laisser passer les apports solaires en hiver et à les bloquer l’été. Et ce, sans nuire à la visibilité des occupants ni à l’aspect architectural des bâtiments. Pour en savoir plus rendez-vous sur le site de batimedianews.com Photo : Immoblade Photo : Rector Rector / Box Rupteurs EquatioUne gamme réduite mais performante Dans le cadre de sa démarche RSE, Rector, fabricant d’éléments en béton précontraint et béton armé, a ajusté le contenu de ses Box, afin de réduire les pertes et déchets sur les chantiers. À disposition : Box vide sanitaire, Box étage & toit terrasse et Box sous-sol & toit-terrasse. De même, les cartons utilisés sont recyclés et recyclables. Moins de références à stocker, un design revu, un code couleur pour une meilleure lisibilité sur le parc de stockage : le fabricant a également pensé à ses clients distributeurs. Complète, compacte et pratique, la nouvelle gamme de Box de rupteurs Equatio illustre sa volonté de proposer aux professionnels de la construction des solutions adaptées à leurs besoins. Pour en savoir plus rendez-vous sur le site de batimedianews.com Knauf Ceiling Solutions / Plafonds AdagioPerformance acoustique et graphique Réflexion de la lumière, confort acoustique, durabilité et flexibilité de design… La nouvelle gamme minérale de plafonds acoustiques Adagio, de Knauf Ceiling Solutions, répond aux plus hautes exigences. Certifiée Cradle to Cradle Silver et Gold pour la qualité de l’air, la gamme se décline en quatre solutions : Adagio Acoustic+, Adagio Alpha+, Adagio Db+ et Adagio HD+ (disponibles en 19, 30 et 35 mm). Chacune peut se poser seule ou être combinée selon les effets recherchés, soit un large éventail de performances acoustiques selon les besoins de l’espace. Pour en savoir plus rendez-vous sur le site de batimedianews.com Photo : Knauf Ceiling Solutions Photo : LG LG / ERV résidentielleConfort intérieur et économies d’énergie Complète, la nouvelle solution de ventilation (ERV) résidentielle est équipée d’une filtration en plusieurs étapes, pour un air purifié et un environnement agréable. Elle est, en outre, compatible avec l’application LG ThinQ&#x2122;. L’expérience utilisateur s’avère confortable, avec une surveillance en temps réel des niveaux de poussières fines et de dioxyde de carbone, ainsi qu’une commande à distance intuitive. Grâce à l’échangeur de chaleur de LG, cette solution garantit une circulation de l’air efficace, tout en réduisant de manière significative le gaspillage énergétique. En effet, elle permet de récupérer jusqu’à 85 % de l’énergie du chauffage en hiver et 83 % de l’énergie du refroidissement en été. Soit une consommation minime en fonctionnement, ce qui réduit d’autant les factures d’électricité de l’utilisateur, tout en gardant un environnement de vie plaisant. Pour en savoir plus rendez-vous sur le site de batimedianews.com  Cet article est extrait de Planète Bâtiment 68, découvrez le numéro en intégralité sur la plateforme Calameo.com Cet article Le cahier des solutions est apparu en premier sur Planète Bâtiment.
Il y a 2 ans et 184 jours

Qualité de l’air et efficacité énergétique, l’inséparable duo

Ventiler est impératif pour garantir la qualité de l’air intérieur, mais cette fonction est consommatrice d’énergie. Les récentes normes internationales ambitionnent d’améliorer la gestion des installations. Exploitants de parcs immobiliers et bureaux d’études thermiques le savent : le chauffage, la climatisation et la ventilation concentrent la moitié des dépenses d’énergie d’un bâtiment, et environ 30 % tiennent aux systèmes de ventilation. Soit 15 % des charges totales d’un bâtiment. Pour faire circuler l’air dans les réseaux de diffusion et d’extraction, les ventilateurs doivent combattre trois principales sources de pertes de charge : en premier lieu, le linéaire du réseau de gaines (± 40 %) ; en deuxième lieu, les filtres (± 30 %) ; en troisième lieu, les batteries chaudes et froides placées au centre des centrales de traitement d’air (± 20 %). Ce classement souligne l’importance à accorder aux filtres. La formule de calcul pour déterminer leur consommation d’énergie est connue des prescripteurs et exploitants. Elle est résumée par : 1 pascal supplémentaire de perte de charge est égal à 1 euro dépensé en plus. Ce lien entre la filtration et les coûts d’exploitation d’un bâtiment est désormais un sujet technique. Qualité de l’air et filtration Deux raisons à cela. La première concerne la prise en compte de la qualité de l’air qui s’est accrue au cours de la décennie écoulée. En témoigne le travail de l’Organisation mondiale de la santé (OMS) qui a établi que la pollution de l’air était responsable de 7 millions de décès chaque année de par le monde. La seconde provient de la révision des normes internationales des produits de filtration depuis le milieu des années 2010. Elles prennent en compte les deux notions d’efficacité de filtration et de maîtrise des consommations. En témoignent leurs étiquettes de classement Eurovent. Bernard Reinteau  Indispensables à la ventilation, les filtres constituent le deuxième poste de perte de charge d’un système aéraulique, d’où l’intérêt de leur choix et de leur exploitation.Photo : Camfil « Filtrer efficacement et à coût maîtrisé est possible. » « L’innovation technologique parvient à faire face au double défi de la qualité de l’air et de la maîtrise des consommations d’énergie. Ce sujet fait l’objet de travaux de recherche et développement depuis plusieurs années, et les industriels sont parvenus à mettre au point des médias filtrants à la fois performants et d’une très faible perte de charge. À tel point qu’il est aujourd’hui possible d’abandonner les classiques « préfiltre + filtre » pour ne retenir qu’un seul filtre. Les bureaux d’études et les exploitants de bâtiments équipés de centrales de ventilation verront immédiatement le bénéfice qu’ils pourront tirer de cette innovation : la filtration sera d’un niveau élevé, les consommations d’énergie pratiquement réduites de moitié et le coût de remplacement sensiblement diminué. » Michel Duclos président , Association des ingénieurs et techniciens en climatique, ventilation et froid (AICVF) Photo : AICVF Solution n° 1 Trois évolutions importantes pour des normes en phase avec le sujet énergétique :  &nbsp; Capacité de filtration. Les classes G4 à F9 de l’ancienne norme EN 779 ont laissé place, en août 2018, à la norme internationale ISO 16890 et ses 4 classes : grossier (ou coarse), ePM10, ePM2,5 et ePM1, plus proches des réalités physiques de la filtration. Ventilation des bâtiments non résidentiels : l’EN 16798-3 d’août 2017. Ce référentiel « croise » les standards de l’OMS et les nouvelles classes de filtration de l’ISO 16890. Ce qui permet d’indiquer les solutions de filtration minimales pour obtenir la qualité de l’air intérieur requise selon la qualité de l’air extérieur et la catégorie d’usage des locaux  : à occupation permanente, temporaire, sans occupation… L’association Eurovent détaille l’application de cette norme dans sa recommandation dite 4/23 de novembre 2020. Limites d’usage des filtres à la norme ISO 16890 selon la norme EN 13053 de 2019 qui recommande, selon ce référentiel : &#8211; un filtre ISO grossier doit être changé dès que sa perte de charge dépasse de 50 Pa sa perte de charge initiale, ou atteint trois fois sa perte de charge initiale – on retient toujours la plus faible valeur ; &#8211; un filtre ISO ePM10, ePM2,5 ou ePM1 doit être changé dès que sa perte de charge dépasse de 100 Pa sa perte de charge initiale, ou atteint trois fois sa perte de charge initiale – on retient toujours la plus faible valeur.  Les nouvelles générations de centrales de traitement d’air d’une capacité de 15 000 voire 25 000 m3/h sont équipées de moteurs à commutation électronique plus sobres en énergie.Photo : France Air Solution n° 2 Préparer une stratégie de filtration Les concepteurs et exploitants ont en main tous les leviers pour gérer au plus près les consommations d’énergie dues à la ventilation et éviter leurs dérives. Deux critères apparaissent prépondérants : Le rendement du moteur du ventilateur. Les développements techniques récents orienteront les achats vers des versions à commutation électronique, donc basse consommation et à haut rendement. Ces moteurs équipent en standard des centrales de traitement d’air jusqu’à 15 000 m3/h. Le choix du filtre. Depuis l’application des nouvelles normes internationales, l’émulation anime les acteurs que sont AAF (American Air Filter), Camfil, Freudenberg ou Titanair. AAF met l’accent sur l’audit des installations et une analyse fine du coût global de l’installation. Le suédois Camfil travaille tous les types de média filtrant, fibres synthétiques et fibres de verre, développe des profils de poches coniques ou de cadres de dièdres favorisant l’écoulement et conçoit ses produits selon un principe de coût total optimisé ; les équipes commerciales disposent aussi d’un logiciel de sélection des produits au regard de la maîtrise des charges. Freudenberg, moins présent en bâtiment et plus orienté vers l’industrie, présente des gammes en fibres synthétiques et organiques. Titanair vient d’être récompensé par l’AICVF pour la création de sa fibre GreenTex à très faible perte de charge initiale – 53 Pa pour un 3 000 m3/h – qui permet, sur 6 000 h, de réaliser plus de 50 % d’économie d’énergie. &nbsp;  Les fournisseurs de filtres répondent à la double demande d’amélioration de la filtration et de réduction des pertes de charge. Titanair propose une microfibre synthétique d’une perte de charge initiale deux fois inférieure à celle observée sur des produits pour un même usage.Photo : Titanair En septembre 2021, l’OMS a publié sa révision des valeurs guides de la qualité de l’air extérieur : Pour les particules d’une taille minimale de 10 µm, ou PM10, la moyenne annuelle doit être de 15 µg/m3 et la pointe moyenne sur 24 heures de 45 µg/m3 ; Pour les particules d’une taille minimale de 2,5 µm, ou PM2,5, la moyenne annuelle doit être de 5 µg/m3 et la pointe moyenne sur 24 heures de 15 µg/m3. À noter que les valeurs guides des particules les plus fines et les plus dangereuses pour l’organisme, celles de 1 µm dites PM1, font toujours l’objet de débats. Cet article est extrait de Planète Bâtiment 68, découvrez le numéro en intégralité sur la plateforme Calameo.com Cet article Qualité de l’air et efficacité énergétique, l’inséparable duo est apparu en premier sur Planète Bâtiment.
Il y a 2 ans et 190 jours

MasterSure 1400, nouvel adjuvant à long maintien de maniabilité

Master Builders Solutions présente MasterSure 1400, un nouvel adjuvant à long maintien de maniabilité. [©Master Buildres Solutions] Afin d’anticiper sur les évolutions des ciments et des bétons, Master Builders Solutions lance MasterSure 1400. Ce nouvel adjuvant à long maintien de maniabilité et à effet fluidifiant progressif sans ajout d&rsquo;eau est destiné au BPE et aux bétons de génie civil. « « Face à l’accélération de l’utilisation de nouveaux ciments, complexes, bas carbone et suite aussi à l’entrée de l’application de la RE 2020, Master Builders Solutions a souhaité répondre avec réactivité à ces évolutions qui impactent parfois de manière brutale nos clients », explique Thibault Guédon, chef de marché BPE chez Master Builders Solutions. Des polymères excusifs La formulation du MasterSure 1400 lui permet de réagir de manière progressive. Ainsi, l’entreprise qui l’utilise peut ajuster de manière précise la maniabilité de son béton en fonction de ses besoins. Ce nouveau produit est conforme à la norme NF EN 934-2+A11. Les polymères exclusifs Master Builders Solutions sélectionnés et combinés dans le MasterSure 1400 n’agissent pas tous tout de suite, leur action fluidifiante s’échelonnant. Ils s’adsorbent au fur et à mesure sur les particules du liant. Cet adjuvant s’incorpore simplement dans l’eau de gâchage et évite les ajouts d’eau (interdits par ailleurs). Son étendue de dosage est de 0,3/0,4 % en synergie avec un autre plastifiant ou superplastifiant, à 1,5 % en mono-produit. Grâce à ces propriétés, il évite le recours à des retardateurs de prise et confère donc de bonnes résistances mécaniques à jeune âge. Il contribue aussi à l’amélioration de l’aspect esthétique du béton. 1La présente norme européenne fixe les définitions et les exigences pour les adjuvants utilisés dans les bétons. Elle s&rsquo;applique aux adjuvants pour bétons non armés, armés et précontraints utilisés dans les bétons fabriqués sur chantier, prêts à l&#8217;emploi et préfabriqués.
Il y a 2 ans et 191 jours

Quel revêtement choisir pour une terrasse ?

Lieu privilégié pour profiter de l&rsquo;extérieur d&rsquo;une maison au printemps, la terrasse crée un lieu convivial ouvert sur un jardin, une piscine ou simplement sur un balcon. De nombreux matériaux sont disponibles pour sa construction, comme le carrelage, la pierre, les pavés, le béton, le gazon synthétique et le bois. Découvrez quels sont les revêtements adaptés pour tous vos espaces extérieurs.&nbsp; Le bois : intemporel et traditionnel Choisir le bois pour construire une terrasse, c&rsquo;est avant tout choisir un matériau chaleureux, écologique, durable et facile à travailler. Cependant, tous les bois ne peuvent pas être utilisés. Pour une terrasse, il est d&rsquo;usage d’opter pour du bois résineux ou des bois exotiques.&nbsp; Le bois résineux fait partie des essences de bois les moins chères du marché. Pin, mélèze ou cèdre rouge, les bois résineux sont très résistants, mais nécessitent toutefois un traitement insecticide et fongicide et un entretien régulier. Nettoyez votre terrasse en bois régulièrement.&nbsp; Les bois exotiques forment le haut de gamme des essences de bois pour la réalisation d&rsquo;une terrasse. Extrêmement denses et naturellement imputrescibles et résistants aux intempéries, ces bois ont une durabilité intrinsèque incomparable, c&rsquo;est pourquoi ils sont si appréciés pour une utilisation en terrasse.&nbsp; Le bois composite : l&rsquo;alternative durable Très différent du bois naturel, on peut dire que le bois composite est un hybride entre le bois et le plastique, parfois de fibres végétales comme le chanvre ou le bambou. Contrairement aux planches en bois naturel qui peuvent être vissées, les bois composites ont des fixations avec clips. Ils peuvent être considérés comme une alternative au bois exotique, victime d&rsquo;une déforestation massive.&nbsp; Le bois composite semble réaliste, mais demande beaucoup moins d&rsquo;entretien que le bois naturel. Il se nettoie facilement avec de l&rsquo;eau et du savon noir. En prime, le bois composite est résistant au feu, de sorte que votre famille reste en sécurité. La pierre naturelle : unique et authentique Choisir la pierre naturelle, c’est choisir un matériau durable, écologique, et facile à entretenir. Fondamentalement, la pierre naturelle pour l&rsquo;extérieur doit aussi être robuste, résistante aux intempéries et antidérapante.&nbsp; Pierre de Bourgogne, ardoise, granit ou pierre bleue, privilégiez la pierre brossée, sablée ou striée qui sera moins glissante. Les pierres naturelles à surface rugueuse sont très appréciées pour les espaces extérieurs, notamment car il est agréable de marcher pieds nus dessus.&nbsp; Pour profiter longtemps de votre sol en pierre, imperméabilisez votre terrasse pour protéger la pierre. Nettoyer régulièrement à l’eau tiède savonneuse à l’aide d’un balai-brosse, sans oublier de rincer à l’eau claire.&nbsp; Le carrelage : chic et élégant La pose de carrelage sur votre terrasse améliorera non seulement l&rsquo;apparence de votre espace extérieur, mais donnera également l&rsquo;avantage d&rsquo;un revêtement de sol durable. Pour garantir cela, il convient de respecter certaines normes.&nbsp; Le classement UPEC qui correspond à la résistance à l’usure à la marche (U), au poinçonnement et chocs (P), à l’eau (E) et aux agents chimiques (C).&nbsp; La norme PEI comprise entre 3 et 5 qui indique la résistance à l’abrasion, mais surtout la solidité face au gel et aux intempéries.&nbsp; Norme de glissance pieds chaussés. Elle définit le degré d’adhérence des carreaux. Moins ça glisse, moins il y a de risques de chutes. Petits ou grands, en imitation pierre, en céramique (grès cérame, faïence ou tomettes) ou en ciment, il existe des carreaux de toutes les tailles et de toutes les couleurs. Attention, certains carrelages comme la faïence, restent fragiles.&nbsp; Le béton : moderne et résistant Le béton est un matériau polyvalent et peu coûteux. Désactivé, drainant, fibré, imprimé ou précontraint, le béton est privilégié dans la construction des terrasses, car il résiste très bien aux conditions météorologiques extrêmes. Le béton est fait pour supporter un trafic intense, et conserve sa fière allure au fil du temps qui passe.&nbsp;&nbsp; Son principal avantage réside dans sa pose qui ne nécessite pas de joints, ce qui empêche les mauvaises herbes de s’y installer. Et vu qu’une terrasse en béton peut se couler, les possibilités d’aménagement peuvent se faire sur mesure. Vous pouvez même changer l’apparence de la surface de votre béton, pour donner l’illusion que votre terrasse est composée de grandes dalles bétonnées.&nbsp;
Il y a 2 ans et 205 jours

Lames et profil brise-soleil à base de matériaux naturels

TELLIER BRISE-SOLEIL spécialiste de la conception de brise-soleil architecturaux à lames fixes ou orientables, de stores à lames orientables de type BSO, de lames décoratives, de cadres d’entourage de baie, de bardages à ventelles, de grilles de ventilation, de brise-vue et de volets pliants ou coulissants. Composés majoritairement de lames en aluminium, l’entreprise poursuit le développement de son offre avec de nouvelles lames et un profil à base de matériaux naturels 100% recyclables pour offrir de nouvelles finitions aux façades des bâtiments avec un caractère plus naturel. Les trois nouvelles gammes éco-conçues, LORYZA (lame), MOSO (lame) et NEOLIFE (lame et profil), se destinent aux volets pliants-coulissants ou fixes, aux claustras et aux brise-soleil fixes. Elles sont disponibles sur mesure, selon les besoins des chantiers. La lame LORYZA est un produit totalement innovant par sa conception bi-matériaux. Composé de cosse de riz et de PVC 100% recyclable, la nouvelle lame dispose d’une excellente stabilité dans le temps. La lame MOSO est entièrement composée de bambou, elle est proposée en différentes sections avec une longueur maximale de 5 800 mm et pouvant être installée bout à bout sur les façades. Conçue selon un procédé unique de thermo-traitement, la lame est constituée de lamelles de bambou hautement comprimées. Ce procédé permet d’obtenir une lame parfaitement résistante dans le temps sans traitement chimique. NEOLIFE est disponible en lames (modèle Shadow) et en profils creux (modèle Space). TELLIER BRISE-SOLEIL propose ici des lames décoratives éco-conçues selon le procédé VESTA® (Vegetal Ecological Stable Timber Advantage) avec des matériaux biosourcés et, de facto, 100% recyclable. Le process VESTA® permet d’obtenir des matériaux contenant un taux élevé de fibres de bois – de plus de 70 % – provenant des déchets de scieries dont la matière première est issue de forêts européennes gérées durablement. Par conséquent, la fabrication de la lame et du profil NEOLIFE ne nécessite aucun abattage d’arbre. Cet article Lames et profil brise-soleil à base de matériaux naturels est apparu en premier sur Planète Bâtiment.
Il y a 2 ans et 206 jours

ONDULINE renforce sa présence à l’international et élargit son offre pour protéger les bâtiments et leurs occupants par tous les temps

Depuis sa création en 1944, Onduline n&rsquo;a cessé d&rsquo;évoluer et d&rsquo;étoffer ses gammes de produits. Son expertise et ses nombreuses innovations lui ont permis de devenir le leader mondial des solutions de toitures légères avec un éventail de produits performants : éléments de toiture, bardages, sous-toitures, écrans de sous-toitures, panneaux en polycarbonate&#8230; Qu&rsquo;il s&rsquo;agisse de maisons individuelles, de petits immeubles collectifs, de bâtiments publics ou privés, industriels ou agricoles, partout dans le monde, Onduline offre aux professionnels du bâtiment et aux bricoleurs un résultat de haute qualité avec des produits innovants, robustes et fiables très simples à mettre en œuvre. Autour d&rsquo;Onduline, Ondura accélère sa croissance et son développement international Onduline France appartient au groupe international Ondura crée en 2021. Propriétaire d&rsquo;alwitra, spécialisé dans les membranes hautes performances pour les toits plats et de l&rsquo;entreprise polonaise CB, l&rsquo;un des leaders européens des écrans de sous-toiture et d&rsquo;accessoires de couverture pour toits en pente, Ondura dispose d&rsquo;une grande expertise dans l&rsquo;étanchéité à l&rsquo;eau et à l&rsquo;air des bâtiments et développe ses activités sur les cinq continents. Dirigé par Patrick Destang, Ondura est présent dans plus de 100 pays et emploie 1 600 personnes.S&rsquo;appuyant sur la puissance d&rsquo;Onduline sur les cinq continents, l&rsquo;objectif du groupe est de renforcer sa présence à l&rsquo;international. Ces 3 entités opèrent de manière indépendante tout en profitant des synergies commerciales et de l&rsquo;accès aux gammes de leurs sociétés sœurs. En France, Flatline, la société française nouvellement créée par le groupe Ondura assure la distribution des solutions alwitra. Avec les solutions de toitures légères Onduline, les écrans de sous-toitures COROTOP® et ONDUTISS®, les membranes d&rsquo;étanchéité alwitra, et les solutions d&rsquo;éclairement en polycarbonate d&rsquo;ONDUCLAIR®, Ondura maîtrise les technologies nécessaires aux toits en pente ou plats et elle apporte aux distributeurs une réponse unique à destination d&rsquo;une clientèle de particuliers et de professionnels. Son offre de produits permet de toucher des applications en DIY et des applications professionnelles avec une plus forte composante technique, où elle s&rsquo;appuie sur des couvreurs et des étancheurs via le réseau des négociants en matériaux et distributeurs spécialisés couverture.Ondura aborde aujourd&rsquo;hui une nouvelle étape en rejoignant le groupe Kingspan, leader mondial de solutions hautes performances pour l&rsquo;isolation et l&rsquo;enveloppe du bâtiment. Le rapprochement, annoncé en février 2022 , vient en effet de recevoir la validation des autorités réglementaires. Le groupe entend accélérer les plans de croissance et d&rsquo;investissement dans les pays à fort potentiel, et renforcer l&rsquo;innovation des produits et services. Onduline : Une approche environnementale forte et visibleLes produits Onduline contiennent environ 50 % de matières premières recyclées et leur process de fabrication intègre une démarche respectueuse de l&rsquo;environnement. Certaines usines de production Onduline, dont ONDUCLAIR® à Comines, sont certifiées ISO 14001, avec une gestion environnementale claire et un système de production propre : matières premières recyclées, circuit d&rsquo;eau fermé, faible consommation d&rsquo;énergie, pas de déchets dangereux, système de traitement des émissions gazeuses&#8230; De plus, les émissions de CO2 sont considérablement réduites grâce au poids allégé des matériaux, qui limite l&rsquo;impact lors du transport.Pour limiter son bilan carbone et développer une production respectueuse de l&rsquo;environnement, Onduline a mis en place un processus de recyclage de haute technologie qui permet de récupérer 80 000 tonnes de fibres de cellulose chaque année.La cellulose est une ressource naturelle végétale et non fossile. La transformation de cette fibre est connue pour sa faible empreinte carbone, produisant ainsi 4 à 6 fois moins d&rsquo;émissions de CO2 que le métal ou le plastique. C&rsquo;est pourquoi Onduline a fait le choix de cette matière première pour la base de ses tôles et tuiles. Toutes ces initiatives ont permis à l&rsquo;entreprise de réduire l&#8217;empreinte carbone à 4 066 g de CO2/m2, soit bien moins que tout autre fournisseur de solutions de toiture selon Pure Projet, une entreprise française spécialisée dans les questions environnementales, en particulier dans la lutte contre la déforestation.Onduline a également développé des Déclarations Environnementales de Produit (EPD) &#8211; ISO14025 & EN15804. L&rsquo;EPD fournit des données quantifiées et requises pour réaliser l&rsquo;ACV (analyse du cycle de vie) des produits et ainsi quantifier l&rsquo;impact du produit sur l&rsquo;environnement depuis l&rsquo;approvisionnement en matières premières jusqu&rsquo;à la sortie des usines.
Il y a 2 ans et 219 jours

Partenariat entre Hoffmann Green et O.T.E

Dès cette année et jusqu’à fin 2024, le ciment Hoffmann Green H-Eva Sol remplacera le ciment Portland dans le cadre des travaux d’enfouissement des fibres optiques. [©Hoffmann Green] Hoffmann Green annonce la signature d’un partenariat commercial d’une durée de trois ans avec O.T.E. Cette dernière entreprise est un acteur des secteurs du numérique, du génie civil et des ouvrages d’art en milieu industriel. Le contrat porte sur la fourniture de l’H-Eva Sol, le ciment 0 % clinker et à base d’argile activée de Hoffmann Green. Concrètement, dès cette année et jusqu’à fin 2024, H-Eva Sol remplacera le ciment Portland dans le cadre des travaux d’enfouissement des fibres optiques. Un marché en pleine croissance sur l’ensemble du territoire national. Ce partenariat permettra ainsi de réduire de 95 % l’empreinte carbone du procédé Greenpose, co-développé avec la société Tesmec. Ceci, en comparaison à la méthode traditionnelle d’enfouissement micro-rive avec remblaiement béton utilisant du ciment Portland.
Il y a 2 ans et 220 jours

Edilians enrichit sa gamme d’isolants avec FLEXIClean et SKINReflex, deux nouvelles solutions alliant économies d’énergie et confort d’été

Compte tenu de l’évolution des enjeux énergétiques et environnementaux, l’amélioration de la performance des bâtiments et leur adaptation, en neuf comme en rénovation, s’impose comme une priorité pour les rendre moins énergivores, préserver le confort d’été des occupants et limiter le recours systématique à la climatisation. Pour atteindre cet objectif, EDILIANS, soucieux de l’impact du changement climatique, enrichit aujourd’hui sa gamme d’isolants pour les couvreurs avec deux nouvelles solutions au service d’un écohabitat. FLEXIClean, l&rsquo;alternative responsable pour l&rsquo;isolation entre les chevrons Fabriquée en France, la laine de polyester FLEXIClean est un isolant écoresponsable obtenu grâce à la revalorisation de bouteilles plastiques d’origine européenne et française, post consommation. Outre une véritable traçabilité de la matière première utilisée, elle participe ainsi au recyclage d’une grande quantité de déchets plastiques puisque 250 bouteilles sont nécessaires à la production d’1 rouleau de FLEXIClean. FLEXIClean possède d’excellentes performances thermiques et acoustiques, certifiées par l’ACERMI et le CSTB, grâce à : &#8211; une faible conductivité thermique qui permet de réaliser des économies d’énergie, &#8211; un coefficient d’absorption acoustique α = 1 (1 correspondant à un matériau parfaitement absorbant) pour un confort optimal. Doté de propriétés imputrescible et hydrophobe, ce nouvel isolant écoresponsable possède, en outre, une excellente tenue mécanique qui évite son tassement et sa déformation dans le temps. De quoi garantir une isolation efficace et durable (durée de vie annoncée jusqu’à 50 ans par le CSTB) ! Afin de s’adapter aux profondeurs usuelles des chevrons en rénovation de toiture, FLEXIClean est disponible sous forme de rouleaux de 1,20 x 5,4 (6,48 m2) en deux épaisseurs de 80 et 105 mm. Léger, non irritant et sans dégagement de poussière, facile à découper, sa mise en œuvre s’effectue de façon simple, rapide et offre un véritable confort de pose aux artisans. Totalement sain, non toxique, et sans allergène grâce à son processus de fabrication dépourvu d’adjuvant et de liant chimiques, il bénéficie des classifications OEKO-Tex et A+ et contribue ainsi à réduire les émissions de Composés Organiques Volatils à l’intérieur des habitations et donc, à améliorer la qualité de l’air intérieur. SKINReflex, un isolant mince réfléchissant, complément d&rsquo;isolation pour un confort absolu été comme hiver Produit de haute technologie breveté, SKINReflex est un complément d’isolation HPV respirant et réfléchissant destiné à améliorer les performances des isolants entre chevrons et le confort d’été. Il se compose : &#8211; d’un parement extérieur en aluminium pur réfléchissant, microperforé et armé d’un tissu de verre renforcé, &#8211; d’une membrane d’étanchéité, &#8211; d’une nappe isolante en filaments continus de verre de type E, &#8211; d’un parement intérieur en aluminium pur réfléchissant microperforé, &#8211; et d’une bande adhésive intégrée qui rend son installation facile et rapide. Cette conception unique confère à ce véritable produit respirant HPV et réflecteur de chaleur des propriétés exceptionnelles au service d’un véritable gain d’économie d’énergie, quelle que soit la période de l’année : &#8211; l’été, il laisse respirer la structure sans risque de condensation de par sa perméabilité élevée à la vapeur d’eau (Sd 0,06 m) et réfléchit jusqu’à 95% du rayonnement solaire, &#8211; l’hiver, ses fibres sont faiblement conductrices (0,029 W/mK, R = 1,70 m2.K/W selon EN 16012), &#8211; en toute saison, il protège et renforce l’isolant en sous-face (résistance à la traction R3) et assure l’étanchéité à l’eau et au vent (W1). Autant de caractéristiques qui permettent à SKINReflex de réduire les ponts thermiques jusqu’à 25% ainsi que la surchauffe de l’habitat (jusqu’à 3 fois moins de chaleur dans les combles). Proposé en épaisseur de 13 mm avec une résistance thermique de 1,7 m2.K/W, il convient à tous les types de bâtiments (maison individuelle, immeuble, construction bois). Ecran isolant, pare-pluie et non combustible (A2-s1,d0) sous avis technique du CSTB, SKINReflex d’EDILIANS constitue la seule solution pour pouvoir fermer au faîtage et à l’égout ainsi qu’autour des conduits de cheminées, et former ainsi une enveloppe continue et isolante autour de la toiture. Associés aux panneaux sarking de la gamme Sarkeo, FLEXIClean et SKINReflex permettent une rénovation performante avec un niveau de résistance thermique donnant droit aux aides de l’état, dès lors que leur résistance thermique combinée est ≥ 6. Fruit des études réalisées par EDILIANS sur l’influence de la couleur des tuiles sur la température en sous face de couverture, ces nouvelles solutions d’isolation illustrent la mission du récent Pôle Edilians Energie Environnement : créer des synergies entre les différents éléments de la toiture en développant une offre complète de systèmes. EDILIANS montre ainsi plus que jamais sa volonté de placer la toiture au cœur de l’écohabitat. www.edilians.com
Il y a 2 ans et 225 jours

Crises climatique, démographique et énergétique : comment chaque pays redéfinit ses priorités pour construire la ville de demain ?

Si en France, le secteur de la construction a déjà entamé sa propre transformation, qu’en est-il des autres pays européens et outre-Atlantique ? Comment envisagent-ils ces défis ? Quelles sont leurs priorités et leurs bonnes pratiques en matière de construction et d’habitat pour façonner la ville de demain ?Pour répondre à ces questions, PlanRadar, plateforme européenne de digitalisation des projets de construction et d’immobilier dans le Cloud, a étudié les principales tendances de construction de 12 pays* en Europe, Amérique du Nord et au Moyen-Orient. L’entreprise livre aujourd’hui les résultats du premier volet de son enquête en trois parties, intitulée l’« Architecture du futur », et révèle les principales similitudes et divergences observées entre les pays dans le secteur de la construction. Les deux autres chapitres concerneront l’habitat et les bureaux de demain.Les 12 pays étudiés : Allemagne, Autriche, Emirats Arabes Unis, Espagne, Etats-Unis, France, Hongrie, Italie, Pologne, République tchèque, Royaume-Uni et SlovaquieRendre la construction plus durable et résiliente : un objectif partagé par une majorité de paysDans le monde, près de 2/5 des émissions de CO2 sont émis par le secteur du bâtiment (construction, usage et démolition). D’après l’enquête de PlanRadar, la plupart des pays étudiés considèrent la question environnementale comme une tendance moteur pour l’avenir du secteur. Ainsi tous les pays à l’exception des Etats-Unis et de la Hongrie, estiment qu’atteindre la neutralité carbone dans le secteur de l’habitat est un levier prioritaire. Pour y parvenir, ils misent majoritairement sur la réduction des émissions de CO2 lors du processus de construction et croient, dans une plus faible mesure, à l’accélération de l’intégration des énergies renouvelables dans les bâtiments par le biais de l’installation de panneaux solaires ou encore de pompes à chaleur géothermiques.Du côté de l’urbanisation, dans 10 pays sur 12, les architectes considèrent le développement de la piétonnisation au cœur des villes comme une tendance forte et voient en l’installation des infrastructures de proximité, une mesure efficace pour réduire l’utilisation de la voiture, à l’instar du concept de la ville « du quart d’heure » étudié par de nombreuses capitales.Seuls la Pologne et les Etats-Unis ne semblent pas considérer le potentiel piétonnier comme une bonne pratique pour rendre l’urbanisation plus durable. Aux États-Unis, cela pourrait être une simple question de faisabilité : la plupart des villes du pays ont été historiquement conçues pour l’utilisation de la voiture. Ainsi, la facilité d’accès à pied n’est souvent pas une option réaliste compte tenu de leur disposition préexistante.Si la plupart des pays ont pris conscience de l’urgence d’œuvrer en faveur de la réduction de l’impact carbone du secteur, les solutions identifiées par chaque pays en vue de sa réalisation, différent.…mais des moyens différents pour y parvenirFace au changement climatique, 5 pays sur 12 (États-Unis, Royaume-Uni, Allemagne, France et Italie) considèrent la résilience du secteur de la construction comme une tendance à prioriser. Un choix qui s’explique notamment par la position géographique de ces pays qui les rend davantage vulnérables aux catastrophes naturelles. Ces pays préconisent ainsi d’intégrer davantage les nouveaux bâtiments dans leur environnement (optimisation de l’orientation de l’habitat, utilisation de la lumière naturelle) tout en considérant ses potentiels risques.Cette résilience passe également, pour 6 d’entre eux (Etats-Unis, Royaume-Uni, Allemagne, Autriche, France, Espagne, République tchèque), par la réhabilitation ou la réutilisation de l’existant. Cette pratique reconnue pour diminuer le bilan carbone du secteur est donc loin d’être généralisée sur le globe. En cause, la rénovation nécessite des compétences complémentaires à celles nécessaires à la construction neuve, qui ne sont pas acquises de manière uniforme selon les pays.Seuls les États-Unis encouragent les architectes à se concentrer majoritairement sur la durabilité des chaînes d’approvisionnement. Les Émirats Arabes Unis sont quant à eux les seuls à considérer que des bâtiments plus petits et de moindre hauteur contribueront à rendre l’urbanisation plus durable ; un constat issu d’une expérience éprouvée dans la construction et la gestion d’immeubles de grande hauteur.L’utilisation de nouveaux matériaux : une tendance clé pour réduire l’impact carbone de la constructionÀ elle seule, la production de béton neuf représente aujourd’hui environ 7% des émissions mondiales de CO2. L’enquête de PlanRadar met en évidence un engouement pour 7 pays autour de l’utilisation de matériaux recyclés (Royaume-Uni, Allemagne, Espagne, Emirats arabes unis, Autriche, Pologne, République tchèque). Une tendance qui s’accélère et qui permet d’éviter les émissions liées à leur extraction et leur fabrication initiales.Alors que 8 pays manifestent leur intérêt pour les matériaux tels que le bois, le chanvre, ou encore la paille, 3 autres pays (Espagne, Italie et Pologne) estiment que l’utilisation du mycélium (champignons) est une tendance d’avenir.L’Italie est d’ailleurs le pays le plus en avance de phase, puisque c’est l’endroit où les experts envisagent le plus grand nombre de nouveaux matériaux à utiliser par les architectes dans la construction du futur. Il s’agit, entre autres, d’éléments tels que le graphène, les peintures photocatalytiques écologiques, le nylon régénéré, les matériaux composites et le béton renforcé de fibres de carbone. De son côté, la France est l’unique pays des 12 à citer le lin comme matériau d’avenir pour la construction.De son côté, le Royaume-Uni est le seul pays à manifester un intérêt pour le béton biosourcé et la France est la seule à s’intéresser au béton translucide.D’autres pays sont, à l’inverse, plutôt réticents en matière d’expérimentation de nouveaux matériaux. Par exemple, selon la Hongrie, le bois et le bois lamellé-croisé sont les seuls « nouveaux » matériaux qui seront utilisés au cours des prochaines années. A contrario, les Émirats arabes unis ne manifestent leur intérêt que pour les « matériaux intelligents ».Retrouvez l’étude complète de ce premier volet à ce lien.*Etude menée par PlanRadar en juin 2022 sur les tendances et priorités des architectes concernant la construction, l’habitat et les bureaux du futur dans 12 pays Etats-Unis, Royaume-Uni, Allemagne, Autriche, France, Espagne, République tchèque, Slovaquie, Hongrie, Italie, Emirats arabes unis et Pologne. Les sources proviennent principalement des données publiques d’experts, d’instituts indépendants et d’organismes professionnels et gouvernementaux. En France, il s’agit principalement du Conseil national des architectes, du Ministère de la Transition écologique et de l’UNSFA.
Il y a 2 ans et 230 jours

Comment bien choisir son cloueur professionnel ?

Indispensables aux différents travaux du bâtiment, le cloueur est un outil qui permet de fixer différentes structures. Bon nombre de charpentiers ainsi que des professionnels du bâtiment choisissent de l’utiliser en raison de son côté pratique. Voici quelques conseils qui permettent de bien choisir un cloueur professionnel à utiliser pour tous travaux du bâtiment. Déterminer le modèle en fonction de l’utilisation de chacun Il existe en tout 4&nbsp;types de cloueurs professionnels sur le marché. Par conséquent, il est important de connaître le modèle à acheter avant de faire ses courses auprès d’une&nbsp;quincaillerie professionnelle. Pour ce faire, la première étape consiste à déterminer l’utilisation future du cloueur. Certains appareils permettent effectivement de clouer des couvertures ou de faire des travaux de bardages. Ils sont adaptés pour fixer des plaques en bois acier ou des bétons fibrés. Ces équipements conviennent aussi pour poser une isolation extérieure. Ils permettent d’effectuer un tir continu. De cette manière, l’ouvrier peut facilement réaliser des clouages répétitifs et finir son travail assez rapidement. Les cloueurs charpentes sont quant à eux destinés à travailler sur les ossatures en bois. Ils servent également pour différents travaux sur les chantiers de construction. Ces cloueurs s’adaptent effectivement à différents types de surfaces et d’utilisations. En ce qui concerne les travaux de finitions, des cloueurs sont aussi conçus spécifiquement pour cela. Ils permettent ainsi de réaliser la pose de parquets ou de cloisons. Ces équipements conviennent aussi pour les travaux de décorations comme la pose de tissus ou la conception de petits meubles. Choisir parmi 4&nbsp;types de cloueurs Après avoir défini l’utilisation future du cloueur, il est désormais temps de trouver celui qui convient pour les besoins de chacun. Ainsi, le cloueur pneumatique est le plus puissant des 4&nbsp;modèles disponibles sur le marché. Il est donc recommandé pour les travaux de couvertures et peut accueillir des clous de 130&nbsp;mm. Le cloueur pneumatique fonctionne grâce à un système d’air comprimé et permet alors de clouer de manière répétitive. Le cloueur électrique est moins puissant que le modèle pneumatique. Néanmoins, il est plus apprécié en raison de son côté silencieux. En plus, le cloueur électrique est branché sur secteur et peut donc être utilisé de manière illimitée. Il peut être utilisé pour clouer des tissus ainsi que des plinthes avec des clous de moins de 35&nbsp;mm. Le cloueur électrique est aussi un outil d’ébénisterie. Le clouer à batterie est idéal pour avoir plus d’autonomie et plus de liberté dans les mouvements. Il permet d’enfoncer des clous de moins de 60&nbsp;mm. Cet équipement offre ainsi la possibilité aux ouvriers du bâtiment de travailler plus rapidement et en toute sécurité. En plus, certains modèles de cloueurs à batterie angulaires permettent de travailler sur certaines zones difficiles d’accès. Les cloueurs à gaz sont quant à eux les plus performants du marché. Ils se caractérisent par une puissance supérieure à celle des modèles électriques. Les cloueurs à gaz ne sont pas munis de compresseurs et fonctionnent grâce à une technologie de propulsion à gaz. Cet équipement convient pour enfoncer des clous de moins de 90&nbsp;mm. En plus, les cloueurs à gaz sont dotés d’une bonne autonomie permettant ainsi une utilisation prolongée.
Il y a 2 ans et 230 jours

Des sénateurs s'engagent pour le développement de la filière chanvre

Le chef de file des sénateurs écologistes Guillaume Gontard a présenté mercredi à la presse une proposition de résolution pour le développement économique de la filière et "l'amélioration de la réglementation des produits issus du chanvre", cosignée par plus d'une cinquantaine de sénateurs.Pour M. Gontard, il ne s'agit pas d'introduire "une plante à la mode", mais de revivifier "une pratique historique", en appelant le gouvernement à œuvrer pour que la culture du chanvre "soit facilitée et bien encadrée".Car le développement de cette plante bute aujourd'hui sur la réglementation et des "questions de normes", selon le sénateur de l'Isère.Intégré dans une rotation des cultures, le chanvre "restructure" et "aère" les sols, explique-t-il. C'est une plante qui pousse vite, résiste à la sècheresse parce que très peu gourmande en eau, ne réclame pas d'apports en produits chimiques..."C'est un puits de carbone", renchérit l'écologiste Daniel Salmon, tandis que le sénateur centriste de Gironde Hervé Gillé témoigne de son intérêt dans le cadre de la reconversion des terres viticoles et d'une "remise en polyculture".Cultiver du chanvre, mais pour quoi faire ? Tout ou presque, si l'on en croit Evelyne Perrot, sénatrice centriste de l'Aube, département qui abrite la coopérative "La Chanvrière". Environ "60% du chanvre français" y sont produits par quelque 650 agriculteurs (28% de la production européenne).En 1985, l'activité y a démarré avec la production de litière pour chevaux. Dans les années 1990 est apparu "le béton de chanvre", un matériau de construction biosourcé dont les propriétés isolantes en font aujourd'hui un précieux atout.Puis les "fibres techniques pour l'industrie automobile", alternative aux fibres de verre polluantes. Pour des éoliennes vraiment écolos, les fibres de chanvre pourraient aussi être intégrées dans les pâles, aujourd'hui fabriquées majoritairement en fibre de verre, indique M. Gontard.Des vaches "plus joyeuses"Tee-shirts ou même slips: le chanvre est encore utilisé pour produire des fibres textiles et permet de fabriquer du papier "sans abattre d'arbres".Les graines riches en protéines sont utilisables dans l'alimentation animale comme humaine. Nicole Bonnefoy (PS) rapporte une expérimentation menée dans son département de la Charente avec l'introduction de graines de chanvre dans les tourteaux pour les vaches: "Les vaches étaient plus joyeuses, le lait de grande qualité". L'huile de chanvre est aussi utilisée en cosmétique. On est loin des cordages et des voiles de bateau des siècles passés.Les auteurs de la proposition de résolution soulignent toutefois la nécessité d'un "énorme travail de structuration de la filière": "Créer la demande, ouvrir le marché, normer tout ça". Avec une contrainte non négligeable: pour être transformé, le chanvre a besoin d'outils spécialisés, et donc d'investissements.Fibres, graines... la plante a aussi des feuilles et des fleurs, et là les choses se compliquent.Le Conseil d'Etat a en effet suspendu en janvier un arrêté du gouvernement interdisant la vente des fleurs et des feuilles de chanvre qui contiennent du cannabidiol (CBD), la molécule non-psychotrope du cannabis, censée avoir des vertus apaisantes et relaxantes. "Mais on est toujours dans un flou juridique", selon Guillaume Gontard, alors que le CBD commercialisé en France "provient d'autres pays européens, avec une qualité et une traçabilité très faibles"."Le kilo de fleurs de CBD peut se vendre autour de 600 euros en 2022", contre un cours du blé dur autour de 430/450 euros la tonne, relèvent les auteurs de la proposition de résolution, pour qui "la manne financière, représentée par la culture du chanvre CBD serait une bouffée d'oxygène pour les agriculteurs français".
Il y a 2 ans et 232 jours

une expertise et des solutions signees siniat pour repondre aux enjeux de la construction ossature bois

Parce que le bois est durable et renouvelable, il séduit de plus en plus les acteurs de la construction. En effet, une véritable filière de la construction ossature bois se met en place, comprenant industriels, concepteurs, artisans. Les projets et les réalisations se multiplient que ce soit pour les bâtiments d’habitation individuels ou collectifs ainsi que pour les ERP, et concernent de plus en plus des constructions de moyenne et grande hauteur. Siniat, spécialiste de la construction sèche légère, propose des systèmes innovants de panneaux fibres-ciment et plaques de plâtre pour répondre aux contraintes techniques et réglementaires de ces nouveaux modes de construction.
Il y a 2 ans et 232 jours

une expertise et des solutions signees siniat pour repondre aux enjeux de la construction ossature bois

Parce que le bois est durable et renouvelable, il séduit de plus en plus les acteurs de la construction. En effet, une véritable filière de la construction ossature bois se met en place, comprenant industriels, concepteurs, artisans. Les projets et les réalisations se multiplient que ce soit pour les bâtiments d’habitation individuels ou collectifs ainsi que pour les ERP, et concernent de plus en plus des constructions de moyenne et grande hauteur. Siniat, spécialiste de la construction sèche légère, propose des systèmes innovants de panneaux fibres-ciment et plaques de plâtre pour répondre aux contraintes techniques et réglementaires de ces nouveaux modes de construction.
Il y a 2 ans et 235 jours

Diasen : Mortier renforcé de liège

Le Diathonite Thermostep.047 de Diasen est renforcé de fibres et de liège. [©Diasen] Lauréat du Grand Jury catégorie “Préserver l’environnement” des Awards de l’Innovation du Mondial du Bâtiment, Diasen présente le Diathonite Thermostep.047, mortier écologique renforcé de fibres et de liège (granulométrie de 0-3 mm). Tout en intégrant de l’argile, de la poudre diatomée et un liant hydraulique. Produit naturel, il est conçu pour la réalisation de chapes thermiques légères prêtes à l’emploi, idéales pour l’isolation des combles, des sols et des toitures ventilées. Diathonite Thermostep.047 peut être utilisé à l’intérieur comme à l’extérieur, dans le cas de rénovations ou de constructions neuves. Et permet d’isoler thermiquement les sols et structures existants. Sans alourdir la structure. La solution de Diasen est très perspirante, permettant d’isoler du froid et de la chaleur. Sa réaction au feu est classée Euroclasse A1. Sa résistance est renforcée par la présence de fibres dans la formulation. Il permet aussi de noyer les installations électriques et de plomberie. Marqué CE (EN 13813), le Diathonite Thermostep.047 peut être carrelé directement, après imperméabilisation avec un produit adapté (conforme à l’EN 14891). Batimat- Hall 1 – Stand K100 Lire le dossier complet ici
Il y a 2 ans et 239 jours

revetements de sol textiles designs flotex collections designers

Flotex Designer est un ensemble de revêtements de sol textiles floqués dont les designs spécifiques sont le fruit de la collaboration de Forbo avec les grands noms du design international. Grâce à l&#039;utilisation combinée de l&#039;impression digitale et de la densité des fibres des revêtements de sols floqués Flotex, cette collection propose des systèmes de motifs inédits aux designs innovants.
Il y a 2 ans et 239 jours

revetements de sol textiles designs flotex collections designers

Flotex Designer est un ensemble de revêtements de sol textiles floqués dont les designs spécifiques sont le fruit de la collaboration de Forbo avec les grands noms du design international. Grâce à l&#039;utilisation combinée de l&#039;impression digitale et de la densité des fibres des revêtements de sols floqués Flotex, cette collection propose des systèmes de motifs inédits aux designs innovants.
Il y a 2 ans et 241 jours

25 ans après son interdiction, l’amiante continue de peser sur nos vies

Un numéro hors-série de 84 pages, pour rouvrir le dossier de l’amiante, véritable boîte de Pandore, dont on n’a pas fini de mesurer les conséquences. Une enquête fouillée et édifiante sur les millions de tonnes de matériaux toxiques qui subsistent dans de nombreux bâtiments, notamment dans les écoles de la République. Le média révèle également, alors même que leur importation est formellement prohibée, que des produits manufacturés contenant de l’amiante continuent de franchir les frontières de l’Europe. Un nouvel acte, dans cette tragédie sans fin, est en train de se jouer.L’amiante d’aujourd’hui, ce sont les cancers de demainPour réaliser ce hors-série consacré aux 25 ans du scandale de l’amiante, la rédaction d’Infodiag a interrogé de nombreux grands témoins, dont la sociologue de la santé Annie Thébaud-Mony, présidente de l’Association Henri-Pézerat, du nom de son compagnon, lanceur d’alerte en matière d’amiante dès les années 1970. Pour cette spécialiste des maladies professionnelles, on peut véritablement parler d’un « crime industriel ». « J’ai été impressionnée par la mortalité précoce chez les ouvriers. Mourir d’un cancer à 40-50 ans n’est pas la même chose que de mourir d’un cancer à 80-90 ans. Je ne m’y fais pas, je trouve toujours ça terrible », souligne-t-elle. Dans cet entretien, Annie Thébaud-Mony évoque également avec colère les années 80, et « l’usage contrôlé de l’amiante » qui constituait à ses yeux une véritable mystification. Pendant longtemps, rien n’a bougé. Et puis, en 1995, des études publiées en Grande-Bretagne ont montré que l’on s’acheminait vers une catastrophe sanitaire similaire à celle du sang contaminé. C’est alors que le couvercle a sauté.Seule une volonté politique peut changer la donne…Suite à son interdiction de 1997, la production et la commercialisation de l’amiante ont été stoppées. Mais le combat n’est pas fini. Les équipements de protection respiratoire utilisés sur les chantiers ne sont pas suffisamment étanches pour éviter l’inhalation de fibres d’amiante. Il faut donc abaisser encore les valeurs limites de façon drastique et envisager des équipements comme ceux utilisés dans l’industrie nucléaire. Le problème tient au coût très élevé du désamiantage. À partir de là, les considérations économiques reprennent le pas sur la santé. Le ministère du Travail ou les parlementaires arguent qu’un renforcement de la réglementation mettrait les entreprises en difficulté avec des milliers d’emplois supprimés.Pour Aline Archimbaud, qui a présidé le Comité de suivi de l’amiante au Sénat, autre grand témoin interrogé par Infodiag : « Seule une volonté politique, avec un pilotage national, peut changer la situation. Nous ne pourrons pas tout désamianter du jour au lendemain, vingt, trente ans ou plus seront nécessaires. Si nous n’avons pas une stratégie nationale pour identifier les urgences, nous ne nous en sortirons pas. »L’amiante à l’école : une vraie bombe à retardementLe hors-série d’Infodiag révèle un autre scandale. En France, 8 établissements scolaires sur 10 sont concernés par l’amiante, sans que l’on sache forcément où il se trouve. La réglementation est sans doute bien faite, mais elle demeure très mal appliquée dans les écoles de la République. La seule enquête réellement sérieuse qui ait été menée sur le sujet remonte à 2016. 20.000 établissements ont alors répondu à un questionnaire de l'Observatoire national de la sécurité et de l’accessibilité des établissements d’enseignement (ONS), organe de l'éducation nationale aujourd'hui disparu. Ce qu’il en est ressorti : 85% des établissements scolaires français sont sortis de terre avant 1997. Leurs bâtiments sont donc concernés par l’amiante et par l’obligation de remplir un Dossier technique amiante (DTA). Or, 30% des établissements ayant répondu à l’enquête ont indiqué ne pas disposer de ce document.38% des DTA des écoles publiques comptent au moins un matériau amianté (cela s’élève à 77% pour les lycées publics et 80% pour les lycées professionnels).En 2022, l’amiante continue de frapper durement le corps enseignant. Chaque année, on recense peu ou prou une douzaine de maladies professionnelles liées à l’amiante ; soit près de 10% des maladies professionnelles reconnues au sein de l’Éducation nationale.
Il y a 2 ans et 253 jours

L’isolant réflecteur alvéolaire HYBRIS d’ACTIS mis en œuvre dans la 1ère maison labellisée Cradle to Cradle d’ARIANE CONSTRUCTIONS

Planète à bout de souffle, ressources naturelles menacées &#8230; Autant de sujets fondamentaux qui nécessitent que tous les acteurs de la construction aient un engagement environnemental fort. C’est le cas d’Actis, fabricant d’isolants alvéolaires réflecteurs, qui place le développement durable au cœur de sa stratégie, et d’Ariane Constructions, constructeur de maisons individuelles, qui a remporté la médaille d’or au challenge Pôle Habitat-FFB dans la catégorie Habitat Prospectif en 2020 avec sa première maison labellisée Cradle-to-Cradle®. Tout près du Golf de Bordeaux, la maison C2C d’Ariane Constructions est en cours de construction. Un ouvrage, qui répond à des critères bien précis sur le plan environnemental, fait de matériaux inscrits dans un cercle vertueux de construction, dont HYBRIS d’ACTIS, premier isolant certifié Cradle-to-Cradle®en France, utilisé pour l’isolation des murs et des rampants de la toiture. MAISON C2C D’ARIANE CONSTRUCTIONS, 1ÈRE MAISON CERTIFIÉE CRADLE TO CRADLE® Construite par Ariane Constructions à Bordeaux, cette première maison certifiée Cradle to Cradle® de 133 m2 concilie économies d’énergie et préservation des ressources naturelles en mettant en œuvre des matériaux et équipements qui s’inscrivent dans un cercle vertueux de construction. Quatre axes ont ainsi été définis : . qualité de l’air intérieur et santé, . éco-conception, modularité et upcyclabilité, . maison intelligente qui optimise l’eau et l’énergie, . adaptabilité aux nouveau usages et confort de vie. Pour relever ce défi, le constructeur a travaillé avec des industriels dont Actis, fabricant d’isolants réflecteurs alvéolaires. Cette démarche s’appuie sur la plateforme collaborative MyUpcyclea sur laquelle ACTIS a saisi les informations sur la non toxicité, le degré de circularité et l’empreinte carbone de son isolant HYBRIS afin d’obtenir un passeport circulaire. Analysées et notées par UPCYCLEA, bureau d’études spécialisé dans l’économie circulaire et dans la certification Cradle to Cradle®, les caractéristiques d’HYBRIS d’ACTIS lui ont permis d’être sélectionné pour cette maison composée d’un rez-de-chaussée et d’un étage : . isolation des murs (épaisseur de 90 en doublage avec une lame d’air et un R de 3,35 (m2.K/W) ; . isolation des rampants de la toiture avec deux couches croisées pour des performances optimales (R = 8). HYBRIS, LE PREMIER ISOLANT CERTIFIÉ CRADLE TO CRADLE® EN FRANCE Reposant sur une démarche volontaire de la part des fabricants, la certification Cradle to Cradle® (du berceau au berceau) permet de vérifier que les produits ont un impact positif sur la santé et l’environnement, depuis leur fabrication jusqu’à leur recyclage. Elle s’appuie sur le principe d’éco-conception et d’économie circulaire qui demande de créer de la valeur à partir de matières recyclées et secondaires. Evalué par Upcyclea, seul organisme français accrédité par l’Institut Cradle to Cradle Products Innovation, l’isolant HYBRIS d’ACTIS a reçu la certification internationale Cradle to Cradle selon le cahier des charges définis C2C Certified Product Standard version 3.1. Celui-ci se base sur cinq catégories de critères de durabilité essentiels : . Matériaux sains . Réutilisation des matériaux . Energie renouvelable et gestion du carbone . Gestion de l’eau . Responsabilité sociétale Grâce à sa conception, l’isolant alvéolaire HYBRIS® est 100% recyclable à l’infini. Il est récupéré, broyé et ré-introduit sous forme de billes dans le processus de fabrication. Il s’inscrit ainsi dans une démarche où tous les résidus (chutes, rebuts) sont recyclés dans un processus de production « zéro déchet ». De plus, ne contenant aucun COV ni composants chimiques nocifs (formaldéhyde, phénol&#8230;), HYBRIS est garanti non irritant. Il est classé A+ pour la qualité de l’air intérieur selon la norme NF EN ISO 16000. La technologie alvéolaire de l’isolant réflecteur HYBRIS repose sur l’exploitation des qualités isolantes naturelles de l’air en le piégeant entre des films bas émissifs. Sa structure en nid d’abeilles permet de créer une multitude de cavités d’air inertes. Par conséquent, il nécessite moins de matières premières et moins de ressources énergétiques (eau, électricité&#8230;) pour sa production. La légèreté de l’isolant alvéolaire HYBRIS participe également à une réduction de consommation de carburant pour le transport, en plus du conditionnement très compact sur palette (breveté). Autant d’éléments qui lui confèrent une très faible empreinte carbone : émission de 2,39 CO2/ m2 pour 105 mm avec un R total de 3,80 (produit + lame d’air) d’après la FDES publiée sur la base INIES. HYBRIS, L&rsquo;ISOLANT RÉFLECTEUR ALVÉOLAIRE AUX PERFORMANCES UNIQUES Dans la maison C2C d’Ariane Constructions, HYBRIS assurera le confort thermique en été comme en hiver, l’isolation phonique et l’étanchéité à l’air. Il exploite les qualités thermiques de l’air, un isolant naturel très efficace. Il intègre la fonction de double pare-vapeur, ce qui évite la pose d’une membrane additionnelle et offre bien-être au particulier. Chaque film réflecteur renvoie 95% des rayonnements infrarouges limitant au maximum la pénétration de chaleur à l’intérieur du bâtiment et permettant ainsi de garder un logement plus confortable en été. Léger et stable à la fois, HYBRIS ne s’affaisse pas dans le temps, conservant, durant toute sa durée de vie, ses caractéristiques thermique, phonique et d’étanchéité initiales. Au fil du temps, l’habitat ne consomme donc pas plus d’énergie. Ses composants sont sains, respectueux de l’air intérieur et sans fibres irritantes, ce qui garantit un confort de pose et une qualité d’air au quotidien incomparables pour les futurs occupants. En participant à la réalisation de la première maison certifiée Cradle to Cradle® d’Ariane Constructions, ACTIS confirme une fois encore sa volonté d’être un acteur engagé en faveur de l’environnement. http://www.actis-isolation.com
Il y a 2 ans et 266 jours

Toujours plus performante, la gamme d’isolant Métisse obtient de nouvelles certifications de sécurité au feu

Précurseur et acteur majeur de la fabrication d’isolants thermiques et acoustiques biosourcés, Le Relais Métisse maîtrise l’intégralité de la chaîne de sa fabrication 100% française, depuis la collecte de la matière première jusqu’à la valorisation. En effet, Métisse est un isolant en coton issu du recyclage de jeans collectés et triés par Le Relais, leader français de la collecte et du tri des TLC (Textiles, Linge et Chaussures) depuis 1984.Une nouvelle certification qui permettra de répondre aux attentes du marchéCette année 2022 marque une nouvelle évolution pour l’isolant Métisse, qui a obtenu de nouvelles certifications et accède à un nouveau classement.Auparavant classé « Euroclasse E », l’ensemble de la gamme (RT, flocon et Eko) est désormais certifié « Euroclasse D » en produit nu*. Son traitement ignifuge innovant à cœur (sans sel de bore) en fait un isolant biosourcé sécurisé face au feu.Métisse a également obtenu près de 30 PV et extensions feu en s’associant avec Placo. L’association de ces deux pionniers et leaders sur leurs secteurs a permis d’obtenir ces nombreuses certifications et valide ainsi un très grand nombre de configurations de systèmes (de la cloison simple à la cloison élaborée) aux normes ignifuges et acoustiques. Il obtient également un nouveau classement BS1D0 (en complexe) par le Crepim (laboratoire classé COFRAC).L’obtention de ces nouvelles certifications pour l’isolant Métisse permet désormais de répondre aux demandes des ERP - Etablissements Recevant du Public (lieux de santé, d’enseignements ou logements collectifs). En effet, l’isolant atteint des performances de haut niveau et répond à des exigences feu EI30 à EI120 en cloisons et EI45 à EI120 en contre-cloisons.*Retrouvez le certificat du Crepim (laboratoire Cofrac) sous le rapport n°DO-22-3628\B-R1, sous ACERMIMétisse précurseur sur le marché, multiplie les distinctionsLa gamme Métisse accède à de nombreuses distinctions : premier isolant issu de l’Economie Sociale et Solidaire, premier isolant certifié issu d’une filière de collecte textile entièrement intégrée et maîtrisée, premier isolant ignifugé au cœur de la matière par un procédé de plein bain. L’isolant a été couronné par le Prix BePOSITIVE Awards (catégorie Bâtiment Performant) en février 2019. Puis un an plus tard la marque s’est à nouveau distinguée avec l’obtention du Label Produit Biosourcé Filière Française pour l’ensemble de sa gamme thermique : 70% minimum pour la gamme RT (panneaux et rouleaux) et 73% minimum pour les flocons.Un isolant au cœur de la transition énergétiquePar leurs caractéristiques physiques (transformation et stockage du CO2 atmosphérique), les fibres végétales, matières premières biosourcées, constituent un levier fort et une réponse fiable, durable et concrète aux enjeux du réchauffement climatique et de l’épuisement des ressources naturelles. Par sa composition en fibres de coton biosourcé, issu du recyclage, l’isolant Métisse s’inscrit pleinement dans la Transition Energétique pour la Croissance Verte.
Il y a 2 ans et 269 jours

Interface lance Recreation, une nouvelle collection de revêtement de sol à base de fibres 100% recyclées

Fabriquée à partir de fils 100% recyclés, Recreation, qui offre un choix de design contemporain, contribue, comme tous les produits Interface, à atteindre la neutralité carbone grâce au programme Carbon Neutral Floors de l’industriel. Une collection qui emprunte son design à la nature Recreation tire son inspiration des motifs et des textures que l'on trouve dans la nature. La palette de couleurs proposée utilise les gris et les tons neutres inspirés des formations rocheuses, pour les marier aux tons terreux classiques, que l’on retrouve le long des lits des rivières. La collection offre aux concepteurs une large gamme de couleurs, complétée d’une texture organique et d’une installation aléatoire, permettant ainsi d’apporter de la chaleur aux grands espaces pour se sentir au bureau comme chez soi. Des teintes contemporaines et tendances Les dalles de moquette de la gamme Recreation aux tons subtils mesurent 50 cm x 50 cm et se déclinent en 16 couleurs, dont 10 neutres et 6 vibrantes. Les teintes contemporaines Graphic, Talent, Develop, et Draw reflètent parfaitement l'influence de la tendance « comme à la maison » sur le design des espaces de travail. Conçue pour compléter les couleurs neutres les plus plébiscitées d'Interface, Recreation rehausse n’importe quel espace lorsqu'elle est associée aux gammes existantes de LVT et de sols en caoutchouc nora.
Il y a 2 ans et 305 jours

Béton[s] le Magazine n° 101 aménage le paysage

Rendre l’espace public beau, le béton sait très bien le faire. Soit en se mettant en valeur, à l’exemple de la corniche Kennedy, à Marseille. Soit en se faisant discret, comme sur le tramway de la ville d’Angers. Soit en allant jusqu’à rehausser un site classé, telle la Saline royale d’Arc-et-Senans, en Franche-Comté. Nombre de variantes sont ainsi à découvrir dans notre dossier “En Couverture”. L’autre choix de lecture vous emmène au Havre, sur le quai de Bougainville pour être précis. Là, viennent de naître les 71 fondations gravitaires du futur parc éolien en mer de Fécamp. Ces immenses structures en béton d’un poids unitaire de près de 5 000 t sont aujourd’hui peu à peu acheminées par barge vers leur zone d’immersion&#8230; Feuilletez en ligne le numéro 101 sur la liseuse acpresse.fr Un abri tel un tipi Ce numéro estival fait aussi la part belle aux malaxeurs pour centrales à béton. L’occasion pour chacun de découvrir ou redécouvrir les acteurs de ce marché spécifique et leurs offres matériels. L’autre focus concerne les solutions pour sols industriels&nbsp;: durcisseurs de surface, fibres, joints de construction, résines. Le panorama est assez large. Le Laboratoire de la Matière, lui, revient sur les fondamentaux, avec le rappel de ce qu’est l’alcali-réaction et comment s’en prémunir ou la traiter. Enfin, Béton d’Antan s’attarde sur l’abri aérien de Villenoy, qui, par sa forme conique originale, fait penser à un tipi. Mais n’en est pas ! Bonne lecture et bon été à tous. Retrouvez la lecture des articles en ligne du numéro 101 dans la boutique par le sommaire interactif Frédéric GluzickiDirecteur de la publication
Il y a 2 ans et 310 jours

Duoprotect, isolant en fibre de bois rigide

La plus haute résistance mécanique de la gamme rigide d’Isonat &nbsp;L’isolant Duoprotect est un panneau rigide composé de fibres de bois issues de plaquettes de scieries du massif forestier du Beaujolais, situées à proximité immédiate des usines de production. &nbsp;Isolant biosourcé, le produit dispose de la résistance mécanique la plus importante de la gamme rigide [&hellip;]
Il y a 2 ans et 313 jours

Le shopping du mobilier urbain

Article paru dans le n° 101 de Béton[s] le Magazine Bancs, jardinières, tables de pique-nique ou de ping-pong, cendriers ou encore poubelles et monuments… Le mobilier urbain habille les espaces publics. Les acteurs dans le domaine sont nombreux et chacun a sa “patte”. Béton[s] le magazine vous propose une petite sélection d’objets préfabriqués. Ici, le béton montre bien tous ses talents d’adaptation, que ce soit dans la forme, les teintes et l’usage… Atelier Mérillon – La Manufacture des Bétons Même s’ils ont été conçus, il y a déjà quelques années, les bancs lumineux fabriqués par l’Atelier Mérillon – La Manufacture des Bétons restent toujours de belles réalisations. En effet, 22 éléments de ce type ont été fabriqués pour l’Esplanade des Particules, chantier d’aménagement des extérieurs du Cern, en Suisse. Ils ont nécessité 600 l de Bfup SmartUP de Vicat, 1 000 fibres optiques installées à l’intérieur et 3 générateurs Led, d&rsquo;une puissance totale de 10 500 lumens. Ces bancs de 6 m de long sont assemblés en trois parties et disposent de pieds réglables. Pour rappel, l’Atelier Mérillon – La Manufacture des Bétons est spécialisé dans la préfabrication en Bfup. [©Atelier Mérillon] Prolongez votre lecture Pour lire la totalité de cet article, inscrivez-vous gratuitement Déjà inscrit ?Je m'inscris Mon email Mon mot de passe Oublié ? var gform;gform||(document.addEventListener("gform_main_scripts_loaded",function(){gform.scriptsLoaded=!0}),window.addEventListener("DOMContentLoaded",function(){gform.domLoaded=!0}),gform={domLoaded:!1,scriptsLoaded:!1,initializeOnLoaded:function(o){gform.domLoaded&&gform.scriptsLoaded?o():!gform.domLoaded&&gform.scriptsLoaded?window.addEventListener("DOMContentLoaded",o):document.addEventListener("gform_main_scripts_loaded",o)},hooks:{action:{},filter:{}},addAction:function(o,n,r,t){gform.addHook("action",o,n,r,t)},addFilter:function(o,n,r,t){gform.addHook("filter",o,n,r,t)},doAction:function(o){gform.doHook("action",o,arguments)},applyFilters:function(o){return gform.doHook("filter",o,arguments)},removeAction:function(o,n){gform.removeHook("action",o,n)},removeFilter:function(o,n,r){gform.removeHook("filter",o,n,r)},addHook:function(o,n,r,t,i){null==gform.hooks[o][n]&&(gform.hooks[o][n]=[]);var e=gform.hooks[o][n];null==i&&(i=n+"_"+e.length),gform.hooks[o][n].push({tag:i,callable:r,priority:t=null==t?10:t})},doHook:function(n,o,r){var t;if(r=Array.prototype.slice.call(r,1),null!=gform.hooks[n][o]&&((o=gform.hooks[n][o]).sort(function(o,n){return o.priority-n.priority}),o.forEach(function(o){"function"!=typeof(t=o.callable)&&(t=window[t]),"action"==n?t.apply(null,r):r[0]=t.apply(null,r)})),"filter"==n)return r[0]},removeHook:function(o,n,t,i){var r;null!=gform.hooks[o][n]&&(r=(r=gform.hooks[o][n]).filter(function(o,n,r){return!!(null!=i&&i!=o.tag||null!=t&&t!=o.priority)}),gform.hooks[o][n]=r)}}); M.MmeNom** Prénom** Société Particulier Nom société* Secteur** Fonction** Adresse email** Adresse* Code postal* Ville* Pays* Code promo Je m&#039;inscris aux newsletters (facultatif) : Bâti & Isolation CBPC Béton[s] Chapes Les information collectées à partir de ce formulaire permettent aux éditions AvenirConstrution de gérer ses contacts et ses clients. 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Il y a 2 ans et 313 jours

Moselle : Béton Stone Consulting : Une palette de solutions industrielles

Article paru dans le n° 101 de Béton[s] le Magazine BSC intervient sur un large périmètre de l’industrie du béton. [©BSC] Centrales à béton, équipements pour carrières et préfabricants, cimentation nucléaire ou encore impression 3D, Béton Stone Consulting (BSC) intervient sur un large périmètre de l’industrie du béton. A sa création en 2006, à Etzling, par Sylvain Adam, l’entreprise se spécialise dans le conseil. L’objectif&nbsp;? Accompagner les professionnels de la préfabrication et contribuer à l’amélioration des process industriels et des formulations existantes. Au fur et à mesure des années, l’activité “conseil” s’amenuise pour laisser place à la partie commerciale. Entre 2008 et 2010, BSC commence à proposer des malaxeurs coniques. Puis, dès 2015, elle s’intéresse aux systèmes de pompages des bétons et développe tout une usine de production de mortier au Moyen-Orient. Cette période marque aussi le début d’une ouverture à l’international. Depuis 2021, BSC se concentre sur la commercialisation de process pour les industriels du béton à l’étranger. Retrouvez l’actualité des entreprises en région Grand-Est L’entreprise ne propose pas seulement des centrales à béton, elle fournit aussi des composants pour constituer et compléter les centrales ou des installations spécifiques. Elle dispose aussi de stations de micronisation dans son catalogue. Dans le domaine des malaxeurs, l’entreprise a su parfaire son expertise. En plus de l’outil en lui-même, BSC fait du conseil sur les dosages des composants&nbsp;: fibres, colorants, adjuvants. Mais aussi, sur le transfert et le dosage des bétons frais et des produits finis, sur le pompage ou encore sur le recyclage des eaux de lavage et des retours béton. Pour les années à venir, BSC compte bien suivre les évolutions industrielles du béton et toujours proposer les solutions les plus innovantes. Aujourd’hui, elle compte 9 collaborateurs et 8 partenaires parmi lesquels Kniele, Eco-Frog, Klein ou encore Mantis ULV. Article paru dans le n° 101 de Béton[s] le Magazine
Il y a 2 ans et 314 jours

Val-d’Oise : La Fabrik à Béton mise sur le BPE à la demande

Article paru dans le n° 101 de Béton[s] le Magazine La Fabrik à Béton a fait de la grenouille sa mascotte. Pour fournir le béton, la société dispose d’un camion-malaxeur volumétrique et hydrostatique Blend. [©La Fabrik à Béton] Cela fait un an que Nicolas Dutilleul a lancé La Fabrik à Béton. Déjà propriétaire d’une entreprise de maçonnerie (DPN Rénovation), le gérant a voulu prendre son indépendance vis-à-vis des bétonniers. En faisant l’acquisition d’un camion-malaxeur volumétrique et hydrostatique Blend, La Fabrik à Béton propose ainsi un vrai service de béton prêt à l’emploi sur site. « Avec notre centrale mobile, nos clients ont accès à toute une sélection de formules, explique Nicolas Dutilleul. Nous avons travaillé avec LD Contrôles dans ce sens, pour proposer plusieurs gammes de bétons : fondations, planchers-dalles, ou encore des bétons décoratifs avec des coloris originaux… » Retrouvez l’actualité des entreprises en région Ile-de-France Les clients de La Fabrik à Béton peuvent passer leur commande en ligne. Ils y sélectionnent le béton voulu avec la possibilité de rajouter des options “fibres” ou adjuvants : accélérateur, fluidifiant… « Nous fabriquons à la demande au litre près. Il n’y a ni perte ni gâchis. Nous souhaitions faire du service, du relationnel et surtout changer les façons de faire. » La Fabrik à Béton s’adresse aux entreprises de BTP et aux particuliers. Elle compte deux collaborateurs : un chauffeur poids lourd et un magasinier qui charge les matières premières nécessaires à la fabrication du béton in situ. Floqué d’une grenouille, la mascotte de l’entreprise, le camion se déplace dans le Val-d’Oise et un peu dans les départements des Yvelines et de l’Oise. Le prix de la prestation est modulé en fonction du nombre de kilomètres à parcourir au-delà des zones desservies. Article paru dans le n° 101 de Béton[s] le Magazine
Il y a 2 ans et 314 jours

La plus haute résistance mécanique de la gamme rigide d’Isonat

L’isolant Duoprotect est un panneau rigide composé de fibres de bois issues de plaquettes de scieries du massif forestier du Beaujolais, situées à proximité immédiate des usines de production. Isolant biosourcé le produit dispose de la résistance mécanique la plus importante de la gamme rigide d’Isonat tout en garantissant des performances thermiques, il dispose d’une conductivité thermique de 0 046 W/( m K). Il apporte également une bonne isolation acoustique, notamment face aux impacts de pluie, le rendant ainsi particulièrement pertinent en isolation des toitures inclinées par l’extérieur.
Il y a 2 ans et 332 jours

Soprema et Berkem créent un panneau isolant en fibre de bois

COLLABORATION. Le spécialiste de l'isolation et l'étanchéité, Soprema, et Berkem, spécialiste de l'intégration de la chimie du végétal, se sont associés pour mettre au point un panneau isolant en fibres de bois plus résistant face aux mirco-organismes.
Il y a 2 ans et 344 jours

Des arbres face au béton : le nord de la France lutte pour préserver son sol

L'endroit, grillagé, ressemble encore à un terrain vague, au coeur de Quiévrechain (Nord). Jusqu'en 2011, les Fibres du Hainaut produisaient ici des plaques et des tubes en plastique.L'usine a été démolie. Sur ce sol, dont la moitié était bétonnée, ont été plantés de jeunes arbres de moins d'un mètre, plus adaptables que des arbres adultes, pour faire jaillir de terre une forêt urbaine... dans 15 à 20 ans."On se projette dans un temps long, avec une végétation qui va prendre le temps de se densifier", explique le maire Pierre Griner.Sa municipalité a investi 390.000 euros pour racheter la parcelle à l'établissement public foncier (EPF) des Hauts-de-France - dont la mission est de "recycler" ces terrains - et 100.000 pour les aménagements.Un réseau de branchages a été installé au sol pour "fixer de la matière organique" et servir "d'abri à une petite faune", détaille le paysagiste Damien Roidot, chargé du projet. "Sa décomposition nourrira aussi le sol pour le transformer de sol stérile en sol vivant."Travail de SisyphePortée par une volonté politique, cette renaturation est rendue possible par l'abondance de bâtiments abandonnés dans cette vieille commune industrielle.Quelques centaines de mètres plus loin, les corons de la cité minière du Corbeau attendent leur démolition.Les maisonnettes sont en zone inondable, près de la rivière qui marque la frontière avec la Belgique. La renaturation se fait donc plutôt par défaut mais M. Griner se réjouit de l'opportunité de rendre à la zone "sa fonction initiale de site naturel tampon".Entre 2010 et 2019, près de six terrains de foot d'espaces agricoles ou forestiers ont été consommés chaque jour par l'urbanisation dans les Hauts-de-France, selon un récent rapport de la préfecture. L'artificialisation s'est "stabilisée" depuis 2015 mais reste à un "niveau important".Très peuplé, l'ancien Nord-Pas-de-Calais est aussi l'un des territoires les moins boisés de France. Mais selon Guillaume Lemoine, ingénieur écologue à l'EPF des Hauts-de-France, "cette région, qui a historiquement sacrifié ses espaces naturels, a aussi créé depuis 30 ans, voire 50 ans, les outils pour corriger".Et de décrire un travail de Sisyphe: "En 30 ans, nous avons recyclé plus de 5.500 hectares de friches, dont 2.000 hectares de terrils". Environ 50% de cette surface ont été renaturés, le reste réaménagé. "Mais il y en a toujours autant, car le gisement se renouvelle", remarque-t-il.Habitants exaspérésLa loi "Climat et résilience", votée en 2021, fixe un objectif de "zéro artificialisation nette" en France d'ici à 2050. La reconversion des friches constitue un de ses leviers.Mais dans une étude de 2019, France Stratégie soulignait le faible nombre de vrais projets de renaturation, constatant que le processus, incluant dépollution et désimperméabilisation, coûte cher.Dans les Hauts-de-France, la rareté du foncier maintient une forte pression sur les sols. Entre autres projets controversés, une serre tropicale géante près de la Baie de Somme et un gigantesque entrepôt logistique au sud-ouest de Lille exaspèrent les défenseurs de l'environnement."Sur les terres les plus fertiles de la métropole, on va construire une nappe de béton de 100.000 m2, soit 16 terrains de football", s'indigne Pascal Peperstraete, du collectif d'opposants à l'entrepôt."On passe outre le zéro artificialisation, au motif qu'on a signé une promesse de vente et que ça va créer de l'emploi", peste-t-il. Sollicitée, la Métropole européenne de Lille n'a pas donné suite.Selon la préfecture, les nouvelles infrastructures logistiques sont plus consommatrices d'"espaces naturels, agricoles et forestiers" que "l'industrie, le commerce ou le bureau"."Cela coûte moins cher de construire de nouveaux bâtiments sur des terres agricoles où il y aura moins de surprises que dans des milieux perturbés, avec des couches de cailloux ou autres", déplore M. Lemoine.
Il y a 2 ans et 352 jours

Carrefour du Bois 2022 : Durieu passion bois !

Toujours en mouvement et avec la volonté constante d’améliorer et de garantir l’efficacité de ses formules, Durieu travaille étroitement avec son équipe R&D et reste en permanence à l’écoute du terrain pour répondre au plus proche des attentes de ses clients finaux.Les essentiels du bois by Durieu En France, la part des constructions en bois continue d’augmenter régulièrement dans le secteur des logements individuels, et le domaine de la rénovation des ouvrages en bois est lui aussi en hausse.Représentant un peu moins de 10 % des logements neufs, les ouvrages en bois ont un bel avenir face à eux surtout dans l’ère actuelle où la recherche de matériaux authentiques et moins impactants est primordiale. De même, terrasse et bardage bois continuent de séduire de plus en plus les français qui portent une attention particulière à la déco de leurs espaces intérieurs et extérieurs depuis les confinements successifs.En outre, le bois est le seul matériau de construction à stocker du CO2 et face à la variable environnement qui n’est plus une option mais une constante bien définie du cahier des charges, les acteurs du bâtiment, architectes et particuliers sont de plus en plus nombreux à plébisciter cette matière pour leurs réalisations.Mais attention ! Matériau noble s’il en est, il nécessite une attention, un soin et un entretien bien orchestrés pour garantir sa pérennité, les utilisateurs semblent en être de plus en plus conscients et commencent à adopter plus facilement l’étape soin des supports bois.Quid des essences de bois ? On peut simplifier le classement des bois en 3 catégories :Les bois tendres : souvent des résineux (mélèze, pin, red cedar…) ce sont des bois poreux qui nécessitent une protection riche et garnissante se combinant aux fibres du bois pour le protéger en profondeur, efficacement et durablement.Les bois durs difficilement imprégnables (type châtaignier, chêne...) : il faut un produit qui pénètre dans le bois et ensuite l’imprègne en profondeur pour assurer sa longévité.Les bois exotiques : ils présentent des pores très fins et serrés et il est très difficile de faire pénétrer une protection dans ces bois. Il est donc impératif d’avoir une solution très ciblée pour s’adapter à cette densité.Quel type de bois pour quel support - des fonctions différentes, des requis spécifiques :Les bois tendres sont plus souvent utilisés pour les supports verticaux extérieurs : bardages, volets, … Ces essences sont plus faciles à travailler pour les bardages que les bois durs moins « souples ». De plus, en façade, n’étant pas en confrontation directe avec les eaux de pluie et les UV, ils vont moins souffrir de leurs agressions et bien que moins durables que d’autres essences, ils vont bien résister en vertical. Ils sont parfois aussi moins onéreux…Les bois durs eux sont plutôt destinés aux parties bois de l’habitat en intérieur : escalier, parquet, porte, lambris… également pour les volets. Leur densité et leur stabilité les fait durer pour des usages intensifs à condition d’y appliquer la bonne finition.Les bois exotiques, à l’origine destinés aux ponts de bateaux de par leur résistance aux conditions climatiques rigoureuses, sont passés sur la terre ferme et généralement attribués aux terrasses et parfois certains parquets ou ouvrages intérieurs de par leur bonne longévité. Leur densité et leur aspect sont idéaux pour ces ouvrages qui subissent un usage extérieur intensif et des agressions climatiques de plein front, tout en offrant une belle esthétique.Pourquoi les bois s’abîment ?Qui dit bois dit matériau vivant comme notre peau et qui donc subit l’attaque quotidienne des UV, variations hygrométriques, pollution, vent, pluie, air marin, gel…Mise au point - Soleil et eau : deux ennemis du boisLes UV et le bois : avec les UV, la lignine, composant du bois avec l’eau et la cellulose, s’altère et engendre son vieillissement. Le support va blanchir, griser et aller jusqu’à se fendiller. Plus le soleil est fort, plus il vieillira prématurément.L’eau et le bois : présente dans le bois, l’eau entraîne naturellement des variations hygrométriques dans le support mais les intempéries intensifient le phénomène : avec l’eau, le bois gonfle puis dégonfle lorsqu’elle s’évapore. Sous les effets des variations hygrométriques, il s’use et se délamine, c’est-à-dire qu’il se désagrège en petites lames : la structure même du bois est abimée irrémédiablement. L’eau est également l’un des éléments moteurs pour nourrir tous les insectes et les champignons qui peuvent attaquer et envahir le bois.Protection et entretien sont donc les deux maximes pour des bois qui durent :Avant de penser à protéger il faut agir pour préparer, c’est-à-dire :Laisser déglacer si le bois est neuf.Nettoyer ou dégriser s’il est sale : il retrouve son éclat.Déshuiler s’il est encrassé : pour dissoudre les graisses qui encrassent le bois.Décaper le cas échéant : pour éliminer les anciennes protections très filmogènes et/ou incrustées dans le support.Les solutions préparation by Owatrol®NET-TROL® 200 pour dégriser.NET-TROL® 400 pour déshuiler puis application du dégriseur NET-TROL® 200.DILUNETT® pour décaper puis NET-TROL® 200.À noter : après avoir déshuilé ou décapé il faut ABSOLUMENT stabiliser le support avec une passe de NET-TROL®* 200 afin d’assurer la tenue de la finition qui viendra ensuite. Cette étape finale permet aussi d’éclaircir encore un peu le bois pour lui redonner tout son éclat.Une fois propre, étape protection : à chaque support son conseil…Quelles actions mener ? Pour éviter de subir les aléas climatiques, plusieurs options : lasurer, huiler ou saturer !Explications :Les lasures protègent contre le vieillissement en laissant un film en surface. Elles conservent l’aspect du bois et sont utilisées pour les bardages, le plus souvent en montagne. Néanmoins, leur film finit par s’écailler et il faut décaper avant d’effectuer la maintenance.Les huiles donnent un aspect chaleureux au bois et sont généralement aussi appliquées sur les bardages mais elles peuvent noircir sous l’effet des UV et de l’eau et encrasser le bois. Il faut décaper au moment de la maintenance.Les saturateurs imprègnent et rentrent dans le bois pour le protéger en profondeur. L’aspect chaleureux et le veinage du bois est préservé, il n’y a pas de film en surface et la maintenance est simplifiée car il n’y a pas besoin de décaper, un simple nettoyage suffit. Les saturateurs sont de plus en plus utilisés pour les bardages et depuis longtemps sur les terrasses.Les conseils de Durieu : Durieu privilégie les saturateurs qui apportent une solution particulièrement adaptée à l’ensemble des bois : tendres et durs, notamment grâce à leurs qualités d’imprégnation. Les premiers, poreux demandent une protection très nourrissante et les deuxièmes très durs ont besoin d’une finition imprégnante qui protège au coeur du bois. Protéger les bois exotiques peut sembler superflu de par leur apparente résistance naturelle néanmoins sans protection ils vont griser, ternir, se tacher, se déformer et parfois même se fendiller. Pour faire perdurer leur aspect unique, il faut donc impérativement les protéger.La gamme OWATROL® de Durieu offre des saturateurs avec des qualités d’imprégnation ultra perfomantes qui en font des références pour faire durer les supports.Zoom PROTEXT® :Saturateur phase aqueuse qui apporte une protection totale et parfaite de tous les bois et en particulier les bois durs. Il combine 3 technologies, réunissant 3 résines qui travaillent ensemble pour apporter au bois une imprégnation exceptionnelle et des qualités de durabilité hors normes. Il permet aussi de magnifier et conserver la belle esthétique des ouvrages en red cedar.Les plus :Protection UV renforcée pour assurer une durabilité des bois vraiment optimale.Régulateur d’hygrométrie : une fois appliqué, le PROTEXT®* empêche l’eau de rentrer dans le bois, tout en laissant s’échapper la vapeur d’eau qui se crée naturellement.
Il y a 2 ans et 353 jours

Matterport propose de nouvelles solutions pour le monde bâti avec Amazon Web Services

Matterport, Inc. (« Matterport ») (Nasdaq : MTTR), l’entreprise de données spatiales à la tête de la transformation digitale du monde bâti, a annoncé la mise en ligne de sa plateforme sur AWS Marketplace, la boutique de logiciels en ligne permettant de trouver, acheter et utiliser les logiciels et services qui fonctionnent sur Amazon Web Services (AWS). La puissance et les capacités des jumeaux digitaux de Matterport seront ainsi à la portée des utilisateurs d’AWS, renforcés par les modules complémentaires d'Amazon Web Services. Matterport et AWS proposeront également des offres conjointes en associant leurs équipes techniques pour réaliser d’importantes intégrations technologiques, mais aussi leurs équipes de vente et de marketing pour accompagner de nouveaux clients.« Parmi les centaines de services AWS, nous sommes ravis que nos clients puissent désormais capturer leurs espaces et utiliser la plateforme de données spatiales Matterport », a déclaré Prabal Acharyya, responsable mondial des partenaires IoT pour l’énergie et les industries de transformation chez AWS. « Unique sur le marché, Matterport accompagne des clients de toute sorte dans la numérisation de leurs espaces et dans l’exploitation des données des jumeaux numériques notamment via le cloud AWS. »Des centaines de milliers d'entreprises dans plus de 170 pays utilisent la plateforme de données spatiales de Matterport pour transformer n'importe quel espace en un jumeau numérique photoréaliste aux dimensions précises. En tant que partenaire officiel de l'AWS Independent Software Vendor (ISV) et membre de l'AWS Partner Network (APN), Matterport pourra s’adresser à touche les entreprises dans le monde à la recherche d'un moyen simple et rentable de numériser leurs bâtiments et leurs espaces. Il est d’ailleurs possible de tester gratuitement la technologie Matterport via l’application disponible sur les appareils iOS ou Android. « Bien que l’objectif premier de nos jumeaux numérique était d’améliorer le quotidien des opérateurs et des mécaniciens, nous avons rapidement élargi leur usage à la formation, l'orientation des employés et l'optimisation des espaces de bureau. À l'avenir, je prévois d'utiliser Matterport pour d’autres opportunités au sein de notre organisation », déclare Dane Laughlin, ingénieur en innovation chez INVISTA, leader mondial dans la fourniture d'intermédiaires chimiques, de polymères et de fibres de nylon 6,6 utilisés dans les industries de l'automobile, de l'électronique, des tapis et des vêtements.Matterport propose une solution IoT innovante pour les entreprisesAvec plus de six millions d'espaces capturés à ce jour, Matterport constitue la plus grande bibliothèque de données spatiales, accessible aux développeurs via des programmes d’innovation. Les interfaces de programmation d'applications (API) et les kits de développement logiciel (SDK) de Matterport permettent à ses partenaires de créer de nouvelles solutions et des modules complémentaires à partir de sa plateforme pour répondre à de multiples besoins dans un large éventail de secteurs.Matterport travaillera avec AWS pour développer et fournir des solutions d'entreprise de premier ordre qui s'appuient sur les jumeaux numériques Matterport. La première offre lancée aujourd'hui par AWS est AWS IoT TwinMaker, un nouveau service qui permet aux développeurs de créer plus facilement des jumeaux numériques pour l'IoT (Internet des objets), les bâtiments intelligents, l'industrie et la fabrication. Avec Matterport comme partenaire de lancement, AWS IoT TwinMaker permet aux clients de contextualiser leurs données de jumeaux numériques, de recueillir des informations et des analyses, ainsi que d'accéder virtuellement à des répliques en temps réel et à l’évolution chronologique de leurs espaces. Les capacités innovantes comprennent :La possibilité de créer des scènes 3D avec des ancrages spatiaux liés à des données du monde réel. Les clients peuvent prendre un jumeau numérique Matterport, y superposer des équipements, puis étiqueter l'espace avec des ancres pour connecter ces modèles avec un graphe de connaissances créé et géré par AWS IoT TwinMaker. Ce graphe de connaissances permet d'intégrer des données, telles que la cartographie thermique ou le contrôle de la température, dans le jumeau numérique Matterport. Une meilleure gestion des installations en établissant une surveillance à distance en temps réel, une optimisation des processus et une analyse historique des causes profondes. Les clients peuvent se connecter à des sources de données disparates pour optimiser les visites sur site et évaluer les problèmes immédiatement. La possibilité de créer des applications web centrées sur l'utilisateur à partir des jumeaux numériques, qu'il s'agisse d'une application pour la formation des employés ou d'une application pour déclencher des notifications en cas de changement anormal dans les données de l'appareil.« AWS IoT TwinMaker est un parfait exemple de la façon dont des entreprises comme AWS peuvent travailler avec Matterport pour créer des expériences uniques pour leurs entreprises clientes communes. Matterport permet de visualiser n'importe quel espace et d’accéder à une vue contextuelle des données et des analyses associées à cet espace, notamment en temps réel et en série temporelle », a déclaré Conway Chen, vice-président du développement commercial et des alliances chez Matterport. « Nous constatons que Matterport est utilisé pour de nombreux usages dans le monde bâti, des smart buildings aux maisons intelligentes, grâce aux capacités inédites des jumeaux numériques fondées sur l’intelligence artificielle et le deep-learning."