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(265 résultats)
Il y a 5 ans et 16 jours

Dossier : 6 films d'architecture à voir d'urgence !

Ouvrages iconiques, égos gonflés à bloc, critiques et émotions, les angles et sujets des films d’architecture ne manquent pas. Et alors que nous sommes tous coincés à la maison, pourquoi ne pas en profiter pour accroître sa culture en la matière ? Un temps propice à la diffusion de grands reportages d’architecture dont la rédaction de Muuuz ne cesse de se délecter. Du touchant Esquisses de Frank Gehry à la très instructive série « Architectures » d’ARTE en passant par l’OVNI The Competition, retrouvez des maintenant notre sélection de six films à voir et revoir. Sydney Pollack, Esquisses de Frank Gehry, 2006 Connu pour avoir réalisé le film Out of Africa en 1985, l’acteur et cinéaste américain Sydney Pollack réalise son premier documentaire et son dernier film en 2006 avec Esquisses de Frank Gehry [Sketches of Frank Gehry]. Alors que Sydney Pollack n’est pas spécialisé en documentaire ni en architecture, le très célèbre architecte Frank Gehry confie à son ami la réalisation d’un documentaire sur son travail. Ce documentaire rend bien compte du processus de création et de l’approche architecturale de Frank Gehry, mais les entretiens entre les deux amis, qui ponctuent le film, témoignent de la partialité du réalisateur. . Kaspar Astrup Schröder, Big Time, dans la tête de Bjarke Ingels, 2017Le documentaire Big Time, dans la tête de Bjarke Ingels réalisé par le Danois Kaspar Astrup Schröder dresse le portrait intime de l’architecte danois Bjarke Ingels, surnommé Big. Résultat de sept années d’enquête, le film retrace les péripéties professionnelles et les états d’âme de ce génie de l’architecture contemporaine. Bien que le documentaire aux allures de biopic ait suscité des réactions controversées à sa sortie, il a au moins le mérite de nous plonger véritablement « dans la tête de Bjarke Ingels ». . Gilles Coudert, L'Esprit Le Corbusier, 2018Réalisé par le cinéaste Gilles Coudert et raconté par l’acteur Charles Berling, L’Esprit Le Corbusier réunit des témoignages de plusieurs acteurs du monde de l’art et le récit de l’adolescence du réalisateur à Firminy. Ce documentaire singulier vaut pour son approche sensible, car il invite à découvrir Le Corbusier à travers des points de vue critiques divers. Il propose ainsi d’appréhender ce qui se joue dans les édifices mêmes de l’architecte suisse. . Angel Borrego Cubero, The Competition, 2008Le documentaire réalisé par l’architecte madrilène Angel Borrego Cubero a tout du drame contemporain. Mettant en scène les plus grandes vedettes de la profession dans un combat acharné, le reportage suit de près le concours de l’élaboration du Musée national d’Andorre. Charrettes, bataille d’égo et projets tous plus fous les uns que les autres, tel est le beau programme proposé par Cubero. Un film introuvable que la rédaction de Muuuz se fait un plaisir de vous résumer. .ARTE, La collection « Architectures »Proposée par le duo Richard Copans et Stan Neumann, la collection « Architectures » retrace l’Histoire de l’Architecture à travers des films de 26 minutes, tous consacrés à un bâtiment iconique allant de l’Antiquité jusqu’aux créations contemporaines. Diffusés sur Arte, ces mini-reportages décortiquent et vulgarisent la conception d’un ouvrage phare architectural, des « fondations jusqu’aux couvertures ». Une série incontournable de la discipline à retrouver en 9 volumes qui promet de nous faire voyager en ces temps de confinement. . Jean-Luc Godard, Opération Béton, 1955Axé sur la phase béton de la construction du Barrage de la Grande-Dixence, le documentaire signé Jean-Luc Godard décline tous les codes qui ont fait la renommé du grand cinéaste : modernité brute, poésie, musicalité et plans inédits. De quoi accroître sa culture architecturale et cinématographique d’une seule traite ! . La Rédaction
Il y a 5 ans et 22 jours

Armor industrialise le photovoltaïque free-form

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Il y a 5 ans et 99 jours

Les Misérables aux Oscars ou la favela made in France

Aux Oscars, Les Misérables sans défense face aux parasites, tout comme J’ai perdu mon corps face à une franchise Pixar vieille de 20 ans. Si la production cinématographique française est repartie bredouille d’Hollywood, la force de ces deux films qui […] L’article Les Misérables aux Oscars ou la favela made in France est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 5 ans et 180 jours

Valoriser les métiers et les formations du patrimoine en Île-de-France avec des concours vidéos

Lancement des concours  « Je filme le métier qui me plaît » et « Je filme ma formation » L’objectif de ces deux concours est d’aider les jeunes à appréhender les métiers et les formations autour de la restauration du patrimoine. Accompagnés par des équipes pédagogiques, les jeunes doivent produire une vidéo de 3 minutes qui montre leur découverte d’un métier ou d’une formation. Plus de 1000 films réalisés par les jeunes 2500 établissements sont attendus cette année. Chaque année, une cérémonie de remise des prix nationale est organisée au Grand Rex Paris afin de récompenser leur implacation. La prochaine aura lieu le 26 mai. La Région Île-de-France s’est associée aux deux concours en créant une catégorie spécifique « restauration du patrimoine ». Cette catégorie a pour objectif de faire connaître les métiers et les formations de la construction et de la restauration du patrimoine. « Je filme le métier qui me plaît »  En Île-de-France, les artistes de nos villes et de nos campagnes sont les tailleurs de pierre, couvreurs, charpentiers, maçons, vitraillistes. Allez à leur rencontre ! Découvrez leur métier ! Donnez nous envie, faites nous rêver, faites nous voyager dans le passé et le futur. Des passionnés sont à votre écoute et sauront vous faire partager leur passion ! Émerveillez nous… Faites-nous, faites-vous plaisir. « Je filme ma formation » De nombreuses formations en Île-de-France préparent à ces métiers – des Compagnons du Devoir et du Tour de France aux lycées professionnels des métiers du bâtiment, de l’artisanat et du patrimoine ou encore des centres d’apprentissage spécialisés en ferronnerie, menuiserie … Allez à leur rencontre ! Découvrez leur formation ! ou encore mieux faites nous découvrir votre formation dans ce secteur !  Plus d’information sur le site internet
Il y a 5 ans et 211 jours

Studio KO : Beau regard à Saint-Germain-des-Prés

Fusion de l'iconique cinéma Art et Essai Etoile Saint-Germain et du bistrot parisien historique mitoyen le Petit Zinc, Beau Regard est le nouveau lieu culturel et gastronomique du 6ème arrondissement. Installé rue Guillaume-Apollinaire, ce complexe chic et atypique réalisé par le Studio KO réunit bar à cocktails, cinéma et restaurant. De quoi ravir les bons vivants amoureux du septième art. Formé par le binôme français Olivier Marty et Karl Fournier, le Studio KO – à qui l'on doit notamment le musée Yves Saint Laurent de Marrakech (Maroc) – diffuse un style spectaculaire sur tous les continents. Implanté à Paris et à Marrakech, ce binôme discret multiplie les projets prestigieux comme l'hôtel Chiltern Firehouse de Londres, la boutique Balmain de New York ou encore le concept Beau Regard à Paris. Mêlant inspiration Art déco et inspiration seventies, le restaurant dégage une atmosphère aussi festive que feutrée. Digne d'un décor de film, l'intérieur invite à la confidence et au divertissement. Les murs et le bar se parent de nattes de bois enveloppantes, tandis que la moquette signée Pierre Frey déploie des motifs végétaux colorés. Le mobilier Thonet allié à des assises en cuir brillant confère à la brasserie son identité purement parisienne. Le chef étoilé Mathieu Pacaud – pour qui « la cuisine est un art total » – signe une carte aussi alléchante qu'audacieuse. A l'image du lieu, le menu revisite subtilement les classiques de la cuisine française, des asperges blanches accompagnées de mousseline maltaise et orange au bar en croûte de sel à l'huile d'agrumes. Au bar, les cocktails continue d'enivrer nos papilles. Cet hiver, le lieu se dotera aussi d'un club très Rive Gauche. Côté cinéma, la programmation pointilleuse séduit les germanopratins les plus cinéphiles. Films d'auteurs et films indépendants sont projetés tous les jours. Quand la gastronomie rencontre le septième art ! Pour en savoir plus, visitez le site de Studio KO Photographies : Yann Deret
Il y a 5 ans et 225 jours

batireprise : un service de reprise des déchets par POINT.P et SUEZ

POINT.P et SUEZ, acteurs engagés dans l’économie circulaire, lancent le service de reprise des déchets de chantier batireprise avec l’ouverture de 11 déchèteries multiflux pilotes dans les agences POINT.P. Il donne la possibilité de déposer jusqu’à 11 flux de déchets et couvre ainsi la quasi-totalité des typologies de déchets de chantier : – Déchets non dangereux non triés : mélange non-valorisable – Déchets inertes propres : briques, tuiles, carrelages… – Bois A : bois d’emballage, palettes, cagettes… – Bois B : bois de charpente, balcons, volets… – Cartons d’emballage – Films plastiques – Métaux ferreux et non ferreux : ferraille, cuivre, zinc… – Plâtre : plaques et carreaux de plâtre sans isolant… – Fenêtres intègres – Emballages souillés : bombes aérosols, emballages métalliques vides… – Autres matériaux souillés : chiffons, pinceaux, rouleaux souillés… Très simple d’utilisation, les clients se présentent au comptoir du point de vente et déclarent la nature de leurs déchets. Le magasinier, formé par SUEZ et POINT.P, évalue ensuite la quantité et la qualité de ces déchets et indique à quel endroit les déposer. Un bon de réception, signé par le magasinier et le client, est remis ainsi qu’une facture indiquant les informations de traçabilité des déchets. Les déchets ainsi collectés sont pris en charge par SUEZ et acheminés vers la filière la plus adaptée afin d’optimiser le taux de recyclage ou de valorisation. Agences concernées : Brignoles (83), Chartres (28), Cuers (83), Gignac (13), Lorient (56), Mérignac (33), Reims (51), Salon-de-Provence (13), Sens (89), Vannes (56), Villeurbanne (69).
Il y a 5 ans et 226 jours

SEINE DESIGN : Fluctuart

Premier lieu d'exposition flottant, le Fluctuart est conçu par SEINE DESIGN, agence d'architecture fluviale notamment à l'origine du Rosa Bonheur sur Seine ou du bateau-restaurant d'Alain Ducasse. Inscrit dans le programme « Réinventer la Seine » lancé par la Mairie de Paris, le projet propose une programmation d'expositions de street-artistes internationaux dans un cadre inédit. Du street-art sur près de 1000 mètres carrés... flottant sur la Seine ! C'est en effet ce que propose l'agence d'architecture fluviale SEINE DESIGN chargé de la conception du nouveau lieu culturel parisien Fluctuart. Un clin d'œil à la devise de Paris accentué par le positionnement atypique de l'espace d'exposition. « Riche de son patrimoine architectural, artistique et culturel, la capitale se transforme et évolue avec son temps à travers des projets innovants. » Jean Louis Missika, adjoint au maire de Paris chargé de l'urbanisme, de l'architecture et des projets du Grand Paris Face au Grand Palais et au pied du Pont des Invalides, cette galerie d'un nouveau genre se déploie sur trois niveaux, les deux premiers accueillant une collection permanente, des expositions temporaires et une galerie tremplin ouverte aux jeunes créateurs. Sur le pont supérieur, un espace de restauration avec terrasse est mis à la disposition des passionnés d'art urbain. Pour cette réalisation, les architectes ont joué la carte de l'univers portuaire, recréant ainsi un dock en acier brut portant des boîtes vitrées sur un rythme régulier. Cette trame est à l'origine de la totalité de l'agencement intérieur, allant de la valorisation des matériaux industriels et de l'éclairage aux cadres des œuvres. Grâce à l'omniprésence des ouvertures, les visiteurs peuvent profiter de vues d'exception sur les quais d'une part et sur le fleuve de l'autre. Côté programmation, place à l'Urban Films Festival jusqu'au 27 octobre, le temps que la nouvelle exposition du lieu, « Veni, Vidi, Vinci, L'art urbain face au génie » ne vienne enchanter les parois de Fluctuart. L'ensemble s'accompagne d'événements ponctuels, comme l'intervention mensuelle d'un artiste sur le container situé face à la péniche, investit par l'artiste française Madame jusqu'à la fin du mois. Larguez les amarres, direction le Fluctuart ! Pour en savoir plus, visite le site de SEINE DESIGN Photographies : Sergio Grazia
Il y a 5 ans et 317 jours

Swiss Krono France investit dans son outil de production pour renforcer sa présence sur le marché des panneaux décoratifs

Acteur majeur sur le marché des matériaux à base de bois, Swiss Krono France poursuit depuis 30 ans une politique d’investissements ambitieuse tournée vers l’innovation, que ce soit dans la production de panneaux décoratifs ou OSB. Fin 2018, pour renforcer sa présence sur le marché des panneaux décoratifs, l’entreprise a investi 11,5 millions d’euros dans l’achat d’une nouvelle presse à mélaminer dernière génération sur son site de production de Sully-sur-Loire (45). Nouvelle presse à mélaminer : une capacité de production plus élevée Représentant un investissement de 11,5 millions d’euros, la nouvelle presse à cycle court pour le surfaçage mélaminé a été mise en service au premier semestre 2019. Outil de production performant de dernière génération, il va permettre à Swiss Krono France : • de gagner en productivité et en flexibilité grâce à ses nombreux atouts : – capacité de production de 200 panneaux par heure, – changement rapide de séries, – différents formats de panneaux possibles : de 400 cm à 560 cm de long, de 185 cm à 210 cm de large et de 8 mm à 38 mm d’épaisseur, – possibilité de surfacer plusieurs épaisseurs de films mélamine pour la production de produits plus techniques tels que SWISSCDF. • d’accroître la production de 50 à 80 % des panneaux décoratifs. Nouvelle presse à mélaminer : de nouveaux panneaux décoratifs à haute valeur ajoutée Avec cette nouvelle presse qui permet de fabriquer des panneaux mélaminés en pore synchrone (état de surface synchronisé avec les décors One World), Swiss Krono France entend étoffer son offre avec des panneaux décoratifs à haute valeur ajoutée. En effet, cette presse autorise : • le pressage de support tel que le CDF, • le pressage de placage d’essences de bois fines sur des supports particules, MDF ou CDF, • le pressage des feuilles de stratifié (HPL) sur supports particules, MDF ou CDF. Structure One Vision, dernière nouveauté de la Collection One World Pour répondre à toutes les envies de décoration, Swiss Krono a créé One World, une collection de 152 décors déclinée sur toutes ses gammes de panneaux décoratifs mélaminés, stratifiés et bandes de chants. Dernière nouveauté réalisée grâce à la nouvelle presse à mélaminer : One Vision. Aujourd’hui, une des tendances décoratives est de pouvoir ressentir ce que l’on voit. La nouvelle finition de surface One Vision, à l’aspect bois naturel veiné au touché, est née de la volonté de Swiss Krono de créer une structure bois qui pourrait servir partout, en répondant au besoin de naturel et de sensation tactile. Cette nouvelle structure se marie parfaitement à de nombreuses finitions et essences de bois. www.swisskrono.fr
Il y a 6 ans et 68 jours

La forêt s’installe au cœur de Paris

À l’occasion de la journée internationale des forêts*, l’ONF organise un événement exceptionnel du 21 au 23 mars 2019, à Paris, place de l’Hotel de Ville, et près d’une centaine d’animations en région sur le thème « La forêt, une expérience à vivre ». Sur près de 3000 m2 dans un espace central arboré, six dômes proposeront une immersion au cœur des forêts et du bois. Les forestiers de l’ONF seront présents pour encadrer animations et ateliers pour tous les publics : sur les traces des mammifères, de l’arbre au bois, l’arbre dans la peau, conférences et projections des films, démonstration de tonnellerie… Découvrir les animations organisées par l’ONF * La Journée internationale des forêts est une fête célébrée le 21 mars, créée sous l’égide de l’ONU en 2011. En France, elle est coordonnée par l’association Teragir. Entièrement gratuite, elle s’adresse à tous les publics et est destinée à mettre en valeur l’arbre, le bois, le forêt et sensibiliser le public à la gestion durable des forêts et à leur rôle dans le cadre de la transition écologique et énergétique. © ONF
Il y a 6 ans et 113 jours

Breathe Architecture : Paramount House Hotel

Situé dans l'ancien siège des studios Paramout Pictures de Sidney (Australie), le Paramount House Hôtel s'est vu offrir un traitement d'exception par les architectes de Breathe Design qui équipent le bâtiment des années 1930 d'un écran fait de chevrons en cuivre se dressant au milieu des ouvrages Art Déco, en honneur à l'âge d'or du cinéma. L'ensemble prend place dans le quartier branché de Surry Hills, dans deux bâtiments " les anciens studios ainsi qu'un entrepôt vieux de 80 ans ", qui, sous la houlette du studio basé à Melbourne ne font désormais plus qu'un grâce à une extension de 2 étages reliant les deux entités. S'inspirant du caractère manufacturier de son site d'origine, les maîtres d'"uvre conçoivent les 29 suites en priorisant une méthode de conception qui tend à réutiliser les matériaux usés. De l'existant, ils conservent ainsi les textures brutes des briques et du bois nervuré, qu'ils soulignent d'éléments métalliques, de bois recyclé et de textiles colorés. L'ouvrage est surplombé d'une structure en cuivre, posée telle une couronne et finalisant ainsi la notion d'unité entre les deux édifices. Le rez-de-chaussée accueille le cinéma et le bar Golden Age ainsi que le café Paramount Coffee Project, un restaurant et la boutique de l'hôtel. Le visiteur pénètre dans l'hôtel par l'ancien coffre-fort à films qui fait aujourd'hui office d'espace de réception. L'accès aux espaces de nuit se fait ensuite via un atrium lumineux. Chaque chambre révèle différents aspects de l'architecture d'origine, des anciens escaliers aux solives en passant par les parapets. En mettant en valeur sa matière existante, la construction conserve ainsi son identité que les architectes inscrivent dans une démarche contemporaine grâce à un mobilier élégant, en laiton ou en terrazzo. De nombreux pénates disposent également de terrasses orientées au nord, accessible via des panneaux de vitrage à cadre en aluminium noir. Largement arborées, celles-ci procurent aux résidents ombre et ventilation ainsi qu'une interaction avec le paysage urbaine. Capturant l'engouement et l'esprit de l'âge d'or du film, le Paramount House Hôtel combine esthétique brute et contemporanéité, dans l'esprit de la vie locale. Pour en savoir plus, visitez le site de Breathe Architecture Photographies : Tom Ross, Katherine Lu  
Il y a 6 ans et 193 jours

Un broyeur Lindner pour Veolia en Allemagne

Un broyeur Lindner Micromat a été mis au service de Veolia Umweltservice, sur le site allemand de Morschheim, qui exploite un centre de tri pour les films plastiques.
Il y a 6 ans et 215 jours

Événement : Journées nationales de l'Architecture

Demain débute la troisième édition des Journées nationales de l'Architecture organisée par le Ministère de la Culture. Au programme : trois jours d'événements, de rencontres et autres portes ouvertes, qui sauront ravir les amateurs comme les professionnels... " L'architecture aide notre société à construire son avenir. Elle est un puissant levier de développement culturel, économique, social et environnemental ", rappelle le Ministère de la Culture dans son communiqué publié à l'occasion de cette nouvelle édition des Journées nationales de l'Architecture. Mais comme des actes valent mieux que des mots, ce sont plus de 1 700 activités qui sont prévues du 19 au 21 octobre dans tout l'Hexagone pour souligner l'importance de la discipline. (Re)découverte de réalisations iconiques, conférences, débats, parcours urbains, films et expositions : avec un programme aussi riche, pas le temps de s'ennuyer ! Parmi les temps forts de la manifestation, la journée nationale de l'architecture pour les classes, organisée ce vendredi pour sensibiliser le public scolaire ; les Architectes Ouvrent leurs Portes, qui offriront à tout un chacun de découvrir les coulisses des agences ; enfin, l'annonce du lauréat du Grand Prix national d'Architecture 2018. Parmi les nominés : Pierre-Louis Faloci, Dominique Lyon, Philippe Madec, Philippe Prost, Bernard Quirot et Corinne Vezzoni. Rendez-vous demain pour découvrir le grand gagnant et débuter, sous les meilleurs auspices, un long weekend de réjouissances architecturales... Pour en savoir plus, visitez le site des Journées nationales de l'Architecture Illustrations : Ministère de la Culture
Il y a 6 ans et 216 jours

L'architecture mise à l'honneur les 19, 20 et 21 octobre prochains

Du 19 au 21 octobre 2018 se déroule la 3ème édition des Journées nationales de l'architecture. Mis en place en 2016, l'événement a pour objectif de développer la connaissance architecturale du grand public. Au programme : rencontres et débats avec les acteurs du secteur, visites d'agences d'architecture et de chantiers, balades urbaines, expositions, films ou encore ateliers pédagogiques.
Il y a 6 ans et 216 jours

CINÉ ARCHI, festival du film d'architecture

La Maison de l'architecture de Haute-Savoie présente " CINÉ ARCHI Rencontres Internationales du film d'architecture d'Annecy ". C'est la 19ème édition de ce festival de cinéma d'architectures ouvert à tous. Avec comme thématique " horizons ", 27 films, fictions, documentaires et courts métrages seront projetés à cette occasion. " CINÉ ARCHI 19ème Rencontres Internationales du film d'architecture d'Annecy " est organisé par la maison de l'architecture de...
Il y a 6 ans et 243 jours

GSDI fête ses 25 ans et lance une Web-série anniversaire

25 ans d'expertise en pose et dépose de films adhésifs auprès des transports publics, du bâtiment ou de l'hôtellerie en passant aussi par l'agro-alimentaire, les commerces et la distribution.
Il y a 6 ans et 252 jours

Cinearchi : le premier site internet dédié au film d'architecture voit le jour

Initié par le Réseau des maisons de l'architecture, le premier site de documentation audiovisuelle, cinématographique et numérique sur l'architecture cinearchi.org vient tout juste d'ouvrir. La maison de l'architecture de Haute-Savoie, inaugure le premier site web dédié au film d'architecture. Cette nouvelle bibliothèque ouverte à tous enrichit la discipline avec une vaste proposition de films et courts-métrages. Un bref résumé ainsi que quelques données complémentaires et...
Il y a 6 ans et 273 jours

Pont effondré à Gênes : deux caméras de vidéosurveillance ont filmé la scène

VIDÉO. Deux films issus de caméras de vidéosurveillance proches du pont Morandi, qui s'est écroulé le 14 août à Gênes (Italie), ont été diffusés par les autorités italiennes. Mais les images ne permettent pas de trancher clairement sur l'enchaînement des causes.
Il y a 6 ans et 306 jours

La commande vocale, une nouvelle révolution pour le secteur de la menuiserie

La fenêtre connectée, déjà has been ? Au vu de la vitesse à laquelle SageGlass fait évoluer le marché, tout porte à le croire ! La société vient en effet de présenter une nouvelle fonctionnalité qui a de quoi rappeler certains films de science-fiction : une commande vocale intégrée à son verre dynamique et permettant de contrôler très simplement la teinte du vitrage. Présentation de cette innovation.
Il y a 6 ans et 314 jours

Mass Operations : Antilope Café

Situé dans la ville de Montmerrey au Mexique, le café Antilope, réalisé par l'agence d'architecture Mass Operations, s'inspire de l'univers de Wes Anderson pour offrir le premier espace physique de la chaîne éponyme. Un design façon Grand Budapest Hotel ! Le temple du café ! L'Antilope est un volume longitudinal de plain-pied de 80 mètres carrés, où salle de restauration, comptoir et cuisine s'enchaînent. Influencée par la géométrie des films de Wes Anderson, l'équipe de Mass Operations divise un unique espace d'accueil en deux atmosphères qui se font face, à la fois distinctes et complémentaires. D'un côté se trouve donc la partie bar installée dans un décor rose pastel, ponctué de panneaux de marbre blanc, de sculptures animalières en fil de fer et de plantes, muni par ailleurs de tables en marbre et chaises hautes ; et de l'autre, une aire plus "froide" avec un mur blanc hachuré de lignes métalliques dorées, et tables rondes blanches, sièges et banquettes vert pin, où se trouve la zone de restauration. Les lattes de plancher et le faux-plafond disposés en biais complètent ce tableau géométrique. Au fond de la salle, un grand cadre de marbre flottant entre des caissons translucides rétro-éclairés sépare les clients du barista. Cette chapelle du torréfié risque d'attirer des fidèles ! Pour en savoir plus, visitez le site de l'agence Mass Operation Photographies : Lorena Darquea
Il y a 6 ans et 314 jours

Mass Operations : Antilope Café

Situé dans la ville de Montmerrey au Mexique, le café Antilope, réalisé par l'agence d'architecture Mass Operations, s'inspire de l'univers de Wes Anderson pour offrir le premier espace physique de la chaîne éponyme. Un design façon Grand Budapest Hotel ! Le temple du café ! L'Antilope est un volume longitudinal de plain-pied de 80 mètres carrés, où salle de restauration, comptoir et cuisine s'enchaînent. Influencée par la géométrie des films de Wes Anderson, l'équipe de Mass Operations divise un unique espace d'accueil en deux atmosphères qui se font face, à la fois distinctes et complémentaires. D'un côté se trouve donc la partie bar installée dans un décor rose pastel, ponctué de panneaux de marbre blanc, de sculptures animalières en fil de fer et de plantes, muni par ailleurs de tables en marbre et chaises hautes ; et de l'autre, une aire plus "froide" avec un mur blanc hachuré de lignes métalliques dorées, et tables rondes blanches, sièges et banquettes vert pin, où se trouve la zone de restauration. Les lattes de plancher et le faux-plafond disposés en biais complètent ce tableau géométrique. Au fond de la salle, un grand cadre de marbre flottant entre des caissons translucides rétro-éclairés sépare les clients du barista. Cette chapelle du torréfié risque d'attirer des fidèles ! Pour en savoir plus, visitez le site de l'agence Mass Operation Photographies : Lorena Darquea
Il y a 6 ans et 315 jours

Carsten Höller : Florence Experiment

Le palais Strozzi de Florence (Italie) se transforme en laboratoire artistique géant le temps d'un été avec Florence Experiment, une installation monumentale réalisée par Carsten Höller, à découvrir jusqu'au 26 août 2018. Dans la cour du palais Strozzi à Florence (Italie), chef-d'"uvre de la Renaissance devenu centre culturel, deux toboggans en acier et polycarbonate de 80 centimètres de diamètre et 25 mètres de longueur s'entrelacent. Nommée Florence Experiment, l'installation a été commandée par le musée à l'artiste allemand Carten Höller, en collaboration avec le neurobiologiste italien Stefano Mancuso. Elle part d'une loggia au deuxième étage " à 20 mètres de hauteur " depuis laquelle est fournie une plante au visiteur avec laquelle il devra descendre jusqu'au rez-de-chaussée. Celui-ci est ensuite invité à rejoindre le laboratoire pop-up situé au sous-sol où des scientifiques analysent les paramètres photosynthétiques et les molécules volatiles de la plante, et les comparent à un deuxième groupe de plantes envoyées seules dans le toboggan et un troisième n'ayant pas du tout réalisé l'expérience.Toujours au sous-sol, deux cinémas projettent des extraits de films ' l'un de comédie et l'autre d'horreur ", et des tuyaux y captent de l'air avant de le transporter jusqu'à la façade sur laquelle se trouvent huit treillis où poussent des glycines. Chacun d'eux est composé de deux ramifications provenant des deux cinémas : Carsten Höller souhaite ainsi savoir si la progression des végétaux est impactée par l'odeur diffusée par les salles de cinéma et les spectateurs. Une réflexion artistique axée sur la relation entre l'humaine et la nature. Florence Experiment, Palais Strozzi, Florence (Italie) jusqu'au 26 août 2018 Pour en savoir plus, visitez le site du Palais Strozzi Photographies : Michele Giuseppe Onali, Martino Margheri
Il y a 6 ans et 315 jours

Carsten Höller : Florence Experiment

Le palais Strozzi de Florence (Italie) se transforme en laboratoire artistique géant avec Florence Experiment, une installation monumentale réalisée par Carsten Höller, à découvrir jusqu'au 26 août 2018. Dans la cour du palais Strozzi à Florence (Italie), chef-d'"uvre de la Renaissance devenu centre culturel, deux toboggans en acier et polycarbonate de 80 centimètres de diamètre et 25 mètres de longueur s'entrelacent ! Nommée Florence Experiment, l'installation a été commandée par le musée à l'artiste allemand Carten Höller, en collaboration avec le neurobiologiste italien Stefano Mancuso. Elle part d'une loggia au deuxième étage " à 20 mètres de hauteur " depuis laquelle est fournie une plante au visiteur avec laquelle il devra descendre jusqu'au rez-de-chaussée. Celui-ci est ensuite invité à rejoindre le laboratoire pop-up situé au sous-sol où des scientifiques analysent les paramètres photosynthétiques et les molécules volatiles de la plante, et les comparent à un deuxième groupe de plantes envoyées seules dans le toboggan et un troisième n'ayant pas du tout réalisé l'expérience.Toujours au sous-sol, deux cinémas projettent des extraits de films ' l'un de comédie et l'autre d'horreur ", et des tuyaux y captent de l'air avant de le transporter jusqu'à la façade sur laquelle se trouvent huit treillis où poussent des glycines. Chacun d'eux est composé de deux ramifications provenant des deux cinémas : Carsten Höller souhaite ainsi savoir si la progression des végétaux est impactée par l'odeur diffusée par les salles de cinéma et les spectateurs. Une réflexion artistique axée sur la relation entre l'humaine et la nature. Florence Experiment, Palais Strozzi, Florence (Italie) jusqu'au 26 août 2018 Pour en savoir plus, visitez le site du Palais Strozzi Photographies : Michele Giuseppe Onali, Martino Margheri
Il y a 6 ans et 316 jours

Skyscraper, une tour infernale mais XXL

CINEMA. Dwayne 'The Rock' Johnson est de tous les films d'action américains. A partir de ce mercredi 11 juillet il incarne le responsable de la sécurité de la tour Pearl à Hong Kong, un gratte-ciel fictif de plus d'un kilomètre de haut. Et les choses ne vont pas se passer comme prévu...
Il y a 6 ans et 341 jours

Bois-Français : Un nouveau site pour promouvoir la marque auprès des professionnels

Créée à l'initiative de la Fédération Nationale du Bois, la marque Bois-Français dévoile un nouveau site dédié à la promotion de la filière bois française. Nommé " Préférez-le-bois-francais ", le site se présente comme un guide à la disposition des professionnels pour trouver les produits et services correspondant à leurs besoins, notamment en matière de construction, aménagement et décoration. Un annuaire amélioré En arrivant sur le site " Préférez le bois français ", le professionnel n'a qu'à cibler son besoin (gérer sa forêt et vendre son bois, construire/rénover/aménager, se fournir en énergie, etc.) et affiner sa recherche avec différents critères (type d'offre, essence de bois, type de clientèle, zone géographique) pour se voir proposer une liste de professionnels labelisés " Bois-Français " susceptibles de répondre à ses besoins.   Valoriser la filière bois française Le Bois-Français promeut les produits issus de forêts françaises, transformés et assemblés en France et valorise les productions, réalisations et achats des entreprises qui privilégient le bois français. Le site s'adresse donc à tous les acteurs de la chaine du bois, dont ceux des domaines de la construction, de l'aménagement et de la décoration : de l'exploitant forestier aux bureaux d'étude bois en passant par les charpentiers et menuisiers. Réalité virtuelle et Films 360° La promotion du Bois-Français passe également par une application iOS (uniquement) et un film 360° permettant d'en savoir plus sur les différentes essences ou le cycle de vie d'un produit bois français. Pour la télécharger, c'est par ici.
Il y a 6 ans et 341 jours

Exposition : François Prost

La société de production de films commerciaux Superette, basée à Paris (10e), accueille jusqu'au 16 novembre 2018 l'exposition " Photo Stories " de François Prost, un photographe lyonnais indépendant de 38 ans attaché à la production sérielle, souvent axée sur la culture populaire, l'architecture et les apparences sociales. Graphiste basé à Paris, François Prost a déjà un CV bien rempli : Galeries Lafayette, Crédit agricole, Aides, Lacoste ou encore Sephora, ont en effet fait appel à ses qualités créatives, notamment typographiques. Il y a cinq ans il décide de se tourner vers la photographie. Dans son objectif : une envie de liberté. Pour sa toute première exposition monographique, François Prost a choisi de montrer quatre séries réalisées entre 2013 et 2017, méthodiques et analytiques ; une approche qu'il qualifie de rassurante puisque semblable à celle qu'il applique dans sa pratique de graphiste. Ainsi After Party (2014), la première des quatre collections présentées, recense une centaine de boîtes de nuit belges et françaises immortalisées de jour. Ancienne ferme, entrepôt, préfabriqué, parfois surchargés de décors aux références fantasmagoriques, s'animent en effet le soir et perdent de leur superbe une fois le soleil levé. Un inventaire conséquent de façades en environnement périurbain ou rural, récompensé par le Fidal Youth Photography Award en 2015. Dans la même optique, Paris Syndrome, réalisée en 2017, questionne la banlieue de la ville de Hangzhou (Chine), où une réplique de Paris appelée Tiandu Cheng prend place depuis 10 ans sur un territoire de 1 900 hectares. Tour Eiffel, immeubles haussmannien, jardin de Versailles, tous les archétypes de la Ville lumière y sont mêlés tous azimuts. À travers un jeu des sept différences " entre le sujet original et la copie photographiée sous le même angle ", le visiteur pointe du doigt les similitudes entre réalité urbaine et décor en carton. " Heureusement ce sont les gens qui font les lieux et non l'architecture ", tempère François Prost, dont la visite a permis de constater qu'au-delà de l'apparence architecturale vivent des citadins qui se sont appropriés les lieux. Moins parlante mais plus esthétique, la compilation d'une trentaine de tours conçue en 2014, intitulée Faubourg, capture les grands ensembles d'Île-de-France des années 1960. Parmi eux, les Tours Nuage de la cité Pablo Picasso à Nanterre (92), à deux pas de la Défense, aujourd'hui menacées de destruction au profit d'hôtels et sièges d'entreprises ; ou encore la cité Curial-Cambrai (19e) souffrant de la paupérisation qui engendre insécurité et violence. Avec un cadrage aérien, François Prost détache les structures de leur contexte géographique et leur redonne toute leur force. Dans un registre plus comique cette fois-ci la série Aux Champs-Elysées II (2017), que plus de 300 000 personnes arpentent chaque jour, prend des touristes du monde entier en flagrant délit de descente de bus. Deuxième volet d'une trilogie picturale, Aux Champs-Elysées II se concentre sur des vacanciers descendant de leur car, prêts à immortaliser l'Arc de Triomphe en dix minutes chrono. Une composition qui mêle individus et graphisme colorés de leur véhicule. À la manière des pièces d'un puzzle, chaque série révèle une ambiance singulière tragi-comique. Exposition " Photo Stories " de François Prost, à la Superette (10e) jusqu'au 16 novembre 2018 Pour en savoir plus, visitez le site de François Prost Photographies : François Prost
Il y a 7 ans et 10 jours

SUP Atelier : Village Lounge

Redonner vie à une cour en ruine ? Un défi relevé par l'atelier SUP dans le village de Shangcun (Chine), où un préau composé d'une série de trois arches délimite un espace public aux multiples usages. Une intervention minimale et délicate visant à dynamiser cette petite commune de l'Empire du Milieu. Situé dans l'ancienne cour de la famille Gao, à la jonction de plusieurs routes majeures, ce préau majestueux est une ode à l'architecture vernaculaire chinoise. Conçu en bambou " matériau local ", l'ensemble de 150 mètres carrés se compose de trois voûtes parallèles culminant à 6 mètres de hauteur, reposant chacune sur deux colonnes centrales en parapluie, et abrite en effet des ruines de bâtiments du village, tout en faisant écho aux toitures traditionnelles, également sombres et courbées. Une édification simple et raffinée se fondant parfaitement dans le paysage, tout en lui offrant une toute nouvelle impulsion. Cette parcelle abritée est ainsi utilisée comme lieu d'ombre et de repos, et accueille de manière ponctuelle divers événements qui lui donne vie : banquets, projections de films ou encore performances artistiques. De quoi égailler les soirées de Shangcun ! Pour en savoir plus, visitez le site de SUP Atelier Photographies : Zhi Xia
Il y a 7 ans et 10 jours

SUP Atelier : Village Lounge

Redonner vie à une cour en ruine ? Un défi relevé par l'atelier SUP dans le village de Shangcun (Chine), où un préau composé d'une série de trois arches délimite un espace public aux multiples usages. Une intervention minimale et délicate visant à dynamiser cette petite commune de l'Empire du Milieu. Situé dans l'ancienne cour de la famille Gao, à la jonction de plusieurs routes majeures, ce préau majestueux est une ode à l'architecture vernaculaire chinoise. Conçu en bambou " matériau local ", l'ensemble de 150 mètres carrés se compose de trois voûtes parallèles culminant à 6 mètres de hauteur, reposant chacune sur deux colonnes centrales en parapluie, et abrite en effet des ruines de bâtiments du village, tout en faisant écho aux toitures traditionnelles, également sombres et courbées. Une édification simple et raffinée se fondant parfaitement dans le paysage, tout en lui offrant une toute nouvelle impulsion. Cette parcelle abritée est ainsi utilisée comme lieu d'ombre et de repos, et accueille de manière ponctuelle divers événements qui lui donne vie : banquets, projections de films ou encore performances artistiques. De quoi égailler les soirées de Shangcun ! Pour en savoir plus, visitez le site de SUP Atelier Photographies : Zhi Xia
Il y a 7 ans et 10 jours

SUP Atelier : Village Lounge

Redonner vie à une cour en ruine ? Un défi relevé par l'atelier SUP dans le village de Shangcun (Chine), où un préau composé d'une série de trois arches délimite un espace public aux multiples usages. Une intervention minimale et délicate visant à dynamiser cette petite commune de l'Empire du Milieu. Situé dans l'ancienne cour de la famille Gao, à la jonction de plusieurs routes majeures, ce préau majestueux est une ode à l'architecture vernaculaire chinoise. Conçu en bambou " matériau local ", l'ensemble de 150 mètres carrés se compose de trois voûtes parallèles culminant à 6 mètres de hauteur, reposant chacune sur deux colonnes centrales en parapluie, et abrite en effet des ruines de bâtiments du village, tout en faisant écho aux toitures traditionnelles, également sombres et courbées. Une édification simple et raffinée se fondant parfaitement dans le paysage, tout en lui offrant une toute nouvelle impulsion. Cette parcelle abritée est ainsi utilisée comme lieu d'ombre et de repos, et accueille de manière ponctuelle divers événements qui lui donne vie : banquets, projections de films ou encore performances artistiques. De quoi égailler les soirées de Shangcun ! Pour en savoir plus, visitez le site de SUP Atelier Photographies : Zhi Xia
Il y a 7 ans et 17 jours

Événement : Habitarium

S'il fallait observer l'habitat contemporain au microscope " Habitarium " en serait certainement le résultat. Dans le laboratoire créatif de la Condition Publique à Roubaix (59), une centaine d'"uvres allant de la grotte préhistorique au hacktivisme citoyen se croisent jusqu'au 8 juillet 2018. Dans sa Halle B, un immense espace de 1 500 mètres carrés et de 7 mètres de hauteur, La Condition Publique offre l'hospitalité à ceux qui questionnent le fait d'avoir un toit au-dessus de la tête. Composée en trois axes " partir de l'existant, réinventer les modèles et changer les modes de vie, les modes de faire ", " Habitarium " interpelle sur la dimension sociale, écologique mais aussi politique de ce sujet central, nous rappelant ainsi que se loger est un besoin. Dans cet ancien établissement de contrôle et de certification du textile datant de 1902, des spécialistes interrogent ainsi ces thèmes au travers des photographies, maquettes, films ou encore logiciels, le tout agrémenté de cloisons en bois munies de textes explicatifs. De cette manière, le photographe Sébastien Godefroy met en place une installation vidéo intitulée L'image n'est rien condensant trois mois durant lesquels il a suivi le quotidien d'un couple roubaisien vivant dans la précarité. Des images significatives quand on sait que le mal-logement et la privation de domicile touchent 4 millions de Français cette année. Car, au-delà du simple abri, le foyer est aussi un maillon essentiel à une vie en société. Dans la même veine, les lauréats de la 6e session du concours Mini Maousse 2015-2016, Fabien Le Goffe et Cédric Jenin, sur le thème de " La nouvelle maison des jours meilleurs " " en référence à Jean Prouvé et sa maison pour l'Abbé Pierre " voient leur maquette Wood Stock exposée parmi les maisons de transition, objectif social alors que le marché de l'immobilier est de plus en plus spéculatif. L'artiste Clément Richem aborde quant à lui le volet climatique et environnemental, par le biais d'une maquette nommée Poussière. Sur le sol, du sable est saupoudré de façon circulaire, sur lequel sont posés des immeubles qui s'amoncellent parmi les dunes tandis que des ruines d'édifices disparaissent.   Dans une toute autre thématique, celle de la rénovation du bâti comme alternative à la destruction, les architectes Anne Lacaton, Jean-Philippe Vassal et Frédéric Druot présentent Imaginaires de Transformation, une vidéo réalisée par la journaliste Karine Dana. Conversation libre sur la transformation du patrimoine existant, illustrée par la Cité du Grand Parc à Bordeaux que les maître d'oeuvre ont réhabilitée, le film aborde la métamorphose architecturale comme nouvelle façon d'habiter et de vivre en espace urbain en place et lieu de la démolition, une habitude qu'ils dénoncent. Le réaménagement de ces 530 appartements sociaux a permis une augmentation des surfaces de plancher et une réduction de la consommation d'énergie de 60 % grâce à la création de balcons et jardins d'hiver de 4 mètres de profondeur faisant office de tampons thermiques. Un dispositif écologique et économique " puisqu'il coûte quatre fois moins cher qu'une opération destruction/reconstruction ", applicable à un grand nombre d'immeubles. Une piste pour l'avenir, donc. Les développeurs du Labo Cristal, de leur côté, présentent UrbiviZ, un logiciel expérimental de réalité augmentée permettant aux visiteurs de se promener sur une Grand Place virtuelle et d'accéder à des notifications géographiques, démographiques, économiques ou encore sociales sur la ville de Roubaix. Une expérience qui fait prendre conscience du futur des villes dites intelligentes où habitants, logements et infrastructures urbaines produisent des données informatiques traçables, mémorisées. Et pour une immersion totale dans le sujet, il suffit de réserver une nuit dans le camping du collectif des architectes de Yes We Camp installé sur le toit-terrasse de la Condition Publique, un village éphémère en bois composé d'un " clapier touché-couché " " comme ses concepteurs l'appellent " de neuf couchages individuels, de tentes allant de une à quatre places ainsi que de suites. " Habitarium " aura permis à des professionnels issus de différents univers d'apporter leur pierre à l'édifice du logement. Exposition " Habitarium, une saison laboratoire sur l'habitat " jusqu'au 8 juillet 2018 à La Condition Publique, Roubaix (59) Pour en savoir plus, visitez le site de La Condition Publique  Photographies : D R
Il y a 7 ans et 34 jours

Événement : Freeing Architecture

Jusqu'au 10 juin 2018, la Fondation Cartier pour l'art contemporain de Paris (14e) offre à ses visiteurs un voyage au c"ur de l'"uvre de l'architecte japonais Junya Ishigami. Une quarantaine de maquettes conçues spécialement pour l'occasion, accompagnées de films et de dessins, composent ainsi une promenade poétique intitulée " Freeing Architecture ". Pensée elle-même comme un projet d'architecture, l'exposition répond à l'un des enjeux majeurs de l'artiste : considérer le contexte comme partie intégrante de la réalisation. En effet, Junya Ishigami perçoit le premier art comme un phénomène naturel. C'est pourquoi des formes telles que la forêt, le rocher ou les animaux dessinent son imaginaire onirique, tout en effaçant la frontière entre le dehors et le dedans. Autour de maquettes façonnées à la main pendant près d'un an, de croquis et de documents techniques, l'on observe la construction d'"uvres phares de ce lauréat du Lion d'or 2010 de la Biennale de Venise. Parmi elles, la salle d'études de l'Institut de Technologie Kanagawa (Japon), espace de plus de 2 000 mètres carrés de plain-pied habillé de verre uniquement composé de 305 fines colonnettes, de sections variées, entre lesquelles se trouvent des zones de travail : menuiserie, administration, impression, etc. Une multiplicité de fins potelets, qui n'est pas sans évoquer une forêt de bambous. " J'aime penser librement, avoir une vision la plus souple, la plus ouverte, la plus subtile possible, pour dépasser les idées reçues sur l'architecture. " Junya Ishigami, architecte Bien plus qu'une source d'inspiration ou un obstacle, la nature est la réalité même de la réalisation. Le bâtiment devient alors un élément à inscrire dans le paysage, qu'il doit non pas supplanter mais magnifier. Junya Ishigami, reconnu dans le monde entier pour la délicatesse de ses constructions, esquisse sa vision d'une architecture qui ne cherche pas à dominer son environnement, seulement à le servir. En superposant différents environnements, l'architecte a su faire d'un jardin de plus de 16 600 m² à Tochigi (Japon) un lieu surnaturel où des arbres provenant du site de construction de l'hôtel limitrophe se mêlent à une myriade d'étangs irrigués par l'ancienne vanne de la rizière existante. Plus féérique encore, la Maison de la Paix à Copenhague (Danemark), nuage monumental de 17 mètres de hauteur sous lequel une centaine de visiteurs peut naviguer à bord de barques circulaires. Ou encore une maison/restaurant réalisée en béton moulé directement sur des monticules de terre, excavés par la suite afin de laisser place à des espaces de vie. Tout au long de l'exposition, Junya Ishigami nous dévoile un univers presqu'enfantin, dans lequel il semble s'affranchir de toute contrainte technique... et pourtant ses édifices ne sont pas des chimères. Une flânerie contemplative hors du temps qui ravira les plus grands rêveurs. Junya Ishigami, Freeing Architecture jusqu'au 10 juin 2018 à la Fondation Cartier pour l'art contemporain, Paris (14e). Pour en savoir plus, visitez le site de la Fondation Cartier. Photographies : Luc Boegly
Il y a 7 ans et 39 jours

Kader Attia : Les Racines poussent aussi dans le Béton

" L'architecture actuelle [...] laisse tomber les palais. Voilà un signe des temps ", disait Le Corbusier. S'il voyait l'avenir dans le logement collectif et abordable, Kader Attia fait de ce principe une exposition spectaculaire à découvrir au MAC VAL de Vitry-sur-Seine (94). Entre politique et poésie, le plasticien s'interroge, au travers des grands ensembles de banlieue, sur les effets du post-colonialisme et sur la place de cette culture dans l'Histoire Française. Édifiant. Paris. Ses avenues pavées, bordées d'immeubles haussmanniens, ses boutiques de luxe, ses boulangeries et ses restaurants gastronomiques. " La ville lumière " ; " La cité de l'amour "... Les périphrases ne manquent pas pour définir notre chère Capitale. Pourtant Paris, c'est aussi sa périphérie, son passé colonial et migratoire, sa culture et sa mixité sociale. Des aspects rarement valorisés dans le récit national, qui font pourtant partie intégrante de la mémoire de notre pays, que le plasticien Kader Attia, lauréat du prix Marcel Duchamp en 2016, a voulu exposer dans l'incroyable espace de 1 300 mètres carrés du MAC VAL, Musée d'Art Contemporain du Val de Seine. Une façon d'amener une partie de la population au-delà du périphérique afin de découvrir le travail de la star montante de la discipline. " On entend parler de Paris à l'étranger avec des images de cartes postales. Jamais l'architecture de banlieue n'a fait partie de cette dialectique française. Le visiteur, le touriste, ne se figure Paris qu'à travers ces images et ne voit finalement même pas les étrangers, ni l'histoire coloniale. Même lorsqu'ils sont à Gare du Nord, ils ne voient pas les subsahariens, les nord africains. "  Kader Attia, artiste contemporain Français, d'origine algérienne, ayant grandi entre Garges-Lès-Gonesse/Sarcelles (95) et Bab El Oued (Algérie), Kader Attia incarne parfaitement cette génération postcoloniale, parquée dans de massifs ensemble de logements sociaux, qui y a spontanément développé ses propres codes et sa culture. Une génération qui a encore du mal à trouver sa place dans la France d'après-guerre. " Ce déni de la périphérie dans le grand récit national français est aussi le déni de toute une subculture. C'est le déni du hiphop, d'une littérature, d'un militantisme, d'une culture olfactive, de la mémoire, etc. qui existe et qui perdure, mais qui est tue. Seulement, on ne peut pas enfermer les idées. " Kader Attia, artiste contemporain En effet, on ne peut pas enfermer les idées. Surtout pas celles de l'artiste de 47 ans qui livre ici une exposition monumentale conçue à la manière d'un opéra en trois actes. Celle-ci débute sur un corridor sombre dont les parois ornées de collages représentent l'âme de la périphérie : grands ensembles, styles vestimentaires, influences ethniques... Le tout est articulé autour de la figure de Jean Gabin, monument du cinéma français qui a tourné pas moins de 8 films en banlieue parisienne, dans le Val d'Oise, mettant ainsi en scène les larges façades des logements sociaux de Sarcelles dans Pépé le Moko (1937) ou Mélodie en sous-sol (1963), et non pas les habituels Tour Eiffel et Sacré C"ur. Cet espace se conclue par une installation au sol : un disque en semoule représentant le plan de la ville de Ghardaia (Algérie) qui aurait fasciné et inspiré Le Corbusier pour la Cité Radieuse de Marseille (13). Plus on avance dans le lieu, plus le lien avec l'architecture sociale devient de moins en moins évident et sert à exprimer des problèmes sociaux, à désaliéner les populations. Des poutres en bois aux fissures " réparées " par Kader Attia où les blessures demeurent apparentes ; une réplique de la skyline new-yorkaise réalisée à partir de frigos de différentes tailles, agrémentés de petits miroirs ; des barrières de sécurité lacérées et détruites à coups de pierre ; une "uvre diffusant une odeur nostalgique de clou de girofle ; des photographies portant sur la question des genres, de la sexualité et de la notion du couples ; des installations vidéos aux sujets sociaux divers, comme l'affaire Théo ; le marché du pétrole comme substitut au commerce triangulaire, etc. En bref des moyens détournés de faire réfléchir. L'art de Kader Attia n'a rien de contemplatif : à chaque pas, à chaque "uvre que l'on découvre, une question se pose. Pour clore l'événement : un épilogue aussi simple que complexe. Un diptyque photographique confrontant une photographie d'un puit à Ghardaia, dont le système hydraulique est désormais " made in China ", et un site Volkswagen de l'Allemagne de l'Est où, en effet, les racines poussent aussi dans le béton. Un parcours immersif puissant et engagé plus que nécessaire. Les racines poussent aussi dans le béton, du 14 avril au 16 septembre 2018 au MAC VAL (94). Pour en savoir plus, visitez le site de Kader Attia Photographies : MAC VAL
Il y a 7 ans et 48 jours

Opus 5 : Abbaye d'Ardenne

Bâtiment emblématique du patrimoine normand, l'Abbaye d'Ardenne construite entre le XIIIe et XVIIe siècle n'a malheureusement pas échappé aux bombardements de la seconde Guerre Mondiale. Un évènement qui laissera l'ensemble en ruine et mènera à sa rénovation lourde, dont la troisième et dernière phase vient d'être achevée par l'agence Opus 5, qui aménage un espace d'accueil et transforme ses anciennes écuries en espace d'exposition contemporain de 800 mètres carrés. L'intervention de l'agence Opus 5 comprend tout d'abord la transformation en accès principal de la porte cochère à doubles-battants de Bayeux située à l'ouest du lieu " menant autrefois à un passage ouvert, désormais clos par des baies aux cadres en acier auto-patinable à l'aspect rouillé, de façon à ce que l'intervention ne contraste pas trop lourdement avec la construction médiévale. Ce qui forme aujourd'hui le sas d'accueil est doté de mobilier simple, conçu par les architectes. Le deuxième volet de l'intervention concerne les anciennes écuries situées dans une longère au sud du domaine, transformées ici en une impressionnante galerie dont des panneaux de hêtre teintés revêtissent l'ensemble à la toiture à deux pans du sol au plafond. " La rénovation de l'Abbaye d'Ardenne est inscrite dans l'air du temps et emblématique de la contemporanéité de l'institution qui l'occupe. Elle lui confère un rôle culturel et intellectuel. " Opus 5 Une volonté de faire rimer patrimoine et modernité que l'on retrouve dans le programme même d'expositions. En effet, l'été dernier, on pouvait par exemple contempler une partie de la collection numérique du Centre Georges Pompidou où films et vidéos de grands noms de l'art (Bill Viola, Christian Boltanski ou encore Samuel Beckett) prenaient place dans cet ensemble chargé d'histoire. Une façon de sensibiliser les visiteurs férus d'architecture médiévale à l'art contemporain et les amateurs d'art aux monuments du XIIIe siècle. Pour en savoir plus, visitez le site d'Opus 5 Photographies : Luc Boegly
Il y a 7 ans et 104 jours

Skyscraper, la superproduction qui va ringardiser la Tour infernale

HOLLYWOOD. Dwayne 'The Rock' Johnson est de tous les films d'action américains. Son dernier rôle lui fait incarner le responsable de la sécurité de la tour Pearl à Hong Kong, un gratte-ciel fictif de plus d'un kilomètre de haut. Et les choses ne vont pas se passer comme prévu...
Il y a 7 ans et 108 jours

Tom Blachford : Nihon Noir

Tokyo, Japon, muse artistique. De Gaspar Noé à Sofia Coppola, les contrastes lumineux offerts par la métropole nippone fascinent, inspirent et nous plongent dans un monde futuriste, presque irréel. Les photographies de l'artiste australien Tom Blachford ne font pas exceptions et nous immergent dans ce Tokyo cinématographiques aux néons éclatants et aux tonalités uniques. Largement influencé par l'architecture moderniste d'après-guerre de Kenzo Tange, Blachford tente, à travers ses prises de vue, de retranscrire l'atmosphère mystérieuse, typique des films de science-fiction, des édifices d'ampleur tokyoïtes. Nihon Noir, une série entièrement capturée de nuit, sans aucune présence humaine, qui rend hommage à une vingtaine de bâtiments iconiques de la métropole, comme le Centre de presse et de diffusion de Shizuoka, le siège de Fuji TV " tous deux conçus par Tange ", ou encore le Nagakin Capsule de Kisho Kurokawa. Un travail d'orfèvre qui a nécessité six jours de déambulations dans la Capitale, des heures d'explorations, et pour résultat des dizaines de points de vue différents trouvés menant au cliché parfait, celui qui retraduira en image l'ambiance sans égal qui règne dans la ville. " Mon objectif pour la série était de communiquer le sentiment qui m'a frappé la première fois que j'ai visité Tokyo, celui qui vous transporte dans cet univers parallèle avancé et étonnant. " Tom Blachford, photographe Avec une palette chromatique très saturée, notamment due à la présence exacerbée de néons et autres éclairages colorés, le photographe reproduit ce qui pourrait être une cité céleste destinée à accueillir les habitants de la Terre dans un univers post-apocalyptique. Une série qui, à travers l'architecture passée, parvient à projeter le spectateur dans le futur. Pour en savoir plus, visitez le site de Tom Blachford Photographies : Tom Blachford
Il y a 7 ans et 160 jours

Entretien avec BRUMM : des films et des formes

Brumm Films & Formes est un studio de production audiovisuelle installé à Bordeaux, qui vise à raconter l’architecture. Lucas Bacle,… Cet article Entretien avec BRUMM : des films et des formes est apparu en premier sur Archicree - Créations et Recherches Esthétiques Européennes.
Il y a 7 ans et 172 jours

Événement : Comme une histoire... Le Havre

Jusqu'au 18 mars prochain, la ville du Havre se dévoile en photos grâce au regard atypique de 17 peintres, photographes et cinéastes. Présentée au MuMa, le Musée d'art Moderne André Malraux, l'exposition offre une multitude de récits des plus fictifs aux plus journalistiques, rendant ainsi hommage à une ville-port si inspirante. Détruite par les bombardements de la deuxième Guerre Mondiale, puis rebâti en béton armé de 1945 à 1964 par le fameux architecte moderniste Auguste Perret, Le Havre fait l'objet depuis 1956, d'une série de reportages photographiques commandés par la DGT " Direction Général du Tourisme. C'est en 2002 après avoir redécouvert le travail de l'autrichien Lucien Hervé " dont les prises de vue n'avaient alors pas été acceptées pour le programme gouvernemental à cause d'angles désaxés et de lignes géométrique saillantes ", qu'Annette Haudiquet, commissaire de l'événement et directrice de l'institution havraise, se rend compte du nombre de trésors artistiques cachés dans sa ville, qui ne demandent qu'à être redécouverts. C'est ainsi qu'elle décide de dédier à ces "uvres endormies mettant en scène la métropole normande une exhibition révélant plus de cinquante années d'une production issue de la commande publique, en écho à celle de la BnF, Paysages français, retraçant jusqu'au 4 février prochain trois décennies de photos prises sur le territoire national. Dans un premier temps, aux côtés de grands noms de la peinture tels que Claude Monet, Raoul Dufy, Edgar Degas, Auguste Renoir ou encore Alfred Sisley, représentant mer et campagne locales, la galerie nous plonge dans la confusion. L'agglomération semble être disséquée, analysée, composée et décomposée sans fin, sous les traits au fusain ultra-réalistes d'Yves Bélorgey, Cross la vidéo vif et désorientante de Christophe Guérin, ou encore les jeux de miroirs kaléidoscopiques et déroutants de Xavier Zimmermann. Dans un second temps, le fil narratif fait appel au registre de la fiction, par le bais d'une importante collection de clichés et de films mystérieux dont les contextes sont volontairement flous : vues d'intérieur, fragments de paysages, images nocturnes ou diurnes, horizons habités ou désertés. Entre toutes ces saynètes, à nous de découvrir le fin mot de l'histoire ou plutôt celui que nous souhaitons imaginer. Une belle initiative célébrant, avec brio, les 500 ans de cette ville historique. Pour en savoir plus, visitez le site du MuMa - Le Havre Photographies :1, 3,4) Matthias Koch2) Rebecca Digne5-7) Lucien Hervé8,9) Grabriele Basilico9) Olivier Mériel10,11) Corinne Mercadier12,13) Véronique Ellena14-16) Charles Decorps17,18) Manuela Marques19,20) Xavier Zimmermann21) Sabine Meier22) Bernard Plossu23) Dana Levy23) Yves Bélorgey
Il y a 7 ans et 175 jours

Engie expérimente des films solaires sur un collège de La Rochelle

Engie et la société allemande Heliatek ont inauguré une installation solaire expérimentale permettant d'alimenter partiellement en électricité un collège de La Rochelle (Charente-Maritime) grâce à un film photovoltaïque organique, a annoncé le groupe français.
Il y a 7 ans et 186 jours

Un collège rochelais à la pointe du photovoltaïque organique

Le collège Pierre Mendès-France de La Rochelle accueille sur son toit 530 m² de films photovoltaïques organiques. Inaugurée le 15 novembre, cette installation constitue le premier déploiement de grande taille pour le constructeur allemand Heliatek. Engie finance la totalité du projet.
Il y a 7 ans et 196 jours

Villa Noailles : Nouveaux Regards

Depuis 2003, la villa Noailles expose chaque année le travail de photographes de talent d'octobre à janvier. Pour cette nouvelle édition, elle présente une collection de clichés, de dessins et de films provenant de l'iconique centre d'art d'Hyères (83). Sous le nom évocateur de " Nouveaux Regards ", la manifestation nous invite à redécouvrir la Villa Noailles, bâtiment imaginé par Robert Mallet-Stevens en 1924. L'évènement a pour vocation de mettre en avant à travers divers médiums l'édifice conçu pour le couple de mécènes, Charles et Marie-Laure Noailles. Des témoignages visuels éclectiques installés dans une scénographie divisée en trois actes chronologiques qui mettent en avant la beauté et la vie qui animent le lieu depuis déjà presqu'un siècle. La première partie met en lumière la bâtisse d'origine, avant sa rénovation achevée en 2013. Elle expose une riche production audiovisuelle allant des années 1920 aux années 1990 et comprend aussi bien des photographies de Thérèse Bonney (1929) que des films expérimentaux de Man Ray (1929) ou des prises de vue en noir et blanc de Karl Lagerfeld (1995). S'en suit une deuxième étape traitant de la renaissance de la villa Noailles, vue à travers la caméra de Thibaut Grevet lors du tournage du clip du groupe pop-rock français Sage (2016) ou encore celle de Craig McDean et Nicolas Ouchenir qui y ont réalisé une vidéo pour Benjamin Clémentine (2017). Une projection continue du film Vent Moderne de Xavier Veilhan (2015) sur l'architecte de la demeure moderniste est également visible, permettant d'en apprendre d'avantage sur le maître d'ouvrage de ce musée en perpétuelle effervescence. Le dernier acte rassemble quant à lui une large série de croquis et d'ouvrages audiovisuels inédits, spécialement conçus pour la manifestation, où l'on retrouve par exemple une imposante fresque signée Alexandre Benjamin Navet, lauréat du Grand Prix Design Parade Toulon 2017. Anciens ou nouveaux, tous les regards présentent ici un lieu essentiel à la culture, source d'inspiration de nombreux artistes et terre d'accueil de la création sous toutes ses formes. Exposition " Nouveaux Regards ", jusqu'au 15 janvier 2018 à la villa Noailles d'Hyères (83). Pour en savoir plus, visitez le site de la villa Noailles Photographies : DR
Il y a 7 ans et 202 jours

Stadium de Vitrolles de Rudy Ricciotti : renaissance ?

L’association La Renaissance du Stadium et le SA 13 proposent une exposition de photographies, dessins, maquettes et films sur le Stadium de Vitrolles intitulée RENAISSANCE… Le Stadium, Rudy Ricciotti. Pour découvrir ou redécouvrir ce que l'architecte présentait comme "un bâtiment éminemment culturel, éminemment cultivé?". Le Stadium de Vitrolles est désormais figé dans la poussière. Il […] L'article Stadium de Vitrolles de Rudy Ricciotti : renaissance ? est apparu en premier sur Chroniques d'Architecture.
Il y a 7 ans et 206 jours

MVRDV : (W) ego

Des ouvrages de science-fiction aux films post-apocalyptiques, l'architecture de demain est peu souvent fantasmée de manière colorée. Pourtant, à la question " À quoi ressemble la ville du futur ? " posée lors de la Dutch Design Week (Pays-Bas), l'agence néerlandaise d'architecture MVRDV a répondu par (W) ego, un immeuble aux nuances pop et au discours empreint de positivité. Non, l'avenir ne verra pas forcément l'avènement des robots ou la prolifération d'une épidémie de zombies. Pour Winy Maas, fondateur du studio MVRDV basé à Rotterdam, c'est même tout le contraire. Coloré et modulable, son habitat de demain construit à Eindhoven (Pays-Bas), a ainsi des airs de Tetris. Partant du constat que les difficultés de logement en ville iront crescendo, MVRDV réalise que la maison du futur ne pourra être horizontale, mais verticale et surtout partagée. Cependant, si cette solution a déjà fait pas mal d'adeptes, tout le monde n'est pas prêt à renoncer à son confort personnel pour se plier aux exigences d'un colocataire tatillon. Contraction de We et d'ego, l'édifice de 9 mètres de haut est un logement commun, invitant ses résidents à exister individuellement dans une démarche collective. Chacun vit dans sa couleur " jeune, vert, rose, bleu etc. ", tout en communiquant avec le reste des locataires afin que son nid s'adapte aux besoins spatiaux des autres. En somme, une cohabitation sans obligation de partage d'espaces. L'utopie réside, sur le long terme, dans un principe constructif qui permettrait de modifier à l'infini l'assemblage des modules composant l'ensemble. Une idée positive de ce que pourrait être l'habitat de l'an 3000 qui ravira sans doute les Marty McFly de ce monde. Pour en savoir plus, visitez le site de MVRDV Photographies : Ossip van Duivenbode
Il y a 7 ans et 206 jours

MVRDV : (W) ego

Des ouvrages de science-fiction aux films post-apocalyptiques, l'architecture de demain est peu souvent fantasmée de manière colorée. Pourtant, à la question " À quoi ressemble la ville du futur ? " posée lors de la Dutch Design Week (Pays-Bas), l'agence néerlandaise d'architecture MVRDV a répondu par (W) ego, un immeuble aux nuances pop et au discours empreint de positivité. Non, l'avenir ne verra pas forcément l'avènement des robots ou la prolifération d'une épidémie de zombies. Pour Winy Maas, fondateur du studio MVRDV basé à Rotterdam, c'est même tout le contraire. Coloré et modulable, son habitat de demain construit à Eindhoven (Pays-Bas), a ainsi des airs de Tetris. Partant du constat que les difficultés de logement en ville iront crescendo, MVRDV réalise que la maison du futur ne pourra être horizontale, mais verticale et surtout partagée. Cependant, si cette solution a déjà fait pas mal d'adeptes, tout le monde n'est pas prêt à renoncer à son confort personnel pour se plier aux exigences d'un colocataire tatillon. Contraction de We et d'ego, l'édifice de 9 mètres de haut est un logement commun, invitant ses résidents à exister individuellement dans une démarche collective. Chacun vit dans sa couleur " jeune, vert, rose, bleu etc. ", tout en communiquant avec le reste des locataires afin que son nid s'adapte aux besoins spatiaux des autres. En somme, une cohabitation sans obligation de partage d'espaces. L'utopie réside, sur le long terme, dans un principe constructif qui permettrait de modifier à l'infini l'assemblage des modules composant l'ensemble. Une idée positive de ce que pourrait être l'habitat de l'an 3000 qui ravira sans doute les Marty McFly de ce monde. Pour en savoir plus, visitez le site de MVRDV Photographies : Ossip van Duivenbode
Il y a 7 ans et 206 jours

Studio KO : Musée Yves Saint Laurent

À Marrakech (Maroc), le Musée Yves Saint Laurent, imaginé par les jeunes Français du Studio KO, retrace derrière une façade en brique, la carrière du célèbre couturier tombé amoureux de la ville. À deux pas du jardin Majorelle restauré par le créateur et son compagnon Pierre Bergé dans les années 1980, il est le premier édifice du continent africain dédié à la mode. Si l'on pouvait s'attendre à ce qu'un grand nom de l'architecture soit choisi pour l'élaboration du musée, la Fondation Pierre Bergé, à l'origine du projet, a préféré confier cette tâche au Studio KO, jeune agence française composée de Karl Fournier et d'Olivier Marty. Implanté à Marrakech depuis 2001, le binôme discret s'était jusqu'alors illustré par la conception de résidences privées, notamment pour le compte de Pierre Bergé himself, ou encore de Patrick Guerrand-Hermès, arrière-petit-fils du fondateur de la maison éponyme. Des concepteurs qui réalisent ici leur premier établissement recevant du public. L'édifice de 4 000 mètres carrés est à l'image des créations de Saint Laurent pour lesquelles les maîtres d'"uvre ont été " frappés par des courbes qui côtoient des lignes droites, par la succession de formes délicates et audacieuses ". Un dessin que l'on retrouve dans le bâtiment aux airs de forteresse, avec un enchaînement de volumes à la fois voluptueux et géométriques. La façade, en terrazzo en zone basse et brique en partie haute, fait quant à elle référence à la chaîne et à la trame des tissages, ainsi qu'aux moucharabiehs typiques de la région. Ses tons ocre et or évoquent également les modèles qui ont fait la renommée du créateur, notamment la Saharienne, veste camel emblématique imaginée par YSL dans les années 1960. " Quand Yves Saint Laurent a découvert Marrakech en 1966, il a été tellement ému par la ville qu'il a immédiatement décidé d'acheter une maison ici, et est revenu régulièrement. Il me semble parfaitement naturel, 50 ans plus tard, de construire un musée dédié à son "uvre, si inspirée par ce pays. " Pierre Bergé, directeur de la Fondation Pierre Bergé et ancien compagnon d'Yves Saint Laurent L'intérieur aux tons froids et aux textures lisses diffère radicalement de l'enveloppe, à l'image d'une doublure de vêtement. Réalisé à partir d'un plan en U organisé autour d'un patio circulaire, la ballade dans le musée débute par un hall d'entrée orné de vitraux monochromes, baignant l'accueil aux murs blancs d'une lumière tout en nuances de bleu. Au nord, la zone d'accueil mène à une galerie d'exposition permanente, intitulée " salle YSL " puis à la librairie et à un second espace d'exhibition, dédiée aux shows temporaires. La zone sud abrite quant à elle les espaces de recherches " l'auditorium et la bibliothèque ", ainsi qu'un café ouvert sur une terrasse. Conçue par le scénographe français Christophe Martin, la salle YSL présente plus de 50 pièces de haute-couture dans un décor sombre de 400 mètres carrés illuminé par une installation audiovisuelle rassemblant interviews, photographies et extraits de films contextualisant la création des pièces sélectionnées. La seconde galerie de 120 mètres carrés présente des expositions aux thèmes plus larges : actuellement une collection de tableaux orientalistes qui appartenait à Jacques Majorelle. Parée de son bleu emblématique , cette zone recevra de multiples expositions axées sur divers thèmes, comme la mode, l'art, l'anthropologie ou la botanique. Tout aussi impressionnant, le grand auditorium de 130 places bardé de fines baguettes de chêne verticales, voué à devenir le nouveau centre culturel de la municipalité. Ici prendront place des concerts, des projections ou encore des conférences traitant aussi bien des costumes que de la culture berbère. Une réalisation raffinée, à l'image des créations d'Yves Saint Laurent, et qui honore l'amour porté par le créateur à la culture maghrébine. Pour en savoir plus, visitez le site de Studio KO Photographies : Nicolas Mathéus
Il y a 7 ans et 206 jours

Studio KO : Musée Yves Saint Laurent

À Marrakech (Maroc), le Musée Yves Saint Laurent, imaginé par les jeunes Français du Studio KO, retrace derrière une façade en brique, la carrière du célèbre couturier tombé amoureux de la ville. À deux pas du jardin Majorelle restauré par le créateur et son compagnon Pierre Bergé dans les années 1980, le lieu est le premier édifice du continent africain dédié à la mode. Si l'on pouvait s'attendre à ce qu'un grand nom de l'architecture soit choisi pour l'élaboration du musée, la Fondation Pierre Bergé, à l'origine du projet, a préféré confier cette tâche au Studio KO, jeune agence française composée de Karl Fournier et d'Olivier Marty. Implanté à Marrakech depuis 2001, le binôme discret s'était jusqu'alors illustré dans la conception de résidences privées, notamment pour le compte de Pierre Bergé himself, ou encore de Patrick Guerrand-Hermès, arrière-petit-fils du fondateur de la maison éponyme. Des concepteurs qui réalisent ici leur premier établissement recevant du public. L'édifice de 4 000 mètres carrés est à l'image des créations de Saint Laurent pour lesquelles les maître d'"uvre ont été " frappés par des courbes qui côtoient des lignes droites, par la succession de formes délicates et audacieuses ". Un dessin que l'on retrouve dans le bâtiment aux airs de forteresse, avec un enchaînement de volumes à la fois voluptueux et géométriques. La façade en terrazzo en zone basse et brique en partie haute fait quant à elle référence à la chaîne et à la trame des tissages, ainsi qu'aux moucharabiehs typiques de la région. Ses tons ocre et or évoquent également les modèles qui ont fait la renommée du créateur, notamment la Saharienne, veste camel emblématique imaginée par YSL dans les années 1960. " Quand Yves Saint Laurent a découvert Marrakech en 1966, il a été tellement ému par la ville qu'il a immédiatement décidé d'acheter une maison ici, et est revenu régulièrement. Il me semble parfaitement naturel, 50 ans plus tard, de construire un musée dédié à son "uvre, si inspirée par ce pays. " Pierre Bergé, directeur de la Fondation Pierre Bergé et ancien compagnon d'Yves Saint Laurent L'intérieur aux tons froids et aux textures lisses diffère radicalement de l'enveloppe, à l'image d'une doublure de vêtement. Réalisé à partir d'un plan en U organisé autour d'un patio circulaire, la ballade dans le musée débute par un hall d'entrée orné de vitraux monochromes, baignant l'accueil aux murs blancs d'une lumière tout en nuances de bleu. Au nord, la zone d'accueil mène à une galerie d'exposition permanente, intitulée " salle YSL " puis à la librairie et à un second espace d'exhibition, dédiée aux shows temporaires. La zone sud abrite quant à elle les espaces de recherches " l'auditorium et la bibliothèque ", ainsi qu'un café ouvert sur une terrasse. Conçue par le scénographe français Christophe Martin, la salle YSL présente plus de 50 pièces de haute-couture dans un décor sombre de 400 mètres carrés illuminé par une installation audiovisuelle rassemblant interviews, photographies et extraits de films contextualisant la création des pièces sélectionnées. La seconde galerie de 120 mètres carrés présente par le biais de vitrines et tableaux des expositions aux thèmes plus larges : actuellement une collection de tableaux orientalistes qui appartenait à Jacques Majorelle. Parée de son bleu emblématique , cette zone recevra de multiples expositions axées sur divers thèmes, comme la mode, l'art, l'anthropologie ou la botanique. Tout aussi impressionnant, le grand auditorium de 130 places bardé de fines baguettes de chêne verticales, voué à devenir le nouveau centre culturel de la municipalité. Ici prendront place des concerts, des projections, ou encore des conférences traitant aussi bien des costumes que de la culture berbère. Une réalisation raffinée, à l'image des créations d'Yves Saint Laurent, et qui honore l'amour porté par le créateur à la culture maghrébine. Pour en savoir plus, visitez le site de Studio KO Photographies : Nicolas Mathéus