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Résultats de recherche pour usine

(4604 résultats)
Il y a 3 ans et 341 jours

Kramer reprend enfin le site industriel Jacob Delafon de Damparis

Soutenu par le Grand Dole, le groupe français de robinetterie sanitaire a racheté l'usine Jacob Delafon de Damparis dans le Jura.
Il y a 3 ans et 341 jours

544 sites reçoivent des aides pour le recyclage des friches et la construction de logements

Reconversion de l'ancienne usine à gaz de Blois, des anciennes mines de fer de Caen, d'une gare ou d'une caserne: 544 sites sélectionnés vont recevoir une aide au recyclage des friches.
Il y a 3 ans et 344 jours

Nouvelle usine pour la construction hors-site de bâtiments bas-carbone

Vestack, société française spécialisée dans la conception et la construction hors-site de bâtiments bas-carbone, accélère le développement de son activité en ouvrant une nouvelle ligne de production à Poincy (Seine-et-Marne),…Cet article Nouvelle usine pour la construction hors-site de bâtiments bas-carbone est apparu en premier sur Planète Bâtiment.
Il y a 3 ans et 344 jours

Imerys se dote d'une nouvelle usine en Inde

INVESTISSEMENT. Le groupe Imerys, spécialisé dans la production et la transformation des minéraux industriels, a ouvert une usine en Inde dédiée à l'aluminate de calcium de Visakhapatnam (Vizag), un liant utilisé dans les bétons à faible teneur de ciment.
Il y a 3 ans et 344 jours

Une usine de construction modulaire bois sera effective en septembre

Une nouvelle usine de construction modulaire en bois s’installe en Seine et Marne afin de livrer des ensembles de logements résidentiels ou du tertiaire. Début de la production prévue pour septembre.
Il y a 3 ans et 344 jours

Influenceur du Bâtiment : homme sandwich, créateur de contenus, businessman ?

ENQUÊTE. Depuis plus de 5 ans, les influenceurs du Bâtiment ont trouvé un lieu d'expression privilégié sur les réseaux sociaux où ils présentent leur savoir-faire, et leurs produits préférés. Il n'en fallait pas plus pour intéresser les marques. Comment s'organise l'influence dans le secteur ? Réponses avec plusieurs acteurs.
Il y a 3 ans et 344 jours

Une toiture de 17.000 m² éclairée avec Onduclair Thermo

Cette nouvelle toiture est destinée à recevoir des panneaux photovoltaïques sur ses pentes orientées au sud. Les plaques en fibrociment amianté, devenues trop vieilles, étaient susceptibles, à terme, de présenter un risque pour les occupants du bâtiment et ne permettaient pas de répondre à ce nouveau projet. L'entreprise ETERA a été choisie pour la rénovation de cette très grande couverture de 17.000 m². Elle a assuré le désamiantage de l'ensemble, par la dépose des anciennes plaques, puis la pose de la nouvelle couverture qui devra recevoir les panneaux photovoltaïques.Des panneaux sandwich isolants avec un parement extérieur en acier ont été sélectionnés pour ce chantier et, pour que l'intérieur du bâtiment profite de la lumière du jour, les panneaux translucides en polycarbonate ONDUCLAIR THERMO ont été choisis pour ponctuer de sources lumineuses la nouvelle couverture.« La particularité des plaques ONDUCLAIR THERMO est qu'elles proposent la même épaisseur que les panneaux sandwich, elles sont parfaitement compatibles ce qui a facilité leur intégration dans la nouvelle couverture »affirme Laurent Ferret, le directeur d'ETERA.La solution ONDUCLAIR THERMO d'ONDULINE a en effet été spécifiquement développée pour être associée à des panneaux sandwich en couvertures neuves ou en rénovation et éclairer l'intérieur des bâtiments (usines, hangars agricoles, ERP...). La plaque ONDUCLAIR THERMO est composée de 2 parties : une plaque en polycarbonate ou en polyester et une plaque inférieure en polycarbonate alvéolaire. Sa transparence assure un confort maximal à l'intérieur des bâtiments grâce à une transmission lumineuse accrue.ONDUCLAIR THERMO - Facile à poser« La charpente était très ancienne, avec des entre axes entre pannes très irréguliers » ajoute Laurent Ferret,« il faut souligner la souplesse et la réactivité d'ONDULINE qui nous a permis de bénéficier de nos plaques ONDUCLAIR aux différentes dimensions demandées ».Le montage des panneaux ONDUCLAIR THERMO est simple et rapide. Les panneaux se posent à l'avancement, en même temps que les panneaux métalliques. Les panneaux sont dotés de renforts longitudinaux sous chaque nervure principale pour augmenter leur rigidité.Facile à mettre en œuvre et profitant d'une grande résistance aux impacts, la solution ONDUCLAIR THERMO est flexible selon les besoins des chantiers.Déclinée en de nombreuses épaisseurs (30, 40, 50, 60, 80, 100, 120, 140, 150 mm), elle permet une adaptation parfaite aux différents panneaux sandwich métalliques du marché.Les lames d'air des panneaux agissent comme un isolant naturel. Pour plus de confort et afin de satisfaire les besoins les plus exigeants en termes d'isolation, ONDULINE propose une option T (Confort Thermique) qui offre des coefficients d'isolation performants (jusqu'à 0,836W/m².K).Les solutions ONDUCLAIR THERMO se déclinent en une large gamme pour répondre à tous les besoins :ONDUCLAIR THERMO PC : système de panneaux sandwich dont la peau supérieure est en polycarbonate d'une épaisseur d'1 mm et la peau inférieure en polycarbonate alvéolaire.ONDUCLAIR THERMO PLR : système de panneaux sandwich dont la peau supérieure est en polyester d'une épaisseur d'1,2 à 1,6 mm et la peau inférieure en polycarbonate alvéolaire.ONDUCLAIR THERMO PC T et PLR T : systèmes avec option « Confort Thermique » pour une isolation accrue.ONDUCLAIR THERMO PC R et PLR R : systèmes avec option « Renforcé » pour une résistance aux charges accrue et une plus grande facilité d'installation en neuf ou en rénovation.ONDUCLAIR PC TR ET PLR TR : systèmes profitant des 2 options « Renforcé » et « Confort Thermique » permettant d'allier performance thermique, mécanique et facilité de mise en œuvre.
Il y a 3 ans et 344 jours

Les ventes de Saint-Gobain s'envolent avec la reprise de la construction

"Les ventes des mois d'avril et mai continuent à afficher de très bonnes tendances, soutenues par la dynamique du marché de la rénovation en Europe, tout particulièrement en France, la croissance des marchés de la construction en Amériques et en Asie-Pacifique, ainsi que par la poursuite de l'amélioration séquentielle des marchés industriels", explique Saint Gobain dans un communiqué.La situation sanitaire "reste toutefois incertaine, en particulier au Brésil - avec un impact limité sur nos activités - et en Inde, pénalisée sur les deux derniers mois" précise le groupe."Dans ces conditions, le résultat d'exploitation du premier semestre 2021 devrait clairement dépasser le niveau historique du second semestre 2020. La marge d'exploitation du premier semestre 2021 devrait ainsi atteindre un nouveau record", précise le communiqué.Néanmoins, le groupe n'a pas modifié l'objectif qu'il avait publié pour l'ensemble de l'année lors de l'annonce de ses résultats du premier trimestre le 29 avril.Il avait alors indiqué qu'il visait pour l'année "une forte progression du résultat d'exploitation à structure et taux de change comparables", avec une hausse de la marge d'exploitation de "plus de 100 points de base (1 point de pourcentage, ndlr) par rapport aux 7,7% de 2018"."Saint-Gobain va effectivement très bien, puisqu'on a fait des résultats record au 2e semestre et que le 1er semestre 2021 sera encore meilleur", s'est félicité le patron de Saint-Gobain Pierre-André de Chalendar, invité sur BFM Business."On a travaillé nos coûts, on a fait notre programme de transformation qui a été prêt un an plus tôt, on a insufflé un nouveau dynamisme avec une organisation très décentralisée par pays", a avancé M. de Chalendar pour expliquer les résultats des "douze derniers mois à fin juin, les meilleurs de notre histoire".A la Bourse de Paris jeudi, le titre Saint-Gobain a clôturé en tête du CAC 40, en hausse de 4,19% à 57,70 euros, dans un marché qui a terminé en léger recul de 0,21%.Depuis le début de l'année, le cours de l'action s'est envolé de plus de 50%, soit une hausse trois fois plus importante que celle du CAC 40 qui a progressé de 17,28% depuis janvier.En outre, l'assemblée générale du groupe a voté jeudi en faveur du changement de gouvernance avec l'arrivée à partir du 1er juillet de Benoit Bazin, actuel directeur général délégué, comme nouveau directeur général, alors que Pierre-André de Chalendar, actuel PDG, ne garde que la présidence du conseil d'administration.Au cours de la séance, M. Bazin a notamment réaffirmé l'ambition de Saint-Gobain de devenir "l'acteur central de la construction durable partout dans le monde".En réponse à la question d'un actionnaire, Pierre-André de Chalendar a souligné l'impact positif des plans de relance gouvernementaux sur l'amélioration des résultats du groupe.En France, "nous avons commencé à voir un petit impact de Ma Prim'renov dans la deuxième quinzaine de mars, en avril et en mai, et on va avoir un impact plus important au 2e semestre" a-t-il dit en précisant qu'il attendait aussi un impact positif des mesures de rénovation et d'isolation des bâtiments publics en 2022 et 2023.
Il y a 3 ans et 346 jours

Tryba améliore son outil de production

INVESTISSEMENT. Le spécialiste de la fenêtre, Tryba, va doter son usine de Gundershoffen, située dans le Bas-Rhin, de nouveaux équipements afin d'optimiser les process et la sécurité de son personnel.
Il y a 3 ans et 346 jours

Tous à Équipbaie-Métalexpo 2021, "Le rendez-vous incontournable de toute une filière"

Les installateurs, poseurs, artisans de la menuiserie-fermeture, des équipements de la baie et de la métallerie pourront ainsi découvrir toute l’offre de produits et les innovations du secteur regroupés sous la thématique phare d’ÉQUIPBAIE-MÉTALEXPO 2021 : « L’avenir des métiers et le digital ».De bonnes nouvelles pour se retrouver tous à ÉQUIPBAIE-MÉTALEXPO 2021 !Les nouvelles mesures gouvernementales autorisent désormais la reprise des salons à partir du 9 juin. Les conditions de réouverture précisent la mise en place d’un passeport sanitaire et d’une jauge des visiteurs au moins jusqu’au 30 juin.Pour sa part, Reed Expositions France, qui a élaboré, dès 2020, une charte sanitaire - certifiée APAVE - afin d’assurer la sécurité des exposants et des visiteurs, a communiqué un certain nombre de consignes aux exposants concernant les périodes de montage/démontage et les quatre jours du salon, et met en place avec les Pouvoirs Publics les mesures qui s’imposent. Ainsi, ÉQUIPBAIE-MÉTALEXPO 2021 pourra se tenir dans les meilleures conditions !« Toutes les conditions sont réunies pour faire de cette édition 2021 d’ÉQUIPBAIE-MÉTALEXPO une véritable réussite. Évidemment les annonces gouvernementales nous ont confortés dans notre choix de nouvelles dates de la tenue du salon. Mais surtout nous sommes très heureux de la mobilisation des exposants et des grands leaders qui nous font confiance. Ils sont aujourd’hui 170 à s’être inscrits pour accueillir les visiteurs dès le 21 septembre à Porte de Versailles pour cet événement tant attendu par toute la profession. » – Guillaume Loizeaud, Directeur d’ÉQUIPBAIE-MÉTALEXPO.Un objectif prioritaire : répondre aux besoins des installateurs !ÉQUIPBAIE-MÉTALEXPO 2021 est placé sous la thématique de « L’avenir des métiers et le digital » afin de répondre aux grands enjeux du secteur et d’apporter toutes les informations et l’accompagnement nécessaires aux acteurs de la filière. Les visiteurs auront l’occasion de vivre une expérience unique et inédite avec notamment :Les installateurs et leurs équipes trouveront sur les stands des démonstrations pratiques ou des sessions de formation. Les exposants FENETREA, FORSTER SYSTEMES DE PROFILES, GYPASS, K-LINE et SAS DESCOMBES PRECIMECA ont déjà prévu d’y participer. *Digitalisation, domotique, e-learning, aide aux devis, configurateur, produits connectés : les menuisiers et les metteurs en œuvre pourront dialoguer avec un expert de la marque présent toute la semaine sur les stands de : CADIOU INDUSTRIE, CHAMBERLAIN GmbH, FENETREA, FORSTER SYSTEMES DE PROFILES, KLAES GmbH & Co. KG, K-LINE, SAS ORIAL. ** Liste à retrouver sur le site du salon au fur et à mesure de sa mise à jour.Le pôle des experts d’ÉQUIPBAIE, par et pour les professionnelsCe pôle, animé par le Pôle Fenêtre (Groupement ACTIBAIE - SNFA - UFME – UMB - Union des métalliers), proposera d’aborder différents sujets au coeur des enjeux de la filière : la réglementation et les normes, les démarches qualité, le développement durable, la formation ainsi que les métiers et la promotion de la filière.« Cette prochaine édition d’ÉQUIPBAIE, en plus d’être le salon de la menuiserie française, est cette année le top départ du retour à une vie normale. Bien évidemment, nous respecterons tous les gestes barrières mais, surtout, nous allons pouvoir nous revoir, échanger, dialoguer sans écran. Notre filière est mobilisée plus que jamais pour qu’ÉQUIPBAIE continue à être notre salon, un espace d’information, de découverte produits. L’UFME ne manquera pas ce rendez-vous. Nous comptons sur les professionnels de la fenêtre pour en faire de même et nous retrouver très nombreux dès le 21 septembre. » - Bruno Cadudal, Président de l’UFME.« Retrouvons-nous tous à ÉQUIPBAIE, le premier salon en Europe depuis 2 ans ! Toutes les belles entreprises de nos métiers vous donnent rendez-vous pour vous présenter leurs innovations et retrouver la convivialité qui caractérise notre profession. Des contacts qui seront à n’en pas douter inoubliables après cette période si particulière. » - Bruno Léger, Président du SNFA« Enfin, après 2 ans et demi d’attente depuis la dernière édition du fait de la situation sanitaire en France et dans le monde, l’édition 2021 d’ÉQUIPBAIE aura bien lieu ! Entrepreneurs de travaux menuisiers, fabricants de fenêtres bois, vos fournisseurs de qualité de menuiseries et de composants, tant pour la fabrication que pour le chantier, seront présents. Ce rendez-vous de la filière nous a manqué cruellement aussi venez nombreux partager ces moments de convivialité et de découverte des produits avec nous. Retrouvez l’Union des Métiers du Bois sur le stand du Pôle Fenêtre FFB, partenaire du salon. » - Christophe Bieber, représentant de l’Union des Métiers du Bois de la FFB.« ActiDAY » : la journée du Groupement Actibaie, un événement dans l’événementLe 21 septembre, le Groupement Actibaie organise son assemblée générale sur le salon ÉQUIPBAIE. Elle sera suivie d’une journée de conférences qui se tiendront sur l’Arena Innovation :11h15 – 12h30 : Plénière « L’humanité à l’épreuve du coronavirus : quelles suites ? », par Pascal Picq12h30 – 14h15 : Cocktail déjeunatoire14h15 – 14h45 : Économie « La conjoncture du bâtiment : état des lieux et perspectives »15h00 – 15h45 : Technique « RE 2020 : défi et opportunités »16h00 – 16h45 : Environnement « La RSE pour les entreprises de bâtiment »17h00 – 17h45 : Technique/Règlementation « Responsabilité Élargie des Producteurs (REP) pour les produits de construction »« Toute l’équipe du Groupement Actibaie se réjouit de retrouver dans les meilleures conditions ses adhérents et les visiteurs du salon ÉQUIPBAIE. Nous préparons une journée spéciale pour vous accueillir comme il se doit. Nous vous y attendons nombreux. » - Yannick Michon, Président du Groupement Actibaie.Les trophées : la vitrine des innovations du secteurPour l’édition 2021, le concours des TROPHÉES d’ÉQUIPBAIE-MÉTALEXPO déploie des moyens importants, en digital et en physique, pour valoriser les innovations et garantir à toutes les solutions candidates une plus grande visibilité. Ainsi, plusieurs temps forts mettront à l’honneur les participants aux TROPHÉES et leurs innovations tout au long des 4 jours du salon :Les parcours de l’Innovation : ce parcours conduira le visiteur à la découverte des participants directement sur leurs stands, avec un document de visite et une signalétique spécifique pour localiser tous les participants aux TROPHÉES 2021.L’Arena Innovation : des écrans digitaux présenteront toutes les innovations candidates aux TROPHÉES, et les visiteurs seront invités à voter pour leur innovation préférée.Les sessions de pitchs Innovation : les visiteurs pourront assister à des sessions de pitchs présentant les innovations en fonction de leurs sujets d’intérêt, puis rencontrer et échanger avec les intervenantsLa remise des TROPHÉES et des Coups de coeur de la Presse Pro : l’un des temps forts du salon, cette cérémonie officielle aura lieu le mercredi 22 septembre sur l’Arena Innovation.Tous les métalliers ont rendez-vous a MÉTALEXPO !Pour cette édition 2021, MÉTALEXPO mettra l’accent sur la formation et la promotion des métiers de la métallerie notamment auprès des jeunes publics, avec une mise à l’honneur de la compétition WorldSkills et du concours Métal Jeunes Les visiteurs découvriront toute la diversité et la richesse de ces métiers à travers des rencontres, des démonstrations et des conférences qui prouveront tout le dynamisme et la convivialité de cette filière.« Enfin, tous les voyants sont au vert pour nous retrouver sereinement sur le salon MÉTALEXPO. Je sais l’impatience des métalliers de se retrouver. Nous les accueillerons avec grand plaisir ! » - Franck Perraud, Président de l’Union des métalliers.L’Espace Atelier de MÉTALEXPO présentera durant les 4 jours du salon le parcours des différentes étapes de fabrication d’un ouvrage de métallerie. À date, ce parcours accueille déjà ARCELOR, CANAMETAL, FICEP et TRIMBLE.Concours Métal JeunesL’édition 2021 du Concours Métal Jeunes a pour thème les « Monuments détournés ». Organisé au niveau national, le concours s’adresse aux jeunes formés aux métiers du métal dans le Bâtiment (métalliers, métalu-verriers, métalliers ROCSM…) dans les classes de niveau V (CAP) et IV (BP, Bac Pro).Les œuvres réalisées seront évaluées par un jury d’experts en fonction de leur qualité technique, de leur esthétisme et de la qualité de leurs finitions. Les œuvres primées seront exposées sur le stand de l’Union des métalliers. Les visiteurs seront invités à choisir leur œuvre préférée dans le cadre d’un vote du public dont le résultat sera dévoilé le jeudi 23 septembre.WorldSkills FranceL’Union des métalliers a signé le 3 février 2021 une convention de mécénat avec WorldSkills France. Cette convention prévoit la création d’un Club de la Métallerie constitué d’entreprises de métallerie, de fournisseurs et de partenaires. Il a pour objectif de soutenir les métiers de la métallerie et les candidats engagés dans la compétition.Ce Club s’accompagne d’une plateforme de collecte de fonds pour financer la préparation des candidats et leur fournir les meilleures conditions d’entraînement mais aussi pour mener des actions de promotion des métiers de la métallerie, notamment à destination des jeunes.Ce partenariat se prolonge sur le salon MÉTALEXPO. En effet, l’Union des métalliers accueillera pour la 1ère fois sur son stand un espace dédié aux WorldSkills, avec la présence de Francis Perrot-Minot, Médaille d’excellence des WorldSkills de Kazan 2019, et de l'équipe du centre d'excellence en métallerie.Par ailleurs, l’Union des métalliers organisera des conférences sur son stand :Mercredi 22 septembre 2021 : 15h-15h45 : Accessibilité / B.Métal formation.Jeudi 23 septembre 2021 : 10h-10h45 : Traitement de surface : résultats campagne d’essai.15h-15h45 : Les 100 réponses aux 100 questions les plus fréquentes des métalliers.Une campagne dynamique et originale coconstruite avec les acteurs de la filièreÉQUIPBAIE-MÉTALEXPO 2021 lance une campagne de promotion dynamique et sympathique coconstruite avec les syndicats, les leaders et les médias pour donner envie aux menuisiers de venir visiter et participer à l’événement :Une campagne de témoignages – Des messages illustrés, à rédiger ou à choisir, mis en page par Reed Exposition et à poster sur ses réseaux sociaux.Une campagne de notoriété – Des posts prêts à être partager (« Business et convivialité en tout sécurité », « Enfin, nous pouvons nous retrouver », « On vous attend nombreux », « Vous nous avez manqué ! »…).Une campagne d’engagement – Un concours dont l’objectif est de sensibiliser et d’engager les exposants à multiplier des actions de promotion pour recruter des visiteurs.Une campagne de publicité 360° via les partenaires presse (campagne emailing sur les abonnés, campagne digitale - réseaux sociaux et display, campagne de publicité print).Des actions avec les syndicats partenaires (webinars avec les chefs de réseaux et leurs adhérents, présence dans les newsletters, signature de mails…).ÉQUIPBAIE-MÉTALEXPO - 21 au 24 septembre 2021à Paris Expo Porte de Versailles – Hall 1
Il y a 3 ans et 346 jours

Pour un éclairage des sites industriels et logistiques toujours plus efficace et encore plus économe en énergie : Sylvania lance GRANIT et SYLBAY

Soutenu par la crise sanitaire, le secteur du e-commerce est monté en puissance en France. Cet essor de la vente en ligne impacte directement les plateformes logistiques et les entrepôts dont la taille et l’importance ne cessent de croître pour  répondre à la demande. L’éclairage de ces environnements de travail hauts de plafonds, avec de grandes surfaces au sol et peu de fenêtres ne doit pour autant pas être négligé. Même dans un cadre industriel, la norme NF EN 12464-1 impose un niveau minimum d’UGR* selon les espaces (magasins, entrepôts, zones de stockage…) afin de favoriser le confort visuel des personnes qui travaillent à l’intérieur de ces bâtiments. Disposant déjà d’une large gamme de solutions d’éclairage adaptées aux secteurs logistique et industriel, Sylvania enrichit aujourd’hui son offre avec GRANIT et SYLBAY, deux nouveaux luminaires haute performance qui répondent parfaitement à ces obligations normatives.   SYLBAY, l’armature industrielle LED robuste et performante Fabriquée en Grande-Bretagne dans l’usine de Newhaven de Sylvania, la nouvelle gamme SYLBAY repousse les limites de la fonctionnalité et de la performance. Pour répondre aux exigences d’éclairage des applications industrielles et logistiques où les hauteurs sous plafond sont importantes, cette armature industrielle intègre 2 à 3 modules LED en version simple et 4 à 6 en version double. Grâce à ses optiques de grande qualité, elle offre un confort visuel optimal (jusqu’à UGR
Il y a 3 ans et 346 jours

MaPrimeRénov' pourrait consommer ses 2,5 milliards d'euros de budget dès 2021

SUCCÈS. Le dynamisme de MaPrimeRénov' est tel, en 2021, que les 2,5 milliards d'euros prévus dans le plan de relance pour 2021-2022 pourraient être consommés d'ici à décembre. C'est la ministre déléguée au Logement, Emmanuelle Wargon, qui l'a assuré le 1er juin sur BFM business.
Il y a 3 ans et 346 jours

Un éco-organisme pour recycler les déchets inertes

Un éco-organisme pour le développement de la filière de recyclage des matériaux de construction a été créé par les syndicats et les fédérations des industriels de la construction. [©ACPresse] Dans le cadre de la loi anti-gaspillage pour une économie circulaire (Agec), le régime de la responsabilité élargie du producteur (Rep) sera étendu aux produits et aux matériaux de construction du secteur du bâtiment à compter du 1er janvier 2022. Pour y répondre, les entreprises membres des divers syndicats et fédérations professionnelles du bâtiment se sont coordonnés. Ceci, afin d’étudier la création d’un éco-organisme pour les produits de construction minéraux générant des déchets inertes. Les industries représentées sont celles de la pierre de construction, du béton, prêt à l’emploi ou préfabriqué, du granulat et du ciment, ainsi que des enrobés. C’est-à-dire la Fib, Routes de France, le Sfic, le SNBPE, le SNRoc, l’Unicem et l’UNPG. 33 Mt de déchets inertes Plus de 20 entreprises adhérentes de ces syndicats mènent des actions pour créer cet éco-organisme. Ce dernier sera chargé de financer le traitement des déchets inertes issus des produits minéraux de la construction et de la déconstruction. Et d’améliorer les performances de la filière de recyclage. Son actionnariat sera ouvert à l’ensemble des entreprises de la filière minérale. Dans une perspective d’optimisation continue de l’économie circulaire, des entreprises d’autres secteurs pourront aussi rejoindre cette démarche. Les déchets inertes issus des produits minéraux de la construction du secteur du bâtiment représentent chaque année 33 Mt. Avec un taux de performance de 76 %, cette filière de valorisation est la plus performante après celle des métaux. Lire aussi :Recyclage, la réponse des industriels Le futur éco-organisme aura pour ambition de porter ce taux de performance à 90 % d’ici 2028. Pour y parvenir, il s’appuiera sur le maillage du réseau existant de 1 500 sites (déchetteries privées, plates-formes de tri ou de recyclage) implantés sur l’ensemble du territoire. Auxquels s’ajoutent 500 usines d’enrobés qui recyclent des matériaux récupérés sur les chantiers routiers ou de VRD (voiries et réseaux divers). Un éco-organisme en cours de définition Ce réseau privé dédié aux déchets inertes des professionnels du bâtiment est complété par un réseau de 4 000 déchetteries publiques, qui réceptionnent les déchets inertes des particuliers. Pour l’éco-organisme, il s’agira aussi de soutenir financièrement plusieurs acteurs. En premier lieu les maîtres d’ouvrage exemplaires, dont le tri des déchets inertes sur leurs chantiers répond aux standards de collecte séparée, permettant leur réemploi ou recyclage. Mais aussi les collectivités territoriales en leur offrant une reprise sans frais des déchets inertes provenant des particuliers, sur les points d’apport volontaire qu’elles exploitent. Ainsi que la mise en place d’un système de traçabilité permettant de soutenir la lutte contre les dépôts sauvages. Et de distinguer les matériaux destinés au secteur du bâtiment (soumis à la Rep) des matériaux destinés au secteur des travaux publics (non soumis à la Rep). Les modalités d’organisation et de fonctionnement de l’éco-organisme sont, en lien avec les pouvoirs publics, en cours de définition et seront précisées au début du mois de juillet.
Il y a 3 ans et 348 jours

Dijon va faire fonctionner ses camions et bus avec de l'hydrogène produit sur place

Cette station, construite au nord de l'agglomération, utilisera l'énergie provenant d'une usine existante d'incinération des ordures pour fabriquer de l'hydrogène par électrolyse de l'eau.L'énergie fournie par cette usine était jusqu'ici rachetée par EDF. L'échéance du contrat a permis à la métropole de lui trouver un autre débouché, a expliqué à l'AFP le maire PS François Rebsamen, qui veut faire de Dijon une agglomération en pointe dans la lutte contre le réchauffement climatique.L'unité de production d'hydrogène qui y sera accolée sera mise en service début 2022. Elle aura une capacité initiale de production de 440 kilogrammes d'hydrogène par jour, qui sera doublée à terme.Une seconde station, d'une capacité quotidienne de 880 kilos d'hydrogène, ouvrira en 2023 au sud de la ville. Elle sera alimentée "par les énergies renouvelables du territoire": une ferme photovoltaïque de 12 hectares recouvrant une ancienne décharge et une unité de méthanisation de boues d'épuration.Ces installations vont permettre à la métropole de convertir progressivement sa flotte de camions poubelles et de bus à l'hydrogène. Une benne à ordures ménagères utilise environ 20 kilogrammes d'hydrogène pour faire sa tournée quotidienne.Dès 2022, Dijon fera ainsi circuler 8 camions poubelles à hydrogène et l'année suivante 27 bus à hydrogène (ce qui sera alors la plus importante flotte de ce type dans le pays).Et d'ici 2030, l'intégralité de la flotte métropolitaine de bennes à ordures (44) et de bus (180) fonctionnera à l'hydrogène.Les futures stations ont été calibrées de manière à pouvoir aussi proposer de l'hydrogène-carburant à des entreprises et des collectivités de la région.La métropole fait valoir que son initiative permettra d'éviter, dès 2026, l'émission de 4.200 tonnes de gaz carbonique par an, soit l'équivalent de 58 millions de kilomètres en voiture.Le projet est porté par Dijon Métropole Smart EnergHY, société réunissant la métropole, la société locale Rougeot Energie et Storengy (groupe Engie).L'investissement de 100 millions d'euros servira pour 20 millions à la construction des stations d'électrolyse et pour 80 millions à l'achat des véhicules que la métropole avait de toute manière prévu de renouveler progressivement.Ces matériels sont deux fois plus chers que leurs homologues traditionnels mais Dijon espère en faire baisser les coûts en mutualisant les achats, à l'image de la commande passée pour ses premiers camion-bennes avec les villes du Mans et d'Angers.Sur l'investissement nécessaire de 100 millions d'euros, 19,5 millions ont été apportés par l'Ademe, la Région Bourgogne-Franche-Comté et l'Europe. M. Rebsamen espère un accroissement des aides qui peuvent actuellement couvrir jusqu'à 40% du surcoût de l'achat de véhicules à hydrogène.
Il y a 3 ans et 348 jours

Ancien garage, ancienne usine : 544 sites reçoivent des aides pour le recyclage des friches

A Caen, 398.000 euros ont été accordés pour la réhabilitation des établissements Dubourg et des anciennes mines de fer sur 20.000 mètres carrés, tandis qu'à Maubeuge, la friche industrielle LCAB recevra 913.000 euros pour sa dépollution et sa reconversion.A Annonay, la reconversion de l'ancienne usine à gaz sera aidée à hauteur de 188.000 euros. A Verdun, la requalification de la caserne Miribel (68.000 mètres carrés) recevra une subvention de 1,6 million d'euros, et l'aménagement de l'ancien garage Renault de Lamballe 375.000 euros.Ces projets ont été choisis en métropole et outremer pour bénéficier d'une subvention, au titre du "fonds friche" mis en place pour freiner l'artificialisation des terres et encourager la construction de logements, dans le cadre de deux appels à projet, l'un piloté par les préfets de région, l'autre par l'Agence de la transition écologique (Ademe).Les aides serviront aussi bien à recycler du foncier déjà artificialisé qu'à reconvertir des friches polluées issues d'anciens sites industriels ou miniers ou même d'anciens sites touristiques.Les projets sélectionnés devraient générer au total plus de 3 millions de mètres carrés de logements, dont près d'un tiers seront des logements sociaux, et plus de 1,3 million de mètres carrés de surfaces commerciales ou industrielles, a indiqué le ministère dans un communiqué.Au vu du succès de la première enveloppe de 300 millions d'euros annoncée dans le cadre du plan de relance, qui sera totalement dépensée dès cette année, le Premier ministre Jean Castex a annoncé le 17 mai son doublement avec une enveloppe complémentaire de 350 millions d'euros à dépenser d'ici fin 2022 pour réhabiliter des friches.Les appels à projet ont suscité 1.119 dossiers de demandes et 631 dossiers ont été déclarés éligibles.La reconversion des friches est l'un des leviers actionnés par le gouvernement pour atteindre son objectif de "zéro artificialisation nette", inscrit en 2018 par Nicolas Hulot dans son plan biodiversité (sans échéance) et repris par la loi Climat et résilience avec un horizon à 2050.En France, 20.000 à 30.000 hectares d'espaces naturels, agricoles ou forestiers sont artificialisés chaque année, une des causes premières du changement climatique et de l'érosion de la biodiversité selon le ministère.
Il y a 3 ans et 350 jours

A Volvic, la raréfaction de l'eau source d'inquiétudes

"On avait de l'eau jusqu'à mi-jambes et le ruisseau faisait tourner deux roues de moulin", raconte, nostalgique, Pierre Grodecoeur, 69 ans, face au cours d'eau qui longe sa maison natale.Le moulin a disparu depuis longtemps et le ruisseau est désormais souvent à sec.Pas bien loin, la pisciculture de Saint-Genest-l'Enfant, classée monument historique, manque aussi d'eau. C'est pourtant là que jaillit l'eau de Volvic après son parcours dans les roches volcaniques.Le lieu est bucolique, avec ses bassins du XVIIe en pierre de Volvic, creusés à l'ombre des aulnes et des platanes.Mais depuis 2017, plusieurs mois par an, les sources se tarissent. Les parois des bassins s'affaissent et les lentilles d'eau prolifèrent, transformant les surfaces liquides en miroirs verts. L'exploitation a dû cesser."En 1927, le débit avait été mesuré à 470 litres par seconde contre 50 litres par seconde aujourd'hui" explique Robert Durand, expert-géologue interrogé par l'AFP."Danone détruit un monument historique pour envoyer des bouts de plastique à l'autre bout du monde", peste le propriétaire Edouard de Féligonde qui mène le combat devant les tribunaux, avec son avocate Corinne Lepage.Un rapport, dont une copie a été transmise à l'AFP, conclut à "une relation souterraine entre les forages exploités pour l'eau de Volvic et la source Gargouilloux". Mais Danone, qui a financé ces recherches, n'a pas souhaité les publier. "Début de désertification"En aval, le manque d'eau "agit sur la biodiversité des milieux humides", déplore Christian Amblard, chercheur honoraire au CNRS de Clermont-Ferrand."On peut parler d'un début de désertification" allant de pair avec "le dépérissement de la végétation et de la faune associée: l'aulne glutineux et le tarin des aulnes, le frêne et le loriot d'Europe", détaille le scientifique."Seuls la main de l'homme et Volvic en sont responsables", assène-t-il.Comme lui, associations et riverains s'interrogent sur la responsabilité de Danone et de sa Société des eaux de Volvic (SEV), dont l'usine d'embouteillage est située à quelques centaines de mètres à vol d'oiseau.Le 21 mars, plusieurs centaines de personnes ont manifesté pour la journée mondiale de l'eau, à l'appel du collectif Eau Bien commun 63."Aujourd'hui, les débits ne permettent plus d'irriguer les cultures. Depuis quelques années, il n'y a plus d'activité maraîchère ou horticole dans cette zone", constate Laurent Campos-Hugueney, membre du collectif et porte-parole de la Confédération paysanne.Les forages de la SEV atteignent 100 mètres de profondeur: "c'est comme si on vidait la baignoire par le bas", explique François-Dominique de Larouzière, géologue et membre de l'Association pour la protection des entrées sur les volcans d'Auvergne (Preva)."Danone se tire une balle dans le pied, mais quand il n'y aura plus d'eau au robinet, ça va faire mal" prédit-il.La multinationale a prélevé 2,33 millions de mètres cube en 2020, soit près d'un quart des usages de l'eau sur ce territoire, la moitié étant réservée à l'eau potable et le reste au milieu naturel.Danone assure avoir limité ses prélèvements, tout en menant différentes actions de protection de l'impluvium, la zone qui recueille l'eau de pluie."Nous avons économisé 380 millions de litres entre 2017 et 2020 pour des niveaux de vente stables", déclare à l'AFP Jérôme Gros, directeur des usines Volvic qui emploient 900 salariés.Pour embouteiller un litre d'eau, il fallait prélever quasiment le double en 2014 en raison des opérations de nettoyage. "Aujourd'hui nous sommes à 1,4 litre prélevé pour un litre embouteillé", se félicite-t-il."Insuffisant", pour les associations. Elles rappellent que le groupe a obtenu l'annualisation des prélèvements, ce qui lui permet de pomper plus l'été pour répondre à la demande."Comment expliquer au citoyen qu'il ne peut pas arroser trois pieds de tomates en plein été quand il voit sortir de l'usine camions et wagons chargés?", s'emporte François-Dominique de Larouzière.L'Etat en accusationPourtant "Danone n'enfreint pas la loi. C'est l'Etat qui lui accorde des droits de prélèvements supérieurs à la capacité de régénération de la ressource", reconnaît le géologue.De fait, un arrêté de 2014 prévoit un volume maximal de 2,79 millions de mètres cube par an, supérieur aux prélèvements de la SEV.Soit 88,6 litres par seconde, contre 15,6 litres par seconde en 1965, année des premiers embouteillages commerciaux.Malgré plusieurs sollicitations, le préfet Philippe Chopin a refusé de répondre l'AFP, renvoyant aux services de la DDT (Direction départementale du territoire)."Les autorisations annuelles fixées dans l'arrêté de 2014 sont suivies et contrôlées par l'État et respectées par l'embouteilleur", souligne la préfecture dans une réponse écrite."Les conditions environnementales, et notamment la sécheresse, ont conduit à une baisse de la recharge de l'aquifère sans qu'elle puisse être imputée à notre sens aux prélèvements réalisés en aval par la SEV", avait argumenté le préfet début avril, lors de son audition devant la commission parlementaire sur "la mainmise sur la ressource en eau par les intérêts privés", présidée par Mathilde Panot (LFI).Toutefois, selon les données de Météo-France, les cumuls annuels de précipitations sur la zone n'ont pas varié, même s'ils sont moins réguliers. Quant à la hausse des températures, "elle ne peut expliquer à elle seule ce déficit", assure M. de Larouzière.Des incertitudes pèsent aussi sur l'alimentation en eau potable.Les permis de construire ont été suspendus sur les hauteurs de Volvic depuis août 2020: "Nous avons préféré ne plus délivrer d'autorisation de construction afin de réduire le risque de déficit d'eau potable sur un captage", explique Laurence Dupont, première adjointe au maire chargée de l'urbanisme.La mairie reconnaît avoir reçu des courriers de citoyens mécontents de ne pouvoir bâtir alors que la multinationale poursuit ses prélèvements.Mais le maire Laurent Thévenot est catégorique: les captages en eau potable sont indépendants de ceux de la SEV et "les deux phénomènes ne sont pas liés"."En tant que maire, je n'ai pas vocation à aller dans le sens des gens qui accusent la SEV, alors que je n'ai aucun élément pour étayer cette hypothèse", balaye l'élu, dont une centaine d'administrés travaillent à l'usine.
Il y a 3 ans et 351 jours

Une usine de préfabrication de façades bois-chanvre voit le jour en Seine et Marne

BIOSOURCE. Baptisée Wall'Up, l'usine de préfabrication de façades mixtes bois et chanvre a été inaugurée à Aulnoy en Seine et Marne. Un projet co-créé par plusieurs acteurs de la construction.
Il y a 3 ans et 351 jours

La Charlotte confie à Portakabin la construction de sa boutique-usine éphémère

Le standing des installations ALTA® au service du commerce haut-de-gammeLa société La Charlotte, reconnue sur le marché des pâtisseries et glaces haut-de-gamme, produit des gâteaux artisanaux au sein de son usine de 9000 m² située à Hesdin-Labbé dans le Nord de la France. C'est dans l'optique de commercialiser ses produits via une boutique-usine éphémère que La Charlotte a souhaité faire appel à Portakabin pour ces travaux.Il aura fallu moins de trois heures aux équipes Portakabin pour monter de toutes pièces le magasin de 50 m² juxtaposant les centres industriels de la société de desserts. 4 bâtiments ALTA® en rez-de-chaussée avec une hauteur de plafond de 2 mètres 75 accueilleront pendant les 6 prochains mois les clients de la société pour leurs achats. Les spécificités techniques des bâtiments Portakabin ALTA® ont rendu possible l'intégration d'un système de climatisation indispensable à la bonne conservation des produits.Les grandes fenêtres et ouvertures ainsi que l'éclairage LED ont été un critère de choix déterminants car ils offrent la possibilité de créer un environnement de vente agréable et esthétique. Les normes de sécurité inhérentes aux bâtiments ALTA® ont quant à elles constitué l'avantage concurrentiel majeur pour La Charlotte dans le cadre de cette collaboration :« Lorsque nous avons imaginé notre boutique-usine éphémère, nous avons souhaité pouvoir l'intégrer complètement à notre site de production d'Hesdin-Labbé. Construire une installation aussi proche d'une usine implique un haut niveau de sécurité et c'est grâce à la résistance au feu de 60 minutes de la gamme de bâtiments ALTA® que les assureurs ont accepté une telle proximité. » - Gilles Ponchel, Directeur Industriel de La Charlotte« Nous sommes ravis que l'aboutissement technique de notre nouvelle gamme de bâtiments ALTA® permette de répondre aux enjeux et besoins d'entreprises telle que La Charlotte, dont l'activité nécessite des infrastructures haut-de-gamme. C'est une nouvelle preuve de la capacité d'innovation et d'adaptabilité de nos équipes et de nos produits. » - Cyril Petit-Masquelier, Président de Portakabin France
Il y a 3 ans et 351 jours

Fabrication additive : Une technologie en cours de démocratisation

Retrouvez cet article dans le n° 94 de Béton[s] le Magazine L’’impression 3D béton s’inscrit dans la stratégie bas carbone en France. [©Vicat] Dans la trilogie “Retour vers le futur”, sortie dès 1985, le réalisateur Robert Zemeckis nous fait voyager dans le temps. A bord d’une DeLorean DMC-12 quelque peu modifiée, Marty McFly et le docteur Emmett Brown explorent le passé, mais aussi le futur. Dans le deuxième opus, les protagonistes se retrouvent en 2015. Ici, les voitures volent et les pizzas sont prêtes en 2 s ! Tous les codes de la science-fiction dépeignant le futur sont réunis. Si la domotique et la notion de “maison connectée” y sont perçues, les bâtiments et leur architecture ne semblent pas trop avoir bougé. Pourtant, dans la vraie vie, si nos déplacements ne se font pas encore par lévitation, le monde de la construction a bien évolué. Parmi les innovations, la fabrication additive ou impression 3D béton fait de plus en plus parler d’elle. Notre n° 91 lui était consacré. En effet, la discipline ouvre une multitude de problématiques que les industriels, selon leurs expertises, tentent d’élucider. D’un point de vue matériau et matériel, la technologie demande un savoir-faire particulier : l’encre minérale, l’imprimante et les logiciels sont trois composantes d’un tout.  Un trio gagnant La majorité des technologies actuelles utilisent le principe de la dépose d’un cordon de béton en couche par couche. Le matériau mis en œuvre doit donc tenir en place pour supporter son propre poids et être assez fluide pour que les couches adhèrent entre elles. La matière doit aussi répondre aux besoins classiques de durabilité, de performances… De plus en plus d’industriels proposent des gammes dédiées à la fabrication additive, à l’image de Cemex, Ciments Calcia ou encore Vicat. Du côté de l’imprimante, plusieurs “camps” s’affrontent. Il y a ceux qui s’ancrent dans la lignée de la construction hors site. Ainsi, l’outil est installé en usine où elle imprime des éléments à emporter. C’est le cas d’industriels comme Soliquid et XtreeE. D’autres ont misé sur des imprimantes nomades qui se déploient sur chantier. La start-up Valenciennes Construction 3D ou Cobod s’inscrivent dans cette mouvance. Quelle que soit la technique adoptée, la buse et le dispositif d’extrusion sont des points sensibles. Enfin, les différents logiciels de pilotage et de modélisation, qui peuvent être imaginés par le fabricant de l’imprimante ou par un éditeur indépendant, permettent de faire la traduction numérique de la volonté architecturale. Une transition environnementale et numérique Plusieurs enjeux entourent la fabrication additive. La dimension environnementale intervient naturellement. Au cœur de la future RE 2020, la transition écologique de la construction fait partie de la stratégie bas carbone de la France. Les acteurs de l’impression 3D béton mettent en avant les avantages de leur discipline dans ce domaine. A savoir, l’optimisation des matières premières, la construction hors site et l’utilisation du bon matériau au bon endroit. L’impression 3D est aussi une résultante de la transition numérique de la construction. Cemex l’englobe ainsi dans ce qu’il appelle la « fabrication digitale ». Cette dernière peut répondre aux problématiques de pénibilité sur chantier avec moins de compagnons nécessaires in situ. Et en même temps, à la résolution de défis techniques dans la construction, que ce soit dans les formes architecturales ou dans la rapidité de conception. Reste à résoudre quelques freins : le coût, la réglementation ou encore la formulation vue sous le prisme de l’économie circulaire. Il reste encore de grandes avancées à accomplir avant d’atteindre une démocratisation de la fabrication additive. Korodur : « Une nouvelle liberté d’écriture » Créé en 1936, le groupe familial allemand Korodur fabrique et commercialise des solutions minérales pour sols industriels. A l’entrée de son siège, le nom Korodur s’inscrit en lettres géantes, imprimées en 3D ! En effet, depuis plus de 10 ans, l’industriel s’est lancé dans l’aventure de la fabrication additive. « En 2012, un de nos partenaires néerlandais nous a présenté Berry Hendriks, raconte Nikola Heckmann, présidente de Korodur. A ce moment-là, il lançait sa start-up Cybe et avait pour ambition de révolutionner la construction avec l’impression 3D. A l’époque, c’était fou, mais nous avons décidé de travailler ensemble en nous occupant de la partie matériau. » Avec son expertise dans la conception de mortiers, Korodur a pris le temps de trouver la bonne formulation. Le tout en utilisant un ciment à impact carbone réduit. « Le mortier à imprimer doit être à prise rapide, ne pas se déformer sous son poids et chaque couche doit adhérer sur la précédente. De plus, le matériau doit s’adapter à l’imprimante et au logiciel. Les trois fonctionnent ensemble. Après plusieurs mois de recherche, nous avons réalisé avec Cybe notre premier objet : un banc. » Korodur s’est associé à Cybe pour développer la fabrication additive. [©Korodur] Depuis, Korodur et son partenaire se sont lancés dans des projets à l’international. A Dubaï, ils ont réalisé un bâtiment dédié aux drones qui surveillent les pipelines. Au Japon, ce sont des toilettes publiques… Il y a aussi l’Afrique du Sud, la Nouvelle-Zélande et la France, avec une maison en Normandie. « L’impression 3D est intéressante et doit avoir sa place dans l’évolution de la construction. Elle donne une nouvelle liberté d’écriture pour les architectes et les designers. Mais répond aussi à des défis techniques pour la préfabrication, par exemple. »  Lycée Louis Loucheur : L’impression 3D dès le plus jeune âge Dans le cadre du programme “Espace d’innovation partagée”, le lycée professionnel Louis Loucheur, à Roubaix (59), a reçu une dotation de la Région Hauts-de-France. Une manne qui a permis à l’établissement de mettre en place une nouvelle matière à son cursus “gros œuvre” : l’impression 3D. « Nous avons acquis une Mini Printer de Construction 3D, explique Régis Schefller, enseignant au sein du lycée. Nous avons bénéficié d’une formation pour pouvoir être autonomes. » Aujourd’hui, le lycée travaille avec des mortiers de Parexlanko dédiés à l’impression. « Les élèves sont très curieux de ce que l’on peut faire avec. Nous espérons que cela représentera un atout pour promouvoir les formations dans le bâtiment et de montrer une autre facette de nos métiers. » A Roubaix, le lycée Louis Loucheur vient d’intégrer l’impression 3D béton dans son cursus de formation. [©Lycée Louis Loucheur] Saint-Gobain : Voici les clefs Fin avril 2020, Saint-Gobain a remis les clefs à d’heureux résidents d’une maison un peu particulière. A Eindhoven, aux Pays-Bas, ce bâtiment de 94 m2a été entièrement réalisé en impression 3D. Pour rappel, Saint-Gobain Weber Beamix conçoit des mortiers spéciaux pour cette application. Ici, 24 éléments en béton ont été préfabriqués, avant d’être acheminés in situ. Cette maison est la première du programme Milestone, qui en comptera 5 au total. Chaque nouvel habitat sera optimisé grâce aux enseignements tirés des précédentes mises en œuvre.  Aux Pays-Bas, Saint-Gobain a livré sa première maison imprimée en 3D béton. [©Saint-Gobain] Sivagami Casimir Retrouvez l’ensemble du dossier : Que seront les bétons de demain ? Parmi les annonceurs de Béton[s] le Magazine n° 94
Il y a 3 ans et 351 jours

Capremib équipe un pont de Vitry-sur-Seine

Retrouvez cet article dans le n° 94 de Béton[s] le Magazine Le futur pont du quartier des Ardoines de Vitry-sur-Seine. [©Capremib] VAL – DE – MARNE. Situé dans la Zac Gare des Ardoines à Vitry-sur-Seine, le chantier des Ardoines est parmi les plus importants en cours de réalisation en France. Dans le cadre de ce vaste projet urbain couvrant un territoire de 300 ha en bord de Seine. Un nouveau pont ferroviaire de 160 m de long et 30 m de large jouera un rôle clef dans le développement du quartier. Il en desservira le futur pôle multimodal. Et facilitera l’accès à la gare. Il accueillera une voie de circulation automobile à double sens. Un couloir réservé au futur bus en site propre. Ainsi qu’une piste cyclable et deux cheminements piétons végétalisés. Sept types de dalles produites par Capremib La maîtrise d’œuvre a fait appel à Capremib pour la réalisation sur mesure des 4 800 m² du tablier en béton préfabriqué. L’usine de Cormicy, près de Reims, a conçu et fourni 474 dalles pleines. D’une épaisseur de 27 cm, représentant un volume de béton de 938 m3et 300 t d’acier. Le ciment utilisé est un Ciments Calcia CEM III.  Lire aussi les autres actualités en région Sept types de formats de dalles différents ont été réalisés pour ce chantier, dont les plus grands font 4,70 m x 1,30 m et 3,20 m x 2,50 m. Parmi les particularités, ces dalles ont été réalisées avec une sous-dalle en casquette. Dont la fonction est de supprimer la nécessité de coffrer les sous-faces du tablier. Cette technique, qui est issue de celles de fabrication des éléments pour les grands ouvrages d’art, fournit un important gain de temps sur le chantier. Capremib a aussi créé un peigne de positionnement des aciers, qui fait office d’arrêt de coulage, afin d’obtenir une longueur et un cintrage des aciers rigoureusement identique. La production a été achevée fin 2020, la livraison se fera à l’avancée du chantier. Retrouvez cet article dans le n° 94 de Béton[s] le Magazine
Il y a 3 ans et 351 jours

Groupe Daniel : Le béton recyclé disponible à Pau

Retrouvez cet article dans le n° 94 de Béton[s] le Magazine Le groupe Daniel lance son béton recyclé. [©Groupe Daniel] PYRENEES – ATLANTIQUES. Déjà acteur dans l’économie circulaire avec les granulats recyclés, le groupe Daniel poursuit sa logique de développement durable et de valorisation. Ceci, en proposant du béton formulé avec des granulats recyclés issus de la déconstruction. Mais aussi de la démolition ou encore des retours de chantiers. Le béton est récupéré sur les trois plates-formes de valorisation du groupe pour être réincorporées dans de nouvelles formules. La procédure de tri sélectif des déchets béton et des autres matériaux de démolition (plastique, bois, ferraille, plâtre) doit répondre à un haut niveau d’exigence, qui déterminent la régularité de la résistance du futur béton. Les bétons issus de la démolition sont ensuite concassés, avant de passer au déferraillage et au criblage.  Du béton recyclé dans des blocs décoratifs La production du béton recyclé répond ainsi à des procédures strictes de contrôles et de traçabilités. La technique d’élaboration du béton reste une étape clef. Pour cela, le laboratoire interne du groupe Daniel a mené de nombreux essais pour la création de nouvelles coupures aptes à atteindre les niveaux de régularité et de durabilité nécessaires à la formulation des bétons.  Lire aussi les autres actualités en région Des solutions d’aménagements comme les blocs décoratifs matricés effet bois ont été produits à partir de béton 100 % recyclé dans les usines de préfabrication à Abos et Tarnos. La réalisation de chantiers pour des fondations et des dallages a aussi été effectuée et sont conformes aux attentes règlementaires. Retrouvez cet article dans le n° 94 de Béton[s] le Magazine
Il y a 3 ans et 351 jours

France Color Diffusion : « DrainColor, ce sont des solutions clefs en main de bétons drainants »

Retrouvez cet article dans le n° 94 de Béton[s] le Magazine Alain et Catherine Oliveira, fondateurs et dirigeants de France Color Diffusion. [©France Color Diffusion] Comment s’organise la présence sur le marché de France Color Diffusion ? Catherine Oliveira : Nous sommes concepteurs et fabricants de solutions pour l’aménagement des sols extérieurs. Nous distribuons nos produits sous la marque DrainColor. Notre concept consiste à apporter une solution autonome de fabrication de béton drainant coloré.  Nous travaillons en partenariat avec des usines qui produisent pour notre compte les liants hydrauliques et les sacs de granulats. Ceci, tout en respectant les brevets que nous avons déposés. Nous proposons un kit “prêt à fabriquer”. Il comprend un liant hydraulique, c’est-à-dire la base cimentaire, cinq sacs de granulats, des adjuvants et des pigments. Le tout est pré-dosé pour réaliser 1 m2de béton drainant coloré sur 8 cm d’épaisseur. Pour faciliter la mise en œuvre, nous avons aussi créé des kits outils complets. Et nous proposons des formations sur site ou au sein de nos locaux.  Pour l’essentiel, notre marché est composé de professionnels, mais nous sommes désormais référencés dans des enseignes nationales et touchons donc une clientèle de particuliers. Cet article est réservé aux abonnés des revues Béton[s] le Magazine et Bâti & Isolation. Déjà abonné Mon email Mon mot de passe Oublié ? En plus de votre magazine, profitez d’un accès illimité à l’ensemble des contenus et services du site www.acpresse.fr : Lecture de l’intégralité des dossiers thématiques, reportages chantiers, fondamentaux, histoire de la construction… Consultation des indicateurs économiques (chiffres et analyses) + vos newsletters pour suivre l’info en continu Je m'abonne
Il y a 3 ans et 351 jours

360SmartConnect : Connaître l’évolution de l’empreinte carbone

Retrouvez cet article dans le n° 94 de Béton[s] le Magazine 360SmartConnect propose une solution afin d’identifié le taux de carbone d’une pièce de préfabrication. [© 360SmartConnect] VAR. Parfois, l’actualité du moment colle avec les inspirations des équipes d’une entreprise. Ainsi, alors que 360SmartConnect et ses collaborateurs cherchaient à avoir un impact écologique, la RE 2020 venait imposer le concept de cycle de vie à la construction. « En début d’année 2021, nous avons décidé d’adjoindre à notre savoir-faire la capacité de mesurer la consommation en carbone d’une construction, explique Rolland Melet, fondateur et gérant de 360SmartConnect. Nous sommes capables, en direct, de comparer ce qui a été estimé et ce qui est effectivement émis lors du chantier. » Lire aussi les autres actualités en région Ainsi, dans le cas d’une pièce de préfabrication, elle est identifiée à son départ de l’usine avec le dispositif 360SmartConnect. En y intégrant les données carbone déclarées par le préfabricant. Installée sur chantier, la pièce est à nouveau notifiée sur la plate-forme 360SmartConnect, intégrant ses données sur le BIM. Calculant au passage les évolutions du chantier en matière d’empreinte carbone.  « Nous travaillons aussi sur une solution pour identifier les coulages de BPE. Dans l’espace et dans le temps, afin d’afficher à nouveau son empreinte. Nous avons le savoir-faire. Mais nous cherchons à minimiser notre impact dans le travail du fabricant, qui doit forcément communiquer ses données». Ainsi la transmission des données est automatisée. Retirant aux conducteurs de travaux de longues tâches administratives. « Nous avons déjà des contacts avec des clients et nous serons présents à l’accélérateur pour le climat du TedX de Cannes. Notre solution sera prête pour l’été. » Retrouvez cet article dans le n° 94 de Béton[s] le Magazine
Il y a 3 ans et 351 jours

EPCO : Une électricité bien entourée de béton

Retrouvez cet article dans le n° 94 de Béton[s] le Magazine Le site de production d’EPCO à Orange. [©EPCO] VAUCLUSE. Depuis plus de trente ans, EPCO Méditerranée conçoit et préfabrique en béton des postes de transformation électrique, des locaux techniques, des shelter télécoms et des postes pour les sites éoliens et photovoltaïques. « Nous produisons environ 2 500 postes chaque année, avec un marché majeur qui est celui de la distribution publique de l’électricité, explique Jean-Charles Teyssier, dirigeant d’EPCO. Nous fabriquons et équipons nos éléments de A à Z, dans notre usine d’Orange. » L’entreprise dispose de quatre hectares d’usine, avec notamment trois halls de production équipés de quatre portiques, d’une grue à tour et d’une centrale à béton Imer dédiée. Cette dernière est notamment équipée de deux sorties de malaxeur : une pour un transporteur destiné à un premier hall, un second pour une distribution par toupies. « Nous produisons deux types de solutions. D’une part, les produits spécifiques aux marchés d’Enedis, qui respectent un cahier des charges établi. D’autre part, des pièces qui varient en longueur et en largeur, pour être capables de proposer une trentaine de références et répondre aux différents cahiers des charges. » Lire aussi les autres actualités en région En termes de béton, l’entreprise coule 1 200 à 1 500 m3par an. « Nous avons deux types de béton. D’un côté, un assez classique fortement dosé en ciment, avec des adjuvants pour résister aux phases de gel et dégel. De l’autre, un béton de type XS3, pour les travaux de bord de mer. Celui-ci est en particulier mis en œuvre dans les éléments à destination des Dom-Tom pour lesquels nous avons plusieurs partenaires. » Retrouvez cet article dans le n° 94 de Béton[s] le Magazine
Il y a 3 ans et 352 jours

Wall’up inaugure l’ère industrielle du béton de chanvre

Soutenus notamment par l’Etat et la région Ile-de-France, sept partenaires des filières bois et chanvre lancent l’industrialisation de panneaux préfabriqués en béton de chanvre dans leur usine dédiée dénommée Wall’up.
Il y a 3 ans et 352 jours

Chimie, étanchéité et impression 3D pour la nouvelle usine de Saint-Gobain en Malaisie

INVESTISSEMENT. Saint-Gobain dévoile une nouvelle usine en Malaisie. Celle-ci abrite un concentré de technologie pour servir les secteurs de la chimie, l'étanchéité et l'impression 3D.
Il y a 3 ans et 352 jours

Rénovation de copropriétés : comprenez les clés d'un marché complexe en plein essor

BATIACTU BUSINESS CLUB. Jeudi 17 juin 2021, le Batiactu Business Club consacrera une visioconférence à la rénovation des copropriétés. De la prise de décision aux travaux, en passant par le financement, comment se saisir de ce marché porteur mais complexe ? Plusieurs acteurs viendront débattre : la Sem Ile-de-France Energies, le syndic Foncia et l'entreprise GTM (Vinci Construction), spécialisée dans la réhabilitation d'immeubles.
Il y a 3 ans et 352 jours

Nouvelle usine de chimie de la construction pour Saint-Gobain en Malaisie

Présent en Malaisie depuis 2000, Saint-Gobain y compte désormais cinq sites industriels avec le démarrage du site de Johor, le vingt-huitième du groupe en Asie du Sud-Est.
Il y a 3 ans et 353 jours

La 1ère usine au monde de panneaux photovoltaïques en pérovskites ouverte en Pologne

"On change d'échelle, on passe du laboratoire à l'industriel", a déclaré à l'AFP Olga Malinkiewicz, la fondatrice de la société, se félicitant d'ouvrir "la première usine au monde de cellules photovoltaïques en pérovskites".Les modules pérovskites permettent de fabriquer des panneaux photovoltaïques légers, souples, ayant des taux de transparence, des teintes mais aussi des formes variables et qu'on peut poser facilement sur un ordinateur portable, une voiture, un drone, un engin spatial ou un bâtiment, même à l'ombre et à l'intérieur.Les pérovskites sont des structures atomiques répandues dans la nature mais qui peuvent être facilement obtenues en laboratoire. L'efficacité de nouveaux modules est comparable à celle des panneaux traditionnels en silicium.Les coûts de leur fabrication sont réduits par rapport au procédé de simple impression à jet d'encre inventé par Olga Malinkiewicz, 38 ans, qui permet de les produire à des températures ambiantes.La chercheuse a inventé sa technologie il y a huit ans, alors qu'elle était doctorante à l'Institut des sciences moléculaires (ICMol) de l'Université de Valence, en Espagne.Sa découverte, remarquée par la revue Nature, lui a valu notamment le prestigieux prix du concours Photonics 2, organisé par la Commission européenne, et un autre de la MIT Technology Review.L'usine est située à Wroclaw, dans le sud-ouest de la Pologne. Selon Olga Malinkiewicz, d'ores et déjà "la demande dépasse les capacités de production" de la chaîne estimées initialement à 40.000 m2 par an.Petits ou grandsLes premières commandes commerciales sont venues du secteur de l'internet des objets et du bâtiment où les nouveaux modules s'intègrent facilement aux façades et surfaces différentes.La technologie de production consiste à imprimer sur des feuilles de plastique transparent des couches successives de modules photovoltaïques, dont celle de pérovskites, formant un ensemble aux paramètres techniques, formes, tailles et couleurs prédéfinis.Ces modules peuvent être très petits ou grands, ils peuvent être aussi découpés ou, au contraire, collés entre eux pour obtenir de très grandes surfaces si nécessaire."Nous utilisons des pérovskites synthétiques qui peuvent atteindre l'efficacité et la puissance considérables, et qu'on n'a pas besoin d'extraire de la nature", a précisé Mme Malinkiewicz lors de l'inauguration de son usine.Dans l'Himalaya et dans l'espaceLes modules pérovskites ont été testés, "avec d'excellents résultats", dans des simulateurs des conditions dans l'espace extra-atmosphérique, a souligné la chercheuse à l'AFP.Un module pérovskite de surface d'une double feuille A4, souple et pliant, a "fait ses preuves comme chargeur de téléphone et d'autres équipements électroniques lors d'une expédition dans l'Himalaya, dans les conditions météorologiques extrêmes", a-t-elle ajouté.La société Saule Technologies, du nom d'une déesse païenne balte régnant sur le soleil, la terre et le ciel, est contrôlée par des investisseurs privés polonais, dont Columbus Energy, leader du photovoltaïque et énergie verte dans le pays, et japonais, avec le multimillionnaire Hideo Sawada.La société, dont l'équipe compte 70 personnes de 15 pays différents, prépare sa prochaine introduction à la Bourse de Varsovie et songe déjà à la construction de nouvelles usines "en Europe ou peut-être au Japon"."Sur l'ensemble des installations photovoltaïques en Europe, seulement 4% sont fabriquées sur le continent. Nous sommes d'accord avec l'Union européenne pour dire qu'il est important de se mettre à les fabriquer" dans l'UE, a déclaré Mme Malinkiewicz.
Il y a 3 ans et 353 jours

Un chantier vert pour une énergie verte à Saint-Gervais

Un projet de développement durableLa production d'énergie verteLa commune de Saint-Gervais multiplie les projets visant à produire de l’énergie propre pour ses besoins et pour l’export.Panneaux solaires et centrale photovoltaïqueAvec ses panneaux solaires installés sur le toit de la piscine et sa centrale photovoltaïque sur celui de la patinoire qui se dotera prochainement de cellules supplémentaires pour augmenter sa production d’électricité, la commune produit de l’énergie pour faire fonctionner ses installations sportives et fournit chaque année l’équivalent de la consommation électrique de 37 logements.Centrales hydroélectriquesTrois centrales hydroélectriques sont exploitées au Fayet, à Bionnay et au Râteau faisant de la commune un territoire à énergie positive puisqu’elle produit ainsi cinq fois plus d’énergie que la population saint-gervolaine n’en nécessite.Cet automne, ce sont les travaux pour la construction d’une nouvelle centrale qui turbinera les eaux du torrent de Miage qui vont démarrer avec une prise d’eau sur le torrent de Miage, une conduite forcée et un bâtiment usine. Fonctionnelle en 2023, elle sera exploitée par la SARL CH Miage.Un chantier propre et respectueux de la naturePréserver la ressource en eauAfin de ne pas perturber la ressource en eau des habitants de Miage, des agriculteurs et du bétail, la prise d’eau se fera en aval du village. Ces travaux seront aussi l’occasion de raccorder le village au réseau des eaux usées. Les habitants gagneront donc en qualité de vie et le site en propreté.Transport par câble : blondinLe Maire de Saint-Gervais et le Conseil Municipal ont été rapidement enthousiasmés par le projet proposé en 2016 saisissant l’intérêt pour leur commune et plus largement pour l’environnement de produire, grâce aux ressources locales, une énergie renouvelable qui n’émet pas de gaz à effet de serre. Mais le dossier a tardé à aboutir car il était impératif pour Jean-Marc Peillex de valider le meilleur projet respectant la nature environnante : « Produire de l’énergie propre, c’est très bien, mais si ça nécessite 3.000 rotations d’hélicoptère pour y arriver, ça ne vaut pas la peine ! J’ai tenu à ce que les travaux nécessaires à ce projet de turbinage engendrent le moins de pollution possible et j’ai demandé à CH Miage de nous proposer un chantier ‘vert’ ». C’est donc une technique de transport par câble appelé « blondin » qui a été privilégiée.Intégration paysagèreLe bâtiment de la centrale hydroélectrique de Miage qui sera situé dans le secteur de la Gruvaz va se fondre de manière harmonieuse au sein de cet environnement boisé naturel à flanc de montagne. Les chemins nécessaires seront réalisés en bois ou en pierres locales, les façades seront en parties enterrées, l’ouvrage en lui-même sera dissimulé par des arbres, arbustes, plantes et fleurs afin de diminuer son impact visuel…Le blondin – Késako ?C’est un transport par câble téléphérique qui permet d’acheminer le matériel de chantier et les matériaux notamment en zone montagne où les pentes sont fortes et les obstacles à franchir nombreux. Cette solution technique est très respectueuse de l’environnement puisqu’elle ne nécessite pas de carburant.Signature du bailCe vendredi 21 mai, le bail à construction du turbinage des eaux de Miage a été signé en mairie de Saint-Gervais entre la commune et la SARL CH Miage autorisant cette dernière à construire et exploiter la centrale hydroélectrique pour une durée de 60 ans soit jusqu’en 2081.La puissance de l’usine est estimée à 3.190 KW. La SARL devra payer une redevance annuelle à la commune basée sur son chiffre d’affaires et lui verser près de 40 000 € d’indemnités foncières sur la durée de l’’exploitation pour l’occupation des terrains communaux.
Il y a 3 ans et 353 jours

En Norvège, Saint-Gobain crée sa première usine "zéro carbone"

Le géant des matériaux va investir environ 25 M€ dans son usine de plaques de plâtre de Fredrikstad pour accroître ses capacités de production d’environ 40% et installer un système innovant d’électrification du procédé de production permettant d’éliminer plus de vingt mille tonnes d’émissions de CO2 par an et de réduire les consommations d’énergie du site.
Il y a 3 ans et 354 jours

Saint-Gobain investit dans son usine de plaques de plâtre norvégienne

INVESTISSEMENT. Saint-Gobain investit dans son usine norvégienne de plaques de plâtre de Fredrikstad afin d'en augmenter la production de près de 40%.
Il y a 3 ans et 354 jours

Aimé Bonna : L’homme des tubes

Aima Bonna, en 1905, en Espagne : il part à la conquête de l’Europe. [©Bonna Sabla] Si l’on retrace les origines des ascendants directs d’Aimé Bonna, on peut remonter au XVIIe siècle avec Jean Bonna (1630-1701). Celui-ci était maçon, dans les Ardennes, tout comme son fils Jacques. On peut supposer que l’exercice de leur art était assez lucratif. Car il leur a permis d’amasser un pécule suffisant pour acquérir les terres qu’ont exploitées leurs descendants. C’est à Hirson, dans l’Aisne, qu’est né Aimé Bonna, en 1855. Nous sommes dans la première partie du Second Empire. Napoléon III gouverne en monarque absolu, crée des établissements financiers. Il lance des emprunts d’Etat et poursuit sa campagne de grands travaux. Les épisodes historiques s’enchaînent. Dans la plaquette publicitaire d’Aimé Bonna, éditée en 1907, on ne retrouve aucun titre universitaire. Mais toutes ses médailles, dont celle de 1872, décernée par l’Association française des sciences fusionnée avec l’Association scientifique de France. Cette décoration à caractère scientifique n’est pas commune pour l’époque. Le titre d’ingénieur est incontestablement dû à l’intéressé, même s’il n’a pas donné lieu à un diplôme. Entre 1879 et 1882, il débute au Service des eaux de la préfecture du département de la Seine. Et se confronte aux questions posées par la rémunération de la distribution de l’eau à usage domestique et industriel. L’anticipation. Entre 1894 et 1924, son entreprise aura fabriqué et posé pour la seule Ville de Paris 297 km de canalisations. [©Bonna Sabla] Aimé Bonna met à profit la période de la mise en place de l’aqueduc entre Conflans et Cormeilles (21 km) et des usines. Ceci, pour se préparer à faire face à l’inévitable accélération qui caractérisera les travaux d’épandage, entre Saint-Germain-en-Laye, Conflans-Sainte-Honorine et Paris. Le 8 mai 1893, il brevète un procédé visant à concurrencer le traditionnel tuyau en fonte. Il propose un diamètre plus important : le tuyau en béton armé “âme-tôle” est né. Convaincu que son invention peut détrôner le traditionnel tuyau en fonte, et alléché par l’ampleur du projet, il monte sa propre entreprise. Et installe une usine de production de tuyaux selon son procédé sur le territoire des communes d’Achères et de Conflans. L’avenir montrera qu’il ne s’est pas trompé. Entre 1894 et 1924, son entreprise aura fabriqué et posé pour la seule Ville de Paris 297 km de canalisations. Parmi lesquels figure l’équipement en tuyaux d’irrigation du parc agricole de la plaine d’Achères. Au-delà du marché parisien qui finit par s’épuiser, il étend son activité en province et à l’étranger (Belgique, Grande-Bretagne, Espagne). En 1924, âgé de 69 ans, il met un terme à ses activités professionnelles et vend à la Compagnie générale des eaux son entreprise qui prend le nom de Société des tuyaux Bonna. Et qui, par la suite, deviendra Bonna Sabla. le tuyau “âme-tôle” reste une référence. [©Bonna Sabla] Retraité, Aimé Bonna n’en reste pas moins inactif. Quelques années plus tard, il se lance dans une nouvelle aventure. Celle-ci lui permettra de trouver au béton armé qui a fait sa fortune une autre application, moins lucrative, mais plus spirituelle. Il s’attaque à la construction d’une église à Hirson, son village natal. Mais n’en verra pas la réalisation, mourant en 1930. Aujourd’hui, le tuyau “âme-tôle” reste une référence qu’on retrouve à travers la planète. Et son œuvre perdure grâce à Bonna Sabla, devenu leader français des solutions en béton préfabriqué au sein du groupe Consolis. L’innovation chère à Aimé Bonna est au cœur de l’entreprise qui développe en permanence de nouvelles gammes de bétons. Et accompagne les grands projets, dont on peut citer le Mucem, à Marseille, le stade Jean Bouin, à Paris, et la Fondation Louis Vuitton, à Paris aussi. Muriel Carbonnet
Il y a 3 ans et 354 jours

Delphine Piquard nommée nouvelle Directrice Supply Chain du Groupe Lorillard

Arrivée en juillet 2020 au sein du Groupe Lorillard, Delphine Piquard est la nouvelle Directrice Supply Chain au niveau groupe. Diplômée de l’Ecole des Mines de Nancy, Delphine Piquard a débuté sa carrière en tant qu’ingénieure logistique sur un site d’Arcelor Mittal dans le Doubs, pour évoluer vers la division automobile, en tant que responsable de la planification et des affectations des volumes sur les différentes usines du groupe. 7 ans plus tard, elle quitte l’entreprise pour rejoindre Tarkett, en août 2010, où elle pilotera la mise en place du département Prévision et Planification de la division européenne. Puis en février 2017, elle prend le poste de Directrice Supply Chain de l’usine Sophartex, une création de poste qui lui permet de concevoir la mise en place de sa fonction avec une dimension service client. 3 ans et demi passés, elle choisit le challenge Lorillard – un poste de Directeur Supply Chain au niveau Groupe avec une gestion de flux plus complexes entre les différents sites, des entités commerciales aux besoins variés et la nécessité d’harmoniser et d’homogénéiser les offres de service pour chacune. LE CLIENT AU CENTRE DE LA LOGISTIQUE… Delphine Piquard en a fait une notion indissociable, le client est au centre de toute réflexion logistique. Un aspect prioritairement intégré dans l’approche logistique qu’elle a pensée pour les différents sites du Groupe Lorillard. L’un de ses premiers objectifs – en accord avec le Directeur Industriel, Hubert Marti – a été l’uniformisation de l’offre produit sur les différents sites du Groupe, afin de produire au plus près du client. C’est donc dans une optique de proximité qu’une approche régionale a été pensée, tout en tenant compte des contraintes d’équilibrage des charges de travail entre les différentes usines. Pour ce faire, un circuit de distribution converge entre les différents sites, notamment les 4 sites de PVC (Bourges, Pralong, Chartres, Bayonne). Ainsi, chaque client bénéficie d’un point d’ancrage grâce à des navettes qui approvisionnent des menuiseries entre chaque site en région, tenant lieu de plateforme de proximité pour les clients régionaux. Et pour mieux évaluer et maîtriser ce process de proximité, un travail avec le service HSE a permis de mettre en place des indicateurs mesurant le nombre moyen de kilomètres parcourus par les camions par rapport au nombre de menuiseries expédiées. Ainsi le service logistique est en capacité de gérer précisément les affrètements de camions pour réaliser des tournées. « Dans cette même vision de proximité, pour les livraisons dans les grandes villes, un projet est en cours de réflexion à horizon 2022 », explique Delphine Piquard, « Les transporteurs rencontrent de nombreuses contraintes de livraisons liées à la circulation, aux accès difficiles aux chantiers, etc. Notre objectif c’est de mettre en place une plateforme logistique en petite couronne ; un endroit de stockage plus proche des clients finaux pour des livraison plus fréquentes. La région parisienne, notamment le quart Nord-Est entre Gennevilliers, Pantin et Montreuil, sera notre plateforme prototype avec une flotte de véhicules électriques ou au gaz naturel, nous permettant de réaliser des plus petites livraisons et plus fréquemment ». Ces plateformes serviront également de bureaux pour les conducteurs de travaux et accueilleront un stock avancé de quincaillerie. … ET DE LA TRANSFORMATION DIGITALE « La nécessité d’une stratégie de management de la chaîne logistique dans l’entreprise a depuis longtemps été intégrée par les dirigeants. Mais la transformation digitale a façonné un environnement logistique de plus en plus exigeant pour les entreprises, à tel point que l’on parle aujourd’hui de l’agilité de la supply chain » constate Delphine Piquard. Au-delà de permettre au Groupe Lorillard de gagner en performance, délais et production, la transformation digitale est, pour Delphine Piquard, un moyen de maintenir un flux d’information efficace entre les différents acteurs : fournisseurs, fabricants mais aussi les clients. C’est l’une de ses missions qu’elle s’attache à déployer depuis son arrivée au sein du Groupe en juillet 2020. Cette transformation digitale a débuté par la définition du processus et des modes opératoires communs pour tous les clients du Groupe (concessions, agences, artisans, etc.) afin d’harmoniser toutes les pratiques. « Pour ce faire, le principe réside en la mise en place d’une bonne communication entre les différents interlocuteurs. On établit des flux d’information et des notifications en temps réel. On définit des alertes pour déterminer les expéditions livrées ou retardées. Une communication efficace entre toutes les parties impliquées est impérative afin que le client puisse vivre une expérience positive » explique Delphine Piquard. En relation avec les entités commerciales, dans le cadre de la rédaction des cahiers des charges, et le service informatique, pour le développement des process informatiques, le service logistique a automatisé et informatisé la gestion des délais. « Désormais quand la commande est passée, le client reçoit un accusé de réception avec date. Et depuis mars dernier, si l’on rencontre un retard, un processus automatique d’email permet d’alerter le service Administration des Ventes qui prend contact avec le client ou le conducteur de travaux pour le prévenir. La prochaine étape consistera à avoir de la visibilité sur le suivi de la commande et de la livraison. Nous travaillons ce développement avec les transporteurs afin que ce flux d’information soit efficient d’ici 2022 ». Toutes ces évolutions induisent un changement dans les méthodes de travail mais l’automatisation des processus simplifie tout. L’un des exemples les plus parlant c’est la mise en place d’un QR code sur l’ensemble des menuiseries produites dans le Groupe. Effectif depuis mars 2021, ce QR Code simplifie les flux d’informations et permet tout à la fois de recommander un vitrage s’il est cassé, d’avoir accès aux données de la menuiserie ou encore d’ouvrir directement une demande de refabrication dans le cadre d’une non-conformité. Dernier projet pour fin 2021 : le process de gestion des travaux pour les conducteurs leur permettra, selon l’avancement du chantier, de demander la livraison des menuiseries, via leur Smartphone, quand ils en ont besoin grâce à un nouvel outil de planification. Cet outil permettra d’absorber la complexité de la gestion des différents sites ; les conducteurs de travaux des différentes entités du Groupe travaillant dans toute la France. Ils se sentiront également moins isolés et auront accès directement et temps réel aux informations de planification et de suivi de leur livraison. Opérer la transformation digitale d’un Groupe multi site est un challenge que Delphine Piquard et son équipe concrétisent. Au quotidien, ils occupent un rôle à la fois transversal et central au sein du Groupe. Leur travail implique l’encadrement, la coordination et l’animation des équipes logistiques sur chaque site. Et pour s’assurer de la satisfaction client, ils doivent en interne optimiser les processus afin de réduire les temps de production, maîtriser les délais et favoriser une gestion fluide des informations. A Chartres, aux côtés de Delphine Piquard, une équipe logistique de 15 personnes est à l’œuvre. Des recrutements sont en cours pour embaucher 2 ingénieurs supply chain qui seront en charge de la bonne mise en œuvre de tous les processus, en amont et en aval, sur les différents sites du Groupe. Plus d’information sur ces recrutements via le site Internet : http://www.lorillard.fr/recrutement/offres-d-emploi Partager la publication « DELPHINE PIQUARD, nommée nouvelle Directrice Supply Chain du Groupe Lorillard »  
Il y a 3 ans et 358 jours

Une nouvelle usine en Roumanie pour Wirquin

MODERNISATION INDUSTRIELLE. Le spécialiste des sanitaires, Wirquin, va ouvrir une nouvelle usine en Roumanie visant à remplacer deux de ses anciennes unités : une située au Royaume-Uni et l'autre en Roumanie.
Il y a 3 ans et 358 jours

Energie photovoltaïque en Pologne: du soleil au pays du charbon

Longtemps derrière les puissances européennes du solaire, les Polonais ont mis depuis peu les bouchées doubles pour équiper leurs toits d'installations PV, dans un pays qu'on associe rarement au ciel bleu, mais plutôt au smog au dessus des villes et villages chauffés au charbon, dit "l'or noir" national.Les coûts montant en flèche de l'extraction du charbon, des émissions du CO2 et, par conséquent, de l'énergie, semblent avoir commencé à peser sur les porte-monnaies et la conscience du gouvernement et des Polonais."Mieux respirer"Andrzej Machno, 74 ans, compte parmi les premiers à Skawina (sud) à avoir troqué sa vieille chaudière à charbon contre des panneaux photovoltaïques et capteurs thermiques solaires, serrés désormais sur le toit de sa maison familiale."La mairie s'y est investie et on a saisi l'occasion. D'autres ont suivi. C'était un choix excellent", dit à l'AFP l'ancien hôtelier, l'oeil vif et bonne posture, jouant avec son petit-fils dans un jardin fleuri aux premiers rayons du printemps.Même s'il doit compléter ses installations avec une chaudière à gaz, en hiver, les économies sur les factures lui suffisent déjà pour pouvoir rembourser bientôt le crédit contracté pour l'opération."On arrive maintenant à mieux respirer à Skawina", dit M. Machno qui a passé sa vie dans cette ville, symbolisée et polluée durant des décennies par une importante usine d'aluminium, fermée depuis."Ruée au photovoltaïque""On a une ruée aux micro-installations photovoltaïques en Pologne", déclare à l'AFP Ryszard Wnuk, expert en énergies renouvelables à l'Agence nationale pour l'économie d'énergie (KAPE).Et de souligner qu'environ 70% du parc solaire en Pologne est constitué d'équipements de puissance moyenne de 8 kW. L'étape de grandes centrales solaires photovoltaïques commence seulement à se dessiner.En cinq ans, ce pays de 38 millions d'habitants est passé de seulement 187 mégawatt (MW) de puissance installée en photovoltaïque, à 3.935 MW en 2020, l'année où ce chiffre a crû de 155%, selon les statistiques locales.La croissance mondiale moyenne dans ce secteur était de 22% en 2020, selon l'Agence internationale pour les énergies renouvelables (IRENA)."On est loin au-delà des prévisions qui tablaient seulement sur 5.700 MW en 2030", souligne-t-il.Un système simple et avantageux de subventions publiques, environ 1.100 EUR de la part de l'Etat ou, dans certains cas, même davantage offerts par certaines communes, ainsi qu'une solution commode de stockage par opérateur du réseau du surplus d'électricité produit en autoconsommation, "sont aussi à la source du phénomène", estime l'expert.Mot difficile: photovoltaïque"Il y a dix ans, personne en Pologne ne savait prononcer correctement le mot photovoltaïque!", rappelle à l'AFP Dawid Zielinski, 36 ans, le PDG de la société Columbus Energy.Cette ancienne start-up créée il y a sept ans, compte parmi les acteurs majeurs du photovoltaïque et énergie verte en Pologne, emploie 3.500 personnes, est cotée à la Bourse de Varsovie et affiche des ambitions internationales."Aujourd'hui, tout le monde sait que le photovoltaïque, les éoliennes et d'autres énergies renouvelables sont le seul chemin juste pour ne pas payer bientôt de gigantesques factures d'électricité", souligne cet homme débordant d'énergie, rencontré au siège du groupe.Les pérovskitesC'est en quête de solutions du futur, que M. Zielinski a investi dans le lancement imminent de la première chaîne au monde de production industrielle de nouveaux modules photovoltaïques basés sur des cellules en pérovskites.Ces structures atomiques, répandues dans la nature et faciles à obtenir en laboratoire se sont avérées, au fil des recherches internationales, dotées de l'aptitude à former des cellules photovoltaïques dont l'efficacité égale celle des panneaux en silicium.Il y a huit ans, Olga Malinkiewicz, alors doctorante polonaise à l'Institut des sciences moléculaires (ICMol) de l'Université de Valence, en Espagne, a inventé la technologie bon marché de pose de couches de pérovskites par simple impression à jet d'encre.Depuis, la vision de panneaux solaires légers, souples, à taux de transparence et à teinte variables, qu'on peut poser facilement sur un ordinateur portable, une voiture, un drone, un vaisseau spatial ou un bâtiment, même à l'intérieur, anime les esprits des chercheurs entre Tokyo et Oxford, en passant par Wroclaw (sud-ouest de la Pologne) où Mme Malinkiewicz a installé sa société Saule Technologies.Sa découverte, remarquée par la revue Nature, lui vaut notamment le prestigieux prix du concours Photonics 2, organisé par la Commission européenne, et un autre du MIT.Pourtant, sourit Andrzej Machno, le photovoltaïque a aussi ses inconvénients: "avant je devais charger six tonnes de charbon par mois dans la chaudière puis décharger les cendres alors que maintenant je reste assis, je bois de la bière et j'ai pris du poids!".
Il y a 3 ans et 358 jours

McPhy envisage l'installation d'une méga-usine d'électrolyseurs à Belfort

"Cette future usine aura vocation à jouer un rôle majeur dans le passage à l'échelle industrielle de l'électrolyse", a avancé dans un communiqué Pascal Mauberger, le président de cette entreprise de la Drôme spécialisée dans la production et le stockage d'hydrogène.Belfort est le seul site présélectionné et la décision finale d'investissement devrait être prise d'ici fin 2021 en fonction de "la finalisation des études préliminaires", de "l'obtention des autorisations administratives" et des financements nécessaires, a expliqué McPhy.L'objectif est de démarrer la production dans cette usine de 20.000 m³ au premier semestre 2024.Le ministre de l'Économie Bruno Le Maire s'est réjoui de cette "excellente nouvelle notamment pour les habitants du Territoire de Belfort", qui a souffert de réductions d'emplois et d'activités sur ses sites phare de General Electric et Alstom."L'hydrogène est source de croissance, d'emplois et de développement industriel pour nos territoires", a affirmé le ministre, rappelant que "la France avait fait le choix stratégique de l'hydrogène en investissant 7 milliards d'euros sur cette technologie d'ici 2030".Environ 400 emplois"A pleine charge", la "gigafactory" de McPhy représenterait "plus de 500 emplois, dont environ 400 en France, et une centaine en Allemagne et Italie", sans compter les emplois indirects qui pourraient en découler, a indiqué l'entreprise.Lors d'une conférence de presse, le maire LR de Belfort Damien Meslot a évoqué "320 postes industriels et 120 postes de bureaux parmi lesquels de nombreux ingénieur et techniciens, mais aussi des ouvriers qualifiés, manutentionnaires, personnel administratifs".Alors que le coût de construction de cette usine est de 30 à 40 millions d'euros, McPhy avait reçu l'engagement d'un soutien à hauteur de 10 millions d'euros du "fonds Maugis" si elle s'implantait à Belfort.Ce fonds destiné à financer la réindustrialisation et la diversification du nord-Franche-Comté, est alimenté par la pénalité de 50 millions d'euros versée par General Electric (GE) pour n'avoir pas créé 1.000 emplois comme promis lors du rachat de la branche énergie d'Alstom en 2015."C'est l'avantage concurrentiel qu'on avait par rapport aux autres régions, je pense que cela a dû peser dans la balance", a estimé Philippe Petitcolin, porte-parole de l'intersyndicale de GE Belfort et président d'Apsiis, une association créée pour susciter la création d'entreprises et le développement de projets dans l'ingénierie de l'énergie à Belfort.La région Bourgogne-Franche-Comté "va mettre presque 100 millions d'euros sur la filière hydrogène" au total et "McPhy bénéficiera aussi de différents dispositifs de la région", a promis le conseiller régional Arnaud Marthey (PS).Belfort a aussi tiré profit d'une "structuration préalable d'un écosystème industriel, de recherche et développement", d'un "bassin d'emplois industriels et d'un environnement attractif" au sein "d'un carrefour de l'Europe", a détaillé McPhy.Vitrine de l'hydrogèneSi le choix de Belfort n'en est encore qu'au stade "des annonces", c'est néanmoins "de très bon augure, car, avec le principal donneur d'ordre, General Electric, qui se désengage, la présence de nouveaux acteurs va permettre de reconstruire un écosystème autour de l'énergie décarbonée, dont l'hydrogène est partie prenante", s'est réjoui M. Petitcolin.Belfort souffre depuis plusieurs années des restructurations successives des deux piliers de l'industrie locale, General Electric et Alstom, avec plus d'un millier d'emplois détruits au gré des fusions d'activités et de projets de diversification mis à mal par la crise sanitaire.L'hydrogène est du coup présenté depuis quelques mois comme une planche de salut pour l'industrie locale, ce secteur jugé d'avenir par le gouvernement français pouvant être un dénominateur commun aux deux filières locales de la mobilité et de l'énergie."On pense que l'implantation de McPhy va attirer un certain nombre d'entreprises qui tournent autour de l'hydrogène" et "en faire une vitrine", espère Damien Meslot.
Il y a 3 ans et 360 jours

Changement de culture industrielle au SIAAP : DuPont Sustainable Solutions guide le site de Seine Aval vers l’excellence

Paris, le 19 mai 2021 – DuPont Sustainable Solutions (DSS), cabinet de conseil international leader dans la sécurité et la performance opérationnelle accompagne le SIAAP dans un projet de transformation majeure de sa culture industrielle, de son pilotage et de sa performance sécurité sur 3 ans. Organisme créé en 1970, le SIAAP / Syndicat interdépartemental pour l’assainissement de l’agglomération parisienne transporte et dépollue chaque jour les eaux pluviales et industrielles ainsi que les eaux usées de 9 millions de franciliens de 4 départements (Paris, Seine Saint-Denis, Val de Marne et Hauts de Seine). Le SIAAP emploie 1700 agents de la fonction publique dans les 6 usines de dépollution de la région parisienne dont la plus importante d’Europe, Seine Aval dans les Yvelines. Sur 800 hectares, ce site historique du SIAAP, inauguré en 1940, fonctionne sur le principe des boues activées et fabrique du biogaz par méthanisation des boues. Malgré une modernisation récente de l’usine, le site de Seine Aval a connu quelques incidents industriels. Le dernier en date, un incendie dans l’unité de clarifloculation en juillet 2019, a conduit M. Jacques Olivier, Directeur Général du SIAAP, sous l’impulsion de la Secrétaire d’Etat, à lancer un appel d’offres pour réaliser un audit de sécurité industrielle indépendant. Remporté par DuPont Sustainable Solutions, ce dernier vise à maîtriser les risques liés à l’activité de l’usine afin d’assurer la continuité et la qualité de service de Seine Aval.   Seine Aval, un site industriel sensible Compte-tenu de l’évolution de ses process de fabrication, le site de Seine Aval, basé à Achères (78), a été classé Seveso Seuil haut en 2010. Outre les dangers classiques de toute industrie, cette décision a été motivée par deux raisons essentielles : • la présence de biogaz susceptible de créer des atmosphères explosives, • et l’utilisation de réactifs chimiques qui, mélangés, génère parfois un nuage de chlore pouvant se disperser jusqu’à 2 kilomètres depuis son point de départ. « Disposant déjà d’une culture sécurité professionnelle, nous nous sommes efforcés d’améliorer notre sécurité industrielle suite à ce passage en Seveso seuil haut » souligne Jacques Olivier, Directeur Général du SIAAP. Le SIAAP a ainsi déployé à l’échelle du site une politique sécurité renforcée, encadrée par un plan particulier d’intervention protégeant les populations et l’environnement. Grâce à cette première démarche, des progrès ont été constatés mais ceux-ci n’étant pas suffisants, un audit de sécurité industrielle a été engagé.   Un audit de sécurité industrielle mené par DSS autour de 5 thèmes majeurs Afin de cibler les risques et dimensionner les actions correctives, l’audit de sécurité industrielle mené par DuPont Sustainable Solutions a été décomposé en cinq thèmes majeurs qui ont fait l’objet de diagnostics approfondis : 1. prévention des risques d’incendie et d’explosion (ATEX /atmosphère explosive), 2. canalisations et capacités de fluides dangereux, 3. sécurité des installations électriques, 4. sécurité fonctionnelle, 5. gestion des interventions. « Pour nous permettre de définir les causes mais surtout d’engager les actions nécessaires pour progresser et se mettre à un niveau qui garantisse la sécurité de nos agents et des riverains de l’installation, nous avons décidé de changer de braquet » explique Jacques Olivier, Directeur Général SIAAP. « Nous voulions nous comparer aux meilleures pratiques industrielles et existantes dans le monde et l’offre de DSS nous a paru la plus pertinente » ajoute également Pierre Hodot, Directeur de la Sécurité SIAAP. Fondée sur l’héritage industriel de DuPont, l’approche de DSS s’appuie sur plus de 200 ans d’activité qui ont été codifiées sous forme de bonnes pratiques. Indépendant depuis un an, DSS met ainsi son savoir-faire au service de ses clients pour les aider à améliorer la sécurité des personnes au travail et viser l’excellence opérationnelle tout en s’adaptant à leurs besoins. Son approche intègre l’audit, le diagnostic, la formation, l’accompagnement et le coaching. « Nous créons, avec nos clients, de la résilience industrielle : moins d’accidents, plus de sécurité, et amélioration des performances opérationnelles par un meilleur management des actifs et des unités. Nous les conduisons vers un changement et des résultats durables à l’image de notre mission auprès du SIAAP, engagé dans cette dynamique » détaille Mathieu Leduc, Directeur DSS Europe.   Un audit mené en toute transparence Malgré les conditions spécifiques dues à la crise sanitaire sur l’année 2020, l’audit s’est déroulé dans le planning initialement prévu en trois phases ; la première répondant aux objectifs du SIAAP à court terme et les suivantes présentant les actions à mener ultérieurement : • identifier les opportunités d’amélioration, s’aligner et s’engager sur la feuille de route sécurité développée par DSS, • la mettre en œuvre et renforcer le management de la sécurité industrielle pour un impact rapide, • maîtriser et ancrer les nouvelles pratiques pour garantir un changement durable. DSS a réalisé sur site plus de 150 interviews, sans compter l’analyse documentaire, la production des synthèses et des rapports. « L’audit s’est déroulé par une série d’interviews, de rencontres sur le terrain, d’observation de tâches, d’examens d’un certain nombre de documents au cours de comités de pilotage et de projets. Des ateliers de restitution par thématique étaient également organisés » précise Yann Bourbon, Directeur Seine Aval, SIAAP. De l’avis unanime de toutes les personnes impliquées à tous les niveaux de la hiérarchie de Seine Aval et de DSS, l’audit s’est déroulé dans un climat de confiance et de partage essentiel à sa réussite. « Choisir un partenaire bénéficiant d’une reconnaissance internationale a d’ailleurs facilité l’accueil des auditeurs par les agents de Seine Aval qui ont bien compris notre volonté d’obtenir, par tous les moyens, une lecture la plus objective possible de notre niveau de culture sécurité » estime Jacques Olivier, Directeur Général SIAAP. Grâce à un audit aussi approfondi, le SIAAP a pu prendre conscience de sa situation actuelle et des leviers sur lesquels il allait devoir travailler.   Une prise de conscience collective qui ouvre la voie à un programme de transformation tourné vers l’excellence Véritable révélation pour l’ensemble des équipes de Seine Aval, cet audit a permis une prise de conscience collective et d’inscrire la sécurité au cœur de toutes les instances de pilotage. Le SIAAP a ainsi décidé d’initier avec son partenaire DuPont Sustainable Solutions une transformation couvrant à la fois le renforcement de la sécurité industrielle et la mise en oeuvre des recommandations issues de l’audit, et conduisant à une évolution profonde de sa culture managériale industrielle. Ce projet de transformation se déroulera sur 3 ans, adressera principalement le site de Seine Aval et certaines fonctions support au siège, et couvrira les axes suivants : • le développement de l’excellence industrielle via la refonte du Système de Gestion Opérationnelle du Site et de toutes ses interfaces, • le renforcement du Plan de Continuité de Service du SIAAP, adressant les causes majeures d’arrêt d’activité et leurs scénarios d’anticipation, de prévention et de reprise d’activité, • La mise en œuvre de changements organisationnels visant à renforcer le pilotage industriel des activités de Seine Aval et de toutes ses interfaces, • l’amélioration de la conscience des risques industriels de l’ensemble du personnel de Seine Aval, en s’appuyant sur les dernières recherches en neuro sciences relatives notamment à la prise de décision, • le développement de la culture managériale industrielle de l’ensemble des encadrants du Site et de ses interfaces, • l’amélioration de la gestion des risques et de la performance sécurité du site, en renforçant notamment la conformité de certains équipements techniques, processus et procédures sécurité associées « Les conclusions de l’audit sont à la hauteur du travail effectué conjointement par le SIAAP et DuPont Sustainable Solutions. Nous avons désormais un socle solide pour parvenir à l’excellence en matière de gestion des risques et de sécurité. Nous comptons atteindre cet objectif rapidement pour pouvoir renforcer la sécurité des salariés et des riverains du site. Ainsi, nous affichons clairement notre engagement de ce que le SIAAP doit être en tant qu’industriel responsable vis-à-vis de toutes les parties prenantes, à commencer par les franciliens. Renforcer le pilotage industriel, développer la conscience des risques, décliner de façon opérationnelle le Plan de Continuité de Service, améliorer la gestion des risques, voilà autant de défis qui vont prendre forme notamment au travers d’un changement de culture sécurité ainsi que d’une évolution managériale industrielle significative au sein du site de Seine Aval » déclarent Jacques Olivier, Directeur Général du SIAAP et Philippe Leininger, Directeur DSS France. Pour lire le cas détaillé de l’audit industriel et écouter le témoignage des dirigeants du SIAAP, veuillez consulter le site www.consultdss.fr
Il y a 3 ans et 361 jours

Saint-Gobain ouvre une nouvelle usine de plâtre en Chine

Saint-Gobain a annoncé le démarrage de la production d’une nouvelle usine de plâtre d’une capacité annuelle de 350 000 tonnes à Yangzhou, dans la province de Jiangsu à destination du marché local de la construction.
Il y a 3 ans et 362 jours

INVESTISSEMENT : SOPROFEN MONTE EN PUISSANCE PAR LA COULEUR

Face à l'augmentation des commandes de volets roulants de couleurs, SOPROFEN investit près de 3,5 millions d'euros dans son usine de production de Froideconche (70).
Il y a 4 ans et 3 jours

Eiffage remporte un contrat de 180 millions d'euros pour construire un pont en Allemagne

Le contrat a été remporté en groupement avec deux entreprises allemandes de la construction, Hochtief et Max Bögl, "pour un montant de 180 millions d'euros dont 116 millions d'euros pour Eiffage", a précisé le groupe dans un communiqué.Attribué par Autobahn GmbH, gestionnaire du réseau autoroutier en Allemagne, le marché concerne la construction d'un ouvrage d'un peu plus d'un kilomètre sur le Rhin reliant Leverkusen à Trèves, situé sur le tracé de l'autoroute A1.Les travaux doivent "doubler la capacité" d'une infrastructure actuelle "sous-dimensionnée". Ils débuteront immédiatement, pour une livraison estimée à début 2024 au plus tard, selon le communiqué.Les 16.000 tonnes d'acier nécessaires pour la réalisation de ce pont seront fabriquées dans les usines européennes du groupe, dont l'usine de Lauterbourg en Alsace, assure Eiffage.
Il y a 4 ans et 7 jours

Chargeurs réalise un premier trimestre record après s'être adapté aux besoins de la pandémie

De janvier à mars, Chargeurs a réalisé un chiffre d'affaires de 180,8 millions d'euros contre 157,5 millions un an avant, en progression de 14,8%, la performance "la plus élevée depuis plusieurs décennies", indique un communiqué du groupe diffusé mardi.L'augmentation des ventes est soutenue par deux divisions: Chargeurs protective films dont la croissance s'est élevée à 10,5% avec 76,5 millions d'euros de chiffre d'affaires, et la division "Museum solutions" rachetée il y a trois ans, dont la croissance s'est élevée à 55,6%, à 12,6 millions d'euros sur le trimestre.Pendant la pandémie, les musées ont fermé, "ce qui nous a permis d'accroître notre portefeuille de commandes", de nombreux musées décidant de lancer des programmes de rénovation pendant cette période, a expliqué le PDG du groupe Michaël Fribourg sur BFM Business.Chargeurs a en revanche subi les effets du ralentissement dans deux autres divisions: technologies de la mode dont les ventes ont reculé de 30% par rapport à 2021, à 31,6 millions d'euros, et matériaux de luxe, dont le chiffre d'affaires a baissé de 38,9% à 18,4 millions d'euros."Chargeurs assume complètement d'avoir un modèle diversifié" a indiqué M. Fribourg, "c'est son histoire". "C'est aussi un modèle de luxe industriel qui paie" a-t-il dit, en expliquant qu'il ambitionnait de "faire rayonner les savoir-faire français" dans des niches jusqu'à présent faiblement capitalistiques.Pendant la pandémie de Covid-19, Chargeurs a ouvert des lignes de masques textiles dans le nord et en Alsace en faisant pivoter ses outils industriels de production liés à la mode et au textile. Les dernières productions sont en 100% recyclé et 100% recyclables.Le groupe a aussi plusieurs lignes de masques chirurgicaux et FFP2, et sa division Healthcare solutions développe une solution de spray virucide avec action continue, dont le premier client est l'opérateur de transports Transdev pour la désinfection des bus.Michaël Fribourg a par ailleurs rappelé l'objectif du nouveau programme de développement lancé sur 5 ans, baptisé "Leap Forward 2025": atteindre un chiffre d'affaires de 1,5 milliard d'euros et un résultat opérationnel des activités de plus de 150 millions d'euros, d'ici à fin 2025.
Il y a 4 ans et 7 jours

Bâtiments modulaires en site occupé à Sartrouville

Lancé en mars 2021, le chantier de rénovation du foyer Saint-Exupéry à Sartrouville pour le bailleur social Adoma a lieu dans un site qui reste occupé. Il est donc indispensable que les nuisances soient réduites au minimum. Pour cela, il est réalisé en plusieurs étapes et comprend la mise en place de modules en bois réalisés par la société Ossabois, partenaire de GCC sur ce projet. Deux bâtiments en R+3 dessinés par l’agence ITAR Architecture pour un total de 283 logements viennent en remplacement de deux anciens bâtiments qui seront l’un et l’autre démolis.  Le chantier a été découpé en deux phases distinctes. Une première étape en cours de réalisation qui comprend un bâtiment R+3 de 136 logements et une seconde en fin d’année 2021 qui interviendra après le désamiantage et la démolition des bâtiments existants. La problématique des nuisances sonores a été résolue en mettant en œuvre des modules en ossature bois. Ossabois réalise ainsi, dans son usine vosgienne, 244 logements en éléments bois modulaires 3D et 39 logements en modules 2D. Les modules 3D sont assemblés en usine et livrés sur site totalement équipés. Pour les modules 2D, les lots techniques et de finition incombent à GCC. Les modules intègrent l’isolation et les films d’étanchéité à l’air et à l’eau pour une parfaite performance énergétique du bâtiment. Ils sont livrés par camion chaque jour pour pouvoir être posés directement par les équipes Ossabois grâce aux moyens de levage mis en place par les équipes GCC présentes à Sartrouville. 8 modules de 17 m2 sont ainsi installés quotidiennement. Trente minutes suffisent pour poser un module.      Photo : KOALA STUDIO
Il y a 4 ans et 8 jours

Plus de 10 milliards d'euros du plan de relance pour les collectivités locales

Ces aides comprennent 2,5 milliards de financement exceptionnel pour l'investissement, dont 2 milliards déjà attribués pour 9.000 projets à l'initiative des collectivités locales et validés par les préfets, d'après Bercy.Par ailleurs, 3,7 milliards d'euros sont attribués aux collectivités sur des thématiques arrêtées au niveau national comme la réhabilitation de friches, la rénovation de ponts ou l'accélération de la transition numérique.Enfin, un mécanisme de compensation de pertes de recettes, notamment dans les transports en commun, a été mis en place pour 4,2 milliards d'euros, dont 2,8 milliards pour l'année 2020.Pour les transports en commun, ces compensations sont en majorité des avances remboursables avec des taux d'intérêt nul et dont la durée de remboursement est généralement comprise entre 6 et 10 ans."La priorité des prochaines semaines et des prochains mois", c'est de "déployer le plus vite possible le plan de relance pour que nos compatriotes en voient les résultats concrets dans les territoires, qu'ils voient qu'on commence à rénover tel bâtiment public, que telle piste cyclable va sortir de terre, que telle usine va pouvoir développer une nouvelle ligne de production", a détaillé le ministre de l'Economie, Bruno Le Maire, au cours d'une conférence de presse à Bercy.Il a souligné que la rapidité de la mise en oeuvre du plan avait permis de soutenir la croissance."Ce déploiement nous a permis d'obtenir au premier trimestre 2021, malgré les mesures de confinement, un bon chiffre de croissance" de 0,4%, a-t-il rappelé, "c'est un des meilleurs chiffres européens".Il a aussi confirmé "que nous visons pour 2021 un chiffre de croissance de 5% pour l'économie française et que nous continuons à viser de revenir à la situation d'avant-crise dès l'année 2022".Alors que des économistes plaident pour une rallonge du plan de relance français, Bruno Le Maire a souligné que la priorité était au déploiement des fonds déjà programmé, puis à l'évaluation des dispositifs déjà mis en place à partir du mois de juillet. "Nous verrons en septembre où en est notre économie et quels sont nos besoins: nous le ferons sur la base de cette évaluation qui aura été faite collectivement à l'été."Le ministre délégué aux Comptes publics Olivier Dussopt a pour sa part assuré que le gouvernement veillait à ce que les collectivités locales "conservent un maximum de leurs recettes de manière à préserver leur niveau d'épargne" et ainsi "leur propre capacité d'investissement et de co-financement".Fin 2020, ces collectivités ont vu leurs recettes de fonctionnement diminuer de 1,7% tandis que leurs dépenses de fonctionnement progressaient de 0,2%, soit l'augmentation la plus basse des 25 dernières années, a reconnu le ministre.Outre le maintien des dotations globales de fonctionnement promis par le président de la République, "nous avons mis en place au cours de l'année 2020 des mécanismes de protection en garantissant aux collectivités du bloc communal (communes et intercommunalités) le fait qu'elles disposeraient de recettes fiscales et domaniales au moins égales" à la moyenne de ces mêmes recettes "de 2017 à 2019", a-t-il fait valoir.Lundi, une enquête de l'Association des maires de France (AMF) révélait qu'un tiers des communes envisageaient d'augmenter cette année la taxe foncière pour faire face aux pertes de recettes provoquées par la crise sanitaire et la suppression progressive de la taxe d'habitation, qui, selon le secrétaire général de l'AMF Philippe Laurent, "n'est pas non plus compensée entièrement" par l'Etat.