Toute l’actualité du bâtiment regroupée sur un seul site

Résultats de recherche pour developpement

(10837 résultats)
Il y a 2 ans et 191 jours

CEME utilise Fieldwire pour coordonner efficacement ses projets entre le terrain et le bureau

CEME en chiffresCollaborateurs : 700Projets : 1600Secteurs d’activité : génie électrique, climatique et maintenanceAvant FieldwireAvant d’utiliser Fieldwire pour suivre leurs projets, Lucas Sabrié, performance manager, estime que CEME n’avait peu, voire pas, de contrôle opérationnel de l’activité.Au début, les techniciens sur le terrain étaient réticents à l’idée d’utiliser le logiciel Fieldwire, par crainte que l’utilisation de l’application génère une plus grande charge de travail sur le terrain et au bureau.Finalement, les équipes terrain ont peu à peu réalisé que Fieldwire leur évitait d’oublier des éléments importants dans les tâches du quotidien : photos, procédures, documents de chantier…Avec FieldwireCEME a créé une centaine de projets sur la plateforme Fieldwire. Paul Teyssier, project manager, peut ainsi suivre toutes les tâches des techniciens sur les 2 ou 3 chantiers qu’il suit en parallèle. Il vérifie sur le logiciel les formulaires au fur et à mesure pour être sûr que rien n’a été oublié. En cas d’oubli ou de défaut, il peut communiquer en temps réel avec le technicien sur le terrain, qui corrige l’erreur, met à jour le formulaire instantanément et peut fermer la tâche directement.Grâce à l’utilisation du logiciel Fieldwire par les chargés d’affaires et les techniciens, Lucas Sabrié, performance manager, peut récupérer des données pour alimenter des tableaux de bord et suivre ainsi l’activité opérationnelle. Ils ont ainsi pu établir une cartographie de leurs projets : tant en termes de régions qu’en termes de types de chantier. Il a ainsi les cartes en main pour définir les axes de développement et sa feuille de route.Le verdictAprès la phase d’apprentissage pour maîtriser les formulaires et les taches sur l’outil, Kevin Raveaud estime que Fieldwire lui fait gagner énormément de temps au quotidien.“C’est un gain de temps complet” souligne Kevin Raveaud, technicien terrain.Selon Paul Teyssier, avec Fieldwire toutes les informations sont centralisées et accessibles à tous, ce qui rend la collaboration beaucoup plus facile. L’utilisation de Fieldwire leur a ainsi permis de réaliser des interventions plus efficaces et de diminuer le nombre d’allers retours sur le terrain.“Tout ce qu’on avait mis en place avant est enfin regroupé en un seul outil.” explique Paul Teyssier, project manager.Maintenant que le logiciel de suivi de chantier Fieldwire a été adopté par les équipes CEME, elles ne peuvent plus s’en passer et le project manager va encourager tout le monde à l’utiliser !
Il y a 2 ans et 191 jours

A Orléans, un collège structurant par Archi5

Pour le département maître d’ouvrage, les Montreuillois d’Archi5 ont achevé en 2020 un collège sur l’avenue des Droits de l’Homme (6 540 m²) à Orléans (Loiret) accompagné d’un gymnase et d’une salle polyvalente (2 742 m²) livrés en 2021. Un équipement structurant dans un quartier en développement dont il marque l’entrée de ville. Communiqué. Le développement urbain […] L’article A Orléans, un collège structurant par Archi5 est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 2 ans et 192 jours

KALAMUA™ LE PREMIER ENDUIT MONOCOUCHE DU MARCHÉ ADAPTÉ AUX SUPPORTS BLOCS ET BÉTON DE CHANVRE

SAINT-ASTIER®, premier producteur français indépendant de chaux hydraulique naturelle pure, poursuit son développement, initié il y a déjà près de 20 ans, dans l’univers du bio-sourcé en complétant sa gamme avec le denier né de la gamme, KALAMUA™. Le nouvel enduit du chaufournier a été spécifiquement développé pour s’appliquer sur les supports blocs de chanvre […]
Il y a 2 ans et 192 jours

Avec la nouvelle offre de location de portes automatiques Portalp, les commerces sont en route vers la sobriété énergétique !

Contrairement aux portes manuelles, en se fermant systématiquement après passage, les portes automatiques piétonnes permettent de réaliser des économies d’énergie d’environ 20 %. Mais si elles sont largement répandues dans les centres commerciaux, leur installation représente un poste de dépense important pour les petits commerces. Or, dans le cadre du plan de sobriété énergétique, ces derniers se trouvent aujourd’hui dans l’obligation de respecter le décret publié le 5 octobre 2022 qui impose, sous peine de sanction, de fermer les ouvrants des locaux chauffés ou climatisés. Premier fabricant français de portes automatiques piétonnes, Portalp propose déjà une offre globale de produits et services (installation, mise en service, maintenance, dépannage) adaptés aux petits commerces et aux Grandes et Moyennes Surfaces (GMS). Aujourd’hui, pour les aider à se mettre en conformité avec un budget maîtrisé, l’entreprise familiale lance le leasing Portalp. Elle leur offre ainsi la possibilité de louer ces équipements tous services inclus. Un nouveau service Portalp opportun pour s’équiper en toute sérénité Conscient que l’installation d’une porte automatique peut constituer un frein financier au moment de l’achat, Portalp met en place, en partenariat avec Locam, une offre de financement destinée à aider les commerces et locaux d’activité tertiaire dans l’installation et l’entretien de tout type de porte automatique ou autre système d’accès, sans dépasser leur budget. Adaptée à chaque situation grâce à un paiement échelonné sur 24 à 60 mois, cette offre leur permet de profiter d’équipements répondant parfaitement à leurs usages, sans investissement considérable à l’achat. Seules des mensualités fixes apparaissent en charge d’exploitation. Tout inclus, cette formule comprend : la dépose des anciennes solutions d’accès et de fermeture, la fourniture et la pose de nouveaux équipements sur-mesure adaptés aux besoins et attentes de chacun (porte coulissante, télescopique, antipanique, ronde ou cintrée, à rupture de pont thermique, coupe-feu, opérateur de portes battantes), l’expertise et les conseils d’un fabricant de portes automatiques et intégrateur de solutions d’accès, un contrat de maintenance conforme à la législation (2 visites d’entretien annuelles) ou sur mesure pour des dépannages rapides 24h/24 – 7j/7 grâce à un large réseau d’agences sur toute la France, l’assurance de bénéficier de pièces de rechanges constructeurs. A l’issue du contrat de location, le commerçant peut choisir de le renouveler avec un équipement neuf ou d’acquérir son installation en souscrivant, conformément à la réglementation, à un contrat de maintenance standard ou ajusté à son besoin. Une réponse efficace pour limiter les déperditions thermiques Dans un contexte de crise énergétique et suite au plan de sobriété lancé par le gouvernement, l’installation de portes automatiques constitue une source d’économie d’énergie manifeste. En effet, dans les commerces, les portes, lorsqu’elles s’ouvrent, provoquent inévitablement des déperditions. En hiver, le froid glacial s’engouffre à l’intérieur et en été, c’est la chaleur étouffante. Le chauffage ou la climatisation se mettent en route, entraînant une augmentation de la consommation énergétique. Pour réduire cet échange thermique intérieur extérieur, Portalp propose trois solutions : automatiser la porte battante existante avec l’opérateur électromécanique ISO3, simple et rapide à mettre en œuvre, remplacer la porte d’entrée par une porte automatique coulissante telle que la porte Diva RS peu énergivore, permettant aux commerces de remplir leurs obligations réglementaires d’accessibilité tout en réalisant des économies, installer un kit retrofit RS pour bénéficier d’un opérateur connecté nouvelle génération sur un ancien modèle de porte automatique. Quelle que soit la version choisie, les nombreux réglages disponibles (vitesses d’ouverture et fermeture, accélération des vantaux, largeurs d’ouverture, etc.) permettent d’optimiser encore davantage le fonctionnement des portes automatiques. Ouvertes quand cela est nécessaire et refermées aussitôt que possible, elles limitent le temps d’ouverture intelligemment. Elles contribuent ainsi à la sobriété énergétique de l’installation tout en assurant la sécurité sanitaire en évitant tout contact. Enfin, les portes automatiques garantissent une fermeture fiable et systématique. Au-delà de rendre accessible l’installation d’une ouverture automatique, la nouvelle offre de location Portalp constitue surtout un levier de consommation plus responsable en offrant aux clients du fabricant de portes automatiques piétonnes une liberté d’agir durablement et de privilégier l’usage. À PROPOS DE PORTALP Fondé en 1962, Portalp, fabricant français de portes automatiques, propose une offre globale de produits et de services pour la sécurité et l’accès du bâtiment dans les secteurs du commerce, du tertiaire, de la santé, du transport grâce à ses sept filiales métiers (Accor Solutions, Delebecque, Facilliance, TM Agencement, Deveugle, Sotelem et L2A). Groupe indépendant dont le siège social est basé à Domont (région parisienne), il a implanté son centre de développement et de production près de Grenoble. Misant sur son Origine France Garantie et sur la proximité, Portalp s’appuie sur son réseau de 27 agences régionales réparties en France, six agences export dans le monde (Autriche, Belgique, Espagne, Italie, Luxembourg et USA) ainsi que 40 distributeurs partenaires présents sur les continents. En 2021, l’entreprise, qui emploie plus de 1000 collaborateurs, a réalisé un chiffre d’affaires de 123 millions d’euros. www.portalp.com
Il y a 2 ans et 193 jours

Valdelia propose un modèle de filière REP répondant à l’urgence environnementale

L'éco-organisme considère la mise en place de cette filière comme une réponse concrète à l'urgence environnementale et propose un modèle à ses adhérents allant au-delà d'une simple obligation règlementaire à remplir. Dans une perspective résolument tournée vers l'économie circulaire, l'écoorganisme appelle les acteurs du bâtiment à le rejoindre pour donner à la filière les ambitions nécessaires qu'elle mérite. Arnaud Humbert-Droz, président exécutif de Valdelia développe pour nous la proposition de valeur de la structure qu'il dirige.Voir au-delà d'une simple obligation règlementaireLa loi AGEC (anti-gaspillage pour une économie circulaire) a tracé un chemin. L'urgence économique, sociale et écologique impose de proposer un modèle au plus près des problématiques et attentes des acteurs du bâtiment, avec l'engagement constant des pouvoirs publics et des metteurs sur le marché qui se rallieront à Valdelia. L'éco-organisme réaffirme sa volonté de rassembler ses adhérents autour d'un projet commun orienté vers l'économie circulaire et permettant de développer leurs activités au-delà de leurs simples obligations réglementaires. Arnaud Humbert-Droz précise qu' « il est nécessaire de donner et garantir à la filière REP PMCB les moyens qu'elle mérite. Celle-ci est un levier de transformation, une solution réelle pour répondre à l'urgence environnementale. Les metteurs sur le marché qui nous rejoindront ne doivent pas uniquement voir l'argument du prix le plus bas (via le montant du barème d'éco-contribution). Ils doivent comprendre qu'un barème juste est créateur de valeur pour eux et qu'il est pensé pour maîtriser les coûts de collecte, de réemploi, de recyclage et de valorisation des PMCB. Nous déroulons depuis plusieurs mois une stratégie cohérente avec les ambitions portées par la filière. Le modèle de Valdelia permet ainsi de rassembler les metteurs sur le marché autour d'une solution agile, économiquement optimisée, et techniquement robuste ; et finalement de leur proposer un modèle de filière à haute qualité environnementale. J'irais même plus loin en ajoutant que le succès de cette nouvelle filière repose en grande partie sur la motivation des metteurs sur le marché à réellement s'investir dans l'économie circulaire pour servir la cause du développement durable. Enfin, il est important de le rappeler, adhérer à une filière collective reste un choix et un engagement individuel qui doit se faire en pleine conscience, car l'éco-organisme que les metteurs sur le marché choisiront les accompagnera dans les années à venir pour inscrire durablement leurs activités dans une démarche d'économie circulaire. C'est ce que nous appelons de nos voeux ».Un démarrage opérationnel dès 2023Le barème d'éco-contribution qualifié avec soin par les équipes Valdelia, est le résultat de dix années d'expérience dans la gestion des déchets issus des produits en fin de vie, grâce à un service éprouvé avec les différentes parties prenantes de la filière. Il rend également possible le déploiement opérationnel la filière dès le 1er janvier 2023, sans attendre 2024, avec un maillage de près de 300 points de reprise qui compléteront les dispositifs proposés par les collectivités (SPGD) dans un premier temps ; puis avec la prise en charge à 100% des coûts liés à la collecte des déchets du bâtiment directement sur chantier dès 2023, sous condition que ces déchets soient triés en 7 flux. Arnaud Humbert-Droz ajoute : « Permettre aux metteurs sur le marché de se mettre en conformité avec leurs obligations réglementaires de façon simple et rapide constitue bien entendu un premier niveau de service attendu. Faire en sorte de pouvoir faire démarrer la filière en 2023 aussi. Et dernier élément, mais non des moindres, l'accompagnement personnalisé (en économie circulaire, éco-conception, R&D, …) de Valdelia dans la mise en place des projets environnementaux de ses adhérents représente un troisième niveau de service que nous souhaitons développer dès maintenant ».Un modèle différenciantPour accompagner le démarrage de la filière, le Gouvernement a annoncé une période de tolérance jusqu'au 30 avril 2023 pour la mise en conformité des petites entreprises concernées par la REP et une démarche de sensibilisation pédagogique à cette nouvelle obligation. Dans la continuité de cette mesure et dans un souci d'équité auprès de tous les metteurs sur le marché, Valdelia propose un modèle différenciant s'appuyant sur :Une facturation de l'éco-contribution à leurs clients à partir au 1er mai 2023.Un impact financier minimum sur leurs trésoreries : pas d'avance à verser à l'éco-organisme, les éco-contributions seront calculées et facturées par Valdelia uniquement sur la base de leurs déclarations mensuelles de mises en marché une fois que celles-ci auront été facturées à leurs clients.Une éco-modulation en fonction de leurs avancements en Recherche & Développement sur la recyclabilité de leurs produits, notamment lorsqu'ils consomment déjà des matières issues du recyclage.Afin de répondre aux interrogations des fabricants, distributeurs Valdelia lance sur le mois de novembre une troisième tournée nationale. Celle-ci aura pour objectif de répondre concrètement à leurs questions et détailler l'offre de services de l'éco-organisme, dans les villes de Nantes, Toulouse, Paris, Nancy et Lyon.
Il y a 2 ans et 193 jours

Abloy Beat, une clé 100% digitale pour la sécurité des infrastructures critiques

Cette clé s’applique sur tous types d’accès et s’adapte à tous les environnements, même les plus atypiques. Ainsi, BEAT contrôle à distance et en temps réel des zones inaccessibles jusqu’à présent telles que des portes, des trappes, des armoires ou encore des grilles, etc.Les organisations ont un besoin croissant de sécuriser leurs accès avec une solution digitale, sans clé physique, mais toujours hautement sécurisée. Que ce soit pour compléter leur installation existante ou pour avoir une solution autonome, ce besoin se fait particulièrement sentir dans les zones reculées ou dans les cas où l’utilisation d’une clé physique comporte un risque de corruption ou un danger pour l’utilisateur.ABLOY BEAT, une nouvelle dimension de haute sécurité digitaleDédiée au secteur de l’eau, de l’énergie, des télécommunications, du transport ou encore de la logistique, cette offre, unique sur le marché, répond aux besoins directs des différentes infrastructures critiques. BEAT apporte une solution pour renforcer la sécurité des sites sensibles en multipliant le nombre de points de contrôle des accès atypiques (portes, trappes, armoires, grilles, etc).La clé digitale utilisée pour toute la gamme de produits BEAT permet de piloter l’ensemble des éléments de verrouillage à distance et en temps réel via un smartphone et les identifiants Seos®. Ainsi, un administrateur peut déverrouiller de chez lui et à n’importe quel moment une installation pour permettre à un utilisateur d’accéder sur un site.La technologie Seos® garantit une sécurité optimale sur l’ensemble des infrastructures critiques et permet à la clé digitale d’être protégée par une technologie d’identification de premier rang. Fournie par HID Global, une société du groupe ASSA ABLOY, l’application Seos® assure une sécurité par deux clés de cryptage (privée et publique - PKI), offre une communication sécurisée de bout en bout et une approche IoT moderne permettant des fonctionnalités poussées d’analyse et de surveillance à distance.Grâce à l’interface CIPE Manager, les clés, serrures et droits d’accès peuvent être gérer de n’importe où et à tout moment. Ce superviseur assure une gestion décentralisée des différents points d’accès sur les sites distants. ABLOY BEAT peut être géré avec CIPE Manager ou par un système tiers, à l’aide d’intégration via API ou SDK.ABLOY BEAT, une solution unique de contrôle d’accès basée sur la technologie Bluetooth Low EnergyLa communication basée sur la technologie Bluetooth Low Energy (BLE) offre aux infrastructures critiques la possibilité de piloter à distance l’ensemble de leurs dispositifs de verrouillage. De par le développement de l’offre de produit ABLOY BEAT et l’intégration d’un gateway dans la solution, BEAT permet de piloter depuis n’importe où et n’importe quand l’ensemble des produits d’une infrastructure critique.“Notre innovation apporte également une maîtrise complète des sites pour suivre en temps réel l’état des produits de verrouillage. De ce fait, l’administrateur peut savoir si les portes sont bien verrouillées et être alerté de la moindre activité suspecte. Le gateway, disponible dans notre offre de produits, est autonome en énergie et en communication, ce qui en fait un allié de taille pour les infrastructures critiques.” indique Dominique JARDIN, Directeur d’activité Critical Infrastructure France chez ASSA ABLOY Global Solutions.ABLOY BEAT, une offre de produits digitales en constante progressionL’offre de produits digitale d’ASSA ABLOY a été imaginée pour répondre aux besoins futurs en offrant des solutions de sécurité et de contrôle d’accès de haut niveau pour répondre aux exigences les plus strictes en matière de protection des infrastructures critiques. Ainsi, pour que les utilisateurs puissent bénéficier d’une expérience 100% digitale, ASSA ABLOY a récemment fait évoluer son offre BEAT et propose, désormais, une gamme de solutions intégrant un cadenas, un contrôleur, un cylindre, une poignée rotative, un tube de dépôt de clé et un gateway.
Il y a 2 ans et 193 jours

Feu vert pour la nomination de Castex à la RATP, retour aux fondamentaux

Entendu mardi soir par la commission de l'aménagement du territoire du Sénat puis mercredi matin par celle du développement durable de l'Assemblée, M. Castex a recueilli 52 voix des parlementaires contre 27. Sa nomination au poste de PDG de la Régie doit maintenant être confirmée en Conseil des ministres."Ma priorité des priorités, c'est le coeur de métier, et le cœur de métier, c'est répondre aux attentes des usagers" en Ile-de-France où la RATP a actuellement du mal à faire circuler correctement ses bus et ses métros, a-t-il déclaré.La première difficulté, "l'ugence absolue", "c'est celle de la continuité et de la qualité du service", a-t-il reconnu. La faute à une pénurie de conducteurs due à des difficultés de recrutement et à un fort absentéisme. Il se donne trois semaines pour établir un "diagnostic partagé" et "trouver des outils supplémentaires" pour rétablir la situation, avec un "enjeu de qualité de vie au travail".M. Castex entend en particulier accroître la présence humaine au contact des voyageurs, et "humaniser au maximum (le) service".Concernant les salaires, il entend anticiper l'ouverture des négociations annuelles obligatoires (NAO) avec les syndicats dès sa prise de fonction. Les agents ont déjà bénéficié d'une hausse moyenne de 5,2% des rémunérations cette année, a-t-il remarqué à la veille d'une grève qui s'annonce très suivie.Plus généralement, les priorités du prochain patron de la RATP seront la ponctualité, la régularité, la propreté, la sécurité, la lutte contre la fraude, la qualité de l'information donnée aux voyageurs et la modernisation de la billettique.Le credo de l'ancien Premier ministre sera "écoute, concertation, proximité", a-t-il ajouté.Parler à Christophe BéchuJean Castex compte en particulier faire "un état des lieux très précis de ce qui marche, de ce qui ne marche pas" avec Ile-de-France Mobilités (IDFM), l'autorité régionale des transports présidée par Valérie Pécresse.Parmi les "difficultés" qui attendent le futur PDG de la RATP, proposé par Emmanuel Macron, M. Castex a aussi cité l'envolée de la facture d'électricité, qui devrait passer de 210 millions d'euros l'an dernier à environ 265 millions cette année et atteindre entre 480 et 550 millions l'an prochain."Il va falloir voir (...) quelles solutions peuvent être trouvées avec IDFM et avec l'Etat", a-t-il noté.A ce propos, M. Castex a précisé qu'il parlerait de concurrence au gouvernement avec le ministre de la Transition écologique Christophe Béchu, puisque la Haute Autorité pour la transparence de la vie publique lui a interdit d'aborder cette question particulière avec des ministres qui étaient dans son gouvernement -- ce qui n'était pas le cas de M. Béchu.Quant à l'important développement des filiales de la RATP, hors d'Ile-de-France et dans de nouveaux secteurs, ces dernières années, M. Castex est moins enthousiaste."La diversification des activités est importante, elle fait sens, mais en aucune manière elle ne doit nous détourner de notre mission première et fondamentale", a-t-il remarqué.En clair: la priorité est désormais de faire fonctionner la RATP en Ile-de-France, et la Régie devrait "recentrer" son action hors de son domaine historique, par exemple en se concentrant sur les métros automatiques, selon lui.Jean Castex, qui est depuis le 18 août président de l'Agence de financement des infrastructures de transport de France (Afit), souhaite "se rendre utile pour la Nation"."Je ne cherche pas à être recasé. (...) Quand on veut recaser des amis c'est plutôt dans des sinécures. Je ne suis pas certain que ce soit le cas", a-t-il lancé, rappelant qu'il est passionné de transports et qu'il avait été en 2019 candidat pour diriger la SNCF. "Les défis ne manquent pas et ça me motive beaucoup."Et s'il ne veut plus faire de politique, M. Castex a insisté sur la nécessité d'investir dans les transports publics.
Il y a 2 ans et 193 jours

Logistique : la forte demande nécessite des millions de mètres carrés supplémentaires

IMMOBILIER. Le développement du commerce en ligne exige une plus grande surface de stockage en France comme en Europe. Les surfaces devraient être multipliées ces cinq prochaines années.
Il y a 2 ans et 193 jours

Macron propose un pacte de décarbonation aux industriels les plus émetteurs de CO2 en France

"Si des projets et des sites sont identifiés d'ici à 18 mois, si vous doublez vos efforts, si on arrive à passer des 10 millions de tonnes de CO2 évités à 20 millions instruits, nous doublerons les moyens consacrés à cet enjeu et passerons l'enveloppe de 5 à 10 milliards d'euros d'accompagnement", a lancé le chef de l'Etat aux industriels réunis à l'Elysée.Pour arriver à cet effort, le chef de l'Etat, tout juste de retour de la conférence mondiale sur le climat (COP27) à Charm el-Cheikh en Egypte, a aussi annoncé que le gouvernement allait dérouler une planification précise à six mois et dans les années à venir, "filière par filière".Ciment, aluminium, acier, engrais, sucre ou carburants: les dirigeants des cinquante sites industriels français les plus émetteurs de CO2, dont le Pdg de TotalEnergies Patrick Pouyanné, ont été reçus dans la salle des fêtes de l'Elysée.A eux seuls, ces 50 sites représentent 30.000 emplois et la moitié des émissions de l'industrie, soit 10% des émissions du pays. "Le but c'est de diminuer par deux les émissions de gaz à effet de serre de ces sites en dix ans, donc d'enlever 5% des émissions françaises", explique-t-on à l'Elysée. Ce sont les sites sidérurgiques d'Arcelor Mittal à Dunkerque ou Fos-sur-Mer, les cimenteries de Vicat, Lafarge ou Calcia, des usines chimiques du Grand Est, de l'étang de Berre ou de Normandie, les fabricants d'engrais Yara ou Borealis, la verrerie d'Arcques, les raffineries d'ExxonMobil et TotalEnergies en Normandie, Air Liquide en région PACA, ou les sites de production de sucre de Tereos et Cristal Union dans le nord de la France.Emmanuel Macron a insisté sur sa volonté d'accélérer la lutte contre le changement climatique, après un premier quinquennat jugé trop timoré en la matière par les spécialistes de l'environnement. Mais aussi de réindustrialiser."La décarbonation c'est un des éléments qui doivent nous permettre à continuer de créer de l'emploi industriel", a-t-il souligné."Pas amical"Le chef de l'Etat a surtout pointé la concurrence exacerbée de puissances économiques comme les Etats-Unis qui promettent des subventions publiques massives pour la décarbonation, avec un risque de désindustrialisation si les Européens ne suivent pas."Les Etats-Unis sont producteurs d'un gaz peu cher qu'ils vendent cher, et en plus ont pris des dispositifs d'aides massives sur certains secteurs", a-t-il dit."Ce n'est pas conforme aux règles de l'OMC et ce n'est pas amical", a-t-il insisté en promettant de mettre le sujet sur la table lors de sa visite d'Etat début décembre à Washington.S'adressant aux industriels, il a demandé que des "contrats de transition écologique" soient signés pour graver dans le marbre les efforts promis, site par site, et filière par filière aussi, sous l'égide du ministre de l'Industrie."Nous mettrons en ligne la carte de France des 50 sites" les plus émetteurs de CO2 pour suivre les progrès, a-t-il promis devant une carte de France géante montrant les émissions, où se distinguent le nord de la France avec 12 millions de tonnes de CO2 émises, suivie par le bassin de Marseille-Fos avec un peu plus de 10 millions de tonnes de CO2, et l'embouchure de la Seine en Normandie.Les cinq milliards d'euros supplémentaires annoncés mardi s'ajoutent aux 5 milliards déjà prévus dans le plan France Relance pour la décarbonation de l'industrie. Par ailleurs, la France a aussi prévu neuf milliards d'euros d'investissement pour le développement de l'hydrogène, qui est un des vecteurs puissants de la décarbonation de l'industrie.Il faut "sous six mois que le gouvernement puisse présenter un plan pour intégrer" ces montants "dans les travaux de programmation pluriannuelle de l'énergie", a précisé le président.La planification devra se faire "par technologie", a-t-il dit en évoquant aussi bien l'hydrogène - qui sera utilisé notamment par la sidérurgie en remplacement du charbon -, le développement de la biomasse pour remplacer le gaz, l'électrification des ports maritimes et fluviaux pour l'acheminement des marchandises, ou la capture et la réutilisation du co2.Lors de différentes présentations, les industriels présents ont de leur côté beaucoup insisté pour avoir accès à une source d'électricité "stable" et "massive", alors que les déboires techniques d'EDF dans ses centrales nucléaires sont encore loin d'être résolus.
Il y a 2 ans et 193 jours

LVMH va pouvoir installer son centre de recherche à côté de Polytechnique à Saclay

Le conseil d'administration de Polytechnique a validé par 19 voix pour, 4 contre et une abstention la vente d'un terrain voisin de son école à LVMH."Le partenariat stratégique doit être finalisé avant la fin de l'année", a précisé Eric Labaye, président de l'École Polytechnique et de l'Institut Polytechnique de Paris lors d'une visioconférence à l'issue du conseil d'administration.Le projet, baptisé LVMH Gaia, regroupera à terme 300 chercheurs sur une surface de 22.500 m³, selon LVMH qui entend investir plus de 100 millions d'euros dans le futur bâtiment.Le centre de recherche dédié au "luxe durable et digital" du groupe de Bernard Arnault, lui-même polytechnicien, prévoit d'investir 2 millions d'euros par an pendant 5 ans sur des partenariats de recherche avec Polytechnique, surnommée l'X.Le terrain, situé au sein du parc d'innovation de l'Institut Polytechnique de Paris (qui regroupe cinq écoles dont l'Ecole Polytechnique) appartient à l'établissement public d'aménagement de Paris-Saclay (EPAPS). La parcelle choisie par LVMH étant voisine de l'école d'ingénieurs, cette dernière avait un veto jusque 2025.Depuis son annonce officielle cet été, plusieurs élèves et anciens élèves de Polytechnique ont exprimé leur opposition au projet, notamment au travers d'un collectif appelé "Polytechnique n'est pas à vendre!". Ce dernier demande que le bâtiment de LVMH soit construit à l'extérieur du campus et que les terrains de la zone nord-est du campus, dont la parcelle convoitée par LVMH, soit réaffectés à l'usage de l'Institut Polytechnique de Paris. Une tribune publiée dans Le Monde début septembre signée par 73 anciens élèves évoquait un "projet délétère", qui "travaille sur des problèmes techniques éloignés des thématiques de recherche de l'école: remplacement des plastiques par des alternatives plus écologiques dans des emballages de parfum, développement d'algorithmes de recommandation plus performants pour accroître la quantité de produits vendus, etc"."On sait que les élèves sont partagés"Les signataires accusaient le groupe de Bernard Arnault de vouloir "cimenter une respectabilité factice sur la question environnementale et sécuriser un accès privilégié aux élèves du campus, tandis que les retombées du côté de l'école seraient extrêmement maigres, tant sur le plan financier que scientifique".Matthieu Lequesne, porte-parole de "Polytechnique n'est pas à vendre!", estime auprès de l'AFP que quatre votes contre et une abstention dans un conseil d'administration "qui vote toujours de manière unanime" est un signe fort d'opposition. "La dernière fois qu'il y a eu autant d'opposition, c'était en 2016", selon lui. Et "ce n'est pas la fin de la mobilisation", assure-t-il, "les usagers du campus sont en majorité contre ce projet"."On sait que les élèves sont partagés sur cette question", a reconnu Eric Labaye. Lors du vote, un des représentants des élèves "a voté pour et un contre"."Ces coopérations public/privé existent dans le monde entier dans les grandes universités", ajoute le président de Polytechnique qui souligne que "les enseignants-chercheurs soutiennent" le projet.Rien ne certifie cependant que LVMH acquerra le terrain, selon Matthieu Lequesne. Le directeur de la stratégie du groupe de luxe, Jean-Baptiste Voisin, a laissé planer le doute lundi dans Les Echos.Si le conseil d'administration de Polytechnique ne s'oppose pas à l'achat du terrain par LVMH, "nous aurons l'opportunité de l'acheter, mais ce n'est pas dit qu'on le fasse. Ce n'est qu'une option d'implantation parmi beaucoup d'autres en région parisienne, et nous les étudions toutes", a ainsi déclaré M. Voisin, également secrétaire général de l'association des anciens de Polytechnique.Le projet est "complètement transposable", selon lui, "vous le prenez par hélicoptère, vous le déposez où vous voulez".En janvier, le groupe TotalEnergies avait renoncé à implanter son nouveau pôle de Recherche et Développement sur un terrain situé également à proximité de l'école Polytechnique après la mobilisation de professeurs et d'élèves opposés au projet.
Il y a 2 ans et 194 jours

Kermarrec Promotion déploie sa présence à Vitré et lance son 1er programme immobilier : le parc d’activités Daskemm

Conçu dans une logique de durabilité et de respect de l’environnement, le projet intègre la possibilité d’installer des panneaux photovoltaïques sur le toit d’un des 3 bâtiments. Une vision contemporaine de laquelle le parc tire son nom car DASKEMM signifie « évolution, transformation » en breton.Une structure prête à accueillir tout type d’activités Premier parc d’activités de Kermarrec Promotion sur le pays Vitréen, ce projet est situé à l’Est de Vitré, P.A. de la Grande Haie, en direction de Laval. Les 2.507 m2 répartis en 3 bâtiments accueilleront 12 cellules d’activités, de 179 m2 minimum. Équipé d’une porte sectionnelle, chaque local d’activités est pensé pour accueillir une surface de bureau et un espace d’atelier ou de stockage. A l’extérieur, une aire de retournement pour les poids-lourds est prévue afin de permettre l’approvisionnement des différents artisans du parc. Côté stationnement, 51 places sont prévues dont certaines en intérieur. DASKEMM s’insère dans un cadre verdoyant et arboré. Une construction durable La conception de la structure des 3 bâtiments intègre la possibilité d’installer des panneaux photovoltaïques sur la toiture pour permettre aux futurs occupants de réaliser des économies d’énergie et faire baisser leurs charges, tout en réduisant leur impact environnemental. Sur ce projet, Kermarrec Promotion met l’accent sur la qualité du bâti et sur l’esthétique des façades : bardage bois sur les façades, apportant un aspect plus contemporain et qualitatif. A ce titre, le nom du parc « DASKEMM » prend tout son sens, car il signifie « évolution, transformation » en breton. Le choix stratégique de Vitré Le territoire vitréen est proche des axes Paris-Rennes et Caen-Rennes et permet de rayonner sur le Grand-Ouest, tout en étant à 30 minutes de Rennes. Son positionnement est un véritable atout stratégique en étant à équidistance de Rennes, Fougères et Laval (environ 35 km de chaque ville). Sur le plan économique, Vitré est une ville dynamique avec un secteur des services en plein développement grâce au commerce (13% des emplois) et à la logistique avec de belles implantations ces 5 dernières années sur le territoire aux portes de la Bretagne. Après ce premier programme immobilier vitréen, Kermarrec Promotion va renforcer sa présence à Vitré, notamment en réalisant la résidence POEM (18 logements sur la ZAC des Ormeaux) dont la commercialisation débutera en prévision courant février 2023.Fiche technique du programme :Maître d’ouvrage : KERMARREC PromotionCommercialisateur : KERMARREC EntrepriseCommercialisation : Novembre 2022Surface totale : 2.507 m2 SPAdresse : ZAC de la Grande Haie 35500 Vitré
Il y a 2 ans et 195 jours

Gap Référencement créé son « Gap Dating »

Deux journées consacrées à l‘échange, la proximité et la transparence à la fois entre les adhérents mais également avec tous les fournisseurs à l’occasion du premier «Gap Dating» de son histoire. Retour sur un format qui en appelle d’autres…Avec un nombre d’adhérents doublé en 2022, le réseau Gap Référencement a décidé de doubler ses RDV annuels avec ses adhérents. Encore faut-il imaginer un programme attractif et profitable au développement de chacun.Si le séminaire de janvier reste sur un format plutôt classique d’analyse de l’année précédente et de la présentation des objectifs à venir, le second rendez-vous est placé sous le signe de l’échange avec un but précis … apprendre à se découvrir.C’est pourquoi Gap Référencement a décidé de créer le « GAP DATING », un évènement qui permet de faciliter la rencontre entre adhérents et fournisseurs sur des problématiques spécifiques. Stop aux présentations fournisseurs, place à l’échange personnalisé !Pour Eric Beyne Directeur commercial du réseau : « À la suite de notre forte croissance, nous avons identifié un besoin récurrent au niveau du dialogue entre les adhérents et les fournisseurs. Il faut parfois 3 à 4 mois avant que les 2 entités se rencontrent et encore plus pour gagner la confiance de chacun. C’est pourquoi il était indispensable de créer un point de rencontre. Maintenant, nous souhaitions aller plus loin dans la démarche en personnalisant chaque échange en fonction de la problématique de l’adhérent. Si certains ne connaissent pas le fournisseur d’autres travaillent où ont déjà travaillé ensemble. L’échange et l’attente ne peuvent donc pas être identiques. C’est pourquoi ce « GAP DATING » est un succès ! 30 minutes … et pas une de plus (merci la cloche !) pour parler produit, logistique, SAV, communication, accompagnement, … à chacun son programme sachant que chaque rencontre était préparée en amont. Imaginez plus de 300 rendez-vous en 1 journée pour des adhérents et fournisseurs fatigués mais grand sourire aux lèvres. Nous sommes fiers de cette première édition même si cela demande un travail préparatoire colossal. Notre équipe a répondu présent et nos adhérents et fournisseurs sont repartis ravis et confiants pour de futures commandes, alors vivement l’édition 2023 ! »Plus de 300 rendez-vous fournisseurs au service des adhérentsMaintenant, créer un évènement de cette taille est aussi un Challenge. En premier lieu, il fallait trouver un endroit assez spacieux pour réunir plus de 150 personnes. C’est donc au Palais des congrès de la Grande Motte à Montpellier le 14 septembre dernier que s’est déroulé ce premier « Gap Dating ». Ensuite, la problématique fut d’optimiser le temps à la fois des fournisseurs et des adhérents. De ce fait, l’organisation en amont était primordiale. Plus de 2 mois de travail pour mettre sur pied un format original à optimiser sur une journée. Après une réponse notifiant de la présence des deux parties, chaque adhérent devait préparer en amont 10 vœux de rendez-vous autour d’un objectif. Un travail de collecte important pour ensuite programmer et préparer des entretiens de 30 minutes afin que chacun puisse s’exprimer sur leur sujet spécifique du moment. Au total, ce sont plus de 300 rendez-vous qui ont été réalisé sur une seule journée. Des échanges qui ont sans aucun doute permis de créer de la relation en instaurant un climat de confiance et résoudre des points techniques entre adhérents et fournisseurs.Le meilleur rapport qualité/prix pour un rendez-vous B2BAu-delà de la satisfaction humaine, le « Gap Dating » a également séduit le portefeuille des fournisseurs. Cette journée avait pour but d’optimiser les rencontres sans aucun temps mort soit une efficacité proche des 100% d’occupation.Une aubaine pour les fournisseurs qui ont ainsi pu réaliser entre 10 et 20 rendez-vous puisque certains d’entre eux avaient réservé 2 espaces pour multiplier les échanges. De ce fait, on peut estimer le coût pour un rendez-vous à environ 30€ … tarif imbattable pour un échange B2B !Lorsque vous connaissez le prix d’un rdv professionnel pour un fournisseur (salaire, voiture, essence, temps de trajet, …), vous comprenez rapidement l’enthousiasme de tous les fournisseurs du réseau Gap Référencement.Un évènement simple, efficace, personnalisé et RENTABLE … à l’image du réseau «identitaire et communautaire» des professionnels de la menuiserie.Un résultat confirmé par les 110 convives du repas du soir ou l’échange professionnel à laisser place à la convivialité et aux premiers retours : Que ce soit du côté FOURNISSEUR… « C’est la première fois que j’assiste à ce format, top / que des rendez-vous qualitatifs / on va à l’essentiel / pas de perte de temps ... » … Où du côté ADHÉRENT « Je suis fatigué mais c’était génial / je ne verrais plus mon fournisseur pareil / j’ai résolu en 30 minutes ce qui traîne depuis 3 mois / Dès lundi, je bascule chez lui … ». Gap Référencement a réussi le pari de faire communiquer de manière efficace et rapide les adhérents avec les fournisseurs. Que l’on parle de découvertes, de solutions, de confiance, de réassurance,… chacun a trouvé son bonheur en fonction de son besoin.
Il y a 2 ans et 195 jours

Christian Clergue passe chez Ecocem

Christian Clergue vient d’être nommé responsable Normalisation Europe du groupe Ecocem. [©Ecocem] Une recrue de choix ! Ecocem annonce l’arrivée de Christian Clergue en son sein, en qualité de responsable Normalisation Europe. Ce recrutement s’inscrit dans la démarche d’Ecocem d’amplifier la décarbonatation à grande échelle de la construction. Ceci, par la mise au point de solutions bas carbone, mais surtout à travers un encadrement normatif adéquat. Qui reste encore à impulser. « Nous devons accélérer l’accès à la norme de nos innovations, voire l’anticiper, si l’on veut répondre à l’échéance de décarbonation de 2030 », explique Conor O’Riain, directeur général du groupe Ecocem. Tout au long de sa carrière, Christian Clergue a allié esprit d’innovation et connaissance des matériaux ciment et béton. Y compris bas carbone. Sans négliger la maîtrise des procédures règlementaires dans différentes grandes entreprises. Pour ce faire, il s’appuiera de manière transverse sur les différentes équipes d’Ecocem – recherche, commerciale, communication, production. Afin de coordonner au mieux leurs initiatives et compétences. Accélérer l’évolution normative des ciments et bétons « Ecocem initie un changement de cap évident face à une réalité et une actualité climatique urgente. Il faut donc une approche souple et intelligente, afin de répondre de manière efficiente aux demandes des grands maîtres d’ouvrage. Ces derniers demandent des solutions de décarbonatation concrètes. Cela implique d’élaborer une méthode de travail efficace et structurée, tout en s’appuyant sur les savoirs et les visions de chacun », résume Christian Clergue. Et Conor O’Riain, de poursuivre : « Notre rôle d’incitateur et d’accompagnateur de l’industrie cimentière dans sa démarche de décarbonatation sera fortement appuyé par l’arrivée de Christian Clergue. Celui-ci sera aussi chargé de piloter l’industrialisation des produits innovants, en plus de contribuer à accélérer l’évolution normative des ciments et bétons ». Docteur en science physique des matériaux (à l’université des sciences physiques Paul Sabatier – Toulouse III), Christian Clergue débute sa carrière au sein du groupe cimentier Vicat. Ceci, en qualité que directeur adjoint de Sigma Béton. Société qu’il dirigera quelques années plus tard, après avoir occupé le poste de directeur des préfabrications Satma Cepeca du groupe. 20 ans de décarbonation Toujours chez Vicat, il sera chargé de mission Développement marché Bfup. Ceci, avant de prendre la direction Recherche & Développement de Serge Ferrari (créateur de matériaux composites), diversifiant ainsi sa connaissance des matériaux. Toutefois, Christian Clergue revient aux matériaux minéraux, en rejoignant l’entreprise Eiffage Génie Civil. Là, il est nommé directeur du département Innovation Représentation Matériaux. Où il aura l’occasion d’aborder l’approche bas carbone des ciments et des bétons sur les chantiers du groupe de BTP. Depuis plus de 20 ans, Ecocem développe, fabrique et fournit des ciments et des solutions pour la construction à faible teneur en carbone sur la base de laitier moulu de hauts fourneaux. Du Grand Paris à l’Aviva Stadium de Dublin. En passant par la ligne à grande vitesse HS2 au Royaume-Uni, Ecocem a permis de réduire les émissions de CO2 de près de 14 Mt. Ce qui équivaudrait à retirer plus de 3 millions de voitures de la circulation. Société indépendante, elle est dotée d’un centre d’innovation et de 4 sites de production en Europe. Dont 2 en France : à Dunkerque (59) et à Fos-sur-Mer (13).
Il y a 2 ans et 195 jours

Deuxième Test HQE Performance Économie Circulaire

L’Alliance HQE-GBC lance un nouvel appel à projet auprès des acteurs du bâtiment pour participer au deuxième Test HQE Performance Économie Circulaire. Il fait suite aux travaux sur la méthode MFA (Analyse des Flux de matière). Celle-ci permet l’analyse de flux de matière dans le cycle de vie du bâtiment et a pour objectif de faciliter la prise en compte d’un indicateur économie circulaire dans l’évaluation environnementale d’un bâtiment. En s’engageant dans une démarche d’innovation collaborative, les acteurs participant à ce deuxième Test HQE Performance économie circulaire contribueront au développement d’outils permettant d’améliorer les bonnes pratiques en matière d’économie circulaire sur le bâtiment et commenceront à quantifier les performances de leurs projets grâce aux différents indicateurs de circularité. https://www.hqegbc.org/lalliance-hqe-lance-un-test-hqe-performance-economie-circulaire-2/   Cet article Deuxième Test HQE Performance Économie Circulaire est apparu en premier sur Planète Bâtiment.
Il y a 2 ans et 195 jours

Mano Mano Pro s'attaque au marché allemand

INTERNATIONAL. Déjà présente dans 4 pays, la branche professionnelle de la marketplace d'articles de bricolage et de jardinage, Mano Mano Pro, poursuit son développement et s'implante en Allemagne.
Il y a 2 ans et 195 jours

Wilo inaugure un nouveau site en Italie

Un site plus grand, plus moderne Le traitement et la distribution de l’eau potable deviennent de plus en plus importants en raison du changement climatique. Nos systèmes et pompes permettent à de nombreuses personnes dans le monde d’avoir accès à de l’eau potable.La perturbation des chaînes d’approvisionnement causée par la pandémie a montré qu’il est important de produire plus localement et de réduire les flux transcontinentaux de marchandises. Au plus fort de la pandémie, nous, en tant que fabricant de pompes, étions l’une des rares entreprises industrielles et de services capables de maintenir la production.Cette tendance a conduit à la décision de poursuivre l’intégration des productions de pièces en acier inoxydable avec toutes ses étapes importantes : emboutissage, soudure, etc. Pour cela, le 07 octobre dernier, Georg Weber (membre de l’Executive Board & CTO), Dr. Mahmud Mustafa (SPV Group Operations), Olivier Minaud (Président de Stemma et VP Operations), Philippe Marjollet (Président Wilo France) et Simone Stopazzola (Plant Manager) ont inauguré le nouveau bâtiment de notre filiale Stemma, une société qui a rejoint le Groupe Wilo en 2005.Stemma est l’un des sites de production du Groupe Wilo dans le monde. Stemma, située à Cornedo Vicentino dans le nord-est de l’Italie et employant 25 collègues, produit des composants en acier inoxydable pour nos pompes Helix et Medana. « La région de Vénétie est réputée pour sa productivité élevée et ses grandes connaissances et compétences en formage d’acier inoxydable », a déclaré Georg Weber. Dr Mahmud Mustafa ajoute : « L’Italie est tout à fait unique en ce sens, elle possède le savoir-faire nécessaire pour dessiner et souder des géométries 3D complexes ».La décision de déménager vers un site plus grand et plus moderne contribue au développement de notre stratégie de sécurisation des approvisionnements et nous aide à mieux répondre aux crises de ces dernières années. Georg Weber a souligné : « Notre stratégie est une réponse aux tendances de régionalisation de nombreux pays dans le monde à ce stade. C’est aussi une réponse au stress dans les chaînes d’approvisionnement mondiales qui ne disparaîtra évidemment plus. Stemma est un exemple important de cette stratégie d’internalisation avec une croissance significative des investissements et de l’activité ». L’approche stratégique se concentre également sur l’intégration verticale, c’est-à-dire l’investissement dans la technologie qui nous donne un avantage concurrentiel. En outre, c’est une excellente occasion d’améliorer la production en suivant la stratégie de produits d’entreprise de Wilo dans le cadre du développement continu de l'activité Eau froide. Le nouveau bâtiment moderne s'inscrit également dans la stratégie de développement durable de notre groupe - puisqu'il est recouvert de panneaux solaires - et d'autres initiatives sont à venir dans ce domaine.Touche finale de l’inauguration : Direction, employés, parties prenantes, fournisseurs et partenaires se sont réunis autour d’un cocktail afin d’échanger et de renforcer les liens avec les partenaires locaux.
Il y a 2 ans et 195 jours

Hiboo désormais disponible sur l’App Marketplace de Procore

Ce partenariat offre aux utilisateurs la possibilité de suivre et de réduire les émissions de carbone liées à l’utilisation des équipements. Hiboo collecte plus de 60 sources de données provenant de tous types d’équipements et les transforme en informations exploitables. Grâce à cette intégration, les utilisateurs de Procore peuvent désormais accéder aux données de leur parc matériel et les visualiser directement dans Procore. Cette intégration favorise le développement durable en permettant aux utilisateurs de Procore de mesurer, d’analyser et de reporter les émissions de CO2 des matériels de chantier. Elle aide également les utilisateurs de Procore à maximiser la productivité et l’efficacité de leurs matériels en suivant leur utilisation et leurs activités. Pour Clément BÉNARD, CEO et cofondateur de Hiboo : « Notre vision chez Hiboo est d’aider les acteurs de la construction à utiliser les données émises par les matériels dans les outils et logiciels qui font sens pour eux. C’est pourquoi nous sommes heureux de rejoindre la Marketplace de Procore. » Pour Kris LENGIEZA, VP, Global Partnerships & Alliances de Procore : « Notre partenariat avec Hiboo élargit et améliore considérablement la gestion des équipements de construction pour nos utilisateurs. L’intégration maximise la productivité, l’efficacité et la durabilité de chaque équipement impliqué dans un projet de construction. »
Il y a 2 ans et 196 jours

Haribo réalise 80% d’économie d’énergie pour produire l’eau chaude de son usine de Marseille grâce à Axima

L’audit énergétique réalisé en 2019 sur le site de production de Haribo à Marseille a mis en évidence de nouvelles sources d’optimisation énergétique non encore exploitées. En effet, le process industriel de fabrication des confiseries repose sur la production simultanée de froid et de chaud. La première consiste à évacuer la chaleur, notamment issue des tapis et des ateliers. Celle-ci était dissipée dans l’air extérieur alors que dans le même temps, une chaufferie gaz produisait la vapeur utilisée pour une autre partie du procédé, notamment les étuves nécessaires à la fabrication des célèbres bonbons Dragibus, Tagada, Schtroumpfs, Chamallows et tant d’autres... La Direction de Haribo a alors souhaité trouver des solutions pour optimiser sa consommation et éviter le gaspillage énergétique.Les experts d’Equans ont proposé une action de performance énergétique (APE) basée sur la récupération de chaleur fatale. Concrètement, la chaleur évacuée au cours la production de froid est captée et réinjectée dans le process de fabrication. Depuis sa mise en service le 5 janvier 2021, une nouvelle chaudière alimentée par cette chaleur fatale remplace celle qui fonctionnait au gaz et qui n’est actionnée qu’en cas d’arrêts techniques de l’installation vertueuse, ce qui ne s’est pas produit au cours de l’année passée.Les bénéfices multiples du contrat de performance énergétiqueÉligible aux subventions des CEE (certificats d’économie d’énergie), l’installation du groupe froid avec récupération de chaleur a été prise en charge par Axima. La signature d’un contrat de performance énergétique a même permis des bonifications supplémentaires entraînant un retour sur investissement très rapide et inférieur à deux ans. Equans s’était engagé à générer 60% d’économie d’énergie. Les résultats vont au-delà de cette ambition en affichant aujourd’hui une réduction de 80% des consommations d’énergie par rapport à la chaudière à gaz. La consommation a été réduite de 1550 MWh avec, à la clé, une réduction en un an des émissions de -600t de CO2.Pour Pascal Bernard, Directeur Industriel de Haribo France : « Haribo contribue à répondre au défi climatique en faisant le choix de procédés industriels vertueux et en mettant en œuvre de manière pragmatique les meilleures solutions technologiques disponibles. L’amélioration de la performance énergétique permet de réduire la dépendance aux seules énergies fossiles et de participer à la démarche de sobriété énergétique. La trajectoire de décarbonation de notre modèle industriel s’appuie sur les solutions proposées par notre prestataire Equans. »Pour Gilles Cotte, Directeur du Développement d’Equans France : « Les innovations se multiplient pour permettre de répondre aux défis de nos clients en les accompagnant à consommer moins, vert et flexible. La chaleur fatale reste l’énergie la plus verte. C’est aussi une source d’économie importante alors que la question du coût de l’énergie s’impose comme un enjeu majeur pour l’industrie de demain. Pour obtenir de tels résultats, nos équipes sont pleinement mobilisées pour concevoir, installer et suivre en continu les installations. »
Il y a 2 ans et 198 jours

Le plus grand gisement de gaz français se met à l'heure verte

Si le gaz n'est plus exploité commercialement, il est toujours extrait pour un usage industriel: la société Arkéma, plus gros pourvoyeur d'emplois du bassin industriel avec quelque 750 salariés, exploite du sulfure d'hydrogène (H2S), hautement toxique et corrosif. Le reste, du gaz "épuré", sert à alimenter en énergie des sites locaux.Le pic de production du gisement, exploité de 1951 à 2013, a été atteint en 1982. Depuis 2010, la source s'épuise doucement."On visait les années 2060 pour la fin, mais aujourd'hui on sait qu'on pourra aller un peu plus loin parce que l'on tire un filet gazier moins important que prévu", explique Patrice Bernos, directeur général du groupement d'intérêt public ChemParc, voué au développement du complexe.Lacq a bénéficié d'une dérogation à la loi qui a mis fin, en 2017, à la recherche et l'exploitation des hydrocarbures en France.Au plus fort de l'exploitation, 8.500 salariés dépendaient directement du gisement. Ils sont encore 7.500 aujourd'hui, soit 24% de l'emploi local.Patrice Laurent, maire (DVG) de Mourenx et président de la communauté de communes de Lacq-Orthez, milite pour l'exploitation de cette poche de gaz dans un contexte de crise énergétique mondiale. "On ne pourra pas se passer des énergies carbonées du jour au lendemain. Là, elle est sous nos pieds, il y a juste à la prendre et à s'en servir."Lacq, "territoire pionnier", doit séduire de nouveaux arrivants, abonde David Habib, député socialiste de la circonscription.En septembre, les élus ont ainsi annoncé que la société lyonnaise Elyse Energy allait investir 350 millions d'euros dans un site de fabrication de méthanol "vert", qui récupérera le CO2 émis par les industries locales, avec 110 emplois créés sur le papier."On apporte une solution aux émetteurs et on se concentre sur (...) le carbone inévitable, sans alternative", explique Benoît Decourt, directeur des opérations de cette PME."Acceptabilité"Fin 2021, une centrale photovoltaïque, financée par TotalEnergies, est entrée en service à Lacq. Le géant français a également racheté un méthaniseur pour la production de biogaz, lancée en août."Nous avons tous collectivement réussi la reconversion", affirmait Thierry Renard, représentant du groupe à Pau, mercredi dans le quotidien La République des Pyrénées.Les associations environnementales qui surveillent depuis des années les rejets et émanations des usines de Lacq restent, elles, sceptiques."Plutôt que de régler le problème des pollutions déjà existantes et des seuils d'émission qui ne sont pas respectés, on nous dit qu'on va faire venir des entreprises plus vertes les unes que les autres, tout en continuant l'exploitation du gaz et de ses dérivés", dénonce Cathy Soublès pour la Sepanso64, affiliée à France nature environnement.En 2018, la préfecture avait mis à l'arrêt un site de production de Sanofi à Mourenx, après un signalement de cette association. Des émissions de bromopropane, qui entre dans la composition du valproate de sodium, le principe actif de l'antiépileptique Dépakine, dépassaient très largement les seuils autorisés."Le cas Sanofi, une fois révélé, a été résolu en quatre mois", pointe Cathy Soublès, persuadée que "les industriels savent résoudre les problèmes une fois au pied du mur". Une information judiciaire a été ouverte pour mise en danger d'autrui et délit d'obstacle à agent habilité.Les salariés de ces grands sites sont aussi inquiets. "On est les premiers exposés aux agents cancérigènes mutagènes et reprotoxiques", souligne Timothée Esprit, représentant CGT."Les entreprises sont hyper fliquées par la Dreal (Direction régionale de l'environnement, de l'aménagement et du logement), par les plaintes et la pression mise par la Sepanso", répond Patrice Bernos, pour qui le degré d'"acceptabilité" de la population a changé."Le risque industriel était bien plus élevé avant, mais les inconvénients de l'industrie sont moins supportés aujourd'hui", considère le directeur général de ChemParc.
Il y a 2 ans et 198 jours

Où les Français veulent-ils vivre ? Les résultats de la 2e édition du baromètre Kantar Public­­

Alors que la crise climatique devient plus que jamais concrète aux yeux des Français, cette deuxième édition s’intéresse plus particulièrement à leurs perceptions et attentes en matière de lutte contre l’artificialisation des sols dans les territoires, mais aussi de réindustrialisation du pays.Des grandes agglomérations en crise : la revanche des petites villes et villes moyennesLa deuxième vague du baromètre confirme l’aspiration des Français à un idéal de vie au calme, dans un environnement naturel et préservé, loin de la grande ville et de ses désagréments : promiscuité, coût de la vie et insécurité… Comme nous l’observions fin 2020, l’attractivité d’un territoire est inversement proportionnelle à sa densité : l’agglomération parisienne fait figure de repoussoir (seuls 11% des Français aimeraient y vivre), tandis que 58% des Français aspirent à vivre dans un village ou un hameau.En deux ans, l’attrait des petites villes et agglomérations (moins de 20.000 habitants) se renforce encore : elles constituent un lieu de vie aspirationnel pour un Français sur deux (en progression de plus de 10 points), quel que soit leur âge. 30% de leurs habitants disent d’ailleurs davantage envisager qu’avant le Covid-19 de quitter leur lieu de vie, contre 23% des habitants des villes moyennes et seulement 13% des petites villes et zones rurales.En tête des attentes : sécurité, proximité avec la nature et accès aux services de santéLa petite ville répond aux facteurs jugés les plus importants par les Français dans le choix de leur lieu de vie : le sentiment de sécurité (cité comme déterminant par 61 %), suivi de l’accès à la santé et aux soins (57%) puis de trois dimensions proches évoquées par plus d’un Français sur deux : la proximité avec la nature (55%), la qualité de l’air (55%) et la présence d’espaces verts (54%). Sur chacune de ces dimensions (à l’exception de l’accès aux soins de santé), les habitants des zones rurales ou des petites villes se montrent davantage satisfaits que ceux des villes moyennes, eux-mêmes plus satisfaits que les habitants des grandes villes.Les petites villes sont perçues comme le territoire le plus adapté pour élever ses enfants… mais aussi pour y passer sa retraite. Selon les Français, c’est également l’échelle qui favorise le plus la qualité des relations sociales, offre des logements de meilleure qualité et où le coût de la vie est plus accessible. Ainsi, avec le village, les petites agglomérations sont pour les Français le territoire qui offre la meilleure qualité de vie. En revanche, l’emploi apparaît comme la faiblesse des petites villes et des zones rurales pour les Français, qui estiment majoritairement que les grandes et moyennes agglomérations sont les territoires qui offrent le plus d’opportunités d’emploi.Services publics, commerces et mobilité : les arguments des villes moyennesLes agglomérations moyennes (de 20 à 200.000 habitants) semblent offrir à leurs habitants un équilibre apprécié entre la qualité de vie et le calme propres aux villes à taille humaine et les services qu’elles proposent. Ainsi, six dimensions sont à la fois jugées très importantes pour les habitants des villes moyennes et suscitent une large satisfaction : la présence d’espaces verts, la proximité avec la nature et la qualité de l’air, mais aussi l’accessibilité et la variété des commerces et enfin la possibilité de se déplacer facilement à pied ou en voiture.La nécessité écologique face aux imaginaires88% des Français estiment que préserver les sols naturels et lutter contre l’artificialisation des sols est quelque chose d’important, 59% l’estiment même prioritaire. Toutefois, derrière ce consensus, les moyens pour y parvenir font l’objet d’appréciations diverses de la part des Français. En cohérence avec leurs aspirations de proximité à la nature, les Français sont avant tout favorables à la renaturation des sols artificialisés (84%). Ils soutiennent également largement l’idée de renoncer aux nouveaux projets d’infrastructures (60%) ou encore d’être incités à la rénovation de logements anciens (78%).En revanche, ils se montrent plus partagés quand il s’agit de limiter très fortement la construction de maisons isolées et de lotissements (53% y sont favorables et 31% opposés) voire de renoncer à la maison individuelle : 46% des répondants sont opposés à des incitations à vivre en appartement ou en maison mitoyenne (contre 33% qui y sont favorables). Une opposition qui grimpe à 51% chez ceux qui habitent en maison individuelle. Les Français se montrent en effet profondément attachés à l’habitat individuel : pour 79% d’entre eux, la maison est le logement idéal. Cette aspiration existe dans toutes les catégories de population, mais davantage encore chez les ménages employés et ouvriers (81%) que chez les cadres (73%).Parmi les autres actions pour lutter contre l’artificialisation des sols, la très forte limitation de la construction de nouvelles zones commerciales est majoritairement soutenue par les Français (72%). Une majorité relative de Français (46%) estime d’ailleurs que dans les années à venir il faut en priorité encourager le développement de commerces de centres-villes. Toutefois, à l’heure actuelle, 57% d’entre eux disent privilégier les zones commerciales pour leurs achats contre 27% qui préfèrent les commerces de centres-villes. Si les commerces de centres-villes sont perçus comme plus conviviaux et agréables, les zones commerciales cumulent les avantages suivants : facilement accessibles, bon marché, adaptés à des courses en famille et répondant à tous les besoins.Une réindustrialisation sous conditions : le syndrome Nimby n’est jamais loinL’idée de réindustrialiser la France est perçue positivement par les Français, et d’abord comme un moyen de créer des emplois et de garantir l’indépendance économique du pays. Ils ne sont toutefois que 4% à envisager l’installation d’une nouvelle usine près de chez eux sans condition. Les préoccupations sont nombreuses : nuisances diverses (bruits, odeurs, poussières et mauvaise qualité de l’air), sont redoutées par 1 Français sur 2. L’intégration paysagère de l’usine, la création d’emplois qu’elle génère et l’encadrement des risques industriels sont aussi des conditions souhaitées par environ 4 Français sur 10 dans la perspective d’une installation d’usine près de chez eux.Sur la question de la réindustrialisation, comme sur celle de la lutte contre l’artificialisation des sols, on observe une forte tension non-résolue entre l’aspiration des Français à vivre dans un environnement préservé et la perception d’une réindustrialisation bénéfique pour l’emploi et l’économie.Les résultats en infographie.
Il y a 2 ans et 198 jours

Holcim France s’offre Carbocia

La marque Carbocia est désormais intégrée à Holcim France. [©Holcim] Holcim France a annoncé avoir pris le contrôle de Carbocia, l’un des principaux producteurs de carbonates de calcium micronisé en France. L’opération est réalisée par la filiale Granulats, dans le cadre de la stratégie “Accélérer la croissance verte pour 2025”. Le rachat inclut un plan de développement. Pour porter les capacités de production de carbonate de calcium de 400 000 t actuelles à 600 000 t en 2024. Dans le même temps, Holcim France accroît sa participation au sein de Carrière de la Vallée heureuse (CVH). Précédent actionnaire majoritaire de Carbocia. Des capacités de production à augmenter En parallèle du développement des capacités de production, Holcim France ambitionne d’élargir la couverture géographique de la marque en France. Ceci, tout en diversifiant son catalogue de produits. L’ensemble des solutions seront commercialisées sous la même marque, à l’exception des produits destinés au BTP. Ces derniers rejoindront les gammes d’Holcim France déjà en place. Créée en 1996 dans les Hauts-de-France, Carbocia s’est distinguée par la qualité de ses produits et de ses prestations dans tout le Nord de la France. Mais aussi à l’international, au Benelux principalement. Carbocia est présente sur de nombreux secteurs Les produits commercialisés par Carbocia bénéficient de la pureté du carbonate de calcium (CaCO3 > 98,5%) produit par CVH. Carbocia alimente une grande variété d’activités. Celle de la construction pour laquelle le calcaire micronisé constitue un ajout bas carbone pour la fabrication de matériaux. D’autres secteurs bénéficient aussi de son expertise. Comme l’alimentation animale, l’agriculture, l’industrie verrière ou encore la production de tapis et moquettes. Lire aussi : Holcim investit dans la technologie d’impression 3D Cobod « Avec Carbocia et le renforcement de sa présence dans CVH, Holcim France devient un acteur majeur du marché national des carbonates de calcium, explique François Petry, président d’Holcim France. Un produit précieux pour la décarbonation des matériaux de construction. Et un produit indispensable pour des industries aussi variées que l’agriculture, le textile ou encore le secteur cosmétique. Les synergies créées vont permettre un fort développement des produits de Carbocia en France tout en renforçant leur pertinence à l’international. »
Il y a 2 ans et 198 jours

La performance énergétique des logements s'invite dans le monde du crédit

Un projet d'investissement locatif (acheter un bien pour le louer) des pires logements de la catégorie G, peut en effet jeter un froid en comité de crédit puisqu'il sera en l'état purement et simplement interdit à la location dès janvier prochain. Suivront, en 2025, le reste des logements classés G, les F en 2028 et les E en 2034.La banque LCL évoque "une vigilance accrue" à propos des financements des logements les moins bien notés. Dans le cadre d'un investissement locatif, "on va regarder si des travaux pour requalifier le bien sont prévus et financés", selon la banque."Les banques exigent maintenant systématiquement les devis et demandent à ce que le coût des travaux pour remettre (le logement) aux normes fasse partie du plan de financement", abonde le président du réseau de courtiers Cafpi, Olivier Lendrevie. "Sinon elles n'ouvrent même pas le dossier".La Banque postale a de son côté fait évoluer ses règles d'octroi de crédit immobilier en mai. Elles tiennent compte du DPE "dans le cadre du financement de la résidence principale ou secondaire, ainsi que dans le cadre de l'investissement locatif", assure une porte-parole.Crédits dédiés à la rénovationLes critères déterminants pour le banquier restent la situation financière de l'emprunteur, ses revenus ou encore la durée du prêt immobilier.Le marché des crédits dédiés à la rénovation énergétique est toutefois en plein essor, à l'image du "Prêt Travaux Verts" lancé ce mois-ci par le Crédit Agricole d'Ile-de-France.Il intègre en plus du financement un audit énergétique du logement et un accompagnement avant les travaux (calcul des aides gouvernementales, validation des devis des artisans...).La Banque postale et le Crédit Mutuel proposent quant à eux un crédit "Avance Rénovation" à un taux fixe de 2%, qui vient en complément de MaPrimeRénov', une aide à la rénovation dont 660.000 ménages ont bénéficié en 2021.Il existe également l'éco-prêt à taux zéro (éco-PTZ) dont les intérêts sont pris en charge par l'État, peu mis en avant par les établissements bancaires.Le bailleur social Action Logement propose de son côté aux salariés du privé des crédits dédiés à l'isolation thermique (toitures, murs, parois vitrées...) à 1% pour un montant maximal de 10.000 euros."Apporter sa pierre"Axe de développement commercial, le fait de financer la rénovation énergétique des logements est également partie intégrante de la politique en matière de lutte contre le réchauffement climatique mise en place par les banques, sujet sur lequel elles sont souvent attaquées.L'impact est majeur puisque l'usage des bâtiments représente un cinquième des émissions de gaz à effet de serre de la France.C'est une manière "d'apporter sa pierre à l'édifice", explique à l'AFP le directeur marketing du Crédit Agricole d'Ile-de-France Guy Poyen, qui ne perd pas de vue non plus le bénéfice d'image en termes de recrutement, notamment des plus jeunes sensibles à ces thématiques.Pour atteindre les objectifs climatiques que s'est fixés la France, la totalité du parc immobilier français doit être transformée en "bâtiments basse consommation" d'ici à 2050, à peu près l'équivalent des catégories A et B, lesquelles représentent aujourd'hui 2 et 3% du parc respectivement.Le rôle des banques sur le sujet est mal connu du grand public. Seuls 4% des franciliens se tourneraient en premier lieu vers leur banquier pour recevoir des conseils afin de préparer des travaux de rénovation, selon un sondage commandé par le Crédit Agricole Ile-de-France.
Il y a 2 ans et 199 jours

Veolia signe un accord à Abu Dhabi pour traiter les déchets de l'industrie pétroliere

Aucun chiffre officiel n'a été dévoilé mais selon une estimation d'expert, le contrat représente un milliard d'euros de chiffre d'affaires sur 30 ans pour la société qui va exploiter deux centres de déchets dans ce complexe d'Al Ruways, d'une capacité annuelle cumulée d'environ 70.000 tonnes.Le groupe français, en consortium (à 50,1%) avec la holding saoudienne Vision Invest et la société d'investissement basée à Abu Dhabi ADQ (24,95% respectivement), a signé un contrat d'acquisition de ces deux usines de traitement des déchets auprès d'ADNOC Refining.A partir de 2023, il pilotera ainsi la gestion des déchets de la plus grande raffinerie du Moyen-Orient, et quatrième plus grande au monde, qui traite plus de 900.000 barils de brut et condensat chaque jour."Accompagnant ADNOC dans sa transformation écologique", le numéro un mondial des services à l'environnement doit notamment maximiser la récupération des ressources (eau et pétrole) à partir des déchets de l'industrie pétrolière et gazière, pour les réutiliser sur des sites industriels à proximité. Un programme d'énergies renouvelables (récupération de chaleur et photovoltaïque) est aussi prévu.Traiter ces déchets est "un facteur clé pour protéger la ressource en eau, et la qualité de l'air", souligne la directrice générale de Veolia, Estelle Brachlianoff. Outre les déchets de la raffinerie, le site devrait aussi traiter les boues de forage issues des puits de pétrole, et Veolia espère peu à peu ouvrir son activité par exemple au port voisin.Pour le groupe, il s'agit d'un accord "historique", qui fera plus que doubler son activité de déchets dangereux au Moyen-Orient.Veolia affiche dans cette zone "des ambitions sur tous ses segments", qu'il s'agisse de dessalement de l'eau de mer, de traitement de déchets dangereux ou d'efficacité énergétique des bâtiments, explique à l'AFP Mme Brachlianoff. "Car cette région se donne des objectifs de transition écologique, elle a besoin de nos services, et d'ailleurs beaucoup de clients viennent nous voir", explique-t-elle.L'activité du traitement des déchets dangereux, à forte valeur ajoutée, est aussi un axe de développement de Veolia partout dans le monde. Le groupe devrait ainsi tenir son objectif de doubler en quatre ans son chiffre d'affaires sur ce segment, à 4 milliards d'euros à fin 2023.
Il y a 2 ans et 199 jours

Les autoroutes à péage sans barrières arrivent en France

Existant depuis longtemps à l'étranger, ce type d'autoroutes en "flux libre" est appelé à se généraliser dans les prochaines années, l'autoroute de Normandie étant la suivante sur la liste.Les usagers pourront circuler à la vitesse autorisée, sans ralentir ni s'arrêter en passant sous des portiques dotés de caméras et de capteurs qui identifieront leur véhicule.Ils auront ensuite plusieurs façon de payer, explique Pierre Méau, directeur clientèle adjoint des Autoroutes Paris-Rhin-Rhône (APRR), le groupe qui a transformé 88 km de nationale N79 -dangereuse, mais gratuite- en autoroute A79 -payante- entre Montmarault (Allier) et Digoin (Saône-et-Loire).La solution la plus simple est de se procurer un badge de télépéage classique, quel qu'en soit le fournisseur.On pourra aussi payer sur le site de la nouvelle autoroute, soit en enregistrant une fois pour toutes son numéro d'immatriculation et ses coordonnées bancaires, soit en réglant chaque passage.Dernière possibilité: 16 bornes au bord de l'autoroute, qui permettront de payer en carte ou en espèces."Le client a 72 heures pour régler son trajet", souligne M. Méau. Faute de quoi une amende de 90 euros viendra s'ajouter au montant du péage, et même 375 euros sans règlement dans les 60 jours. L'exploitant aura accès au fichier des plaques d'immatriculations européennes.Allant de pair avec le développement du numérique et des paiements en ligne, l'adoption du flux libre était demandée par l'Etat quand il a sélectionné APRR (une filiale d'Eiffage) pour construire l'A79.Toutes les nouvelles autoroutes suivront ce modèle comme la future A69 entre Toulouse et Castres, relève le responsable.Davantage d'employésLe système est assez répandu dans de nombreux pays, entre Johannesburg et Pretoria en Afrique du Sud, autour de Toronto au Canada, sur les autoroutes urbaines de Santiago-du Chili, dans de nombreux Etats américains, sur l'Autostrada pedemontana lombarda près de Milan en Italie, sur de nombreux axes routiers en Norvège, sur la moitié des autoroutes portugaises ou encore pour entrer dans Göteborg ou Stockholm en Suède.En France, la Société des autoroutes du Nord et de l'Est de la France (Sanef) a transformé en laboratoire l'échangeur de Boulay-Moselle, sur l'autoroute A4, en y supprimant les barrières physiques en 2019.Malgré quelques incidents au départ, "le système a démontré sa fiabilité et les clients se sont familiarisés avec ce nouveau système de paiement", assure son directeur général Arnaud Quemard.La Sanef a donc entrepris de convertir au flux libre l'autoroute de Normandie, qui voit passer 32.000 voitures par jour."Sur l'A13 et l'A14 entre Paris et Caen, il y a cinq barrières, avec un trafic domicile-travail assez fort et des pics de week-end importants. A chaque barrière de péage, c'est un arrêt avec potentiellement des bouchons", expose M. Quemard.Ces barrières seront progressivement remplacées par des portiques entre la mi-2024 et la mi-2025. "L'objectif est de redresser l'autoroute", en rendant à la nature 28 hectares - l'équivalent de 40 terrains de football - actuellement occupés par les gares de péage, précise-t-il.Arnaud Quemard promet des gains de temps, des économies de carburant et des réductions des émissions de CO2 dans l'atmosphère.L'investissement est évalué à environ 120 millions d'euros, en partie couvert par une modeste hausse annuelle des péages. Mais contrairement à ce qu'on pourrait penser, passer au flux libre ne fait pas faire des économies."Aujourd'hui, sur le péage en Normandie on a environ 150 collaborateurs. Pour exploiter la même autoroute en flux libre, on en aura besoin d'à peu près 300", qui s'occuperont surtout des relations avec les clients, indique M. Quemard."Nous avons un énorme enjeu de reconversion de notre personnel, et nous avons garanti à tous nos employés du péage que nous leur trouverions un emploi adapté", souligne-t-il.Parmi les prochaines autoroutes à basculer vers le flux libre, l'Autoroute blanche (A40) en Haute-Savoie que la société Autoroutes et tunnel du Mont-Blanc (ATMB) entend convertir "à moyen terme", citant comme raison la qualité de l'air dans la vallée de l'Arve.
Il y a 2 ans et 199 jours

Un enduit monocouche spécialement développé pour s’adapter aux supports biosourcés

SAINT-ASTIER®, premier producteur français indépendant de chaux hydraulique naturelle pure, poursuit son développement, initié il y a déjà près de 20 ans, dans l’univers du bio-sourcé en complétant sa gamme avec le denier né de la gamme, KALAMUATM. Un nouvel enduit spécifiquement développé pour s’appliquer sur les supports blocs de chanvre, en plein essor dans le bâtiment, ainsi que sur le béton de chanvre. Cette nouvelle solution s’applique aussi bien en murs extérieurs qu’intérieurs, sur des bâtiments neufs éco-conçus et à rénover. L’enduit est classé A+, répond à la norme 998-1 et est classé OC – CS I. Ce mortier est composé de chaux hydraulique du chaufournier, de charges minérales et de pigments minéraux 100% naturels ainsi que d’adjuvants facilitant sa mise en œuvre
Il y a 2 ans et 199 jours

Un enduit monocouche spécialement développé pour s’adapter aux supports biosourcés

SAINT-ASTIER®, premier producteur français indépendant de chaux hydraulique naturelle pure, poursuit son développement, initié il y a déjà près de 20 ans, dans l’univers du bio-sourcé en complétant sa gamme avec le denier né de la gamme, KALAMUATM. Un nouvel enduit spécifiquement développé pour s’appliquer sur les supports blocs de chanvre, en plein essor dans le bâtiment, ainsi que sur le béton de chanvre. Cette nouvelle solution s’applique aussi bien en murs extérieurs qu’intérieurs, sur des bâtiments neufs éco-conçus et à rénover. L’enduit est classé A+, répond à la norme 998-1 et est classé OC – CS I. Ce mortier est composé de chaux hydraulique du chaufournier, de charges minérales et de pigments minéraux 100% naturels ainsi que d’adjuvants facilitant sa mise en œuvre Cet article Un enduit monocouche spécialement développé pour s’adapter aux supports biosourcés est apparu en premier sur Planète Bâtiment.
Il y a 2 ans et 199 jours

Des panneaux photovoltaïques dans les centres anciens : lettre ouverte au Président de la République

Dans le cadre de la discussion du projet de loi « Production d’énergies renouvelables » actuellement en première lecture au Sénat, et en raison de l’amendement proposé par la commission Développement durable du Sénat, visant à la suppression de l’accord (avis conforme) de l’Architecte des Bâtiments de France sur les opérations d’installations photovoltaïques et d’installations thermiques dans les secteurs protégés et les Sites Patrimoniaux Remarquables, Martin Malvy, Stéphane Bern et plusieurs présidents d’associations patrimoniales ont co-signé une lettre à l’attention du Président de la République, Emmanuel Macron. Monsieur le Président de la République, Revient avec force la perspective d’un amendement parlementaire au texte du Projet de loi « Production d’énergies renouvelables » aboutissant à supprimer l’accord (avis conforme) de l’Architecte des Bâtiments de France sur les implantations d’équipements producteurs d’électricité, en centres historiques. Nous sommes favorables au développement des énergies renouvelables. Comment ne le serait-on pas ? Mais les secteurs qui sont placés sous contrôle des Services de l’Etat et par l’entremise des Architectes des Bâtiments de France ne représentent que 6% de l’espace national. Portion infime sur laquelle ne pourraient être exposés que des équipements mineurs. Si la perspective qui consiste à fournir, à partir du patrimoine national, une vitrine aux producteurs d’électricité est effrayante, elle est donc – énergétiquement – purement symbolique et culturellement, esthétiquement, dramatique. Reprenons toutes et tous le discours de Malraux en 1962, défendant sa loi. Il a marqué l’histoire de notre Patrimoine et allons au passage où il imagine les quais de la Seine, en face de Notre-Dame, livrés sans règles aux promoteurs. Qu’il soit nécessaire d’engager le dialogue et de rechercher collectivement des solutions à l’adaptation de l’environnement – d’une manière générale – aux contraintes qui sont désormais les nôtres, bien sûr. Passer en force déboucherait sur une situation critique. Nous demandons avec insistance et détermination l’abandon pur et simple d’un tel projet à celles et ceux dont nous partageons le souci du développement durable mais dont l’adhésion à cette malheureuse idée nous ramènerait à une époque où la presse parlait de ” la France défigurée”. Elle aurait vite fait de renouer avec cette virulente critique. Monsieur le Président de la République, nous sommes convaincus que vous partagez ce sentiment et nous comptons sur votre soutien. Croyez Monsieur le Président de la République à l’assurance de nos sentiments les plus respectueux. Les Premiers signataires : Martin MALVY, Président de Sites & Cités remarquables de France, ancien Ministre Stéphane BERN, Chargé de mission pour le patrimoine en péril Gilles ALGLAVE, Président de Maisons Paysannes de France Jean-François CARON, Président des Biens Français du Patrimoine Mondial Yves DAUGE, membre fondateur de Sites & Cités remarquables de France, ancien sénateur et maire de Chinon, ancien président de la “Commission Nationale de l’Architecture et du Patrimoine” Alain DI STEFANO, Président des Plus Beaux Villages de France Françoise GATEL, Présidente des Petites Cités de caractère Philippe HUPPE, Président de Ville et Métiers d’Art Maître Alain de LA BRETESCHE, Président de Patrimoine-Environnement Julien LACAZE, Président de Sites et Monuments Christian LAPORTE, Président des Architectes du Patrimoine Christine LECONTE, Présidente du Conseil National de l’Ordre des Architectes Jean-Pierre LELEUX, Maire Honoraire de Grasse et ancien sénateur des Alpes- Maritimes, Ancien président de la “Commission Nationale de l’Architecture et du Patrimoine” Olivier de LORGERIL, Président de la Demeure Historique Hervé MARITON, ancien Ministre, maire de Crest et Président des Plus Beaux Détours de France Marie-Georges PAGEL-BROUSSE, Présidente de REMPART Jean ROUGER, ancien député, membre fondateur de Sites & Cités remarquables de France Fabien SENECHAL, Président des Architectes des Bâtiments de France Philippe TOUSSAINT, Président de Vieilles Maisons Françaises Louis VILLARET, Président du Réseau des Grands Sites de France
Il y a 2 ans et 199 jours

Des panneaux photovoltaïques dans les centres anciens : lettre ouverte au Président de la République

Dans le cadre de la discussion du projet de loi « Production d’énergies renouvelables » actuellement en première lecture au Sénat, et en raison de l’amendement proposé par la commission Développement durable du Sénat, visant à la suppression de l’accord (avis conforme) de l’Architecte des Bâtiments de France sur les opérations d’installations photovoltaïques et d’installations thermiques dans les secteurs protégés et les Sites Patrimoniaux Remarquables, Martin Malvy, Stéphane Bern et plusieurs présidents d’associations patrimoniales ont co-signé une lettre à l’attention du Président de la République, Emmanuel Macron. Monsieur le Président de la République, Revient avec force la perspective d’un amendement parlementaire au texte du Projet de loi « Production d’énergies renouvelables » aboutissant à supprimer l’accord (avis conforme) de l’Architecte des Bâtiments de France sur les implantations d’équipements producteurs d’électricité, en centres historiques. Nous sommes favorables au développement des énergies renouvelables. Comment ne le serait-on pas ? Mais les secteurs qui sont placés sous contrôle des Services de l’Etat et par l’entremise des Architectes des Bâtiments de France ne représentent que 6% de l’espace national. Portion infime sur laquelle ne pourraient être exposés que des équipements mineurs. Si la perspective qui consiste à fournir, à partir du patrimoine national, une vitrine aux producteurs d’électricité est effrayante, elle est donc – énergétiquement – purement symbolique et culturellement, esthétiquement, dramatique. Reprenons toutes et tous le discours de Malraux en 1962, défendant sa loi. Il a marqué l’histoire de notre Patrimoine et allons au passage où il imagine les quais de la Seine, en face de Notre-Dame, livrés sans règles aux promoteurs. Qu’il soit nécessaire d’engager le dialogue et de rechercher collectivement des solutions à l’adaptation de l’environnement – d’une manière générale – aux contraintes qui sont désormais les nôtres, bien sûr. Passer en force déboucherait sur une situation critique. Nous demandons avec insistance et détermination l’abandon pur et simple d’un tel projet à celles et ceux dont nous partageons le souci du développement durable mais dont l’adhésion à cette malheureuse idée nous ramènerait à une époque où la presse parlait de ” la France défigurée”. Elle aurait vite fait de renouer avec cette virulente critique. Monsieur le Président de la République, nous sommes convaincus que vous partagez ce sentiment et nous comptons sur votre soutien. Croyez Monsieur le Président de la République à l’assurance de nos sentiments les plus respectueux. Les Premiers signataires : Martin MALVY, Président de Sites & Cités remarquables de France, ancien Ministre Stéphane BERN, Chargé de mission pour le patrimoine en péril Gilles ALGLAVE, Président de Maisons Paysannes de France Jean-François CARON, Président des Biens Français du Patrimoine Mondial Yves DAUGE, membre fondateur de Sites & Cités remarquables de France, ancien sénateur et maire de Chinon, ancien président de la “Commission Nationale de l’Architecture et du Patrimoine” Alain DI STEFANO, Président des Plus Beaux Villages de France Françoise GATEL, Présidente des Petites Cités de caractère Philippe HUPPE, Président de Ville et Métiers d’Art Maître Alain de LA BRETESCHE, Président de Patrimoine-Environnement Julien LACAZE, Président de Sites et Monuments Christian LAPORTE, Président des Architectes du Patrimoine Christine LECONTE, Présidente du Conseil National de l’Ordre des Architectes Jean-Pierre LELEUX, Maire Honoraire de Grasse et ancien sénateur des Alpes- Maritimes, Ancien président de la “Commission Nationale de l’Architecture et du Patrimoine” Olivier de LORGERIL, Président de la Demeure Historique Hervé MARITON, ancien Ministre, maire de Crest et Président des Plus Beaux Détours de France Marie-Georges PAGEL-BROUSSE, Présidente de REMPART Jean ROUGER, ancien député, membre fondateur de Sites & Cités remarquables de France Fabien SENECHAL, Président des Architectes des Bâtiments de France Philippe TOUSSAINT, Président de Vieilles Maisons Françaises Louis VILLARET, Président du Réseau des Grands Sites de France Cet article Des panneaux photovoltaïques dans les centres anciens : lettre ouverte au Président de la République est apparu en premier sur Planète Bâtiment.
Il y a 2 ans et 199 jours

De nouvelles applications pour le traitement des bois par la chaleur

Début 2020, l’Institut technologique FCBA, en collaboration avec les professionnels certifiés CTB A+ et le laboratoire de recherche en biologie BioForBois, formalisait une technique innovante de traitement préventif et curatif des bois contre les insectes à larve xylophage. Depuis, la méthodologie pour cette typologie spécifique de traitement s’est développée et de nouveaux travaux de Recherche & Développement ont été engagés pour évaluer son efficacité sur d’autres types de pathologies du bois. De nouvelles applications ont ainsi été testées et formalisées (traitement contre les termites de bois sec) ou sont en cours d’étude (traitement contre la mérule). Traitement des bois infestés par les termites de bois sec En lien avec l’émergence des termites de bois sec dans les bâtiments en Europe et le fort impact économique induit par les dégâts dont ils sont responsables dans les territoires ultra-marins tropicaux, FCBA a souhaité évaluer l’efficacité de la technologie de traitement des bois par la chaleur sur ce type d’infestation. Les chercheurs ont réalisé leurs essais sur l’espèce Cryptotermes dudleyi, particulièrement nuisible en Guyane et à la Réunion. Ils ont ainsi déterminé les conditions létales, toujours fondées sur le couplage durée / température, à atteindre au cœur des bois infestés pour détruire cette espèce. L’application de cette technologie dans le traitement des infestations du bois par les termites de bois secs est aujourd’hui formalisée et décrite dans le référentiel CTB A+, mis à disposition des professionnels en mars 2021. Elle a été déployée sur toutes les zones géographiques concernées par cette pathologie. Toutes les entreprises certifiées CTB A+ peuvent proposer ce type de traitement. Traitement des bois infestés par la mérule On constate un nombre croissant de dégradations causées par la mérule dans le bâtiment. FCBA a analysé la viabilité du traitement par la chaleur sur cette pathologie. Les chercheurs se sont concentrés sur le mycélium de Serpula lacrymans, plus communément appelé « mérule pleureuse » ou « mérule des maisons », parmi les champignons lignivores les plus destructeurs. Ils ont tout d’abord déterminé les couples durée / température efficaces sur le mycélium de mérule des maisons. Sur cette base, ils ont ensuite prolongé ces tests sur des prototypes de maçonneries (1 mur moellons de 50 cm d’épaisseur et 1 mur briques pleines de 32 cm d’épaisseur). L’objectif était de déterminer la température à régler sur un générateur d’air chaud pour atteindre 40°C au cœur des 2 murs testés, à l’intérieur desquels avaient été placés des échantillons de bois préalablement contaminés par du mycélium de mérule de maison. Ils ont ainsi pu déterminer les protocoles les plus efficaces : – Pour le mur briques pleines : avec une température extérieure comprise entre 18°C et 20°C, il faut 24 à 29 heures, avec un générateur d’air chaud réglé à 62°C, pour atteindre 40°C au cœur du mur. Pour éradiquer le mycélium de mérule, il faut ensuite maintenir cette température pendant 8 heures. Soit 2 jours de traitement au total. – Pour le mur en moellons : avec une température extérieure comprise entre 18°C et 20°C, il faut 36 à 44 heures, avec un générateur d’air chaud réglé à 70°C, pour atteindre 40°C au cœur du mur. Comme pour le mur en briques pleines, pour éradiquer le mycélium de mérule, il faut ensuite maintenir cette température pendant 8 heures. Soit 2 à 3 jours de traitement au total. Ces résultats marquent une première étape cruciale dans la mise au point d’une méthode fiabilisée de traitement de la mérule par la chaleur : ils démontrent les conditions d’efficacité fongicide de la technologie sur le mycélium de Serpula lacrymans. Les protocoles qu’ils vont permettre d’établir seront testés sur chantiers afin de valider leur efficacité en conditions réelles. Une attention particulière sera notamment portée sur les performances des appareils de chauffe, et leurs alternatives possibles, afin d’optimiser les durées de traitement. Visuels : FCBA
Il y a 2 ans et 199 jours

Projet de loi énergies renouvelables : le Collectif pour l’énergie citoyenne publie un Livre blanc à l’occasion du Conseil des ministres

Le Collectif pour l’énergie citoyenne, qui regroupe 13 structures engagées pour la transition énergétique et écologique1, présente en amont son Livre blanc pour le développement des énergies renouvelables locales et citoyennes à horizon 2030. Il porte cinq mesures axées sur la participation des acteurs locaux dans les projets d’énergies renouvelables, qui permettraient de réhausser l’ambition du projet de loi ; certaines lacunes l’empêchant, selon le Collectif, d’être à la hauteur des enjeux immenses du secteur.Formidable levier d’accélération de la transition énergétique, l’énergie citoyenne doit être soutenue dans les politiques publiques. Il s’agit de redonner aux citoyens et aux collectivités un réel pouvoir d’agir, faciliter l’appropriation et la planification territoriale des énergies renouvelables, et permettre de meilleures retombées économiques dans les territoires.Pour atteindre l'objectif gouvernemental de 1 000 nouveaux projets d'énergie citoyen d'ici 2028, les mesures proposées dans le projet de loi demeurent insuffisantes. D'autres mesures complémentaires, proposées dans le Livre blanc, doivent être intégrées afin de parvenir à cet objectif, et le dépasser.A travers son Livre blanc, le Collectif pour l’énergie citoyenne formule des propositions et identifie des leviers concrets pour soutenir l’essor de l’énergie citoyenne et favoriser la démocratie énergétique au cours des prochaines années en France :Consolider l’objectif national de 1 000 nouveaux projets d'énergie citoyen d'ici 2028 et le rendre opérationnel par une feuille de route interministérielle, associant des moyens territorialisés à la hauteur et un pilotage national.Adapter les dispositifs de soutien aux projets locaux et citoyens, par l’extension du guichet ouvert, la territorialisation des dispositifs de soutien et des incitations croissantes à la gouvernance locale.Accompagner et faciliter les modèles innovants et émergents, qu’il s’agisse des contrats de gré à gré (PPA) ou de l’autoconsommation collective.Accroître le pouvoir d’agir des acteurs locaux, en renforçant les moyens humains et budgétaires alloués à l’ingénierie territoriale et aux réseaux d’accompagnement, et en levant les freins réglementaires à l’investissement des collectivités.Inciter à l’engagement citoyen et encourager la pédagogie autour de la transition énergétique, à travers des campagnes d’information et la simplification réglementaire des levées de l’épargne citoyenne.[1] Le CLER, Energie Partagée, Enercoop, le Réseau Action Climat, France Nature Environnement, Fondation pour la Nature et l’Homme, Energy Cities, Greenpeace, WWF, ESS France, Le Labo de l’ESS, FNCCR, Amorce
Il y a 2 ans et 199 jours

Une exposition revient sur les liens entre architecture et Art déco

CULTURE. L'exposition "Art déco France-Amérique du Nord" à la Cité de l'Architecture rend hommage aux grands architectes de cette époque foisonnante. Entre Paris et les États-Unis, les commissaires s'attachent à démontrer l'influence de ce mouvement artistique sur le développement des villes.
Il y a 2 ans et 199 jours

Avec le solaire, "nous avons affaire à une technologie mature" (É. Roblot, Idex)

FOCUS. Déjà confortée par plusieurs décisions politiques en sa faveur, la filière photovoltaïque attend désormais beaucoup du projet de loi de développement des énergies renouvelables, actuellement en discussion au Parlement. Idex, une ETI spécialisée dans les infrastructures énergétiques clés en main, espère pousser encore davantage ses solutions solaires. Entretien avec le directeur de l'activité bâtiment bas-carbone de l'entreprise, Édouard Roblot.
Il y a 2 ans et 199 jours

Everdigm sous la bannière Hyundai

Terry Kang, directeur général de l’activité “pompage du béton” de Hyundai Everdigm, et Jean-Marc Wattebled, directeur commercial de Flypump. [©ACPresse] La marque sud-coréenne de pompes à béton Everdigm est passée sous les couleurs de Hyundai, mastodonte des matériels pour le BTP. Mais pas que… Ce rachat a été opéré il y a déjà un moment, comme le confirme Terry Kang, directeur général de l’activité “pompage du béton” de Hyundai Everdigm : « Nous avons repris Everdigm en 2015… Mais jusqu’à maintenant, le nom de Hyundai n’y avait pas été rattaché. C’est à présent chose faite ». Pourquoi ce choix ? « Pour ne pas effrayer les réseaux en place et pour laisser le temps de se réorganiser… » Avec l’officialisation de ce rachat, à travers l’affichage des nouvelles couleurs de Hyundai Everdigm, la stratégie imaginée semble en place. « En effet, le changement commence à se voir sur les véhicules », confirme Jean-Marc Wattebled, directeur commercial de Flypump, distributeur officiel de la marque pour la France. Profiter de la notoriété de Hyundai Mais quelles sont les raisons qui ont poussé Hyundai à acquérir son compatriote Everdigm ? Terry Kang apporte les éléments de réponse. « Hyundai est une très grande entreprise intervenant dans nombre de secteurs industriels. Everdigm est rattaché à Hyundai Department Store. » Et cette entité n’avait pas ce type de process dans son activité ! Pour Everdigm, l’intégration offre en échange une grande stabilité financière, suffisante pour rassurer tant les marchés que les clients finaux. De quoi aussi permettre une accélération du développement de la marque et de ses produits à l’échelle internationale. Tout en profitant de la notoriété apportée par Hyundai. Enfin, Everdigm bénéficie des process et de l’expertise industrielle de sa nouvelle maison-mère. Une manière d’aller encore plus loin dans la qualité prônée par la marque.
Il y a 2 ans et 200 jours

Holcim investit dans la technologie d’impression 3D Cobod

Holcim investit dans la technologie d’impression 3D de Cobod. [©Cobod] Après Peri, GE Renewable Energy et Cemex, c’est au tour d’Holcim d’emboîter le pas de l’impression 3D ! Le 7 octobre 2022, le cimentier suisse a annoncé son investissement dans Cobod International, spécialiste dans cette technologie. Ce rapprochement fait suite à plus de trois ans de collaboration avec la société danoise.  Une série de projets innovants imprimée en 3D a vu le jour : des bases de tours d’éoliennes, la première école au monde au Malawi et le plus grand projet de logements abordables au Kenya. Grâce à ce rapprochement, le spécialiste des matériaux de construction entend accélérer la mise en œuvre de sa gamme d’encres d’impression 3D “TectorPrint”. « Chez Holcim, nous élargissons en permanence nos solutions de construction pour édifier plus avec moins, précise Edelio Bermejo, chef de groupe recherche et développement chez Holcim. En travaillant en étroite collaboration avec Cobod, nous sommes impatients d’étendre notre encre d’impression 3D. » Grâce à ce rapprochement, Holcim compte accélérer la mise en œuvre de sa gamme d’encre d’impression 3D “TectorPrint”. [©Cobod] Une solution innovante et durable Adaptée à des applications complexes allant des bâtiments résidentiels aux infrastructures, “TectorPrint” est une alternative pour construire rapidement. Elle est suffisamment fluide pour s’écouler à travers la buse, avec une capacité à durcir et ainsi supporter les couches supérieures. Cette gamme d’encres comprend à la fois des solutions de ciment et de chaux hydraulique naturelle. Elle offre une résistance à la compression allant entre 2 et 90 MPa. « Je suis fier d’avoir Holcim, un leader mondial des solutions de construction innovantes et durables, en tant qu’investisseur, déclare Henrik-Lund Nielsen, fondateur et directeur général de Cobod International. C’est un partenaire essentiel pour nous. Leur objectif, qui est de rendre les villes plus vertes, de construire des infrastructures plus intelligentes et d’améliorer le niveau de vie, s’inscrit dans notre conception de l’avenir. Grâce à l’impression 3D, nous serons en mesure de façonner le futur dans le secteur de la construction. »
Il y a 2 ans et 200 jours

Changer le regard sur le PVC : quand le PVC prend la parole... "Je suis archi responsable !"

Parlons peu, parlons bien : JE NE SUIS PAS UN VULGAIRE PLASTOC ! Primo, je suis le seul polymère dont la composition est en grande partie d’origine minérale. Deusio, je suis recyclable sans perdre une miette de ma performance. Tertio, je suis pris en charge par des filières organisées, pour être recyclé par centaines de milliers de tonnes chaque année. Vous êtes sceptique ? Vous voulez des chiffres ?57 : Oui, c’est un fait, je suis le seul polymère constitué de 57% de matière première d’origine minérale…100… : et recyclable à 100% : déchiquetage, tri, broyage, séparation automatique des couleurs par tri optique. Et puis viennent les séances d’homogénéisation, filtration et re-granulation. Voilà… C’est ainsi que je me retrouve à nouveau en petits granulés prêts pour un nouveau cycle de production et une nouvelle vie à votre service !Le processus de recyclage décrit précédemment ne m’atteint absolument pas et ne me fait perdre aucune de mes qualités intrinsèques. Absolument Zéro ! Cela fait de moi un des rares matériaux du bâtiment à pouvoir être employé en boucle fermée, sans perte de qualité de la matière lors du recyclage. Les menuiseries, par exemple, peuvent être réintégrées au cœur des nouveaux profilés, dans une boucle infinie, pour des composants toujours plus vertueux et toujours aussi performants. Exceptionnel non ?200 ? C’est le nombre de points de collecte mis en place par le SNEP pour permettre aux professionnels de déposer leurs produits PVC rigide en fin de vie. Car c’est ça aussi être responsable : abandonner le recours à l’enfouissement et permettre un tri à la source en collectant les chutes directement auprès des professionnels. Les architectes sont de plus en plus nombreux à s’assurer du suivi des déchets dans leurs projets de réhabilitation.95 : Aujourd’hui, les chutes de fabrication des producteurs et des transformateurs de PVC sont recyclées et réintégrées à plus de 95% dans le produit d’origine. Portails, clôtures, goulottes, bardages, gouttières, volets, profilés de fenêtre : tous réincorporent de la matière première recyclée, permettant une empreinte carbone moindre ainsi qu’une réduction d’énergie non négligeable. 22 : L’engagement volontaire de développement durable lancé par les industriels européens du PVC date de l’an 2000, il y a donc déjà 22 ans ! Ce qui fait de moi un des premiers plastiques à avoir été recyclé et un leader en termes de volumes valorisés. 100.000 : Et oui ! Un leader je vous dis ! Plus de 100.000 tonnes de PVC sont recyclées en France chaque année et la proportion du PVC recyclé atteindra 20% dans les profilés PVC en 2025, selon l’engagement volontaire signé par le SNEP en juin 2018. 900 000 : tonnes de PVC recyclés d’ici 2025 en Europe : c’est un des objectifs du plan Vinyl Plus pour le développement durable de l’industrie européenne du PVC dans lequel le SNEP est fortement impliqué. Pour conclure, je suis clairement un très bon élève en matière de responsabilité environnementale. Bénéficiant de surcroit d’une durée de vie exceptionnelle, je peux (sans me vanter), m’affirmer comme un matériau unique et un candidat responsable à fort potentiel pour relever le défi de l’économie circulaire. Qui dit mieux ?
Il y a 2 ans et 200 jours

Marseille projette 27.000 logements supplémentaires d'ici 2028, dont la moitié "abordables"

Ces logements dits "abordables" comprennent à la fois les logements sociaux locatifs, les logements gérés à destination des publics précaires ou encore les logements bénéficiant d'un dispositif d'accession sociale à la propriété."Dans ces 2.300 logements abordables, 1.500 seront construits en neuf et 800 créés dans le parc privé existant par la réhabilitation ou la restructuration", a détaillé Mathilde Chaboche, adjointe au maire de Marseille en charge de l'urbanisme.Cette dernière a également insisté sur la nécessité de "ventiler et répartir" cette offre de logements abordables sur l'ensemble des secteurs de la ville, ce qui n'est pas le cas actuellement.La deuxième ville de France conditionne également ces objectifs à une "justice territoriale" à l'échelle des 92 communes de la métropole Aix-Marseille-Provence, et ce en matière de logements sociaux "mais pas que", a insisté l'élue du "Printemps marseillais", une large union de la gauche.Or, on assiste, selon elle, à une "inégale répartition de l'effort constructif à l'échelle du territoire", avec des "petites communes autour, très attachées à la préservation du cadre de vie de leurs habitants", qui ont contracté une "forme de dette symbolique et éthique vis-à-vis de Marseille", dont la proximité leur garantit un dynamisme économique et culturel qu'elles n'auraient pas autrement."La métropole est dépourvue de PLH, elle devrait en avoir un depuis sa création (NDLR: en 2016), et malheureusement, depuis des années, nous naviguons à vue sur cette question du logement, pourtant éminemment politique et stratégique", a ajouté Mme Chaboche, soulignant que ce futur PLH, qui devrait être adopté en conseil de métropole fin 2022, engagera le territoire pour six ans.Nous sommes face à une "véritable urgence de la question du logement dans ce territoire" marseillais, caractérisé à la fois "par sa pauvreté et par l'héritage d'un mal-développement au plan urbain, au plan de la fabrication du logement et au plan de sa répartition", a encore déploré l'élue à l'urbanisme.Aux côtés de la maire-adjointe Samia Ghali et de l'adjointe aux affaires sociales Audrey Garino, elle a rappelé le triste palmarès de Marseille : 40.000 logements indignes, 40.000 demandeurs de logements sociaux en attente d'attribution, sept foyers sur dix qui y sont éligibles, ou encore 100.000 passoires énergétiques."On a beaucoup de logements de mauvaise qualité", a abondé Mme Ghali, précisant que dans certaines grosses copropriétés dégradées, avec des logements "squattés, indignes, voire insalubres", les gens vont préférer "aller vers le logement social alors qu'ils pourraient être dans le logement privé".Avant même cette conférence de presse de la ville de Marseille, la métropole avait regretté vendredi matin le retard de la deuxième ville de France à donner ses propositions pour ce futur PLH, affirmant que les 91 autres communes de la métropole avaient "transmis leurs copies il y a plus de six mois déjà".
Il y a 2 ans et 200 jours

Découvrez l’interview de la Directrice Générale de Quarta au Congrès des Géomètres Experts

L’entreprise Quarta réalise de nombreux projets fonciers, de copropriété, d’aménagement… et utilise le logiciel de CAO ZWCAD depuis plus de 2 ans. Performance, développement, engagements RSE et utilisation du logiciel ZWCAD au sein de QUARTA : vous en saurez plus dans cette interview.
Il y a 2 ans et 200 jours

SoPump vise l’international

Morad Houmir, fondateur et président de SoPump, sur son stand à Bauma [©ACPresse] Ils étaient aux anges, les petits jeunes de SoPump. Sélectionnés par les organisateurs de Bauma et invités à y exposer, parmi une cinquantaine de start-up venues du monde entier. « C’est l’occasion pour nous de nous faire connaître en dehors des frontières françaises et de nous ouvrir à l’international, explique Morad Houmir, fondateur et président de SoPump. Nous avons la volonté de nous développer sur certains marchés européens, pour commencer. » Au programme, l’Allemagne, l’Espagne et l’Italie. Ceci, en plus de la Belgique où la start-up est déjà présente. « Nous avons aussi été sollicités par les Canadiens… » En France, le logiciel de SoPump gère plus de 800 opérations de pompage de béton chaque jour et quelque 400 machines y sont connectées. « Cela représente environ 50 entreprises réparties entre la France et la Belgique. » Ainsi, SoPump facilite le travail des pompistes au quotidien, en particulier pour ce qui touche la facturation. Et plus largement, les tâches administratives, souvent très chronophages. En finir avec d’administratif La société de pompage-type cliente de SoPump est soit un créateur qui ne veut plus de papier et qui mise sur la dématérialisation. Ou alors l’entreprise à la tête de 6 à 8 machines, qui arrive à saturation, côté administratif. Le 3e profil est la société possédant plus de 40 pompes et qui passe plus de 10 j/mois à faire de l’administratif… SoPump espère beaucoup d’un développement à l’international. D’autant que le potentiel est immense et l’approche assez différente de la France. « Dans notre pays, on facture une mise à disposition et un volume pompé, mais sans contrainte de temps, explique Morad Houmir. Ailleurs, on facture un volume et une durée d’utilisation de la pompe. Résultat, dans certains pays, on arrive à 5 ou 6 pompages par jour, contre 2 en France… » Un exemple à suivre, peut-être pour accélérer le développement du pompage en France. Et optimiser l’utilisation du matériel mis à disposition des chantiers ?
Il y a 2 ans et 200 jours

Et les prix de la 6e édition des Trophées Excellence sont…

Créée en 1994, la fondation d’entreprise Excellence SMA est engagée dans la prévention des risques et des pathologies. Elle agit aussi, auprès de l’ensemble des acteurs de la construction, pour la promotion et le développement de la qualité et de la sécurité. C’est dans ce cadre qu’elle a lancé la 6e édition de ses Trophées Excellence. Pour son édition 2022, les prix ont été remis, en octobre dernier, à l’occasion du salon Batimat. Des entreprises et des artisans du BTP utilisant des solutions facilitant la prévention des désordres, la préservation de l’environnement, la qualité d’exécution, ou encore la sécurité sur les routes et les chantiers ont été mis à l’honneur devant un parterre de professionnels. La fondation Excellence SMA soutenant l’innovation dans les travaux de recherche a aussi remis ses trophées à des étudiants. Elle a ainsi récompensé des thèses et des mémoires de fin d’études supérieures. Mettant en avant des solutions concrètes et pérennes pour améliorer la qualité des constructions neuves ou en réparation. Ces trophées démontrent, une nouvelle fois, la mobilisation de SMABTP en faveur de la qualité de la construction en France Les lauréats des Trophées “Thèses” Les lauréats des Trophées “Thèses”, en présence des membres du jury, de Didier Ridoret, président de la Fondation Excellence SMA, et de Pierre Esparbes, directeur général du groupe SMA. [©D. Eskenazi] Les Trophées “Thèses”récompensent des étudiants de l’enseignement supérieur ayant réalisé un mémoire de fin d’études ou une thèse sur la prévention des pathologies ou l’utilisation de techniques innovantes pour la préservation de l’environnement. Ces thèses constituent pour les assureurs de la construction une source documentaire technique précieuse portant sur la compréhension de l’origine des dommages ou encore l’utilisation de techniques innovantes Premier prix : Sara Al Haj Sleiman, de Centrale Nantes, pour sa thèse sur les protocoles de qualification des bétons exposés au gel/dégel. 2e prix : Øyvind Mortveit Ellingsen, de Polytechnique Paris, pour ses travaux sur les effets d’excitation des structures cylindriques par les tourbillons alternés. 3e prix : Ismail Alj, de Paris Est Sup, pour sa thèse sur la durabilité des capteurs à fibre optique. Les lauréats des 6e Trophées Excellence Les lauréats des Trophées Excellence, lors de la cérémonie de remise des récompenses sur le salon Batimat. [©D. Eskenazi] Les 6e Trophées Excellence récompensent les entreprises et les artisans du BTP innovant en matière de prévention et de qualité. Catégorie “Prévention et Sécurité” Entreprise Jacques Zamora à Bayonne (64) pour les actions exemplaires de prévention des accidents mises en place par ce spécialiste de la maçonnerie et de la taille de pierre.Socovatp (85) pour une innovation réalisée en partenariat avec l’entreprise Paviot Equipement permettant de gagner du temps sur les chantiers d’assainissement. La Financière – Le Bâtiment associé (51) pour ses actions en faveur de la prévention routière.Entreprise Roger Martin (21) pour l’élaboration d’une base GPS alimentée par énergie solaire pour le secteur des travaux publics. Catégorie “RSE”  La Fenêtrière (94), entreprise de menuiserie engagée dans une démarche RSE impliquant circuits courts, économie circulaire et recyclage. Batinor (62) pour un chantier exemplaire utilisant les matériaux biosourcés en rénovation pour les bailleurs sociaux. Prix spécial Eiffage Infrastructures Gestion et Développement (78) pour son robot collaboratif transporteur de charges.
Il y a 2 ans et 200 jours

L'exécutif insiste sur le développement conjoint des renouvelables et du nucléaire

DÉCRYPTAGE. En pleine crise énergétique, le Gouvernement tente de jouer sur tous les fronts en présentant au Parlement son projet de loi d'expansion des énergies renouvelables, et en dévoilant en parallèle son texte sur la construction des nouveaux réacteurs nucléaires. Plus que jamais, les pouvoirs publics veulent concilier l'essor de toutes les filières décarbonées.
Il y a 2 ans et 200 jours

avec l ouverture d un 3eme comptoir a vichy bc auvergne accelere son deploiement

Partenaire exclusif de la marque Hitachi Cooling & Heating, BC Auvergne poursuit son développement en ouvrant son 3ème comptoir à Vichy, en complément de l’ouverture récente du local de Nevers. Grâce à ces deux nouveaux points de vente, BC Auvergne souhaite développer son offre commerciale via un accompagnement de qualité, offrant services et proximité.
Il y a 2 ans et 200 jours

A Lagord, Bouygues Immobilier livre Alma Terra, la première résidence du quartier bas carbone Atlantech

Un environnement unique en FranceAvec Alma Terra, Bouygues Immobilier livre la toute première résidence située au cœur du pôle ATLANTECH, le premier quartier bas carbone français, créé à l’initiative de la Communauté d’Agglomération de la Rochelle.Unique en Europe, ATLANTECH se veut précurseur dans les domaines du développement durable, de la mobilité douce et de l’écoconstruction. A la fois quartier d’habitation et espace d’activité dédié à la transition énergétique, ATLANTECH est conçu comme un territoire d’innovation en matière d’écologie, au service de l’habitat de demain.Insérée au cœur de cette environnement, Alma Terra comprend 1000 m2 de jardins potagers partagers, des composteurs collectifs, des récupérateurs d’eaux pluviales, et dispose également de panneaux photovoltaïques en toiture sur 135 m2, facilitant et incitant ainsi la mise en place de comportements vertueux au sein de la résidence.Une sobriété énergétique labelliséeNichés dans un îlot de végétation les appartements de la résidence viennent de se voir décerner la plus haute performance du label E+C-. Initié par le Ministère chargé de l’Environnement, ce label évalue la performance énergétique et environnementale des bâtiments sur l’ensemble de leur cycle de vie.La résidence Alma Terra a obtenu le niveau E3C2, soit la plus haute performance du label. Une labellisation qui garantit une limitation de l’empreinte carbone pour la construction et le fonctionnement, un confort thermique optimum été comme hiver et une diminution des coûts énergétiques du logement. Murs en ossature bois aux derniers étages, façades végétalisées au rez-de-chaussée, isolation thermique, chaufferie bois collective et panneaux photovoltaïques sont autant d’éléments garantissant de réelles performances énergétiques sans négliger pour autant la qualité de vie. Lors de la construction d’Alma Terra, Bouygues Immobilier a également collaboré avec le réseau Biotop en matière de gestion et de valorisation des déchets. Biotop a accompagné Bouygues Immobilier pendant toute la durée du chantier. L’objectif ? Identifier et mettre en œuvre des solutions de gestion des déchets en lien avec la stratégie de développement durable et d’économie circulaire de Bouygues Immobilier. Pendant ses 15 mois d’intervention, Biotop a collecté près de 6,5 tonnes de déchets recyclables. Ainsi, près de 5.000 tonnes d’équivalent CO2 ont pu être évitées.Présenté dans le cadre des prix décernés par la fédération des promoteurs immobiliers de France (FPI), le projet Alma Terra avait reçu en 2020 la Pyramide d’Argent du bâtiment bas carbone.
Il y a 2 ans et 201 jours

Kronimus lance City Linea Verde

Kronimus propose un pavé avec 51 % d’ouverture, pour des voies carrossables plus vertes. [©Kronimus] Le fabricant de produits en béton manufacturés Kronimus ajoute un nouveau produit à sa gamme de pavés écologiques : City Linea Verde. Ces derniers permettent de réaliser des surfaces engazonnées. Avec 51 % d’ouverture et de perméabilité, ces dernières intègrent non seulement un aspect environnemental, parce qu’elles permettent à l’eau de s’infiltrer. Mais en plus, elles peuvent être recouvertes à plus de 51 % par des végétaux. Cette performance est possible grâce à la conception du produit, avec ses évidements et joints longitudinaux, respectivement de 5,5 cm et 3,3 cm de large. City Linea Verde : Un pavé ultra drainant « City Linea Verde est né de notre envie de continuer à développer notre gamme vers des produits plus aptes à répondre aux défis environnementaux. Nous avons investi du temps dans le développement de ce pavé, pour concevoir un produit résistant qui permet de rendre les voies plus vertes », explique Martin Kronimus, directeur du groupe éponyme. Tout comme les autres produits de la gamme, City Linea Verde est muni de saillies d’emboîtement qui garantissent la caractéristique auto-bloquante du pavage et ainsi sa stabilité. Par ailleurs, son épaisseur atteint 12 cm. Le nouveau pavé s’adresse donc en priorité aux projets d’aménagement qui concernent l’espace public. City Linea Verde convient bien aux zones de stationnement automobile et aux voies d’accès pompiers. Parmi les autres avantages du pavé : une pose facilitée. En effet, le format 30 cm x 18 cm pour un poids inférieur à 9 kg est à la fois manuportable et adapté à la pose mécanique.
Il y a 2 ans et 201 jours

Rairies Montrieux dévoile son nouveau catalogue

Retour sur la présence de la société Rairies Montrieux à l’édition 2022 du salon Batimat.L’histoire de la terre cuite naît d’une symbiose entre l’argile et la main de l’homme. Elle se transforme, se magnifie et se bâtie grâce aux projets d’architectes, designers et artistes qui lui offrent leur inspiration. Nous appelons ces inspirations des Rencontres Architecturales.Batimat est l’occasion de faire le point sur les nouvelles perspectives de l’entreprise et de mettre en avant le mythique showroom Parisien du Viaduc des Arts, un lieu emblématique et stratégique pour l’entreprise à Paris.Le Spécialiste des produits en Terre cuite depuis 1919 annoncera plusieurs actualités importantes sur le salon : Rairies Montrieux sera au service d’un événement sportif pour 2024, un grand honneur et un défi de plus à relever pour la société. Des cas concrets de réalisations finalisées seront présentés, ainsi que des projets en cours ou à venir, en France et à l’étranger.Rairies Montrieux présente également son projet : Eco-Démarche, un projet porté par une démarche environnementale.Éco-démarcheAujourd’hui l’économie de ressources est au cœur des préoccupations. Le réemploi de matériaux est une action efficace et simple à mettre en œuvre. Dans le cas de la terre cuite, c’est l’utilisation de pièces mises au rebut, invendues, ou les surstocks qui sont une ressource de premier choix. En effet, pourquoi lancer la production de nouveaux produits alors que des stocks encombrants existent ? Le réemploi permet un gain de temps de fabrication et une économie d’énergie plus que significative.Cette démarche est à la fois environnementale et économique et chaque partenaire y trouve son compte. Déstockage pour l’entreprise, terrain de jeu artistique pour l’architecte, économie de moyens pour la maîtrise d’ouvrage et tout cela, au bénéfice de l’environnement.Un catalogue au service des professionnelsCette année Rairies Montrieux innove une fois de plus en présentant sur le Salon professionnel de la construction un nouveau catalogue toujours à la pointe de l’innovation et des dernières tendances, repoussant ainsi les limites de la créativité.Ce dernier sera présenté avec de nombreuses actualités produits.Une mise en lumière sur la brique Brut de four, un produit ancestral ultra contemporain, des nouvelles couleurs pour les plaquettes émaillées...Les briques Moucharabieh seront déclinées sous différentes formes. Autant de sources d’inspirations pour les professionnels...Enrichi d’interviews éclairantes d’architectes référents sur leur approche technique et esthétique, ce nouveau catalogue ouvre le champ des possibles et répond pleinement aux attentes et exigences du marché.Cette année plusieurs grandes nouveautés chez Rairies MontrieuxLes nouveautés épidermesLa terre cuite est une céramique réalisée par la cuisson de terre d’argile. La couleur de celle-ci peut varier en fonction de la terre d’argile utilisée. Façonnée à l’aide d ’une filière puis séchée, elle est finalement cuite au four à haute température. Deux nouveaux épidermes voient le jour : l’écorce et le grenaillé !ÉcorceInspirée de la peau de protection de l’arbre, la terre cuite se rapproche de la nature grâce à l’épiderme Écorce. Cet aspect est le résultat d ’hachures aléatoires sur la surface lisse du produit en terre cuite afin de lui offrir un aspect unique. Elle est disponible en 9 teintes : Lumière, Silver, Titane, Havane, Réglisse, Antarès, Montlouis, Montvaloir et Médoc.GrenailléL’épiderme Grenaillé est un aspect qui procure de très beaux effets minéraux sablés. L’aspect est certes rugueux, mais le rendu final est très chaleureux.Grâce à cet aspect mat, une façade sort clairement de l’ordinaire.Granuleux au toucher, l’avantage de l’épiderme Grenaillé est qu’il peut magnifiquement dissimuler les défauts de la surface d’un mur. Il se décline en 4 teintes naturelles : Lumière, Silver, Réglisse et Médoc.Les Originelles ÉcorceGrâce à leur épiderme à la fois naturel et structuré, les plaquettes Originelle s’inscrivent avec élégance dans un esprit vintage. Elles se déclinent maintenant en 4 textures.... La toute dernière nouveauté : Écorce.Les nouveautés formesNouveautés brique et plaquettes de formes, cette année c’est la grande nouveauté chez Rairies Montrieux !En pointe, graphiques, linéaires, arrondies... Elles donnent du relief à toutes les façades et sont là pour apporter un aspect unique à chaque réalisation.Les nouveautés couleursL’engobé, terre cuite colorée pastelLa société complète sa collection de plaquettes de parement engobé grâce au développement de couleurs pastels. La terre cuite colorée pastel affirme en extérieur une approche jusqu’alors cantonnée en intérieur.Nouvelles couleurs chez les émaillés monocuissonL’émail monocuisson consiste à cuire simultanément la terre cuite crue et le verre coloré finement broyé sur la terre cuite durant la même et unique cuisson. De par son exclusivité, c’est une cuisson technique et économique en énergie qui offre des produits émaillés davantage nuancés à l’image de la terre cuite naturelle.Les nouveautés produitsDans la Famille des Émaillés la toute dernière nouveauté : Grés est une céramique caractérisée par une très grande dureté et une excellente résistance aux agressions chimiques ou climatiques. Cette résistance est obtenue par la cuisson à une température supérieure à 1.200 °C. Rairies Montrieux a développé cette gamme pour répondre aux exigences des pays où les agressions climatiques sont fréquentes.Rairies Montrieux fait le plein de nouveautés pour l’édition 2022 de Batimat. Formes, épidermes, teintes... les innovations ne manquent pas ! Rairies Montrieux vous invite à découvrir toutes leurs gammes dans leurs showrooms à Paris ou aux Rairies !