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Résultats de recherche pour directeur general

(3993 résultats)
Il y a 4 ans et 80 jours

BTP Consultants change de gouvernance et d’actionnaires

De gauche à droite, Roland Le Roux, nouveau président du groupe BTP Consultants, et Jean-François Baron, nouveau président de BTP Consultants. [©BTP Consultants] Pour accélérer son développement, le groupe BTP Consultants (BTP Consultants, Citae et MBAcity) s’appuie sur une nouvelle gouvernance. Ainsi que sur de nouveaux actionnaires à compter du 1ermars 2021. Ainsi, Roland Le Roux en devient le nouveau président. Et succède à Patrick Vrignon, fondateur du groupe. Ce dernier est nommé président du conseil de surveillance auprès des investisseurs. Jean-François Baron, actuel directeur opérationnel, est, quant à lui, le nouveau président de BTP Consultants. Rony Chebib reste directeur général de cette entité et aidera Jean-François Baron dans ses nouvelles fonctions. Vers une croissance organique De plus, le groupe BTP Consultants fait entrer les fonds d’investissement Apax Partners et Bpifrance. Fort de ce soutien, il ambitionne de poursuivre sa croissance organique et de déployer une stratégie d’acquisitions ciblées. « L’arrivée d’Apax et de BpiFrance et l’entrée au capital de plus de 20 managers vont nous permettre d’aller plus loin encore. De précurseur dans nos métiers, nous nous donnons les moyens de devenir acteur de référence de la transformation complète des secteurs de l’immobilier et de la construction, explique Roland Le Roux, nouveau président du groupe. Et de poursuivre : « Fort de ce soutien, le groupe BTP Consultants vise à poursuivre sa croissance annuelle supérieure à 10 %. Et à déployer une stratégie d’acquisitions ciblées. A horizon 2025, nous avons pour ambition de doubler notre chiffre d’affaires en régions. Ainsi que de renforcer notre présence sur des segments à fort potentiel de croissance. Industrialisation et digitalisation de la conception et de la construction, rénovation énergétique et impact carbone. Mais aussi mise à disposition et gestion des données sont autant de thématiques sur lesquelles nous nous positionnons comme leader pour nos professions. Ainsi que pour l’ensemble du secteur d’activité ». Près de 60 M€ de chiffre d’affaires Spécialiste du secteur des Tic (Testing, Inspection et Certification), le groupe BTP Consultants s’est imposé comme référent technique des acteurs du bâtiment et de la conception des projets de rénovation. Créé en 1996, il propose une offre complète de services de contrôle technique pour la construction, la coordination SPS (Sécurité et Protection de la Santé), les diagnostics immobiliers et l’assistance à maîtrise d’ouvrage. Ainsi que des prestations liées au BIM. Il emploie plus de 500 collaborateurs à travers un réseau de 24 agences en France. De plus, il réalise un chiffre d’affaires de près de 60 M€. Et compte plus de 6 000 clients au sein de son portefeuille. « Nous franchissons une étape importante dans la transmission progressive du groupe à son management. Je suis fier du travail accompli par l’ensemble des collaborateurs du de BTP Consultants. Et certain que le savoir-faire des investisseurs et de la nouvelle équipe dirigeante lui permettra de poursuivre sa croissance basée sur la culture clients et l’innovation »,conclut Patrick Vrignon, fondateur et président du conseil de surveillance.
Il y a 4 ans et 80 jours

"Nous sommes prêts à attaquer le marché", DG France Knauf Ceiling Solutions

INTERVIEW. Nouvelle division du groupe Knauf, Knauf Ceiling Solutions affiche des ambitions marquées sur le secteur des plafonds. Niels-Christian Havsteen, directeur général France de cette division, nous en dit plus.
Il y a 4 ans et 80 jours

Un nouveau binôme à la tête d'Action Logement Services

CARNET-NOMINATION. Le départ de Jean-Michel Royo entraîne la promotion d'Olivier Rico au poste de directeur général et de David Delage à celui de directeur général délégué.
Il y a 4 ans et 80 jours

Herige regarde vers l’avenir

Benoît Hennaut, président du directoire du groupe Herige depuis septembre 2021. [©Herige] En septembre 2020, Benoît Hennaut prenait la présidence du directoire du groupe Herige. Succédant ainsi à Alain Marion. Après être parti à la rencontre des différents sites du groupe, afin de « découvrir et de comprendre les expériences de chacun », le président entrant a présenté une nouvelle orientation pour ces prochaines années. En 2020, le groupe qui comprend les branches VM (négoce), Atlantem (menuiserie) et Edycem (béton), a réalisé un chiffre d’affaires consolidé de 600,4 M€. « Un résultat très satisfaisant. Nous avons bénéficié d’un marché qui a bien tenu, explique Benoît Hennaut. De plus, nous avons très vite pris des mesures, en travaillant sur l’innovation et des produits qui ont porté cette croissance. » La nouvelle orientation du groupe Herige repose sur trois grands piliers. Le premier concerne la RSE. « La question de l’environnement peut être vue comme contraignante. Nous voulons aller au-delà de cette idée et créer une vraie culture environnementale au sein du groupe. » Ainsi, Herige compte développer un politique RSE ambitieuse. « Nous souhaitons le faire avec humilité. En mesurant déjà nos impacts pour les améliorer. La nouvelle génération que nous accueillons porte un regard plus critique sur ces sujets. C’est notre rôle en tant qu’industriel de répondre à ces évolutions. Nous sommes dans des secteurs où nous pouvons influer sur l’impact carbone du bâtiment. » Décarboner les activités Les mesures “éco-responsables” mises en place concernent aussi bien le fonctionnement en interne : régulation de la consommation énergétique, d’eau, gestion des déchets, évolution de la flotte de camions vers l’hybride ou le biogaz… Que la conception et la commercialisation de solutions bas carbone. « Cela passe par exemple, par les bétons “bas carbone” ou les granulats recyclés… Ce sont des avancées qui vont se poursuivre et s’accélérer. Nous avons aussi lancé la filière Menrec qui collecte et démantèle des menuiseries en fin de vie. » Des annonces sur ces évolutions “produits” devraient fragmenter l’année 2021 tout comme des objectifs chiffrés. Afin d’intégrer pleinement cette démarche au groupe, Herige a décidé de créer un comité RSE. « Le Comité de surveillance a validé une nouvelle politique de rémunération des comités de direction basée sur une variable de 30 % sur des indicateurs RSE. Une façon de connecter ces ambitions à la performance de chacun. » Miser sur le capital humain Pour le groupe vendéen créé il y a déjà plus de 114 ans, le capital humain tient une place importante. Le renforcement et la valorisation de ce capital constituent le deuxième pilier de la nouvelle orientation d’Herige. « Il faut se réinventer, changer, donner la priorité à la sécurité et à la santé. Il faut aussi se rencontrer ! Nous sommes dans des activités d’interactions, de mouvements, avec la livraison, les déplacements… Nous devons mettre en place des méthodes et la vie et l’humain en avant. » Cet axe se traduit ainsi par le développement des compétences des collaborateurs, des actions liées à la sécurité ou encore la poursuite du travail de l’association Martial Caillaud. Une entité créée par les acteurs et clients d’Herige, qui initie des projets humanitaires dans les pays en voie de développement. « Nous souhaitons donner du sens à ce que nous faisons et chercher comment contribuer au futur du bâtiment en France. Et ce, au même titre que la mise en valeur et le développement des compétences de chacun. » La data pour s’améliorer Enfin, le troisième pilier engagé par Herige concerne l’accélération de l’innovation et du digital. « Le digital transforme nos vies et certains pans de l’industrie. Le bâtiment en fait partie. » Le groupe compte bien poursuivre la digitalisation de ses process et de ses services. De plus, l’industriel cherche à recruter un data manager. Sa mission ? Identifier, qualifier et analyser l’ensemble des datas, tous métiers confondus. Le but étant d’optimiser et d’améliorer chaque branche d’Herige. Enfin, le groupe prévoit une nouvelle édition du concours de l’innovation. « Porteur d’initiatives fortes, il donne lieu à la concrétisation de projets tels qu’Ecop’Sûr pour sécuriser le prélèvement de granulats dans les centrales à béton. » Les partenariats avec le Village by CA qui permet au groupe de rencontrer des start-up ou encore entre Edycem et l’Ecole centrale de Nantes illustrent bien cette ambition. « Covid ou non, il n’y aura pas de retour à la normale, conclut Benoît Hennaut. Mais des changements et de grandes évolutions. Nous devons comprendre les usages d’aujourd’hui et de demain. »
Il y a 4 ans et 81 jours

Paris La Défense lance la métamorphose en profondeur de la Place de La Défense

Véritable centre névralgique du premier quartier d'affaires européen, la Place de La Défense fait le lien entre le Parvis, au pied de la Grande Arche, et l'Esplanade du Général de Gaulle qui mène vers Paris (cf. plans de situation ci-après). Conçue au début des années 70 et dans sa configuration actuelle depuis 1981, la Place se devait de retrouver un nouveau souffle. Au-delà de la résolution de points techniques (étanchéité et revêtements de sol notamment), Paris La Défense souhaite réaffirmer l'identité de la Place en la dotant d'une dimension plus végétale, plus arborée et plus fluide, tout en maintenant son aspect convivial et attractif, et en s'appuyant notamment sur deux œuvres d'art, pièces maîtresses du décor de la Place : l'Araignée rouge de Calder et les Personnages fantastiques de Miró.« 2021 sera riche en changements pour trois lieux emblématiques du territoire : le Parc, les espaces sous-dalle et, plus particulièrement, la Place de La Défense. Point central du grand paysage urbain de La Défense, c'est aussi notre « place du village », lieu de vie et de rencontres, théâtre de nombreux rendez-vous festifs comme le festival Jazz à La Défense. Il était urgent de lui redonner un nouvel éclat, tout en misant sur son adaptabilité, à l'image d'un quartier qui se renouvelle en permanence. »Pierre-Yves Guice, Directeur Général de Paris La DéfenseEn tant que maître d'ouvrage, Paris La Défense a confié au paysagiste Base la reconfiguration de la Place de La Défense. Rappelons que cette place n'est pas un espace public traditionnel. Sa transformation a impliqué l'intégration de contraintes nombreuses et complexes, l'ensemble étant édifié au-dessus d'infrastructures situées sous la dalle (parking, voies souterraines, réseaux de transports...).« Nous reconfigurons l'espace dans sa totalité en menant un travail d'ensemblier visant à intégrer les éléments sculpturaux existants, tout en conservant ses fondamentaux en matière de circulations et d'usages. Nous souhaitons offrir à la Place de La Défense une dimension sensuelle et organique. » ajoute Adrien Fourès, paysagiste de l'agence BASE, en charge de la recomposition de la Place.Une Place événement et quatre espaces à vivreLa Place offre un espace carré de 20 000 m² bordé par le centre commercial Westfield Les 4 Temps d'un côté, et la Maison de La Défense de l'autre (cf. plans de situation ci-après).Voici les 5 espaces de la future Place : La Place centrale de 4 000 m² offrira un sol nivelé au revêtement plus adapté et unifié, rythmé de lignes, en écho à celles du Parvis. Le béton coulé en place, puis poncé, révélera des détails colorés et des étoiles incrustées en laiton. Les accès au parking seront, quant à eux, améliorés avec la rehausse des ascenseurs. Des failles de brumisation rafraîchiront les passants l'été. Régulièrement théâtre de nombreux événements et festivités, hors contexte sanitaire actuel, la Place disposera de tous les atouts pour renforcer sa vocation première : être le cœur battant du territoire.Recadrée et entièrement refaite, la grande pelouse de près 2 000 m² plongera les visiteurs dans une ambiance plus végétale.L'espace à vivre autour de l'Araignée rouge de Calder : l'œuvre d'art va s'élever au milieu d'un espace vert, caractérisé par une végétation de grande hauteur dont la plantation est possible à cet endroit. L'espace sera ainsi planté d'essences colorées aux teintes chaudes (Érables de Montpellier, Charmes et Sorbiers), en écho à la sculpture et de nouvelles assises, plus nombreuses, seront installées.L'espace à vivre autour de l'œuvre de Miró : les Personnages fantastiques vont se retrouver au cœur d'un jardin tout en courbes, à leur image. Conservé, l'emmarchement sera intégré à l'ensemble, en partie planté et agrémenté d'essences fleuries et colorées (Amélanchiers, Sorbiers, Cerisiers d'ornement).L'espace à vivre du côté de la verrière (verrière située au-dessus de la gare Cœur Transport) sera agrémenté de nouveaux arbustes (Arbres de Judée, Érables champêtres, Cerisiers d'ornement), créant un encadrement végétalisé. Un système de brumisation complétera les nouveaux aménagements.Entièrement reconfiguré, l'éclairage de la Place va simplifier et fluidifier les circulations piétonnes ainsi que celles des personnes à mobilité réduite, en particulier à la sortie des transports en commun. Les 18 mâts seront remplacés par 8 projecteurs de 14 et 18 mètres de haut, ils permettront ainsi d'éclairer jusqu'au centre de la Place.Les premiers travaux vont s'effectuer par phases et par secteurs en commençant par les zones périphériques de la Place pour s'achever par la partie centrale. Les circulations seront donc maintenues tout au long du chantier. La première étape, de mars à septembre 2021, concerne la recomposition de l'espace nord, du côté de la Maison de La Défense et de l'Araignée rouge de Calder, ainsi qu'une zone autour de la verrière RATP, avec des travaux de nuit pour ne pas interrompre l'accès à Cœur Transport la journée. Les phases se succéderont ensuite pour une livraison au printemps 2023.Les travaux sont réalisés en trois étapes :La démolition des revêtements existants et des sous-couches (remblai et étanchéité)La mise en place d'un nouveau complexe d'étanchéitéLa réalisation sur place des dalles en béton coulé (ce ne seront pas des éléments préfabriqués)
Il y a 4 ans et 81 jours

Le trafic dans les aéroports d'Europe a régressé de 25 ans

Les aéroports du Vieux Continent ont vu passer 728 millions de voyageurs l'année dernière, contre 2,4 milliards en 2019, a précisé le Conseil international des aéroports (ACI Europe) qui les fédère."Les aéroports européens sont revenus à leurs niveaux de trafic de 1995. Aucun secteur ne peut supporter seul un tel choc", a estimé le directeur général de l'organisation Olivier Jankovec, en renouvelant son appel à davantage d'aides d'État, étant donné "les baisses de trafic supplémentaires ces dernières semaines et l'absence de perspectives de reprise".Ce sont les aéroports situés dans l'Union européenne qui ont le plus souffert, avec un trafic en chute de 73% sur un an, tandis que les pays hors UE mais situés dans le périmètre d'ACI Europe ont légèrement mieux résisté avec un recul de 61,9%, une tendance tirée par la Russie et la Turquie, moins touchées par des restrictions de déplacement.Côté aéroports, le classement des principales plates-formes de correspondances du continent par nombre de passagers a été bouleversé: Londres-Heathrow, Paris-Charles-de-Gaulle, Amsterdam-Schiphol et Francfort, les quatre premiers "hubs" en 2019, ont disparu du "Top 5", au profit d'Istanbul, passé de la cinquième à la première place.Un autre aéroport turc, Istanbul-Sabiha Gocken, pointait à la deuxième place, suivi des trois principaux aéroports moscovites (Cheremetievo, Domodedovo et Vnoukovo).
Il y a 4 ans et 81 jours

Soprema, une entreprise formatrice de nos jeunes

Soprema Entreprises est engagée dans la formation des jeunes talents. [©Soprema Entreprises] Acteur de l’enveloppe du bâtiment, Soprema est engagée dans la formation de jeunes talents depuis plusieurs années. Les formations dans les métiers pointus du secteur du bâtiment ne sont pas nombreuses… C’est Soprema Entreprises qui s’occupe de cette mission. Cette filiale joue un rôle actif dans la formation en alternance. Depuis 2016, en collaboration avec le Cesi de Strasbourg, l’industriel a créé une formation Bac+2 de conducteur de travaux. Et aujourd’hui, un Bac+3 d’ingénierie des enveloppes du bâtiment. Cette licence accueille neuf étudiants.  « Notre volonté est de capter des profils provenant d’un BTS enveloppe du bâtiment ou d’un DUT génie civil. Et ayant déjà une connaissance du secteur et un projet professionnel plus mature », témoigne Rodolphe Lefèvre, directeur général adjoint de Soprema Entreprises. Cette dernière entité a donc a pour objectif de recruter ces étudiants opérationnels. La philosophie de l’entreprise est de former des jeunes, en les accompagnant à chaque étape de leur nouvel vie active. Les étudiants sont ainsi responsabilisés et découvrent le métier de l’intérieur. Grâce à l’alternance, ils acquièrent une réelle expérience de terrain. Un vrai plus pour cette génération, qui recherche du concret pour leur futur.  L’ADN de l’entreprise  Soprema Entreprises participe à d’autres programmes de formation en alternance, toujours autour des métiers du BTP. Ainsi que de la gestion. « Il n’y a pas qu’une seule formule en matière d’alternance, explique Armandine Rémy, responsable recrutement. Notre volonté est de monter, selon les besoins, des dispositifs sur mesure à l’échelle régionale et en collaboration avec les acteurs du territoire. » L’entreprise a multiplié par trois le nombre de contrats chez Soprema, l’alternance permet une transmission de savoir-faire et de savoir-être intergénérationnel. Celle-ci assure un développement et une pérennité à l’entreprise. Pour la troisième année consécutive, l’enquête Happy Trainee place Soprema comme une entreprise où il est bon de réaliser son alternance.  Pour connaître toutes les informations concernant les alternances chez Soprema, consultez le site dédié. Charline David
Il y a 4 ans et 81 jours

Adeo finalise la cession de DomPro au Groupe Mirwault

Fondé il y a près de 25 ans et basé à Roissy-en-France, DomPro est un groupement de distributeurs indépendants multi-spécialistes en quincaillerie, outillage et fournitures industrielles (QOFI) à destination des professionnels. Les activités de DomPro couvrent l'identification, la négociation et le référencement de produits QOFI ainsi qu'un ensemble de services de marketing et d'animation commerciale à ses adhérents et fournisseurs.DomPro propose plus de 35.000 références dans ses catalogues et dispose d'un réseau de plus de 110 adhérents regroupant environ 150 points de vente répartis sur toute la France et réalisant un chiffre d'affaires cumulé QOFI de 200M€, pour un périmètre total-chiffre d'affaires de ses adhérents de 450 M€.DomPro rejoint le Groupe Mirwault, groupe familial de négoce s'articulant autour de 2 pôles d'expertise distincts (i) un pôle cheval / nature spécialisé dans la distribution d'articles pour l'équipement du monde professionnel du cheval et (ii) un pôle Formusson Distribution, spécialisé en quincaillerie d'agencement, d'ameublement et de bâtiment, au travers de ses Réseaux nationaux Experts (Qama, Faille industrie, Arena, Hubert quincaillerie..) représentant un chiffre d'affaires de plus de 50 M€ pour environ 200 collaborateurs.Cette opération répond à la stratégie de Groupe Mirwault de poursuivre le développement de son pôle quincaillerie et de compléter son maillage territorial en "proximité", en lien avec le Réseau d'adhérents indépendants DomPro présent sur toute la France et en outre-mer. C'est également l'opportunité de mettre en place de nombreuses synergies logistiques, digitales et commerciales."Une nouvelle page du développement de DomPro va s'écrire avec le Groupe Mirwault. Nous sommes confiants dans l'expérience et le projet proposés par le groupe Mirwault qui, associés à des assets de tout premier ordre, une riche vision stratégique et des valeurs entrepreneuriales, devraient permettre à DomPro et l'ensemble des Adhérents du réseau de se projeter avec ambition dans le futur. Nous remercions et saluons l'engagement de tous et souhaitons à chacune et chacun plaisir et réussite sur ce nouveau chemin." Pierre-Louis Gras et Alain Giraud - Adeo"En lien avec les 110 adhérents du réseau, nous nous sommes préparés ces derniers mois à la reprise de la centrale DomPro afin de consolider ses actifs et ses savoir-faire déjà en place, d'amplifier ses partenariats avec plus de 300 fournisseurs-partenaires, de renfocer notre palette d'outils marketing et de lancer, courant 2021, un projet digital innovant adapté à nos adhérents. Nous améliorons également, dans les mois à venir, l'offre de notre plateforme logistique centrale afin de mieux répondre aux besoins des adhérents et de leurs clients dans la relation de proximité et d'expertise." Vincent Vuillaumié - Groupe Mirwault, nouveau Directeur Général DomPro
Il y a 4 ans et 84 jours

NGE et SMV, alliés pour l’insertion des jeunes

Le groupe NGE et le SMV ont signé une convention de partenariat, afin de soutenir des jeunes vers le chemin de l’emploi. [©Groupe NGE] Le 4 février dernier, le groupe NGE et le Service militaire volontaire (SMV) ont signé une convention de partenariat. L’objectif est de favoriser l’insertion professionnels de jeunes, âgés entre 18 et 25 ans. A travers ce contrat, les deux signataires se sont engagés à accompagner les jeunes en difficulté, vers le retour à l’emploi. Grâce à des formations proposées par l’école interne de NGE. Cette dernière étant reconnue Centre de formation pour les apprentis depuis 2019… « Cette convention de partenariat avec le SMV va nous permettre d’allier nos forces pour aider les jeunes à rejoindre le chemin de l’emploi, déclare Bruno Pavie, directeur des ressources humaines de NGE. Notre groupe est depuis longtemps investi dans des dispositifs d’intégration. Ceci, avec un corps tutorial important et une culture de formation très ancrée. Nous aurons à cœur de faire découvrir et aimer nos métiers aux jeunes que nous accueillerons. » En effet, le groupe français de bâtiment et travaux publics a exprimé vouloir offrir quelque 30 postes à des jeunes issus des centres du SMV. Un premier partenariat dans le BTP Le SMV est une contribution du ministère des Armées dans le secteur de l’insertion citoyenne professionnelle de jeunes Français exclus du marché de l’emploi. Fondé sur l’acquisition volontaire de valeurs et d’une formation professionnelle, le SMV leur propose un nouveau départ. Et ainsi favorise un retour à l’emploi. Ce dispositif militaire possède de nombreux partenaires institutionnels, de collectivités, d’entreprises ou encore d’organismes de formation. Et ce, sur l’ensemble du territoire français. « NGE vient agrandir la famille des entreprises qui nous accompagnent dans notre mission. Et nous en sommes d’autant plus ravis que c’est la première entreprise de BTP, témoigne le général Benoît Brulon, commandant du SMV. Les jeunes en difficulté ont du mal à se projeter dans un métier. Leur immersion en entreprise est souvent un révélateur de vocation. »
Il y a 4 ans et 84 jours

Le Groupe Apave présente son nouveau plan stratégique 2025 et accélère sa transformation

Dans un marché des TIC (test, inspection, certification) favorable et porteur, bousculé par des transitions numérique, industrielle et énergétique, Apave dévoile son ambition d'entrer dans le Top 5 mondial des leaders sectoriels d'ici 2025 dans les Biens Industriels /Manufacturing, les Énergies, les Transports et les Infrastructures & Construction.Ce nouveau plan stratégique confirme l'accélération du développement et de la transformation d'Apave en France et à l'International, et repose sur quatre piliers :Accélérer la croissance en France et à l'international, notamment par croissance externeUn développement ciblé sur les 4 secteurs d'activités dans lesquels le Groupe souhaite devenir leader, des métiers (Inspection non réglementaire, Certification & Labellisation, Formation) et des géographies prioritaires (Europe, Asie du Sud-Est, Afrique & ProcheOrient), dans lesquels le Groupe concentrera ses efforts et ses investissements futurs.Un développement qui s'appuiera sur une stratégie de croissance externe ambitieuse, notamment à l'international, et sur une stratégie de croissance organique portée par le développement d'offres innovantes et différenciantes dans lesquelles les nouvelles technologies (drones, réalité virtuelle, réalité augmentée, QR code…) seront intégrées.Améliorer de façon durable la performance commerciale, opérationnelle et financière du GroupeAméliorer la performance commerciale en harmonisant et en optimisant les processus de politique de prix et d'efficacité commerciale, tout en maintenant un haut niveau d'expertise et de compétences pour permettre à nos clients de vivre une expérience différenciante.Améliorer la performance opérationnelle en accélérant la modernisation de nos outils informatiques, en développant des services en ligne pour nos clients, et en avançant vers des processus plus digitalisés pour offrir un service réactif et personnalisé.Améliorer la performance financière par une meilleure maîtrise de nos dépenses dans une approche Groupe, et par une amélioration de notre trésorerie pour conserver une bonne santé financière.Poursuivre la transformation culturelle vers un Groupe plus intégré et plus orienté clientSatisfaire les clients qui nous font confiance et avec qui nous travaillons comme objectif premier du Groupe et de ses 12400 collaborateurs en développant une expérience client plus digitale et simplifiée, et en mesurant la progression de leur satisfaction client à travers le NPS (Net Promoteur Score).Améliorer la gestion des carrières de nos collaborateurs dans une approche de symétrie des attentions, par un pilotage fin des compétences et des talents.Associer les salariés plus fortement aux résultats et à la performance du Groupe par la création d'un dispositif d'actionnariat salarié, en France dans un premier temps.Incarner la Raison d'Être du Groupe et valoriser la contribution du groupe aux enjeux externes de la Société et de ses clients à travers une feuille de route RSE actualisée et portée collectivement.Accélérer la dynamique d'innovation et de digitalisation du Groupe pour anticiper l'évolution des métiers d'Apave et se positionner comme un véritable acteur de la confiance digitale (réalité augmentée, cybersécurité, surveillance de structures, industrie 4.0 et jumeaux numériques,inspection à distance etc.) tout en poursuivant la modernisation des systèmes d'information du Groupe.« Apave est positionné sur un marché en croissance et en pleine transformation, notamment lié aux évolutions technologiques et aux enjeux de transition écologique. Conscient de ces mutations, notre plan stratégique marque une nouvelle étape dans notre transformation, engagée il y a quelques années. Pour entrer dans le Top 5 mondial sur nos quatre secteurs prioritaires d'ici 2025, nous avons construit un plan ambitieux et réaliste qui allie performance, croissance et innovation. Nous sommes déterminés à le mener à bien avec l'aide de nos collaborateurs qui ont participé activement à son élaboration. »Philippe Maillard, Directeur Général du groupe ApaveSur la base de ce nouveau plan stratégique, Apave a établi les objectifs 2025 suivants :Une croissance du chiffre d'affaire de 10% / an en moyenneUn ratio EBITDA / CA > 10%, en croissance de plus de 50%40% du chiffre d'affaires réalisé à l'internationalUn doublement de la part d'activités réalisée dans le « non-réglementaire »Net Promoteur Score (clients) supérieur à 40 et un taux d'engagement collaborateurs supérieur à la moyenne des entreprises similaires.Ce plan stratégique est le fruit d'une co-construction avec les clients et les collaborateurs et s'est appuyé sur une analyse externe et interne fine, ainsi que des démarches d'écoutes en termes de perceptions et d'attentes.Dans ce cadre, Apave a également travaillé pendant plusieurs mois avec ses clients et ses collaborateurs dans la définition de sa Raison d'Être dévoilée le 11 janvier 2021 : « Agir en acteur de confiance pour un monde plus sûr, durable et porteur de progrès partagé ». Cette Raison d'Être s'inscrit dans l'histoire du Groupe et traduit la contribution active que Apave et ses 12400 collaborateurs souhaitent apporter au monde d'aujourd'hui et de demain.Pour accompagner ce développement et soutenir financièrement les ambitions portées par le nouveau plan stratégique 2021-2025, le Groupe a engagé en parallèle une démarche de recherche d'un partenaire de croissance.« Le Conseil d'Administration d'Apave, par le moyen de ce Plan stratégique, vise à construire un Groupe plus intégré, plus innovant et digital, orienté client, plus attractif et riche de collaborateurs engagés et fiers de leur métier. L'adossement à un partenaire de croissance nous permettra d'accompagner le financement et la réussite de ce plan, et permettra au Groupe Apave de devenir un leader mondial reconnu pour ses expertises en maitrise des risques et sa capacité à accompagner ses clients dans leurs démarches de progrès. »Rémi Sohier, Président du groupe Apave
Il y a 4 ans et 85 jours

Le groupe KP1 nomme un nouveau président

Portrait de Vincent Linchet, nouveau président du groupe KP1. [©Groupe KP1] Le 29 janvier dernier, Vincent Linchet a été nommé président du groupe KP1. Il succède ainsi à Bruno Roqueplo qui a quitté le groupe afin de donner une nouvelle orientation à sa carrière. Fabricant de systèmes constructifs en béton pour les planchers, structures et ossatures de bâtiments, KP1 possède 39 sites en France. Créée en 1959 à Avignon, l’industriel emploie plus de 1 700 personnes. A la suite de sa nomination, Vincent Linchet a annoncé être « ravi de rejoindre le groupe KP1 qui est sans aucun doute l’une des entreprises de taille intermédiaire  industrielles les plus remarquables de France. Elle est dotée d’une capacité d’innovation et de production impressionnantes, développées depuis plus de 60 ans par des équipes robustes et déterminées ». Le parcours de Vincent Linchet Diplômé de physique nucléaire, Vincent Linchet détient aussi un Master of Business Administration (MBA) obtenu à la Louvain School of Management, en Belgique. Après une expérience de plusieurs années au sein d’Ariston Thermo Group, comme directeur commercial et marketing, il rejoint le groupe Saint-Gobain. Cette fois-ci en tant que directeur général de division pour Pum Plastiques puis, Cédéo-Brossettes. En 2018, il intègre Abrisud, fabricant européen de piscines. Il agit en qualité de président et directeur général. En seulement deux ans, Vincent Linchet réussi le pari de relancer le groupe. Aujourd’hui, un nouveau pari s’offre à lui. En effet, à la tête du groupe KP1, nul doute que Vincent Linchet aura de nombreux défis à relever….
Il y a 4 ans et 85 jours

Vers un nouveau "référentiel du logement de qualité"

HABITAT. Le gouvernement a annoncé la mise en place, d'ici l'été, d'un nouveau référentiel de la qualité des logements, dont elle a confié le pilotage à l'architecte urbaniste François Leclercq, et au directeur général d'Epamarne Laurent Girometti.
Il y a 4 ans et 85 jours

Inauguration digitale du Wilopark, le nouveau siège social du Groupe Wilo

Le Groupe Wilo a invité ses hôtes à l'inauguration du nouveau siège social à Dortmund, le Wilopark. Plus de 1.500 invités internationaux de haut rang issus du monde des affaires et de la politique ainsi que des employés Wilo ont participé à cet événement digital - en raison de la pandémie de coronavirus. Parmi les invités de marque, qui ont envoyé un message vidéo pour l'occasion, figuraient la chancelière allemande Dr. Angela Merkel, le ministre-président de Rhénanie du Nord-Westphalie (RNW), Armin Laschet, les ministres de Rhénanie du Nord-Westphalie Prof. Andreas Pinkwart et Karl-Josef Laumann, ainsi que le vice-premier ministre du Kazakhstan, Roman Sklyar.Après un bref discours de bienvenue, Oliver Hermes, Président et Directeur Général du Groupe Wilo, a expliqué pourquoi l'ouverture du Wilopark à Dortmund représente une étape importante dans l'histoire de l'entreprise : "Avec un investissement d'environ 300 millions d'euros, le réaménagement du siège social de Wilo représente non seulement le plus grand projet de l'histoire de notre entreprise, mais aussi l'un des plus grands projets de construction industrielle jamais entrepris en Rhénanie-du-Nord-Westphalie, voire même en Allemagne".Wilopark – un projet phare exemplaireL’usine de production ultramoderne et hautement technologique, les bureaux de l’administration "PioneerCube", un centre de service clientèle et des installations de développement produits s'étendent sur une surface de près de 200 000 m².La chancelière Angela Merkel a félicité Wilo pour l’ouverture du Wilopark. Elle a profité de l'occasion pour souligner l'impressionnant bilan du Groupe Wilo en termes économiques et environnementaux avec ses pompes et systèmes de pompage innovants, pour lesquels le Groupe a été récompensé par le prix national allemand du développement durable 2021.Le ministre-président de NRW, Armin Laschet, a également adressé ses félicitations et complimenté tous les collaborateurs Wilo : "Ils montrent avec beaucoup de succès comment utiliser des idées intelligentes, de la créativité et des innovations pour rendre la production locale adaptée à l'avenir et en même temps garantir des emplois. Nous avons besoin de tout cela pour assurer notre prospérité, surtout dans la région. Le Wilopark est un engagement clair en faveur de Dortmund et de la Rhénanie-du-Nord-Westphalie."Andreas Pinkwart, ministre d'État de Rhénanie-du-Nord-Westphalie pour l'économie et l'énergie, et Karl-Josef Laumann, ministre d'État de Rhénanie-du-Nord-Westphalie pour le travail, la santé et les affaires sociales, ont également transmis leurs félicitations personnelles au Groupe Wilo, également par message vidéo, à l'occasion de l'inauguration officielle du nouveau siège à Dortmund.Industrie 4.0 – une production déjà neutre sur le plan climatiqueLe Groupe Wilo a mis en œuvre un concept de gestion tourné vers l’avenir et une technologie de construction en réseau numérique, pour son nouveau siège social. Cela permet de réduire la consommation d'énergie de près de 40 %. En parallèle, les émissions de CO2 sont réduites de 3 500 tonnes par an, ce qui correspond à la quantité maximale de CO2 absorbée par 280 000 arbres."Pour nous, en tant qu'entreprise engagée dans la protection du climat, la mise en œuvre d'un concept global de durabilité a été très importante dès le début. Nous sommes fiers de produire déjà des produits neutres sur le plan climatique au cœur du Wilopark. Nous voulons que cela devienne une pratique courante sur tous les principaux sites de production de Wilo d'ici 2025", a souligné Georg Weber, Membre du Executive Board et directeur technique du Groupe Wilo.Wilo a développé une stratégie de durabilité explicite sur la base de sa stratégie d'entreprise "Ambition 2025". L'objectif du groupe est de fournir de l'eau propre à un plus grand nombre de personnes tout en réduisant son empreinte carbone. " Le Wilopark est l'une de nos nombreuses contributions pour aider la région de la Ruhr, qui a fait ses preuves en matière de transformation, et donc la Rhénanie-du-Nord-Westphalie et l'Allemagne, sur la voie d'un avenir à la fois durable et numérique", a réitéré Oliver Hermes.Enthousiasme des principaux clients et partenaires dans le monde entierDes clients et partenaires, de premier plan du Groupe Wilo, ont également participé à la retransmission en direct depuis le monde entier. Par exemple, des félicitations ont été adressés à la direction générale de Wilo depuis le Kazakhstan par le vice-premier ministre Roman Sklyar, et depuis la Chine par l'ancien ambassadeur de la République populaire de Chine en Allemagne, Shi Mingde.Une visite guidée de l’usine en guise de conclusionAvant la fin de l'événement, les invités ont eu un aperçu de la pièce maîtresse du nouveau Wilopark : le site de production numérique. Malgré la distanciation sociale, les invités ont pu découvrir virtuellement le site et constater de près que toutes les étapes du processus sont mises en réseau. Ces dernières sont communiquées de manière transparente au public dans cette installation ultramoderne, et les différents composants du processus et les machines sont équipés pour traiter l'industrie 4.0.
Il y a 4 ans et 86 jours

Dossier : Le BTP fait sa fashion week

Sélection de la rédaction. Des EPI en jeans, protection ultime et plein de style. [©Armalith]Sélection de la rédaction. Une collection automne-hiver pleine de modernité par Lafont. [©Lafont]Sélection de la rédaction. Même sur un chantier, il faut avoir du style. [©Molinel]Sélection de la rédaction. Lafont nous montre son modernisme. [©Lafont]Sélection de la rédaction. Des chaussures de protection tendance et connectées, c’est la nouvelle gamme de Parade. [©Parade]Sélection de la rédaction. La technologie Armalith est utilisée pour des EPI modernes et tendance. [©Armalith] Le marché mondial du vêtement professionnel représente 7 Md€. En France, environ 8 M de personnes utilisent des vêtements professionnels, soit le tiers de la population active. Parce que les métiers du bâtiment et des travaux publics peuvent s’avérer dangereux, il est indispensable d’avoir une tenue adéquate pour travailler en toute sécurité. Tout en répondant aux exigences des différents métiers.Fabriqués de manière à résister à de nombreuses situations, les vêtements professionnels permettent d’être efficace, tout en travaillant confortablement. Défilé Calvin Klein Les marques déploient ainsi leur collection avec des gammes de produits de haute qualité et souvent éco-responsables. Et qui s’adaptent aux différents environnements de travail.Cela permet aux professionnels de travailler avec une tenue à la fois moderne et design, qui peut être portée à l’atelier comme en ville. Si, si…. En 2018, le créateur de mode Calvin Klein s’est inspiré des vêtements de travail pour proposer des pièces uniques et tendance. Dans un décor de chantier, les mannequins défilaient avec des bleus de travail, des bandes fluorescentes et même des cagoules de protection. Raf Simons, le directeur artistique de Calvin Klein, n’est pas le seul à emprunter les codes des EPI. Plusieurs expositions ont lieu en France, mettant toujours en avant ce vêtement si iconique. Pour son défilé de 2018, Calvin Klein a pioché son inspiration dans les vêtements de travail. [©Calvin Klein] Lafont a eu l’honneur de voir exposer ses pièces cultes. Il est le premier à avoir déposée en marque ses vêtements de travail. Son créateur, Adolphe Lafont, est celui qui a inventé la salopette, ainsi que la poche mètre. Il est en quelque mot le créateur de l’industrie du textile professionnel. C’est donc tout naturellement que le Mucem, à Marseille a sélectionné les vêtements Lafont pour son exposition “Vêtements modèles”. Lors de l’évènement “Bleu de travail”, on a pu retrouver des archives du monde du travail, des collections de vêtement et même des pièces de prêt-à-porter inspirées du “workwear”1. “L’atelier customise ton bleu” faisait partie de ce rendez-vous. Il proposait aux visiteurs de repartir avec une pièce de tissu, réalisé avec la même matière que les bleus de travail professionnel, totalement personnalisée. Ainsi, le vêtement de travail influence notre société. Les marques de prêt-à-porter haut de gamme s’emparent du phénomène, ainsi que des expositions.  L’exposition sur les bleus de travail au Mucem a su attirer du monde. [©Mucem] EPI, accessoires de mode… obligatoires Selon la dernière étude de l’Assurance Maladie – Risques Professionnels (2016), le nombre d’accidents de travail dans le secteur du BTP reste très largement supérieur à la moyenne, avec 60 accidents/j pour 1 000 salariés. Il est donc obligatoire et impératif de s’équiper en accessoires : les équipements de protection individuelle (EPI). Pour cela, les marques proposent une protection de la tête aux pieds et des services adaptés : casques, gants, genouillères… Le secteur compte nombre d’acteurs et nombre d’EPI. Tout est passé en revue chez les marques pour les professionnels, de la tête au pied. En France, il est obligatoire de s’équiper en vêtements de protection. Des entreprises comme Mewa renouvellent donc leur collection. [©Mewa] Aujourd’hui, l’industrie textile est la deuxième industrie la plus polluante du monde. Gaspillage, surconsommation, pollution des eaux… Toute n’est pourtant pas à mettre dans le même panier. Celle du vêtement professionnel ne s’est pas jetée à bras ouvert dans cette course à l’hyper-consommation textile. Bien au contraire. Les marques proposent des vêtements costauds et qui durent dans le temps. Dès ses débuts, le secteur en a produit des résistants, durables et techniques que les clients usent jusqu’au bout. Des tissus nouvelle génération « Le bleu de travail est un achat d’obligation, de raison et de sécurité qui privilégie la qualité et la technicité à la quantité. Le secteur des vêtements professionnels est beaucoup moins gaspillant que celui des vêtements de loisirs.  Il ne surproduit pas en masse et n’a pas besoin de renouveler toutes ses gammes de produits. En effet, en règle générale, seuls 10 à 12 % des produits du catalogue sont renouvelés chaque année. Certains produits peuvent même figurer depuis plus de 25 ans dans un catalogue. Aucune entreprise ne souhaite les changer tous les mois, surtout, s’il n’y a pas de destruction des invendus », explique Frédéric Jacquart, directeur commercial de Timberland Pro. Les marques de vêtements professionnels mettent tout en œuvre pour proposer le plus de produits à leurs clients. [©ChatardPro] De plus, certaines marques développent des tissus de nouvelle génération, comme l’Armalith 2.0, obtenu par l’assemblage d’une fibre de coton avec la fibre UHMWPE. Jusqu’à présent réservée aux applications spatiales, militaires et offshore, cette technologie exclusive est un authentique denim avec en son cœur, une armature, lui conférant les qualités mécaniques du cuir. L’Armalith propose le confort du jean stretch, la sécurité du cuir et les belles teintes de l’indigo. Un petit plus pour des vêtements anti-abrasion, toujours tendance. Une féminisation des collections En parallèle, certaines marques permettent la location de vêtements. Ainsi, l’entreprise est débarrassée de tout un ensemble de tâches, comme l’achat, le stockage et l’entretien des textiles. Mais aussi l’adaptation continuelle aux besoins. Comme, par exemple, lorsqu’une personne de l’équipe d’une entreprise a besoin d’un pantalon supplémentaire ou en cas d’embauche de nouveaux collaborateurs ou collaboratrices. D’autres privilégient la haute technologie, comme des chaussures intelligentes à détection de chute. Les chantiers se féminisent, les entreprises doivent donc proposer des vêtements pour les femmes. [©EPICenter] Et petit plus : dans les métiers du bâtiment et des travaux publics, les équipes tendent à se féminiser. Attentif aux attentes spécifiques de ces utilisatrices et aux besoins de mixité des tenues dans les entreprises et les collectivités, les marques se sont lancées dans les gammes féminines. Coupes cintrées, taille réglable par système élastiqué pour un bon maintien au niveau des hanches, poches arrondies et ajustées… Chaque vêtement propose des tenues ergonomiques et adaptées à chacune des silhouettes. Confort, facilité de mouvements et sécurité au quotidien. Tout en permettant aux équipes d’être assorties côté style…  Nous allons vous faire découvrir la collection automne-hiver 2020-2021 de quelques marques, la liste n’étant pas exhaustive. Charline David et Muriel Carbonnet 1Vêtement de travail. Sommaire du Dossier : Aigle Pro : Deux nouveaux modèles de chaussures Buffalo : La chaussure de sécurité haute performance   Chatard : La veste de pluie Concept Tricots Bonnemaille : Une gamme de vêtements haute protection Damart accroît l’influence de DamartPro Dickies dévoile sa nouvelle gamme 2020-2021 Mewa Move : La nouvelle collection tendance de Mewa Milwaukee : De nouveaux vêtements s’ajoutent à la gamme M12 Molinel : Des EPI haute protection  Parade : La chaussure de sécurité connectée Rostaing : Elles leur vont comme des gants professionnels Uvex dévoile ses gants protecteurs et novateurs
Il y a 4 ans et 86 jours

KP1 annonce la nomination de Vincent Linchet à la présidence du groupe

Fort d’un long parcours dans l’industrie et la distribution dans le domaine du BTP, Vincent Linchet a successivement occupé les postes de Directeur Commercial et Marketing chez deux industriels majeurs du secteur CVC (Ariston Thermo et BDR Thermea), puis de Directeur Général de division chez Saint-Gobain (PUM Plastiques, CEDEO-Brossette) ; plus récemment, Vincent Linchet a mené avec succès la relance opérationnelle et stratégique du groupe Abrisud.« Je suis ravi de rejoindre le groupe KP1 qui est sans aucun doute l’une des ETI industrielles les plus remarquables de France, dotée d’une capacité d’innovation et de production impressionnantes, développées depuis plus de 60 ans par des équipes robustes et déterminées. »
Il y a 4 ans et 86 jours

Eurovia déploie sa marque Granulat +

Centre de recyclage SPL à Gennevilliers (92). [©ACPresse] « L’économie circulaire est un enjeu majeur dans l’économie de la construction et de la société. » C’est ainsi que débute la présentation sur le déploiement de Granulat + de Robert Bello, directeur général d’Eurovia France. Au cœur du centre de recyclage SPL à Gennevilliers (92), le directeur rappelle les fondamentaux. « Nous consommons 6 t/habitant/an de matériaux de construction. Ils sont la deuxième ressource la plus consommée après l’eau. Nous devons sortir de l’économie linéaire par les 3R – réduire la consommation de ressources, réutiliser et recycler. » En effet, Eurovia connaît bien le sujet. L’industriel est aussi bien producteur de matériaux que recycleur. « Nous sommes les premiers recycleurs de matériaux de construction et produisons 8 Mt/an de granulats recyclés. Avec nos 260 sites, nous souhaitons doubler ce tonnage de recyclés d’ici 2030. » Le déploiement de Granulat +, qui oscille entre le label et la marque, tombe ainsi à point nommé. Gage de « qualité engagée », l’idée ici est de rendre ses lettres de noblesse aux granulats recyclés, proposer une logistique optimisée en fonction des territoires et valoriser les sites Eurovia. « Nous sommes dans une période de rupture et d’accélération. Nous sommes prêts, mobilisés et taillés pour. » Granulat + s’intéresse aussi bien aux déchets des travaux publics, que de l’enrobé ou du bâtiment. D’ailleurs, l’industriel compte accélérer le développement de la production de granulats recyclés de béton pour le béton. Ancré sur le territoire « Il y a un potentiel énorme dans ce domaine », confirme Christophe Jozon, directeur matériaux d’Eurovia France. Mais ici, tout fonctionne dans une logique de territoire. « Nous sommes capables de tracer tout le process et de nous adapter. La question de la logistique est essentielle. C’est un gain de produire le granulat sur le territoire pour le territoire. Le transport représente deux tiers du taux d’émission de CO2. Granulat + Logistique est aussi un service qui permet à nos clients d’optimiser tout ça. Nous nous devons de trouver les meilleures solutions pour toutes les parties prenantes. » Si un des 260 sites d’Eurovia veut obtenir la labellisation Granulat +, il devra automatiquement être en capacité de recevoir les déchets, trier et vendre des granulats recyclés. Aujourd’hui, 130 sites bénéficient déjà de ce dispositif. « L’objectif est d’arriver à 80 % en 2030. » Avec l’arrivée de la Rep, établie par la loi Agec, Eurovia assure « que nos plates-formes sont là pour répondre à la nouvelle réglementation. »
Il y a 4 ans et 87 jours

Frédéric Didier, directeur général de Wienerberger France

Directeur général adjoint de sa filiale française depuis 2016, Frédéric Didier est nommé directeur général de Wienerberger France en septembre 2020.
Il y a 4 ans et 87 jours

Olivier de Longeaux, directeur général de K•Line

Olivier de Longeaux est nommé directeur général de K•Line en octobre pour une prise de fonctions en janvier 2021. K•Line fait partie du groupe Liebot.
Il y a 4 ans et 87 jours

Les chantiers des JO-2024 de Paris dans les starting-blocks

"On est à un moment de bascule", explique Nicolas Ferrand, directeur général de la Société de livraison des ouvrages olympiques (Solideo), pour qualifier l'année 2021 qui va voir débarquer des dizaines de grues et des milliers d'ouvriers.Tout doit être bouclé pour décembre 2023.Les travaux du village olympique, pièce maîtresse de 300.000 mètres carrés, situé à Saint-Denis, Saint-Ouen et l'Ile-Saint-Denis, vont débuter en mars. "Les 26 permis de construire ont été obtenus et les ventes ont été signées", s'est réjoui M. Ferrand, grand ordonnateur de la Solideo, lors d'une conférence de presse cette semaine.Miracle, le Covid et le premier confinement n'ont fait prendre qu'à peine un mois de retard.Parmi ce que Nicolas Ferrand qualifie néanmoins de "belle difficulté": un investisseur canadien partenaire de Vinci s'est envolé en cours de route. 50.000 mètres carrés de bureaux attendent preneurs en plein milieu du village olympique, qui deviendra un quartier résidentiel en 2025.Un "gros ministère" est sur les rangs pour y installer son administration centrale, une fois les athlètes partis. L'appel d'offre est en cours.Non loin du village olympique, la construction du tout nouveau centre aquatique olympique, dit "CAO" dans le jargon olympique, va être lancé au printemps."Une belle bête""Une belle bête!", commente Patrick Ollier, président LR de la Métropole du Grand Paris, maître d'ouvrage de cette piscine construite par Bouygues, qui recevra plongeon, natation synchronisée et water-polo.Au total, la Solideo, qui a un budget d'argent public de près d'1,4 milliard d'euros (sur 3,2 milliards environ), supervise 62 ouvrages. Autre chantier d'ampleur: le village des médias, au nord du département, près de l'aéroport du Bourget. Il sera construit en deux étapes, une partie sera réalisée après les Jeux, avec au total 1.300 logements.La justice rejette le recours déposé contre le village des médias La justice a rejeté vendredi le recours déposé par des opposants à la cession d'une partie du parc départemental Georges-Valbon en Seine-Saint-Denis, qui doit accueillir le village des médias pour les Jeux olympiques de Paris-2024 puis être transformé en éco-quartier, selon une décision consultée samedi par l'AFP.Dans ce recours en référé (mesure d'urgence) déposé le 28 janvier devant la cour administrative d'appel de Paris, le Mouvement national de lutte pour l'environnement (MNLE 93), le Collectif pour le Triangle de Gonesse et une dizaine d'usagers de cet immense parc demandaient l'annulation de la cession du terrain par le Conseil départemental de la Seine-Saint-Denis."Ces parcelles, affectées depuis des dizaines d'années aux loisirs et sports, fêtes, ces espaces verts et boisés avec leur biodiversité, leur faune et flore seront détruits et cédés par lots à des bétonneurs et promoteurs", dénonçaient ces opposants.La vente d'une partie de l'"Aire des Vents", située sur la commune de Dugny, avait été votée le 10 décembre, au profit de la société de livraison des ouvrages olympiques (Solideo) pour 6,9 millions d'euros.La zone, en partie bétonnée et qui accueille traditionnellement la Fête de l'Huma, doit se transformer en vue des Jeux olympiques. Le projet prévoit d'y construire le village des médias, qui deviendra ensuite un écoquartier de 1.300 logements et commerces.Les opposants dénoncent une "artificialisation définitive" et "l'amputation" de ce parc de 400 hectares, situé en majeure partie sur la commune de la Courneuve, poumon vert d'un département très densément peuplé, où "la population s'accroît chaque année de 15.000 nouveaux habitants".Le collectif d'associations va déposer un nouveau recours en justice, cette fois contre l'autorisation environnementale délivrée par le préfet de la Seine-Saint-Denis, a indiqué samedi à l'AFP Jean-Marie Baty, président du MNLE 93.Les opposants ne comptent pas rendre les armes : "Nous avons déjà mené le combat contre Europacity -projet de megacomplexe de loisirs et de commerce qui devait s'installer sur les terres du Triangle de Gonesse, dans le Val-d'Oise-, dont on disait que c'était David contre Goliath, et nous l'avons gagné", fait valoir Jean-Marie Baty.
Il y a 4 ans et 91 jours

Une table ronde en ligne autour de la ressource bois dans l’architecture

Organisée dans le cadre de l’édition 2021 du concours Archi’bois, la table-ronde « DE QUEL BOIS JE CONÇOIS ? LES ENJEUX DE LA RESSOURCE BOIS DANS L’ARCHITECTURE » interrogera la place de la ressource bois dans l’architecture face aux défis écologiques actuels. Elle sera animée par Stéphanie Obadia, journaliste et conférencière spécialisée dans la construction et le bâtiment. Avec : Jean-François Dhôte, directeur de recherche INRA Jérôme Martinez, responsable de Bois de France ; Christophe Aubertin, architecte (Studiolada) ; Marie Schweitzer, architecte-charpentière (présidente du jury 2020) et Marie Jorio, coordinatrice générale de France Bois 2024. Le 9 février 2021 à 17h.
Il y a 4 ans et 92 jours

"D’ici 5 ans, 10% des chantiers de rénovation financés grâce aux CEE seront contrôlés", Alexandre Dozières, DGEC

Le sous-directeur de l'efficacité énergétique et de la qualité de l'air à la Direction générale de l'énergie et du climat explique au Moniteur les tenants et les aboutissants de la 5e période des certificats d'économie d'énergie qui débutera le 1er janvier 2022 pour une durée de quatre ans.
Il y a 4 ans et 92 jours

Le cimentier Vicat crée une filiale de traitement des déchets

Cette filiale, appelée Circulère, a été officiellement lancée le 1er janvier avec l'objectif "d'apporter des solutions concrètes aux entreprises (...) pour la valorisation de leurs déchets", explique Vicat dans un communiqué.Circulère emploie une douzaine de personnes et compte deux implantations, exploitées en collaboration avec le groupe Serfim: Terenvie dans le Rhône, spécialisée dans la dépollution des friches industrielles, et Bioval en Savoie, dédiée à la production de combustibles solides de récupération."L'hybridation entre activité industrielle et fournisseur de service permet de consolider l'expertise du groupe", a déclaré le directeur général de Circulère, Stéphane Rutkowsi, cité dans le communiqué.Vicat souligne qu'en 2019 l'utilisation de combustibles et de matières de substitution a permis de valoriser près de 450.000 tonnes de déchets dans ses cinq cimenteries françaises, contribuant à ses objectifs de réduction des émissions de CO².
Il y a 4 ans et 93 jours

Ghent Aggregates : « Notre développement s’inscrit dans le durable »

Jonathan Kesteleyn est le directeur général de Ghent Aggregates. [©Ghent Aggregates] Ghent Aggregates a été créée en 2014. Aujourd’hui, de quelles infrastructures disposez-vous ? Nous disposons de deux sites. Le premier où nous avons commencé avec quelque 6 500 m² et un nouveau terrain de 9 900 m². Nous sommes situés dans le port maritime de Gand, en Belgique. Avec un embranchement direct sur les principaux axes routiers, fluviaux et maritimes. Quels sont les marchés sur lesquels vous intervenez ? Les produits sont spécifiques par domaine d’activité et secteurs géographiques. Nous livrons à la fois des centrales BPE pour les bétons esthétiques et les postes d’enrobés pour les enrobés de couleur. Mais aussi des usines qui cherchent des minéraux spécifiques contenant de la CaCO3, de l’aluminium ou des teneurs en SiO2 élevées. Au niveau géographique, notre marché couvre la Belgique, la France, le Luxembourg, les Pays-Bas et le Royaume-Uni. Nous avons noué nos premiers contacts en Lituanie. Et nous avons déjà exporté vers La Réunion et Israël. Pouvez-vous nous résumer les gammes de granulats que vous proposez ? Granulats calcaires de toutes les couleurs, porphyres, grès, mais aussi granulats siliceux, silico-calcaires, pouzzolanes, granites, dolomies… Nous couvrons une très grande gamme de productions européennes et internationales. Depuis les enrochements jusqu’aux granulats fins. Par quel biais vos produits sont-ils distribués en France ? Dans le domaine des aménagements extérieurs, nous avons des négociants avec qui nous travaillons déjà.  Mais nous souhaitons encore nous développer. Dans le secteur des bétons, les liens sont directs avec les producteurs et les services qualité. Afin de cibler au mieux les besoins et d’y répondre au plus juste, aussi bien sur les aspects qualitatifs que logistique. Nous avions déjà échangé autour du chantier du centre culturel De Spil, à Rœselare. Vous aviez alors été force de proposition dans la constitution des formulations. Est-ce que l’aide au choix et à la composition des formules de béton est au cœur de votre stratégie commerciale ? Le fait de bien appréhender les besoins du client, tout comme le produit fini et d’avoir une connaissance approfondie des matériaux nous permet de répondre au mieux. Formulation et composition, mais aussi recomposition des matériaux sur différentes couleurs ou granulométries, nous veillons à tous ces aspects. Notre dernier investissement, un crible à deux niveaux, nous permet de corriger et d’améliorer des produits à la demande. Par exemple, une production n’offre que la granulométrie 8/16, le client souhaite du 12/16, c’est désormais possible. Nous trouvons des solutions en fonction des besoins. Le Royaume-Uni est l’un de vos marchés. Redoutez-vous le Brexit ? Comme le Brexit vient à peine d’être défini et que les douanes s’organisent encore, c’est assez pénible. Dans un premier temps, il faudra trouver les bonnes procédures pour reprendre de manière rapide les exportations. De plus, nous nous organisons déjà pour devenir déclarant douanier agréé, pour gagner du temps. Et pour mieux se positionner sur le marché, en épargnant les tracasseries administratives à nos clients. Quelles sont vos pistes de développement pour le futur ? Est-il possible de continuer d’innover lorsque l’on produit des granulats ?  Certainement ! Aujourd’hui, nous nous retrouvons avec une vieille industrie, à l’image plutôt négative. Notre développement s’inscrit dans le durable : transport par voie d’eau, stockage intermédiaire, optimisation de la logistique.  Mais aussi développement de produits finis, avec nos granulats, qui contribueront à l’amélioration des problèmes environnementaux. Notre deuxième phase d’extension commence dès 2021.
Il y a 4 ans et 94 jours

LafargeHolcim croît en France et en Italie

LafargeHolcim vient de reprendre 24 centrales à béton Cemex en Rhône-Alpes – Auvergne. [©Cemex] LafargeHolcim a annoncé l’acquisition simultanée d’Edile Commercial, en Italie, et le rachat de l’outil industriel de Cemex en Rhône-Alpes – Auvergne. Ces deux transactions concernent, en premier lieu, des unités de production de béton prêt à l’emploi. Pour ce qui est de Cemex, l’accord signé voit la cession de 24 centrales à béton et d’une carrière. Toutefois, Cemex conserve ses activités situées dans la métropole lyonnaise… L’industriel prévoit de finaliser la transaction d’ici début avril, une fois les conditions de clôture remplies. Et précise que « le produit de cette transaction sera affecté dans des projets de croissance sur des marchés clefs… » Côté italien, Edile Commerciale apporte à LafargeHolcim 11 centrales à béton, toutes situées sur le secteur de Milan. Ainsi, ce sont 35 unités de production de BPE qui viennent enrichir le parc des équipements du groupe franco-suisse.  Le béton vert EcoPact Ainsi, ces opérations renforcent la position de LafargeHolcim dans deux des zones les plus dynamiques et les plus attractives d’Europe. Des acquisitions complémentaires qui s’ajoutent à 8 initiatives similaires réalisées en 2020…  Ceci, en Australie, au Canada, aux Etats-Unis, au Royaume-Uni et en Suisse. « Je suis enthousiasmé par les perspectives de croissance à venir avec Edile Commerciale et Cemex Rhône-Alpes,souligne Jan Jenisch, directeur général de LafargeHolcim. Ces deux acquisitions s’inscrivent dans notre stratégie de croissance […]. Elles confirment notre ambition de revitaliser des villes de premier plan comme Milan et Lyon. Et notre vision de faire de l’Europe une région zéro net carbone d’ici 2050. Pour être un partenaire clef dans ce voyage, nous avons lancé le béton vert EcoPact l’année dernière. Je m’engage à assurer son déploiement rapide dans le monde entier. Cette année, nous avons une occasion unique d’accélérer la transition vers la construction durable. Ceci, avec une vague sans précédent de plans de relance gouvernementaux, axés sur les infrastructures, avec l’Europe en tête. »
Il y a 4 ans et 95 jours

Engie et Neoen dévoilent un gros projet solaire en Gironde

Le projet, baptisé Horizeo, doit s'implanter sur la commune de Saucats. Il prévoit "un parc photovoltaïque d'une puissance d'un gigawatt, pour une production d'électricité équivalente à la consommation annuelle de plus de 600.000 personnes", détaillent les deux entreprises du secteur énergétique dans un communiqué commun.Autour du parc sont aussi prévus des batteries de stockage d'électricité, une unité de production d'hydrogène vert, un centre de données et une surface associant agriculture et production d'électricité solaire.Le projet s'étend sur une surface boisée d'environ 1.000 hectares et supposera par conséquent une "autorisation de défrichement". Les entreprises s'engagent toutefois à "des boisements compensateurs supérieurs à la surface concernée".La Commission nationale du débat public (CNDP) a décidé d'organiser un débat public sur Horizeo.Outre sa taille, le projet se distingue également par son modèle économique. L'électricité d'origine solaire serait en effet revendue dans le cadre de contrats de gré à gré et non via les appels d'offres publiques, avec les subventions attachées."Horizeo est un projet d'envergure qui entend démontrer qu'il est possible d'accélérer la transition énergétique en France en proposant directement à des entreprises une énergie renouvelable compétitive", a souligné Paul-François Croisille, directeur général adjoint de Neoen, cité dans le communiqué.
Il y a 4 ans et 95 jours

Capremib : Etre encore plus réactif

Clément Blanc, directeur général de Capremib-Cibetec : « Nous sommes de plus en plus engagés sur la voie du bas carbone ». [©ACPresse] Pour Capremib, l’année 2020 a été celle des grandes évolutions. Et le programme a été chargé. Entre l’intégration du BIM, la mise en service d’une centrale à béton dédiée aux Bfup et la signature d’un partenariat avec HGCT, les changements s’annoncent profonds. « La préfabrication, c’est un puzzle pour les chantiers. » Ainsi Clément Blanc, directeur général de Capremib et Cibetec, définit-il le travail de l’industrie du béton. Aussi et malgré le développement du BIM, les plans fournis par les entreprises ne sont pas toujours exploitables en usine de préfabrication. « Les bureaux d’études réalisent le dimensionnement des pièces et non des dessins exploitables en atelier. Les clients ne sont pas des spécialistes de la préfabrication, d’où des décalages entre leurs besoins et nos impératifs techniques. » A vrai dire, les contraintes de la préfabrication ne sont pas intégrées au BIM. C’est pour combler ce manque que Capremib vient d’adopter le BIM au sein de son bureau d’études. « Nous serons pleinement opérationnels dès le début de l’année 2021 », confirme Clément Blanc. Trois postes sont, d’ores et déjà, équipés du logiciel Tekla Structures de Trimble. « A présent, nous sommes en mesure de recevoir les plans BIM de nos client. Et de leur proposer des solutions plus lisibles. La visualisation 3D est aussi très utile pour bien comprendre les pièces en préfabrication. » Une centrale dédiée aux Bfup Surtout, Tekla Structures va faciliter le travail de Capremib autour des plans BIM, que l’industriel pourra compléter à loisir selon ses propres impératifs. Et sans devoir repartir de zéro. La division Cibetec, spécialiste des bétons architectoniques, profitera de la technologie BIM du bureau d’études Capremib. De même que les projets clients non encore développés en BIM. Et puis, cette technologie permettra d’aller plus loin. Comme d’indiquer le bilan carbone des pièces préfabriquées directement dans les données BIM. « Le délai est notre meilleur allié, reprend Clément Blanc. La préfabrication est un travail en temps masqué pour le chantier. Avec le BIM, nous sommes en mesure d’être encore plus réactifs. » L’autre porte d’entrée vers une meilleure réactivité se situe dans l’atelier. Là, Capremib vient d’inaugurer une nouvelle centrale à béton, installée dans un bâtiment neuf et isolé de 250 m2. « Cet équipement est dédié à la production de Bfup et de bétons fibrés. C’est une centrale d’ingénierie qui nous permettra aussi de tester de nouvelles formules, de réaliser des bétons spéciaux en petites quantités. » Un partenariat avec HGCT L’installation s’articule autour d’un malaxeur conique Kniele, d’une capacité de 1 500 l. C’est BSC qui en a assuré la fourniture, mais aussi la conception et la construction de la centrale à béton dans son ensemble. Côté matériaux, Capremib a opté pour le BSI du groupe Eiffage. Outre l’intégration du Bfup dans ses process de production, Capremib a signé un accord avec l’industriel du ciment Hoffmann Green Cement Technologies. L’objectif ici est de permettre une accélération vers la transition écologique, tout en luttant contre la mauvaise image du béton auprès des non-initiés… « Avec HGCT, nous pensons aller plus vite, car ils sont en pointe sur ces sujets », insiste Clément Blanc. Capremib a signé pour la fourniture du ciment décarboné H-UKR, même s’il n’est pas encore “qualifié” génie civil. « C’est un premier pas dans ce sens, pour eux comme pour nous. » Aussi, les premières utilisations de ce ciment se feront dans les écrans acoustiques. Des petits ouvrages d’art, à leur niveau…, qui intéressent les collectivités. Alors proposer des éléments plus vertueux vis-à-vis de l’environnement, réduits en carbone, permet de se démarquer face à la concurrence. « Ce choix de l’H-UKR, c’est aussi un moyen efficace pour mettre au défi les autres industriels du ciment », conclut Clément Blanc.
Il y a 4 ans et 95 jours

Eric Jost, Qualibat : « La qualification-chantier est d’abord destinée aux artisans qui ne sont pas RGE »

Eric Jost, directeur général de Qualibat, revient sur la qualification RGE Chantier, entrée en vigueur en début d'année.
Il y a 4 ans et 98 jours

EMCI Group : « Nous avons relancé la centrale compacte Amazon »

A gauche, Thibault Castillo, directeur général d’EMCI Group. A droite, Régis Castillo, le président. [©EMCI Group/ACPresse]. EMCI a procédé à l’intégration d’Acom et Atec, en 2016. Quel est le rôle de ces deux structures aujourd’hui au sein d’EMCI Group ? Thibault Castillo : Aujourd’hui Acom et Atec ont été placées sous la direction de Gilles Grosclaude, qui vient de nous rejoindre. Charge à lui de développer leur périmètre de compétences. Chacune de ces marques chapeaute une activité précise. Acom évolue dans la sphère des centrales mobiles et déplaçables standardisées. Des outils auxquels nous croyons beaucoup. Dans ce cadre, nous avons relancé la centrale Amazon, qui existait déjà chez Acom. De son côté, Atec est dédiée à la diffusion des pièces détachées et de rechange. En parallèle, elle assure la conception de petites centrales sur la base de sous-ensembles et d’équipements standards disponibles sur le marché. Pouvez-vous rappeler ce qu’est EMCI Group aujourd’hui ? Régis Castillo : EMCI est une entreprise née en 1990, dans l’Est de la France. Ainsi, elle fête son 30e anniversaire durant l’année 2020 ! EMCI compte six entités. Comme précisé, Acom et Atec constituent nos deux unités commerciales, qui viennent en appui d’EMCI. Ainsi, tous trois sont en mesure d’engager des affaires à confier à nos ateliers de production. L’historique est situé à Ennery, en Moselle, spécialisé en chaudronnerie et assemblage de grosses pièces. Le deuxième est basé à Chavigny, dans la Vienne. Il intervient en mécanique et en mécano-soudure. Il répond à la dénomination Lacelle EMCI. Enfin, notre dernier atelier – Sibi – est localisé à côté de Szczecin, au Nord-Ouest de la Pologne. Il assure la construction des principaux sous-modules de nos centrales. A cet ensemble technico-commercial s’ajoutent nos deux bureaux d’études : l’un rattaché à Acom/Atec et le principal, installé au Luxembourg. T. C. : Afin de fédérer tous ces marques et ateliers, nous venons de procéder à une harmonisation visuelle des logos, qui reprennent la charte graphique et les couleurs rouge, grise et blanche de celui d’EMCI Group. Il est important que chacun de nos collaborateurs sente son appartenance au groupe, en plus de son attachement à telle ou telle marque. EMCI Group, ce ne sont pas que les centrales à béton. Quelles sont ses autres activités ? Et vos ambitions ? Centrale à béton EMCI Amazon installée sur un site de préfabrication, dans le cadre des travaux du Grand Paris. [©EMCI Group] R. C. : Cette année, nous avons constaté un léger recul de notre chiffre d’affaires. Toutefois, nous ambitionnons un retour à une moyenne à 15 M€ dès 2022… Ceci, via notre activité de construction de centrales, qui pèse plus de 50 % de notre chiffre d’affaires. Vient ensuite le “retrofit”, c’est-à-dire l’entretien et la rénovation d’outils industriels existants, voire leur transfert. Là, nous réalisons 25 % de notre activité. Enfin, EMCI Group intervient dans le domaine des équipements mécanosoudés, tels les passerelles piétonnes ou les aménagements de quais ferroviaires. A ce titre, nous sommes agréés SNCF. Nous lançons aussi une nouvelle activité en 2021 : les équipements pour carrières. Une réponse à la demande de nombreux clients aussi bien présents dans le béton que dans le granulat. A terme, nous visons entre 3 et 5 M€ de chiffre d’affaires. C’est pourquoi nous cherchons dès aujourd’hui à étoffer nos équipes de chargés d’affaires, tout comme techniciens de bureaux d’études… Côté centrales, quelles sont les tendances actuelles ? T. C. : Depuis une grosse année, la demande s’oriente de plus en plus sur des outils plus mobiles, plus compacts. Notre centrale standardisée Amazon y répond. Nous venons d’en installer deux, avec malaxeur de 3 m3, en Ile-de-France. Et une 3e est en préparation pour le Sud de la France. Qu’est-ce qui fait la force d’EMCI Group ? R. C. : Nous avons une double culture de constructeur de centrales à béton sur mesure et standardisées. Notre expertise couvre toutes les étapes de la construction, depuis les esquisses préliminaires jusqu’à l’assemblage in situ. Ceci, en passant par toutes les études techniques et la construction en atelier, tout en assurant le suivi après-vente et l’entretien. Cette démarche impose une très grande flexibilité de nos équipes, donc de l’entreprise. Votre filiale polonaise Sibi vous permet-elle de vous développer sur ce territoire particulier, dans vos domaines de compétence ? R. C. : Jusqu’à présent, nous n’avons pas vraiment cherché à nous développer sur ce pays. En effet, notre offre de centrales fixes sur mesure de fortes capacités n’étaiement pas en phase avec les attentes locales. Aujourd’hui, les choses sont en train de changer grâce à l’évolution de notre offre. La centrale Amazon, tout comme les petites unités Atec semblent bien ciblées. Aussi, nous nous préparons à partir à la conquête de ce territoire. Le salon ICCX Central Europe, fin juin prochain à Varsovie, pourrait être un bon point de départ, si l’événement a lieu… Nous devons aussi trouver un chargé d’affaires parlant polonais. D’une manière plus large, il n’est pas exclu que nous opérions un développement sur l’Europe centrale. Seul ou avec un partenaire industriel qui pourrait, pourquoi pas, entrer au capital d’EMCI Group ! Propos recueillis par Frédéric Gluzicki
Il y a 4 ans et 100 jours

La France pourrait techniquement remplacer le nucléaire par les énergies renouvelables en 2050

Le sujet, complexe, pose notamment la question d'aménagements à éprouver à grande échelle. Et il est particulièrement sensible dans l'Hexagone, où l'avenir de l'atome - aujourd'hui à l'origine de 70% de la production électrique - reste à trancher.Commandé fin 2019 par le gouvernement à l'Agence internationale de l'énergie (AIE) et au gestionnaire du réseau électrique RTE, ce rapport, basé sur l'état des connaissances au niveau mondial, s'intéresse à la seule faisabilité technique.Sa publication mercredi survient avant la sortie à l'automne d'un bilan complet de RTE incluant les coûts, impacts sociaux et environnementaux de huit scénarios avec et sans nucléaire."Bien qu'il n'y ait aucune barrière technique infranchissable a priori, il faut regarder les faits scientifiques, techniques et industriels", relève Xavier Piechaczyk, président de RTE. "Il reste beaucoup de sujets à résoudre. Le rapport suggère une méthode et des feuilles de route pour traiter ces enjeux".La ministre de la Transition écologique Barbara Pompili l'a reçu lundi et l'a salué. "Ce rapport constitue un moment copernicien pour le monde de l'énergie. Nous avons désormais la confirmation que tendre vers 100% d'électricité renouvelable est techniquement possible", a-t-elle commenté, évoquant "une évolution conceptuelle majeure et une révolution pour nos représentations collectives concernant notre +mix+ (bouquet, NDLR) électrique".Défis techniquesFace au réchauffement climatique, la France s'est engagée à la neutralité carbone d'ici 2050, ce qui implique un recours accru à l'électricité décarbonée pour de nombreux usages (transports notamment). L'option alternative sur la table: une montée des énergies renouvelables accompagnée d'un nouveau programme nucléaire pour succéder au parc actuel, ou s'appuyer sur les renouvelables seules.A ce stade la France, qui veut diversifier ses sources, prévoit de réduire le nucléaire à 50% du bouquet électrique en 2035."Aujourd'hui la part du solaire et de l'éolien en France est à moins de 10%, il y a une forte marge d'amélioration", a dit mercredi à l'AFP Fatih Birol, le directeur de l'AIE. "Cette part peut croître si nous prenons les bonnes mesures. Mais plus elle croît, plus nous devons prendre des mesures pour assurer la stabilité et la sécurité du système".L'AIE et RTE listent ainsi quatre "exigences".Le "principal défi": pouvoir gérer la variabilité de la production éolienne et photovoltaïque, ce qui signifie d'importantes "sources de flexibilité" grâce au stockage à grande échelle, au pilotage de la demande ou encore une forte interconnexion transfrontalière.La deuxième condition porte sur la stabilité de la fréquence. Des solutions sont appliquées au Danemark ou en Australie, mais leur "déploiement généralisé reste à évaluer".Troisième condition, le gestionnaire du réseau devra disposer de réserves opérationnelles afin de pouvoir intervenir pour équilibrer le système.Enfin, les réseaux devront être adaptés, à moyen terme.Tout cela suppose "une feuille de route très volontariste", y compris dans les secteurs de l'hydrogène, de l'automobile ou du bâtiment.Aujourd'hui, le numéro un en matière d'énergies renouvelables est le Danemark (60% en part annuelle), grâce à un schéma qui repose sur de fortes connexions avec les voisins."Nous avons des exemples (de 100% renouvelables) à petite échelle. A plus grande échelle, il faut plus de recherche-développement", souligne M. Birol, alors que l'AIE sortira en mai une feuille de route pour la neutralité carbone au niveau mondial.Pour cet économiste, qui prône le maintien du nucléaire, la France doit garder cette source d'énergie, "atout national depuis des décennies", à côté de deux autres piliers pour sa transition, les renouvelables et l'hydrogène.Le rapport RTE-AIE, après celui de l'Ademe qui en 2015 allait dans le même sens, promet de nourrir la bataille entre pro et anti-nucléaire."Oui, en France, les énergies renouvelables sont des alternatives solides aux énergies fossiles et au nucléaire", a réagi Greenpeace, jugeant que "depuis près de deux ans, le gouvernement pave, avec EDF, la voie d'une relance du nucléaire".L'exécutif a remis la décision au prochain quinquennat, ne souhaitant pas s'engager avant le démarrage de l'EPR de Flamanville (Manche), objet de multiples retards et surcoûts. Avant, il aura reçu à la mi-2021 une nouvelle offre d'EDF en matière d'EPR.
Il y a 4 ans et 100 jours

RE2020 : vigilance des fabricants de systèmes intégrés de chauffage, rafraîchissement et sanitaires

« Il faut aller au bout des choses, sans arbitrer trop rapidement, pour apporter les bonnes réponses et agir pour le climat. Les surfaces chauffantes rafraîchissantes basses températures sont des solutions non polluantes, qui s'inscrivent d'ores et déjà dans des projets de bâtiment à neutralité carbone. Les adhérents de Cochebat s'inquiètent plus des effets d'annonce qui accompagnent la publication des textes et des modes de calculs de la RE 2020, qui mettent en exergue de faux arguments pour favoriser telle ou telle technologie… ainsi la possible disparition de la boucle à eau chaude, alors même que c'est l'une des solutions les plus vertueuses, qui répond aux enjeux du grenelle de l'environnement » indique Florent KIEFFER, Directeur Général de Thermacome et Président de Cochebat, le syndicat national des fabricants de composants et de systèmes intégrés de chauffage, rafraîchissement et sanitaire.Le Plancher Chauffant Rafraîchissant basse température : un atout pour la RE 2020La RE2020 prend en compte des émissions de gaz à effet de serre sur toute la durée de vie des bâtiments. Or, les solutions de plancher chauffant rafraîchissant basse température offrent un atout de poids : ce mode de chauffage par rayonnement permet d'obtenir le même confort thermique avec 1°C de moins en consigne. D'après l'Adème, un degré de moins au générateur équivaut à 7% d'économies d'énergie. « Cela s'explique par le fait que contrairement à d'autres systèmes chauffants ou rafraîchissants, la chaleur est diffusée par rayonnement. Elle est donc homogène dans toute la pièce, sans zone froide » poursuit-il.De plus, ces systèmes sont compatibles avec la régulation thermique pièce par pièce, et sur le plan sanitaire : sans mouvement d'air lié à la convection, il n'y a pas de déplacement de poussières et autres allergènes. Ainsi, ils ne dégradent pas la qualité de l'air.La marque Certitherm garantit l'adéquation des solutions avec la RE 2020« Les certificats Certitherm permettent de se prévaloir de la performance technique et environnementale du Plancher Chauffant Rafraîchissant Basse Température. C'est la garantie d'un bon résultat dans le temps. » explique Elisabeth CHARRIER, Déléguée Générale de Cochebat.En 2020, ce sont 85 systèmes de surfaces chauffantes rafraîchissantes qui sont admis à la marque CERTITHERM, majoritairement des systèmes de planchers chauffants rafraîchissants basse température (96,5%), mais aussi des systèmes de murs et plafonds chauffants-rafraîchissants.Une année 2020 en demi-teinte pour les professionnels de Cochebat et un regard confiant pour 2021L'année s'annonçait positive et a brutalement connu un frein avec le premier confinement en mars 2020. « D'après notre baromètre, les entreprises ont été quasi à l'arrêt, avec une faible activité logistique et très peu d'approvisionnements de chantiers. Les entreprises ont fait preuve de beaucoup d'agilité à la reprise et lors du second confinement, notamment pour organiser le maintien de l'activité avec des règles sanitaires strictes et des difficultés liées aux personnels touchés ou cas contacts. » note Elisabeth CHARRIER. « Il subsiste une incertitude pour 2021, avec un ralentissement des permis de construire que l'on ne sait pas encore mesurer. Cependant, nous restons confiants, car les entreprises ont continué à innover avec des solutions de moins en moins énergivores et de plus en plus régulées pour continuer à améliorer leurs offres » conclut Florent KIEFFER.
Il y a 4 ans et 101 jours

Après le permis de faire, celui d’expérimenter ?

Le Rapport sur la qualité des logements sociaux, piloté par Pierre-René Lemas, ancien secrétaire général de l’Elysée et ancien Directeur général de la Caisse des dépôts (CDC), a été remis le 15 janvier 2020 à Emmanuelle Wargon, ministre du Logement, et Roselyne Bachelot, ministre de la Culture. Proposition la plus spectaculaire : la construction de 50 000 […] L’article Après le permis de faire, celui d’expérimenter ? est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 4 ans et 101 jours

Un nouveau directeur général pour le spécialiste du portail sur mesure Préfalu

Olivier Briat, nouveau Directeur Général du spécialiste du portail sur mesure« Je suis heureux d’avoir rejoint la société Préfalu en mai dernier. C’est une entreprise à taille humaine, ce qui lui permet une forte agilité. Par exemple, Préfalu imagine, conçoit, fabrique et commercialise avec une seule entité. En même temps Prefalu bénéficie de la force de frappe du Groupe HPG, puissant acteur français de la menuiserie. » Olivier BriatDepuis 8 mois, Olivier Briat s’attache avec succès à déployer la dynamique de Préfalu et à faire grandir l’entreprise. Le chiffre d’affaires a ainsi augmenté de 30%.Au-delà de ses compétences professionnelles, Olivier Briat est apprécié pour ses qualités humaines et managériales : bienveillance et écoute active prévalent dans ses relations avec ses collaborateurs et ses clients. Son credo : « Avancer pas à pas… mais continuer d’avancer quand même ».Ses principaux objectifs pour 2021 sont de travailler l’offre de produits et de services pour concevoir un nouveau programme d’innovations, d’intégrer un bureau d’études à la structure et de renforcer la notoriété de Préfalu, afin de poursuivre son développement.Agé de 51 ans et père de 2 enfants, Olivier Briat débute sa carrière en 1993 chez Otis au sein de l’agence de Toulouse. En 2016, il intègre la société Hormann Centre-Est en tant que Directeur régional. Puis, en mai 2020, il est nommé Directeur Général de la société Préfalu.Depuis sa création en 1992, la marque Préfalu se positionne comme un acteur majeur du marché des portails, clôtures et portillons en aluminium. Dans son usine de Mornant en Rhône-Alpes, elle conçoit des produits 100% français dédiés principalement à l’équipement résidentiel. Ses maîtres-mots : longévité et personnalité ! Préfalu s’attache à développer des produits outdoor dotés d’une durée de vie élevée, tout en offrant à ses clients une approche de personnalisation quasi-illimitée.
Il y a 4 ans et 102 jours

Nicolas de Bucy, nouveau directeur général adjoint de Perl

CARNET-NOMINATION. La filiale de Nexity spécialiste du démembrement de propriété a annoncé la nomination d'un nouveau dga. Nicolas de Bucy sera notamment chargé des acteurs institutionnels.
Il y a 4 ans et 102 jours

Argan optimiste pour 2021 après avoir échappé à la crise

"Globalement, Argan dépasse ses objectifs et sort grandi de cette année 2020", a résumé lors d'une présentation en ligne Jean-Claude Le Lan, président et fondateur.L'an dernier, le bénéfice net d'Argan, l'un des seuls groupes immobiliers français spécialisé dans la logistique, a progressé de 30% à 279 millions d'euros. Plus représentatif des performances d'une foncière, le bénéfice récurrent a même bondi de 45% à 103 millions.Le groupe, qui avait déjà annoncé début janvier une forte hausse de ses revenus l'an dernier, a certes gonflé son chiffre d'affaires avec une très grosse acquisition, celle d'un portefeuille d'entrepôts auprès de Carrefour.Mais Argan, qui compte parmi ses clients des groupes comme L'Oréal, Auchan ou Amazon, a aussi poursuivi une activité soutenue en matière de création de nouveaux sites dans un contexte favorable à ce marché."La classe d'actifs immobiliers logistiques attire une part croissante des investissements", a souligné Ronan Le Lan, directeur général du groupe.Par contraste avec des secteurs immobiliers qui ont beaucoup souffert de la crise, comme les bureaux, le marché des entrepôts profite de l'essor du commerce en ligne.Argan compte poursuivre sur sa lancée et faire progresser de 10% cette année ses revenus comme son bénéfice récurrent, ce qui les placerait respectivement à 154 et 114 millions d'euros.
Il y a 4 ans et 105 jours

Signature du Pacte d'engagement des acteurs des infrastructures de mobilité

Jean-Baptiste DJEBBARI, Ministre des Transports, et Yves KRATTINGER, Président de l’IDRRIM, ont réuni les principaux signataires du pacte d’engagement des acteurs des infrastructures de mobilité, dont le Cerema, pour lancer officiellement la démarche qui a vocation à être déclinée à l’échelle territoriale. L’objectif est d’apporter des réponses opérationnelles concrètes et soutenables aux gestionnaires d’infrastructures en mobilisant les acteurs nationaux et locaux.Ce pacte d’engagement à horizon 2030 engage les signataires à porter une vision commune de l’avenir des infrastructures de mobilité, mais aussi à apporter des réponses concrètes et soutenables aux gestionnaires d’infrastructures qui sont confrontés à l’évolution des enjeux et attentes de notre société : celles inscrites dans les transitions climatiques et écologiques, dans la transition numérique, et enfin celles conçues et gérées à l’écoute des citoyens. La mise en œuvre de ce pacte repose sur quatre engagements préalables : Adapter la formation aux besoins de compétences actuelles et futures ;Mettre en place une stratégie de gestion patrimoniale des infrastructures au regard de leur vieillissement et des nouvelles attentes sociétales ;Favoriser l’innovation ;Consolider un mode de travail partenarial et collaboratif entre tous les acteurs.« Les orientations inscrites dans ce pacte d'engagement montrent le chemin parcouru ensemble ces dernières années » et que « le Cerema dispose d’une ingénierie territorialisée mobilisée pour accompagner la mise en œuvre de ces engagements ».Pascal Berteaud, Directeur Général du CeremaLes signataires s’engagent sur le plan national mais aussi territorial avec une déclinaison fine au niveau régional, départemental, métropolitain, intercommunal. Un cadre-type est proposé pour accompagner les acteurs locaux et faire ainsi évoluer les pratiques.
Il y a 4 ans et 107 jours

Décret tertiaire : plus de 2 bâtiments de bureaux sur 3 sont encore trop énergivores selon une étude

Avec deux tiers des sites actuellement trop énergivores, les gestionnaires d’actifs, les bailleurs se préparent à une véritable révolution pour lutter contre l’obsolescence de leur parc.Les modalités du décret tertiaire sont désormais complètes. Avec ce cadre règlementaire, le plus ambitieux en Europe, une trajectoire est à présent établie pour emmener le secteur vers un immobilier à faible consommation en énergie. La projection que nous avons réalisée démontre que les deux tiers des bâtiments sont trop gourmands en énergie. Si tous les acteurs sont sur un pied d’égalité pour se structurer, l’enjeu est crucial car les actifs qui ne rejoindraient pas la trajectoire perdront rapidement en valeur et en liquidité. Pour toutes les parties prenantes de l’immobilier tertiaire, c’est une révolution qui s’amorce. »Vincent Bryant, Président et co-fondateur de Deepki2 bâtiments de bureaux sur 3 sont aujourd’hui trop énergivoresDeepki vient de dévoiler une simulation menée auprès de 3.000 bâtiments de bureaux (France, toutes régions confondues, public & privé) pour analyser l’impact du décret tertiaire, dont les modalités d’application sont désormais établies. Pour se conformer au décret, les acteurs peuvent choisir entre deux objectifs : une baisse en pourcentage de leur consommation (-40% en 2030, -50% en 2040, etc.) ou l’atteinte de seuils de consommation en valeurs absolues (seuils dévoilés aujourd’hui). L’analyse d’impact révèle que deux tiers des actifs nécessiteront d’engager des efforts pour se conformer à la règlementation. Face à ce défi, Deepki observe une répartition équilibrée entre :Les sites déjà conformes aux seuils en valeurs absolues (30%) ;Les sites qui demanderont des efforts marginaux pour atteindre ces seuils (30%) ;Les sites les plus gourmands en énergie, qui nécessiteront des investissements plus massifs (40%). L’ensemble des efforts fournis par les professionnels permettrait de générer une baisse globale de 30% des consommations énergétiques, à l’échelle du secteur, d’ici 2030.Face au décret, pas de « mauvais élève » : toutes les typologies de bureaux font jeu égalAutre enseignement de cette analyse d’impact, toutes les typologies de bâtiments de bureaux – qu’il s’agisse d’immeubles haussmanniens, d’Immeuble Grande Hauteur (IGH), de bureaux publics etc. – devront fournir le même niveau d’efforts en matière d’économies d’énergies. En d’autres termes, aucune typologie d’actifs de bureaux, quelles que soient son année de construction, sa localisation, ou encore sa surface, ne serait privilégiée ou au contraire avantagée pour se conformer au décret. « Pour les propriétaires se posent désormais de nombreuses questions. Quelle part de mon patrimoine est conforme ? Quels bâtiments nécessiteront le plus d’efforts ? Que dois-je vérifier au moment d’acquérir un nouvel actif ? Si mon actif à vendre suit la trajectoire, comment le valoriser auprès des acquéreurs potentiels ? Pour les occupants et locataires, les défis sont tout aussi complexes. On comprend donc que le décret tertiaire va profondément bouleverser les stratégies immobilières et les acteurs doivent s’y préparer. La lutte contre l’obsolescence a démarré. »Emmanuel Blanchet, Directeur général et co-fondateur de Deepki
Il y a 4 ans et 107 jours

Un nouveau directeur général pour Alupréférence

CARNET-NOMINATION. Frédéric Vigier devient le nouveau directeur Général d' Alupréférence, spécialiste de la menuiserie aluminium.
Il y a 4 ans et 107 jours

En 2020, le Livret A et le LDDS plébicités par des Français en quête de sécurité

Très répandu en France, le Livret A a attiré en 2020 deux fois plus d'épargne qu'en 2019, engrangeant un montant net de 26,4 milliards d'euros, a annoncé mercredi la Caisse des dépôts (CDC).En décembre seul, environ 840 millions d'euros nets ont été retirés du Livret A, mais ces sommes ont été compensées par de très forts niveaux de collecte lors des précédents mois, notamment en début d'année durant les semaines de confinement liées au déclenchement de la crise sanitaire."L'année 2020 s'est caractérisée par une crise importante, avec une baisse forcée de la consommation du fait des différentes phases de confinement et une peur sur l'avenir qui ont donné gagnants en premier lieu les comptes à vue (comptes courants, NDLR), puis en deuxième position le Livret A et le LDDS", analyse pour l'AFP Philippe Crevel, le directeur du Cercle de l'épargne, cabinet de réflexion sur l'épargne et sa réglementation.Le succès du Livret A, qui garantit pourtant un taux d'intérêt historiquement faible de 0,5% par an, a notamment contrasté avec les importants retraits constatés sur les contrats d'assurance vie.De son côté, le Livret de développement durable et solidaire (LDDS) a signé en décembre une collecte nette d'un peu plus d'un milliard d'euros, ce qui porte à 8,8 milliards le montant total moissonné sur l'année 2020 par ce placement, deux fois mieux là aussi qu'en 2019, quand 3,9 milliards d'euros avaient été récoltés.Décollecte en assurance vieGérés conjointement par la CDC et les réseaux bancaires, le Livret A sert essentiellement à financer le logement social, tandis que le LDDS est dédié à l'économie sociale et solidaire ainsi qu'aux économies d'énergie dans les logements.A eux deux, le Livret A et le LDDS ont engrangé 35,2 milliards d'euros nets en 2020, contre 16,6 milliards en 2019. Ils signent ainsi leur deuxième meilleure collecte annuelle après le record de 2012 à 49 milliards."Ça représente 50 euros par mois et par livret. C'est un record depuis 2012, c'est énorme", a commenté le directeur général de la CDC, Eric Lombard, mercredi à l'antenne de RTL."C'est lié au fait que les Français n'ont pas pu consommer, à cause des confinements, à cause des magasins fermés. Donc c'est une épargne qui est vraiment forcée, qui est contrainte", a-t-il ajouté.L'attractivité persistante du Livret A en particulier s'explique, selon lui, par le fait que "c'est un produit qui est très sûr, la rémunération est positive (...) et ça fonctionne comme un compte en banque", de façon "très souple".Au total, l'encours d'épargne stocké sur les deux livrets se montait à 448,3 milliards d'euros à la date de fin décembre 2020.Ces chiffres contrastent singulièrement avec ceux de l'assurance vie, de loin le premier placement en France avec près de 1.800 milliards d'euros d'encours mais qui aura été très fortement bousculée par la crise sanitaire et économique.En mars, avril et mai, deux milliards d'euros ont été retirés à chaque fois de l'assurance vie. Les mois suivants, les retraits se sont poursuivis, mais moins massivement.Sur les 11 premiers mois de l'année, les compagnies d'assurance vie ont ainsi vu le départ de 7,3 milliards d'euros, alors qu'elles avaient moissonné plus de 23 milliards d'euros sur la même période en 2019."La sécurité et la liquidité qu'offrent le Livret A et le LDDS ont été plébiscitées par les épargnants", résume M. Crevel.
Il y a 4 ans et 107 jours

L’entreprise LP Promotion récompensée pour sa stratégie BIM et Data

Le projet d’habitation des Terrasses de Jade réalisé par LP Promotion a obtenu 2 prix dans la catégorie “BIM” et “Data”. [©Kéaction] Organisé par la Fédération des promoteurs immobiliers (FPI), se découpe en deux étapes. Tout d’abord, l’étape régionale avec les Pyramides d’argent. Ensuite, l’étape nationale avec les Pyramides d’or. Pour la première fois, la FPI a mis en avant les projets immobiliers ayant fait le choix d’une stratégie BIM et Data. Le 9 décembre dernier, le projet de LP Promotion a donc remporté la Pyramide d’argent pour la région Occitanie-Toulouse Métropole. Grâce à ce premier prix, le projet a été proposé au niveau national. Ainsi, le 16 décembre, LP Promotion a aussi remporté la Pyramide d’or. L’entreprise se démarque depuis 2017 grâce à sa stratégie “Objectif BIM 2022”.  Cette approche a permis à LP Promotion de devenir le premier promoteur du Sud-Ouest.   Le projet Situées en plein cœur d’un quartier urbain de la ville de Toulouse, les Terrasses de Jade compteront 103 logements. Les bâtiments s’organisent autour d’un espace végétal, le tout avec des commerces de proximités. Ce projet est le premier réalisé en BIM sur la région Occitanie. Deux conventions encadrantes ont été nécessaires au bon déroulement de la phase de conception ainsi que celle d’exécution. « Le projet des Terrasses de Jade est pour nous une étape-clef dans la stratégie de développement du BIM, qui nous permet d’envisager les potentialités de déploiement de l’outil dans toute sa diversité », souligne Pierre Aoun, directeur général de LP Promotion.  Vers l’innovation et le numérique Ayant été le premier promoteur immobilier du Sud-Ouest à signer la charte “Objectif BIM 2022”, LP Promotion montre son engagement. En 2019, l’entreprise est devenue partenaire de la FBTP31 pour la réalisation BIM des Terrasses de Jade. Ces démarches prouvent que l’innovation et le numérique sont une priorité pour LP Promotion. « Construire virtuellement avant de construire réellement, c’est mettre en avant l’enjeu de la qualité et du bien-faire », commente Camille Blanc, directrice R&D de LP Promotion. En perpétuelle recherche d’innovation, le groupe cherche à faire évoluer les pratiques dans le domaine de la construction.  Charline David
Il y a 4 ans et 108 jours

Trois nominations chez Sateco

De gauche à droite : Frédéric Quillévéré, directeur technique, Patrick Micheneau, nouveau directeur du développement international, et Guillaume Duvillers, chargé d’affaires pour le Sud Ouest chez Sateco. [©Sateco] Afin d’accompagner au mieux les nouvelles ambitions commerciales et techniques de Sateco, la direction s’entoure de nouvelles compétences. Ainsi, Patrick Micheneau, déjà directeur général adjoint, prend en charge le développement international. Quant à Frédéric Quillévéré, il intègre Sateco en tant que directeur industriel. Enfin, Guillaume Duvillers est le nouveau chargé d’affaires pour la région Paca. Patrick Micheneau, mission à l’international aussi A 47 ans, Patrick Micheneau est l’actuel directeur général adjoint de Sateco. Il vient d’être nommé au développement international. Il est désormais missionné pour assurer le management des grands projets export. De plus, il assurera aussi le déploiement de la filiale HK Services, en Suisse. Et sera l’interlocuteur privilégié des majors du BTP à l’International. « Après avoir suivi des études d’ingénieur en génie des systèmes industriels, il débute sa carrière en 1999 chez Avo Industrie (groupe Carbone Lorraine) comme chef de projet. Puis, devient responsable des achats. En 2002, il intègre le groupe Heuliez comme responsable méthodes montage. Ensuite, il dirige le pôle “Unité de production montage”, puis celui “d’Ingénierie”. Poste qu’il occupe jusqu’à son départ en 2007. Et Patrick Micheneau, de conclure : « Au sein des services techniques de Sateco, j’ai occupé le poste de directeur technique depuis 2009, puis le poste de directeur général adjoint à fin 2018. Développement des nouveaux produits et mise en place de nouveaux outils de production, ce sont mes compétences tant au sein de Sateco que durant mon passé professionnel. A 47 ans, fort de mes expériences précédentes, créer et déployer un pôle international est un vrai challenge. Challenge motivant et plein de sens pour la promotion du savoir-faire Sateco au-delà de nos frontières ». Un nouveau directeur technique Nouvel entrant chez Sateco, Frédéric Quillévéré (53 ans) devient le nouveau directeur industriel. Il a pour mission d’optimiser le bureau d’études, le développement des produits, les devis techniques et la recherche & développement. Ceci, avec la supervision de la direction de production pour les deux usines du groupe (Mirebeau – 86 et Maillé – 86). Ainsi, il privilégiera l’innovation, en fiabilisant les flux opérationnels pour plus de qualité. «  Exigence, travail en équipe et bonne humeur sont les éléments essentiels pour participer à la poursuite du développement de Sateco », insiste Frédéric Quillévéré. Diplômé des Arts et Métiers, c’est chez PSA qu’il débute sa carrière. De 1989 à 2000, il y occupe un poste de responsable de production. Puis, de responsable méthodes, avant d’intégrer la société Heuliez. Ceci, en tant que directeur industriel jusqu’en 2006. Il a ensuite dirigé une société de chaudronnerie dans le domaine agro-alimentaire. Un nouvel ambassadeur de l’expertise Sateco en région Guillaume Duvillers, 45 ans, est le nouveau chargé d’affaires pour le secteur méditerranéen. Ainsi, il supervisera les départements 04/05/07/13/26/30/83/84. « Je vais assurer le suivi de la distribution des produits Sateco. A savoir les banches et les accessoires, le matériel de sécurité… dans l’ensemble de la région Paca »,indique Guillaume Duvillers. Diplômé du bâtiment (BTS), il a débuté sa carrière, en 1996, chez Eiffage comme chef de chantier. Puis, le même poste chez Nord France (groupe Fayat). En 2014, il  intègre Nord Coffrage comme chargé d’affaires.
Il y a 4 ans et 109 jours

SITES, groupe d’ingénierie spécialisé dans la durabilité des actifs structurels acquiert la société technologique Cornis, leader dans l’inspection des éoliennes et des solutions d’intelligence artificielle.

Spécialisée dans le suivi du vieillissement des éoliennes via des méthodes et outils d’expertise utilisant l’Intelligence Artificielle, Cornis accompagne depuis 10 ans les principaux constructeurs et exploitants mondiaux d’éoliennes pour l’inspection et l’expertise des pales. L’entreprise intervient dans plus de 40 pays (+ de 20.000 éoliennes inspectées) et réalise un chiffre d’affaires de 2M€ dont 75% à l’export. Avec cette acquisition, SITES, acteur pionnier de la surveillance de santé structurelle depuis 1984, renforce sa position dans le secteur des énergies décarbonées. Leader indépendant de la surveillance des structures des installations nucléaires et hydrauliques, aux côtés des infrastructures de transport et des structures complexes en général, cette opération élargit ses activités dans le domaine de l’éolien et plus généralement celui des EnR (Énergies Renouvelables). Par ailleurs, cette union entre pépites françaises vise à accélérer la conquête de marchés internationaux (Royaume-Uni, Allemagne, Belgique, Danemark, les marchés éoliens qui se trouvent en Europe du Nord mais aussi la Chine et l’Afrique du Sud, pays où SITES est présent via ses filiales) et les développements technologiques pour la surveillance de structures. Un savoir-faire technologique complémentaire et « Made in France » Au delà d’un parfait alignement sur les enjeux de la surveillance préventive des structures et de l’asset integrity management, le rapprochement entre SITES et Cornis repose sur une approche commune combinant une connaissance fine des ouvrages et de leur dynamique de vieillissement, des expertises fortes d’inspection et la mise en oeuvre des meilleurs technologies disponibles en lien avec l’imagerie, le traitement du signal, la data science et l’Intelligence Artificielle. Les outils Cornis d’inspection de pales ainsi que la plateforme de reporting en ligne sont utilisés sur plus de 20.000 éoliennes dont 40% offshore. Ces outils créent des synergies avec les solutions déployées par SITES dans le domaine du HD Mapping et du Structural Health Monitoring. Depuis leur création, les deux entités partagent des valeurs communes, une déontologie basée sur l’indépendance, une fierté d’exporter le savoir-faire français et la volonté de participer au développement durable en prenant soin au quotidien des infrastructures d’énergie et de transport. « Avec Cornis, nous sommes très heureux de placer SITES en leader indépendant de la surveillance préventive des infrastructures de production d’énergies décarbonées, d’accélérer la digitalisation des métiers et de l’expertise du monitoring structurel et d’intégrer une équipe qui partagent nos valeurs. » commente Hervé LANÇON, co-Directeur Général de SITES. Thibaut GOUACHE, co-Fondateur de Cornis, ajoute : « Nous ancrons Cornis dans une histoire longue et durable, celle de SITES et ces 35 années d’expérience. Pour nos clients, grâce à SITES, nous élargissons les compétences de nos équipes, pour veiller non seulement sur les pales d’éoliennes, mais aussi les mâts et les fondations bétons. Pour les fondateurs et tous les salariés de Cornis, cette fusion est une excellente opportunité de continuer de croître et d’adresser de nouveaux défis dans et en dehors de l’éolien. C’est une belle réussite collective. » Cette opération consolide sur le sol français un acteur indépendant capable de proposer sur l’ensemble du cycle de surveillance structurelle en France et à l’international, des expertises de pointe et un savoir-faire complet en matière d’innovation métier et technologique. L’intégration des activités de Cornis dans celles de SITES sera réalisée au travers d’une business unit dédiée aux EnR qui assurera une continuité complète de service pour les clients de Cornis. À date, le Groupe SITES compte plus de 450 salariés. SITES | Ingénierie, Instrumentation, monitoring et inspection Cornis – Artificial Intelligence for Operations and Maintenance
Il y a 4 ans et 112 jours

Pendant le couvre-feu, les commerçants veulent une procédure simplifiée pour ouvrir le dimanche

"On a demandé au gouvernement de libéraliser totalement l'ouverture des magasins le dimanche pour ceux qui le souhaitent", a déclaré Jacques Creyssel, directeur général de la Fédération des entreprises du commerce et de la distribution (FCD), au micro de BFM Business."Le gouvernement nous dit de respecter les procédures. Actuellement, il faut cinq semaines de consultations pour ouvrir le dimanche. Ce n'est pas possible. Pendant cette période exceptionnelle, quand c'est nécessaire d'ouvrir et ça ne l'est pas partout, il faut qu'on puisse le faire de façon très simple et ce n'est pas le cas aujourd'hui", a-t-il encore regretté.Le dirigeant a également argué du fait que l'ouverture le dimanche permettrait "du point de vue sanitaire et économique de compenser" les nouvelles mesures restrictives annoncées jeudi par le gouvernement.La FCD représente environ 30.000 points de vente qui emploient 750.000 salariés."Les courses alimentaires après 17h00 représentent à peu près 30% du chiffre d'affaires. Il y aura du report. Dans certains cas tôt le matin, entre midi et deux. Il y aura de la livraison. Mais les commerces vont souffrir: les plus gros, les centres commerciaux, les hypermarchés, mais aussi les petits magasins d'habillement par exemple", a-t-il encore précisé, soulagé néanmoins d'avoir échappé "à un reconfinement total ou lors du week-end".
Il y a 4 ans et 114 jours

Bétons et mortiers : Christophe Jeauneau élu à la tête du syndicat des adjuvants

Christophe Jeauneau, directeur général de Mapei, a pris la suite de Claude Le Fur en tant que président du Syndicat National des Adjuvants pour Bétons et Mortiers (SYNAD).
Il y a 4 ans et 114 jours

Hager Group crée son nouveau département Hager Energy

Hager Group ambitionne de jouer un rôle-clé dans le secteur de la gestion de l’énergie. En ce début d’année l’entreprise lance son nouveau département Hager Energy.                « Notre ambition est de jouer un rôle de premier plan dans le domaine de l’approvisionnement et la gestion des énergies renouvelables », déclare Daniel Hager, président du directoire Hager Group. « En nous appuyant sur notre vaste offre de gestion de l’énergie, telle que les stations de recharge pour véhicules électriques (EVCS), le stockage de l’énergie et la gestion de l’énergie des bâtiments (commande et contrôle), nous offrons à nos clients un système complet et fiable qui concilie consommation d’énergie et protection de l’environnement. Nous concrétisons ainsi notre vision pour façonner le monde électrique de demain ». Le nouveau département opère sous le nom de Hager Energy et s’adresse à des segments de marché spécifiques en Europe. Il repose sur la force et la complémentarité de deux marques : Hager et E3/DC – une filiale de Hager Group. Le nouveau département, Hager Energy, est dirigé par Andreas Piepenbrink, directeur général, et Rémy Becher, directeur des opérations. Hager Energy regroupe des collaborateurs qui travaillaient déjà sur des projets de gestion de l’énergie. « Nous favorisons l’agilité en réunissant les équipes d’E3/DC et de Hager Group autour d’objectifs et de priorités communs. C’est essentiel pour être leader sur ce marché très prometteur et dynamique », commente Andreas Piepenbrink. Les solutions E3/DC, à la pointe de l’innovation, complètent l’offre de gestion de l’énergie de Hager Group. Avec les systèmes de stockage d’énergie E3/DC, les utilisateurs deviennent autonomes par rapport au réseau électrique, ce qui augmente la fiabilité de leur approvisionnement et la visibilité sur les coûts. L’électricité autoproduite, via les installations photovoltaïques, par exemple, peut être stockée en fonction de l’offre et de la demande. Hager Group est leader européen dans le développement et la production de composants pour la gestion de l’énergie, tels que les tableaux de distribution, les stations de recharge pour véhicules électriques et les dispositifs de contrôle et logiciels associés. La mutualisation de compétences-clés au sein d’un département dédié permettra d’offrir aux clients existants et futurs des solutions et services intégrés très innovants.