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Il y a 3 ans et 96 jours

Présidentielles 2022 : le syndicat des Énergies Renouvelables présente ses propositions pour la transition énergétique

L’urgence climatique impose en effet de mettre en place un véritable plan de bataille pour respecter la trajectoire fixée par l'accord de Paris. Les mesures transversales et sectorielles détaillées par le SER dans le second volet de son Livre Blanc 2022 permettraient ainsi de répondre à ces objectifs de décarbonation tout en pérennisant des industries créatrices d’emploi et d’économie durable dans les territoires.A l’heure de la révélation des programmes des candidats à la Présidentielle, le SER souhaite porter ses propositions auprès de l’ensemble des acteurs de la campagne et partager l’énergie d’un nouvel élan pour la France.Agir pour la transition énergétique à tous les échelonsL’Ademe et le gestionnaire du Réseau de transport d’électricité français (RTE) l’ont désormais rappelé : pour garantir notre sécurité d’approvisionnement et permettre à la France d’atteindre la neutralité carbone en 2050, près de 75% de notre consommation d’énergie devra être satisfaite par des énergies renouvelables à cet horizon. Un projet qui nécessite d’agir aux niveaux international et européen mais aussi à l’échelle des territoires. En première ligne pour planifier et participer à la concertation autour des projets d’énergies renouvelables, ils en sont les acteurs majeurs mais aussi les premiers bénéficiaires d’un point de vue socio-économique. Pour Jean-Louis Bal, Président du SER : « Pour être au rendez-vous en 2050, la France doit dès à présent passer à la vitesse supérieure en matière de renouvelables. C’est aussi un enjeu de responsabilité et de crédibilité par rapport aux jeunes générations, qui attendent une mobilisation forte de toutes les parties-prenantes. Dans ce contexte, les candidats doivent se saisir des outils déjà existants et être en capacité d’en faire émerger de nouveaux pour accélérer et accompagner le formidable projet rassembleur qu’est la transition énergétique. »Les clés pour déployer nos énergies dans les filières renouvelablesAprès avoir livré une vision de ce que la France peut retirer du développement massif des renouvelables, le second volet du Livre blanc du SER présente une série de 10 mesures transversales et concrètes pour passer à l’action dans le cadre du quinquennat à venir : 01. Un « Fonds social pour le climat » pour accompagner les plus vulnérables et permettre une transition énergétique pour tous.02. Un « Parcours renouvelable » pour décrocher un emploi dans la transition énergétique.03. Une « étude d’impact climatique » sous l’autorité du Premier ministre pour une meilleure cohérence des politiques publiques.04. Une ambition énergétique cohérente avec celle de l’Union Européenne et assise sur une fiscalité allégée pour les énergies renouvelables.05. Un nouveau programme industriel « France Renouvelables » pour renforcer la souveraineté de la France dans les technologies stratégiques de la transition énergétique.06. Un pacte « Investir en confiance » pour renouveler les modes de financement des énergies renouvelables.07. Un programme national de sortie des énergies fossiles dans les secteurs encore dépendants.08. Un renforcement des ressources humaines et des capacités de pilotage de la politique de développement des énergies renouvelables pour respecter les objectifs fixés.09. Un programme national d’information sur les énergies renouvelables pour un débat éclairé et fondé sur des faits.10. Une France exemplaire en Europe et dans le monde pour se positionner comme une nation leader de la transition énergétique.En complément de ces propositions, près de 50 mesures sectorielles ont été élaborées afin de répondre aux enjeux des 12 filières du renouvelable français et ainsi générer des retombées environnementales et économiques significatives.Les biocarburants. Objectif : pérenniser les industries et les emplois liés à la production de biocarburants conventionnels et développer les emplois liés à la production de biocarburants avancés.Le bois-énergie individuel. Objectif : améliorer la qualité de l’air grâce au remplacement d’appareils anciens et polluants par des équipements labellisés, tout en participant à la stabilité du réseau électrique.Le bois-énergie collectif. Objectif : pérenniser et développer des emplois ancrés dans les territoires et souvent générés par des PME pour renforcer et structurer l’ensemble de la chaîne de valeur.L’éolien terrestre. Objectif : permettre à chacun de disposer des clés pour en comprendre les enjeux et participer au débat, accélérer les instructions des projets et faire bénéficier les communes d’implantation des retombées directes des parcs à travers la mise en place d’un nouveau fonds.L’éolien en mer. Objectif : lancer un exercice de planification maritime dès 2022 et conclure un Pacte de filière pour formaliser des engagements relatifs à sa pérennisation et demander un engagement de l’État sur le rehaussement des ambitions de développement, à moyen et long-terme.Les énergies marines renouvelables (EMR). Objectif : doter la France d’un objectif de développement pour tirer parti de ces ressources en métropole comme en Outre-mer.Les gaz renouvelables. Objectif : produire et injecter 12 TWh de biométhane dans les réseaux gaziers à horizon 2023 et créer près de 16 000 emplois directs et indirects d’ici la fin de la décennie.La géothermie. Objectif : doubler la production de chaleur par géothermie en dix ans, soit une économie de 1,1 million de tonnes équivalent pétrole.L’hydroélectricité. Objectif : optimiser la production des installations existantes et en développer de nouvelles.Le solaire photovoltaïque. Objectif : créer de nouvelles implantations industrielles innovantes pour positionner la France comme un véritable acteur du solaire, crédible en Europe et dans le monde.Le solaire thermique. Objectif : accélérer son développement pour diversifier les solutions de production de chaleur renouvelable, en particulier pour l’industrie et les réseaux de chaleur.La valorisation énergétique des déchets. Objectifs : tendre vers 100 % de valorisation des déchets en complément du recyclage.
Il y a 3 ans et 96 jours

Puy-de-Dôme : le réseau de chaleur Energ’Iss chauffera la ville d’Issoire d’ici à fin 2022

Le chantier de création du réseau de chaleur Energ’Iss se déroulera en quatre phases jusqu’à novembre 2022.
Il y a 3 ans et 96 jours

Viessmann et ISOLATION by TRYBA s’associent pour la rénovation énergétique

Viessmann a signé un partenariat national avec ISOLATION by TRYBA, expert en travaux énergétiques, pour accompagner la massification de la rénovation énergétique globale en maison individuelle. Ces deux entreprises familiales, références sur leurs marchés partagent des fondamentaux communs, comme expertise et savoir-faire, qualité et performances des produits et de la relation client. Cette offre déployée à partir du 1er mars 2022 au travers des 16 centres ISOLATION by TRYBA, propose aux particuliers, un interlocuteur afin de mener, en toute confiance, une rénovation énergétique globale de leur habitat : ITE, ravalement de façade, bardages, isolation des combles, ventilation et désormais génie climatique (avec des solutions en pompes à chaleur, climatisation, eau chaude solaire).
Il y a 3 ans et 97 jours

Plus de 1,3 million de systèmes thermodynamiques vendus en France en 2021

Au total, le marché français a absorbé 2 052 678 générateurs de chaleur en 2021, dont seulement 36% (749 900) de chaudières et 64% de systèmes thermodynamiques. Le solaire thermique renaît, timidement
Il y a 3 ans et 97 jours

“Un jour dans la nuit”, un roman graphique à l’initiative de NGE

[©NGE] A l’initiative de groupe de BTPNGE, l’illustrateur rouennais Virgile Dureuil et les éditions “Autrement” publient un roman graphique retraçant la reprise d’un chantier de nuit à Marseille, au sortir du premier confinement de 2020. Il s’agit d’un chantier sur la Côte bleue commandité par la SNCF. La Côte bleue est la façade maritime qui se situe au Nord de Marseille, après le quartier de l’Estaque. Et se termine à Martigues, en passant par Carry-le-Rouet. Une superbe luminosité s’en dégage… « Le cadre était tellement exceptionnel qu’un film contemplatif a été réalisé. Et NGE a voulu compléter tout l’univers visuel qu’il y avait autour de ce chantier, avec un roman graphique », raconte Virgile Dureuil. Une association inédite entre le 9e art et le 1er, c’est-à-dire l’architecture. Cette démarche s’inscrit dans la série des nombreuses initiatives prises par NGE pour recruter. Et aller au-devant de ses publics cibles. Et qui donne le ton de l’année pour l’entreprise… En effet, le groupe fête ses 20 ans en 2022. Une journée type de chantier Bruno Pavie, le “tintinophile” DRH du groupe NGE, devant une planche géante extraite du roman graphique “Un jour dans la nuit”, présentée en grands formats à la gare Saint-Charles, à Marseille. [©NGE]  « A la base, je suis fan de BD. J’avais déjà lu des ouvrages de Virgile, dont “Dans les forêts de Sibérie”. En plus, Virgile est Haut-Normand comme moi ! Ca rapproche !  Les choses se sont donc faites naturellement… », explique Bruno Pavie, le “tintinophile” DRH du groupe NGE. Le résultat est l’ouvrage “Un Jour dans la nuit”, qui raconte l’histoire de ce site, avec deux personnages : Cémal, le chef de chantier et Lucille, la conductrice de travaux. « On a travaillé pendant 4-5 mois et NGE nous a donné carte blanche », poursuit Virgile Dureuil, qui a collaboré avec Foucauld Duchange pour les textes et les dialogues. Ce livre qui retrace la journée type d’un chantier s’adresse à tous ceux qui sont intéressés par le milieu du BTP. Et à ceux qui s’intéressent aux profils qui travaillent sur ce type de chantiers. Mais aussi à ceux qui sont passionnés de la Côte bleue… Son objectif : toucher le grand public, en offrant un nouvel éclairage sur les métiers du BTP par une narration sensible, un dessin précis et très chaleureux. « Accessible à tous, de 5 à 95 ans ! », insiste Bruno Pavie. Comment raconter l’expérience vécue par les équipes de la “deuxième ligne” lors de la reprise des chantiers après plus de 50 j d’arrêt ? Intensité de la vie de chantier Virgile Dureuil, l’illustrateur, qui a collaboré avec Foucauld Duchange pour les textes et les dialogues du roman graphique “Un jour dans la nuit”. [©Virgile Dureuil] Comment faire découvrir et ressentir par la même occasion, ce qu’est l’engagement quotidien des invisibles du BTP ? Quelque 64 pages où Lucille et Cémal nous font vivre leur quotidien et leurs métiers… Juste la réalité, sans pudeur… « Ce roman aux dessins expressifs porte une attention particulière sur l’illustration du terrain. On vit avec Lucille et Cémal les différentes parties de ce chantier de nuit», reprend Bruno Pavie. Ainsi, ce roman graphique reprend sur le papier l’intensité de la vie de chantier dans ce qu’elle a de foncièrement humaine. Celle que l’on ne soupçonne jamais une fois que l’ouvrage est fini et qu’il s’inscrit dans le quotidien. L’occasion pour les jeunes lecteurs de découvrir des métiers d’excellence… Muriel Carbonnet
Il y a 3 ans et 97 jours

Covid-19 et qualité de l’air dans les écoles : le collège Jean Jaurès, un chantier exemplaire

Entièrement équipé par Kingspan Light + Air en dispositifs de ventilation naturelle, le collège Jean Jaurès est le premier établissement à s’engager aussi massivement pour améliorer la qualité de l’air intérieur ; une bonne aération constituant un geste barrière contre la Covid.Le plus grand projet d’équipement en solution de ventilation naturelle réalisé par KingspanLe collège Jean Jaurès est un chantier exemplaire qui a mobilisé l’expertise de Kingspan Light + Air associé au bureau d’étude LESS is MORE, pour mettre en place un dispositif permettant d’assurer de manière optimale le confort et la sécurité des élèves et enseignants. Lancé en 2019, le chantier s’est achevé en juin 2021, avec l’installation d’un système de ventilation naturelle Windcatcher dans chaque salle de classe, soit 40 appareils au total. En cas de forte chaleur, ou d’augmentation de CO2 supérieur aux exigences réglementaires, les tourelles Windcatcher s’ouvrent automatiquement, permettant un renouvellement de l’air complètement naturel sans ouvrir les fenêtres.Répondant à un Marché Global de Performance, l’objectif de résultat réel prend sur cette opération toute son importance. C’est pourquoi un suivi en temps réel de la composition de l’air dans chaque salle de classe (température, taux de CO2, consommation en chauffage) permet de veiller au respect des normes et seuil de consommation énergétique.Kingspan Light + Air est allé encore plus loin, en intégrant des fonctions complémentaires, spécialement destinées aux écoles, comme l’assainissement mécanique de la salle de classe avec un programme de renouvèlement de l’air intérieur qui s’enclenche automatiquement durant la pause déjeuner. En cohérence avec les enjeux de transition environnementale et d’économie d’énergie, le Conseil départemental de la Gironde et le collège de Jean Jaurès, souhaitaient trouver une solution de ventilation plus écologique pour assurer le confort des occupants durant les épisodes caniculaires tout en consommant moins. Le système de ventilation naturelle proposé par Kingspan permet de réduire considérablement la consommation et la maintenance électrique : un Windcatcher photovoltaïque consomme moins qu’une ampoule !Comment ça marche ?Windcatcher®, est une solution unique en France qui assure le renouvellement de l’air, le rafraîchissement des bâtiments et la diminution de la concentration en CO2 en utilisant la force éolienne et la convection thermique.Solution à énergie passive, ce système utilise les mouvements naturels de flux d’air dans l’espace (ascension de l’air chaud vicié).Quelle que soit la direction du vent, ces tourelles à énergie passive captent l’air des vents dominants pour rafraichir le bâtiment et évacuer l’air vicié. Elles équipent aujourd’hui des locaux d’envergure comme les écoles, hôpitaux, grandes entreprises, et autres bâtiments recevant du public.
Il y a 3 ans et 101 jours

Les propositions de la Filière Béton aux candidats à la présidentielle

La Filière Béton se mobilise pour proposer des solutions sociétales et politiques auprès des candidats aux élections présidentielles 2022. La Filière Béton se mobilise pour la construction décarbonée. Dans le cadre de l’élection présidentielle 2022, elle souhaite faire connaître des solutions sociétales et politiques auprès des candidats. Plus particulièrement, elle évoquera des solutions de dynamisation de l’activité dans les territoires. Favorable à la RE 2020, la filière s’est engagée dans la réduction de ses émissions de gaz à effet de serre, suivant la même trajectoire que la Stratégie nationale Bas Carbone. Notamment au niveau de l’industrie du ciment qui a diminué de 39 % son impact carbone entre 1990 et 2018. De nombreux investissements sont en cours pour permettre à la profession d’atteindre – 80 % d’ici 2050. Ainsi, les propositions de la Filière Béton, pour les candidats à la présidentielle, s’articulent autour de plusieurs axes. La ville de demain en ligne de mire Tout d’abord, la Filière Béton s’est focalisée sur le logement. Cela, dans l’optique de construire plus, mieux et à coût maîtrisé. Parmi ses recommandations, elle demande aux pouvoirs publics d’investir au-delà des 650 M€ prévus pour le recyclage des friches, afin de faciliter la construction d’habitations. En parallèle, la Filière souhaite engager une réflexion collective autour de la sécurité pour élaborer de nouveaux outils permettant de simuler de façon optimale la prévention des incendies. Elle insiste aussi sur la nécessaire tenue d’un sommet pour la relance de la construction. Lire aussi : Pénuries sur les matières premières : La Filière Béton résiste Ensuite, la Filière a voulu mettre l’accent sur la question de l’urbanisme. En effet, la ville de demain devra faire face à différentes problématiques comme la limitation de l’étalement urbain, les catastrophes naturelles. Ou encore, la hausse démographique et le besoin d’un retour à la nature dans les villes. La Filière Béton incite pour privilégier les solutions béton qui permettent de concevoir de manière durable et résiliente. Et ainsi, favoriser le confort des citoyens, tout en évitant la création d’îlots de chaleur. Les axes stratégiques de la Filière Béton Le troisième axe centré sur l’économie circulaire ouvre la discussion sur la dynamisation du territoire, ou encore l’approvisionnement durable et le maillage des sites de production et d’extraction de matières premières. Pour la Filière Béton, la commande publique, la valorisation du caractère local des produits et des emplois ou l’économie de la fonctionnalité sont autant de leviers à actionner. L’objectif est de limiter l’empreinte carbone des constructions de leur début à leur fin de vie. Lire aussi : Cerema : Un label pour accompagner l’économie circulaire Favoriser l’économie circulaire nécessite aussi la rénovation et le développement de nombreux axes de circulation. Cela, afin de garantir la croissance économique, commerciale et la sécurité. Dans son quatrième axe, consacré aux réseaux, la Filière demande la création de galeries multi-réseaux, d’intégrer des réseaux en sous-sols, de développer de nouvelles mobilités. Mais aussi, de rénover les ponts/infrastructures et de favoriser les axes ferroviaires et maritimes. Enfin, la gestion de l’eau constitue le dernier axe. L’urbanisation croissante a réduit l’infiltration naturelle et a augmenté le ruissellement. C’est pourquoi, pour protéger les zones urbanisées, approvisionner et retraiter l’eau destinée aux citoyens, la Filière rappelle la pertinence technique de ses solutions.
Il y a 3 ans et 102 jours

Énergies renouvelables : Paris, Rouen et Le Havre créent leur "catalyseur"

La société d'économie mixte locale (SEML) "Axe Seine Energies Renouvelables" vise à l'horizon 2030 le développement d'une cinquantaine de projets, "représentant potentiellement une puissance installée de 250 MW d'énergie renouvelable", selon la délibération votée mercredi par les élus de Paris, dans la foulée de ceux du Havre et de Rouen.S'il est atteint, cet objectif nécessitera de porter à 28,5 millions un capital social initialement fixé à 7,8 millions d'euros, précise le texte.Pour l'instant, les métropoles du Havre et de Rouen y participent à hauteur de 2 millions (25% du capital chacun), la Caisse des dépôts et consignations à un niveau équivalent (24,5%). Avec 1 million d'euros chacun, la Ville de Paris et la Métropole du Grand Paris se partagent le dernier quart.Photovoltaïque, biomasse, éolien, récupération de chaleur, hydrogène... "Catalyseur de politiques publiques en faveur de la transition énergétique" via des études et le codéveloppement des projets, cette société "va nous permettre de générer plusieurs centaines de millions d'euros d'investissements", a affirmé à l'AFP Dan Lert, l'adjoint (EELV) à la transition écologique de la maire PS de Paris Anne Hidalgo."Aujourd'hui à Paris, nous sommes à 21% d'énergies renouvelables dans la consommation du territoire, dont 6% produites localement. On doit passer à 45% dont 10% produites localement d'ici 2030", réclame l'élu écologiste.La métropole de Rouen a identifié les premiers projets, principalement photovoltaïques et éoliens, qui pourraient démarrer dès 2022. Selon M. Lert, "une douzaine de projets ont déjà été identifiés".Pas de quoi convaincre les élus communistes, pourtant alliés d'Anne Hidalgo, qui ont voté contre une "forme de partenariat public-privé qui ne garantit en rien le statut des personnels, les prix de l'énergie et le rapport avec les populations", a expliqué Nicolas Bonnet-Oulaldj. "La garantie, c'est le service public."La présence de l'ancien Premier ministre Edouard Philippe, maire (Horizons) du Havre, et de Nicolas Mayer-Rossignol, maire PS de Rouen, dans l'hémicycle aux côtés d'Anne Hidalgo, a entraîné le départ des élus LR et apparentés, Rachida Dati accusant la candidate du PS à l'élection présidentielle "de transformer ce Conseil en tribune électorale"."Que le maire du Havre se prête à cette instrumentalisation nous choque", a ajouté la maire du VIIe arrondissement.
Il y a 3 ans et 102 jours

"Folie" ou projet "d'intérêt général" ? Dans la forêt landaise, un parc solaire XXL à l'étude

A Saucats, commune de 3.200 habitants à 20 km au sud de Bordeaux, les opérateurs Engie, Neoen et RTE veulent établir d'ici quatre ans une gigantesque centrale solaire.Cette centrale générerait chaque année l'équivalent "d'un cinquième à un quart" de la production électrique d'un réacteur nucléaire. Mais ce projet d'énergie renouvelable, enjeu de la présidentielle d'avril avec l'actuelle flambée des prix de l'énergie, se heurte pourtant à une forte opposition locale de tous bords.Baptisé "Horizeo", le projet d'un milliard d'euros prévoit aussi l'installation de batteries de stockage, d'une unité de production d'hydrogène vert, d'un centre de données et d'une surface associant cultures maraichères et panneaux solaires."C'est vraiment immense", dit cet agriculteur, qui exige l'anonymat tant le projet divise localement. Au volant de son pick-up sur des routes départementales puis des pistes sableuses, il met plus de 20 mn pour contourner les clôtures de la zone d'étude du projet.Pour ses parcelles de maïs doux et de haricots cultivées juste à côté, il redoute l'apparition d'îlots de chaleur et la répétition d'inondations, que provoquerait, selon lui, un futur déboisement.Car pour bâtir Horizeo, il faudra défricher 1.000 hectares de pins maritimes actuellement exploités -l'équivalent de 1.400 terrains de football- dans cette commune boisée à 75% et où le projet est soumis à un grand débat public, encadré par l'Etat, depuis l'automne dernier."C'est une folie" guidée par "la rentabilité financière", s'insurge, également sous couvert d'anonymat, Sabine, une chargée de communication de 51 ans qui réside à 6 km."Les centrales nucléaires sont en fin de vie, il faut d'autres solutions", rétorque un habitant de 34 ans, qui soutient l'installation de la centrale solaire car "tant que la société continuera de consommer, il faudra produire de l'énergie".Pour atteindre la neutralité carbone en 2050 en France, il faudrait entre 7 et 22 fois plus de capacité de production photovoltaïque qu'aujourd'hui, rappelait en novembre la Commission nationale chargée du débat public, en se basant sur les scénarios nationaux du gestionnaire du réseau électrique RTE - qui vont d'une production électrique 100% renouvelable à un duo renouvelable-nucléaire à 50-50.C'est donc pour "l'intérêt général" que le Conseil municipal a "donné un accord de principe" à Horizeo, défend le maire socialiste Bruno Clément.Mais situé à l'endroit exact où démarra le feu de forêt le plus meurtrier de l'histoire moderne du pays, qui tua 82 personnes en août 1949, le parc solaire ne se fera que s'il ne présente "aucune aggravation des risques incendie et inondation", prévient-il.AccaparementPour son gigantisme, ses risques sur l'environnement et la biodiversité, le projet est fraîchement accueilli, des Verts menés par le maire de Bordeaux Pierre Hurmic, qui réclament "un projet alternatif", jusqu'aux partis d'extrême droite (RN et Reconquête), farouchement opposés."On doit être attentif au maintien du massif forestier", tempère Alain Rousset, président socialiste de la région Nouvelle-Aquitaine, première productrice d'énergie photovoltaïque, qui vise un mix énergétique 100% renouvelable d'ici 2050.Horizeo permettrait pourtant à lui seul "d'atteindre 15% des objectifs régionaux", défend Mathieu Le Grelle, son porte-parole."Une opportunité rare", car situé à quelques kilomètres d'un des seuls postes électriques capables d'injecter autant d'électricité dans le réseau, souligne-t-il, rappelant que les entreprises s'engagent à reboiser "deux arbres pour un coupé".Si Horizeo reste soutenu par les professionnels du secteur, la Chambre du Commerce et de l'Industrie, et, "avec des réserves", par la section locale de Greenpeace, il se heurte à un arc d'opposants hétéroclites - riverains, syndicats sylvicole, agricole et viticole, chasseurs et associations environnementales locales - qui émergent au fur et à mur de l'avancée du projet.Selon des opposants, le terrain serait loué entre 3.000 et 4.000 euros l'hectare chaque année durant 40 ans par les porteurs d'Horizeo - qui n'ont pas souhaité commenter ces montants- contre 3.000 à 5.000 euros l'hectare pour une vente foncière classique entre professionnels du bois.Pour Stéphanie Lafitte, sylvicultrice voisine, l'écart est tel que si "ce giga-projet est validé", "l'industrie (du renouvelable) finira par s'accaparer la forêt".D'après l'inventaire des autorités publié par la Dreal et les objectifs du Conseil régional, les espaces déjà artificialisés - sites pollués, parkings, friches - disponibles pour y établir de nouvelles plateformes photovoltaïques sont largement "insuffisants" pour couvrir les besoins.
Il y a 3 ans et 102 jours

RE2020 : les experts Rockwool décryptent la nouvelle réglementation environnementale à travers des vidéos pédagogiques

Le secteur du bâtiment qui représente 46% de la consommation énergétique nationale et 19% des émissions de gaz à effet de serre se doit ainsi de participer à l'effort de lutte contre le réchauffement climatique en réduisant ses consommations d'énergies.Une démarche déjà initiée depuis de nombreuses années par ROCKWOOL, leader mondial des solutions en laine de roche, à travers ses process de décarbonation notamment grâce aux évolutions progressives de ses lignes de production vers des fours électriques performants et moins émetteurs de CO2. Cette démarche est complétée par son service de recyclage des déchets de chantiers Rockcycle qui permet de réduire l'utilisation de ressources et donc l'impact environnemental de la laine de roche.De plus, la laine de roche est un isolant naturel et durable dont les performances thermiques permettent de réduire les dépenses énergétiques des bâtiments et donc les émissions de gaz à effet de serre, tout en offrant également des performances acoustiques et de protection contre l'incendie. De la pédagogie pour mieux comprendre les enjeux de la RE2020La réglementation RE 2020 s'applique aux maisons individuelles et logements collectifs depuis le 1er janvier. Elle sera appliquée pour les bureaux et bâtiments d'enseignement primaire et secondaire dès le moins de juillet. Quant aux bâtiments tertiaires (EHPAD, commerces, gymnases, restaurants…), constructions provisoires et extensions, la mise en application est programmée à partir de 2023.Dans ce contexte, afin de familiariser l'ensemble de son écosystème à la RE2020 - artisans, clients et particuliers - ROCKWOOL a imaginé une série de 7 vidéos « l'instant ROCKWOOL – tout sur la RE2020 ». Animées par ses experts Julien Molinier Expert Performance Energie ROCWOOL France et Vincent Marcolla, Chef de produit ROCKWOOL France, qui expliquent à travers des séquences concises et pédagogiques les enjeux de cette nouvelle réglementation, les différences avec la RT 2012 et le fonctionnement des indicateurs de performance énergétique et environnementale qui seront mis en œuvre. Les experts de ROCKWOOL prodiguent également des conseils pour les maisons individuelles en termes de niveaux d'isolation et apportent des premiers retours d'expériences de cas d'études, à travers des cas réalistes.Trois objectifs principaux de résultats pour la RE 2020 auxquels répondent les solutions ROCKWOOLDonner la priorité à la sobriété énergétique : les solutions en laine de roche permettent d'atteindre des hauts niveaux de performance thermique des bâtiments et donc la réduction des gaz à effet de serre générés par les consommations énergétiques de ces derniers.Diminuer l'impact carbone des énergies et de la construction des bâtiments : c'est le cas chez ROCKWOOL qui œuvre pour une meilleure performance énergétique des process et leur décarbonation notamment en faisant évoluer progressivement ses lignes de production vers des fours électriques performant et moins générateurs de CO2.Garantir le confort thermique des bâtiments en cas de forte chaleur : à ce titre ROCKWOOL propose une large palette de solutions participant à l'amélioration du confort d'été dans les bâtiments tout en innovant constamment pour valoriser la robustesse et durabilité des performances des produits dans le temps.Outre ce dispositif diffusé sur le site internet www.rockwool.fr et les réseaux sociaux de ROCKWOOL France youtube -Twitter et Linkedin – un service d'assistance téléphonique est à disposition des professionnels pour tout avis technique ou question de mise en œuvre.
Il y a 3 ans et 102 jours

Argan profite de la bonne santé des entrepôts en 2021

Son résultat net bondit à 668 millions d'euros, soit 140% d'augmentation, une explosion peu représentative car essentiellement due à la revalorisation de ses actifs.Le résultat net récurrent, plus représentatif pour une foncière, est en hausse de 8% à 111,9 millions d'euros. Pour 2022, Argan se fixe un objectif de +5% à 117 millions.Le président du groupe Jean-Claude Le Lan s'est félicité en visio-conférence d'une année "exceptionnelle", qui lui permet d'augmenter son dividende par action à 2,60 euros, alors qu'il tablait initialement sur 2,30.Argan a ouvert l'été dernier, sur une ancienne base militaire près de Metz, un entrepôt géant de 185.000 mètres carrés qu'il loue à Amazon et lui rapporte 9 millions d'euros par an.Carrefour reste de loin son premier client, représentant 31% de ses revenus locatifs, devant FM Logistic (8%), Casino (7%), Geodis (6%), Amazon, Auchan et Décathlon (5% chacun).Son patrimoine, valorisé à 3,75 milliards d'euros contre 3 milliards fin 2020, couvre une surface de 3,27 millions de mètres carrés contre 2,99 millions fin 2020.Décrié pour l'impact écologique de son activité, très gourmande en surfaces et contribuant à l'artificialisation des sols, le groupe revendique désormais de développer des sites moins polluants dans leur fonctionnement, grâce à des panneaux photovoltaïques sur les toits et des pompes à chaleur pour le chauffage.
Il y a 3 ans et 102 jours

Des lunettes de protection anti-buée pour une super vision

La technologie Supravion sera intégrée à l’ensemble des lunettes de la gamme d’Uvex. [©Uvex] Spécialiste européen des équipements de protection individuelle, Uvex dévoile sa nouvelle technologie Supravision. Celle-ci garantit une performance anti-buée 4 fois supérieure à celle exigée par les normes. Sur la face interne des lunettes, l’œil est protégé contre la formation de buée créée par la respiration ou la chaleur corporelle. Afin d’être certifiées et marquées N (norme anti-buée), les lunettes sont soumises à un test au cours duquel elles doivent résister à la formation de buée pendant 8 s sous une eau chauffée à 50 °C. Résultat : ces lunettes résistent pendant 32 s. La face externe des lunettes est, quant à elle, résistante aux rayures, aux éclaboussures et aux produits chimiques. Elle est très facile à nettoyer grâce à son effet Easy-to-clean, qui empêche l’adhérence des liquides et des poussières. Même après plusieurs lavages, la technologie anti-buée ne s’estompe pas. Par ailleurs, les lunettes filtrent aussi les rayons UVA et réduisent de 15 % les lumières bleues nocives pour la rétine. Idéale pour une utilisation en extérieur, la sécurité du porteur est garantie tout au long de la journée, même dans les conditions les plus difficiles et dans les environnements de travail les plus poussiéreux. Cette nouvelle technologie sera intégrée aux différents modèles déjà commercialisés par Uvex.
Il y a 3 ans et 102 jours

Le marché du chauffage conserve des couleurs

Doublement des ventes de chaudières biomasse, croissance une nouvelle fois record pour les pompes à chaleur air/eau… Uniclima dresse un bilan positif, mais bien sûr contrasté selon les secteurs, du marché en 2021.
Il y a 3 ans et 103 jours

A l'approche de l'élection présidentielle : l'énergie en cinq chiffres

19% de renouvelableEn 2020, les énergies renouvelables représentaient 19,1% de la consommation finale brute d'énergie en France, selon des données collectées par Eurostat. Si cette part augmente rapidement - 14,8% en 2015 -, la France a échoué à atteindre l'objectif de 23% d'énergie renouvelable en 2020 que lui avait fixé l'Union européenne.Avec cette cible, la France aurait dû se classer 10e parmi les 27. Elle n'est dans les faits que 17e, notamment dépassée par l'Espagne (21,2%), l'Italie (20,4%) ou l'Allemagne (19,3%) dont les objectifs étaient pourtant moins élevés.Les pays nordiques sont les champions européens des énergies renouvelables: la Suède (60,1%) est en tête dans l'Union européenne, l'Islande (83,7%) et la Norvège (77,4%) hors Union.18 centrales nucléairesDepuis la mise à l'arrêt de la centrale de Fessenheim (Haut-Rhin) en 2020, la France n'exploite plus que 18 centrales nucléaires, mais conserve le deuxième plus grand parc au monde, derrière les Etats-Unis.La France est même le pays le plus nucléarisé pour le poids de l'atome dans sa production d'électricité (environ 70%).Cette part est toutefois amenée à diminuer, le pays ayant décidé de l'abaisser à 50% à l'horizon 2035, dans un souci de diversification des sources de production d'électricité et pour permettre l'essor des énergies renouvelables.Un seul réacteur nucléaire est actuellement en chantier dans le pays, celui de l'EPR de Flamanville (Manche), qui a connu de nombreux retards et surcoûts. Son démarrage vient d'être repoussé une nouvelle fois, au deuxième trimestre 2023.Près de 9.000 éoliennesLa France compte 1.550 parcs pour 8.905 éoliennes, selon un rapport de France énergie éolienne (FEE), l'association qui regroupe les professionnels de la filière. Ces chiffres ont presque doublé depuis 2014. Le pays ne comptait alors que 4.800 éoliennes répartis dans 730 parcs. En moyenne, sur la période, près de 600 nouvelles éoliennes ont été mises en service chaque année.Selon le rapport de FEE, les Hauts-de-France et le Grand Est sont en pointe et "représentent à elles seules 50% de la puissance raccordée en France".Il ne s'agit pour l'heure que d'éoliennes terrestres. En mer, sept projets ont été attribués, certains depuis 2012, mais, d'obstacles réglementaires en recours juridiques, aucun n'est encore en service. Le premier à entrer en fonctionnement sera celui de Saint-Nazaire, fin 2022.Et même pour l'éolien terrestre, la filière, qui fait face depuis quelques mois à un regain d'opposition, estime que l'objectif de 34 gigawatts (GW) fixé pour 2028 sera "difficile à atteindre" au rythme actuel. Les projections de FEE plafonnent à 26,8 GW à cette échéance.68.000 emplois dans le renouvelableLes énergies renouvelables faisaient travailler en 2018 un peu plus de 68.000 équivalents temps plein (ETP), selon les données du ministère de la Transition écologique.Parmi ces emplois, les trois quarts se concentrent dans quatre secteurs: le bois-énergie (23%), les pompes à chaleur (19,1%), l'hydroélectricité (17,5%) et l'éolien terrestre (15,5%). En revanche, le photovoltaïque, qui représentait en 2010 plus du tiers des emplois du renouvelable avec environ 30.000 ETP, n'en emploie plus que 6.000 (8,7%).Les effectifs du renouvelable sont globalement en légère hausse depuis 2017, soutenus selon le ministère "par le niveau élevé des installations d'éoliennes et des ventes de pompes à chaleur", mais ils restent très inférieurs au pic de 2010, quand ils flirtaient avec les 80.000 ETP.Et 220.000 dans le nucléaireS'il n'existe pas de statistique officielle, le nucléaire représenterait 220.000 emplois en France, soit 6,7% de l'emploi industriel français, selon le Gifen, le syndicat professionnel de la filière, qui ne précise toutefois pas s'il s'agit d'équivalents temps plein.
Il y a 3 ans et 104 jours

Dimensionner une pompe à chaleur en rénovation : les règles à respecter

FICHE PRATIQUE. Les pompes à chaleur demandent un dimensionnement précis pour éviter les mauvais fonctionnements, l'inconfort et les dépenses inutiles. Une démarche de conception à mener pas à pas.
Il y a 3 ans et 107 jours

Holcim s'engage dans l'acquisition du Groupe PRB

Holcim a signé un accord pour l’acquisition du Groupe PRB, première entreprise indépendante de son secteur avec une prévision de chiffre d’affaires de 340 millions d’Euros pour 2022. PRB propose une large gamme de produits haute performance pour l’isolation thermique et le rénovation pour la construction : des revêtements spéciaux des façades aux solutions adhésives et des mortiers techniques aux solutions pour les sols.Avec son leadership en écoconception et en développement durable, le Groupe PRB apporte des réponses essentielles à la nouvelle réglementation environnementale française pour la construction, entrée en vigueur au 1er janvier 2022 et destinée à renforcer l’efficacité énergétique et la performance carbone des bâtiments.Les produits et les solutions du groupe PRB sont complémentaires de ceux proposés par Holcim et ils sont particulièrement pertinents pour le marché en forte croissance de la rénovation et de l’isolation thermique.Le Groupe PRB emploie plus de 700 salariés travaillant au sein d’installations dernier cri dont son centre de recherche et développement, ses 5 usines de production et ses 26 dépôts logistiques. PRB s’appuie également sur 1300 points de distribution.Pour Jan Jenisch, PDG du groupe Holcim : “C’est un démarrage très fort en ce début d’année avec l’arrivée du Groupe PRB au sein de la famille Holcim. C’est également une nouvelle étape enthousiasmante pour le développement de notre branche Solutions & Produits et le déploiement de notre “Stratégie 2025 d’accélération de la croissance verte”. Les succès remportés par la famille Laurent, à la tête du Groupe, sont impressionnants tout comme le sont l’expertise et l’engagement des équipes PRB dans leur ensemble. J’ai aujourd’hui hâte de pouvoir accueillir chaleureusement tous les employés de PRB au sein de Holcim et d’investir pour un nouveau chapitre de la croissance de l’entreprise tout en gardant son focus permanent sur l’innovation, le développement durable et le marketing.”Jean-Jacques Laurent, Président du Groupe PRB : “Je suis enthousiaste à la perspective de l’entrée de PRB au sein de la famille Holcim qui est depuis longtemps un partenaire de confiance. Ce rapprochement est un nouveau chapitre presque naturel pour les deux entreprises qui partagent les mêmes valeurs et la même vision. Ensemble, nous allons pouvoir accélérer encore davantage notre stratégie de croissance. Tout comme PRB, Holcim est engagé fortement dans l’économie circulaire et veut contribuer à rendre le secteur de la construction plus durable. Avec Holcim, qui est leader mondial de son secteur, je sais que notre entreprise sera entre de bonnes mains pour atteindre un nouveau niveau de performance.”Créé en 1975, le groupe PRB a rapidement connu la croissance pour devenir le leader des revêtements techniques de façade en France. Le Groupe PRB est très bien positionné au niveau de produits hauts de gamme pour l’efficacité thermique et la rénovation des bâtiments. Avec son centre de recherche et développement et son engagement pour le développement durable, le Groupe PRB innove continuellement pour sa gamme de produits en termes de conception écologique mais aussi en alliant hautes performances et facilité d’utilisation. Sa ligne de produits “Responsables et durables” constitue la première et la plus complète gamme de solutions techniques à empreinte carbone réduite pour la construction. Avec les 7,5 milliards EUR du plan de relance du gouvernement français alloués aux constructions à faible émission de carbone, le marché de la rénovation du bâtiment représente un potentiel de croissance de l’ordre de 18 %, une base solide pour la poursuite de la croissance du Groupe PRB.Cette acquisition s’intègre parfaitement dans la stratégie « Accelerating Green Growth » de Holcim, qui vise l’expansion de ses activités Solutions & Produits pour représenter 30 % du chiffre d'affaires net du groupe d'ici à 2025, et ce grâce à la pénétration des segments les plus attractifs dans la chaîne de valeur de la construction, allant des toitures à la réparation et à la rénovation. Cette acquisition s'inscrit aussi dans l’engagement de Holcim à veiller à une discipline financière rigoureuse et est soumise aux approbations réglementaires d’usage en France. Sa finalisation est attendue au deuxième trimestre 2022.
Il y a 3 ans et 107 jours

Le Guide Pro Thermor 2022 est arrivé !

Pour accompagner distributeurs et installateurs, la marque française Thermor propose, à partir du 1er Février, son nouveau Guide Pro 2022. Radiateurs électriques, sèches serviettes, chauffages tertiaires, climatisations réversibles, chauffe-eau et pompes à chaleur pour piscine, toutes les références proposées par la marque Thermor sont à retrouver dans ce guide. A noter, parmi les nouveautés de cette […]
Il y a 3 ans et 108 jours

Transition énergétique : les industriels fixent trois objectifs pour la présidentielle

DÉCARBONATION. Tripler les économies d'énergie, tripler la chaleur renouvelable et celle de récupération, et doubler le nombre d'emplois de la filière des services énergétiques : voilà ce que proposent ses industriels aux candidats à l'élection présidentielle en vue d'accélérer la transition écologique du pays. Leur fédération vient de dévoiler une trentaine de mesures ciblées.
Il y a 3 ans et 108 jours

Cupa Pizarras passe sous pavillon canadien après son rachat par le fonds Brookfield

La société, implantée à Rennes depuis 1990, exporte chaque année 80.000 tonnes de schiste vers la France, premier pays consommateur d'ardoise au monde. Aujourd'hui, 40% des ardoises naturelles importées dans l'Hexagone proviennent de carrières exploitées par CUPA PIZARRAS.CUPA PIZARRAS, qui dispose de 20 carrières, maîtrise 45% de la production mondiale d'ardoise naturelle. En France, la société ambitionne de franchir les 50% de parts de marché dans les années à venir. Stéphane Renard, Directeur commercial CUPA PIZARRAS en France, indique : “La collaboration avec Carlyle s'est avérée fructueuse : elle a permis de structurer l'activité du groupe et de développer la production, à travers l'acquisition de carrières. Nous sommes aujourd'hui ravis de pouvoir compter sur le soutien d'un nouveau propriétaire qui place au cœur de ses priorités la tradition du groupe. Javier Fernández, PDG de Cupa, et fils de l'un des fondateurs de l'entreprise reste en effet à sa tête. En France, l'année 2022 s'annonce d'ores et déjà excellente puisque notre carnet de commandes est d'ores et déjà complet. Nous allons notamment participer à des chantiers d'envergure tels le Château de Villers-Cotterêt, les cathédrales de Bergerac ou de Soisson et nous avons de belles réalisations prévues en façade."Auparavant exclusivement tournée vers la toiture, l'activité de CUPA PIZARRAS s'inscrit désormais dans la modernité avec une belle avancée du nombre de chantiers en façade. La société s'emploie aussi à développer de nouveaux usages de l'ardoise en capitalisant sur la capacité du schiste à capter la chaleur pour la transformer en énergie propre. Thermoslate, son panneau solaire thermique aux capteurs invisibles permet ainsi d'assurer la production d'eau chaude sanitaire ou de chauffer l'eau d'une piscine.
Il y a 3 ans et 109 jours

Précarité énergétique : des aides complexes peu efficaces et un manque d'accompagnement

Un constat partagé par Régis Largillier, ancien cadre de Schneider Electric et animateur de la chaire HOPE, en pointe dans la recherche de solutions pour contrer ce fléau qui touche près d'un Français sur cinq : selon lui, il faut un véritable "accompagnement" des familles les plus gravement touchées."Pour parvenir à un réel changement d'échelle sur le volet de la rénovation et de la lutte contre la précarité énergétique, l'information et l'accompagnement des ménages sont également indispensables", souligne ainsi la fondation Abbé-Pierre, qui constate que le réseau FAIRE, créé en septembre 2018 pour guider les particuliers, connaît encore de "nombreuses défaillances".Selon une enquête menée par la fondation au premier semestre 2021, appels non décrochés, délais de réponse à rallonge, erreurs dans les conseils délivrés sont monnaie courante.Un constat d'autant plus dommageable que, comme le relève M. Largillier, la "complexité" des différentes aides est telle, "que ce soit au niveau national, européen, ou même régional, que les gens ne comprennent plus rien, ne savent plus"."Ce qu'il faut, au-delà des aides, c'est qu'il y ait un accompagnement. Un accompagnement, avec des gens formés, qui connaissent les différents types d'aides, c'est essentiel", explique M. Largillier.Il s'appuie notamment sur une étude menée en 2020 par des chercheurs de l'université de Grenoble-Alpes sur la précarité énergétique dans l'agglomération de Roanne (Loire), lors de laquelle 78% des personnes sondées ont indiqué qu'elles ne connaissaient pas les aides financières à la rénovation thermique.Cette méconnaissance entraîne souvent un "non-recours aux droits" de la part des usagers, "parce que les droits sont peu connus, peu connus des usagers, bien sûr mais peu connus aussi dans l'ensemble des institutions, des travailleurs sociaux, des collectivités territoriales qui devraient accompagner les gens qui sont en précarité énergétique", souligne M. Largillier.La fondation Abbé-Pierre pointe par ailleurs l'évolution des dispositifs d'aides "qui gonflent les chiffres du nombre de travaux enclenchés en ciblant de simples "gestes" de rénovation, peu efficaces s'ils restent isolés (changer la chaudière, isoler les combles, changer les fenêtres...), au détriment de la performance à long terme d'une rénovation globale".La "honte" d'être précaireSelon une évaluation du plan France Relance menée par France Stratégie, organisme rattaché à Matignon, "86% des travaux financés avec MaPrimeRenov' ne concerneraient qu'un geste de rénovation (changement de chaudière, isolation...), les rénovations globales ne représenteraient que 0,1% des dossiers et les sorties de passoires 0,2%...", souligne le rapport de la fondation.Dans cette étude, France Stratégie estimait cependant que "certains mono-gestes peuvent être efficients, en permettant de dégager des économies d'énergie significatives", prenant l'exemple de l'installation des pompes à chaleur air/eau.En attendant de pouvoir changer réellement la donne par des travaux, le versement d'aides aux ménages pour le paiement des factures demeure crucial.De ce côté-là, le compte n'y est pas non plus, selon la fondation Abbé-Pierre, même si elle salue un élargissement du "chèque énergie" à "deux millions de ménages bénéficiaires supplémentaires et une revalorisation du chèque de 50 euros en 2019 suite à la crise du mouvement des gilets jaunes"."En 2020, le montant moyen du chèque énergie était toujours de 148 euros, alors que la facture énergétique pour le logement était en moyenne de 1.602 euros par an en 2019. En décembre 2021, un second chèque de 100 euros a exceptionnellement été envoyé pour pallier la hausse des prix du gaz et de l'électricité", rappelle la fondation.De plus, relève-t-elle, "le taux de non-recours concerne encore un cinquième des bénéficiaires"."Ceux qui en ont vraiment besoin ne l'utilisent pas", confirme M. Largillier, selon qui les ménages plus concernés ne souhaitent pas "être redevables de l'Etat" ou que cela se sache dans leur entourage : "il y a plein de raisons liées à la honte d'être précaire", voire la crainte de recevoir une lettre qui vient de l'Etat, annonciatrice d'une mauvaise nouvelle, comme un avis d'expulsion.Un aspect qui justifie d'autant plus le besoin d'"accompagnement", selon M. Largillier.
Il y a 3 ans et 110 jours

La consommation de biomasse solide dans l'UE

Les principaux enseignements du baromètre biomasse solide 2021 d'EurObserv'ERL'énergie issue de la biomasse solide est principalement valorisée pour produire de la chaleur et de l'électricité. La consommation d'énergie primaire issue de biomasse solide a augmenté de 0,3 % en 2020, atteignant 94,4 Mtep au sein de l'UE27. La production a quant à elle légèrement diminué pour atteindre 92 Mtep. La production électrique a augmenté tandis que celle de chaleur a diminué, notamment dans un contexte de climat hivernal plus doux. La consommation a diminué dans la plupart des principaux pays consommateurs de biomasse solide, seules la Suède (9,9 Mtep) et la Pologne (7,0 Mtep) ont vu leur consommation augmenter de manière significative. Les Pays-Bas, plus petit consommateur, ont quant à eux progressé sensiblement (+ 45 %) pour atteindre une consommation de près de 2,3 Mtep. La production d'électricité à partir de biomasse solide du pays a doublé sur l'année.Croissance de la production d'électricitéLa production d'électricité à partir de biomasse dans l'Union Européenne des 27 est estimée à 82,6 TWh en 2020 (contre 80,6 TWh en 2019). La chaleur consommée s'élève à 76,4 Mtep (77 Mtep en 2019), dont 11,2 Mtep issue du secteur de la transformation et distribué via des réseaux de chaleur (11,4 Mtep en 2019). Ce recul s'explique en parti par des températures particulièrement douces. La Suède reste le premier producteur de chaleur dans le secteur de la transformation bien que sa production ait subit une baisse de 14 % tandis que la consommation direct chez les usagers, notamment industrielle, a été en forte hausse (+ 16 %). Enfin, la consommation de granulés de bois dans l'UE27 en 2020 a continué de croître, pour atteindre 19,3 millions de tonnes (Mt), soit 0,8 Mt de plus qu'en 2019 (+ 4,3 %).
Il y a 3 ans et 110 jours

A Wohlen, Schenker Stores signe la finition d’une villa avec des protections solaires élégantes

C’est à Wohlen, commune du canton Suisse d’Argovie, non loin des Alpes Suisses, que Schenker Stores a collaboré avec l’Architecte Urs Müller pour la mise en oeuvre stylisée des protections solaires d’une séduisante villa. La maison, bénéficiant d’une vue imprenable, est implantée dans un vignoble. La construction au caractère moderne est marquée par des façades vitrées qui lui confère un style limpide et élégant. L’ensemble exprime une harmonie à l’ambiance particulière. Les pièces sont lumineuses et spacieuses. Inondées par la lumière, une sensation de sérénité s’en dégage. Les fenêtres, qui s’étendent verticalement du sol au plafond, assurent une liaison naturelle entre l’intérieur et l’extérieur et offrent une vue panoramique exceptionnelle. En présence de tant d’ouvertures l’architecte a préconisé la mise en œuvre d’un système efficient de protection contre le soleil et les intempéries, afin que l’usage du lieu de vie soit parfaitement agréable. Schenker Stores a ainsi été impliquée au projet, dès sa phase de planification, pour être en mesure de satisfaire aux exigences les plus strictes de l’architecte et du maître d’ouvrage. JEU D’OMBRE ET DE LUMIÈRE EN FILIGRANE La terrasse agrémentée d’une vue magnifique est équipée de deux stores bannes à coffre KGM 6, de couleur beige, qui permettent de profiter intégralement de la vie en plein air lors de chaudes journées d’été. Montés au plafond pour une inclinaison précise et flexible des bras, ces stores bannes garantissent un ombragement efficace avec une projection de 4 mètres, ainsi qu’une protection optimale contre l’éblouissement et les UV. En position fermée, le coffre protège la toile de la pluie, du vent et de la saleté. En position ouverte, la toile se met merveilleusement en scène et s’intègre avec légèreté à l’apparence de la façade. Les bras articulés assurent une bonne tension de la toile et un enroulement du tissu parfaitement coordonnés et à tout moment. D’un design séduisant, ces stores sont véritablement idéals pour les terrasses de maisons individuelles. Des LED sont intégrées dans le store. La puissance des spots peut être modifiée facilement pour une ambiance agréable et pour mettre parfaitement en scène la façade et l’espace extérieur. Les immenses baies vitrées qui courent le long des façades ont également été équipées de protections solaires. Au rez de chaussée, ce sont les stores en toile verticaux VS 150 qui ont été installés. Grand classique pour une protection verticale délicate contre la chaleur sur les façades, le VS 150 délivre un immense potentiel de conception de la façade et s’adapte de manière optimale à diverses situations de construction. Lorsque le soleil brille, le store toile vertical assure un obscurcissement optimal des pièces tout en préservant la vue de l’extérieur et la ventilation des espaces à l’intérieur. Les toiles hautes performances contribuent significativement à l’amélioration du bilan énergétique et à la climatisation de la pièce. Pour que l’apparence reste esthétique, le store en toile vertical est entièrement intégré au linteau. Le store est invisible lorsqu’il est rétracté dans la façade, si bien que l’esthétique de celle-ci est garantie. Identiquement, les fixations des systèmes de guidage de câbles des stores VS 150 ont été posées sous le carrelage. Même lorsqu’ils sont fermés, leur toile grillagée n’empêche pas les propriétaires de profiter de la vue imprenable des environs. Et pour plus de transparence, c’est un guidage par câble qui a été choisi avec un câble en acier filigrane, discret et résistant à la corrosion grâce à son gainage en plastique. A l’étage, des brises soleil orientables, à lamelles reliées, VR 90, associés à une moustiquaire compacte intégrée au linteau, délivrent une luminosité agréable et garantissent des nuits tranquilles. La technique éprouvée des stores à lamelles reliées est facile à manœuvrer, silencieuse et très prisée. Le brise soleil orientable VR 90 est doté de lamelles à la forme spéciale en Z. Leur profil élégant habille esthétiquement les façades. Grâce à leur forme spéciale, elles offrent un contrôle précis et en continu de la lumière naturelle ainsi qu’un très bon obscurcissement. Le style raffiné du BSO VR 90 s’adapte à toutes les architectures, modernes ou anciennes. Ici, le VR 90 est monté en tableau. Dans cette configuration, le store est installé en saillie par rapport à la façade. Un lambrequin supplémentaire est monté sur la façade. Il protège le store et le couvre lorsque celui-ci est en position ouverte. Les propriétaires ont fait le choix d’un guidage combiné par câbles et coulisses pour une stabilité au vent accrue. Partenaire privilégié des architectes, Schenker Stores a su répondre en tout point au cahier des charges de l’architecte Urs Müller ainsi qu’aux attentes des propriétaires. Accompagnés par Schenker Stores tout au long du projet, l’architecte et les propriétaires ont bénéficié d’une prestation clé en main avec des conseils personnalisés, une fabrication sur-mesure et une pose dans les règles de l’art pour une garantie durable de leurs protections solaires. La valorisation de l’aspect architectural et la plus-value du patrimoine immobilier étaient des conditions majeures. Il est visuellement évident que les solutions Schenker Stores mises en œuvre, se sont intégrées en toute discrétion et ont permis de magnifier avec élégance le potentiel existant.
Il y a 3 ans et 114 jours

Les logements neufs repartent nettement à la hausse tirés par les pavillons et lotissements

Selon les estimations dévoilées vendredi par le ministère de la Transition écologique, il y a eu 471.000 logements autorisés l'année dernière.Non seulement c'est nettement plus (+18,9%) qu'en 2020, quand les confinements avaient mis un coup d'arrêt à l'activité, mais c'est aussi davantage (+4,6%) qu'en 2019, avant l'irruption du Covid.Il faut remonter à août 2018 pour trouver un chiffre supérieur sur 12 mois.Mais surtout, la hausse est très nettement tirée par les pavillons et lotissements : avec 211.800 permis de construire pour des logements individuels, soit 15,8% de plus qu'en 2019, ce secteur n'a pas été aussi dynamique depuis presque 10 ans.Ce qui confirme chez les Français une forte progression pour le vert et l'envie de jardin avec la sortie des confinements.Les logements collectifs (259.200 permis de construire), eux, sont sortis du trou de la crise sanitaire mais restent encore en-deçà de l'avant-Covid.Pas le sens de l'histoire "C'est tiré par les logements individuels, c'est vraiment un des faits marquants des chiffres qui viennent de sortir", commente pour l'AFP Clara Wolf, économiste chez Meilleursagents."Dans tous les sondages qu'on fait, il y a cette envie de vert, d'espace, un certain désattrait des métropoles en faveur des zones périurbaines", ajoute Clara Wolf.Une tendance qui "ne va pas trop dans le sens de l'histoire", commente-t-elle, puisqu'en contradiction avec les impératifs environnementaux.La loi Climat et résilience, promulguée en août, pose l'objectif d'éviter l'artificialisation des sols, qui contribue au réchauffement climatique et à la perte de biodiversité.Or, les programmes immobiliers peuvent être très gourmands en foncier, surtout les maisons individuelles. La ministre du Logement Emmanuelle Wargon les avait d'ailleurs qualifiées en octobre de "non sens écologique, économique et social", pointant aussi la dépendance à la voiture qu'elles entraînent. Ce qui lui avait attiré les foudres du milieu de la construction.Le BTP à la peineDu côté des professionnels de l'immobilier, la crainte de voir les prix s'envoler en 2022 est forte.Pour Pascal Boulanger, président de la Fédération des promoteurs immobiliers, "on est repartis vers une crise du logement" car trop peu de permis de construire sont octroyés.On est toujours, note-t-il, en-deçà de 2017, quand les permis de construire avaient atteint un pic en frôlant les 500.000 par an."Je n'arrête pas d'alerter les pouvoirs publics, les maires : attention, vous ne signez pas assez de permis de construire", dit-il.D'autant qu'à partir de 2023, les "passoires thermiques", soit les logements trop énergivores, commenceront à être exclus du marché locatif, lui faisant craindre une hausse des prix.Une autre préoccupation vient du secteur du bâtiment.Car selon les données du ministère, à prendre avec précaution en raison d'un changement de méthodologie en cours d'année, le bâtiment peine à suivre le rythme de la reprise.Avec 386.700 mises en chantier estimées en 2021, la France reste légèrement en-dessous de son niveau d'avant-crise.Les professionnels du BTP ont déjà souffert de la hausse des coûts des matériaux et des difficultés d'approvisionnement consécutives à la pandémie.Et certains ont dû retarder ou reporter leurs chantiers, alertait jeudi la Capeb, le syndicat patronal du secteur.L'entrée en vigueur, le 1er janvier, de la règlementation environnementale "RE2020", risque d'accentuer le phénomène.Elle impose en effet des bâtiments moins consommateurs d'énergie et mieux adaptés aux canicules, par exemple en posant des pompes à chaleur, et des constructions avec des matériaux plus écologiques, comme le bois.Ce qui risque de renchérir le coût des travaux, et donc de retarder des chantiers... ou d'augmenter le prix des maisons.
Il y a 3 ans et 114 jours

Équilibre des Énergies fait 13 propositions aux candidats à l'élection présidentielle en faveur du climat

Dans ce contexte, le groupe de réflexion Équilibre des Énergies soumet ses propositions « Élection présidentielle : l’énergie doit être au cœur des débats » aux candidats pour accélérer la décarbonation des secteurs du bâtiment, des transports et du système énergétique.Pour Brice Lalonde, ancien ministre de l’Environnement et président d’Équilibre des Énergies : « La France a toujours eu une position forte dans le domaine des énergies grâce à sa technologie. Elle ne doit pas manquer son rendez-vous avec la neutralité carbone. Il est primordial de trouver le bon équilibre afin de lancer la transition énergétique avec le soutien des Français. »Une politique énergie-climat animée par la culture du résultat La finalité première de la politique énergie-climat doit être l’atteinte de la neutralité carbone à l’horizon 2050. Cet objectif doit être balisé par des jalons réalistes avec la réduction des émissions de gaz à effet de serre comme fil conducteur. Elle doit viser, sans négliger la recherche de l’efficacité énergétique, l’abandon des énergies fossiles, en s’appuyant majoritairement sur l’électricité décarbonée, déjà produite de façon abondante, sur la chaleur renouvelable et sur l’hydrogène bas-carbone là où il peut être compétitif. Opérer cette rupture ne sera pas gratuit. Il convient de l’inscrire dans une écologie de la prospérité, respectueuse de l’environnement, aux antipodes d’une écologie de la décroissance, afin d’assurer le bien-être des populations et disposer des ressources indispensables au financement de la transition. L’acceptabilité sociale de la transition implique également d’assurer la souveraineté énergétique de la nation, afin d’être moins dépendant du contexte géopolitique et des aléas météorologiques, et d’associer davantage les citoyens aux choix qui nous engagent tous.Treize actions pour accélérer la décarbonation Les secteurs du Bâtiment et de la Mobilité sont les deux principaux secteurs émetteurs de gaz à effet de serre et consommateurs d’énergie, C’est pourquoi Équilibre des Énergies propose treize leviers sur lesquels les candidats à l’élection présidentielle pourront s’appuyer. Ces actions partent d’une analyse de la façon dont les besoins en énergie pourront être satisfaits par des solutions décarbonées et efficaces et des conditions à réunir pour organiser cette transition, notamment au niveau du système énergétique.Résumé des treize actions préconisées par Équilibre des Énergies 1 - Accélérer la rénovation du parc de logements et son adaptation à la mobilité électrique en mettant en place, de façon pérenne, un Fonds national pour l’efficacité énergétique et la neutralité carbone, regroupant différents moyens de financement et dont la gestion sera largement déconcentrée. 2 - Soutenir l’extension au secteur des bâtiments à usage tertiaire du système européen des quotas-carbone (EU-ETS) afin d’accroître les moyens financiers de la rénovation énergétique. 3 – Renforcer les mesures d’incitation à la migration vers les solutions bas-carbone, notamment en renforçant l’exigence climatique du DPE et interdisant comme le propose la Commission européenne pour les chaudières à combustible fossile. 4 – Réajuster de façon durable la fiscalité énergétique au profit des formes d’énergie bas-carbone, notamment en pérennisant la réduction de la taxe intérieure sur la consommation finale d’électricité (TICFE). 5 – Consolider la migration des mobilités légères vers les solutions électriques en agissant conjointement sur les infrastructures de recharge, notamment avec la mise en place d’un plan stratégique d’équipement des autoroutes et voies rapides, et le soutien à l’acquisition des véhicules. 6 – Placer la France à l’avant-garde des innovations liées aux véhicules légers en soutenant la R&D et facilitant l’implantation d’usines de batteries, ainsi qu’en encourageant les initiatives liées au véhicules de plus en plus autonomes. 7 – Organiser la migration vers des solutions bas-carbone du transport de marchandises avec la mise en place d’un plan d’action adapté au potentiel de chaque segment (batteries, hydrogène, BioGNV). 8 – Promouvoir la relance du transport aérien sur la base de solutions bas-carbone, notamment en réservant prioritairement à l’aérien, sous forme de SAF, les ressources en biocarburants 9 – Opter rapidement pour un mix électrique équilibré entre nucléaire et énergies renouvelables de façon à faire face à la croissance prévisible des besoins, à assurer la robustesse du réseau et à préserver l’indépendance de notre approvisionnement électrique. 10 – Développer, avec notamment l’aide du numérique, les flexibilités qui permettront de préserver la robustesse du système électrique. 11 – Revisiter le plan hydrogène en intégrant l’ensemble de la chaîne de valeurs, de la production jusqu’à l’utilisation, en fléchant les soutiens publics en direction des usages où l’hydrogène peut être compétitif. 12 – Définir les bases d’une politique décentralisée de l’énergie en précisant la responsabilité des régions et des territoires dans la transition énergétique. 13 – Mettre en œuvre une politique publique de recherche-développement centrée sur la décarbonation, notamment sur les techniques de transport, de distribution, de flexibilité, de stockage et d’utilisation de l’électricité.
Il y a 3 ans et 114 jours

Chaleur renouvelable : quelles pompes à chaleur pour le chauffage collectif en construction neuve ?

Deux industriels français – Auer et Atlantic – ont choisi des solutions différentes pour leurs pompes à chaleur destinées au chauffage collectif. L’un opte pour le R290, l’autre en reste au R32.
Il y a 3 ans et 115 jours

L’aile est de l'aéroport international de Genève fait peau neuve

L’Aile Est remplace le pavillon gros-porteur, construit à titre provisoire en 1975, aujourd’hui aussi dépassé sur les plans technique et environnemental.Intégralement financé par Genève Aéroport, ce projet comporte un bâtiment à haute performance énergétique de verre et d’acier sur deux niveaux principaux et 520 mètres de longueur.Une approche collaborativeConçue par le groupement RBI-T composé du bureau londonien d’architecture Rogers Stirk Harbour + Partners (RSHP), de l’atelier d’architecture Jacques Bugna à Genève et des bureaux d’ingénierie Ingérop à Paris et T-Ingénierie à Genève, l’Aile Est illustre la collaboration étroite et intense entre architectes et ingénieurs afin de livrer une vision intégrée et claire, rendant imperceptible la frontière entre le travail des uns et des autres. Dans la droite lignée du Centre Pompidou à Paris, l’Aile Est donne à lire l’ensemble des éléments qui la composent et l‘articulation entre eux. Tout ici est architecture. Le nouveau bâtiment permet d’accueillir près de 2.800 passagers par heure au départ et 3.000 à l’arrivée. Il abrite principalement la nouvelle salle d’embarquement, desservant six postes avions existants grâce à de nouvelles passerelles télescopiques, ainsi que les circulations des arrivées, des transferts et les contrôles aux frontières.Un projet au long cours Le projet de RBI-T a été sélectionné à l’issue d’un appel à candidatures international et a été le lauréat d’un mandat d’études en parallèle lancé en 2010. Le bâtiment Aile Est a été réalisé entre 2012 et 2021 et a fait l’objet de quatre chantiers spécifiques, à savoir : Les travaux « Préparatoires » de novembre 2012 à juillet 2013 comprenant notamment la sécurisation du périmètre de chantier Aile Est, le déplacement d’un séparateur à hydrocarbure « tarmac », l’installation d’une sonde géothermique test d’une profondeur de 300 mètres et l’adaptation des réseaux eaux usées et eaux de surface.Les travaux « Route Douanière » d’août 2013 à mai 2015 comprenant notamment la construction d’une tranchée couverte au droit de la future Aile Est avec une circulation routière reliant le secteur France de l’aéroport à Ferney-Voltaire (F), une galerie technique avec des réseaux nouveaux et des locaux techniques, un volume en attente destiné à une affectation ultérieure et la réalisation d’une plate-forme pouvant soutenir un bâtiment futur.Les travaux « BAT 1 », d’avril 2016 à décembre 2017 comprenant notamment la déconstruction de bâtiments et d’équipements, la déviation et/ou le maintien de réseaux existants ainsi que la construction du solde de l’infrastructure de l’Aile Est.Les travaux « BAT 2 », d’avril 2017 à juillet 2021 comprenant notamment la construction du bâtiment.hors-sol (processeur et salle d’embarquement des Portes N° 14 à 19) pouvant accueillir des avions codes C à F, l’aménagement des sous-sols (déjà partiellement réalisés lors des chantiers précédents) ainsi que des liaisons avec des bâtiments et infrastructures environnants.Liberté et légèreté, pérennité et couleur Répondant aux contraintes du site, l’Aile Est est un parallélogramme extrudé, aux façades principales entièrement vitrées et inclinées à 26°, semblant flotter au-dessus de la route de service située au niveau tarmac. L’inclinaison des façades préserve les distances et l’accès à la lumière naturelle des bâtiments avoisinants situés au Sud, dégage le volume dédié au couloir des arrivées au niveau supérieur et, côté piste, crée une protection contre le rayonnement solaire direct. L’Aile Est libère au maximum le volume intérieur de tout élément porteur afin d’assurer une très grande transparence et offrir aux passagers une vue imprenable sur l’activité « tarmac », les avions ainsi que le massif du Jura. Sa structure porteuse est constituée d’un exosquelette métallique de 7.000 tonnes d’acier, comprenant des planchers réticulaires mixtes d’une portée de 20 x 20 mètres et de 135 pièces de fonderie. Le volume intérieur est baigné de lumière naturelle grâce aux 20.000m2 de façades précitées. Les matériaux choisis accentuent le sentiment de fluidité et de légèreté. L’ossature primaire est peinte en gris clair, alors que les éléments structurels secondaires sont de couleur anthracite. Les sols sont habillés de pierre naturelle, les gardes corps et les parois verticales sont en verre. La couleur accompagne le déplacement et l’orientation des passagers le long de l’Aile Est et marque chaque module de 80m de longueur du bâtiment. La palette des matériaux a été choisie pour sa durabilité, son faible entretien et pour servir d’écrin aux flux des passagers. La rénovation énergétique comme pierre angulaire du projet Le projet du groupement RBI-T est conçu pour devenir un bâtiment exemplaire au niveau énergétique. Ainsi, grâce à la mise en œuvre de technologies de pointe, le bâtiment peut s’appuyer sur une stratégie environnementale durable. L’isolation thermique de l’Aile Est est garantie par le déploiement de façades à triple vitrage de haute performance, assorties de protections solaires spécifiques en période estivale permettant de limiter l’utilisation de l’éclairage artificiel et la production de froid et de chaud. L’électricité est produite par une installation solaire composée de 7 000m2 de panneaux photovoltaïques en toiture. La réduction très importante de l’empreinte énergétique est assurée en sus par une isolation thermique performante de l’enveloppe du bâtiment, la récupération et l’utilisation de l’eau pluviale et l’utilisation de pompes à chaleur à haut rendement. Ces dernières produisent et stockent dans un premier temps l’énergie thermique de 110 sondes géothermiques d’une profondeur de 300 mètres et pourront se raccorder au futur réseau hydro-thermique genevois GeniLac qui complétera la panoplie des sources d’énergie renouvelables.
Il y a 3 ans et 118 jours

Quels changements pour les français qui se chauffent au fioul ?

À partir du 1er juillet 2022, il sera donc interdit de faire installer une nouvelle chaudière fioul. Effy fait le point sur les changements qui attendent les Français qui se chauffent au fioul et présente sa radiographie de la France du fioul.VRAI / FAUX sur l’interdiction de changement de chaudière fioul au 1er juillet 2022 [Faux] Au 1er juillet 2022 je n’aurai plus le droit de me chauffer avec une chaudière au fioul.L’utilisation de sa chaudière fioul reste autorisé. En revanche il ne sera plus possible d’en faire installer une neuve. [Faux] Au 1er juillet 2022, je ne pourrai plus acheter de fioul pour remplir ma cuve. Les familles pourront continuer à remplir leur cuve au besoin pour leur chaudière existante en 2022 et après. [Faux] Au 1er juillet 2022, si ma chaudière fioul tombe en panne, je devrai m’en débarrasser. L’interdiction ne concerne pas la réparation des appareils déjà installés. Les interventions techniques éventuelles, tel le changement du brûleur sont possibles, sans contrainte ou obligation de changer sa chaudière. [Faux] Je n’ai pas le gaz, je vais devoir passer à l’électricité. Ma facture va exploser !D’autres alternatives à l’électricité existent comme le granulé de bois. Par ailleurs avec l’installation d’une pompe à chaleur, la facture de chauffage sera en réalité divisée par deux en moyenne. [Faux] Installer un nouveau système de chauffage va me coûter des milliers d’euros. Les aides à la rénovation énergétique (MaPrimeRénov’, Prime Effy) peuvent couvrir jusqu’à 90 % du coût du chantier pour les familles très modestes. Radiographie de la France du fioul Cette radiographie de la France du fioul s’appuie sur la compilation de données publiques, adossée à une vaste enquête d’opinion menée par Effy auprès de 1500 familles qui se chauffent au fioul. Un travail nécessaire pour poser en chiffres et en données concrètes la réalité de ces familles.
Il y a 3 ans et 123 jours

Récupérer l’énergie fatale pour chauffer les bâtiments

La start up toulousaine Water Horizons a développé une technologie qui permet de récupérer la chaleur fatale industrielle perdue dans les process industriels des usines et des incinérateurs de déchets, la stocker puis la distribuer sous forme d’énergie propre.
Il y a 3 ans et 124 jours

Du nouveau dans la mesure de la surchauffe urbaine

A la fois outil de sensibilisation et aide à la décision pour l’aménagement du territoire, une solution de modélisation des îlots de chaleur joue la carte de la simplicité pour convaincre les maîtres d’ouvrage.
Il y a 3 ans et 125 jours

En Belgique, une "ville fantôme" bien décidée à renaître

Il s'agirait d'un spectaculaire revirement pour un lieu qui se vide régulièrement depuis la fin des années 1970, époque où sa population était 60 fois plus importante.Surtout connue pour héberger une centrale nucléaire, isolée au milieu des polders en bordure de l'Escaut, la petite cité flamande a été victime d'un projet d'extension du gigantesque port d'Anvers qui a poussé les habitants à fuir... mais n'a finalement jamais vu le jour.Conséquence : elle est devenue un terrain de jeu pour les graffeurs, ainsi qu'une sorte d'attraction morbide pour les touristes curieux et les "explorateurs urbains" venant se filmer dans des bâtiments en ruine.La police patrouille régulièrement pour prévenir le vandalisme et empêcher l'installation de squatteurs.Seuls une église et deux cafés -- dont un adossé à un moulin du XVIIe siècle -- rappellent aux visiteurs que le village n'est pas complètement déserté."Ce n'est pas une ville fantôme... Bien sûr si vous venez ici le dimanche, ou surtout le soir, vous voyez les maisons vides et c'est ça qui suscite ce type de commentaires", explique à l'AFP une habitante, Liese Stuer."Il est très important que les gens sachent qu'on peut encore vivre ici et venir s'installer", ajoute-t-elle.Cette femme de 37 ans, professeure de néerlandais pour les étrangers et graphiste indépendante, s'est installée il y a cinq ans à Doel où résidait déjà son conjoint.Enfant, elle s'y rendait avec ses grands-parents, qui vivaient à proximité, et elle se souvient du lieu comme d'une destination courue pour s'aérer dans la verdure.Mais le destin de Doel a dérapé à la fin des années 1990, lorsque les autorités belges ont décidé d'exproprier et de raser plusieurs zones urbanisées autour du port d'Anvers --le deuxième d'Europe-- pour construire un nouveau quai à conteneurs.Si la plupart des habitants sont partis, une poignée d'irréductibles est restée et a décidé de contester ce projet devant les tribunaux, tout en promouvant le street-art pour égayer les maisons vides."Cicatrices du passé"Après une série de rebondissements en justice, la victoire est acquise en 2019 quand le gouvernement régional flamand confirme que le village pourra être conservé.Trois ans plus tôt, en 2016, le Conseil d'État belge avait invalidé le projet d'extension du port, en s'appuyant sur une décision de la Cour de justice de l'UE qui insistait sur la nécessaire préservation des marécages au bord de l'Escaut.Liese Stuer explique être restée à Doel pour la nature, et pour la solidarité et les liens qui se sont créés entre résidents."Le vert que l'on voit ici l'été, c'est vraiment agréable (...) c'est l'endroit où je veux que mon enfant grandisse", poursuit la graphiste. "Et puis je n'ai pas l'impression d'être isolée, pas du tout, l'ambiance est très chaleureuse ici".Sur la forme que prendra la résurrection du lieu, les discussions se poursuivent entre autorités et habitants.En décembre, la commune a présenté un plan visant à accueillir progressivement de nouveaux habitants et à rénover un vieux bateau échoué, tout en construisant un nouveau quai pour les besoins du trafic portuaire."Nous savons que le village ne disparaîtra pas... Il a effectivement l'image d'une ville fantôme, mais il ne doit pas l'être", assure à l'AFP Matthias Diependaele, ministre flamand chargé des Finances et du Patrimoine immobilier. Le gouvernement flamand est aujourd'hui propriétaire de toutes les maisons sauf une."La chose la plus difficile est que nous savons pertinemment que juste à côté, il y aura une activité portuaire 24 heures sur 24 et sept jours sur sept", ajoute-t-il.À ce stade, aucun calendrier n'a été arrêté, il est seulement question de préciser dans les semaines ou mois à venir les projets pour faire revivre Doel."J'espère vraiment qu'ils évolueront dans le sens du retour à un village normal, avec ses cicatrices, bien sûr... Elles seront toujours visibles, les cicatrices de ce passé récent", lâche Liese Stuer.
Il y a 3 ans et 125 jours

LCA Construction Bois achève son 4ème chantier de rénovation énergétique pour un établissement scolaire

Pendant 9 mois durant, Les Charpentiers de l’Atlantique ont ainsi déployé leur savoir-faire sur la partie murs manteaux, bardage bois et ITE (Isolation Thermique par l’Extérieur) avec en fil rouge, la réduction de la consommation en énergie de l’établissement.Pour Edouard Bonnin, Directeur Général LCA Construction Bois : « Nous sommes très heureux de peaufiner notre expertise sur les marchés de rénovation énergétique avec cette 4ème réalisation. Nous sommes plus que prêt pour répondre aux attentes gouvernementales concernant le décret tertiaire. »Lutter contre les passoires thermiquesLe nombre de « passoires thermiques » en France en 2021 est estimé à près de 5 millions et ce, sans compter les bâtiments publics, le tertiaire et les commerces, les établissements scolaires construits dans les années 60, sont très énergivores et le Collège du Galinet, bâti en 1969, ne fait pas exception.Ce chantier de rénovation thermique (réhabilitation globale) s’inscrit donc pleinement dans l’actualité de la Loi Climat et des nouvelles normes en matières d’isolation thermique. En effet, les travaux de réhabilitation énergétique sur le bâti et les systèmes mis en place permettent de limiter les déperditions de chaleur et donc de réduire les consommations énergétiques de plus de 60% par rapport à l’état initial.L’objectif programmatique était d’atteindre, à minima, le niveau « BBC rénovation 2009 » tel que défini par l’arrêté du 29 septembre 2009 pour les bâtiments dont les façades et les toitures sont isolées lors des travaux (bâtiments A, C et G). Il s’agit donc d’obtenir, après travaux, un coefficient conventionnel de consommation Cep ≤ Cepréf-40% d’après les règles de calcul ThCE-Ex. Les travaux effectués sur le Collège du Galinet permettent désormais la labélisation des bâtiments A et C en BBC Rénovation. Améliorer le confort des usagers par un savoir-faire éprouvéLe projet de rénovation thermique (réhabilitation globale) du collège, de réorganisation de l’espace restauration ainsi que d’extension de la salle de restaurant s’est déroulé en site occupé, avec toutes les problématiques qu’une telle organisation représente (gestion des nuisances sonores liées chantier, sécurité des usagers). Les travaux ont consisté en la mise en place d’un dispositif de façade global. Ce dernier comprend l’habillage des façades sur leur face extérieure -composé de caissons en bois préfabriqués en atelier intégrant l’isolation- et les nouvelles menuiseries extérieures en aluminium. Les caissons ont été assemblés sur l’ensemble des façades et revêtus de lames de bardage bois (essence robinier) au rez-de-chaussée et d’un bardage caissettes métallique aux tonalités bronze sur les étages. Le logement de fonction, situé à l’entrée, a quant à lui été traité différemment avec un bardage métallique en écailles aux tonalités bronze et champagne. La composition des façades déploie enfin une stratégie solaire sous la forme d’une façade filtrante avec la mise en œuvre de troncs planés en robinier. Ce dispositif évoque un univers forestier et naturel, en adéquation avec son environnement puisque l’établissement se trouve à proximité de la forêt du Gâvres. La mise en scène est ludique, elle cherche à provoquer des émotions, elle puise dans l’expérience sensible de chacun. Le but de cette rénovation est de réduire les coûts de consommation énergétique de l’établissement, mais également d’améliorer le confort thermique des usagers que ce soit en hiver comme en été. Les vagues de fortes chaleurs connues ces dernières années impliquent un risque sur la santé des enfants et peuvent également causer des difficultés de concentration et d’organisation dans leur apprentissage. L’opération livrée pour la rentrée de septembre permet donc aux 735 élèves et au personnel de profiter de leur premier hiver dans un collège rénové et chaleureux. Construire durable et responsableDu choix des essences à l’origine des matériaux, ce projet de rénovation thermique se veut cohérent sur toute la ligne. Le choix du bois s’est porté sur le Robinier (acacia). Il s’agit d’une des rares essences européennes admise naturellement en classe 4, à l’état brut et sans aucun traitement chimique. Un matériau imputrescible qui résiste donc parfaitement aux différents types d’attaques pouvant affecter le bois (insectes, champignons parasitaires, intempéries…). Cette essence est donc idéalement adaptée aux ouvrages extérieurs qui sont soumis à l’humidité et aux agressions liées à l’environnement et la météo. Sa longévité est de 25 à 40 ans quand il est en contact avec le sol et peut même aller jusqu’à 80 ans s’il n’est pas en contact direct. En milieu sec, il peut atteindre 500 à 1000 ans.Enfin, outre ses propriétés intrinsèques, cette essence présente un autre avantage, très utile aux vues de l’actualité : sa disponibilité locale. En effet, les forets du Grand Ouest sont très riches en acacia.Chiffres clés4ème opération de rénovation énergétique pour LCA2.400 heures passées en bureau d’études15 collaborateurs sur le projet9 mois d’intervention de juillet 2020 à avril 20212.100m² de MOB500m² d’ITE1.250m² de bardage robinier393 menuiseries extérieures aluminium posées en atelier1,9M d’euros investis dans le chantier245m² d’extension sur le restaurant scolaire
Il y a 3 ans et 128 jours

Muller Intuitiv présente sa sélection de radiateurs design pour le salon

Le Groupe Muller, une ETI industrielle familiale française, conçoit et fabrique des équipements thermiques intelligents et connectés depuis plus de 60 ans. Cette année, deux marques de ce groupe, NOIROT et APPLIMO, présentent ensemble leurs radiateurs Calidoo, Axoo, Beladoo et Sensual. Ces radiateurs à chaleur douce et au style intemporel sont conçus pour s’intégrer à tous types d’architecture et s’adapter à n’importe quelle décoration. Calidoo : le radiateur qui s’adapte à toutes les décorations Aujourd’hui, le radiateur n’est plus un simple appareil de chauffage mais un véritable objet de décoration. A la fois élégant et discret, le radiateur Calidoo s'accorde avec tous les styles de décorations intérieures. Déclinés dans deux couleurs blanc et anthracite, ce modèle s’harmonise avec une large variété de mobilier. Calidoo est un radiateur à inertie équipé d'un double corps de chauffe en fonte. L'apport de la fonte permet une sensation de chaleur douce, stable et bien répartie dans toute la pièce, même en demi-saison. Grâce à ses dimensions variées, il est pratique et adaptable aussi bien pour les petits que les grands salons. Les nombreuses puissances disponibles assurent un dimensionnement qui correspond parfaitement aux caractéristiques de la surface à chauffer. En complément, Calidoo est aussi un radiateur 100% connecté, sans accessoire supplémentaire à prévoir, qui grâce à ses fonctions intégrées de pilotage intelligent rend le quotidien plus facile et les économies d'énergies plus intuitives. Beladoo : la chaleur de la fonte revisitée Très discret, le radiateur Beladoo sait se faire oublier dans tous types d’espaces. Grâce à son corps de chauffe en fonte active, il assure un confort optimal au quotidien. Ses différentes puissances et dimensions lui permettent de s’adapter à toutes les contraintes d’espaces et besoins de chauffe, garantissant ainsi une température homogène, essentielle pour les pièces à vivre. Marqué par un design traditionnel, Beladoo séduit par ses lignes qui insufflent dans chaque pièce une touche vintage. L’aspect allongé de chaque barre prolonge le mur et donne une impression d’espace. En blanc satiné lisse ou en gris anthracite, Beladoo se fond naturellement sur un mur blanc ou joue la carte du chic en apportant du contraste dans sa version anthracite. Grâce au pilotage sur mesure de l’intelligence Muller Intuitiv, les radiateurs Beladoo permettent de générer des économies d’énergie d’environ 30% par rapport aux anciens systèmes grâce à ce dispositif 100% connecté, sans besoin d’accessoire supplémentaire.
Il y a 3 ans et 128 jours

Travaux d’extension du réseau de chaleur urbain au niveau de la rue Serge-Gainsbourg

Le chantier engagé rue Serge-Gainsbourg, à Clermont-Ferrand, dans le Puy-de-Dôme, se poursuivra jusqu’au 4 février.
Il y a 3 ans et 130 jours

Près d'1 consommateur sur 2 souhaite rester au fioul malgré l'interdiction d'installer de nouvelles chaudières

Il fixe un seuil maximal d'émissions de gaz à effet de serre à respecter de 300gCO2eq/KWh pour le remplacement des équipements de chauffage. En France, 3,5 millions de foyers français se chauffent au fioul aujourd'hui. Concrètement, à partir du 1er juillet 2022, si leur chaudière tombe en panne et ne peut être réparée, ils seront contraints de changer leur mode de chauffage.Hellio révèle les résultats d'une enquête réalisée conjointement avec FioulReduc, site internet indépendant de vente de fioul à prix bas.Conscient que ce changement va impacter bon nombre d'utilisateurs et soucieux de proposer à chaque ménage le système de chauffage le mieux adapté, l'acteur de référence de la maîtrise de l'énergie a souhaité s'intéresser au comportement des consommateurs de fioul ainsi qu'à leurs attentes. Cette étude, à laquelle 1.018 consommateurs de fioul ont répondu en ligne entre le 8 et le 26 mars 2021, dévoile que près d'1 consommateur de fioul domestique sur 2 souhaite conserver ce mode d'énergie pour se chauffer. De manière générale, le décret portant sur l'interdiction de remplacement de chaudières fioul suscite de l'inquiétude et du mécontentement chez 68 % des consommateurs.Le choix de rester au fioul guidé par la satisfaction de son équipement en place Selon les résultats de l'enquête, le profil des consommateurs de fioul est le suivant : leur foyer est composé de 2,3 personnes en moyenne, ils sont en majorité retraités, avec un âge moyen de 61 ans. Le revenu moyen de leur foyer est de 37 343 € et ils dépensent en moyenne 1 632 € en fioul chaque année. Ces consommateurs apprécient le fioul avant tout pour son confort de chauffe (36 %), sa simplicité dans la gestion au quotidien (27 %) et sa fiabilité (20 %). Selon eux cependant, le principal inconvénient du fioul est son prix variable à 36 %. L'impact environnemental du fioul figure également parmi les inconvénients cités. Face à cette mesure réglementaire ne portant que sur les nouvelles installations, près d'un répondant sur deux déclare que cette interdiction ne va pas les pousser à changer d'énergie dans les 5 années à venir. La principale motivation invoquée par les consommateurs est le bon fonctionnement de leur installation avec 47 % des réponses exprimées. Autre réponse significative, 17 % répondent ne pas avoir les moyens de changer d'énergie de chauffage. Ils sont également 17 % à déclarer que, selon leur situation (géographique, raccordement…), le chauffage fioul est la solution la moins coûteuse pour eux.“À l'heure actuelle, ma chaudière fonctionne correctement avec une révision régulière faite par un plombier. De plus, habitant à la montagne, je ne vois pas quel autre moyen de chauffage je pourrais adopter, l'électricité est trop onéreuse”, indique cet utilisateur du Puy-de-Dôme lors de l'enquête.Cette décision gouvernementale suscite de l'inquiétude pour 36 % des consommateurs et du mécontentement pour 32 % d'entre eux, comme en témoigne ce consommateur de Haute-Garonne : “J'ai bénéficié d'aides pour mettre une chaudière fioul à condensation. Cela paraît incohérent que cet équipement soit maintenant bientôt interdit.” Les perspectives de l'interdiction d'installation de nouvelles chaudières au fioul Pour 15 % des répondants se chauffant au fioul, l'interdiction d'installation de nouvelles chaudières au fioul va les pousser à changer d'équipement de chauffage, à plus ou moins court terme. Leur choix se porterait à 52 % vers une pompe à chaleur, 32 % pour une chaudière à granulés de bois et 12 % pour une chaudière gaz.La possibilité d'utiliser du biofioul (fioul comportant des biocarburants afin de le rendre plus écologique en diminuant son taux de soufre et ses émissions de CO2) en remplacement du fioul suscite la curiosité d'une majorité de consommateurs (51 %). Les réserves évoquées à ce sujet concernent la compatibilité de leur matériel, le surcoût lié à ce produit et son impact écologique.Les aides financières : un élément déclencheur Afin d'atteindre son objectif de changement de toutes les chaudières fioul dans les 10 prochaines années, le gouvernement français a mis en place plusieurs aides financières. Celles-ci semblent jouer un rôle déclencheur dans la volonté de changement de systèmes de chauffage des ménages. Sur les 15 % de répondants déclarant vouloir changer de chaudière pour passer du fioul à une autre énergie, les aides financières actuelles représentent la plus grande motivation (41 %). Pourtant, si ces dernières sont citées comme un outil essentiel dans la volonté de changement de mode de chauffage, 69 % des consommateurs de fioul déclarant ne pas encore envisager le renouvellement de leur équipement au fioul souhaitent avoir davantage de moyens financiers et plus d'un tiers attendent plus d'informations et de conseils (28 %). Rappel des aides au changement de chaudière MaPrimeRénov' Cette aide publique permet de financer les travaux d'isolation, de chauffage, de ventilation ou d'audit énergétique d'une maison individuelle ou d'un appartement en habitat collectif. Les travaux doivent avoir été effectués par des entreprises labellisées RGE. Depuis le 1er octobre 2020, MaPrimeRénov' est accessible à l'ensemble des propriétaires, quels que soient leurs revenus, qu'ils occupent leur logement ou qu'ils le mettent en location. Son montant varie en fonction des niveaux de revenus classés en 4 catégories : bleu (ménages très modestes), jaune (ménages modestes), violet (revenus intermédiaires), rose (revenus élevés). Hellio est mandataire de l'Anah depuis juillet 2020. Le Coup de Pouce chauffage Les dispositifs “Coups de pouce” sont des primes financières forfaitaires allouées à la réalisation de travaux d'économie d'énergie en échange d'exigences de qualité et de garantie de performance énergétique. Créé par le Ministère de la transition écologique en janvier 2019, le dispositif “Coup de pouce Chauffage” aide les ménages à changer leur chaudière peu performante pour un équipement à haute performance énergétique ou utilisant des énergies renouvelables. Hellio, signataire de la charte d'engagement de ce “Coup de pouce” accompagne les ménages dans ces changements.Le “Coup de pouce Chauffage” est cumulable avec MaPrimeRénov' et l'éco-prêt à taux zéroPour Marina Offel, responsable des affaires publiques et juridiques pour Hellio : “Cette tendance conforte l'idée selon laquelle les aides financières sont un instrument essentiel des politiques publiques sur l'efficacité énergétique. Une visibilité sur le long terme de ces aides est indispensable à la fois pour les ménages et pour les professionnels de la rénovation énergétique. C'est particulièrement le cas pour les entreprises de fourniture de fioul dont l'activité va devoir être réorganisée. Outre cette stabilité, on dénote également un besoin d'écoute, d'information et de compréhension des citoyens des évolutions liées à la transition énergétique. Le remplacement des équipements fioul en 10 ans ne se fera pas sans les ménages qui veulent être conseillés, informés mais aussi libres dans le choix de l'énergie et de l'équipement ! Hellio revendique depuis plusieurs années une stabilité des aides financières, et développe les compétences de ses conseillers en rénovation énergétique dans cette perspective. ”Pour Hervé Degrève, fondateur de FioulReduc : “Après une phase de surprise et d'agacement face à des déclarations politiques et médiatiques parfois un peu stigmatisantes et imprécises, nos clients commencent à intégrer les mesures annoncées par le gouvernement. Une majorité considère cependant avec pragmatisme qu'il n'y a pas d'urgence à tout changer puisque leur chaudière fonctionne encore bien mais envisage volontiers une transition vers le biofioul. Ceux qui sont contraints ou décidés à quitter le fioul souhaitent aujourd'hui plus d'aides financières et un meilleur accompagnement pour ne pas sacrifier le confort et la simplicité qu'ils ont toujours connu avec le fioul. ”
Il y a 3 ans et 131 jours

Les solutions cheminées Poujoulat au service de la RE2020 pour un chauffage bois performant

Ce sont les énergies renouvelables, comme le bois, qui seront favorisées pour le chauffage et la production d’eau chaude sanitaire. Énergie renouvelable et locale (circuit-court grâce aux massifs forestiers français), l’énergie bois est un réel puits de carbone (la forêt capte le carbone présent dans l’atmosphère).Aujourd’hui, cette ressource apparaît comme l’une des meilleures alternatives aux énergies fossiles : son coût est nettement inférieur, son renouvellement est beaucoup plus rapide et son impact sur l’environnement est nul.Autre évolution réglementaire à venir : à compter du 1er juillet 2022, il ne sera plus possible de remplacer ou d’installer une chaudière au fioul neuve. Des dérogations existeront pour palier certaines difficultés techniques . Toutefois, il sera possible d’utiliser sa chaudière au fioul tant que l’équipement sera en état de fonctionnement. Dans ce contexte, la chaudière biomasse apparaît comme une alternative idéale.Les aides financières pour le chauffage au boisUn ensemble d’aides est disponible pour le consommateur afin de l’accompagner dans sa transition énergétique et ainsi réduire le reste à charge. En 2021, le remplacement d’un appareil par une chaudière à bois ou à granulés ainsi que l’installation d’un poêle à bois (bûches et granulés) permettent de bénéficier d’aides. Les montants dépendent du revenu fiscal du foyer.Si le choix d’un appareil de chauffage performant est primordial (labellisé Flamme Verte), le conduit d’évacuation de fumées l’est tout autant ! Leur complémentarité, avec un combustible de qualité, est un gage de fiabilité, de sécurité et de meilleur rendement thermique. Cheminées Poujoulat, leader européen des conduits de cheminées et sorties de toit métalliques, a toujours placé la performance énergétique et l’innovation au cœur de ses orientations stratégiques, comme en témoignent ses dernières solutions :AIRWOOD pour la récupération et la distribution de l’énergie bois dans toute la maison,DUAIS EI pour le raccordement des chaudières à granulés étanches,Autre fer de lance Cheminées Poujoulat, l’esthétique et la personnalisation des produits sont également mises à l’honneur avec la présentation de :DESIGN’UP : la nouvelle génération d’habillage ventilé des poêles à bois facile à installer,OUTSTEEL : la nouvelle gamme de caches pompe à chaleur et climatisation.
Il y a 3 ans et 131 jours

Brise-soleil orientable tout métal esthétique

Le brise-soleil orientable tout métal GM200 de Schenker Stores allie toutes les propriétés éprouvées d’un store tout métal à une technicité de pointe. Il est doté d’un mécanisme de guidage unique avec une chaîne et un système de pantographe. L’ensemble est conçu de manière à ce que le store puisse être verrouillé dans n’importe quelle position. La chaîne de relevage ne nécessite pas d’entretien. Elle est également disponible en acier inoxydable et avec des supports de lames spécialement traités pour des conditions environnementales agressives. L’atout majeur du BSO tout métal est l’apparence du tablier qui n’est affectée ni par la bande échelle, ni par la bande de relevage. L’entraînement est intégré de manière invisible dans les coulisses latérales, ce qui assure un obscurcissement maximal et une isolation thermique optimale. Le GM200 peut être doté de lames profilées (ép. 0,6 mm) ou de lames extrudées (ép. 1,2 mm) d’une largeur de 92 mm. Deux formes de lamelles sont proposées (ronde ou angulaire). Chaque lame est équipée d’un joint PVC (pour les lames profilées) ou d’une brosse (pour les lames extrudées) faisant office de lèvre d’insonorisation. Le gabarit des lames a été développé pour optimiser la réflexion de la chaleur vers l’extérieur et la transmission de la lumière naturelle à l’intérieur. La fonction “position de travail” permet de garder les lames ouvertes lors de la descente des stores. Il est très résistant au vent (classe 7). Grâce à son système de verrouillage contre la remontée, il satisfait également à des exigences accrues de protection contre l’intrusion. Cet article Brise-soleil orientable tout métal esthétique est apparu en premier sur Planète Bâtiment.
Il y a 3 ans et 131 jours

Chauffage et production d’ECS : les innovations du salon BePositive 2021

Une rupture technologique dans les pompes à chaleur, l’hydrogène en collectif, le bois énergie est partout, l’offre rurale des chaudières Perge, les avantages de la production d’ECS décentralisée, …
Il y a 3 ans et 135 jours

Quatre nouveaux projets en France de Power Road, la route à énergie positive

Power Road® permet de valoriser la chaleur captée par la chaussée tout au long de l’année et ainsi de se substituer à l’énergie fossile consommée pour le chauffage des bâtiments. En France, près des deux tiers des consommations d’énergie liées aux bâtiments sont consacrées au chauffage, dont l’énergie de production provient également, pour les deux tiers, de la combustion d’énergies fossiles, fortement émettrices de gaz à effet de serre (GES).Saint-Pol-de-Léon : Rénovation énergétique de la piscine municipaleLa piscine de Saint-Pol-de-Léon (29) en Bretagne va être rénovée par la communauté de communes afin de limiter sa consommation énergétique. La mise en place de 860m² de Power Road répondra à 39% des besoins en énergie liés au préchauffage de l'eau des bassins. À sa réouverture en juillet 2022, 30 tonnes de CO² seront économisées chaque année par rapport à la consommation de la chaudière à gaz actuelle ; l'alimentation en chaleur de la piscine sera alors faite avec 29% d'énergies renouvelables.Agneaux : Construction du nouveau siège administratif du SDEMLe syndicat départemental d'énergies de la Manche, SDEM, se dote d'un nouveau siège basé à Agneaux (50) en Normandie, occasion parfaite d'envisager des solutions énergétiques alternatives. 200m² de Power Road chaufferont les 1650m² du nouveau bâtiment. Économe en énergie, cet équipement permettra d'économiser 87,5% de CO² par an comparativement à une solution gaz, soit 5 tonnes de CO² par an.Bourgoin-Jallieu : Démolition et reconstruction d'une agence de travaux EuroviaL'agence EJL de Bourgoin-Jallieu (38) fait peau neuve grâce à la construction d'un nouveau bâtiment. 100m² de Power road seront installés en fin 2022 avec l'objectif de chauffer et rafraîchir un espace de 700m². 10 tonnes de CO² seront ainsi économisées annuellement en comparaison d'une solution au gaz, réduisant encore de 30% les émissions de gaz à effet de serre par rapport à une solution déjà performante (VRV). La part d'énergie renouvelable de la solution de chauffage et climatisation s'élèvera à 80%.Tarbes : Démolition et reconstruction d'une agence de travaux EuroviaL'agence La Routière des Pyrénées, située à Tarbes (65), rénove ses 585m² de bureaux. Une voirie Power Road de 100m² sera installée afin d'assurer le chauffage et le refroidissement des espaces de travail. Les bénéfices estimés permettront l'économie de 13 tonnes de CO² par an en comparaison d'une solution au gaz.Ces projets montrent la pertinence de Power Road comme solution d'énergie renouvelable de proximité pour la transition vers des bâtiments décarbonés et optimisés, ainsi que sa contribution dans l'atteinte des objectifs climat de la France : les énergies renouvelables devront couvrir 50% de la consommation de chaleur dès 2030 et atteindre la neutralité carbone en 2050.
Il y a 3 ans et 136 jours

Le décret interdisant l'installation d'équipements de chauffage fonctionnant au charbon ou au fioul à compter du 1er juillet 2022 est paru

"Pour pouvoir être installé dans un bâtiment, y compris en remplacement d'un équipement existant, un équipement de chauffage ou de production d'eau chaude sanitaire" doit respecter un niveau d'émissions de gaz à effet de serre "inférieur à 300 gCO2eq / kWh PCI", indique le texte.Les nouvelles normes s'appliquent à compter du 1er juillet 2022, précise le décret.Ce plafond revient "à exclure l'installation d'équipements neufs fonctionnant au charbon ou au fioul, qui conduirait à pérenniser pour plusieurs années des modes de chauffage fortement émetteurs de gaz à effet de serre", indique dans un communiqué le ministère de la Transition écologique."En revanche, les propriétaires d'équipements existants fonctionnant au fioul ou au charbon pourront continuer à les utiliser sans changement de combustible, les entretenir et les faire réparer pour maintenir leur efficacité", précise-t-on de même source.Le sujet, sensible, concerne des millions de Français, notamment en zones rurales.Le fioul domestique est "la 3e énergie de chauffage en France", chauffant "près de 4 millions de bâtiments dont plus de 3 millions de maisons individuelles en résidence principale", selon un communiqué de la filière biofioul, alternative au fioul domestique fossile.Ces maisons chauffées au fioul se trouvent "principalement dans des territoires ruraux et périurbains que les réseaux de chaleur ou le gaz de ville ne desservent souvent pas", selon des données de l'Ademe citées par le communiqué.L'utilisation de ce type d'énergie est particulièrement importante dans des zones où les températures hivernales sont basses, comme la façade Est, et les régions Hauts-de-France et Auvergne-Rhône-Alpes, entre autres.Les acteurs impliqués dans le développement du biofioul saluent un texte ambitieuxLa Fédération Française des Combustibles, Carburants et Chauffage (FF3C), organisation représentative regroupant les professionnels de la distribution des énergies hors réseaux ; la Fédération Française des Pétroliers Indépendants (FFPI) ; la Fédération Française des Producteurs d’Oléagineux et de Protéagineux (FOP) ; Esterifrance, le syndicat des esterificateurs français ; Uniclima, le syndicat des industries thermiques, aérauliques et frigorifiques ; l’Union Nationale Artisanale Couverture Plomberie Chauffage (UNA CPC) de la CAPEB ; l’Union des Métiers du Génie Climatique, Couverture et Plomberie (UMGCCP) de la FFB saluent ce Décret amorçant une transition du fioul domestique 100 % fossile vers le biofioul, biocombustible liquide de chauffage incorporant une part croissante d’énergie renouvelable sous forme d’ester méthylique de colza (EMC).76 % des consommateurs prêts à opter pour du biofioul Un sondage a été réalisé par Opinion Way en juillet 2021 auprès d’utilisateurs de fioul afin de recueillir leur avis sur leur mode de chauffage actuel et leur intérêt vis-à-vis d’un biocombustible liquide. Parmi les principaux enseignements de ce sondage :99 % des répondants trouvent le chauffage au fioul efficace.68 % n’envisagent pas de changer d’énergie de chauffage ; 32 % y pensent mais « sans urgence », d’ici 2 à 5 ans pour 21 % d’entre eux.45 % ont déjà entendu parler du biofioul ; 76 % seraient prêts à opter pour du biofioul et 58 % se disent prêts à opter dès à présent pour une chaudière biocompatible utilisant du biofioul.Le biofioul, énergie des territoiresLe biofioul est une énergie liquide stockable, composée d’une part d’énergie renouvelable, prioritairement sous forme d’ester méthylique de colza (EMC). Le choix du colza tient aux nombreux atouts de cette plante dont la France est l’un des premiers producteurs en Europe : 80 000 agriculteurs cultivent du colza sur l’ensemble du territoire. Sa graine, composée à parts équivalentes d’huile (notamment valorisée en biofioul) et de matière riche en protéines (notamment valorisée pour l’alimentation animale), offre des réponses prometteuses et complémentaires aux enjeux des transitions agroalimentaire, énergétique et environnementale, dont celui de la souveraineté protéique de la France.
Il y a 3 ans et 138 jours

Plus de 4,3 millions de pompes à chaleur installées dans l'UE-27 sur l'année 2020

Chiffres clés des pompes à chaleur dans l'Union européenne en 20203,5 % Croissance des ventes de pompes à chaleur dans l'UE-27 par rapport à 20194,2 millions Nombre de nouvelles PAC aérothermiques dans l'UE-27 en 20200,1 millions Nombre de nouvelles PAC géothermiques dans l'UE-27 en 202041,9 millions Nombre total de pompes à chaleur installées dans l'UE-27 à fin 202013,2 Mtep Énergies renouvelables issues des PAC dans l'UE-27 en 2020Principaux enseignements du baromètre pompe à chaleur 2021 d'EurObserv'ERDéjà très dynamique, le marché totale croit de 3,4 % en 2020. Avec 4,2 millions de nouvelles pompes à chaleur aérothermiques installées (contre 4,1 millions en 2019) l'année 2020 confirme la domination de cette solution parmi les sources de chaleur renouvelable, tout en ayant un usage en rafraichissement en périodes estivales. Le marché des pompes à chaleur géothermiques, bien que très discret en comparaison, gagne lui aussi du terrain avec près de 101.000 nouvelles installations en 2020 (contre 92.000 en 2019). Au total le parc européen compte près de 42 millions de PAC (dont 40,1 millions de PAC aérothermiques et 1,8 millions de PAC géothermiques).Les PAC aérothermique air/air représentent toujours l'essentiel des ventes, avec plus de 3,6 millions de systèmes vendus en 2020. Les trois plus importants marchés se situent sans surprise sur le pourtour méditerranéen (Italie, France, et Espagne) et représentent 74,6 % des nouveaux systèmes réversibles air/air installés en Europe. Le marché des PAC air/eau connait une croissance de 15 % en 2020 avec près de 580.000 unités vendues. En comparaison celui des PAC sur air extrait progresse mais reste très faible, avec moins de 49.000 unités.Le marché de la géothermie connait depuis plusieurs années un regain d'intérêt et l'année 2020 voit une croissance de 9,1 % avec près de 101.000 nouvelles installations. La Suède et l'Allemagne sont toujours les marchés les plus dynamiques, accompagnés en 2020 des Pays- Bas avec une croissance de 65 % et un marché se rapprochant des 20.000 unités.
Il y a 3 ans et 138 jours

Le GIP remet le prix de l'innovation industrielle à la 18ème Pyramides d'Or

Autant de sujets essentiels à la Fédération qui sont mis à l’honneur lors de cet événement. Cette année, le concours était présidé par Marc Pigeon, Président Build Europe et ancien Président de la FPI. La cérémonie de remise des Pyramides s’est tenue le 15 décembre 2021 en web live TV. Le GIP, partenaire de la FPI depuis de longues années, parraine depuis la création du concours le prix de l’innovation industrielle. En décernant ce trophée, le GIP souhaite valoriser l’innovation dans les matériaux utilisés, dans le procédé de construction et en matière de service client. Pour Véronique Lenail, Présidente du GIP : « Pour nous La pyramide de l’innovation industrielle doit promouvoir deux aspects dans la construction : l’innovation(des matériaux, dans les modes constructifs ou dans les techniques de commercialisation) et la qualité. C’est le meilleur moyen d’éviter toutes les malfaçons qui engendrent des surcoûts ou une perte de temps pour les promoteurs et une insatisfaction de la part des clients. » Cette année, le GIP a récompensé le projet "Les Jardins d’Embruns" de Quartus Résidentiel Aquitaine Cette résidence située à Biganos (33), est un projet novateur en termes de conception et d’utilisation de matériaux géo-sourcés pour Quartus en Nouvelle Aquitaine. Entre mer et forêt, ce programme constitué de 83 logements répartis en 7 bâtiments est le premier projet de régénération de la ZAC Nouvelle R portée par Aquitanis. Le projet Nouvelle R pour le quartier Facture s’inscrit dans cette dynamique de croissance et transcrit un engagement fort de la collectivité à maîtriser le développement en offrant des logements pour tous, durables et portant les valeurs d’un nouveau quartier construit pour demain. A terme, la zone d’aménagement concerté (de 14 hectares), offrira environ 700 logements, des espaces publics (dont le parc du Pin livré en juillet 2019), des locaux commerciaux, un hôtel et même un complexe cinématographique. Pensé autour de la nature, Les Jardins d’Embruns se dote d’une construction en matériaux renouvelé : la terre crue qui affiche un excellent bilan carbone. C’est une ressource abondante locale et dénuée de composés organiques volatiles qui sont la première source de pollution des espaces habités. La terre crue procure un confort de vie : en effet elle régule naturellement l’humidité et maintient une température idéale en restituant la nuit la chaleur accumulée pendant la journée.3 lauréats sur le podium Bretagne: programme "LA MANUFACTURE" de Bati-Armor - Paumier Architectes Associés Île de France: programme "MONTEVRAIN" Horizon Nature de Immobel France - Agence Laurent Fournet Architectes Nouvelle Aquitaine : programme "LES JARDINS D’EMBRUNS" de Qaerus Résidentiel Aquitaine - Joly & Loiret Originalité des principes constructifs, utilisation de matériaux ou équipements innovants, modes de mise en œuvre, organisation générale du chantier, mode de commercialisation, services proposés aux clients… À travers ce Prix, le GIP souhaite valoriser les promoteurs qui placent l’innovation au cœur de leurs réalisations. Par sa démarche Qualité Globale, le GIP offre aux promoteurs un dispositif complet avec un objectif commun de prévention de toute réserve et de satisfaction de l’utilisateur.
Il y a 3 ans et 142 jours

Des centaines de maisons détruites par des incendies dans le Colorado

"Environ 370 habitations dans la sous-division de Sagamore ont été détruites. Il est possible que 210 habitations aient été détruites dans la vieille ville de Superior", a déclaré le shérif du comté de Boulder, Joe Pelle, lors d'une conférence de presse.La ville de Boulder, qui compte plus de 100.000 habitants, est située à une cinquantaine de kilomètres de Denver, la capitale du Colorado."Environ 370 habitations dans la sous-division de Sagamore ont été détruites. Il est possible que 210 habitations aient été détruites dans la vieille ville de Superior", a déclaré le shérif du comté de Boulder, Joe Pelle, lors d'une conférence de presse.Cet Etat connaît une sécheresse historique qui a largement facilité la propagation des flammes. Dans le comté de Boulder, des hôtels, des centres commerciaux et plus de 650 hectares de végétation sont partis en fumée.Des rafales de plus de 160 km/h ont été observées à certains endroits, compliquant les efforts des pompiers."J'aimerais mettre l'accent sur l'ampleur et l'intensité de cet incendie et sa présence dans une zone si densément peuplée, nous ne serions pas surpris s'il y avait des blessés ou des décès", a averti le shérif Joe Pelle.Heureusement, les vents devraient s'apaiser, a annoncé le service national météorologique tard jeudi soir, et d'importantes chutes de neige sont attendues dans les deux jours qui viennent.En tout, plus de 33.000 personnes ont reçu l'ordre d'évacuer, notamment à Louisville, une ville de 20.000 résidents, et Superior, 13.000 habitants.Selon le journal Colorado Sun, plusieurs personnes ont dû être soignées pour des brûlures, dont au moins six ont été hospitalisées.Des images diffusées par CBS ont montré un immeuble d'habitation en flammes que les pompiers tentaient d'éteindre."Quittez Louisville sinon votre vie sera en danger", avaient insisté les services météorologiques."Des vents forts propagent rapidement les flammes et tous les avions sont cloués au sol", a tweeté Jared Polis, le gouverneur de cet État montagneux où les Rocheuses rencontrent les Grandes plaines.Il a également déclaré l'état d'urgence, et souligné le danger de cet incendie qui, contrairement aux précédents, ne touche pas que des zones rurales."La région qui est touchée, c'est une banlieue ordinaire, comme celle dans laquelle vous vivez, celles dans lesquelles nous vivons tous", a-t-il lancé."Il ne reste que des cendres"Autre ville visée par un ordre d'évacuation intégrale, Superior, 13.000 habitants, était recouverte jeudi d'un nuage de fumée sombre, selon des images publiées sur les réseaux sociaux.Patrick Kilbride, 72 ans, était à son travail dans une quincaillerie quand il a reçu l'ordre d'évacuer, a rapporté le journal local Denver Post.L'homme de 72 ans s'est précipité chez lui à Superior pour rassembler ses affaires mais n'a pas été en mesure de sauver autre chose que sa voiture et les vêtements qu'il avait sur le dos. Son chat et son chien sont morts dans les flammes."Il ne reste que des cendres", a-t-il dit de la maison dans laquelle il a vécu pendant trois décennies."C'est un sentiment étrange de passer d'une situation où vous possédez tout le confort possible à n'avoir absolument rien", a-t-il confié au Denver Post.Patti Holtz a décrit la terreur ressentie en évacuant sa maison du comté de Boulder. "Tout est en flammes. Il y a des braises partout. J'ai très peur, bien sûr, avec le vent, que ça continue à se propager à d'autres maisons", a-t-elle raconté."Comme le noir de la nuit""Il faisait si sombre que vous ne pouvez rien voir. C'est comme le noir de la nuit", a-t-elle encore dit.À l'instar d'une grande partie de l'Ouest américain, le Colorado, un État déjà aride, est aux prises depuis plusieurs années avec une sécheresse exceptionnelle.Avec le réchauffement climatique, l'intensité et la fréquence des épisodes de sécheresse et de canicule risquent encore d'augmenter, continuant à créer des conditions idéales pour les feux de forêt ou de brousse. Ces dernières années l'Ouest américain a ainsi connu des incendies sans précédent, notamment en Californie ou en Oregon.Pour Daniel Swain, météorologiste à l'université UCLA, il est "dur de croire" que ces incendies ont lieu en décembre, une période habituellement peu propice à ce type d'événements dans la région."Mais prenez un automne à la chaleur et la sécheresse record, seulement deux centimètres de neige jusqu'ici cette saison, et ajoutez une tempête aux rafales descendantes extrêmes... et le résultat consiste en des incendies extrêmement dangereux et qui se déplacent très rapidement", a tweeté le chercheur.
Il y a 3 ans et 143 jours

Poêles à combustible liquide Qlima – Chaleur homogène et budget maîtrisé

Le chauffage pèse de plus en plus lourd dans le budget annuel des Français. Permettant de se chauffer rapidement, sans faire augmenter de façon drastique la facture énergétique, les poêles à combustible liquide ont bénéficié ces dernières années de nombreuses avancées techniques. Économiques à l’achat comme à l’utilisation, pouvant fonctionner instantanément dès que le besoin s’en fait sentir, ils connaissent un succès croissant pour faire face aux affres de l’hiver. Qlima, leader européen sur le marché des poêles à combustible liquide, propose deux appareils peu gourmands en énergie, les modèles SRE 4035 C et R 8128S C-2. En utilisant un combustible Qlima à 0,075 € TTC/kWh*, l’économie réalisée peut atteindre 35 %, par rapport à un radiateur électrique radiant au tarif de 0,171 € TTC/kWh. Classés A, ne nécessitant aucune installation spécifique et parfaitement sécurisés, ces modèles Qlima apportent rapidement chaleur et confort aux intersaisons comme au cœur de l’hiver. En quelques minutes, la puissance de chauffe associée à un ventilateur performant (sur le modèle SRE 4035 C) réchauffe agréa-blement la pièce de façon uniforme. 100 % de sécurité Répondant à la très stricte norme NF, les poêles à combustible liquide Qlima garantissent un chauffage haute performance totalement sécurisé. Les appareils sont équipés d’un détecteur de CO2, d’un système anti-renversement en cas de choc et d’un arrêt automatique si la température de la pièce est trop élevée. Deux grandes familles d’appareils Le modèle Laser SRE 4035 C Qlima nécessite une alimentation électrique pour la mise en route et la régulation électronique. Ses nombreuses fonctions permettent de chauffer sans gaspiller : par exemple, le mode Save coupe et redémarre l’appareil automatiquement pour maintenir la température demandée sans fluctuations énergivores. Rapide, sécurisé et très silencieux, le poêle à mèche R 8128S C-2 Qlima est, quant à lui, idéal pour un apport ponctuel de chaleur sans électricité. À haut rendement, il est équipé d’un système unique de brûleur à double combustion.   Poêle électronique Laser SRE 4035 C Qlima Particulièrement puissant, le poêle électronique Laser SRE 4035 C Qlima permet de chauffer rapidement de grandes surfaces (jusqu’à 60 m2). La chaleur produite se propage uniformément au moyen du ventilateur intégré. En seulement cinq minutes, l’appareil diffuse une chaleur confortable dans l’espace de vie. Le brûleur à bec bunsen du poêle Qlima utilise la forme gazeuse du combustible dans la chambre de combustion. Les effets sont remar-quables : démarrage rapide (environ 45 secondes), odeurs considérablement réduites, y compris au démarrage et à l’extinction, et régulation de la combustion très précise. La régulation du poêle se fait en effet de 100 W en 100 W. Cela procure une chaleur constante, confortable, sans variations de température désagréables. De plus, un système d’air pulsé chauffe la pièce très rapidement grâce à une répartition équilibrée de l’air chauffé, perpétuellement brassé. Les + signés Qlima Avec le SRE 4035 C Qlima, la consommation de combustible est réduite de 8 %. Doté d’un mode Save, avec marche et arrêt automatiques, l’appareil maintient la température programmée sans variations de chaleur. Un capteur mesure la température ambiante, et le poêle s’autorégule en fonction de la chaleur choisie. La fonction Fuzzy Logic sert à contrôler les conditions de température et ajuste le fonction-nement du poêle. Elle repère les problèmes éventuels et les indique par codes erreurs. Pour une totale sécurité, le SRE 4035 C est équipé d’un témoin de flamme qui contrôle la qualité de combustion, d’un système anti-renversement qui coupe immédiatement le poêle s’il vient à se renverser, de parois froides, d’un bouton de sécurité enfant et d’un détecteur de CO2. Ce dernier contrôle en permanence l’atmosphère de la pièce, et permet d’arrêter automatiquement l’appareil par extinction totale du brûleur avant que la teneur en CO2 n’atteigne 1 %. Grâce à son grand réservoir d’une contenance de 5 litres, le poêle SRE 4035 C Qlima, peu gourmand en combustible, dispose d’une autonomie maximale de 40 heures.   Poêle électronique Laser SRE 4035 C Qlima Type de brûleur : à injection électronique Puissance : de 1 190 à 3 500 W Volume pièce : de 22 à 60 m2 Autonomie : de 13,5 à 40 h Consommation (max.) : 0,365 l/h Capacité du réservoir : 5 l Dimensions : L 436 x P 313 x H 435 mm Garantie : 4 ans Prix public indicatif : moins de 399 euros TTC Points de vente : GSB, GSA et sites e-commerce   Poêle à mèche R 8128S C-2 Qlima Particulièrement mobile, le poêle à mèche R 8128S C-2 Qlima, qui fonctionne sans avoir besoin d’être branché à une prise de courant, constitue un chauffage autonome idéal dans les pièces de vie, ainsi que dans les garages, ateliers, vérandas… Convenant pour le chauffage des surfaces de 20 à 42 m2, l’appareil affiche une puissance de 2 850 watts. Grâce à son réservoir d’une contenance de 5,2 litres, ce modèle offre jusqu’à 17,5 heures d’autonomie. À utiliser dans un espace ventilé, le poêle à mèche Qlima est équipé d’un système unique de brûleur à double combustion qui permet d’optimiser ses performances. Le principe consiste à brûler les gaz issus de la première combustion au moyen d’un brûleur supérieur, afin d’obtenir une efficacité énergétique proche de 100 %. Avec ce système breveté, la combustion est propre, sans condensation, et les émanations d’odeurs considérablement limitées. Les + signés Qlima Ultra performant, le R 8128S C-2 Qlima intègre de nombreux systèmes de sécurité : • Un dispositif de contrôle d’atmosphère qui mesure en permanence le taux de CO2, et arrête l’appareil par extinction totale du brûleur avant que la teneur en CO2 n’atteigne 1 %. • Une sonde qui déclenche l’arrêt total de l’appareil dès que la température de la pièce est trop élevée (33 °C). • Un dessus tempéré, en conformité avec la norme de sécurité en vigueur. • Un système d’arrêt automatique qui se déclenche en cas de choc ou de renversement.   Poêle à mèche R 8128S C-2 Qlima Type de brûleur : double combustion Puissance : 2 850 W Volume pièce : de 20 à 42 m2 Autonomie : 17,5 h Consommation (max.) : 0,297 l/h Capacité du réservoir : 5,2 l Dimensions : L 455 x P 295 x H 505 mm Garantie : 4 ans Prix public indicatif : moins de 249 euros TTC Points de vente : GSB, GSA et sites e-commerce www.qlima.fr