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Il y a 2 ans et 220 jours

La Fondation École Française du Béton récompense les futurs experts des industries de la construction

À l’occasion des 40èmes Rencontres Universitaires de Génie Civil 2022 à Villeneuve D’Ascq, le Conseil Scientifique de l’EFB a décerné un prix Recherche EFB à dimension RSE à Amr Aboulela afin de mettre en lumière ses compétences de futur expert face aux enjeux stratégiques de l’industrie de la construction.Le Prix Recherche EFB à dimension RSE : faire évoluer la RSE dans le monde industriel Le prix de la recherche EFB à dimension RSE accompagne les ambitions de La Fondation École Française du Béton en faveur de la valorisation de l’image des métiers du Béton et de la mise en lumière des innovations du secteur.À travers ce prix, le Conseil Scientifique de l’EFB participe à la promotion de jeunes chercheurs développant des solutions techniques pour faire face aux enjeux stratégiques de l’industrie et relever les défis du monde de demain.Ce prix a été décerné à Amr Aboulela pour la qualité de sa présentation et de ses travaux sur « L’Etude de la résistance des différents matériaux cimentaires bas carbone aux attaques biologiques dans les réseaux d’assainissement ». Analyser les conditions d’exposition des matériaux cimentaires et leur résistance à l’attaque biologiqueAmr Aboulela est Docteur en Génie Civil diplômé de l’INSA Toulouse depuis début 2022. Il réalise actuellement un post-doctorat à l’Université de Sheffield en Angleterre où il travaille sur le développement de ciments à partir des déchets de l’industrie de la construction.Dans sa thèse réalisée en partenariat avec le LMDC sous la direction de Alexandra Berton Et Cédric Patapy, Amr Aboulela s’est intéressé au Développement et à l’optimisation d’un test biologique en condition de laboratoire pour représenter les conditions d’exposition des matériaux cimentaires rencontrées dans les réseaux d’assainissement, ainsi qu’au développement d’un indicateur de performance qui pourrait classer une large palette de matériaux cimentaires selon leur résistance à l’attaque biologique.La pertinence de ce travail de recherche réside également dans sa faculté d'être rapidement duplicable à l’échelle industrielle, et à servir de manière efficace et rapide, les acteurs du secteur dans leur démarche RSE.Pour Amr Aboulela : « Le choix de ce sujet est le fruit de mes différentes expériences au sein de bureaux d’études dans le domaine du Génie Civil et du Génie des Procédés qui ont suscitées mon intérêt pour les matériaux de construction. Je souhaitais également que mon objet de recherche et les conclusions de ma thèse puissent être applicables rapidement pour aider l’industrie à développer des process plus efficients. Aussi, mon travail vient en complément des recherches déjà réalisées qui s’oriente sur la compréhension des mécanismes de détériorations des matériaux dans les réseaux d’assainissement afin de trouver des solutions plus intéressantes que ce soit sur le plan environnemental et sur le plan économique. Cette thèse m’a permis d’affiner mes aspirations. J’aimerais continuer la recherche dans le secteur des matériaux de construction et élargir mon domaine de compétence au contexte de l’économie circulaire. C’est dans cet objectif que je réalise un post-doctorat à l’Université de Sheffield où je travaille sur le développement des ciments à partir des déchets de l’industrie de la construction. J’ai par ailleurs, été très heureux de participer aux rencontres universitaires du Génie Civil de Villeneuve D’Ascq ou j’ai eu l’occasion de rencontrer de nombreux professionnels de l’industrie et des acteurs universitaires. La pertinence des échanges en font un lieu de foisonnement intellectuel majeur, j’ai apprécié évolué dans un tel environnement. »
Il y a 2 ans et 221 jours

Kaufman & Broad annonce ses résultats au 1er semestre

Nordine Hachemi, Président-Directeur Général de Kaufman & Broad, a déclaré :« Les résultats du 1er semestre 2022 sont conformes à nos attentes, avec un 2ème trimestre s’inscrivant globalement dans la continuité du précédent.Les réservations nettes en valeur progressent de 9,7 %. Elles bénéficient d’un effet mix favorable ainsi que d’une progression des prix de vente au m2. L’offre commerciale est en hausse de 20,7 %.Les tensions constatées au 1er trimestre sur les coûts de construction se sont poursuivies au cours du 2ème trimestre. Elles ont été absorbées par une politique budgétaire prudente mise en place depuis plusieurs années, associée à la rigueur dans les prises de position sur le foncier.Continuant à privilégier la rentabilité des opérations à leur volume pour préserver la croissance future, Kaufman & Broad a choisi de reporter certaines opérations dont les conditions d’achat ne permettent pas de supporter les coûts directs (foncier et construction).Cette stratégie a permis de maintenir sur l’ensemble du semestre une performance économique solide, avec une quasi-stabilité du taux de Résultat opérationnel courant (MOP). Le Résultat net part du groupe est inchangé d’un semestre sur l’autre et en légère progression rapporté au nombre d’actions.Au cours du 1er semestre, Kaufman & Broad n’a pas constaté de fléchissement de la demande des particuliers et des institutionnels, toujours soutenue par des facteurs structurels.Sur la période à venir, Kaufman & Broad sera en mesure d’adapter son offre commerciale aux nouvelles conditions de marché en s’appuyant sur son modèle économique, caractérisé notamment par des rythmes de commercialisation rapides et l’absence de stocks.Le développement de portefeuilles de résidences gérées séniors et étudiants sur la base du modèle unique de promoteur / investisseur / exploitant s’est activement poursuivi. Kaufman & Broad est désormais propriétaire de deux résidences étudiants mises en service à Gagny et Amiens. S’y ajoutent six nouveaux projets représentant un investissement en capital et dette, au cours des prochaines années, pour environ 100 M€. Ces projets sont porteurs de création de valeur à terme sur la base de leur historique d’exploitation.Le permis d’aménager du projet de Reims a été obtenu pour une surface de 82 500 m2. Il verra l’implantation d’un campus de 35 000 m² ainsi qu’une résidence étudiante et une résidence séniors, de logements et de commerces.Enfin, Kaufman & Broad fait partie des 11 sociétés françaises ayant obtenu le label « Best Managed Companies » de Deloitte, récompensant l’excellence d’entreprises qui se distinguent par la qualité de leur gestion et de leurs performances, notamment RSE. Créé il y a trente ans par Deloitte Canada, ce label a été décerné à ce jour à près de 1 200 entreprises dans 45 pays.A moyen terme, Kaufman & Broad bénéficiera de la qualité de son Backlog, de sa grande solidité financière et de sa réactivité pour tirer parti d’une demande structurelle toujours soutenue et, au-delà, des effets des grands réajustements macro-économiques en cours sur son activité et ses marchés.Sur l’ensemble de l’exercice 2022 et hors impact du programme de réhabilitation de la gare d’Austerlitz, le chiffre d’affaires devrait progresser d’environ 5 %. Le taux de Résultat opérationnel courant (MOP) ou d’EBIT devrait être supérieur à 7 %. Ces perspectives pourront, le cas échéant, faire l’objet de révisions sur les mois à venir en fonction de l’évolution de la situation économique et financière, mais aussi de la décision du Conseil d’Etat sur le dossier de la gare d’Austerlitz. »Activité commercialePôle LogementAu 1er semestre 2022, les réservations de logements en valeur s’élèvent à 624,7 millions d’euros (TTC), à comparer à 569,7 millions d’euros au 1er semestre 2021 en hausse de 9,7 %. En volume, elles s’établissent à 2 525 logements (2 780 logements sur le 1er semestre 2021), soit une diminution de 9,2 %.Le délai d’écoulement des programmes s’est établi à 5,4 mois sur le premier semestre 2022, en augmentation de 1,4 mois par rapport au 1er semestre 2021 (4,0 mois).L’offre commerciale, avec 92 % des logements situés en zones tendues (A, Abis et B1), s’élève à 2 265 logements à fin mai 2022 (1 876 logements à fin mai 2021).Répartition de la clientèleLes réservations en valeur (TTC) des primo-accédants représentent 17 % des ventes, à comparer à 10 % au 1er semestre 2021. Les secundo-accédants représentent 12 % des ventes contre 6 % pour la même période en 2021.Les réservations réalisées auprès des investisseurs représentent 37 % des ventes (dont 29 % pour le seul dispositif Pinel) comme au 1er semestre 2021. Enfin, la part des ventes en bloc est en sensible baisse pour s’établir à 33 % des réservations en valeur (TTC) contre 47 % au 1er semestre 2021.Pôle Tertiaire Au 1er semestre 2022, le pôle Tertiaire enregistre des réservations nettes de 28,5 millions d’euros TTC contre 39,5 millions d’euros TTC au 1er semestre2021.Kaufman & Broad a actuellement en commercialisation ou à l’étude environ 145 600 m² de surfaces de bureaux et environ 192 500 m² de surfaces logistiques. Par ailleurs, 65 000 m² de surfaces de bureaux sont actuellement en construction ou en démarrage dans les prochains mois, ainsi que près de 70 000 m² de surfaces logistiques. Enfin, il reste près de 88 100 m² de surfaces de bureaux à signer.Indicateurs avancés de l’activité commerciale et développementAu 31 mai 2022, le Backlog Logement s’établit à 2 326,3 millions d’euros (HT) contre 2 289,9 millions d’euros (HT) pour la même période en 2021, soit 25,5 mois d’activité contre 24,3 mois d’activité au 1er semestre 2021. À la même date, Kaufman & Broad comptait 154 programmes de logements en cours de commercialisation, représentant 2 265 logements (155 programmes et 1 876 logements au 1er semestre 2021).Le portefeuille foncier Logement représente 35 037 lots. Il est stable par rapport à celui de fin mai 2021 (+ 0,1 %) et correspond à plus de 5 années d’activité commerciale.Par ailleurs, 93 % des logements du portefeuille foncier sont situés en zones tendues, représentant 32 640 logements à fin mai 2022.Au 3ème trimestre 2022, le groupe prévoit de lancer 23 nouveaux programmes dont 9 en Île-de-France représentant 434 lots et 14 en Régions représentant 612 lots.Au 1er semestre 2022, le Backlog du pôle Tertiaire s’ établit à 1 076,1 millions d’euros HT à comparer à 1 200,4 millions d’euros HT pour la même période en 2021.Résultats financiersActivité Le chiffre d’affaires global s’établit à 574,4 millions d’euros (HT), à comparer à 605,8 millions d’euros au 1er semestre 2021.Le chiffre d’affaires Logement s’élève à 481,6 millions d’euros (HT), contre 519,1 millions d’euros (HT) en 2021. Il représente 83,8 % du chiffre d’affaires du groupe.Le chiffre d'affaires de l’activité Appartements s’établit à 461,7 millions d’euros (HT) (versus 487,2 millions d’euros (HT) au 1er semestre 2021). Le chiffre d'affaires du pôle Tertiaire ressort à 87,3 millions d’euros (HT), à comparer à 83,0 millions d’euros (HT) sur la même période de 2021. Les autres activités dégagent un chiffre d’affaires de 5,5 millions d'euros (HT) (dont 3,2 millions d’euros de chiffre d’affaires liés à l’exploitation des résidences étudiantes) contre 3,8 millions d’euros en 2021.Éléments de rentabilité La marge brute s’élève à 99,6 millions d’euros au 1er semestre 2022, à comparer à 104,7 millions d’euros sur la même période de 2021. Le taux de marge brute s’établit à 17,3 % comme en 2021.Les charges opérationnelles courantes s’élèvent à 56,8 millions d’euros (9,9 % du chiffre d’affaires), contre 58,7 millions d’euros au 1er semestre 2021 (9,7 % du chiffre d’affaires). Le résultat opérationnel courant s’établit à 42,8 millions d’euros, à comparer à 45,9 millions d’euros en 2021. Le taux du Résultat opérationnel courant s’élève à 7,5 % contre 7,6 % au 1er semestre 2021.Le résultat net de l’ensemble consolidé s’élève à 31,4 millions d'euros sur le 1er semestre 2022, à comparer à 30,6 millions d’euros en 2021. Les participations ne donnant pas le contrôle s'élèvent à 8,7 millions d’euros contre 7,9 millions d’euros sur le 1er semestre 2021. Le résultat net - part du groupe ressort à 22,7 millions d’euros tout comme au premier semestre 2021.Structure financière et liquiditéLa dette financière nette (hors dette IFRS 16 et dette put Neoresid) au 31 mai 2022 s’établit à 67,1 millions d’euros, à comparer à une trésorerie nette positive de 35,9 millions d’euros à fin novembre 2021. La trésorerie active (disponibilités et valeurs mobilières de placement) s’établit à 97,5 millions d’euros au 31 mai 2022, à comparer à 189,5 millions d’euros au 30 novembre 2021. La capacité financière s’élève à 347,5 millions d’euros à comparer à 439,5 millions d’euros à fin novembre 2021.Le besoin en fonds de roulement s’établit à 177,0 millions d’euros à fin mai 2022, soit 14,2 % du chiffre d’affaires, à comparer à 116,9 millions d’euros à fin mai 2021 (8,4 % du chiffre d’affaires).KB ACTIONS 2022Par un communiqué de presse publié le 15 juin 2022, Kaufman & Broad SA a annoncé la mise en place d’une offre d’actionnariat « KB ACTIONS 2022 » réservée aux salariés du groupe.L’objectif principal de Kaufman & Broad SA est d’associer plus étroitement les salariés du groupe à l’avenir de l’entreprise à travers la souscription d’actions à des conditions privilégiées et leur offrir l'opportunité de bénéficier du développement de la société. Les salariés du groupe font partie aujourd'hui des principaux actionnaires de Kaufman & Broad SA.Gouvernance L’Assemblée Générale Mixte du 5 mai 2022 a ratifié la nomination de Madame Aline Stickel en tant qu’administrateur représentant les salariés actionnaires. Titulaire d’un DEA de Droit Privé et du CAPA (Certificat d’Aptitude à la Profession d’Avocat), Madame Aline Stickel a rejoint le groupe en 2000 et pris la direction des équipes juridiques opérationnelles en 2001 ainsi que de l’équipe juridique corporate à partir de 2011. Elle est membre du Conseil de Surveillance du « FCPE KB Actions » depuis 2018.Perspectives 2022 Sur l’ensemble de l’exercice 2022 et hors impact du programme de réhabilitation de la gare d’Austerlitz, le chiffre d’affaires devrait progresser d’environ 5 %. Le taux de Résultat opérationnel courant (MOP) ou d’EBIT devrait être supérieur à 7 %.Ces perspectives pourront, le cas échéant, faire l’objet de révisions sur les mois à venir en fonction de l’évolution de la situation économique et financière, mais aussi de la décision du Conseil d’Etat sur le dossier de la gare d’Austerlitz.
Il y a 2 ans et 221 jours

Le groupe Legendre poursuit son expansion à l'international sur un nouveau marché

DÉVELOPPEMENT. Déjà présent à Londres, Jersey et au Portugal, le groupe Legendre, qui s'illustre dans la construction, l'immobilier et l'énergie, arrive sur le marché suisse via la création d'une nouvelle agence.
Il y a 2 ans et 222 jours

Crédit immobilier : un meilleur accès à l'assurance emprunteur... mais plus cher !

L'assurance emprunteur, obligatoire dans les faits, couvre divers risques comme le décès, la maladie ou l'invalidité. Elle protège à la fois les emprunteurs et les banques contre un éventuel défaut de remboursement.Avec la loi Lemoine, entrée en vigueur au 1er juin pour les nouveaux prêts, ceux qui empruntent moins de 200.000 euros ne sont plus soumis à un questionnaire de santé pour assurer leur crédit, à condition aussi que le remboursement total s'effectue avant leurs 60 ans.Pour les personnes malades ou ayant été malades récemment, "vous passez de l'impossible au possible", salue auprès de l'AFP Kévin Spreux, directeur de développement de Prelys Courtage, le cabinet qui a accompagné Emma.Lors de sa première tentative, elle avait dû se soumettre à un questionnaire de santé car le crédit, sur 25 ans, l'emmenait justement au-delà de 60 ans. Comme attendu, son dossier a été refusé. Le fait qu'elle soit en rémission depuis 2020 n'a rien changé: "On garde une étiquette de cancéreuse", constate Emma, pour qui la loi Lemoine permet de "remettre un peu de justice".En ramenant la durée d'emprunt de 25 à 23 ans, elle a pu rester dans le cadre prévu par la législation et obtenir son prêt.Hausse généraleComme elle, de nombreuses personnes se sont saisies de cette évolution de la législation pour essayer d'être mieux assurées, témoigne Prelys Courtage.En assurant des personnes auparavant exclues ou dont les dossiers étaient acceptés moyennent le versement d'une surprime, les assureurs prennent toutefois à leur charge un risque qu'ils estiment difficile à quantifier.Cela peut "créer un effet d'aubaine pour les personnes sachant qu'elles vont mourir", a résumé cyniquement le patron d'un assureur mutualiste devant des journalistes.Si certains assureurs ont promis de ne pas augmenter leurs tarifs, comme CNP Assurances, filiale du groupe La Banque Postale et leader de ce marché, voire de les baisser pour les jeunes, tels le Crédit Agricole, numéro deux de l'assurance emprunteur, c'est loin d'être le cas de tous.Nombre de primes ont augmenté. Dans quelles proportions? Selon une étude du cabinet Vertone qui a comparé 1.700 tarifs d'assureurs non bancaires, avant et après le passage de la loi, les tarifs appliqués aux emprunteurs qui échappent au questionnaire de santé ont bondi de 49% en moyenne, avec de très fortes disparités.Olivier Le Gallo, directeur général du courtier en ligne Magnolia.fr, estime pour sa part que cette augmentation tournait plutôt autour de 20%.Les nouvelles dispositions de la loi, comme le raccourcissement du délai de droit à l'oubli, qui dispense de déclarer certaines maladies cinq ans après l'arrêt des protocoles thérapeutiques contre dix ans auparavant, sont "des progrès sociétaux mais qui ont un prix", relève-t-il auprès de l'AFP.Boum des appelsAutre évolution de la loi, aux fortes répercussions: la possibilité de changer d'assureur n'importe quand et non plus seulement au cours de la première année puis à la date anniversaire de la signature du contrat. Chez Magnolia.fr, il y a eu "une explosion des demandes assez incroyable" avec un triplement des appels lors de la première semaine de septembre, dès que la nouvelle législation s'est appliquée aux anciens prêts, selon M. Le Gallo.L'assurance emprunteur est un marché détenu à environ 85% par les banques qui réalisent des marges importantes au détriment du pouvoir d'achat des emprunteurs, dénoncent depuis plusieurs années les associations de consommateurs et les assureurs eux-mêmes.Début octobre, le régulateur européen de l'assurance a d'ailleurs pointé les bancassureurs, évoquant "des risques importants de préjudices pour le consommateur" et "une gestion insuffisante des conflits d'intérêts".Résilier un contrat souscrit via une banque au profit d'un assureur traditionnel peut permettre d'économiser plusieurs milliers, voire dizaines de milliers d'euros, sans réduire la couverture des risques puisque ce changement ne peut être effectué qu'à protection équivalente.Et les banques qui traînaient les pieds auparavant jouent désormais "le jeu et sont réactives" depuis ces bouleversements législatifs, note M. Le Gallo.
Il y a 2 ans et 222 jours

AfterBIM #9 : Le développement autour de Dynamo avec Mostafa El Ayoubi

Cet AfterBIM #9 se fera en compagnie de Mostafa El Ayoubi, créateur du package Dynamo Data-Shapes et co-fondateur de la société Data Shapes. Lors de cette session, Mostafa vous propose un échange sur le développement autour de Dynamo. Et pour aller plus loin, il fera un Zoom sur le développement des plugins spécifiques comme Orkestra. Cet AfterBIM sera l’occasion d’échanger autour de noeuds en python, C#, plugins, du concept de l’objet BIM dans Dynamo… sans oublier une annonce spéciale à ce sujet, rien que pour vous ! Rendez-vous le 27 octobre à 17h30 pour un retour d’expérience et un moment d’échange pour continuer de faire vivre notre passion pour le BIM.
Il y a 2 ans et 222 jours

INOHA, les Industriels du Nouvel Habitat, lance une nouvelle version de son site internet

Après plusieurs mois de travail, INOHA, les Industriels du Nouvel Habitat, vient de finaliser son site Internet dédié à ses adhérents du secteur de l’entretien, du bricolage, de l’aménagement extérieur, du jardinage et de l’amélioration de l’habitat : www.inoha.org Véritable vitrine des engagements et services qu’INOHA met à la disposition de ses adhérents, le nouveau site Internet d’INOHA a été conçu comme une plateforme web généraliste plus moderne. Grâce à une navigation intuitive, il est plus pratique et plus simple à utiliser. Il regroupe toutes les informations nécessaires pour les adhérents d’INOHA et pour les publics externes autour de six grandes rubriques :• Nous connaître : présentation de la Gouvernance et de l’équipe d’INOHA, l’annuaire des adhérents, les missions et les valeurs d’INOHA ainsi que la stratégie 2025 de l’association.• Expertise : déclinaison du savoir-faire et de l’accompagnement d’INOHA en matière de connaissance marché, d’études, du cadre juridique, de la RSE et de la supply chain management…• Evénements : annonce de tous les événements organisés par INOHA pour ses adhérents tout au long de l’année (Matinées de la Distribution, Commissions thématiques, Inohadays, journée de réflexion prospective sur une thématique clé pour la filière, …).• Partenaires : présentation des membres associés d’INOHA.• Presse : publication des derniers communiqués de presse, du rapport d’activité annuel d’INOHA.• Devenir adhérent pour tous les industriels du secteur souhaitant rejoindre INOHA. Un espace privé est réservé aux adhérents. Ils peuvent y retrouver des informations sur leur marché, de la veille et prospective régulières sur leur secteur, des actualités juridiques et réglementaires, … Cette rubrique sera complétée, dès le mois de novembre prochain, par la nouvelle plateforme « Observatoire des Marchés » qui mettra à leur disposition l’ensemble des données qui leur sont utiles pour éclairer leur prise de décision, construire et piloter leur stratégie et leurs plans de développements pour mieux appréhender leur marché. www.inoha.org
Il y a 2 ans et 222 jours

Installer des ombrières photovoltaïques sur les parkings de supermarchés produirait l'équivalent d'un EPR par an

Question : A combien estimez-vous les surfaces de parking de centres commerciaux en France susceptibles de recevoir des ombrières produisant de l'électricité solaire ?Réponse : "L'Ademe a identifié 843 friches industrielles et urbaines pouvant recevoir des installations photovoltaïques, et nous estimons que dans ce total, il existe entre 90 et 150 millions de mètres carrés de parkings de plus de 2.500 mètres carrés susceptibles d'être équipés en ombrières. Nous équipons déjà des hôpitaux, comme celui d'Evreux, certaines usines comme celle de Bledina à Brive-la-Gaillarde en Corrèze, ou Evian en Haute-Savoie, et commençons à équiper des centres commerciaux. En moyenne, chaque équipement coûte 1 million d'euros par site, et permet de couvrir 30% des besoins énergétiques quotidiens de nos clients.Nous louons les surfaces de parking grâce à un bail avec les distributeurs, à qui nous revendons ensuite l'électricité solaire à un prix inférieur à celui du marché. Les filiales d'EDF et d'Engie, qui sont nos principaux concurrents, ont le même modèle d'affaire que nous. Nous arrivons avec des investisseurs, l'installation ne coûte rien aux centres commerciaux, et leur permet de dégager des bénéfices dès la première année".Q : Cela représenterait quelle puissance d'électricité fournie ?R : "Les parkings de supermarchés représentent un énorme réservoir d'énergie. Si on équipait seulement la moitié de ces parkings, c'est comme si on produisait 2 gigawattheure par an en électricité solaire, soit autant que 1,2 EPR (nucléaire) par an.La France est très en retard sur le sujet car on voit de telles ombrières un peu partout en Europe. Il faut penser que ce type d'équipement peut aussi favoriser le développement des véhicules électriques, car dessous on peut installer des bornes alimentées en partie par du solaire, ce qui permettrait aux centres commerciaux volontaires d'offrir des recharges gratuites à leurs clients".Q : Où vous approvisionnez-vous en matériaux pour les panneaux solaires ? Qu'avez-vous prévu pour le recyclage des panneaux solaires en fin de vie ?R : "Les contrats prévoient la fin de vie et le recyclage, chaque client peut choisir de remplacer les panneaux ou de les retirer. Les panneaux sont garantis au moins 25 ans. L'acier galvanisé est français et nous avons aussi un fournisseur français de panneaux photovoltaïque. Il y a déjà une usine de recyclage dans le Roussillon et une deuxième en cours de création."
Il y a 2 ans et 222 jours

Bas-Rhin : Achatmat décroche le label “Alsace Excellence”

Achatmat a décroché de label “Alsace Excellence”. [©Achatmat] Le label “Alsace Excellence” a été créé par l’agence de développement d’Alsace Adira pour consolider l’attractivité, la compétitivité et le rayonnement de la région. Les entreprises labellisées doivent toutes être capables d’exceller dans trois domaines. A savoir, la performance économique, l’éthique sociale et sociétale, et la responsabilité environnementale. Sur les 85 907 sociétés d’Alsace, seulement 109 sont reconnues “Alsace Excellence”. Et la dernière en date n’est autre qu’Achatmat, qui devient ainsi le premier site e-commerce de matériels de construction à décrocher cette distinction. Un partenariat avec Heppner « Nous avons été décrits par le label comme une entreprise dynamique, avec une équipe chaleureuse vouée à la satisfaction de ses clients, soulignent Frédéric Guillotin et Yannick Adam, co-fondateurs d’Achatmat. Nous nous reconnaissons dans “Alsace Excellence”, car il englobe les trois piliers fondamentaux. En tant qu’êtres humains, gérants et aussi parents, ces trois sujets nous touchent directement. » Achatmat se distingue par ses actes et à travers certaines collaborations. En particulier avec Heppner, qui forme les conducteurs de poids lourds à rouler en consommant moins et de manière moins polluante. On peut aussi citer les partenariats avec Colibri Forest pour la plantation de forêts. Ou encore Elise Strasbourg, pour le recyclage des déchets. Des actions qui montrent l’engagement d’Achatmat à respecter les trois piliers du label.
Il y a 2 ans et 222 jours

Rockwool partenaire du CiDB aux Neuvièmes Assises Nationales de la Qualité de l’Environnement Sonore 2022

En tant que partenaire historique du CiDB, acteur incontournable de la promotion de la lutte contre la nuisance sonore, ROCKWOOL a participé aux Neuvièmes Assises Nationales de la Qualité de l’Environnement Sonore 2022 les 27 et 28 septembre au Centre International de Conférences Sorbonne Université. L’édition placée sous le signe de l’investissement s'est proposée d’identifier les conditions pour lesquelles le bruit peut constituer un levier ou un frein à la transition écologique, à l’économie et à l’amélioration du bien-être.ROCKWOOL acteur du nécessaire investissement dans l’environnement sonoreLe bruit est néfaste pour notre santé et selon l’Organisation mondiale de la Santé (OMS), les personnes vivant et travaillant dans les villes sont particulièrement vulnérables. Une isolation acoustique efficace est donc primordiale dans une maison ou autres bâtiments (tertiaires ou industriels) pour créer un environnement confortable et sûr.En participant aux côtés du CiDB aux Assises Nationales de la Qualité de l’Environnement Sonore, ROCKWOOL souhaite interagir avec les professionnels du secteur afin de travailler main dans la main aux solutions les plus innovantes pour se prémunir des nuisances sonores. C’est ce qu'a proposé l’événement en tant que carrefour de rencontres unique et le lieu d’échanges d’un important réseau de professionnelles de la sphère institutionnelle, des industriels et des entreprises, du monde associatif ainsi que des structures de recherche et des collectivités locales. Des solutions en laine de roche au service d’environnements intérieurs plus sains et plus silencieux pour une meilleure qualité de vieS’il n’est pas toujours possible de maîtriser les niveaux sonores à la source, une isolation acoustique de qualité peut être une solution intéressante. Le bruit extérieur provenant de la circulation routière ou des avions par exemple peut être considérablement réduit par une isolation acoustique correcte de la toiture ou de la façade.L’isolation acoustique peut aussi améliorer le confort acoustique et éviter les nuisances sonores provenant de l’intérieur d’un bâtiment Lorsqu'ils sont installés sur des planchers intermédiaires ou sur les murs intérieurs d’un immeuble d’habitation ou d’un complexe de bureaux, les panneaux d’isolation thermo-acoustique, sont particulièrement efficaces pour réduire la quantité de bruit pénétrant dans un environnement de vie ou de travail.En effet, grâce à la structure poreuse ouverte, la laine de roche ROCKWOOL est un excellent amortisseur de bruit hautement efficace par nature. De plus, grâce à leur stabilité dimensionnelle, les solutions d’isolation ROCKWOOL sont durables dans le temps et conservent leurs performances même au-delà de 55 ans, ce qui garantit un excellent confort acoustique tout au long de la durée de vie d’un bâtiment. C’est grâce à une innovation continue au cœur de sa stratégie que ROCKWOOL peut proposer des produits toujours plus performants.Avec le CiDB, identifier ensemble les axes de développement en faveur de l’amélioration de l’environnement sonorePour ROCKWOOL, Les Assises Nationales de la Qualité de l’Environnement Sonore étaient une occasion incontournable pour échanger sur les bonnes pratiques et les solutions novatrices en faveur de l’environnement sonore, mais aussi comprendre les besoins des consommateurs tels que les professionnels de la construction, les ERP, ou encore les établissements scolaires ou de santé.L’événement qui comprenait trois conférences plénières et 20 ateliers thématiques incluait également des ateliers professionnels et une exposition présentant les solutions et innovations des acteurs du secteur (métrologie, produits, logiciels, etc.). Environ 500 personnes étaient attendues sur les deux jours.Tristan Sacquet, Ingénieur Acousticien ROCKWOOL le rappelle : « En tant qu'acteur engagé du secteur du bâtiment et leader de l'isolation, ROCKWOOL a pour objectif de construire un avenir meilleur, avec des bâtiments plus sûrs, plus durables et plus résilients, notamment, sur plan acoustique. »
Il y a 2 ans et 222 jours

LA FFB et le CCCA-BTP renforcent leur collaboration pour accompagner les entreprises dans leurs besoins en formation et recrutement

Par cette convention, les deux parties s’engagent, pour la FFB, à apporter son expertise métier et sectorielle ; pour le CCCA-BTP, à apporter son expertise au service de la qualité de la formation professionnelle et notamment l’apprentissage.En effet, les changements actuels inhérents à la volonté de construire bas carbone, réhabiliter durablement le patrimoine, améliorer la performance énergétique du bâti et la promotion de la transition numérique des métiers du bâtiment font émerger de nouvelles compétences qui nécessitent de former et de recruter de plus en plus de jeunes diplômés.En mobilisant leurs structures, la FFB et le CCCA-BTP contribuent à l’évolution de la formation et donc de l’adaptation des compétences, avec un plan d’actions dès 2022 pour :mettre l’accent sur les besoins en compétences ;placer l’innovation au cœur des formations préparant aux pratiques professionnelles ;promouvoir l’enregistrement des certifications professionnelles ;favoriser l’intégration pérenne des nouveaux entrants en entreprise.Pour Olivier Salleron, président de la FFB : « Depuis 80 ans, la FFB qui a créé le CCCA-BTP avec les partenaires sociaux du BTP, participe par l’engagement de ses mandataires, à sa gestion et son développement. Le secteur a besoin des compétences nécessaires aux évolutions actuelles et à venir de ses marchés. Les enjeux climatiques sont un des moteurs des changements. Il est du devoir de la FFB de contribuer à l’évolution de l’offre de formation en partageant son expertise métiers. »Pour Éric Routier, président du CCCA-BTP : « Ce partenariat entre le CCCA-BTP et la FFB, membre de notre conseil d’administration à gouvernance paritaire, réaffirme les liens forts qui nous lient. Le développement des compétences, indissociables de la formation, est au centre des enjeux auxquels les entreprises du bâtiment doivent répondre. C’est le cœur de ce partenariat, qui s’appuie sur les expertises du CCCA-BTP, pour impulser l’innovation dans les métiers et les pratiques pédagogiques, afin de répondre aux besoins en compétences et qualifications professionnelles des entreprises du bâtiment et assurer l’excellence de la formation professionnelle, en particulier de l’apprentissage. »
Il y a 2 ans et 222 jours

Ambitieux programme de requalification urbaine "Chelles-Foch" en entrée de ville de Chelles

En lieu et place d’une friche présente depuis plus de 10 ans située avenue du Maréchal Foch, en entrée de ville, à seulement 600 mètres de la gare du RER E qui relie Paris et de la future ligne 16 du métro, du centre-ville historique de Chelles et à proximité de nombreux commerces, l’opération Chelles-Foch s’intègre dans un environnement urbain dynamique.Programme mixte ambitieux répondant aux besoins du territoire, l’opération s’étendra sur 8.750 m² SDP et accueillera :Un bâtiment de 33 logements gérés par in’li et dotés d’une double exposition (et pour certains d’une triple) offrant une grande luminosité. Chaque logement bénéficiera d’un espace extérieur (balcon ou terrasse).Une résidence pour séniors de 117 logements (T1, T2 et T3), pour le compte de l’OPPCI Esprit Pierre Résidences (Groupe Spirit), qui sera gérée par Les Girandières, filiale du Groupe Réside Etudes. Adaptée aux besoins spécifiques des séniors autonomes, elle offrira une large palette de services : restaurant, coiffeur, salon de massage, salle polyvalente, salle de gym, services de linge… Un jardin d’agrément permettra aux résidents de partager des moments de convivialité et de profiter des espaces verts. Un programme à la croisée de l’hôtel, de la résidence gérée et du logement traditionnel, issu d’une réflexion approfondie autour des usages et du bien-être. Cette résidence pour séniors, souhaitée par la Ville, vient opportunément compléter le parcours résidentiel des Chellois.Un commerce en pied d’immeuble viendra compléter l’offre de services de proximité du quartier pour le compte d'AVM Holding.Une conception architecturale dans la pure tradition chelloiseL’architecte, MAIREA Architecture a su répondre aux attentes de la Ville en reprenant les codes de l’architecture chelloise traditionnelle (toitures en pente, façades en brique et pierre, modénatures) dans la continuité du tissu urbain local tout en respectant les contraintes du terrain. Trois axes ont guidé l’écriture architecturale : marquer l’entrée de la ville, créer un profil urbain et séquencer les bâtiments.Les labellisations environnementales visées par ce projetLa résidence services pour les séniors sera labellisée E2C1 et atteindra le niveau de performance énergétique RT2012-17%, et les logements seront eux certifiés NF Habitat HQE. Ces critères environnementaux s’inscrivent dans la démarche RSE de Linkcity et de l’ensemble de ses partenaires.Pour David MARQUET, Directeur Général Adjoint Linkcity Ile-de-France : « C’est un travail de longue haleine qui a été mené, intégrant notamment la réhabilitation complète des sols. Ce projet symbolise l’esprit partenarial de Linkcity : architecte, investisseurs, exploitant, entreprises, tous associés pour satisfaire la commune de Chelles et réaliser un projet ambitieux porteur pour le territoire. »Pour Benjamin STUTZMANN et Alexandre PARVEZ, respectivement Président et Directeur des Acquisitions chez SPIRIT REIM SERVICES : « Nous sommes très heureux de cette première acquisition pour le compte de notre fonds ESPRIT PIERRE RESIDENCES. Cette résidence correspond parfaitement à notre cible, à savoir un actif de qualité, sécurisé sur le long terme avec un exploitant de premier ordre. Elle répond aux exigences de la labellisation ISR du fonds, notamment en matière de réversibilité, qui se valorisera dans la durée grâce à la transformation en cours à l’entrée de Chelles et la desserte prochaine par le Grand Paris Express. »Pour Damien ROBERT, Président du directoire d’in’li : « In’li poursuit son engagement en faveur du développement de l’offre en logements intermédiaires en zones tendues, en Ile-de-France. Le partenariat avec la ville de Chelles est en ce sens exemplaire. Il s’inscrit dans une logique territoriale alliant offre de transport, développement urbain raisonné, services et logements. C’est grâce à ce type de démarche que nous répondrons aux défis du Grand Paris de demain ! »
Il y a 2 ans et 222 jours

100 ans d’expérience dans l’éclairage fonctionnel… « made in France »

Depuis 100 ans, Lébénoïd s’impose comme l’un des plus importants fabricants français avec le développement d’une offre large et variée de luminaires fonctionnels et/ou décoratifs. Près de 2 500 références dédiées aux marchés du résidentiel, du tertiaire, de l’industrie, du commerce et de l’éclairage sportif. Ce spécialiste emploie aujourd’hui 120 collaborateurs répartis sur 4 sites dont 2 consacrés à la production. Il compte 2 000 points de vente partenaires, réalise un chiffre d’affaires de 31 millions d’euros en Europe et jouit d’une forte notoriété auprès des utilisateurs, installateurs électriciens, des distributeurs professionnels. Marque française depuis son origine, Lébénoïd continue à enrichir son offre et à proposer des gammes « made in France » toujours plus performantes. En maitrisant l’ensemble de la chaîne de valeur : conception, injection des pièces plastiques, montage des composants électronique, assemblage final du produit et stockage local, Lébénoïd applique une stratégie industrielle efficace et responsable.
Il y a 2 ans et 223 jours

L'industrie veut faire des gaz verts un atout dans le contexte énergétique actuel

FOCUS. Alors que la crise énergétique fait flamber les cours du gaz et de l'électricité, les industriels insistent une nouvelle fois sur le nécessaire développement des gaz renouvelables. Une opportunité de consolider l'indépendance énergétique de la France selon eux, nonobstant la production locale et durable de ces molécules spécifiques.
Il y a 2 ans et 223 jours

Premier site de recyclage de laine de verre Isover signé Hoffmann Green

Isover voit son premier site de recyclage de laine de verre signé Hoffmann Green. [©Hoffmann Green] En collaboration avec Eiffage Génie Civil, Hoffmann Green participe à la construction d’un prototype industriel. Cleui-ci est dédié au recyclage de la laine de verre de déconstruction. Ceci, pour le compte d’Isover. C’est à Chemillé-en-Anjou (49) que l’ensemble des fondations de l’atelier prototype de la société Isover ont été coulées avec du ciment H-UKR d’Hoffmann Green. Dans la continuité de son offre Isover Recycling, la filiale de Saint-Gobain intensifie son développement en faveur d’une économie circulaire du bâtiment Neutralité carbone en 2050 Avec une mise en service prévue en 2023, cette installation pilote répondra aux ambitions fortes du groupe Saint-Gobain d’atteindre la neutralité carbone en 2050. « La réalisation de ce prototype industriel révolutionnaire à fusion par brûleurs immergés permettra de recycler la laine de verre en quantité industrielle pour la transformer en calcin. Cette installation réduira notre consommation de matières premières. Ce calcin sera utilisé dans le process de fabrication de nos produits isolants. Et permettra aussi de diminuer notre consommation énergétique, nos émissions de carbone et améliorera le cycle de vie de nos produits. L’utilisation de ce béton à faible impact carbone pour la réalisation du bâtiment contribue à notre démarche de développement durable », conclut Jérôme Saulnier, directeur technique Isover France et Suisse. Retrouvez l’interview de David Guglielmetti, directeur du développement chez Hoffmann Green, sur Batimat 2022.
Il y a 2 ans et 223 jours

Geplast réalise l’acquisition de la société F.M.I. Moules et Injection

La volonté d'acquérir un nouveau savoir-faireAprès 15 ans de partenariat, les discussions de cette opération se sont installées assez naturellement entre les deux entreprises familiales. « Au départ, il était seulement question d'échanger sur les futurs investissements entre nos deux sociétés » affirme Christophe GUEGAN avant de poursuivre « mais quand l'opportunité de créer cette synergie s'est présentée de manière plus concrète, j'ai jugé que Geplast était un partenaire solide, de confiance avec qui je partageais les mêmes valeurs et la même vision globale d'entreprise. Je savais qu'elle pourrait perpétuer notre savoir-faire, si important à mes yeux et nous amener à développer nos activités communes ».L'acquisition de F.M.I. Moules et Injection rentre parfaitement dans une volonté d'intégrer de nouvelles compétences dans le domaine de la transformation de matières polymères. Cette maîtrise complète de la conception, du développement jusqu'à la production des pièces injectées et des profilés extrudés permet à Geplast de répondre aux demandes spécifiques de la clientèle et de diversifier son offre en s'inscrivant sur de nouveaux secteurs d'activités.Concepteur et fabricant de moules et pièces injectées 100% françaisCréée en 1996 par Christophe GUEGAN, F.M.I. Moules et Injection est spécialisée dans la conception et la fabrication de moules d'injection permettant la production intégrée de pièces injectées en matières polymères PVC, ABS, ASA, polyamide et matières biosourcées. Elle compte aujourd'hui 11 salariés pour un chiffre d'affaires de 1,5M€ et rayonne sur le territoire national dans des secteurs d'activités variés : bâtiment, PLV, aménagement extérieur, médical, cosmétique…Avec une superficie couverte de 2500 m² pour une surface totale de 7000 m² ; la société possède un parc machines de 8 presses d'injection.Mutualiser les compétences et les investissementsSi la société F.M.I. Moules et Injection est désormais intégrée à la stratégie de développement de Geplast, celleci reste une entité à part entière pilotée par Christophe GUEGAN et sa femme Laurence, en étroite collaboration avec la direction de Geplast. « Pour nous, c'est une manière de les impliquer dans nos projets futurs. Nous souhaitons également rassurer et garder un lien de confiance avec les salariés présents sur le site de Bellevigny » indique Etienne GRIMAULT, président.Les deux entreprises souhaitent donc développer une stratégie commerciale ayant pour objectif principal d'étoffer le portefeuille clients et par conséquent la demande en pièces injectées et extrudées.« L'objectif à 5 ans est de multiplier par trois le chiffre d'affaires actuel. Cela passera notamment par la création de nouveaux emplois, un réaménagement des espaces de production et de stockage et l'arrivée de nouvelles machines » concluent Maxime GRIMAULT et Christophe GUEGAN.
Il y a 2 ans et 223 jours

Nouvelle paroi en verre rétractable : une fermeture panoramique glissante, pivotante et reposant au sol

La volonté de la société est d’offrir à ses partenaires en BtoB une gamme complète de produits innovants pour répondre à la demande de leur clientèle. Ce système est totalement fabriqué sur mesure : une largeur illimitée et une hauteur pouvant atteindre jusqu’à 3000mm. Le profilé bas de La Paroi en Verre Rétractable est composé d’une bande de téflon permettant aux vantaux de glisser de manière fluide, sans friction. Le profilé haut sert uniquement au maintien et au guidage des panneaux de verre. Un travail de longue haleine effectué pendant plus d’un an par le Bureau d’Etude, de Recherches & Développement de Glass Systems.Pour plus d'informations, la Catalogue est disponible à cette adresse.
Il y a 2 ans et 224 jours

MaPrimeRénov, ZAN, infrastructures... le ministre Béchu sur tous les fronts

POLITIQUE. Devant la commission Développement durable de l'Assemblée nationale, le ministre de la Transition écologique et de la Cohésion des territoires, Christophe Béchu, a déroulé sa vision sur de nombreux sujets sensibles dans le large périmètre de son ministère. Rénovation, ZAN, grands projets, infrastructures... les sujets abordés ont été nombreux. Morceaux choisis.
Il y a 2 ans et 224 jours

Philippe Jouy, directeur général adjoint de Bouygues Construction

Philippe Jouy est le nouveau DG adjoint de Bouygues Construction, en charge de Bouygues Bâtiment. [©Bouygues Construction] Nommé directeur général adjoint de Bouygues Construction, Philippe Jouy est en charge de Bouygues Bâtiment France. Il était précédemment à la tête de la zone Asie de Bouygues Bâtiment International, après avoir été président, de 2015 à 2021, de Bouygues Bâtiment Nord-Est. Il a rejoint le groupe Bouygues en 1993 dans des fonctions financières, après un début de carrière aux Etats-Unis en tant qu’ingénieur environnement. « La singularité de notre modèle associant entreprise générale et développement immobilier, l’engagement et les expertises des équipes, ainsi que l’ancrage local de Bouygues Bâtiment France sont nos meilleurs atouts. Ils nous donnent les moyens de renforcer notre position de partenaire de préférence des territoires, en les accompagnant sur des projets catalysant dynamique locale et transition environnementale » a déclaré Philippe Jouy. Ce dernier est diplômé de l’ESTP, d’un Master of Science de l’université de Birmingham et d’un MBA de la London Business.
Il y a 2 ans et 226 jours

FAIRE Paris 2022 : candidatez !

Quel esthétisme pour la ville en transformation est le thème de l’appel à candidatures FAIRE Paris 2022, initié par le Pavillon de l’Arsenal (Paris) qui permet de soutenir des projets de recherches et de développement d’architectes, de designers ou encore de paysagistes, professionnels ou étudiants. Jusqu’au 16 novembre 2022. Depuis sa première édition, FAIRE a […] L’article FAIRE Paris 2022 : candidatez ! est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 2 ans et 226 jours

RenoDays : le nouveau salon de la rénovation énergétique des logements

Depuis 2007, le secteur du bâtiment s’est progressivement emparé du sujet de la rénovation énergétique. En 15 ans, un marché s’est créé grâce aux plans successifs des pouvoirs publics et à l’investissement des acteurs privés. Depuis 3 ans, les dispositifs d’aide aux travaux de rénovation a généré une forte augmentation de la demande et du volume de travaux.Désormais, la rénovation énergétique des logements s’impose comme l’une des priorités portées par la filière pour agir efficacement en faveur de la sobriété énergétique et de l’amélioration des conditions de vie de millions de Français. L’édition 2022 du Mondial du Bâtiment l’a démontré au travers des prises de positions publiques et privées, et par la présentation de nombreuses solutions.Pour lever les freins existants et accélérer la mise en oeuvre de travaux de rénovation efficaces, de multiples solutions existent déjà et doivent être adoptées plus largement.Afin de dynamiser le marché et donner les moyens aux professionnels de prendre ce chantier à bras le corps, le Pôle Construction de RX crée les RenoDays, le salon de la rénovation énergétique des logements.Avec l’ambition de rassembler toute la chaîne de valeur de la rénovation énergétique des logements, les RenoDays seront le 1er salon professionnel entièrement dédié à la rénovation énergétique.Ce nouvel événement proposera une expérience pour diversifier les opportunités de rencontre entre professionnels, favoriser le développement du marché et guider les acteurs de la filière.Ainsi, les RenoDays offriront un format innovant, construit sur une grande diversité de sessions de rencontres pour :échanger des conseils, des expertises et des bonnes pratiques ;s’informer sur les évolutions de la réglementation ;apprendre et se former, présenter ou découvrir les solutions les plus innovantes, et communiquer.Chaque visiteur aura la possibilité de construire son propre parcours personnalisé en fonction de ses besoins et de ses attentes.Guillaume Loizeaud, Directeur du Pôle Construction de RX affirme : "Avec le Mondial du Bâtiment, qui vient de fermer ses portes, les RenoDays 2023 seront le seul évènement à aborder de façon aussi complète le thème de la rénovation énergétique des logements, essentiel pour atteindre les objectifs de décarbonation. Aucun sujet ne sera écarté, tous les freins au développement du marché seront traités, les solutions les plus prometteuses sélectionnées, les collaborations encouragées. Cet événement sera un succès si la mobilisation de tous les acteurs du secteur permet de donner un réel élan à la rénovation énergétique des logements. Je donne rendez-vous à tous les acteurs engagés en faveur de la sobriété énergétique, aux RenoDays 2023, le salon de la rénovation énergétique des logements, les 3 et 4 octobre 2023 à Paris Expo Porte de Versailles."
Il y a 2 ans et 227 jours

Mondial du Bâtiment 2022 : une nouvelle formule couronnée de succès

Une mobilisation sans précédentOrganisé à Paris Expo Porte de Versailles, le nouveau Mondial du Bâtiment a enregistré une importante augmentation du nombre de ses visiteurs (+15%), marquée par une hausse des visiteurs français (+25%) venus de différentes régions.Top 5 des régions Françaises venues au Mondial du Bâtiment : Ile-de-France, Auvergne Rhône-Alpes, Hauts-de-France, Grand Est et Nouvelle Aquitaine.La présence de visiteurs internationaux était quant à elle en légère baisse (-15%). Néanmoins, le Mondial a de nouveau accueilli de nombreuses et fidèles représentations internationales telles que la Délégation marocaine, l'Ordre National des architectes du Bénin, l'Ordre National des ingénieurs du Cameroun, la Délégation sénégalaise, la Délégation algérienne, des Délégations tunisiennes (Chambre de Commerce et d'Industrie du Sud-Est, CCI de Sfax, CCI du Nord-Ouest, CCI du Centre), Délégation ivoirienne.Les organisateurs se réjouissent du climat d'affaires positif qui a régné durant les 4 jours de l'événement, grâce à la présence de nombreux décideurs et de visiteurs particulièrement qualifiés. Accueillis par 1720 exposants, tous les métiers du Bâtiment et de la construction étaient ainsi fortement représentés : Prescripteurs (20%), Installateurs (36%), Distributeurs (17%), Fabricants (14%), Organismes (13%).De l'avis général, tous les participants ont retrouvé ce qu'ils appréciaient sur les anciennes éditions parisiennes de BATIMAT, INTERCLIMA et IDÉOBAIN : une grande convivialité et une ambiance décrite par tous comme chaleureuse, renforcée par la possibilité de profiter de soirées organisées à Paris.La décarbonation du bâtiment placée au coeur des débatsSi le bâtiment est le premier secteur concerné pour atteindre les objectifs fixés par la Stratégie Nationale Bas Carbone, le Mondial du Bâtiment 2022 en a été assurément son lieu d'expression pour le secteur de la construction.Seul événement d'envergure internationale dédié au secteur, le Mondial du Bâtiment s'est imposé comme le rassemblement incontournable des décideurs et acteurs clés de la décarbonation du secteur.Grâce à de très nombreux temps forts et de multiples rencontres d'envergure, le sujet de la décarbonation a ainsi été placé au coeur des débats :Avant l'ouverture officielle du salon, le « Sustainable Builders 50 » a été inauguré, en présence de François Hollande. Ce « Think & Do-tank » a réuni plus de 50 décideurs, experts et personnalités guidés par la recherche de l'impact et de changements concrets afin d'atteindre les objectifs de réduction des émissions de 2030 et 2050.Mobilisés par les organisateurs du Mondial du Bâtiment, des représentants des pouvoirs publics ont pu rencontrer de nombreux chefs d'entreprise de l'industrie du bâtiment et échanger avec eux leur regard sur les enjeux de la transformation profonde de la filière : Olivier Klein, Ministre délégué auprès du ministre de la Transition écologique et de la Cohésion des territoires, chargé de la Ville et du Logement a inauguré le Mondial du Bâtiment ;A l'occasion de son discours lors de l'Assemblée Générale du Plan Bâtiment Durable, Christophe Béchu, Ministre de la Transition écologique et de la Cohésion des territoires a remis en perspective les grands éléments de la politique publique et démontré son attachement à la réussite de la transformation du secteur ;Olivia Grégoire, Ministre Déléguée chargée des PME, du Commerce, de l'Artisanat et du Tourisme a pu échanger avec les futurs professionnels du bâtiment et les Compagnons du devoir, et souligner avec eux l'engagement de l'état auprès des petites et moyennes entreprises.Pour la première fois, le Mondial du Bâtiment a enregistré la visite de deux commissions parlementaires démontrant l'importance des enjeux de la transformation du secteur pour les territoires : la Commission parlementaire des affaires économiques, présidée par Guillaume Kasbarian et la Commission parlementaire du développement durable, présidée par Jean-Marc Zulesi.La transition énergétique de la France était tellement au coeur des débats de cette semaine, que le dernier jour du Mondial du Bâtiment, la Première Ministre Elisabeth Borne est venue au Parc des Expositions de la Porte de Versailles pour présenter le plan de sobriété de l'Etat en présence d'Agnès Pannier-Runacher, ministre de la Transition énergétique.Un observatoire unique de l'avenir du secteurPour la première fois réunis ensemble à Paris, les salons BATIMAT, INTERCLIMA et IDÉOBAIN ont mobilisé 1720 exposants et enregistré le retour de plus de 140 leaders et 45% de nouveaux exposants.L'innovation, présente partout dans le Mondial du Bâtiment et portée par un remarquable cru des Awards de l'Innovation, aura été une nouvelle fois l'un des principaux marqueurs de l'édition, illustrant le dynamisme de la filière.Parallèlement, les nouveaux formats de conférences ont été plébiscités. D'une ampleur inédite, avec la présence de plus de 90 experts sociétaux tels que Cynthia Fleury, Jean-Marc Jancovici, Bernard Amsellem, Navi Radjou, Yamina Saheb…, les Batitalks ont enregistré un fort taux de participation. Ce programme d'analyses et de décryptages était enrichi par une grande diversité de conférences et rendez-vous organisés par les partenaires du salon. L'ensemble du dispositif a réuni au total plus de 1 000 intervenants avec 450 conférences.Les organisations professionnelles telles que la Fédération Française du Bâtiment et la Capeb se sont également mobilisées et ont fait part de leur satisfaction quant à la réussite de cette édition qui leur a permis de délivrer leurs messages sur tous les sujets liés aux enjeux économiques du secteur et l'évolution des métiers.Les jeunes a l'honneurLe recrutement des jeunes et la formation étaient deux sujets essentiels que le Mondial du Bâtiment entendait mettre à l'honneur. Force est de constater que l'objectif a été atteint.Une délégation de près de 400 apprenants des CFA d'Ile-de-France et près de 600 jeunes en formation du Lycée Raspail se sont rendus sur le salon à la découverte des innovations. Ils ont pu avoir un temps d'échange avec la Ministre Olivia Grégoire, partageant avec eux le dynamisme de la filière et des métiers du bâtiment.Le nouvel espace Job Connect d'INTERCLIMA a permis de faire connaître les métiers du génie climatique au cours de rencontres quotidiennes. Du côté d'IDÉOBAIN des séances de job datings entre formateurs, installateurs et concepteurs-vendeurs qui se sont tenues. Sur BATIMAT plusieurs animations ont eu lieu dont la finale du concours du Meilleur Artisan de France.Un salon exemplaireLe Mondial du Bâtiment ne pouvait pas mettre en avant le sujet de la décarbonation sans s'approprier lui-même le sujet et faire preuve d'exemplarité. Cette nouvelle édition s'est donc placée sous le signe de plus grande sobriété et une meilleure maîtrise des dépenses. Un grand nombre d'exposants ont ainsi fait le choix d'une stand éco-conçus de leur stand en cohérence avec la stratégie du Mondial.De leur côté, les organisateurs du salon se sont engagés à réaliser un bilan carbone prévisionnel en passant l'ensemble de l'activité au crible selon la méthode scientifique de l'ADEME : transport, énergie, alimentation, hôtel... grâce à l'expertise du cabinet ECOACT qui est spécialisé dans ce type de démarche.Deux prochains rendez-vous a noterD'ores et déjà, les organisateurs travaillent sur l'évolution du prochain Mondial du Bâtiment tenant compte des tendances qui émergeront rapidement et toucheront en profondeur la filière. Le rendez-vous est donc pris, du 30 septembre au 3 octobre 2024, à Paris Expo Porte de Versailles.Cependant, le thème de la rénovation énergétique ayant été un des principaux sujets abordés pendant le Mondial du Bâtiment, RX annonce le lancement de RenoDays, un nouveau rendez-vous dédié au sujet et organisé en 2023, les 3 et 4 octobre, toujours à Paris.Guillaume Loizeaud, directeur du Mondial du Bâtiment se réjouit de ce succès : « La proposition que nous avons faite aux exposants comme aux visiteurs les a indéniablement séduits. Le retour à la Porte de Versailles est évidemment un atout important. La réussite du salon tient aussi à sa parfaite adéquation avec un état d'esprit plus général qui tend à plus de sobriété et d'homogénéité. Au-delà, nous avons surtout réalisé, avec nos partenaires, un véritable travail de fond qui a permis de donner à la filière le leadership du thème de la décarbonation du bâtiment. Lancé il y a 2 ans, le pari est donc réussi. Au nom de la filière, je suis également fier de constater que le Mondial du Bâtiment est, en période post-Covid, le seul évènement européen ayant enregistré un tel succès avec une croissance à deux chiffres de son nombre de visiteurs. »
Il y a 2 ans et 227 jours

Métropole de Rennes : le métro, un puissant vecteur de développement

...-Collectivités locales
Il y a 2 ans et 228 jours

Attrait des métiers, performance: une double contrainte pour les outillages et équipements

Le secteur des équipements, au carrefour des nouvelles demandes en bâtiment et travaux publics, est soumis aux importants changements demandés par les principes du développement durable. ©Bosch
Il y a 2 ans et 228 jours

Partenariat entre Hilti et l’OPPBTP pour évaluer les effets de l’usage de l’exosquelette HA EXO-O1

A ce jour, aucune étude n’a été réalisée en France sur les chantiers et sur le long terme pour analyser l’effet de l’usage de ces outils sur la santé et la performance des utilisateurs. Pour pallier ce manque de retours d’expériences, Hilti a lancé une étude d’envergure basée sur l’utilisation de son exosquelette HA EXO-O1 et s’est adjoint les compétences et l’expertise de l’OPPBTP pour un support méthodologique et technique.Réduire les TMS grâce aux exosquelettesConfrontées à des situations de travail qui peuvent entraîner des difficultés pour leurs collaborateurs et notamment provoquer des TMS lors de tâches répétitives, les entreprises sont à la recherche de solutions. Parmi ces dernières, l’usage d’un exosquelette peut être envisagé pour soulager certaines activités. Hilti, fortement engagée dans le secteur du BTP notamment sur les questions de prévention, travaille depuis quelques années sur ce sujet et propose un exosquelette baptisé HA EXO-O1. Lancé en 2020, celui-ci a pour vocation de soulager les tensions provoquées sur les articulations lors de travaux nécessitant de lever les bras au-dessus des épaules. Il s’adresse donc à des situations de travail qui s’appliquent dans les métiers suivants : électriciens, plombiers, peintres et plaquistes.Un constat s’impose toutefois. Le développement de ces solutions étant récent dans le domaine du bâtiment, une analyse sur ces effets à moyen et long terme sur la santé et la performance des utilisateurs ne peut être que bénéfique.Ainsi, c’est pour mieux comprendre ces effets sur la santé et recueillir des données, notamment en ce qui concerne l’amélioration du confort au travail, la réduction de la fatigue musculaire ou de la consommation en oxygène lors de l’effort, que Hilti, premier vendeur d’exosquelettes en France, a décidé de mettre en place une étude de grande ampleur basée sur son propre exosquelette. Dans ce cadre, l’OPPBTP apporte son expertise sur les sujets de prévention en accompagnant Hilti sur les aspects méthodologiques et techniques de l’étude.Une étude de grande ampleur pour comprendre les effets de l’usage d’un exosquelette sur la santéEnviron 200 exosquelettes ont été mis à disposition d’entreprises partenaires afin qu’elles puissent expérimenter cette solution auprès d’opérateurs choisis. Durant un an, les collaborateurs bénéficient du soutien de l’EXO-O1 pour effectuer leurs tâches.Pour mener à bien cette étude, recueillir les données et les analyser, Hilti s’est rapproché de l’Institut de Thérapie Manuelle et Physiothérapie (ITMP), experts en évaluation fonctionnelle et en physiologie. Le Dr Bronislaw Kapitaniak, expert ergonome, apporte aussi son concours dans l’élaboration du protocole d’étude et la réalisation des évaluations intermédiaires auprès des utilisateurs.C’est dans ce cadre qu’intervient l’OPPBTP pour :Soutenir la construction du protocole d’expérimentation grâce à son expertise du monde du bâtiment et des nouvelles technologies d’assistance physique ;Contribuer à l’identification des entreprises participantes ;Aider à l’interprétation des résultats.Le suivi de l’étude sur 12 mois prévoit :Un questionnaire des opérateurs avant utilisation de l’exosquelette afin de définir leur état d’esprit, leurs attentes, leur état de santé initial.Des questionnaires réalisés à trois, six, neuf et douze mois.Sur une partie des collaborateurs participants, un suivi spécifique mené par les kinésithérapeutes de l’ITMP.Pour Louis des Escotais, Directeur marketing d’Hilti : « Hilti s'engage depuis toujours à développer des solutions et produits toujours plus innovants en termes de santé et sécurité pour nos clients sur chantier. C'est dans le cadre de cette démarche d'amélioration continue que nous nous sommes associés à l'OPPBTP et à plusieurs entreprises partenaires afin de mettre en place cette étude sur les effets à long terme de l'utilisation de notre exosquelette en conditions réelles. L'analyse des résultats nous permettra d'accompagner au mieux les entreprises qui souhaiteraient offrir cette solution à leurs collaborateurs afin de les soutenir dans leurs missions quotidiennes. »Pour Pascal Girardot, Ergonome et responsable Prévention de l'usure professionnelle à l'OPPBTP : « Nous suivons avec intérêt le développement des dispositifs d’assistance physique dans le cadre de nos propres travaux liés à la prévention sur les chantiers. Cette étude menée par Hilti va aussi nous permettre d’obtenir des informations concrètes sur les impacts de l’utilisation de ces solutions et cela sur le long terme. Cela peut nous aider à développer des outils afin d’aider les entreprises à bien utiliser ces dispositifs, à intégrer les contraintes qui y sont liées, à faciliter la prise en main des collaborateurs et à dispenser tous les conseils pour un bon usage des équipements. »
Il y a 2 ans et 228 jours

Sateco – Outinord : Un même groupe, mais deux stratégies

A gauche, Luc Ammeux, tout nouveau directeur général d’Outinord. A droite, Frédéric Quillévéré, directeur général de Sateco. [©ACPresse] C’est en toute discrétion que la maison-mère de Sateco a pris le contrôle à 100 % d’Outinord. Une opération initiée il y a environ une année et mise à profit pour commencer à remettre sur les rails ce spécialiste de la banche-outil basé à Saint-Amand-les-Eaux (59). Mais aussi pour construire une stratégie de groupe plus globale. Garder les deux marques totalement indépendantes l’une de l’autre en est le fondement. « A aucun moment, il n’a été question d’une quelconque fusion, confirme François Guilloteau, président de la maison-mère. Il était essentiel de laisser vivre Outinord, d’un côté, et Sateco, de l’autre, avec chacun leurs spécificités et leurs spécialités. » Deux nouveaux directeurs généraux En conséquence, sur le terrain, les deux industriels poursuivent leur co-existence dans le cadre d’une saine concurrence. L’objectif est que chacun réponde au mieux aux attentes, tant des grands groupes de BTP que des petites et moyennes entreprises. Pour Outinord, le changement d’actionnaires a permis la mise en place d’une nouvelle équipe dirigeante, dont l’arrivée de Luc Ammeux, en tant que directeur général, constitue l’aboutissement. A lui de poursuivre le travail engagé, avec l’instauration d’un programme de développement propre à la marque Outinord.Sateco, lui aussi, a vu l’arrivée d’un nouveau directeur général en la personne de Frédéric Quillévéré, par ailleurs successeur de François Guilloteau. Benoît Sabourin est, lui, le 4e personnage de l’histoire. Il seconde François Guilloteau, en assurant la fonction de directeur général du groupe. Auparavant, il occupait le poste de directeur général adjoint de Sateco et de directeur administratif et financier (depuis 2014). L’international comme vecteur de croissance Enfin, Patrick Micheneau représente le dernier homme de cette aventure. En charge de l’essor à l’international de Sateco, il en assurait aussi les fonctions de directeur général adjoint. Aujourd’hui, il a pris la responsabilité du développement international du groupe (plus de 110 M€ de chiffres d’affaires et 600 collaborateurs). L’ex-division indienne “Outinord Formworks” a été placée dans son giron. Et ce n’est que le début d’une reprise de croissance en dehors des frontières hexagonales. Pour mémoire, de par le passé, Outinord était parti à la conquête des Etats-Unis avec un certain succès, en particulier en Floride… Toutefois, l’actualité est africaine en ce moment. C’est sur ce continent, en Côte d’Ivoire, que vient d’être inaugurée, une filiale Sateco. Ceci, alors même qu’un revendeur Outinord y opère déjà. Une manière de montrer, à ceux qui doutent encore, que chaque marque mène bien sa propre vie !
Il y a 2 ans et 228 jours

Ondura rejoint Kingspan et intègre sa nouvelle division « Roofing and Waterproofing »

Ondura, créé autour de l’entreprise française Onduline, est spécialiste des solutions de toitures légères. Propriétaire d’alwitra, spécialisé dans les membranes hautes performances pour les toits plats et de l’entreprise polonaise CB, l’un des leaders européens des écrans de sous toiture et d’accessoires de couverture pour toits en pente, Ondura dispose d’une grande expertise dans l’étanchéité à l’eau et à l’air des bâtiments et développe ses activités sur les cinq continents. Dirigé par Patrick Destang, Ondura est présent dans plus de 100 pays et emploie 1.600 personnes.Ondura aborde une nouvelle étape en rejoignant le groupe Kingspan, leader mondial de solutions hautes performances pour l’isolation et l’enveloppe du bâtiment. Le rapprochement, annoncé en février 2022*, vient en effet de recevoir la validation des autorités réglementaires.A l’issue de cette intégration, Kingspan, présent dans plus de 70 pays et disposant de plus de 200 sites de production dans le monde, opérera dans six pôles majeurs :Insulated Panels : Panneaux sandwichs isolants, division principale et historique de Kingspan,Insulation : Panneaux isolants, isolation des tuyauteries et gaines,Light + Air : Solutions d’éclairage naturel et de ventilation, système d’évacuation des fumées,Water & Energy : Systèmes innovants de collecte des eaux de pluie et de contrôle des inondations, stockage des combustibles, des eaux chaudes, gestion intelligente des bâtiments,Data & Flooring Technology : Systèmes de planchers surélevés.Roofing & Waterproof - Solutions de toitures autour des savoir-faire d’Ondura.*Cf communiqué du 18 février 2022 : « Kingspan, le leader mondial des solutions d'isolation et d'enveloppe du bâtiment de haute performance, est entré en négociations exclusives avec Naxicap Partners et autres pour l'acquisition du groupe Ondura»Alors que le secteur du bâtiment est en pleine transition énergétique et écologique, cette nouvelle étape est particulièrement prometteuse pour le développement d’Ondura, qui bénéficiera de tout le support d’un groupe leader.Pour Patrick Destang, CEO d’Ondura : « L’intégration d’Ondura dans Kingspan est une excellente nouvelle pour l’ensemble des salariés du groupe. Kingspan est un groupe profondément international, résolument tourné, avec son programme « Planet Passionate », vers une ambition de réduction des consommations d’énergie et de développement durable conforme au scénario de 1,5°C du GIEC. Le réchauffement climatique et les incertitudes économiques démontrent l’importance de profiter de toitures et de systèmes d’étanchéité thermiquement performants et peu énergivores. Ondura, qui dispose de positions uniques sur ce segment, bénéficiera de toute l’expérience et du savoir-faire de Kingspan dans ce domaine pour proposer des solutions toujours plus respectueuses de la planète et de ses ressources. Je voudrais remercier Eric Aveillan et l’équipe Naxicap qui ont été des partenaires essentiels dans le développement d’Ondura, qui nous ont soutenu dans nos projets de croissance interne et externe, permettant au groupe de doubler son CA entre 2018 et 2021, incluant les acquisitions d’alwitra et de CB. »Pour Donal Curtin, Directeur général de la division Roofing & Waterproofing de Kingspan : « Le management, l’ensemble des équipes et les marques premium d'Ondura représentent des avantages de poids pour Kingspan, complétant nos capacités, produits et solutions existants. Impatients de poursuivre notre expansion sur les marchés de la toiture et de l'étanchéité, nous nous réjouissons de grandir ensemble et de partager nos expertises. Nous sommes enthousiastes à l'idée d'accueillir l'équipe élargie d'Ondura dans la famille Kingspan et de soutenir le succès continu de l'entreprise. »
Il y a 2 ans et 228 jours

Low Tech avec Construction 21 – Bati Journal TV sur Batimat 2022

avec Catherine Papillon, Directrice Développement Durable & RSE – BNP Paribas Real Estate Anne Keusch, Directrice Développement Durable & Innovation – Groupama Immobilier Charlotte Girerd, Directrice Transition, RSE & Innovation – SNCF Immobilier    
Il y a 2 ans et 228 jours

Retours d’expériences : Enveloppe du bâtiment – Bati Journal TV sur Batimat 2022

avec Myriam Humbert, Directrice de projets recherche et développement – Cerema    
Il y a 2 ans et 228 jours

"Nous voulons accompagner le dynamisme du Bâtiment", J-M. Zulesi (député)

INTERVENTION. Le président de la commission du développement durable et de l'aménagement du territoire de l'Assemblée nationale se félicite de l'état d'esprit des professionnels qu'il a pu rencontrer, ce 4 octobre 2022, dans les travées du Mondial du bâtiment.
Il y a 2 ans et 229 jours

Crises climatique, démographique et énergétique : comment chaque pays redéfinit ses priorités pour construire la ville de demain ?

Si en France, le secteur de la construction a déjà entamé sa propre transformation, qu’en est-il des autres pays européens et outre-Atlantique ? Comment envisagent-ils ces défis ? Quelles sont leurs priorités et leurs bonnes pratiques en matière de construction et d’habitat pour façonner la ville de demain ?Pour répondre à ces questions, PlanRadar, plateforme européenne de digitalisation des projets de construction et d’immobilier dans le Cloud, a étudié les principales tendances de construction de 12 pays* en Europe, Amérique du Nord et au Moyen-Orient. L’entreprise livre aujourd’hui les résultats du premier volet de son enquête en trois parties, intitulée l’« Architecture du futur », et révèle les principales similitudes et divergences observées entre les pays dans le secteur de la construction. Les deux autres chapitres concerneront l’habitat et les bureaux de demain.Les 12 pays étudiés : Allemagne, Autriche, Emirats Arabes Unis, Espagne, Etats-Unis, France, Hongrie, Italie, Pologne, République tchèque, Royaume-Uni et SlovaquieRendre la construction plus durable et résiliente : un objectif partagé par une majorité de paysDans le monde, près de 2/5 des émissions de CO2 sont émis par le secteur du bâtiment (construction, usage et démolition). D’après l’enquête de PlanRadar, la plupart des pays étudiés considèrent la question environnementale comme une tendance moteur pour l’avenir du secteur. Ainsi tous les pays à l’exception des Etats-Unis et de la Hongrie, estiment qu’atteindre la neutralité carbone dans le secteur de l’habitat est un levier prioritaire. Pour y parvenir, ils misent majoritairement sur la réduction des émissions de CO2 lors du processus de construction et croient, dans une plus faible mesure, à l’accélération de l’intégration des énergies renouvelables dans les bâtiments par le biais de l’installation de panneaux solaires ou encore de pompes à chaleur géothermiques.Du côté de l’urbanisation, dans 10 pays sur 12, les architectes considèrent le développement de la piétonnisation au cœur des villes comme une tendance forte et voient en l’installation des infrastructures de proximité, une mesure efficace pour réduire l’utilisation de la voiture, à l’instar du concept de la ville « du quart d’heure » étudié par de nombreuses capitales.Seuls la Pologne et les Etats-Unis ne semblent pas considérer le potentiel piétonnier comme une bonne pratique pour rendre l’urbanisation plus durable. Aux États-Unis, cela pourrait être une simple question de faisabilité : la plupart des villes du pays ont été historiquement conçues pour l’utilisation de la voiture. Ainsi, la facilité d’accès à pied n’est souvent pas une option réaliste compte tenu de leur disposition préexistante.Si la plupart des pays ont pris conscience de l’urgence d’œuvrer en faveur de la réduction de l’impact carbone du secteur, les solutions identifiées par chaque pays en vue de sa réalisation, différent.…mais des moyens différents pour y parvenirFace au changement climatique, 5 pays sur 12 (États-Unis, Royaume-Uni, Allemagne, France et Italie) considèrent la résilience du secteur de la construction comme une tendance à prioriser. Un choix qui s’explique notamment par la position géographique de ces pays qui les rend davantage vulnérables aux catastrophes naturelles. Ces pays préconisent ainsi d’intégrer davantage les nouveaux bâtiments dans leur environnement (optimisation de l’orientation de l’habitat, utilisation de la lumière naturelle) tout en considérant ses potentiels risques.Cette résilience passe également, pour 6 d’entre eux (Etats-Unis, Royaume-Uni, Allemagne, Autriche, France, Espagne, République tchèque), par la réhabilitation ou la réutilisation de l’existant. Cette pratique reconnue pour diminuer le bilan carbone du secteur est donc loin d’être généralisée sur le globe. En cause, la rénovation nécessite des compétences complémentaires à celles nécessaires à la construction neuve, qui ne sont pas acquises de manière uniforme selon les pays.Seuls les États-Unis encouragent les architectes à se concentrer majoritairement sur la durabilité des chaînes d’approvisionnement. Les Émirats Arabes Unis sont quant à eux les seuls à considérer que des bâtiments plus petits et de moindre hauteur contribueront à rendre l’urbanisation plus durable ; un constat issu d’une expérience éprouvée dans la construction et la gestion d’immeubles de grande hauteur.L’utilisation de nouveaux matériaux : une tendance clé pour réduire l’impact carbone de la constructionÀ elle seule, la production de béton neuf représente aujourd’hui environ 7% des émissions mondiales de CO2. L’enquête de PlanRadar met en évidence un engouement pour 7 pays autour de l’utilisation de matériaux recyclés (Royaume-Uni, Allemagne, Espagne, Emirats arabes unis, Autriche, Pologne, République tchèque). Une tendance qui s’accélère et qui permet d’éviter les émissions liées à leur extraction et leur fabrication initiales.Alors que 8 pays manifestent leur intérêt pour les matériaux tels que le bois, le chanvre, ou encore la paille, 3 autres pays (Espagne, Italie et Pologne) estiment que l’utilisation du mycélium (champignons) est une tendance d’avenir.L’Italie est d’ailleurs le pays le plus en avance de phase, puisque c’est l’endroit où les experts envisagent le plus grand nombre de nouveaux matériaux à utiliser par les architectes dans la construction du futur. Il s’agit, entre autres, d’éléments tels que le graphène, les peintures photocatalytiques écologiques, le nylon régénéré, les matériaux composites et le béton renforcé de fibres de carbone. De son côté, la France est l’unique pays des 12 à citer le lin comme matériau d’avenir pour la construction.De son côté, le Royaume-Uni est le seul pays à manifester un intérêt pour le béton biosourcé et la France est la seule à s’intéresser au béton translucide.D’autres pays sont, à l’inverse, plutôt réticents en matière d’expérimentation de nouveaux matériaux. Par exemple, selon la Hongrie, le bois et le bois lamellé-croisé sont les seuls « nouveaux » matériaux qui seront utilisés au cours des prochaines années. A contrario, les Émirats arabes unis ne manifestent leur intérêt que pour les « matériaux intelligents ».Retrouvez l’étude complète de ce premier volet à ce lien.*Etude menée par PlanRadar en juin 2022 sur les tendances et priorités des architectes concernant la construction, l’habitat et les bureaux du futur dans 12 pays Etats-Unis, Royaume-Uni, Allemagne, Autriche, France, Espagne, République tchèque, Slovaquie, Hongrie, Italie, Emirats arabes unis et Pologne. Les sources proviennent principalement des données publiques d’experts, d’instituts indépendants et d’organismes professionnels et gouvernementaux. En France, il s’agit principalement du Conseil national des architectes, du Ministère de la Transition écologique et de l’UNSFA.
Il y a 2 ans et 229 jours

Construction métallique, polyvalence et design : dernières évolutions – Bati Journal TV sur Batimat 2022

Les normes environnementales imposent de diminuer la quantité d’acier utilisé dans les constructions, notamment en associant les matériaux… avec Pascal Bonaud, Délégué général – ConstruirAcier et Peggy Schouller-Guinet, Responsable Business Développement – ArcelorMittal  
Il y a 2 ans et 229 jours

Rockwool partenaire de One Ocean Foundation lors de la Sail GP

Plusieurs objectifs à travers cette collaboration. One Ocean Foundation accompagne l’équipe SailGP Danemark dans l’amélioration de son profil de durabilité. La fondation l’aide notamment à analyser, suivre et réduire son empreinte carbone et plastique. L’objectif ? Devenir l’équipe la plus durable de la ligue SailGP.Dans un contexte où ROCKWOOL s’est déjà engagés à atteindre 10 des objectifs de développement durable des Nations Unies, afin d’avoir une action globale en faveur de l’environnement, le partenariat avec One Ocean Foundation va permettre d’explorer sous la surface de la terre pour renforcer les engagements du groupe en matière de développement durable. Les athlètes de l’équipe SailGP Danemark s’impliquent également. Sur chacun des 10 sites parcourus par la course, ils se sont engagés à collecter des échantillons d’eau et effectuer des expériences sous la supervision de One Ocean Foundation afin de créer une sorte de « carte de santé de l’océan » tout en tirant parti de la plateforme SailGP, sensibilisant ainsi les médias et le public à l’importance de la santé des océans. A travers ces échantillonnages, les équipes de la SailGP ont mis en valeur les herbiers de posidonies, véritables poumons de la mer, qui sont menacés par le réchauffement climatique et comment les protéger.Pour Mirella Vitale, vice-présidente directrice, Marketing, Communications et Affaires Publiques du Groupe ROCKWOOL : « Nous pensons que ce partenariat peut contribuer à dynamiser notre engagement pour le développement durable à la fois au travers de SailGP, mais aussi dans l’ensemble des activités du Groupe ROCKWOOL, y compris dans la fabrication, la recherche et le développement et les opérations commerciales. »La saison 3 de cette course autour du monde se poursuivra en 2023 jusqu’en Nouvelle Zélande.
Il y a 2 ans et 229 jours

Bouygues boucle l'acquisition d'Equans et change de dimension

CROISSANCE EXTERNE. Le groupe Bouygues a annoncé la finalisation de l'acquisition d'Equans auprès de l'énergéticien Engie. Une opération qui permet à la major du BTP de faire un bond considérable dans son développement, mais aussi en termes de chiffre d'affaires.
Il y a 2 ans et 229 jours

"Pas grand chose à attendre" de la COP27, selon l'ancien président français François Hollande

"Il n'y a pas grand chose à attendre de la COP qui va se tenir en Egypte" du 6 au 18 novembre à Charm-El-Cheik, "sauf sans doute des financements qui devront être apportés" aux pays émergents et en développement, a déclaré l'ancien président lundi devant des professionnels du bâtiment réunis au salon Batimat à Paris.Ces financement, a-t-il rappelé, devrait être apportés "au nom des pertes et dommages" et de la "compensation des excès de consommation énergétique des pays développés dans le passé"."Est-ce que nous pouvons être optimistes quant à la COP qui va se tenir dans quelques jours? Je ne le crois pas, compte tenu du contexte géopolitique", a-t-il cependant ajouté."La Chine a d'autres préoccupations aujourd'hui que simplement réduire ses émissions de CO2, (...) la Russie, vous imaginez qu'elle ne va pas être un acteur primordial de la négociation, d'autant qu'elle veut vendre du gaz à toute la terre sauf à l'Europe, les Etats-Unis sont beaucoup plus impliqués, notamment l'administration de Joe Biden, mais jusqu'à quand? Il y a des élections qui vont avoir lieu au mois de novembre; si les Républicains obtiennent une majorité au Congrès, il est à craindre qu'il n'y ait pas la même ambition", a jugé M. Hollande."L'Europe est le seul continent qui, pour l'instant, tient bon mais avec des entorses assez graves par rapport aux engagements" pris à Paris, en raison des conséquences de la guerre en Ukraine sur le climat, a-t-il ajouté, citant notamment les centrales au charbon rallumées et les importations massives de gaz GNL.Outre la motivation "très forte" des "opinions publiques" et des jeunes en faveur du climat, M. Hollande a salué celle des "acteurs économiques", notamment du secteur du bâtiment."Ils ne sont pas du tout dans une espèce de frein à l'égard de la décarbonation. Au contraire, ils ont compris que c'était un élément de compétitivité, d'innovation et d'investissement" a-t-il dit, en citant l'utilisation de "modes de construction différents" et de "matériaux sobres".Selon lui, l'industrie du bâtiment "peut à la fois subir un certain nombre de conséquences avec des pertes d'activité si la construction neuve devait fléchir, mais aussi connaître un regain d'activité" avec la rénovation énergétique.
Il y a 2 ans et 230 jours

L'éolien terrestre est devenu un "gros mot" en France, regrette la patronne d'Engie

"Ce sentiment anti-éolien n'a plus lieu d'être dans un monde où on est en urgence énergie tous les jours", a déclaré à des journalistes la directrice générale d'Engie, en marge d'une visite sur un site des parcs éoliens terrestres de la Bretelle et d'Echalot, en Côte-d'Or."On a l'impression que l'éolien terrestre, c'est devenu un gros mot, ou un mot tabou", a-t-elle commenté, alors que les projets éoliens, surtout terrestres, font l'objet dans certains territoires d'une vive contestation depuis quelques années.Pour la dirigeante d'Engie, l'existence d'un "sentiment anti-éolien a du prendre racine avec des projets qui ont été mal réalisés et qui ont tiré la filière par le bas".A l'occasion du 10e anniversaire de ces parcs éoliens en Côte-d'Or, un projet initié en 2003 mais dont l'exploitation n'a commencé qu'en 2012 en raison de divers recours, la directrice générale s'est félicitée au contraire de "l'appropriation" de ces installations, fruit d'un travail de "concertation" et d'une méthode qui se veut "exemplaire". "Sur le démantèlement (des éoliennes en fin d'exploitation), il faut être exemplaire, nous, on enlève tout", a-t-elle expliqué.La production annuelle de ces parcs d'environ 80.000 MWh/an permet d'alimenter 37.000 personnes en électricité, "soit l'équivalent de près d'1/4 de la population de la ville de Dijon", selon Engie.Alors que la "demande en électricité va exploser", "on va avoir besoin de nucléaire mais cela ne suffira pas, il faudra beaucoup d'énergies renouvelables, du solaire, de l'éolien, en mer et terrestre. C'est important de dire que l'éolien terrestre va contribuer à ce mix énergétique équilibré", a encore souligné Mme MacGregor.Le gouvernement a présenté lundi un projet de loi pour accélérer le développement des énergies renouvelables afin de rattraper le retard de la France, un texte concentré sur le solaire et l'éolien en mer.Emmanuel Macron, qui lui-même prône de diviser par deux le rythme de déploiement de l'éolien terrestre prévu jusqu'à présent, a reconnu qu'il en faudrait.
Il y a 2 ans et 230 jours

Réseau de chaleur et de froid géothermique à Nice

Une véritable technopole en développement à l’ouest de la ville, pensée dès sa conception dans une dimension environnementale avec le raccordement de l’ensemble des bâtiments à un réseau de chaleur et de froid géothermique. L’éco quartier Nice Méridia s’inscrit ainsi dans la politique de transition écologique de la métropole qui continue de gagner en autonomie énergétique grâce à la chaleur renouvelable.
Il y a 2 ans et 230 jours

Lancement du Plan piscines 2 en Seine-Saint-Denis

Ce lancement s’est fait en présence de Stéphane TROUSSEL, Président du Département de la Seine-Saint-Denis, Jacques WITKOWSKI, Préfet de la Seine-Saint-Denis, Zaïnaba SAÏD-ANZUM, Conseillère départementale déléguée au Sport, et Stéphane BLANCHET, Maire de Sevran.Ce second plan fait suite au Plan piscines 1, de 2016 à 2022, ayant contribué à la construction de 3 nouvelles piscines (dont deux sous maîtrise d'ouvrage départemental) et d’en rénover 9, pour un investissement total de 40 millions d’euros.Accélérer la création de lignes d’eauSi le premier plan a permis d’éviter la fermeture de certains équipements et d’accentuer leur fréquentation, la remise à niveau des infrastructures et la réduction des carences en matière d’offre reste un enjeu majeur, nécessitant notamment une accélération dans la création de nouvelles lignes d’eau. Avec 37 piscines actuellement (39 à l’horizon 2024), la Seine-Saint-Denis compte moins de 60m2 de bassin de natation pour 10.000 habitants, contre 160m2 en moyenne régionale et plus de 260m2 en moyenne nationale. 7 communes sur 40 n’ont aucun équipement aquatique.Doté de 35 millions d’euros, dont 15 millions d’euros financés par la SOLIDEO (Etat et Région), ce second Plan piscines permettra non seulement de financer des projets liés à l’héritage olympique, mais aussi de poursuivre l’effort de rattrapage en matière d’équipements aquatiques dans tout le département. Il pourra s’agir à la fois de projets de construction et reconstruction, de réhabilitation lourde et d’extension, ou de rénovations et d’aménagements visant le développement des usages.Les villes et EPT qui le souhaitent pourront candidater tout au long du plan, qui durera jusqu’en 2028.Une attention particulière aux territoires carencés, à la sobriété énergétique et l’accessibilité des équipements Afin d’encourager les porteurs de projets à prendre en compte les priorités de politiques publiques que porte le Département de la Seine-Saint-Denis, des financements supplémentaires seront attribués sous forme de bonus dans plusieurs cas.Les projets situés dans de szones très carencées (aucune piscine ou carence supérieure à 2 bassins) ou carencées (carence d’1 à 2 bassins).Les projets intégrant l’ensemble des enjeux environnementaux : budget carbone maîtrisé, qualité de vie garantie, valorisation et renforcement des écosystèmes.Les projets allant plus loin que les normes réglementaires en matière d’accessibilité, mais aussi pour ceux qui favorisant l’accès bassins à tout.e.s avec la création d’équipements aqua ludiques.Pour Stéphane TROUSSEL, Président du Département de la Seine-Saint-Denis : «A deux ans des Jeux, l’écart entre les besoins en matière d’équipements nautiques et la réalité des infrastructures dont nous disposons en Seine-Saint-Denis reste un sujet de préoccupation majeure. Si notre premier Plan piscines a permis d’éviter la fermeture de certains équipements, d’en rénover et d’en construire, cet effort se poursuit et s’amplifie aujourd’hui dans la dynamique des JOP. C’est tout le sens de ce second Plan piscines que nous lançons avec Zaïnaba Saïd-Anzum, Conseillère départementale déléguée au Sport, et Emmanuel Constant, Vice-président en charge des JOP, avec le soutien de l’Etat, de la Région et de la SOLIDEO. Il n’y a pas de miracle : c’est avec des moyens et des actes que nous pourrons développer l’apprentissage et la pratique de la nage, si importants en matière de santé publique, de sécurité individuelle et de vie sociale.»
Il y a 2 ans et 230 jours

3 métiers d’avenir dans la construction

Le secteur de la construction est sujet à de nombreuses évolutions, que ce soit à cause des nouvelles technologies ou des départs à la retraite. Au Québec, d’ici 2029, le milieu devrait d’ailleurs atteindre un niveau de pénurie de main-d’œuvre record, accélérant ainsi la création de nouveaux métiers dont voici les 3 plus prometteurs. Manœuvre en construction Bien qu’un emploi de manœuvre en construction demeure dans la partie « traditionnelle » du secteur, il est tout de même considéré comme une branche d’avenir. En effet, bien au-delà de l’utilisation des technologies, comme pour les deux prochains métiers, cette profession fait partie des piliers de la construction. On remarque tout de même une certaine évolution dans les compétences à acquérir pour prétendre à ce poste. En effet, les tâches sont variées et il est souvent demandé aux candidats d’être de plus en plus agiles, avec une faculté d’adaptation et de collaboration. Surtout parce que les professionnels occupant ce métier sont amenés à : – Charger et décharger les matériaux. – Monter des échafaudages. – Accompagner les ouvriers qualifiés dans la réalisation des travaux. – Niveler l’environnement de travail pour faciliter l’accès aux chantiers. Bien que ces tâches ne soient pas exhaustives, elles n’en demeurent pas moins plurielles. D’un point de vue plus général, les manœuvres en construction garantissent la bonne réalisation des travaux, en secondant le travail de leurs collègues. Un poste qui demeure donc essentiel au secteur de la construction. Quel est le diplôme nécessaire pour travailler comme manœuvre en construction ? Les recruteurs recherchent des candidats ayant obtenu leur certificat de compétences « occupation ». Toutefois, il est également possible de travailler comme manœuvre sans diplôme. Quel est le salaire d’un professionnel en manœuvre en construction ? Au Québec, le salaire pour un professionnel en manœuvre en construction est fixé selon les conventions collectives avec lesquelles il travaille. Spécialiste en domotique La domotique fait partie intégrante des nouveaux métiers tels qu’on l’entend dans cette expression. Bien qu’elle soit à 100 % liée avec les nouvelles technologies, elle fait également entièrement partie du métier de la construction. En effet, intervenant après la construction des bâtiments, le spécialiste en domotique s’intéresse particulièrement à la création d’un habitat intelligent, basé sur le concept de smart home. Son objectif est alors d’utiliser ses connaissances en matière de technologies et de sécurité pour rendre le bâtiment plus sûr. Il s’occupe de créer les systèmes de sécurité comme les alarmes, les détecteurs de bris de vitre, les caméras et autres capteurs. Selon le type de structures (résidentielle, institutionnelle ou professionnelle), il peut également être amené à réfléchir à l’automatisation totale d’un bâtiment. Doté d’un amour pour les nouvelles technologies, autonome et doué d’un esprit d’équipe, le spécialiste en domotique travaille avec l’ensemble des équipes sur le projet en construction, et l’intègre dans toutes les étapes. Quel diplôme est nécessaire pour devenir spécialiste en domotique ? Le futur spécialiste doit obtenir une attestation de formation prouvant sa spécialisation dans l’installation de systèmes d’habitation intelligente. Toutefois, cette attestation requiert l’obtention préalable : – D’unités de 3e secondaire en langue seconde et mathématiques. – D’une attestation d’équivalence à la 3e secondaire. – D’une attestation de réussite au test de développement général. Quel est le salaire d’un spécialiste en domotique ? À Montréal, un spécialiste en domotique perçoit en moyenne 47 000 $ annuel. Ce salaire est tout de même sujet à des fluctuations selon les entreprises. Coordinateur BIM Dans le secteur de la construction, le coordinateur BIM (building information modelling) est spécialisé dans le bâti immobilier modélisé. En d’autres termes, il utilise les nouvelles technologies pour générer un plan 3D du bâtiment à construire. Grâce à cela, il permet à toutes les branches de la construction de travailler collectivement en visualisant l’ensemble des structures, des mécaniques, de l’électricité et de la plomberie à mettre en place. Un coordinateur BIM doit alors posséder des compétences en conception 3D, mais également être agile, faire preuve d’adaptabilité, de communication et de management, puisqu’il coordonne et renseigne les différentes équipes de construction. Quel diplôme obtenir pour devenir coordinateur BIM ? Deux situations sont possibles. Le candidat peut se spécialiser en conception de maquette numérique durant son cégep. Il faudra toutefois faire attention à intégrer un cégep délivrant l’attestation d’étude collégiale correspondante. Une expérience dans le domaine de la coordination et de la construction sera un plus pour démarrer sa carrière. En revanche, si le candidat est ingénieur ou architecte de formation, il peut obtenir un DESS en BIM et innovations numériques pour approfondir ses connaissances et se former. Quel est le salaire d’un coordinateur BIM ? Dans la région de Montréal, un coordinateur BIM peut percevoir jusqu’à 48 000 $ annuel, en moyenne. Le secteur de la construction demeure un secteur d’avenir Au Canada, le secteur de la construction est en constante évolution, surtout avec l’arrivée des nouvelles technologies. De nombreux métiers émergent de plus en plus, sans pour autant mettre de côté les postes plus traditionnels comme les maçons ou les carreleurs qui demeurent essentiels au secteur.
Il y a 2 ans et 230 jours

salle de bains webersys hydro silence nouveau systeme d etancheite acoustique pour douches a l italienne accessibilite pmr

En réponse aux exigences de l’arrêté « douche zéro ressaut » imposant désormais dans les logements neufs (à l’exception de ceux construits pour le propre usage du propriétaire) une zone de douche sans ressaut, Weber s’est engagé dans le développement d’un procédé inédit qui associe performances acoustiques et étanchéité : webersys hydro silence.
Il y a 2 ans et 231 jours

Léon Grosse décroche la médaille EcoVadis Platinum pour sa politique RSE

« Une belle reconnaissance pour nous », insiste Olivier Delamarre. [©Léon Grosse] Léon Grosse est un groupe diversifié du BTP, doté de trois grands pôles. A savoir, la construction, les solutions aux défis sociétaux et environnementaux, et l’immobilier. « Un changement, une évolution s’opèrent en ce moment chez Léon Grosse. Sa raison d’être évolue, explique Olivier Delamarre, directeur stratégie, développement et RSE. Nous souhaitons passer d’une entreprise de construction à un groupe diversifié de BTP. De nouveaux métiers liés à la transition environnementale se créent. Nous restons toujours ancrés sur nos acquis historiques, mais nous nous projetons dans l’avenir. Et cela passe par le déploiement d’une politique RSE. Et ce, à tous les niveaux du groupe. » Une politique RSE ambitieuse C’est dans ce cadre que le groupe a obtenu la médaille Platinum pour sa politique RSE1, décernée par EcoVadis. Cette agence de notation extra-financière est chargée d’évaluer 90 000 entreprises à travers le monde. « Une belle reconnaissance pour nous », insiste Olivier Delamarre. Léon Grosse a décroché un score global de 75/100 (+ 9 points par rapport à 2021). Ceci, parmi les 1 % des entreprises les mieux notées et les 2 % issues du secteur de la construction (environ 800 entreprises notées). « Cette progression illustre la mise en place de politiques et d’objectifs quantitatifs dans le domaine de l’environnement, du social ou encore des achats responsables. C’est le reflet de l’ambition de Léon Grosse. Notre démarche RSE constitue “le bras armé” de notre engagement, au cœur de notre stratégie de développement. Elle est le véritable levier de transformation pour l’entreprise. » 1Responsabilité sociétale des entreprises.
Il y a 2 ans et 231 jours

Le nombre d'emplois liés aux énergies renouvelables s'élève à 12,7 millions dans le monde

Selon un nouveau rapport, le nombre d'emplois dans le secteur mondial des énergies renouvelables a atteint 12,7 millions l'an dernier, soit un bond de 700.000 de plus en un an, malgré les effets persistants du COVID-19 et la montée de la crise énergétique.Énergies renouvelables et emploi : Revue annuelle 2022 souligne que la taille du marché national est l'un des facteurs majeurs de la création d'emplois dans les énergies renouvelables, au même titre, entre autres, que le coût de la main-d'œuvre. L'énergie solaire s'avère être le secteur qui connaît la croissance la plus rapide. En 2021, il fournissait 4,3 millions d'emplois, soit plus d'un tiers de la main-d'œuvre mondiale actuelle dans les énergies renouvelables.Le nouveau rapport a été publié par l'Agence internationale pour les énergies renouvelables (IRENA) en collaboration avec l'Organisation internationale du travail (OIT), à l'occasion du Forum mondial d'action pour l'énergie propre de Pittsburgh, aux États-Unis.Face aux préoccupations croissantes que suscitent le changement climatique, la relance après la pandémie du COVID-19 et les perturbations des chaînes d'approvisionnement, les pays manifestent un intérêt de plus en plus marqué pour la décentralisation de ces chaînes d'approvisionnement et la création d'emplois au niveau national. Le rapport décrit à quel point il est essentiel de compter sur des marchés nationaux solides pour ancrer une dynamique d'industrialisation des énergies propres. Le développement des capacités d'exportation de technologies renouvelables en dépend également, ajoute-t-il.Pour Francesco La Camera, Directeur général de l'IRENA : « En dépit des nombreuses difficultés, les emplois dans les énergies renouvelables restent résilients, et il a été prouvé qu'ils constituent un moteur fiable de création d'emplois. Je conseille aux gouvernements du monde entier de mener des politiques industrielles qui encouragent la création d'emplois décents dans le secteur des énergies renouvelables au sein de leurs propres pays. Le fait de stimuler une chaîne de valeur nationale ne permet pas seulement de créer des opportunités commerciales et de nouveaux emplois pour les personnes et les communautés locales. Cela renforce également la fiabilité de la chaîne d'approvisionnement et contribue à une plus grande sécurité énergétique globale. »Le rapport montre qu'un nombre croissant de pays crée des emplois dans les énergies renouvelables, et que près des deux tiers de tous ces emplois se trouvent en Asie. À elle seule, la Chine représente 42% du total mondial, suivie par l'UE et le Brésil (10% chacun), puis les États-Unis d'Amérique et l'Inde (7% chacun).Pour le Directeur général de l'OIT, Guy Ryder : « Au-delà des chiffres, une attention croissante est portée à la qualité des emplois et aux conditions de travail dans les énergies renouvelables, en vue d'assurer un emploi décent et productif. La part croissante de l'emploi des femmes suggère que des politiques et des formations dédiées peuvent considérablement améliorer la participation des femmes dans les professions liées aux énergies renouvelables ainsi que l'inclusion et, en définitive, la réalisation d'une transition juste pour tous. J'encourage gouvernements, organisations de travailleurs et employeurs à rester fermement engagés en faveur d'une transition énergétique durable, indispensable pour l'avenir du travail. »Le rapport met en lumière un certain nombre d'évolutions majeures au niveau régional et national. Ainsi, les pays d'Asie du Sud-Est sont en train de devenir d'importants centres de fabrication photovoltaïque et de gros producteurs de biocarburants. La Chine est le principal fabricant et installateur de panneaux solaires photovoltaïques, et crée un nombre croissant d'emplois dans l'éolien offshore. L'Inde a quant à elle ajouté plus de 10 gigawatts d'énergie solaire photovoltaïque, ce qui a généré de nombreux emplois dans le domaine de l'installation, mais le pays reste fortement dépendant des panneaux importés.L'Europe, qui représente aujourd'hui environ 40% de la production éolienne mondiale et est le plus gros exportateur d'équipements éoliens, tente de reconstituer son industrie de fabrication de panneaux solaires photovoltaïques. Le rôle de l'Afrique est encore limité, mais le rapport souligne qu'il existe des possibilités d'emploi croissantes dans le domaine des énergies renouvelables décentralisées, en particulier pour soutenir le commerce local et l'agriculture, entre autres activités économiques. Sur le continent américain, le Mexique est le premier fournisseur de pales d'éoliennes. Le Brésil, qui reste quant à lui le premier employeur dans le domaine des biocarburants, crée également de nombreux emplois dans les installations éoliennes et solaires photovoltaïques. Les États-Unis d'Amérique commencent à mettre en place une infrastructure industrielle à l'échelle nationale pour leur secteur naissant de l'éolien offshore.Dans le cadre d'une transition juste, le rapport insiste sur le fait que l'expansion des énergies renouvelables doit être soutenue par des mesures politiques globales, dont la formation des travailleurs, afin de garantir des emplois décents, de qualité, bien rémunérés et diversifiés.
Il y a 2 ans et 231 jours

Le laitier de hauts fourneaux, émetteur de 83 kg éq. CO2/t

Le laitier de hauts fourneaux se voit affecté d’une allocation carbone de 83 kg éq CO2/t. A quoi il convient d’ajouter les 16 kg/t liés au transport, au séchage et à la préparation du laitier… [©ACPresse] Ce sera donc 83 kg éq CO2/t pour le laitier de hauts fourneaux. Le programme Inies a validé en juin dernier la recommandation de la Direction de l’Habitat, de l’Urbanisme et des Paysages (DHUP) d’affecter au sous-produit de la fonte, une partie des émissions de carbone liée à la production de l’acier. Aujourd’hui, c’est au tour du Syndicat français de l’industrie cimentière (Sfic) d’annoncer travailler à la mise à jour complète de ses déclarations environnementales produits (DEP) Ciments. Avec une publication prévue au premier trimestre 2023. Ceci, pour tenir compte de l’entrée en application de la norme NF EN 15804 dans sa version A2/CN*, programmée courant octobre 2022. Pour certains ciments, cette démarche entraînera une évolution de leur impact proportionnellement à leur teneur en laitier… Il s’agit là d’un changement important. En effet, seuls, les impacts liés au transport, au séchage et à la préparation du laitier n’étaient pris en compte, jusqu’à présent, dans les valeurs carbone des ciments concernés. C’est-à-dire environ 16 kg éq CO2/t. A additionner aujourd’hui aux 83 kg arbitrés… Arrondi à 1,4 % par la DHUP Le nouveau principe retenu est celui d’une allocation économique entre la fonte (acier) et le laitier de hauts fourneaux, établie à hauteur de 1,4 %. Ce pourcentage est issu d’un calcul fondé sur le prix estimé de la fonte (410 €/t) et du laitier (20 €/t) en sortie de hauts fourneaux, sachant que 1 t de fonte génère la production de 275 kg de laitier. Il a été établi par la DHUP sur la base d’échanges avec les parties prenantes et d’experts ACV. L’allocation est ensuite calculée à partir de la formule : • 20 €/t x 0,275 t divisée par 410 €/t + (20 €/t x 0,275 t), ce qui donne 1,32 %, arrondi au pourcentage supérieur par la DHUP… Soit 1,4 %. Ainsi, dans le contexte actuel, l’impact de la production de 1 t de fonte est de l’ordre de 1 623 kg éq CO2. A partir de cette donnée, on calcule l’impact du laitier comme suit : • 1 623 kg x 1,4 %, ce qui donne 22,72 kg éq CO2 pour 0,275 t de laitier. Ramené à la tonne, on arrive à 82,6 kg éq CO2 pour être précis. Un résultat qui peut changer légèrement. Car, selon la base de données utilisée, la valeur de l’impact de la production de la fonte est sujet à variation. Toutefois, on reste sur un chiffre situé aux alentours des 80 kg éq CO2/t… Une allocation carbone différente dans chaque pays… Cet arbitrage, la profession cimentière l’appelait de ses vœux depuis longtemps. « La mise à jour de nos DEP Ciments est la conséquence des nouvelles directives dues par le régulateur, détaille Bruno Pillon, président du Sfic. C’est pour la filière une opportunité de mieux mesurer l’impact environnemental de ses ciments. Et de poursuivre les travaux pour identifier les solutions qui permettront d’abaisser ce poids carbone. Mesurer avec précision l’impact carbone des matériaux est une exigence pour toute la filière de la construction. » L’allocation de 83 kg éq CO2/t (+ 16 kg liés au transport, au séchage et à la préparation du laitier) est spécifique à la France. Mais les autres pays européens s’inscrivent plus ou moins dans une démarche comparable. Toutefois, chaque programme de déclaration (équivalent Inies dans les autres pays) applique sa propre règle, selon différentes typologies d’allocation autorisées par la norme NF EN 15804 et selon leur contexte national… Ce qui risque, malgré tout de créer quelques distorsions concurrentielles aux frontières. *Norme NF EN 15804 : Contribution des ouvrages de construction au développement durable – Déclarations environnementales sur les produits – Règles régissant les catégories de produits de construction.
Il y a 2 ans et 233 jours

Des sénateurs s'engagent pour le développement de la filière chanvre

Le chef de file des sénateurs écologistes Guillaume Gontard a présenté mercredi à la presse une proposition de résolution pour le développement économique de la filière et "l'amélioration de la réglementation des produits issus du chanvre", cosignée par plus d'une cinquantaine de sénateurs.Pour M. Gontard, il ne s'agit pas d'introduire "une plante à la mode", mais de revivifier "une pratique historique", en appelant le gouvernement à œuvrer pour que la culture du chanvre "soit facilitée et bien encadrée".Car le développement de cette plante bute aujourd'hui sur la réglementation et des "questions de normes", selon le sénateur de l'Isère.Intégré dans une rotation des cultures, le chanvre "restructure" et "aère" les sols, explique-t-il. C'est une plante qui pousse vite, résiste à la sècheresse parce que très peu gourmande en eau, ne réclame pas d'apports en produits chimiques..."C'est un puits de carbone", renchérit l'écologiste Daniel Salmon, tandis que le sénateur centriste de Gironde Hervé Gillé témoigne de son intérêt dans le cadre de la reconversion des terres viticoles et d'une "remise en polyculture".Cultiver du chanvre, mais pour quoi faire ? Tout ou presque, si l'on en croit Evelyne Perrot, sénatrice centriste de l'Aube, département qui abrite la coopérative "La Chanvrière". Environ "60% du chanvre français" y sont produits par quelque 650 agriculteurs (28% de la production européenne).En 1985, l'activité y a démarré avec la production de litière pour chevaux. Dans les années 1990 est apparu "le béton de chanvre", un matériau de construction biosourcé dont les propriétés isolantes en font aujourd'hui un précieux atout.Puis les "fibres techniques pour l'industrie automobile", alternative aux fibres de verre polluantes. Pour des éoliennes vraiment écolos, les fibres de chanvre pourraient aussi être intégrées dans les pâles, aujourd'hui fabriquées majoritairement en fibre de verre, indique M. Gontard.Des vaches "plus joyeuses"Tee-shirts ou même slips: le chanvre est encore utilisé pour produire des fibres textiles et permet de fabriquer du papier "sans abattre d'arbres".Les graines riches en protéines sont utilisables dans l'alimentation animale comme humaine. Nicole Bonnefoy (PS) rapporte une expérimentation menée dans son département de la Charente avec l'introduction de graines de chanvre dans les tourteaux pour les vaches: "Les vaches étaient plus joyeuses, le lait de grande qualité". L'huile de chanvre est aussi utilisée en cosmétique. On est loin des cordages et des voiles de bateau des siècles passés.Les auteurs de la proposition de résolution soulignent toutefois la nécessité d'un "énorme travail de structuration de la filière": "Créer la demande, ouvrir le marché, normer tout ça". Avec une contrainte non négligeable: pour être transformé, le chanvre a besoin d'outils spécialisés, et donc d'investissements.Fibres, graines... la plante a aussi des feuilles et des fleurs, et là les choses se compliquent.Le Conseil d'Etat a en effet suspendu en janvier un arrêté du gouvernement interdisant la vente des fleurs et des feuilles de chanvre qui contiennent du cannabidiol (CBD), la molécule non-psychotrope du cannabis, censée avoir des vertus apaisantes et relaxantes. "Mais on est toujours dans un flou juridique", selon Guillaume Gontard, alors que le CBD commercialisé en France "provient d'autres pays européens, avec une qualité et une traçabilité très faibles"."Le kilo de fleurs de CBD peut se vendre autour de 600 euros en 2022", contre un cours du blé dur autour de 430/450 euros la tonne, relèvent les auteurs de la proposition de résolution, pour qui "la manne financière, représentée par la culture du chanvre CBD serait une bouffée d'oxygène pour les agriculteurs français".
Il y a 2 ans et 233 jours

Lafarge dynamise le secteur du BTP dans les Hauts-de-Seine

Lafarge France a ouvert un programme d’accompagnement pour stimuler le développement des jeunes entreprises innovantes dans les Hauts-de-Seine. [©AC Presse] Afin de créer de l’activité dans le secteur de la construction, Lafarge France et la préfecture des Hauts-de-Seine (92) présentent un programme d’accompagnement des entreprises innovantes. Avec l’aide de l’incubateur Impulse Partners, les 2 organisateurs se lancent un défi. Ils souhaitent contribuer au développement de jeunes entreprises locales, dont l’activité est centrée sur la construction. Ainsi, pour solliciter les start-up du secteur, un appel à candidatures a été émis dans le cadre de l’éco-système innovant du département. Les jeunes entreprises avaient jusqu’au 16 septembre 2022 pour présenter une innovation dans le BTP. Condition sine qua non pour voir son dossier accepté : installer son siège social ou ses principaux bureaux dans le 92.  Un accompagnement spécifique Par la suite, entre septembre et octobre 2022, le jury sélectionnera les différents projets qu’il souhaite soutenir. Mené par Impulse Partners et des experts de Lafarge France, un accompagnement spécifique et gratuit pendant un an sera ensuite proposé aux start-up les plus innovantes. Des ateliers avec d’autres entreprises leur permettront de se faire connaître sur ce marché local de la construction.