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Résultats de recherche pour fluides

(406 résultats)
Il y a 2 ans et 361 jours

12 enseignements à retenir du rapport « Pompe à chaleur en rénovation » publié par l'AQC

Ce rapport est mis à la disposition de toutes les parties prenantes des opérations de rénovation.À l’heure où les réglementations françaises et européennes imposent la chasse aux dépenses énergétiques et la réduction des émissions de CO2, des bâtiments de plus en plus économes en énergie sont construits ou rénovés, avec la baisse des besoins de chauffage comme fer de lance.Les 12 principaux enseignements tirésLes enquêtes réalisées pour ce rapport s’appuient sur les programmes de rénovation comprenant différents types de pompes à chaleur avec une logique d’amélioration de la production de chaleur et, parfois, de froid. Les différentes situations de mise en œuvre rencontrées mettent en évidence 12 enseignements à prendre en compte pour respecter les principes réglementaires, assurer un confort aux occupants et garantir le bon fonctionnement des équipements dans le temps.Enseignement 1 : Dimensionner l’installation après une synthèse complète des données du projet.Enseignement 2 : Prendre en compte l’évolutivité du projet lors du dimensionnement de l’installation.Enseignement 3 : Contrôler l’adéquation des équipements livrés avec les prescriptions.Enseignement 4 : Vérifier la compatibilité entre la puissance électrique disponible et la puissance nécessaire à la PAC.Enseignement 5 : Prévoir des locaux techniques de taille suffisante.Enseignement 6 : Anticiper l’accessibilité aux différents éléments.Enseignement 7 : Calorifuger intégralement le réseau frigorifique.Enseignement 8 : Calorifuger intégralement le réseau hydraulique.Enseignement 9 : Afficher les informations concernant les fluides frigorigènes.Enseignement 10 : Identifier clairement les éléments de l’installation.Enseignement 11 : Caractériser et transmettre une installation.Enseignement 12 : Effectuer un entretien régulier et complet du système.Le rapport “Pompe à chaleur en rénovation” a fait l’objet d’un webinaire animé par Samuel Daucé, Responsable Technique du Dispositif REX Bâtiments performants et Cyrielle Leval, Chargée de mission bâtiment et aménagement durables au sein d’Envirobat Grand Est et est disponible à cette adresse.
Il y a 3 ans et 0 jours

L’innovation Aliaxis au service des réseaux d’assainissement

Leader mondial des solutions pour la gestion des fluides dans la construction, les travaux publics et les applications industrielles, Aliaxis se distingue grâce à son expertise des produits en matériaux de synthèse. Le Groupe enrichit aujourd’hui son offre assainissement en ajoutant aux tubes et raccords en polyéthylène haute densité (PEHD) un nouveau regard de visite […]
Il y a 3 ans et 7 jours

Une politique soutenue d’investissements pour le site de production Watts/Socla de Virey-le-Grand (71)

Présentation du site de production Créée en 1951 par la famille Trémeau Jambon à Chalon-sur-Saône, l’unité de production SOCLA est implantée aujourd’hui à Virey-le-Grand, au cœur de la région Bourgogne Franche Comté, sur un site d’une surface de 20.600 m2. Filiale du groupe WATTS Water Technologies Inc. depuis 2011, l’entreprise, dont le nom signifie SOciété des CLApets, a développé son savoir-faire au fur et à mesure de différentes acquisitions pour devenir la marque leader dans les domaines de l’eau et du contrôle des fluides en mouvement. Son expertise s’articule autour de 4 thématiques principales : – la protection des réseaux d’eau potable au travers d’une large gamme de clapets anti-pollution avec dispositifs de contrôle d’étanchéité et de vidange de l’installation, mais surtout de disconnecteurs hydrauliques à la pointe de la technologie, dont l’un des modèles s’est imposé comme une référence sur le marché (BA2860). Des solutions pour lesquelles Socla associe un service dédié, le CRAN ou encore l’application DigiscoTM, afin de répondre aux exigences de la réglementation qui impose l’entretien annuel obligatoire des disconnecteurs. – le non-retour grâce à une offre complète de clapets allant de 15 à 800 mm, d’une fiabilité à toute épreuve et proposant différentes technologies (16 systèmes d’obturation intérieurs) pour s’adapter aux contraintes liées à chaque installation (pression, étanchéité, perte de charge, type de fluide…), – la régulation au travers d’une large gamme de vannes de régulation automatiques, de réducteurs de pression, ventouses, dispositifs anti-bélier destinés à contrôler ou réguler la pression, niveau de l’eau et de l’air dans les réseaux de distribution d’eau potable, – l’obturation grâce à la richesse d’une offre de vannes papillon proposées en standard et sur-mesure, les seules sur le marché à disposer d’un papillon flottant sur un axe traversant, garantie d’étanchéité et de maintenance facilitées. Elles équipent les réseaux afin de réguler ou d’interrompre le débit qu’il s’agisse d’eaux ou de fluides industriels. Autant de produits phares qui bénéficient d’agréments reconnus (NF, ACS, Bureau Veritas, WRAS, Kiwa, VA, Uni, Belgaqua) et d’une garantie de 5 ans. D’une capacité de production de plus de 9,5 millions de produits, le site de Virey-le-Grand dispose d’un laboratoire d’analyse à la pointe de la technologie, d’une surface de 620 m2. Equipé d’une piscine d’une capacité de 340 m3, il permet à l’entreprise de réaliser une multitude de tests tels que des essais d’endurance ou encore de résistance au brouillard salin pour mesurer la durabilité de ses solutions à la corrosion. Fonctionnant en circuit fermé, le débit maximum de ces installations est de 3400 m3/heure soit l’équivalent de 5,5 baignoires (170 litres) par seconde. Par ailleurs, dans une véritable démarche d’amélioration continue, le site de production de Virey-le-Grand est certifié ISO 9001 (management de la qualité), 14001 (management environnemental) et 45001 (management de la santé et de la sécurité au travail). Une politique soutenue d’investissements Afin de moderniser son site de production et ce, dans une volonté d’augmenter l’engagement qualité et d’optimiser la sécurité des équipes sur le site, SOCLA a investi près de 900.000 € à raison de : – 450.000 € pour automatiser la production des clapets incorporables afin de gagner en productivité sur certaines opérations (montage des joints, tests d’étanchéité, marquage) et d’améliorer le process en remplaçant l’utilisation des encres à solvant par des cartouches d’impression, – 300.000 € pour l’usinage des vannes papillon de gros diamètre (supérieur à 400 mm) afin d’améliorer la sécurité des opérateurs, d’optimiser la flexibilité de la ligne de production et ainsi de gagner en réactivité pour répondre aux demandes des clients, – 140.000 € pour maîtriser son empreinte carbone via la récupération de chaleur du compresseur situé dans le laboratoire d’analyse pour chauffer en autonomie différents locaux (service maintenance, laboratoire), mais aussi en remplaçant dans les bâtiments de grande surface les anciens éclairages par des lampes LED dimmables qui captent la lumière naturelle et s’ajustent en fonction. En plus d’offrir un meilleur confort visuel et de chauffe à ses collaborateurs, cette démarche environnementale a permis au site d’économiser 548.516 kWh par an. La protection de l’environnement s’inscrivant au cœur de la stratégie de SOCLA, d’autres investissements sont d’ores et déjà à l’étude avec pour objectifs, d’ici 2023-2024, de : – récupérer la chaleur des fours de l’activité poudrage pour chauffer une partie de l’usine, – mettre en place des panneaux photovoltaïques sur les parkings et ainsi produire de l’énergie verte, – tondre naturellement les espaces verts grâce à des ovins. Un site en constante évolution qui participe au dynamisme de la région Après une première campagne de recrutements initiée en 2021 qui lui a permis de passer de 180 à 204 collaborateurs, SOCLA propose actuellement une quinzaine de postes supplémentaires à pourvoir immédiatement en CDI afin d‘accompagner son évolution. En parallèle, plaçant l’inclusion au cœur de sa démarche RSE, le site de production de Virey-le-Grand accorde sa confiance à des travailleurs handicapés issus des Etablissements ou Services d’Aide par le Travail depuis  bientôt 10 ans. Grâce à son partenariat avec l’ESAT Georges Fauconnet, une équipe d’une vingtaine de personnes en situation de handicap travaille au sein de l’usine pour assurer des opérations telles que le contrôle et le conditionnement de certaines solutions du fabricant (réducteurs de pression, robinets de purge, clapets), la soudure de composants sur des machines semi-automatiques ou encore le test de produits finis. Un peu d’histoire 1951 : Création de la société à Chalon sur Saône par la famille Trémeau Jambon 1973 : Introduction du nom de SOCLA (SOciété des CLApets TJ) 1992 : Rachat de la société par le Groupe Danfoss 1996 : Acquisition de Oreg, ajout de la gamme des vannes papillon 2003 : Acquisition de la société Desbordes, ajout de la gamme des réducteurs de pression 2006 : Acquisition de la société BAR, actionneur pneumatique 2008 : Acquisition de la société Valpes, actionneur électrique 2011 : Rachat de la société par le groupe Watts Quelques chiffres clés – plus de 70 ans d’expérience – plus de 77 pays utilisateurs des produits SOCLA – plus de 25.000 références – plus de 6 millions de vannes papillons en service – plus de 8 millions de réducteurs de pression installés http://www.wattswater.fr/
Il y a 3 ans et 10 jours

Les fluides frigorigènes sont pris entre le marteau F-Gaz et l’enclume Reach

Les fluides utilisés en climatisation et dans les pompes à chaleur sont simultanément concernés par la révision du règlement F-Gaz qui diminue les GWP et le règlement Reach qui va interdire les PFAS
Il y a 3 ans et 30 jours

Terrao appelle les industries à agir en faveur de la dépollution et de la transition énergétique

Le film Terrao, réalisé par Havas & Compagnies, sera diffusé du 9 au 25 avril sur BFM. L’objectif est d’alerter les industries sur l’urgence de limiter voire d’éliminer la pollution de l’air liée aux activités industrielles et humaines, au-delà de la feuille de route européenne de neutralité carbone. Le film commence par l’échéance 2030 : « il faudra attendre 2030 pour que les émissions de méthane diminuent de 30% ».Créée en 2012 par le Professeur Jaouad Zemmouri, la technologie Terrao permet, grâce à un échange direct par brassage de l’air ou des fumées avec de l’eau, d’assurer un transfert quasi parfait des calories et de la matière entre les deux fluides. Ce brassage conduit au lavage de l’air ou des fumées et à la récupération de leur chaleur latente et sensible. La régénération de l’eau permet d’en extraire ensuite la pollution.Multibreveté, Terrao est une véritable innovation qui permet d’ouvrir le champ des possibles dans le combat pour la qualité de l’air et la transition énergétique*. La technologie Terrao est un principe unique qui se décline en différentes solutions adaptées à chaque exigence : TerraoTherm : Le recyclage de la chaleur ; TerraoSave : Le traitement des fumées ; TerraoPur : La purification de l’air. Pour Jaouad Zemmouri, Président de Terrao : « Nous sommes fiers de collaborer avec des industries de renom qui voient en notre technologie une opportunité d’intégrer l’ère de la transition énergétique tout en contribuant à limiter la pollution atmosphérique. On ne peut pas aimer ses enfants et leur laisser une Terre avec un air pollué. »* Selon le ministère de la Transition énergétique, en 2020, la part des énergies renouvelables dans la consommation finale brute d’énergie en France s’élevait à 19%. Un taux en deçà de l’objectif fixé par l’Europe à la France, à savoir 23%. Selon la loi de transition énergétique de 2015 et la loi climat de 2019, cette fameuse part devra atteindre, en 2030, l’objectif de 33%.
Il y a 3 ans et 37 jours

La révision prévue du règlement F-Gaz sur les fluides frigorigènes suscite des réactions contrastées

Entré en vigueur en 2006, puis sévérisé en 2015, le règlement Européen F-Gaz organise une forte réduction des fluides HFC. Le 5 avril 2022, la Commission Européenne a proposé une nette accélération.
Il y a 3 ans et 50 jours

Balance connectée testo 560i pour une charge automatique, rapide et précise, des installations frigorifiques et des pompes à chaleur

Lors de la mise en service et la maintenance d’une installation frigorifique ou d’une pompe à chaleur, les techniciens utilisaient jusqu’alors une balance pour la charger en fluides frigorigènes. Cette étape cruciale nécessitait toute leur attention. Aujourd’hui, Testo, leader des appareils de mesure, révolutionne la charge des installations frigorifiques et des pompes à chaleur avec […]
Il y a 3 ans et 55 jours

Référence Chantier : Le Porzo

Un peu d’histoire… Le canal de Nantes à Brest est un canal à petit gabarit qui relie les villes de Nantes et de Brest et emprunte les vallées de l'Erdre, de l’Isac, de l’Oust, du Blavet, du Doré, du Kergoat, de l’Hyères et de l’Aulne ; ces rivières sont reliées par trois canaux de jonction franchissant des lignes de partage des eaux. Sa construction remonte à la première moitié du XIXe siècle et sa longueur totale est de 364 km. D’abord construit pour désenclaver le Centre-Bretagne et faciliter l’activité économique et industrielle, il a laissé aujourd’hui place aux pêcheurs, promeneurs et sportifs. Gabares et chalands disparus, le canal n’ouvre plus ses écluses qu’aux amateurs de canoës ou kayaks, aux plaisanciers sur voiliers, vedettes et autres bateaux motorisés, l'outil industriel et commercial s'étant mué en axe touristique. A partir de Pontivy pour se rendre à Nantes, les plaisanciers doivent utiliser un canal devenu artificiel. Le bief de partage n’étant plus alimenté par l’étang, en 1995 la Région Bretagne a dû construire une station de pompage au bord du blavet de la ville de Porzo pour récupérer l’eau du blavet et alimenter le bief de partage.Focus Cycle de l’eau – Approche « Preferred SOLUTION Partner »Être porteur de solution pour ses clients permet à Wilo France de se différencier, d’apporter une valeur ajoutée et une approche globale en tant que partenaire de transfert des fluides. Ainsi, l’approche globale « Preferred SOLUTION Partner » a permis aux équipes de Wilo France, avec le concours de leurs collègues de la Division Services pour toutes les prestations de services, de remporter un appel d’offre public pour le transfert d’eau du canal de Nantes à Brest avec une application de surpression dans un ouvrage en position horizontale et d’installer deux pompes de forage Wilo-EMU 24’’. La première pompe a été installée en 2020, la seconde en fin d’année 2021.Pour Ludovic Audic, Chargé de missions Génie Mécanique et Automatique Région Bretagne : « Les fournisseurs de pompes avec un tel débit aujourd’hui sont rares. Les pompes qui ont été fournies par la société Wilo, sont des pompes capables de pompés jusqu’à 750m3/h. »
Il y a 3 ans et 57 jours

Seine-Maritime : Deuxième centrale pour RévoBéton

Article paru dans le n° 99 de Béton[s] le Magazine RévoBéton a ouvert une deuxième centrale à BPE à Saint-Etienne-du-Rouvray. [©Lhotellier] Un an après le lancement de sa première centrale à béton, à Alizay, dans l’Eure, RévoBéton poursuit son essor dans le bassin rouennais, en choisissant d’installer son deuxième unité de production à Saint-Etienne-du-Rouvray. En 2021, la centrale d’Alizay a produit 13 500 m3 de bétonn qui ont généré un chiffre d’affaires de 1,5 M€. En parallèle, la filiale du groupe Lhotellier, créée en 2020 [Lire article p. 20], a investi 100 000€ dans un laboratoire, qui permet aujourd’hui de bénéficier d’un panel de 160 formules différentes. Avec ces infrastructures, RévoBéton peut répondre à tous types d’ouvrages : travaux routiers, béton décoratifs, chapes fluides… Retrouvez l’actualité des entreprises en région Normandie « Pour cette seconde centrale, le choix de la localisation a été mûrement réfléchi, indique Guillaume David, directeur de RévoBeton. Nous avons de réels besoins sur la métropole rouennaise. Afin de poursuivre notre engagement de respect de l’environnement, il est évident pour nous d’installer nos centrales au plus proche de la demande et de poursuivre le recyclage des matériaux provenant des chantiers et des plates-formes de recyclage des filiales du groupe Lhotellier. » RévoBéton bénéficie ainsi de la synergie des autres métiers du groupe. L’entreprise intègre dans ses formulations des granulats valorisés issus de RDE, une autre filiale de Lhotellier, spécialisée dans le recyclage des matériaux de la déconstruction de chantiers, située à Oissel, toujours en Seine-Maritime. RévoBéton réutilise aussi des matériaux alternatifs provenant de Lhotellier Dépollution, encore une autre filiale qui traite des terres polluées grâce à une station de lavage spécialisée. En 2021, ce sont quelque 432 t de CO2 que RévoBéton a économisé grâce à l’utilisation de ces liants recomposés, sur la centrale d’Alizay. Article paru dans le n° 99 de Béton[s] le Magazine
Il y a 3 ans et 59 jours

Béton Solutions Mobiles : Le BPE le plus imposant de France

La nouvelle unité de production de BPE de Béton Solutions Mobiles s’inscrit dans un bâtiment fermé de 8 500 m2. [©ACPresse] Avec un chiffre d’affaires de l’ordre de 150 M€ pour l’année 2021, la présence de quelque 185 collaborateurs et une production de béton supérieure à 1 Mm3/an, Béton Solutions Mobiles poursuit son développement d’une manière plus que soutenue. « A l’heure actuelle, nous disposons d’un réseau de 31 centrales à béton, dont 12 mobiles », indique Philippe Tibère-Inglesse, président de BSM. Et de dévoiler : « 7 permis de construire sont déposés ou en cours de dépôt pour l’installation d’autant d’unités fixes supplémentaires ». Une stratégie qui va permettre à la marque de devenir le 1er acteur régional du BPE, devant Edycem et ses 33 centrales, dès la fin du 2e trimestre 2022. A l’échelle nationale, BSM arrivera à la 7e place des fournisseurs, derrière Colas qui est à la tête d’environ 67 unités de production. Belle performance pour une entreprise créée il y a tout juste de 8 ans. Dans le détail, BSM a prévu l’ouverture de 3 nouvelles centrales en Normandie et de 2 dans l’Oise, dont une en cours de montage à Beauvais. A cela s’ajouteront 2 unités en Ile-de-France : une au Sud et une à l’Est, à Lognes, siège de l’entreprise. « Cette dernière centrale sera une mobile que nous allons sédentariser, explique Maureen Pontié, responsable travaux neufs de BSM. Elle sera dédiée à la production exclusive de chapes fluides. » En effet, c’est une activité nouvelle que l’industriel a choisi de développer d’une manière importante. « Aujourd’hui, nous travaillons avec trois fournisseurs, reprend Philippe Tibère-Inglesse. A savoir, Bostik et sa Technis-R, Chryso Cemexa et ses Cemfloor, et Sika, avec ses Levelchape et ses Viscochape. » Cet article est réservé aux abonnés des revues Béton[s] le Magazine et Bâti & Isolation. Déjà abonné Mon email Mon mot de passe Oublié ? En plus de votre magazine, profitez d’un accès illimité à l’ensemble des contenus et services du site www.acpresse.fr : Lecture de l’intégralité des dossiers thématiques, reportages chantiers, fondamentaux, histoire de la construction… Consultation des indicateurs économiques (chiffres et analyses) + vos newsletters pour suivre l’info en continu Je m'abonne
Il y a 3 ans et 64 jours

Le rapport des Français à leur immeuble d’habitation fortement marqué par la crise sanitaire et des aspirations environnementales

Les résultats révèlent ainsi que les habitants d’immeuble aspirent à un environnement « cocon », plus protecteur, plus serviciel, où les déplacements et les échanges sont fluides. Pour leur futur, les Français se projettent avant tout dans un immeuble plus éco-responsable et voient en la technologie un levier pour rendre leur lieu de vie plus économe en ressources, intelligent et coopératif. A l’aune de ces enseignements, KONE, leader de la mobilité dans les villes, exprime la nécessité d’accélérer les innovations et la coopération entre les acteurs de l’immobilier, au service du bâtiment durable et intelligent.Chiffres-clés de l’étude YouGov / KONE en un coup d’œil :Les trois priorités des Français habitant dans un immeuble 95% des répondants estiment que l’hygiène et la propreté est un élément important (dont 61% très important) : c’est la préoccupation n°1 des Français vivant dans un immeuble94% citent le bon fonctionnement des équipements comme un critère important, à égalité avec la sécurité (accès à l’immeuble et aux parties communes)87% des répondants estiment qu’une bonne information sur la vie de l'immeuble est importanteLes attentes en termes de services et de nouvelles technologies78% estiment que l'accessibilité pour tous (situation de handicap, personnes âgées) est importante : 43% des répondants habitant en immeuble ont un ascenseur et l’utilisent57% des habitants d’immeuble aimeraient disposer d’au moins un service ou espace partagé dans leur résidence, à l’instar de casiers pour les livraisons à domicile (30%), d’un jardin sur le toit (29%), d’une salle de sport (24%), ou encore d’une conciergerie (19%)Plus d’1 répondant sur 2 (55%) souhaite au moins une nouvelle technologie au sein de son immeuble : des matériaux antimicrobiens (31%), un écran d’information connecté (23%), un robot nettoyeur (20%)L’immeuble idéal de demain pour les FrançaisPour leur futur, les Français se projettent dans un immeuble éco-responsable à 41% (maîtrise des consommations d’eau et d’énergie, compost, projets d’agriculture urbaine, etc.)22% des répondants se projettent dans un immeuble proposant des services à la carte, à la fois plus connecté, plus éco-responsable et plus coopératifHygiène, sécurité et convivialité : des priorités qui portent la marque de deux années de crise sanitaireSelon l’étude YouGov / KONE sur les Français et leur immeuble, l'hygiène et la propreté sont les premières préoccupations des personnes vivant en logement collectif. Ménage effectué régulièrement, respect des mesures barrières sont choisis par 95% des répondants – parmi sept options de réponse – comme des critères importants au bien-vivre au sein de la copropriété. Parmi eux, 61% jugent même ce critère comme « très important ». Probablement exacerbée par la crise sanitaire, cette préoccupation existe plus particulièrement pour les plus de 55 ans qui déclarent à 98% prêter attention à l’hygiène et à la propreté.Les répondants placent la sécurité en 2e position de leurs préoccupations, s’agissant de l’accès à l’immeuble et aux parties communes : au total, 94% des répondants la considèrent comme importante, dont 64% très importante. Ce sont surtout chez les femmes et les plus de 55 ans que ce critère fait forte impression : dans ces deux catégories, 69% le qualifient de « très important ». Pour Cédric de la Chapelle, directeur modernisation de KONE France et spécialiste du segment résidentiel : « Confinements successifs, distanciation sociale, consignes sanitaires, semblent avoir marqué les Français dans leur rapport à leur immeuble : ils recherchent avant tout un environnement de vie sécurisé et protecteur. On peut parler d’immeuble « cocon », d’autant que bon nombre de répondants aspirent aussi à plus de convivialité. Au-delà de la conjoncture, ces attentes sont devenues structurelles et doivent être prises en compte dans la manière dont nous, professionnels du bâtiment, concevons et équipons les immeubles de logement. »Pour 79% des habitants d’immeuble, l’organisation d’animations et la bonne entente avec le voisinage au sein de l’immeuble sont importants. Ce besoin de convivialité s’exprime en priorité chez les plus de 55 ans (85%) par rapport aux 18-24 ans (61%).Accessibilité, bon fonctionnement des équipements et information : la fluidité, essentielle pour faciliter le bien-vivre ensemble ?Si l’hygiène et la sécurité constituent le socle des attentes des Français, d’autres critères apparaissent comme nécessaires pour faciliter le quotidien et le bien-vivre ensemble. C’est le cas du bon fonctionnement et de l’entretien des équipements, à l’instar des ascenseurs, du chauffage ou de l’interphonie. 94% des personnes habitant un immeuble considèrent ce critère comme « important » (dont 63% « très important »). Par ailleurs, la bonne information sur la vie de leur immeuble est au cœur des attentes des Français résidant en logement collectif. Ainsi, 87% des répondants estiment qu’être bien informé sur tout ce qui concerne leur immeuble est important : dates des travaux et des réunions, événements particuliers comme une coupure d’eau, etc.Enfin, l’accessibilité pour tous est plébiscitée par 78% des répondants. Cette préoccupation est d’autant plus grande pour les plus de 55 ans, qui la considèrent comme « très importante » à 89%. Sur cette question, l’ascenseur apparaît comme un équipement essentiel et nécessaire pour permettre la mobilité de tous au sein de l’immeuble. Ainsi, selon l’étude, 43% des répondants habitant en immeuble ont et utilisent un ascenseur, chiffre encore plus élevé pour les retraités (52%). A l’inverse, le nombre d’habitants ayant un ascenseur mais qui ne l’utilisent pas est faible en comparaison (10%), et concerne majoritairement les jeunes (17%).Pour Cédric de la Chapelle, directeur modernisation de KONE France : « L’étude montre que tout ce qui permet des déplacements et des échanges fluides au sein des immeubles est déterminant pour les habitants. Cet enseignement m’intéresse particulièrement, car les flux au sein des bâtiments, c’est notre cœur de métier chez KONE. Ceux-ci s’organisent en effet bien souvent autour de l’ascenseur, qui est la colonne vertébrale de la mobilité au sein de l’immeuble, permettant à toutes et tous de se déplacer. Il est essentiel qu’il fonctionne de manière optimale, c’est le but d’un entretien régulier, si possible prédictif, mais il est aussi un « passage obligé », propice à l’information des habitants. »Nouvelles technologies et nouveaux services dans les immeubles : plus d’1 Français sur 2 s’y intéresse, en particulier les jeunes générationsEn échos à ces priorités, plus d’un répondant sur deux (55%) souhaiterait que son immeuble bénéficie d’une innovation technologique. Parmi celles proposées, l’utilisation de matériaux antimicrobiens est souhaitée par près d’un répondant sur trois (31%), assez logiquement au vu des attentes liées à l’hygiène, tout comme la mise à disposition de robots nettoyeurs pour les parties communes, qui intéresse 20% d’entre eux. Cette innovation technologique a notamment été placée en première position par les 25-34 ans. « Un écran d’information en temps réel dans le hall ou l’ascenseur, avec notification sur mon smartphone » intéresse par ailleurs près d’un quart des habitants d’immeuble (23%) : périodes de travaux, réunions, animations, horaires des transports en commun autour de mon immeuble, etc. C’est l’innovation qui séduit le plus la génération Z : 35% des 18-24 ans la choisissent.Au-delà de l’amélioration du fonctionnel, un Français sur deux se déclare intéressé par le déploiement d’au moins un service ou nouvel espace partagé au sein de son immeuble. Choisis par 30% des répondants, ce sont les casiers pour la livraison des achats en ligne qui se positionnent en tête. Ils sont suivis par un jardin sur le toit (29%), une salle de sport (24%), une conciergerie (19%) ou encore la présence d’un magasin au sein de l’immeuble (16%).Quelques disparités dans les attentes en fonction des profils des répondants sont à noter. En moyenne, les plus de 55 ans se montrent moins intéressés que les autres tranches d’âge par les services et les nouvelles technologies. Autre exemple, si la mise à disposition d’un espace de coworking ne séduit que 7% des répondants, on remarque que ceux-ci sont majoritairement des jeunes (56% de 18-34 ans), urbains (52% d’habitants de grandes villes) et issus des catégories sociales supérieures (51% de CSP+).Pour Cédric de la Chapelle, directeur modernisation de KONE France : « L’immeuble connecté et serviciel a le vent en poupe, en particulier auprès des nouvelles générations. Avec le développement du télétravail, la plupart des Français ont passé beaucoup plus de temps chez eux depuis deux ans. Qu’ils aient plus d’attentes quant à leur résidence en termes de confort, de services de proximité et pourquoi pas de nouveaux espaces de type jardin partagé ou coworking, est finalement très logique. Et bonne nouvelle, beaucoup de choses sont déjà possibles aujourd’hui grâce à la connectivité des équipements. Le robot capable de se déplacer dans les étages pour livrer ou faire le ménage, ce n’est pas de la science-fiction ! Pour aller plus loin nous devons encore renforcer la coopération entre acteurs du bâtiment et travailler à l’ouverture des systèmes technologiques et des données. »Immeuble de demain : un logement connecté, éco-responsable et coopératifAu-delà des personnes résidant en logement collectif, l’étude YouGov / KONE s’est également penchée sur les attentes de tous les Français concernant l’immeuble du futur. Lorsqu’ils imaginent l’immeuble dans lequel ils aimeraient habiter, les Français privilégient un modèle d’immeuble éco-responsable (41%), devant l’immeuble intelligent et connecté (11%) et l’immeuble coopératif (10%). Cependant, 22% des répondants souhaitent un immeuble combinant les trois dimensions, avec la possibilité de choisir des services à la carte. A noter, les nouvelles générations montrent davantage d’appétence pour les nouvelles technologies : les 18-24 ans sont 18% à préférer ce modèle d’immeuble, soit 7 points de plus que la moyenne des répondants.Pour Cédric de la Chapelle, directeur modernisation de KONE France : « Le modèle d’un immeuble éco-responsable est celui dans lequel se projette la majorité des Français, devant l’immeuble connecté et l’immeuble coopératif. L’écoresponsabilité et la coopération correspondent à des valeurs et à des modes de vie très en phase avec les préoccupations des Français et les nouveaux usages. Le numérique et la technologie sont quant à eux davantage des outils à notre disposition. Plus qu’une finalité, l’immeuble connecté est surtout considéré comme un moyen d’atteindre un mode de vie plus responsable et plus coopératif. »Cap sur le smart building résidentielPour KONE, les enseignements de l’étude plaident en faveur d’une accélération du smart building pour le marché du logement. Ceci implique notamment une meilleure coopération entre professionnels de l’immobilier pour parvenir à faire exister cet immeuble auxquels les Français aspirent : plus fonctionnel, plus serviciel, plus durable.Pour Cédric de la Chapelle, directeur modernisation KONE France : « C’est finalement un enjeu de maîtrise au sein des immeubles que souligne les résultats de l’étude YouGov / KONE : maîtrise des besoins, des équipements, des flux, des consommations… Pour y parvenir, les différents systèmes qui font fonctionner l’immeuble doivent être connectés entre eux, et les équipementiers doivent travailler ensemble pour y parvenir. A un autre niveau, c’est aussi par une meilleure coopération que l’on pourra améliorer le bilan carbone des chantiers de rénovation, en mettant en place des filières de réemploi des matériaux. »Depuis un an, la technologie DX de KONE permet de faire de n’importe quel ascenseur un objet connecté, et ainsi, de le faire communiquer avec les autres équipements du bâtiment dès lors que ceux-ci le permettent également. Cette ouverture permet de déployer une véritable plateforme de services, activables en fonction des besoins au sein de la copropriété. Par exemple, l’ascenseur peut être connecté à une intelligence artificielle et bénéficier d’un service de maintenance prédictive, qui permet d’anticiper les incidents et d’éviter jusqu’à une panne sur deux. Autre exemple, il est possible de connecter l’ascenseur à un robot afin qu’il puisse se déplacer dans l’immeuble. Il peut également être connecté à une application de gestion des portes et accès pour renforcer la sécurité, ou d’appel de l’ascenseur à distance, sans contact, pour lever certaines craintes en matière de propreté.
Il y a 3 ans et 70 jours

Un lycée en bois paré de céramique

Implanté au pied de la colline de Gignac dans la vallée de l’Hérault, le lycée Simone Veil reprend les dominantes de ce paysage rural, camaïeux de bleus et de verts des vignes, et des premiers reliefs du massif du Haut-Languedoc en toile de fond. Pour réaliser un bâtiment biosourcé et respecter un délai de chantier très court, l’agence Hellin-Sebbag a choisi le bois pour la structure des bâtiments : poteaux en bois massif, poutres et planchers en CLT d’épicéa, murs à ossatures bois. Les façades ont été revêtues de terre cuite vernissée pour sa pérennité, son inertie et sa facilité d’entretien. Le bois est aussi présent à l’intérieur : parois des circulations habillées de panneaux de bouleau et, pour le Centre de Documentation et le restaurant, plafonds acoustiques aux lames ondulantes. 
Des panneaux photovoltaïques recouvrent les toits des deux bâtiments d’enseignement et de l’internat tandis qu’une verrière photovoltaïque, placée en surélévation du bâtiment d’entrée, rappelle aux usagers et aux visiteurs que cet ouvrage est à énergie positive en partie grâce aux énergies renouvelables. L’agence Hellin-Sebbag a conçu une organisation lisible autour d’une grande cour, avec les deux bâtiments d’enseignement en R+2 orientés nord-sud et le centre de documentation et restaurant – orientés est-ouest. Les toitures des bâtiments les plus bas sont des jardins soulevés en courbe douce telles des collines, comme si le sol naturel remontait sur les toits pour les modeler en formes libres et offrir au lycée un « cœur vert ». Maître d’ouvrage : REGION OCCITANIE Pyrénées-Méditerranée Mandataire : ARAC Occitanie Architectes : HELLIN-SEBBAG Architectes Associés (Montpellier-Paris) Bureaux d’Etudes Techniques : BET Structure TERRELL (Toulouse), BET Fluides ADRET (La Seyne-sur-Mer), Economiste EGIS Bâtiments Sud-Ouest (Montpellier), BET VRD UNDERGROUND Ingenierie (Montpellier), Cuisiniste INGECOR (Montpellier), Paysagiste GUILLEMET (Salon-de-Provence), OPC ARTEBA (Montpellier) Surface de planchers : 14 514 m2 sur une assiette foncière de 5,35 ha Effectifs : 1100 lycéens Photo : Jean-Pierre PORCHER
Il y a 3 ans et 71 jours

RÉFÉRENCES 2021 : Aliaxis réalise la première prise en charge grand volume 100% PE en France Aliaxis équipe la ville de Cagnes-sur-Mer d’un nouveau poteau d’incendie

Aliaxis, leader mondial de solutions innovantes et durables pour la gestion des fluides dans la construction, les infrastructures et les applications industrielles, dévoile sa dernière réalisation : un poteau d’incendie à Cagnes-sur-Mer (06) pour la métropole de Nice et la Régie Eau d’Azur. La défense incendie est l’une des installations de sécurité les plus importantes. […]
Il y a 3 ans et 84 jours

Transair améliore l’expérience de ses clients et partenaires en s’inscrivant dans la démarche BIM

Parker Transair® est un spécialiste des systèmes de tuyauterie modulaires pour les réseaux de fluides d’utilités depuis plus de 25 ans. Acteur mondial, ce fabricant est le premier sur le marché à fournir des services BIM aux professionnels du bâtiment pour les systèmes de fluides industriels. Transair® a saisi le moment opportun pour digitaliser ses produits afin de répondre aux besoins des bureaux d’études, contractants et installateurs, qui cherchent à améliorer leur processus avec la méthode BIM.Découvrez la vision de Gaël Le Carrer, spécialiste Support Projets Transair®, sur la collaboration Transair et BIM&CO à travers notre communiqué de presse. Retrouvez également Transair sur le Pôle Fabricants de BIM&CO les 5 & 6 avril prochains lors du BIM World Paris 2022 !
Il y a 3 ans et 94 jours

Équipements techniques efficients en complément d’une enveloppe performante

Côté magazine Côté magazine Équipements techniques efficients en complément d’une enveloppe performante À l’indispensable travail d’isolation de l’enveloppe – toitures, parois et changement des fenêtres – s’ajoutent les problématiques liées aux équipements techniques : chauffage individuel et collectif, régulation et ventilation. L’efficacité des travaux d’amélioration énergétique est conditionnée par une approche la plus globale possible de la rénovation, l’idéal étant de viser le niveau BBC rénovation, soit une consommation maximale de 80 kWh/m2/an en moyenne (variable selon les zones climatiques). Cela implique que les travaux soient parfaitement préparés et compris, que ce soit sur le plan financier ou sur le plan technique. La première étape consiste donc, après audit du bâtiment, à bâtir le projet, et la seconde à recourir à des systèmes et à des équipements de qualité qui sauront répondre aux exigences légitimes des copropriétaires : économie, fiabilité et confort. Avec une constante : que les travaux soient réalisés par étapes ou de façon globale, il est toujours recommandé de traiter en priorité l’enveloppe. L’objectif est d’abord de réduire les besoins par une bonne conception des parois (traitement des ponts thermiques, étanchéité à l’air, gestion des apports solaires…). Ensuite, la réflexion portera sur le choix d’équipements techniques adaptés pour répondre aux nouveaux besoins et sur le recours, vivement conseillé, aux énergies renouvelables et de récupération  (EnRR) : capteurs solaires, chaudière à granulés, géothermie, récupération sur eaux grises… Malheureusement, aujourd’hui encore, les EnRR restent souvent le parent pauvre des rénovations. Cela s’explique aussi bien par la persistance de freins culturels que par des problématiques liées aux coûts et à la réalisation de l’entretien et de la maintenance. S’il y a des retours négatifs, notamment en logements collectifs, il convient de les dépasser en agissant sur la formation des prestataires et sur la sensibilisation des maîtres d’ouvrage. Autre point indispensable, et ce quelles que soient les solutions techniques retenues : le rééquilibrage des réseaux hydrauliques et aérauliques. Pour que les travaux répondent aux attentes – confort et performance énergétique –, la maîtrise de la distribution des fluides est aussi importante que le choix de la production de chaleur ou que celui du système de ventilation. Dimensionné en fonction de l’enveloppe Au chapitre équipements techniques – chauffage et eau chaude sanitaire (ECS) –, l’audit pointe souvent des chaufferies anciennes qui, même si elles fonctionnent encore bien, sont énergivores. Lorsque des travaux d’isolation ont été réalisés, elles s’avèrent également souvent surdimensionnées par rapport aux besoins. L’autre intérêt d’utiliser un matériel de dernière génération est la possibilité d’affiner l’efficacité de l’installation. Ce qui veut dire au minimum des chaudières équipées d’une régulation avec sonde extérieure et de systèmes de régulation à l’intérieur des logements, un détail important pour une gestion fine à la demande. En outre, pourquoi ne pas profiter du changement pour installer une chaudière à granulés bois, une PAC gaz et/ou des panneaux solaires thermiques, pour l’eau chaude sanitaire par exemple ? Dans le cas du chauffage individuel se pose la question du remplacement des convecteurs électriques ou des chaudières, lesquelles fonctionnent en général au gaz de ville. Là aussi, il importe de prendre en compte le travail réalisé sur l’enveloppe de façon que l’ensemble soit correctement dimensionné. Point essentiel pour le portefeuille des copropriétaires : le matériel retenu devra être éligible aux aides de l’État et des collectivités locales. Autre poste à ne pas oublier : la ventilation. Celle-ci garantit un air intérieur de qualité indispensable à la santé et à la sécurité des occupants. Il s’agit d’éviter l’accumulation d’humidité et de mauvaises odeurs, tout en diminuant la concentration de polluants et de gaz toxiques. Son efficacité sera assurée en diffusant l’air dans toute la zone occupée, en évitant les zones de stagnation et l’écoulement de l’air soufflé dans l’extraction. En rénovation, deux cas de figure se présentent : le système de ventilation existe déjà, ou pas. Dans les deux cas, après des travaux d’isolation, tout est à revoir soit en utilisant et en modernisant le système existant, soit en créant un système neuf. Calorifugeage évolution réglementaire Jusqu’à maintenant, l’obtention de la prime des Certificats d’économies d’énergie (CEE) était conditionnée à l’utilisation d’un isolant de classe 3 pour les travaux de calorifugeage. Dans le cadre du 39e arrêté des CEE à paraître d’ici à la fin de l’année, cette caractéristique évoluera en 2022 : il deviendra impératif d’avoir recours à un isolant de classe supérieure ou égale à 4. Une exigence renforcée afin d’obtenir de meilleurs résultats et de réduire plus efficacement les consommations d’énergie de la résidence collective. Il s’agit là d’une évolution réglementaire importante dans le cadre d’une rénovation énergétique, notamment en copropriété. (Source : Hellio) Cet article est extrait de Planète Bâtiment n°67 > Consulter la version numérique 
Il y a 3 ans et 98 jours

Nouvelles vagues

À la lisière de La Défense, l'ancien immeuble Berkeley a été rénové de manière conséquente, avec de grands volumes intérieurs créés grâce à des modifications de la structure, une nouvelle façade aux lignes fluides et une extension significative.
Il y a 3 ans et 111 jours

Constantin Brodzki : Le “style CBR”, moderne et brutaliste

Article paru dans le n° 98 de Béton[s] le Magazine Constantin Brodzki (1924-2021) devant l’immeuble CBR, en Belgique. [©Merlin Meurisse] Au début des années 1970, l’architecte polono-belge Constantin Brodzki (1924-2021) dessine et conçoit le siège social du cimentier, CBR, sis au 185 de la chaussée de la Hulpe, à Watermael-Boitsfort, en Belgique. « Je voulais exprimer la liberté du béton. Et la courbe m’apparut être idéale pour cela », indiquait l’architecte à l’époque. Constantin Brodzki est surtout connu pour avoir marqué Bruxelles de son “style CBR”, du nom de cette réalisation moderne emblématique. Avec ce bâtiment, il a sans doute écrit une page de l’histoire de l’architecture belge, et même internationale. En effet, en 1980, le siège social de CBR a été inclus par le Museum of Modern Art (MoMa) de New York comme ouvrage de référence. Ceci, dans l’exposition “Transformation in Modern Architecture” (Transformations dans l’architecture moderne). 
Le catalogue le qualifie alors « d’étape significative dans le développement du Modernisme dans le monde ». Son parcours De père polonais et de mère belge, Constantin Brodzki s’est installé en Belgique peu avant la Seconde Guerre Mondiale. Jeune diplômé de l’Ecole nationale supérieure d’architecture et des arts de La Cambre, il s’inspire de son stage qu’il a effectué à New-York chez Harrison & Abramovitz pour la construction du siège social de l’ONU. Ainsi, il a conçu quelques perles architecturales modernistes, fonctionnalistes et brutalistes en Belgique. Et particulièrement, à Bruxelles et sa banlieue : les bâtiments Swift, le deuxième en association avec l’architecte Ricardo Bofill, ou l’immeuble Generali. Le siège social du cimentier, CBR. Ce bâtiment a sans doute écrit une page de l’histoire de l’architecture belge. [©Merlin Meurisse]Vue de l’extérieur du CBR. [©Generali]Façade du CBR aux connotations très années 1970. [©Archive Alec Brodzki] Il admirait l’Américain Frank Lloyd Wright (1867-1959), l’un des fondateurs de l’architecture moderne. Mais aussi Ludwig Mies van der Rohe (1886-1959), maître du Bauhaus. « A la fin de sa carrière, étant rattrapé par la vague post-moderniste, ses références vont à Paul Bonatz (1877 – 1956), qui a construit le Kunstmuseum de Bâle, en Suisse ou la gare de Stuttgart, en Allemagne, dévoile Alexandre Brodzki, fils de Constantin et architecte lui aussi. Cet architecte allemand prônait une architecture un peu néoclassique, avec un mélange d’éléments modernistes et historiques. Par la suite, c’est devenu Philip Johnson (1906-2005), surtout pour l’architecture qu’il a pu faire à la fin de sa vie. Il est alors rentré dans une période “d’Heroic Fantasy”, comme la décrivait lui-même mon père. » La courbe apprivoise le béton Dans les années 1970, Constantin Brodzki a fait évoluer la réflexion sur le béton. C’est ce qu’il expliquait encore récemment lors d’un entretien avec la Fédération du béton belge : « On oublie trop vite que le béton n’est pas un matériau dur, il est d’abord liquide. En mettant l’accent sur cette fluidité, j’ai changé la façon, dont nous regardons le béton. A travers cette vision, j’ai fait comprendre que les éléments en béton ne doivent pas nécessairement avoir une forme droite ». Constantin Brodzki à l’intérieur du CBR, réalisation moderniste et brutaliste de cet architecte polono-belge. [©Archive Alec Brodzki]A l’origine siège du cimentier CBR, les locaux furent vendus et transformés plusieurs fois[. ©Archive Alec Brodzki]Intérieur du CBR. [©Archive Alec Brodzki]Intérieur du CBR. [©Archive Alec Brodzki] Par ailleurs, Constantin Brodzki est très tôt fasciné par l’industrialisation. Lorsqu’il conçoit le siège social de CBR, il est à la recherche d’une méthodologie pour construire un bâtiment qui pourrait être préfabriqué sur une base industrielle. Pendant sept ans, il travaille avec le cimentier sur une technique permettant de réaliser des panneaux de béton préfabriqués aux formes fluides. L’ensemble de l’usine CBR (le site actuel de l’industriel du béton Ergon, à Lier) est mis à sa disposition pour la mise en place de son concept. Il réalise d’abord deux petits “bâtiments tests” en béton avant de commencer la grande structure. Et cela donnera le bâtiment que l’on connaît avec ses fenêtres arrondies, de type alvéoles. Une première à l’époque. Muriel Carbonnet Article paru dans le n° 98 de Béton[s] le Magazine
Il y a 3 ans et 111 jours

Rhône : Structuration des gammes béton pour SEBM

Article paru dans le n° 98 de Béton[s] le Magazine SEBM vient de structurer son offre de bétons prêts à l’emploi. [©Martel] Filiale de Martel Groupe, SEBM aura passé son année 2021 à travailler sur la structuration de son offre. « Ces dernières années, la transformation du marché de la construction nous a poussés à apporter une vision claire sur nos offres de produits, afin de répondre aux besoins de nos clients, explique Amandine Noailly, responsable technique et développement béton du groupe. Nous avons donc regroupé nos bétons usuels pour bâtiment sous la gamme Tradi. Quant à la gamme Techni, elle rassemble les bétons plus performantiels, afin de répondre aux chantiers plus techniques. Enfin, le secteur des travaux publics sera régi par notre gamme Voiri. » De son côté, la gamme Speci regroupe les bétons nécessitant des exigences spécifiques, telles que les chapes fluides ciment. La gamme Lhya est dédiée aux bétons d’aménagements décoratifs. « Elle est déclinée en trois sous-familles : Lhya Minéra, pour les bétons désactivés, sablés, Lhya Surfa, pour les bétons imprimés ou balayés, et enfin, Lhya Perméa, pour les bétons drainants et stabilisés. » Retrouvez l’actualité des entreprises en région Auvergne-Rhône-Alpes Dans le même temps, Martel Groupe réaffirme sa volonté de placer le développement durable au cœur de ses activités. « L’internalisation de la chaîne de valeur nous permet de mettre en avant une économie circulaire associée à la fabrication du béton grâce à notre carrière de la Picardière – SEEM, ainsi qu’à la réutilisation de nos retours bétons pour la fabrication de granulats recyclés. » Afin de répondre aux enjeux de la RE 2020, SEBM lance ainsi le marquage CO2 Score, qui signale des réductions des émissions de CO2/m3, pouvant atteindre plus de 50 %. Celui-ci est applicable à l’ensemble des produits de la marque. Article paru dans le n° 98 de Béton[s] le Magazine
Il y a 3 ans et 154 jours

Dalles de moquette Northward Bound : le luxe dématérialisé – Milliken fait plus avec moins

Pour ce faire, Milliken a attentivement examiné les matériaux, innové avec les fournisseurs de fibres, et a été une marque pionnière dans l’utilisation des fils et des technologies de tufting. Faire plus avec moins est en harmonie avec la philosophie de Milliken, qui consiste à avoir un impact positif global et à suivre une approche éthique ferme en matière de responsabilité sociale et de durabilité.La collection de dalles de moquette se décompose en trois designs : Snow, Glacier et Ice – inspirés par une esthétique scandinave décontractée et discrète (un style ayant inspiré plusieurs collections Milliken ces dernières années). Une palette de couleurs neutres chaudes et froides, des échelles différentes pour les trois motifs, des motifs minimalistes et des formes organiques douces et fluides contribuent à générer une sensation de mouvement calme sur le sol. Northward Bound a été conçu pour être utilisé seul ou combiné avec les collections classiques de Milliken, désormais des best-sellers : c’est le cas de la collection Nordic Stories ou, pour les espaces plus haut de gamme, la collection Arctic Survey.Malgré son style sophistiqué, Northward Bound est proposé à un prix compétitif permettant de répondre aux besoins des conditions actuelles du marché. Il est apprécié pour les espaces à fort trafic, tandis que la technologie acoustique intégrée utilisant le dossier Milliken, proposé en version standard qui réduit considérablement les distractions sonores, prouve que l’aspect pratique et le luxe peuvent aller de pair.Grâce à l’outil en ligne Milliken, Northward Bound peut être visualisé dans plus de 40 décors intérieurs, seul ou associé à d’autres collections de moquette ou de LVT Milliken. Trois couleurs de chaque motif Northward Bound sont disponibles pour une livraison immédiate dans le cadre du programme « From Stock » de Milliken, disponible 24 heures sur 24.Northward Bound est fabriqué à 100% en nylon teinté dans la masse. Il est équipé par défaut d’un dossier Comfort Lite (90% de matière recyclée) et disponible sur demande avec l’adhésif sensible à la pression TractionBack®, qui améliore la qualité de l’air intérieur et offre un processus de pose plus souple. Les dalles de moquette Northward Bound sont fabriquées au Royaume-Uni, dans un site certifié ISO14001, à partir de sources renouvelables. La collection est certifiée CRI Green Label Plus pour la qualité de l’air intérieur, vérifiée EPD et certifiée TUV. Northward Bound bénéficie d’une garantie d’usure de 12 ans et d’une garantie antistatique à vie.Pour découvrir les collections Milliken : https://www.milliken.com/
Il y a 3 ans et 162 jours

Paris choisit Engie et la RATP pour tripler son réseau de froid

Un chiffre d'affaires prévisionnel de 2,4 milliards d'euros est annoncé pour la durée du contrat.Cette concession couvrira la production, le stockage, le transport et la distribution d'énergie frigorifique.Le réseau sera en outre étendu de 158 km et à tous les arrondissements, offrant "une alternative durable à la climatisation traditionnelle", dans le cadre de la démarche de décarbonation et d'adaptation au changement climatique de Paris, souligne le communiqué.Premier réseau de froid d'Europe, il fournit aujourd'hui près de 440 gigawatts-heure (GWh) par an de froid à plus de 780 bâtiments via 93 kilomètres de réseaux. En vingt ans, il passera de 10 à 30 centrales de production, et de 4 à 14 installations de stockage.Opéré depuis 1991 par Climespace, filiale à 100% d'Engie, l'équipement était destiné initialement à climatiser des bâtiments tertiaires (sites culturels, surfaces commerciales).Les nouvelles infrastructures rafraîchiront également hôpitaux, crèches, écoles, EHPAD, etc., soit plus de 300 bâtiments supplémentaires à vocation sanitaire, afin de protéger "les populations les plus fragiles, dans un contexte de réchauffement climatique".Le service s'adressera également aux commerces de proximité, aux établissements recevant du public et à quelques logements.Le réseau de froid de la Ville de Paris est alimenté avec 100% d'électricité renouvelable depuis 2013 et neutre en carbone depuis 2018, indique-t-on de même source.Sur ces vingt ans, les signataires prévoient toujours 100% d'électricité renouvelable, produite en France dont près de 70% par quatre nouveaux parcs solaires dédiés.Selon eux, cette solution représente 20% de consommation énergétique en moins par rapport à de la climatisation traditionnelle et une efficacité accrue via "des processus innovants" : utilisation renforcée de l'eau de la Seine en hiver, intelligence artificielle, matériaux et fluides frigorigènes plus vertueux pour l'environnement.Quelque 130.000 mètres cubes d'eau seront en outre économisés chaque année avec la collecte des eaux d'infiltration.Engie, qui se présente comme le premier opérateur de réseaux de froid dans le monde, s'associe au groupe RATP via sa filiale RATP Solutions Ville, experte en réseaux souterrains, qui permettra de transformer certains espaces en centrales de production et de stockage de froid.
Il y a 3 ans et 176 jours

La piscine d’Orléans-La Source bénéficie d’une technique nouvelle d’isolation FOAMGLAS

Caractérisé par une toiture légère avec forte pente et une façade en bois et métal, le grand bassin de la piscine d’Orléans-La Source a été entièrement isolé en verre cellulaire FOAMGLAS® T3+. Les nombreux sinistres observés dans le passé montrent à quel point les contraintes constructives sont importantes en milieu humide. Le verre cellulaire FOAMGLAS®, isolant étanche à l’eau et à l’air, pare-vapeur dans la masse, permet d’isoler avec efficacité les toitures et les façades des piscines. L’isolation thermique du clos et couvert de la nouvelle piscine d’Orléans-La Source fut un véritable défi. Afin de respecter l’esprit de la première piscine réalisée par l’architecte Olivier-Clément Cacoub en 1972, Arcos Architecture et GL Architecture ont conçu une œuvre avec des toitures fortement inclinées et une façade à ossature bois. Celle-ci supporte différents parements, dont des coques en polyester en forme de losange. L’isolation thermique FOAMGLAS® en toiture de piscine sur bacs acier bénéficie d’un retour d’expérience exceptionnel de plus de 50 ans en Europe. L’isolation thermique FOAMGLAS® en ITE sur élément porteur en bois en milieu humide est, quant à elle, une technique nouvelle, sous Cahier des Charges validé par le Bureau de Contrôle Alfa Contrôle. La piscine d’Orléans-La Source est la première piscine ainsi isolée. Les plaques isolantes, collées sur le bois, collées entre elles et fixées mécaniquement au bois avec des pattes spécifiques PC ancrage F, forment une couche isolante parfaitement étanche qui protège efficacement le bois. Maîtrise d’ouvrage : ville d’Orléans Assistance maîtrise d’ouvrage : Solon avocats, H3P, Aemco, Sogeti Maîtrise d’œuvre Architectes : Arcos Architecture et GL Architecture BET structure : 3IA BET fluides : Artelia BET VRD : INCA Acousticien : Roland Starace Paysagiste : Brigitte Barbier Marché global de performance Mandataire : BFC Maintenance : IDEX Couverture et façade : Braun Étanchéité Infos projet Surface : 6 119 m² Surface de plan d’eau : 1 770 m² Bassin olympique extérieur avec sas 8 lignes : 1 035 m² Bassin de natation intérieur 25 x 15 m : 375 m² Bassin polyvalent intérieur : 270 m² Bassin de plongée intérieur – 6,5 m de profondeur : 30 m² Lagune de jeux extérieurs : 60 m²  
Il y a 3 ans et 195 jours

"Un gros travail à faire" pour développer le chauffage urbain, selon les professionnels du secteur

Sur les 671 térawatt-heures de chaleur produite en 2020 en France, seuls 25 le sont par des réseaux de chaleur, systèmes de production centralisée qui desservent plusieurs usagers grâce à des fluides caloporteurs, selon une étude du Syndicat National du Chauffage Urbain (SNCU).Cette part "stagne" alors que ce mode de chauffage est à plus de 60% produit à partir d'énergies renouvelables contre 23% pour l'ensemble, ont indiqué les représentants du secteur lors de la présentation de l'étude mardi."Il y a un gros travail à faire", a déclaré Aurélie Lehericy, présidente du SNCU, rappelant que l'objectif est de tripler la part des renouvelables (biomasse, géothermie, traitement des déchets) d'ici à 2030.Entre 2019 et 2020, la part des renouvelables a grappillé un petit point, quand le gaz continue d'alimenter plus d'un tiers des réseaux.Plus tôt mardi, lors du décryptage RTE sur les scénarios énergétiques, Thomas Veyrenc, directeur exécutif chargé de la stratégie, a rappelé que le chauffage urbain allait notamment devoir se développer pour abandonner les énergies fossiles.Un quart des réseaux de chaleur, qui représentent 39% des livraisons, n'auront pas le choix puisqu'ils ne respectent pas les normes (RE2020) en matière d'émissions carbone.Les nouveaux bâtiments seront par ailleurs obligés à partir de 2022 d'envisager cette solution ou d'en adopter une "au moins aussi vertueuse", selon Alexandre Dozieres de la direction générale de l'énergie et du climat.Pour atteindre les objectifs, les représentants du secteur estiment qu'il faut décarboner et densifier les réseaux existants mais aussi en créer de nouveaux.Mais l'un des obstacles majeurs selon Nicolas Garnier, délégué général de l'association Amorce, partenaire de l'étude, est le "tropisme" pour l'électricité en France alors que les prix de celle-ci sont volatils.Idem du côté du gaz, dont les cours ont explosé, faisant des réseaux de chaleur la plus compétitive et la plus stable des options, selon l'étude.Selon la Cour des comptes, ces réseaux constituent "une contribution efficace à la transition énergétique insuffisamment exploitée" en France.Pour y remédier, deux mots selon les représentants du secteur: "subventions" et "sensibilisation" des élus et du public.
Il y a 3 ans et 195 jours

Nicoll renouvelle son partenariat avec Nexity et signe avec Aegide-Domitys

De l’évacuation des eaux aux réseaux de distribution et à la ventilation des bâtiments, l’entreprise a su se distinguer au fil du temps par la qualité, la fiabilité et la durabilité de ses produits et services. Déjà partenaire de Nexity depuis 2019, Nicoll est de nouveau choisi par le premier promoteur immobilier français pour équiper ses logements neufs. De plus, Nicoll va également équiper désormais les résidences seniors d’Aegide-Domitys, leader du secteur.Nicoll, partenaire du premier groupe immobilier français intégréActeur français majeur de l’immobilier, Nexity intervient sur l’ensemble des métiers de la promotion et des services. Le Groupe, qui collabore avec Nicoll depuis 2019, vient de renouveler ce partenariat avec le référencement de produits sanitaires pour équiper ses logements neufs. Pour répondre aux demandes croissantes de WC suspendus, à la fois modernes, hygiéniques et ergonomiques, Nexity a en effet référencé le bâti support Nicoll SOLEMUR®.Laetitia MOUSTIE, Directrice Achats & Process Nexity Immobilier résidentiel précise : «Nexity place de la satisfaction de ses clients au cœur de ses priorités et choisit pour eux les équipements les plus sains et les plus robustes. Nous sommes très heureux de poursuivre aujourd’hui notre partenariat avec Nicoll pour équiper nos logements neufs avec des solutions de gestion des fluides fiables et efficaces ».La fabrication française des solutions Nicoll est également un critère de choix. Nexity privilégie les circuits courts et cette proximité garantit en outre une grande réactivité. Pour des équipements esthétiques et parfaitement personnalisés, les plaques de commande double volume à boutons ronds et Rec viennent compléter cet équipement.Les solutions Nicoll sont exposées au sein des showrooms régionaux, dans lesquels les acquéreurs d’un logement neuf peuvent se projeter et découvrir les collections et notices correspondantes, chaque “notice” se rapportant aux gammes de logements Nexity et à un certain nombre d’options. Les produits Nicoll équipent ainsi les logements haut de gamme de Nexity (“Anthracite” et “Black”) et sont proposés en option premium dans les logements “entrée de gamme” (“White” et “Perle”). Les produits Nicoll participent ainsi pleinement à la montée en gamme de l’offre de logements Nexity.Les solutions Nicoll sont en outre référencées dans l’outil de prévisualisation «Inside» que vient de lancer Nexity. Ce logiciel permet une immersion (en 2D, 3D et en mode piéton) dans les appartements ou lots proposés par Nexity.L’investisseur et/ou l’acquéreur peuvent ainsi personnaliser leur intérieur en choisissant les produits et options et en obtenant un aperçu du rendu final.Nouveauté cette année, Nicoll a été choisi par Nexity pour l’équipement des résidences seniors de sa filiale Aegide Domitys. Les produits référencés sont également le bâti-support SOLEMUR et les plaques de commande REC mais aussi les plaques Sourire.Focus sur Nicoll SOLEMUR®Développé par Nicoll et fabriqué en France, le bâti-support SOLEMUR® s’impose dans de nombreux projets comme une solution universelle technique, grâce à son design et à sa facilité de pose. Côté technique, son châssis autoportant NF et sa pipe orientable de diamètre 100 mm lui permettent de s’adapter à un maximum de configurations de chantiers.De plus, SOLEMUR® allie performance et sécurité feu pour l’installation, avec accès au réservoir par gaine technique : manchon, tube de rinçage et pipe en PVC NFMe. Sa conception a été étudiée pour simplifier l’intervention des installateurs. Muni de deux trappes d’accès, l’équipement permet un raccordement facile à l’alimentation et une bonne visibilité. Le raccordement s’effectue de plus à l’intérieur du réservoir, ce qui réduit les risques de dégât des eaux : en cas de fuite, l’eau s’écoule dans la cuvette par le trop-plein du réservoir.Titulaire de la marque NF017 Appareils Sanitaires, SOLEMUR® peut résister à une charge de 400 kg et répond à la norme NF D12-208, comme l’atteste le CSTB. Le mécanisme à câble préréglé dont dispose SOLEMUR® est gage d’une installation et d’une maintenance aisées. Enfin, la gamme offre une garantie de 10 ans sur les châssis et réservoirs, et de 5 ans sur les mécanismes et robinets flotteurs.
Il y a 3 ans et 220 jours

Gants professionnels ROSTAING – Protecteurs et durables pour bâtir ou manipuler

En France, les blessures aux mains représentent le premier motif de consultation dans les services des urgences des hôpitaux. Leurs conséquences humaines et économiques sont très graves. Se protéger est donc essentiel. Expert français de la protection de la main et de la performance du geste, ROSTAING met à la disposition des professionnels du bâtiment des gants techniques adaptés aux gestes de leur travail quotidien. Ultra protecteurs, les modèles ROSTAING préservent la dextérité et la précision des utilisateurs, y compris dans les situations les plus exposées aux risques. Les nombreux métiers du secteur de la construction font l’objet de recherches pointues au sein des équipes ROSTAING pour développer des gammes de gants performants. La mission quotidienne de l’entreprise consiste à réduire ou éliminer le plus possible les risques de blessures aux mains en concevant des modèles adaptés à chaque geste. Les dernières collections ROSTAING répondent aux attentes formulées par les artisans concernés, en termes de sécurité et de dextérité. Nouveau Manutention/montage, solier/moquettiste : DURANIT-ONE ROSTAING Dans la nouvelle collection des DURANIT, le modèle DURANIT-ONE ROSTAING est un excellent protecteur lors des diverses tâches de manutention ou de pose de revêtements de finition. Doté d’un renfort entre le pouce et l’index, première zone d’usure, il est trois fois plus durable. La dextérité est garantie grâce à l’effet seconde peau permettant un bon maniement des pièces les plus fines. Résistant à la chaleur de contact (100 °C pendant 25 secondes) et à l’abrasion, le DURANIT-ONE ROSTAING est adapté aux travaux en milieux secs et huileux. Compatible avec les écrans tactiles (technologie Touch), il évite au professionnel d’ôter ses gants pour répondre au téléphone. DURANIT-ONE ROSTAING Gant : nitrile, polyamide, élasthanne Tailles disponibles : 6 à 12 Prix public indicatif : 6,75 euros TTC Points de vente : GSB, négoces Nouveau Plaquiste, staffeur, stucateur : DURANIT-PLUS ROSTAING Très tenace pour accomplir toutes les tâches auxquelles il est destiné, le nouveau gant DURANIT-PLUS ROSTAING offre une haute résistance aux pièces coupantes. Ultra protecteur et trois fois plus durable, grâce à son renfort entre le pouce et l’index (première zone d’usure), ce modèle a un comportement exemplaire lors des travaux de manutention et de montage. Associant excellente résistance à l’abrasion et à la chaleur de contact (isolation thermique 100 °C pendant 25 secondes), le DURANIT-PLUS ROSTAING est également très confortable ; son tricotage fin préserve la dextérité (effet seconde peau). Ce bicolore orange-noir est compatible avec les écrans tactiles et a une conduite irréprochable en milieu huileux. DURANIT-PLUS ROSTAING Gant : nitrile, polyamide, polyéthylène, fibres minérales, élasthanne Tailles disponibles : 6 à 12 Prix public indicatif : 12,95 euros TTC Points de vente : GSB, négoces Nouveau Couvreur et manutention : DURANIT-ULTRA ROSTAING D’une résistance à toute épreuve, le nouveau gant DURANIT-ULTRA ROSTAING est idéal pour la manipulation de pièces très coupantes. Ce modèle, adapté aux travaux demandant une bonne dextérité (effet seconde peau), assure une parfaite protection des mains contre les risques de coupures. L’enduction en paume offre un excellent grip en milieu huileux et une très bonne résistance à l’abrasion. Trois fois plus durable, grâce à son renfort entre le pouce et l’index (première zone d’usure), le DURANIT-ULTRA ROSTAING est également résistant à la chaleur de contact (100 °C pendant 25 secondes). Compatible avec tous les écrans tactiles, le professionnel n’aura pas besoin de l’ôter pour répondre à un appel sur son Smartphone. DURANIT-ULTRA ROSTAING Gant : nitrile, polyéthylène, fibres minérales, inox, polyamide, élasthanne Tailles disponibles : 6 à 12 Prix public indicatif : 14,95 euros TTC Points de vente : GSB, négoces Maçonnerie et bardage : MACPRO ROSTAING La paire de gants MACPRO ROSTAING convient aux opérations de maçonnerie, à la pose de vitrages et de bardages. Validé par les maçons, ce modèle garantit une haute résistance à la coupure tout en préservant la dextérité et le confort de l’artisan. Son étanchéité hors pair (enduction latex paume et doigts) permet aux mains de rester au sec. L’élastique de serrage au poignet ainsi que la matière du gant antiglisse contribue au bon maintien des outils. MACPRO ROSTAING Gant : latex, polyéthylène haute ténacité, fibres minérales Tailles disponibles : 8 à 11 Prix public indicatif : 16,50 euros TTC Points de vente : GSB, négoces Carreleur : CARPRO ROSTAING Les artisans carreleurs recommandent le CARPRO ROSTAING, un modèle qui donne entière satisfaction : dextérité, résistance, précision lors du lissage des joints et confort. En mailles polyester, il ne contient pas de latex, pour la plus grande satisfaction des personnes allergiques à cette matière. Son enduction nitrile assure une parfaite étanchéité et apporte une très bonne prise en main en milieu humide en évacuant l’excès de fluides sur la surface. Sa souplesse accompagne les manipulations délicates et les travaux de précision, et sa haute résistance à l’abrasion en fait un produit durable. CARPRO ROSTAING Gant : nitrile, polyester Tailles disponibles : 8 à 11 Prix public indicatif : 9,50 euros TTC Points de vente : GSB, négoces Nouveau Travaux de la pierre par temps humide et frais : MIDSEASON ROSTAING Parfaits en demi-saison car résistants à l’humidité, les nouveaux gants MIDSEASON ROSTAING sont conçus pour travailler la pierre à des températures au-dessus de 0 °C. En tricot acrylique brushé, très agréable au contact de la peau, ce modèle est enduit au nitrile sur la partie paume-doigts, pour une protection prolongée et une meilleure résistance à l’humidité. Le renfort à l’intérieur des pouces, sur la première zone d’usure, contribue également à son extrême durabilité. Doté de la technologie Touch ROSTAING, le MIDSEASON permet de consulter son Smartphone sans se déganter. MIDSEASON ROSTAING Gant : nitrile, acrylique Tailles disponibles : 7 à 12 Prix public indicatif : 9,95 euros TTC Points de vente : GSB, négoces Manutention en milieu froid positif : MAXGRIP ROSTAING Ambidextres, les MAXGRIP ROSTAING ont une plus longue durée de vie. La main gauche et la main droite peuvent se glisser indifféremment dans l’un des gants. Par conséquent, il suffit de les retourner pour utiliser la face externe encore intacte côté paume. Les picots super-grippants qui recouvrent ses deux faces leur donnent un pouvoir antiglisse remarquable. L’intérieur est doux et confortable. Leur qualité tactile permet de les garder pour pianoter sur une tablette, un ordinateur ou un smartphone. De plus, on ne risque pas de perdre les MAXGRIP, dotés d’un leash comme des gants de ski. MAXGRIP ROSTAING Gant : acrylique, silicone Tailles disponibles : 7 à 9 Prix public indicatif : 6,45 euros TTC Points de vente : GSB, négoces Manipulation de charges lourdes et abrasives : BLACKSTICK+ ROSTAING Avec la paire de gants BLACKSTICK+ ROSTAING, l’utilisateur est préservé des risques de coupures (maille technologique ZIRNIUM®).  Confortable, ce modèle ultra résistant à la perforation (renfort cuir façon velours en paume) apporte en effet une sécurité maximale lors des diverses manipulations de matériaux lourds ou coupants. À la fois épais et souple, il est résistant à la chaleur (100 °C pendant 15 secondes) et durable. BLACKSTICK+ ROSTAING Gant : polyéthylène, polyuréthane, croûte de bovin, fibres minérales Tailles disponibles : 7 à 11 Prix public indicatif : 27,95 euros TTC Points de vente : GSB, négoces Préparation et façadier : LIQUIDO ROSTAING Les gants LIQUIDO ROSTAING couvrent les avant-bras, résistent à l’eau, et protègent parfaitement l’utilisateur.  Ce modèle bimatière, avec double enduction pour plus d’étanchéité et sans latex, convient aux personnes allergiques à ce composant. Doté d’un excellent grip, le LIQUIDO dispose d’une paume anthracite antiglisse, efficace jusqu’au bout des doigts. LIQUIDO ROSTAING Gant : nitrile, polyester Tailles disponibles : 7 à 10 Prix public indicatif : 10,65 euros TTC Points de vente : GSB, négoces
Il y a 3 ans et 233 jours

Enquête ouverte sur l'attribution du marché public du parc éolien en baie de Saint-Brieuc

Le PNF avait été saisi fin août par le Comité des pêches des Côtes-d'Armor, qui dénonçait un recel de favoritisme dans l'attribution en 2012 de ce marché public à Ailes Marines, filiale de l'entreprise espagnole Iberdrola.Ce projet de parc éolien suscite une vive hostilité des pêcheurs, qui s'inquiètent notamment de son impact sur l'environnement marin et sur leur activité.Contactée par l'AFP, la société Ailes Marines a refusé de faire des commentaires."Dès lors qu'un risque pénal sérieux pèse sur l'opérateur, les cartes peuvent être rebattues", ont pour leur part réagi auprès de l'AFP Me William Bourdon et Me Vincent Brengarth, avocats du Comité des pêches des Côtes-d'Armor."Un dialogue effectif est toujours possible et souhaitable avec des pêcheurs responsables et légitimes dans leurs revendications", ont-ils ajouté.Lorsqu'ils avaient effectué leur signalement auprès du PNF, les deux avocats avaient rappelé dans un communiqué qu'en avril 2012, la société Ailes Marines avait été choisie par les ministres de l'Ecologie et de l'Industrie pour la construction de ce parc alors que la société concurrente "Eolien maritime France" avait été désignée par la Commission de régulation de l'énergie (CRE).Or, ce choix a depuis été jugé "irrégulier" par le Conseil d'Etat, "dans deux décisions de juillet 2019 (...) car l'exécutif avait pris en compte des conditions qui n'avaient pas été incluses dans le cahier des charges, pour favoriser Ailes Marines plutôt que la société concurrente", avaient observé les avocats.Les pêcheurs ont aussi déposé fin août une plainte au parquet de Brest contre "l'intégralité du projet", notamment pour "rejet de substance polluante" et "atteinte à la conservation des espèces animales non domestiques".Le 24 septembre, Mes Bourdon et Brengarth ont par ailleurs annoncé avoir déposé deux recours devant le tribunal administratif de Rennes pour faire suspendre puis annuler un arrêté autorisant les travaux du parc éolien.Le recours pour excès de pouvoir et le référé suspension "demandent respectivement la suspension puis l'annulation de l'arrêté du préfet maritime de l'Atlantique autorisant le navire Aeolus à se rendre sur le chantier du parc éolien marin dans la baie de Saint-Brieuc", avaient-ils expliqué.Propriété de la société néerlandaise Van Oord, le navire de forage Aeolus est responsable de deux fuites de fluides hydrauliques les 14 juin et 28 juillet. Des fluides "facilement biodégradables" avec "un faible impact sur l'environnement", selon Ailes marines.Mais pour la défense du Comité départemental des pêches, "l'urgence, condition nécessaire en matière de référé suspension, est d'autant plus caractérisée que la saison de la pêche de la coquille Saint-Jacques commence le lundi 4 octobre".La date d'audience du référé suspension a été fixée au 7 octobre.Le parc éolien de la baie de Saint-Brieuc doit être érigé à 16,3 kilomètres de la côte. D'une capacité totale de 496 MW, avec 62 éoliennes, il est censé produire 1.820 GWh par an, l'équivalent de la consommation électrique annuelle de 835.000 habitants, selon Ailes Marines.Sa mise en service est prévue fin 2023 mais le chantier a pris du retard en raison d'incidents techniques et de difficultés liées à la nature du sol.
Il y a 3 ans et 237 jours

Saint-Gobain finalise l’acquisition de Chryso

Chryso est définitivement entré dans le giron du groupe Saint-Gobain. [©ACPresse] Annoncée le 20 mai 2021, l’acquisition de Chryso par le groupe Saint-Gobain vient d’arriver à son terme. Et devient donc définitive, les autorités de la concurrence ayant donné leur feu vert.  Acteur de la chimie de la construction, Chryso est présent sur les marchés français comme internationaux. Et assure la fourniture de solutions complètes d’additifs pour ciments, d’adjuvants pour bétons et mortiers. Mais aussi propose une offre de chapes fluides. L’industriel emploie 1 300 personnes et réalise un chiffre d’affaires annuel de l’ordre de 400 M€. Sa valeur d’entreprise est estimée à 1,02 Md€.  Aujourd’hui, Chryso rejoint les activités du groupe Saint-Gobain servant le marché de la construction durable au sein des Solutions de Haute Performance. « L’acquisition de Chryso est alignée avec la vision stratégique de Saint-Gobain comme leader mondial de la construction durable. Chryso nous renforce sur le marché en croissance de la chimie de la construction. Marché au sein duquel nous avons réalisé 10 acquisitions et ouvert 16 usines dans 18 pays au cours des 3 dernières années. Ceci, pour dépasser les 3 Md€ de chiffre d’affaires dans 66 pays… », indique Benoit Bazin, directeur général de Saint-Gobain. Et Thierry Bernard, Pdg de Chryso, de conclure : « Nous sommes heureux de rejoindre le groupe Saint-Gobain. Les premiers échanges entre nos équipes en vue de préparer l’intégration confirment les fortes perspectives de croissance pour Chryso. En particulier dans des régions où nous ne sommes pas encore implantés. Mais aussi dans l’essor de solutions de haute performance. A cela s’ajoute la proximité culturelle entre nos équipes, qui sont très enthousiastes ».
Il y a 3 ans et 241 jours

Béton[s] le Magazine n° 96 se focalise sur le bas carbone

Il n’est pas une journée où une référence au changement climatique, aux émissions de gaz à effet de serre, ne soit faite. Que ce soit dans les médias ou sur les réseaux sociaux. Dans ce contexte, le béton – trop souvent confondu avec le ciment – est régulièrement pointé du doigt. C’est pourquoi, à quelques semaines de l’entrée en application de la RE 2020, il était intéressant de détailler ce que la filière béton dans son ensemble fait en matière de baisse de son empreinte carbone. Ceci, à travers un dossier “En couverture” de 11 p. Retrouvez le n° 96 dans la boutique acpresse.fr. Le bilan CO2 en tête, chacun pourra se rendre à Orly, découvrir la construction de la station terminus des lignes 14 et future 18 du métro parisien, réalisée dans le cadre du Grand Paris Express. A moins de se rendre du côté de Lille pour voir quels choix techniques a faits le groupe Lesaffre pour l’érection de son nouveau campus international. Vous pouvez acheter le n°96 au format PDF sur la boutique acpresse.fr La rubrique “En région” rend visite, elle, aux régions Bretagne, Normandie et Pays de la Loire. Mais sans faire l’impasse sur les autres territoires. La Bretagne attend aussi l’ouverture du salon Artibat, à Rennes. Béton[s] le Magazine en dévoile déjà les premières nouveautés. Puis, s’attarde sur les boîtes d’attente, ces dispositifs constructifs qui ne sont pas si basiques qu’on pourrait le croire… Au niveau du “Laboratoire de la Matière”, Paul Acker s’intéresse aux pathologies des bétons fluides. Et de dévoiler comment contrer le risque de ségrégation. Enfin, la lecture de Béton[s] le Magazine n° 96 ne serait pas complète sans la (re)découverte de Raymond Camus, un précurseur de la préfabrication lourde dans les années 1940. Frédéric Gluzicki Directeur de la publication
Il y a 3 ans et 241 jours

Mapei : Des nouveautés et une avant-première

Article paru dans le n° 96 de Béton[s] le Magazine. Une partie de la gamme Mapefibre ST devient translucide. [©Mapei] Ce n’est pas encore la période des étrennes. Pourtant, Mapei arrive à Artibat la hotte pleine de nouveautés. En tête de liste vient se positionner la nouvelle gamme Mapefibre ST. A présent fabriquée en interne, l’offre a vu l’introduction des ST30 et ST42, qui se caractérisent par leur couleur transparente, les rendant pour ainsi dire invisibles dans le béton.  Côté adjuvants, Mapei présente pas moins de deux innovations. Tout d’abord, le plastifiant Dynamon Easy 834. Offrant une plage de dosage étendue, il permet de couvrir une large gamme de bétons, de plastiques à très fluides. Ceci, grâce à un pouvoir de dispersion des éléments fins qui s’amplifie avec le dosage.  Le Mapefluid N230 est, lui, le dernier-né des superplastifiants de la marque. Il est adapté aux bétons de dallage, permettant des formulations cohésives, ce qui aboutit, après pompage, à un matériau homogène en sortie du tuyau. Exit la concentration de particules au centre et la laitance autour… De plus, Mapefluid N230 offre un long maintien d’ouvrabilité (jusqu’à 1 h 30) pour un grand confort d’utilisation, sans retarder la finition du dallage. Enfin – et c’est une avant-première -, Mapei doit dévoiler un nouveau service mobile pour accompagner ses clients du secteur du béton. Son nom : Mapei Le Lab’. Il s’agit du premier laboratoire mobile adjuvantier en France. Entièrement équipé, il se déplace sur les usines de préfabrication, les centrales à béton et sur chantier pour réaliser des essais sur les matières premières et de formulations béton. Sur Artibat : Hall 10B – Stand K33 Retrouvez l’ensemble du dossier sur les innovations d’Artibat
Il y a 3 ans et 241 jours

Pathologies des bétons fluides #1 : Comment contrer le risque de ségrégation ?

Article paru dans le n° 96 de Béton[s] le Magazine. Photo 1 : Cheminées de ressuage (“channelling”, en anglais) observées sur une paroi moulée de 6 m de hauteur. Par la suite, on a appris que les compagnons avaient vu, après la fin des opérations de bétonnage, des geysers de 50 à 60 cm de hauteur à la surface de l’ouvrage. [©DR] I – Le risque de ségrégation Tous ceux qui ont fait un peu de cuisine savent qu’un bon malaxage permet d’obtenir, en quelques minutes, un mélange homogène, même si les ingrédients sont très hétérogènes et granuleux au départ. On sait aujourd’hui qu’il y a des forces importantes qui agissent au sein du mélange : les tensions de surface. Ces forces poussent vers l’homogénéité, qui est la configuration la plus stable. Les pales du malaxeur à béton, comme la cuiller du cuisinier, cassent les frottements (ou la thixotropie) qui freinent la marche vers l’homogénéité. Dès qu’on arrête le malaxage d’un béton fluide, cependant, les forces de gravité (la poussée d’Archimède sur les grains) peuvent détruire cette homogénéité. Soit parce que les granulats ont une densité (autour de 2,7 en général) supérieure à celle du mortier qui les entoure (2,1 à 2,2). Soit l’inverse, comme les granulats légers qui remontent parfois en surface. Dans les cas les plus spectaculaires [Photo 1], cette instabilité se traduit par des geysers en surface et des cheminées de ressuage (“channelling”,en anglais). Sur des dalles ou des dallages de faible épaisseur, le ressuage peut se produire aussi par des chenaux [Photo 2]. Cependant, ce type de ségrégations peut être évité, en corrigeant la distribution granulométrique du matériau. L’idée est de faire en sorte que la sédimentation d’une classe granulaire puisse être bloquée par la classe de taille inférieure. Ce qui renvoie au calcul de la distance entre les grains d’une classe [Figure 3]. Cet article est réservé aux abonnés des revues Béton[s] le Magazine et Bâti & Isolation. Déjà abonné Mon email Mon mot de passe Oublié ? En plus de votre magazine, profitez d’un accès illimité à l’ensemble des contenus et services du site www.acpresse.fr : Lecture de l’intégralité des dossiers thématiques, reportages chantiers, fondamentaux, histoire de la construction… Consultation des indicateurs économiques (chiffres et analyses) + vos newsletters pour suivre l’info en continu Je m'abonne
Il y a 3 ans et 252 jours

Dalles de moquette Northward Bound : Le Luxe dématérialisé

La série D/LUX est nommée en référence à ses dalles luxueuses à haute performance, qui utilisent moins de matières premières (réduisant ainsi l’empreinte carbone), sans compromis sur l’esthétique. Pour ce faire, Milliken a attentivement examiné les matériaux, innové avec les fournisseurs de fibres, et a été une marque pionnière dans l’utilisation des fils et des technologies de tufting. Faire plus avec moins est en harmonie avec la philosophie de Milliken, qui consiste à avoir un impact positif global et à suivre une approche éthique ferme en matière de responsabilité sociale et de durabilité.La collection de dalles de moquette se décompose en trois designs : Snow, Glacier et Ice – inspirés par une esthétique scandinave décontractée et discrète (un style ayant inspiré plusieurs collections Milliken ces dernières années). Une palette de couleurs neutres chaudes et froides, des échelles différentes pour les trois motifs, des motifs minimalistes et des formes organiques douces et fluides contribuent à générer une sensation de mouvement calme sur le sol. Northward Bound a été conçu pour être utilisé seul ou combiné avec les collections classiques de Milliken, désormais des best-sellers : c’est le cas de la collection Nordic Stories ou, pour les espaces plus haut de gamme, la collection Arctic Survey.Malgré son style sophistiqué, Northward Bound est proposé à un prix compétitif permettant de répondre aux besoins des conditions actuelles du marché. Il est apprécié pour les espaces à fort trafic, tandis que la technologie acoustique intégrée utilisant le dossier Milliken, proposé en version standard qui réduit considérablement les distractions sonores, prouve que l’aspect pratique et le luxe peuvent aller de pair.Grâce à l’outil en ligne Milliken, Northward Bound peut être visualisé dans plus de 40 décors intérieurs, seul ou associé à d’autres collections de moquette ou de LVT Milliken. Trois couleurs de chaque motif Northward Bound sont disponibles pour une livraison immédiate dans le cadre du programme « From Stock » de Milliken, disponible 24 heures sur 24.Northward Bound est fabriqué à 100% en nylon teinté dans la masse. Il est équipé par défaut d’un dossier Comfort Lite (90% de matière recyclée) et disponible sur demande avec l’adhésif sensible à la pression TractionBack®, qui améliore la qualité de l’air intérieur et offre un processus de pose plus souple. Les dalles de moquette Northward Bound sont fabriquées au Royaume-Uni, dans un site certifié ISO14001, à partir de sources renouvelables. La collection est certifiée CRI Green Label Plus pour la qualité de l’air intérieur, vérifiée EPD et certifiée TUV. Northward Bound bénéficie d’une garantie d’usure de 12 ans et d’une garantie antistatique à vie.
Il y a 3 ans et 255 jours

L'Observatoire de la Qualité de la Construction présente son Flop 10 annuel

L'Observatoire de la Qualité de la Construction de l'AQC a construit quatre dispositifs d'observation des pathologies dans la construction.Parmi eux, le Dispositif Sycodés s'appuie sur les données fournies par les rapports des experts appelés par les assureurs lors de la mise en œuvre de l'assurance Dommages-Ouvrage. Il a pour but d'identifier et quantifier les pathologies de nature décennale les plus récurrentes et les plus coûteuses.Le Flop 10 de ce rapport présente les 10 éléments d'ouvrage qui portent les effectifs et les coûts de réparation les plus importants, parmi les désordres sur travaux neufs signalés à Sycodés durant plus de deux périodes décennales (1995 à 2020) en France.Cette hiérarchie de désordres est analysée dans le rapport par des experts et par catégorie de construction : maisons individuelles, logements collectifs et locaux d'activité.Le revêtement de sol doit progresser en qualitéÀ titre d'exemple en maison individuelle, sur la période 2018-2020, les revêtements de sol intérieur sont en première place du Flop 10, en effectif comme en coût de réparation. Pour Catherine Labat, expert construction au cabinet Neoxa-Ixi, des progrès peuvent être accomplis sur le comportement du support, en particulier sur les chapes fluides qui sont de plus en plus utilisées : « Elles présentent une sensibilité élevée au retrait pendant le séchage et peuvent faire des "vagues" (appelé tuilage), ce qui entraîne à moyen terme des fissures dans le carrelage. Le domaine des chapes fluides évolue avec des Règles professionnelles en cours d'élaboration et la mise en place d'une certification. ».La catégorie des fondations superficielles connaît une diminution importante, passant de 14 % en 2017-2019 à 11 % sur 2018-2020. « L'impact positif est probablement lié à la sensibilisation et prise de conscience induite chez les professionnels. Nul doute que la réglementation renforce cette baisse importante », note Jean-Pierre Thomas, directeur technique adjoint de la branche Construction du groupe Stelliant.Autre exemple mais en logement collectif cette fois, les sinistres liés aux fenêtres et portes-fenêtres (hors toiture) sont en 3e position en effectif, stables sur les trois dernières années (2018-2020) mais subissant une très forte augmentation par rapport à la période 2010-2020 (6 %). La mise en œuvre de la RT 2012 pourrait expliquer cette envolée selon Jean-Pierre Thomas. « Une fenêtre ou une porte-fenêtre qui laisse passer l'eau, c'était déjà un sinistre. Mais si elle laisse passer trop d'air, à l'issue de l'essai réglementaire d'infiltrométrie prévu par la réglementation thermique RT 2012, cela devient aussi un sinistre alors que cela n'était pas le cas auparavant. »Alerte sur la mousse de polyuréthane projetée in situLe rapport 2021 s'intéresse aussi au Dispositif Alerte, un autre dispositif d'observation de l'AQC qui permet d'identifier les risques sériels par une analyse qualitative de signaux faibles de Sycodés. En effet, le Dispositif Alerte fait état d'un nombre accru de sinistres avec de la mousse polyuréthane projetée in situ, en isolation sous chape, principalement sur le marché de la maison individuelle. Ce désordre se manifeste par une déformation de la mousse avec un affaissement qui peut être ponctuel et réparti aléatoirement dans la pièce. Le tassement commence rapidement (entre deux et quatre semaines) après la projection mais le désordre peut apparaître plus tardivement (jusqu'à cinq à six mois après la réception du chantier). L'ampleur de l'affaissement varie de 3 à 5 cm selon l'épaisseur de la mousse projetée (qui peut varier de 6 à 10 cm).Enfin, le rapport 2021 propose un focus sur les deux autres Dispositifs d'observation de l'AQC : le Dispositif Rex Bâtiments performants et le Dispositif VigiRisques.(1) CFEC : Compagnie française des experts construction – FFA : Fédération française de l'assurance – FSE : Fédération des sociétés d'expertise – SNEIC : Syndicat national des experts IRD et construction.
Il y a 3 ans et 266 jours

Watts recrute sur son site de production Socla basé à Virey-le-Grand : plus de 30 postes à pourvoir en CDI !

En cette période de rentrée, de nombreux secteurs et entreprises cherchent activement à recruter. C’est le cas de l’entreprise Socla, filiale du groupe WATTS Water Technologies, qui dans le cadre d’une réorganisation de son activité, recrute plus de 30 collaborateurs sur son site de production de Virey-le-Grand. Implantée à Virey-le-Grand (71), Socla est reconnue notamment pour son savoir-faire dans la conception de vannes papillon sur-mesure utilisées dans les secteurs de l’eau, de l’industrie et du bâtiment. D’une superficie de 20.600 m2, l’usine Socla compte aujourd’hui 181 collaborateurs et fabrique chaque année près de 9,5 millions de produits dédiés au contrôle des fluides (disconnecteurs, clapets, réducteurs de pression…). Après un plan d’investissements destiné à gagner en productivité et à renforcer la sécurité de ses équipes, le site Socla de Virey-le-Grand accompagne la réorganisation de son activité par des recrutements, avec plus de 30 postes en CDI à pourvoir dans les domaines suivants : • 25 personnes en Production et Logistique, travaillant principalement en 2/8, dont notamment 15 opérateurs (montage, poudrage, régleurs des machines d’usinage…), 4 magasiniers, 1 gestionnaire de planning…, • 7 salariés dans les fonctions Support (techniciens de bureau d’études, maintenance, méthodes et qualité…). « Dans les conditions actuelles, nous avons la chance que le groupe Watts investisse et développe notre site industriel assurant ainsi sa croissance. Nous espérons que le dynamisme de notre entreprise séduira les futures recrues qui rejoindront une équipe pluridisciplinaire au sein d’un environnement moderne situé dans un écrin de verdure, à proximité du Grand Chalon » souligne Guillaume Gerbron, Directeur du site. Afin de toucher un maximum de postulants en Saône et Loire et en Côte d’Or, Socla met en place une campagne de recrutements sous forme d’offres d’emploi non seulement sur les plateformes classiques telles que LinkedIn ou Facebook, mais aussi sur le célèbre site de petites annonces leboncoin. Des flyers sont également mis à la disposition des sociétés de recrutements et des agences Pôle Emploi de la région. Pour plus d’informations sur les missions détaillées de chaque poste et pour postuler, les candidats intéressés sont invités à contacter Audrey Maufroy, Responsable Ressources Humaines du site de Virey-le-Grand, par mail à audrey.maufroy@wattswater.com http://www.wattswater.fr
Il y a 3 ans et 308 jours

Issy-les-Moulineaux mise sur la géothermie pour se rafraîchir sans climatisation

Installé dans les sous-sols, le système, conçu et réalisé par Engie Solutions, utilisera de l'eau à 15°C, puisée à 35 mètres sous terre, pour produire du froid, mais aussi de la chaleur en hiver, grâce à des machines appelées "thermofrigopompes".Un autre réseau utilisant la géothermie doit être installé à Saint-Denis, pour rafraîchir le village olympique en 2024.Dans un contexte de réchauffement climatique et de vieillissement de la population, "on ne parle pas d'un besoin de froid de confort, mais d'un besoin de froid sanitaire", soutient Aurélie Lehericy, directrice générale adjointe d'Engie Solutions Villes & Collectivités.Chaque année, des îlots de chaleur se forment en effet dans les villes: la température augmente localement à cause de la pollution, et aussi de la chaleur dégagée par les systèmes de climatisation.Le réseau de froid permettrait de limiter la formation de ces îlots, en évitant le recours à la climatisation individuelle sur les 105.000 mètres carrés d'immeubles du Coeur de Ville.70% d'énergie renouvelableAu total, le réseau de chaud et de froid du quartier utilisera un peu plus de 70% d'énergie renouvelable. Pour le reste, il faudra de l'électricité pour faire fonctionner la plupart des machines, et des chaudières au gaz seront installées en appoint pour les périodes de grand froid.Comme les climatiseurs classiques, l'installation utilise aussi des fluides frigorigènes. Sous forme gazeuse, ces fluides sont de puissants gaz à effet de serre et peuvent s'échapper lors de la construction, de la maintenance, ou à cause de fuites. Ce sont eux qui contribuent le plus fortement à la pollution des climatiseurs."Avec ce système, on utilise 90% de fluides frigorigènes en moins par rapport à une climatisation classique, ce qui revient à diviser par deux les émissions de CO2", assure Mme Lehericy.Ces fluides sont notamment utilisés dans des petites billes qui constituent la principale innovation du chantier: placées dans une grande cuve de 130 m3, elles servent à stocker du froid (à la manière de glaçons réutilisables), en particulier la nuit, afin de répondre aux fortes demandes de fraîcheur pendant l'été.Et la facture ?Pour ce nouveau quartier d'Issy-les-Moulineaux, le réseau de chaud et de froid a coûté 8 millions d'euros. 25% de cette somme a été prise en charge par le promoteur immobilier Altarea, et l'Agence de la transition écologique (Ademe) a contribué à hauteur de 532.000 euros.Dans la commune, où la géothermie est déjà utilisée dans le quartier du Fort, le maire UDI André Santini vante les mérites de l'installation pour les habitants: "Les gens sont très surpris de voir leur facture baisser", assure-t-il.En effet, l'utilisation de la géothermie permet de limiter l'impact des fluctuations du prix des énergies fossiles et de l'électricité sur le coût du chauffage et de la climatisation.Pour les futurs habitants du quartier, qui devraient arriver à l'été 2022, Engie a estimé à 700 euros par an le coût du chauffage et de la climatisation pour un appartement de 65 mètres carrés.En France, les réseaux de froid mutualisés représentent seulement 7% de la production de froid: ils n'utilisent pas tous le même fonctionnement, mais tentent de présenter une alternative plus verte à la climatisation individuelle.Entre 2016 et 2020, le recours à la climatisation a augmenté de 11% selon l'Ademe, qui estime "impératif de maîtriser cette évolution pour en limiter l'impact au maximum".
Il y a 3 ans et 331 jours

INOHA présente son nouveau Conseil d’Administration & dévoile son plan stratégique 2025 pour franchir un nouveau cap

A l’issue de son Assemblée Générale du 23 juin 2021, INOHA, l’Association des Industriels du Nouvel Habitat, a présenté à ses adhérents son nouveau Conseil d’Administration et a dévoilé son plan d’actions stratégique 2025 autour de quatre axes. Un nouveau Conseil d’Administration Le 4 Juin dernier, 11 nouveaux administrateurs ont été élus pour les 3 ans à venir. Leur première grande décision a été de voter le 15 juin un plan stratégique pour les prochaines années afin d’accompagner toujours mieux les adhérents dans le développement de leurs entreprises. Le nouveau Bureau est composé de : . Jean-Luc GUÉRY, Président (OPTIMUM) . Jean-Eric RICHE, Président d’honneur . Jean-Noldi PAOLELLA, Vice-Président (LEGRAND) . Christian GUILLOU, Vice-Président (NORDLINGER) . Katty STAHL, Vice-Présidente (FOREST-STYLE) entrée en juin 2021 . Jean-Robert MARENCO, Trésorier (ATLANTIC) . Jean-Pierre DANO, Secrétaire . Pierre-Emmanuel BOIS, Délégué Général Une nouvelle vision du Nouvel Habitat Depuis plusieurs mois, INOHA travaille avec ses adhérents et ses parties prenantes pour définir collectivement sa vision du nouvel habitat, consolider ses missions, ses périmètres d’actions et définir les axes stratégiques. Ses administrateurs ont l’ambition de franchir un nouveau CAP après le changement de nom opéré en 2018. Concernant son périmètre d’intervention, l’association professionnelle INOHA rassemble les fabricants de produits manufacturés destinés à l’entretien, au bricolage, à l’aménagement extérieur, au jardinage, à l’amélioration de l’habitat et a décidé d’intégrer la construction résidentielle neuve, ce qui marque une évolution dans son positionnement. Selon INOHA, le nouvel habitat devient un refuge plus protecteur, plus personnalisé et plus écologique, avec des parcours d’achat toujours plus fluides et digitalisés pour les clients. La pression concurrentielle entre les distributeurs s’accentue, augmentant la tension sur les fabricants en termes de prix, de délais et de valeur ajoutée, tant en termes de produits que de services. Les repères traditionnels tendent à disparaître avec l‘effacement des frontières entre magasins physiques et web, entre particuliers et professionnels, et entre local et global. Face à ce contexte, la mission d’INOHA est de fédérer les Industriels du Nouvel Habitat pour les aider à accélérer leur développement, dans une approche multi-canal. Un plan stratégique 2025 pour franchir un nouveau cap Pour cela, à l’horizon 2025, INOHA s’engage auprès de ses adhérents à : – ECLAIRER en décryptant les enjeux de la filière, l’évolution des marchés, les attentes des consommateurs et des distributeurs, pour nourrir l’innovation ; – CONSTRUIRE ensemble l’avenir, en partageant les bonnes pratiques, en montant en compétences, en nouant des partenariats et en mutualisant des solutions ; – PESER auprès de la distribution et des pouvoirs publics et agir, en apportant de l’expertise et en dialoguant, pour faire valoir leurs intérêts. INOHA concentrera ainsi ses investissements sur la période 2021 – 2025 autour de quatre grands axes stratégiques : . consolider le recueil des datas et le partage des connaissances, . renforcer la performance de ses adhérents via des solutions mutualisées, . accompagner l’ensemble du secteur sur les enjeux environnementaux et sociaux, . conforter son rôle d’acteur incontournable auprès des distributeurs et des pouvoirs publics. Le plan d’actions correspondant sera structuré autour de 7 projets auquel les administrateurs d’INOHA travailleront d’ici la fin de l’année : 1 – Observatoire du Nouvel Habitat, 2 – Communautés de bonnes pratiques, 3 – Partage des datas, 4 – Mutualisation des Achats, 5 – Actions concertées RSE, 6 – Augmentation du nombre d’adhérents, 7 – Partenariats avec d’autres organisations. « En franchissant ce nouveau cap, INOHA permettra à ses adhérents d’être des industriels mieux informés, plus compétitifs, plus responsables et plus influents » conclut Jean-Luc Guéry, Président d’INOHA. Pour concrétiser ses engagements et initier son axe sur la RSE, Jean-Luc Guéry, Président d’INOHA, a signé en fin d’Assemblée Générale un partenariat avec Romain Canler, Directeur Général de l’Agence du Don en Nature, association reconnue d’intérêt général, pour permettre à ses adhérents de ses défaire de leurs invendus en pratiquant le don et ainsi favoriser les actions de solidarités. http://www.inoha.org
Il y a 3 ans et 346 jours

Nouvelle gamme de Climatisation Air Flux 6300 à récupération de chaleur de Bosch Thermotechnologie

Dédiée aux hôtels, bureaux, maisons de santé, cliniques, Immeubles de Grande Hauteur, salles de fitness, boutiques, etc., elle se distingue par de nombreux atouts :des puissances étendues avec 6 modèles monoblocs de22 kW à 50 kW et des cascades de 3 unités pouvantatteindre 150 kW,des plages de fonctionnement jusqu’à - 25°C en modechaud, et + 52°C en mode froid,l’ouverture vers l’Eau Chaude Sanitaire haute températurejusqu’à 80°C, avec le nouveau module hydraulique AF-HB,le plus compact et léger du marché,des performances élevées en modes réversible,récupération de chaleur et ECS (SEER jusqu’à 7,26 et SCOPjusqu’à 4,59),la possibilité de raccorder jusqu’à 36 unités intérieuresà une seule unité extérieure,une uniformité de gamme au niveau design, installation,réglages, paramétrages et maintenance, gage de confortoptimal pour l’installateur,une gamme certifiée EUROVENT.Dernières nées de la gamme Bosch VRF Air Flux, les unités extérieures Air Flux 6300 permettent de proposer une offre toujours plus complète. Elles viennent enrichir les unités extérieures réversibles Mini VRF MDCI et VRF Air Flux 5300 (entre 7 kW et 270 kW). Air Flux 6300 est compatible avec l’ensemble des unités intérieures et accessoires Air Flux. Cassettes 1, 2 ou 4 voies, gainables compacts haute ou moyenne pression statique, consoles, muraux..., toute une panoplie d’unités intérieures est proposée pour s’adapter à tous les environnements collectifs et tertiaires. Les régulations individuelles et centralisées tactiles permettent de piloter le système intégralement et facilement. Le raccordement à divers systèmes de Gestion Technique est également possible via des passerelles de communication.Une solution confortable et économe en énergieCette gamme offre, en un seul système, un fonctionnement simultané de refroidissement et de chauffage. La récupération d’énergie et de chaleur est obtenue en transférant la chaleur extraite dans certaines pièces vers les zones ayant besoin de chauffage. Elle se révèle pratique et indispensable pour le confort des occupants, particulièrement en demi-saison, lorsque les façades Nord d’un bâtiment peuvent avoir besoin de chauffage, tandis que les pièces orientées Sud sont rafraîchies.Le [+] : nouveaux boîtiers de répartition SBOX AF-SBLes boîtiers de répartition SBOX AF-SB facilitent lefonctionnement du système à récupération d’énergie. Le boîtier contrôle chaque groupe d’unités intérieures (jusqu’à 12 par SBOX), afin d’obtenir simultanément un mode chauffage et climatisation dans un système régulé par un boîtier SBOX. Les unités intérieures raccordées à un même boîtier SBOX peuvent fonctionner indépendamment, en mode refroidissement ou chauffage. Gage de sécurité, un boîtier surveille en permanence la quantité de fluide par pièce, et assure la sécurité requise par la norme EN378, notamment en ce qui concerne la détection de fuite de fluides.Le niveau sonore des unités peut être abaissé de 4 dB(A) à 8 dB(A), en ajustant la vitesse des ventilateurs et la fréquence des compresseurs. Six programmes « Silence » sont paramétrables, une source de confort supplémentaire qui favorise la concentration et le bien-être au travail.Quand Bosch Thermotechnologie accroît le champ des possiblesCompatible avec les nouvelles unités extérieures Air Flux 6300, le nouveau module hydraulique AF-HB assure la production d’Eau Chaude. Il offre une plage de température de production d’eau chaude allant de 25°C à 80°C (puissance nominale de 14 kW). Grâce au positionnement du module en amont des boîtiers de répartition (SBOX), le nombre d’unités intérieures après les SBOX peut être augmenté selon les besoins, et le foisonnement atteint jusqu’à 200 % de la puissance totale de l’unité extérieure. Sa compacité (80 cm de hauteur) et sa légèreté (58 kg) facilitent l’installation et permettent un agencement discret. Autre avantage, il peut aussi s’utiliser pour le chauffage : plancher chauffant, radiateurs et ventilo-convecteurs. Au quotidien, ses fonctions sont nombreuses : désinfection thermique, vacances, programmation hebdomadaire, mode Silence... Plusieurs modules hydrauliques peuvent être installés en cascade pour multiplier la puissance ECS disponible !Un condensé de technologieLa gamme à récupération de chaleur Air Flux 6300 se dote d’un nouveau compresseur à injection de vapeur qui optimise les performances de chauffage. Il garantit un fonctionnement stable jusqu’à - 25°C ainsi qu’un sous-refroidissement optimisé. Il offre une plage de fréquence jusqu’à 140 Hz, et une montée en température plus rapide et efficace à charge partielle (à partir de 15 Hz). En cas d’unités en cascade, cette technologie offre un équilibrage efficace entre les compresseurs. Le moteur sans balais réduit les frottements et améliore l’efficacité aux charges faibles et partielles, ainsi que la durée de vie globale de l’équipement.GarantiesCette gamme est garantie 5 pièces pour toutes les pièces détachées et 5 ans compresseurs. Si la mise en service est réalisée et validée par le Service Après-Vente Constructeur du Fournisseur, la main d’œuvre est incluse pour les deux premières années.
Il y a 3 ans et 363 jours

Sylvestre : Nouvelle centrale pour une nouvelle vie

Retrouvez cet article dans le n° 94 de Béton[s] le Magazine Le groupe Sylvestre a investi dans une nouvelle centrale pour son unité de Maubec. [©Groupe Sylvestre] VAUCLUSE. A Maubec, le groupe Sylvestre possédait un site de production avec deux centrales à béton. « Nous avions une petite unité et une plus imposante, qui datait des années 1970, explique Marion Daffos, directrice d’exploitation carrière et responsable béton. Il nous fallait une modernisation de la production et une meilleure protection contre les pollutions, notamment sonores. » Le choix a donc été fait de raser la plus grosse et la plus ancienne des deux unités, et de la remplacer par une Liebherr Betomix, équipée d’un turbo-malaxeur RIM de 2,5 m3. Une nouvelle centrale et de nouvelles ambitions « En plus de ce malaxeur, nous disposons de cinq trémies à granulats de 35 m3, d’un skip d’alimentation et de cinq silos à ciment de 64 m3. Nous avons aussi opté pour une trémie sauterelle, pour avoir une alimentation directe en matières premières. L’objectif était d’obtenir une norme NF et d’avoir un gain en polyvalence. Par exemple, nous avons récemment travaillé avec des ciments PMES, pour répondre à des environnements sous attaques chimiques». Quant à la seconde centrale du site, plus modeste, elle sera affectée à la production de bétons spéciaux, dont les désactivés et de chapes fluides. Lire aussi les autres actualités en région Mise en service en novembre 2020, la centrale Liebherr a battu le record de production du groupe Sylvestre au mois de mars dernier avec 4 500 m3. « Dix-neuf toupies sont rattachées autour à ce site et à une autre, en parallèle. Cinq pompes à béton complètent le dispositif », précise Marion Daffos. Et de conclure : « Pour nous, cette nouvelle centrale est aussi le symbole de notre nouvel élan d’entreprise. Nous avons refaçonné notre image, notre communication. Nous avons modernisé notre matériel, pour plus de confort et un aspect visuel plus en phase avec nos aspirations. » Retrouvez cet article dans le n° 94 de Béton[s] le Magazine
Il y a 4 ans et 2 jours

L’élargissement de la gamme de vannes Alfa Laval Unique DV-ST UltraPure optimise l’efficacité du traitement aseptique.

Alfa Laval étend sa gamme de vannes à diaphragme Unique DV-ST UltraPure pour répondre à la demande croissante de traitements aseptiques plus efficaces. La toute nouvelle gamme comprend des actionneurs plus fins et des corps de vannes légers en fonte optimisés avec des options permettant un fonctionnement économique imbattable. Afin de répondre à pratiquement toutes les exigences des processus aseptiques dans les industries alimentaires et pharmaceutiques, la gamme améliorée DV-ST UltraPure est entièrement personnalisable. La gamme DV-ST UltraPure novatrice repose sur des actionneurs plus minces et peu encombrants et des corps de vanne légers pour des performances optimisées. Ces vannes à diaphragme aseptiques de petite taille sont très performantes, aussi bien au regard de la réduction du coût total de possession que pour les gains tangibles en matière de durabilité. « Grâce à ces améliorations, nos vannes à diaphragme uniques DV-ST UltraPure sont les meilleures de leur catégorie », déclare Paw Kramer, responsable du portefeuille des vannes et produits d’automatisation chez Alfa Laval. Encombrement réduit de l’actionneur, performances élevées La taille a son importance. Le nouvel actionneur DV-ST UltraPure en acier inoxydable mince (SS/SL) est 42 % plus léger, 25 % plus compact et 17 % moins haut que la plupart des actionneurs. Grâce à une consommation d’air réduite, il est également plus économe en énergie. Testés pour effectuer un million de courses sans entretien, ces actionneurs entièrement soudés et sans maintenance supportent une large gamme de pressions. Les options comprennent un limiteur de course, une indication économique de la position de la vanne, ainsi qu’une détection et un contrôle automatisés complets de la vanne. Nouveaux corps de vanne en fonte à performances optimisées Le nouveau modèle Cast OP, conforme à la norme ASME BPE, rejoint la famille de corps de vannes DV-ST UltraPure. Conçu sur la base d’une analyse de la mécanique des fluides numérique, il est 36 % plus léger en moyenne que le corps de vanne en fonte standard et présente une taille de siège beaucoup plus petite. Cela se traduit par des avantages tels que : des coûts d’installation réduits grâce à un encombrement moindre ; des cycles de nettoyage plus rapides et plus économes en énergie car il y a moins d’acier à chauffer pour la stérilisation en place ; un coût total de possession plus faible grâce aux diaphragmes, poignées et/ou actionneurs plus petits ; et une maintenance sûre, simple et peu coûteuse. Reconçue pour répondre aux besoins des clients Entièrement personnalisable, la gamme améliorée Unique DV-ST UltraPure répond à pratiquement toutes les exigences des processus aseptiques. Elle est accompagné de la documentation Q-doc d’Alfa Laval pour une traçabilité complète des pièces, des processus de qualification et de validation fluides qui vous permettront de rester serein. Pour en savoir plus sur la gamme améliorée Unique DV-ST UltraPure d’Alfa Laval, rendez-vous sur www.alfalaval .com/unique-dv-st-ultrapure/   Présentation d’Alfa Laval L’entreprise Alfa Laval est active dans les domaines de l’énergie, de la marine ainsi que dans celui de l’alimentation et de l’eau. Elle offre son expertise, ses produits et ses services à de nombreuses industries dans une centaine de pays. Elle s’est engagée à optimiser les processus, à créer une croissance responsable et à favoriser le progrès en allant toujours plus loin pour aider ses clients à atteindre leurs objectifs commerciaux et de développement durable. Les technologies innovantes d’Alfa Laval sont dédiées à la purification, au raffinage et à la réutilisation des matériaux, favorisant ainsi une utilisation plus responsable des ressources naturelles. Elles contribuent à améliorer l’efficacité énergétique, la récupération de chaleur et le traitement de l’eau ainsi qu’à réduire les émissions. Alfa Laval accélère ainsi non seulement le succès de ses clients, mais également celui des personnes et de la planète. Pour améliorer le monde, chaque jour. C’est tout cela, Advancing betterTM. Alfa Laval compte 16 700 employés. En 2020, ses ventes se sont élevées à environ 4 milliards d’euros. La société Alfa Laval est cotée en bourse au Nasdaq OMX. www.alfalaval.com   Pour plus d’informations, veuillez contacter les personnes suivantes : Paw Kramer responsable du portefeuille vannes et produits d’automatisation chez Alfa Laval Téléphone : +45 28 95 57 05 Adresse électronique : paw.kramer@alfalaval.com   Marianne Hojby Responsable de la communication marketing chez Alfa Laval Téléphone : +45 28 95 44 71 Adresse électronique :marianne.hojby@alfalaval.com
Il y a 4 ans et 7 jours

Changement de culture industrielle au SIAAP : DuPont Sustainable Solutions guide le site de Seine Aval vers l’excellence

Paris, le 19 mai 2021 – DuPont Sustainable Solutions (DSS), cabinet de conseil international leader dans la sécurité et la performance opérationnelle accompagne le SIAAP dans un projet de transformation majeure de sa culture industrielle, de son pilotage et de sa performance sécurité sur 3 ans. Organisme créé en 1970, le SIAAP / Syndicat interdépartemental pour l’assainissement de l’agglomération parisienne transporte et dépollue chaque jour les eaux pluviales et industrielles ainsi que les eaux usées de 9 millions de franciliens de 4 départements (Paris, Seine Saint-Denis, Val de Marne et Hauts de Seine). Le SIAAP emploie 1700 agents de la fonction publique dans les 6 usines de dépollution de la région parisienne dont la plus importante d’Europe, Seine Aval dans les Yvelines. Sur 800 hectares, ce site historique du SIAAP, inauguré en 1940, fonctionne sur le principe des boues activées et fabrique du biogaz par méthanisation des boues. Malgré une modernisation récente de l’usine, le site de Seine Aval a connu quelques incidents industriels. Le dernier en date, un incendie dans l’unité de clarifloculation en juillet 2019, a conduit M. Jacques Olivier, Directeur Général du SIAAP, sous l’impulsion de la Secrétaire d’Etat, à lancer un appel d’offres pour réaliser un audit de sécurité industrielle indépendant. Remporté par DuPont Sustainable Solutions, ce dernier vise à maîtriser les risques liés à l’activité de l’usine afin d’assurer la continuité et la qualité de service de Seine Aval.   Seine Aval, un site industriel sensible Compte-tenu de l’évolution de ses process de fabrication, le site de Seine Aval, basé à Achères (78), a été classé Seveso Seuil haut en 2010. Outre les dangers classiques de toute industrie, cette décision a été motivée par deux raisons essentielles : • la présence de biogaz susceptible de créer des atmosphères explosives, • et l’utilisation de réactifs chimiques qui, mélangés, génère parfois un nuage de chlore pouvant se disperser jusqu’à 2 kilomètres depuis son point de départ. « Disposant déjà d’une culture sécurité professionnelle, nous nous sommes efforcés d’améliorer notre sécurité industrielle suite à ce passage en Seveso seuil haut » souligne Jacques Olivier, Directeur Général du SIAAP. Le SIAAP a ainsi déployé à l’échelle du site une politique sécurité renforcée, encadrée par un plan particulier d’intervention protégeant les populations et l’environnement. Grâce à cette première démarche, des progrès ont été constatés mais ceux-ci n’étant pas suffisants, un audit de sécurité industrielle a été engagé.   Un audit de sécurité industrielle mené par DSS autour de 5 thèmes majeurs Afin de cibler les risques et dimensionner les actions correctives, l’audit de sécurité industrielle mené par DuPont Sustainable Solutions a été décomposé en cinq thèmes majeurs qui ont fait l’objet de diagnostics approfondis : 1. prévention des risques d’incendie et d’explosion (ATEX /atmosphère explosive), 2. canalisations et capacités de fluides dangereux, 3. sécurité des installations électriques, 4. sécurité fonctionnelle, 5. gestion des interventions. « Pour nous permettre de définir les causes mais surtout d’engager les actions nécessaires pour progresser et se mettre à un niveau qui garantisse la sécurité de nos agents et des riverains de l’installation, nous avons décidé de changer de braquet » explique Jacques Olivier, Directeur Général SIAAP. « Nous voulions nous comparer aux meilleures pratiques industrielles et existantes dans le monde et l’offre de DSS nous a paru la plus pertinente » ajoute également Pierre Hodot, Directeur de la Sécurité SIAAP. Fondée sur l’héritage industriel de DuPont, l’approche de DSS s’appuie sur plus de 200 ans d’activité qui ont été codifiées sous forme de bonnes pratiques. Indépendant depuis un an, DSS met ainsi son savoir-faire au service de ses clients pour les aider à améliorer la sécurité des personnes au travail et viser l’excellence opérationnelle tout en s’adaptant à leurs besoins. Son approche intègre l’audit, le diagnostic, la formation, l’accompagnement et le coaching. « Nous créons, avec nos clients, de la résilience industrielle : moins d’accidents, plus de sécurité, et amélioration des performances opérationnelles par un meilleur management des actifs et des unités. Nous les conduisons vers un changement et des résultats durables à l’image de notre mission auprès du SIAAP, engagé dans cette dynamique » détaille Mathieu Leduc, Directeur DSS Europe.   Un audit mené en toute transparence Malgré les conditions spécifiques dues à la crise sanitaire sur l’année 2020, l’audit s’est déroulé dans le planning initialement prévu en trois phases ; la première répondant aux objectifs du SIAAP à court terme et les suivantes présentant les actions à mener ultérieurement : • identifier les opportunités d’amélioration, s’aligner et s’engager sur la feuille de route sécurité développée par DSS, • la mettre en œuvre et renforcer le management de la sécurité industrielle pour un impact rapide, • maîtriser et ancrer les nouvelles pratiques pour garantir un changement durable. DSS a réalisé sur site plus de 150 interviews, sans compter l’analyse documentaire, la production des synthèses et des rapports. « L’audit s’est déroulé par une série d’interviews, de rencontres sur le terrain, d’observation de tâches, d’examens d’un certain nombre de documents au cours de comités de pilotage et de projets. Des ateliers de restitution par thématique étaient également organisés » précise Yann Bourbon, Directeur Seine Aval, SIAAP. De l’avis unanime de toutes les personnes impliquées à tous les niveaux de la hiérarchie de Seine Aval et de DSS, l’audit s’est déroulé dans un climat de confiance et de partage essentiel à sa réussite. « Choisir un partenaire bénéficiant d’une reconnaissance internationale a d’ailleurs facilité l’accueil des auditeurs par les agents de Seine Aval qui ont bien compris notre volonté d’obtenir, par tous les moyens, une lecture la plus objective possible de notre niveau de culture sécurité » estime Jacques Olivier, Directeur Général SIAAP. Grâce à un audit aussi approfondi, le SIAAP a pu prendre conscience de sa situation actuelle et des leviers sur lesquels il allait devoir travailler.   Une prise de conscience collective qui ouvre la voie à un programme de transformation tourné vers l’excellence Véritable révélation pour l’ensemble des équipes de Seine Aval, cet audit a permis une prise de conscience collective et d’inscrire la sécurité au cœur de toutes les instances de pilotage. Le SIAAP a ainsi décidé d’initier avec son partenaire DuPont Sustainable Solutions une transformation couvrant à la fois le renforcement de la sécurité industrielle et la mise en oeuvre des recommandations issues de l’audit, et conduisant à une évolution profonde de sa culture managériale industrielle. Ce projet de transformation se déroulera sur 3 ans, adressera principalement le site de Seine Aval et certaines fonctions support au siège, et couvrira les axes suivants : • le développement de l’excellence industrielle via la refonte du Système de Gestion Opérationnelle du Site et de toutes ses interfaces, • le renforcement du Plan de Continuité de Service du SIAAP, adressant les causes majeures d’arrêt d’activité et leurs scénarios d’anticipation, de prévention et de reprise d’activité, • La mise en œuvre de changements organisationnels visant à renforcer le pilotage industriel des activités de Seine Aval et de toutes ses interfaces, • l’amélioration de la conscience des risques industriels de l’ensemble du personnel de Seine Aval, en s’appuyant sur les dernières recherches en neuro sciences relatives notamment à la prise de décision, • le développement de la culture managériale industrielle de l’ensemble des encadrants du Site et de ses interfaces, • l’amélioration de la gestion des risques et de la performance sécurité du site, en renforçant notamment la conformité de certains équipements techniques, processus et procédures sécurité associées « Les conclusions de l’audit sont à la hauteur du travail effectué conjointement par le SIAAP et DuPont Sustainable Solutions. Nous avons désormais un socle solide pour parvenir à l’excellence en matière de gestion des risques et de sécurité. Nous comptons atteindre cet objectif rapidement pour pouvoir renforcer la sécurité des salariés et des riverains du site. Ainsi, nous affichons clairement notre engagement de ce que le SIAAP doit être en tant qu’industriel responsable vis-à-vis de toutes les parties prenantes, à commencer par les franciliens. Renforcer le pilotage industriel, développer la conscience des risques, décliner de façon opérationnelle le Plan de Continuité de Service, améliorer la gestion des risques, voilà autant de défis qui vont prendre forme notamment au travers d’un changement de culture sécurité ainsi que d’une évolution managériale industrielle significative au sein du site de Seine Aval » déclarent Jacques Olivier, Directeur Général du SIAAP et Philippe Leininger, Directeur DSS France. Pour lire le cas détaillé de l’audit industriel et écouter le témoignage des dirigeants du SIAAP, veuillez consulter le site www.consultdss.fr
Il y a 4 ans et 13 jours

OpenBlue Healthy Buildings rend les bâtiments plus sûrs pour les salariés qui réintègrent leur lieu de travail

Combinant 135 ans d'expertise dans les solutions pour le bâtiment avec une technologie de pointe, ces solutions protègent et donnent confiance aux occupants et aux visiteurs des bâtiments, minimisent les perturbations en cas de test COVID-19 positif et accélèrent la ré-occupation des bâtiments en automatisant et en rationalisant les protocoles de sécurité. En outre, les clients pourront maximiser les objectifs d'occupation tout en maintenant le niveau de sécurité, comprendre comment leurs espaces sont utilisés et les réorganiser facilement sur la base de données informatiques, et aider les employés à être plus productifs lorsqu'ils sont au bureau.Les solutions OpenBlue Healthy Buildings, qui se présentent comme une suite intégrée mais peuvent également être déployées de manière modulaire, comprennent une combinaison de matériels et de logiciels - tels que des équipements intelligents, des capteurs numériques, des systèmes de sécurité, des caméras, des moniteurs, des outils d'analyses et des tableaux de bord, des dispositifs de contrôle des infections et d'autres dispositifs connectés - ainsi qu'une application mobile pour gérer les espaces et les expériences des occupants. La suite Healthy Buildings est développée en utilisant les principes de « Privacy by Design »** et prend en charge la protection des données par défaut.Les solutions pour réintégrer, se réapproprier et réinventer comprennent :Traçabilité des contacts. Les capacités de recherche automatisée des contacts constituent l'élément fondamental de cette suite de solutions et alimentent d'autres applications. De manière générale, ces solutions permettent aux responsables des bâtiments et aux employeurs de comprendre les risques d'exposition des occupants de ceux-ci. En cas de test positif d'un occupant, le système peut tracer rétroactivement les contacts de personne à personne et de personne à espace pour fournir un support presque immédiat aux équipes des ressources humaines et des services généraux afin de joindre les travailleurs à risque, de s'occuper des zones potentiellement touchées et de prendre des mesures préventives pour minimiser la propagation. En outre, la traçabilité des contacts assure la tranquillité d'esprit des employés dans le cas où une personne a été testée positive.Suivi de la distanciation sociale. OpenBlue Healthy Buildings surveillera la distanciation sociale en temps réel, en envoyant des alertes de violation si les occupants sont trop proches les uns des autres ou si les espaces sont trop occupés, ce qui permettra de faire des rapports de conformité détaillés et de modifier les comportements en temps réel pour prévenir la propagation de l'infection.Caméras thermiques. Afin d'assurer une approche holistique de la sécurité, OpenBlue Healthy Buildings comprend une solution technologique de contrôle de la température qui prend des mesures pendant qu'un individu marche pour permettre des entrées et des sorties fluides et sans contact, et participer à éviter la propagation des infections. Planification de scénarios. La solution détermine de manière proactive les liens entre les personnes et les espaces, prédisant les impacts d'éventuels événements négatifs et permettant d'intervenir avant toute perturbation et de réduire les risques.Contrôle des infections. OpenBlue Healthy Buildings crée une approche par couches pour la connectivité entre les différents systèmes qui participent au contrôle des infections. Ces systèmes comprennent, entre autres, des systèmes qui réduisent les pathogènes intérieurs et aéroportés en augmentant la ventilation de l'air extérieur, en désinfectant l'éclairage aux ultraviolets C (UV-C) et en surveillant à distance la pressurisation des pièces, les taux de renouvellement d'air, l'humidité et la température pour créer un air plus sain.Cartographie et surveillance de l'utilisation de l'espace. L'application mobile OpenBlue fournit des vues cartographiques en direct de l'état de la désinfection, des données d'occupation et des recommandations pour naviguer dans le bâtiment en toute sécurité afin de maximiser et de surveiller l'utilisation des espaces. Le système est indépendant de la plateforme et fonctionne de manière transparente avec les systèmes de gestion des bâtiments existants pour soutenir des activités telles que la réservation de salles de conférence ou de postes de travail individuels avec indication de l'état d'assainissement.Amélioration de la communication et des expériences. L'application mobile permet de faire participer les employés et les occupants en temps réel en fournissant des mises à jour sur les espaces partagés et les nouvelles politiques, le parcours recommandé pour éviter les zones encombrées, la disponibilité des espaces et les détails de sécurité, le téléphone comme accès au badge, la réponse aux appels d'urgence, le support des horaires de rotation, l'attestation de santé et les options d'auto-déclaration, et bien plus encore. Ces éléments augmentent les synergies entre la gestion des bâtiments, les ressources humaines et les employés afin de fournir des informations en temps réel et une plus grande transparence, tout en favorisant la productivité et les fonctions d'expérience, telles que l'intégration du calendrier et le contrôle du confort."Alors que de plus en plus de bâtiments accueillent à nouveau leurs employés, il est essentiel que nous déployions une technologie de pointe associée à notre expertise en matière de bâtiments pour créer les espaces et les lieux les plus intelligents et les plus sûrs pour les occupants et les visiteurs. Nous innovons avec nos partenaires et nos clients pour créer des technologies qui transformeront les bâtiments et les espaces, des caméras thermiques aux capacités de traçage des contacts : OpenBlue est une solution intégrale."Mike Ellis, vice-président exécutif, directeur du digital et de la clientèle, Johnson ControlsLa plateforme OpenBlue de Johnson Controls - lancée en juillet 2020 - a été conçue dans un souci d'agilité, de flexibilité et d'évolutivité, pour permettre aux bâtiments de devenir des espaces dynamiques. En exploitant la plateforme, les clients pourront gérer les opérations de manière plus systématique, en fournissant des bâtiments qui ont de la mémoire, de l'intelligence et une identité unique. Pour en savoir plus sur OpenBlue Healthy Buildings, vous pouvez consulter ce site.
Il y a 4 ans et 33 jours

Améliorez la précision de votre process et faites des économies grâce aux nouvelles pompes à double vis petit débit

Découvrez comment améliorer la précision de votre process et faites des économies grâce aux nouvelles pompes à double vis petit débit. Optimisez votre process La reconnue pompe à double vis Alfa Laval est désormais disponible en trois nouvelles tailles spécialement conçues pour transférer des débits faibles sur des applications hygiéniques dans l’industrie laitière, alimentaire, boissons et cosmétiques.   Besoin d’un transférer un petit débit ? Optez pour la pompe à double vis Alfa Laval Un fonctionnement plus économique Le meilleur compromis possible. En optimisant la cylindrée de la pompe, vous profitez d’un rendement et d’une précision optimale à débit faible, ce qui génère à des économies de fonctionnement importantes.   Des process plus flexibles et des gains de production Comme toutes les pompes à double vis Alfa Laval, cette nouvelle gamme, de plus petite cylindrée mais tout autant efficace, permettra toujours une très grande polyvalences, assurera toujours le transfert de fluides process aussi bien que le nettoyage en place. Il n’est donc plus nécessaire de disposer de 2 pompes avec un 2 réseaux distincts. Les économies réalisées sont significatives notamment grâce à des garnitures mécanique en CARTOUCHE à chargement frontal, simplifiant les interventions de maintenance d’une part, et en limitant au minimum le temps d’arrêt de ligne de production.   Une qualité de pompage sans aucun cisaillement produit Ces nouvelles pompes à double vis compactes adaptée aux faibles débits sont le choix idéal pour le transfert sensibles au cisaillement, abrasifs, que le produit soit très ou peu visqueux, ou même chargés en solides. Son très bas taux de pulsation permet de réduire de manière significative le risque d’endommagement du produit, ce qui contribue à améliorer la qualité de pompage. John Walker, responsable du portefeuille des pompes chez Alfa Laval, explique : « Optimisées pour le transfert de produits à faible débit, les trois nouveaux modèles de pompes à double vis élargissent la gamme actuelle de pompes afin d’offrir une précision et une économie de fonctionnement plus élevées. Cela améliore à la fois la qualité et le rendement du transfert. »   En savoir plus sur la pompe à double vis Les pompes à double vis compactes, économiques pour les faibles débits sont-elles faites pour vous ? La réponse est ici : https://www.alfalaval.fr/produits/transfert-des-fluides/pompes/pompes-a-double-vis/pompe-double-vis/   A propos d’Alfa Laval Alfa Laval est l’un des leaders mondiaux de la fourniture d’équipements spécialisés et de solutions globales d’ingénierie dans trois domaines essentiels : échange thermique, séparation et transfert des fluides. Nos équipements, systèmes et services permettent à nos clients d’optimiser les performances de leurs procédés. Ces solutions les aident à chauffer, réfrigérer, séparer et transférer les produits dans les industries agroalimentaires, chimiques et pétrochimiques, pharmaceutiques, ainsi que pour la production de boissons, d’amidon, de sucre et d’éthanol. Les produits Alfa Laval sont également utilisés dans les centrales thermiques, à bord des navires, dans l’exploration pétrolière et gazière, le génie mécanique ou l’industrie minière, ainsi que pour les stations d’épuration, la climatisation et la réfrigération.
Il y a 4 ans et 33 jours

Améliorez la précision de votre process et faites des économies grâce aux nouvelles pompes à double vis petit débit

Découvrez comment améliorer la précision de votre process et faites des économies grâce aux nouvelles pompes à double vis petit débit. Optimisez votre process La reconnue pompe à double vis Alfa Laval est désormais disponible en trois nouvelles tailles spécialement conçues pour transférer des débits faibles sur des applications hygiéniques dans l’industrie laitière, alimentaire, boissons et cosmétiques.   Besoin d’un transférer un petit débit ? Optez pour la pompe à double vis Alfa Laval Un fonctionnement plus économique Le meilleur compromis possible. En optimisant la cylindrée de la pompe, vous profitez d’un rendement et d’une précision optimale à débit faible, ce qui génère à des économies de fonctionnement importantes.   Des process plus flexibles et des gains de production Comme toutes les pompes à double vis Alfa Laval, cette nouvelle gamme, de plus petite cylindrée mais tout autant efficace, permettra toujours une très grande polyvalences, assurera toujours le transfert de fluides process aussi bien que le nettoyage en place. Il n’est donc plus nécessaire de disposer de 2 pompes avec un 2 réseaux distincts. Les économies réalisées sont significatives notamment grâce à des garnitures mécanique en CARTOUCHE à chargement frontal, simplifiant les interventions de maintenance d’une part, et en limitant au minimum le temps d’arrêt de ligne de production.   Une qualité de pompage sans aucun cisaillement produit Ces nouvelles pompes à double vis compactes adaptée aux faibles débits sont le choix idéal pour le transfert sensibles au cisaillement, abrasifs, que le produit soit très ou peu visqueux, ou même chargés en solides. Son très bas taux de pulsation permet de réduire de manière significative le risque d’endommagement du produit, ce qui contribue à améliorer la qualité de pompage. John Walker, responsable du portefeuille des pompes chez Alfa Laval, explique : « Optimisées pour le transfert de produits à faible débit, les trois nouveaux modèles de pompes à double vis élargissent la gamme actuelle de pompes afin d’offrir une précision et une économie de fonctionnement plus élevées. Cela améliore à la fois la qualité et le rendement du transfert. »   En savoir plus sur la pompe à double vis Les pompes à double vis compactes, économiques pour les faibles débits sont-elles faites pour vous ? La réponse est ici : https://www.alfalaval.fr/produits/transfert-des-fluides/pompes/pompes-a-double-vis/pompe-double-vis/   A propos d’Alfa Laval Alfa Laval est l’un des leaders mondiaux de la fourniture d’équipements spécialisés et de solutions globales d’ingénierie dans trois domaines essentiels : échange thermique, séparation et transfert des fluides. Nos équipements, systèmes et services permettent à nos clients d’optimiser les performances de leurs procédés. Ces solutions les aident à chauffer, réfrigérer, séparer et transférer les produits dans les industries agroalimentaires, chimiques et pétrochimiques, pharmaceutiques, ainsi que pour la production de boissons, d’amidon, de sucre et d’éthanol. Les produits Alfa Laval sont également utilisés dans les centrales thermiques, à bord des navires, dans l’exploration pétrolière et gazière, le génie mécanique ou l’industrie minière, ainsi que pour les stations d’épuration, la climatisation et la réfrigération.
Il y a 4 ans et 48 jours

SensorFlow : la robinetterie sans contact revisitée pour une hygiène sans concession

L’hygiène des mains est primordiale pour limiter la diffusion des bactéries et prévenir la transmission des virus tels que la Covid-19. La robinetterie électronique sans contact ne devant plus être une option dans la conception et la rénovation des sanitaires publics de tout établissement, Porcher lance SensorFlow. Entièrement sans contact, rapide à installer et facile à entretenir, la robinetterie électronique SensorFlow est la solution pour répondre aux normes d’hygiène attendues aujourd’hui par les utilisateurs. Le sans contact revisité pour une hygiène sans concession Soigneusement conçue pour garantir une hygiène irréprochable, la gamme de robinetterie SensorFlow est équipée : • d’un capteur infrarouge positionné au niveau de l’aérateur afin de détecter parfaitement les mains (champ de détection de 11 cm) et d’activer, sans contact, le débit d’eau, pour limiter la diffusion des bactéries ; • d’un corps en laiton chromé, à la surface lisse, garantissant sa durabilité ; • d’un circuit d’eau optimisé pour réduire la stagnation d’eau et le développement des bactéries. Seul un faible volume d’eau reste dans le mitigeur ; • d’un cycle de rinçage automatique anti-stagnation programmable ; • d’un brise jet 3 litres /minute qui concilie hygiène et économie d’eau ; • de flexibles en PEX (Polyéthylène réticulé) limitant l’adhérence du biofilm et par conséquent contribuant à lutter contre les infections. Le design fluide et arrondi des robinets électroniques sans contact SensorFlow participe également à l’hygiène en empêchant l’eau de stagner et en facilitant son nettoyage. Par ailleurs, pour une sécurité d’utilisation, SensorFlow dispose d’une butée de sécurité réglée à 43° C. Il est néanmoins possible d’utiliser la deuxième butée fournie dans le pack pour élever davantage la température. Une conception pensée pour tous les espaces Alimentée sur secteur ou par pile, la gamme SensorFlow se compose de 9 modèles de robinetteries électroniques pour lavabos, plans ou à fixation murale, répondant à toutes les configurations : • robinets monofluide sur gorge • mitigeurs sur gorge • robinet monofluide mural • robinets monofluides muraux en traversée de cloison • mitigeurs muraux en traversée de cloison Facilité d’installation et d’entretien Grâce à la technologie innovante EasyFix®, à la batterie et à l’électrovanne intégrées dans le corps du robinet, l’installation de Sensorflow est simple. Ceci facilite le changement d’une robinetterie mécanique par une électronique, dans tous les sanitaires, et ceci même en l’absence de raccordement électrique, grâce aux modèles à piles. Avec ses composants pré-assemblés offrant une diminution du temps d’installation de 30%, SensorFlow garantie des coûts de montage maîtrisés. Une fois installé, SensorFlow est entretenu et réparé simplement, sans couper l’eau, ni démonter la robinetterie grâce à un accès par le haut du corps. Avec la nouvelle gamme de robinetterie électronique sans contact SensorFlow, professionnels et utilisateurs ont l’assurance d’opter pour un équipement alliant hygiène, sécurité, facilité d’installation et de maintenance. http://www.porcher.com
Il y a 4 ans et 56 jours

Bette : nouvelle collection de baignoires BetteEve

Avec la nouvelle collection de baignoires BetteEve, une forme originale fait son entrée dans la salle de bains : l’ellipse. Inspiré par la nature, Bette a dessiné une transition délicate et fluide entre le rebord de la baignoire et le corps elliptique intérieur. La douce force de l’eau semble avoir poli l’acier titane pendant des millions d’années. La forme naturelle flatte le corps et témoigne d’une très grande maîtrise dans le façonnage de ce matériau extrêmement robuste. Au début du 17ème siècle, l’astronome Johannes Kepler révèle la trajectoire elliptique des planètes. Les artistes et architectes de la période baroque reprennent cette découverte avec enthousiasme et recourent à cette forme élégante et équilibrée dans les bâtiments, les parcs, les bijoux ou encore les cadres de tableaux. Chez Bette, le designer Dominik Tesseraux (Tesseraux+Partner, Potsdam) a modernisé l’ellipse pour la nouvelle baignoire en acier titane vitrifié BetteEve. BetteEve présente une ellipse parfaite, qui donne l’air d’avoir été creusée et polie par l’eau qui coule. La réalisation des fines courbures et des transitions fluides dans ce matériau très dur a nécessité toute l’expérience et le grand savoir-faire de Bette. Le résultat donne une véritable merveille. Cette baignoire, résurgence d’une source d’eau naturelle, invite à prendre un bain confortable, seul ou en couple. Contrairement au cercle, l’ellipse comporte deux points cardinaux. BetteEve encourage le bain à deux grâce à son espace généreux de 180 x 100 centimètres, ses pentes symétriques pour le dos des deux côtés et son évacuation centrale. Un vaste choix pour l’aménagement de la salle de bains BetteEve est disponible en trois versions : baignoire en îlot, baignoire ovale encastrée et baignoire rectangulaire encastrée. Cette polyvalence offre une solution adaptée à pratiquement toutes les conceptions et utilisations. La baignoire elliptique en îlot primadonna imprime son esthétique à la salle de bains et attire tous les regards, surtout avec les coloris attractifs de la gamme de Bette. BetteEve est disponible dans plus de 400 couleurs sanitaires, mais aussi en blanc mat, en Midnight scintillant ou en Blue Satin flatteur. Véritable baignoire encastrable, BetteEve s’intègre presque entièrement dans l’architecture de la salle de bains pour une mise en place affleurante. Seul un rebord extrêmement fin de 20 millimètres signale la transition entre les matériaux. Grâce à son pourtour en titane vitrifié, cette solution est particulièrement facile à nettoyer. L’eau qui déborde peut enfin tout simplement être redirigée vers l’intérieur de la baignoire. Bien évidemment, les versions encastrables disposent aussi de nombreuses options de coloris. Finalement, les goûts de chacun et la place disponible définissent la baignoire BetteEve idéale pour un projet de salle de bains. Qu’importe la version choisie, elles disposent toutes d’un point commun : la qualité élevée des produits Bette fabriqués en Allemagne. Le fabricant offre d’ailleurs une garantie de 30 ans pour ce matériau haut de gamme. Les baignoires comportent même une isolation phonique de série pour profiter pleinement de sa baignoire, même à une heure tardive.
Il y a 4 ans et 83 jours

A Marseille, Bouygues TP et Rudy Ricciotti livrent deux ponts en un

A l’est de Marseille, dans le quartier de Saint-Loup, proche d’un nœud autoroutier, le groupement de conception-réalisation, piloté par Bouygues Travaux publics avec l’agence d’architecture Rudy Ricciotti, a livré en février, à la Métropole Aix-Marseille-Provence, deux ponts métalliques aux lignes fluides pour se fondre dans un tissu urbain. Enjambant le fleuve côtier l’Huveaune, ils sont posés sur trois appuis conçus sur le principe du profil Naca utilisé pour la construction d'ailes d'avion ou de quilles de bateau de manière à favoriser l'écoulement de l'eau dans une zone soumise au risque inondation.