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Il y a 3 ans et 142 jours

Des centaines de maisons détruites par des incendies dans le Colorado

"Environ 370 habitations dans la sous-division de Sagamore ont été détruites. Il est possible que 210 habitations aient été détruites dans la vieille ville de Superior", a déclaré le shérif du comté de Boulder, Joe Pelle, lors d'une conférence de presse.La ville de Boulder, qui compte plus de 100.000 habitants, est située à une cinquantaine de kilomètres de Denver, la capitale du Colorado."Environ 370 habitations dans la sous-division de Sagamore ont été détruites. Il est possible que 210 habitations aient été détruites dans la vieille ville de Superior", a déclaré le shérif du comté de Boulder, Joe Pelle, lors d'une conférence de presse.Cet Etat connaît une sécheresse historique qui a largement facilité la propagation des flammes. Dans le comté de Boulder, des hôtels, des centres commerciaux et plus de 650 hectares de végétation sont partis en fumée.Des rafales de plus de 160 km/h ont été observées à certains endroits, compliquant les efforts des pompiers."J'aimerais mettre l'accent sur l'ampleur et l'intensité de cet incendie et sa présence dans une zone si densément peuplée, nous ne serions pas surpris s'il y avait des blessés ou des décès", a averti le shérif Joe Pelle.Heureusement, les vents devraient s'apaiser, a annoncé le service national météorologique tard jeudi soir, et d'importantes chutes de neige sont attendues dans les deux jours qui viennent.En tout, plus de 33.000 personnes ont reçu l'ordre d'évacuer, notamment à Louisville, une ville de 20.000 résidents, et Superior, 13.000 habitants.Selon le journal Colorado Sun, plusieurs personnes ont dû être soignées pour des brûlures, dont au moins six ont été hospitalisées.Des images diffusées par CBS ont montré un immeuble d'habitation en flammes que les pompiers tentaient d'éteindre."Quittez Louisville sinon votre vie sera en danger", avaient insisté les services météorologiques."Des vents forts propagent rapidement les flammes et tous les avions sont cloués au sol", a tweeté Jared Polis, le gouverneur de cet État montagneux où les Rocheuses rencontrent les Grandes plaines.Il a également déclaré l'état d'urgence, et souligné le danger de cet incendie qui, contrairement aux précédents, ne touche pas que des zones rurales."La région qui est touchée, c'est une banlieue ordinaire, comme celle dans laquelle vous vivez, celles dans lesquelles nous vivons tous", a-t-il lancé."Il ne reste que des cendres"Autre ville visée par un ordre d'évacuation intégrale, Superior, 13.000 habitants, était recouverte jeudi d'un nuage de fumée sombre, selon des images publiées sur les réseaux sociaux.Patrick Kilbride, 72 ans, était à son travail dans une quincaillerie quand il a reçu l'ordre d'évacuer, a rapporté le journal local Denver Post.L'homme de 72 ans s'est précipité chez lui à Superior pour rassembler ses affaires mais n'a pas été en mesure de sauver autre chose que sa voiture et les vêtements qu'il avait sur le dos. Son chat et son chien sont morts dans les flammes."Il ne reste que des cendres", a-t-il dit de la maison dans laquelle il a vécu pendant trois décennies."C'est un sentiment étrange de passer d'une situation où vous possédez tout le confort possible à n'avoir absolument rien", a-t-il confié au Denver Post.Patti Holtz a décrit la terreur ressentie en évacuant sa maison du comté de Boulder. "Tout est en flammes. Il y a des braises partout. J'ai très peur, bien sûr, avec le vent, que ça continue à se propager à d'autres maisons", a-t-elle raconté."Comme le noir de la nuit""Il faisait si sombre que vous ne pouvez rien voir. C'est comme le noir de la nuit", a-t-elle encore dit.À l'instar d'une grande partie de l'Ouest américain, le Colorado, un État déjà aride, est aux prises depuis plusieurs années avec une sécheresse exceptionnelle.Avec le réchauffement climatique, l'intensité et la fréquence des épisodes de sécheresse et de canicule risquent encore d'augmenter, continuant à créer des conditions idéales pour les feux de forêt ou de brousse. Ces dernières années l'Ouest américain a ainsi connu des incendies sans précédent, notamment en Californie ou en Oregon.Pour Daniel Swain, météorologiste à l'université UCLA, il est "dur de croire" que ces incendies ont lieu en décembre, une période habituellement peu propice à ce type d'événements dans la région."Mais prenez un automne à la chaleur et la sécheresse record, seulement deux centimètres de neige jusqu'ici cette saison, et ajoutez une tempête aux rafales descendantes extrêmes... et le résultat consiste en des incendies extrêmement dangereux et qui se déplacent très rapidement", a tweeté le chercheur.
Il y a 3 ans et 143 jours

Poêles à combustible liquide Qlima – Chaleur homogène et budget maîtrisé

Le chauffage pèse de plus en plus lourd dans le budget annuel des Français. Permettant de se chauffer rapidement, sans faire augmenter de façon drastique la facture énergétique, les poêles à combustible liquide ont bénéficié ces dernières années de nombreuses avancées techniques. Économiques à l’achat comme à l’utilisation, pouvant fonctionner instantanément dès que le besoin s’en fait sentir, ils connaissent un succès croissant pour faire face aux affres de l’hiver. Qlima, leader européen sur le marché des poêles à combustible liquide, propose deux appareils peu gourmands en énergie, les modèles SRE 4035 C et R 8128S C-2. En utilisant un combustible Qlima à 0,075 € TTC/kWh*, l’économie réalisée peut atteindre 35 %, par rapport à un radiateur électrique radiant au tarif de 0,171 € TTC/kWh. Classés A, ne nécessitant aucune installation spécifique et parfaitement sécurisés, ces modèles Qlima apportent rapidement chaleur et confort aux intersaisons comme au cœur de l’hiver. En quelques minutes, la puissance de chauffe associée à un ventilateur performant (sur le modèle SRE 4035 C) réchauffe agréa-blement la pièce de façon uniforme. 100 % de sécurité Répondant à la très stricte norme NF, les poêles à combustible liquide Qlima garantissent un chauffage haute performance totalement sécurisé. Les appareils sont équipés d’un détecteur de CO2, d’un système anti-renversement en cas de choc et d’un arrêt automatique si la température de la pièce est trop élevée. Deux grandes familles d’appareils Le modèle Laser SRE 4035 C Qlima nécessite une alimentation électrique pour la mise en route et la régulation électronique. Ses nombreuses fonctions permettent de chauffer sans gaspiller : par exemple, le mode Save coupe et redémarre l’appareil automatiquement pour maintenir la température demandée sans fluctuations énergivores. Rapide, sécurisé et très silencieux, le poêle à mèche R 8128S C-2 Qlima est, quant à lui, idéal pour un apport ponctuel de chaleur sans électricité. À haut rendement, il est équipé d’un système unique de brûleur à double combustion.   Poêle électronique Laser SRE 4035 C Qlima Particulièrement puissant, le poêle électronique Laser SRE 4035 C Qlima permet de chauffer rapidement de grandes surfaces (jusqu’à 60 m2). La chaleur produite se propage uniformément au moyen du ventilateur intégré. En seulement cinq minutes, l’appareil diffuse une chaleur confortable dans l’espace de vie. Le brûleur à bec bunsen du poêle Qlima utilise la forme gazeuse du combustible dans la chambre de combustion. Les effets sont remar-quables : démarrage rapide (environ 45 secondes), odeurs considérablement réduites, y compris au démarrage et à l’extinction, et régulation de la combustion très précise. La régulation du poêle se fait en effet de 100 W en 100 W. Cela procure une chaleur constante, confortable, sans variations de température désagréables. De plus, un système d’air pulsé chauffe la pièce très rapidement grâce à une répartition équilibrée de l’air chauffé, perpétuellement brassé. Les + signés Qlima Avec le SRE 4035 C Qlima, la consommation de combustible est réduite de 8 %. Doté d’un mode Save, avec marche et arrêt automatiques, l’appareil maintient la température programmée sans variations de chaleur. Un capteur mesure la température ambiante, et le poêle s’autorégule en fonction de la chaleur choisie. La fonction Fuzzy Logic sert à contrôler les conditions de température et ajuste le fonction-nement du poêle. Elle repère les problèmes éventuels et les indique par codes erreurs. Pour une totale sécurité, le SRE 4035 C est équipé d’un témoin de flamme qui contrôle la qualité de combustion, d’un système anti-renversement qui coupe immédiatement le poêle s’il vient à se renverser, de parois froides, d’un bouton de sécurité enfant et d’un détecteur de CO2. Ce dernier contrôle en permanence l’atmosphère de la pièce, et permet d’arrêter automatiquement l’appareil par extinction totale du brûleur avant que la teneur en CO2 n’atteigne 1 %. Grâce à son grand réservoir d’une contenance de 5 litres, le poêle SRE 4035 C Qlima, peu gourmand en combustible, dispose d’une autonomie maximale de 40 heures.   Poêle électronique Laser SRE 4035 C Qlima Type de brûleur : à injection électronique Puissance : de 1 190 à 3 500 W Volume pièce : de 22 à 60 m2 Autonomie : de 13,5 à 40 h Consommation (max.) : 0,365 l/h Capacité du réservoir : 5 l Dimensions : L 436 x P 313 x H 435 mm Garantie : 4 ans Prix public indicatif : moins de 399 euros TTC Points de vente : GSB, GSA et sites e-commerce   Poêle à mèche R 8128S C-2 Qlima Particulièrement mobile, le poêle à mèche R 8128S C-2 Qlima, qui fonctionne sans avoir besoin d’être branché à une prise de courant, constitue un chauffage autonome idéal dans les pièces de vie, ainsi que dans les garages, ateliers, vérandas… Convenant pour le chauffage des surfaces de 20 à 42 m2, l’appareil affiche une puissance de 2 850 watts. Grâce à son réservoir d’une contenance de 5,2 litres, ce modèle offre jusqu’à 17,5 heures d’autonomie. À utiliser dans un espace ventilé, le poêle à mèche Qlima est équipé d’un système unique de brûleur à double combustion qui permet d’optimiser ses performances. Le principe consiste à brûler les gaz issus de la première combustion au moyen d’un brûleur supérieur, afin d’obtenir une efficacité énergétique proche de 100 %. Avec ce système breveté, la combustion est propre, sans condensation, et les émanations d’odeurs considérablement limitées. Les + signés Qlima Ultra performant, le R 8128S C-2 Qlima intègre de nombreux systèmes de sécurité : • Un dispositif de contrôle d’atmosphère qui mesure en permanence le taux de CO2, et arrête l’appareil par extinction totale du brûleur avant que la teneur en CO2 n’atteigne 1 %. • Une sonde qui déclenche l’arrêt total de l’appareil dès que la température de la pièce est trop élevée (33 °C). • Un dessus tempéré, en conformité avec la norme de sécurité en vigueur. • Un système d’arrêt automatique qui se déclenche en cas de choc ou de renversement.   Poêle à mèche R 8128S C-2 Qlima Type de brûleur : double combustion Puissance : 2 850 W Volume pièce : de 20 à 42 m2 Autonomie : 17,5 h Consommation (max.) : 0,297 l/h Capacité du réservoir : 5,2 l Dimensions : L 455 x P 295 x H 505 mm Garantie : 4 ans Prix public indicatif : moins de 249 euros TTC Points de vente : GSB, GSA et sites e-commerce www.qlima.fr
Il y a 3 ans et 145 jours

Muller Intuitiv dévoile la gamme de radiateurs Calidoo, ultra performants, classiques et adaptables

Ce radiateur à chaleur douce et au style intemporel est intelligent et certifiés Origine France Garantie. Le radiateur Calidoo est 100% connecté sans aucun accessoire supplémentaire pour une consommation d’énergie sur mesure grâce au dispositif Muller Intuitiv with Netatmo. Calidoo : le radiateur intemporelCALIDOO est équipé d’un double système chauffant : un cœur de fonte en chauffe est associé à une facade chauffante gérée de manière indépendante.L'apport de la fonte permet une sensation de chaleur douce stable et bien répartie dans toute la pièce. Son film chauffant réchauffe très rapidement la face avant pour procurer une sensation de chaleur permanente même quand la fonte n’est pas encore chaude, ce qui rend le radiateur très confortable même quand il chauffe très peu (en intersaison par exemple). Grâce à ses dimensions variées, il est pratique et adaptable aussi bien pour les petits que les grands espaces.En complément, CALIDOO est aussi un radiateur 100% connecté (sans accessoires à ajouter) qui, grâce à ses fonctions intégrées de pilotage intelligent, rend le quotidien plus facile et les économies d'énergies plus intuitives. L'utilisation de ce radiateur électrique est facilitée par la touche à mémoire de confort. Celle-ci rétablit la bonne température et active les fonctions à économie d'énergie, telle que la détection automatique de fenêtre ouverte (le radiateur s'arrête lorsqu'il identifie une chute anormale de la température) et un abaissement automatique de température en cas de détection d'absence dans la pièce (le détecteur capte automatiquement la température de consigne du radiateur). Un code PIN à 4 chiffres permet de verrouiller l'ensemble de fonctionnalités du radiateur évitant tout déréglage intempestif.Déclinés dans un nouveau blanc satiné lisse, très facilement nettoyable et en couleur anthracite, ces radiateurs s’harmonisent avec une large variété de mobilier.L’exigence de la fabrication françaiseTous ces modèles sont certifiés Origine France Garantie, qui contrairement aux mentions auto déclaratives « fabriqué en France » atteste, par un audit extérieur, que le produit prend ses caractéristiques essentielles en France et que 50 % à 100% du prix de revient unitaire du produit est acquis sur le territoire.La connectivité au service de l’efficacité énergétique Dotée de l’intelligence Muller Intuitiv, la nouvelle gamme de radiateurs Calidoo embarque le nec plus ultra des fonctions d’économies d’énergie avancées pour traquer au quotidien la moindre source de gaspillage tout en optimisant le confort. Ces radiateurs prennent en compte le rythme de vie des utilisateurs et adaptent leur température pour allier bien-être et économies.Analyse des rythmes d’occupation, détection de fenêtre ouverte et d'absence, anticipation, auto-programmation, indicateur comportemental, consultation au jour le jour sur graphique, pilotage par la voix par assistants vocaux, verrouillage par code PIN, ... toutes ces fonctions à économies d'énergie ainsi que le boîtier digital sont simples à utiliser !
Il y a 3 ans et 147 jours

Ce qui change au 1er janvier 2022 pour accélérer la transition écologique

Économie circulaireInterdiction d’éliminer les invendus non alimentairesInterdiction d'élimination des invendus non alimentaires pour les produits couverts par les filières REP (autrement appelées filières « pollueurs payeurs »), les produits d’hygiène et de puériculture, les produits d’éveil et de loisirs, les livres et fournitures scolaires, les équipements de conservation et de cuisson des aliments. L’élimination, autrement dit la mise en décharge et l’incinération, de ces produits invendus sera ainsi interdite. Les entreprises devront désormais les donner ou les recycler.Lutte contre le plastique à usage uniqueFin des emballages plastiques autour de certains fruits et légumes. Dès le 1er janvier 2022, c’est une trentaine de fruits et légumes frais non transformés qui seront vendus sans plastique dont une quinzaine de légumes : poireaux, courgettes, aubergines, poivrons, concombres, pommes de terre et carottes, tomates rondes, oignons et navets, choux, choux fleurs, courges, panais, radis, topinambours, légumes racines. Du côté des fruits, ce sont notamment les pommes, poires, oranges, clémentines, kiwis, mandarines, citrons, pamplemousses, prunes, melons, ananas, mangues, fruits de la passion, kakis, etc. que l’on retrouvera sur les étals sans emballage plastique dès 2022.Interdiction des jouets en plastique offerts dans certains menus : les restaurants qui souhaitent poursuivre la distribution gratuite de jouets avec leurs menus enfants devront en proposer dans d'autres matériaux, comme le bois ou le carton.Fin de la livraison sous plastique des journaux, magazines et publicités, qui devront être livrés sans emballage ou avec un emballage fabriqué avec un autre matériau, comme par exemple le papier.Dans le secteur de l'achat public : l'Etat ne pourra plus acheter de produits en plastique à usage unique pour une utilisation sur les lieux de travail ou lors des événements qu'il organise.Information du consommateur sur les émissions de gaz à effets de serre liées à ses consommations internet et mobilesLes fournisseurs d'accès internet et opérateurs mobiles devront communiquer à leurs abonnés les émissions de gaz à effets de serre liées à leurs consommations internet et mobiles. Cette information permettra de sensibiliser les consommateurs à l'impact de leur consommation numérique sur l’environnement et le climat.EnergieGel des prix du gazLe gel des prix du gaz en 2022 est étendu aux entreprises locales de distribution (ELD). L’instauration de ce bouclier tarifaire vise à protéger le pouvoir d’achat des ménages face à la flambée de prix de l’énergie.Modification de la réglementation relative aux installations d'éoliennes terrestresDeux nouveaux arrêtés ministériels modifient la réglementation relative aux installations éoliennes terrestres à compter du 1er janvier 2022 en introduisant :un contrôle acoustique systématique à réception pour les parcs éoliens ;un nouveau critère d’appréciation de l’impact sur les radars Météo France ;la possibilité de réutiliser les postes de livraison, les câbles et les fondations en cas de renouvellement ;une augmentation du montant des garanties financières, cohérente avec l’évolution technologique de la filière.Logement et bâtimentLancement de France Rénov', le service public pour rénover son logementFrance Rénov' est le nouveau nom du service public de la rénovation de l'habitat piloté par l’ANAH. Les Espaces Conseil FAIRE et les Points rénovation information service de l'Anah (PRIS) deviennent les Espaces Conseil France Rénov' dès le 1er janvier 2022 le point d'entrée unique pour guider les Français dans leurs travaux de rénovation. Ce service de référence délivre des informations et conseils neutres, gratuits et indépendants. Il accompagne également les ménages tout au long de leur parcours à travers l'offre spécifique « Mon accompagnateur Rénov' ».Le réseau France Rénov' est présent sur l'ensemble du territoire avec près de 450 guichets et est disponible via la plateforme france-renov.gouv.fr et au 0808.800.700.Lancement d'Eco Energie Tertiaire pour déclarer des données bâtimentaires et de consommationÉco Énergie Tertiaire est une obligation réglementaire qui impose une réduction progressive de la consommation d’énergie dans les bâtiments à usage tertiaire (surface de 1.000 m² ou plus) afin de lutter contre le changement climatique. À partir du 1er janvier 2022, les assujettis doivent déclarer leurs données bâtimentaires et de consommation d’énergie sur la plateforme Operat (Observatoire de la performance énergétique de la rénovation et des actions du tertiaire) de l’Ademe.Possibilité de déposer un permis de construire par voie électroniqueÀ partir du 1er janvier 2022, les usagers pourront choisir de déposer leur permis de construire et plus largement leur demande d’autorisation d’urbanisme (déclaration préalable, permis d’aménager, permis de démolir…) par voie électronique pour la réalisation de leurs travaux (construction/extension, ravalement, clôture, abris de jardin, fenêtres, panneaux solaires, …). Pour accompagner cette transformation d’ampleur et l’ensemble des communes, l’État en concertation avec les associations d’élus (AMF et AdCF) déploie un vaste programme de transformation numérique de l’application du droit des sols, appelé Permis de construire en ligne. Jusqu’à présent, l’usager était dans l’obligation :soit d’envoyer son dossier papier en de multiples exemplaires par voie postale en recommandé avec accusé de réception,soit de se déplacer aux horaires d’ouverture du guichet en mairie.Le dépôt et l’instruction en ligne des demandes d’autorisation d’urbanisme répondent ainsi aux enjeux de simplification et de modernisation des services publics, à l’heure où la très grande majorité de services est accessible en ligne.Mise en application de la RE2020, nouvelle réglementation environnementale des bâtiments neufsLa réglementation environnementale des bâtiments neufs, appelée RE2020, va remplacer l'actuelle réglementation thermique, la RT2012. Elle s'appliquera aux maisons individuelles et logements collectifs pour lesquels le permis de construire est déposé à partir du 1er janvier 2022 et aux bâtiments de bureau et d'enseignement pour lesquels le permis de construire est déposé à partir du 1er juillet 2022.Les trois objectifs principaux poursuivis à travers la RE2020 sont :donner la priorité à la sobriété énergétique et à la décarbonation de l’énergie ;diminuer l’impact carbone de la construction des bâtiments ;en garantir le confort en cas de forte chaleur.Ainsi, en plus de renforcer les exigences en matière de performance énergétique des bâtiments neufs par rapport à la RT2012, la RE2020 améliore la prise en compte du confort d'été et introduit la dimension environnementale en établissant des exigences relatives à l'impact carbone du bâtiment sur son cycle de vie dès sa construction. Afin de fixer une trajectoire de réduction de l'impact environnemental de la construction de bâtiments, les exigences seront progressivement renforcées tous les trois ans jusqu’en 2031.Santé-environnementMise en application du nouveau règlement bio européenDe nouvelles règles vont s’appliquer au 1er janvier 2022 pour la production biologique. Elles sont inscrites dans le règlement de base adopté en 2018 qui définit les principes généraux et les règles principales de l’agriculture biologique. Ce nouveau règlement est complété par une quinzaine de textes réglementaires sur des sujets souvent techniques. Plusieurs changements importants entreront en vigueur au 1er janvier 2022 :de nouvelles catégories de semences disponibles pour l’agriculture biologique ont été définies pour offrir aux agriculteurs bio du matériel plus adapté à leurs besoins et au service de la biodiversité agricole ;un certain nombre de nouvelles mesures visant à augmenter le bien-être des animaux sont également à l’ordre du jour, comme par exemple l’interdiction de mutilations (ébecquage, taille des dents) ;des produits qui n'étaient pas couverts par le règlement européen pourront à l’avenir bénéficier du label bio : il s'agit notamment des animaux de ferme comme les lapins et les cervidés, des huiles essentielles, du sel, etc. ;le règlement contient enfin de nouvelles règles concernant l’utilisation d’arômes et d’additifs mais aussi les importations, faisant de la conformité au cahier des charges européen la règle d’échange avec les pays tiers.TransportsProposée par la Convention citoyenne pour le climat, la taxe sur la masse en ordre de marche (malus poids) entrera en vigueur au 1er janvier. Elle s’appliquera aux véhicules de tourisme neufs pesant plus de 1,8 tonne (1.800 kg), avec un tarif unitaire de 10 € par kilogramme excédentaire. Pour tenir compte de situations personnelles particulières (familles nombreuses, personnes invalides, etc.) d’une part ; des spécificités techniques liées aux véhicules les plus performants sur le plan environnemental (véhicules électriques, hydrogène ou hybrides rechargeables d’une autonomie suffisante) d’autre part, des abattements ou des exonérations, suivant les cas, ont été intégrés au dispositif. Les véhicules utilitaires, quant à eux, ne sont pas concernés par la taxe.Renforcement du malus lié aux émissions de CO2 des véhicules et prolongation du barème actuel du bonus pour aider à l’acquisition de véhicules propresA partir du 1er janvier 2022, un nouveau barème du malus sur les émissions de CO2 des automobiles s'appliquera aux véhicules neufs. Cette évolution avait été prévue dès fin 2020 par l'article 55 de la loi de finances pour 2021. Il s'appliquera à partir de de 128 grammes de CO2/km au lieu de 133 grammes de CO2/km en 2021. Pour ce niveau de pollution, la taxation sera de 50 €. Le seuil de 1000 € sera atteint dès 151 grammes de CO2/km (1.074 €), au lieu de 156 grammes de CO2/km en 2021. La dernière tranche du barème s'élèvera à 40.000 € pour les véhicules ayant un taux de CO2 supérieur à 223 grammes de CO2/km (au lieu de 30.000 € en 2021 pour les plus de 218 grammes de CO2/km).En contrepartie de ces évolutions, et dans un contexte de forte hausse récente des prix des carburants, le barème du bonus écologique, subventionnant l’acquisition de véhicules propres, qui devait initialement diminuer d’un montant de 1.000 € au 1er janvier 2022, est finalement maintenu à son niveau actuel pour une durée supplémentaire de 6 mois. Les particuliers pourront ainsi continuer de bénéficier au 1er janvier 2022, par exemple, d’une aide de 6.000€ pour l’acquisition d’une voiture électrique ou hydrogène neuve de moins de 45.000€.Risques industrielsObligation de tenue à jour d’un état des matières stockéesL’obligation de tenue à jour d’un état des matières stockées entre en vigueur pour les entrepôts de stockage de matières combustibles, de liquides inflammables, les installations de tri transit déchets et les installations Seveso. Cet état devra être disponible sous deux formats, le premier format destiné à être utilisé par les services de l’État pour la gestion d’un évènement accidentel, le second pour répondre aux besoins d’information de la population dans ce même cadre.Les arrêtés encadrant les sites de liquides inflammables classés à enregistrement ou à déclaration entrent également en vigueur, achevant ainsi la mise en œuvre du plan d’action sur le volet de la réglementation relative aux liquides inflammables.Pour les entrepôts à autorisation, c’est la disposition visant l’anticipation des premiers prélèvements environnementaux en cas d’accident qui entre en vigueur. Par ailleurs, pour les entrepôts dotés d’un plan d’opération interne, il devient obligatoire d’y définir les dispositions à mettre en œuvre pour le nettoyage et la remise en état du site, ainsi que l’organisation pour lutter contre un incendie de plus de 2 heures.
Il y a 3 ans et 150 jours

La SNCF veut développer les commerces dans ses gares en misant sur la diversité et la qualité

Depuis le 1er avril, c'est lui qui pilote la gestion de l'ensemble de l'offre commerciale dans les 3.000 gares de France, du marchand de journaux à la galerie marchande.Avec, pour commencer, un audit: "ces gares, pour la première fois, on les a pensées en fonction du nombre de voyageurs bien sûr, mais aussi de ce qui se passe à cinq minutes à pied ou sept minutes en voiture. La façon dont on va faire vivre la gare va dépendre de son environnement", détaille-t-il.Il s'agit aussi de sonder les attentes des voyageurs. "Le parcours en gare contribue à près de 20% de la satisfaction des clients", relève-t-il. "Ce qui nous remonte, c'est la diversification des enseignes, l'ambiance, et le fait que ça contribue à leur occupation ou leur distraction pendant le temps passé en gare.""Les gens nous disent que les gares sont souvent perçues comme des lieux de passage un peu froids et, les commerces, c'est ce qui donne de la chaleur et du rapport humain", poursuit-il.Les revenus tirés des commerces servent à entretenir et rénover les gares, et aussi à faire baisser le "toucher de quai" payé par les opérateurs ferroviaires pour s'y arrêter.L'idée est donc de trouver le bon équilibre entre le sandwich rapide et le restaurant, le marchand de journaux, la supérette, le cabinet médical, l'atelier de réparation de vélos... et aussi entre les voyageurs et ceux qui ne prennent pas le train (20% de la fréquentation à Paris-Montparnasse). Avec éventuellement des baux provisoires permettant de tester des formules nouvelles."Il n'y a pas de formule magique. Ca dépend des gares." Meilleur accueilIl reprend le mantra de sa patronne Marlène Dolveck, la directrice générale de SNCF Gares & Connexions (le gestionnaire des gares, filiale de SNCF Réseau): "Notre seule volonté, c'est de donner envie de prendre le train et, la première étape, c'est la gare. C'est ça qui est le moteur de l'action.""On n'en est qu'au début de l'histoire", seules quelques gares ayant été aménagées jusqu'à présent, et certaines boutiques ayant mis la clef sous la porte pour cause de pandémie, estime M. Poli.Concrètement, il veut "mieux travailler avec les élus locaux" et avec les commerçants.Sa société promet de chouchouter ces derniers, en échange d'engagements sur la qualité, avec une charte sur l'accueil, et d'efforts sur la fidélisation des clients et sur la responsabilité sociétale des entreprises (RSE)."On va pondérer beaucoup plus ces critères-là dans la façon dont on construit les appels d'offres", avance-t-il, citant le tri des déchets ou la favorisation de l'apprentissage."Je préfère faire venir une nouvelle marque plutôt que quelqu'un qui est déjà installé, même si ça a un coût pour nous", ajoute le responsable.Les commerces en gare apportaient avant le Covid-19 quelque 250 millions d'euros de redevance, sur un chiffre d'affaires de 1,6 milliard pour SNCF Gares & Connexions."L'idée, c'est d'augmenter" ce montant, indique Raphaël Poli, qui dit n'avoir pas encore d'objectifs précis. "On a des demandes tant d'élus que de commerçants de venir s'installer en gare."Mais "la priorité, c'est la sécurité des flux" de voyageurs, insiste-il. "Une gare n'est pas un centre commercial, clairement."Le projet de transformation de la Gare du Nord, à Paris, était "une exception", soupire-t-il. La SNCF a d'ailleurs préféré arrêter le projet, particulièrement controversé, de son agrandissement, lancé par des équipes précédentes avec la foncière d'Auchan.Cette mauvaise expérience ne condamne pas pour autant l'alliance avec des foncières pour valoriser des bâtiments importants, dit-il, mettant en avant les succès de Saint-Lazare et Montparnasse à Paris, ou de Rennes. Mais "il n'y a pas de politique généralisée de partenariat".
Il y a 3 ans et 150 jours

Classement des réseaux de chaleur : avis favorable du CSCEE

Réunis en séance le 14 décembre dernier, les membres du Conseil supérieur de la construction et de l’efficacité énergétique (CSCEE) ont rendu un avis favorable avec des réserves au projet de décret relatif au classement des réseaux de chaleur et de froid. L’avis n’a pas encore été publié, mais Le Moniteur vous dévoile ce qu'il devrait contenir...
Il y a 3 ans et 152 jours

L'Institut français de la mode rajeunit avec un nouveau campus dans Paris

ARCHITECTURE. Au bord de la Seine, l'institution représentative du secteur de la mode dans l'enseignement se renouvelle avec un programme de réhabilitation et de réaménagement intérieur. Un projet qui donne plus de chaleur et de luminosité à un bâtiment typiquement industriel.
Il y a 3 ans et 153 jours

L’impact de la sécheresse sur les bâtiments en forte augmentation avec un coût de 14 milliards d’euros en 30 ans

Leur coût annuel moyen a quadruplé entre la période 2001-2015 et 2016-2020 et ils représentent sur les 30 dernières années plus du tiers des sinistres tous périls. Le cabinet d’expertise Saretec livre une radiographie inédite de ce phénomène reposant sur l’analyse de plusieurs milliers de rapports et de déclarations de sinistres.Ces dernières années, la France a connu plusieurs épisodes exceptionnels de sécheresse avec des périodes estivales capitalisant des déficits de précipitation et de fortes chaleurs. L’alternance de ces périodes très sèches en été et de réhydratation des sols le reste de l’année entraine des phénomènes de retrait-gonflement des argiles (RGA) jusqu’à 1,5 mètre de profondeur. Le manque d’eau induit le retrait des argiles et cette perte de volume provoque des mouvements différentiels entrainant des affaissements de sol sous les fondations et les dallages des bâtiments. De nombreux désordres apparaissent, avec notamment des fissures sur les murs et sur les sols, ou encore des affaissements de dallage. D’autres dommages indirects peuvent également apparaitre à la suite de ruptures de canalisations enterrées.Des sinistres coûteux et croissants, amplifiés pour le réchauffement climatiqueDeuxième poste d’indemnisation après les inondations, ces phénomènes sont passés d’un coût annuel moyen de 231 millions d’euros sur la période 2001-2015 à 885 millions d’euros sur la période 2016-2020. En cumulé, sur la période allant de 1982 à 2019, 8.000 communes françaises ont été reconnues au moins une fois en état de catastrophe naturelle pour le phénomène de sécheresse, pour un coût représentant 13,8 milliards d’euros, soit 36% des sinistres tous périls.Les données de Saretec font ressortir que, sur ces 5 dernières années, les arrétés sécheresses ont majoritairement touché les territoires centraux (Puy-de-Dôme, Cher) et l’est de la France (Moselle, Meurthe-et-Moselle). En 2016 et 2017, les sinistres ont par contre majoritairement été localisés dans le sud (pourtour méditerranéen, Gironde, Dordogne).85% des désordres non imputables à la sécheresseLes désordres liés à la sécheresse sont majoritairement des fissures et des affaissements. Selon les données de Saretec, ces désordres apparaissent principalement sur les façades (à 45%) à l’extérieur d’un bâtiment et sur les murs (34%) et sols (24%) à l’intérieur. Les façades est et sud, plus exposées au soleil et aux variations de températures, sont également les plus touchées. Les fissures en escalier ou en forme de sifflet sont les plus symptomatiques d’un retrait-gonflement des argiles.Ces désordres peuvent néanmoins être provoqués par d’autres phénomènes non garantis : des fortes chaleurs provoquant des déformations des matériaux de construction (ossatures métalliques ou charpentes en bois par exemple), des fuites de canalisation provoquant un mouvement de tassement différentiel non imputable à la sécheresse, une transformation du bâtiment impliquant de nouvelles charges mal supportées par la structure… Ainsi, 85% des fissures ou affaissements ne sont pas imputables à la sécheresses et ne relèvent pas du régime d’indemnisation des catastrophes naturelles.Pour les missions garanties, les fissures sont traitées dans 54% des cas, dans 23% il y a réparation des fondations ou des structures aériennes et dans 21% des cas des fondations spéciales sont créées pour stabiliser les sols.Les maisons individuelles principalement concernéesReprésentant 56 % des résidences principales françaises, les maisons sont sur- représentées selon les données de Saretec. 90 % des bâtiments concernés par la sécheresse sont en effet des logements individuels. Les désordres observés sur ce type d’habitation nécessitent entre 4.000 et 5.000 € de réparation et de mise en place de mesures conservatoires, loin derrière les corps de ferme et granges représentant un coût moyen de 12.000 €.Par ailleurs, dans plus de la moitié des cas de sécheresse (55%), les désordres provoqués par le phénomène de retrait-gonflement des argiles sont observables dans le voisinage immédiat ou plus lointain.
Il y a 3 ans et 158 jours

L’emploi & la formation / Nouveaux métiers du bâtiment intelligent et de la transition énergétique

De nouveaux métiers techniques de la transition font leur apparition au fil des années, cependant certaines filières ont des difficultés à remplir les classes par méconnaissance des métiers. A titre d’exemple, le nombre d’employés dans le domaine des pompes à chaleur en France est de 20 000, l’objectif est de doubler ce chiffre dans les 10 prochaines années… Avec : Rémi Christin, Directeur de IET Lyon Olivier Dekens, Pilote GT Attractivité Métiers à l’AFPAC Toutes les vidéos de BePositive 2021
Il y a 3 ans et 159 jours

Pour verdir la France, il faut penser à la chaleur renouvelable, appelle la filière

Il faut s'attaquer au chauffage, "car c'est là qu'est le CO2 ! Et donc, en privilégiant le bois, la géothermie, le solaire thermique et la valorisation des déchets... selon les acteurs de la filière.
Il y a 3 ans et 159 jours

Energie dans le bâtiment : quelle place pour les réseaux de chaleur et les EnRR ?

Le moteur de calcul de la RE 2020 dévalorise l’eau chaude solaire. La future réglementation est d’une complexité inouïe et comporte encore des bugs. … En France les besoins de chaleur représentent 80% des besoins énergétiques, la chaleur renouvelable a un potentiel énorme…   Avec : Véra Drouhet, Chargée de missions ENR, ALEC Lyon / Richard Loyen, Délégué Général, ENERPLAN / Olivier Morgand, Chef de projets énergie, Métropole de Lyon Toutes les vidéos de BePositive 2021
Il y a 3 ans et 159 jours

Covivio s’engage pour la diminution de ses émissions de gaz à effet de serre

Pour Christophe Kullmann, Directeur Général, Covivio : « Le développement durable fait partie intégrante de l’ADN et de la stratégie de Covivio depuis plus de 10 ans et nos performances RSE sont largement saluées par les agences de notation extra-financière. Face à des enjeux environnementaux et climatiques toujours plus cruciaux, nous mettons en œuvre une trajectoire carbone ambitieuse, qui a pour objectif de faire de Covivio une référence en matière d’immobilier bas carbone. »Covivio a très tôt initié une démarche volontariste de réduction de son empreinte carbone. Dès 2018, une 1ère trajectoire, compatible avec le scénario 2°C de l’Accord de Paris, avait été approuvée par l’initiative Science Based Target (SBTi). A fin 2020, Covivio avait déjà diminué ses émissions de -20% par rapport à 2010. En avance sur ses objectifs, l’entreprise accélère sa transition et relève le niveau de ses ambitions pour atteindre -40% de réduction des émissions de gaz à effet de serre d’ici 2030 (objectif précédemment fixé à -34%).Cet objectif, qui concerne l’ensemble des scopes 1, 2 et 3, couvre l’intégralité des activités de Covivio en Europe (bureaux, résidentiel, hôtels) et la totalité du cycle de vie des actifs : matériaux, construction, restructuration et exploitation. De surcroît, Covivio vise le Net Zero Carbon dès 2030 sur ses scopes 1 et 2.Pour Jean-Eric Fournier, Directeur du Développement Durable, Covivio : « Cette trajectoire carbone repose sur un plan d’actions pertinent intégrant l’ensemble des scopes : nous avons mis un point d’honneur à ce qu’elle englobe tous nos pays d’implantation et tous nos produits, et prenne en compte la partie construction et matériaux. Nous allons utiliser tous les leviers possibles afin de relever les défis que nous nous sommes fixés. »Comment atteindre ces objectifs ?Privilégier la rénovation et lutter contre l’étalement urbain : aujourd’hui, plus de 50% des nouvelles opérations de Covivio portent sur des restructurations d’immeubles existants, avec un objectif de « zéro artificialisation nette », voire de désartificialisation, pour favoriser la biodiversité, séquestrer du carbone, et lutter contre l’effet d’ilot de chaleur urbain (100% des nouveaux projets bureaux bénéficient d’espaces verts). En couplant la réutilisation du bâti, et l’économie circulaire, l’utilisation de matériaux durables et l’installation d’équipements performants pour une gestion efficiente des bâtiments, les émissions de gaz à effet de serre sont réduites sur tout le cycle de vie de l’actif.S’engager pour la construction bas-carbone à l’échelle européenne : Covivio a fait rédiger par le CSTB un cahier des charges ACV (Analyse du Cycle de Vie) qui permet de favoriser la démarche de construction bas carbone au sein du groupe, en s’appuyant sur l’expérience française de réalisations labellisées BBCA. L’immeuble Thaïs à Levallois-Perret a ainsi été le premier immeuble Covivio labelisé, dès 2017. Fiabiliser la mesure de l’empreinte carbone des opérations est une étape clé qui permettra d’atteindre la trajectoire 1,5°C.Se doter de nouveaux outils : deux outils développés en 2020 avec le concours du CSTB permettent de suivre les performances réelles du portefeuille par rapport à la trajectoire 2°C. Le premier porte sur la construction et la rénovation, sous la forme d’une « ACV Express » qui permet de mesurer les impacts du choix des matériaux et techniques constructives sur le bilan carbone d’une opération, en phase amont du projet. Le second couvre la phase exploitation et permet de calculer l’impact financier et carbone des actions d’efficacité énergétique conduites sur le portefeuille.Promouvoir le recours aux énergies renouvelables : Covivio installe des équipements adaptés sur les projets de développement (photovoltaïque, géothermie, etc.) et vise d’ici 2030 un approvisionnement en électricité renouvelable pour 100% de ses actifs tertiaires directement gérés (61% à fin 2020), en plus de sensibiliser ses locataires à cet enjeu pour les parties privatives.Avec une politique d’achats responsables déployée à partir de 2011 auprès de ses fournisseurs et une stratégie partenariale forte avec ses locataires, Covivio mobilise l’ensemble de la chaîne d’acteurs pour réussir, ensemble, la transition climatique.Enfin, en s’impliquant dans des initiatives telles que l’Alliance HQE-GBC, BBCA, SEKOYA ou le Hub des Prescripteurs bas carbone, Covivio renforce son expertise en matière de construction et de gestion bas carbone, lui permettant de conforter sa vision à 10 ans.Applications concrètes sur le développement de nos projetsStream Building – Paris 17ème :Un immeuble de 15 700 m² sur 8 étages avec bureaux, hôtel, commerces et un rooftop Un projet réversible conçu pour un écosystème constructif recyclable et durableUne architecture signée PCA-Stream et en co-promotion avec HinesoUn immeuble référence en matière d’innovations environnementale :Une construction bois/béton, qui optimise son empreinte carbone et soutient les filières économiques localesUn volume de bois de 3 500 m3 permettant de stocker environ 3 500 tonnes de CO2Un coût énergétique pour l’ensemble de son cycle de vie inférieur à tous les autres matériaux de construction : 2 fois inférieur au béton, 5 fois inférieur au ciment et 130 fois inférieur à l’acier500 m² de panneaux photovoltaïques en toiture, à haute efficacité, permettant de produire environ 60MWh d’électricité par anTerrasse et murs végétalisésLabels et certifications : BBCA, Effinergie+, HQE tertiaire Exceptionnel, BREEAM Excellent, CPEDD, E+C-Noème – Bordeaux Lac :Redéveloppement de l’ancien siège d’IBM en un quartier urbain de 45 000 m²Une mixité d’usages résidentiels répartie en 6 îlots aux modes d’habitats différents (700 logements) : résidence service seniors, résidence de coliving et logements familiauxPlus de 33 000 m² d’espaces paysagers : 60% d’espaces extérieurs et 40% en pleine terre > reconquête des espaces après déconstruction de l’existant et plantation de 240 arbresAmplification de la biodiversité : plantes indigènes, valorisation des déchets verts, compost, ruches…Un projet aux modes constructifs vertueux : béton décarbonné sur l’ensemble du quartier, constructions mixte bois, espaces extérieurs ou bardage en bois, construction en terre crueRéemploi des matériaux de la démolition dans les futures constructionsRecours à des matériaux biosourcés et géosourcés : isolant de façade en fibre de bois, cloisons intérieures du socle actif en brique de terre crue, façades en Mur à Ossature Bois…Matérialité en circuit court : cheminements collectifs en granit du Tarn, terrasses collectives en cale bordelaise, parvis des commerces en grès de Gascogne, terrasses privatives platelage bois, pin des LandesAu-delà de la trajectoire carbone, la stratégie RSE de Covivio dans son ensemble est reconnue par les principales agences de notation, accédez ici au dernier communiqué de presse.
Il y a 3 ans et 160 jours

BePOSITIVE 2021 : le programme est connu !

BePOSITIVE 2021 va aborder thématiques phares : la massification de la rénovation énergétique, les réseaux de chaleur et de froid et la digitalisation de l’énergie. Cette nouvelle édition sera rythmée par de nombreux temps forts et moments d’échanges, parmi eux, la tenue du concours de l’innovation EnergieSprong et une exposition de solutions innovantes pour massifier les rénovations « zéro énergie garantie » et un cycle de conférences sur l’industrialisation de la construction et de la rénovation au service de la transition écologique, en lien avec le mouvement Hors Site. Le plateau TV Bati-Journal se tiendra durant les 3 jours du salon. Chaque jour, des tables rondes sur les grandes tendances et actualités des filières énergie et bâtiment seront organisées. Animées par Stéphane Miget, rédacteur en chef de Planète Bâtiment, ces émissions rassembleront les professionnels de la filière pour échanger et débattre sur les enjeux du secteur. Les thématiques du réemploi, de l’innovation, des matériaux biosourcés, de la mobilité ou encore de la sécurité sanitaire, entre autres, seront abordées.  https://www.bepositive-events.com/fr/les-ateliers-thematiques  
Il y a 3 ans et 160 jours

Cheminées Poujoulat au salon BePOSITIVE du 14 au 16 décembre à Lyon

Partenaire du Salon BePOSTIVE, Cheminées Poujoulat sera également présent en tant qu'exposant à Lyon du 14 au 16 décembre 2021 stand 2.1J40. Cet événement dédié à la transition énergétique sera l'occasion d'échanger sur une actualité riche : la RE2020 bien sûr et les réponses que Cheminées Poujoulat peut apporter aux professionnels.Des solutions pour la performance énergétiqueLa gamme de récupération et de distribution d'air chaud AIRWOOD pour la maison individuelle ainsi que DUALIS EI pour les chaudières à granulés sont deux des solutions Cheminées Poujoulat compatibles avec les objectifs de la nouvelle RE2020 qui s'apprête à redistribuer les cartes du jeu énergétique.Le plein de nouveautés pour personnaliser et aménagerMarque de fabrique de Cheminées Poujoulat, la personnalisation sera également à l'honneur avec notamment la toute nouvelle version de l'Habillage ventilé des conduits de cheminée DESIGN'UP, ou encore la marque de design d'extérieur OUTSTEEL pour l'habillage des pompes à chaleur et climatisation.Rendez-vous sur le stand 2.1J40 pour les découvrir !Salon BePositiveDu 14 au 16 décembre 2021EUREXPO Lyon
Il y a 3 ans et 166 jours

Chaleur Renouvelable : DualSun, inventeur du solaire hybride, triple sa capacité de production

Spring, le panneau solaire hybride de DualSun est installé sur plus de 4200 sites. Face à la demande croissante, l’entreprise inaugure une nouvelle ligne de production à Jujurieux dans l’Ain.
Il y a 3 ans et 167 jours

Chaleur renouvelable : couvrir 100% des besoins de chaleur annuels par le solaire thermique

Le suisse Jenni Energietechnik développe, fabrique et installe des solutions solaires thermiques assurant la couverture de 100% des besoins de chaleur annuels en maison individuelle ou en collectif
Il y a 3 ans et 167 jours

Homeserve se densifie dans l'installation de pompes à chaleur

ACQUISITION. HomeServe, spécialiste des réparations, des travaux et de l'entretien de la maison, vient de racheter JCM Confort, un expert du chauffage et des énergies renouvelables implanté dans le Maine-et-Loire.
Il y a 3 ans et 170 jours

BOSCH PROFESSIONAL – Nouvelle gamme d’accessoires EXPERT : Des technologies avancées pour une longue durée de vie, une plus grande résistance et plus de rapidité

La gamme d’accessoires EXPERT : Des performances Optimales Les professionnels du bâtiment obtiennent de meilleurs résultats lorsqu’ils associent des outils performants à des accessoires innovants. Mais de nombreux utilisateurs ne savent pas toujours à quel point ils peuvent augmenter leur productivité grâce aux accessoires qu’ils choisissent. Les nouveaux accessoires Bosch de la gamme EXPERT offrent aux professionnels des performances maximales, quels que soient leurs travaux, et durent plus longtemps. Bénéficiant des dernières technologies avancées, ils garantissent le meilleur, même pour des applications difficiles. Parmi les dernières nouveautés, Bosch lance le foret Expert HEX-9 HardCeramic pour les carrelages durs, la lame de scie sabre Expert Thick Tough Metal pour la découpe de métal épais, la lame de scie sauteuse Expert Hardwood fast pour le travail du bois et le disque à tronçonner X-Lock Expert Diamond Metal Wheel pour la coupe de métal. Nouveau Foret Expert HEX-9 HardCeramic Une nouvelle façon de percer les carrelages durs L’augmentation de la taille et de la dureté des carrelages rend leur perçage très délicat. C’est pourquoi Bosch a développé le foret Expert HEX-9 HardCeramic. Il a été spécialement conçu pour percer les carrelages durs, tels que le grès cérame, mais aussi les tuiles, les tuiles en pierre naturelle et le verre non trempé, sans lubrifiant, ni refroidissement. Bénéficiant de la technologie au carbure, le foret est  extrêmement résistant. Il offre une durée de vie jusqu’à 10 fois plus longue que les forets pour carrelage actuels à pointe carbure, et une progression de forage beaucoup plus rapide. Issu du savoir-faire Bosch, la pointe en carbure haute performance à facettes multiples (brevet) coupe la céramique dure plus efficacement que les arêtes de coupe plates. Une conception asymétrique des angles permet de pénétrer à l’intérieur des matériaux durs plus facilement. Cette pointe de centrage permet ainsi une amorce de perçage précise, minimise les frottements et la chaleur, et augmente la progression du perçage. L’emmanchement hexagonal du foret Expert HEX-9 HardCeramic permet un transfert de puissance maximal sur les mandrins à trois mors standards. Il peut être utilisé avec une perceuse-visseuse mais aussi une perceuse-visseuse à percussion. La gamme comprend 8 tailles de forets avec des diamètres de 3 à 12 mm pour couvrir toutes les applications courantes. Nouvelle Lame de scie sabre Expert Thick Tough Metal Une durée de vie jusqu’à 100 fois plus longue   La lame de scie sabre EXPERT Thick Tough Metal Bosch est parfaite pour couper le métal épais, comme des profilés en acier ou des tuyaux en fonte lourds. Elle bénéficie de la technologie carbure Bosch et d’un nouveau revêtement supplémentaire qui lui confère une longévité exceptionnelle même pour les applications les plus exigeantes telles que le démantèlement de voitures, de navires, d’usines… En effet, chacune des dents en carbure, soudées individuellement sur un corps épais et robuste, est revêtue de PVD (Physical Vapor Deposition). Ce revêtement rend le carbure encore plus résistant, double la durée de vie de la lame et apporte aux dents encore plus de dureté et de résistance à l’usure. Endurante, la lame dure ainsi jusqu’à 100 fois plus longtemps qu’une lame bimétal traditionnelle. La lame de scie sabre EXPERT Thick Tough Metal reste flexible et résiste aux forces de flexion et de torsion, typiques des applications de démolition. Enfin, de grande largeur, elle permet des coupes précises et droites, et son épaisseur assure plus de stabilité. La lame EXPERT Thick Tough Metal est disponible en longueurs 100, 150, 225 et 300 mm et convient à toutes les scies sabres avec des emmanchements S. Nouvelle Lame de scie sauteuse Expert Hardwood Fast Une coupe encore plus rapide Haute performance, la nouvelle lame de scie sauteuse EXPERT Hardwood Fast Bosch assure des coupes nettes et précises sur les bois durs et les bois composite, mais aussi les panneaux agglomérés, les plaques de plâtres et les panneaux de fibres. Grâce à la technologie carbure Bosch, elle profite d’une longévité jusqu’à 50 fois plus élevée qu’une lame en acier HCS. De plus, sa conception a été optimisée. Ses dents tranchantes en carbure, produites par un meulage en biseau supérieur, et son corps de lame conique assurent une coupe encore plus rapide. Par ailleurs, son pas de denture progressif permet de couper des matériaux de toutes épaisseurs. La lame EXPERT Hardwood Fast convient à toutes les scies sauteuses à emmanchement T. Nouveau disque à tronçonner X-LOCK Expert Diamond Metal Wheel Incassable, indéformable et ultra résistant   Bosch a révolutionné le changement d’accessoires sur les meuleuses angulaires avec son système X-LOCK, le plus simple du marché. Ce support de fixation innovant permet de changer en 2 secondes le disque, sans outil, en actionnant simplement un levier situé à l’avant de la machine. Celui-ci déverrouille le disque en un clic. Il suffit ensuite de replacer un nouveau disque, d’appuyer sur le support X-Lock pour l’enclipser. Parmi les nombreux accessoires X-LOCK, Bosch lance un nouveau disque à tronçonner l’EXPERT Diamond Metal Wheel, pour optimiser le travail dans le métal, la fonte, l’acier inoxydable ou encore le cuivre. Parfait pour les petites meuleuses angulaires, ce nouveau disque X-LOCK offre une durée de vie jusqu’à 100 fois plus longue grâce à la technologie Diamant de Bosch. Le corps en acier du disque a été optimisé pour assurer une vitesse et une profondeur de coupe constantes. Doté d’ouvertures de refroidissement, il ne se déforme pas avec la chaleur. La combinaison de ce corps et de grains de diamants, de haute qualité brasés sur le corps, offre une résistance maximale à l’usure et augmente les performances de coupe. Le disque EXPERT Diamond Metal Wheel permet de travailler dans un environnement plus sain, car avec la technologie Diamant, le disque ne dégage pas d’odeur et ne brûle pas pendant la découpe, contrairement aux disques agglomérés. Enfin, d’une grande robustesse, le disque est incassable et résiste parfaitement aux chutes. Le disque à tronçonner X-LOCK EXPERT Diamond Metal Wheel existe en diamètre 115 et 125 mm et se monte aussi sur les meuleuses classiques à emmanchement M14.
Il y a 3 ans et 171 jours

Chaleur Renouvelable : le solaire thermique est loin d'avoir dit son dernier mot

Dans l’industrie et pour le chauffage urbain, il est possible de couvrir 100% des besoins de chaleur annuel en associant solaire thermique et stockage saisonnier.
Il y a 3 ans et 173 jours

Le nouveau CM Connect d’Alfa Laval digitalise les process hygiéniques

  Le nouveau système de surveillance connecté CM Connect d’Alfa Laval permet d’accéder à distance aux données des équipements rotatifs. Avec sa connection au Cloud et son fonctionnement par abonnement, il marque une nouvelle étape vers la numérisation des données pour stimuler l’innovation et la croissance des clients dans les applications hygiéniques. Les données sur le temps de fonctionnement, l’analyse des tendances et le délai avant le prochain entretien aident les opérateurs d’usine à prendre des décisions éclairées sur la maintenance, depuis n’importe quel appareil connecté. Cela permet de protéger la continuité des process et les actifs critiques, d’améliorer la sécurité sur le lieu de travail et d’obtenir un avantage concurrentiel, tout en économisant du temps et de l’argent. Maximiser l’efficacité de l’usine, minimiser les temps d’arrêt non planifiés Alors que l’industrie 4.0 évolue, CM Connect constitue une nouvelle étape naturelle dans le parcours de numérisation du client en élargissant la gamme de solutions de surveillance d’Alfa Laval. Grâce à une visibilité sur tous les actifs connectés, les opérateurs de l’usine peuvent détecter les problèmes impactant les performances, prévenir les temps d’arrêt non planifiés et améliorer la gestion des actifs. Agissant comme une passerelle via Bluetooth, CM Connect peut relier jusqu’à 10 moniteurs de vibrations sans fil CM Alfa Laval. Il transmet ensuite les données sur un réseau 4G vers le Cloud pour examen et analyse sur un tableau de bord intuitif et convivial. Notifications avancées en temps réel Une analyse avancée des vibrations de l’équipement permet de détecter tout écart par rapport aux seuils prédéfinis. En cas d’écart, un SMS ou un e-mail prévient les utilisateurs, qui peuvent prendre des mesures en temps réel en fonction de l’analyse des données. « Concentrez-vous sur l’important. CM Connect permet aux opérateurs d’usine de planifier et de prioriser la maintenance en se basant sur des données concrètes », déclare John Walker, responsable du portefeuille des pompes chez Alfa Laval. « Plutôt que de remplacer les pièces d’usure avant la fin de leur durée de vie effective, les opérateurs peuvent consacrer du temps et de l’argent au moment et à l’endroit où la maintenance est nécessaire. » En plus de relier les systèmes de surveillance de vibrations CM, CM Connect peut également servir de capteur. Il mesure les vibrations, la température interne et le temps de fonctionnement total lorsqu’il est monté sur les pompes Alfa Laval LKH, SRU, SX et DuraCirc, ou sur d’autres machines rotatives, telles que les agitateurs ou les mélangeurs. Vers une numérisation renforcée Dans le cadre de son engagement à se positionner comme pionnière de la transformation numérique dans les applications hygiéniques, Alfa Laval explore et développe des solutions industrielles 4.0 pour renforcer l’avantage concurrentiel des clients. Pour en savoir plus, rendez-vous sur www.alfalaval.fr/cmconnect.   Pour plus d’informations, merci de contacter : Virginie Nordmann Marketing & Communication Manager, Alfa Laval virginie.nordmann@alfalaval.com Tel : +33469167646   Nous sommes Alfa Laval Alfa Laval est actif dans les domaines de l’énergie, de la marine, ainsi que l’alimentation et l’eau, offrant son savoir-faire, ses produits et ses services à un large éventail d’industries dans une centaine de pays. L’entreprise s’engage à optimiser les processus, à créer une croissance responsable et à favoriser le progrès – en allant toujours plus loin pour aider ses clients à atteindre leurs objectifs professionnels et de développement durable. Les technologies innovantes d’Alfa Laval sont dédiées à la purification, au raffinage et à la réutilisation des matériaux, favorisant ainsi une utilisation plus responsable des ressources naturelles. Elles contribuent à augmenter l’efficacité énergétique et la récupération de la chaleur, à améliorer le traitement de l’eau et à réduire les émissions. Alfa Laval accélère ainsi non seulement le succès pour ses clients, mais aussi pour les personnes et la planète. Pour rendre le monde meilleur, chaque jour. C’est tout cela, Advancing better. Alfa Laval compte 16 700 salariés. Ses ventes en 2020 se sont élevées à environ 4 milliards d’euros. La société Alfa Laval est cotée en bourse au Nasdaq OMX. www.alfalaval.fr 
Il y a 3 ans et 174 jours

La semaine de la chaleur renouvelable aura lieu à Paris les 7 et 8 décembre

Les bénéfices, l’ingénierie et le financement du solaire thermique, de la biomasse, de la géothermie, des réseaux de chaleur et de froid, … pour différents usages et utilisateurs seront examinés.
Il y a 3 ans et 174 jours

Chaleur renouvelable : nouvelle chaufferie biomasse de 14 MW sur le réseau de chaleur de Compiègne

Dès Mars 2022, le réseau de chaleur de Compiègne sera alimenté à 65% par de la biomasse, grâce à une nouvelle chaufferie en cours d’achèvement, principalement alimentée par des palettes broyées.
Il y a 3 ans et 177 jours

PVG met en ligne une nouvelle plateforme SAV dédiée aux particuliers, distributeurs et sous-traitants

Spécialiste du climat intérieur, le groupe PVG vient de lancer sa plateforme de service après-vente (SAV). Celle-ci est structurée autour de trois portails, accessibles depuis Qlima.fr rubrique Aide & Service : un pour les particuliers, un pour les magasins et un pour les sous-traitants (réparateurs, installateurs poseurs). Les marques Qlima (leader du groupe), Tectro, Eurostove, Webber… sont toutes représentées. Efficacité et rapidité sont les atouts maîtres de la plateforme digitale, qui accélère les échanges entre chaque intervenant du SAV afin de satisfaire au mieux les attentes du client. Pour Luc Dehais, directeur commercial France de PVG, le nouvel outil numérique du groupe fait notablement progresser le SAV : « En offrant la possibilité de partager l’information et d’en accélérer les flux, tout en évitant les goulots d’étranglement spécifiques aux mails et au téléphone, cette plateforme digitale renouvelle la notion même de SAV. »   Le portail « particulier » allège les démarches du client Le client peut suivre en ligne sur le portail « particulier » https://pvg-portail-client.dotsoft.fr/ son dossier SAV, dans le cadre de la panne d’un appareil PVG (Qlima, Tectro, Webber…) pendant la période de garantie. En outre, lors de l’achat d’une pompe à chaleur ou d’un poêle à granulés, le portail lui sert à prendre rendez-vous pour la mise en service ou l’installation complète de l’appareil. Grâce à l’actualisation en temps réel de la plateforme, le consommateur sait exactement à quel stade en est sa demande. Le portail « particulier » facilite ainsi les démarches et améliore la satisfaction du client. Le portail « revendeur » facilite les échanges entre les points de vente et PVG Les magasins physiques utilisent le portail « revendeur » https://pvg-portail.dotsoft.fr afin d’obtenir un accord de retour pour une demande SAV et l’ouverture d’un dossier SAV pour un particulier : le magasin crée un dossier sur la plateforme et communique le numéro de suivi au client. PVG est alors automatiquement informé de la création du nouveau dossier. De son côté, le client peut suivre l’état de sa  demande en se servant du numéro qui lui a été attribué. Le revendeur suit en temps réel le dossier SAV, le dossier de mise en service ou d’installation d’un appareil. Outre le gain de temps, le portail « revendeur » permet de diminuer les risques d’erreurs et de dossiers incomplets, tout en améliorant l’efficacité et le temps de traitement d’une demande. Le portail « sous-traitant » fait gagner du temps aux réparateurs et aux installateurs Le portail https://pvg-portail.st.dotsoft.fr/ s’adresse aux stations de réparation agréées et aux artisans installateurs partenaires de PVG.  Il leur permet de recevoir les ordres de réparation des appareils sous garantie dans le cadre d’un dossier SAV et de demander des pièces de rechange à PVG. Ce portail facilite les échanges et évite la déperdition d’informations en limitant les envois de mails et les appels téléphoniques. Toutes les données d’un dossier SAV sont centralisées, chaque partie possédant un accès afin de suivre l’évolution de la prise en charge. Une offre complète avec un service de pièces détachées en ligne Pour compléter son offre, PVG met également à la disposition des clients sa nouvelle plateforme en ligne PVGshop.fr qui fournit les pièces de rechange de ses appareils de chauffage, climatisation et traitement de l’air qui ne sont plus sous garantie. Cela permet au particulier de profiter le plus longtemps possible de son produit, sans avoir à le remplacer, et aux points de vente de fidéliser leur clientèle en les orientant vers un service en ligne de pièces détachées. Le bénéfice est double : aucune dépense superflue et une moindre empreinte carbone pour l’environnement.
Il y a 3 ans et 178 jours

Strasbourg : bientôt la fin du chantier au niveau du pont Royal

À Strasbourg, le réseau de chaleur continue sa progression. Des travaux sont en cours au niveau du pont Royal.
Il y a 3 ans et 179 jours

Strasbourg : extension du réseau de chaleur vers Schiltigheim

Des travaux d’extension du réseau de chaleur vers Schiltigheim sont en cours. La première phase s’étalera jusqu’en janvier 2022.
Il y a 3 ans et 180 jours

Contre le réchauffement, l'agriculture française expérimente des "parasols" mobiles

"Une ombrière c'est comme quand un humain a chaud et qu'il prend un parasol pour s'abriter de la chaleur. Donc la vigne on la protège d'une grosse partie des gros coups de chaud" pour garder le même cycle de mâturation du raisin qu'il y a dix ans, explique Gautier Hugues au milieu de ses vignes, dans la terre rouge des collines provençales, à Rians (Var)."Depuis dix ans, chaque année est pire. Aussi bien au niveau du froid de printemps que des périodes de forte chaleur sans pluie", raconte ce fils d'agriculteur.Le constat du vigneron rejoint celui des scientifiques. Le bassin méditerranéen dans son ensemble se réchauffe 20% plus vite que le reste du monde, selon un rapport du réseau des experts méditerranéens sur le climat et le changement environnemental (MedECC)."Les extrêmes climatiques sont une menace pour le secteur agricole. Le rendement des récoltes devrait baisser dans les décennies à venir dans la plupart des zones actuelles de production (...) si aucune adaptation n'a lieu", souligne le rapport.Gautier Hugues a donc décidé de placer des panneaux photovoltaïques coulissants au-dessus d'une petite parcelle de vigne et s'en montre satisfait. A côté, une parcelle témoin sans ombrière montre une vigne moins vigoureuse.L'électricité produite par les panneaux est revendue au réseau, ce qui assure le paiement de l'installation. L'équilibre à trouver est complexe car une plante a besoin du soleil pour produire fleurs et fruits."Si vous donnez de l'ombre à une plante qui n'en n'a pas besoin c'est la catastrophe", relève Christian Davico-Pahin, un horticulteur qui a fondé Ombrea fin 2016 après avoir perdu un quart de sa récolte sur un "coup de chaud".L'entreprise, qui emploie une quarantaine de salariés à Aix-en-Provence (Bouches-du-Rhône) a placé des capteurs dans la vigne pour mesurer humidité, vitesse du vent, luminosité, état du sol... Toutes les 15 à 20 secondes, ces masses de données - 16 millions sur un an - sont transmises à un logiciel "qui, en les analysant, va piloter à distance les panneaux de manière à recréer un microclimat idéal", affirme M. Davico-Pahin.Raisins, pommes et tomatesToujours en Provence, au coeur d'un des principaux bassins de production de pommes et poires en France, la station d'expérimentation agricole La Pugère teste depuis 2019 des ombrières mobiles sur un verger de pommiers de 700 m2 avec la société de production d'énergie Sun'R."Lors des périodes caniculaires, on a jusqu'à quatre degrés de moins sur le feuillage, donc on réduit le risque de brûlure sur la feuille et le fruit", relève Vincent Lesniak, chargé d'étude à La Pugère."On étudie d'abord le comportement que ça peut avoir sur le végétal avant de se dire que ça devient un modèle économique viable, aussi bien pour le producteur d'énergie que pour le producteur agricole", souligne M. Lesniak.Car si les ombrières mobiles permettent de limiter l'évaporation des eaux de pluie et de réduire les besoins en irrigation, l'humidité supplémentaire peut aussi parfois augmenter les risques de champignons.Sur la dizaine d'expérimentations actuellement menées en France, pays dans "le peloton de tête sur les ombrières mobiles, il y a encore des inconnues et nous ne sommes pas sûrs de tous les bénéfices", relève Nicolas Tonnet, spécialiste énergie et innovation à l'Agence de la transition écologique (Ademe), l'établissement public encadrant ces développements.D'où le lancement de quelque 70 nouveaux projets qui devraient être suivis sur plusieurs années par l'Ademe."Dans des zones où l'ensoleillement est de plus en plus fort, cet ombrage peut être intéressant pour la vigne, pour les tomates ou en arboriculture", relève Nicolas Tonnet, mais dans d'autres, manquant de luminosité, cela peut avoir des conséquences "négatives".D'où la vigilance de l'Ademe pour que la course à l'énergie renouvelable ne grignote pas des terrains agricoles, déjà mités par l'urbanisation.
Il y a 3 ans et 180 jours

Résultats des prix de l’innovation territoriale 2021

Du 16 au 18 novembre 2021, s’est tenu le salon des maires et des collectivités locales aux parc des expositions de Paris. Pendant le salon, les prix de l’innovation territoriale 2020 – 2021 ont été décernés. Voici la liste des lauréats dans chacune des catégories : Transition énergétique : Qarnot Computing (Chaudière numérique) La chaudière Qarnot utilise des microprocesseurs comme source de chaleur. La chaleur produite lors de l’exécution de calculs informatiques permet de chauffer gratuitement et durablement des bâtiments. Une fois les QB•1 installés, Qarnot prend en charge l’électricité consommée par les chaudières, la maintenance et le remplacement. Transition environnementale : So Ethic ! (Pots de plantation biodégradable) Infrastructures et mobilité : Macauto One (Maucato One) Transition numérique : Maïa (Masterchef) Modes de vie – Loisirs et solidarité : Foodles Développement et Management territoriaux : Cerema (Urban Vitaliz) Beta.Gouv (Le marché de l’inclusion) Coup de coeur du Jury : Fédération Nationale des Conseils de Chevaux France Energie Animale (Label Cheval Territorial)
Il y a 3 ans et 181 jours

Les réseaux de chaleur et de froid s’étendent et se densifient trop lentement

La Fedene et le SNCU ont livré l’enquête 2020 sur les réseaux de chaleur et de froid : les progrès sont nets, mais trop lents pour atteindre les buts de la transition énergétique
Il y a 3 ans et 181 jours

Efficacité énergétique, biomasse : une quarantaine de lauréats pour la décarbonation

INDUSTRIE. Plus de quarante nouveaux lauréats viennent d'être annoncés pour les deux appels à projets opérés par l'Ademe sur l'efficacité énergétique des procédés industriels et la chaleur biomasse. Au total, le Gouvernement - via le Plan de relance - s'apprête ainsi à consacrer 758 millions d'euros de soutien à ces projets, qui représentent près de 2 milliards d'investissements.
Il y a 3 ans et 181 jours

La crise du Covid-19 a renforcé la perception de la santé dans le logement

IMMOBILIER. Un sondage OpionWay pour Cogedim montre que les Français se préoccupent de leur santé, y compris au sein de leur domicile. Chaleur, bruit et manque de superficie font partie des problématiques soulevées par les personnes interrogées.
Il y a 3 ans et 181 jours

La biomasse pour verdir Compiègne

La ville de Compiègne a choisi pour verdir 65 % de son réseau de chaleur d’investir dans une chaufferie biomasse de 14 MW. Elle permettra d'éviter l'émission de 12 000 tonnes de CO2 par an.
Il y a 3 ans et 186 jours

Deux entreprises de rénovation énergétique sanctionnées pour démarchage téléphonique

La loi contre le démarchage téléphonique abusif, promulguée en juillet 2020, interdit toute prospection téléphonique pour les travaux de rénovation énergétique, secteur où des entreprises peu scrupuleuses ont profité des subventions publiques pour abuser des ménages.La sanction a été prononcée le 18 octobre par le directeur départemental de la protection des populations d'Ille-et-Vilaine, à l'issue d'une enquête de la DGCCRF, précise dans un communiqué l'organisme relevant du ministère de l'Economie.Almatys et Nrgie Conseil vendent toutes les deux des biens et prestations pour générer des économies d'énergies, comme des pompes à chaleur.Almatys aurait "démarché plusieurs centaines de milliers de consommateurs par voie téléphonique entre octobre et novembre 2020", tandis que Nrgie Conseil est accusée d'avoir "démarché plusieurs dizaines de milliers de consommateurs par voie téléphonique en janvier 2021".En 2020, la Répression des fraudes avait déjà sanctionné 108 démarcheurs pour "non-respect du dispositif d'opposition au démarchage téléphonique", pour un montant total d'amende de 4,3 millions d'euros. "Ce montant a doublé par rapport à l'année 2019 et devrait encore croître en 2021", précise-t-elle.La DGCCRF rappelle également que dans le secteur de la rénovation énergétique, seule une entreprise ayant une relation contractuelle "déjà en cours" avec un consommateur peut le contacter. Les consommateurs qui souhaitent signaler un comportement abusif peuvent le faire sur une plateforme dédiée, SignalConso.Pour les autres secteurs, la loi de juillet 2020 a relevé les sanctions pour démarchage abusif: les amendes administratives peuvent aller jusqu'à 75.000 euros pour les personnes physiques et 375.000 euros pour les entreprises.
Il y a 3 ans et 187 jours

Franciaflex présente ses solution de pilotage des ouvertures de la maison

Un gain de confort sans grands travaux Développés en partenariat avec Delta Dore, leader français de l'électronique embarquée dans les systèmes d'alarme et de régulation de chauffage, le service Well'com® propose des scénarios multiples qui permettent aux produits de communiquer entre eux grâce à divers capteurs. Avec la nouvelle technologie sans fil X3D (protocole radio conçu par Delta Dore), l'offre de solutions de pilotage des équipements de la baie du programme Well'com® permet de moderniser facilement un logement sans grands travaux. Il suffit de relier les équipements filaires existants (éclairage, volets, stores, portes de garage…) à de simples micro-récepteurs pour les rendre pilotables à partir de l'ensemble des points de commande Wellcom®.L'utilisateur a alors toute la liberté de personnaliser son installation : nommer chaque produit ou groupe de produits et scénariser les actions aux heures désirées. Le système est évolutif, et peut s'adapter à de nouveaux besoins (un store qui vient d'être installé, une porte de garage que l'on souhaite désormais automatiser…). Les installations obéissent au doigt et à l'œil pour un confort optimiséUne solution qui participe activement à la sécurité du foyerCôté sécurité des personnes, en cas d'incendie, le détecteur de fumée autonome siffle et ouvre les volets pour préserver les issues et laisser entrer les secours. Concernant la sécurité des biens, les volets s'allient au système d'alarme en se fermant lorsque l'alarme est activée, s'ouvrant en cas d'intrusion pour exposer le cambrioleur à la vue des passants. Avec la technologie Well'com®, il est possible de :Visualiser sur sa télécommande si les ordres de fermetures envoyés sont bien exécutés,Superviser à distance les différents accès de la maison.Simuler une présence en programmant des ouvertures / fermetures des volets, idéal lorsque l'on part en week-end ou en vacances quelques temps.Avec Well'com®, Franciaflex contribue à réduire la facture énergétique de la maisonEn fonction des scenarios en mémoire, les capteurs d'ensoleillement et de température agissent sur l'installation pour déployer les stores avant la surchauffe ou baisser les volets en hiver pour éviter les déperditions de chaleur en interaction avec les consignes de chauffage. Ainsi, l'utilisateur fait des économies d'énergie en toute simplicité.Qwidi, le service connecté dédié aux installateursDans le déploiement de ces nouvelles technologies, Franciaflex a aussi pensé aux installateurs, en lançant « Qwidi » ! Ce service permet de réaliser toutes les opérations de réglage et de maintenance des volets et protections solaires motorisés Well'Com depuis un smartphone ou une tablette. La mise en service de Qwidi s'effectue sans branchement grâce à une application mobile et un boîtier de connexion. L'installateur peut télécharger gratuitement l'application Qwidi sur l'App Store ou Google Play. Une fois le boîtier sous tension, Qwidi se connecte automatiquement à l'application via Bluetooth de manière sécurisée.
Il y a 3 ans et 187 jours

Bardage : un nouveau procédé de fixation

Après avoir réalisé des tests dans son laboratoire de recherche et développement dans le but de pouvoir faciliter la pose de son bardage, la société, James Hardie France propose un nouveau mode de fixation afin d’obtenir un gain de temps sur des chantiers professionnels. Avec sa gamme « Hardie VL Plank » il est maintenant possible de fixer ses lames par clouage sans perte de résistance mécanique dans le temps. Cette fixation apporte un gain de temps de 67%. Conçue pour une performance optimum et adaptée à tout les climats d’Europe, le bardage résiste au gel, à la chaleur et aux variations de température. Les lames sont disponibles en 6 teintes : Gris Ardoise, Blanc Arctique, Sable Clair, Noir Minuit, Gris Anthracite, Brume du matin.
Il y a 3 ans et 188 jours

PAC, isolation des combles... quels sont les travaux les plus efficaces pour réduire les émissions de CO2

Cette étude révèle que, si tous les travaux de rénovation énergétique conduisent à une réduction des émissions de CO2, l'installation d'une pompe à chaleur en remplacement d'un système de chauffage polluant et l'isolation des combles dans les logements chauffés aux énergies fossiles sont les plus efficaces écologiquement. Frédéric Utzmann, président d’Effy : « La rénovation énergétique des logements constitue aujourd’hui un levier essentiel pour atteindre l’objectif de réduction de 40% des émissions de gaz à effet de serre à l’horizon 2030. On le sait, les logements peu performants, en particulier les passoires thermiques, sont à l’origine d’une grande quantité d’émissions de carbone. Ces émissions peuvent être facilement et significativement réduites grâce aux travaux de rénovation énergétique que sont par exemple le remplacement d’un système de chauffage polluant ou bien encore l’isolation des combles dans les logements chauffés aux énergies fossiles. » Travaux de remplacement d’un système de chauffage polluant : la pompe à chaleur n°1 pour réduire les émissions de carboneParmi les chantiers de remplacement d’un système de chauffage polluant, c’est l’installation d’une pompe à chaleur qui permet de réduire le plus efficacement les émissions de CO2.C’est en particulier l’installation d’une pompe à chaleur en remplacement d’une chaudière fioul qui entraîne la plus importante réduction des émissions : 65 tCO2eq évitées sur 17 ans (durée de vie estimée des équipements de chauffage). Le remplacement d’une chaudière fioul par une chaudière à condensation permet quant à lui d’en éviter 38. Travaux d’isolation : l’isolation des combles est la plus efficace pour réduire son empreinte carboneDans une maison non isolée, les travaux d’isolation des combles sont les plus efficaces pour réduire les émissions de carbone, suivi par l’isolation des murs, des fenêtres et des sols.Dans le cas d’un logement chauffé au fioul par exemple, l’isolation des combles permet d’éviter 108 tonnes équivalent CO2 (tCO2eq) sur 50 ans (durée de vie des isolants). L’isolation des murs permets d’en éviter 97, l’isolation des fenêtres 39 et l’isolation des sols 24. Les travaux d’isolation des combles qui ciblent les logements chauffés au gaz naturel ou fioul génèrent les plus grandes quantités d’émissions évitées.
Il y a 3 ans et 191 jours

"Un gros travail à faire" pour développer le chauffage urbain, selon les professionnels du secteur

Sur les 671 térawatt-heures de chaleur produite en 2020 en France, seuls 25 le sont par des réseaux de chaleur, systèmes de production centralisée qui desservent plusieurs usagers grâce à des fluides caloporteurs, selon une étude du Syndicat National du Chauffage Urbain (SNCU).Cette part "stagne" alors que ce mode de chauffage est à plus de 60% produit à partir d'énergies renouvelables contre 23% pour l'ensemble, ont indiqué les représentants du secteur lors de la présentation de l'étude mardi."Il y a un gros travail à faire", a déclaré Aurélie Lehericy, présidente du SNCU, rappelant que l'objectif est de tripler la part des renouvelables (biomasse, géothermie, traitement des déchets) d'ici à 2030.Entre 2019 et 2020, la part des renouvelables a grappillé un petit point, quand le gaz continue d'alimenter plus d'un tiers des réseaux.Plus tôt mardi, lors du décryptage RTE sur les scénarios énergétiques, Thomas Veyrenc, directeur exécutif chargé de la stratégie, a rappelé que le chauffage urbain allait notamment devoir se développer pour abandonner les énergies fossiles.Un quart des réseaux de chaleur, qui représentent 39% des livraisons, n'auront pas le choix puisqu'ils ne respectent pas les normes (RE2020) en matière d'émissions carbone.Les nouveaux bâtiments seront par ailleurs obligés à partir de 2022 d'envisager cette solution ou d'en adopter une "au moins aussi vertueuse", selon Alexandre Dozieres de la direction générale de l'énergie et du climat.Pour atteindre les objectifs, les représentants du secteur estiment qu'il faut décarboner et densifier les réseaux existants mais aussi en créer de nouveaux.Mais l'un des obstacles majeurs selon Nicolas Garnier, délégué général de l'association Amorce, partenaire de l'étude, est le "tropisme" pour l'électricité en France alors que les prix de celle-ci sont volatils.Idem du côté du gaz, dont les cours ont explosé, faisant des réseaux de chaleur la plus compétitive et la plus stable des options, selon l'étude.Selon la Cour des comptes, ces réseaux constituent "une contribution efficace à la transition énergétique insuffisamment exploitée" en France.Pour y remédier, deux mots selon les représentants du secteur: "subventions" et "sensibilisation" des élus et du public.
Il y a 3 ans et 191 jours

La buse de nottoyage PlusClean d’Alfa Laval PlusClean révolutionne le nettoyage des cuves avec une couverture à 100 %

Avec sa nouvelle buse de nettoyage PlusClean®, le portefeuille de produits de nettoyage de cuves d’Alfa Laval fait un pas de géant. La buse PlusClean offre une couverture de nettoyage à 100 % de la cuve, jusqu’à 80 % d’économies en eau et en produits de nettoyage, et garantit l’absence de contamination des produits. Associée à un dispositif de nettoyage monté sur le dessus et à un système de rinçage installé sur la paroi ou sur le fond de la cuve, PlusClean augmente la productivité tout en réduisant le coût total de possession. Pas de zones oubliées, pas de risque de contamination « Lors du processus de nettoyage de cuve, les buses PlusClean d’Alfa Laval ne laissent aucune chance aux contaminants », déclare Janne Pedersen, responsable du portefeuille international des équipements de nettoyage de cuves, Alfa Laval. « Maintenant, la promesse d’un nettoyage optimal des cuves est une promesse réaliste. Pas de zones oubliées et pas de risque de contamination du produit. C’est tout. » Facile à installer, simple à utiliser Grâce à son système de pulvérisation optimisé à fort impact, la buse PlusClean nettoie à 100 % les zones difficiles d’accès que les autres buses de nettoyage ne peuvent pas atteindre. Installée sur la paroi ou du fond de la cuve, la buse de nettoyage est dotée d’une fonction de réglage intégrée révolutionnaire qui facilite l’installation et l’utilisation, pour un nettoyage sans faille même dans les zonnes difficiles d’accès comme sous les pales de l’agitateur. Cela garantit un nettoyage de la cuve complet et inégalé par les autres dispositifs. Avantage concurrentiel Idéale pour les industries pharmaceutique, laitière, alimentaire, des boissons et des soins personnels à domicile, cette buse de nettoyage novatrice vous offre un résultat inégalé et améliore l’efficacité et la sécurité des process ainsi que la qualité des produits. Ceux qui choisissent d’intégrer la buse PlusClean à leurs processus de nettoyage de cuve bénéficient d’une productivité supérieure et d’un avantage concurrentiel. Notre priorité : la durabilité Le développement durable est au cœur des activités d’Alfa Laval, et c’est dans cette optique que la buse PlusClean a été conçue. Cette buse de nettoyage révolutionnaire vous permet de réaliser d’importantes économies d’eau et de produits de nettoyage, réduisant ainsi votre impact sur l’environnement. Pour les applications hygiéniques exigeantes La buse PlusClean d’Alfa Laval est vendue sous la forme d’une buse actionnée par ressort pour le nettoyage des cuves pour process hygiéniques. Une version spéciale à entraînement pneumatique est également disponible. Pour le nettoyage des cuves de process stériles et aseptiquess, nous proposons la buse PlusClean UltraPure d’Alfa Laval, qui est accompagné de la documentation Q-doc d’Alfa Laval pour assurer une traçabilité complète tout au long de la chaîne d’approvisionnement. Découvrez comment la couverture de nettoyage à 100 % de la buse PlusClean d’Alfa Laval augmente le rendement tout en réduisant les coûts. Pour en savoir plus, rendez-vous sur www.alfalaval.com/plusclean. Pour plus d’informations, veuillez contacter les personnes suivantes : Janne Pedersen Responsable du portefeuille mondial, équipements de nettoyage de cuves, Alfa Laval Téléphone : +45 22 77 84 52 E-mail : janne.pedersen@alfalaval.com Marianne Hojby Responsable de la communication marketing chez Alfa Laval Mobile : +45 28 95 44 71 Adresse électronique : marianne.hojby@alfalaval.com Présentation d’Alfa Laval L’entreprise Alfa Laval est active dans les domaines de l’énergie, de la marine ainsi que dans celui de l’alimentation et de l’eau. Elle offre son expertise, ses produits et ses services à de nombreuses industries dans une centaine de pays. Elle s’est engagée à optimiser les processus, à créer une croissance responsable et à favoriser le progrès en allant toujours plus loin pour aider ses clients à atteindre leurs objectifs commerciaux et de développement durable.  Les technologies innovantes d’Alfa Laval sont dédiées à la purification, au raffinage et à la réutilisation des matériaux, favorisant ainsi une utilisation plus responsable des ressources naturelles. Elles contribuent à améliorer l’efficacité énergétique, la récupération de chaleur et le traitement de l’eau ainsi qu’à réduire les émissions. Alfa Laval accélère ainsi non seulement le succès de ses clients, mais également celui des personnes et de la planète. Pour améliorer le monde, chaque jour. C’est tout cela, Advancing betterTM. Alfa Laval compte 16 700 employés. En 2020, ses ventes se sont élevées à environ 4 milliards d’euros. La société Alfa Laval est cotée en bourse au Nasdaq OMX. www.alfalaval.com
Il y a 3 ans et 193 jours

Daikin ne veut plus utiliser de terres rares pour ses pompes à chaleur

ENGAGEMENT. Le spécialiste du génie climatique, Daikin, indique vouloir se passer de terres rares dans ses futures pompes à chaleur. Première étape de cette ambition : une nouvelle génération de pompes à chaleur éco-énergétiques qui devraient sortir dès l'année fiscale 2022.
Il y a 3 ans et 193 jours

Technologie alvéolaire pour la rénovation

Solution 3 en 1, Triso-Toiture assure une isolation contre le froid en hiver (R>6,20 m2.K/W), contre la chaleur en été grâce aux films réflecteurs renvoyant jusqu’à 95% des rayonnements infrarouges. Elle garantit également l’isolation phonique ainsi que l’étanchéité à l’eau et à l’air selon les normes NF EN 1928 méthode A et NF EN 12114. Elle se compose de deux isolants complémentaires : un isolant réflecteur avec pare-vapeur intégré : Triso Hybrid’ et un isolant réflecteur perspirant avec écran HPV intégré : Boost’R Hybrid’. Les deux composants sont mis en œuvre de manière à former une enveloppe isolante et étanche.
Il y a 3 ans et 194 jours

Le bureau d’études Construire innove avec la géothermie sur plan d’eau

Descriptif du système de géothermie sur plan d’eauUn lac possède en hiver des températures de 7 à 8 °C au fond. Afin de pouvoir obtenir et exploiter cette chaleur il faut déposer et recouvrir des tubes de graviers pour favoriser l’incrustation de la vase. Au bout de 2 à 3 ans, la vase s’est installée. La température de fond augmente d’année en année de 4 à 5° C au début par la fermentation organique. Pour un coût 5 fois moins élevé que le forage sur les grandes puissances, on obtient des caractéristiques d'échange bien meilleures que celles d’un forage. On peut produire plus d’énergie par mètre de sonde que dans le cas d’un forage.Le PEHD est biocompatible car complètement inerte. Il ne se dégrade pas, ce qui dément le préjugé des plastiques polluants. Étant non biodégradable (la décomposition s’étale sur des millions d'années) une utilisation sur le très long terme est sans aucun risque et totalement respectueuse de l’environnement. Elle ne génère aucun déchet. Pour les zones à température hivernale très faible il peut être nécessaire de glycoler l'eau. Dans ce cas il faut utiliser du MPEG (monopropylène glycol) et non du MEG toxique et cher.Facilité juridique de mise en œuvre La règlementation des lacs est peu contraignante car il s’agit d’espaces favorables à l'environnement. Il n’existe aucune contrainte administrative en dessous de 1.000 m2 de surface. Jusqu’à 20.000 m2, une simple déclaration suffit. Au-delà il faut une autorisation. Pour un système de 80 kW, 1.000 m3 d'eau suffisent.Un exemple de réalisation et son avantage financier Un lac de 1.000 m3 coûte entre 5 et 10 k€ HT. Les échanges thermiques dans un lac ou sur un autre plan d'eau (bras de rivière ...) sont optimisés, si bien que la quantité de tubes à installer est bien moindre que pour des forages ou autres systèmes de captage par sonde. L'eau permet d'obtenir un coefficient d'échange entre les tubes et l’eau bien meilleur que celui issus du contact avec la terre dans le cas des sondes classiques. Seul le plastique du tube est isolant (idem avec les sondes standards). Le coefficient d'échange obtenu est de l'ordre de 14 W/m/K. Pour un cours d'eau ou de l’eau en mouvement ce coefficient est encore plus élevé. Avec une température de 7 à 8° C au fond, la puissance de captage est de plus de 97 W/m alors qu’elle serait de 50W/m avec un forage classique. Un forage par système de sondes verticales est environ 10 fois plus cher qu’un système de captage sur plan d’eau à caractéristiques de captage équivalentes. La seule contrainte est la nécessité d'avoir à minima 500 m2 de terrain. C'est malgré tout beaucoup moins que l’espace nécessaire pour un système de captage par sonde horizontale traditionnel.La société SUNDERMANN & SEYS Géothermie et son bureau d'études CONSTRUIRE rendent rentable la géothermie à partir de 10 k€ HT de dépenses annuelles de chauffage /climatisation. (Retour sur investissement hors subventions en moins de 5 ans). Ce seuil est vite atteint pour une grande majorité de bureaux et de projets particuliers d’envergure. Pour le bureau d’études CONSTRUIRE, les systèmes non rentables dans la durée ne devraient pas être considérés comme écologiques. Le coût hors subventions constitue un indicateur très fiable de l’énergie consommée à la production. Il ne faut pas oublier que les moyens humains ont un coût financier et écologique élevé. La géothermie permet de diviser par 5 la dépense en énergie pour le chauffage / climatisation, soit une réduction de 40% de la dépense énergétique globale. Les Suisses et les Suédois l'on comprit, 15% de leurs systèmes de chauffage fonctionnent selon ce système, contre quelques % en France.Le retour sur investissement (hors taxes et hors subventions) est assuré en moins de 5 ans.Une première mise en œuvre : L’école maternelle, l’école primaire, le collège et des locaux associatifs à Rambouillet ( réalisation en 2022) Le projet des établissements scolaires et locaux associatifs à Rambouillet a la particularité de se faire sur une friche industrielle. Ces bâtiments seront à énergie positive sur un site industriel abandonné pendant plus de 5 ans. Sur ce projet une installation de chauffage / climatisation et eau chaude sanitaire par géothermie sur plan d'eau sera réalisée. Il s'agit d'un système de 80 kW prévu pour chauffer 2.000 m2 de locaux de type ERP catégorie 5 et 400 m2 de locaux de type salle de danse pour les associations de la ville de Rambouillet. Il est prévu d'installer 1.000 mètres de tubes PEHD permettant de capter 97.14W/m dans le bassin pour le chauffage en hivers ou pour la climatisation des locaux en été.. L’utilisation de cette technologie permettra d'économiser au maitre d'ouvrage 180 k€ HT de forage sans aucune perte en qualité du système de chauffage / climatisation et ECS.Le recours à cette technologie alternative est une aubaine car la taille du terrain ne permettait pas l'installation de capteurs horizontaux et les contraintes règlementaires interdisaient l'utilisation de la ressource nappe phréatique. La solution retenue est donc la meilleure en tous points. Le projet permettra également une rénovation généralisée de tout le réseau de chauffage du bâtiment avec le remplacement de l'ancienne tuyauterie et l’installation de radiateurs en nombre suffisant pour assurer un chauffage à eau chaude à moins de 35°C. Cette température de l'eau de chauffage relativement basse permet l’optimisation maximale du rendement des pompes à chaleurs mises en place. Celles-ci fonctionneront avec un COP de 5. Le COP système général est estimé supérieur à 4.5 en moyenne. Le système fonctionnera à plein régime pendant 2.100 heures par an pour une énergie totale utile produite de 160 MWh et une énergie couteuse (l'électricité) consommée de 35 MWh. A moyen terme il est prévu d'améliorer encore les performances thermiques et écologiques du bâti par l'installation de panneaux solaires, d’éoliennes 20kW et de batteries électriques Tesla ou équivalent sur le terrain afin de produire et pouvoir stocker l'électricité nécessaire pour faire fonctionner les pompes et les autres consommateurs du bâtiment (ordinateurs et luminaires). Le développement de la géothermie par plan d’eau permet d’améliorer le rendement énergétique et la rentabilité de l'industrie de la construction. Avec les subventions de l'ADEME pour la géothermie, le retour sur investissement de ce chantier sera obtenu en moins d'un an.
Il y a 3 ans et 197 jours

Quand faut-il entreprendre des travaux de rénovation de charpente?

La charpente constitue l’ossature d’une maison. Autrement dit, elle est l’élément structurel qui tient les murs et le toit. En ce sens, il est donc indispensable de procéder régulièrement à son inspection afin de vérifier son bon état. En cas de détection de problèmes au niveau de la charpente, il faut rapidement envisager de la rénover. Mais alors, pourquoi et quand faut-il entreprendre des travaux de rénovation de charpente ? Les éléments de réponses à travers ce billet. En quoi consiste la rénovation d’une charpente ? La rénovation d’une charpente regroupe l’ensemble des travaux réalisés sur toute ou une partie de la charpente dans le but de résoudre un problème qui a été constaté. En effet, il existe de nombreuses raisons qui peuvent amener à cette intervention, à l’instar du vieillissement naturel du bois, les intempéries et les infiltrations d’eau qui en découlent, les dégâts induits par la présence d’insectes xylophages, etc. La dégradation de la charpente provoquée par ces divers éléments se révèle dangereuse pour la stabilité de l’ossature de la maison et du toit. Ainsi, faire appel à un charpentier pour effectuer la rénovation de la charpente est la solution permettant de limiter les risques. Il faut toutefois noter que la rénovation de charpente n’est pas forcément liée à une problématique. Effectivement, elle peut être indispensable pour modifier l’aspect du logement, le style architectural de celui-ci, notamment pour l’ajout d’un étage ou l’aménagement de combles. À quel moment faut-il donc rénover une charpente ? En principe, il est recommandé de procéder à une rénovation de charpente tous les 20 à 30 ans. D’une manière générale, l’opération d’entretien est relativement légère dans le cas où la structure est saine et régulièrement contrôlée. Par contre, une rénovation peut être réalisée avant ce délai si l’un ou plusieurs des problématiques énumérés ci-dessus sont constatés. Bien évidemment, ce type d’intervention n’est pas obligatoire. Cependant, il est fortement indiqué afin d’éviter que les problèmes ne s’aggravent et induisent des travaux conséquents pour y remédier. En raison de la complexité des travaux à entreprendre au cours de la rénovation de charpente, le propriétaire est tenu de faire appel à un artisan charpentier comme sur ce site : https://www.charpentier-87.fr/ pour réaliser les travaux. Ce dernier sera plus qualifié pour observer la charpente et en évaluer les dégâts, de manière à établir un diagnostic complet et précis. Il peut être ingénieux de contacter plusieurs professionnels pour pouvoir comparer diagnostic, devis et offres. Le coût à prévoir pour des travaux de rénovation de charpente La charpente, tout comme la toiture, est essentielle pour la stabilité et la bonne santé de la maison. Elle protège celle-ci et aide à limiter la déperdition de chaleur. La rénovation de la charpente est une intervention complexe qui a un certain coût. Le charpentier facture en moyenne une heure de travail 40 à 60 euros HT, d’où l’utilité de ne pas attendre une problématique s’étendre. Pour venir à bout d’un problème d’humidité, il faut prévoir un traitement hydrofuge, pour un coût moyen de 20 à 30 euros le mètre carré. Dans le cas d’un problème de moisissures ou de champignons, il est indispensable de procéder à un traitement fongicide. Pour cela, il faut compter 15 à 30 euros le mètre carré. Enfin, pour un problème de nuisibles, tels que des insectes xylophages, un traitement insecticide est utile. Pour cela, il faut prévoir 20 à 50 euros le mètre carré.
Il y a 3 ans et 206 jours

Oléofloor® : retrouver la chaleur du bois à l'intérieur

Depuis toujours et plus que jamais, le bois matériau gage de qualité et synonyme d’authenticité habille la maison partout du sol aux murs ! Qui dit matière vivante dit soins à prodiguer ! Comme la peau, le bois, même sans subir les intempéries, demande une attention particulière. En intérieur, les risques proviennent de l’abrasion, de l’usure avec les passages répétés, des taches et de la vie quotidienne d’une maison. Il faut donc un produit qui permette de nourrir et de protéger en surface. Communément, 2 types de solutions s’offrent aux bois de parquet ou de plan de travail : les cires et les vitrificateurs.Les premières permettent de mettre en avant le bel aspect chaleureux recherché du bois : elles nourrissent et protègent en surface mais encrassent le bois au fil du temps, le font monter en teinte et le rendent glissant.Les seconds apportent une solution très résistante aux taches et à l’eau mais plus sensible à l’abrasion, avec une maintenance plus lourde comme pour la cire avec un ponçage fastidieux.Fort de son expertise pour la protection des bois marine et extérieurs, Owatrol® a su développer une gamme technique spécifique dédiée aux parquets et bois d’intérieur. Les huiles de la famille OLÉOFLOOR®, résultent d’un savant mélange d’huiles naturelles et de résines ultra performantes pour apporter un fini magnifié et une protection optimisée.OLÉOFLOOR® : décryptage d’une pépite surprenante !3 maîtres mots : imprégnation + fini seconde peau + résistanceImprégnation : comme pour les bois extérieurs avec les saturateurs, l’excellent pouvoir d’imprégnation conféré aux huiles permet à l’OLÉOFLOOR® de pénétrer dans le bois pour le protéger à coeur et garantir une belle durabilité.Fini seconde peau : la composition fluide et pénétrante de l’OLÉOFLOOR® lui permet de faire corps avec le support sans laisser de film, de magnifier le fini du bois tout en conservant la teinte d’origine.Résistance : les résines d’OLÉOFLOOR® se combinent entre elles à la surface et génèrent une véritable barrière aux agressions extérieures aussi bien mécaniques que chimiques. Les parquets, plans de travail protégés à l’OLÉOFLOOR® résistent mieux aux passages répétés et aux produits chimiques variés (détergents, feutres…).OLÉOFLOOR® rime aussi avec :Maintenance allégée : grâce à leur pouvoir d’imprégnation, les huiles de l’OLÉOFLOOR® ne restent pas en surface et le bois ne s’encrasse pas tout en résistant aux taches. Lors de sa maintenance il n’est pas nécessaire de procéder à un ponçage systématique et il est même possible de faire de simples retouches locales.À noter : OLÉOFLOOR® bénéficie de l’effet vaccin des saturateurs Owatrol®, c’est-à-dire : un bois nourri à l’OLÉOFLOOR® s’en souvient et les quantités nécessaires à sa maintenance sont limitées.Déco : pour tous les goûts !OLÉOFLOOR® Classic qui avive le bois pour donner un aspect chaleureux avec un beau fini mat satiné.OLÉOFLOOR® Natural qui agit comme une seconde peau avec un fini mat. OLÉOFLOOR® Natural est totalement invisible avec la version Incolore, ou bien très moderne dans ses versions blanc Antique et gris Antique.Une gamme respectueuse de l’environnement : en tête de liste avec son taux de COV bien inférieur aux normes réglementaires et son classement A+ (cf nouvelle norme « émissions dans l’air intérieur).Pérenniser l’intemporel, garantir l’authenticité et la beauté du bois avec les techniques du nouveau millénaire : gamme OLÉOFLOOR® d’OWATROL® : le bois à l’état pur !Pour plus d'info et acheter en ligne, consultez la pageOLÉOFLOOR® natural ou OLÉOFLOOR® classique.
Il y a 3 ans et 207 jours

L’objectif climatique des 1,5 degrés sera inatteignable sans l’hydrogène vert, selon un rapport de Statkraft

Statkraft, le plus grand producteur d'énergie renouvelable d'Europe, élabore chaque année son Scénario de Faibles Emissions (Low Emissions Scenario), en analysant l'évolution des marchés mondiaux de l'énergie. L'analyse est utilisée comme base pour les investissements futurs de Statkraft.Selon le rapport, l'effet combiné de la baisse des coûts des énergies renouvelables et du renforcement des politiques climatiques entraînera des émissions carbones menant à une trajectoire de 2 degrés. Pour réduire davantage le réchauffement climatique, une augmentation substantielle des ambitions politiques et du rythme de l'action mondiale sont nécessaires. En particulier, l'hydrogène propre doit passer de zéro à plus de 5% de la demande totale d'énergie, si l’on veut pouvoir se rapprocher de la trajectoire des 1,5 degré.« Le monde a été appelé à répondre présent, à travailler à l'unisson pour ralentir le réchauffement de notre planète. C'est la mission d'une vie, celle qui marquera notre génération. Avec la réouverture lente du monde, les émissions reviennent également aux niveaux prépandémiques, renforçant notre conviction que la seule voie vers une trajectoire à 1,5 degré passe par une accélération de la transition énergétique », déclare Christian Rynning-Tønnesen, PDG de Statkraft.La croissance des énergies renouvelables est « inarrêtable »Le rapport note que les investissements verts ont augmenté en 2020 malgré le ralentissement économique causé par la pandémie. En particulier, les investissements dans les énergies renouvelables ont augmenté de 7% en 2020 par rapport à 2019. Mais même si 2020 a vu un développement record de l'énergie solaire et éolienne, il faudra en installer plus du double chaque année d'ici 2050 pour limiter le réchauffement climatique à deux degrés.Les coûts du renouvelable sont sur une tendance continue à la baisse. En général, pour un euro investi dans le solaire photovoltaïque et l'éolien aujourd'hui, on obtient environ quatre fois plus de rendement qu'il y a dix ans. L'énergie renouvelable est déjà dans la plupart des endroits moins chère que les combustibles fossiles lorsqu'on investit dans de nouvelles capacités.Le rapport prévoit que la demande d'électricité va plus que doubler jusqu'en 2050 et que celle-ci sera largement couverte par l'énergie renouvelable, qui devrait représenter environ les deux tiers de la production électrique mondiale.Développer massivement l’hydrogène vertL'hydrogène propre permet la décarbonation rapide de secteurs à fortes émissions dans l'industrie et les transports, et jouera un rôle clef dans le système énergétique du futur. Il sera le quatrième pilier d’un monde alimenté par l'énergie solaire, éolienne et hydraulique. Par une journée venteuse, les électrolyseurs alimentés par l'énergie éolienne peuvent produire des quantités massives d'hydrogène vert.Les coûts des électrolyseurs ont baissé de 60% au cours des cinq dernières années. Cette baisse devrait se poursuivre en raison de l'automatisation et des améliorations technologiques. Le rapport prévoit que les coûts d'investissement pour la production d'hydrogène vert diminueront de 60% supplémentaires d'ici 2050.Selon le rapport, 9,6% de la demande mondiale d'électricité proviendra de la production d'hydrogène vert en 2050, un niveau qui monte à 20% pour l'Europe.La majorité de l'hydrogène propre ira à l'industrie : à la fois pour remplacer la consommation d’hydrogène existante et pour éliminer les émissions dans les industries où l'électrification directe est impossible ou trop coûteuse, par exemple dans l'industrie sidérurgique.L'électrification réduit les émissions locales et mondialesL'électrification est le principal outil de réduction des émissions de CO2. La part de l'électricité dans la demande énergétique mondiale finale va plus que doubler pour atteindre 47% en 2050.L'électricité est plus efficace que les sources d'énergie fossiles dans la plupart des applications, selon le rapport. Par exemple, pour chauffer une maison, une pompe à chaleur n'a besoin que d’un tiers de l'énergie utilisée par une chaudière à gaz. Il en va de même pour les véhicules électriques, qui nécessitent environ un tiers de l'énergie dont les véhicules à combustibles fossiles ont besoin pour parcourir la même distance.2020 a été une bonne année pour les véhicules électriques. Les ventes mondiales de voitures électriques à batterie ont augmenté de 40%, même si les ventes totales de voitures ont chuté. Le scénario à faibles émissions estime que presque tous les nouveaux véhicules légers seront alimentés par batterie, tandis qu'environ la moitié des nouveaux véhicules plus lourds fonctionneront sur batterie ou à l’hydrogène en 2050 dans le monde.
Il y a 3 ans et 212 jours

NOUVEAUTÉ FIBERDECK : BARDAGE WEO®60 Un bardage en bois composite coextrudé à faux claire-voie contemporain et durable

Si le bardage offre un rendu esthétique aux façades, il améliore également l’efficacité énergétique du bâtiment et renforce son confort thermique. Incité par les dernières réglementations thermiques, acoustiques et au feu ainsi que les avancées technologiques, le bardage en bois composite connaît un bel engouement en France. Son aspect moderne, sa pérennité, sa stabilité et son faible entretien en font un habillage de façades porteur et tendance, que recherchent les prescripteurs, les architectes, les maîtres d’œuvre… Fiberdeck a développé de nouvelles lames de bardage en bois composite coextrudées à faux claire-voie : WEO®60. Idéales pour une isolation par l’extérieur (ITE) de maison individuelle, de collectif ou ERP le bardage WEO®60 est durablement esthétique grâce à la technologie exclusive de coextrusion. Il bénéficie d’une résistance exceptionnelle aux UV, pendant 20 ans, et il est très facile à mettre en œuvre.   FIBERDECK : Un bois composite aux performances inégalées Fabricant et concepteur d’aménagements extérieurs en bois composite coextrudés, Fiberdeck sélectionne d’excellentes matières premières et maîtrise les meilleures technologies pour que ses produits bénéficient d’un haut niveau de qualité et de performances exceptionnelles. D’une durée de 20 ans sans aucune décoloration visible à l’œil, les lames de bardage en bois composite coextrudées à faux claire-voie garantissent des ouvrages perennes. Des matériaux haute qualité pour un ouvrage durable Le bardage WEO®60 Fiberdeck est parfaitement adapté à tout type de complexe d’ITE, en construction neuve, en réhabilitation de l’ancien, en extension, et à tout type d’isolant. Une garantie de 20 ans anti-décoloration et un entretien limité ! Le bardage en bois composite WEO®60 a la particularité d’être étanche à l’eau, très résistant aux UV et aux agressions extérieures, qui fragilisent bien souvent les bardages traditionnels en bois. Grâce à la technologie de coextrusion, un film en polyéthylène qui enrobe la surface du profil, les lames du bardage sont insensibles aux taches, aux intempéries et à la décoloration, et ce pendant 20 ans ! Elles sont impustrescibles et ne risquent aucune reprise d’humidité. De plus, leur entretien est considérablement réduit. Un comportement au feu semblable au bois D’une grande longévité, le bardage composite WEO®60 profite du même comportement au feu en termes de réaction et de résistance au feu (classe D s1d0) que le bardage bois grâce à sa composition – fibre de bois et polymère (PEHD) – qui intégre un adjuvant ignifuge. Un profil alvéolaire à faux claire-voie tendance et stable Avec un profil unique, un décor à faux claire-voie composé de petites ondes fines et régulières, le bardage WEO®60 offre un relief marqué et rythmé à la façade. Esthétique et contemporaine, la forme trapézoïdale et prononcée des ondes, assure un bon écoulement de l’eau de pluie et imite parfaitement l’aspect claire-voie des bardages bois. Posées verticalement, les lames accentuent l’impression de hauteur, ou de profondeur lorsqu’elles sont fixées horizontalement. Par ailleurs, le profil WEO®60 est stabilisé grâce à sa sous-face. La structure est équipée d’ergots au dos des lames, qui permettent une fine circulation d’air entre le support et le revêtement. En pose verticale, cela permet de ne poser les lames que sur une simple ossature bois ou métal (hors avis technique, voir DTU). La technologie du bois composite coextrudé Le procédé de coextrusion consiste à appliquer un film de polyéthylène très fin haute densité (PEHD) en fusion directement sur le bois composite. Ce film étanche protège le bois de toute reprise d’humidité, stabilise le matériau et réduit la dilatation. Un aspect bois ultra-réaliste Le bardage composite WEO®60 Fiberdeck constitue une véritable alternative écologique au bardage en bois tropicaux. Il combine les performances de durabilité de la coextrusion avec l’aspect naturel et chaleureux du bois. Constituées de 50 % de fibres de bois, des sciures de l’industrie du bois, et 50 % de polyéthylène recyclé, les lames sont fabriquées à partir de 95 % de matériaux recyclés et sont 100 % recyclables. Sans produit toxique, sans colle ni métal lourd, elles offrent un environnement sain. Esthétiques, les lames de bardage WEO® imitent parfaitement l’aspect naturel du matériau bois, tant par le toucher chaleureux que les couleurs intenses aux teintes multichromatiques aléatoires. Le résultat est très réaliste. Aucune lame n’est identique, le décor est unique ! Décliné en 4 coloris – Cedar, Teak, Ipé, Dark grey – le bardage WEO®60 peut répondre à tous les projets architecturaux. Enfin, pour que la façade soit parfaitement uniforme, les fixations du bardage sont invisibles. La vis vient se dissimiler directement dans des languettes prévues à cet effet, afin d’avoir le rendu le plus épuré possible. Un bardage facile à mette en œuvre Les lames WEO®60 se fixent très facilement sur l’ossature bois ou métal avec seulement 1 vis inox à tête colorée par point de fixation. Elles s’emboîtent rapidement et peuvent être ajustées entre-elles à l’aide d’un jeu réglable. Ce système simple et rapide permet non seulement de les ajuster en réglant la profondeur d’emboîtement mais aussi de procéder à une fixation très discrète des lames. De plus, elles sont démontables et remontables pour simplifier les opérations de maintenance. Enfin, le profil trapézoïdal permet une pose horizontale ou verticale. Lame Bardage WEO® 60 – Profil faux claire-voie Dimensions : Épaisseur 33 x Largeur utile 140 mm x Longueur 3600 mm Recouvrement : 0.5 m² Poids d’une lame : 7,5 kg Fixation sur liteaux d’entraxe 60 cm : par vis inox SR2 teintées au coloris des lames Points de vente : Négoces en matériaux