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Il y a 4 ans et 137 jours

Engie se dit en bonne voie pour atteindre ses objectifs en production d'énergies renouvelables

"Il s'agit d'une performance au regard du contexte difficile pour le secteur en 2020", a souligné la toute nouvelle directrice générale du groupe Catherine MacGregor, citée dans un communiqué."Elle nous place en bonne voie pour atteindre notre objectif de 9 GW de capacités additionnelles entre 2019 et 2021 et, au-delà, pour accélérer encore notre rythme de croissance dans les énergies vertes", a-t-elle ajouté.Sur les 3 GW mis en service en 2020, 70% sont de l'éolien terrestre, 21% du solaire photovoltaïque et, pour la première fois, environ 9% de l'éolien en mer, avec la mise en service de la première tranche du parc éolien en mer fixe en Belgique ("Seamade Mermaid", 235 MW).Géographiquement, c'est en grande majorité en Amérique du Nord que les nouvelles capacités ont été implantées.A la fin de l'an dernier, Engie exploitait au total 31 GW d'actifs renouvelables, soit 5 GW de plus sur un an. Outre les 3 GW mis en service, le groupe a en effet racheté 2 GW d'actifs en opération, notamment avec une grosse acquisition au Portugal.Les renouvelables sont l'une des priorités stratégiques de l'ancien GDF Suez, qui veut recentrer son activité en renforçant leur développement et en donnant également la priorité aux infrastructures.
Il y a 4 ans et 143 jours

Hous3 : Santo Tirso House

À Santo Tirso (Portugal), l’agence d’architecture Hous3 réinterprète la maison traditionnelle portugaise avec un regard contemporain. Érigée sur une petite colline, la Santo Tirso House imaginée par Hous3 offre une vue imprenable sur la ville de Santo Tirso. Cette maison contemporaine de 286 mètres carrés se caractérise par des lignes simples et des grands volumes, ainsi que par un toit à pignon emblématique de l’architecture traditionnelle portugaise. Orientée dans le sens longitudinal du terrain, la maison est articulée autour d’un volume principal, qui divise la maison en deux espaces distincts : l’espace privé, qui est doté d’un couloir desservant les chambres et le bureau, et l’espace de vie décloisonné, qui comprend un salon, une salle à manger et une cuisine. Les architectes ont pensé l’organisation spatiale de la maison de sorte que chaque pièce soit baignée par la lumière naturelle et ouverte sur le jardin grâce à de larges baies vitrées, tout en créant un intérieur chaleureux et contemporain. En raison de la simplicité de son intérieur et de l’originalité de son agencement, la maison propose un cadre de vie à la fois paisible et convivial à ses habitants. Pour en savoir plus, visitez le site de Hous3. Visuels : © ivo tavares studioLa rédaction
Il y a 4 ans et 165 jours

Daniel Popper : “Thrive”, une incroyable sculpture

Sa dernière pièce intitulée “Thrive” mesure près de 9 m de haut. Elle a été réalisée avec 14 t de béton renforcé de fibres de verre. [©Daniel Popper] Daniel Popper est un artiste multidisciplinaire connu pour ses sculptures monumentales et ses incroyables installations d’art public. Depuis Le Cap, en Afrique du Sud, il parcourt le monde entier pour créer des œuvres spectaculaires. Ces dernières ont la particularité d’être réalisées souvent en bois, en corde et en végétation. Mais pas que… Le béton s’invite aussi. « Le béton renforcé de fibres de verre est à maintes reprises utilisé dans les parcs à thème pour les grandes œuvres. En particulier, pour les travaux autour de la roche. C’est ce qui m’a inspiré à utiliser ce matériau », explique Daniel Popper. Inspiré par la nature On retrouve ces réalisations, éphémères ou non, à travers le monde entier. [©Daniel Popper] “Ven a la Luz”, installation à Mexico. [©Daniel Popper] On retrouve ces réalisations, éphémères ou non, dans des festivals de premier plan du monde entier. Comme l’Electric Forest, aux Etats-Unis, le Boom, au Portugal. Ou encore le Rainbow Serpent, en Australie et l’Afrikaburn au Tankwa Karoo, en Afrique du Sud. Nombre de ses projets incluent des collaborations avec d’autres artistes, techniciens et artisans. Ceci, pour intégrer la musique électronique, l’éclairage et la cartographie de projection comme éléments clefs. Daniel Popper met en scène des figures humaines ornées ou pénétrées d’auvents ou de tunnels de végétation. « Je suis inspiré par la nature. J’aime travailler le côté monumental. Je suis inspiré par l’interaction humaine. Et j’aime la possibilité de créer des œuvres de grande taille avec lesquelles les gens peuvent interagir. Et réfléchir à leur expérience avec la nature »,commente l’artiste.  “Thrive”, sa dernière sculpture “Thrive” surprendra le public et offrira un vent de poésie aux villes en cette période si particulière. [©Daniel Popper] Sa dernière pièce intitulée “Thrive” mesure près de 9 m de haut. Elle a été réalisée avec 14 t de béton renforcé de fibres de verre.« J’utilise le béton à une échelle industrielle. J’ajoute différents éléments dans le mélange pour donner la maniabilité dont j’ai besoin. » En novembre dernier, cette pièce a été dévoilée à la Society Las Olas, un complexe résidentiel à Fort Lauderdale, en Floride. Cette sculpture représente une femme qui ouvre sa poitrine pour laisser apparaître un tunnel de fougères. « Il m’a fallu trois mois pour réaliser “Thrive” », conclut Daniel Popper. Ce titan impressionnant et atypique surprendra le public et offrira un vent de poésie aux villes en cette période si particulière. Et ce, dans l’espace urbain. Muriel Carbonnet 
Il y a 4 ans et 185 jours

Consolis va-t-il céder ses activités ferroviaires à TowerBrook ?

Consolis a annoncé avoir reçu une offre ferme pour sa division ferroviaire de la part de TowerBrook. [©Consolis] Consolis a annoncé avoir reçu une offre ferme pour sa division ferroviaire de la part de TowerBrook Capital Partners L.P. Cette dernière est une société internationale de gestion d’investissements. Pour sa part, Consolis est un spécialiste des structures en béton préfabriqué pour les secteurs des transports, des services publics et du bâtiment. En 2019, sa division “Rail” a réalisé un chiffre d’affaires de 190 M€. Elle compte 1 000 collaborateurs et 16 usines réparties dans 10 pays d’Europe. Cette division occupe la première place en Estonie, en Finlande, en France, en Lituanie, en Norvège, au Portugal, en Suède. Et la troisième en Allemagne, en Belgique (desservie depuis la France), en Pologne et au Royaume-Uni. Une affaire à suivre… « La division “Rail” est constituée de sociétés leaders sur leurs marchés locaux, aux marques fortes,peut-on lire dans le communiqué de presse. Qui conçoivent et fabriquent des traverses et autres produits en béton préfabriqué pour les chemins de fer depuis près de 100 ans. » Benoît Cattin-Martel, qui dirige à l’heure actuelle ce division de Consolis, devrait devenir le Pdg du nouvel ensemble une fois cédé. Il a déclaré : « Nous disposons des équipes et du maillage industriel adéquats dans 10 pays européens. Ceci, pour devenir le meilleur fournisseur de traverses ferroviaires en béton, à la fois dans nos zones géographiques actuelles et au-delà. En tant que “pure player”, nous pourrons saisir d’importantes opportunités de croissance organique, tout en étant prêts pour de futures acquisitions. Nous continuerons à encourager l’innovation pour servir au mieux nos clients ».  Conditionné à l’avis des partenaires sociaux et soumis aux règles anti-trust habituelles et aux autorisations réglementaires, ce projet devrait aboutir dans le courant du premier semestre 2021. Jusqu’à la conclusion de la transaction, Consolis continuera d’exploiter cette activité ferroviaire. A suivre…
Il y a 4 ans et 192 jours

Kawneer : une nouvelle organisation pensée au service des clients et de la croissance

Kawneer, fabricant de systèmes architecturaux en aluminium, a toujours placé le client au cœur de ses préoccupations. Afin d’être toujours plus à l’écoute de leurs attentes et de leurs marchés, Raphaël DERICBOURG, Directeur Général de Kawneer Europe du Sud et Nord-Est Europe, procède à une évolution stratégique de l’organisation interne de l’entreprise. Accélérateur de croissance, le nouveau Service Marketing Business Développement, dirigé par Corinne ORTUNEZ, va permettre à Kawneer de conforter son leadership et développer ses parts de marché en apportant une offre dédiée à chaque typologie de clientèle (industriels de la menuiserie, grands projets et habitat). Nouveau Service Marketing Business Développement, support de croissance Concepteur gammiste de systèmes architecturaux, Kawneer Europe du Sud s’appuie historiquement sur 3 segments de marché : • le marché traditionnel de la menuiserie et de la véranda, • les clients industriels, • les grands projets en France, en Espagne, au Portugal mais aussi à l’Export (Afrique). Jusqu’à présent, l’organisation commerciale de Kawneer gérait l’ensemble de ces différents marchés. « Grâce à la mise en place du nouveau Service Marketing Business Développement, nous allons créer un back office solide qui va nous permettre de développer et d’affiner notre relation client par typologie, d’accroître nos parts de marché et d’identifier les axes prioritaires pour accélérer notre croissance » explique Raphaël Dericbourg. Une organisation en 4 pôles Le Service Marketing Business Développement est dirigé par Corinne Ortunez. Elle bénéficie de multi-compétences commerciales, logistiques et produits acquises dans les différentes fonctions qu’elle a occupées au sein de Kawneer depuis plus de 20 ans. Au sein de ce nouveau service, 4 pôles ont été créés : • Le service commercial interne, en charge de la gestion des commandes et initialement rattaché au service logistique. Ce changement a pour but d’intensifier la relation client et les initiatives commerciales opérationnelles de Kawneer, • Kawneer Industrial Service, dédié aux clients industriels de Kawneer en leur offrant une approche complète répondant à leurs besoins spécifiques, • Grands Projets, constitué d’une force de vente identifiée, sur les marchés français et ibérique, pour renforcer l’équipe commerciale actuelle et doper notre conquête de nouveaux marchés. • L’activité Réseau Initial : pour accélérer le développement du réseau Initial grâce à l’animation commerciale et à une démarche industrielle performante permettant la création de produits à forte valeur ajoutée. « Le métier de gammiste a évolué. Le nouveau Service Marketing Business Développement va nous permettre de créer des synergies entre les différents pôles afin d’améliorer la pertinence de notre offre autour des besoins spécifiques de nos clients en termes de produits, services et logistique. Cela permettra également de booster notre développement vers l’ensemble des segments de marché sur lesquels nous évoluons » explique Corinne Ortunez. Avec cette nouvelle organisation, Raphaël Dericbourg entend « que Kawneer conforte, d’ici 3 ans, son leadership, développe ses parts de marché et reste la référence de ses clients. L’entreprise doit devenir le gammiste incontournable dans le secteur de la menuiserie générale et industrielle ainsi que pour les Grands Projets en France et à l’export. » http://www.kawneer-france.com
Il y a 4 ans et 198 jours

Raphaël Dericbourg étend son périmètre en assurant la Direction Générale de Kawneer Nord-Est Europe

Raphaël DERICBOURG, 51 ans, qui a rejoint le groupe ARCONIC début 2020, en tant que Directeur Général de Kawneer Europe du Sud (France, Espagne, Portugal), étend son périmètre de responsabilités en assurant également la Direction Générale de Kawneer Nord-Est Europe (Benelux et Allemagne) à compter du 01 novembre 2020. Sous la responsabilité de Mme Diana B Perreiah, Présidente de la branche Building & Construction Systems (solutions en aluminium pour le bâtiment), Raphaël Dericbourg a pour mission de définir et mettre en place la stratégie de croissance et de développement opérationnel de cette zone géographique. http://www.kawneer-france.com
Il y a 4 ans et 199 jours

Le DG de Kawneer Europe du Sud étend son périmètre au Benelux et à l'Allemagne

CARNET-NOMINATION. Déjà directeur général de Kawneer Europe du Sud (France, Espagne, Portugal), Raphaël Dericbourg prend également la direction générale de Kawneer Nord-Est Europe (Benelux et Allemagne).
Il y a 4 ans et 203 jours

Floret Arquitectura : Gólgota

À Porto (Portugal), l’agence Floret Arquitectura a rénové une demeure historique des Caminhos do Romântico avec un regard contemporain. Les architectes de l’agence Floret Arquitectura ont entièrement réinventé une ancienne maison portuane, qui avait été laissée en ruines. Jouant avec les volumes, les couleurs et les matériaux, ils ont redonné ses lettres de noblesse à l’édifice tout en lui insufflant un vent de modernité.  Située dans la zone des Caminhos do Romântico, caractérisée par ses maisons en vieilles pierres, ses grands espaces arborés et le fleuve Douro en arrière-plan, le projet « Gólgota » s’ouvre sur l’extérieur. Les architectes ont rénové la bâtisse existante et l’ont agrandie en construisant une extension en bois et en béton. Étendue sur deux niveaux et dotée de grandes fenêtres et baies vitrées, cette entité contemporaine offre des vues imprenables sur le Douro, le jardin et le nouveau couloir de nage. Côté intérieur, l’extension accueille les espaces de vie, comme l'entrée, la cuisine, la salle de séjour, tandis que la maison historique abrite les espaces privés, tels que la chambre parentale, les chambres des enfants et les salles d’eau. Toutes les pièces ont été aménagées dans un esprit minimaliste contemporain, et sont des espaces chaleureux et fonctionnels. Les architectes ont réussi le tour de force d’agrandir la surface habitable du bâtiment grâce à une extension en veillant à son intégration dans le site. Pour en savoir plus, visitez le site de Floret Arquitectura. Visuels : © ivo tavares studioLa Rédaction
Il y a 4 ans et 213 jours

stu.dere : Armazém Morinha

Le studio d’architecture et de design portugais stu.dere métamorphose un entrepôt en une boutique de jouets. À la demande des propriétaires, les architectes répondent par un espace lumineux, ouvert et ludique dédié aux enfants. Fondé en 2016 à Vila Meã (Portugal) par Ulisses Costa, stu.dere allie qualité et créativité dans des projets atypiques. Le studio promeut une approche multidisciplinaire originale et établit des partenariats inédits avec des artisans pour imposer un style personnel et imaginer des intérieurs créatifs. Pour le projet Armazém Morinha, le studio stu.dere repense complètement l’organisation spatiale d'un entrepôt et crée un espace ludique inattendu semblable à un labyrinthe. Le grillage métallique, qui agit comme une barrière physique mais non visuelle, divise l’espace tout en laissant chaque fragment ouvert. En plus des espaces dédiés à l'exposition et au stockage des jouets, le rez-de-chaussée comprend un bureau et un local. Au premier étage, se trouve un studio photo habillé de bois. À côté des escaliers menant à l'étage, un petit espace à double hauteur, destiné aux enfants, est recouvert de plaques de polycarbonate dans lesquelles se reflètent les lampes de la boutique. Ces jeux de reflets évoquent les mondes magiques de l’enfance. Avec Armazém Morinha, le studio stu.dere propose aux vendeurs de travailler dans un cadre exceptionnel et invite les familles à profiter d’une expérience inédite.Pour en savoir plus, visitez le site de l’agence stu.dere. Visuels : © ivo tavares studioLa Rédaction
Il y a 4 ans et 219 jours

Rencontre avec : Warren & Laetitia

Warren et Laetitia se sont rencontrés sur les bancs de l’université Panthéon-Sorbonne, puis sont partis étudier à l’université de Strasbourg. Après l’obtention de leur diplôme de master en design, Waren s’est formé dans l'agence de l’architecte et designer Antoine Phelouzat à Paris, Laetitia a fait ses armes auprès de la designeuse industrielle Irena Übler au Portugal. En 2018, ils décident de travailler ensemble et fondent le studio warren & laetitia. Muuuz : Quand et pourquoi avez-vous choisi de créer ensemble votre studio de design ?Warren et Laetitia : Nous avons décidé de nous associer en 2019, un an après la fin de nos études. Suite à nos expériences professionnelles respectives, nous avons ressenti le besoin de créer notre propre studio de design et eu envie de continuer à travailler ensemble comme nous avions pu le faire à plusieurs reprises durant nos études.Quels objets avez-vous commencé par imaginer et fabriquer ?Notre premier objet imaginé ensemble pour notre studio est la soucoupe pour plantes baptisée « flocflac ». Aujourd’hui édité par batch.works, cet objet n’est pas fabriqué par notre studio. Notre premier objet produit en auto-édition est le double bougeoir 2.20.Vous fabriquez principalement des objets imprimés en 3D à partir de matériaux recyclés et recyclables. Pourquoi avez-vous choisi ce mode de production ?Dans un premier temps, nous n’avions pas envisagé l’impression 3D comme un mode de production. C’est d’ailleurs pourquoi la soucoupe Flocflac a évolué entre le prototype que nous avions réalisé et l’objet produit par batch.works. Nous avons dû redessiner la soucoupe pour l'adapter à la production en impression 3D. C’est comme ça que nous avons commencé à concevoir des objets spécifiquement pour être produits en impression 3D. Ce mode de production nous permet de produire nos objets nous-même et donc de garder la main sur la qualité et le contrôle de la chaine de production.Le choix de matériaux s’est fait assez naturellement car nous ne voulions pas travailler avec des matériaux non recyclables. Assez rapidement, nous avons commencé à collaborer avec Reflow qui produit du filament pour impression 3D recyclé à 95% et recyclable jusqu’à dix fois. Cela nous semble être une bonne alternative, car le plastique est un matériau de moins en moins apprécié, on l’associe directement au plastique à usage unique qui est une énorme source de pollution. Travailler en collaboration avec Reflow, qui recycle justement du plastique à usage unique, nous permet de produire des objets en plastique recyclé à usage multiples. Cette démarche a beaucoup de sens pour nous.Quels sont les avantages de l’impression 3D ? L’impression 3D comme mode de production a différents avantages. Elle nous permet notamment de travailler avec très peu de stock et de posséder nos propres machines. Aujourd’hui, nous travaillons avec quatre imprimantes qui nous permettent de répondre assez rapidement à nos commandes d’autant plus que nous imaginons nos objets en prenant toujours en compte leur temps de fabrication afin d’optimiser au mieux notre production.Et ses inconvénients ?Selon nous, les principaux inconvénients de l’impression 3D sont liés à nos choix de conception. Nous essayons de concevoir autant que possible des objets « rapides » à produire. Les imprimantes 3D sont parfois un peu capricieuses surtout quand nous cherchons à obtenir un rendu précis. Nous passons donc beaucoup de temps à affiner les réglages de nos machines mais c’est cool et satisfaisant. C’est sûrement notre côté un peu nerd.Vous fabriquez des objets du quotidien, et proposer de les concevoir selon trois principes : la modularité, la possibilité de réglage ou d’ajustement, et l'appropriation. C'est-à-dire ?Oui, nous aimons concevoir des objets du quotidien, tout en y intégrant certains principes auxquels nous tenons beaucoup. Par exemple, le demi-vase Mimo est une extension de bocal alimentaire. Chaque demi-vase est compatible avec au moins deux diamètres de bocaux, ce qui permet une certaine flexibilité. C’est ce processus d’appropriation de l’objet qui nous intéresse. On peut choisir son bocal avec lequel on veut faire un vase et le changer ou non. La notion de choix est centrale dans notre studio car nous souhaitais laisser aux utilisateurs le choix de l’usage. Le double bougeoir est un autre exemple, c’est un seul objet pour deux usages potentiels, pas radicalement différent l’un de l’autre, mais quand même différent. Tous nos objets ne sont pas pensés en suivant systématiquement ces principes, mais dès que l’on peut on essaie de leur appliquer. C’est une méthode de travail assez intéressante parce que cela peut donner naissance à des formes nouvelles. Depuis 2019, vous travaillez avec batch.works. Comment abordez-vous cette collaboration ?Nous avons beaucoup de chance de collaborer avec batch.works car ce partenariat a commencé très peu de temps après la création de notre studio. Batch.works nous a contacté pour éditer notre premier objet : la soucoupe pour plantes Flocflac. C’est une collaboration qui s’est fait rapidement et c’était chouette car cela nous a permis de participer au London design festival en 2019.Quelle est votre démarche créative ?C’est une bonne question ! Nous dessinons assez peu surtout parce que nous avons la possibilité de prototyper très tôt et très vite grâce à l’impression 3D. La plupart du temps, nous faisons plusieurs prototypes imprimés en 3D et nous échangeons beaucoup entre nous sur les changements à apporter. C’est d’ailleurs la seule chose que nous faisons vraiment à deux, car c’est dans l’échange que nous trouvons les réponses aux problèmes qui se posent lors de la création de nos objets. De plus, le fait de passer par l’impression 3D lors du prototypage nous permet aussi d’anticiper toutes les questions liées à la production du futur objet, car nous utilisons la même machine pour prototyper et produire nos objets.Pouvez-vous nous parler de votre approche écoresponsable du design ?Nous avons un peu de mal avec l’adjectif écoresponsable, c’est d’ailleurs pourquoi nous ne l’employons jamais pour qualifier notre travail. Nous faisons des choix qui nous semblent évidents comme la production locale, les matériaux recyclés et recyclables français ou européens, et nous ne proposons pas d’expédition en dehors de l’Europe. Nous allons d’ailleurs bientôt pouvoir proposer une livraison à vélo à Paris. Mais cela ne fait pas partie d’une stratégie qu’on pourrait qualifier d’écoresponsable parce que c’est juste du bon sens pour nous et on ne se voit pas faire autrement. Le terme « écoresponsable » est polysémique et ses critères réels restent flous. Nous ne préférons donc pas l’utiliser par peur de tomber dans le champ lexical du greenwashing. Et après ?Aujourd’hui, nous avons plusieurs idées de projets auxquelles nous réfléchissons et que nous souhaiterions développer mais, comme nous travaillons souvent en autoédition, la production de nos objets nous prend beaucoup de temps. Nous aimerions beaucoup fabriquer notre propre plastique recyclé, mais c’est assez complexe surtout pour obtenir un matériau stable donc c’est plutôt de l’ordre du rêve… Sinon nous souhaiterions proposer des objets composés uniquement de matériaux recyclés. Pour certaines couleurs, nous ne trouvons pas de matériaux recyclés. Pour en savoir plus, visitez le site du studio warren & laetitia. Visuels : © warren & laetitiaLa Rédaction  
Il y a 4 ans et 249 jours

Le Groupe Léon Grosse prend des participations dans Kyotec, acteur de la façade architecturale

2019, une année synonyme de retour à l'équilibre financier pour Léon GrosseAprès deux années difficiles, le Groupe Léon Grosse qui soufflera l'an prochain ses 140 ans d'existence, a su redresser la situation. Avec un carnet de commande de qualité proche du milliard d'euros, l'année 2019 a marqué le retour à un résultat d'exploitation positif. Cette performance est le fruit de la mobilisation des 2.100 collaborateurs du groupe.En 2020, la crise du Covid-19 est venue impacter cette dynamique. Face à cette situation totalement inédite, le Groupe Léon Grosse s'adapte et trouve des solutions pour en diminuer les impacts, et ce malgré l'annulation inattendue de certains contrats signés en 2019. Les perspectives économiques pour 2020 restent encourageantes et permettent au Groupe de poursuivre sa stratégie de développement.Un accord stratégique conclu avec Kyotec, reflet d'une vision partagéeCréé en 2008 par Thierry Foucart et basé au Luxembourg, Kyotec est également implanté en France, en Belgique, au Royaume-Uni, au Portugal et en Pologne. Le Groupe de 175 collaborateurs a réalisé un chiffre d'affaires de 35 M€ en 2019.Spécialisé dans la conception, l'ingénierie et la gestion de projets de façades architecturales complexes dans les secteurs résidentiel et tertiaire, le Groupe dispose d'un savoir-faire reconnu à l'international. Avec plus de 50 réalisations à son actif depuis 2008, Kyotec se concentre sur des projets alliant innovation technologique, prestige et performance énergétique. Parmi les dernières réalisations : la rénovation de la Tour Aurore à Paris, l'installation du mur rideau sur les tours Mobius à Bruxelles ainsi que de la façade “exosquelette” en acier et verre sur le complexe hôtelier City of Dreams à Macau. De la conception à la réalisation, les équipes assurent le pilotage de l'ensemble de la chaîne de valeur.Ce rapprochement s'inscrit dans la stratégie de développement de Léon Grosse et illustre la volonté du Groupe de diversifier son activité. Cet accord permet à Léon Grosse d'accompagner la croissance de Kyotec et de se renforcer sur un métier du secteur de la construction à haute valeur ajoutée et porteur d'une image forte. Ce rapprochement permettra également à moyen terme de développer des synergies créatrices de valeur pour les 2 entreprises, notamment en proposant de nouvelles offres autour de structures architecturales complexes basées sur les expertises techniques complémentaires de Léon Grosse et Kyotec, en France et à l'International.Le Groupe Léon Grosse accompagnera également la mise sur le marché de la technologie brevetée ModulAir, un système de traitement de l'air intégré dans les façades pour le neuf ou la rénovation et développé dans l'atelier de test et de prototypage de Kyotec (Le LuxLab). Ce système permet à la fois de maximiser les hauteurs libres disponibles en assurant une qualité d'air ambiant dans les constructions.« Nous sommes ravis de ce rapprochement. Les compétences éprouvées de Kyotec en matière de façades techniques se veulent le prolongement naturel de l'expertise de Léon Grosse. De plus, notre culture d'entreprise fondée sur les hommes, l'esprit d'entreprenariat et l'agilité est parfaitement compatible avec celle de Kyotec. La création de synergies et le partage des meilleures pratiques permettront à Léon Grosse d'élargir significativement et qualitativement son offre auprès de ses clients, en France et à l'International. »-Lionel Christolomme – Président du Directoire de Léon Grosse« Ce rapprochement stratégique va nous permettre de conserver notre position forte dans le domaine des façades techniques ainsi que notre autonomie tout en ayant l'assurance de pouvoir nous appuyer à tout moment sur les ressources et l'expertise de Léon Grosse. De notre point de vue, Léon Grosse et Kyotec se complètent parfaitement : nous nourrissons un engagement commun en faveur de l'excellence technique et de l'innovation au service du client. »-Thierry Foucart – Président de Kyotec* Une façade architecturale complexe (panneaux en verre et profilé alu) se définit par une géométrie spécifique pouvant nécessiter le développement d'un profil structurel spécifique non référencé par des fournisseurs traditionnels
Il y a 4 ans et 250 jours

La maison-mère de Leroy Merlin cède les murs de 42 magasins pour 500 millions d'euros

Selon le journal qui cite un cabinet d'avocats, les actifs vendus pour "plus de 500 millions d'euros" se situent en France, en Italie, en Espagne et au Portugal et sont "intégralement loués aux enseignes Leroy Merlin, Bricoman et Bricomart".Les acquéreurs sont la foncière Batipart et la société de groupe d'assurance mutuelle Covéa qui acquièrent respectivement 41% et 39% de la structure créée pour l'acquisition des murs, Adeo en gardant 20%."Il s'agit d'un rééquilibrage entre actifs détenus en propre et actifs exploités en location qui porte sur une part très réduite de notre parc. Nous restons majoritairement propriétaires en détenant 72% des mètres carrés que nous opérons", a écrit aux Echos l'Association familiale Mulliez (AFM), une galaxie à la tête d'autres enseignes dont notamment Auchan (qui a annoncé la suppression de près de 1.500 postes début septembre), Boulanger ou Decathlon."Nous continuons par ailleurs à investir plus de 800 millions (d'euros) chaque année dans de nouveaux magasins ou des agrandissements", précise l'AFM, qui affirme par ailleurs que l'"opération n'a pas de lien avec la politique de rémunération des actionnaires de notre entreprise."
Il y a 4 ans et 250 jours

Léon Grosse prend le contrôle de Kyotec

Léon Grosse vient de reprendre Kytoec. City of Dreams, Macao, en Chine. [©Ivan Dupont] Le groupe de BTP Léon Grosse a annoncé avoir pris une participation majoritaire dans l’entreprise luxembourgeoise Kyotec. Créée en 2008, cette dernière est spécialisée dans la conception, l’ingénierie et la gestion de projets de façades architecturales complexes. Ceci, dans les secteurs résidentiels et tertiaires. Basée au Luxembourg, elle est aussi implantée en Belgique, en France, en Pologne, au Portugal et au Royaume-Uni. Enfin en 2019, Kyotec comptait 175 collaborateurs et réalisait un chiffre d’affaires de 35 M€.  Ce rapprochement illustre la volonté du groupe Léon Grosse de diversifier son activité. En même temps, cet accord lui permet d’accompagner la croissance de Kyotec. Et de se renforcer sur le secteur de la construction à haute valeur ajoutée. A moyen terme, ce rapprochement aboutira au développement de synergies créatrices de valeur pour les deux entreprises. Développer les compétences en façades techniques En parallèle, le groupe Léon Grosse accompagnera la mise sur le marché de la technologie brevetée ModulAir. Il s’agit d’un système de traitement de l’air intégré dans les façades. Celui-ci est aussi bien destiné aux travaux neufs qu’à la rénovation. LuxLab, l’atelier de test et de prototypage de Kyotec, l’a développé.  « Les compétences éprouvées de Kyotec en matière de façades techniques se veulent le prolongement naturel de l’expertise de Léon Grosse. En effet, ce rapprochement permettra à Léon Grosse d’élargir de manière significative et qualitative son offre auprès de ses clients, en France et à l’international », résume Lionel Christolomme, président du directoire de Léon Grosse. Et Thierry Foucart, président de Kyotec, de conclure : « Ce rapprochement stratégique va nous permettre de conserver notre position forte dans le domaine des façades techniques. De notre point de vue, Léon Grosse et Kyotec se complètent. Nous nourrissons un engagement commun en faveur de l’excellence technique et de l’innovation au service du client ».
Il y a 4 ans et 256 jours

Le Groupe Léon Grosse annonce le rapprochement avec Kyotec, acteur européen de la façade architecturale

Porté par un chiffre d’affaires record de 826 M€ en 2019 en ligne avec ses objectifs et malgré le contexte difficile de l’année 2020, le Groupe Léon Grosse, ETI du BTP, annonce ce jour une prise de participation majoritaire dans le groupe Kyotec. Créé en 2008 par Thierry Foucart et basé au Luxembourg, Kyotec est également implanté en France, en Belgique, au Royaume-Uni, au Portugal et en Pologne. Le Groupe de 175 collaborateurs a réalisé un chiffre d’affaires de 35 M€ en 2019. Spécialisé dans la conception, l’ingénierie et la gestion de projets de façades architecturales complexes dans les secteurs résidentiel et tertiaire, le Groupe dispose d’un savoir-faire reconnu à l’international. Avec plus de 50 réalisations à son actif depuis 2008, Kyotec se concentre sur des projets alliant innovation technologique, prestige et performance énergétique. Parmi les dernières réalisations : la rénovation de la Tour Aurore à Paris, l’installation du mur rideau sur les tours Mobius à Bruxelles ainsi que de la façade “exosquelette” en acier et verre sur le complexe hôtelier City of Dreams à Macau. Ce rapprochement s’inscrit dans la stratégie de développement de Léon Grosse et illustre la volonté du Groupe de diversifier son activité. Cet accord permet à Léon Grosse d’accompagner la croissance de Kyotec et de se renforcer sur un métier du secteur de la construction à haute valeur ajoutée et porteur d’une image forte. Ce rapprochement permettra également à moyen terme de développer des synergies créatrices de valeur pour les 2 entreprises, notamment en proposant de nouvelles offres autour de structures architecturales complexes basées sur les expertises techniques complémentaires de Léon Grosse et Kyotec, en France et à l’International. Le Groupe Léon Grosse accompagnera également la mise sur le marché de la technologie brevetée ModulAir, un système de traitement de l’air intégré dans les façades pour le neuf ou la rénovation et développé dans l’atelier de test et de prototypage de Kyotec (Le LuxLab). Ce système permet à la fois de maximiser les hauteurs libres disponibles en assurant une qualité d’air ambiant dans les constructions. Photo : Ivan Dupont
Il y a 4 ans et 263 jours

Assurance construction : la liquidation d'un assureur étranger entraîne la résiliation de 60.000 contrats français

"Le 15 septembre 2020, les administrateurs de la compagnie (...) ont prononcé la résiliation et la cessation des effets de tous les contrats d'assurance construction souscrits par les assurés français auprès d'Elite Insurance Company LTD", a fait savoir dans un communiqué l'Autorité de contrôle prudentiel et de résolution (ACPR), nom de ce superviseur.Dans le détail, cette décision porte à la fois sur les contrats d'assurance dommages ouvrage, responsabilité civile décennale, responsabilité civile professionnelle, constructeur non réalisateur, tout risque chantier, constructeur de maison individuelle et garanties financières d'achèvement.En février, le cabinet PWC, chargé de l'administration de la société, affirmait qu'Elite Insurance comptait en France quelque 60.000 assurés, ayant principalement des polices d'assurance construction qui ont une période d'exposition de dix ans.En ce qui concerne l'état des indemnisations, les administrateurs ont indiqué à l'ACPR que les sinistres survenus qui ont fait l'objet d'un accord mais n'ont pas été payés avant le 15 septembre 2020 restent éligibles à une indemnisation.Néanmoins, pour ces sinistres comme pour tous ceux qui n'auraient pas été réglés avant le 15 septembre 2020, les administrateurs anticipent des difficultés de paiement en raison de la situation financière d'Elite Insurance.Les sinistres qui surviendraient après le 15 septembre 2020 ne pourront quant à eux "pas faire l'objet d'une indemnisation du fait de la cessation des contrats", relate le communiqué de l'ACPR.Établie à Gibraltar en 2004, Elite Insurance s'est développée en proposant des produits d'assurance à la fois pour les professionnels et les particuliers en Europe.À partir de fin 2018, la société a toutefois subi une détérioration continue de ses réserves dans un certain nombre de lignes commerciales ainsi que des problèmes avec les recouvrements de certaines bases des actifs.Placée sous administration judiciaire en décembre 2019 et déclarée insolvable par les autorités financières de Gibraltar, la société exerçait ses activités en Belgique, en France, en Allemagne, en Grèce, en Irlande, au Luxembourg, à Malte, aux Pays-Bas, en Norvege, au Portugal, en Roumanie, en Espagne et au Royaume-Uni.
Il y a 4 ans et 278 jours

Un éco-hôtel en bois Kebony dans un écrin de nature, sur la côte portugaise

« C’est lors de mes voyages au Portugal que je suis tombé amoureux des paysages et de la nature de ce beau pays. La côte est très préservée, ce qui est rare en Europe. J’y ai découvert une culture et une sensibilité que j’apprécie profondément. C’est pour ces raisons que j’ai choisi la richesse de la région d’Arrábida, un lieu incroyable pour réaliser le projet Etosoto », explique Julien Labrousse.La réserve naturelle est un environnement préservé, véritable écrin de verdure et de tranquillité. C’est pour respecter et se fondre dans cet espace d’exception que le projet Etosoto Cabo Espichel s’est fixé l’objectif d’utiliser des matériaux aussi naturels et locaux que possible. Le bois représente près de 96% des matériaux utilisés. « Le projet explore les principes de l’architecture bioclimatique. Nous visons l’objectif “cradle to cradle”. C’est pour ces raisons que nous avons choisi le bois Kebony, en plus de son aspect visuel très agréable et naturel », poursuit l’architecte.Développée en Norvège, la technologie révolutionnaire Kebony est un procédé respectueux de l’environnement, qui modifie les résineux issus de sources durables en chauffant le bois avec de l’alcool furfurylique ; un sous-produit agricole. En polymérisant la paroi cellulaire du bois, les résineux adoptent en permanence les attributs du bois dur tropical, notamment une durabilité, une dureté et une stabilité dimensionnelle élevées. Ce processus n’améliore pas seulement significativement les propriétés physiques du bois, mais contribue également à l’apparence unique de celui-ci grâce à sa patine gris argent qui se développe au fil du temps.« Nous avons également choisi le bois Kebony dans le but de concevoir des bâtiments dont l’air intérieur serait dépourvu de polluants », explique Julien Labrousse.Les petites cabines présentent une allure épurée et moderne, se parent de toits végétalisés et de grandes baies vitrées qui font entrer la lumière naturelle et reflètent la beauté des environs. Ce sont de véritables bulles paisibles et apaisantes, connectées à la nature, et respectueuses de l’environnement.Technologie KebonyLa technologie Kebony est un processus de production breveté qui permet d’améliorer les propriétés des bois résineux pour leur conférer des caractéristiques comparables à celles des bois exotiques. Grâce à un procédé respectueux de l’environnement, les bois sont imprégnés d'un liquide biologique provenant de déchets de cultures agricoles. En chauffant le bois, les polymères furfuryliques sont imprégnés dans les parois cellulaires du bois, ce qui augmente sa durabilité et sa stabilité dimensionnelle, sans pour autant sacrifier son esthétique.
Il y a 4 ans et 324 jours

Edilians lance son nouveau plan santé-sécurité

Les nouvelles orientations qui en découlent sont réunies dans un plan Santé-Sécurité qui sera lancé le 18 septembre prochain sur l’ensemble des sites de production d’EDILIANS à l’occasion de l’édition 2020 de la “Journée de la Santé et Sécurité”.La sécurité sur le lieu de travail a toujours été un axe prioritaire pour EDILIANS. Aujourd’hui, la santé des collaborateurs devient aussi un enjeu essentiel pour l’entreprise qui souhaite renforcer son action et impliquer tous les services au-delà des sites industriels car comme l’explique Eric Perrier, Directeur Sécurité, « un accident peut survenir en tous points de l’entreprise, pas seulement sur les lignes de production ».S’adressant à chacun des 1.000 salariés d’EDILIANS, le nouveau plan Santé-Sécurité vise à développer un état d’esprit positif tant sur le plan sécuritaire que médical pour “réussir ensemble à atteindre l’objectif de zéro accident et zéro maladie” souligne Pascal Casanova, Président.“Arrivé le matin indemne et partir le soir idem, c’est toute la philosophie du programme Santé-Sécurité que nous mettons en place” ajoute Pascal Casanova. Celui-ci s’articule autour de 6 thèmes majeurs :la fierté de travailler en Santé et Sécurité avec une plus grande communication sur les réussites et les pratiques vertueuses recensées dans les usines ainsi que sur les règles à appliquer,le leadership terrain et le rôle des managers pour mobiliser chacun dans tous les services et mettre en œuvre les outils en faveur d’une implication massive,les règles à respecter, afin de rester en sécurité et en bonne santé, réunies dans une charte Santé-Sécurité qui détaille les engagements et les attitudes à adopter par tous les acteurs de l’entreprise, avec pour valeur commune le respect (des hommes, de l’entreprise, des clients, de l’environnement),le plan santé avec des moyens conséquents pour impulser une dynamique autour de la santé mentale et physique, capital individuel et collectif de première importance,la conformité et la mise en place d’un plan de sécurisation sur 3 ans des machines et équipements sur tous les sites, suite à un audit externe conduit pour lister les points d’amélioration sur chacune des lignes de production. Désormais, quand une intervention de maintenance est réalisée, elle devra être précédée d’une analyse des risques préalable pour gagner en vigilance et en sérénité,un processus d’intégration et de formation plus important et mieux structuré des nouveaux entrants et des intérimaires incluant un volet santé et sécurité.Pour impliquer, rassembler et responsabiliser l’ensemble des collaborateurs, des prestataires et des clients autour de ce projet commun, EDILIANS a souhaité illustrer sa démarche en créant une identité graphique dédiée. Symbolisant deux personnages liés l’un à l’autre, formant un cœur, le logo traduit l’interdépendance. « Une notion qui porte les valeurs de respect et reflète l’implication et la bienveillance de chacun vis-à-vis de son prochain » explique Eric Perrier, Directeur Sécurité. Ce message fort sera décliné sur l’ensemble des supports de communication interne ainsi que sur les panneaux d’affichages prévus à l’entrée des sites de production.Sujet majeur pour EDILIANS, ce plan de prévention sera officiellement lancé le 18 septembre lors de la prochaine Journée de la Santé-Sécurité organisée sur les 14 sites de production français ainsi que sur celui d’Umbelino Monteiro au Portugal. Au cours de cette nouvelle édition, point de départ d’une mobilisation collective, des ateliers et mini-conférences seront notamment proposés pour progresser rapidement.
Il y a 4 ans et 324 jours

Dossier : 4 musées à l'architecture minimaliste

Des lieux culturels affichent une architecture minimaliste et font ainsi la part belle aux arts et aux œuvres présentés. Cette semaine, la rédaction de Muuuz vous invite à découvrir quatre nouveaux lieux culturels, musées et centres d’art, qui se démarquent par leur architecture épurée. Le Centre d’interprétation de l’art romanLe studio portugais d'architecture et de design Spaceworkers, fondé par les architectes Henrique Marques et Rui Dinis, et par la consultante financière Carla Duarte, conçoit un bâtiment tout en béton pour accueillir le Centre d’interprétation de l’art roman. Installée dans la ville de Lousada au Portugal, cet édifice est une réinterprétation du vocabulaire traditionnel de l’architecture romane. . Le Centre Pompidou x West Bund Museum ProjectAprès une implantation à Malaga, puis à Bruxelles, le Centre Pompidou s’exporte à Shanghai en Chine. Suite à l’inauguration de l’édifice construit par David Chipperfield, le musée vient d’ouvrir ses portes au public samedi dernier. Retour sur la genèse d’un projet d’ampleur favorisant les échanges culturels et économiques entre la France et la Chine. C’est sur la rive nord du fleuve Huangpu que s’élève l’écrin de verre réalisé par l’architecte britannique David Chipperfield. Installé sur une esplanade surélevée bordée par un parc, le bâtiment de 25 000 mètres carrés se divise en trois volumes, distincts et linéaires, organisés autour d’un hall central avec un atrium à double hauteur. . Le Musée Cantonal des Beaux-Arts de LausanneAlors qu’il occupait jusqu’alors le Palais de Rumine, le MCBA – Musée Cantonal des Beaux-Arts de Lausanne (Suisse) bénéficie désormais de son propre bâtiment, un monolithe aux accents brutalistes signé Barozzi-Veiga. Installé en centre-ville, l’ensemble vise à donner naissance à un nouveau quartier des arts : Plateforme 10, qui devra rassembler à terme le MCBA, le Musée de Design et d’Arts appliqués (MUDAC) et le musée de l’Élysée, un établissement dédié à la photographie. . La MÉCALe trio d'architectes parisiens Freaks et les équipes du studio danois Bjarke Ingels Group emporte la ville de Bordeaux (33) dans une spirale créative avec la MÉCA, un centre culturel néo-aquitain de 18 000 mètres carrés posé sur la rive gauche de la belle endormie. Bordeaux s'enivre ainsi de culture avec la MÉCA, son tout nouveau temple de l'art. Investie par le Fond Régional d'Art Contemporain et deux agences dédiées au théâtre ainsi qu'au cinéma, cette Maison de l'Économie Créative et de la Culture en région Nouvelle-Aquitaine doit son imposante bâtisse à l'agence danoise BIG, réalisée en collaboration avec le studio français Freaks.La Rédaction
Il y a 4 ans et 328 jours

EDILIANS lance officiellement son nouveau plan santé-sécurité

Suite à la prise de fonction de Pascal Casanova en tant que Président, un nouveau projet d’entreprise guide EDILIANS. Co-construit avec la direction stratégique pendant la période de confinement, il ancre notamment la santé et la sécurité au travail au cœur des préoccupations du spécialiste de la tuile terre cuite. Les nouvelles orientations qui en découlent sont réunies dans un plan Santé-Sécurité qui sera lancé le 18 septembre prochain sur l’ensemble des sites de production d’EDILIANS à l’occasion de l’édition 2020 de la “Journée de la Santé et Sécurité”.   La sécurité sur le lieu de travail a toujours été un axe prioritaire pour EDILIANS. Aujourd’hui, la santé des collaborateurs devient aussi un enjeu essentiel pour l’entreprise qui souhaite renforcer son action et impliquer tous les services au-delà des sites industriels car comme l’explique Eric Perrier, Directeur Sécurité, « un accident peut survenir en tous points de l’entreprise, pas seulement sur les lignes de production ».   S’adressant à chacun des 1.000 salariés d’EDILIANS, le nouveau plan Santé-Sécurité vise à développer un état d’esprit positif tant sur le plan sécuritaire que médical pour “réussir ensemble à atteindre l’objectif de zéro accident et zéro maladie” souligne Pascal Casanova, Président.   “Arrivé le matin indemne et partir le soir idem, c’est toute la philosophie du programme Santé-Sécurité que nous mettons en place” ajoute Pascal Casanova. Celui-ci s’articule autour de 6 thèmes majeurs : • la fierté de travailler en Santé et Sécurité avec une plus grande communication sur les réussites et les pratiques vertueuses recensées dans les usines ainsi que sur les règles à appliquer, • le leadership terrain et le rôle des managers pour mobiliser chacun dans tous les services et mettre en œuvre les outils en faveur d’une implication massive, • les règles à respecter, afin de rester en sécurité et en bonne santé, réunies dans une charte Santé-Sécurité qui détaille les engagements et les attitudes à adopter par tous les acteurs de l’entreprise, avec pour valeur commune le respect (des hommes, de l’entreprise, des clients, de l’environnement), • le plan santé avec des moyens conséquents pour impulser une dynamique autour de la santé mentale et physique, capital individuel et collectif de première importance, • la conformité et la mise en place d’un plan de sécurisation sur 3 ans des machines et équipements sur tous les sites, suite à un audit externe conduit pour lister les points d’amélioration sur chacune des lignes de production. Désormais, quand une intervention de maintenance est réalisée, elle devra être précédée d’une analyse des risques préalable pour gagner en vigilance et en sérénité, • un processus d’intégration et de formation plus important et mieux structuré des nouveaux entrants et des intérimaires incluant un volet santé et sécurité.   Pour impliquer, rassembler et responsabiliser l’ensemble des collaborateurs, des prestataires et des clients autour de ce projet commun, EDILIANS a souhaité illustrer sa démarche en créant une identité graphique dédiée. Symbolisant deux personnages liés l’un à l’autre, formant un cœur, le logo traduit l’interdépendance. « Une notion qui porte les valeurs de respect et reflète l’implication et la bienveillance de chacun vis-à-vis de son prochain » explique Eric Perrier, Directeur Sécurité. Ce message fort sera décliné sur l’ensemble des supports de communication interne ainsi que sur les panneaux d’affichages prévus à l’entrée des sites de production.   Sujet majeur pour EDILIANS, ce plan de prévention sera officiellement lancé le 18 septembre lors de la prochaine Journée de la Santé-Sécurité organisée sur les 14 sites de production français ainsi que sur celui d’Umbelino Monteiro au Portugal. Au cours de cette nouvelle édition, point de départ d’une mobilisation collective, des ateliers et mini-conférences seront notamment proposés pour progresser rapidement. http://www.edilians.com
Il y a 4 ans et 347 jours

Orly sortira vendredi de trois mois de sommeil forcé

A partir de vendredi, quelque 25 destinations seront desservies au départ d'Orly avec environ 70 décollages et atterrissages par jour -contre 600 en moyenne en temps normal- vers les Antilles, La Réunion, l'Italie, l'Espagne, le Portugal, l'Islande, la Croatie, la Guyane ou encore la Corse ou Rodez, des lignes d'obligations de service public (OSP).Environ 8.000 passagers y sont attendus vendredi -soit moins de 10% du trafic habituel de 90.000 passagers en moyenne par jour- sur l'aéroport centenaire, fermé aux vols commerciaux le 1er avril en raison de l'effondrement du trafic aérien sous l'effet des fermetures de frontières pour limiter la propagation du virus.Le trafic évoluera à partir du début juillet en fonction notamment de l'ouverture ou non des frontières par le Maroc, la Tunisie et l'Algérie.En mai, il s'est écroulé de 97,8% à Paris-Charles -de-Gaulle (CDG), au nord de Paris, où a été concentré tout le trafic pendant le pic de la crise, avec seulement 200.000 passagers accueillis.Pour s'adapter à un ciel encore très incertain -en raison de l'attentisme des voyageurs pour leur réservation, la levée des restrictions de voyages en ordre dispersé et de possibles recrudescences épidémiques-, la réouverture sera partielle avec d'abord le redémarrage d'Orly 3, puis progressivement d'Orly 4, 1 et 2."On a une crise qui est extrêmement brutale et qui est longue et surtout on se prépare à un redémarrage qui va être un peu lent, pour ne pas dire extrêmement lent", a prévenu mardi Alain Battisti, le président de la Fédération nationale de l'aviation marchande (Fnam).Un "uppercut" pour les compagniesSur le plan de la sécurité sanitaire, plus de 7.000 affiches et autocollants pour marquer la distanciation physique ont été apposés dans l'aéroport par son gestionnaire ADP ainsi que 150 distributeurs de gel et 137 plexiglas installés sur tous les comptoirs d'accueil, banques d'enregistrement et d'embarquement.Une caméra thermique a été installée à l'arrivée pour prendre la température des voyageurs et détecter d'éventuels cas de contamination par le coronavirus.En 2019, Orly a accueilli 31,9 millions de passagers essentiellement sur des vols dits de "point à point", de Paris vers la province, la Corse, l'Outre-mer ou encore l'Europe du Sud et le bassin méditerranéen.Les principales compagnies présentes à l'aéroport étaient Air France (29,6% du trafic), Transavia (17,5%), easyJet (9,2 %), Vueling (8,8%) et Air Caraïbes (4,1%) et 40% de son trafic était porté par des compagnies low-cost. L'Association internationale du transport aérien (Iata) table sur un retour du trafic au niveau de 2019 pas avant 2023. De nombreuses incertitudes pèsent en fonction de la situation sanitaire, mais aussi du comportement des voyageurs, en particulier ceux à haute valeur ajoutée des classes affaires qui ont pu prendre goût à la visioconférence pendant le confinement.Comme partout dans le monde, à Paris le trafic reprendra d'abord pour les vols intérieurs puis le moyen-courrier et enfin en dernier lieu le long-courrier et les liaisons intercontinentales.Si la période de quasi-arrêt du trafic a représenté un "uppercut" pour les compagnies aériennes, la période "de redécollage" restera "difficile", a commenté mardi Marc Rochet, président d'Air Caraïbes Atlantique."Le redécollage, il peut tuer. Parce que personne ne sait dire sa longueur, quand les clients vont revenir, comment ils vont remplir les avions..."
Il y a 4 ans et 352 jours

Atelier Data : Casa no cercal

C’est à Cercal dans la région du Centre au Portugal que l’agence d’architecture Atelier Data a réinterprété la maison traditionnelle portugaise en érigeant une villa solaire qui s’intègre parfaitement au paysage vallonné alentour. Casa no cercal est une maison de 195 mètres carrés ouverte sur la nature. Fascinés par les reliefs de la région, les architectes d’Atelier Data ont choisi de valoriser la relation de la villa avec les éléments naturels environnants, notamment les collines et la rivière. Les architectes ont ainsi abaissé les frontières entre intérieur et extérieur grâce à des fenêtres et des portes vitrées coulissantes qui laissent entrer la lumière naturelle et offrent de belles vues sur le paysage. Dans la même logique, ils ont également agencé plusieurs patios, des petits espaces extérieurs plus confidentiels, qui font circuler la lumière dans la maison, et crée une grande salle de séjour qui ouvre de plain-pied sur une grande terrasse prolongée par une couloir de nage. À l’intérieur, le blanc règne en maître absolu. Partout des meubles dépareillés, des matières naturelles, des céramiques colorées distillent un esprit estival. Une véritable ode à la nature ! Pour en savoir plus, visitez le site d’Atelier Data. Photographies : © Richard John SeymourLéa Pagnier
Il y a 5 ans et 15 jours

Supprimer des jours de repos pour accélérer la reprise serait une "fausse bonne idée" selon les économistes

"Enlever un jour de congé pour booster la croissance, c'est un peu une fausse bonne idée qui réapparaît en France après chaque crise et qui équivaut à une baisse de salaire déguisée", commente auprès de l'AFP Grégory Claeys, économiste à l'institut Bruegel à Bruxelles.Le débat a ressurgi récemment avec une proposition du Medef, toutefois rapidement remballée face à l'hostilité des syndicats.En temps normal, travailler un jour supplémentaire a un effet bénéfique sur la croissance, cependant considéré comme "marginal" par les économistes. Avant la crise, l'Institut national de la statistique avait ainsi estimé à +0,12 point l'effet positif du calendrier en 2020, qui compte deux jours ouvrés supplémentaires par rapport à l'année précédente.Inutile d'espérer accroître cet effet positif en augmentant significativement le nombre de jours ouvrés, préviennent les économistes. Car cela aurait des conséquences négatives - notamment sur la productivité - et pénaliserait certains secteurs d'activités.Raccourcir les vacances d'été de quelques semaines, par exemple, provoquerait un choc supplémentaire chez les professionnels du tourisme et du loisir. "Cela reviendrait à transférer l'activité d'un secteur à un autre, sans véritablement apporter d'avantage à l'économie dans son ensemble", explique à l'AFP Alexandre Delaigue, professeur d'économie à l'université de Lille.Augmenter le nombre de jours travaillés à l'échelle d'un pays permet éventuellement de répondre à un problème d'offre insuffisante ou de compétitivité. Afin d'améliorer cette dernière, le Portugal avait ainsi décidé en 2012 de rayer du calendrier quatre jours fériés. Avant de les rétablir quelques années plus tard.Autre cas de figure: en France, entre 2004 et 2008, le lundi de Pentecôte a été un jour férié non chômé, au cours duquel de nombreux salariés ont travaillé sans être rémunérés afin de financer la prise en charge des personnes dépendantes.Mais à présent "nous avons un problème de demande qui est faible en France et partout dans le monde", en raison des mesures sanitaires pour limiter la propagation de l'épidémie, souligne M. Claeys. Vêtements, meubles ou voitures n'ont guère trouvé preneurs pendant le confinement.Ajustements ciblésPour accompagner la reprise, "nous avons besoin de flexibilité, plutôt que d'une augmentation générale de la durée du travail", indique à l'AFP Agnès Bénassy-Quéré, professeure à l'université de Paris 1 Panthéon Sorbonne."Une journée de travail plus longue pourrait être extrêmement utile aux entreprises des secteurs où la demande est présente, étant donné que nous avons du mal à réallouer la main d’œuvre rapidement", complète-t-elle.Les commerçants, qui retrouvent leur clientèle mais doivent réduire le nombre de personnes accueillies simultanément par précaution sanitaire, pourraient par exemple réaliser un nombre de ventes plus important sur une journée allongée.Dans le secteur du bâtiment, cela permettrait d'opérer une forme de rattrapage sur les chantiers qui ont été interrompus.Lorsque l'activité sera repartie, "aménager d'une manière un peu différente le travail pourrait vraiment améliorer les choses dans certaines entreprises, mais ce type de décision doit être pris au cas par cas et en concertation avec les salariés", précise M. Delaigue.Certaines lois permettent de mettre en place des ajustements, en ayant recours notamment aux heures supplémentaires ou à l'annualisation du temps de travail.Mais "pour l'instant, l'urgence c'est de voir comment les entreprises vont pouvoir fonctionner, nous avons besoin de solutions originales et adaptées aux différents secteurs", estime M. Delaigue.
Il y a 5 ans et 44 jours

Covid-19 : Grohe revoit sa production en Europe

Pour ses trois sites de fabrication allemands, les calendriers de production et les différentes installations ont été adaptés pour respecter les recommandations et directives officielles en matière d'hygiène et de sécurité du personnel.La production à Albergaria, au Portugal, est suspendue depuis le 30 mars 2020, en raison des dernières réglementations gouvernementales et de l'intensification de la situation dans cette région. Une reprise de l'activité est prévue pour le 12 avril 2020.Outre les usines européennes, le site de fabrication de Klaeng en Thaïlande suit également des procédures strictes, telles que des contrôles de température des employés, afin de garantir des normes d'hygiène et de sécurité.Avec ses nouvelles mesures, la marque GROHE veut préserver la sécurité et la santé de son personnel ainsi que soutenir les efforts mis en place pour contenir la pandémie. Sur tous les sites, les différentes mesures et réglementations sont constamment révisées et font l'objet d'ajustements si nécessaire.GROHE travaille en étroite collaboration avec ses partenaires commerciaux pour gérer les niveaux de stock dans toute la région EMENA, en tenant compte des circonstances et des exigences des différents marchés.« Avec la propagation du nouveau coronavirus à travers le monde, nous assistons à une situation sans précédent. Au cours des dernières semaines, l'impact s'est accru tant sur la société que sur l'économie. Compte tenu de la dynamique générale, nous avons dès le début évalué la conjoncture afin de déterminer les actions nécessaires. C'est maintenant que nous renforçons les mesures existantes pour mieux protéger nos employés », déclare Thomas Fuhr, directeur général de LIXIL International et de Grohe AG.
Il y a 5 ans et 49 jours

Il y a 60 ans, Brasilia devint la capitale du Brésil

Voici le récit de sa fondation, à partir des dépêches de l'AFP de l'époque.Ce projet pharaonique a émergé en moins de quatre ans, sur la savane rouge des hauts plateaux semi-désertiques dans le centre-ouest du pays, à un millier de kilomètres de Rio de Janeiro (capitale depuis 1763), explique l'AFP, avant le début de plusieurs jours de festivités. Un lac artificiel, Paranoa, de plus de 40 km carrés, a même été aménagé.Aux commandes de l'œuvre - classée en 1987 au patrimoine de l'humanité - l'urbaniste Lucio Costa, le paysagiste Roberto Burle Marx et l'architecte Oscar Niemeyer, récompensé en 1988 par le prix Pritzker, équivalent du Nobel pour l'architecture.Vaste circonférenceL'inauguration de la "capitale de l'espoir", suivant la formule popularisée par le ministre français de la Culture André Malraux, coïncide avec l'anniversaire de la mort du premier martyr de l'indépendance du Brésil, surnommé "Tiradentes" (arracheur de dents), qui appelait à établir la capitale au centre du pays.A l'approche de l'événement, 24 heures sur 24, "cent mille ouvriers ingénieurs et techniciens mettent la dernière main au plus grand chantier du monde"."Pour abriter les bâtisseurs de Brasilia, une ville de fortune est née" au "milieu de la savane", avec "cent cinquante mille habitants, soixante hôtels, quarante bars et sept banques", appelée à être rasée une fois Brasilia achevée.Le projet a été impulsé par le président brésilien Juscelino Kubitschek, pour qui "c'est une révolution géopolitique. Après avoir campé pendant presque deux cents ans au bord de l'eau, le Brésil va prendre possession de son territoire".Brasilia "a la forme d'une circonférence - tellement vaste que du sommet du gratte-ciel de 28 étages où seront logés les services administratifs relevant du Parlement, les limites n'en seront pas visibles", décrit l'AFP."A l'intérieur de cette circonférence", dont deux diamètres dessinent le signe de la croix, "les avenues (...) décrivent des cercles concentriques" ou "sont tracées suivant les rayons du cercle, mais ne débouchent jamais les unes sur les autres, des ponts et des tunnels ayant été aménagés à tous les croisements".Chefs-d'oeuvre d'architectureLe Parlement aux deux demi-sphères, le palais présidentiel du Planalto et la Cour suprême fédérale sont situés sur la Place des Trois Pouvoirs, "centre de la circonférence" et "cœur de la cité".Parmi les "plus beaux monuments", une cathédrale futuriste, avec une énorme gerbe liant les tiges de béton symbolisant l'amitié entre le Brésil et le Portugal, ou le palais d'Itamaraty (ministère des Affaires étrangères).Dans un premier temps, le transfert du pouvoir est surtout symbolique: "l'aménagement intérieur de nombreux édifices publics n'est pas achevé, les bureaux ne sont pas complètement installés, et surtout, le fonctionnement des ascenseurs est souvent précaire", explique l'AFP le 20 avril.Le réseau téléphonique intérieur n'est pas au point. Des difficultés de dernière minute surgissent dans les liaisons radio avec les autres villes.Difficile également de se déplacer dans une agglomération pratiquement dépourvue de transports publics, avec de longues distances.L'heure est néanmoins à la fête. Le 20 avril, "les Brésiliens qui, depuis 24 heures affluent dans la nouvelle capitale laissent libre cours à leur enthousiasme devant des chefs-d'œuvre de l'architecture". Pour bénir la cité, le cardinal Manuel Cerejeira, légat pontifical, apporte une croix au pied de laquelle fut dite en 1500 la première messe au Brésil.Le président reçoit les clés de la ville devant "une foule d'environ 3.000 personnes", composée d'ouvriers en blue jean, paysans de hauts plateaux au visage brûlé de soleil, touristes de Rio ou de Sao Paulo vêtus de blanc ainsi que de hauts fonctionnaires et parlementaires en costume sombre.Cérémonies religieuses, fêtes populaires kermesse, parade militaire, défilé des ouvriers ayant participé à la construction, rythment l'événement pendant plusieurs jours.Le 21, les pouvoirs sont installés à Brasilia."Les façades des édifices publics" et des immeubles d'habitation "sont toutes en baies vitrées. Ainsi, le peuple pourra +contrôler+ constamment le travail des serviteurs de l'État", explique l'AFP le 23 avril.Quatre années après l'inauguration de sa nouvelle capitale, qui a plombé ses finances pour plusieurs années, le Brésil connaît un coup d'État,instaurant une dictature militaire jusqu'en 1985.
Il y a 5 ans et 78 jours

Spaceworkers : Centre d’interprétation de l’art roman

Le studio portugais d'architecture et de design Spaceworkers, fondé par les architectes Henrique Marques et Rui Dinis, et par la consultante financière Carla Duarte, conçoit un bâtiment tout en béton pour accueillir le Centre d’interprétation de l’art roman. Installée dans la ville de Lousada au Portugal, cet édifice très contemporain réinterprète le vocabulaire de l’architecture romane. Pour le Centre d'interprétation de l’art roman, l’équipe de Spaceworkers a imaginé une architecture épurée, composée de sept volumes en béton de différentes hauteurs et dimensions tous reliés par un module central doté d’une toiture en verre. Inspirés par des principes de l'architecture romane, les architectes ont érigé un bâtiment référencé. Bien que futuriste, le musée fait écho au riche patrimoine architectural roman portugais, notamment aux cinquante-huit monuments situés sur la « Route de l’Art roman » dans la région Nord. Les sept volumes revisitent chacun la forme d’une toiture typiquement romane. Laissé nus, et épais, les murs en béton sont à l’image de l’esthétique épurée de l’ensemble, faisant ainsi référence aux édifices anciens. D’une superficie de 650 mètres carrés, le centre culturel fascine autant par sa monumentalité que son étonnante volumétrie. À l’intérieur, les architectes ont pris le parti de la simplicité. Les espaces épurés et lumineux renvoient en effet aux décors dépouillés de certains édifices cultuels romans. Un goût de l’austérité que l’on retrouve dans l’agencement des nombreuses percées et de la verrière. Ainsi, le musée tisse des ponts entre tradition romane et architecture contemporaine : pas d’éléments superflus ici. Une architecture aussi esthétique que didactique. Pour en savoir plus, visitez le site de Spaceworkers Photographies : Spaceworkers Léa Pagnier
Il y a 5 ans et 82 jours

Mort de l'architecte italien Vittorio Gregotti des suites du coronavirus

L'architecte italien Vittorio Gregotti, qui a notamment conçu le centre culturel de Belem (Portugal) ou le Grand Théâtre de Provence à Aix-en-Provence, est décédé dimanche à 92 ans à Milan d'une pneumonie liée au nouveau coronavirus, rapportent les médias italiens.
Il y a 5 ans et 127 jours

Première opération au Portugal pour Legendre

Un chantier à Porto, une agence à Lisbonne : le groupe breton continue sa stratégie d'implantation à l'international.
Il y a 5 ans et 149 jours

Sejkko : Lonely Houses

Découvert sur Instagram sous le pseudonyme Sejkko (@sejkko), le photographe portugais Manuel Pita immortalise les maisons isolées qu’il rencontre lors de ses pérégrinations en Europe, de son pays d’origine à la Croatie en passant par la Turquie. Tantôt rénovées, tantôt vétustes, ces petites habitations colorées évoquent à la fois la solitude de tout un chacun et le souvenir nostalgique de la Home, Sweet Home de son enfance. Après avoir obtenu un doctorat en intelligence artificielle et en sciences cognitives à l’Université d’Édimbourg (Écosse), Manuel Pita commence à partager en 2012 ses images de photographe amateur sur Instagram. Ce n’est que deux ans plus tard, à l’heure de l’essor de l’application mobile, que le photographe autodidacte professionnalise sa pratique du huitième art et se fait remarquer sur le réseau social en dévoilant ses premières « Lonely Houses » photographiées au Portugal. Ce qui lui a permis dès 2016 de tirer les images en édition limitée pour les exposer, puis les vendre. Les maisons solitaires de Manuel Pita s’inspirent d’abord de son histoire personnelle. Lorsqu’il capture les premiers clichés de sa série « Lonely Houses », Sejkko fait de sa pratique photographique une thérapie. Derrière ces visions naïves d’habitations colorées esseulées se cachent en réalité des réflexions existentielles sur son rapport à l’enfance, son parcours universitaire solitaire et sa reconversion professionnelle tardive. À cette époque, l’image de la maison isolée – devenue ensuite sa marque de fabrique – reflète la solitude, les souvenirs et les états d’âme de l’artiste. De son rapport thérapeutique à la photographie résultent paradoxalement des compositions colorées et légères, qui oscillent entre un monde réel hostile et un univers fictif apaisant. Manuel Pita choisit toujours des maisons modestes, souvent abandonnées, et révèle ainsi la beauté cachée des habitations oubliées. La série rend ainsi compte de la solitude expérimentée à l’âge adulte tout en construisant un imaginaire rassurant propice au rêve. Immédiatement, les clichés de Manuel Pita séduisent l’observateur par leur composition travaillée, leurs coloris doux et leur esthétique léchée. Narrative, la série « Lonely Houses » invite à la contemplation et à l’évasion. Pour en savoir plus, visitez le site de Sejkko Photographies : Sejkko Léa Pagnier
Il y a 5 ans et 169 jours

Bilan de la 2ème édition du salon ROCALIA

A l’occasion de sa 2nde édition qui s’est déroulée les 3, 4 et 5 décembre à Lyon-Eurexpo, en complémentarité avec Paysalia, Rocalia montre son positionnement de rendez-vous professionnel unique en France pour le secteur pierre naturelle. Organisé par GL events Exhibitions, avec la revue Pierre Actual comme partenaire associé, il a rassemblé 148 fournisseurs, représentant 256 marques, avec pour objectif de valoriser la filière pierre naturelle française. 29 912 visiteurs ont fréquenté Rocalia et Paysalia, soit une progression de +13,2% par rapport à 20171, et participé aux nombreuses animations proposées. Les entreprises exposantes connaissent une progression de 18,4 %, avec notamment 34% de nouveaux exposants. Les principaux acteurs du marché de la pierre (producteurs, distributeurs, constructeurs de machines…) étaient ainsi présents, qu’ils soient français ou étrangers. La dynamique Rocalia se développe également à l’international, avec 36 % de fournisseurs internationaux, venus principalement d’Italie, d’Espagne, de Belgique, du Portugal et du Maroc. Cette internationalisation se traduit également au niveau du visitorat, avec 9,28 % de visiteurs étrangers. Le Forum Rocalia, au cœur du salon, a ainsi proposé aux visiteurs des démonstrations et conférences sur des thématiques d’actualité. L’occasion de se tenir au courant des dernières nouveautés, mais également de rencontrer et d’échanger avec des intervenants experts sur les qualités de la pierre naturelle, ses applications variées et l’innovation qui est en marche dans la filière. La journée thématique du Patrimoine, organisée le mercredi 4 décembre, a également rencontré un vif succès avec une visite commentée du Grand Hôtel-Dieu de Lyon, par Didier Repellin, Architecte en Chef des Monuments Historiques, attirant architectes et collectivités. Diversité des matières, des grains, des couleurs, des veinages, des finitions… La pierre naturelle est un matériau qui séduit designers, architectes et décorateurs. Les créations de ces derniers étaient ainsi à l’honneur sur Rocalia au sein de la Rocalia Design Expo, mais aussi à travers le concours « Construire en pierre naturelle au XXIe siècle », dont les lauréats ont été récompensés, le mardi 3 décembre, sur le Forum Rocalia. GRAND PRIX – Office tourismme de Plainfaing Nature du chantier : bâtiment Maître d’ouvrage : communauté d’agglomération de Saint-dié-des-vosges Maîtrise d’œuvre : christophe aubertin architecte Entreprise de la pierre : Carrières de champenay Altan bâtiments Matériau : Grès rose de Champenay PRIX SPECIAL DU JURY ) Fontaine de la place de l’Atre Nature du chantier : aménagement urbain Maître d’ouvrage : ville d’épinal Maîtrise d’œuvre : B.E. urbicus – BLD water design Entreprise de la pierre : Graniterie de petitjean – Eurovia – Lor’espace Matériau : Granit gris bleu des vosges – Granit rouge corail de senones PRIX INNOVATION – Champagne Deutz Delas Frères Chai et Caveau Nature du chantier : bâtiment Maître d’ouvrage : cChampagne Deutz Delas Frères Maîtrise d’œuvre : C.F.Svenstedt Architectes Entreprise de la pierre : Atelier Graindorge – Stono/Printemps de la pierre – Carrières de provence Matériau : Pierre des Estaillades et de Fonvielle PRIX AMENAGEMENTS URBAINS – Aménagement d’espaces publics de Montauban Nature du chantier : aménagement urbain Maître d’ouvrage : Grand Montauban, ville de Montauban Maîtrise d’œuvre : christophe aubertin architecte Entreprise de la pierre : Dessein de ville (mandataire) PRIX BÂTIMENT – Hôtel & spa Royal Champagne Nature du chantier : bâtiment Maître d’ouvrage : privé Maîtrise d’œuvre : G.Pace Architecte Entreprise de la pierre : Rocamat Matériau : Pierre d’Euville, Pierre de Rocherons-comblanchien Rendez-vous du 30 novembre au 2 décembre 2021 à Eurexpo Lyon pour la 3ème édition de Rocalia
Il y a 5 ans et 215 jours

Dossier : Cinq jeunes designers français

Deux filles, trois garçons. Thomas Ballouhey, Fabien Cappello, Elise Fouin, Léonard Kadid et Hélène Labadie incarnent la crème de la crème des jeunes designers français. Une génération qui voyage, s'expose, crée librement. Zoom sur les cinq créateurs français du moment à suivre de très prés. Thomas BallouheyDiplômé de la Design Academy d'Eindhoven (Pays-Bas), Thomas Ballouhey a récemment installé son atelier dans la ville néerlandaise. Tel un archéologue du présent, le designer s'intéresse aux matériaux et aux modes de production. Dans sa série « Ways of Altering » [Manières d'altérer], par exemple, il associe des objets industriels – bancs, tabourets, tréteaux, entre autres – à des matériaux divers – carton, élastiques, polystyrène – et enduit le tout d'époxy et de sable pour produire des meubles hétéroclites dont l'aspect rudimentaire les fait s'apparenter à des trésors passés. Un résultat saisissant qui questionne les moyens de production de masse actuels. En octobre dernier, il participait à la cinquième édition de la Biennale Émergences à Pantin (93), puis à l'exposition collective « La Totale » au Studio Orta – Les Moulins (77). . Fabien CappelloAprès des études de design à l'ECAL (Suisse) et au Royal College of Art (Royaume-Uni), le jeune Français fonde son studio éponyme en 2010 à Londres. Il se fait rapidement connaître pour son utilisation créative de la fabrication et des ressources locales, ce qui lui vaut de partir en résidences en Corée, au Portugal et en Italie. De son apprentissage auprès des artisans locaux il construit sa propre approche du design et se tourne vers des modes de production sériels. Depuis 2015, il a installé son studio dans le centre historique de Mexico (Mexique), une métropole dynamique qui l'inspire quotidiennement. . Elise FouinElise Fouin étudie l'orfèvrerie à l'Ecole Boulle (Paris), avant de se former au design de mobilier. Une double formation qui la conduit à développer un style singulier bien à elle. Pour le Salone del Mobile (Milan) de 2016, la designer française réalise ainsi une scénographie immersive faite de textiles multicolores baptisée Sunbrellacanapy. Egalement textile, son luminaire Saika réalisé en collaboration avec le maître artisan nippon Yoshishige Tanaka est une création contemplative unique qui met en valeur les savoir-faire ancestraux, le hyogu – art de traiter le papier washi –, et le kakejiku – peinture sur papier ou sur soie enroulée sur un bâton. Une pièce qui a fait une forte impression en 2018 au salon parisien Maison & Objet. . Léonard KadidAujourd'hui concepteur de produits, Léonard Kadid s'est d'abord formé à l'architecture. Sur les bancs de l'université d'une part, à Ecole Polytechnique de Lausanne (Suisse) et à l'Ecole d'Architecture de la Ville et des Territoires Paris-Est. Auprès des grands noms de l'architecture d'autre part, Muoto, Dominique Perrault et Cigüe, Herzog & de Meuron. Son studio basé à Paris se concentre donc sur des projets divers, de l'architecture à la conception d'objet. En résulte des pièces travaillées telles que le système de table TAL conçu pour la scénographie de l'exposition « Réinventer la Seine » au Pavillon de l'Arsenal (4ème arrondissement) en 2017. . Hélène LabadieDéjà quatre ans que la jeune Française a obtenu son master design d'objet à L'ESAD de Reims avec les félicitations du jury. Comme projet de fin d'études, elle a imaginé des fontaines d'apparat en verre. Un coup de maître pour un premier projet. Depuis, Hélène Labadie se donne une liberté d'artiste et signe des pièces créatives inspirées du septième art. Exposée au Bon Marché Rive Gauche en 2018, sa série de contenants « Les Noirs » dévoile la dimension anthropomorphique de son travail. Sa sensibilité artistique la pousse désormais vers la création de pièces sculpturales. . Photographies : 1) Thomas Ballouhey, Ways of Altering © Ronald Smits, Design Academy Eindhoven2) Fabien Cappello, Chambre With a view, Hôtel Dos Casas, 20173) Elise Fouin et Yoshishige Tanaka, Saika, 20184) Léonard Kadid, Tal table, 20175) Hélène Labadie, Les Noirs, 2018 Léa Pagnier
Il y a 5 ans et 240 jours

Rénovation et extension bois d’une maison pierre portugaise

Située à Belmonte sur la rive de l’historique National 18 au Portugal, cette ancienne maison du XXe siècle a été conçue par Filipe Pina. Elle offre une magnifique vue sur la Serra da Estrela. [De l’architecte] Sa forme permet de deviner une maison à deux étages qui servait à la fois à l’activité agricole et […]
Il y a 5 ans et 242 jours

Le Rennais Legendre poursuit son développement à l’international

Après s’être implanté à Londres et Jersey, le groupe familial de BTP vient d’ouvrir une agence à Lisbonne, au Portugal.
Il y a 5 ans et 247 jours

Tremco-Illbruck devient RPM Construction Products Group Europe

Tremco-Illbruck, filiale du groupe RPM, devient RPM Construction Products Group (CPG) Europe. [©Tremco-Illbruck] L’Américain RPM International, dont Tremco-Illbruckest la filiale, réorganise ses activités européennes, en les regroupant au sein d’une nouvelle entité baptisée RPM CPG (Construction Products Group) Europe. Elargissant sa palette d’activités, cette dernière devient un groupe généraliste, fabricant de produits de construction, avec une forte spécialisation dans les métiers de l’étanchéité et de l’isolation. Elle conservera ses marques et ses organisations commerciales dans ses diverses activités : Tremco, Illbruck, Dryvit, Nullifire, Flowcret et Vandex. L’entité régionale est composée de huit divisions différentes : Royaume-Uni, France – Espagne – Portugal et Italie, Benelux, Suisse, Allemagne – Autriche, Scandinavie, Europe de l’Est et Turquie- Balkans. Tandis que les entités régionales s’effacent au profit de celles de ce nouveau groupe, RPM CPG Europe devient l’unité coordinatrice des principales marques de produits de RPM, réparties en cinq segments : étanchéité, collage et isolation (Illibruck, Tremco et Dryvit), protection feu passive (Nullifire), sols (Flowcrete) toiture (Tremco) et imperméabilisation (Vandex et Tremco).
Il y a 5 ans et 275 jours

Événement : London Design Fair 2019

Attirant près de 29 000 visiteurs chaque année, la London Design Fair est l'un des événements incontournables de la rentrée. Pour l'édition 2019, le salon accueille près de 550 exposants internationaux durant quatre jours. Revue des visites à faire. Du 19 au 22 septembre, la London Design Fair, située à Soreditch, quartier branché de la capitale britannique, attire des créateurs du monde entier ainsi qu'un public averti. Depuis sa création en 2007 par Jimmy MacDonnald, les visiteurs peuvent s'attendre à découvrir les nouveautés du design international à travers des stands, des expositions, des reportages et des pavillons nationaux inédits. Cette année, le salon célèbre les biomatériaux. Dérivés de l'industrie agricole, ils s'inscrivent dans une logique de développement durable et une démarche de respect de l'environnement très actuelles. Le jeune créateur mexicain Fernando Laposse transforme en effet des matières organiques en des pièces design contemporaines. Il utilise notamment des enveloppes de maïs pour fabriquer de la marqueterie ou des revêtements. De même, le studio néerlandais Tjeerd Veenhoven travaille à la durabilité des objets en développant un processus de production écologique. Plusieurs pays sont tout particulièrement mis à l'honneur : le Danemark, la Chine, les Emirats arabes unis, l'Espagne, la Hongrie, la Suède, l'Italie, le Portugal, la République Tchèque, la Turquie, l'Uruguay présentent les spécificités de leur design dans des espaces dédiés. Coup de cœur pour le pavillon uruguayen qui expose des pièces minimalistes inspirées des écrits de l'artiste Juana de Ibarbourou, icône de la poésie latino-américaine. Depuis son lancement en 2016, le British Craft Pavilion met aussi l'accent sur l'artisanat haut de gamme. De nombreux savoir-faire et corps de métiers sont présentés dans une vitrine contemporaine internationale. Tous les ans, c'est l'occasion pour les professionnels du secteur de se rencontrer et d'échanger, des designers indépendants aux marques établies, en passant par des architectes et des décorateurs. Un événement qui vaut le détour ! Photographies : DR Pour en savoir plus, visitez le site de la London Design Fair
Il y a 5 ans et 317 jours

"La prévention des incendies passe par des maîtrises d’ouvrage publiques locales"

Charles Dereix, président de Forêt méditerranéenne. L’émergence des méga-feux a mis l’ensemble des territoires méditerranéens en alerte, après les tragédies subies par la Grèce et le Portugal en 2017. Organisatrice d’un colloque réuni le 12 mars dernier à Carry-le-Rouet (Bouches-du-Rhône) sous le titre « changer notre regard sur les incendies de forêt », l’association Forêt méditerranéenne (1) commente ses pistes de réflexion, par la voix de son président.
Il y a 5 ans et 326 jours

Le monumental palais de Mafra au Portugal classé par l'Unesco

L'Unesco a inscrit au patrimoine mondial le palais de Mafra, monument baroque du XVIIIe siècle témoignant de l'opulence de l'ancien empire colonial portugais et dont la construction a inspiré un roman de José Saramago.
Il y a 5 ans et 358 jours

Journées de l’archéologie : Pour la première fois en France et en Europe

Du 14 au 16 juin 2019 a lieu la 10ème édition des Journées Nationales de l’Archéologie partout en France et pour la toute première fois en Europe. Depuis plus de 10 ans, cet évènement rassemble un large public dans toute la France autour de la découverte de cette discipline à travers des activités ludiques et pédagogiques. C’est plus d’un millier de manifestations qui seront accessibles à tous sur tout le territoire avec exceptionnellement l’ouverture de chantiers de fouilles.  Cette année, l’évènement s’étend aussi sur d’autres pays d’Europe : l’Allemagne, l’Angleterre, la Belgique, l’Écosse, l’Espagne, l’Italie, le Portugal et la Suisse. Tous les acteurs de l’archéologie et de nombreux lieux culturels ouvrent spécialement leurs portes. L’année dernière les JNA avaient rassemblé plus de 200 000 visiteurs sur 1600 manifestations, sur 650 lieux.  
Il y a 6 ans et 2 jours

10e Journées nationales de l’archéologie

Les Journées nationales de l’archéologie invitent le public, depuis 10 ans, partout en France, à découvrir les coulisses de cette discipline à travers activités pédagogiques et ludiques (simulateurs de fouilles, ateliers de céramologie, mosaïques, taille de silex, monnaie…), rencontres et visites avec les chercheurs mais aussi expositions, reconstitutions, projections, manipulations en laboratoire… Les 14, 15 et 16 juin 2019, plus d’un millier de manifestations accessibles à tous vont se déploier sur tout le territoire. Temps forts, une dizaine de villages de l’archéologie accueillent les visiteurs curieux de découvrir cette discipline et les dernières avancées de la recherche : à Aléria, mais aussi à Lyon, Mandeure, Marseille, Nice, Orléans, Rennes, Saint-Germain-en-Laye, Toulouse et Troyes. Pour cette nouvelle édition, les Journées nationales de l’archéologie (JNA) s’ouvrent à l’Europe avec des rendez-vous en Allemagne, en Angleterre, en Belgique, en Écosse, en Espagne, en Italie, au Portugal et en Suisse.
Il y a 6 ans et 87 jours

La maison de Gafarim, un monolithe du Nord, par Tiago do Vale

La Maison de Gafarim (274 m²), livrée en 2018 à Ponte de Lima dans la région Nord du Portugal est, selon l’architecte portugais Tiago do Vale qui l’a conçue, un projet singulier qui témoigne d’une étroite dualité entre des codes […] L’article La maison de Gafarim, un monolithe du Nord, par Tiago do Vale est apparu en premier sur Chroniques d'architecture.
Il y a 6 ans et 99 jours

Leopold Banchini et Daniel Zamarbide: Dodge House

Dans le vieux centre de Lisbonne (Portugal), la Dodge House passerait presque inaperçue... Et pourtant. C'est derrière une façade intacte, témoin de l'héritage architectural du quartier de Mouraria, que se dévoile une maison humble aux proportions singulières , "uvre des architectes Leopold Banchini et Daniel Zamarbide. Mouraria, Lisbonne. Ce centre historique a vu sa popularité croître depuis la dernière campagne de restauration et de réhabilitation. Un patchwork de façades et de ruines colorées, faites de briques, de béton, de fresques ou d'azulejos qui a transformé son ancienne réputation de bidonville en un authentique enchevêtrement architectural dans la ville. Cette dernière fait pourtant face à un marché de l'immobilier limité et tendu, qui impose aux architectes de composer avec quantité de logements denses et étriqués, le tout avec peu de moyens. C'est derrière l'une de ces façades restaurées que se cache la modeste " mais néanmoins inspirante ", Dodge House. Etablie sur 4 niveaux de moins de 40 mètres carrés chacun, la résidence réalisée par les deux architectes du projet, Leopold Banchini et Daniel Zamarbide, conserve un extérieur intact et discret pour révéler une astucieuse composition intérieure, une modernité inspirée d'Irving Gill, un architecte américain, pionnier dans le design rationnel et minimal, et occupé par des causes sociales.Avec l'économie de moyen comme ligne conductrice, les maîtres d'"uvre utilisent des matériaux locaux dans l'édification du projet. Les concepteurs ont choisi d'exploiter la force structurelle du bâtiment, en conservant un plafond en pleine hauteur dans la pièce à vivre. Celle-ci communique directement avec les trois chambres " une par étage -, disposées en mezzanines ouvertes, exploitant avec générosité le manque d'espace de la maison de 94 mètres carrés. Le mur donnant sur rue doit composer avec une devanture opaque et fermée, qui fait écho au choix des architectes de miser sur une fonction moins commercialisable du bâtiment. C'est pourquoi les ouvertures sont disposées avec autant d'intelligence sur les deux façades exploitables du projet : face à la cour, une large baie vitrée pivotante donnant sur l'espace à vivre, ainsi que des fenêtres arquées ; et sur les surfaces horizontales, des trouées apportent une lumière zénithale dans les chambres. L'espace intérieur, mélange de briques blanches et de béton, habillé de marbre grâce au mobilier, conserve une identité minimaliste dans des tons à la fois nobles et bruts. La réalisation communique la complexité du bâti avec une lecture simple et déliée d'un volume peu évident. Elle répond avec habileté aux défis que présente le contexte architectural portugais. Un bel exemple d'ingéniosité. Pour en savoir plus, visitez le site de Leopold Banchini Photographies : Dylan Perrenoud
Il y a 6 ans et 106 jours

Les investisseurs étrangers se ruent sur l'immobilier au Portugal

Les capitaux étrangers se ruent sur l'investissement immobilier au Portugal, qui atteint des niveaux record, provoquant une flambée des prix parfois insoutenable pour la population.
Il y a 6 ans et 137 jours

Pedro Venzon : Tríptico Infame

Qui a dit que le design ne pouvait pas être politique ? Certainement pas Pedro Venzon, designer brésilien, dont les créations renvoient au passé colonial du Portugal en Amérique du Sud. À travers son trio de tabourets " Tríptico Infame ", le concepteur évoque, tour à tour, l'artisanat, les traces architecturales laissées par les colons européens, la religion ou la sexualité. Tout un programme... Si le Brésil fascine pour ses plages de sable fin, son carnaval ou encore ses musiciens talentueux, le plus grand pays d'Amérique latine est aussi connu pour son histoire complexe, ses inégalités sociales et son changement de politique actuel. Un territoire aux multiples facettes auquel rend honneur le designer local Pedro Venzon avec Anca, Coito et Teta " traduisez " hanche, coït et téton " ", des tabourets en bois sculptés à la main à l'équilibre instable déconcertant. Un rendu volontairement bancal qui fait écho aux contradictions multiples de l'histoire du pays. Les ouvrages, situés entre mobilier et sculpture artistique, s'inspirent de la religion chrétienne et des " objets de damnation " " rappelons que le Brésil est la plus grande nation catholique avec 89% de fidèles ", mais aussi de l'architecture organique faite de courbes et d'arcs laissées par le Portugal. " J'observe l'art religieux depuis un certain temps, en particulier le travail portugais. Je vois les trois pièces comme un dispositif punitif, un marqueur de corps pécheurs, un reste de la colonisation. " Perdo Venzon, designer Les silhouettes des sièges aux noms évoquant la sexualité sont des réinterprétations des corps des pécheurs mutilés par l'ascétisme religieux et font converger sévérité et légèreté à la manière de la punition et du spirituel. Si les châtiments expiatoires marquent le corps, la colonisation a également marqué les murs des villes brésiliennes, constat que Venzon retranscrit avec brio dans ses créations. Quand esthétique et politique se rencontrent. Pour en savoir plus, visitez le site de Pedro Venzon Photographies : Pedro Venzon
Il y a 6 ans et 198 jours

Exposition : Géométrie Sud du Mexique à la Terre de Feu

L'exposition Géométries Sud du Mexique à la Terre de Feu sera présentée du 14 octobre au 24février 2018 à la Fondation Cartier, située dans le 14 e arrondissement de Paris. Au cours de cettesaison hivernale, installations, poteries et autres toiles vont ainsi illustrer l'omniprésence de lagéométrie dans la création artistique en Amérique Latine. Avec cette exposition conçue par les commissaires Hervé Chandès, Alexis Fabry et Marie Perennes, laFondation Cartier braque ses projecteurs sur l'Amérique Latine et plus particulièrement sur la géométrie,leitmotiv de la production artistique locale. Et le moins que l'on puisse dire, c'est que l'architecture n'estpas en reste ! Véritable joyau du corpus présenté, un Salón de eventos éphémère conçu par le bolivienFreddy Mamini. Avec cette réalisation et ses autres "uvres racontées par le biais de photographies,l'architecte traduit sa culture et ses symboles Aymara " la minorité amérindienne la plus importante de laBolivie. Également exposée, une réalisation du duo paraguayen formé par Solano Benìtez et Gloria Cabral,lesquels s'intéressent particulièrement à l'association entre motifs géométriques, matériaux et culturelocale. Conçue spécialement pour l'événement, 6 x 8 est une structure monumentale construite à partir demorceaux de briques et de béton, dont les motifs triangulaires répétés semblent tenir en équilibre commepar magie malgré le poids des matériaux, une illusion accentuée par l'apparition, aléatoire mais étudiée,d'ombres et de lumière. A l'étage inférieur, paysages urbains et architectures sont enfin mis à l'honneur par le prisme de laphotographie, à travers des clichés signés Facundo de Zuviría, Armando Salas Portugal, ou encore AnnaMariani. Un voyage qui vous mènera du Mexique à la Terre de Feu en passant par le Brésil et leParaguay, au moyen d'éclatantes photos colorées, graphiques et symboliques. Attention au décollage ! Pour en savoir plus, visitez le site de la Fondation Cartier Crédits : 1) Freddy Mamani © Tatewaki Nio2) © Thibaut Voisin3) © Facundo de Zuviría4) © Pablo López Luz5) © Anna Mariani6) © Salas Portugal
Il y a 6 ans et 200 jours

Studio DAM : GAGO et SACADURA

Fondateurs du Studio de design DAM, spécialisé en mobilier et luminaires, Hugo Silva et Joana Santos développent ensemble au Portugal de nouveaux objets empreints d'humour et de poésie, étudiant les émotions que peuvent dégager formes, couleurs, matériaux et textures. Cette année ils présentent leurs dernières créations, GAGO et SACADURA, deux chaises conçues pour raconter des aventures aériennes. Le crédo de DAM : revenir sur les événements qui ont marqué l'humanité. Aussi les designers ont-ils choisi cette fois de rendre hommage à deux explorateurs portugais avec ces chaises qui racontent la première traversée aérienne de l'atlantique Sud, réalisée en 1922 par le pilote Sacadura Cabral et le navigateur Gago Coutino. Si bien que les deux pièces de mobilier font voyager les usagers - dans le temps et dans le ciel - à travers l'allégorie de l'aventure. L'une, GAGO, est à bascule et l'autre, SACADURA est figée sur ses quatre pieds. Toutes deux sont travaillées pour stimuler l'imaginaire de l'utilisateur. Ainsi l'assise et le dossier rappellent un casque d'aviateur, tandis que les accoudoirs sont courbés comme des ailes d'un hydravion et que les pieds en bois sont étudiés pour donner l'impression de décoller. Prêts à quitter le tarmac ? Pour en savoir plus, visitez le site de DAM  Photographies : DAM