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Résultats de recherche pour sous toiture

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Il y a 2 ans et 344 jours

Une copropriété s'engage dans la rénovation énergétique pour passer de la classe E à la classe B

La rénovation énergétique des copropriétés reste une décision difficile Les copropriétaires reculent devant les frais à engager, notamment lorsqu'ils ont des revenus modestes ou ne sont pas les occupants de leur logement. Le retour sur investissement peut s'avérer très long. À Rennes (Ille-et-Vilaine), la résidence le Galicie a pourtant franchi le pas. Cette copropriété de 95 logements, dont plus de la moitié en location, vient d'achever sa mue après plusieurs années de projet. Projet de ravalement « Les premières réflexions remontent à 2014 », se souvient Kévin Verger, gestionnaire pour Foncia, syndic de la copropriété. Cet immeuble du quartier de l'hôpital Sud, livré en 1969, avait besoin d'une rénovation. Un ravalement des façades vétustes s'impose. Une équipe de maîtrise d'œuvre est constituée autour de l'agence rennaise Séverine TouchetArchitecte DPLG dirigée par Séverine Touchet, architecte et ingénieure, spécialisée dans la réhabilitation de bâtiments existants. Celle-ci travaille avec la coloriste de la Ville de Rennes à une présélection de gammes de couleurs afin de redonner vie à cette façade neutre et pâle. « Les seuls reliefs de ce long bâtiment R+3 en U sont constitués par les voiles en béton saillants au niveau des douze cages d'escalier, décrit Séverine Touchet. Nous avons proposé de ponctuer ces entrées par de la couleur.» Deux camaïeux de mauve et de bleu sont proposés au groupe de copropriétaires désignés pour former la commission travaux. Ce sont trois mauves différents qui viendront rythmer les halls d'entrée, associés à deux beiges et un blanc pour les parties courantes et un gris en soubassement. Du ravalement à l'isolation des façades « En tant que premier syndic de France, Foncia a choisi d'être un acteur de la transition énergétique, en informant les conseils syndicaux et les copropriétaires sur les enjeux et les bénéfices de la rénovation énergétique, souligne Kévin Verger. Longtemps réticents à engager de tels travaux, ce qui est parfaitement compréhensible car il s'agit souvent de montants assez élevés, ceux-ci se montrent de plus en plus sensibles à l'utilité de telles interventions, notamment quand on leur explique qu'ils y gagneront en qualité de vie. »Á la résidence Le Galicie, parallèlement aux études architecturales, un audit énergétique est réalisé par le bureau d'études Acceo/E2C et la copropriété se voit sélectionnée par Rennes Métropole avec cinq autres résidences dans le cadre d'un programme d'aide à la rénovation énergétique nommé « Ville de demain » géré par la Caisse des Dépôt et Consignations, et ayant pour « vocation de financer des projets innovants, démonstrateurs et exemplaires de ce que sera la ville de demain ». Aux aides publiques de l'État s'ajoutent des subventions de la communauté de communes pour réaliser la rénovation, à condition d'obtenir le label BBC Rénovation après travaux.Le projet évolue donc vers une rénovation énergétique globale. Au simple ravalement se substitue une isolation thermique par l'extérieur, complétée par l'isolation du plancher haut du sous-sol et de la toiture terrasse et associée à la rénovation complète du système de ventilation de l'immeuble. Les menuiseries extérieures d'origine ont été remplacées par certains copropriétaires mais il reste encore 10 à 15 % de fenêtres en bois à simple vitrage. Puisqu'on ne peut pas imposer à tous les copropriétaires le remplacement des menuiseries de leur logement, l'équipe de maîtrise d'œuvre s'est assurée d'atteindre le niveau de performance énergétique du label BBC en équipant le toit terrasse de panneaux solaires thermiques destinés à produire une partie de l'eau chaude sanitaire. La chaufferie collective est rénovée et des robinets thermostatiques équipent tous les radiateurs.L'ensemble de ces mesures permet au bâtiment de passer de la classe énergétique E à la classe B et ainsi d'obtenir les financements attendus.« En fonction des revenus de chaque copropriétaire, les aides peuvent couvrir 30 à 50 % du coût des travaux, voire 90 % pour quelques personnes aux revenus très modestes », décrit Kevin Verger. La décision d'engager les travaux est votée en Assemblée Générale de copropriétaires en décembre 2018.Enduit sur laine de roche En façade, la solution préconisée par l'architecte est le système d'ITE StoTherm Mineral qui utilise un isolant incombustible en laine de roche. Pour atteindre une résistance thermique R de 3,7 m2K/W, les panneaux isolants auront une épaisseur de 140 mm. L'enduit de finition taloché retenu est le StoSilco K à base de résine siloxane, particulièrement résistant aux intempéries. La société rennaise SNPR décroche le marché de travaux de façade et démarre en septembre 2019 un chantier qui durera près de deux ans. Habituée à travailler avec les produits Sto, l'entreprise, forte de son expérience, respecte à la lettre les préconisations du maître d'œuvre. « Sto est un de nos principaux fournisseurs, confie Hervé Rouault, responsable du secteur façades de SNPR. Nous apprécions sa large gamme de produits, les conseils du commercial, les courts délais de livraison, les produits adaptés aux conditions de pose grâce à des versions été et hiver… » La fixation calée-chevillée des panneaux d'isolant minéral est réalisée avec le Sto-Mortier colle B et des chevilles à rosace. Une couche d'enduit de base StoLevell Uni armée d'un treillis en fibre de verre est ensuite appliquée, suivie d'une deuxième passe du même enduit. Les surfaces du rez-de-chaussée sont renforcées avec une armature de blindage noyée dans une première passe d'enduit. Le revêtement de finition taloché StoSilco K1.5 est décliné en trois teintes issues du nuancier StoColor System selon son emplacement sur la façade : blanc et deux tons de beige. Technologie X-black Les façades, des cages d'escalier non chauffées, ne nécessitent pas d'isolation. Elles font donc l'objet d'un ravalement technique en imperméabilité de façade de classe I3, comprenant une couche d'impression StoPrim, une sous-couche Irtop SC et une couche de finition talochée Irtop S K 1.5, permettant d'obtenir le même grain d'enduit de finition que les parties isolées. Les teintes mauves choisies (33400, 33401 et 33402 du nuancier StoColor System) étant soutenues, l'enduit bénéficie de la technologie X-black exclusive de Sto qui réduit son coefficient d'absorption solaire et limite l'absorption de chaleur en été. Les soubassements, les sous-faces et les nez de balcon sont quant à eux revêtus d‘une peinture microporeuse classe D2 à la finition mate StoColor Jumbosil. Confort d'hiver et d'été A l'automne 2021, alors que les travaux n'étaient pas totalement achevés, les copropriétaires ont confié leur satisfaction à Kévin Verger. Outre l'aspect esthétique de leur résidence, qui était leur objectif initial, ils apprécient désormais le confort accru de leur logement, été comme hiver. Ils ont constaté qu'il y faisait moins chaud pendant les périodes de canicule estivale et nombre d'entre eux n'ont pas eu besoin d'allumer leurs radiateurs au début de la période de chauffe. Fiche technique Type de bâtiment : réhabilitation d'immeuble de logement collectif Localisation : square de Galicie et avenue de Pologne, 35000 Rennes Surface de façade traitée : 5 200 m2 Maître d'ouvrage : représenté par Foncia Rennes Maître d'oeuvre : SARL « Séverine Touchet - Architecte DPLG » Bureau d'étude thermique : ACCEO/E2C Organismes : Rennes Métropole, écoTravo, Caisse des dépôts, CEE, Anah Entreprise applicatrice : SNPR Date de réception : fin 2021 Solutions utilisées : système StoTherm Mineral, enduit StoSilco K, revêtement d'imperméabilité Irtop S K avec technologie X- black, peinture StoColor Jumbosil
Il y a 2 ans et 345 jours

ONDULINE® FLEXOUTUILE – Le système de sous-toiture qui permet la réutilisation des anciennes tuiles et garantit l’étanchéité des toitures en tuiles même après de grosses intempéries

En France, la plupart des toitures sont recouvertes de tuiles différentes en fonction des régions (tuiles canal, tuiles plates ou mécaniques). Ce mode de couverture est apprécié pour sa fiabilité. Mais pour garantir une étanchéité pendant 30 ans, il doit être associé à un système de sous-toiture adapté. Pour éviter les fuites et renforcer la protection des toitures en tuiles contre les risques d’infiltrations (fortes pluies, orages, grêle, neige) et le soulèvement des tuiles par le vent, le leader mondial des solutions de toitures légères ONDULINE a développé FLEXOUTUILE : ce système de sous-toiture ingénieux largement éprouvé assure une étanchéité parfaite et durable des toitures en tuiles. Économique, FLEXOUTUILE offre la possibilité de conserver et de réutiliser les tuiles originales, très pratique en période de pénurie de tuiles, grâce aux différents profils de plaques disponibles (largeur de tuiles allant de 17 à 23 cm). Légères et très flexibles, les plaques bitumées de sous-toitures ONDULINE FLEXOUTUILE sont très simples à installer. Elles s’adaptent à tous les types de tuiles y compris sur des charpentes anciennes. Ce système de sous-toiture assure la pérennité du bâti, en neuf comme en rénovation, en le protégeant des défauts d’étanchéité qui peuvent survenir au fil des années à cause des conditions climatiques ou suite à l’altération des tuiles. ONDULINE FLEXOUTUILE Une pose simplifiée qui s’adapte parfaitement à la charpente existante Les plaques ONDULINE FLEXOUTUILE sont hautement perméables à l’eau et offrent une protection durable et totalement étanche de la toiture contre l’humidité, le vent et la condensation, même lorsqu’une tuile se casse. Très simples à manipuler, à découper et à installer, ces plaques de sous-toitures légères (2,9 Kg/m2) et flexibles s’adaptent à tous les types de charpentes y compris les charpentes anciennes qui peuvent être un peu déformées. Différents profils de plaques sont disponibles (largeur de tuiles allant de 17 à 23 cm) afin d’être installés sur tous types d’ouvrages : les bâtiments historiques, les Établissements Recevant du Public, les bâtiments agricoles, les maisons individuelles et les bâtiments commerciaux. Les bâtiments sont hors d’eau dès la mise en place des plaques et cette étanchéité est garantie 6 mois sans tuiles. La sous-toiture ONDULINE FLEXOUTUILE est dotée d’un système de marquage qui permet de positionner facilement et rapidement les tuiles, en assurant un alignement parfait. La pente de la couverture doit être de 18 % minimum. De plus, sa résistance accrue et sa grande rigidité permettent notamment de marcher sur les plaques, pour une pose facilitée et plus sûre. Un matériau fiable et respectueux de l’environnement Les plaques de sous-toiture ONDULINE FLEXOUTUILE contiennent environ 50 % de matières premières recyclées et leur process de fabrication intègre une démarche respectueuse de l’environnement forte et visible. De plus, les émissions de CO² sont réduites grâce au poids allégé des matériaux qui limite l’impact lors du transport.
Il y a 2 ans et 345 jours

Edilians étend sa gamme de produits photovoltaïques et dispose aujourd’hui d’une offre complète pour répondre à toutes les configurations et tous les styles architecturaux

Même si l’installation de panneaux photovoltaïques s’est imposée ces dernières années en construction neuve, la production d’énergie solaire doit s’accélérer afin d’atteindre l’objectif de la loi Climat & Résilience qui vise la neutralité carbone à l’horizon 2050. Pour répondre au défi de l’urgence climatique, EDILIANS propose déjà des solutions toiture innovantes parmi lesquelles ses tuiles terre cuite solaires, le photovoltaïque ultra intégré, et la tuile Solaire Max, son best-seller depuis plus de 20 ans. Aujourd’hui, l’acteur de l’éco-habitat passe à la vitesse supérieure et enrichit son offre destinée aux couvreurs et solaristes avec Easy Roof, une gamme complète de systèmes conçus pour faciliter l’intégration ou la surimposition de panneaux photovoltaïques en toiture, et le brise-soleil Umbra Solar Pro. EASY ROOF EVOLUTION et EASY ROOF ACCESS : des produits solaires intégrés au bâti pour une esthétique optimale en toiture Outre ses tuiles terre cuite solaires riches de 3 modèles disponibles en coloris rouge et noir (Alpha Solaire, HP 10 Solaire, Rhôna Solaire) et sa tuile solaire universelle (Tuile Solaire Max) déclinée également dans les même teintes, EDILIANS ajoute à sa gamme deux nouvelles solutions d’intégration de panneaux photovoltaïques en toiture : – EASY ROOF EVOLUTION, système de fixation ventilé dont l’ingénieux procédé breveté d’emboîtement permet aux différents éléments qui le composent de s’imbriquer les uns aux autres avec la plus grande précision (abergement haut intégré au cadre et centrage parfait des modules), sans découpe ni joint. L’étanchéité de la toiture est assurée par recouvrement. Rapide et facile à monter, puisque 6 heures suffisent pour une installation de 3kW à 2 personnes. Performant, il bénéficie d’une grande résistance à toutes les conditions climatiques (U.V., grêle, pluie, neige, vent) et d’une ventilation optimisée grâce à des entrées et sorties d’air présentes sous chaque module au service d’une meilleure performance énergétique. Compatible avec la majorité des modules photovoltaïques existants sur le marché, EASY ROOF EVOLUTION convient parfaitement aux toitures présentant une pente de 10 à 50°, quelles que soient les applications (résidentielles, commerciales, bâtiments publics, agricoles et industriels), – EASY ROOF ACCESS, un kit qui réunit en un système complet le panneau photovoltaïque et le procédé de fixation. Il associe la rapidité de montage et la fiabilité du système Easy Roof Evolution au panneau photovoltaïque Luxor Eco Line M120/340 W. Alliant esthétique et robustesse grâce à une sélection exigeante des composants, il garantit un excellent rendement énergétique avec une réflexion optimisée sur la surface cellulaire. L’ensemble constitue une solution idéale pour développer l’autoconsommation énergétique en toute sérénité (garantie 15 ans du module). EASY ROOF FLAT : simple à installer et de plus en plus plébiscité pour les toitures terrasse Ce système de montage pour panneaux photovoltaïques en toiture plate convient quels que soient l’orientation (Sud, Est/Ouest) et le type de revêtement (bitume, membrane, béton, graviers). Conçu pour accueillir la majorité des modules cadrés du marché ayant une largeur allant jusqu’à 1100 mm, il dispose d’une pente ajustable pour s’adapter à toutes les situations : parallèle au toit, de 10° à 14° (1 châssis par module), de 8° à 14° (configuration inter-module). Léger et résistant, chaque châssis Easy Roof Flat intègre tous les composants nécessaires à la fixation des modules par rail ou par socle. Sa mise en œuvre s’effectue ainsi de façon rapide et économique. EASY ROOF TOP : la solution photovoltaïque Edilians en surimposé Idéal sur toiture existante, Easy Roof Top rend possible la mise en œuvre de modules photovoltaïques cadrés sur tous types de toiture, présentant une pente de 8° à 50°, en tuiles (canal, à emboîtement, plate mécanique), en ardoise et sinusoïdales (fibrociment, plaque sous tuile) grâce à des crochets de fixation dédiés. Ce système en surimposition s’installe ainsi par-dessus la couverture existante tout en étant fixé directement sur la structure du bâtiment. Disponible en portrait, il peut également être posé en mode paysage. Grâce à une embase spécifique, une simple rotation de rail suffit, ce qui représente un véritable gain de temps lors de la mise en œuvre. Pour une esthétique irréprochable, le système Easy Roof Top se décline en deux finitions (aluminium, noir) et aucun élément (rail et fixation) ne dépasse du champ photovoltaïque. UMBRA SOLAR Pro : une alternative efficace ou complémentaire à une solution PV en toiture Pour concilier réduction des besoins énergétiques et confort d’été, EDILIANS présente UMBRA SOLAR Pro. Solution idéale en neuf, conformément aux exigences de la RE2020, comme en rénovation, ce nouveau modèle de marquise solaire permet de créer une avancée de toit au-dessus des ouvertures (fenêtres, baies vitrées, hall d’entrée) d’un bâtiment commercial, industriel ou même résidentiel collectif. A l’aide de son support en acier zingué qui assure une protection optimale contre la corrosion, il se pose simplement et rapidement en façade pour faire office de brise-soleil. Il protège alors de l’inconfort lié aux rayonnements solaires tout en récupérant l’énergie pour la production en instantané de l’électricité. L’inclinaison optimale à 15° des modules garantit le meilleur compromis entre protection solaire et rendement énergétique, quelles que soient la saison et la zone géographique. Grâce à son esthétique épurée et à la possibilité d’aligner une succession de modules photovoltaïques, il s’intègre harmonieusement à toutes les architectures. En contribuant ainsi à réduire les besoins en climatisation tout en optimisant les économies d’énergie, UMBRA SOLAR Pro trouve naturellement sa place dans tous les projets BEPOS, BBC ou encore HQE. Rappelons qu’EDILIANS propose également la MARQUISE SOLAIRE, un kit complet prêt à l’emploi qui comprend la structure composée de 2 consoles avec système de fixation inclus, un ou deux panneaux photovoltaïques ainsi que le micro-onduleur. En enrichissant ainsi son offre solaire avec des produits photovoltaïques issu du savoir- faire français reconnu d’IRFTS*, EDILIANS propose aux couvreurs et solaristes une gamme étendue de solutions complètes pour répondre à toutes les configurations d’installations. En complément, afin d’aider ses clients couvreurs à se développer sur ce marché, EDILIANS déploie un panel de services dédiés : formation avec habilitation électrique BP, assistance 1er chantier, soutien dans la constitution du dossier administratif de raccordement et raccordements électriques, bureau d’études et hotline pour étudier les projets et répondre à toutes les questions techniques… Un véritable accompagnement clé en main pour leur simplifier toujours plus la vie au quotidien ! *Depuis le 1er février 2022, EDILIANS a officiellement intégré l’activité solaire en toiture d’IRFTS (technologies, brevets et systèmes). http://www.edilians.com
Il y a 2 ans et 348 jours

Nouvelle gamme de Box Rupteurs Equatio : Moins de références, plus de performances thermiques compatibles RE2020

La RE2020 prévoit un renforcement des exigences en matière de performance environnementale des bâtiments neufs. Pour aider les professionnels à ajuster celles des planchers en maisons individuelles et maisons groupées et atteindre le niveau d’isolation exigé par la réglementation, RECTOR leur propose, depuis 2012, un système de Box dans lesquelles sont réunis les rupteurs et accessoires nécessaires à l’optimisation thermique d’un plancher Equatio à tous les niveaux d’un bâtiment. Aujourd’hui, dans une volonté de simplifier et d’optimiser ce système, RECTOR revient avec une nouvelle gamme de Box plus performante thermiquement et avec un contenu ajusté générant moins de déchets. Une nouvelle gamme de Box pour répondre à tous les besoins Rationnalisée, la gamme de Box de rupteurs thermiques de RECTOR se décline désormais en 3 références pour la pose d’un plancher isolé Equatio à tous les niveaux d’un logement : Box Vide Sanitaire comprenant 6 rupteurs d’about et 3 nouveaux rupteurs de rive Thermosten d’un mètre de long améliorant le PSI du plancher et 2 Rectofix. Réunis dans une même boîte, ces composants sont complémentaires aux poutrelles RS et entrevous RectoSten M4 de RECTOR. Bien isoler le vide sanitaire étant indispensable pour atteindre la performance thermique imposée par la RE2020 et apporter un confort agréable aux futurs occupants, le plancher Equatio VS a été conçu pour y répondre de manière optimisée en combinaison avec la Box Vide sanitaire. Box Etage & Toit-terrasse comprenant 11 rupteurs d’about et 7 rupteurs de rive Thermosten ; composants complémentaires aux poutrelles RS, entrevous RectoLight et entrevous RectoSten Coffrant. Le traitement des ponts thermiques étant une nécessité à tous les niveaux du logement, RECTOR a pris en compte les nouvelles hypothèses de la RE2020 en intégrant dans ses calculs l’association du rupteur et de la planelle isolante pour gagner en performance. En effet, il faut désormais aller au-delà du ratio réglementaire de 0,6 W/m.K pour atteindre le niveau de BBIO attendu. Box Sous-Sol & Toit-terrasse comprenant 11 rupteurs d’about et 7 rupteurs de rive ThermoSten, ainsi que 36 points d’ancrage. Associée aux poutrelles RS et aux entrevous RectoSten M1 de Rector, cette Box permet de réaliser une toiture-terrasse conforme et pérenne en traitant à la fois les ponts thermiques et le point de rosée. En fonction du chantier, RECTOR propose de choisir entre deux types d’étanchéité, à chaud ou à froid, pour déterminer la Box nécessaire en toiture-terrasse. Enfin, pour chacune des Box, des compléments de gammes sont proposés pour moduler le niveau de performance du plancher et apporter une réponse sur-mesure à chaque chantier : complément rupteurs d’about VS, sous-sol et toit-terrasse, complément ThermoRefend, kit rehausses Rehau pour plancher chauffant ou chauffant/rafraîchissant, complément rupteurs de rives sous-sol, … Des Box conçues dans une démarche éco-responsable Anticipant la REP Bâtiment et dans le cadre de sa démarche RSE, RECTOR a ajusté le contenu de ses Box afin de générer moins de pertes et de déchets sur les chantiers. Pour réduire leur impact environnemental, le fabricant utilise également des cartons recyclés et recyclables. Une logistique simplifiée En réduisant le nombre de références de Box à stocker et en repensant leur design, avec un code couleur pour une meilleure lisibilité sur le parc de stockage, RECTOR a également pensé à ses clients distributeurs. Complète, compacte et pratique, la nouvelle gamme de Box de rupteurs Equatio de RECTOR témoigne de la volonté du fabricant d’éléments en béton précontraint et béton armé de proposer aux professionnels de la construction des solutions adaptées à leur besoin. http://www.rector.fr/
Il y a 2 ans et 351 jours

Résultat des Eurobois Awards 2022 : 8 innovations récompensées

Parmi les 28 innovations en lice, 7 ont été désignées lauréates par le jury professionnel et un prix « Coup de cœur » a été décerné par le jury étudiants :Innovations récompensées par le jury professionnelCatégorie ergonomie poste de travailLa société VP DOLEX pour le produit ELEVATEUR POUR ETAU D'ETABLI ELV ET ELVPRemplace la base tournante grâce à sa rotation possible sur 360 ° - Permet un ajustement de la hauteur de l’étau pour adapter la hauteur de celui-ci à la taille de l’utilisateur - Lutte contre les Troubles Musculo-Squelettiques et évite tout problème de dos dans le cadre d’une utilisation prolongée.Catégorie aménagementLa société SALICE pour le produit EXEDRA 2Très innovant et performant, Exedra2 est une évolution du système pour portes escamotables Exedra qui, grâce à une solution de mouvement novatrice, permet l’ouverture simultanée de deux portes jointes. Le système permet ainsi de fermer des espaces de largeur jusqu'à 3m sans rail bas.Catégorie makersLa société FELDER GROUP pour le produit HNC 47.82 Une créativité sans fin et une précision CNC professionnelle pour les amateurs, les bricoleurs, les petites entreprises, les modélistes et les écoles.Catégorie productivité chantierLa société LEITZ pour le produit ACCUCUT AccuCut désigne des lames de scie spéciales à largeur de coupe réduite et disposant des développements les plus récents en termes de matériaux de coupe. Ces innovations offrent une durée de vie accrue des batteries des machines électroportatives sans fil.Catégorie recherche et développementLa société WAYS INDUSTRIE pour le produit SECHAGE SOUS ATMOSPHERE CO2Cette technologie disruptive de séchage permet de sécher avec du CO2 tout type d’essence de bois en quelques jours, en respectant la structure du matériau tout en augmentant significativement sa durabilité. Le bois sera de meilleure qualité, stable et séquestrera naturellement des quantités de CO2.Catégorie confort chantierLa société FESTOOL France pour le produit STATION D'ENERGIE MOBILE SYS-POWERSTATIONLa station d'énergie mobile SYS-PowerStation fournit du courant en permanence et en tout lieu. Elle permet d'alimenter tous les outils filaires, toutes marques confondues.Catégorie optimisation industrielleLa société SCM GROUP France pour le produit STEFANI XPlaqueuse de chants industrielle conçue pour offrir la meilleure qualité de placage de chants sur tout type de panneau et de matériau et pour répondre pleinement aux besoins d'une usine numérique, connectée et intégrée. Innovations récompensées par le jury étudiantsLes étudiants, qui participaient pour la première fois cette année au jury, ont attribué le prix « Coup de cœur des étudiants » à la société LE CRENEAU INDUSTRIEL pour l’innovation suivante : CRENO CLT-ONELa CRENO CLT-ONE est dédiée à l'usinage des panneaux CLT, avec une productivité inégalée : en moyenne 30min pour un plancher et 45min pour un mur. Elle permet d'usiner les 6 faces grâce à une architecture innovante combinant tête 5axes, agrégats additionnels et posages flexibles automatisés.Qu’est-ce que les EUROBOIS AWARDS ?Plateforme de lancement de produits, les EUROBOIS AWARDS ont récompensé le caractère innovant d’un produit ou d’un service, mais aussi son design, sa performance, la démarche RSE de l’entreprise, la qualité environnementale du produit/service, sa certification, son usage pour les professionnels, et enfin sa maîtrise des coûts.Cette année, le processus d’inscription, ouvert à tous les exposants, a été simplifié pour faciliter la participation des entreprises. Participer au concours a offert aux candidats une visibilité accrue auprès des professionnels de la filière en amont et pendant le salon, avec la présentation de l’ensemble des innovations sur le site web, les réseaux sociaux du salon ainsi que sur l’application Eurobois Connect.Des pitch et visites des stands pour promouvoir les innovations et défendre les projetsPour valoriser leur candidature, les entreprises avaient l’opportunité de présenter leur innovation à travers un pitch de 5 minutes, sur le plateau TV du salon, le mardi 14 juin matin. Cette présentation permettait à la fois aux entreprises de rencontrer leur public, mais également de séduire le jury en démontrant leur capacité à défendre leur innovation.Le lendemain, au 2ème jour du salon, le jury s’est rendu sur les stands des innovations présélectionnées. Ses membres ont pu ainsi échanger avec les candidats et découvrir en détail les nouveautés.Les lauréats élus par un jury de professionnels et d’étudiantsComme chaque année, le jury était composé de professionnels de la filière bois (ébénistes, agenceurs, menuisiers, charpentiers…). Dans le but de représenter au mieux tous les publics, la grande nouveauté cette année réside dans la création d’un jury étudiant composé de jeunes en école d’architecture, menuiserie, agencement ou ingénieur.La création de ce jury étudiant permet une appréciation différente et nouvelle des innovations en compétition. C’est également l’occasion pour EUROBOIS d’intégrer les générations futures dans la filière, qui seront les professionnels de demain. Cette immersion dans le monde professionnel est tout aussi bénéfique aux étudiants, dont la présence sur le salon constitue une première mise en réseau avec les acteurs de la filière. Ce jury a remis un prix spécifique à X qui a été élue « Coup de cœur des étudiants ».Membres du jury professionnel :Président du jury professionnel : ARNAUD GODEVIN, Directeur de l’ESB – Ecole Supérieure du BoisMembres du jury professionnel : Jérôme CARRAZ Responsable de l'Institut de la Charpente et Construction bois - COMPAGNONS DU DEVOIR ET DU TOUR DE FranceVincent CHARROIN Président - SAS CHARROIN TOITURES, Président de la Chambre Professionnelle « Charpente-Toiture » de BTP RHONE - FFBJean-Denis FORTERRE Responsable du service Technique à la CAPEB Auvergne-Rhône-AlpesRaphael HOUSSET Gérant - ATELIER RAPHAELMathieu HUGON Responsable de l'institut européen de la menuiserie, l'agencement et l'ébénisterie - COMPAGNONS DU DEVOIR ET DU TOUR DE FranceLaurent JACQUET Créateur de contenu vidéo, web /Domaine bâtiment, bricolage, maison - BICHON PRODUCTIONJean-François JAILLET Gérant, Jaillet Menuiserie – Membre de la Chambre Française de l‘AgencementXavier LUGINBUHL Directeur Général - Groupe HASAP • Herve MARECHAL Dirigeant agenceur - APPORT ANSELes membres du jury étudiant :Diana ALMERI, en formation « Décorateur » - CREAD - École d'Architecte d'IntérieurAnge CHARPENTIER, en 2ème année de cycle ingénieur de l’ENSTIB - École nationale supérieure des technologies et industries du boisMathilde DE COURCY, en formation « Architecte d’intérieur designer global » - CREAD - École d'Architecte d'IntérieurAmandine FONTAINE, en formation « Décorateur » - CREAD - École d'Architecte d'IntérieurFantine KOCH, en 2ème année à l’ENSTIB - École nationale supérieure des technologies et industries du boisCécile SOULIER, en formation « Architecte d’intérieur designer global » - CREAD - École d'Architecte d'Intérieur
Il y a 2 ans et 352 jours

Un Grand Palais plus lumineux et ouvert à tous pour accueillir les JO

"Nous sommes dans les temps pour une livraison de la grande nef (13.500 m2 sur 200 mètres de long et 17.500 m2 de verrière) au printemps 2024", a assuré lundi à l'AFP Daniel Sancho, directeur du projet de restauration au sein de l'établissement public de la Réunion des musées nationaux (RMN) – Grand Palais, qui gère l'édifice.Un travail de mise aux normes et d'accessibilité est prévu avec des améliorations techniques majeures. La restauration de la nef et de ses balcons permettra d'augmenter la jauge de 5.600 à 9.000 personnes, selon M. Sancho. Le chantier, qui a débuté en mars 2021, vise à "éclairer l'ouvrage et sa construction" en retrouvant l'effet de transparence qui avait habité le lieu à son origine, avant d'être "cloisonné" et "assombri" par la peinture de certaines parois de verre en noir, a expliqué François Châtillon, architecte en chef des monuments historiques, en présentant l'avancement des travaux à la presse.La rénovation prévoit l'ouverture d'un axe central reliant le Palais de la découverte et son planétarium à la nef qui accueillait avant sa fermeture toutes sortes d'événements artistiques et culturels, comme des foires d'art, des défilés de mode et même des épreuves équestres.Les visiteurs des deux endroits entreront à l'avenir aux expositions par une seule entrée et pourront accéder à une vaste promenade centrale intérieure en accès libre.L'ancien manège aux chevaux, situé dans les soubassements du bâtiment, accueillera une "Galerie des enfants" qui présentera chaque année une exposition, avec une approche "Art et Sciences" ainsi que des ateliers.Les nombreuses mosaïques et la statuaire de l'édifice, très dégradées, seront complètement restaurées.Le Grand Palais rénové doit accueillir les épreuves d'escrime et de taekwondo des Jeux olympiques et paralympiques dans la nef en 2024. L'ensemble des espaces muséaux seront ensuite rouverts progressivement jusqu'en octobre 2025.Un Grand Palais éphémère, sur le Champ-de-Mars, accueille depuis 2021 les événements qui se tenaient habituellement sous la nef.Ce chantier présente un budget de 466 millions d'euros pour un bâtiment de 77.000 mètres carrés et 42.000 mètres carrés de toitures, qui n'a jamais été rénové dans son ensemble depuis 1900.Dans les années 2000, l'édifice s'était affaissé de 13 cm en raison de l'usure des pieux en chêne portant les fondations, par l'eau de la nappe phréatique. Ils ont été remplacés par des parois moulées en béton et la charpente a également fait l'objet d'une consolidation importante.
Il y a 2 ans et 354 jours

Méthanisation des eaux usées : l'énergie renouvelable de demain ?

Photo : Adobe StockLa technique de méthanisation par fermentation des eaux usées pourrait constituer une petite révolution. Le gaz créé via ce processus pourrait en effet être réinjecté dans les réseaux de distribution d'énergie, comme c'est le cas pour l'alimentation des bus de la ville de Strasbourg. Plusieurs Avis Techniques dédiés ont été délivrés par le CSTB. La méthanisation est une technique fondée sur la dégradation de matière organique par des micro-organismes, en conditions contrôlées et en l'absence d'oxygène. La méthanisation des boues urbaines et des eaux usées issues des réseaux de canalisations génère du biogaz, mélange gazeux saturé en eau à la sortie du digesteur et composé de 50 % à 70 % de méthane et 20 % à 50 % de gaz carbonique, et de quelques traces d'autres gaz. Cette énergie renouvelable peut être utilisée sous forme de combustible pour produire de l'électricité, de la chaleur ou du carburant, ou être injectée dans le réseau de gaz naturel après épuration. « Plusieurs Avis Techniques dédiés ont été délivrés par le CSTB. Ainsi, le dispositif VERINOX permet la réalisation d'ouvrages allant jusqu'à 10 000 m3. PRIM, un classement des dispositifs d'ANC Les dispositifs préfabriqués d'épuration des eaux usées (pour des maisons jusqu'à 20 pièces principales) sont soumis à une procédure d'agrément ministériel compte tenu des enjeux sanitaires et environnementaux induits par une installation d'assainissement non collectif (ANC) composés de ces produits. Cependant, les différents retours de terrain et études in situ mettent en évidence une sinistralité importante tant sur le fonctionnement que sur la stabilité et la durabilité des ouvrages. Pour réduire cette sinistralité, les cinq gammes de dispositifs disposant d'un Avis Technique ou d'un DTA sont classés sur la liste verte de l'Agence Qualité Construction (AQC) et relèvent donc de techniques dites maîtrisées, techniques courantes reconnues par les assureurs. En complément, pour éclairer davantage les maîtres d'ouvrage et les constructeurs, PRIM, un classement des dispositifs, a été conçu par le CSTB et construit avec des collectivités. Il permet d'identifier instantanément le niveau d'un dispositif en matière de pérennité et de robustesse (PR), mais aussi l'intensité technique (I) des règles de mise en œuvre fournies par le fabricant. Enfin, un dernier critère permet de tenir compte des enjeux du milieu (M), pour s'assurer que le dispositif est compatible avec une zone dite « non sensible », avec une zone sensible, en climat tempéré, chaud tropical ou équatorial, froid, voire avec une zone inondable. Le classement PRIM sera associé à terme à la certification QB09 pour les dispositifs relevant de ce référentiel, afin d'être directement repéré sur les produits certifiés. Il permettra d'identifier les installations d'ANC en fonction du niveau de maîtrise de la technique : niveau 2 : technique maîtrisée (faisant l'objet de DTU, d'ATec ou de DTA) ; niveau 1 : intermédiaire (faisant l'objet d'un guide professionnel collectif) ; niveau 0 : niveau de base, réglementaire (faisant l'objet d'un guide rédigé par le fabricant). Impact hydraulique des toitures végétalisées sur les réseaux d'assainissement Le GS 17 « épuration », en relation avec le GS 5.2 relatif à l'étanchéité des toitures-terrasses, a établi des critères pour évaluer l'impact des toitures végétalisées sur les réseaux d'assainissement. Ces critères permettent d'évaluer le fonctionnement des ouvrages et, ainsi, de prendre en compte les services écosystémiques offerts par la gestion à la source des eaux pluviales. Une demande d'Avis Technique est en cours d'instruction sur le sujet, ce qui permettra aux maîtres d'ouvrage d'avoir des informations objectives, dispositif par dispositif, ce qui n'était pas le cas jusqu'à présent. Parution du fascicule documentaire FD P16-009 « Gestion décentralisée de la pollution des eaux pluviales en milieu urbain » Des travaux sur les techniques de dépollution des eaux pluviales sont menés depuis cinq ans et ont débouché sur la rédaction d'un fascicule documentaire. Par manque de maturité du domaine, il n'a pas été possible d'aboutir à une norme décrivant les modalités de construction et de choix des produits associés. Le fascicule permet toutefois de communiquer une information générale sur les techniques de dépollution, d'harmoniser le vocabulaire et de présenter les différents processus d'évaluation, que ce soit à l'échelle du produit ou de l'ouvrage. Les travaux de R&D du CSTB ont permis au GS 17 de compléter ce fascicule par une méthodologie d'évaluation des techniques de dépollution des eaux pluviales. Les Avis Techniques sur les dispositifs concernés constituent donc une source d'information complète sur leur conception et leur mise en œuvre, notamment en l'absence de norme produit et de règle de construction, et sont mentionnés par les fascicules 70.1 et 70.2 comme preuve de l'aptitude à l'usage. Tous ces travaux devraient permettre une meilleure lecture par les collectivités des solutions techniques innovantes qui émergent dans le domaine. Solutions & Performances - Numéro 8 : « Eau » Le numéro 8 de Solutions & Performances est consacré aux réseaux d'eau, systèmes et canalisations qui véhiculent la précieuse ressource. PDF 2.81 Mo Consultez les éditions précédentes Inscrivez-vous !
Il y a 2 ans et 355 jours

La robe en zinc Quartz-Zinc de VMZINC enveloppe les bureaux de la maison Rémy Martin à Merpins (16)

Ce bâtiment de 5.000 m2 connecte les chais de vieillissement d’un côté et le site d’embouteillage de l’autre. Il accueille, depuis juin 2021, les 130 collaborateurs, qui travaillaient jusqu’alors dans le centre-ville de Cognac.INCA Architectes et AIA Life Designers ont imaginé un grand parc paysager dans lequel le nouvel édifice, rappelant les chais historiques, est venu s’insérer. Ce bâtiment-promenade se distingue par deux parties longilignes reliées entre elles par des passerelles. Elles abritent toutes les fonctions et dessinent un véritable lieu de vie : accueil, bureaux, salles de réunions, restaurant, salle de sport, locaux du personnel. Des parvis, patios et jardins créent une transition douce entre le dedans et le dehors. Le paysage, la lumière, la nature et l’histoire ont été de précieuses sources d’inspiration pour donner du sens à ce programme dans le respect des valeurs de la Maison Rémy Martin.La matérialité de la pierre de Charente est réinterprétée en façade de manière contemporaine et se marie harmonieusement au zinc VMZINC qui habille la toiture. Cette couverture élégante et légère dans l’expression retranscrit avec soin du détail la conception architecturale. Le bureau d’études de l’entreprise Alain COUTANT Couverture et celui de VMZINC ont collaboré étroitement afin de s’assurer que les systèmes VMZINC puissent techniquement répondre aux attentes esthétiques. Au total, 7.000 m2 de solutions zinc ont été mises en œuvre, soit environ 60 tonnes : Joint Debout en couverture ; Profil à Emboîtement pour les sous-face et agrafage sur-mesure sur les rives et pignons.Un seul aspect de surface, le QUARTZ-ZINC, a été retenu. Ce zinc, qui se patinera avec le temps, joue avec la lumière, une composante essentielle du projet. Au fil de la journée et selon la météo, il se nuance et crée des reflets. Les matériaux sélectionnés ; le zinc, la pierre et l’aluminium ; se distinguent par leur noblesse, leur intemporalité et leur durabilité.Détails minimalistesLes lignes épurées de la toiture en zinc ont requis une grande technicité à l’image des rives au niveau des casquettes avec débords de toit en rez-de-chaussée et au premier étage. Travaillées le plus finement possible, ces pointes effilées passent de 34 cm à quasiment 0 cm d’épaisseur sur une longueur d’1,90 m.Pour Mathias COUTANT, Gérant de l’entreprise Alain COUTANT Couverture: « Une ossature secondaire en bois a été conçue pour venir vêtir le squelette d’acier. Des flasques métalliques, doublées de bois, font la jonction avec cette ossature secondaire afin de dessiner gracieusement cette pointe si fine qui borde le bâtiment. »Toutes les couvertures (hors casquettes) sont traitées en complexe de toiture chaude Toiture VMZINC : bac acier/pare-vapeur/isolant 240 mm en double couche/écran pare-pluie/ QUARTZ-ZINC PLUS.Des chéneaux ont été intégrés en milieu de versant afin de récupérer les eaux pluviales de la partie supérieure. Encaissés, ils disparaissent du regard et permettent d’assurer la continuité esthétique de la ligne des toitures.Logistique menée d'une main de maîtreLe bureau d’études de l’entreprise Alain COUTANT Couverture a réalisé les plans à partir d’une maquette 3D afin d’intégrer les éléments zinc à la charpente métallique et aux menuiseries aluminium. Il a calculé et défini ses besoins en zinc avant d’effectuer les commandes de bobines auprès de VMZINC. Pour respecter le rythme des meneaux en pierre et garantir un alignement visuel des différentes joints, VMZINC a produit ces bobines dans des dimensions sur-mesure. Elles ont été refendues (largeurs 530 mm et 467 mm) selon le pas de pose défini par les différentes solutions. L’objectif étant de faire coïncider les joints creux de la sous-face avec le joint debout des bacs de la couverture.Lors de la phase chantier, un groupement d’entreprises a été constitué (Alain COUTANT Couverture, BOUCHET Couverture et SMAC) assurant la livraison de l’ouvrage en un an après le démarrage des travaux.
Il y a 3 ans et 3 jours

Canicule : les citadins face à la surchauffe urbaine

Microclimat urbainA la campagne, la végétation utilise le soleil et l'eau du sol pour la photosynthèse, puis restitue à l'atmosphère l'eau puisée dans le sol. La nuit, cette "évapotranspiration" s'arrête.Mais en ville, les surfaces largement imperméables emmagasinent l'énergie solaire. Et pendant la nuit, ces bâtiments, routes en bitume et trottoirs relâchent dans l'air la chaleur accumulée.Résultat, il fait souvent plus chaud dans une ville qu'en périphérie, avec des écarts encore plus marqués pendant les canicules et la nuit, qui peuvent aller jusqu'à plusieurs degrés de plus que dans la campagne environnante.Ce mécanisme est connu sous le nom d'"îlots de chaleur urbains" (ICU), mais il devient "surchauffe urbaine" lorsqu'on y ajoute l'inconfort thermique des habitants, qui dépend aussi de paramètres plus individuels (âge, logement sous les toits mal isolés, métabolisme...).Avec des impacts sanitaires majeurs. "La situation des citadins soumis à ces conditions extrêmes peut conduire à des coups de chaleur et des déshydratations jusqu'à la mort des personnes les plus fragiles", souligne l'Ademe dans son guide "Rafraîchir les villes".Par exemple, lors de la canicule historique de 2003 qui avait fait plus de 15.000 morts en France, la surmortalité avait atteint 141% à Paris ou 80% à Lyon, contre 40% dans les villes petites et moyennes, selon Santé Publique France.Des facteurs identifiésLes facteurs favorisant ces "bulles de chaleur" urbaines sont connus: beaucoup de surfaces artificielles minérales et sombres qui absorbent la chaleur, pas assez de végétation, propriétés des matériaux de construction, présence insuffisante d'eau, activités humaines, orientation des bâtiments, forme des villes...Sans oublier le cercle vicieux de la climatisation qui en rafraîchissant ceux qui peuvent se l'offrir réchauffe l'air extérieur par ses rejets.Des solutionsLa question du rafraîchissement urbain est un domaine de recherche encore récent mais crucial alors que les îlots de chaleur urbains risquent d'amplifier les effets des canicules qui se multiplient et s'intensifient avec le réchauffement de la planète.Des solutions existent pour faire éclater ces bulles de chaleur, comme l'explique l'Ademe dans son guide qui présente 19 types de mesures "émergentes ou éprouvées" parmi lesquels les villes peuvent piocher en fonction de leurs spécificités.D'abord des solutions basées sur la nature, en bref la végétation et l'eau: développement de parcs qui forment de vrais îlots de fraîcheur, plantation d'arbres pour l'ombrage, toitures végétalisées pour le confort intérieur, façades végétalisées pour limiter l'inconfort des piétons, ou encore plans d'eau et rivières avec leurs berges végétalisées.Parmi les solutions "grises", l'Ademe met notamment en avant des formes urbaines "bioclimatiques" qui permettent une meilleure circulation de l'air, l'arrosage de l'espace urbain, des structures d'ombrage, des panneaux solaires pour remplacer les surfaces qui emmagasinent la chaleur ou encore des revêtements drainants, l'isolation des bâtiments.Dernière piste évoquée, les solutions "douces" liées à l'usage de la ville, comme la réduction du trafic routier et des moteurs thermiques qui produisent de la chaleur ou encore la limitation de la climatisation.Pas de miracleMais attention, "aucune solution ne peut résoudre seule la problématique de la surchauffe urbaine", prévient l'Ademe qui suggère une combinaison de plusieurs solutions."Il est alors important de prendre en considération le fait que certaines solutions ne sont pas compatibles, voire s'annulent entre elles, tandis que d'autres agiront en synergie".Il faut également dans le choix des solutions possibles se pencher sur l'effet recherché de chaque solution: rafraîchissement global de la ville ou à l'échelle du confort du piéton.Ainsi par exemple, les fontaines et jets d'eau ont un impact fort pour le confort thermique mais aucun à l'échelle de la ville.Au contraire, des revêtements réfléchissant la lumière (peinture blanche ou matériaux innovants) sur les sols, les murs ou les toits, réduisent l'îlot de chaleur urbain mais peuvent créer de l'inconfort pour les passants à cause du rayonnement.
Il y a 3 ans et 7 jours

Que faut-il retenir sur les travaux de zinguerie?

La zinguerie rassemble toutes les pièces métalliques servant à étancher la toiture. Cela concerne donc les chéneaux, les faîtages et les gouttières. Mais il y a aussi les solins. Traditionnellement fabriqués en zinc, ces éléments peuvent actuellement être faits à partir d’autres matériaux comme le cuivre ou l’acier. Certains artisans utilisent même de l’inox ou de l’aluminium. Sans oublier le PVC et les matières composites qui sont très appréciés par les professionnels. D’ailleurs, les matériaux de zinguerie sont en constante évolution et les tâches s’amplifient. Découvrez ci-après les différents travaux pouvant être confiés à un zingueur. Poser les éléments de zinguerie Pour mettre en place les éléments de zinguerie de votre toiture, l’intervention d’un professionnel est requise. A savoir que chaque composant est indispensable pour garantir la mise hors eau du toit. Alors, n’hésitez pas à vous rendre sur ce blog sur le couvreur zingueur pour trouver un artisan qualifié. Cet expert procèdera à différents types d’opération. Les chéneaux Il existe principalement deux méthodes d’installation de chéneaux. En effet, ils peuvent être installés sur un support solide en respectant la structure du toit ou entre deux pans et un mur. Ces éléments sont fabriqués sur mesure et leurs tailles sont adaptées à celles des surfaces à traiter. Par ailleurs, ils sont invisibles depuis l’extérieur de la maison, parce qu’ils sont intégrés aux gros-œuvres. Leur mission est de guider les eaux de pluie aux gouttières. Concernant leur capacité d’évacuation, elle dépend essentiellement de leur profondeur. Mais elle est tributaire de leur largeur, leur forme ainsi que leur développé. Les gouttières Elles sont mises en place aux extrémités des pentes de la toiture pour recevoir et guider les eaux de pluie vers les égouts. On a le choix entre deux types de pose : rampant ou pendant. Des gouttières pendantes sont fixées soit sur la planche de rive soit sur le versant avec des crochets. D’ailleurs, elles existent sous différentes formes. Vous pouvez donc choisir des gouttières demi-rondes, carrées, moulurées, lyonnaises ou à l’anglaise. Les modèles rampants quant à eux sont directement posés sur la corniche avec des crochets. Ce style d’installation convient plus aux toitures avec une inclinaison importante. Discrets, ils sont généralement plus chers que les structures pendantes. Les solins Ils sont installés sur les parties de raccordement du toit comme la cheminée, les jonctions au mur ou les colonnes d’évent. Ils y sont posés avec des chevilles à frapper. Pour boucher les écartements, le zingueur y ajoute du joint mastic. Sachez que les solins servent à faciliter l’écoulement des eaux pluviales sur la toiture. Les faîtages Ils sont installés le long des joints des versants. L’installation varie en fonction du matériau utilisé. Pour les structures en tuile, ils doivent être scellés au mortier ou emboîtés. Quant aux faîtages en zinc, en suivant leur longueur, pliez-les en deux  et fixez-les avec des clous. Leur rôle est d’empêcher les infiltrations et de ventiler la toiture. Les entretiens et la rénovation La zinguerie sert à protéger les infiltrations d’eaux qui pourraient abîmer les couvertures, les armatures, les plafonds, les murs, etc. Pour la maintenir en bon état, les techniciens proposent des prestations d’entretien et de rénovation. Un contrôle tous les 10 ans est aussi requis. Alors, pour trouver un professionnel de la zinguerie, vous pouvez visiter ce blog sur le couvreur-zingueur. Vous y trouverez des artisans qui interviennent pour des rénovations partielles ou intégrales.
Il y a 3 ans et 13 jours

Comment effectuer des travaux d’agrandissement de la toiture?

Si vous avez envie d’agrandir votre surface habitable, il existe effectivement différentes alternatives en travaux de toiture, en fonction de la configuration de votre maison. Dans cette optique, le mieux est de faire appel à un couvreur confirmé pour vous aider à concrétiser votre rêve et réfléchir à la meilleure façon d’aménager vos combles. En effet, un tel projet requiert des connaissances spécifiques dans ce domaine et la maîtrise des normes règlementaires, pour garantir la solidité de votre construction. Aussi, vous ne pouvez pas faire l’impasse sur ces points cruciaux si vous souhaitez mener à bien la réalisation d’un nouvel espace répondant aux exigences du métier. Découvrir l’étendue des alternatives envisageables Pour ce faire, vous devez effectivement vous conformer aux dispositions légales en vigueur dans votre localité et tenir en considération la configuration de votre bâti. Ce sera seulement à partir de ces facteurs et en prenant en compte vos attentes spécifiques que le couvreur professionnel sera en mesure de vous soumettre la solution idéale. A savoir : Rehausse de toiture, pour les degrés d’inclinaison inférieurs à 30 °. Dans cette optique, votre façade sera décalée vers le haut et les murs seront remontés en moyenne de 0,80 m à 1 m. Aménagement des combles, si votre pente est supérieure à 30 °. En effet, si vos combles ont une hauteur suffisante, vous n’aurez pas besoin de surélever votre structure. Il vous suffira de planifier des travaux d’aménagement, en fonction de la distribution des différents espaces que vous souhaitez créer. Surélévation de toiture, c’est la solution classique en remontant vos murs à la hauteur standard. Elle est réservée aux pentes inférieures à 30 ° et en misant sur cette option, vous ne pouvez pas apporter des modifications à l’inclinaison de votre structure. Changement de pente, c’est une alternative réalisable si vous disposez d’une pente inférieure à 30 ° et vous permet de gagner plus de hauteur sous plafond. Appréhender les démarches indispensables Avant de lancer vos travaux d’agrandissement, vous devez effectivement réfléchir au préalable à l’anticipation de vos besoins futurs, afin d’éviter recommencer d’autres chantiers plus tard. Ainsi, vous estimez que l’aménagement d’une deuxième salle de bain vous sera utile prochainement, autant l’inclure dans votre projet actuel. Autrement, le concours d’un professionnel spécialisé vous permettra des meilleurs conseils pour connaître toutes les obligations légales que vous devez remplir, avant d’avoir l’autorisation de commencer votre chantier. De la même manière, il vous indiquera quelles sont les contraintes techniques à respecter pour garantir la solidité de votre construction et être à l’abri des risques d’effondrement. Dans cette optique, il mettra en œuvre toutes les actions indispensables pour veiller à ce que toutes les étapes inhérentes au bon déroulement de votre chantier soient conformes aux règlementations. Bref, votre rêve d’agrandissement n’est pas inaccessible, seulement il faut prévoir les travaux de toiture qui s’imposent en conséquence, afin de concrétiser votre plan. Cependant, vous devez faire appel à un couvreur professionnel comme sur ce site : https://www.couvreur-34.fr/ pour avoir la sérénité que l’aménagement espéré sera exécuté à la hauteur de vos attentes. De plus, vous aurez également la tranquillité d’esprit que votre qualité de finition répondra aux normes en vigueur dans le métier.
Il y a 3 ans et 20 jours

RGD : « Nous faisons tout pour le béton, sauf le béton »

Article paru dans le n° 100 de Béton[s] le Magazine Richard Guérin, président-fondateur de la société Recherche Gestion Développement. [©RGD/Pierre Ardouin] Qui est RGD ? Richard Guérin : C’est l’acronyme de Recherche Gestion Développement, une entreprise œuvrant à augmenter la durabilité des bétons armés. Le point de départ de RGD est un brevet sur un système de protection : un mortier aux micro-billes de type “anodes sacrificielles”. Aujourd’hui, cette spécialité constitue une bonne part de notre chiffre d’affaires… Vingt ans : quel bilan ? Malgré tout ce que nous avons traversé, je pense que je le referai. Mais sans doute d’une manière un peu différente, compte tenu de l’expérience accumulée. RGD fait tout pour le béton, sauf le béton ! Ainsi, nous assurons la revente exclusive de mortiers industriels de marques Ruredil, filiale de Chryso Italie, et Drizoro, d’origine espagnole. Ces produits permettent d’intervenir sur des marchés spécifiques de la réparation, du calage/scellement. Ils sont proposés en vente directe, car nous ne passons pas par le négoce. Drizoro, ce sont aussi des plats et des toiles carbone sous ATE, destinés aux renforcements structurels. Mais nous distribuons aussi, et ce depuis 2006, le système PBO, fabriqué par l’Italien Laterlite. Il s’agit d’une grille en kevlar à noyer dans une matrice cimentaire. Sa particularité est de pouvoir être appliquée sur support humide et d’être résistante au feu. Bien entendu, le cœur de l’activité reste la protection contre la corrosion. RGD importe les systèmes d’anodes sacrificielles CPT et Corrpre, complémentaires l’un de l’autre. A quoi s’ajoutent des solutions par courant imposé. Par ailleurs, nous distribuons la marque suisse Rascor. Celle-ci propose un système d’injection derrière les ouvrages de génie civil en vue de (re)créer une étanchéité. Enfin, RGD propose quelques adjuvants de type “accélérateurs pour mortiers et enduits”. Ou encore des agents de cure non filmogène, en phase aqueuse et sans solvants. RGD est-il aussi un fabricant de produits ? Tout à fait ! Nous bénéficions d’une unité de production de 1 000 m2, basée à Sérézin-sur-Rhône. Nous y fabriquons des peintures et des lasures pour bétons verticaux comme horizontaux. Ce sont des produits en phase aqueuse sur une base silicate. Les peintures sont, elles, surtout destinées à une utilisation en toitures, sur tuiles béton par exemple. Voire même sur tuiles amiantées, car permettant d’encapsuler les matériaux les constituant. Il y a dix ans, nous avons racheté la marque MP2, dont nous avons repris la fabrication des produits. Ces peintures vont du transparent à l’opaque, dans toutes les nuances Ral, y compris métallisées. Et nous sommes en mesure de répondre aux demandes “sur mesure”. Les produits MP2 sont proposés via un réseau de revendeurs de peintures spéciales. Toujours côté production, nous fabriquons des hydrofuges, des inhibiteurs de corrosion, des agents anti-mousse, tous disponibles en marque blanche. Comment voyez-vous les vingt ans à venir ? Je fais le vœu que RGD soit toujours là et qu’il ait consolidé sa place de spécialiste de spécialités que les autres ne proposent pas ! Quels sont les axes stratégiques du moment ? Nous en avons trois, tous centrés sur le développement durable. A travers des peintures réfléchissantes anti-UV et anti-infrarouge. Leur objectif est de permettre de lutter contre les îlots de chaleur, en réduisant de plus de 10 °C les températures ambiantes. Le deuxième axe est de proposer de solutions bas carbone de réparation d’ouvrage, sans solvants à base hydraulique. Enfin, nous continuons à travailler au développement de notre offre d’anodes sacrificielles. Notamment, des produits encore plus faciles à mettre en œuvre, de faible épaisseur ou faible encombrement. Propos recueillis par Frédéric Gluzicki Article paru dans le n° 100 de Béton[s] le Magazine
Il y a 3 ans et 21 jours

Plan d'investissement "massif" de La Compagnie nationale du Rhône (CNR) dans le photovoltaïque

La CNR va ainsi investir un milliard d'euros "d'ici 2030 pour multiplier par sept" sa capacité installée, qui devrait passer de 150 à 1.000 MWc (mégawatt crête), a expliqué Laurence Borie-Bancel, présidente du directoire, lors d'une conférence de presse. Soit la consommation annuelle d'une population de 550.000 habitantsDétenue par Engie (49,97% du capital), la Caisse des Dépôts (33,20%) et des collectivités locales (16,33%), ce concessionnaire chargé de l'aménagement et de la valorisation du Rhône depuis sa création en 1933 assure un quart de la production hydroélectrique du pays, avec 19 centrales.La CNR est aussi chargée de la navigation fluviale et de l'irrigation agricole dans le cadre de sa concession, récemment prolongée de 18 ans par le Parlement, jusqu'en 2041.En phase avec ses projets, une entreprise dédiée au développement photovoltaïque, Solarhona, a été créée, avec au démarrage une vingtaine de salariés, entre Lyon et Montpellier.Concrètement, deux tiers des capacités proviendraient de l'installation de panneaux sur des toitures ou sous la forme d'ombrières, et un tiers sur des terrains "dégradés, de petite taille, n'ayant pas d'utilité", a expliqué le président de Solarhona, Julien Marchal, également directeur des nouvelles énergies de CNR. Quelques "petits projets en solaire flottant sur des petits plans d'eau" sont aussi envisagés.Pour la CNR, tous ces projets répondent à la "rareté du foncier" et seront menés en collaboration avec les "territoires, qui pourront s'associer à leur gouvernance dans des +sociétés de projet+". Sont ainsi visés les 47 EPCI (établissement public de coopération intercommunale) de la vallée du Rhône, mais aussi des entreprises. Solarhona leur reversera une partie des revenus générés.Selon Mme Borie-Bancel, qui évoque un investissement "massif", "80 projets sont d'ores et déjà en développement". Ils devraient créer "600 emplois directs et indirects".Le plus avancé concerne le partenariat avec le logisticien Skipper, au Pouzin (Ardèche), où environ 20.000 m2 de toiture de la plate-forme logistique vont être "solarisés" début 2023."Notre seuil minimum est de 1.000 m2, nous ne visons pas les particuliers", précise M. Marchal, qui, outre les toitures d'entreprises, considère aussi celles des "bâtiments publics et de hangars agricoles" ou "des parkings".Pour les installations au sol, "les friches industrielles, les endroits de remblais ou les délaissés routiers" seraient appropriés. Sur ces surfaces, la CNR n'exclut pas d'installer des "panneaux verticaux bi-face", présentant l'avantage d'une double exposition, une technologie testée sur les berges du Rhône à Sablons (Isère).
Il y a 3 ans et 21 jours

Dossier détails : parements tuiles

    La prescription de la tuile dans l'architecture moderne s'est faite de plus en plus rare, à mesure que les toits devenaient des terrasses, parfois accessibles, et s'imposaient sous cette forme comme archétype sommital des bâtiments. Aujourd'hui, les concepteurs redessinent volontiers des toitures en pente et la tuile retrouve droit de cité, […] Lire l'article
Il y a 3 ans et 23 jours

Référence : Henri Gaudin et la faculté des sciences d'Amiens

    La prescription de la tuile dans l'architecture moderne s'est faite de plus en plus rare, à mesure que les toits devenaient des terrasses, parfois accessibles, et s'imposaient sous cette forme comme archétype sommital des bâtiments. Aujourd'hui, les concepteurs redessinent volontiers des toitures en pente et la tuile retrouve droit de cité, […] Lire l'article
Il y a 3 ans et 28 jours

NOUVEAU ONDULINE EASYFIX® COMPACT – Des plaques compactes, faciles à manipuler et à installer

En résidentiel, les travaux d’amélioration de l’habitat sont multiples : création d’abris, de carports, de garages, de cabanes d’enfants, d’ateliers, de refuges pour animaux… Pour offrir à ces structures annexes une couverture esthétique, durable et facile à poser, ONDULINE, expert en toitures et sous-toitures légères, lance une nouvelle plaque bitumée légère et compacte qui simplifie l’installation grâce à son format malin : ONDULINE EASYFIX® COMPACT. Au plus près des attentes des bricoleurs, les nouvelles plaques ONDULINE EASYFIX® COMPACT – composées à 50 % de matière recyclée – sont d’ores et déjà disponibles en 3 couleurs (rouge, noir et vert) et 3 autres couleurs (brun, orange et gris anthracite) seront commercialisées dès 2023 pour s’intégrer à la perfection aux différents aménagements, en neuf comme en rénovation. Mesurant 1 x 0,82 m et pesant seulement 1,7 kg, elles sont facilement transportables dans le coffre d’une voiture et offrent une mise en œuvre aisée. En effet, la pose ne requiert aucun équipement spécifique : leurs petites dimensions permettent une installation très facile et sur mesure.   Légère, souple, facile à manipuler, à installer et garantie 10 ans, ONDULINE EASYFIX® COMPACT offre une couverture durable et respectueuse de l’environnement. NOUVEAU ONDULINE EASYFIX® COMPACT Une toiture simple d’installation Légères et souples, les nouvelles plaques ONDULINE EASYFIX® COMPACT ne pèsent que 2,8 kg/m2 ce qui les rend très faciles à manipuler lors de l’installation et évite d’avoir recours à un équipement de levage pour poser les plaques. Utilisées seules ou en complément des plaques ONDULINE EASYFIX® standard (2 x 0,82 m), elles évitent les découpes ou gâchis de matière et peuvent ainsi servir de plaques de complément pour les toitures. Ces nouveautés ONDULINE sont dotées d’un système de marquage et guide de recouvrement innovant sur les plaques qui simplifient la pose et assurent une étanchéité parfaite. Le bricoleur n’a pas besoin de gros outils pour la coupe : les plaques se découpent très facilement au cutter ou à la scie. Un mètre, un marteau, une visseuse, des pointes et des vis conçues pour la gamme ONDULINE EASYFIX® COMPACT suffisent pour poser et fixer simplement ces nouvelles plaques bitumées. Un support de 21 mm d’épaisseur minimum est recommandé pour la pose. Les plaques ONDULINE EASYFIX® COMPACT peuvent être montées sur un support plein ou discontinu avec des chevrons espacés au maximum 28 cm sur une pente de 15 % minimum. Outre le format intéressant qui en fait l’alliée des bricoleurs, ONDULINE EASYFIX® COMPACT bénéficie de la marque CE et affiche une résistance à toute épreuve et une imperméabilité parfaite. Pour répondre à toutes les attentes, les plaques de toiture ONDULINE EASYFIX® COMPACT et leurs accessoires seront disponibles en six couleurs (rouge, noir, vert, brun, orange et gris anthracite) et offrent une finition harmonieuse et contemporaine des abris de jardin, des maisons de jeu pour enfants, des pergolas… Un matériau fiable et respectueux de l’environnement Les plaques ONDULINE EASYFIX® COMPACT contiennent environ 50 % de matières premières recyclées et leur process de fabrication intègre une démarche respectueuse de l’environnement forte et visible. De plus, les émissions de CO2 sont considérablement réduites grâce au poids allégé des matériaux qui limite l’impact lors du transport.
Il y a 3 ans et 29 jours

« La couverture, interface clé entre les éléments extérieurs et le bâtiment », au sommaire de Solutions & Performances N°7

Le nouveau numéro de Solutions & Performances, la lettre du CSTB dédiée à l'accompagnement de l'innovation, est consacré à la couverture qui permet d'assurer la protection du bâtiment et de ses occupants contre les agressions climatiques. La lettre Solutions & Performances donne une place centrale aux acteurs, clients et partenaires du CSTB - industriels, maîtres d'ouvrage, maîtres d'œuvre, entreprises et artisans témoignent - car ce sont eux qui donnent les clés en matière d'innovation en lien avec leurs besoins et les attentes du marché. Ainsi, dans la rubrique La parole aux professionnels, un représentant des industriels du secteur et un dirigeant d'entreprise nous parlent des bénéfices de la certification pour leur activité. En Une, la rubrique Tendances s'intéresse notamment à l'émergence de nouvelles applications pour certains matériaux de couverture, comme l'aluminium et l'acier. Elle évoque également le déve¬loppement des écrans de sous-toiture, toujours plus performants, et les innovations des fabricants qui permettent de nouvelles fonctionnalités de la couverture, en lien avec les exigences de la RE2020. Les Actualités réglementaires reviennent sur la méthode simplifiée pour la détermination de l'action du vent selon l'Eurocode 1 P1-4 sur couvertures en bacs métalliques autoportants à joints sertis ou à emboîtement et sur la révision du NF DTU 40.24 relatif aux couvertures en tuiles en béton à glissement et à emboîtement longitudinal. La rubrique Pathologies se focalise sur les différentes causes d'infiltration sur les couvertures réalisées avec des plaques nervurées issues de tôles d'acier galvanisé. Grâce à Parole d'expert, vous saurez tout sur les certifications « Couvertures » délivrées par le CSTB : QB17 (ardoises en fibres-ciment), QB25 (écrans de sous toiture), QB35 (closoirs ventilés et NF249 (plaques ondulées en fibres-ciment). À découvrir également l'animation pédagogique Marquage & Certificats qui donne les clés de la certification dédiée aux procédés et produits de couvertures. La rubrique Innovations présente enfin les dernières tendances du marché, qui concernent notamment les défis engendrés par l'augmentation de la taille des modules photovoltaïques et le développement de nouveaux matériaux pour les couvertures métalliques à joint debout. Bonne lecture ! Solutions & Performances - Numéro 7 : « Couverture » Le numéro 7 de Solutions & Performances est consacré à la couverture qui permet d'assurer la protection du bâtiment et de ses occupants contre les agressions climatiques. PDF 2.5 Mo Consultez les éditions précédentes Inscrivez-vous !
Il y a 3 ans et 29 jours

La couverture, interface clé entre les éléments extérieurs et le bâtiment

Photo : ShutterStockLa couverture est la partie visible de la toiture qui recouvre la charpente et l'isolation du toit. Elle protège le bâtiment et ses occupants contre les agressions climatiques : la pluie, le soleil, la chaleur, la neige et le vent. Afin de remplir cette fonction, elle doit présenter des caractéristiques telles que l'imperméabilité et la résistance au poids et aux chocs. Pour s'assurer de l'efficacité du système, le choix d'éléments de couverture de qualité est essentiel. Il doit être déterminé en fonction des performances attendues des produits dans la durée, au regard du climat, des règles d'urbanisme et, idéalement, de l'utilisation des ressources locales. Les couvertures en tuiles sont les plus répandues dans l'Hexagone, devant celles en ardoises et les éléments en zinc, mais les bacs acier, les plaques en fibres-ciment ou, dans une moindre mesure, les bardeaux bitumés sont également utilisés pour certains types de bâtiments, industriels et agricoles notamment. Dans un contexte de fluctuations importantes des prix et de raréfaction de certains gisements comme ceux de zinc, on assiste à l'émergence de nouvelles applications pour certains matériaux de couverture - l'aluminium et l'acier notamment. La RE2020, nouvelle règlementation environnementale entrée en vigueur le 1er janvier 2022, met à ce titre l'accent sur la nécessaire optimisation de l'utilisation des matériaux et procédés, ainsi que sur leur durabilité, leur potentiel de circularité et de réemploi - facilité de réparation et de remplacement -, attributs décisifs pour réduire l'empreinte carbone de la couverture sur l'ensemble de son cycle de vie. La RE2020 a également stimulé l'innovation portée par les industriels du secteur. Ceux-ci proposent aujourd'hui des solutions améliorant significativement les performances énergétiques et thermiques des bâtiments, tout en procurant à leurs usagers davantage de confort, en hiver comme en été. Le sarking, par exemple, technique d'isolation de la toiture par l'extérieur, protège ainsi les bâtiments du froid en hiver et permet de limiter les apports de chaleur en été, sans occasionner de perte d'espace dans les combles, devenus de vraies pièces de vie dans de nombreux foyers. On observe également le développement et la démocratisation des écrans de sous-toiture, toujours plus performants, qui bien que non obligatoires dans les DTU, sont très fortement recommandés, car ils permettent de protéger les combles contre les fines particules : poussières, pollens et surtout neige poudreuse. Ils sont d'ailleurs systématiquement proposés par les tenants d'Avis Techniques de procédés de tuiles de terre cuite à pente abaissée, tendance forte portée par le marché et les architectes. Les innovations des fabricants concernent par ailleurs de nouvelles fonctionnalités de la couverture, qui répondent elles aussi aux exigences de la RE2020. Ainsi, la production d'énergie renouvelable au moyen de panneaux photovoltaïques intégrés à la couverture ou surimposés peut couvrir tout ou partie des besoins énergétiques de fonctionnement d'un bâtiment et de ses usagers, mais génère de nouveaux défis de conservation du niveau d'étanchéité de la couverture dans le temps. Dans cette optique, on constate une tendance forte du marché en faveur de la pose de modules photovoltaïques de plus grande dimension. Ces innovations supposent de nouvelles modalités de mise en œuvre, qui doivent être compatibles avec la sécurisation des chantiers de couverture, pour lesquels des guides de sécurité et de prévention sont disponibles. Solutions & Performances - Numéro 7 : « Couverture » Le numéro 7 de Solutions & Performances est consacré à la couverture qui permet d'assurer la protection du bâtiment et de ses occupants contre les agressions climatiques. PDF 2.5 Mo Consultez les éditions précédentes Inscrivez-vous !
Il y a 3 ans et 29 jours

Couverture - Actualités réglementaires

Photo : CSTBMéthode simplifiée pour la détermination de l'action du vent selon l'Eurocode 1 P1-4 sur couvertures en bacs métalliques autoportants à joints sertis ou à emboîtement Édité en septembre 2019 et révisé en octobre 2021, le cahier 3 804_V2 du CSTB présente une méthode simplifiée, adaptée à la couverture, pour la détermination de l'action du vent selon la partie I-4 de l'Eurocode 1, qui donne les bases pour l'évaluation de l'action du vent sur les structures des bâtiments. Cette méthode de calcul simplifiée est appliquée aux couvertures en bacs métalliques autoportants à joints sertis ou à emboîtement sous Document Technique d'Application (DTA), pour les configurations de toitures les plus courantes, en France métropolitaine et dans les départements et régions d'outre-mer (DROM). Le document donne notamment des tableaux de valeurs précalculées de dépression de vent “Eurocode”, dans le cas de couvertures de bâtiments courants prismatiques à base rectangulaire et à versant plans ou courbes, en fonction des hauteurs de bâtiment, de la zone de couverture et de la catégorie de terrain (rugosité). La famille concernée fait l'objet de nombreux DTA, principalement pour des procédés de bacs aluminium autoportants. Ces procédés peuvent viser des longueurs de bacs et de rampants de couverture jusqu'à 100 m de long sans joint transversal, et des formes de couverture cintrées complexes à un ou plusieurs rayons de giration. Ils sont notamment utilisés sur des projets d'envergure, à fort impact architectural.  » Lien Cahier 3 804_V2 Révision du NF DTU 40.24 relatif aux couvertures en tuiles en béton à glissement et à emboîtement longitudinal La norme NF DTU 40.24, qui donne les spécifications de mise en œuvre des couvertures réalisées à l'aide de tuiles en béton à glissement et à emboîtement longitudinal, aptes à couvrir tous types de bâtiments à versants plans, en France métropolitaine et climat de plaine, est en cours de révision. La nouvelle version du DTU 40.24 introduit notamment un abaissement des pentes minimales de couverture lorsqu'il est fait usage d'un écran de sous-toiture. Celles-ci pourront ainsi descendre jusqu'à 25 % avec un recouvrement minimal des tuiles adapté à la pente, toujours compris entre 7,5 et 12,5 cm. Il existait auparavant des Avis Techniques (ATec) pour pouvoir viser des pentes plus basses que celles admises par l'ancien DTU 40.24. Ces procédés ayant fait leurs preuves depuis de nombreuses années, la Commission Chargée de Formuler les Avis Techniques (CCFAT) a décidé, en octobre 2019, de sortir du domaine d'application de la procédure d'ATec toute cette famille de procédés. En parallèle des travaux de révision du DTU 40.24, la CCFAT a donc progressivement cessé de recevoir les demandes d'ATec, puis, depuis octobre 2021, annulé tous les ATec existants de cette famille. Le nouveau DTU 40.24 révisé, intégrant les abaissements de pente, est actuellement finalisé et est en cours de mise à l'enquête publique. La sortie du document est prévue en 2023.  » La décision CCFAT Solutions & Performances - Numéro 7 : « Couverture » Le numéro 7 de Solutions & Performances est consacré à la couverture qui permet d'assurer la protection du bâtiment et de ses occupants contre les agressions climatiques. PDF 2.5 Mo Consultez les éditions précédentes Inscrivez-vous !
Il y a 3 ans et 29 jours

Anne Jeannolin - La parole aux professionnels

La parole aux professionnels Anne Jeannolin, dirigeante, entreprise de couverture Jeannolin, et conseillère professionnelle, UNA CPC CAPEB Quel est votre rôle au sein de la CAPEB ? Je suis vice-présidente de la CAPEB Savoie et conseillère professionnelle pour les couvreurs au sein de l'Union Nationale des Couvreurs Plombiers Chauffagistes de la CAPEB nationale. À ce titre, je participe aux rénovations réglementaires ainsi qu'à différentes missions. Forte de ses 59 300 adhérents, la CAPEB représente 557 000 entreprises artisanales dans le bâtiment, 651 000 salariés et forme 56 000 apprentis. Par ailleurs, je dirige, depuis 1999, une entreprise savoyarde de charpente, couverture et zinguerie avec mon mari. Quelle est votre relation avec le CSTB ? Je suis membre du GS5.1 Produits et procédés de couvertures pour le CSTB, ce qui me permet de donner un avis de « terrain » et de professionnelle sur les Documents Techniques d'Application avant validation. En quoi les certifications QB17, QB25, QB35 et NF249 constituent-elles une valeur ajoutée pour les artisans ? Les certifications sont un gage de qualité et de confiance. Elles attestent de la performance des produits mis en œuvre puisqu'ils répondent, à minima, aux CGM des DTU. En cela, elles facilitent grandement le choix des produits aux artisans et entreprises du bâtiment. On assiste au développement du sarking. Quels sont ses avantages ? Procédé d'isolation que seuls les métiers de la couverture peuvent proposer, le sarking permet d'optimiser les surfaces habitables, tout en évitant les ponts thermiques lors d'une interface avec l'isolation des murs par l'extérieur. Il n'existe malheureusement que très peu de procédés sous Avis Technique et DTA, notamment en climat de montagne. Les modules photovoltaïques de grande dimension sont de plus en plus répandus. Existe-il une différence majeure entre la pose de panneaux intégrés à la couverture et de panneaux surimposés ? Pour nous, couvreurs, il n'y a aucune différence en termes d'étanchéité, car c'est notre cœur de métier. Cependant, les panneaux en surimposés permettent, selon les configurations, de ne pas être soumis aux problèmes de ventilation minimale demandée en intégré, notamment dans les cas où la réfection de la toiture n'est pas prévue dans son intégralité. Solutions & Performances - Numéro 7 : « Couverture » Le numéro 7 de Solutions & Performances est consacré à la couverture qui permet d'assurer la protection du bâtiment et de ses occupants contre les agressions climatiques. PDF 2.5 Mo Consultez les éditions précédentes Inscrivez-vous !
Il y a 3 ans et 29 jours

Innovations – Nouveaux Avis Techniques

Photo : PREFADéveloppement de nouveaux matériaux pour les couvertures métalliques à joint debout Avec la raréfaction de certains minerais et les fluctuations sur les prix des matériaux, des alternatives aux métaux traditionnels ont émergé ces dernières années pour la réalisation de couvertures en feuilles métalliques à joint debout serti, posées sur platelage bois continu (voliges). Ainsi, pour remplacer les matériaux historiques comme le zinc, le cuivre, l'acier inoxydable et le plomb, qui disposent de règles de l'art approuvées et éprouvées, des solutions utilisent de l'acier galvanisé “souple” prélaqué ou de l'aluminium prélaqué. Leur mise en œuvre, si elle est très proche des règles appliquées aux matériaux traditionnels, nécessite quelques précautions liées aux spécificités de ces produits et à leur comportement mécanique et physique. Dans les deux cas, la prise en main par le couvreur et la souplesse du matériau ne sont pas exactement les mêmes, et la résistance au vent du procédé doit être réévaluée. Les soudures sont également plus complexes et techniques sur l'acier prélaqué (décapage, peinture de retouche...) ou l'aluminium (soudure TIG-MIG) que sur le zinc. Ainsi, le traitement des points singuliers nécessite une vigilance accrue et des particularités propres à chaque procédé, avec notamment l'utilisation d'accessoires spécifiques préfabriqués en usine. Enfin, l'acier prélaqué n'est pas résistant par nature à la corrosion sans son revêtement. Un vrai travail sur la souplesse des revêtements prélaqués a ainsi été réalisé pour parvenir à des revêtements capables de résister aux contraintes de pliage très sévères lors du sertissage du joint debout. Toutes les exigences spécifiques à ces produits sont détaillées dans leur Document Technique d'Application. Des surfaces de plus en plus étendues pour le photovoltaïque En matière de photovoltaïque, l'innovation concerne principalement l'augmentation de la taille des modules, qui génère de nouveaux défis pour dimensionner les systèmes de montage. Cette innovation pose donc deux problèmes techniques majeurs. Les reprises de charge sont plus importantes, notamment lorsque les modules sont couverts de neige. Il y a donc un enjeu de dimensionnement des tôles d'acier qui constituent l'élément porteur sous le complexe d'étanchéité servant de support aux modules. Par ailleurs, des modules de grande dimension sont beaucoup plus sensibles aux effets du vent et donc au risque d'arrachement. Ce type d'installation concerne principalement les bâtiments commerciaux et logistiques supérieurs à 1 000 m² qui ont généralement des structures porteuses dimensionnées au plus juste, ne permettant pas de compenser les sollicitations potentielles par des ancrages dans des systèmes massifs. Des systèmes surimposés au-dessus d'une couverture en tuiles ou en ardoises se développent également. Ils nécessitent que les modules photovoltaïques soient fixés sur une ossature, elle-même fixée sur un système qui traverse la couverture pour s'appuyer sur la charpente. L'enjeu est alors que ce système de fixation complexe ne dégrade pas l'étanchéité de la toiture et soit en capacité de résister aux charges de neige et de vent. En savoir plus : DTA Solutions & Performances - Numéro 7 : « Couverture » Le numéro 7 de Solutions & Performances est consacré à la couverture qui permet d'assurer la protection du bâtiment et de ses occupants contre les agressions climatiques. PDF 2.5 Mo Consultez les éditions précédentes Inscrivez-vous !
Il y a 3 ans et 31 jours

AER Architectes accompagne la projection vers l'avenir du site de Rochexpo

Résultat d’un partenariat entre la mairie de La Roche-sur-Foron, le Conseil Départemental, la Région Auvergne-Rhône-Alpes et Rochexpo, la conception et la réalisation de la nouvelle halle du site Rochexpo à haute-performance énergétique ont été confiées à l’agence AER Architectes. Les études ont débuté en 2018 et le chantier a démarré en juillet 2020. L’inauguration a eu lieu le 18 février dernier en présence du Président de la région Auvergne-Rhône-Alpes Laurent Wauquiez, du Président du département de la Haute-Savoie Martial Saddier et Président de Rochexpo Philippe Carrier.Il résulte de l’alliance entre modernité, la multifonctionnalité, la qualité d’accueil et de réception ainsi qu’une identification forte au territoire.Restructuration spatiale ambitieuseLe programme audacieux s’articule autour de la création de 3 halls d’exposition, d’espaces de conférences et séminaires, d’espaces traiteur et l’embellissement d’un bâtiment « Forum » existant; les bâtiments existants exigus ne répondant plus aux objectifs fonctionnels et thermiques.La halle forme un continuum spatial dans lequel se sous-divisent trois espaces de réception. Le plus grand permet l’organisation de conférences et événements exceptionnels profitant de tribunes télescopiques d’une capacité de 1000 places et d’un traitement acoustique.Le hall d’exposition est en charpente bois-métal tridimensionnelle de grande dimensions : une portée de 54m qui a permis la création d’un espace de 6000m2 sans un seul poteau. La structure symétrique trellis avec des poteaux en force traction. La force ainsi descendante permet aux poteaux d’être fins et de jouer avec les lignes : une prouesse et signature architecturale du bâtiment.Un chantier éco-responsableLe projet a une dimension éco-responsable forte pour répondre aux nouvelles normes environnementales et sociétales.La réduction de l’empreinte carbone et de la consommation énergétique du bâtiment a été rendue possible par l’optimisation de l’ensemble de ses infrastructures notamment par : la végétalisation des accès et intégration dans le paysage et ses spécificités, l’utilisation des structures bois pour la charpente et les murs, le renforcement de l’isolation thermique, la réduction de -50% des consommations en eau, le travail sur l’éclairement naturel avec des bandeaux vitrés toutes façades et des éclairements en toiture (autonomie 50%) et le travail des matériaux recyclés, solution innovante dans les techniques d’architecture et d’urbanisme.Les bois sont issus de forêts labellisées FSC ou PEFC, de marque CE, dans une démarche préférentielle «Bois des Alpes» : bois massifs en résineux de pays (sapin, épicéa, pin...).Ré-emploi des matériaux existants : 2 000m3 sur les 5 200m3 issus des travaux de terrassement ont été criblés sur place pour être réutilisés et éviter ainsi le maximum de déchets éliminés en décharge. L’ancien enrobé a été raboté sur site pour être réutilisé par l’entreprise. et les anciennes fermes en lamellé collé ont été ponctuellement réutilisées en mobilier.Identité régionale ancréeFaire de l’architecture du bâtiment une ode au patrimoine naturel haut-savoyard et participer à son rayonnement national et international.Le travail de façade écrit la qualité architecturale et fonctionnelle symbolique pour une transformation durable de l’image du site : l’implantation aléatoire de poteaux fait référence à la forêt avoisinante et répond au relief de deux volumes blancs en écho aux montagnes et aux glaciers. L’accès au parvis haut de la halle a été sécurisé et embelli par un terrassement minéral agrémenté de «séracs» et la création de jardins «alpins». Son envergure et son architecture hors-norme en font sa signature et porte haut les couleurs régionales.
Il y a 3 ans et 36 jours

Nouvelle plateforme logistique de Reynaers Aluminium & Forster France

Cet événement clé est une nouvelle étape dans le plan d'investissement industriel défini jusqu'à 2025 renforçant la position du groupe Reynaers en tant qu'acteur majeur dynamique et engagé depuis plusieurs années dans une politique de développement forte et affirmée. Un investissement de 6 millions d'euros pour répondre à la demande croissanteCe nouveau bâtiment porte les infrastructures du Groupe Reynaers à 15.000m² de surface logistique en France. L'investissement était devenu indispensable pour faire face à la demande croissante que connaissent les deux marques Reynaers Aluminium et Forster sur le marché français. Proche des principaux axes routiers qui desservent la France et la Belgique, ce site stratégique permet d'optimiser les transports de marchandises entre les sites de production et de renforcer la qualité de des services auprès des spécialistes de la menuiserie aluminium et acier.Une croissance soutenue des activités de Reynaers Aluminium et de ForsterFocus Reynaers Aluminium :Reynaers Aluminium a enregistré une croissance de 27% entre les années 2016 et 2019. En 2021, le chiffre d'affaires de l'entreprise a progressé de 24%, traduisant sa capacité à concevoir et à distribuer des solutions techniques pour les projets les plus variés en neuf comme en rénovation.Projet significatif Reynaers Aluminium : le savoir-faire de Reynaers Aluminium s'est illustré récemment dans la conception et la fourniture de solutions sur mesure pour le projet « Jardins du Lou » situé au cœur du quartier de Gerland à Lyon. Les six immeubles de bureaux , signés par l'agence d'architecture AIA Life Designers, représentent 28.000m² de surface et près de 13 000m² de façades.. Focus Forster :Partenariat, excellence et accompagnement sont les maîtres mots qui caractérisent l'offre de solutions techniques et de services proposée par la société Forster. Spécialisée dans la conception et la vente de systèmes de menuiseries en acier, Forster a repris ses ventes en direct en France depuis août 2020. La nouvelle organisation logistique sur le site de Brouchy permet de répondre aux projets les plus variés avec des délais de livraison optimisés. Les professionnels de la menuiserie acier bénéficient ainsi d'une offre complète permettant de réaliser tout type de portes, de fenêtres et de façades, sans oublier la profondeur de l'offre des solutions coupe-feu ou antieffraction indispensable pour les projets nécessitant un traitement spécifique en matière de sécurité des édifices et des occupants.Projet emblématique Forster : le savoir-faire des équipes projets de Forster a permis de répondre aux exigences réglementaires et architecturales de la rénovation de la Samaritaine. Les 800 châssis acier des séries Unico XS et Fuego Light fabriqués et installés dans le bâtiment ont permis de recréer à l'identique l'esthétique des menuiseries acier de cette architecture art moderne et art déco du 19ème siècle.Un investissement logistique pour gagner en performance ServiceCe nouveau site a permis de repenser et d'optimiser les flux logistiques. Ainsi, le site de Brouchy recentre son activité sur le pré équipement de profilés de la gamme Reynaers Aluminium, le stockage et la préparation des commandes en finition thermolaquée et anodisée . La plupart des produits proposés dans l'offre sont stockés dans les teintes blanche et «gris anthracite, permettant de livrer partout en France sous un délai de 8 jours. Afin de gagner en réactivité, les activités de stockage des profilés bruts seront centralisées en 2022 dans les usines de thermolaquage et d'anodisation du groupe en Belgique. Un bâtiment conçu pour améliorer les conditions de travail et réduire les coûts énergétiquesSoucieux de créer un cadre de travail agréable et sécurisant pour les salariés, le bâtiment s'est doté de nouveaux espaces favorisant l'échange entre le personnel administratif et la production. Pour gagner en confort d'été et minimiser les transferts de température toute l'année vers l'intérieur, la toiture de la nouvelle surface logistique est équipée du système CoolRoof (Soprema) limitant la température de surface à 42° durant les fortes chaleurs (72° pour une toiture traditionnelle). Conçue pour recevoir en 2022 des panneaux photovoltaïques, l'installation permettra de réduire de 14% la consommation électrique et d'ouvrir une partie du bâtiment à l'auto consommation. Une attention particulière a été portée également sur le traitement de l'éclairage avec LED, ce qui permet de renforcer le bien-être au travail et de diminuer de 11% la consommation électrique de l'ensemble du bâtiment.Un engagement au quotidien pour répondre aux enjeux environnementauxSensible aux enjeux environnementaux actuels et à venir, ce projet s'inscrit pleinement dans la démarche que le groupe Reynaers mène depuis plusieurs années visant à réduire son impact carbone.Grâce à cette nouvelle chaîne logistique optimisée, le groupe Reynaers diminue significativement les étapes de transports entre les différentes unités et renforce son engagement dans la protection de l'environnement. Les nouvelles installations ont permis de concentrer également les efforts sur la réduction des déchets et notamment sur la mise en place de nouveaux modes d'emballage des commandes clients. Grace à l'utilisation de films recyclables et de civières spécialement conçues pour garantir la qualité des produits transportés, la consommation de carton a été réduite de 50%, avec un objectif de -70% sur les prochaines années.Le Groupe Reynaers, acteur économique de la région PicardieLe site de Brouchy emploie 93 personnes dont 53 permanents et 40 salariés intérimaires permettant de s'adapter avec souplesse et efficacité aux pics d'activité de plus en plus réguliers. En se dotant de cette extension de 5.400m², Reynaers Aluminium et Forster affichent de belles perspectives laissant entrevoir un renforcement de ses activités économiques au plan local et national.
Il y a 3 ans et 46 jours

Géocomposites plus performants

DÖRKEN rénove sa gamme DELTA-TERRAXX, désormais composée des trois géocomposites de drainage DELTA-TERRAXX, DELTA-TERRAXX ULTRA et DELTA-TERRAXX LIGHT, solutions à toutes les problématiques liées aux venues d’eau sur, sous et autour des bâtiments : toitures- terrasses étanchées accessibles aux véhicules (lourds ou légers), aux piétons, toitures-terrasses végétalisées, drainage sous dallage (tapis drainants), parois verticales enterrées (soubassements), retrait- gonflement des sols argileux… La structure alvéolaire des géocomposites de la nouvelle gamme DELTA-TERRAXX, de même que leurs géotextiles filtrants, ont été repensés et améliorés pour offrir plus de résistance à la compression à court terme et à long terme lors de passages répétés de véhicules. La nouvelle gamme DELTA-TERRAXX accueille un nouveau type de géotextile filtrant anti-colmatage : des essais de colmatage faits au laboratoire ANTEA d’Orléans (rapport N° Lab20199 du 02/06/2021) démontrent que ceux-ci conservent une perméabilité à l’eau optimale dans le temps, dans tous les cas de figure, là où les géotextiles « classiques » présentent rapidement des signes de colmatage.
Il y a 3 ans et 50 jours

La gamme Usystem Roof s’élargit avec deux nouveaux panneaux de toiture en fibre de bois pour une isolation éco-responsable

Pour qu’isolation thermique, confort d’été et construction durable ne fassent qu’un, Unilin Insulation étoffe sa gamme de panneaux de toiture Usystem Roof avec de la fibre de bois. Deux nouveaux produits voient ainsi le jour : Usystem Roof OS Comfort Natural et Usystem Roof DS Natural Wool.Des matériaux durables au service de l’efficacitéLes nouveaux panneaux Usystem Roof d’Unilin Insulation conviennent particulièrement à l’isolation par l’extérieur des rampants de toiture en bio-construction, en neuf comme en rénovation.Ils offrent tous les avantages de deux matériaux durables (fibre de bois et polyuréthane pour Usystem Roof OS Comfort Natural et fibre de bois pour Usystem Roof DS Natural Wool) caractérisés par des cycles de vie étendus et une réduction des émissions de gaz à effet de serre des bâtiments.USYSTEM Roof OS Comfort NaturalUsystem Roof OS Comfort Natural est un panneau de toiture bi-matière 3 en 1 assurant à la fois le support de couverture, l’isolation thermique et la finition intérieure du plafond.Il permet de traiter toutes les configurations de manière traditionnelle : découpes noues et arêtiers, débords de toiture, fenêtres de toit, passage de cheminées, ...Composé de mousse de polyuréthane, de fibre de bois (60 mm) et d’un écran de sous-toiture HPV intégré, Usystem Roof OS Comfort Natural offre une isolation thermique performante, tout en préservant le toit des risques d’humidité, pour un confort en toute saison : gain de chaleur en hiver et maintien de la fraîcheur en été !L’écran de sous-toiture permet un jointement parfait sans bande ni manipulation complémentaire grâce aux recouvrements adhésifs intégrés pour un temps de pose réduit et une sécurité optimale des couvreurs.USYSTEM Roof DS Natural WoolPanneau sandwich chevronné à base de fibre de bois (densité de 50 kg/m3) et pare-vapeur intégré, Usystem Roof DS Natural Wool est une solution constructive bio-sourcée assurant l’isolation thermique et acoustique, le confort d’été et la ventilation du bâtiment.Autorisant de grands entraxes entre pannes, il convient à toutes les formes de toiture en pente et il est aussi facile à mettre en œuvre que le caisson chevronné Usystem Roof OS Comfort Natural. Il existe en version non lattée pour la pose parallèle à l’égout.Des finitions intérieures pour tous les goûtsPour répondre à toutes les envies en matière de décoration intérieure, les solutions Usystem Roof avec fibre de bois d’Unilin Insulation sont proposées dans une large gamme de finitions pour les plafonds, de la finition semi-finie à la finition complète :jusqu’à 12 finitions semi-finies personnalisables,2 décors synthétiques texturés pour une esthétique contemporaine (Deco White etDeco Beige),4 finitions bois véritable, brut, flotté, cérusé pour un intérieur authentique.Moins carbonés, les nouveaux panneaux de toiture avec fibre de bois Usystem Roof répondent aux exigences de la réglementation RE2020, contribuant à la réduction des émissions sur le cycle de vie du bâtiment. Ils sont par ailleurs éligibles à MaPrimeRénov'. Enfin, ils sont certifiés ACERMI, gage de qualité.
Il y a 3 ans et 64 jours

La gamme Usystem Roof s’élargit avec deux nouveaux panneaux de toiture en fibre de bois pour une isolation éco-responsable

Alors que le secteur du bâtiment est grand consommateur de matières premières et d’énergie et à l’heure de sa décarbonation imposée par la RE2020, la fibre de bois, matériau renouvelable, est plébiscitée par les professionnels pour les chantiers d’isolation éco-responsables. Pour qu’isolation thermique, confort d’été et construction durable ne fassent qu’un, Unilin Insulation étoffe sa gamme de panneaux de toiture Usystem Roof avec de la fibre de bois. Deux nouveaux produits voient ainsi le jour : Usystem Roof OS Comfort Natural et Usystem Roof DS Natural Wool.Des matériaux durables au service de l’efficacité     Les nouveaux panneaux Usystem Roof d’Unilin Insulation conviennent particulièrement à l’isolation par l’extérieur des rampants de toiture en bio-construction, en neuf comme en rénovation. Ils offrent tous les avantages de deux matériaux durables (fibre de bois et polyuréthane pour Usystem Roof OS Comfort Natural et fibre de bois pour Usystem Roof DS Natural Wool) caractérisés par des cycles de vie étendus et une réduction des émissions de gaz à effet de serre des bâtiments. USYSTEM Roof OS Comfort Natural Usystem Roof OS Comfort Natural est un panneau de toiture bi-matière 3 en 1 assurant à la fois le support de couverture, l’isolation thermique et la finition intérieure du plafond. Il permet de traiter toutes les configurations de manière traditionnelle : découpes noues et arêtiers, débords de toiture, fenêtres de toit, passage de cheminées, … Composé de mousse de polyuréthane, de fibre de bois (60 mm) et d’un écran de sous-toiture HPV intégré, Usystem Roof OS Comfort Natural offre une isolation thermique performante, tout en préservant le toit des risques d’humidité, pour un confort en toute saison : gain de chaleur en hiver et maintien de la fraîcheur en été ! L’écran de sous-toiture permet un jointement parfait sans bande ni manipulation complémentaire grâce aux recouvrements adhésifs intégrés pour un temps de pose réduit et une sécurité optimale des couvreurs. USYSTEM Roof DS Natural Wool Panneau sandwich chevronné à base de fibre de bois (densité de 50 kg/m3) et pare-vapeur intégré, Usystem Roof DS Natural Wool est une solution constructive bio-sourcée assurant l’isolation thermique et acoustique, le confort d’été et la ventilation du bâtiment. Autorisant de grands entraxes entre pannes, il convient à toutes les formes de toiture en pente et il est aussi facile à mettre en œuvre que le caisson chevronné Usystem Roof OS Comfort Natural. Il existe en version non lattée pour la pose parallèle à l’égout. Des finitions intérieures pour tous les goûts Pour répondre à toutes les envies en matière de décoration intérieure, les solutions Usystem Roof avec fibre de bois d’Unilin Insulation sont proposées dans une large gamme de finitions pour les plafonds, de la finition semi-finie à la finition complète : • jusqu’à 12 finitions semi-finies personnalisables, • 2 décors synthétiques texturés pour une esthétique contemporaine (Deco White et Deco Beige), • 4 finitions bois véritable, brut, flotté, cérusé pour un intérieur authentique. Moins carbonés, les nouveaux panneaux de toiture avec fibre de bois Usystem Roof répondent aux exigences de la réglementation RE2020, contribuant à la réduction des émissions sur le cycle de vie du bâtiment. Ils sont par ailleurs éligibles à MaPrimeRénov’. Enfin, ils sont certifiés ACERMI, gage de qualité. http://www.unilininsulation.fr/
Il y a 3 ans et 71 jours

Tuiles pour toutes les pentes

Les trois tuiles expertes d’Erlus Karat®, E58 RS® et la nouvelle tuile Level RS® sont fabriquées à partir d’argile naturelle. Elles absorbent l’humidité et la restituent rapidement. Elles ont un double ou triple emboîtement latéral et de tête. Cette conception permet une parfaite évacuation de l’eau sur la surface de la tuile. Désormais, il n’est plus nécessaire de mettre en place des solutions d´étanchéité complémentaire qui sont coûteuses et contraignantes. Une toiture en pente avec ces tuiles ne nécessite pratiquement pas d’entretien, se met en œuvre facilement et résiste à la pénétration des eaux pluviales. Dans le cas d’une inclinaison de toiture inférieure à la pente réglementaire, les contraintes imposées à la sous-construction augmentent. Il convient dès lors de se référer aux prescriptions de pose détaillées dans les documentations de chacun des modèles pour une fonctionnalité de toiture parfaite.
Il y a 3 ans et 72 jours

Exposition Aqua Mater : l’eau, source de vie

L’exposition Aqua Mater prend place au milieu de l’esplanade de La Défense, près de Paris et s’y tient jusqu’au 22 septembre 2022. [©ACPresse] « On a l’impression que l’accès à l’eau est quelque chose de naturel. » Directeur de la division des Sciences de l’eau et secrétaire du programme hydrologique intergouvernemental de l’Unesco, Abou Amani plante le décor. Et de préciser : « Chaque jour, il faut éduquer les gens pour qu’ils respectent l’eau… » Installée pour une durée de six mois sur l’esplanade de La Défense, près de Paris, l’exposition Aqua Mater est un manifeste dédié à l’eau, par définition source de vie. « L’eau est un bien essentiel, pour toute espèce vivante. Le plus essentiel après l’oxygène », rappelle le photographe brésilien Sebastião Salgado. L’eau est ainsi un fil conducteur. Elle est omniprésente dans chacune des 50 images exposées. Elle y apparaît sous toutes ses formes. Dans sa pureté et son intensité. Dans son abondance et sa rareté. Elle est saisie dans sa solitude ou dans les interactions variées avec l’humain, la faune, la flore. « Représenter en images le besoin, la beauté, la force et les mystères de l’eau est une tâche difficile, au risque de tomber dans le lieu commun », rappelle Sebastião Salgado. Le photographe évite cet écueil. Toutes noir et blanc, ses images sont limpides, magnétiques, sans superflu. Elles vont à l’essentiel. Un léopard en train de boire. Des enfants qui sautent dans l’eau. Un orage au-dessus de l’Amazone. Une cascade au milieu de la jungle. Une fleur posée au milieu du béton « Ce que je souhaite, c’est que les gens viennent à cette exposition. Qu’ils y découvrent que l’eau est source de vie. Qu’il est nécessaire de la préserver », insiste Sebastião Salgado. Et de poursuivre : « Les Français ne vivent plus en France, ils vivent en ville ! L’eau leur arrive par un tube. Elle est d’excellente qualité. Elle est perçue comme un cadeau du ciel, mais elle n’est pas un cadeau du ciel ». Les photographies de l’exposition Aqua Mater prennent place au cœur d’un pavillon de 1 000 m2. « Il est comme une fleur posée au milieu du béton », souligne encore le photographe. Lançant même une pique à l’architecture contemporaine, occidentale : « On utilise beaucoup trop de matériaux d’origine minérale. Il faudrait prévoir une part végétale plus importante dans la construction… » Mais là est un autre débat. Le Pavillon Aqua Mater s’inspire des malocas amérindiennes. A savoir, de grandes structures réalisées autour de piliers en bois et recouvertes d’une toiture en feuilles de palmiers. A l’intérieur prennent place uniquement des hamacs, qui constituent le seul mobilier des populations autochtones. Un matériau aussi humble que le bambou Guadua Les architectes colombiens Simón Vélez et Stefana Simic en ont donc repris le principe, en utilisant le bambou Guadua d’Amazonie comme matériau de base. Il s’agit là de la ressource forestière renouvelable la plus abondante en Colombie. Le Guadua est plus résistant que l’acier et peut générer plus de biomasse que toute autre culture. « C’est réellement la première fois que nous concevons une telle installation, explique Simón Vélez. Cette approche nous a ouvert de nouvelles possibilités de construction et d’architecture. Pouvoir réaliser un tel projet grâce à un matériau aussi humble que le bambou Guadua, avec une telle rapidité de production et d’assemblage et pour un coût faible, est un exemple qui illustre à quel point il est extraordinaire de travailler avec la nature. » Les architectes rendent ainsi hommage aux constructions ancestrales au sein desquelles toute la communauté vit en harmonie avec son environnement. Sebastião Salgado : « Ce que je souhaite, c’est que les gens viennent à cette exposition. Qu’ils y découvrent que l’eau est source de vie ». [©Renato Amoroso]L’erg Ubari est une immensité de dunes de sable de 80 000 km2, où se trouvent des lacs salés dans une zone appelée en arabe Ramla d’El Daouda, signifiant la “dune des mangeurs de vers”. Libye 2009. [©Sebastião Salgado]Long de 30 km et épais de 700 m, le glacier Perito Moreno est l’un des quarante-huit alimentés par le champ de glace du Sud de Patagonie et troisième réserve mondiale d’eau douce. Argentine 2007. [©Sebastião Salgado]Un déambulatoire extérieur permet d’en savoir plus sur l’eau, avant de la découvrir en images. [©ACPresse]Toutes noir et blanc, les photographies de Sebastião Salgado sont limpides, magnétiques, sans superflu. [©ACPresse]Cinquante photographies de Sebastião Salgado composent l’exposition Aqua Mater. [©ACPresse] Assimiler de nouveaux savoirs S’il reprend les principes constructifs éprouvés, le Pavillon intègre aussi quelques technologies contemporaines. Des éléments nécessaires pour le rendre démontage, transportable et remontable, de manière simple et facile. En l’espèce, il s’agit de tubes en acier qui, une fois reliés les uns aux autres, forment comme des couronnes sur lesquelles s’appuient les bambous. Vinci Construction France n’est autre que le mécène d’honneur de l’exposition. En fait, le groupe de BTP apporte toute sa compétence technique et humaine au projet. « Pour l’entreprise, cette réalisation permet d’assimiler des nouveaux savoirs et d’élargir son expertise autour de techniques inédites et d’un matériau nouveau pour elle, résume Xavier Defaux, directeur de la communication de Vinci Construction France. La dimension humaine de ce mécénat de compétences a permis à nos collaborateurs de participer à la magie du lieu et à une autre forme de perfection architecturale. » Le lieu imposait beaucoup de contraintes L’aventure a débuté en 2018, avec un voyage en Colombie pour voir le montage d’un prototype grandeur réelle du pavillon. Et pour s’approprier le savoir-faire colombien aux côtés des architectes Simón Vélez et Stefana Simic. Puis, est venu du temps des études, afin d’adapter la construction à sa future itinérance. A savoir, l’intégration des méthodes de préfabrication et de montage/démontage rapides, optimisées par les équipes de Vinci Construction France. Après une première installation en Arles, dans le cadre des Rencontres de la Photographie, le Pavillon vient d’ouvrir ses portes sur l’esplanade de la Défense, à côté de Paris. Un peu plus de deux mois de travaux auront été nécessaires à sa construction. « Le lieu imposait beaucoup de contraintes », explique Grégory Nakache, responsable des travaux pour Vinci Construction France. Tout d’abord, le chantier se situait au cœur d’un environnement piéton, autorisant les livraisons à des horaires bien précis. Ensuite, la dalle en béton qui constitue l’esplanade, surmontée de petites dalles sur plots, ne permet qu’une surcharge de 450 kg/m2. « Nous ne pouvions utiliser que des petits moyens de transport et de levage », reprend Lucie Docimo, ingénieure travaux pour Vinci Construction France. Le Pavillon Aqua Mater s’inspire des malocas amérindiennes. [©Vinci]Pavillon Aqua Mater en cours de montage par les équipes de Vinci Construction France. [©Vinci]Les 184 poteaux en bambou sont posés sur autant de dalles-supports en béton. [©Vinci]Le Pavillon Aqua Mater est comme une fleur posée au milieu du béton. [©ACPresse]Le Pavillon Aqua Mater est implanté au cœur de l’esplanade de La Défense. [©Fonds de dotation Contemplation] Des dalles en béton comme autant de points d’appui Ainsi, l’entreprise a installé sa base logistique de 3 000 m2, à Nanterre, à 4 km de l’esplanade. De quoi accueillir les dix conteneurs de 40 pieds nécessaires au transport du Pavillon en kit… Chaque jour, un petit camion assurait la navette en direction de La Défense. Le Pavillon s’inscrit sur un “remblai” de 30 cm d’épaisseur, destiné à répartir les charges sur l’ensemble de la plate-forme. Pour éviter toute surcharge inutile, ce “remblai” est constitué de blocs de polystyrène expansé. Dessus sont posées des dalles préfabriquées en béton de 1,90 m x 1,90 m pour une épaisseur de 10 cm. C’est la seule concession faite au béton sur ce projet… « Au« Ces éléments servent de points d’appuis aux 184 socles du Pavillon. Mais aussi de points d’ancrage pour lester le bâtiment et ainsi maintenir la structure vis-à-vis des efforts du vent », conclut Lucie Docimo. A l’issue de l’exposition, qui doit s’achever le 22 septembre 2022, les dalles seront concassées pour être valorisées comme granulats. Quant au Pavillon, il repartira vers une nouvelle destination. Sans doute vers Milan ou Genève. En attendant l’aller encore plus loin… Lieu : Esplanade de La Défense (Hauts-de-Seine)Dates : 1er avril – 22 septembre 2022Horaires : Du mardi au dimanche, de 10 h 00 à 19 h 00Durée de visite : 1 h 00 environEntrée adulte : 16 € En savoir plus. Aqua Mater, en pratique Photographies : Sebastião Salgado Scénographie : Lélia Wanick Salgado Création musicale : François-Bernard Mâche Architectes du Pavillon : Simon Vélez et Stefana Simic Bureau d’études architecte : Jean-Marc Weil (C&E Ingénierie) Patronage : Unesco Producteur : Fonds de dotation Contemplation Mécène d’honneur : Vinci Construction France Frédéric Gluzicki
Il y a 3 ans et 79 jours

Incroyable système de toiture enterrée à l’abbaye de Sorde

C’est dans le cadre d’un projet de restauration du cryptoportique de l’abbaye de Sorde dans les Landes, porté par la Communauté de communes du Pays d’Orthe et Arrigans et réalisé sous le contrôle de la Conservation régionale des Monuments historiques que le Service régional de l’archéologie a prescrit une fouille archéologique préventive réalisée par la société Eveha. L’objectif, en amont des travaux, était d’acquérir de nouvelles connaissances sur l’architecture du cryptoportique construit au XVIIIe siècle, en surplomb du Gave d’Oloron, ainsi que sur les bâtiments antérieurs. L’équipe d’archéologues a mis au jour un insoupçonnable système de toitures complexe en tuiles. A priori enterré dès l’origine, le dispositif est installé directement sur l’ensemble des voûtes de la galerie du cryptoportique afin d’assurer l’étanchéité de ce dernier via un système de drains chargé d’évacuer les eaux pluviales vers le Gave. La rareté même de ces vestiges, dont on ne connaît pas d’autre exemple sur le territoire national, leur confère un caractère exceptionnel. La fouille, encore partielle, doit être poursuivie dans les prochains mois. Les observations futures permettront d’apporter des informations complémentaires et éventuellement d’affiner les premières conclusions des archéologues. Au terme des travaux, la terrasse sera à nouveau recouverte de terre afin d’assurer la conservation des vestiges. Une exposition prolongée de ces derniers aux aléas climatiques risquerait en effet de menacer leur pérennité ainsi que la structure du cryptoportique. Si des modélisations 3D permettront de conserver et de présenter l’aspect et le fonctionnement des toitures, des visites proposées le 1er avril 2022 conjointement par la Communauté de communes du Pays d’Orthe et Arrigans et la société Eveha constituent l’unique occasion de découvrir ces vestiges. Photo : Drac Nouvelle Aquitaine
Il y a 3 ans et 88 jours

Sika affiche un chiffre d'affaires record pour 2021 avec une croissance de 17,1%

Malgré la persistance de la pandémie de COVID-19 et les goulets d'étranglement dans l'approvisionnement en matières premières, le chiffre d'affaires a augmenté de manière significative pour atteindre le chiffre record de 9,24 milliards CHF, ce qui correspond à une croissance de 17,1% en monnaies locales.L'effet de change s'est élevé à 0,2%. L'effet d'acquisition a été de 2,0 % et la croissance organique s'est élevée à 15,1 %. Par rapport à la même période en 2019, le gain organique a été de 11,9%.Pour Thomas Hasler, Président-Directeur Général : "On s'attendait à ce que 2021 soit une année difficile et elle s'est avérée très réussie pour Sika. Nous bénéficions d'un certain nombre de plateformes de croissance et sommes dans une position idéale pour parvenir à un succès à long terme. Grâce à nos technologies innovantes, nous sommes le partenaire de choix de nombreux clients dans les secteurs de la construction et de l'industrie. Nous disposons de solutions pour toutes les étapes de développement des marchés de la construction, et les programmes d'investissement soutenus par les gouvernements, qui se chiffrent en milliards, donneront un nouvel élan à nos activités. En outre, nous utilisons de manière ciblée les mégatendances qui animent nos marchés clés. La demande de solutions durables est énorme. Nos produits et services permettent à nos clients d'atteindre leurs objectifs ambitieux en matière de développement durable."Mise à jour relative à l'acquisition de MBCCEn novembre 2021, Sika a signé un accord ferme pour acquérir MBCC Group (ex BASF Construction Chemicals). Avec un chiffre d'affaires de 2,9 milliards de francs suisses, MBCC Group est l'un des principaux fournisseurs de produits chimiques de construction dans le monde. Cette acquisition permettra de compléter et d'élargir l'offre de produits et de solutions de Sika dans quatre des cinq technologies de base et sept des huit marchés cibles de Sika, tout en renforçant l’implantation géographique de la société. Cette transaction donnera naissance à un acteur majeur favorisant un plus fort engagement dans le développement durable.Le marché des produits et solutions chimiques de construction devrait atteindre environ 80 milliards de francs suisses d'ici 2023 et, étant fortement fragmenté, il continuera d'offrir des opportunités de croissance substantielles même après l'acquisition de MBCC par Sika. MBCC réalise environ 53% de ses ventes dans le secteur des systèmes de construction et les 47% restants dans le segment des adjuvants pour béton. L'acquisition est soumise à l'approbation des autorités réglementaires. Sika est convaincu que toutes les approbations requises seront obtenues en temps voulu et travaillera en étroite collaboration avec les autorités. La clôture de l'acquisition est prévue pour le deuxième semestre de 2022.Gains de parts de marché dans toutes les régions en 2021Dans un environnement caractérisé par un certain nombre de confinements temporaires, Sika a connu une croissance plus forte que le marché dans toutes les régions en 2021. Les activités de distribution ont également enregistré des gains significatifs dans toutes les régions.La région EMEA (Europe, Moyen-Orient, Afrique) a enregistré une augmentation des ventes en monnaies locales de 16,1 % (année précédente : 4,4 %). Comme en 2020, la croissance des activités de distribution et de réparation a dépassé celle des autres secteurs d'activité. Presque tous les pays de la région ont atteint des taux de croissance à deux chiffres. Les pays du Moyen-Orient, ainsi que l'Europe de l'Est, y compris la Russie, le Royaume-Uni, et les pays d'Afrique ont bénéficié d'un regain de croissance. En général, les achats de solutions de produits Sika via des plateformes de commerce électronique ont connu une augmentation supérieure à la moyenne.Au cours de la période considérée, Sika a fait l'acquisition de Kreps LLC, un fabricant leader de produits de mortier en Russie, élargissant ainsi davantage son portefeuille de produits existants et sa présence géographique.La région Amériques a enregistré une croissance en monnaies locales de 21,0% (année précédente : 1,0%). Aux États-Unis, Sika a pris un élan considérable. La croissance a été tirée principalement par des projets de rénovation à grande échelle et des nouveaux projets de construction dans le domaine de la distribution et des centres de bases de données. De forts taux de croissance ont été atteints en particulier au Mexique, en Colombie, au Brésil, au Pérou et au Chili. Dans la région Amériques, l'orientation stratégique des activités commerciales sur les grandes villes et les zones métropolitaines a de nouveau porté ses fruits, tout comme la concentration sur les grands projets d'infrastructure et la réalisation ciblée du potentiel de vente croisée.Au cours de la période sous revue, Sika a fait l'acquisition de DriTac, une société américaine occupant une position forte sur le marché du collage de parquets. En outre, un fabricant de produits de mortier au Brésil a été intégré au groupe Sika sous le nom de BR Massa. Grâce à cette acquisition, Sika a amélioré sa position dans l'une des principales régions économiques du Brésil, tout en augmentant sa capacité de production.En juillet, la société a acquis American Hydrotech Inc. aux Etats-Unis et sa filiale canadienne Hydrotech Membrane Corporation. Hydrotech est un fabricant établi de membranes liquides et offre des solutions complètes pour la toiture et l'étanchéité. Elle est le leader incontesté du marché nord-américain dans le segment en pleine expansion des systèmes de toitures vertes.De plus, Sika a acquis l'entreprise familiale Bexel Internacional S.A. de C.V., un important fabricant de colles à carrelage et de stucs au Mexique. Grâce à cette acquisition, Sika renforce sa position sur le marché mexicain des produits de mortier, qui connaît une croissance rapide, et augmente considérablement sa capacité de production avec cinq installations de production stratégiquement situées.Le chiffre d'affaires en monnaies locales dans la région Asie/Pacifique a augmenté de 19,4 % (année précédente : 12,6 %). L'année dernière, la Chine en particulier a profité de la forte dynamique de croissance en cours avec des taux de croissance organique à deux chiffres et a développé avec succès ses activités d'infrastructure et de distribution. L'Inde a continué à connaître un développement dynamique, tandis que les pays d'Asie du Sud-Est se sont lentement remis des importants confinements du dernier trimestre de l'année. Au Japon, la tendance reste difficile. L'activité d'investissement sur le marché de la construction du pays est toujours modérée.Au cours de la période considérée, Sika a acquis Hamatite, la division des adhésifs de Yokohama Rubber Co., Ltd. Hamatite est un leader du marché au Japon, offrant des adhésifs et des mastics pour les industries de l'automobile et de la construction. Cette acquisition améliore considérablement la position de Sika sur le marché japonais, lui donnant un accès plus complet à tous les grands constructeurs automobiles japonais et une gamme plus large de mastics et d'adhésifs pour le secteur de la construction japonais.En Chine, Sika a acquis Shenzhen Landun Holding Co. Ltd, un fabricant d'une gamme complète de produits et de technologies d'étanchéité. La société exploite deux installations de production à la fine pointe de la technologie qui fabriquent une gamme complète de membranes et de revêtements pour diverses applications d'étanchéité, fournissant principalement des projets d'infrastructure et les projets commerciaux.Dans le segment Global Business, Sika a enregistré une croissance en monnaies locales de 4,3 % (année précédente : -11,4 %). Au cours de l'exercice écoulé, l'industrie automobile a connu d'importants goulets d'étranglement dans la chaîne d'approvisionnement des composants électroniques. Alors que les prévisions du début de l'année annonçaient une forte reprise du volume de véhicules neufs construits par rapport à l'année précédente, il y a eu en fait une forte baisse au second semestre en raison du manque de disponibilité des semi-conducteurs.Néanmoins, Sika prévoit que les mégatendances de la production automobile moderne, à savoir l'électromobilité et la construction légère, continueront à stimuler la croissance. En particulier, la transition des systèmes de transport traditionnels vers l'électromobilité s'est accélérée pendant la pandémie et bénéficie de divers programmes de soutien gouvernementaux dans un certain nombre de pays.PerspectivesSika confirme ses objectifs stratégiques pour 2023. L'entreprise reste axée sur le succès à long terme et la croissance rentable. En se concentrant sur les six piliers stratégiques - pénétration du marché, innovation, efficacité opérationnelle, acquisitions, valeurs d'entreprise fortes et durabilité - Sika cherche à croître de 6 à 8 % par an en monnaies locales jusqu'en 2023. À partir de 2021, l'entreprise vise une marge EBIT plus élevée de 15 à 18 %. Des projets dans les domaines des opérations, de la logistique, de l'approvisionnement et de la formulation des produits devraient permettre une amélioration annuelle des coûts d'exploitation équivalente à 0,5 % du Chiffre d’affaires.Pour l'année fiscale 2021, Sika prévoit une augmentation sur-proportionnelle de l'EBIT et une marge EBIT de 15%.
Il y a 3 ans et 95 jours

Durieu présente ses fixateur et peinture toitures Absolue

Lorsque l'on se penche sur la question de l'entretien ou de l'état de sa toiture il est souvent un peu tard… Et pour cause : ce poste représente un sérieux investissement en temps et en financement d'où le réflexe de procrastination avant de s'y attaquer vraiment… C'est aussi souvent pour cela que les produits protecteurs qui agissent en prévention sont boudés ! En résumé, le toit on monte dessus quand on a plus le choix… Mauvaise réponse…Quelques risques en cas de non entretien pour les toitures :Une fois qu'il est presque trop tard les tuiles sont très sales, voire encrassées et même fragilisées sous les verdissures et autres pollutions, la structure du toit peut alors aussi en pâtir.Les ardoises et les tuiles sont des matériaux poreux et sensibles aux conditions climatiques : elles accumulent tout ce qui tombe sur elles et subissent la pluie, le gel et les UV...Lorsqu'elles sont usées par l'eau et les UV, elles ne jouent plus leur rôle protecteur, peuvent se trouver déformées, fendues,… entraînant des poches d'humidité qui vont fragiliser la structure. Un entretien est donc indispensable pour éviter des rénovations majeures.Dans la mesure où une toiture ne comporte généralement aucune protection préventive, lorsque l'on décide de l'entretenir il faut le faire correctement et cela commence par le nettoyage puis l'application d'un fixateur ou primaire qui va garantir une bonne application et la tenue de la finition. Celle-ci peut prendre la forme d'une peinture technique qui apporte une solution performante pour pérenniser tout l'ouvrage.Entretien toiture : mode d'emploi1ère étape : nettoyageIl s'agit de débarrasser tuiles et ardoises de leur saleté incrustée et de toutes les pollutions accrochées, il faut ensuite réparer les parties déformées, abîmées afin de garantir une bonne étanchéité et enfin protéger.À noter : il faut toujours nettoyer du haut vers le bas afin d'éviter de faire entrer l'humidité sous le revêtement.2ème étape : protégerOxi propose avec FIXATEUR TOITURE ABSOLUE et PEINTURE TOITURES ABSOLUE, un protocole en 2 temps pour pérenniser durablement la toiture :Pourquoi un fixateur ne se réduit pas à du travail ou une dépense en plus ? Appliqué en amont, FIXATEUR TOITURE ABSOLUE permet de consolider les fonds, notamment quand les tuiles, ardoises, sont devenues friables, fragiles… Il renforce le matériau existant pour lui permettre de durer mieux et plus longtemps, il lui confère aussi une accroche et une adhérence optimales pour la finition ultérieure.Comment ? Très imprégnant, il pénètre dans les matériaux poreux, farinés, désagrégés pour ensuite durcir en surface et renforcer ainsi toute la structure. Le support est alors bien homogène et prêt à recevoir une finition.Les plus : son pouvoir fixant lui permet de retenir les particules et les poussières. Son fini microporeux laisse respirer les matériaux sans bloquer l'humidité.À savoir : sur toutes les toitures neuves, il permet aussi une meilleure accroche de la finition.En savoir plus sur Fixateur Toiture Absolue.Protéger son toit avec une peinture, c'est possible !Laissées à nues tuiles et ardoises vont vieillir, souvent mal, exigeant ensuite un entretien conséquent. Protéger avec une peinture technique dédiée prend alors tout son sens et PEINTURE TOITURES ABSOLUE d'Oxi permet de garder mieux et plus longtemps toutes les sortes de tuiles et ardoises, neuves ou anciennes !PEINTURE TOITURES ABSOLUE est un véritable concentré de technologie : formulée avec du Rustol, elle bénéficie aussi de qualités supplémentaires pour imprégner, adhérer et donc durer.En 3 mots :Imprégner : la finition emmène tous les agents protecteurs de la formule dans le support pour assurer une protection optimale de l'intérieur en offrant en parallèle une excellente isolation.Adhérer : enrichie au Rustol, PEINTURE TOITURES ABSOLUE épouse parfaitement chaque toiture et résiste donc durablement aux impacts et à l'usure des intempéries tout en offrant une excellente isolation.Résister : le film obtenu est souple, résistant aux variations hygrométriques et thermiques.Il est microporeux permettant aux tuiles ou aux ardoises de respirer et de ne pas garder l'humidité ou la condensation. La qualité des pigments sélectionnés garantit la tenue des couleurs tout en protégeant aussi la toiture des effets des UV.En savoir plus sur Peinture Toiture Absolue.
Il y a 3 ans et 100 jours

Copropriétés : quel est l'impact des nouvelles réglementations en matière de performance énergétique ?

Quel impact ces lois vont-elles avoir sur les propriétaires ? Comment ces derniers doivent-ils s’organiser ? Quel rôle joue le syndic de copropriété dans ces démarches ? Cotoit, syndic de copropriété en ligne, fait le point et explique les étapes à suivre pour être en phase.A quoi correspond la RE2020 ?La RE2020 vise une meilleure maîtrise des coûts de construction et une montée en compétence des professionnels via une transformation progressive des techniques de construction, des filières industrielles et des solutions énergétiques. Ses principales mesures :Ajout de critères de mesure de performance : en plus de l’isolation thermique des bâtiments et de la consommation énergétique (chauffage et eau), elle régulera la production d’énergie de ceux-ci et leur impact sur l’environnement (état et consommation des appareils installés) ;Objectif de performance énergétique rehaussé : la dépense énergétique des bâtiments neufs construits sous la RE 2020 devra être de 0 kWh/m²/an (contre 50 kWh/m²/an actuellement) ;Prise en compte de l’impact environnemental des matériaux qui seront utilisés pour la construction.Son but principal reste une meilleure performance énergétique et un confort accru des constructions, afin de diminuer leur impact carbone. Les énergies renouvelables ont donc une place toute particulière au sein de cette réglementation.La RE 2020 s’articule autour de trois axes principaux : améliorer la performance énergétique et diminuer la consommation des bâtiments neufs, notamment grâce à l’isolation, et ce quel que soit le mode de chauffage installé ;diminuer l’impact sur l’environnement des bâtiments neufs, en tenant compte de l’ensemble des émissions du bâtiment sur son cycle de vie, de la phase de construction à la fin de vie ;adapter les bâtiments aux conditions climatiques extrêmes, notamment aux canicules que l’on prévoit de plus en plus fréquentes à cause du réchauffement climatique.Quelles conséquences pour les copropriétaires et les syndics ?Deux nouveautés majeures en ressortent en matière de diagnostic de performance énergétique : À partir du 1er septembre 2022, les propriétaires vendant un logement appartenant aux classes énergétiques D, E, F ou G ayant une consommation énergétique primaire d’au minimum 331 kilowattheures par m² et par an devront réaliser un audit énergétique.La loi ÉLAN rend opposable le DPE pouvant servir de base à la réalisation de travaux de rénovation. ll s’agit d’inciter les propriétaires et bailleurs à entreprendre des travaux d’amélioration de la performance énergétique au sein de leur logement ou de leur copropriété.Dans ce contexte, les syndics de copropriété vont de plus en plus jouer le rôle de conseil et d’information auprès des copropriétaires. Ils auront également à leur charge la mise en place des travaux de rénovation énergétique nécessaires au sein des copropriétés.Réalisation du DPE : que faire s’il n’est pas bon ?Un diagnostic de performance énergétique (DPE), document qui permet d’estimer la consommation d’énergie et les taux d’émission de gaz à effet de serre d’un logement, devra être réalisé en cas de vente ou de location d’un logement et doit être intégré au dossier de diagnostic technique (DDT) remis à l’acquéreur ou au locataire.Si les conclusions du DPE ne sont pas bonnes, il faudra entreprendre des travaux dans le logement ou les parties communes concernées. Un logement ayant une classe énergie comprise entre E et G est considéré comme un logement énergivore, il est donc recommandé de procéder à des travaux, par exemple pour isoler des combles, des planchers, des murs ou de la toiture ou remplacer une chaudière, des fenêtres ou réaliser d’autres aménagements du logement.“En cas de travaux dans les parties privatives, c’est le copropriétaire, seul décisionnaire en la matière, qui devra en assumer la charge. A contrario, pour des travaux affectant les parties communes ou l’aspect extérieur de l’immeuble, le coût sera réparti, après le vote - et la validation - de ces travaux en assemblée générale des copropriétaires”, mentionne Luigi Del Moral, Directeur Général chez Cotoit.Des exceptions sont toutefois prévues pour louer un bien en DPE E, F ou G. Si un copropriétaire souhaite faire des travaux mais que le reste de la copropriété ne le suit pas, il ne sera pas pénalisé. En revanche, il devra tout de même montrer patte blanche, en prouvant notamment qu’il a fait tous les travaux qui lui était possible de faire en parties privatives et en apportant les éléments démontrant qu’il a voté le projet de travaux collectif en AG ou qu’il a proposé ces travaux au syndic ou au conseil syndical.Quel rôle joue le syndic de copropriété dans ces démarches ?Le syndic de copropriété doit être présent pour conseiller les copropriétaires, les informer voire gérer la plupart des étapes pour tout ce qui concerne la réalisation du DPE, l’organisation des travaux, les votes en AG ou encore l’amélioration des performances énergétiques d’un logement…Il doit notamment :prendre en charge la réalisation du bilan énergétique (DPE ou audit énergétique) d’un logement, du vote de sa réalisation à sa présentation aux copropriétaires lors de l’assemblée générale, en passant par la mise en concurrence des prestataires ;si besoin, faire voter la réalisation des travaux d’économies d’énergie préconisés dans le DPE lors de l’AG ;trouver toutes les aides au financementfaire réaliser les travaux d’économies d’énergie qui ont été votés en AG et suivre le bon déroulé de l’ensemble du chantierassurer la réception des travaux d’économies d’énergie.
Il y a 3 ans et 105 jours

Agrafeuse avec deux types de projectiles simultanément

ALSAFIX propose l’agrafeuse SCAPS qui utilise deux types de projectiles en même temps : les agrafes H et les capsules polymères (CAPS). Elle est spécialement conçue pour l’agrafage de films et d’écrans sous toiture. Les capsules augmentent la surface de contact avec le film et permettent d’éviter la déchirure. Son poids de 1,8 kg lui donne une légèreté pour améliorer la précision.
Il y a 3 ans et 106 jours

ITE et briquettes pour un bâtiment de béton des années 1950

Aubervilliers connaît un foisonnement de projets de réhabilitation d’entrepôts. Le bâtiment 211 des années 1950 fait partie d’une vaste opération impulsée par Icade Foncière Tertiaire, filiale de la Caisse des Dépôts. L’entreprise MB Peinture qui a remporté l’appel d’offres pour l’ITE a choisi la pose de plaquettes une à une sur site et le système StoTherm Brick. L’entrepreneur a convaincu le maître d’ouvrage et l’architecte en réalisant un témoin avec l’aide du service technique de Sto. Le choix s’est porté sur la plaquette vieillie Domus Colombe moulée à la main aux arêtes irrégulières de couleur blanc crème produite par Wienerberger. Une fois les façades débarrassées de leurs auvents et autres ajouts accumulés pendant des décennies, les travaux ont commencé par la mise en évidence de la structure de l’édifice. Des profilés en acier thermolaqué gris-noir (RAL 7021) simulant des poteaux métalliques rivetés et des cadres de la même teinte soulignant les menuiseries. L’habillage des rives de toit, a fait appel à une autre technique Sto : le système de bardage ventilé StoVentec R Enduit à base de panneaux de billes de verre expansé. Ces panneaux ont été fixés sur une ossature en chevrons de bois espacés de 40 cm, eux-mêmes solidarisés à la structure porteuse par des pattes métalliques. Les plaques ont été fixées verticalement en face avant et horizontalement en sous-face du débord de toiture, voire cintrées sous les parties arrondies. Elles ont reçu après leur pose un sous-enduit mince armé d’un treillis de fibre de verre. La finition a été assurée par un enduit à base de résine acrylique Stolit K1 teinté à l’aspect taloché mat. La teinte foncée de cet enduit (RAL 7021) bénéficie de la technologie X-black, développée par Sto, qui réfléchit le rayonnement infrarouge du soleil et permet de réduire le coefficient d’absorption solaire de l’enduit. Le dessus a été capoté par une couvertine en tôle métallique. Une fois le squelette en place, le revêtement de façade a pu être mis en oeuvre par une équipe de six compagnons. Les panneaux de laine de roche de 1 200 x 600 mm calés sur la façade en béton au moyen de plots de mortier StoLevell Uni à base de ciment. Le sous-enduit mince obtenu à partir de la même poudre StoLevell Uni mélangée à de l’eau, armé d’un treillis en fibre de verre, a été appliqué sur les panneaux en laine de roche avant d’assurer la fixation mécanique par chevilles sur le mur support en béton. Les plaquettes de terre cuite ont ensuite été collées sur l’enduit au moyen d’un mortier de collage spécifique pour les plaquettes S1. Des tasseaux de bois réalisés sur mesure pour l’entreprise ont permis d’assurer un joint uniforme de 10 mm entre les plaquettes. Le jointoiement a été réalisé avec le StoColl FM-K, une poudre à base de liant hydraulique et d’adjuvants spécifiques mélangée avec de l’eau. Surface de façade traitée : 1 200 m2 Maître d’ouvrage : Icade Maître d’œuvre : Studio IX Architecture Entreprise applicatrice : MB Peinture Cet article ITE et briquettes pour un bâtiment de béton des années 1950 est apparu en premier sur Planète Bâtiment.
Il y a 3 ans et 115 jours

Harbert et Foncière Magellan confient à GSE la construction d'un parc d'activités de 10.000 m² près de Nantes

Avec ce nouveau parc, portant son pipeline de projets de Parcs d’Activités sous exclusivité ou sous promesse à plus de 50.000 m², Harbert poursuit ses investissements stratégiques aux côtés de Foncière Magellan. Ce Parc d’Activités de dernière génération (Classe A) sera livré en totalité début 2023. Il bénéficiera de caractéristiques environnementales élevées (BREEAM Very Good) ainsi que d’une toiture photovoltaïque. Il sera constitué de 22 cellules modulables, allant de 260 m² à 950 m² environ, et pouvant accueillir tout type d’activité. Le parc sera construit sur un terrain de plus de 2 hectares au sein de la ZAC du Clouet à Carquefou, qui bénéficie d’une excellente desserte routière, avec un accès rapide à l’autoroute A11. Un engagement environnemental élevéLe projet de parc d’activité - Parc du Clouet - vise une certification environnementale BREEAM Very Good. Cette démarche volontaire de qualité permet au projet de valoriser une conception et une construction garantissant des performances énergétiques, une réflexion sur l’impact carbone, un confort à l’usage et une intégration dans l’environnement respectueuse de la biodiversité.S’inscrivant dans une dynamique environnementale forte, ce parc s’inscrit dans une démarche énergétique plus sobre en énergie, confortable et sain pour les futurs usagers et facilitant l’exploitation, tout en préservant le site.Ce processus de certification présent tout au long du projet, assuré par l’expertise de GSE et de ses partenaires, de sa phase conception et jusqu’à sa phase réalisation, témoigne de l’engagement de qualité ciblé sur l’opération.Par le concours de tous, GSE a pu proposer une certification cohérente et adaptée aux besoins de Harbert et Foncière Magellan, soucieux d’intégrer les thématiques environnementales à l’ensemble du projet.Une synergie au service du développement économique localPour Eric Desautel, directeur du bureau français d’Harbert : « Le projet de Parc d’Activités du Clouet est un parfait exemple de la stratégie d’investissement d’Harbert sur des marchés d’avenir au sein de territoires qui se distinguent par leur dynamisme et leur attractivité. Celui-ci permettra de répondre à la demande croissante de la région Pays de la Loire en infrastructures d’Activités de dernière génération. Cela n’aurait pas été possible sans une collaboration étroite entre Loire Atlantique Développement, Harbert, Foncière Magellan et GSE. GSE nous accompagnera sur d’autres projets de notre pipeline en cours et nous sommes ravis de cette première collaboration. Nous continuerons à investir dans des actifs existants ou à développer sur le marché des parcs d’activités. »Pour Steven Perron, Président de Foncière Magellan et Lionel Lacroix, MRICS, Directeur Grands Comptes de Foncière Magellan : « Nous sommes ravis de continuer à apporter notre expertise et notre savoir-faire dans la création et la valorisation de parcs d’activités auprès de nos clients investisseurs. Cette acquisition est le fruit d’un long travail de collaboration avec les équipes de GSE et d’Harbert Management Corporation. Cette opération renforce notre engagement sur les territoires et le développement de notre marque Magellan Parc dédiée aux Parcs d’activités ».Pour Laurent Granier, Directeur Commercial de GSE : « GSE se réjouit d’avoir finalisé ce projet avec Foncière MAGELLAN et HARBERT. Nous sommes investis depuis longtemps sur cette opération. Après avoir sourcé ce projet, GSE l’a gagné grâce à son expérience reconnue dans les Parcs d’Activités. Il est à l’image d’autres projets que nous portons, car il répond à une ambition en collaboration avec la collectivité, ainsi qu’aux attentes d’un investisseur qui se l’est approprié. »Pour cette opération, Harbert et Foncière Magellan ont été conseillés par les études VXL et 1768, le cabinet DLA PIPER et le Cabinet Altais. La transaction a été réalisée par CBRE.
Il y a 3 ans et 116 jours

« La rénovation demande compétence et expertise, et les architectes, en tant que généralistes, se positionnent au mieux. »

Côté magazine Côté magazine « La rénovation demande compétence et expertise, et les architectes, en tant que généralistes, se positionnent au mieux. » François Liermann, gérant de Panoptique Architectes, président du conseil régional de l’ordre des architectes du Grand-Est, est intervenu en septembre dernier lors de la 9e édition du Congrès international du bâtiment durable « To build or not to build ». Un rappel salutaire de la place de l’architecte dans les opérations de rénovation énergétique. Quelle est la place de l’architecte dans les opérations de rénovation énergétique ? François Liermann – Malheureusement et paradoxalement, les architectes sont peu sollicités. Ce sont essentiellement les entreprises et les artisans, prescripteurs de leur lot, qui le sont. Résultat : les rénovations globales et performantes sont rares, réduisant d’autant le potentiel d’économies d’énergie que ce type de rénovation est susceptible d’atteindre. Cet état de fait génère aussi, comme le constate régulièrement l’Agence Qualité Contruction, des problèmes de pathologies et de salubrité des bâtiments : absence de ventilation, moisissures, condensation, etc. La boucle n’est pas vertueuse. Quelle serait la solution pour qu’elle le soit ? Au niveau de l’ordre des architectes, nous militons légitimement pour prendre notre place dans le processus. La rénovation demande compétence et expertise, et les architectes, en tant que généralistes, se positionnent au mieux. Or les dispositifs d’aides à la rénovation énergétique mis en place par les gouvernements successifs n’intègrent pas la maîtrise d’œuvre, ce qui est une erreur manifeste. Cela signifie-t-il que les architectes doivent s’inscrire dans des processus tels que le programme Faire (Faciliter, accompagner et informer pour la rénovation énergétique) ? Oui, mais l’héritage des anciennes plates-formes énergie, où l’on ne parle que de résistance thermique, est encore très prégnant… Pourtant, nous avons des consœurs et confrères très expérimentés sur le plan local depuis longtemps, et Faire, c’est purement du local. C’est au moment des diagnostics et des premiers conseils que le conseiller Faire doit évoquer un besoin de maîtrise d’œuvre, ne serait-ce que pour respecter la loi lorsqu’il y a demande préalable et a fortiori besoin de permis de construire. De même, le diagnostic n’est souvent qu’énergétique, alors qu’il devrait être également patrimonial. Les bâtiments et maisons anciennes souffrent aussi de leur âge. Dès lors, comment les soigner et les transformer ? Le seul diagnostic thermique ne suffit pas pour répondre à ces questions. Il est donc essentiel d’inclure dans les diagnostics initiaux le spectre patrimonial et la vision de l’architecte : état des lieux, état de la structure, reconnaissance des matériaux, et bien sûr amélioration des espaces et du fonctionnement, besoins de confort… C’est la garantie d’un projet efficace sur le long terme, en performance, en valeur vénale et en usage. Pouvez-vous donner un exemple ? Les bourgs et les villages abritent nombre d’espaces vacants ; je pense notamment aux anciennes fermes, habitations et granges. La question est de savoir comment les transformer avant qu’il ne soit trop tard. Ce qui impose une réflexion en termes d’étude de faisabilité, de mixité d’usage, de partage des lieux, de cofinancements… On peut imaginer y créer, par exemple, un logement accessible pour une personne âgée, d’autres logements dans la maison, mais aussi des espaces de travail dans les granges… et c’est là qu’un acte d’architecture est indispensable pour apporter de la cohérence. Vous parlez aussi de responsabilité… Depuis dix ou quinze ans de pratiques délicates ou incomplètes uniquement centrées sur la performance énergétique, nous constatons de nombreuses pathologies et défigurations patrimoniales. Se pose alors la question de la responsabilité. L’architecte peut apporter un service complet au client, avec des responsabilités assumées et comprises. Il organise le travail, les appels d’offres concurrentiels, les compétences, et il est formé pour éviter ces pathologies et les atteintes aux paysages tant urbains que naturels. Aujourd’hui émerge la problématique du confort d’été. Quel est le rôle de l’architecte dans sa prise en compte ? Il est essentiel. L’architecture vernaculaire, ou plus récemment celle appelée « bioclimatique », a toujours pris en compte les microclimats. Mais, malheureusement, depuis cinq ou six décennies, nous en avons oublié la fonction et la force, car l’énergie abondante et accessible venait compenser les défauts de conception. En neuf comme en rénovation, le microclimat doit inspirer l’architecture, et non l’inverse. La connaissance du climat doit être remise au goût du jour pour économiser l’énergie et améliorer le confort. C’est aussi une façon de s’ancrer sur son territoire. Aujourd’hui, le problème réside dans le changement climatique en été, voire déjà à l’intersaison. Changement qui entraîne, de manière très rapide et très forte, des conséquences sur le confort, lorsque le bâtiment est mal conçu, mal orienté, etc.  Nous devons donc repérer tous ces risques d’inconfort, notamment sous les combles et en façades ouest. Des aspects que les architectes maîtrisent très bien et savent traiter. Écorénovation de bâti ancien dans les Vosges. Photo : Panoptique Architectes Pouvez-vous donner des exemples de bonnes pratiques dans le cadre d’une rénovation ? Les protections solaires et les volets sont souvent remplacés par des volets roulants qui, lorsqu’ils sont fermés, empêchent de ventiler. Pour éviter les problèmes engendrés par le manque de ventilation, il est préférable de prévoir des volets à jalousie, avec des lamelles qui permettent de ventiler l’été, de faire de l’ombre sur le vitrage, tout en laissant la fenêtre ouverte la nuit. Ainsi, l’air frais circule la nuit et vient ventiler de façon traversante le logement. Il est recommandé également de conserver de l’inertie à l’intérieur des bâtiments en évitant de doubler avec des systèmes plaque de plâtre et isolation par l’intérieur, qui détruisent le gisement de stockage de calories ou de frigories. Il convient aussi de beaucoup isoler la toiture ou les combles, pour avoir une protection par le haut, car la toiture est « la façade » qui reçoit le plus d’énergie solaire en été. Il ne faut surtout pas non plus se priver du renfort de la végétation : les plantes à feuilles caduques apporteront une excellente protection solaire en été, mais pas en hiver. Propos recueillis par Stéphane Miget Boulangerie bio Turlupain à Sallès (67). « Il y a aussi des messages  à passer en construction neuve, dans le sens de l’installation d’artisans de qualité dans les contrées reculées, en tant qu’apport de richesses et de dynamisme local, voire de création d’emplois. » Cet article est extrait de Planète Bâtiment n°67 > Consulter la version numérique 
Il y a 3 ans et 119 jours

Restauration de la salle du serment du Jeu de Paume de Versailles

Un épisode majeur de la révolution françaiseSituée à quelques mètres du château de Versailles, la salle du Jeu de Paume a été construite en 1686, à l'initiative de Nicolas Cretté, premier paumier de Louis XIV. Le jeu de paume, ancêtre du tennis, était, en effet, très en vogue à cette époque.Cette salle de sport entre dans l'histoire le 20 juin 1789, lorsque plus de 500 députés se trouvant à Versailles pour les États Généraux convoqués par Louis XVI, s'y réunissent et prêtent un serment devenu célèbre :« Nous jurons de ne jamais nous séparer et de nous réunir partout où les circonstances l’exigeraient, jusqu’à ce que la Constitution du royaume fût établie et affermie par des fondements solides. »Cet acte fondateur de la démocratie française est un épisode très présent dans la mémoire nationale, notamment grâce à l'œuvre mondialement connue, et pourtant inachevée, du peintre Jacques Louis David.Une histoire mouvementéeTrès rapidement après le Serment, la salle du Jeu de Paume est considérée comme un lieu symbolique. Elle est acquise par la Nation et déclarée domaine national dès le 1er novembre 1793 (11 Brumaire an II). Sans usage précis, elle sert successivement d’entrepôt ou d'atelier de peintres (Antoine-Jean Gros, Horace Vernet). En 1848, le lieu est classé parmi les Monuments Historiques. Sous le Second Empire, la salle retrouve son usage d'origine de terrain de jeu de paume.1880 marque une nouvelle étape dans le destin du lieu qui devient, par la volonté de la IIIe République, le musée de la Révolution française. Il est inauguré le 20 juin 1883 par Jules Ferry (président du Conseil et ministre de l'instruction publique).Après une nouvelle période de relatif oubli, la salle est à nouveau mise en lumière lors des commémorations du Bicentenaire de la Révolution en 1989.Depuis cette période, elle est ouverte au public, notamment grâce à l’engagement fort du château de Versailles pour faire mieux connaître le cadre de cet événement emblématique de l’histoire de France...Une restauration nécessaireL'état du bâtiment nécessitait une nouvelle intervention pour sa conservation et sa mise en valeur. Les opérations, menées sous la maîtrise d'oeuvre de Pierre Bortolussi, Architecte en Chef des Monuments Historiques, ont suivi l'état de référence du musée de 1883. Durant 8 mois, la toiture, la charpente, les menuiseries, le décor peint de la salle et le sol ont été restaurés. Des opérations ont également été conduites sur la toile monumentale représentant le Serment du Jeu de Paume par Luc-Olivier Merson (l'artiste parachevant l'oeuvre de David) et sur tout le décor sculpté de la salle. Ce chantier de grande ampleur a pu être mené grâce à la mobilisation des élus de l’Assemblée Nationale - députés ou anciens députés - et de mécènes particuliers. Il a également bénéficé des crédits du plan France Relance. La salle sera ouverte en visite guidée, ainsi que pour le public scolaire, à partir du 1er avril 2022.Un podcastÀ l'occasion de cette restauration, le château de Versailles met en lumière l’histoire complexe du lieu en proposant un podcast inédit. Sous forme de fiction, il retrace la création du musée de la Révolution française en 1883 et le travail du peintre Luc-Olivier Merson chargé par la IIIe République de parachever le projet de David pour orner la salle du Jeu de Paume.
Il y a 3 ans et 121 jours

A Huzhou (Chine), toile soyeuse pour la ville aux mille soies selon Jiangong Architect

Dans la province du Zhejiang en Chine, le centre culturel et sportif de Huzhou Zhili conçu par l’agence de Shanghai Jiangong Architect accueille ses usagers sous une toiture légère composée de Flexlight TX 30 III HTL Serge Ferrari. Cette « toile soyeuse » est une solution éclatante pour Huzhou, « la ville aux mille soies ». Un […] L’article A Huzhou (Chine), toile soyeuse pour la ville aux mille soies selon Jiangong Architect est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 3 ans et 123 jours

504 logements du futur village olympique en Vefa entre VINCI Immobilier et CDC Habitat

VINCI Immobilier et CDC Habitat ont signé la Vente en l’État de Futur Achèvement (VEFA) de 504 logements et de locaux d’activités, situés au cœur du projet d’aménagement du futur village olympique Universeine à Saint-Denis. L’ensemble immobilier sera reconverti après les JO de 2024, comportera 151 logements locatifs intermédiaires, 203 logements abordables contractualisés, une résidence étudiants Student Factory de 150 logements, 1 200 m² de locaux commerciaux et un pôle médical. Conçu par les agences Pascal Gontier, Gaëtan Lepenhuel, Lina Gotmeh et Triptyque, sous la coordination de l’agence Clément Vergély architectes, le projet architectural prévoit une utilisation prépondérante du bois, notamment pour l’ossature des façades et la structure de 54 logements, ainsi que la mise en œuvre de matériaux tels que la terre cuite et l’acier. Les logements disposeront d’espaces extérieurs privatifs tels que loggias, balcons et terrasses, et les toitures seront végétalisées et accessibles aux résidents. Conçus selon des principes bioclimatiques, les bâtiments visent un bilan carbone inférieur de 40 % à celui de bâtiments conventionnels. 75 % des matériaux des ouvrages démontés à l’issue des Jeux seront réemployés ou recyclés et 10 % de la masse de certains équipements seront issus du réemploi. Une centrale photovoltaïque sera par ailleurs installée sur les toitures en complément des surfaces végétalisées. Le programme vise les labels Biodiversity, E+C- et BBCA ainsi que la certification NH Habitat HQE niveau Très Performant. Il s’intègre dans le projet d’aménagement Universeine, l’opération de requalification d’une ancienne friche industrielle réalisée en partenariat avec la SOLIDEO, la Ville de Saint-Denis et Plaine Commune. Cet article 504 logements du futur village olympique en Vefa entre VINCI Immobilier et CDC Habitat est apparu en premier sur Planète Bâtiment.
Il y a 3 ans et 127 jours

Nouvelles plaques Onduline Easystyle : une couverture imitation tuile facile à poser, durable et sûre

Pour offrir à ces structures annexes une couverture esthétique, durable et facile à poser, Onduline Easystyle, expert en toitures et sous-toitures légères, lance la nouvelle plaque bitumée au profil moderne imitation tuile : Onduline Easystyle. Au plus près des attentes des bricoleurs, les nouvelles plaques Onduline Easystyle - composées à 50 % de matière recyclée - s'intègrent à la perfection aux différents aménagements grâce à leur bel aspect imitation tuile. Légère, souple, facile à manipuler et à installer, cette plaque bitumée garantie 10 ans offre une couverture durable et respectueuse de l'environnement. Un rendu esthétique De couleur rouge ombré, les nouvelles plaques de bitume ondulées Onduline Easystyle apportent une couverture contemporaine avec un effet relief qui imite les vraies tuiles. Ce rendu est très esthétique pour les couvertures de bâtiments auxiliaires extérieurs de petite à moyenne taille (abris de jardin, pergolas, carports, cabanes pour enfants, niches pour animaux…). À base de bitume renforcé, les nouvelles plaques Onduline Easystyle sont étanches et très résistantes aux chocs et aux intempéries. Leur épaisseur de 2,6 mm leur confère une bonne rigidité et une grande solidité, ce qui permet au fabricant de les garantir pendant 10 ans. Les fuites et autres infiltrations sont évitées et les constructions sont ainsi protégées pour longtemps. Une installation rapide et accessible à tousLégères et souples, les nouvelles plaques Onduline Easystyle ne pèsent que 2,8 kg/m2 ce qui les rend très faciles à manipuler lors de l’installation et évite d’avoir recours à un équipement de levage pour poser les plaques. Simples d’installation, elles peuvent être montées sur un support plein ou discontinu avec des chevrons espacés au maximum 36,6 cm sur une pente de 15 % minimum.Côté fixation, c’est à l’installateur de choisir en fonction de la qualité du support. Onduline propose des vis universelles de 60 mm munies de leur collerette d’étanchéité. Pour assurer une finition soignée de la toiture, le fabricant a également développé des rives et des faîtières associées. Ces dernières, proposées dans le même matériau et les mêmes coloris que les plaques, permettent un rendu uniforme et harmonieux.Un matériau fiable et respectueux de l’environnementDes pigments naturels, issus du service de recherche et développement d’Onduline, sont utilisés pour la coloration de la plaque Onduline Easystyle. Composés de fibres recyclées, les matériaux de cette plaque n’émettent aucune substance dangereuse dans l’atmosphère pendant l’installation ou tout au long de son cycle de vie.
Il y a 3 ans et 134 jours

Cupa Pizarras passe sous pavillon canadien après son rachat par le fonds Brookfield

La société, implantée à Rennes depuis 1990, exporte chaque année 80.000 tonnes de schiste vers la France, premier pays consommateur d'ardoise au monde. Aujourd'hui, 40% des ardoises naturelles importées dans l'Hexagone proviennent de carrières exploitées par CUPA PIZARRAS.CUPA PIZARRAS, qui dispose de 20 carrières, maîtrise 45% de la production mondiale d'ardoise naturelle. En France, la société ambitionne de franchir les 50% de parts de marché dans les années à venir. Stéphane Renard, Directeur commercial CUPA PIZARRAS en France, indique : “La collaboration avec Carlyle s'est avérée fructueuse : elle a permis de structurer l'activité du groupe et de développer la production, à travers l'acquisition de carrières. Nous sommes aujourd'hui ravis de pouvoir compter sur le soutien d'un nouveau propriétaire qui place au cœur de ses priorités la tradition du groupe. Javier Fernández, PDG de Cupa, et fils de l'un des fondateurs de l'entreprise reste en effet à sa tête. En France, l'année 2022 s'annonce d'ores et déjà excellente puisque notre carnet de commandes est d'ores et déjà complet. Nous allons notamment participer à des chantiers d'envergure tels le Château de Villers-Cotterêt, les cathédrales de Bergerac ou de Soisson et nous avons de belles réalisations prévues en façade."Auparavant exclusivement tournée vers la toiture, l'activité de CUPA PIZARRAS s'inscrit désormais dans la modernité avec une belle avancée du nombre de chantiers en façade. La société s'emploie aussi à développer de nouveaux usages de l'ardoise en capitalisant sur la capacité du schiste à capter la chaleur pour la transformer en énergie propre. Thermoslate, son panneau solaire thermique aux capteurs invisibles permet ainsi d'assurer la production d'eau chaude sanitaire ou de chauffer l'eau d'une piscine.
Il y a 3 ans et 141 jours

L’aile est de l'aéroport international de Genève fait peau neuve

L’Aile Est remplace le pavillon gros-porteur, construit à titre provisoire en 1975, aujourd’hui aussi dépassé sur les plans technique et environnemental.Intégralement financé par Genève Aéroport, ce projet comporte un bâtiment à haute performance énergétique de verre et d’acier sur deux niveaux principaux et 520 mètres de longueur.Une approche collaborativeConçue par le groupement RBI-T composé du bureau londonien d’architecture Rogers Stirk Harbour + Partners (RSHP), de l’atelier d’architecture Jacques Bugna à Genève et des bureaux d’ingénierie Ingérop à Paris et T-Ingénierie à Genève, l’Aile Est illustre la collaboration étroite et intense entre architectes et ingénieurs afin de livrer une vision intégrée et claire, rendant imperceptible la frontière entre le travail des uns et des autres. Dans la droite lignée du Centre Pompidou à Paris, l’Aile Est donne à lire l’ensemble des éléments qui la composent et l‘articulation entre eux. Tout ici est architecture. Le nouveau bâtiment permet d’accueillir près de 2.800 passagers par heure au départ et 3.000 à l’arrivée. Il abrite principalement la nouvelle salle d’embarquement, desservant six postes avions existants grâce à de nouvelles passerelles télescopiques, ainsi que les circulations des arrivées, des transferts et les contrôles aux frontières.Un projet au long cours Le projet de RBI-T a été sélectionné à l’issue d’un appel à candidatures international et a été le lauréat d’un mandat d’études en parallèle lancé en 2010. Le bâtiment Aile Est a été réalisé entre 2012 et 2021 et a fait l’objet de quatre chantiers spécifiques, à savoir : Les travaux « Préparatoires » de novembre 2012 à juillet 2013 comprenant notamment la sécurisation du périmètre de chantier Aile Est, le déplacement d’un séparateur à hydrocarbure « tarmac », l’installation d’une sonde géothermique test d’une profondeur de 300 mètres et l’adaptation des réseaux eaux usées et eaux de surface.Les travaux « Route Douanière » d’août 2013 à mai 2015 comprenant notamment la construction d’une tranchée couverte au droit de la future Aile Est avec une circulation routière reliant le secteur France de l’aéroport à Ferney-Voltaire (F), une galerie technique avec des réseaux nouveaux et des locaux techniques, un volume en attente destiné à une affectation ultérieure et la réalisation d’une plate-forme pouvant soutenir un bâtiment futur.Les travaux « BAT 1 », d’avril 2016 à décembre 2017 comprenant notamment la déconstruction de bâtiments et d’équipements, la déviation et/ou le maintien de réseaux existants ainsi que la construction du solde de l’infrastructure de l’Aile Est.Les travaux « BAT 2 », d’avril 2017 à juillet 2021 comprenant notamment la construction du bâtiment.hors-sol (processeur et salle d’embarquement des Portes N° 14 à 19) pouvant accueillir des avions codes C à F, l’aménagement des sous-sols (déjà partiellement réalisés lors des chantiers précédents) ainsi que des liaisons avec des bâtiments et infrastructures environnants.Liberté et légèreté, pérennité et couleur Répondant aux contraintes du site, l’Aile Est est un parallélogramme extrudé, aux façades principales entièrement vitrées et inclinées à 26°, semblant flotter au-dessus de la route de service située au niveau tarmac. L’inclinaison des façades préserve les distances et l’accès à la lumière naturelle des bâtiments avoisinants situés au Sud, dégage le volume dédié au couloir des arrivées au niveau supérieur et, côté piste, crée une protection contre le rayonnement solaire direct. L’Aile Est libère au maximum le volume intérieur de tout élément porteur afin d’assurer une très grande transparence et offrir aux passagers une vue imprenable sur l’activité « tarmac », les avions ainsi que le massif du Jura. Sa structure porteuse est constituée d’un exosquelette métallique de 7.000 tonnes d’acier, comprenant des planchers réticulaires mixtes d’une portée de 20 x 20 mètres et de 135 pièces de fonderie. Le volume intérieur est baigné de lumière naturelle grâce aux 20.000m2 de façades précitées. Les matériaux choisis accentuent le sentiment de fluidité et de légèreté. L’ossature primaire est peinte en gris clair, alors que les éléments structurels secondaires sont de couleur anthracite. Les sols sont habillés de pierre naturelle, les gardes corps et les parois verticales sont en verre. La couleur accompagne le déplacement et l’orientation des passagers le long de l’Aile Est et marque chaque module de 80m de longueur du bâtiment. La palette des matériaux a été choisie pour sa durabilité, son faible entretien et pour servir d’écrin aux flux des passagers. La rénovation énergétique comme pierre angulaire du projet Le projet du groupement RBI-T est conçu pour devenir un bâtiment exemplaire au niveau énergétique. Ainsi, grâce à la mise en œuvre de technologies de pointe, le bâtiment peut s’appuyer sur une stratégie environnementale durable. L’isolation thermique de l’Aile Est est garantie par le déploiement de façades à triple vitrage de haute performance, assorties de protections solaires spécifiques en période estivale permettant de limiter l’utilisation de l’éclairage artificiel et la production de froid et de chaud. L’électricité est produite par une installation solaire composée de 7 000m2 de panneaux photovoltaïques en toiture. La réduction très importante de l’empreinte énergétique est assurée en sus par une isolation thermique performante de l’enveloppe du bâtiment, la récupération et l’utilisation de l’eau pluviale et l’utilisation de pompes à chaleur à haut rendement. Ces dernières produisent et stockent dans un premier temps l’énergie thermique de 110 sondes géothermiques d’une profondeur de 300 mètres et pourront se raccorder au futur réseau hydro-thermique genevois GeniLac qui complétera la panoplie des sources d’énergie renouvelables.
Il y a 3 ans et 142 jours

Fin de restauration pour la rose de la cathédrale de Soissons

Lundi 17 janvier 2022 a eu lieu l’inauguration officielle de la fin de travaux de restauration de la rose de la cathédrale Saint-Gervais – Saint-Protais de Soissons. La tempête Egon du 12 janvier 2017 avait explosé la baie occasionnant d’énormes dégâts sur les sculptures, le vitrail de l’œil de la rose occidentale et la structure de la façade. L’opération de restauration a consisté à reconstruire la rose du XIIIe siècle « à l’identique » en reprenant une symétrie parfaite et en reproduisant les moulures et le décor sculpté des éléments déposés. Sous la maîtrise d’ouvrage de la Drac Hauts-de-France, conservation régionale des monuments historiques et de la maîtrise d’œuvre de l’architecte en chef des monuments historiques, Olivier West, l’opération a mobilisé 2,6 M € de crédits d’investissement. Ce chantier exceptionnel par son envergure et sa complexité a débuté en janvier 2020 pour s’achever à la fin 2021 ; laissant la place à un autre chantier tout aussi complexe et ambitieux, celui de la restauration des toitures et des baies hautes. Un chantier inscrit dans le cadre du plan cathédral du ministère de la Culture soutenu par le plan de relance. Photo : Wikimédia – Mattana – 2008
Il y a 3 ans et 147 jours

Soprema Entreprises signe l'enveloppe forte hygrométrie du nouveau centre aqualudique l'Odyssée d'Aulnay-sous-Bois

Il s’étend sur 7 000 m2 et possède une surface de plan d’eau atteignant 2 600 m2, avec neuf bassins dont un olympique couvert, un espace balnéothérapie, une salle de fitness... 460.000 clients par an en moyenne y sont attendus. L’équipement sportif sera également l’un des centres d’entraînement des JO Paris 2024. Il a été construit, en lieu et place de l’ancien complexe de Coursaille devenu obsolète, par Spie batignolles Ile-de-France, mandataire d’un groupement de conception/réalisation aux côtés de l’agence Chabanne Archi/Ingé. Il est géré par Espacéo (Groupe Spie batignolles) dans le cadre d’une délégation de service public (financement, conception, construction et exploitation) signée avec la mairie d’Aulnay-sous-Bois.Entre mi-juillet et fin novembre 2020, les équipes SOPREMA Entreprises Paris Acier ont entrepris la mise en œuvre d’une enveloppe répondant à la problématique de forte hygrométrie du bâtiment avec 4.500 m2 de couverture acier, dont une membrane PVC blanche collée pour supprimer les ponts thermiques, et 2.200 m2 de bardage triple et simple peau.4 500 m2 de couverture acierElle se compose de bacs acier (74SPA 150 microns laqués sur les deux faces) visibles depuis l’intérieur ; de laine de roche dans les ondes pour optimiser l’acoustique ; de bandes de pontages aluminium ; d’une isolation thermique en verre cellulaire de 180 mm d’épaisseur caractéristique de ce type de bâtiment en milieu humide ; et d’un pare-vapeur soudé en plein (Elastovap) destiné à recevoir la membrane PVC (FLAGON SFC 12). Les étancheurs, entre 6 et 8 en moyenne sur le chantier, ont réalisé la mise en œuvre du complexe en moins de trois mois, de mi-juillet à début octobre 2020.Au niveau de la toiture, le point spécifique résidait dans le système de pose de cette membrane. Afin de supprimer les phénomènes de condensation liés aux ponts thermiques, il était en effet impossible de la fixer mécaniquement. SOPREMA Entreprises a effectué une pose par collage, rare pour ce type de membrane en PVC. La prise étant rapide, elle a requis un travail de précision pour garantir une exécution en une seule fois. De couleur blanche, la membrane PVC se fond dans l’esthétique globale du bâtiment habillé d’un bardage blanc irisé. Cool roof, elle joue également un rôle dans le rafraîchissement du Centre Aqualudique, essentiel pour le confort des occupants et l’empreinte environnementale. La toiture est pliée avec des pentes d’environ 30 %. Lorsque l’équipe SOPREMA Entreprises intervenait sur ces pentes, elle devait faire preuve d’encore plus de minutie.Une centaine de plots auto-adhésifs, type SOPRASOLAR FIX EVO, sans percement, ont également été mis en œuvre sur une membrane bitume pour accueillir une moquette solaire qui produit l’eau chaude sanitaire de l’établissement. La liaison entre la membrane PVC et la bitume a été réalisée à l’aide d’un joint SIKA BR500.2 200 m2 de bardageLes plateaux de bardage (150 microns laqué sur les deux faces) ont été installés à la verticale, comme exigé par l’Avis Technique pour les ouvrages en milieux à très forte hygrométrie.Ils atteignaient 10 m de hauteur. Ils étaient ensuite recouverts d’un isolant thermique en verre cellulaire de 180 mm d’épaisseur, d’une deuxième peau métallique pour l’étanchéité, puis de lames pliées décoratives en acier (ST 300 - l. 300 x h. 4 000/5 000 mm) pour les 700 m2 de bardages triple peau. 1 500 m2 de lames pliées décoratives étaient posées en simple peau sur support béton. Une équipe de 2 à 4 bardeurs a travaillé entre mi-juillet et fin février 2021 au fur et à mesure des zones libérées par les lots menuiserie extérieures, VRD...