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Résultats de recherche pour groupe saint gobain

(752 résultats)
Il y a 2 ans et 314 jours

Avec Chryso et GCP, Saint-Gobain veut devenir numéro 2 mondial de la chimie de construction

"40% des émissions de gaz à effet de serre mondiales viennent de la construction, et on peut répondre à ces problèmes avec la chimie du bâtiment, un secteur en pleine croissance", a déclaré mardi à la presse David Molho, directeur général des Solutions hautes performances de Saint-Gobain lors d'une visite de presse du principal centre de recherche et site de production de Chryso, à Sermaises dans le Loiret.La chimie de la construction basée sur des adjuvants et des additifs permet à l'industrie du bâtiment d'imperméabiliser, de fixer, protéger, renforcer ou isoler aussi bien les façades que les fondations ou les enduits et mortiers, et de décarboner les ciments et bétons, très émetteurs de gaz à effet de serre.Sur un marché mondial estimé entre 80 et 90 milliards d'euros, en croissance de 6 à 8% par an, Saint-Gobain espère peser "environ 4 milliards d'euros" dans ces activités une fois intégré GCP, a indiqué M. Molho, contre près de 3 milliards actuellement.Soit derrière le numéro un mondial, le suisse Sika, qui vient lui de racheter l'ancien numéro deux, l'allemand Master Builders Solutions, en novembre 2021, pesant quelque 10 milliards d'euros au total."Il y a une incroyable consolidation dans le secteur", a commenté Thierry Bernard, directeur général de Chryso, créé il y a 80 ans, et passé dans le giron de Saint-Gobain en septembre 2021."Nous avions besoin d'investissements massifs à cause des thématiques de durabilité et j'ai considéré que c'était le moment de rejoindre un grand groupe", a dit M. Bernard qui dirigeait Chryso depuis 10 ans lors de la reprise, et est resté aux commandes opérationnelles.Dans les laboratoires Chryso, on teste toutes sortes de combinaisons de bétons, de ciments, auxquels sont ajoutés des adjuvants à base de polymères synthétisés industriellement sur place dans d'immenses réacteurs chauffés.Ces produits, ajoutés au béton frais, garantissent au client sa texture, son étalement, sa fluidité et permettent son transport en camion toupie jusqu'au chantier. Chryso en produit 60.000 tonnes par an.Béton durableLe groupe vient de participer à un essai grandeur nature après plus de deux ans de recherche et développement, d'un béton d'argile décarboné n'utilisant aucun clinker - l'élément du ciment dont la fabrication émet le plus de gaz à effet de serre - en lien avec la start-up Hoffmann Green et le groupe Bouygues construction.Les adjuvants de béton faits par Chryso, qui représentaient 76% de ses ventes en 2021, sont utilisés par les bétonniers mondiaux comme Holcim, Cemex ou USConcrete, ou constructeurs comme Bouygues, Heidelberg ou Vinci. Et se retrouvent aussi bien sur la route du littoral de l'île de la Réunion que sur les travaux du Grand Paris Express, ou le pont 1915 récemment inauguré en Turquie."Pendant 30 ans, on a surtout parlé amélioration de la performance (mécanique, chimique etc.) des matériaux et de leur productivité, en permettant de construire plus vite notamment", dit M. Bernard. "Maintenant il y a un troisième axe qui est en train de tout bousculer, le grand sujet c'est la réduction de l'empreinte carbone du ciment et du béton".En France, l'entrée en vigueur de la nouvelle réglementation RE2020 depuis le début de l'année, qui impose une limite de kilogrammes de CO2 par mètre carré construit, "pousse tout le secteur à bouger" ajoute M. Bernard, même si pour l'instant les grands acteurs sont encore en train d'affûter leur stratégie.Saint-Gobain compte sur Chryso pour faire évoluer l'ensemble des matériaux vers plus de "sustainability", le terme maison qui désigne durée de vie, bilan carbone et rentabilité. Saint-Gobain et Chryso prévoient notamment l'ouverture d'une nouvelle usine d'adjuvants en Inde fin 2023, et d'une en Côte d'Ivoire.Restera ensuite à décarboner la production elle-même des polymères utilisés comme additifs, pour l'instant largement issus du pétrole, alors que l'énergie des chaudières vient du gaz. "On est en train de regarder pour du chauffage électrique", indique Jean-Claude Maesano, directeur industriel de Chryso France.
Il y a 2 ans et 324 jours

La décarbonation de l'usine d'Isonat subventionnée par l'Ademe à hauteur de 850 000 €

Le fabricant d'isolants biosourcés en fibre de bois du groupe Saint-Gobain va refondre son outil de production à l'occasion du doublement de la capacité de son usine de Mably et réduire de 20% (1100 t/an) ses émissions de CO2.
Il y a 2 ans et 326 jours

Saint-Gobain acquiert le nord-américain Kaycan, numéro un du bardage

Kaycan, qui emploie 1.300 personnes sur 12 sites de production aux Etats-Unis et au Canada, "est un acteur majeur des matériaux de rénovation", en particulier pour les revêtements de façade, bardages en bois, vinyle, composite et aluminium, a indiqué Benoit Bazin, directeur général de Saint-Gobain au cours d'un bref entretien avec la presse.Cette acquisition qui devrait être finalisée "d'ici fin 2022" s'inscrit doublement dans la stratégie du groupe français, qui s'investit dans la construction durable et souhaite se développer en Amérique du Nord, a souligné M. Bazin.Au total, le chiffre d'affaires de Saint-Gobain aux Etats-Unis "va dépasser 10 milliards de dollars en 2022", contre 6,5 milliards USD en 2018, a-t-il précisé.Saint-Gobain a prévu de revendre 10 agences de distribution appartenant à Kaycan aux Etats-Unis, dont le chiffre d'affaires annuel s'élève à 70 millions de dollars.Au Canada, le groupe gardera toute l'implantation très forte de Kaycan, et notamment son réseau de distribution "solide et intégré" qui servira aussi à diffuser les produits Saint-Gobain, a indiqué M. Bazin.L'opération de rachat est financée en numéraire. "C'est la deuxième fois en un an que nous réalisons une opération d'achat de gré à gré après celle de Chryso", leader français de la chimie de construction, a indiqué M. Bazin."C'est nous qui sommes allés chercher cette société familiale fondée en 1974" en raison d'un "alignement parfait des activités" des deux groupes, a-t-il dit.
Il y a 2 ans et 334 jours

Saint-Gobain et Nexity s’associent pour la construction durable

Véronique Bédague, directrice générale de Nexity, et Thierry Fournier, directeur général de Saint-Gobain France, lors de la signature du partenariat. [©Nexity] Saint-Gobain et Nexity ont signé un partenariat pour développer ensemble la construction bas carbone, pour les marchés des logements et des bureaux. L’idée de ce partenariat d’innovation et de co-conception est de combiner le savoir-faire de ces deux acteurs majeurs de la construction. Ceci, afin d’élargir les gammes Ywood Résidentiel et Essentiel de Nexity. La première est basée sur des bâtiments bas carbone réalisés grâce à un mode constructif léger en bois. Quant à la seconde, elle mise sur des bâtiments bas carbone. Qui sont conçus avec le moins possible de chauffage, de ventilation mécanique ou de climatisation. Une manière de proposer au marché une offre durable à coûts maîtrisés. Marché bas carbone en France « Le travail commun réalisé visera à optimiser les conceptions de l’ensemble des projets immobiliers, avec des solutions légères, performantes en qualité, bas carbone et économiques. Et ce, en s’appuyant sur la présence de Saint-Gobain sur toute la chaîne de valeur, depuis la conception jusqu’à la distribution et livraison des matériaux », explique Nexity. Ce partenariat renforcera la présence des deux groupes sur le marché de la construction bas carbone en France. Il s’inscrit dans la lignée du plan stratégique “Grow & Impact” de Saint-Gobain. Ainsi que dans la stratégie bas carbone abordable de Nexity. Saint-Gobain ayant pris pour sa part, l’engagement d’atteindre zéro émission nette de carbone d’ici 2050. Nexity a, de son côté, annoncé rehausser les ambitions de sa trajectoire carbone. Et vise à l’horizon 2030 des objectifs 10 % plus ambitieux que ceux rendus obligatoire par la RE 2020.
Il y a 2 ans et 338 jours

Weber verdit son offre et ses processus de production

La marque du groupe Saint-Gobain a présenté, mi-mai, un programme couplant solutions constructives et transformation des modes de production de l'entreprise.
Il y a 2 ans et 341 jours

Partenariat pour une offre de bâtiments bas carbone durables à coûts maîtrisés

Saint-Gobain et Nexity viennent de signer un partenariat pour développer ensemble la construction bas carbone, pour les marchés des logements et des bureaux. Grâce à leurs savoir-faire, ce partenariat d’innovation et de co-conception permettra le développement des gammes Ywood Résidentiel – bâtiments bas-carbone réalisés grâce à un mode constructif léger en bois – et Essentiel – bâtiments bas carbone, conçus avec le moins possible de chauffage, ventilation mécanique ou climatisation – de Nexity, afin de proposer au marché une offre de bâtiments bas carbone durables à coûts maîtrisés. Le travail commun réalisé visera plus généralement à optimiser les conceptions de l’ensemble des projets immobiliers, avec des solutions légères, performantes en qualité, bas carbone et économiques en s’appuyant notamment sur la présence de Saint-Gobain sur toute la chaîne de valeur, depuis la conception jusqu’à la distribution et livraison des matériaux. Ce partenariat renforcera la présence des deux groupes sur le marché de la construction bas carbone en France. Il s’inscrit dans la lignée du plan stratégique « Grow & Impact » de Saint-Gobain d’être leader de la construction durable dans le monde, ainsi que dans la stratégie bas carbone abordable de Nexity. Photo : Véronique Bédague, Directrice générale de Nexity et Thierry Fournier, Directeur Général de Saint-Gobain France Cet article Partenariat pour une offre de bâtiments bas carbone durables à coûts maîtrisés est apparu en premier sur Planète Bâtiment.
Il y a 2 ans et 349 jours

Saint-Gobain cède son activité de distribution spécialisée et deux usines au Royaume-Uni

"Saint-Gobain a signé des accords définitifs en vue de la cession de International Decorative Surfaces (IDS), son activité de distribution spécialisée en revêtements de sol, plans de travail et stratifiés au Royaume-Uni, à Chiltern Capital", une société britannique de capital investissement, a indiqué le groupe dans un communiqué.La société de matériaux de construction n'a pas précisé le montant de la cession d'IDS, qui affichait en 2021 environ 130 millions de chiffre d'affaires, ni si les emplois de ses 500 employés étaient menacés."Saint-Gobain a également signé des accords définitifs en vue de la cession de deux sites de transformation de verre spécialisés dans la production de double vitrage au Royaume-Uni", a ajouté l'entreprise, précisant à l'AFP les céder à Clayton Glass, un fabricant britannique de verre.Ces deux centres situés à Motherwell (Écosse, proche de Glasgow) et à Canterbury (sud-est de l'Angleterre) ont généré en 2021 un chiffre d'affaires combiné d'environ 20 millions d'euros et emploient environ 80 personnes. Les deux transactions devraient être finalisées "d'ici la fin du deuxième trimestre 2022", précise le communiqué, et marquent "la sortie de Saint-Gobain de toutes ses enseignes de distribution spécialisée au Royaume-Uni".Une opération qui s'inscrit "dans la poursuite de la stratégie d'optimisation du profil du Groupe", a précisé celui-ci.Fin février, Saint-Gobain a annoncé pour 2021 des "records de croissance, de résultat et de marge" - avec un chiffre d'affaires de 44,16 milliards d'euros et un résultat net qui a quintuplé à 2,5 milliards d'euros-, porté par la reprise économique observée après la crise sanitaire et la vague de rénovation de logements lancée dans le monde entier pour répondre à l'urgence climatique.
Il y a 3 ans et 17 jours

Double nomination chez Demathieu Bard

De gauche à droite, François Barthélemy, nouveau directeur délégué des ressources humaines, et, Vincent Monnot, directeur financier. [©Demathieu Bard] Le groupe Demathieu Bard annonce la nomination de François Barthélemy au poste de directeur délégué des ressources humaines. Et de Vincent Monnot à celui de directeur financier. François Barthélemy remplace Jacques Perrin, qui se consacre désormais à sa fonction de secrétaire général du fonds de donation Demathieu Bard Initiatives. Grâce à son expertise dans le domaine des ressources humaines, François Barthélemy sera en charge de mobiliser l’ensemble des collaborateurs autour des valeurs de l’entreprise : l’engagement, l’énergie et l’enthousiasme. « Je suis honoré de la confiance qui m’est témoignée à travers cette nomination. Je souhaite accompagner la croissance du groupe, en m’appuyant sur ses valeurs humaines et authentiques ». De plus, François Barthélemy favorisera la prévention, la diversité et l’inclusion sous toutes ses formes. Il souhaite respecter les engagements sociétaux et de développement durable engager par l’entreprise et ses collaborateurs. Les missions de Vincet Monnot Quant à Vincent Monnot, il devient directeur financier. Il va ainsi poursuivre le développement mené par le groupe. Il aura pour mission de renforcer la fonction finance, qui est “partenaire” de la réussite et de la performance du groupe. Vincent Monnot rejoint ainsi le directoire aux côtés de René Simon, président, Franck Becherel, directeur général secteur construction, et Philippe Jung, directeur général secteur immobilier. « Je prends à cœur la mission qui m’est confiée d’accompagner la croissance de l’entreprise, en poursuivant le travail effectué jusqu’ici dans la gestion financière du groupe. Cette gestion devrait ainsi accompagner les ambitions futures de l’entreprise et s’ancrer dans les valeurs qui animent Demathieu Bard depuis plus de 160 ans », témoigne Vincent Monnot. Les parcours de François Barthélemy et Vincent Monnot Diplômé d’un master RH du Ciffop et d’un magistère en droit social à l’université de Paris-Nanterre, François Barthélemy possède une expérience de plus de 25 ans. Il a travaillé dans différents groupes dont Lapeyre, L’Oréal et Saint-Gobain … Il a notamment occupé des postes de DRH réseau, de pôle… au sein du groupe Saint-Gobain (Placo, Securite et Glassolution). Ingénieur de formation, Vincent Monnot est aussi diplômé d’un mastère économie et gestion à l’Essec. Il compte 30 années d’expérience en finance, dont 10 ans en cabinet d’audit. Il a occupé des postes au sein de directions financières et directions fusion-acquisition. Depuis 2014, Vincent Monnot était directeur général finance chez Idverde (service pour l’environnement).
Il y a 3 ans et 54 jours

Weber à la conquête de la France

Weber se lance à la rencontre de centaines de négoces partout en France. [©Weber] Weber se lance dans un tour de France. La filiale du groupe Saint-Gobain a annoncé son Weberexpert Tour 2022, prévu entre mars et novembre. Cet événement permet de faire découvrir à des négoces situés partout en France les solutions Weber, via des démonstrations et des conseils. Qu’il s’agisse d’une rénovation de façade ou de la pose d’un carrelage, les clients bénéficieront aussi de vidéos ou de bornes digitales pour accéder à un ensemble de tutoriels. Ainsi, plus d’une centaine de rencontres vont être organisées cette année. Pour sa première étape, l’industriel a déjà rejoint les Alpes-Maritimes, et plus précisément à Cagnes-sur-Mer. Weber au service de ses clients Lors de cette opération, Weber propose des espaces de rencontres, d’échanges, d’expositions et d’expérimentations. Parmi ses installations, “l’atelier des experts” devrait être le stand le plus convoité. Il accueille une sélection de produits phares, d’innovations et la gamme “éco-conçue”. Très sollicitée par les professionnels de la construction, cette dernière présente diverses solutions biosourcées ou à empreinte carbone réduite. Lire aussi : Saint-Gobain Weber et Lhoist, partenaires autour de l’offre Tradical Permettant ainsi de répondre aux nouveaux enjeux environnementaux. En parallèle, la caravane du tour fait office de “café”, où sont servis petits-déjeuners, déjeuners et collations. Un “jeu des experts” est enfin organisé. Il permettra aux participants de gagner de nombreux lots. De quoi renforcer les relations entre les artisans et l’industriel.
Il y a 3 ans et 61 jours

Saint-Gobain annonce des résultats record en 2021 grâce à l'isolation des logements

Le groupe français a annoncé un chiffre d'affaires de 44,16 milliards d'euros en 2021, en hausse de 15,8% par rapport à celui de 2020.Son résultat net a quintuplé à 2,5 milliards d'euros contre 456 millions en 2020, et 1,4 milliard en 2019.Le résultat net courant s'inscrit à un "record historique" de 2,8 milliard d'euros. Et, "pour la première fois", le groupe a atteint "une marge à deux chiffres" (+10,2%), a indiqué son directeur-général Benoit Bazin au cours d'une conférence téléphonique.Le groupe a vécu une "très belle année 2021", a résumé M. Bazin qui a pris les rênes du groupe mi-2021, succédant à Pierre-André de Chalendar.Il attribue les résultats notamment à son modèle d'organisation local. Celui-ci lui permet de réagir au plus près des demandes de ses clients, et notamment de régler les problèmes d'approvisionnement qui se sont multipliés en 2021 avec la crise logistique qui a suivi les confinements, mis à profit par beaucoup de gens pour rénover leur intérieur ou isoler leur logement."35 millions de bâtiments à rénover en Europe""Il y a 35 millions de bâtiments à rénover et isoler en Europe d'ici 2030" pour faciliter la transition énergétique, a souligné M. Bazin, qui compte pour 2022 sur l'ouverture du marché de la rénovation des bâtiments publics en France, et sur l'ouverture de mesures de soutien dans la rénovation énergétique en Allemagne.En France, l'an passé, le groupe a tiré parti du dispositif de soutien aux ménages MaPrimeRenov' qui représente quelque 2 milliards d'euros distribués pour plus de 800.000 dossiers.Il a aussi bénéficié de "trois à cinq millions d'euros" de subventions distribuées dans le cadre du plan de relance pour investir sur des projets de décarbonation liés notamment à l'achat de fours électriques, a indiqué M.Bazin.Deuxième explication évoquée par le dirigeant pour expliquer les bons résultats : une "allocation rigoureuse et disciplinée du capital".En clair, le groupe s'est délesté l'an passé d'actifs jugés "sous performants" ou pas suffisamment dans ses priorités stratégiques, comme la chaine française d'ameublement Lapeyre, alors qu'il a investi dans des acquisitions jugées "rentables", notamment dans le secteur de la chimie de la construction.Enfin, Saint Gobain s'est aussi félicité de "fortes avancées" sur les aspects sociaux et environnementaux. En particulier il s'est dit "en ligne" avec son objectif de réduire de 33% ses émissions de gaz à effet de serre (scope 1 et 2) d'ici 2030, validé par l'organisme Science-Based target (SBT).Alors que les déchetteries sauvages liées aux déchets du bâtiment continuent de se multiplier en France, le groupe affirme avoir baissé de 24% le volume de ses déchets non valorisés depuis 2017.Il a aussi souligné que les investissements en Norvège visant à faire de son usine de Fredikstad la première usine du monde de plaques de plâtre neutre en carbone "ont bien progressé".Les actionnaires sont récompensés : le conseil d'administration de jeudi a décidé du versement d'un dividende de 1,63 euro par action, en hausse de 23% par rapport à celui de 2020, ce qui représente 30% du résultat net courant.Le groupe allouera aussi "au moins" 400 millions d'euros en rachat de ses propres actions en 2022 pour continuer à réduire le nombre de ses titres en circulation. Le prix d'achat sera relevé de 80 à 100 euros par action.
Il y a 3 ans et 66 jours

L’entreprise alsacienne CLIPSO rejoint le groupe Ecophon Saint-Gobain

Concepteur & fabricant français de solutions techniques pour plafonds & murs Suite à un accord exclusif, l’entreprise CLIPSO rejoint le Groupe Ecophon Saint-Gobain, leader mondial de système d’absorption acoustique. CLIPSO conçoit, fabrique et commercialise des revêtements textiles pour les plafonds et les murs. Ces solutions techniques offrent une excellente performance acoustique et une installation rapide […]
Il y a 3 ans et 67 jours

Saint-Gobain Weber et Lhoist, partenaires autour de l’offre Tradical

Pour Saint-Gobain Weber, l’offre Tradicall va permettre d’asseoir son expertise en restauration du patrimoine. [©Saint-Gobain] A compter du 1er mai 2022, Saint-Gobain Weber France va commercialiser, en exclusivité sur le territoire français, les produits de la gamme Tradical. A savoir, des liants à base de chaux aérienne et de bétons de chanvre. En effet, l’industriel a signé avec le groupe belge Lhoist un accord de partenariat concernant l’offre Tradical de sa filiale BCB. Un partenariat gagnant/gagnant Côté Saint-Gobain Weber, il s’agit d’asseoir son expertise en restauration du patrimoine. La gamme Georges Weber, avec sa large palette de solutions au service du bâti ancien, va ainsi s’enrichir des produits à base de chaux aérienne Tradical. Ces derniers conserveront leur patronyme, mais aussi leur formulation. Par ailleurs, la branche “Bétons de chanvre” de BCC va permettre à Weber de continuer à renforcer sa gamme stratégique des produits et services “éco-engagés”, portée par l’hashtag “VertEtFier”, en faveur d’un habitat et de systèmes constructifs respectueux de l’environnement. Côté Lhoist, tout d’abord, c’est l’assurance de la continuité de la commercialisation des références Tradical aux côtés d’un industriel reconnu. Comme le souligne Jacques Chanteclair, vice-président et directeur général de Lhoist Europe du Sud, « la notoriété de la marque Tradical associée à l’expertise de Saint-Gobain Weber France sur ce secteur formeront une association bénéfique aux deux parties ainsi qu’aux clients professionnels du bâtiment ». Ensuite, cet accord s’inscrit en pleine cohérence avec l’engagement du groupe Lhoist à contribuer à la performance environnementale de ses activités et de celles de ses clients.
Il y a 3 ans et 72 jours

Frédéric Guimbal, nouveau vice-président exécutif de Chryso

Frédéric Guimbal vient d’être nommé vice-président exécutif de Chryso, en charge des marchés, de l’innovation, des achats et de la communication. [©Chryso] Frédéric Guimbal a été nommé vice-président exécutif de Chryso (groupe Saint-Gobain) [lien article], en charge des marchés, de l’innovation, des achats et de la communication. depuis 2021, il dirigeait la BU Béton de Chryso et rejoint maintenant l’équipe du comité exécutif du groupe. « Nous allons poursuivre nos efforts de recherche et le développement de nouvelles solutions pour aider nos clients à relever les défis de la construction durable. Nos technologies additives offrent de hautes performances et des propriétés durables nécessaires à la conception de ciments et de bétons plus écologiques. Saint-Gobain dispose d’une vaste plate-forme industrielle et d’un large réseau de centres de R&D sur lesquels nous pouvons nous appuyer pour déployer nos nouvelles offres dans de nombreuses régions », a déclaré Frédéric Guimbal. Celui-ci apportera ainsi au groupe quelque 17 ans d’expérience dans l’industrie du ciment et du béton. Etant proche du terrain et ayant géré ces activités dans diverses régions du monde, tant dans les pays matures qu’émergents. Il a notamment été directeur Lafarge Inde, en 2012 et directeur général d’Holcim Azerbaijan, en 2017.
Il y a 3 ans et 72 jours

Frédéric Guimbal, nouveau directeur général adjoint de Chryso

Frédéric Guimbal vient d’être nommé directeur général adjoint de Chryso, en charge des marchés, de l’innovation, des achats et de la communication. [©Chryso] Frédéric Guimbal a été nommé directeur général adjoint de Chryso (groupe Saint-Gobain), en charge des marchés, de l’innovation, des achats et de la communication. Depuis 2021, il dirigeait la BU Béton de Chryso et rejoint maintenant l’équipe du comité exécutif du groupe. « Nous allons poursuivre nos efforts de recherche et de développement de nouvelles solutions. Ceci, pour aider nos clients à relever les défis de la construction durable», explique Frédéric Guimbal. Et de poursuivre : « Nos technologies additives offrent de hautes performances. Mais aussi et des propriétés durables nécessaires à la conception de ciments et de bétons plus écologiques. Saint-Gobain dispose d’une vaste plate-forme industrielle et d’un large réseau de centres de R&D sur lesquels nous pouvons nous appuyer pour déployer nos nouvelles offres dans de nombreuses régions ». Frédéric Guimbal apportera ainsi au groupe quelque 17 ans d’expérience dans l’industrie du ciment et du béton. Etant proche du terrain et ayant géré ces activités dans diverses régions du monde, tant dans les pays matures qu’émergents. Il a notamment été directeur Lafarge Inde, en 2012 et directeur général d’Holcim Azerbaijan, en 2017.
Il y a 3 ans et 74 jours

Le Collectif de la Rénovation Globale en Copropriété intègre l’Alliance HQE-GBC

En France, environ 100 000 copropriétés soit 1,1 million logements sont considérés comme des passoires énergétiques. Rénover l’ensemble du parc immobilier au standard BBC d’ici 2050 est l’un des objectifs du projet de loi Climat et Résilience avec une étape visant à éliminer les passoires thermiques d’ici 2025. De plus dès 2028, il ne sera plus possible de louer un appartement classé F ou G. Face à cet enjeu majeur, il est apparu urgent aux acteurs de la filière de se mobiliser dans le cadre du Collectif de la Rénovation Globale en Copropriété (RGC) avec pour vocation de réfléchir et d’agir depuis l’intérieur et avec l’ensemble de la filière (MOA, Maîtrise d’Usage, MOE, AMO, Entreprises, Industriels, fournisseurs d’énergie et organismes de sensibilisation du public) dans le but de multiplier les rénovations globales efficientes en copropriété. Afin d’accélérer la massification de la rénovation énergétique des copropriétés, le Collectif vient d’intégrer l’Alliance HQE-GBC France en créant un groupe de travail dédié. Pour fluidifier le processus de rénovation globale et démultiplier les chantiers, le groupe de travail Rénovation Globale en Copropriété s’appuiera sur 4 axes d’actions fortes nourries par l’innovation collective : 1. Faciliter la commande de rénovations globales efficientes grâce à la systématisation de la réalisation d’un diagnostic technique global et la définition d’un langage commun pour mettre en place des guides et référentiels. 2. Proposer des outils opérationnels, notamment des formations par cœur de métier et interdisciplinaires, une base de données documentaire centralisée, une boite à outils de gestion de projet de rénovation, un mode de dévolution des marchés. 3. Développer le réseau des professionnels en déployant en régions la politique nationale de rénovation des copropriétés et en faisant la promotion des actions interprofessionnelles sur le territoire. 4. Innover dans les financements en exploitant les financements verts, les prêts avance mutation (PAM), le levier surélévation… Les membres actuels du groupe Rénovation Globale en Copropriété au sein de l’Alliance HQE-GBC France : UNIS, UNSFA, FNAIM, CINOV, SNPI, ANAH, Compagnie des Architectes de Copropriété, l’Échappée des Copropriétés, La Copro des Possibles, l’Agence Parisienne du Climat, le Plan Bâtiment Durable, Ile de France Énergies, Vert Durable, le Club de l’Amélioration de l’Habitat, , STO, Saint-Gobain, EDF, GRDF.   Photo : Jean-Charles Vaillant, Compagnie des Architectes de Copropriété – Olivier Safar, UNIS – Gérard Sénior, UNSFA – Emira Zaag, UNSFA – Marjolaine Meynier-Millefert, Présidente de l’Alliance HQE-GBC Alexandre Vitry, Compagnie des Architectes de Copropriété – Danielle Dubrac, UNIS – François Pelegrin, UNSFA  
Il y a 3 ans et 74 jours

Le Collectif de la Rénovation Globale en Copropriété intègre l’Alliance HQE-GBC

En France, environ 100 000 copropriétés soit 1,1 million logements sont considérés comme des passoires énergétiques. Rénover l’ensemble du parc immobilier au standard BBC d’ici 2050 est l’un des objectifs du projet de loi Climat et Résilience avec une étape visant à éliminer les passoires thermiques d’ici 2025. De plus dès 2028, il ne sera plus possible de louer un appartement classé F ou G. Face à cet enjeu majeur, il est apparu urgent aux acteurs de la filière de se mobiliser dans le cadre du Collectif de la Rénovation Globale en Copropriété (RGC) avec pour vocation de réfléchir et d’agir depuis l’intérieur et avec l’ensemble de la filière (MOA, Maîtrise d’Usage, MOE, AMO, Entreprises, Industriels, fournisseurs d’énergie et organismes de sensibilisation du public) dans le but de multiplier les rénovations globales efficientes en copropriété. Afin d’accélérer la massification de la rénovation énergétique des copropriétés, le Collectif vient d’intégrer l’Alliance HQE-GBC France en créant un groupe de travail dédié. Pour fluidifier le processus de rénovation globale et démultiplier les chantiers, le groupe de travail Rénovation Globale en Copropriété s’appuiera sur 4 axes d’actions fortes nourries par l’innovation collective : 1. Faciliter la commande de rénovations globales efficientes grâce à la systématisation de la réalisation d’un diagnostic technique global et la définition d’un langage commun pour mettre en place des guides et référentiels. 2. Proposer des outils opérationnels, notamment des formations par cœur de métier et interdisciplinaires, une base de données documentaire centralisée, une boite à outils de gestion de projet de rénovation, un mode de dévolution des marchés. 3. Développer le réseau des professionnels en déployant en régions la politique nationale de rénovation des copropriétés et en faisant la promotion des actions interprofessionnelles sur le territoire. 4. Innover dans les financements en exploitant les financements verts, les prêts avance mutation (PAM), le levier surélévation… Les membres actuels du groupe Rénovation Globale en Copropriété au sein de l’Alliance HQE-GBC France : UNIS, UNSFA, FNAIM, CINOV, SNPI, ANAH, Compagnie des Architectes de Copropriété, l’Échappée des Copropriétés, La Copro des Possibles, l’Agence Parisienne du Climat, le Plan Bâtiment Durable, Ile de France Énergies, Vert Durable, le Club de l’Amélioration de l’Habitat, , STO, Saint-Gobain, EDF, GRDF.   Photo : Jean-Charles Vaillant, Compagnie des Architectes de Copropriété – Olivier Safar, UNIS – Gérard Sénior, UNSFA – Emira Zaag, UNSFA – Marjolaine Meynier-Millefert, Présidente de l’Alliance HQE-GBC Alexandre Vitry, Compagnie des Architectes de Copropriété – Danielle Dubrac, UNIS – François Pelegrin, UNSFA   Cet article Le Collectif de la Rénovation Globale en Copropriété intègre l’Alliance HQE-GBC est apparu en premier sur Planète Bâtiment.
Il y a 3 ans et 78 jours

Marine Charles, nouvelle Directrice Générale de Saint-Gobain Weber France

Marine Charles vient de prendre ses fonctions de Directrice Générale de Saint-Gobain Weber France pour succéder à Charlotte Famy. Marine Charles a en charge la poursuite et le développement de la stratégie Weber en termes d’innovation, de performance et de développement durable. Forte d’une solide connaissance du groupe qu’elle a intégré en 2013 en tant que Directrice Stratégie et M&A du Pôle Distribution Bâtiment, elle avait rejoint en 2016 l’enseigne Lapeyre, détenue par Saint-Gobain, d’abord comme Directrice Générale adjointe, puis Directrice Générale. Diplômée de Sciences Po Paris et HEC, elle a également occupé diverses fonctions de Direction pour le Groupe Casino entre 2008 et 2013, au sein des équipes Stratégie et Finance. Soulignons qu’au rang de ses multiples compétences, l’ouverture et l’adaptabilité s’avèrent de mise puisqu’elle a vécu 13 ans à l’étranger (Cameroun, Royaume-Uni…).
Il y a 3 ans et 81 jours

Marine Charles devient la nouvelle Directrice Générale de Saint-Gobain Weber France

Elle a pris ses fonctions le 1er février, succédant à Charlotte Famy, appelée à de nouvelles responsabilités au sein du Groupe Saint-Gobain. Marine Charles aura en charge la poursuite et le développement de la stratégie Weber en termes d’innovation, de performance et de développement durable.Marine Charles, 40 ans, accède à son nouveau poste chez Weber, forte d’une solide connaissance du Groupe Saint-Gobain qu’elle a intégré dès 2013 en tant que Directrice Stratégie et M&A du Pôle Distribution Bâtiment. Elle avait rejoint en 2016 l’enseigne Lapeyre, détenue par Saint-Gobain, d’abord comme Directrice Générale adjointe, puis Directrice Générale. Diplômée de Sciences Po Paris et HEC, Marine Charles, a également occupé diverses fonctions de Direction pour le Groupe Casino entre 2008 et 2013, au sein des équipes Stratégie et Finance. Soulignons qu’au rang de ses multiples compétences, l’ouverture et l’adaptabilité s’avèrent de mise puisqu’elle a vécu 13 ans à l’étranger (Cameroun, Royaume-Uni…).Pour Marine Charles, Directrice Générale de Saint-Gobain Weber France : « Ravie de rejoindre cette belle entreprise » et prenant toute la mesure de sa nomination, Marine Charles met déjà en exergue sa volonté de « poursuivre et déployer une stratégie de croissance durable, basée sur l’innovation et la satisfaction clients. Ce dernier axe m’est particulièrement cher, ayant été plutôt du côté des clients (B2B et B2C) ces dernières années. Je suis également très attachée à une culture d’entreprise collaborative et respectueuse des individus, tout en demeurant exigeante et toujours en recherche d’excellence. Il me semble que cela correspond bien à la culture Weber. »Notons que ses équipes accueillent Vincent Hannecart, Directeur Marketing France, qui prend la suite de Meriem Dussart, elle-même nommée Directrice Régionale Nord Centre Ile-de France de Saint-Gobain Weber France.
Il y a 3 ans et 85 jours

Saint-Gobain Nova : Répondre aux besoins du groupe

Article paru dans le n° 98 de Béton[s] le Magazine Claude-Sébastien Lerbourg, directeur des partenariats externes en Europe de Saint-Gobain. [©Saint-Gobain] Créé il y a une quinzaine d’années, Saint-Gobain Nova a réellement accéléré son activité en 2019. L’entité compte 13 collaborateurs, menés par Minas Apelian et dédiés à la structuration de partenariats avec les start-up. En effet, Saint-Gobain Nova sert de passerelle entre des jeunes pousses innovantes et les différentes filiales du groupe. Près de 150 partenariats ont déjà été noués. Présente en Asie, en Europe et aux Etats-Unis, l’entreprise propose une couverture géographique décentralisée à l’image du groupe. « Nous évaluons les différents besoins selon les spécificités des régions, explique Claude-Sébastien Lerbourg, directeur des partenariats externes en Europe. Nous cadrons aussi nos axes de recherches en fonction des tendances du marché et répondons à une demande ou bien nous proposons des innovations. » Saint-Gobain Nova s’intéresse aux start-up déjà structurées qui testent leur solution ou qui débutent la phase d’industrialisation. De grandes tendances et des besoins spécifiques Logo Saint-Gobain Nova. [©Saint-Gobain] « La fenêtre de tir n’est pas très large. Si nous pouvons investir entre 50 000 € et 2 ou 3 M€, l’aspect financier n’est pas une fin en soi. Nous sommes surtout un “outil” stratégique et agile pour générer plus de partenariats avec des start-up. » De plus, à travers cette entreprise, Saint-Gobain cherche à valoriser l’entrepreneuriat au sein même de ses collaborateurs avec le programme InPulse. Ce dernier aide les employés à développer un business qui s’ancre dans les intérêts du groupe. Saint-Gobain Nova passe aussi par des fonds d’investissement spécialisés dans le domaine. En termes de tendances, Saint-Gobain Nova suit de nombreuses grandes thématiques. Parmi lesquelles, l’économie circulaire, la performance des bâtiments, la durabilité, le confort. Mais aussi, la productivité dans la construction, la robotique sur chantier ou encore la préfabrication et la digitalisation des métiers. Plus qu’un investissement financier « Il y a des spécificités par pays. En Europe par exemple, la France dispose d’un maillage très fort avec son activité distribution. Nous allons plus avoir de remontées de problématiques dans ce sens-là. En Allemagne, les tendances métiers ne sont pas les mêmes et dans les Pays nordiques ou au Royaume-Uni, nous remarquons un plus grand développement de start-up autour de la fabrication hors site. » Parmi les derniers investissements (plus de 10 start-up ont été repérées en 2021), Saint-Gobain Nova s’est intéressée au Britannique AMT. « Cette start-up a développé une solution pour rectifier et automatiser les finitions des objets imprimés en 3D. » L’entreprise compte aussi des acteurs comme EcoDrop, développeur français d’une application de collecte de déchets de construction, ou encore Unity Home, spécialisée dans la construction hors site flexible avec conception numérique. Sivagami Casimir Article paru dans le n° 98 de Béton[s] le Magazine
Il y a 3 ans et 86 jours

Charlotte Famy quitte Weber et rejoint Chryso

Charlotte Famy en charge des acquisitions et du développement business de Chryso. [©ACPresse] Suite à l’intégration de Chryso dans le groupe Saint-Gobain, intervenue en fin 2021, Charlotte Famy vient de rejoindre l’adjuvantier. Là, elle est en charge des acquisitions et du développement business. En d’autres termes, elle pilote les synergies entre Chryso et les différentes entités de Saint-Gain, dont Weber, maison qu’elle connaît très bien. En effet, durant presque six années, Charlotte Famy en a été la directrice générale, aujourd’hui remplacée à ce poste par Marine Charles. Lire aussi : Marine Charles, nouvelle Dg de Saint-Gobain Weber France Son parcours Diplômée de l’Ecole supérieure d’ingénieurs numériques et matériaux (Esirem) de Dijon et de l’Imperial College London, Charlotte Famy a débuté sa carrière, en 1999, chez Lafarge comme chef de projet au laboratoire de recherche de Saint-Quentin-Fallavier (38). Puis, en juillet 2003, elle intègre le groupe Saint-Gobain, en qualité de directrice du département des minéraux. En 2007, elle rejoint Weber où elle a exercé différentes fonctions de direction au sein du département recherche. Avant de prendre la direction générale, en juin 2016.
Il y a 3 ans et 93 jours

Marine Charles, nouvelle Dg de Saint-Gobain Weber France

Portrait de Marine Charles, la nouvelle directrice générale de Saint-Gobain Weber France. [©Saint-Gobain Weber] Marine Charles devient la nouvelle directrice générale de Saint-Gobain Weber France. Elle remplace Charlotte Famy, appelée à de nouvelles fonctions au sein du groupe Saint-Gobain. Marine Charles aura pour mission de poursuivre le développement de la stratégie Weber sur les axes d’innovation, de performance et de développement durable. Forte de son expérience et de sa connaissance acquise depuis son arrivée dans le groupe en 2013, elle témoigne : « J’ai la volonté de poursuivre et de déployer une stratégie de croissance durable, basée sur l’innovation et la satisfaction clients. Ce dernier axe m’est particulièrement cher ». De plus, Marine Charles est attachée à une culture d’entreprise collaborative et respectueuse. Lire aussi : Charlotte Famy quitte Weber et rejoint Chryso Par ailleurs, l’équipe de direction de Saint-Gobain Weber France accueille aussi Vincent Hannecart, nouveau directeur marketing France, qui remplace Meriem Dussart, elle aussi, conviée à de nouvelles responsabilités. Le parcours de Marine Charles Diplômée de Science Po Paris et de HEC, Marine Charles débute sa carrière, en 2004, au poste de consultante dans l’entreprise OC&C Strategy Consultant. En 2008, elle intègre le groupe Casino en tant que chef de projet “Stratégie et Plan”. Elle deviendra ensuite directrice de projet. En 2013, elle rejoint Saint-Gobain comme directrice stratégie et développement. Après 2 années à ce poste, elle évolue en tant que directrice générale adjointe de Lapeyre, détenu par Saint-Gobain. Marine Charles est aussi présidente du Comité d’audit au sein d’Abéo, groupe français du secteur des équipements sportifs et de loisirs.
Il y a 3 ans et 100 jours

Le groupe de matériaux Saint-Gobain confiant pour 2022

Le groupe de matériaux de construction Saint Gobain confiant en l'avenir après avoir traversé en 2021 "la meilleure année de son histoire". Photo © Gilles Trillard
Il y a 3 ans et 101 jours

Vinci "réfléchit" à une évolution de sa gouvernance

Le mandat d'administrateur comme ceux de président et de directeur-général de M. Huillard, qui fêtera ses 68 ans en juin 2022, arrivent à échéance en avril lors de la prochaine assemblée générale des actionnaires et le conseil "réfléchit" à l'évolution éventuelle de la gouvernance, mais sans changer les statuts du groupe, a indiqué M. Huillard lors d'une rencontre avec la presse lundi.Les statuts actuels de Vinci prévoient une limitation à 70 ans pour les fonctions de directeur général, et à 75 ans pour la fonction de président, a-t-il rappelé."Une éventuelle dissociation des fonctions lors du prochain mandat n'est pas écartée" a-t-il dit, tout en minimisant un effet de "mode" actuel qui imposerait une telle mesure dans le monde anglo-saxon."Le monde grand-breton est favorable à une dissociation des fonctions, mais pas le monde américain" a-t-il relevé, relevant qu'en France, la tendance actuelle observée au sein de grands groupes du CAC40 (L'Oréal, Saint-Gobain, ou Air Liquide) à scinder les deux fonctions permettait surtout de réaliser des transitions en douceur entre les anciens PDG et leurs "poulains"."C'est un sujet sensible qui dépend de l'histoire de l'entreprise et de la phase dans laquelle elle se trouve" a-t-il estimé. "A supposer que le conseil décide de me proposer un renouvellement de mon mandat en assemblée générale en avril 2022, je serais confirmé PDG, mais je quitterais mon poste de DG en cours de mandat, car le groupe n'a pas l'intention de changer les statuts" a-t-il dit, estimant "pouvoir être utile en tant que président"."Il faut se mettre au service exclusif du nouveau directeur général, accepter de ne plus prendre personne au téléphone, cela suppose une vraie générosité et une volonté de réussir" a-t-il commenté.Le géant français du bâtiment et des infrastructures doit annoncer le 4 février ses résultats annuels 2021.Jusqu'au 3e trimestre, la crise du Covid a fortement marqué Vinci, la construction, notamment en France, restant soutenue par les chantiers du grand Paris Express, alors que la branche Aéroports pâtissait de la crise sanitaire et de l'effondrement du trafic aérien mondial."Est-ce-que cette forme de mobilité a ou non des potentiels de développement ? Notre réponse est oui, à condition que la filière se décarbone" a dit M. Huillard, en citant "deux aéroports au Japon déjà neutres en carbone", et le projet de celui de Lyon de le devenir en "2026".Vinci, qui exploite au total 53 aéroports dans 12 pays, vient d'annoncer le rachat de sept concessions aéroportuaires au Brésil, dont Manaus. "Sans aéroport, dans l'Amazonie, ils sont morts" a-t-il dit.
Il y a 3 ans et 117 jours

Saint-Gobain cède ses activités de transformation de verre danoises

Le groupe de matériaux Saint-Gobain a annoncé avoir cédé ses activités de transformation de verre au Danemark à un fabricant allemand, dans le cadre de sa stratégie "d'optimisation" de son portefeuille.
Il y a 3 ans et 117 jours

Charlotte Famy rejoint Saint-Gobain Chryso

L’ancienne DG de Weber va œuvrer à l’intégration de cette entité dans le groupe Saint-Gobain.
Il y a 3 ans et 117 jours

Charlotte Famy prend les rênes de Saint-Gobain Chryso

L’ancienne DG de Weber va œuvrer à l’intégration de cette entité dans le groupe Saint-Gobain.
Il y a 3 ans et 121 jours

La laine de verre : qu’est-ce que c’est ?

Comprenez avec ISOVER ce qu'est la laine de verre et pourquoi c’est l'isolant numéro un sur le marché.ISOVER, marque du groupe Saint-Gobain, est le leader mondial des solutions d’isolation durable. Depuis plus de 80 ans, ISOVER porte l’innovation sur l’ensemble de ses marchés, et développe des isolants multi-matériaux pour répondre aux enjeux croissants de bien-être et d’efficacité thermique et acoustique de ses clients. ISOVER conçoit et fabrique ses produits localement et étudie, dans une démarche d’amélioration continue, leur impact sur l’environnement, l’efficacité énergétique, la qualité de l’air et le confort au sein des bâtiments.
Il y a 3 ans et 135 jours

2021 : L’année des adjuvants

Le 11 novembre dernier, Sika annonçait l’intégration de MBCC Group. [©Sika] Rachat, cession, changement d’identité… sont autant d’évènements qui rythment la vie des entreprises. Mais parfois, les choses s’accélèrent, convergent dans une même direction. A ce titre, l’année 2021 constituera sans doute un cas d’école, du côté de l’adjuvantation pour les bétons et les mortiers. C’est Technique Béton qui a ouvert le bal, informant début février, de l’adoption d’une nouvelle appellation. Disons plutôt que la filiale du groupe international DSI s’est intégrée dans une nouvelle entité, spécifique à la France, baptisée Tam Groupe. Les marques Artéon (fixations), Mandelli-Setra (accessoires pour la construction) et Ideaplast (accessoires plastiques pour le béton) ont suivi la même démarche. L’objectif était de regrouper les forces et les produits de chacune de ces sociétés : plus qu’un seul interlocuteur pour l’ensemble de l’offre… Saint-Gobain s’offre Chryso et Sika absorbe MBCC Group Benoit Bazin, Dg de Saint-Gobain, expliquant l’acquisition de GCP Applied Technologies, le 6 décembre dernier. [©Saint-Gobain] Mais le premier véritable coup de tonnerre est venu de Saint-Gobain. Courant mai, le groupe annonçait l’acquisition de Chryso, pour une valeur d’entreprise de 1,02 Md€. Cette transaction a été finalisée au tout début du mois d’octobre, faisant de Saint-Gobain un nouvel acteur de l’adjuvantation. La réponse ne s’est pas faite attendre trop longtemps et elle vient de Suisse, cette fois-ci. Sika – dont on se rappelle encore la bataille rangée contre Saint-Gobain, qui souhaitait absorber l’industriel, à partir de 2015 – a réuni une conférence de presse le 11 novembre (eh oui !) pour dévoiler le rachat de MBCC Group. Pour les moins experts, MBCC Group n’est autre que le nouveau nom mis en place fin 2020 de l’ex-division “chimie de la construction” de BASF. Les marques comme Master Builders Solutions ou PCI en font partie. La somme mise sur la table par Sika pour intégrer MBCC Group est tout simplement stratosphérique : 5,2 Md€ ! Ceci, alors même que Lone Star Funds avait déboursé “seulement” 3,17 Md€ pour reprendre le même groupe, deux ans plus tôt…  Ce qui est certain, en revanche, c’est que cette acquisition fait de Sika le n° 1 mondial de l’adjuvantation pour bétons, avec un chiffre d’affaires attendu – toutes activités confondues – de 12,3 Md€ dès 2023. GCP Applied Technologies comme cadeau pour la Saint-Nicolas Le dernier acte de cette chronique revient à Saint-Gobain, une nouvelle fois. En effet, le rachat de Chryso ne représentait que la première étape d’un programme bien réfléchi… « Quand nous avons fait l’acquisition de Chryso, nous avions déjà à l’esprit cette seconde étape stratégique », indiquait d’ailleurs Benoit Bazin, Dg de Saint-Gobain, à propos de l’intégration de CGP Applied Technologies. L’information est tombée le 6 décembre, jour de la Saint-Nicolas. Le groupe français s’est donc fait un très joli cadeau, d’une valeur d’entreprise de 2 Md€. L’intégration finale de l’entreprise doit aboutir d’ici la fin de l’année 2022. Ceci, sous la marque Chryso, pour ce qui est de l’activité “adjuvants pour bétons et additifs pour ciment”. Une bonne nouvelle n’arrivant jamais seule, Chryso a profité de la période pour dévoiler, en toute discrétion pour le moment sa nouvelle identité visuelle…  Début décembre, Saint-Gobain a dévoilé le nouveau logo de Chryso. A gauche, l’ancienne identité visuelle. [©Saint-Gobain]
Il y a 3 ans et 144 jours

Saint-Gobain rachète l'américain GCP Applied Technologies pour 2 milliards d'euros

"Cette acquisition constitue une étape décisive pour établir Saint-Gobain comme un leader mondial de la chimie de la construction - avec un chiffre d'affaires total de plus de 4 milliards d'euros, contre 3 milliards d'euros précédemment - et renforce la stratégie du groupe en tant que leader mondial de la construction durable", a mis en avant le groupe français.L'accord porte sur "l'intégralité des actions de GCP pour un montant en numéraire de 32 dollars par action, qui correspond à une valeur d'entreprise d'environ 2,3 milliards de dollars, soit environ 2 milliards d'euros", est-il précisé.GCP Applied Technologies est un "acteur mondial majeur" de la chimie de la construction, qui réalise environ 1 milliard d'euros de chiffre d'affaires annuel, compte 50 usines de production dans 38 pays et quelque 1.800 employés. Il est notamment spécialisé dans les additifs pour ciment, adjuvants pour béton et solutions d'imperméabilisation pour les infrastructures, le commercial et le résidentiel."GCP représente une opportunité unique pour Saint-Gobain d'établir une présence de leader mondial dans le secteur en croissance de la chimie de la construction", résume le groupe.Dans ce même secteur, Saint-Gobain avait racheté en mai dernier Chryso, entreprise française spécialisée dans les adjuvants pour matériaux de construction, pour 1,02 milliard d'euros."Après l'acquisition réussie de Chryso, celle de GCP constitue l'étape suivante logique permettant à Saint-Gobain d'étendre sa présence dans les adjuvants et additifs, qui jouent un rôle clé dans la décarbonation de l'industrie de la construction", souligne l'entreprise française dans son communiqué."Chryso a des positions très fortes en Europe et en Afrique alors que GCP a des positions fortes en Amérique du nord et en Asie, la présence du groupe passe à 38 pays", a souligné le directeur général de Saint-Gobain lors d'une conférence téléphonique."Vous verrez une excellente année de Saint-Gobain sur l'année 2021, on va faire bénéficier GCP des gains sur achats de Saint-Gobain", a-t-il ajouté."Saint-Gobain est parfaitement positionné pour assurer le succès des activités de GCP et de ses équipes sur le long terme, a pour sa part estimé Simon Bates, PDG de GCP.La finalisation de la transaction est soumise à l'accord des actionnaires de GCP, à l'autorisation des autorités de concurrence et à la satisfaction d'autres conditions d'usage. Elle devrait avoir lieu d'ici fin 2022, selon le communiqué.
Il y a 3 ans et 145 jours

Saint-Gobain s’offre GCP Applied Technologies pour 2 Md€

« L’acquisition de GCP est une excellente et importante étape », explique Benoit Bazin, Dg de Saint-Gobain.[©Saint-Gobain] L’adjuvantation pour bétons semble bel et bien au cœur de la stratégie des grands groupes industriels du secteur de la construction. Ainsi, quelques jours seulement après l’annonce du rachat de MBCC Group (ex-BASF Construction Chemicals) par Sika, c’est au tour de Saint-Gobain de reprendre l’initiative. Et d’annoncer avoir conclu un accord en vue de l’acquisition de GCP Applied Technologies (GCP). Et ce, pour une valeur d’entreprise d’environ 2 Md€ (soit près de 2,3 Md$). Saint-Gobain financera l’opération avec la trésorerie, dont elle dispose. Cette acquisition potentielle répond aux critères d’investissement stratégiques et financiers du groupe français. Ceci, formulés lors de la journée “Investisseurs” du 6 octobre 2021 :• Renforcement de position de leader, notamment en Amérique du Nord et en Asie, et enrichissement de l’offre de construction durable ;• Création de valeur dès la troisième année après finalisation de la transaction et effet relutif sur le résultat net par action dès la première année (+ 4 % avant synergies) ;• Maintien d’un bilan solide et d’une note de crédit élevée avec un impact limité à + 0,3 x dette nette sur Ebitda. Une présence dans 38 pays L’opération a été approuvée à l’unanimité par les conseils d’administration de Saint-Gobain et de GCP. La finalisation de la transaction est soumise à l’accord des actionnaires de GCP. Ainsi qu’à l’autorisation des autorités de concurrence et à la satisfaction d’autres conditions d’usage. Elle devrait avoir lieu d’ici fin 2022.GCP est un acteur mondial majeur de la chimie de la construction, avec environ 890 M€ de chiffre d’affaires, 50 usines de production dans 38 pays et environ 1 800 employés.L’industriel apporte une plate-forme mondiale reconnue dans les additifs pour ciments, adjuvants pour bétons et solutions d’imperméabilisation pour les infrastructures, le tertiaire et le résidentiel.La mise en commun des plates-formes de Chryso, de GCP et de Weber offrira aux clients un portefeuille complet de solutions dans la chimie de la construction. Avec des empreintes géographiques très complémentaires. Intégré à Chryso Une très grand complémentarité géographique entre Chryso, GCP et Weber. [©Saint-Gobain] Après l’acquisition réussie de Chryso, celle de GCP constitue l’étape suivante logique permettant à Saint-Gobain d’étendre sa présence dans les adjuvants et additifs. Solutions qui jouent un rôle clef dans la décarbonation de l’industrie de la construction. Chryso et GCP sont présents dans toutes les principales régions et bénéficient d’empreintes géographiques très complémentaires. Chryso a des positions fortes surtout en Europe, au Moyen-Orient et en Afrique. De son côté, GCP est très implanté en Amérique du Nord, en Amérique latine et en Asie-Pacifique.Par ailleurs, cette opération permet à Saint-Gobain d’élargir son offre commerciale dans les adjuvants et additifs. Le groupe dispose désormais de 75 sites de production. De cette manière, il double son implantation industrielle pour être présent dans 38 pays. D’un point de vue stratégique, l’activité “matériaux de construction de spécialités” en Amérique du Nord (CA de 250 M$) sera intégrée au sein de l’activité de CertainTeed qui sert les clients locaux dans la région des Amériques.Quant aux autres activités, en particulier les adjuvants pour béton et les additifs pour ciment (CA de 750 M$), elles seront rattachées à Chryso. Et feront partie du segment des “Solutions de haute performance”. Un renforcement sur le marché de la chimie de la construction Saint-Gobain annonce avoir conclu un accord en vue de l’acquisition de GCP Applied Technologies (GCP). [©ACPresse] « Aujourd’hui, s’ouvre une nouvelle ère prometteuse de la riche histoire de GCP. Nous sommes ravis de rejoindre Saint-Gobain, parfaitement positionné pour assurer le succès des activités de GCP et de ses équipes sur le long terme », déclare Simon Bates, Pdg de GCP. Et Peter Feld, président indépendant du conseil d’administration de GCP, d’ajouter : « Le conseil d’administration de GCP soutient cette transaction, et est convaincu de sa pleine et juste valeur pour l’ensemble des actionnaires de GCP. Saint-Gobain est un excellent partenaire pour GCP ». Ce que confirme Benoit Bazin, Dg de Saint-Gobain : « L’acquisition de GCP est une excellente et importante étape. Cela permet à Saint-Gobain de renforcer sa position de leader mondial sur le marché de la chimie de la construction. Et sa présence géographique en Amérique du Nord et dans les pays émergents. Nous sommes convaincus que ce rapprochement fera naître une plate-forme de premier plan. Offrant une plus grande offre commerciale ainsi que des solutions et services à valeur ajoutée pour nos clients ». Et de conclure : « Quand nous avons fait l’acquisition de Chryso, nous avions déjà à l’esprit cette seconde étape stratégique… Elle sera sans doute suivie d’autres opérations, plus petites et plus locales pour poursuivre notre développement dans le domaine de la chimie de la construction ».
Il y a 3 ans et 152 jours

Saint-Gobain va recruter 36 000 salariés dans les métiers de la construction durable

Le groupe Saint-Gobain prévoit de recruter 36 000 personnes en 2022 dont 7500 en France dans les métiers de la construction durable. Et lance une campagne mondiale pendant 9 mois.
Il y a 3 ans et 158 jours

L'homologation de la vente de Lapeyre au fonds Mutares confirmée en justice

"Aucune obligation n'obligeait le tribunal de Paris à convoquer de quelconques représentants des CSE des filiales du groupe Lapeyre (...) et le tribunal n'a commis aucun excès de pouvoir en décidant de ne pas convoquer les demandeurs à l'audience d'homologation", indique dans son jugement le tribunal qui conclut à "l'irrecevabilité" de la demande des représentants du personnel."Il y aura un appel devant la cour d'appel de Paris", a réagi Aline Chanu, l'avocate des CSE de quatre usines du groupe ainsi que du siège. Lapeyre SAS, la holding de tête ne comptant aucun salarié, les élus des filiales avaient été tenus écartés de l'audience d'homologation et ils estimaient que la vente ne devait pas être homologuée.Le distributeur, fondé en 1931, avait été cédé le 23 avril à Mutares, sous condition de l'homologation de la vente par le tribunal de commerce."L'objet de l'homologation était de protéger les intérêts de l'entreprise en assurant notamment le respect des engagements pris aux termes du protocole de conciliation au profit de Lapeyre", ont réagi les conseils de Lapeyre. "Aujourd'hui, Lapeyre souhaite avancer et se concentrer sur la relance constructive et pérenne de l'entreprise dans l'intérêt de l'activité et des emplois".Cette procédure facultative a été accordée à la demande de Saint-Gobain le 1er juin. Les syndicats estiment eux que l'ancien propriétaire s'exonère ainsi de ses responsabilités et sera couvert par l'Etat en cas de futur litige lié à l'opération financière.La cession de Lapeyre, propriété de Saint-Gobain depuis 1996, est critiquée par une partie du personnel qui redoute la casse sociale à venir.Les syndicats accusent ainsi le repreneur d'avoir l'habitude de siphonner les trésoreries des entreprises qu'il rachète, sur la base d'un audit financier qui prévoit jusqu'à 700 suppressions d'emplois."Les demandeurs fondent leur action sur la menace de fermeture de sites et de suppressions d'emplois au sein du groupe Lapeyre. Il n'existe à ce jour aucun projet de licenciement de salariés au sein du groupe Lapeyre", écrit encore le tribunal, estimant ainsi que les salariés ne justifient à ce jour d'aucun "intérêt à agir".Lapeyre est composé de 126 magasins alimentés par dix usines de fabrication toutes situées en France, et emploie 3.400 personnes.Selon l'intersyndicale (CGT, CFE-CGC, FO, CFTC), Mutares prévoit la fermeture dès 2023 de quatre sites de production et 19 magasins. Marc Ténart, le futur patron de Lapeyre, s'est engagé auprès des salariés à ne fermer aucun site "d'ici fin 2022".
Il y a 3 ans et 173 jours

Saint-Gobain va investir 400 millions de dollars aux États-Unis

Cet investissement, étalé sur quatre ans, concernera quatre "sites de production clés" en Californie et dans le sud-est du pays, qui produisent toitures, isolants et plaques de plâtre."Les investissements cumulés permettront de réduire les déchets de plus de 50% et les émissions de CO2 de plus de 20% par rapport aux technologies existantes", souligne Saint-Gobain.Ils s'inscrivent dans le cadre du nouveau plan stratégique "Grow & Impact" et "visent à la fois à renforcer le leadership du groupe en Amérique du nord et à accélérer sa croissance dans la région", en complétant la gamme de construction légère qui représente 45% des ventes de produits de construction en Amérique du nord.En mars, Saint-Gobain avait annoncé un accord d'achat d'énergie durable pour une période de 12 ans avec Invenergy aux Etats-Unis, visant à permettre au groupe d'atteindre son objectif de neutralité carbone d'ici à 2050.
Il y a 3 ans et 178 jours

Thierry Legrand devient le président Europe de Fortera

Thierry Legrand est le nouveau président Europe de Fortera [©DR] A l’occasion de son arrivée sur le marché européen, l’américain Fortera accueille Thierry Legrand au poste de président Europe. Cette nomination est le premier pas vers un développement international du groupe. Depuis 2019, date à laquelle Fortera a été créée, l’entreprise a pour ambition  d’accompagner les acteurs de la construction dans la réduction de leurs émissions de carbone. Pour cela, elle a développé un procédé de recarbonation, qui convertit les émissions de CO2. Provenant des fours cimentiers en un produit cimentaire. De plus, d’ici 2022, Fortera commercialisera son propre ciment.  Vers la réduction des émissions carbone Aujourd’hui, le monde entier essaye, tant bien que mal, de réduire ses émissions de carbone. Pour cela, l’Europe s’est fixée de nombreux objectifs. Des dispositifs ont été mis en place, afin d’inciter l’arrivée de nouvelles technologies, qui vont dans ce sens. Fortera y a vu une opportunité de croissance à l’international. « En confiant notre développement européen à Thierry Legrand, nous sommes convaincus. Que nous pourrons déployer notre technologie efficacement et rapidement », témoigne Ryan Gilliam, directeur général et co-fondateur de Fortera. En effet, fort de son expérience, Thierry Legrand a pour mission de piloter l’ensemble de l’implantation de Fortera en Europe. Rappelons qu’en 2019, le secteur de la construction a rejeté19,95 Gt de CO2à l’échelle mondiale. Thierry Legrand souligne ainsi la nécessité de réduire cette empreinte carbone : « Il n’y a pas de sujet plus important pour la construction aujourd’hui que la neutralité carbone. Des innovations sont nécessaires pour réduire les émissions de CO2. Mais celles-ci doivent être accessibles à un coût raisonnable. » Le parcours de Thierry Legrand Polytechnicien et ingénieur de formation, Thierry Legrand a débuté sa carrière chez Saint-Gobain, dans les secteurs de l’optimisation des procédés et de l’organisation des usines. En 1992, il poursuit sa carrière, en intégrant Lafarge Ciments. Il restera chez Lafarge et Holcim pendant plus de 20 ans à des postes de direction en Afrique, en Asie et en Europe.  1Selon une étude menée par l’Alliance mondiale pour le bâtiment et la construction et du Programme des Nations unies pour l’environnement. 
Il y a 3 ans et 179 jours

Le chiffre d'affaires de Saint-Gobain gonflé par la hausse des prix et la reprise du bâtiment

Au troisième trimestre 2021, Saint Gobain a réalisé un chiffre d'affaires de 10,8 milliards d'euros, en hausse de 6,7% par rapport aux trois mois équivalents de 2020, portant à 32,9 milliards d'euros le chiffre des ventes sur les neuf premiers mois, soit un bond de 18,1% par rapport à la période équivalente de 2020.Le consensus des analystes de Factset tablait sur un chiffre d'affaires trimestriel de 10,67 milliards.Le groupe "confirme la très forte progression de son résultat d'exploitation à un nouveau plus haut historique" en 2021, indique le groupe.Saint-Gobain a maintenu la révision en hausse de ses coûts en énergie et matières premières pour 2021 en raison de l'inflation dans le secteur, soit environ 1,5 milliard d'euros sur l'année, au lieu de 1,1 milliard annoncé fin juillet.Mais porté surtout par la hausse de ses propres prix de vente, il se dit "confiant dans sa capacité à compenser l'inflation" sur l'ensemble de l'année, "étant donné la forte accélération de la hausse des prix à +8,7% au troisième trimestre par rapport à la période équivalente de 2020".En Europe du Nord, son principal marché, le chiffre d'affaires a progressé de 12% sur le trimestre à 3,8 milliards d'euros, plus que ce qu'attendaient les analystes, grâce à une "forte accélération des hausses de prix".Les pays nordiques ont enregistré une "solide croissance", en particulier dans les solutions de construction légère sur le marché "porteur" de la rénovation.Le rythme de croissance en Allemagne a décéléré compte tenu de l'impact du recul du marché automobile sur la demande de verre, même si la construction modulaire reste "bien orientée", indique le communiqué.Au Royaume-Uni, la croissance a été tirée "exclusivement par les prix" dans un marché "perturbé par des difficultés de chaînes d'approvisionnement".En Europe du Sud (qui inclut le Moyen Orient et l'Afrique), les ventes du groupe se sont élevées à 3,15 milliards d'euros, soit quasiment autant que ce qu'attendaient les analystes (3,17 milliards d'euros).En France, Saint-Gobain a continué d'observer de "bonnes tendances", soutenues par le marché de la rénovation, et surtout les incitations à la rénovation énergétique impulsées par le plan de relance de l'économie. 400.000 dossiers de demande d'aide publique (MaPrimeRenov') ont été déposés en France depuis le début de l'année, indique le groupe qui compte sur la rénovation de bâtiments publics en 2022.Interrogé par les analystes sur la poursuite de la hausse des prix de matériaux d'ici la fin de l'année, le directeur général du groupe Benoit Bazin a répondu qu'il s'agissait d'une "priorité" pour le groupe, qui bénéficie d'une bonne "acceptation" de ses clients.Le titre Saint Gobain, coté au CAC40, a progressé de 0,89% jeudi à 60,89 euros, dans un marché en hausse de 0,75%.
Il y a 3 ans et 186 jours

Saint-Gobain s’implante sur le marché mexicain de la chimie

En 2020, Impac a réalisé un chiffre d’affaires de près de 50 M€. [©Impac] Saint-Gobain a signé un accord pour acquérir Impac. Qui est un acteur de référence sur le marché de la chimie de la construction au Mexique. En 2020, Impac a réalisé un chiffre d’affaires de près de 50 M€. L’entreprise gère une usine de production à Monterrey et emploie environ 630 personnes. Cette acquisition permettra au groupe Saint-Gobain de consolider sa position de leader en Amérique latine. Tout en accélérant sa dynamique de croissance dans la région. Et en étoffant son offre de solutions à destination des marchés de la construction durable. Au Mexique, Saint-Gobain emploie déjà 7 500 personnes et dispose de 11 sites industriels.  La finalisation de cette transaction est soumise à l’obtention de l’autorisation des autorités mexicaines de la concurrence et devrait avoir lieu dans les prochains mois.
Il y a 3 ans et 190 jours

Noémie Chocat, directrice de la stratégie du groupe Saint-Gobain

Rattachée à Sreedhar N., Directeur Financier, et membre du comité exécutif, Noémie Chocat est nommée directrice de la stratégie du groupe Saint-Gobain en octobre 2021. Elle succède à Maud Thuaudet, qui sera appelée à occuper d’autres fonctions au sein du groupe.
Il y a 3 ans et 199 jours

Saint-Gobain dévoile un plan stratégique basé sur le zéro carbone

Le groupe Saint-Gobain qui veut devenir « le leader mondial de la construction durable » a détaillé ses objectifs de croissance pour la période 2021-2025.
Il y a 3 ans et 201 jours

Saint-Gobain rachète le distributeur de matériaux Raboni Normandie

Le groupe de matériaux Saint-Gobain a annoncé l'acquisition du distributeur Raboni Normandie, étendant ainsi un peu plus son réseau de points de vente en France.
Il y a 3 ans et 205 jours

Le nouveau plan quinquennal de Saint-Gobain

Benoit Bazin a dévoilé le 7 octobre 2021 sa nouvelle feuille de route baptisée « Grow & Impact » dont «l'ambition» est «d'accélérer significativement » la croissance du groupe et de faire de Saint-Gobain le leader mondial de la construction durable. Retour et détails.
Il y a 3 ans et 207 jours

Saint-Gobain acquiert le distributeur de matériaux Raboni Normandie

Raboni Normandie, spécialiste des matériaux de construction, emploie plus de 100 personnes, dispose d'un réseau de 12 points de vente et a réalisé un chiffre d'affaires d'environ 30 millions d'euros en 2020, indique Saint-Gobain dans un communiqué.Le montant de l'opération n'a pas été divulgué.Saint-Gobain, leader de la distribution de matériaux de construction en France avec plus de 2.000 points de vente, est déjà présent dans la région avec l'enseigne Point.P (70 points de vente en Normandie)."Saint-Gobain renforce ainsi ses positions sur le marché de la distribution en France et accroît la profondeur de son offre pour répondre au mieux aux besoins croissants des artisans et de leurs clients", ajoute le groupe dans son communiqué.En 2020, Saint-Gobain a réalisé un chiffre d'affaire de 38,1 milliards d'euros. Au premier trimestre 2021, il a enregistré un bénéfice net record à 1,298 milliard d'euros.
Il y a 3 ans et 211 jours

Saint-Gobain finalise l’acquisition de Chryso

Chryso est définitivement entré dans le giron du groupe Saint-Gobain. [©ACPresse] Annoncée le 20 mai 2021, l’acquisition de Chryso par le groupe Saint-Gobain vient d’arriver à son terme. Et devient donc définitive, les autorités de la concurrence ayant donné leur feu vert.  Acteur de la chimie de la construction, Chryso est présent sur les marchés français comme internationaux. Et assure la fourniture de solutions complètes d’additifs pour ciments, d’adjuvants pour bétons et mortiers. Mais aussi propose une offre de chapes fluides. L’industriel emploie 1 300 personnes et réalise un chiffre d’affaires annuel de l’ordre de 400 M€. Sa valeur d’entreprise est estimée à 1,02 Md€.  Aujourd’hui, Chryso rejoint les activités du groupe Saint-Gobain servant le marché de la construction durable au sein des Solutions de Haute Performance. « L’acquisition de Chryso est alignée avec la vision stratégique de Saint-Gobain comme leader mondial de la construction durable. Chryso nous renforce sur le marché en croissance de la chimie de la construction. Marché au sein duquel nous avons réalisé 10 acquisitions et ouvert 16 usines dans 18 pays au cours des 3 dernières années. Ceci, pour dépasser les 3 Md€ de chiffre d’affaires dans 66 pays… », indique Benoit Bazin, directeur général de Saint-Gobain. Et Thierry Bernard, Pdg de Chryso, de conclure : « Nous sommes heureux de rejoindre le groupe Saint-Gobain. Les premiers échanges entre nos équipes en vue de préparer l’intégration confirment les fortes perspectives de croissance pour Chryso. En particulier dans des régions où nous ne sommes pas encore implantés. Mais aussi dans l’essor de solutions de haute performance. A cela s’ajoute la proximité culturelle entre nos équipes, qui sont très enthousiastes ».
Il y a 3 ans et 215 jours

Une nouvelle directrice de la stratégie pour Saint-Gobain

CARNET-NOMINATION. Noémie Chocat a été nommée directrice de la stratégie du groupe Saint-Gobain, spécialiste des matériaux de construction.
Il y a 3 ans et 215 jours

Lever les freins normatifs à l’application de la RE2020

Article paru dans le n° 96 de Béton[s] le Magazine Directeur matériaux et économie circulaire au Cérib, Patrick Rougeau assure l’animation du Groupe d’experts solutions bas carbone. [©William Abenhaim] Avec l’entrée en application de la RE 2020, programmée pour le 1er janvier 2022, la filière béton se mobilise pour faire évoluer le contexte normatif. Dans ce cadre, la commission de normalisation Afnor/P18B a mis en place le Groupe d’experts solutions bas carbone ou GE SBC. Celui-ci réunit une cinquantaine de participants. Comme les organismes professionnels, les fournisseurs de matériaux et les entreprises de BTP. Mais aussi comme les industriels, les experts et les représentants des maîtres d’ouvrage. « Il reste ouvert à d’autres intervenants qui pourraient en faire la demande. Les réflexions étant toutefois centrées sur le domaine d’application de la norme NF EN 206/CN, celui des bétons de structure », précise Patrick Rougeau, directeur matériaux et économie circulaire au Cérib et animateur du GE SBC.  Le groupe s’est fixé plusieurs missions, visant toutes à favoriser le déploiement des solutions. Garantissant le respect de l’environnement et la prévention du dérèglement climatique. Il s’agit en priorité de maîtriser davantage les émissions de gaz à effet de serre. Ou encore de contribuer à une gestion plus économe des ressources non renouvelables. Cet article est réservé aux abonnés des revues Béton[s] le Magazine et Bâti & Isolation. Déjà abonné Mon email Mon mot de passe Oublié ? En plus de votre magazine, profitez d’un accès illimité à l’ensemble des contenus et services du site www.acpresse.fr : Lecture de l’intégralité des dossiers thématiques, reportages chantiers, fondamentaux, histoire de la construction… Consultation des indicateurs économiques (chiffres et analyses) + vos newsletters pour suivre l’info en continu Je m'abonne Retrouvez l’ensemble du dossier : Le ciment, le béton et le bas carbone Parmi les annonceurs de Béton[s] le Magazine n° 96