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Il y a 3 ans et 253 jours

Le salon "Global Industrie" met l'accent sur la réindustrialisation pour l'anniversaire du plan de relance

Alors que la France est plus touchée que ses voisins par un phénomène de désindustrialisation massif lié à la mondialisation et à la montée en gamme des pays développés, industriels et gouvernement souhaitent faire de ce rendez-vous une vitrine des actions menées depuis un an pour relocaliser des activités en France et développer l'innovation, dans l'espoir de reconstruire un jour des usines.Car l'industrie manufacturière ne représente plus que 11% du produit intérieur brut (PIB) français contre 16% en moyenne dans l'Union européenne, s'inquiétait en novembre 2020 France Stratégie, organisme de conseil placé auprès du Premier ministre.Parmi les causes identifiées depuis dix ans, un coût du travail mais surtout une fiscalité trop élevés qui ont conduit les entreprises à délocaliser massivement plutôt que d'investir en France pour produire et exporter.Le quasi-arrêt de l'économie durant la pandémie a jeté une lumière cruelle sur la réalité industrielle du pays.La France s'est alors rendue compte qu'elle ne fabriquait elle-même ni ses masques, ni son paracétamol, et qu'elle a été l'un des seuls grands pays dits industrialisés à ne pas inventer de vaccin contre le coronavirus: une "humiliation", selon Louis Gallois, ancien patron de grands fleurons comme Airbus, Safran, SNCF ou PSA, aujourd'hui co-président du groupe de réflexion "la fabrique de l'industrie".Pour les médicaments, entre 2005 et 2015, la part de marché des productions françaises au plan mondial a été "divisée par deux", a reconnu vendredi la ministre déléguée chargée de l'Industrie, Agnès Pannier-Runacher, sur Sud Radio."Pays sans usine"Emmanuel Macron, qui assure avoir "vécu de manière très précise la morsure de la désindustrialisation" dans ses villes de jeunesse, Amiens ou Bagnères-de-Bigorre, a reconnu une "erreur fondamentale" des gouvernements successifs: "nous avons pensé pouvoir faire un pays sans usines", a-t-il concédé au magazine Zadig en mai.Pour chasser cette idée, et marquer le premier anniversaire du plan de relance de 100 milliards d'euros sur trois ans, lancé avec l'aide de l'Union européenne, le gouvernement va venir en force à "Global Industrie".Outre Bruno Le Maire et Agnès Pannier-Runacher, le Premier ministre Jean Castex interviendra lundi devant le Conseil national de l'industrie, où siègent représentants de l'État et des filières industrielles, du côté du patronat comme des salariés, ainsi que des personnalités qualifiées.Dans l'après-midi, M. Castex poursuivra son périple industriel à Roussillon dans l'Isère où il doit rendre visite à un projet de réimplantation de production de paracétamol et un autre de décarbonation. Sur le seul dossier médicaments, le plan de relance finance plus d'une centaine de relocalisations de chaînes de production (médicaments, vaccins, dispositifs médicaux).Mais, alors que les experts climat de l'ONU (Giec) viennent de rappeler que la température mondiale devrait augmenter de 1,5°C ou 1,6°C par rapport à l'ère pré-industrielle autour de 2030, soit dix ans plus tôt que dans leur précédente estimation d'il y a trois ans, le défi de la réindustrialisation est immense, car il doit nécessairement s'articuler avec celui de la transition écologique.Plan de relance comme salon font d'ailleurs la part belle à la décarbonation ainsi qu'aux start-up innovantes (chimie verte, énergie, électronique, agroalimentaire, santé, biotech..).Global Industrie, créé en 2018 à Villepinte (nord de Paris), est le produit de la fusion de quatre salons sectoriels (Industrie, Midest, Tolexpo et Smart Industries).Il s'intéresse aussi bien à la mécanique qu'aux nanotechnologies, en passant par les machines-outils, la conception assistée par ordinateur, l'industrie 4.0, la tôlerie-fonderie, la gestion de l'eau ou les savoir-faire de la sous-traitance automobile ou aéronautique.Le salon se tient en alternance chaque année à Paris et à Lyon.En 2019, sa dernière édition avant la pandémie, il avait accueilli 45.000 visiteurs de 85 pays et 2.500 exposants venus d'une quarantaine de pays.
Il y a 3 ans et 254 jours

Saint-Gobain injecte du bas carbone dans sa production de tuyaux

La branche canalisation du groupe investit 10 millions d’euros pour équiper l’usine historique de Pont-à-Mousson (Meurthe-et-Moselle) d’un four électrique alimenté par les rebuts de fonte et les vieux métaux.
Il y a 3 ans et 254 jours

Watts recrute sur son site de production Socla basé à Virey-le-Grand : plus de 30 postes à pourvoir en CDI !

En cette période de rentrée, de nombreux secteurs et entreprises cherchent activement à recruter. C’est le cas de l’entreprise Socla, filiale du groupe WATTS Water Technologies, qui dans le cadre d’une réorganisation de son activité, recrute plus de 30 collaborateurs sur son site de production de Virey-le-Grand. Implantée à Virey-le-Grand (71), Socla est reconnue notamment pour son savoir-faire dans la conception de vannes papillon sur-mesure utilisées dans les secteurs de l’eau, de l’industrie et du bâtiment. D’une superficie de 20.600 m2, l’usine Socla compte aujourd’hui 181 collaborateurs et fabrique chaque année près de 9,5 millions de produits dédiés au contrôle des fluides (disconnecteurs, clapets, réducteurs de pression…). Après un plan d’investissements destiné à gagner en productivité et à renforcer la sécurité de ses équipes, le site Socla de Virey-le-Grand accompagne la réorganisation de son activité par des recrutements, avec plus de 30 postes en CDI à pourvoir dans les domaines suivants : • 25 personnes en Production et Logistique, travaillant principalement en 2/8, dont notamment 15 opérateurs (montage, poudrage, régleurs des machines d’usinage…), 4 magasiniers, 1 gestionnaire de planning…, • 7 salariés dans les fonctions Support (techniciens de bureau d’études, maintenance, méthodes et qualité…). « Dans les conditions actuelles, nous avons la chance que le groupe Watts investisse et développe notre site industriel assurant ainsi sa croissance. Nous espérons que le dynamisme de notre entreprise séduira les futures recrues qui rejoindront une équipe pluridisciplinaire au sein d’un environnement moderne situé dans un écrin de verdure, à proximité du Grand Chalon » souligne Guillaume Gerbron, Directeur du site. Afin de toucher un maximum de postulants en Saône et Loire et en Côte d’Or, Socla met en place une campagne de recrutements sous forme d’offres d’emploi non seulement sur les plateformes classiques telles que LinkedIn ou Facebook, mais aussi sur le célèbre site de petites annonces leboncoin. Des flyers sont également mis à la disposition des sociétés de recrutements et des agences Pôle Emploi de la région. Pour plus d’informations sur les missions détaillées de chaque poste et pour postuler, les candidats intéressés sont invités à contacter Audrey Maufroy, Responsable Ressources Humaines du site de Virey-le-Grand, par mail à audrey.maufroy@wattswater.com http://www.wattswater.fr
Il y a 3 ans et 255 jours

"Nous observons des ruptures sur les matières des biosourcés", O. Weymann, Soprema

INTERVIEW. Spécialiste de l'isolation et de l'étanchéité, Soprema, a récemment annoncé la construction de 2 usines à Nîmes, dédiées aux matériaux ecosourcés. Quelle est l'ambition du groupe sur ce créneau ? Comment déploie-t-il sa stratégie RSE ? Olivier Weymannn directeur stratégie et performance environnementale, fait le point.
Il y a 3 ans et 258 jours

Viessmann parie toujours sur le solaire thermique et se lance, enfin, dans la ventilation

L’usine Viessmann de Faulquemont fabrique désormais des capteurs solaires thermiques pour l’industrie et les réseaux de chaleur. Viessmann France commercialise des groupes de ventilation Vitovent.
Il y a 3 ans et 260 jours

CERMIREP RAPID R3 : Mortier de réparation fibré à prise rapide

CERMIREP RAPID N3 25kg Le CERMIREP RAPID R3 NF est un mortier mono-composant de couleur gris clair, fibré, contenant des ciments spéciaux sélectionnés et adjuvanté par des résines. Utilisable sur différents supports tels que le béton, la maçonnerie (parpaing, bloc) et l’enduit ciment, ce mortier de réparation fibré est idéal pour : la réparation structurale des bâtiments, la remise en service rapide,le ragréage rapide de tous corps d’état,la réparation d’épaufrures. Sa couleur gris clair et sa granulométrie fine permettent la réparation discrète et soigneuse des bétons. Grâce à sa thixotropie, le CERMIREP RAPID R3 peut être appliqué en passes de jusqu’à 70mm, ce qui représente un gain de temps en exécution du chantier. La certification NF EN 1504-3 atteste la qualité indiscutable de ce produit, contrôlé en usine par des organismes notifiés, et tout cela pour assurer que le produit qu’arrive à votre chantier respect les plus stricts niveaux de qualité. Application du système : Afin d’optimiser l’adhérence, il est recommandé d’appliquer une barbotine à la brosse. Celle-ci sera constituée sur la base du mortier mélangé, en y ajoutant de l’eau jusqu’à une consistance « pâte à crêpes ». L’application du mortier se fera à la truelle sur la barbotine fraîche. Charger ensuite en épaisseur. En cas de reprise, la couche précédente (du mortier frais) doit être griffée. Conforme à la norme EN 1504-3, il bénéficie d’une excellente thixotropie, exempt de chlorure et non corrosif. Ce mortier de réparation à prise rapide n’affecte pas les armatures. Son retrait compensé permet une application facile à la truelle et est parfaitement compatible avec le béton et la maçonnerie. Un mortier mono-composant de couleur gris clair, fibré, contenant des ciments spéciaux. Le CERMIREP RAPID R3 Gris est disponible en sac de 25 kg et de 5 kg.
Il y a 3 ans et 261 jours

Les solutions Rector en Maisons Individuelles pour des planchers RE2020

Applicable dès janvier 2022, la RE2020 a pour but de diminuer l’empreinte carbone des bâtiments neufs et d’en améliorer leurs performances thermiques. Cette nouvelle réglementation va engager une transformation profonde dans la manière de produire, de concevoir et de construire les bâtiments. Spécialiste de la fabrication d’éléments de plancher en béton précontraint et béton armé, RECTOR s’engage aux côtés de ses clients dans la réduction de l’impact environnemental en proposant, dès à présent, des solutions pensées pour répondre aux exigences de la RE2020. Ces dernières seront présentées sur le stand de RECTOR au salon ARTIBAT qui se tiendra à Rennes du 13 au 15 octobre 2021. Des solutions concrètes pour répondre aux principaux enjeux de la RE2020 en maisons individuelles Partenaire privilégié des Cmistes (Constructeurs de Maisons Individuelles) et leader sur ce marché depuis près de 70 ans, Rector propose la gamme la plus complète de solutions préfabriquées innovantes et optimisées, du soubassement aux toitures terrasse. Grâce à la pertinence de ses systèmes préfabriqués, Rector répond d’ores et déjà aux trois principaux enjeux de la RE2020 : • Isolation et traitement des ponts thermiques pour chaque niveau de la maison Avec sa gamme de planchers Equatio avec entrevous isolants (vide sanitaire, sous-sol, étage, toitures terrasses) associée à ses Box de rupteurs de ponts thermiques et leurs accessoires, Rector est l’un des seuls industriels à être capable de traiter l’ensemble des ponts thermiques du plancher en isolation 100% intégrée. Pour le vide sanitaire, Rector propose des combinaisons (planchers Equatio VS et entrevous isolants Rectosten) pour être au plus juste du PSI conforme à la réglementation RE2020, quelle que soit la zone climatique. Le département Recherche et Développement Rector a ainsi revu l’ensemble des calculs pour ajuster les performances des planchers aux nouvelles exigences de Bbio et proposer une gamme élargie d’entrevous à languette allant de l’up 40 à l’up 11. Les systèmes de planchers bas et à étage Rector avec isolation intégrée sont à privilégier par rapport à ceux avec isolation rapportée. En effet, en plus du gain de temps et de surface, ce type d’isolation permet l’application d’un revêtement directement sur la table de compression ou encore l’intégration d’un plancher chauffant/rafraîchissant directement sans chape. « Parce que nous avons pris en compte toutes les zones climatiques de France lors de nos études, nous sommes en capacité d’apporter des solutions pertinentes et standardisées, et d’accompagner tous nos clients lors de leur mise en œuvre pour des maisons conformes. Grâce à l’ajustement de nos solutions calculées au juste psi, l’atteinte des performances thermiques des planchers selon les seuils envisagés de la RE2020 est beaucoup plus simple », explique Côme Lesage, Responsable Marketing Stratégique. • Maîtrise du bilan carbone Nécessitant moins de béton pour leur fabrication et moins de transport pour les livrer sur les chantiers, les planchers préfabriqués Rector sont naturellement plus sobres en matière et bénéficient d’un impact environnemental réduit. Ils sont, en plus, dotés d’une durée de vie quasi-illimitée. Pour obtenir un bon bilan carbone, un plancher constitué de poutrelles précontraintes et d’hourdis Rector est une solution optimisée comparée à d’autres solutions telles que le dallage porté ou la dalle sur terre-plein. Enfin, Rector commercialise une gamme d’entrevous légers, en plastique 100% recyclé, en bois, pour le vide sanitaire ou les planchers en étage dont les formulations ont été pensées pour réduire l’impact carbone sur les chantiers. « Nous proposons à nos clients des solutions adaptées pour décarboner les planchers : Rectoplast Recyclé, Primolight et Rectolight ainsi que des montages mis au point pour chaque chantier », ajoute Côme Lesage. Au-delà de la composition de ses produits, Rector met au cœur de sa démarche l’économie circulaire, l’optimisation des transports, la gestion des ressources et des déchets en usine comme sur les chantiers de ses clients. Enfin, toutes les solutions de planchers préfabriqués Rector font l’objet de Fiche de Déclaration Environnementale et Sanitaire (FDES) pour assurer aux constructeurs et bureaux d’étude la qualité et les performances de systèmes. • Prise en compte du confort d’été Rector lance une nouvelle gamme de plancher Equatio® chauffant rafraîchissant, issue de son partenariat avec Rehau. Tout en préservant l’inertie thermique du plancher, ce système, intégré dans la dalle, permet aux constructeurs de maisons individuelles d’offrir le confort à leurs clients, été comme hiver, tout en répondant à la RE2020. Avec l’ensemble de toutes ces solutions durables de planchers préfabriqués Rector, les professionnels de la maison individuelle ont l’assurance de faire le choix de la performance à coûts maîtrisés et de la conformité à la nouvelle réglementation. http://www.rector.fr
Il y a 3 ans et 263 jours

Le Groupe Lorillard sera exposant du 81ème Congrès de l’Union Social pour l’Habitat, les 28, 29 et 30 septembre prochains au Parc des Expositions de Bordeaux

Le Congrès de l’Union Sociale pour l’Habitat est un rendez-vous annuel auquel le Groupe Lorillard a toujours répondu présent. Le Groupe qui se positionne en partenaire historique des acteurs du marché des logements sociaux, détient une véritable légitimité en termes de compétences et d’expertise. Rappelons que Le Groupe Lorillard qui rénove ou équipe chaque jour, en France, près de 320 logements, coordonne diverses entités connues et reconnues comme des intervenants majeurs de la rénovation énergétique. Ces entités ont, à plusieurs reprises, contribué à la rénovation de logements sociaux, de copropriétés, participant à des concours de réalisations de rénovations énergétiques exemplaires, pour lesquelles ils ont été primés et récompensés. INGÉNIERIE DE CHANTIER ET CONCEPTION SUR MESURE : DEUX EXPERTISES MOTRICES Evénement incontournable pour tous les acteurs de l’habitat social, ce Congrès est un véritable lieu d’échange et de réflexion pour tous les promoteurs, bailleurs sociaux, collectivités, entreprises de travaux publics, du bâtiment, etc, qui œuvrent pour la transition énergétique, la rénovation urbaine ou encore la qualité de service. Le Groupe Lorillard disposera d’un stand de 36 m² qui lui permettra d’échanger avec les visiteurs sur ses solutions techniques ainsi que sur sa capacité et son expertise en matière d’ingénierie de chantier. En effet l’ingénierie de chantier rassemble diverses notions techniques et économiques mais s’il y a une notion particulièrement importante, c’est bien la prise en compte des problématiques d’intervention en milieu habité. Reconnu pour la qualité de sa conduite de travaux, le Groupe Lorillard est en mesure de se positionner sur les opérations les plus complexes. Une extrême attention est portée aux contraintes de sécurité. Le souci de qualité et de respect des délais est permanent. Autre notion impérative, dont le Groupe en a fait une expertise, c’est la capacité à réaliser des menuiseries sur-mesure. Pour chaque chantier, Lorillard prend en compte la globalité du bâtiment, la recherche, voire la création de profils de menuiserie ou de structures spécifiques répondant aux attentes du maître d’ouvrage et du maître d’œuvre. Cette spécificité du sur-mesure est possible grâce à la capacité de production industrielle du Groupe. C’est là un atout considérable pour le Groupe Lorillard : savoir concevoir des menuiseries exclusives et sur-mesure, et les usiner en quantité industrielle. En outre, le Groupe est capable de se positionner sur des chantiers d’envergure et d’assurer conception, fabrication et production dans des délais courts. volet roulant Réno City doté d’un coffre extérieur et d’une trappe de visite intérieure. 5 ENTITÉES ET UNE OFFRE MUTLI-MATÉRIAUX Les entités Lorillard Entreprise, Lorillard Façades, Protectéa et Lorenove Grands Comptes représenteront le Groupe Lorillard et seront entourées de plusieurs solutions particulièrement adaptées aux logements sociaux. Le volet roulant Réno City et la menuiserie PVC Design 5 Réno City est un concept breveté de volet roulant doté d’un coffre extérieur et d’une trappe de visite intérieure. Le tiroir amovible facilite les interventions de maintenance. Il est idéal pour les bâtiments collectifs ou encore le tertiaire. Le volet Réno City agit comme un bouclier thermique supplémentaire grâce à son coffre avec double paroi alvéolée équipée d’un isolant en polystyrène expansé graphité (PSE), le joint d’étanchéité placé au niveau de la trappe de visite ainsi que le joint néoprène glissé sur la lame finale. Simple à mettre en œuvre, il est adaptable sur tous les matériaux existants grâce à une paire d’embouts télescopiques et une console réglable. Il est disponible en plusieurs types de manœuvres (filaire, radio, solaire et manuelle) pour répondre aux différents usages de l’utilisateur final. La menuiserie PVC Design 5 sur laquelle est installé le volet roulant Réno City représente l’alliance parfaite tant en termes d’esthétique que de performances thermiques. La Design 5 est un produit incontournable dans le domaine de la rénovation de résidence tant individuelle que collective : elle est dotée de 5 chambres d’isolation et de 2 joints d’isolation. Par conséquent elle affiche un coefficient Uw de 1.3 W/m².K en double vitrage. Fabriquée dans un matériau naturellement isolant, personnalisable et recyclable, la Design 5 sait convaincre par la finesse de son battement central (116 mm) et ses parcloses disponibles en angles galbés ou carrés.   Le coulissant HPC Twinéa 2. Caractérisé par la finesse de ses profils et procurant un parfait équilibre entre performances thermiques, esthétisme et confort intérieur, Twinéa 2 sera présenté dans sa version seuil extra-plat. Spécialement adapté aux personnes à mobilité réduite, ce seuil assure une circulation fluide entre l’intérieur et l’extérieur, sans avoir d’obstacle à franchir. Il s’avère plus confortable pour les personnes âgées, mais aussi pour tout à chacun au quotidien. Ses rails en aluminium offrent une manœuvre optimale. Les profils renforcés en fibre de verre assurent à la fois robustesse et légèreté des ouvrants. Coulissant Twinéa 2 et son seuil extra-plat, spécialement adapté aux personnes à mobilité réduite   La menuiserie bois Léna 58 qui garantit ses finitions 10 ans ! Avec ses lignes contemporaines propices aux architectures modernes et ses ouvertures à la française (à frappe) ou coulissantes, la menuiserie bois Lena 58, disponible en plusieurs essences, a déjà tout pour plaire. Les finitions « Lena Color » garanties 10 ans viennent parfaire l’équation gagnante : esthétisme, confort et sérénité. Cette année 2021 marque la 81ème édition du Congrès USH et c’est aussi les 85 ans du Groupe Lorillard. Un âge qui en dit long sur le savoir-faire qui s’est transmis entre les hommes et femmes qui se sont succédés, et qui en ont fait un acteur majeur de la rénovation globale des bâtiments. Tout au long de ces années, ministères, investisseurs institutionnels, collectivités territoriales, promoteurs, constructeurs, offices d’HLM, banques et assureurs, entreprises publiques et privées, ont fait confiance au Groupe et ont contribué à bâtir sa légitimité. Partager la publication « Le Groupe Lorillard sera exposant du 81ème Congrès de l’Union Social pour l’Habitat, les 28, 29 et 30 septembre prochains au Parc des Expositions de Bordeaux »
Il y a 3 ans et 265 jours

Siporex la nouvelle marque forte dédiée aux projets d’aménagement et cloisons en carreaux béton cellulaire

SIPOREX, marque devenue générique très connue du grand public et distribuée exclusivement en Grandes Surfaces de Bricolage, est essentiellement utilisée pour l’aménagement intérieur et la décoration ainsi que la construction de cloisons dans la maison. Quant à l’offre YTONG, elle est commercialisée via les négoces de matériaux pour la construction et la rénovation de maisons, de logements collectifs, de bâtiments professionnels ainsi que la mise en œuvre de murs coupe-feu.Aujourd’hui, pour capitaliser sur la notoriété SIPOREX auprès des particuliers comme des professionnels et assurer une meilleure visibilité à YTONG, le groupe Xella a redéfini entièrement sa stratégie de marques. Il établit ainsi une nouvelle offre multicanal, plus claire avec des marques fortes, chacune ancrée dans leur univers :SIPOREX devient la marque dédiée au second œuvre pour l’aménagement intérieur (cloison, meuble de rangement, habillage...) avec une offre de carreaux de 5, 7 et 10 cm disponibles en Grandes Surfaces de bricolage et en Négoces de matériaux.YTONG devient la marque dédiée au gros œuvre pour la construction (murs coupe-feu, maisons individuelles, extension-surélévation, logements collectifs, bâtiments tertiaires...) avec des blocs de 15 à 42 cm désormais disponibles en Grandes Surfaces de bricolage et en Négoces de matériaux.« Nous avons choisi de repositionner nos marques SIPOREX et YTONG pour plusieurs raisons. Nous voulons mieux exploiter la notoriété de SIPOREX auprès des particuliers et des professionnels et offrir davantage de visibilité à la marque YTONG pour promouvoir les bénéfices des murs YTONG, notamment auprès du grand public, en lien avec notre communication YTONG Inside. Ensuite, il est essentiel d’avoir un discours en accord avec les avantages clés pour chaque application. Notre ambition est de créer des marques fortes pour chaque univers - SIPOREX pour le second œuvre et YTONG pour le gros œuvre - avec des moyens bien différenciés. Enfin, cette approche répond à l’évolution du marché et à la typologie des clients. Aujourd’hui, les particuliers comme les professionnels s’approvisionnent, pour leurs matériaux, dans tous les réseaux de distribution, en GSB comme en Négoces en matériaux. C’est pour toutes ces raisons, que nous avons entièrement redéfini notre stratégie en proposant une nouvelle offre multicanal pour les deux marques, afin d’en faire des marques fortes dans leur propre univers. » François CHARDON - Directeur Marketing et Prescription XellaNouvelle gamme SIPOREX : une offre optimisée pour l’aménagementIdéale en rénovation, la nouvelle gamme SIPOREX a été optimisée pour répondre à tous les projets d’aménagement intérieur et extérieur : moduler des pièces avec des cloisons droites ou courbes, habiller des murs, créer des meubles de rangement, concevoir une cuisine extérieure... Complète, elle propose des carreaux en béton cellulaire et les accessoires de pose spécifiques :Des carreaux droits (lisse ou emboîtement) : 5, 7 et 10 cm d’épaisseur / hauteur 25 et 50 cmDes carreaux courbes de 30 et 60° : 10 cm d’épaisseur / hauteur 25 cmDes linteaux armés : 10 cm d’épaisseur / hauteur 25 cm / longueurs 125, 150 et 200 cmDes accessoires de pose : mortier colle, colle prête à l’emploi, truelle.Les carreaux SIPOREXLes carreaux, les carreaux courbes et les linteaux SIPOREX présentent des caractéristiques exceptionnelles pour tous les travaux d’aménagement. Résistant au choc et léger (22 à 55kg /m2), le béton cellulaire est un matériau plein qui peut recevoir des fixations lourdes. Imperméable, perspirant et hydrofuge, il peut s’utiliser dans toute la maison, même dans les pièces humides (cuisine, salle de bains). Incombustible et ininflammable, il est particulièrement adapté à l’habillage d’une cheminée. Pour le confort et le bien-être des occupants, c’est un matériau sain, écologique et classé A+, qui préserve l’air intérieur. Pratique, il convient pour de multiples applications.Par ailleurs, le carreau SIPOREX est simple à manipuler car il est compact et léger. Facile à mettre en œuvre, il se découpe, se ponce et se façonne facilement pour offrir une grande liberté dans les projets. Pratique, il s’assemble par emboîtement ou par collage.De nombreuses finitions peuvent être posées sur les carreaux SIPOREX : enduits de finition, carrelage, peinture, toile de verre, résine...Innovation : SIPOREX EasyfixUne colle prête à l’emploi pour simplifier la pose des carreaux SIPOREXPour faciliter le montage des carreaux de béton cellulaire et réduire le temps de mise en œuvre d’une cloison ou de réalisation d’un aménagement, SIPOREX lance une nouvelle colle vinylique : SIPOREX Easyfix. Classée A+ et labellisée EC1 Plus, cette colle est parfaitement adaptée aux travaux d’intérieur car sa formulation est saine et écologique. A très faible émission de COV, elle répond aux plus hautes exigences en matière d’environnement et de santé. Pratique et prête à l’emploi, SIPOREX Easyfix est une colle qui permet un montage à sec, rapide, sans préparation préalable, ni eau ni outillage. Un véritable gain de temps.Ergonomique, le flacon à double embout (espacé de 4 cm) assure une bonne répartition de la colle sur la partie du carreau à encoller. Son temps d’ajustement est de 10 minutes, ce qui laisse le temps de bien positionner les carreaux.La bouteille d’1kg est adaptée pour un projet de 9 à 14 m², et permet de coller 50 m linéaire de carreaux SIPOREX.Prix public conseillé : 17,50 euros HT / Points de vente : GSB, Négoces en matériauxUne nouvelle communication orientée «projets utilisateurs»Les outils de communication (réseaux sociaux, site, guide de pose...) autour de la nouvelle gamme SIPOREX sont orientés sur les projets des utilisateurs. Ils veulent éveiller les envies d’aménagement à travers des visuels de projets finis, créatifs... et un discours simple « Avec des SI on peut tout faire ! » :PerformantUn matériau résistant, léger, hydrofuge, coupe-feu, sain et écologique.FacileUn matériau pour de multiples applications, mêmes les pluscréatives grâce aux carreaux courbes, et rapide à poser avec la colle SIPOREX Easyfix.PratiqueUn matériau compact, facile à manipuler et à travailler, qui autorise plusieurs finitions.ÉconomiqueUn matériau compétitif qui offre un gain de temps dans sa pose.Un accompagnement soutenu des points de vente partenairesPour accompagner le lancement de la nouvelle gamme SIPOREX, Xella met à la disposition des partenaires distributeurs un guide pratique à destination des utilisateurs. Concis et didactique, il présente les avantages des carreaux SIPOREX avec :une approche projet « Avec des SI on peut tout faire ! »pour offrir la possibilité au lecteur de se projeter dans des réalisations concrètes,un guide de choix,les règles de montage pour les cloisons et les rangements.Des ILV et des offres promotionnelles sont aussi proposées. Avec ces outils, les points de vente peuvent orienter les particuliers et les professionnels dans leurs projets, et s’assurer une bonne rotation produits en magasin.Par ailleurs, pour parfaire les connaissances des points de vente partenaires, Xella va plus loin en proposant des sessions de formation en ligne et en organisant une journée de visite d’usine et de montage de produit.Enfin, Xella, partenaire du programme de fidélité VIPros, participe à l’opération « Série Illimité » pour promouvoir la nouvelle marque SIPOREX. Du 1er juin jusqu’au 30 octobre les artisans et professionnels du bâtiment ont la possibilité de gagner un véhicule utilitaire hybride Ford Transit Custom, ainsi que plusieurs lots offerts par les marques partenaires du programme VIPros.
Il y a 3 ans et 267 jours

3 nouvelles start-up intègrent l’accélérateur « Santé – Prévention dans le BTP »

4 entreprises ont présenté leurs projets le 5 juillet dernier, devant un jury composé de professionnels du BTP et de la prévention et en présence des partenaires fondateurs, le CCCA-BTP, l’OPPBTP, PRO BTP et la Fondation EXCELLENCE SMA. Leurs projets ont été évalués sur la base de cinq critères :Le caractère innovant de leur technologie ou service ;L’accessibilité du marché visé ;L’équipe (les compétences et expertises mobilisées, la capacité à porter le projet) ;La fiabilité du business model ;L’adéquation de la start-up avec les thématiques santé et prévention de l’accélérateur.Cette douzième édition a permis à trois start-up ayant présenté leurs innovations de convaincre les membres du jury. Celles-ci ont donc été retenues pour intégrer l’accélérateur « Santé – Prévention dans le BTP » :> APPI Technology développe des systèmes autonomes de communication mains-libres conçus pour les équipes travaillant en milieux hostiles, bruyants ou confinés. Ces équipements, compatibles avec tout EPI, permettent de maintenir un dialogue entre les intervenants, de détecter des situations de danger et de relayer des alertes de sécurité aux opérateurs.« Dans le cadre de nos travaux de recherche pour le stockage en grande profondeur de déchets radioactifs, nos équipes sont amenées à travailler dans des galeries à 500 m de profondeur. La solution Appi nous permet de rendre aux opérateurs l’usage de leur voix et de leurs mains, notamment lorsqu’ils se trouvent en situation de stress dans des endroits à fort enjeu de sécurité. Nous avons également fortement gagné en distance puisque la solution nous permet d’établir une communication jusqu’à plus de 200 m de distance malgré la profondeur et l’encombrement, contre seulement 7 m auparavant. » témoigne François Laumann, de l’Agence nationale pour la gestion des déchets radioactifs (Andra).> Come in VR est un créateur de contenus de formation immersive en réalité virtuelle (VR) ou PC. La start-up propose notamment des solutions pédagogiques pour les organismes de formation ou les entreprises dans les secteurs de la logistique, du BTP et de la santé. Ces expériences immersives permettent de favoriser la formation des équipes et de valoriser leurs compétences.« Nous utilisons le module de formation virtuelle de Come in VR dédié à l’élingage, une opération de levage très classique dans les travaux publics mais accidentogène lorsqu’elle est mal réalisée. Grâce à ce module, nous avons permis à l’ensemble de nos apprenants en formation initiale ou continue d’acquérir les bons gestes pour être plus aguerris sur toute la partie pratique concernant cette opération, et ce de manière ludique et compréhensible par tous. » témoigne Jean-François Chabaud, Directeur de l’Ecole de la Construction des Infrastructures et Réseaux.> Recap développe une application qui permet de développer, documenter et superviser la transmission des consignes et des bonnes pratiques dans le domaine de la santé – sécurité au travail, bien souvent données à l’oral. Cela permet d’améliorer la sécurité des opérateurs sur le terrain, du responsabiliser les managers et de favoriser la justification du respect de l’obligation de sécurité tout en anticipant les risques de responsabilité.« Les premiers retours que nous avons reçus des entreprises du BTP ayant testé la solution font état d’un véritable intérêt commercial. En effet, l’application permet de prouver en direct, régulièrement et très facilement au donneur d’ordre d’un chantier que les engagements pris en termes de sécurisation du chantier et des salariés, dans le cadre du contrat, sont bien tenus au jour le jour. » confirme Arnaud Rimbert, avocat en droit du travail.Ces start-up bénéficieront de l’expertise et des retours d’expériences des quatre partenaires fondateurs, CCCA-BTP, l’OPPBTP, PRO BTP et la Fondation EXCELLENCE SMA, pour faire monter en puissance la performance des entreprises en matière de santé et prévention. Les partenaires s’engagent également à faciliter les échanges et la visibilité des start-up auprès de leurs entreprises adhérentes, notamment au travers de leurs sites web, leurs réseaux sociaux et leurs médias respectifs, ainsi qu’à l’occasion des événements auxquels ils sont susceptibles de participer.
Il y a 3 ans et 269 jours

TPF Industrie, unique fabricant de polyols sur le territoire

Pour créer cette usine, MGH a investi 3,5 millions d’euros permettant le montage du site de production, la R&D et son laboratoire qualité. Le site dispose d’une capacité de stockage de 250 tonnes et produits 125 tonnes de polyols formulés chaque semaine pour ses clients, professionnels dans l’isolation intérieure et extérieure en polyuréthane projeté des sols, des murs et des toitures pour le tertiaire, l’industrie, le collectif et la maison individuelle.Les Polyols pour systèmes à cellules fermées et à cellules ouvertes : de la performance thermique à la performance acoustiqueLa nouvelle usine TPF Industrie est le seul formulateur français de polyols destinés à la projection de polyuréthane pour le Bâtiment. Elle fabrique et livre du polyol pour des applications de polyuréthane à cellules ouvertes et à cellules fermées. Une fois livrés, les clients de TPF industrie fabriquent directement sur chantier le matériau isolant en mélangeant les polyols avec un agent réactif. La gamme des procédés ainsi mis en œuvre est destinée à l’isolation thermique et acoustique de toutes les faces d’un bâtiment. Ce qui mobilise actuellement 85 % de la production, ce sont les formules à cellules fermées. Elles ont le meilleur rapport : faible épaisseur / performance thermique et vont bénéficier de caractéristiques d’incompressibilité record pour isoler tous types de sols en béton ou en bois. La couche isolante peut recevoir tous types de chapes et de revêtements. L’isolation des murs périphériques maçonnés peuvent être isolés en polyuréthane à cellules fermées pour un gain de surface habitable et assurer dans le même temps l’étanchéité à l’air imposée par les règlementations thermiques. Si les ossatures sont en bois, on préférera une isolation en cellules ouvertes des murs. Ces procédés isolants sont plus épais mais moins denses que les précédents, ils permettent ainsi une amélioration de l’ambiance sonore du logement. Enfin, pour isoler thermiquement les toitures, tout en préservant les occupants des nuisances sonores extérieures en cas de fortes pluies ou d’environnement bruyant, la solution idéale est la mise en oeuvre de formules à cellules ouvertes. Elles sont déclinées en plusieurs plages de densité, selon les supports ou les usages particuliers, à chaque paroi, sa solution d’isolation « sur-mesure ».Le lambda (λ) vieilli : la performance thermique retenue d’un isolant à cellules ferméesLe λ est l’unité de mesure de la conductivité thermique, plus sa valeur est faible, meilleure est la performance isolante. Le polyuréthane à cellules fermées s’expanse grâce à un agent gonflant pour améliorer la performance thermique et avoir une bonne tenue volumétrique dans le temps. Si le matériau dispose d’un λ de 0,020 lors de son application, celui-ci évolue au cours de la première année. L’agent gonflant qu’elle contient reste en majeure partie prisonnier des cellules et agit à l’identique de l’argon dans un double vitrage. La conductivité thermique retenue, ou lambda vieilli, sera atteinte 12 mois après l’application de l’isolant. Il varie en moyenne de 5 mW (milliwatt) par rapport à l’initial, un λ vieilli de 0,025 est le standard de ce type de formule. Tout au long de l’année, TPF Industrie teste dans son laboratoire les isolants à cellules fermées de ses clients applicateurs afin de vérifier leur conformité aux certifications dont ils dépendent. Ces contrôles attestent aussi des bons réglages de l’unité de projection et de la qualité linéaire de l’isolant qu’elle fabrique.Des polyols plus vertueuxTPF Industrie a inauguré son site de production en développant une formulation plus vertueuse que ce qui se fabriquait jusqu’alors en Europe. Les polyols dédiés au polyuréthane à cellules fermées sont désormais expansés avec un agent gonflant au HFO (HydroFluoro-Oléfines), au lieu du HFC (HydroFluoro-Carbures) qui sera interdit en 2023 dans toute industrie en Europe. TPF Industrie a ainsi anticipé la réglementation et propose des formules ne générant quasiment aucun gaz à effet de serre lors de la mise en oeuvre. Mais TPF Industrie ne s’arrête pas là. Son objectif est de proposer un isolant à impact zéro sur l’environnement, la société a investi plus d’1 million d’euros supplémentaire pour mener ses recherches. Le pôle R&D de la nouvelle usine travaille d’ores et déjà sur de nouvelles formules qui seront composées de matières premières bio-sourcées et aussi de déchets de ponçage de polyuréthane recyclés afin de proposer, d’ici dix-huit mois, des polyols totalement vertueux.Un laboratoire QualitéOutre son pôle R&D, TPF Industrie dispose également d’un laboratoire qualité. Les propriétés mécaniques et thermiques de chaque fabrication sont contrôlées (masse volumique, conductivité thermique, résistance à la compression et stabilité dimensionnelle) avant chaque livraison afin de permettre à ses clients de fabriquer un polyuréthane de qualité constante en accord avec les exigences des certifications qui encadrent les procédés. Par ailleurs, TPF Industrie s’est également équipée d’une cabine de projection ventilée permettant d’éprouver en conditions réelles les propriétés des formulations de polyols et contrôler les caractéristiques une fois mélangé à un agent réactif.TPF ambitionne 20% du marché français de l’isolation des sols en 2024L’isolation projetée représente 15% du marché de l’isolation des sols en France. Grâce à la qualité de ses polyols, TPF Industrie a su s’imposer en distribuant près la moitié du marché. A l’horizon 2024, TPF Industrie ambitionne de doubler sa pénétration de marché en se substituant peu à peu aux solutions traditionnelles en rouleaux ou en plaques. En outre, TPF Industrie est également présent sur le marché à l’export à hauteur de 2%. Cette autre ambition accompagnera l’obtention des agréments et certifications spécifiques en vigueur chez nos voisins européens.Une capacité de stockage conséquenteLa nouvelle usine de production de TPF Industrie dispose d’un espace de production et de stockage de 1.000 m² sur un site qui compte 3.000 m² de surface totale. Ce vaste espace extérieur permet aux semi-remorques de ses clients de manœuvrer autour du bâtiment. L’usine dispose d’une capacité de stockage de 250 tonnes (deux semaines de stock), elle produit et livre la moitié de sa production de polyols (125 tonnes) chaque semaine à ses clients.L’isolation des sols : une technique 2 en 1L’isolation des dalles béton et des planchers bois en polyuréthane projeté de TPF Industrie offre l’avantage de faire office de ravoirage enrobant les gaines techniques et d’une isolation thermique. Cette technique 2 en 1 permet ainsi de réduire la réservation nécessaire, plus conséquente, lorsque qu’une isolation en plaques vient se rapporter sur un ravoirage classique en béton. On s’affranchit ainsi des défauts de planéité de la dalle support, on économise financièrement et en délais de séchage et on allège énormément l’ouvrage.Des clients variés et des partenariats au service de l’innovationLa clientèle de TPF Industrie se compose d’entreprises et de réseaux d’applicateurs qui commercialisent aux professionnels (architectes, maitres d’œuvres, Cmistes...) et aux clients particuliers. Les principaux sont SYNERIS et OSEO, réseaux d’applicateurs spécialisés dans le polyuréthane projeté, BATICONFORM, constructeur national et fabricant de maisons d’architecte à ossature métallique et THERMIMUR, fabricant de systèmes constructifs à isolation intégrée. S’agissant de ce dernier, TPF Industrie a mis au point un polyuréthane coulé à cellules fermées à la demande de son client afin de mettre au point un bloc-béton isolé. Actuellement, THERMIMUR dispose d’un site de production pilote de blocs-bétons isolés.Ces parpaings permettront de construire et d’isoler, en une seule étape, une maison avec une résistance thermique R = 5 et un λ vieilli de 0,025. Véritables pionniers en la matière, TPF Industrie et THERMIMUR collaborent depuis plus d’un an sur ce projet actuellement en phase finale et fournira, à terme, un volume de 8.000 tonnes de polyol nécessaire pour la réalisation de l’âme isolante des éléments constructifs nouvelle génération de THERMIMUR.Enfin, TPF Industrie propose à son partenaire THERMIMUR, une colle polyuréthane à hautes performances d’adhésion destinée au scellement de ses blocs bétons éliminant tout pont thermique pour une maison parfaitement isolée et construite plus proprement et plus rapidement en préservant les efforts des maçons...
Il y a 3 ans et 270 jours

Atlantem accélère sa transformation

Atlantem a bien démarré l’année avec une croissance dynamique grâce, notamment, à la montée en puissance de son usine AM-X de Saint-Sauveur-des-Landes. L’industriel breton entend poursuivre sur cette lancée en misant sur l’outil de production, mais aussi la sécurité et le bien-être au travail.
Il y a 3 ans et 272 jours

Construction d’un nouveau bâtiment pour l’Hôpital Nord-Ouest-Villefranche

Avec son nouveau bâtiment de consultations de chirurgie et d’anesthésie, l’HNO souhaite sécuriser et simplifier le circuit des nombreuses personnes consultant en anesthésie et en chirurgie.Aujourd’hui installées dans le bâtiment Duquesne (1982), les consultations externes sont dispersées dans des locaux devenus exigus avec le développement de l’activité ces dernières années.Une situation inconfortable pour les patients comme pour les professionnels qui devient problématique en période de pandémie. Les mesures de distanciation physiques sont difficiles à mettre en place dans des espaces trop étroits, les locaux ne permettent pas de circuits de marche en avant et l’imbrication des espaces de consultation et des espaces d’hospitalisation limite fortement les possibilités de différenciation des flux.La construction d’un nouveau bâtiment : Une réponse au besoin de sécurité et de fluiditéLongeant l’extrémité ouest du bâtiment principal de l’hôpital, le Duquesne, cette nouvelle construction permet une meilleure gestion des flux visiteurs et répond aux préoccupations sanitaires actuelles. L’accès direct permettra aux patients de se rendre en consultations sans traverser le cœur de l’hôpital. Avec une entrée et des sorties distinctes la marche en avant sera favorisée. Les contacts entre patients entrants et sortants seront évités, limitant ainsi les risques de contamination virale.L’architecture modulaire de ce bâtiment : Rapide, propre et made in FrancePorté en moins d’un an par le groupement rassemblant Bouygues Bâtiments Sud Est, mandataire, Ossabois, CRR Ecritures Architecturales et TEM Partners, ce projet de construction mixte est composé de fondations, cages d’escaliers, ascenseurs et unité de radiologie en béton, ainsi que d’environ 200 modules en bois. Cet ensemble forme un bâtiment de 4 étages offrant plus de 5.000 m² de surface.Il s’agit de travaux exemplaires, tant sur la rapidité de prise de décision par les parties prenantes que sur le mode constructif choisi : la construction mixte bois-béton. Fortes de leur expérience en la matière dans le cadre de la réalisation de bâtiments d’hébergements pour le Ministère des Armées et d’un collège pour la Métropole deLyon, les équipes Ingénierie et Travaux de Bouygues Bâtiment Sud-Est réalisent ce bâtiment de santé dans un délai record de 9 mois de travaux. Cette performance est rendue possible grâce au choix de la construction hors site et à un pilotage optimal des entreprises partenaires assurant les prestations complémentaires (façades, toitures, finitions des modules « ouverts », VRD/parking).Chaque module bois a été fabriqué dans les usines OSSABOIS dont l’un des sites est situé à Balbigny dans la Loire. Ils ont été équipés en système de plomberie, d’électricité et de chauffage pour ensuite être assemblés et montés sur des fondations béton.OSSABOIS est aujourd’hui le leader français de la construction hors-site de bâtiment en bois, concevant les éléments sur mesure pour chaque construction dans ses 3usines en France puis les achemine et les assemble sur le chantier. Avec une maitrise des coûts et une diminution jusqu’à 60 % des délais de construction, l’architecture modulaire permet également une réduction considérable des nuisances sur le chantier et l’environnement avec, notamment, des chantiers secs, sans nuisance de poussières et d’eaux sales mais également un circuit court des matériaux et de la production.Les travaux : Prochaines étapes et livraisonAvec un démarrage des travaux en décembre 2020 et une livraison prévue pour septembre 2021, le bâtiment de consultations devrait recevoir ses premiers patients courant novembre 2021. La pose de la passerelle aérienne, reliant ce nouveau bâtiment au bâtiment Duquesne, a été finalisée dans la nuit du 22 au 23 juin dernier. Installée en 4 tronçons, celle-ci mesure 39 m de longueur et facilitera le passage des professionnels de santé d’un bâtiment à l’autre.
Il y a 3 ans et 278 jours

Alain Taravella, Président d'Altarea, élu professionnel de l'année

Une récompense qui vient saluer son parcours entrepreneurial, sa capacité à maintenir le cap et même renforcer le Groupe dans une année marquée par une crise sanitaire sans précédent. Dans une année 2020 chamboulée par la Covid-19, la stratégie mise en œuvre par Alain Taravella a permis au Groupe de réagir rapidement aux nouveaux défis imposés par la crise sanitaire et de préserver sa solidité financière et opérationnelle. En Logement tout d’abord, les ventes ont été très rapidement réorientées vers les institutionnels et les parcours clients ont été entièrement digitalisés. En Commerce, le Groupe a accompagné les enseignes dans une démarche partenariale tout en continuant à innover à travers de nouveaux formats phygitaux. En immobilier d’entreprise, l’activité a été pérennisée et des livraisons emblématiques ont été réalisées malgré le contexte difficile. Parmi celles-ci, le 87 Richelieu, fruit d’une restructuration exemplaire qui regroupe depuis le mois de juin 2020 l’ensemble des marques du groupe Altarea. Lors des résultats annuels présentés en février 2020, Alain Taravella mentionnait pour le Groupe « avoir la capacité financière et managériale pour examiner toutes sortes d’opportunités qui lui permettront d’élargir encore sa palette de compétences ». Le 30 juin dernier Alain Taravella annonçait une étape clé dans l’histoire entrepreneuriale du Groupe, à travers 2 opérations majeures : l’entrée en négociations exclusives avec les actionnaires et le management du groupe Primonial en vue de son acquisition en deux temps (60% au T1 2022 et 40% au T1 2024) pour 1,9 milliard d’euros de valeur d’entreprise et la signature d’un partenariat stratégique avec Crédit Agricole Assurances portant sur 1 milliard d’euros de commerces existants détenus par Altarea. Ces opérations structurantes vont permettre à Altarea de devenir le leader indépendant de l’investissement et du développement immobilier.« Je remercie l’ensemble du jury pour cette récompense. Cette distinction, bien que personnelle, est le fruit du travail et de l’engagement de tout un groupe. Au terme d’une année 2020 compliquée, nous avons réussi à renforcer notre plateforme de compétence et démontrer la résilience de notre business model. Avec Primonial, nous écrivons une nouvelle page de l’histoire d’Altarea. Altarea est aujourd’hui plus que jamais une entreprise de ville capable de répondre aux besoins de l’ensemble des collectivités et de ses clients ». - Alain Taravella, Président-Fondateur d’Altarea
Il y a 3 ans et 282 jours

Salon Equipbaie, les marques LOREBAT, MOLENAT, BOURNEUF et MESLIN, ainsi que LORENOVE représenteront la polyvalence des business modèles du Groupe Lorillard

En septembre prochain, l’année 2021 marquera la 31ème édition du salon Équipbaie. Mais cette année 2021 est aussi celle des 85 ans du Groupe Lorillard. Un anniversaire représenté sur son stand au travers de ses savoir-faire et de son expertise. Au fil des années, le Groupe Lorillard a su faire évoluer son offre pour devenir un fabricant de menuiseries multi-matériaux et sur-mesure. Aujourd’hui ce sont une dizaine de menuiseries qui seront exposées sur le stand de 120 m², pour la représentativité de l’offre plurielle du Groupe. Premier acteur industriel de la menuiserie bois sur l’hexagone, Lorillard s’est entouré des menuiseries Bourneuf et Meslin ainsi que de la marque Molénat pour exposer toutes les compétences du Groupe en matière de menuiseries bois : défis architecturaux, menuiseries de formes et de grandes tailles, environnements de pose atypiques dans des bâtiments ERP de division administratives territoriales ou de sécurité publique, en milieu scolaire, etc. Ces 85 dernières années, le Groupe Lorillard a su développer des business modèles durables et se positionner ainsi sur tous les marchés. Le stand Équipbaie présente ses solutions adaptées pour l’artisan, le négociant ou encore le franchisé. DES BUSINESS MODÈLES AU PLUS PROCHE DES SPÉCIFICITÉS DES CLIENTS Fort de son antériorité sur le marché des menuiseries et de ses multiples compétences, le Groupe Lorillard a construit différents business modèles dans l’objectif de pouvoir satisfaire les besoins de tous les professionnels du bâtiment. Car être le partenaire privilégié des professionnels, c’est mettre à leur disposition un ensemble de prestations complémentaires, de la cellule technique et commerciale en passant par une organisation logistique rigoureuse, des services sur-mesure, et, en outre, des produits d’une qualité irréprochable. 3 business modèles seront présents sur le salon Equipbaie : – Lorebat dont la typologie des visiteurs du salon correspond principalement aux clients et prospects de cette marque. Les clients professionnels Lorebat bénéficient d’un vrai partenaire pour leur activité avec une cellule technique et commerciale basée à Chartres, un réseau national de technico-commerciaux pour apporter conseils et assistance sur le terrain, mais surtout un service de qualité exclusif : LorExpress, leur assurant un traitement optimal de leurs commandes et une organisation logistique rigoureuse dans un délai réduit au minimum. – Lorenove qui aura un corner pour répondre aux potentiels candidats à la concession. Les concessionnaires Lorenove bénéficient d’une enseigne à la notoriété reconnue, avec plus de 60 points de vente en France, et d’un accompagnement quotidien au niveau commercial, technique, mais aussi pour la communication. Ils bénéficient aussi du savoir-faire du Groupe en matière de mise en œuvre chez les clients finaux. À noter que depuis la dernière édition d’Equipbaie, l’enseigne Lorenove a été plébiscitée 2 années consécutives pour la qualité de son service client et récompensée par le Grand Prix des réseaux pour sa e-réputation. – E-Lori, le site de vente en ligne du Groupe Lorillard sera également présent sur le stand à l’aide d’une tablette de présentation. Lancé il y a 3 ans, E-Lori répond à l’expansion du e-commerce dédié aux professionnels. Il leur permet de commander en ligne leurs menuiseries sur-mesure à prix d’usine, grâce à la mise à disposition d’un configurateur dédié. Cette année le site fait peau neuve avec un nouveau design et une ergonomie optimale, il est étoffé de nombreuses informations sur les produits. Les utilisateurs pourront également bénéficier d’une promotion spéciale salon !   4 PÔLES POUR EXPOSER L’OFFRE MUTLI MATÉRIAUX Le stand de 120 m² accueillera un ensemble de menuiseries sous 4 pôles agencés par matériaux. Le pôle bois rassemblera le savoir-faire des menuiseries Bourneuf et Meslin et celui de la marque Molénat. La représentativité de l’activité bois au sein du Groupe Lorillard se chiffre à 45 M€ (fourniture et pose et fourniture seule), soit un quart du chiffre d’affaires du Groupe. C’est donc un matériau qui opère une évolution notable ces dernières années ; que ce soit sur le marché des chantiers de rénovation où la demande client est de plus en plus forte, mais aussi dans le neuf, nouvelle tendance influencée par les nouvelles normes et l’offre croissante de matériaux durables. À travers les menuiseries Bourneuf et Meslin le Groupe Lorillard est devenu un expert d’une menuiserie bois atypique et prestigieuse. Le Groupe a la capacité de répondre à des projets dont les besoins sont particuliers, tant dans la conception que dans l’esthétique. Pour figurer cela, différents types de menuiseries seront exposés : – Menuiserie de forme : un vantail en goutte d’eau, prototype d’étude dans le cadre de l’appel d’offres de la réhabilitation des tours Nuages de Nanterre, labelisées au patrimoine architectural du XXème siècle. vantail en goutte d’eau, prototype d’étude dans le cadre de l’appel d’offres de la réhabilitation des tours Nuages de Nanterre – Menuiserie monumentale : une porte d’entrée d’immeuble de 3.2 m de hauteur avec une imposte plein cintre vitrée et des soubassements moulurés. porte d’entrée d’immeuble de 3.2 m de hauteur avec une imposte plein cintre vitrée et des soubassements moulurés   – Menuiserie « TRADITION 70 » : l’authenticité et la chaleur du bois, avec une garantie de 5 ou 10 ans sur les lasures (selon Conditions Spécifiques de Garantie). Et – distinction en la matière – les menuiseries techniques pare-balle et coupe-feu. Issues d’un savoir-faire rarissime puisqu’aujourd’hui en France, seuls 2 fabricants sont en capacité de les produire et le Groupe Lorillard en fait partie, la gamme pare-balle et coupe-feu est une innovation Bourneuf. En effet, la Menuiserie Bourneuf détient la certification FB6 NS au Banc Officiel d’Epreuve des armes et munitions de Saint Etienne, pour ses fenêtres et portes. C’est dire la spécificité technique que l’entreprise est en capacité de développer pour répondre aux besoins de ses clients. Cette gamme est conçue pour garantir une très haute protection contre les attaques balistiques. Les fenêtres et portes fenêtres avec imposte fixe haute et/ou latérale et avec soubassement (porte fenêtre) sont concernées par cette certification. Elles assurent une résistance aux tirs de fusil d’assault et carabine de calibre 7.62×51, sans éclat de verre vulnérant et aucune projection de verre du côté arrière. Ce niveau de protection vaut aussi pour des armes et calibres inférieurs types FB5, FB4, FB3, FB2 et FB1(pistolets 357 Magnum, 44 Remington, 9mm Luger, fusil 22 long rifle…). Mais l’esthétique n’est pas en reste, les menuiseries offrent une mouluration sur mesure. Elles sont proposées avec toutes les essences de bois, massif ou lamellé collé, de peinture blanche ou avec finition sur demande, et équipées de quincailleries de style. Bourneuf possède également une certification pare flamme et coupe-feu sur toutes les essences (Mélèze, Chêne, Bois Exotique, supérieur à 600 Kg/m³) et ce, quelle que soit la forme de la menuiserie : droite, cintrée, anse de panier, avec des petits bois et même bombée. Pare-flamme½ h sur fenêtres et portes fenêtres à recouvrement et à mouton et gueule de loup (EW30), et, coupe-feu 1h sur fenêtres et portes fenêtres à mouton et gueule de loup (EI60). Outre ces certifications, la gamme répond également à des exigences acoustiques élevées, jusque 42 dB. Menuiserie bois Bourneuf FB6 NS assurant une résistance aux tirs de fusil d’assault et carabine de calibre 7.62×51, sans éclat de verre vulnérant et aucune projection de verre du côté arrière   Le pôle aluminium exposera le prototype d’un coulissant monobloc qui sera commercialisé début 2022. Ce nouveau coulissant est équipé d’une tapée de doublage intégrée qui facilite le travail de pose en neuf, elle offre également une meilleure rigidité au cadre et une étanchéité parfaite. Parmi ses autres propriétés, on lui reconnaît une excellente robustesse grâce à un dormant monobloc à rupture de pont thermique, assemblé en coupe droite par équerres collées et serties. Sa crémone multipoints à crochets et son dispositif anti-fausse manoeuvre lui garantissent un bon niveau de sécurité. Côté design, la finesse de son montant central de 38 mm et ses profils ultra fins offrent un rendu épuré et minimaliste avec un clair de vitrage maximum. Conforme à la norme PMR, ce coulissant est doté d’un seuil extra-plat, d’une hauteur de 25mm, ou proposé avec un dormant bas doté d’un recueil d’eau intégré et de drainages cachés. Enfin, son vitrage de 28 mm avec une couche basse-émissivité, un intercalaire isolant Warm-Edge et du gaz Argon (à très faible conductivité thermique) offre une isolation thermique optimale (coefficient Uw =1,6W/m².K). Ce coulissant sera disponible en 2 vantaux, 3 vantaux et jusqu’à 4 vantaux, pour des baies vitrées de grande largeur (jusque 6mètres) selon les besoins et la configuration des lieux. La menuiserie aluminium Océanic² à ouvrant caché, best-seller de la gamme frappe aluminium offre un design épuré avec un montant central de 76 mm, pour une luminosité optimale : +20 % de surface vitrée par rapport à une fenêtre classique (Sw 0,48 coefficient transmission de chaleur solaire / TLw 60 % Facteur de transmission lumineuse). Le caractère du design épuré des menuiseries Océanic² est renforcé par l’absence de pare-tempête extérieur en traverse basse grâce au drainage invisible. Ainsi, le drainage des feuillures des profils se fait tout en discrétion, par des orifices totalement invisibles lorsque la fenêtre est fermée. Dotée d’excellentes performances thermiques (coefficient Uw =1,5W/m².K) et d’isolation, grâce à ses trois joints d’étanchéité, Océanic² répond aux plus hautes exigences en matière d’économies d’énergie. Ces 3 joints rendent également les gâches plus difficiles à atteindre, en cas d’effraction. Equipée d’un double vitrage à haute isolation thermique de 28 mm d’épaisseur, certifié CEKAL avec une couche basse-émissivité, un intercalaire isolant et du gaz Argon, cette menuiserie offre une confort thermique renforcé. La porte fenêtre Océanic² est équipée d’un seuil permettant l’accessibilité aux personnes à mobilité réduite. Il présente l’avantage d’une circulation fluide entre l’intérieur et l’extérieur, sans avoir d’obstacle à franchir et offre un rendu harmonieux, intégré à l’environnement. Menuiserie aluminium Océanic² à ouvrant caché, best-seller de la gamme frappe aluminium, offre un design épuré avec un montant central de 76 mm, pour une luminosité optimale.   Le pôle HPC présentera 2 menuiseries caractérisées par la finesse de leurs profils et procurant un parfait équilibre entre performances thermiques, esthétisme et confort intérieur. LOMNIA, une menuiserie qui fédère de manière optimale les performances thermiques, le confort, l’esthétisme et la sécurité. Elle est l’alliance parfaite entre la qualité, le raffinement, les économies d’énergies et la sécurité. Menuiserie HPC LOMNIA alliance parfaite entre la qualité, le raffinement, les économies d’énergies et la sécurité. Et, TWINEA 2, un coulissant HPC présenté dans sa version seuil extra-plat. Spécialement adapté aux personnes à mobilité réduite, ce seuil assure une circulation fluide entre l’intérieur et l’extérieur, sans avoir d’obstacle à franchir. Il s’avère plus confortable pour les personnes âgées, mais aussi pour tout à chacun au quotidien. Ses rails en aluminium offrent une manœuvre optimale. Les profils renforcés en fibre de verre assurent à la fois robustesse et légèreté des ouvrants. Coulissant HPC TWINÉA 2 avec son seuil extra-plat, spécialement adapté aux personnes à mobilité réduite.   Pour finir, le pôle Porte fera la part belle à la collection Les Lumineuses qui a été réalisée avec Verrissima. La porte présentée est issue de la collection Amandine Mangenot, artiste plasticienne et matiériste. La porte est dotée d’un panneau central avec une impression numérique totale, au motif contemporain, qui offre un rendu exceptionnel avec des couleurs étincelantes et pérennes aux UV. Porte Lorenove de la collection Les Lumineuses qui a été réalisée avec Verrissima. 85 ans que le Groupe priorise l’innovation et la fabrication française avec des labels, des certifications, des brevets. Et, cette nouvelle édition d’Équipbaie en sera témoin. L’innovation est une perspective qui se dessine avec la présentation en avant-première de la prochaine gamme mixte bois-alu.
Il y a 3 ans et 285 jours

Vestack annonce l’ouverture d’une usine de construction hors-site bas-carbone en Seine-et-Marne

Vestack accélère le développement de son activité de conception et de construction de bâtiments bas-carbone en ouvrant ce nouveau site, dans lequel la production débutera à la fin de l’été 2021. La société a fait le choix de s’implanter sur une ancienne friche, en partenariat avec une société industrielle. Elle assemblera dans cette usine des modules à partir de panneaux de murs et de planchers en matériaux biosourcés, grâce à un processus industrialisé innovant. La qualité de ce système a été reconnue par de multiples labels, et la société a conclu un partenariat de recherche et développement avec l’ADEME. L’activité associée à cette ligne de production représentera dès cette année près de 30 emplois.Pour réconcilier le respect de l’environnement et la maîtrise des coûts, Vestack s’appuie sur une conception digitalisée et une fabrication industrialisée. L’entreprise permet ainsi à ses clients promoteurs de construire des bâtiments ayant une empreinte carbone 3 fois meilleure, 2 fois plus rapidement, et sans aucun surcoût par rapport à une construction traditionnelle.Vestack a fait le choix d'accroître sa présence sur le territoire francilien, qui conjugue plusieurs atouts pour son activité, en particulier la présence d’une main d'oeuvre qualifiée, la proximité des décideurs publics et la présence de clients ayant une forte ambition en matière d’urbanisme durable. L’ouverture de ce nouveau site participe à la relance de l’industrie en Ile-de-France. Il permet de relocaliser une industrie 4.0, qui s’appuie sur la convergence entre les industries de procédés et la conception digitale BIM (Building Information Modeling). La relocalisation et l’accroissement de la capacité de production de Vestack ont bénéficié d’un appui de la Région Ile-de- France au travers du Plan de Relance de l’Industrie.« La concrétisation de cette nouvelle implantation marque un tournant dans la croissance de Vestack et ouvre des opportunités ambitieuses pour nos projets de construction en Ile-de-France. Cette annonce illustre notre engagement en faveur d’un urbanisme durable et de la relance de l’industrie francilienne » déclarent les trois associés fondateurs de Vestack, Sylvain Bogeat, Nicolas Guinebretière et Jean-Christophe Pierron.Vestack travaille avec des promoteurs nationaux et des opérateurs sur des projets de conception et de construction de locaux d’activités et de bâtiments résidentiels collectifs de plusieurs milliers de mètres carrés. L’entreprise prévoit de poursuivre sa croissance en augmentant sa capacité de production en Ile-de-France, et en développant de nouveaux sites de productions afin de mailler d’autres territoires dans les années à venir.
Il y a 3 ans et 289 jours

Tuiles terre cuite : un outil de production de pointe et un marché dynamique pour Edilians

Le leader de la tuile en terre cuite en France a investi 7 millions d’euros ces 5 dernières années pour faire de son usine de Léguevin un outil de pointe. Il présente une nouvelle tuile pour la rénovation.
Il y a 3 ans et 291 jours

La première opération d'hébergement UNIK de Bouygues pour le Ministère des Armées va voir le jour à Saint-Maixent-l'École

Ce vaste plan d’hébergement de 247 M€ destiné à améliorer la qualité de vie des troupes militaires françaises se distingue par le choix d’une construction industrialisée hors site et une solution performante et durable alliant confort, maîtrise des coûts et délais optimisés. Baptisé UNIK, ce projet ambitieux fédérant 5 entités de Bouygues Bâtiment France Europe entame aujourd’hui une nouvelle étape avec le démarrage des travaux de la première opération à Saint-Maixent-l’Ecole, dans les Deux-Sèvres, pour l’Ecole Nationale des Sous-Officiers d’Active. Ces 2 bâtiments de 50 chambres seront livrés en mars 2022. Ce nouvel accord-cadre s’inscrit dans le cadre du plan d’hébergement lancé par la ministre des Armées le 17 octobre 2019 au 3ème RPIMa de Carcassonne. Il concerne la conception, la construction, l’aménagement, l’entretien et la maintenance sur deux ans de 3 lots géographiques de bâtiments d’hébergement répartis sur le territoire avec une concentration en Bretagne, dans le Grand-Est et en région méditerranéenne. Véritable programme multi-sites, il illustre la capacité de Bouygues Bâtiment France Europe à développer des projets collaboratifs fédérant ses différentes entités. Le programme UNIK compte en effet 46 opérations qui seront progressivement réalisées d’ici 2024 - dont 15 en 2021.« Bouygues Bâtiment France Europe est honoré de poursuivre son partenariat avec le ministère des Armées au travers de l’accord-cadre Unik. Ce programme ambitieux de construction modulaire se déploie sur toute la France et allie industrialisation et confort des usagers pour une solution personnalisée et sur mesure. La réalisation hors site et l’assemblage d’éléments préfabriqués sur le chantier permettent d’optimiser les délais de construction, de limiter l’impact carbone du projet, tout en conservant un chantier propre et en limitant les nuisances. Je suis fier de voir que nos équipes se réinventent chaque jour pour proposer à nos clients des modes constructifs plus sobres en énergie et offrir des bâtiments plus vertueux réalisés avec des partenaires locaux », déclare Nicolas BORIT, Directeur général délégué de Bouygues Construction en charge de Bouygues Bâtiment France Europe.« La loi de programmation militaire 2019-2025, c’est 295 milliards d’euros, sur 7 ans, dédiés à la rénovation et à la modernisation des infrastructures et des équipements des forces armées. A hauteur d’homme, la LPM porte des objectifs d’amélioration du quotidien des combattants qui se traduit par la mise à disposition d’infrastructures d’hébergement répondant aux standards modernes. Au-delà du contrat, c’est un vrai partenariat qui lie pour les prochaines années le ministère des Armées et Bouygues Bâtiment France Europe pour répondre à ce programme ambitieux au profit de l’ensemble du territoire » déclare le Commandant Nicolas, en charge du pilotage de ce contrat pour le ministère des Armées.Pour mener à bien l’ensemble de ces opérations, qui totalisent 120.000 m² de surface de planchers, 13 types de bâtiments d’hébergement ont été conçus pour être réalisés dans un délai optimal de 7 à 10,5 mois : des bâtiments en chambres individuelles, en chambres doubles et en chambres quadruples (pour les engagés volontaires de l’Armée de Terre) en fonction des sites et des besoins. Ces hébergements mettront l’accent sur le confort d’usage et la qualité de vie des militaires à travers une organisation des espaces en lieux de vie avec une zone de jour et une zone de nuit, un éclairage à la lumière naturelle, du mobilier de gamme hôtelière avec de grandes capacités de rangement... Une construction industrialisée hors siteLa particularité du programme UNIK repose également sur le choix d’une construction industrialisée en 2D mixant bois et béton. Tous les éléments constitutifs du bâtiment sont préfabriqués hors site, en usine et atelier. Ils sont ensuite assemblés sur le chantier. Cette démarche s’applique à l’extérieur des bâtiments (prémurs et prédalles, murs à ossature bois…) comme à l’intérieur (salles de bain préfabriquées, mobiliers préassemblés…). Cette solution standardisée permet à la fois de maîtriser les coûts, d’optimiser les délais de construction, de réduire notablement les nuisances sur site, mais aussi d’améliorer la qualité de la construction et d’anticiper la future réutilisation des matériaux.Romain Vondière, Directeur UNIK précise : « L’objectif de ces démarches de standardisation et d’industrialisation est de répondre au mieux aux attentes de notre client sur la qualité délivrée et l’ambiance intérieure proposée aux militaires ».« UNIK est un projet architectural, pensé par l’agence VLAU, comme un nouveau modèle d’architecture militaire, alliant standardisation, patrimoine et habitabilité. La conception optimisée de chaque élément permet de répondre aux principaux enjeux du cahier des charges : pérennité, performance environnementale, confort et efficience constructive. L’adaptation aux contextes géographiques et urbains renforcent l’identité de chacune des constructions tout en respectant l’héritage des sites dans lesquels elles s’inscrivent. Enfin, l’usager bénéficie d’espaces privatifs reposants et de qualité, ainsi que de véritables espaces de convivialité et de rencontre, tant intérieurs qu’extérieurs par l’aménagement de loggias et d’espaces publics. ». déclare Pierre Maurette, Vincent Lavergne Architecture UrbanismeUNIK se concrétise à Saint-Maixent-l’École (79)La première opération UNIK se concrétise à Saint-Maixent-l’Ecole dans les Deux-Sèvres, sur le site de l’Ecole Nationale des Sous-Officiers d’Active. Les travaux se poursuivront jusqu’en mars 2022 et concernent la construction de 2 bâtiments de 50 chambres individuelles. Ces deux bâtiments de type BCC (Bâtiment pour Cadres Célibataires) d’une capacité de 50 lits avec tuiles en toiture et enduit clair en façade s’organiseront autour d’une placette et d’aménagements paysagers. L’industrialisation des façades MOB (Murs à ossature Bois), des murs de refend, des dalles et des salles de bains va permettre une mise en œuvre simple et rapide de ces bâtiments tout en alliant robustesse et durabilité. Pour ce chantier, les partenaires locaux et régionaux sont privilégiés avec déjà plus d’une quinzaine d’entreprises partenaires désignées.
Il y a 3 ans et 292 jours

À Suresnes, Vilogia et Bouygues Bâtiment lancent la métamorphose de l’ancien siège d’Airbus

S’engager pour le logement étudiant dans les métropoles tenduesLa question du logement des étudiants disposant de revenus modestes se pose avec acuité dans les zones tendues – a fortiori en Ile-de-France. Bailleur social, Vilogia s’engage sur cette question en reconvertissant l’ancien siège d’Airbus en logements sociaux étudiants. Les travaux menés par Bouygues Bâtiment Ile-de-France Habitat social viennent d’être lancés et conduiront à la création de 270 logements à proximité du Campus Grand Paris de la SKEMA Business School. Ces derniers seront accessibles aux étudiants sous conditions de ressources.22.000 m² de surface réaménagésLe projet, réalisé en conception réalisation avec Tecnova Architecture, DGM Architecte, CET Ingénierie et Amiex, propose un dosage subtil entre réutilisation du bâti et modernisation des équipements. En sus des logements, des espaces de co-working, des salons communs, une salle de sport ainsi qu’un toit terrasse seront créés. Une nouvelle aile sera bâtie afin d’accueillir des commerces de proximité. Des places de parking en sous-sol faciliteront le stationnement des étudiants.L’économie circulaire comme pilier du projetL’un des objectifs majeurs du chantier est de favoriser l’économie circulaire. Après une étude approfondie, Vilogia et Bouygues Bâtiment Ile-de-France se sont engagés à recycler ou réemployer 85 % des volumes des matériaux. A titre d’exemple, la pierre agrafée existante sur les façades du bâtiment sera réutilisée. Les pierres seront déposées, nettoyées et remises en place sur les principales façades. Les matériaux et les produits seront réutilisés sur site ou auront une seconde vie grâce aux filières locales d’économie circulaire. Les dons de produits et de mobiliers aux associations ou écoles locales seront privilégiés. Ces choix permettront d’économiser au moins 1.200 tonnes de CO2 par rapport à une démolition - reconstruction classique.La mise à disposition des logements est prévue fin 2022.
Il y a 3 ans et 292 jours

Ram, 70 ans que ça fixe

Depuis 1951, RAM est présent aux côtés des électriciens et des plombiers avec des solutions astucieuses et performantes. En 2020, le fabricant français a enregistré des résultats en volume et en valeur en forte hausse. L’année 2021 s’inscrit sur une tendance similaire avec une croissance à 2 chiffres et la volonté pour l’entreprise d’aller encore plus loin.Plus de 3.000 références via la distribution professionnelleEntreprise industrielle de plasturgie reconnue pour la qualité de ses produits de fixation (chevilles, agrafes, colliers…), RAM dispose d’un large parc de presse à injecter. De son usine de production à Wissous sortent chaque année plus de 60 millions de fixations. « Nous avons fait le choix de maintenir notre système de production en France. Avec le recul, cette décision s’est révélée la bonne. RAM est une entreprise familiale attachée à ses racines, ses valeurs et à son savoir-faire », explique Bernard Fournier, Président de RAM. « Et pour autant, nous n’avons jamais cessé d’innover pour faciliter la mise en œuvre des fixations et apporter des solutions performantes ».Aux côtés des artisans pour mieux appréhender leurs besoinsPour les 70 ans de la marque, RAM a souhaité innover et entamer un virage dans sa communication pour être au plus près des artisans et de leur quotidien. Une nouvelle posture, avec du relief et des valeurs assumées mises en scène sur les packaging, les réseaux sociaux ou encore via des tutos filmés. RAM veut marquer ses différences et se montrer sans filtre : engagé, authentique, solidaire et performant.Une ambition de croissance à +20%RAM veut accroitre son développement sur un marché de plus en plus concerné par les valeurs, les circuits logistiques courts et les engagements des marques. « Nous souhaitons apporter aux artisans une alternative aux offres traditionnelles. En achetant des solutions RAM, les artisans donnent du sens à leurs achats de consommables. Par exemple, avec notre produit phare ; la cheville Fusée multimatériaux, ils font le choix de la performance mais également de favoriser une PME française engagée ! », précise Bernard Fournier.
Il y a 3 ans et 296 jours

Humidistop prend le virage du 100% digital et poursuit sa croissance malgré la crise

L’exemple du spécialiste français des produits contre l’humidité, Humidistop France, est particulièrement flagrant.Face à la crise sanitaire, la société toulousaine a immédiatement décidé de réagir en transformant toute son organisation sanitaire.William COIGNARD, le fondateur, souligne : Nous avons délibérément choisi d’abandonner les visites au domicile des particuliers, qui étaient pourtant jusque-là notre principal vecteur de vente. A la place, nous avons opté pour un modèle 100% digital reposant sur un diagnostic par téléphone et des commandes en ligne.Cette stratégie s’est avérée gagnante : aujourd’hui Humidistop est en pleine croissance malgré la crise et continue son expansion à l’international. Le digital, un véritable accélérateur de croissance à l’ère de la Covid-19Alors qu’une troisième vague épidémique contraint le Gouvernement à reconfiner davantage de départements et à adopter de nouvelles contraintes sanitaires, Humidistop a développé une stratégie qui permet d’intégrer les règles de distanciations sociales.Son approche en ligne est également en phase avec le “monde d’après”, dans la mesure où les Français utilisent désormais massivement Internet et les téléphones mobiles.Cette société française dynamique s’est donc dotée d’un nouveau site internet qui lui a permis d’étendre son offre à l’ensemble de la France et aux pays voisins.Humidistop propose ainsi :Un diagnostic à distance gratuit, pour identifier le problème et trouver la solution adaptée : Tâches & moisissures, Inondation & dégâts des eaux, Buée & condensation excessive, Salpêtre et mur humide, Façade, sous-sol ou cave humide.Des prix “direct usine” ultra-compétitifs afin de démocratiser l’accès aux produits contre les remontées capillaires et l’humidité dans les murs dans tous les types de bâtiments (églises, bureaux, appartements et maisons) pour résoudre définitivement les problèmes d’humidité.Une boutique en ligne intuitive et performante pour commander des appareils anti-humidité d’une redoutable efficacité.La fabrication française des inverseurs de polarité contre l’humidité dans les murs.Pour les pros : des solutions alternatives pour tous les travaux de rénovation via Help HumiditéDepuis février dernier, Humidistop a confié la distribution de ses produits aux professionnels à la société Help Humidité, qui dispose également d’une boutique en ligne.Cette démarche leur permet d’élargir leur offre en proposant des alternatives complémentaires aux travaux de rénovation. Les inverseurs de polarité STOP ONE (électromagnétique) et GEOSTOP (géomagnétique) conviennent en effet à tous les types d’habitation et à tous les budgets.William COIGNARD précise : Nos produits sont appréciés par les particuliers pour leur faible coût, leur rapidité d’installation et leur efficacité. En ce sens elles représentent une forte valeur ajoutée pour tous les professionnels de l’habitat.Zoom sur les produits phares HumidistopSTOP ONE : l’inverseur de polarité électromagnétiquePour lutter contre l’humidité dans les murs, cet appareil simple et efficace se branche à une prise de terre, à poser ou à fixer dans la zone humide, sans toucher à la maçonnerie.Le ratio d’émission de STOP-ONE s’étend de 30m2 à plusieurs centaines de mètres carrés selon la version installée et fonctionne à travers les murs et cloisons.L’assèchement des murs s’effectue ensuite par évaporation naturelle de l’humidité (entre 12 et 24 mois selon les spécificités du bâtiment et le suivi des recommandations).STOP-ONE est disponible en 2 coloris. Prix : à partir de 1 100 € (selon le modèle choisi).GEOSTOP : l’inverseur de polarité géomagnétiqueLa centrale géomagnétique GEOSTOP ne nécessite aucun travaux, ni batterie, ni branchement sur secteur. Ce boitier cylindrique fonctionne uniquement avec l’énergie des champs électromagnétiques.Complètement autonome, il permet d’assécher les murs grâce à l’évaporation naturelle de l’humidité (entre 12 et 24 mois selon les spécificités du bâtiment et du suivi des recommandations).GEOSTOP est disponible en 2 coloris. Prix : à partir de 1100 € selon le modèle choisi.Humidistop : plus de 10 ans d’expertise dans le traitement de l’humiditéWilliam Coignard crée sa société Humidistop France en février 2012.Constatant que plus d’un foyer sur deux connaît des problèmes d’humidité et que les solutions existantes semblent toujours inaccessibles ou trop coûteuses, il choisit d’investir ses compétences dans ce domaine encore mal développé. Il participe activement au traitement de l’humidité dans les bâtiments : infiltrations, remontées capillaires, moisissures, salpêtre, humidité de l’air, dégât des eaux…Au fil des années, des interventions et des progrès de la science, il élargit l’éventail de ses possibilités et connaît rapidement une forte croissance. Plus que sa motivation commerciale, c’est aussi ses convictions qui le pousse à se dépasser.William Coignard précise : Entrepreneur militant, je suis en lutte contre les phénomènes d’humidité et je souhaite rendre le traitement contre l’humidité accessible à tous. Je vais au-delà d’une simple démarche commerciale de vente de produits.Entreprise certifiée QUALIBAT, Humidistop intervient auprès des particuliers, des maîtres d’ouvrages, DGS, des assureurs, des syndics, mais aussi directement auprès des médias. William Coignard intervient régulièrement dans les médias pour toutes les questions relatives aux problèmes d’humidité.
Il y a 3 ans et 296 jours

Avignon : bientôt une nouvelle usine de méthanisation dans la zone de Courtine

La future usine de méthanisation de la zone de Courtine produira du biogaz.
Il y a 3 ans et 296 jours

Le Russe Partner Group achète 100 toupies sur porteurs Mercedes-Benz Arocs

Possédant déjà 71 camions Mercedes-Benz, Partner Group ajoute 100 Mercedes-Benz Arocs 4142B flambant neufs à son parc. [©Mercedes-Benz] Daimler Kamaz Rus (DK Rus), la joint-venture entre Daimler Trucks et son partenaire Kamaz, a reçu une importante commande de l’entreprise de construction russe Partner Group. Possédant déjà 71 camions Mercedes-Benz, cette dernière ajoute 100 Mercedes-Benz Arocs 4142B flambant neufs. Ceci, pour renouveler sa flotte de toupies. Près de 30 camions ont déjà été livrés depuis avril dernier chez le concessionnaire de Moscou. Les autres suivront jusqu’à la fin de l’année. Tous ces porteurs sont équipés de la solution télématique Fleetboard, qui permet de surveiller la flotte et d’analyser son efficacité. Quant à la partie « toupie », elle est signée Liebherr.  Une forte implantation en Russie Lors de la remise des premiers véhicules à Partner Group, les chauffeurs de l’entreprise ont aussi reçu une formation spéciale dispensée par des spécialistes de Mercedes-Benz Trucks.    Avec plus de 1 000 employés, DK Rus a assemblé et vendu plus de 35 000 camions Mercedes-Benz et Fuso pour le marché russe au cours des 11 dernières années. En août 2018, la joint-venture a introduit les Mercedes-Benz Actros et Arocs de dernière génération sur le marché russe. Ces camions sont produits dans l’usine Mercedes-Benz Trucks de Wörth, en Allemagne. Puis, conditionnés sous forme de kits dans le centre CKD1de l’usine, avant d’être envoyés en Russie par porte-conteneurs. A leur arrivée sur le marché, les camions sont assemblés sur place dans l’usine de montage de DK Rus, à Naberezhnye Chelny, à 928 km à l’Est de Moscou. Les cabines des camions sont produites au niveau local dans une installation dédiée ouverte en 2019. 1Completely Knocked Down. L’expression représente une technique qui consiste à exporter des produits non assemblés, notamment pour éviter des droits de douanes élevés et conserver la valeur ajoutée technologique chez l’exportateur.
Il y a 3 ans et 297 jours

Aux Etats-Unis, Saint-Gobain produit des systèmes de revêtements de façade en pierre

PRODUCTION. Le spécialiste des matériaux de construction, Saint-Gobain, produit désormais ses propres systèmes de revêtements de façade en pierre Stonefaçade dans sa nouvelle usine de Quakertown en Pennsylvanie, Etats-Unis.
Il y a 3 ans et 297 jours

Le Cnit, chantier du siècle

Le Cnit au début des années soixante.[©Epad] Le Centre des nouvelles industries et technologies – le Cnit – est le premier bâtiment construit à Paris – La Défense. Il doit son existence à Emmanuel Pouvreau, président du syndicat des constructeurs de machines-outils qui militait pour la création d’un grand centre d’expositions pour l’industrie française. Le projet aboutit en 1958, implanté sur le terrain triangulaire des anciennes usines Zodiac auquel le bâtiment doit sa forme. Sa création est confiée à Robert Camelot, Jean de Mailly et Bernard Zehrfuss, trois architectes “Grands prix de Rome”. Ils sont accompagnés de Jean Prouvé, concepteur des façades en verre et acier, parties de la construction aujourd’hui classées “Monument historique”.  La première étape du chantier concerne la construction des planchers précontraints. Le principal, en forme de triangle équilatéral de 11 000 m2, se situe à 12 m au-dessus du sol naturel, au niveau de l’actuel Parvis. Il est réalisé sur la base de deux dalles (8 cm et 6 cm) superposées distantes de 1,80 m. Cet article est réservé aux abonnés des revues Béton[s] le Magazine et Bâti & Isolation. Déjà abonné Mon email Mon mot de passe Oublié ? En plus de votre magazine, profitez d’un accès illimité à l’ensemble des contenus et services du site www.acpresse.fr : Lecture de l’intégralité des dossiers thématiques, reportages chantiers, fondamentaux, histoire de la construction… Consultation des indicateurs économiques (chiffres et analyses) + vos newsletters pour suivre l’info en continu Je m'abonne
Il y a 3 ans et 299 jours

Saint-Gobain ouvre son premier site de fabrication Stonefaçade aux Etats-Unis

La nouvelle usine de Quakertown (Pennsylvanie) produira des revêtements de façade en pierre à visser à destination d'un marché de plus en plus friand de ce genre de solutions.
Il y a 3 ans et 299 jours

Matterport franchit le cap des cinq millions d’espaces gérés

Matterport, Inc., l’entreprise de données spatiales à la tête de la transformation digitale du monde du bâtiment, a annoncé que ses centaines de milliers de clients à travers le monde ont mis en ligne cinq millions de bâtiments et d’espaces via sa plateforme leader du marché, afin de pouvoir y accéder, les gérer et les utiliser plus efficacement.Près de 1,5 milliard de mètres carrés, soit plus de cinq fois le nombre de bâtiments dans la ville de New York, ont été transformés en jumeaux digitaux Matterport – qu’il s’agisse de maisons, de bureaux, d’écoles, d’usines, de magasins, d’hôtels, d’appartements, de locations de vacances, de musées, de galeries, de bateaux de plaisance et même d’avions. L’implication du numérique ne cesse de croître, avec plus de 2 milliards de vues de jumeaux digitaux provenant du monde entier. Le nombre de jumeaux digitaux Matterport a plus que doublé depuis mai 2020, alimenté par une série d’innovations et de solutions plus accessibles à tous, notamment l’application gratuite Matterport pour iPhone.Matterport permet à tout un chacun de capturer un espace physique facilement et rapidement et de le transformer en un jumeau digital précis et immersif, ouvrant ainsi une nouvelle voie aux entreprises et autres utilisateurs pour gérer leurs espaces, collaborer virtuellement entre collègues et interagir avec des clients sans se déplacer. Grâce à Matterport :Des bureaux d’architecture, d’ingénierie et de construction comme Burns & McDonnell réduisent de plusieurs mois la durée de leurs projets en accélérant la prise de décision et la gestion de projet.Des grandes enseignes comme Herman Miller créent des expériences immersives qui impliquent les clients et augmentent les ventes.Des sociétés d’immobilier résidentiel comme Engel & Volkers fournissent un accès virtuel à toutes leurs annonces. Dans une étude récente avec Redfin, 78 % des acquéreurs ont choisi de visiter des biens avec des visites 3D et 71 % ont déclaré qu’ils pourraient acheter un bien sans le voir en personne.Des musées étonnants comme le Handel & Hendrix à Londres ou des sites historiques comme le spectaculaire tombeau du pharaon Ramsès VI en Égypte permettent aux visiteurs du monde entier de les explorer à tout moment et à leur rythme, avec un niveau de précision et de détails impressionnant.Des établissements scolaires comme le Van Maerlant offrent aux étudiants et aux parents un moyen virtuel de comprendre comment l’école se prépare à la réouverture post-COVID, rassurant et réconfortant ainsi les intéressés.Des entreprises en charge des travaux comme ATI et Belfor peuvent estimer un sinistre quatre fois plus rapidement avec un jumeau digital hautement fidèle, donnant les dimensions précises de l’espace endommagé.Des sociétés internationales d’immobilier commercial comme Savills ne se contentent pas de présenter les biens de manière plus efficace, elles aident aussi leurs clients à les aménager et à les optimiser dans la perspective du retour au travail. Des espaces de bureaux comme la Freedom Tower à New York peuvent être aménagés virtuellement en respectant les règles de distanciation sociale.« Les jumeaux digitaux Matterport sont fascinants et facilitent les échanges entre les parties prenantes des différentes régions, » déclare Patrick McGrath, CIO chez Savills. « Même lorsque tout le monde est dans la même région, Matterport réduit le temps nécessaire à la compréhension d’un bien - passant de plusieurs jours et de multiples visites sur place à seulement quelques heures par téléphone. » McGrath ajoute que ces avantages ne prendront pas fin avec la pandémie, Savills continuera à utiliser Matterport de différentes façons pour rendre service à ses clients. « Dans notre environnement actuel, je ne vois pas comment un conseiller pourrait avoir un échange efficace en termes d’immobilier sans Matterport. »« Matterport est en train de changer fondamentalement notre façon d’appréhender les bâtiments et les espaces dans lesquels nous vivons, travaillons et nous divertissons, en les transformant en données. Numériser un espace ouvre de nouvelles voies pour s’y intéresser, y accéder, le gérer et l’utiliser, même s’il se trouve à l’autre bout du monde, » déclare RJ Pittman, CEO de Matterport. « L’immobilier, sous toutes ses formes, est le plus grand catalogue d’actifs au monde, avec une valeur estimée de 230 mille milliards de dollars, mais il reste encore largement hors ligne. L’étape d’aujourd’hui constitue une avancée majeure qui reflète le travail réalisé ces dix dernières années. La numérisation du bâtiment avec la rapidité et la précision qui sont les nôtres requiert une science et des données sans précédent pour être menée à bien. Nous sommes poussés par les grandes innovations qui nous attendent et par la formidable ampleur du monde hors ligne, dont nous ne faisons encore qu’effleurer la surface. Cela pourrait être la plus grande opportunité des dix années à venir. »Avec plus de deux milliards de vues virtuelles de jumeaux digitaux et des dizaines de millions de mesures numériques effectuées à ce jour, l’adoption des technologies Matterport continue de se développer dans le monde entier. Les propriétaires d’un logement peuvent ainsi vérifier si les nouveaux meubles peuvent convenir avant de les acheter, et les planificateurs peuvent collaborer en ligne pour réorganiser l’espace avant un retour au bureau ou à l’école en toute sécurité par exemple. Les temps et les coûts de déplacements sont réduits et le confort pratique renforcé avec les puissants outils de Matterport pour visualiser, mesurer, personnaliser, aménager l’espace et collaborer – le tout accessible en ligne depuis n’importe quel appareil, partout dans le monde.La semaine dernière, l’application Matterport Capture est devenue disponible pour des milliards d’utilisateurs Android dans 175 pays, augmentant ainsi considérablement la portée du marché de Matterport. Désormais, ce sont 85 % de plus du parc de smartphones dans le monde qui peuvent connecter leurs appareils à la caméra Matterport Pro2 et aux nombreuses caméras 360 de Ricoh et d’Insta360. En outre, l’entreprise a annoncé avoir étendu les capacités de Matterport Capture Services™, une plateforme de services en ligne qui offre une solution pratique clé en main pour les entreprises qui ont besoin de numériser simultanément et très rapidement des dizaines de milliers d’actifs immobiliers à l’échelle mondiale. Toutes ces innovations accélèrent encore l’expansion de Matterport dans le monde et confirment l’entreprise à sa place de fournisseur incontournable de solutions de capture 3D.
Il y a 3 ans et 299 jours

Lafarge accusé de crimes en Syrie: la Cour de cassation reporte ses décisions au 7 septembre

La plus haute juridiction de l'ordre judiciaire devait initialement se prononcer ce jeudi sur six pourvois déposés dans cette enquête.D'un côté, l'ONG Sherpa, le Centre européen pour les droits constitutionnels et les droits de l'Homme (ECCHR) ainsi que onze anciens salariés de Lafarge en Syrie, contestent depuis novembre 2019 l'annulation par la chambre de l'instruction de la cour d'appel de Paris de la mise en examen du groupe pour "complicité de crimes contre l'humanité", une très lourde qualification pénale, notamment en termes d'image publique.Les associations s'élèvent aussi contre le rejet de leurs constitutions de parties civiles, qui les empêche d'avoir accès au dossier, de demander des actes d'enquête aux juges d'instruction et d'espérer une indemnisation en cas de condamnation.De l'autre, le cimentier, qui reste mis en examen pour "financement d'une entreprise terroriste", "mise en danger de la vie d'autrui" et "violation d'un embargo", et deux anciens responsables du groupe, l'ex-directeur Sûreté de l'entreprise Jean-Claude Veillard et l'un des ex-directeurs de la filiale syrienne, Frédéric Jolibois, se sont pourvus contre l'ensemble des poursuites à leur encontre.Dans cette information judiciaire ouverte en juin 2017, Lafarge SA est soupçonné d'avoir versé en 2013 et 2014, via sa filiale Lafarge Cement Syria (LCS), près de 13 millions d'euros à des mouvements terroristes, dont le groupe Etat islamique, et à des intermédiaires, afin de maintenir l'activité de son site en Syrie alors que le pays s'enfonçait dans la guerre.Le groupe est également suspecté d'avoir vendu du ciment de l'usine à l'EI et d'avoir payé des intermédiaires pour s'approvisionner en matières premières auprès de factions jihadistes.Un rapport interne commandé par LafargeHolcim, né de la fusion en 2015 du français Lafarge et du suisse Holcim, avait mis en lumière des remises de fonds de LCS à des intermédiaires pour négocier avec des "groupes armés".Mais Lafarge SA a toujours contesté toute responsabilité dans la destination de ces versements à des organisations terroristes.
Il y a 3 ans et 300 jours

Prysmian Group à l'honneur pour son rôle majeur en France

Prysmian Group investit en France pour supporter la transition énergétiqueEn tant que leader mondial de l’industrie des câbles et des systèmes pour la transmission et la distribution d’énergie et des fibres optiques pour les réseaux de télécommunications à large bande, Prysmian Group joue un rôle de premier plan pour rendre possible la transition énergétique, avec la France au cœur de son projet de développement. A ce titre, Valerio Battista Président du groupe mondial du groupe et Laurent Tardif, Président Europe du sud ont été conviés le 28 Juin à participer à Choose France, l’évènement organisé par le gouvernement français pour inciter les grands industriels internationaux à investir en France.Présent en France avec 10 sites de production, 2.700 employés et un chiffre d’affaires annuel supérieur à un milliard d’euros, le Groupe a mis en place un projet d’expansion industrielle et de nouveaux laboratoires de Recherche &développement à Gron (Bourgogne–Franche-Comté) et à Montereau (Île-de-France) afin d’intensifier la production de câbles à haute tension dans le pays.Avec une valeur initiale de 40 millions d’euros, l’investissement vise à créer de nouveaux centres R & D et à mettre en œuvre de nouveaux systèmes de production de câbles souterrains HVDC (haute tension à courant continu) de ±525 kV en cuivre isolés avec la technologie propriétaire innovante dite P-Laser, la première conception 100 % recyclable, écodurable et hautement performante, développée en utilisant le matériau HPTE (High Performance Thermoplastic Elastomer - élastomère thermoplastique haute performance). Cet investissement prévoit quarante cinq nouvelles embauches. En France, Prysmian Group développe des projets de pointe pour rendre la transition énergétique possible :Câblage de parcs éoliens offshore pour RTE et EDF RenouvelablesInterconnexions Européennes électriques terrestresInterconnexions Européennes électriques et sous-marinesLes câbles optiques à la Grande Exposition du Fabriqué en France à l’ElyséeL’usine Prysmian Group de Montereau-Fault-Yonne a été sélectionnée par la commission gouvernementale du Ministère de l'industrie pour représenter le département de Seine et Marne dans le cadre de la GrandeExposition du Fabriqué en France à l'Elysée les 3 et 4 juillet. Une distinction venue mettre un coup de projecteur sur le rôle clé du Groupe dans le déploiement de la fibre optique en France.Les câbles optiques Flextube®, dédiés aux réseaux Très Haut Débit et fabriqués à Montereau-Fault-Yonne, ont la particularité de pouvoir se déployer dans tous types d'environnements (pose en conduite, sur support aérien, en intérieur...). Cette prouesse technologique est un élément clé pour répondre aux défis opérationnels du déploiement du Plan France Très Haut Débit lancé par le Gouvernement français. C’est ainsi que le câble flextube® 144 fibres fabriqué à l’usine de Montereau a été retenu par le comité de sélection de la Grande exposition du Fabriqué enFrance à l’Elysée pour représenter le département 77 ».Dans le cadre de ce plan, Prysmian Group s’est engagé aux côtés de l’Agence du Numérique et de la Mission TrèsHaut Débit, et participe au développement des infrastructures de l’Intranet Très Haut Débit (d’ici 2022) et de la fibre optique jusqu’à l’abonné partout en France à horizon 2025.Par sa maîtrise unique de l’ensemble des processus de fabrication des câbles à fibres optiques, Prysmian Group est le seul industriel en France à proposer des solutions intégrées. Ses câbles à fibres optiques représentent à eux seuls plus de 45% du déploiement du réseau de fibre optique sur le territoire national.Pour relever ce challenge industriel national en seulement 12 ans, Prysmian Group a fait appel à quatre de ses dix usines françaises :L’usine de Douvrin (Pas-de-Calais) pour le développement et la fabrication de la fibre optique,Les usines de Calais (Pas-de-Calais) et Montereau-Fault-Yonne (Seine-et-Marne) pour les câbles optiques,L’usine de Chavanoz (Isère) pour les câbles de raccordement d’abonnés et la connectivité.Au total, plus de 700 collaborateurs du Groupe sont mobilisés en France pour fournir un réseau fibre de qualité et durable aux abonnés français, qu’ils soient en zones rurales ou urbaines, à domicile ou au bureau.Laurent Tardif, Président Europe du Sud de Prysmian Group, déclare : « C’est une grande fierté pour Prysmian Group et ses équipes de contribuer à la construction et au déploiement du Plan France Très Haut Débit.»
Il y a 3 ans et 302 jours

L'activité économique des ingénieristes redémarre au 1er trimestre 2021 avec +25% de commandes

Vers une sortie de crise ? Après avoir perdu 11% de leur chiffre d’affaires en 2020, les entreprises d’ingénierie s’accordent à saluer une dynamique de reprise globale sur l’ensemble des secteurs économiques au premier trimestre 2021. Côté construction, les marchés publics d’ingénierie ont augmenté de 17% en volume. Côté industrie, les ingénieristes voient leurs prises de commandes croître de 15% environ. Des tendances qui devraient impacter à moyen terme toute l’économie, les ingénieristes intervenant aux origines des projets, dès leur conception. Syntec-Ingénierie, la fédération professionnelle de l’ingénierie, revient sur les enseignements de son dernier baromètre ainsi que sur ceux d’une étude réalisée avec Vecteur Plus sur la commande publique dans l’ingénierie et les travaux.« Pour la première fois depuis le début de la crise liée à la Covid-19, la prise de commandes des ingénieristes augmente et le taux nominal d’occupation des équipes repasse la barre des 50%. C’est une excellente nouvelle pour notre profession, bien sûr, mais aussi un signal fort pour l’économie tout entière. Les ingénieristes sont aux avant-postes de tous les projets. Ils étudient et conçoivent les écoles, gares, hôpitaux, voitures autonomes, usines intelligentes, etc. qui seront construits demain. Le redémarrage actuel de leur activité annonce donc le redémarrage à court et moyen terme de l’ensemble de leurs partenaires économiques. Pour que la reprise soit effective, il est crucial que donneurs d’ordres publics et privés poursuivent cette dynamique et qu’une attention particulière soit portée aux filières automobile et aéronautique qui restent bouleversées par la crise. » Pierre Verzat, président de Syntec-IngénierieConstruction : une reprise qui touche tous les secteurs, dynamisée par le plan de relanceAlors que l’on prédisait une crise économique durable, 2021 pourrait déjà être l’année de la reprise. Au premier trimestre 2021, les appels d’offres d’ingénierie publiés par les acteurs publics ont augmenté de 17%. Une augmentation qui confirme la tendance déjà enclenchée au dernier trimestre 2020, où les marchés d’ingénierie avaient connu une hausse de 21% en volume. Entre 2019 et 2020, ils avaient enregistré une baisse globale de 17%. Si tous les secteurs de la construction sont concernés, c’est dans le bâtiment et les infrastructures que la reprise est la plus marquée, avec respectivement +49% et +35% du nombre de lots publiés au premier trimestre 2021. A noter : tous les secteurs tendent à revenir à leur niveau de référence de début 2019, voire plus pour l’énergie.Selon l’étude réalisée par Vecteur Plus, la baisse des appels d’offres observée entre 2019 et 2020 résulte de deux phénomènes combinés. L’effet pré-électoral, tout d’abord. Avec -9% en volume, la commande publique diminue dès le premier trimestre 2020. Le report des élections municipales et les confinements successifs aggravent la tendance, avec de nouveau -6% au 2e trimestre et -6% au 3e. Alors que les élections se tiennent en juin, la reprise est patente dès octobre, avec +21% de marchés publics d’ingénierie.Si la commande publique semble avoir retrouvé son niveau du 2e trimestre 2019, Syntec-Ingénierie appelle les pouvoirs publics à confirmer la dynamique enclenchée à la fin du dernier trimestre 2020 afin que les effets de la reprise soient confortés, aussi bien pour les ingénieristes qui sont en début de chaîne que pour tous leurs partenaires économiques : entreprises des travaux publics, fournisseurs, etc.L’ingénierie de la construction, qu’est-ce que c’est ?Les entreprises d’ingénierie interviennent en amont des différents projets, dès la phase d’étude. Elles accompagnent les acteurs publics (collectivités territoriales, État, établissements publics, ...etc.) dans la conception et la réalisation d’aménagements urbains, numériques, d’équipements sportifs, de transports, de bureaux, d’écoles, de gares, de centres culturels, d’espaces verts, ou encore pour préserver la biodiversité.Industrie : des prises de commandes à la hausse dans tous les secteurs, hormis l’automobile et l’aéronautiqueDe la même façon, les ingénieristes qui interviennent auprès des décideurs industriels font preuve d’optimisme, pour la première fois depuis le début de la crise. Alors qu’il y a trois mois à peine, seuls 20% d’entre eux déclaraient une hausse de leurs prises de commandes par rapport à la même période en 2019, ils sont désormais 78% à voir leur activité redémarrer, selon le dernier baromètre de la profession publié par Syntec-Ingénierie. Une reprise qui fait dire à 82% des sondés que la pérennité de leur entreprise n’est pas menacée. En novembre dernier, 1 entreprise sur 2 avait encore peur de l’avenir.Si les perspectives s’améliorent, l’activité des ingénieristes de l’industrie tourne encore au ralenti. Seul 1/4 d’entre eux ont des équipes occupées à 100%. Par ailleurs, les entreprises d’ingénierie qui interviennent de manière majoritaire dans les secteurs automobile et aéronautique restent fragilisés par la crise et estiment que la reprise n’a pas encore eu lieu.Pour soutenir les entreprises d’ingénierie du conseil en technologies, Syntec-Ingénierie appelle les pouvoirs publics à prolonger les différentes mesures de soutien et à systématiquement prendre en compte les services à l’industrie dans tous les plans à destination des filières industrielles.L’ingénierie industrielle, qu’est-ce que c’est ?Les entreprises d’ingénierie industrielle et du conseil en technologies interviennent en amont des projets, dès la phase d’étude. Elles accompagnent les entreprises industrielles, grands groupes comme PME et ETI sur l’industrie du futur, les objets connectés, les smart grids, les énergies renouvelables, les véhicules autonomes, la traçabilité, la smart city, l’e-santé ou encore la digitalisation des process.Les données sont issues de :Étude de la commande publique dans l’ingénierie et les travaux. Baromètre Syntec Ingénierie 2019-2020-2021 réalisé par Vecteur Plus. Marchés passés entre le 1er janvier 2019 et le 31 mars 2021 - Consulter l’étudeBaromètre réalisé par Syntec-Ingénierie auprès de ses adhérents la semaine du 1er juin 2021. Les répondants sont des entreprises de toutes tailles, qui interviennent dans l’industrie et la construction et dans tous les secteurs d’activité d’ingénierie. - Consulter l’étude
Il y a 3 ans et 303 jours

Hydrogène de France fait son entrée à la Bourse de Paris

L'entreprise, valorisée jeudi 425,7 millions d'euros, a levé 132,2 millions d'euros. Le prix des actions a été fixé à 31,05 euros.Créée en 2012, Hydrogène de France ambitionne de devenir un leader mondial dans le développement de centrales de production d'électricité continue ou à la demande, à partir d'hydrogène et d'énergies solaires et éoliennes.Son introduction à la Bourse de Paris doit lui permettre de poursuivre sa stratégie de développement, axée notamment sur l'essor de ses capacités de fabrication et sur son avantage technologique dans les piles à combustible de forte puissance.Selon Euronext, l'offre a connu jeudi "un succès retentissant auprès des investisseurs institutionnels, internationaux et individuels".Le placement global adressé aux investisseurs institutionnels a été sursouscrit 1,5 fois, et l'offre destinée aux actionnaires particuliers a été sursouscrite 3,1 fois."13.000 comptes particuliers se sont inscrits, ce qui représente un nombre très important", s'est félicité Damien Havard, PDG et fondateur de Hydrogène de France, dans un entretien auprès de l'AFP.Jeudi soir au marché gris, avant la première cotation qui interviendra vendredi, les titres apparaissaient en hausse de 4,5% par rapport au prix d'introduction, a-t-il ajouté."Avec cette opération, la société s'est dotée de moyens financiers pour accélérer son développement sur le marché de l'hydrogène-électricité, en plein essor dans toutes les régions du globe", a-t-il ajouté.L'entreprise a notamment signé des "partenariats stratégiques" avec Rubis et Teréga Solutions, qui comptent désormais parmi ses actionnaires.Rubis, spécialiste des infrastructures de stockage et de distribution d'énergie, est même devenu le deuxième actionnaire de HDF (17% du capital) en investissant 78,6 millions d'euros.Il "bénéficiera, pour une durée de cinq ans, d'une priorité pour investir majoritairement dans les projets que HDF Energy envisage de développer en Afrique/océan Indien, dans les Caraïbes et en Europe", a-t-il précisé dans un communiqué distinct.Projets de piles à combustibleLe site industriel de Blanquefort dans la banlieue bordelaise, abandonné par Ford après la fermeture de son usine en 2019, doit servir de base pour la première usine de fabrication d'électricité du groupe à partir d'hydrogène vert, dès 2023."C'est la première usine au monde à faire ça, nous allons industrialiser un procédé de pile à combustible développé par le canadien Ballard Power System, notre fournisseur sous licence, qui est le leader mondial des piles à combustibles permettant de produire des énergies renouvelables non intermittentes", a ajouté M. Havard.Hydrogène de France a négocié un contrat d'exclusivité pendant sept ans avec le canadien."Nous sommes pionniers mondiaux sur le stockage longue durée, nous venons ouvrir un nouveau marché de l'énergie, celui des énergies renouvelables non intermittentes", a-t-il dit. Pour l'instant, seuls des stockages au lithium existent pour l'énergie éolienne ou solaire. "Ce sont des stockages à très court terme".M. Havard a indiqué travailler aussi sur des projets de piles à combustible pour "les bateaux, les trains et les data centers".Côté emploi, il estime que les levées de fonds vont permettre immédiatement d'employer une centaine de personnes sur le site de Blanquefort. "Ensuite, cela peut aller très vite, cela dépendra de la volonté politique de créer des emplois industriels autour de l'hydrogène, liés à l'exportation", a dit M. Havard.Au Mexique, en Australie, en Indonésie et aux Philippines notamment, le groupe travaille surtout sur l'élaboration et la construction de centrales d'énergies renouvelables stables et en continu, grâce aux piles à combustible."Grâce à des parcs photovoltaïques, et à l'électrolyse, nous produisons de l'hydrogène pendant huit heures le jour, et pendant 14 à 16 heures d'obscurité, les piles à combustible produisent de l'électricité", a expliqué M. Havard."Nous avons un modèle atypique pour la France, nous avons choisi d'industrialiser des procédés technologiques fiables plutôt que de repartir sur de la recherche et développement, il sera intéressant de voir si nous pouvons obtenir un soutien public dans le cadre des plans de relance afin de développer l'emploi industriel tourné vers l'exportation", a ajouté le dirigeant.
Il y a 3 ans et 304 jours

Protection solaire passive avec des volets alu coulissants

Le programme Patio du Lac à Monteux (84) s’inscrit au sein d’un quartier vert incluant un lac artificiel de 10 hectares et de vastes espaces naturels. Il est issu d’une démarche environnementale garantissant la maitrise des factures énergétiques et la durabilité du bâtiment. Pour la gestion du confort d’été, les usagers ont recours à un système de rafraîchissement passif en faisant coulisser sans effort des vantaux aluminium grâce à un système de rails suspendus. Composés d’un cadre tubulaire de 50 x 50 mm à coupes droites (assemblage des montants et des traverses par visserie inox) et d’un remplissage en lames trapézoïdales les volets BORÉALES de TELLIER BRISE-SOLEIL ont été entièrement usinés dans les ateliers de Chemillé-en-Anjou (49). Toutes les pièces nécessaires à leur fonctionnement ont été assemblées en usine, y compris les montures à galets placés aux extrémités des volets.  Le système de montage des vantaux a permis aux installateurs de gagner du temps en facilitant la pose sur le chantier. A raison d’une semaine de pose par façade, 400 volets et claustras ont été installés et réglés par les équipes de la société VSM SAS.  Maîtrise d’ouvrage : EQUILIS • SCCV Patio du Lac Maîtrise d’œuvre : Art & Build Architects Photos : Alexandra Rolland 
Il y a 3 ans et 305 jours

Lafarge accusé de crimes en Syrie: décision cruciale de la Cour de cassation jeudi

D'un côté, l'ONG Sherpa, le Centre européen pour les droits constitutionnels et les droits de l'Homme (ECCHR) ainsi que onze anciens salariés de Lafarge en Syrie, contestent depuis novembre 2019 l'annulation par la chambre de l'instruction de la cour d'appel de Paris de la mise en examen du groupe pour cette très lourde qualification pénale.Les associations se lèvent aussi contre le rejet de leurs constitutions de parties civiles, qui les empêche d'avoir accès au dossier, de demander des actes d'enquête aux juges d'instruction et d'espérer une indemnisation en cas de condamnation.De l'autre, le cimentier, qui reste mis en examen pour "financement d'une entreprise terroriste", "mise en danger de la vie d'autrui" et "violation d'un embargo", et deux anciens responsables du groupe, l'ex-directeur Sûreté de l'entreprise Jean-Claude Veillard et l'un des ex-directeurs de la filiale syrienne, Frédéric Jolibois, se sont pourvus contre l'ensemble des poursuites à leur encontre.Dans cette information judiciaire ouverte en juin 2017, Lafarge SA est soupçonné d'avoir versé en 2013 et 2014, via sa filiale Lafarge Cement Syria (LCS), près de 13 millions d'euros à des groupes terroristes, dont l'EI, et à des intermédiaires, afin de maintenir l'activité de son site en Syrie alors que le pays s'enfonçait dans la guerre.Le groupe est également suspecté d'avoir vendu du ciment de l'usine à l'EI et d'avoir payé des intermédiaires pour s'approvisionner en matières premières auprès de factions jihadistes."Poursuite de l'activité"Un rapport interne commandé par LafargeHolcim, né de la fusion en 2015 du français Lafarge et du suisse Holcim, avait mis en lumière des remises de fonds de LCS à des intermédiaires pour négocier avec des "groupes armés". Mais Lafarge SA a toujours contesté toute responsabilité dans la destination de ces versements à des organisations terroristes.Lors de l'audience, le 8 juin devant la chambre criminelle de la Cour de cassation, Me Patrice Spinosi, avocat au conseil de Lafarge, a souligné que la seule intention du groupe était "la poursuite de l'activité de la cimenterie".D'après lui, cela "suffit largement pour justifier l'absence d'adhésion de Lafarge à un plan concerté d'élimination d'un groupe de population civile par des attaques généralisées et systématiques", qui définit la complicité de crimes contre l'humanité.De son côté, l'avocat général a préconisé le rejet du pourvoi des ONG et des parties civiles : comme l'avait souligné la chambre de l'instruction, il a observé que l'utilisation des sommes versées à l'EI, qui aurait pu constituer l'élément matériel de la complicité, "demeurait indéterminée".En revanche, il a estimé que la société "ne pouvait ignorer le caractère terroriste des organisations bénéficiaires des versements", proposant aussi le rejet du pourvoi de Lafarge contre sa mise en examen pour "financement d'une entreprise terroriste".La Cour de cassation, plus haute juridiction de l'ordre judiciaire, doit rendre ses décisions sur six pourvois au total.Les dates clés de l'affaire"Arrangements troubles"Le 21 juin 2016, Le Monde affirme que Lafarge a tenté, en 2013 et 2014, de faire fonctionner "coûte que coûte" son usine en Syrie, "au prix d'arrangements troubles et inavouables avec les groupes armés environnants", dont l'organisation État islamique (EI).Ces "arrangements" visaient à poursuivre la production jusqu'au 19 septembre 2014, date à laquelle l'EI s'est emparé du site et le cimentier a annoncé l'arrêt de toute activité.Lafarge, qui a fusionné en 2015 avec le suisse Holcim, assure que sa "priorité absolue" a "toujours été d'assurer la sécurité et la sûreté de son personnel".Située à 150 km au nord-est d'Alep, la cimenterie a été achetée par Lafarge en 2007 et mise en route en 2011.PlaintesEn septembre 2016, le ministère de l'Économie dépose plainte, déclenchant l'ouverture d'une enquête préliminaire par le parquet de Paris et la saisine du service national de douane judiciaire (SNDJ).La plainte porte sur une interdiction d'acheter du pétrole en Syrie, édictée par l'Union européenne dans le cadre d'une série de sanctions contre le régime de Bachar al-Assad.En novembre, Lafarge est visé par une autre plainte déposée par deux ONG, qui vont jusqu'à réclamer des poursuites pour "complicité de crimes contre l'humanité": l'association Sherpa et le Centre européen pour les droits constitutionnels et les droits de l'Homme (ECCHR). Une autre association, la Coordination des chrétiens d'Orient en danger (Chredo), se joindra à elles par la suite.EnquêteLe 9 juin 2017, le parquet de Paris ouvre une information judiciaire pour "financement d'une entreprise terroriste" et "mise en danger de la vie d'autrui".Le SNDJ conclut pour sa part dans son rapport que Lafarge Cement Syrie (LCS), branche syrienne du groupe, a "effectué des paiements aux groupes jihadistes" pour que la cimenterie continue à fonctionner. La direction française de Lafarge a, selon lui, "validé ces remises de fonds en produisant de fausses pièces comptables".Mises en examenLe 1er décembre, deux anciens directeurs de la filiale syrienne, Bruno Pescheux et Frédéric Jolibois, et le directeur de la sûreté du groupe Jean-Claude Veillard sont mis en examen pour "financement d'une entreprise terroriste" et "mise en danger de la vie d'autrui".Quelques jours après, Bruno Lafont, ex-PDG (2007-2015), Eric Olsen, DRH à l'époque des faits, et l'ex-directeur général adjoint opérationnel Christian Herrault sont mis en examen.Au total, huit cadres et dirigeants sont mis en examen pour financement d'une entreprise terroriste ou mise en danger de la vie d'autrui.En outre, un des hommes soupçonnés d'avoir servi d'intermédiaire, un Syro-Canadien, a été mis en examen fin août 2019 pour "financement du terrorisme"."Complicité de crimes contre l'humanité"Le 28 juin 2018, Lafarge est mis en examen pour "complicité de crimes contre l'humanité", "financement d'une entreprise terroriste", "mise en danger de la vie" d'anciens salariés et "violation d'un embargo".Le groupe et trois dirigeants font appel et contestent les fondements de l'enquête.Le 24 octobre 2019, la cour d'appel déclare irrecevables les constitutions de partie civile de quatre associations plaignantes (Sherpa, l'ECCHR, le Chredo et Life for Paris). Les deux premières décident de se pourvoir en cassation.Le 7 novembre 2019, la cour d'appel annule la mise en examen de Lafarge pour "complicité de crimes contre l'humanité", la plus grave, mais elle maintient les trois autres mises en examen.La Cour de cassation se prononceLa Cour de cassation examine le 8 juin 2021 notamment les pourvois formulés par l'ONG Sherpa, le Centre européen pour les droits constitutionnels et les droits de l'Homme (ECCHR) et onze anciens salariés, pour contester l'annulation de la mise en examen du groupe pour "complicité de crimes contre l'humanité". Sa décision est attendue jeudi.
Il y a 3 ans et 306 jours

Fit®, la nouvelle gamme de chaudières murales gaz à condensation de Saunier Duval

Fit® : la nouvelle gamme de chaudières à condensation Saunier DuvalPensées à la fois pour l’installateur et le particulier, les chaudières Fit® allient performance, design et technologies innovantes. Saunier Duval fait ainsi évoluer 4 de ses chaudières existantes : Thema AS Condens, ThemaPlus Condens, IsoTwin Condens et IsoMax Condens, et complète son offre avec 4 nouveaux modèles : ThemaPlus H-Condens, ThemaFast M-Condens, ThemaPlus M-Condens et IsoTwin M-Condens.L’objectif est d’offrir aux professionnels et particuliers la solution la plus adaptée, quels que soient la configuration et les besoins : chauffage seul, mini-accumulation, accumulation dynamique, conduit individuel (C13, C33, B23p / C93) ou encore conduit collectif 3CEp (nouveauté)… Zoom sur les nouvelles technologies de la gamme.FlameFit®, la combustion optimiséeFlameFit® assure en permanence l’ajustement de la combustion de la chaudière afin de garantir aux utilisateurs une consommation minimale et une compatibilité gaz simplifiée :installation rapide : choix du gaz directement depuis l’interface de la chaudièreflamme optimisée et économies d’énergie : analyse en continu de la combustioncompatibilité avec le gaz naturel, le gaz de Groningue et le gaz propaneconfort maintenu : intégration d’un mode secours en cas de panne pour assurer aux utilisateurs du chauffage et de l’eau chaude en attendant l’intervention d’un professionnelchaudières prêtes pour le futur : compatibilité avec les gaz vertsDisponible sur les chaudières Thema AS Condens, ThemaPlus Condens, IsoTwin Condens et IsoMax Condens.IsoDyn3, le confort en eau chaude pour les plus exigeantsIsoDyn3 est l’évolution de la technologie IsoDyn2, à savoir 2 ballons de 21 litres en inox avec un rechargement en seulement 5 minutes. Si cette technologie bénéficie des avantages de l’existante, elle dispose de nouveautés qui assurent encore plus d’économies d’énergie et une longévité accrue de la chaudière à ses utilisateurs :• adaptation au rythme de vie grâce à l’apprentissage ECS (eau chaude sanitaire) : la chaudière démarre aux meilleurs moments de la journée• détection des petits puisages : à l’aide du capteur de débit ECS placé à la sortie des ballons, la chaudière ne démarre pas lors de faibles demandes en eau chaude• jusqu’à 7 fois moins de démarrages qu’une chaudière standard à ballon !Disponible sur les chaudières IsoMax Condens, IsoTwin Condens et IsoTwin M-Condens.H-Condens, la condensation sur le chauffage ET sur l’eau chaude sanitaireLe corps de chauffe en inox H-Condens offre une condensation à la fois sur le chauffage ET sur l’eau chaude sanitaire grâce à une spire supplémentaire :nouveau corps de chauffe innovant développé pour Saunier Duvalpréchauffage de l’arrivée d’eau froide entre 3 et 5 °C permettant une réduction de la consommation de gaz8 % d’économies d’énergie sur le sanitaireréduction des émissions de CO2Disponible sur la chaudière ThemaPlus H-Condens.Des fonctionnalités et des équipements pensés par et pour le professionnelLa gamme Fit®, c’est aussi un ensemble de fonctionnalités et d’équipements communs à toutes les chaudières :régulation et connectivité en un clic : technologie Clic Express avec boîtier radio et/ou de connectivité intégrables directement sous la chaudièrebouton ON / OFF intégré : protection de la carte électronique lors des interventions pour une maintenance facile et sécuriséeremplacements facilités grâce aux nouveaux kits de remplacementsinterfaces tactiles et intuitives : choix du gaz lors de l’installation, affichage des consommations, assistant intégré (IsoMax Condens)cache-tubulures magnétique et nouveau panneau acoustique anti-vibratileMiSet & MiPro Sense, les régulations connectables compatibles avec Fit®MiSet et MiPro Sense, ce sont deux régulations disponibles en versions radio et filaire. Compatibles avec toutes nos chaudières de la gamme Fit®, la première est idéale pour assurer le confort en appartement pour 1 zone de chauffage et la deuxième pour le confort de la maison avec la gestion de 1 à 3 zones.MiSet & MiPro Sense s’accordent parfaitement avec les nouvelles chaudières Fit® : interface design et tactile et assistant utilisateur de série pour la programmation des plages horaires. Ces régulations sont également connectables avec le nouveau MiLink V3 pour permettre un pilotage du chauffage à distance par les utilisateurs avec l’application MiGo Link. Pour les professionnels, un site internet et une application MiGo Xpert sont disponibles pour suivre le parc de chaudières à distance.M-Condens, les chaudières dédiées au 3CEpLa nouvelle gamme M-Condens (ThemaFast M-Condens, ThemaPlus M-Condens et IsoTwin M-Condens), dédiée aux conduits 3CEp, a été développée dans l’optique de faciliter et sécuriser la mise en œuvre et l’entretien sur ces conduits collectifs.Les avantages :données de combustion optimisées pour un dimensionnement au plus justegamme prête pour la nouvelle méthode de dimensionnement (EN 13384-2 : A1)gain de temps à l’installation avec l’assistant de démarrageadaptation automatique de la puissance de la chaudière en fonction de la configuration entrée par le professionnel, directement sur l’interfaceinstallation et entretien facilités : clapet anti-retour intégré de série au bras de mélangemaintenance simplifiée : coude avec trappe de visite permettant le blocage des retours de fuméesQuelle est la différence entre une chaudière à condensation et une chaudière non-condensation ?Dans une chaudière gaz non- condensation, le circuit d’eau de chauffage est réchauffé grâce à la combustion de gaz (naturel, propane ou de Groningue). C’est en passant dans le brûleur que ce dernier produit de la chaleur qui est ensuite transmise à l’eau ou à un fluide caloporteur. Depuis 2018, les émissions de NOx d’une chaudière non-condensation doivent être ≤ 56 mg / kWh.Dans une chaudière gaz à condensation, le circuit de chauffage est alimenté par la combustion du gaz (naturel, propane ou de Groningue) mais aussi par les fumées produites par cette dernière. Elles sont refroidies afin d’en récupérer la chaleur. Ce procédé permet ainsi d’économiser jusqu’à 30 % d’énergie par rapport à une chaudière de 25 ans.Une fabrication françaiseCes nouvelles chaudières à condensation sont fabriquées en France au cœur de l’usine Saunier Duval à Nantes. Avec plusieurs lignes de production dédiées aux chaudières à condensation, la marque confirme sa volonté de promouvoir le savoir-faire français sur le territoire et à l’international.Site historique, l’usine de Nantes est labellisée « Vitrine Industrie du Futur » grâce notamment à l’automatisation de sa ligne d’assemblage de chaudières murales gaz à condensation et à sa digitalisation et utilisation en temps réel des données.
Il y a 3 ans et 307 jours

Eiffel Investment Group présente son rapport d’impact 2020 et une stratégie Climat & ESG ambitieuse

Articulé autour d’objectifs ambitieux et d’outils innovants, tels que le « Pack Eiffel », ce nouveau plan réaffirme la vocation d’investisseur responsable d’Eiffel au service des entreprises et de la société. Pour renforcer la contribution positive de ses investissements à la transition environnementale, Eiffel s’engage notamment à déployer dès 2022 la mesure de l’empreinte carbone sur l’ensemble de ses portefeuilles et à annoncer un objectif d’alignement bas carbone à horizon 2030. Enfin, Eiffel effectuera une mesure de la part verte de ses fonds, alignée avec la taxonomie européenne et correspondant aux exigences des Articles 8 et 9 du SFDR, et intégrera les enjeux de biodiversité dans le processus d’investissement de certains de ses fonds.Pour Fabrice Dumonteil, président et fondateur d’Eiffel : « Notre mission est d’investir pour un monde durable. En apportant aux entreprises les ressources financières nécessaires à leur croissance, notre responsabilité est de faire en sorte que cette croissance ait des impacts positifs sur l’environnement et la société. C’est pourquoi nous avons décidé de proposer un « Pack Eiffel » à toute nouvelle entreprise financée par Eiffel, comportant un ensemble d’outils permettant à l’entreprise de se former aux enjeuxESG, de piloter sa performance extra-financière et d’intégrer les impacts sociaux et environnementaux dans la considération de sa performance. Cet engagement majeur et très concret est au cœur de la nouvelle stratégie Climat & ESG dont nous nous dotons aujourd’hui et qui renouvelle notre ambition d’être un leader sur les stratégies d’investissement à fort impact. »Une stratégie Climat & ESG dédiée pour ancrer notre approche et jalonner nos ambitionsEiffel Investment Group est un investisseur responsable par nature dont la mission est de financer un monde durable : le groupe a toujours fait de la prise en compte des enjeux ESG l’une des composantes capitales de son métier d’investisseur. Fort de son ADN entrepreneurial qui le pousse à mettre en place des solutions pragmatiques et innovantes produisant des résultats concrets, Eiffel est notamment le premier acteur européen à avoir mis en place dans un fonds de dette privée des covenants d’impact : la performance extra financière est placée au même niveau que la performance financière, les entreprises financées sont encouragées à avoir un impact positif sur l’environnement, sur l’emploi, sur la santé...Au regard de l’ampleur des besoins et plus que jamais convaincu par la pertinence de ses stratégies d’investissement à fort impact social et environnemental, synonymes de création de valeur ajoutée forte et durable, Eiffel Investment Group a aujourd’hui choisi de se doter d’une stratégie Climat & ESG dédiée qui lui permet d’ancrer son approche et de jalonner ses ambitions. Cette stratégie se décline en trois volets :Accompagner les sociétés investies dans leurs transitions, pour renforcer la contribution positive de nos investissements à la transition environnementale et nous positionner dès 2022 sur un objectif d’alignement bas carbone à horizon 2030 ;Poursuivre le développement de stratégies innovantes à impact selon une démarche renforcée et alignée sur les exigences des travaux de place et leur définition de l’investissement d’impact ;Renforcer l’intégration des enjeux ESG en interne, en termes de gouvernance, de formation des collaborateurs, de mesure et de pilotage de l’exposition du Groupe aux risques ESG ou enfin de déclinaison des pratiques ESG à chacune de nos classes d’actifs.Un engagement fort et pratique : proposer à chaque entreprise nouvellement investie un « Pack Eiffel » pour l’aider à transitionner vers un modèle bas carbone Pour soutenir ses ambitions et en ligne avec sa conviction selon laquelle l’investissement responsable est aujourd’hui une affaire d’actions concrètes, Eiffel Investment Group s’engage à proposer à chaque entreprise nouvellement investie un « Pack Eiffel ». La mise à disposition de ce « Pack Eiffel » vise à offrir à l’entreprise un ensemble d’outils pour l’accompagner dans le pilotage de sa performance extra financière et ses impacts sociaux et environnementaux, afin que le travail de collecte de données extra financières ne s’inscrive pas uniquement dans une exigence de reporting. Concrètement, le « Pack Eiffel » intègre la prise en charge ou l’accompagnement dans la réalisation d’un bilan d’émission de Gaz à Effet de Serre (BEGES) pour les entreprises aux enjeux matériels, un tableau de bord comprenant les principaux indicateurs ESG, le calcul d’indicateurs plus complexes comme l’empreinte emploi, un business plan d’impact, des ressources documentaires et des formations sur les enjeux extra-financiers.Le déploiement de ce pack d’outils permettra à Eiffel d’ancrer l’accompagnement de ses investissements dans un alignement progressif avec les objectifs de l’Accord de Paris, permettant ainsi aux entreprises investies de transitionner vers des modèles d’affaires bas carbone. Dès 2021, Eiffel fera le choix d’une méthodologie d’alignement bas carbone et l’appliquera sur un périmètre pilote comprenant les fonds les plus en pointe dans ce domaine. A la vue des résultats en 2022, Eiffel s’engage à annoncer un objectif d’alignement bas carbone à horizon 2030, sur l’ensemble de ses portefeuilles, avec des déclinaisons par stratégie d’investissement.Elargir notre couverture des enjeux climatiques : mesurer la part verte et intégrer les enjeux liés à la biodiversitéDès 2021, Eiffel effectuera une mesure de la part verte, alignée avec la taxonomie européenne, de ses fonds correspondant aux exigences des Articles 8 et 9 du SFDR. En 2021, Eiffel formalisera un système de collecte et de mesure de l’exposition de ses actifs d’infrastructures aux enjeux liés à la biodiversité. Cet outil fera partie intégrante des processus d’investissement des fonds infrastructures et aura vocation à s’étendre aux autres stratégies d’Eiffel, en particulier le private equity. L’objectif est d’aider les participations à se familiariser avec les enjeux liés à la biodiversité, les impacts qu’elles peuvent avoir et les actions concrètes à engager.Une année 2020 déterminante, illustrée par un nouveau rapport d’impactL’année 2020 aura été une année déterminante dans le parcours d’Eiffel puisqu’elle aura été marquée par une collecte record de plus d’1 milliard d’euros portant les actifs du groupe nettement au-delà des 3milliards sous gestion. Ces nouveaux engagements se sont portés principalement sur 5 nouveaux fonds ; Eiffel Gaz Vert, Eiffel Energy Transition II, Eiffel Impact Debt, Eiffel Essentiel, Nov Santé Dette Privée. Ces fonds partagent des caractéristiques communes propres à Eiffel : ils sont innovants, la plupart du temps sans équivalent, et placent la recherche d’impact positif au cœur de leur stratégie d’investissement en s’appuyant sur des expertises sectorielles très fortes et reconnues.Ces créations ont fourni une matière riche au rapport d’impact d’Eiffel, élaboré concomitamment à la stratégie ESG-Climat dont il a vocation, dans les prochaines années, à rendre compte de manière claire et transparente. Ce rapport est publié aujourd’hui et disponible sur le site.
Il y a 3 ans et 309 jours

3 nouvelles solutions certifiées « CTB Composants & Systèmes bois »

Lancée par l’Institut technologique FCBA en 2019, la certification CTB Composants & Systèmes bois est devenue la référence qualité dédiée aux éléments de structure bois et accessoires associés : elle compte aujourd’hui 41 solutions et produits certifiés, soit 32 acteurs engagés dans la démarche. Trois d’entre eux, Cobs, Mathis et XLAM-Industrie, viennent de voir leurs produits admis à cette certification : des solutions différentes et complémentaires, qui illustrent parfaitement le large spectre couvert par CTB Composants & Systèmes bois. Production en ossature bois – Cobs : entreprise familiale créée il y a près de 35 ans et implantée à Entrelacs (73), Cobs est déjà engagée dans la certification pour sa charpente industrielle depuis de nombreuses années. Elle continue aujourd’hui dans cette voie : l’ensemble de sa production en ossature bois est désormais certifiée CTB Composants & Systèmes bois, avec : les murs et façades des bâtiments préfabriqués intégrant l’isolation, les menuiseries et finitions extérieures. Les produits composites pour la charpente, la toiture et le plancher et, plus particulièrement les caissons de plancher et de toiture. Ils sont produits et assemblés en usine, puis mis en œuvre directement sur le chantier, permettant un gain de temps et minimisant les risques associés au chantier. Connecteurs métalliques – Mathis : les connecteurs métalliques, éléments de structures conçus, produits et mis en œuvre par Mathis, permettent d’assembler différents éléments de structures entre eux. Ce sont des pièces uniques et indispensables à la bonne réalisation du bâtiment. Mathis est une entreprise familiale, spécialiste de la construction bois, créée en 1809 et basée à Muttersholtz (67). Elle a été l’une des premières à s’engager dans la certification CTB Composants & Systèmes bois. Panneaux CLT – XLAM-Industrie : ces panneaux CLT (Cross Laminated Timber) de grandes dimensions, sont intégralement fabriqués dans l’usine jurassienne de XLAM-Industrie, à partir de bois locaux débités par la scierie Chauvin qui travaille exclusivement les résineux, sapins et épicéas d’altitude pour leurs diverses qualités. Basé à Mignovillard (39) et créé en 2018, XLAM-Industrie est un spécialiste du panneau en bois structurel de grand format.
Il y a 3 ans et 310 jours

Matterport et Facebook AI Research collaborent pour créer la plus grande base de données spatiales 3D au monde

Matterport, l’entreprise de données spatiales à la tête de la transformation digitale du monde bâti qui a conclu un accord définitif en vue d’un regroupement d’entreprises avec Gores Holdings VI (NASDAQ : GHVI, GHVIU, et GHVIW), a annoncé aujourd’hui une collaboration avec Facebook AI Research (FAIR). Dans le cadre de cette collaboration, l’entreprise donnera accès à sa base de données d’espaces intérieurs en 3D, la plus grande au monde, pour des utilisations exclusivement universitaires et non commerciales. Habitat-Matterport 3D Research Dataset (HM3D) est une collection sans précédent de 1 000 jumeaux digitaux Matterport haute résolution issus d’espaces résidentiels, commerciaux et municipaux, générés avec précision à partir de lieux réels. HM3D jouera un rôle important dans l’avancement de la recherche sur l’intelligence artificielle incarnée, qui vise à apprendre aux robots et aux assistants virtuels à comprendre et interagir avec les complexités du monde physique.« Jusqu’à présent, ces précieuses données spatiales étaient cruellement absentes dans ce domaine, HM3D a donc tout le potentiel de changer le paysage de l’IA incarnée et de la vision par ordinateur », a déclaré Dhruv Batra, Research Scientist chez Facebook AI Research. « Nous espérons que la base de données 3D aidera les chercheurs à progresser dans la construction de machines intelligentes, afin de faire pour l’IA incarnée ce que les pionniers ont fait avant nous pour la vision par ordinateur en 2D et d’autres domaines de l’IA. »Gratuit, HM3D est disponible dès maintenant pour la recherche universitaire et non à des fins commerciales. Les chercheurs peuvent l’utiliser avec le simulateur Habitat de FAIR pour entraîner des agents incarnés, tels que des robots domestiques et des assistants IA, à grande échelle. HM3D est une étape fondamentale pour aider ces agents à naviguer dans des environnements réels et à mieux comprendre les variations des espaces tels que les chambres, les salles de bains, les cuisines et les couloirs, ainsi que les différentes configurations de ces pièces au sein de chaque structure. Il peut également aider les robots à reconnaître la manière dont les objets sont généralement disposés dans une pièce afin que les instructions soient correctement comprises. Ces recherches pourraient un jour être utilisées dans des applications de production, comme des robots capables de récupérer des médicaments sur une table de chevet ou des lunettes de réalité augmentée permettant d’aider les gens à se rappeler où ils ont laissé leurs clés.« Nous sommes ravis de collaborer avec Facebook pour offrir aux milieux universitaires et scientifiques un accès à cette base de données spatiales unique qui aura un impact considérable sur notre façon de vivre et de travailler » a déclaré Conway Chen, Vice President of Business Development and Alliances chez Matterport. « Avec plus de cinq millions d’espaces capturés via la plateforme Matterport, nous sommes la seule entreprise capable d’offrir une bibliothèque diversifiée de jumeaux digitaux haute résolution, composée d’une multitude de données de jumeaux digitaux de différents styles, tailles et complexités, provenant du monde entier. HM3D peut également être utilisé de manière plus large par le monde universitaire, et nous sommes impatients de voir les innovations qui en découleront. »« Nous avons été confrontés à un manque de données spatiales pour faire avancer l’innovation dans les domaines de l’immobilier, de la construction, de la robotique, de la réalité augmentée, et plus encore. Avec la base de données HM3D issue de la collaboration entre Matterport et Facebook AI, nous nous réjouissons à l’idée des progrès significatifs que nous allons réaliser pour faire avancer la recherche sur la reconstruction, la génération et l’analyse de scènes intérieures à l’échelle d’une maison pour la première fois, » a déclaré Yasutaka Furukawa, Associate Professor of Computing Science à la Simon Fraser University.Matterport est la référence en matière de données spatiales pour le monde bâti avec sa plateforme leader du marché qui transforme tout espace physique en un jumeau digital immersif et précis. Aujourd’hui, de nombreux secteurs utilisent les jumeaux digitaux et les informations des données spatiales de Matterport pour changer fondamentalement leur manière de travailler. Les agents immobiliers ont une compréhension plus approfondie de chaque bien numérisé et sont en mesure de déterminer ce qui est le plus important aux yeux de milliers d’acquéreurs potentiels. Les commerçants peuvent numériser plusieurs magasins pour suivre à tout moment leurs biens et leurs stocks. Les propriétaires et les promoteurs immobiliers peuvent utiliser Matterport pour documenter chaque étape de la construction et créer un système numérique solide pour consigner l’ensemble du cycle de vie d’un bâtiment. La plateforme de développement en pleine expansion de Matterport permet aux développeurs et partenaires de créer facilement de puissants nouveaux outils et de générer de nouvelles informations sur les biens, favorisant ainsi l’innovation dans ce secteur qui rend chaque espace plus précieux, plus accessible et plus utile.
Il y a 3 ans et 310 jours

Comment bien préfabriquer un prémur ?

Article paru dans le n° 95 de Béton[s] le Magazine Les MCI sont produits au sein d’usines qui sont de plus en plus automatisées. [©Progress Group] 1 – Quels sont les avantages d’un MCI ? Les MCI, ou murs à coffrage intégré, sont plus connus en France sous le patronyme de prémurs. Ce sont des murs préfabriqués, livrés sur site par des camions équipés de racks à tiroirs. Là, une fois positionnés dans le bâtiment en construction, il ne reste qu’à bétonner leur noyau. C’est-à-dire l’interstice présent dans les faces interne et externe de l’élément.  Les prémurs sont un potentiel d’économie pour les entreprises, car ils réduisent la pénibilité et surtout les durées des chantiers. Ces panneaux sont prédestinés pour la réalisation d’ouvrages en sous-sol, avec cotes bloquées, de trémies d’escaliers ou d’ascenseurs. L’autre avantage du produit est la réduction des délais sur les chantiers. A vrai dire, comme son nom le laisse entendre, un prémur peut remplacer sans difficultés un voile de béton à couler en place… Les prémurs se déclinent en plusieurs types en fonction des options choisies : isolés ou non, matricés ou teintés, polis… D’un point de vue béton, les solutions bas carbone commencent à être de plus en plus populaires.  2 – Quelles sont les différentes étapes de production ? Les installations de production peuvent être modifiées et upgradées en fonction des besoins des préfabricants. [©Progress Group] L’important lorsque l’on parle de MCI est de bien comprendre que l’industrialisation de la production permet la constance de la qualité du produit. Ainsi que l’optimisation du nombre de tables traitées à l’heure. Le travail se fait sur carrousel avec des tours d’étuvages, permettant de fonctionner, selon les usines, jusqu’en 3/8. Ces unités ont des degrés d’automatisation divers et restent évolutives. La première étape de la production consiste à décoffrer la table de la précédente préfabrication. Ceci, avant de la nettoyer et de la huiler de nouveau. Dans la foulée, la table sera coffrée. Les douilles d’étaiement et les aimants pour boîtiers électriques seront posés avec précision. L’idéal est de confier ces opérations à des robots. Ce qui évite la pénibilité et assure une grande précision de pose, ainsi qu’un rythme élevé. Il existe même un concept de coffrages précis au centimètre. A l’étape suivante, les opérateurs peuvent intervenir pour assurer l’installation des réservations polystyrène, des réservations en bois et des éventuelles gaines. Si le design le nécessite.  Arrivent ensuite les armatures. Là, plusieurs solutions existent. Avec le logiciel Ebos, qui pilote le carrousel, les informations sont prises depuis le dessin 3D et transmises à chaque machine. Ainsi, que les barres soient débitées de manière automatique par une redresseuse MSR, posées à la main ou via un robot. Voire encore sous forme de treillis spécial pour les grosses unités, leur débit est complètement automatisé. Les cages d’armatures complémentaires sont produites sur place, sur un circuit parallèle spécifique avec une légère anticipation.  Les raidisseurs triangulaires peuvent désormais être produits en juste à temps dans les unités les plus modernes, directement à partir de bobines. Offrant ainsi des économies au producteur. Dernier élément, les cales d’enrobage des armatures sont, elles aussi, placées par robot, afin d’en optimiser le nombre. Que cela soit sur les barres individuelles ou sur les treillis spéciaux.  3 – Comment se déroule le bétonnage ?  Le coulage du béton se fait automatiquement, grâce à une distribution via une distributrice béton automatique équipée de vis hélicoïdales et de clapets. [©Progress Group] Avant le bétonnage, il y a un contrôle qualité. Les postes peuvent même être équipés de caméras qui prennent en photos les éléments avant bétonnage. Il est même possible de faire des contrôles qualité informatisés. Ce qui est très demandé par les clients finaux.  Le bétonnage se fait ensuite idéalementde façon automatique, à l’aide d’une distributrice béton, quivient directement s’approvisionner en béton au niveau de la centrale. A l’intérieur de cette benne béton automatique, des vis hélicoïdalespermettentde maîtriser les volumes de béton déversés. Ainsi que sa répartition sur la table de préfabrication. Un coup de vibration, en fonction de la formulation du béton, achève cette première phase de production. A l’issue de la phase de bétonnage, chaque table rejoint la zone d’étuvage où elleyséjourne durant environ8 h.  4 – Comment est finalisée la préfabrication d’un prémur ? Le logiciel de gestion permet le flux des données à toutes les machines, l’optimisation des productions et l’aide aux collaborateurs dans leurs tâches. [©Progress Group] Pour faire simple, un prémur est constitué de deux plaques de béton (tout à fait comparable à des prédalles), reliées ensemble par des éléments d’armature. Mais séparées d’un vide interstitiel rempli sur le chantier. Ainsi, lorsque la première face est sèche, prête à être retournée, on lance en production la seconde face du même mur, en suivant le même processus que celui décrit plus haut. Toutefois, lorsque l’élément quitte l’aire de bétonnage, il ne rejoint pas directement l’étuve, mais une zone dite “d’assemblage”. En parallèle, la première plaque sèchesort de l’étuve pour rejoindre cette même zone. C’est l’étape la plus spectaculaire du process de préfabrication qui débute alors, avec le retournement complet de la table qui porte la plaque de béton durci. Cette dernière est ensuite déposée sur la seconde table fraîchement bétonnée, ses armatures en attente venant se noyer dans le béton frais de la plaque tout juste coulée.  A l’issue, la première plaque est décoffrée de sa table support, qui peut être réintroduite dans le circuit de production. De son côté, la seconde table, supportant désormais un prémur reconstitué, ira finir de sécher en étuve 8 h environ.  Une fois le béton durci, cette table est dirigée vers la zone de démoulage où elle sera relevée pour permettre la prise en charge du prémur à l’aide d’un pont roulant. Durant cette phase finale, l’élément est positionné dans un rack dédié au stockage sur parc, puis au transport.  Article réalisé avec l’appui technique de Benoît Guiberteau, responsable commercial de Progress Group A propos de Progress Group Progress Group est un spécialiste de l’étude et de l’installation d’équipements et de logiciels pour les usines de préfabrication. Plusieurs marques font partie du groupe, parmi lesquelles figurent Progress Machinen & Automation, Ebawe, Progress Software Development,Echo Precast Engineering, ou Tecnocom.  Progress Group est un groupe d’entreprises actif à l’international avec des sites à Eilenburg et Francfort, en Allemagne, à Houthalen, en Belgique, à Brixen et à Udine, en Italie. Mais aussi à Winnipep, au Canada, à Qingdao, en Chine, à Chicago, aux Etats-Unis, à New Delhi, en Inde, et à Kuala Lumpur, en Malaisie. Article paru dans le n° 95 de Béton[s] le Magazine
Il y a 3 ans et 311 jours

A Léguevin, l'expert en tuile de terre cuite Edilians se modernise

INNOVATION. Près de Toulouse, l'usine de conception de solutions toiture Edilians a donné un coup de neuf à son site pour développer de nouveaux modèles et améliorer les conditions de ses salariés. Batiactu s'est rendu sur place pour constater cette transformation.
Il y a 3 ans et 312 jours

Pim : « Les propriétés du polyuréthane, un atout pour le secteur de la préfabrication »

Article paru dans le n° 95 de Béton[s] le Magazine Christophe Ray, dirigeant de Pim : « Le marché du béton représente près de 20 % de notre chiffre d’affaires cette année. ». [©Pim] Au commencement, en 1981, Pim s’est spécialisé dans la fabrication de pièces en polyuréthane, et plus particulièrement, dans les roues et roulettes. Depuis 2012, et l’arrivée de Christophe Ray, dirigeant et repreneur de la société, l’industriel explore différents territoires. Basée à Pusignan, près de Lyon, cette PME rassemble près de 43 collaborateurs pour un chiffre d’affaires de 4 à 5 M€/an. « Nous réalisons 50 % de notre activité à l’export, détaille Christophe Ray. Vers l’Allemagne, la Belgique, les Etats-Unis et vers d’autres pays frontaliers. » L’usine de production se développe sur une superficie couverte de 3 800 m2.  En 2019, Pim a subi un incendie dans son atelier principal. « Nous avons réfléchi à comment nous relancer ? Quelle stratégie adopter ? Ce sinistre a accéléré la prise de décision sur l’investissement vers de nouveaux marchés. » En effet, avec l’arrivée du nouveau dirigeant, Pim se diversifie. Tout en gardant la technique du polyuréthane coulé par gravité à chaud. « C’est un matériau particulier, mais aux très bonnes propriétés mécaniques. » Pim est présent dans différents secteurs. A l’image du monde de la neige, du transfert et de l’industrie. Et depuis l’incendie, l’industriel s’est tourné vers celui du béton.  Une nouvelle opportunité de marché « Nous réalisons des moules complets, des réservations, de l’outillage ou encore des éléments de protection. Pour le béton prêt à l’emploi, nous produisons aussi des buses pour machines à projeter. » Aujourd’hui, ce marché est porteur pour Pim. « Il représente près de 20 % de notre chiffre d’affaires cette année. »  Le polyuréthane présente plusieurs intérêts pour le monde du béton. « Le travail du polyuréthane peut être comparé à la pâtisserie, reprend Christophe Ray. Il faut respecter la recette. En changeant les proportions, nous allons modifier la dureté du matériau. Cela va nous permettre de faire des épaisseurs faibles, mais rigides, ou d’augmenter ou non la résistance à l’abrasion. » Ici, Pim utilise trois composants pour fabriquer sa matière première : une résine, un pré-polymère et  un réactif. Ces ingrédients sont mélangés à chaud.  « Ce matériau dispose d’une bonne résistance à l’abrasion. Par rapport aux solutions en acier, il est plus léger et plus facile à manipuler. Cela permet d’éviter les troubles musculo-squelettiques. Et finalement, le mode de transformation du polyuréthane est très voisin du process de production du béton préfabriqué. Nous savons faire du sur mesure. Des séries de 10 à 100 pièces. » Pim travaille en direct avec les industriels de la préfabrication. « Nous avons une équipe qui se déplace avec un technico-commercial spécialisé dans le béton. » La demande en moule se développe de plus en plus avec des clients, tels que Bonna Sabla, Libaud Préfa, Sebico  ou encore Sobemo. « En ce moment, les moules matricés sont un gros sujet pour nous. Nous mettons l’accent sur ce domaine au vu de la forte demande. Nous avons quelques clients partenaires qui testent nos produits et nous en cherchons d’autres. Nous avons plutôt orienté nos recherches autour des prémurs », détaille en conclusion Christophe Ray. Aujourd’hui, l’activité béton de Pim reste centrée sur la France. Mais l’industriel vise l’export avec, en première ligne, l’Allemagne et le Maroc. Article paru dans le n° 95 de Béton[s] le Magazine
Il y a 3 ans et 312 jours

Plus d'un artisan sur deux se sent illégitime pour conseiller ses clients sur les aides à la rénovation énergétique

La multiplication et la massification des aides financières pour la rénovation témoignent de politiques publiques engagées pour inciter les particuliers, les entreprises et les collectivités à effectuer des économies d'énergie. Chevilles ouvrières de la transition énergétique, les artisans du bâtiment (555.261 entreprises pour 640.621 salariés), qu'ils soient labellisés RGE ou non, sont les premiers acteurs de ce défi de proximité. Entre opportunités business et conscience écologique, comment conçoivent-ils leur rôle ? Se sentent-ils suffisamment armés pour se faire le relais des orientations gouvernementales ? Sont-ils prescripteurs d'aides financières ou de matériaux plus vertueux ? Telles sont les questions auxquelles répond cette étude inédite réalisée par OpinionWay pour BigMat, acteur majeur de l'habitat et leader européen de la distribution de matériaux et produits pour la rénovation et la construction.Les dispositifs publics d'incitation à la rénovation énergétique : efficaces mais compliquésMaPrimeRénov', certificats d'économie d'énergie (primes énergie), subventions de l'Anah ou encore dispositifs locaux et régionaux... Jugées globalement efficaces (58%) et suffisantes (56%), les aides pour encourager la transition écologique des bâtiments, sujettes à de nombreuses réformes successives, sont nombreuses et variées avec des critères d'attribution spécifiques tels que les ressources des ménages et la nature des travaux entrepris.Alors que 71% des Français* méconnaissent ces outils de financement exprimant des attentes fortes en termes d'accompagnement, force est de constater en parallèle que près des deux tiers des artisans du bâtiment (66%) les considèrent compliqués. Ainsi, seuls 46% s'estiment être suffisamment bien informés pour conseiller leurs clients en la matière. Pire, ils sont 44% à se sentir légitimes pour en parler. Une perception très partagée qui explique notamment qu'à ce stade, les différentes initiatives gouvernementales pour accélérer la rénovation des passoires thermiques ne soient perçues comme un levier de développement commercial que par 22% des professionnels.Les artisans, prescripteurs de solutions respectueuses de l'environnement ?Dans une précédente étude commanditée par BigMat en 2019 sur Les Français et les artisans, 2/3 des personnes interrogées considéraient que les professionnels du bâtiment n'avaient pas encore de vision écoresponsable des travaux de rénovation et de construction mais ils étaient plus d'1 sur 2 (56%) à estimer qu'ils le devraient. Un peu plus d'1 répondant sur 5 (21%) pensaient par ailleurs que les artisans avaient déjà cette vision...Dans les faits, 70% des artisans déclarent proposer des solutions respectueuses de l'environnement même si, au quotidien, la recommandation de ces solutions n'est systématique que pour 23% d'entre eux. Dans le détail, 18% les proposent uniquement si elles sont aussi efficaces que les autres, 13% dès lors que les clients ne sont pas réticents et 16% quand elles ne sont pas plus chères.Parmi les principaux freins au défaut de recommandation, près d'un artisan sur cinq (18%) considèrent ne pas les connaître suffisamment pour les recommander et 7% craignent de repousser des clients...« Nous sommes à la croisée des chemins et cette étude montre des résultats particulièrement intéressants et contrastés. Plus de la moitié des artisans considèrent les incitations publiques à la rénovation énergétiques efficaces et suffisantes, en revanche ils sont encore plus nombreux à les trouver complexes. Il est important de rappeler que dans l'immense majorité des cas, il s'agit de TPE voire d'indépendants déjà très sollicités. Dès lors la charge administrative qui accompagne le déploiement de ces dispositifs et le temps nécessaire pour s'informer voire se former et in fine conseiller les particuliers manque cruellement. Toutefois, 70% des artisans recommandent des solutions respectueuses de l'environnement à un moment ou un autre, en écho à la vaste prise de conscience des enjeux climatiques dans le grand public. Ce résultat, même s'il existe encore une large marge de progression montre que la transition énergétique est désormais un sujet clairement identifié comme stratégique par les professionnels du secteur, ce n'était pas le cas il y a encore quelques années », analyse Fabio Rinaldi, Président du Directoire de BigMat France. « L'Etat a fait sa petite révolution en massifiant et en simplifiant les aides et oui, les artisans peuvent devenir des ambassadeurs majeurs pour faciliter la transition énergétique, il appartient aux acteurs comme nous de les aider à travers de l'information sur les matériaux biosourcés par exemple ou en les soulageant des lourdes démarches administratives associées aux aides financières », conclut-il.* Etude OpinionWay pour Monexpert-renovation-energie.frMéthodologie : enquête réalisée par téléphone entre le 26 avril et le 14 mai 2021 auprès d'un échantillon de 505 entreprises artisanales représentatives des entreprises du secteur de la construction comptant moins de 10 salariés. L'échantillon a été constitué selon la méthode des quotas au regard des critères de région d'implantation et de taille d'entreprise et selon la norme ISO 20252.