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Il y a 2 ans et 234 jours

Chauffage, mobilité, électricité, Europe… : les propositions d’Équilibre des Énergies pour le climat

Pour Brice Lalonde, président d’Équilibre des Énergies : « Nous avons à rester concentrés sur notre devoir d'êtres humains : mettre fin à la double malédiction de la guerre et du changement climatique. Les mesures que la guerre nous impose ne doivent pas ralentir ou contrecarrer celles que réclame la protection du climat. En fait, ce sont les mêmes. » La position d’Équilibre des Énergies reste donc centrée sur l’objectif fondamental de décarbonation des activités, principal moyen de faire baisser les émissions de gaz à effet de serre (CO2, méthane etc.). Équilibre des Énergies prône des mesures fortes qui, à court terme, sont de nature à réellement orienter la société française vers une véritable décarbonation de sa consommation tout en sauvegardant l’activité économique et le niveau de vie des Français. L’urgence sociale justifie les aides auprès des plus précaires mais les décisions de soutien à la consommation des produits fossiles ne vont pas dans le bon sens. Le signal prix reste essentiel et une augmentation du pouvoir d’achat pour faire face aux augmentations des prix de l’énergie serait plus efficace et ne fausserait pas les arbitrages en faveur de la décarbonation. Dans la période de crise que nous traversons, l’activité économique doit être soutenue et beaucoup de nos entreprises sont en péril. Équilibre des Énergies soutient les mesures d’urgence proposée par la Commission pour contenir les prix de l’énergie mais craint qu’elles ne soient insuffisantes. Il convient dès que possible de prendre des dispositions qui permettent d’éviter les fluctuations erratiques des prix et de faire en sorte qu’ils soient représentatifs des coûts d’approvisionnement. En parallèle les mutations structurelles telles que celles vers la pompe à chaleur et la mobilité électrique doivent être accélérées.C’est dans ce contexte qu’Équilibre des Énergies présente les cinq grandes priorités pour le climat, qui, selon elle, sont autant de chantiers à mener de front dès aujourd’hui.Les 5 grandes priorités pour le climat selon Équilibre des ÉnergiesEn préambule, s’il est primordial de se fixer des objectifs, Équilibre des Énergies souligne la nécessité de faire preuve d’efficacité et non de volontarisme de papier. Selon l’association, il faut accélérer la sortie des énergies fossiles mais ne pas, à nouveau, resserrer les objectifs déjà irréalistes de réduction des consommations d’énergie fossile qui faussent complétement la lecture des efforts faits par la société française. Sans pour autant s’abstenir de donner un signal fort sur la nécessité de développer tous les moyens pour faire face au défi climatique, il est souhaitable de s’en tenir à des calendriers et à des mesures crédibles. Il est plus contraignant mais plus efficace de se donner des objectifs atteignables que des cibles irréalistes.Les pompes à chaleur (PAC) : Pour le lancement d’un grand plan PAC !Les PAC sont encore trop peu répandues puisque qu’en 2020, seules 7% des résidences principales étaient chauffées en France grâce à des PAC. Or, cet équipement est le premier à pouvoir immédiatement réduire les consommations d’énergie fossile en s’appuyant sur un tissu industriel national. Équilibre des Énergies préconise le lancement d’un grand plan PAC, allant au-delà des objectifs avancés par la Commission européenne et visant à un triplement de son rythme de déploiement. Mais il y a encore des freins économiques et réglementaires à lever et, sur le plan économique, il faut améliorer le dispositif d’aide en élargissant les bénéficiaires et en indexant la prime consentie par MaPrimRénov’ sur le résultat en termes de performance énergétique mesurée par le DPE. Un obstacle réglementaire majeur subsiste avec ce classement qui, établi en énergie primaire, pénalise l’électricité et ne traduit pas l’effet réel des efforts consentis. Il faut que ces critères tiennent compte de l’énergie consommée, seule traduction tangible des changements énergétiques réalisés.La mobilité électrique : le développement des bornes et des infrastructures de recharge et l’élargissement aux poids lourds La migration vers l’électrique ne doit pas être ralentie. Beaucoup d’actions ont été engagées mais d’autres restent à parachever :finaliser le dispositif permettant, enfin, d’équiper les copropriétés en bornes de recharge ;lancer un grand programme d’équipement des voies rapides en infrastructures de recharge au-delà de 2023 et allant jusqu’à 2030 ;soutenir le développement de bornes de recharge pilotables afin de disposer, le moment venu, du moyen de flexibilité dont on aura besoin ;élargir la transition vers l’électrique aux poids lourds, notamment en accélérant l’étude des solutions de recharge en continu (les ERS : Elecric Road Systems).La décarbonation de l’aérien : les SAF, la mise en place d’un nouvel écosystème industrielLes études d’Équilibre des Énergies, comme celle de la profession, le montrent : la décarbonation du secteur aérien est possible mais difficile. Elle implique des efforts à mener dans les trois décennies qui viennent pour parvenir en 2050 à la neutralité climatique du secteur. Ces efforts se répartissent en plusieurs directions, en continuant à augmenter l’efficacité des aéronefs. Mais le défi majeur est incontestablement celui de passer du kérosène fossile à des carburants durables pour l’aviation. Ces carburants, qu’on appelle SAF, sont fabriqués en combinant de l’hydrogène au carbone, l’un et l’autre étant issus de filières neutres en carbone : électricité bas-carbone et carbone issu de la biomasse voire de la récupération directe du CO2 dans l’air. Il faut pour cela identifier et collecter les ressources primaires décarbonées (les feedstocks), mettre en place les filières industrielles, organiser les circuits de distribution et faciliter l’incorporation des SAF au kérosène classique, dans des proportions de plus en plus importantes, sans porter atteinte à la compétitivité des compagnies aériennes. L’Europe s’y attelle mais la France se doit d’être aux avant-postes. C’est une mutation majeure qui doit être menée comme un grand projet industriel.La production d’électricité décarbonée : autant le nucléaire que les énergies renouvelablesLes difficultés actuellement rencontrées montrent que les efforts dans ces deux domaines doivent s’intensifier. Concernant le nucléaire, la remise en production du parc de centrales est une priorité absolue. L’ASN a donné son accord sur les orientations à suivre. Le problème est à présent un défi industriel et, pour y faire face, il faut donner aux entreprises toutes les libertés d’horaires, de rémunération et d’accompagnement pour faire face le plus rapidement possible aux difficultés rencontrées ou qui pourraient surgir. On le fait à juste titre pour les énergies renouvelables dans le cadre du projet de loi qui arrive au Parlement. On doit le faire également pour le nucléaire, nouveau et existant, dans le respect bien sûr des règles de sécurité.C’est à ce prix que notre production d’électricité décarbonée reprendra toute la place qui doit lui revenir et pourra peser sur les coûts globaux d’alimentation énergétique.Les règles européennes de formation du prix des énergies : une réforme de fond est nécessaireLa très forte hausse des prix du gaz naturel, liée notamment au conflit ukrainien, a eu un effet de ricochet considérable sur le marché européen de l’électricité et sur les prix rendus consommateur. La préservation des tarifs réglementés de l’électricité a permis de faire bénéficier les consommateurs domestiques français d’un bouclier tarifaire efficace, mais au prix de surcharges considérables pesant sur l’opérateur historique et sur les finances publiques.Équilibre des Énergies soutient les mesures d’urgence proposées par la Commission européenne pour stabiliser les prix mais craint qu’elles ne soient insuffisantes. Une réforme de fond reste à construire qui passe vraisemblablement par un encadrement du marché de gros de l’électricité et une régulation des prix pratiqués pour tous ceux qui n’y ont pas accès. L’objectif doit être que les prix reflètent les coûts d’approvisionnement, en assurant de façon stable le financement des investissements plus que jamais nécessaires.
Il y a 2 ans et 234 jours

Gaz vert dans le bâtiment, la filière accélère

La place essentielle du gaz dans le mix énergétique françaisLe maintien du gaz dans le mix énergétique français est indispensable pour assurer la sécurité d’approvisionnement et la continuité d’alimentation des clients Le gaz constitue une source de flexibilité et de stockage inatteignable par des moyens électriques seuls. La flexibilité temporelle des infrastructures permet au vecteur gaz de répondre aux besoins de modulations hebdomadaires, mensuels et saisonniers que ne possèdent pas les autres leviers de flexibilité.Avec l’essor des gaz verts, le gaz va contribuer à l’indépendance énergétique de la France. La filière vise une part de 20% de gaz renouvelables produits localement dès 2030 pour atteindre 100% en 2050. Et des gaz renouvelables, il y en a ! En effet, selon Perspectives Gaz 2022*, les gisements potentiels sont de 420 TWh (dont 135 TWh pour la seule méthanisation), ce qui représente un volume supérieur aux prévisions de consommations de gaz en 2050, tous secteurs confondus. Pour Coénove, les gaz renouvelables, seront donc un vecteur indispensable à la réussite de la transition énergétique, notamment dans le bâtiment où la contribution du gaz à la neutralité carbone est accessible si l’on mène à bien trois chantiers :Une baisse de 60% de la diminution des consommations gaz dans le bâtiment par rapport à 2019100 TWh de consommations de gaz renouvelable affectés au bâtiment (résidentiel et tertiaire)100% de gaz renouvelables d’ici à 2050.Les gaz verts, une solution auxquels croient les Français !Selon une étude BVA réalisée en juin 2022 auprès d’un échantillon national représentatif de Français âgés de 18 ans ou plus (2.011 répondants), la notoriété du gaz vert progresse fortement : 84% des personnes interrogées témoignent en avoir entendu parler. La connaissance du gaz vert reste toutefois très partielle : seuls 24% des sondés savent exactement ce dont il s’agit, 23% ignorent qu’il s’agit d’une énergie renouvelable et seulement 50% ont compris qu’il était compatible avec leur équipement actuel.Ainsi, le gaz vert est devenu la 2ème énergie plébiscitée par les Français tout juste derrière l’électricité verte (26% électricité verte, 25% gaz vert). 76% des Français se disent prêt à se chauffage au gaz vert s’ils en avaient la possibilité.Lancement de la mention Gaz vertC’est pour répondre à ce besoin de concret que la filière entière se mobilise et s’engage en lançant la mention gaz vert, centrée dans un premier temps sur le biométhane, d’ores et déjà en développement rapide.Cette mention va se décliner de deux manières : d’une part, par la création d’une étiquette « compatible gaz vert » fournie par chaque fabricant et qui sera apposée par l’installateur ou le mainteneur à l’occasion de la livraison et de la pose d’un nouvel équipement ou au moment de l’entretien. Cette étiquette permettra de rappeler à l’utilisateur que son appareil est bien compatible avec le biométhane.Le QR code associé permettra aux clients de mieux comprendre ce qu’est la méthanisation et découvrir les sites de production de gaz verts proches de chez eux.Deuxième déclinaison : la mention « ACTEUR ENGAGE GAZ VERT » porté par chaque acteur de la filière mobilisé sur le développement des gaz renouvelables afin de mettre en avant cet engagement en fonction de son métier : Installateur Engagé, Promoteur Engagé, Territoire Engagé, …L’association Coénove, propriétaire de la Mention et garante des conditions d’utilisation, assurera son déploiement auprès des différents acteurs concernés.Pour Bernard AULAGNE, Président de Coénove : « Au regard du développement des gaz renouvelables et du potentiel disponible sur notre territoire, le gaz vert a toute sa place dans le bâtiment et dans la stratégie zéro carbone. La « mention gaz vert » est une démarche de l’ensemble d’une filière au profit du déploiement des gaz renouvelables. L’objectif est aussi de permettre aux consommateurs de choisir l’énergie qu’ils souhaitent consommer et de diminuer la dépendance de notre pays à un type unique d’énergie en misant sur plus de pédagogie et de transparence. »*Analyse prospective de l’évolution de la consommation de gaz et de la production de gaz renouvelables et bas-carbone en France en 2030 et 2050 par les gestionnaires de réseaux de gaz (GRTgaz, GRDF, TEREGA et SPEGNN)
Il y a 2 ans et 234 jours

Une directrice technique, recherche et développement nouvellement nommée chez Colas

CARNET/NOMINATION. Le groupe Colas a nommé une nouvelle directrice technique, recherche et développement pour prendre la tête, entre autres, des équipes du Core Center, son laboratoire R&D.
Il y a 2 ans et 235 jours

Les génies de la construction ! : Le concours des territoires intelligents, durables et connectés

Imaginer un futur des territoires intelligents, durables et connectésVéritable démarche interdisciplinaire, le concours Les Génies de la construction ! est une belle opportunité de valoriser auprès des jeunes et de leur faire connaître la diversité des métiers du bâtiment et des travaux publics, qui sont des métiers techniques et innovants, ainsi que leur transversalité et leur capacité à s’adapter pour accompagner les mutations environnementales, technologiques et numériques. Les jeunes compétiteurs sont invités à mener une réflexion collaborative et prospective, liée aux nouveaux défis de la construction et de l’aménagement des territoires, pour imaginer un futur des territoires intelligents, durables et connectés. En collège et en lycée, les élèves sont encadrés par les enseignants, qui inscrivent une ou plusieurs équipes au concours. Dans l’enseignement supérieur, ce sont les étudiants qui s’inscrivent eux-mêmes, soit à titre individuel, soit pour présenter un projet à plusieurs.S’inscrire dans les priorités du ministère de l’Éducation nationale et de la Jeunesse et répondre aux enjeux des professionnels du secteur de la constructionDonner du sens et concrétiser les enseignements, par un travail transversal et collectif d’une équipe d’élèves ou d’étudiants, invitée à produire la réalisation ou la rénovation d’une construction ou d’un aménagement (maquette physique ou virtuelle, production numérique, etc.). Le projet présenté est jugé sur sa faisabilité et sa capacité à se transposer sous une forme concrète et réalisable.Inscrire la transition numérique dans les apprentissages, pour préparer pleinement les élèves à une société, à des études supérieures puis à un monde du travail toujours plus numériques.Contribuer au développement d’une meilleure orientation scolaire et professionnelle des jeunes, afin de mieux accompagner les élèves dans la définition de leur projet d’orientation, qui peut représenter pour eux et leur famille une source d’inquiétude.Favoriser la promotion de la voie de formation professionnelle comme voie de formation d’excellence et de réussite, pour répondre aux nouveaux besoins en compétences des entreprises du secteur de la construction, en lien avec les transitions environnementales, technologiques et numériques, et renforcer l’attractivité de la formation professionnelle pour se former à un métier du bâtiment et des travaux publics. Inscrire l’éducation à l’avant-poste de la transition écologique pour répondre à la volonté du ministère de l’Éducation nationale et de la Jeunesse de faire des établissements scolaires un terrain d’engagement en faveur du développement durable, de la biodiversité et de la lutte contre le changement climatique. Réaliser des productions durables et citoyennes Les jeunes candidats doivent répondre en équipe aux problématiques posées par l’évolution d’un territoire intelligent, durable et connecté, sur l’une des thématiques suivantes :le logement ;la mobilité et les déplacements dans les territoires (pont, route, voie ferrée, etc.) ;les activités humaines (culture, industrie, éducation, santé, commerce, agriculture, loisirs) ;la préservation de l’environnement, y compris la gestion de l’eau et des déchets ;les énergies locales et renouvelables.Concevoir un éco-quartier, faciliter la vie quotidienne des personnes à mobilité réduite, produire de l’énergie avec une route, exploiter la géothermie, identifier les innovations dans les matériaux, robotiser une tâche sur un chantier, optimiser l’apport solaire sur un bâtiment, assurer la bonne gestion de l’eau potable, gérer les risques d’inondations, construire des logements modulables et réversibles, favoriser la biodiversité en ville, la mobilité douce, la gestion intelligente de l’espace, stocker et restituer des énergies renouvelables... sont autant de sujets sur lesquels les élèves et étudiants peuvent débattre et travailler.Les équipes se répartissent en quatre catégories :« Collège » pour les élèves du cycle 4 ;« Pro » pour les élèves de SEGPA, d’EREA et de 3e prépa métiers ;« Lycée » pour les élèves du cycle terminal ;« Sup » pour les élèves et étudiants de l’enseignement supérieur (STS, IUT, université, école d’ingénieurs, etc.).Afin de répondre et de s’adapter aux attentes des programmes d’enseignement et aux besoins des professionnels du secteur de la construction, les règlements de participation au concours ont été élaborés par des enseignants et des acteurs du secteur de la construction.Favoriser la créativité d’équipe, la mixité et l’interdisciplinarité Le concours Les Génies de la construction ! récompense le travail collectif et collaboratif d’une équipe d’élèves ou d’étudiants pour une production relative à la réalisation d’une construction ou d’un aménagement (maquette physique ou virtuelle, production numérique, concrétisation d’un projet…).La participation au concours est l’occasion de favoriser le décloisonnement de manière générale, au travers :de la mixité transversale, en faisant travailler ensemble des élèves de formations différentes ;de l’interdisciplinarité, en mobilisant des savoirs et savoir-faire de plusieurs disciplines (technologiques et générales) ; de la mixité verticale, en faisant participer des équipes intégrant des niveaux scolaires ou universitaires différents pour mener à bien un projet.Juger un projet sur sa faisabilité Le projet de construction présenté par les jeunes candidats est jugé sur sa faisabilité. Le projet peut être représenté par une maquette virtuelle ou autre production numérique et/ou matérialisée par une maquette physique.Les participants de la catégorie « Sup » devront réaliser une maquette virtuelle, afin que les solutions présentées prennent en compte la démarche BIM (Building information modeling), accompagnée d’une maquette physique de tout ou partie du projet présenté.Des open badges pour reconnaître les réalisations et les compétences des jeunesPour la quatrième année consécutive du concours Les Génies de la construction !, des open badges seront attribués aux lauréats et participants. Ces images numériques, qui fournissent un système d’accréditation, permettent de reconnaître des réalisations et des compétences, formelles ou informelles, acquises à l’occasion d’un projet. Ces open badges, qui promouvront et reconnaîtront l’engagement des jeunes dans les projets qu’ils ont conduits, leur permettront aussi de rejoindre la grande famille de la construction !Les Génies de la construction !, un concours organisé en deux étapesUne sélection académique (si le nombre d’équipes candidates le justifie) ou inter-académique sera organisée en distanciel, avec une présentation orale devant un jury composé de représentants du ministère de l’Éducation nationale, de la Jeunesse et des Sports, de professeurs et d’acteurs de la construction.Une finale nationale organisée le 7 juin 2023 à Paris, pour permettre aux équipes d’élèves ou d’étudiants sélectionnées de présenter leurs travaux lors d’un « grand oral » devant un jury national. La date de clôture des inscriptions est fixée au 20 janvier 2023.
Il y a 2 ans et 235 jours

Équipbaie-Métalexpo rejoint Batimat en 2024

Aujourd’hui, le salon ouvre une nouvelle page de son histoire et rejoint BATIMAT en 2024 afin de créer l’événement le plus important du secteur de la menuiserie et de la métallerie et de réunir les forces de chacun.Cette nouvelle dynamique, portée par RX et l’ensemble des organisations professionnelles partenaires du salon EQUIPBAIE-METALEXPO, sera effective en 2024.Une filière au cœur des enjeux du secteur de la constructionCette nouvelle dynamique permet à ÉQUIPBAIE-MÉTALEXPO d’être au cœur des nouveaux enjeux du secteur du bâtiment et de la construction (rénovation et sobriété énergétique, décarbonation des procédés et des modes constructifs…) et des évolutions des métiers comme des méthodes de travail.Son intégration au sein de BATIMAT lui donnera également la possibilité de toucher une cible de professionnels beaucoup plus large incluant les prescripteurs (ingénieurs, architectes, décorateurs…) tout en capitalisant sur son cœur de cible, les fabricants et les menuisiers installateurs spécialisés, les métalliers, venant en nombre à BATIMAT. En effet, BATIMAT attire déjà 1/3 des entreprises spécialisées en France ainsi que plus de 30.000 installateurs généralistes et artisans indépendants.ÉQUIPBAIE-MÉTALEXPO profitera aussi de la forte synergie existante entre les différents salons du Mondial du Bâtiment (BATIMAT, INTERCLIMA ET IDEOBAIN), véritable plateforme globale regroupant des univers spécialisés. Il renforcera, du fait de sa présence et sa notoriété, la puissance du Mondial du Bâtiment.Un salon dans le salonÉQUIPBAIE-MÉTALEXPO disposera, au sein de BATIMAT en 2024 d’un hall dédié et de sa propre identité visuelle. Un programme spécifique sera développé afin de répondre aux attentes des professionnels spécialisés de la filière, exposants et visiteurs. Il comprendra des parcours de visite, des ateliers, des animations, des conférences… reflétant la richesse de ce secteur et l’offre particulièrement attractive des exposants.Comme lors des éditions précédentes d’ÉQUIPBAIE-MÉTALEXPO, ce programme sera co-construit par RX et l’ensemble des organisations professionnelles partenaires du salon.Pour Guillaume Loizeaud, Directeur Division Construction RX France : « C’est à nouveau grâce à la relation et au travail collaboratif avec les organisations du pôle fenêtres FFB, que nous allons ouvrir un nouveau chapitre au développement d’EQUIPBAIE-METALEXPO ; cette nouvelle stratégie, positionne le salon dans un nouvel ensemble plus large et nous permettra d’occuper une position unique en France comme en Europe. »Pour Christophe Bieber, Président Union des Métiers du Bois : « ÉQUIPBAIE-MÉTALEXPO est l’opportunité de mettre en avant la fenêtre bois & mixte bois alu. C’est une solution privilégiée pour réduire l’impact carbone des constructions tout en apportant des performances AEVM, thermiques et acoustiques sans compromis en sur-mesure, neuf comme en rénovation. C’est une opportunité unique pour tous les acteurs du bâtiment. »Pour Bruno CADUDAL, Président UFME : « Le mariage d’ÉQUIPBAIE avec BATIMAT était une demande des organisations professionnelles partenaires du salon. La fenêtre est un composant indissociable du Bâtiment. Il est donc évident et logique qu’ÉQUIPBAIE rejoigne le Mondial du Bâtiment au travers de BATIMAT. La complémentarité de ces salons ne pourra que répondre aux attentes des visiteurs et des exposants. »Pour Bruno Léger, Président SNFA : « Une fois de plus, les organisations professionnelles du Pôle Fenêtre FFB ont œuvré ensemble, main dans la main, pour réfléchir à l’évolution d’ÉQUIPBAIE-MÉTALEXPO et trouver la meilleure solution garantissant l’avenir de ce salon spécialisé, tant prisé des pros. Nul doute que de rejoindre BATIMAT va créer une nouvelle dynamique et favoriser le développement du nombre d’exposants et de visiteurs pour ÉQUIPBAIE-MÉTALEXPO. »Pour Yannick Michon, Président Groupement Actibaie : « Pour sa prochaine édition, le salon ÉQUIPBAIE-MÉTALEXPO va joindre ses forces avec BATIMAT pour créer le véritable mondial du bâtiment où les métiers de la menuiserie et de la fermeture auront une place d’honneur. Cette nouvelle formule sera l’opportunité de réunir tous les acteurs du secteur : de l’architecte, jusqu’à l’installateur du produit, en passant par les fabricants. Nous avons hâte de vous y retrouver tous en 2024. »Pour Franck Perraud, Président Union des Métalliers : « Nous sommes très heureux que MÉTALEXPO rejoigne BATIMAT en 2024. Ceci illustre bien l’ampleur qu’à pris notre salon et sa nouvelle dimension. Nous sommes certains que ce nouveau format va permettre à la métallerie de participer pleinement à une nouvelle dynamique au sein de la filière du bâtiment. Ce sera également l’opportunité de rencontrer un public de professionnels plus large et de faire découvrir la richesse et la diversité de la métallerie aux prescripteurs et architectes. »
Il y a 2 ans et 235 jours

Plomberie et robinetterie : un pas de plus vers l'éco-conception et la préservation de l'eau

Conséquences directes du réchauffement climatique, les récentes vagues de chaleur extrême et la sécheresse intense ont entraîné des restrictions d'eau sur tout le territoire. La préservation de cette ressource vitale est devenue un enjeu majeur que les professionnels de la plomberie et de la robinetterie sanitaire doivent désormais prendre en compte pour la conception et le choix de leurs produits, au même titre que l'impact des produits sur le bilan carbone des projets de construction. Pour atténuer les effets du changement climatique, et ainsi limiter l'épuisement des ressources naturelles, il est nécessaire de réduire les émissions de gaz à effet de serre. En réponse à la RE2020, le CSTB met en place un configurateur FDES1 pour la robinetterie sanitaire qui pourrait aussi s'appliquer, à terme, aux canalisations. Prestation unique dans ce secteur, cet outil doit permettre aux industriels de réaliser plus facilement leurs FDES et, par extension, aider les professionnels dans leurs choix de produits pour rendre un bâtiment plus durable. Déjà appliquée aux logements collectifs, aux maisons individuelles et à une partie des bâtiments tertiaires, la RE2020 sera en outre étendue aux établissements hôteliers neufs à partir du 1er janvier 2023. Les professionnels de la robinetterie sanitaire, pour lesquels l'hôtellerie représente un marché conséquent, se préparent ainsi aux échéances 2025, 2028 et 2031 de la réglementation environnementale, qui impose progressivement aux bâtiments des seuils carbone de plus en plus exigeants. Renforcer la durabilité des réseaux Cette démarche d'éco-conception dans le domaine de la plomberie se caractérise également par une volonté d'allonger la durée de vie des réseaux de distribution et d'évacuation d'eau. Levier permettant de réduire significativement les impacts sur l'environnement et la production de déchets, l'amélioration des performances en termes de durabilité s'inscrit dans une logique d'économie des matières premières. En ce sens, le CSTB a mis en place une nouvelle méthode d'évaluation pour garantir la durée de vie à 50 ans des tubes multicouches et optimiser la conception des produits. D'autres travaux sont en cours pour certifier les équipements incorporant des matériaux recyclés. Ils ont pour objectif de s'assurer de leur durabilité et d'accompagner le développement de l'économie circulaire dans cette famille de produits tout en garantissant une durée de vie minimale de 50 ans, voire au-delà des 50 ans usuels. Gestion durable de l'eau L'adaptation au changement climatique nécessite également de repenser la conception et l'exploitation des bâtiments de demain en faveur d'une réduction de l'empreinte eau. Le CSTB anime un groupe de travail sur la gestion durable de l'eau, conduisant une réflexion sur de nouveaux indicateurs afin de mieux caractériser l'empreinte eau des bâtiments. Il s'agit d'aboutir à un classement en fonction de leur consommation, en tenant compte des nouveaux usages d'aujourd'hui et de demain, et des alternatives possibles à la consommation d'eau potable. Choix des produits et aptitude à l'usage Dans la robinetterie sanitaire, les économies d'eau sont quant à elles favorisées par le classement ECAU qui prend en compte la valeur de débit du robinet, le confort ergonomique et l'impact de la réduction du volume d'eau chaude sur la consommation d'énergie. Développé par le CSTB, cet affichage intuitif facilite également le choix des équipements intégrés aux lavabos, éviers, douches et baignoires adaptés à l'usage. Complémentaire au classement ECAU, un classement « M » certifie, de surcroît, une utilisation des produits de robinetterie en milieu médical. Le CSTB a également développé des pictogrammes à usage exclusif des produits certifiés QB08 « Canalisations de distribution et d'évacuation des eaux » et QB10 « Flexibles de raccordement », qui facilitent la reconnaissance des caractéristiques certifiés : eau sanitaire, eau non sanitaire, chauffage haute température, chauffage basse température, eau glacée, durabilité 50 ans, résistance à l'oxydation, etc. Des solutions fiables pour un choix aisé des produits et une utilisation adaptée à tous les besoins. Fiche de données environnementales et sanitaires. Solutions & Performances - Numéro 9 : « Plomberie » Le numéro 9 de Solutions & Performances est consacré à la plomberie et à la robinetterie sanitaire, un secteur qui s'ouvre de plus en plus à l'éco-conception. PDF 1.07 Mo Consultez les éditions précédentes Inscrivez-vous !
Il y a 2 ans et 235 jours

Plomberie et robinetterie : un pas de plus vers l'éco-conception et la préservation de l'eau

Conséquences directes du réchauffement climatique, les récentes vagues de chaleur extrême et la sécheresse intense ont entraîné des restrictions d'eau sur tout le territoire. La préservation de cette ressource vitale est devenue un enjeu majeur que les professionnels de la plomberie et de la robinetterie sanitaire doivent désormais prendre en compte pour la conception et le choix de leurs produits, au même titre que l'impact des produits sur le bilan carbone des projets de construction. Pour atténuer les effets du changement climatique, et ainsi limiter l'épuisement des ressources naturelles, il est nécessaire de réduire les émissions de gaz à effet de serre. En réponse à la RE2020, le CSTB met en place un configurateur FDES1 pour la robinetterie sanitaire qui pourrait aussi s'appliquer, à terme, aux canalisations. Prestation unique dans ce secteur, cet outil doit permettre aux industriels de réaliser plus facilement leurs FDES et, par extension, aider les professionnels dans leurs choix de produits pour rendre un bâtiment plus durable. Déjà appliquée aux logements collectifs, aux maisons individuelles et à une partie des bâtiments tertiaires, la RE2020 sera en outre étendue aux établissements hôteliers neufs à partir du 1er janvier 2023. Les professionnels de la robinetterie sanitaire, pour lesquels l'hôtellerie représente un marché conséquent, se préparent ainsi aux échéances 2025, 2028 et 2031 de la réglementation environnementale, qui impose progressivement aux bâtiments des seuils carbone de plus en plus exigeants. Renforcer la durabilité des réseaux Cette démarche d'éco-conception dans le domaine de la plomberie se caractérise également par une volonté d'allonger la durée de vie des réseaux de distribution et d'évacuation d'eau. Levier permettant de réduire significativement les impacts sur l'environnement et la production de déchets, l'amélioration des performances en termes de durabilité s'inscrit dans une logique d'économie des matières premières. En ce sens, le CSTB a mis en place une nouvelle méthode d'évaluation pour garantir la durée de vie à 50 ans des tubes multicouches et optimiser la conception des produits. D'autres travaux sont en cours pour certifier les équipements incorporant des matériaux recyclés. Ils ont pour objectif de s'assurer de leur durabilité et d'accompagner le développement de l'économie circulaire dans cette famille de produits tout en garantissant une durée de vie minimale de 50 ans, voire au-delà des 50 ans usuels. Gestion durable de l'eau L'adaptation au changement climatique nécessite également de repenser la conception et l'exploitation des bâtiments de demain en faveur d'une réduction de l'empreinte eau. Le CSTB anime un groupe de travail sur la gestion durable de l'eau, conduisant une réflexion sur de nouveaux indicateurs afin de mieux caractériser l'empreinte eau des bâtiments. Il s'agit d'aboutir à un classement en fonction de leur consommation, en tenant compte des nouveaux usages d'aujourd'hui et de demain, et des alternatives possibles à la consommation d'eau potable. Choix des produits et aptitude à l'usage Dans la robinetterie sanitaire, les économies d'eau sont quant à elles favorisées par le classement ECAU qui prend en compte la valeur de débit du robinet, le confort ergonomique et l'impact de la réduction du volume d'eau chaude sur la consommation d'énergie. Développé par le CSTB, cet affichage intuitif facilite également le choix des équipements intégrés aux lavabos, éviers, douches et baignoires adaptés à l'usage. Complémentaire au classement ECAU, un classement « M » certifie, de surcroît, une utilisation des produits de robinetterie en milieu médical. Le CSTB a également développé des pictogrammes à usage exclusif des produits certifiés QB08 « Canalisations de distribution et d'évacuation des eaux » et QB10 « Flexibles de raccordement », qui facilitent la reconnaissance des caractéristiques certifiés : eau sanitaire, eau non sanitaire, chauffage haute température, chauffage basse température, eau glacée, durabilité 50 ans, résistance à l'oxydation, etc. Des solutions fiables pour un choix aisé des produits et une utilisation adaptée à tous les besoins. Fiche de données environnementales et sanitaires. Solutions & Performances - Numéro 9 : « Plomberie » Le numéro 9 de Solutions & Performances est consacré à la plomberie et à la robinetterie sanitaire, un secteur qui s'ouvre de plus en plus à l'éco-conception. PDF 1.07 Mo Consultez les éditions précédentes Inscrivez-vous !
Il y a 2 ans et 235 jours

Rockwool récompensé au 50e Congrès de l'UNTEC par une médaille d'argent pour Rockcycle Réno

L'occasion de se voir récompenser aux Trophées UNTEC 2022 par une médaille d'argent pour son service de collecte sur chantier et de recyclage Rockcycle Réno dans la catégorie Projets innovants rénovation.Chaque année, le secteur du bâtiment émet plus de 123 millions de tonnes de C02, ce qui en fait l'un des domaines clé dans la lutte contre le réchauffement climatique et la transition énergétique. Face à ce constat, les acteurs de la construction se mobilisent et cherchent des solutions pour décarboner leur activité et créer de nouveaux modèles économiques durables.En tant qu'acteur de la construction durable et leader mondial de solutions d'isolation en laine de roche, ROCKWOOL présentait les dispositifs d'économie circulaire déjà mis en place par le groupe pour permettre de réduire les émissions carbones liées aux bâtiments. A ce titre, en solution phare, créé il y a 10 ans, Rockcycle un service de collecte sur chantier et de recyclage des chutes de panneaux d'isolation neufs. Une solution durable enrichie avec le développement de Rockcycle Réno, qui concerne maintenant les panneaux usagés sur des chantier de rénovation ou de déconstruction. Le programme a ainsi remporté la médaille d'argent aux Trophées Untec 2022 dans la catégorie Projets innovants rénovation.Un prix accueilli par Gaëtan Fouilloux Responsable Affaires Publiques de ROCKWOOL qui a déclaré : « ROCKWOOL se félicite de ce prix qui récompense les efforts entrepris par le groupe pour atteindre nos objectifs de décarbonation mondiaux ambitieux, à savoir, réduire les émissions de gaz à effet de serre des usines de 38% et les émissions de carbone hors usines de 20 % d'ici 2034. »A ce titre, rien qu'en 2021, l'isolation vendue dans le monde par ROCKWOOL économisera chaque année 20 TWh d'énergie destinée au chauffage.
Il y a 2 ans et 235 jours

Nexity veut développer l'immobilier géré

"Notre ambition, en 2026, c'est d'être un opérateur global d'immobilier", a déclaré devant des investisseurs la directrice générale, Véronique Bédague. "Cela signifie qu'en 2026, Nexity va être capable de répondre à toute demande de l'un de ses clients portant sur l'immobilier."Nexity, qui a recentré son activité sur la France, entend continuer sa transformation d'un simple promoteur à un groupe proposant toute une palette de services immobiliers (syndic, gestion locative, conseil, courtage...) et s'adressant à tous types de clients : particuliers, entreprises, investisseurs et collectivités."On sera en capacité d'accompagner nos clients tout au long de leur vie immobilière, on sera toujours présents auprès d'eux et à la fin, ça signifie que cette présence sur les services nous permettra de nourrir la promotion", a affirmé Mme Bédague.Le groupe veut également développer l'immobilier géré, sur le modèle de ses résidences étudiantes et à travers le coworking (bureaux partagés) et le coliving (colocation avec services)."On va déployer dans les semaines qui viennent une offre (...) à destination des familles, parce que le besoin, il est là", a ajouté la directrice générale.Causes de cette demande, les difficultés grandissantes des particuliers pour accéder à la propriété, mais aussi le développement du télétravail et l'appétence pour les logements plus éloignés des centres-villes.Nexity vise un chiffre d'affaires de 6 milliards d'euros en 2026, contre 4,6 milliards espérés en 2022.Dans le même temps, le groupe veut réduire les émissions de gaz à effet de serre par mètre carré de ses bâtiments livrés, en visant une baisse de 30% en 2026 par rapport à 2019, et de 42% en 2030."L'accélération du déploiement de la ville durable offre à Nexity une opportunité significative de gain de parts de marché dans la promotion immobilière, grâce à son maillage territorial et le développement de nouveaux produits décarbonés plus sobres à l'usage", a détaillé le groupe dans un communiqué.Nexity veut ainsi dépasser 20% de part de marché à horizon 2030 sur l'immobilier résidentiel, contre un objectif de 14% en 2022. Une performance qu'il estime atteignable grâce à sa taille, qui lui permet de mieux appréhender les dossiers complexes et les projets innovants.Les annonces de Nexity n'ont pas convaincu les investisseurs, son titre ayant dévissé en Bourse, perdant plus de 14% mercredi.Le groupe souhaite verser à ses actionnaires un dividende d'au moins 2,50 euros par action chaque année de 2022 à 2026.
Il y a 2 ans et 236 jours

Rencontre avec Dominique Rey, Directeur de Solarlux France

Batinfo : Pouvez-vous revenir sur l'histoire de Solarlux France ?Dominique Rey : SOLARLUX GmbH a été fondée il y a 39 ans en Allemagne. Cette entreprise a eu une stratégie de développement inédite en choisissant de se développer, dès sa création, autour d’un produit atypique : la baie accordéon. Elle en est devenue l’acteur incontournable en Europe. A ce produit iconique, est venu s’ajouter une gamme riche de systèmes en mouvement qui ont fait des termes de transparence, de technicité et d’ouverture, les maîtres mots de la vision de l’entreprise. J’ai créé la filiale française en 2017 afin de distribuer ces solutions innovantes sur le marché français. D’ailleurs, nous allons fêter les 5 ans de SOLARLUX France lors du salon Batimat avec les acteurs majeurs qui nous accompagnent dans notre croissance depuis cette date.Nous connaissons grâce au caractère unique et singulier des produits SOLARLUX, une dynamique constante de notre présence marquée par l’ouverture de notre second showroom sur Paris et le recrutement chaque année de nouveaux collaborateurs afin d’apporter un accompagnement toujours plus efficace à nos partenaires.Cette dynamique se caractérise également par un réseau de distributeurs toujours plus large sur le territoire français. Une des clés de cette réussite est notre positionnement, sur un marché déjà occupé par des acteurs connus, avec des produits innovants et différenciants.Nous sommes le spécialiste des menuiseries de grandes dimensions. La baie accordéon Solarlux en est l’illustration. Notre expertise technique nous permet de proposer une solution avec une ouverture totale vers l’extérieur, une hauteur allant jusqu’à 4.5m sans aucune contrainte de largeur. Une prouesse technique, validée par de nombreux brevets déposés, que nous sommes les seuls à pouvoir proposer avec les profils les plus fins du marché. La baie accordéon est disponible en différents matériaux, en aluminium (Ecoline, Highline et Megaline), en bois (Woodline) et en bois capotage-aluminium (Combiline). Cela est possible car nous maitrisons l’ensemble du process de fabrication grâce à nos ateliers d’aluminium et de bois intégrés. Nous disposons également de notre propre unité de thermolaquage pour l’aluminium avec 30 couleurs RAL standards et une unité de peinture pour le bois afin d’offrir une expérience client personnalisée sur-mesure.A contre-courant de ce qui se fait sur le marché, nous avons opté pour une pergola bioclimatique vitrée parfaitement étanche que nous pouvons doter d’un store pour la protection solaire. Nos utilisateurs peuvent ainsi profiter de la lumière du soleil tout en étant protégés de la pluie. Batinfo : Pourquoi avoir choisi cette différenciation et ce secteur de niche ?Dominique Rey : L’entreprise est née du concept de la baie accordéon, c’est l’ADN de SOLARLUX. L’idée même de différenciation est au cœur de la culture de notre société. Le choix a été fait dès le départ de proposer, sur un marché fortement compétitif, des solutions décalées avec une grande exigence de qualité et d’esthétique. L’axe de développement repose sur la synergie entre la parfaite maitrise technique et une envie de toujours dépasser les limites du conventionnel.Cette stratégie nous place dans un marché de niche en pleine croissance à l’abri de la concurrence que connait le marché de la menuiserie classique. SOLARLUX vient compléter la gamme de produits chez les distributeurs, et leur permet de proposer une offre différenciante atypique et audacieuse.C’est ce qui m’a motivé à développer la baie accordéon en France, où la solution n’est pas très connue du grand public. Il y’a tout à faire et à construire, le challenge est passionnant et les projet que nous réalisons sont tout aussi extraordinaires !SOLARLUX, c’est avant tout du prêt à poser sur mesure, chaque projet est unique. L’envergure de nos réalisations demande de l’exigence et nous accordons une grande importance à l’accompagnement, la formation et au savoir-faire de nos partenaires distributeurs-installateurs.C’est la compilation de ces expertises qui a permis, dernièrement, la réalisation d’une baie accordéon de 14 vantaux sur 3 mètres de hauteur, pour l’école Badinter à Asnière-sur-Seine. Notre offre compte également le coulissant minimaliste CERO, un profilé minimaliste allié à une technologie breveté qui permet de proposer des menuiseries jusqu’à 6 mètres de haut, avec un vantail pouvant atteindre une tonne. Pour ce type de projet, le directeur technique de SOLARLUX travaille en étroite collaboration avec tous les intervenants du projet, de l’architecte, en passant par le maçon et l’installateur. La combinaison de ces critères : innovation, produit atypique, exigence et accompagnement nous permet d’avancer sereinement dans ce marché de niche, avec un réel succès quant à la satisfaction de nos clients et des utilisateurs finaux.Batinfo : Quels sont vos projets à venir ?Dominique Rey : À l’occasion du prochain Salon Batimat, nous allons présenter notre nouvelle gamme de baie accordéon : « Megaline », avec une hauteur jusqu’à 4.5m , lancé au début de l’année 2022. C’est un nouveau produit, aux dimensions XXL tout en maintenant une exigence extrêmement élevée quant aux performances thermiques, qui n’a aucun équivalent sur le marché.SOLARLUX, c’est également des récompenses reçues par les professionnels du secteur qui reconnaissent à la fois nos innovations techniques avec le SL 23, un système de fermeture de balcon testé à 7.000 Pa, et notre travail sur le design avec le SDL Avalis. SDL Avalis pour lequel, nous avons reçu l’ « Award de l’Innovation » cette année. Il s’agit d’une toiture plate en lamellé collé croisé, respectant la RE2020, avec une parfaite intégration de puits de lumière ou encore de nos coulissants minimalistes grandes dimensions.Ces solutions incroyables seront présentées, parmi de nombreux autres systèmes de SOLARLUX, lors du salon Batimat 2022 . Nous allons par ailleurs continuer notre développement avec l’agrandissement de notre showroom d’Aix-en-Provence afin de présenter les nouvelles solutions SOLARLUX et en avant-première les innovations 2023. Et continuer à renforcer nos équipes afin d’accompagner nos partenaires dans leur développement à travers une présence encore plus complète et de nombreuses formations sur nos produits et les outils que nous mettons à disposition de nos clients dont l’application de réalité augmentée.
Il y a 2 ans et 236 jours

Le monde HLM appelle à "assumer la sobriété" énergétique

"La température de chauffage, les consignes sur les ascenseurs et les parties communes, l'éclairage: oui, je vous invite à respecter les consignes sur les températures. Personne ne peut se permettre de +cramer+ autant d'énergie cet hiver", a-t-elle déclaré à Lyon, en ouverture du 82e congrès HLM.L'USH a noué un partenariat avec la plate-forme Ecowatt mise en place par RTE, le gestionnaire du réseau de transport d'électricité, pour que les bailleurs puissent être avertis en temps réel des tensions sur le réseau, et participent à la régulation des pics de consommation.Concernant l'envolée des prix de l'énergie, Emmanuelle Cosse a souligné que les charges des locataires avaient augmenté malgré le bouclier tarifaire qui plafonne les coûts pour les particuliers.Sur le projet de budget de l'Etat 2023 présenté lundi, elle a jugé qu'il n'avait "pas aggravé la situation. Ca nous change ! Disons que c'est un budget de transition", a-t-elle observé, tout en regrettant l'amputation "depuis 2018 de plusieurs milliards d'euros" des finances des bailleurs sociaux.Face à l'ampleur de la demande de logements sociaux - 2,3 millions de ménages en attente fin 2021 -, la présidente de l'USH a également salué "tous les maires bâtisseurs" en refusant d'opposer écologie et construction. "Nous savons la difficulté de convaincre ses administrés de produire du logement pour tous. Mais nous savons aussi par expérience que les territoires qui démissionnent de leurs missions d'aménageur finissent par souffrir de l'entre-soi et de l'immobilisme", a-t-elle affirmé."Certes, l'acte de construire a un impact sur notre environnement", mais "plutôt que de s'attaquer aux constructions de logements, qu'on aille interroger le développement délirant et incontrôlé des grandes zones commerciales", a martelé Mme Cosse.L'ancienne ministre du Logement a par ailleurs souligné l'émergence de mouvements citoyens sur la frange ouest, comme au Pays basque ou en Bretagne, qui dénoncent la flambée des prix."Je tire une sonnette d'alarme : les chiffres de la demande en logement social explosent dans des départements restés jusque-là en dessous des radars alors même que nous savons d'ores et déjà que les agréments (les autorisations de nouveaux logements, NDLR) 2022 ne seront pas bons", a-t-elle souligné.
Il y a 2 ans et 236 jours

Le monde HLM appelle à "assumer la sobriété" énergétique

"La température de chauffage, les consignes sur les ascenseurs et les parties communes, l'éclairage: oui, je vous invite à respecter les consignes sur les températures. Personne ne peut se permettre de +cramer+ autant d'énergie cet hiver", a-t-elle déclaré à Lyon, en ouverture du 82e congrès HLM.L'USH a noué un partenariat avec la plate-forme Ecowatt mise en place par RTE, le gestionnaire du réseau de transport d'électricité, pour que les bailleurs puissent être avertis en temps réel des tensions sur le réseau, et participent à la régulation des pics de consommation.Concernant l'envolée des prix de l'énergie, Emmanuelle Cosse a souligné que les charges des locataires avaient augmenté malgré le bouclier tarifaire qui plafonne les coûts pour les particuliers.Sur le projet de budget de l'Etat 2023 présenté lundi, elle a jugé qu'il n'avait "pas aggravé la situation. Ca nous change ! Disons que c'est un budget de transition", a-t-elle observé, tout en regrettant l'amputation "depuis 2018 de plusieurs milliards d'euros" des finances des bailleurs sociaux.Face à l'ampleur de la demande de logements sociaux - 2,3 millions de ménages en attente fin 2021 -, la présidente de l'USH a également salué "tous les maires bâtisseurs" en refusant d'opposer écologie et construction. "Nous savons la difficulté de convaincre ses administrés de produire du logement pour tous. Mais nous savons aussi par expérience que les territoires qui démissionnent de leurs missions d'aménageur finissent par souffrir de l'entre-soi et de l'immobilisme", a-t-elle affirmé."Certes, l'acte de construire a un impact sur notre environnement", mais "plutôt que de s'attaquer aux constructions de logements, qu'on aille interroger le développement délirant et incontrôlé des grandes zones commerciales", a martelé Mme Cosse.L'ancienne ministre du Logement a par ailleurs souligné l'émergence de mouvements citoyens sur la frange ouest, comme au Pays basque ou en Bretagne, qui dénoncent la flambée des prix."Je tire une sonnette d'alarme : les chiffres de la demande en logement social explosent dans des départements restés jusque-là en dessous des radars alors même que nous savons d'ores et déjà que les agréments (les autorisations de nouveaux logements, NDLR) 2022 ne seront pas bons", a-t-elle souligné.
Il y a 2 ans et 236 jours

Ecophon, Développement et Solutions, Point.P Ile-de-France: du mouvement chez Saint-Gobain

Le groupe Saint-Gobain annonce deux nominations à des postes exécutifs. Par ailleurs, le successeur de Camille Harrissart à la tête de...-Négoce
Il y a 2 ans et 236 jours

Ecophon, Développement et Solutions, Point.P Ile-de-France: du mouvement chez Saint-Gobain

Le groupe Saint-Gobain annonce deux nominations à des postes exécutifs. Par ailleurs, le successeur de Camille Harrissart à la tête de...-Négoce
Il y a 2 ans et 237 jours

La lente marche des îles bretonnes vers le 100% renouvelable

"Tout le monde est pour la transition énergétique mais dès qu'il y a une action concrète à mettre en place, c'est jamais le bon endroit ni le bon moment", s'agace Denis Palluel, maire de l'île d'Ouessant (833 habitants), au large du Finistère.Comme ses collègues de Molène et de Sein, M. Palluel a engagé dès 2012 sa commune dans un objectif ambitieux: atteindre 100% d'énergies renouvelables en 2030.Car ces trois îles de la mer d'Iroise partagent la même particularité : elles ne sont pas connectées au réseau électrique national et doivent donc produire leur propre électricité, avec des groupes électrogènes alimentés au fioul. Le tout à un coût financier et environnemental prohibitif.Dix ans après le lancement de la démarche, force est de constater que le chemin vers l'autonomie énergétique est encore long. En 2022, Ouessant n'était ainsi qu'à 4% d'énergie "verte", contre 12% à Sein et seulement 1% à Molène. Les îliens n'ont pourtant pas ménagé leurs efforts, notamment en termes d'économies d'énergie: distribution d'ampoules basse consommation à la population, rénovation de l'habitat, éclairage public à LED, etc..."A Sein, on a toujours été habitué à faire attention avec l'eau et l'électricité et on continue", sourit Marie-Thérèse Spinec, une ilienne de 81 ans qui assure ne pas supporter une maison "chauffée à 24°C".Pourtant, une partie des économies réalisées ont été grignotées par le fameux "effet rebond". "Certains habitants qui ne se chauffaient pas ont découvert le confort après la rénovation de leur habitation" et n'ont donc pas diminué leur consommation, explique Émilie Gauter, chargée de mission énergie et développement durable à l'Association des îles du Ponant (AIP).Pour compléter leurs efforts de sobriété, les trois îles ont également installé une série de panneaux solaires sur les toitures des bâtiments publics. Par beau temps, quand les cellules photovoltaïques produisent à plein régime, l'île de Sein (260 habitants) peut ainsi arrêter ses groupes électrogènes pendant plusieurs heures. Des batteries, elles-mêmes rechargées à l'énergie solaire, font l'appoint en électricité.Selon l'AIP, des installations permettent d'éviter la combustion de 177 m3 de fioul par an sur les trois îles et d'y réduire nettement les émissions de CO2.Le "combat" de l'éolienneLa construction d'une éolienne à Sein, prévue pour entrer en service en 2024, devrait encore améliorer le bilan carbone de l'île. "Ça a été un sacré combat", souligne l'ancien maire Dominique Salvert. "On avait le veto de l'architecte des Bâtiments de France qui ne voulait pas entendre parler d'une éolienne. Ça aurait dû être fait depuis cinq ans", déplore l'ancien élu.A Ouessant, le projet d'éolienne est d'ailleurs au point mort. "C'est une aberration de ne pas en avoir, vu le vent qu'il y a sur les îles", se désole le maire Denis Palluel qui a dû faire face à l'opposition d'une partie de ses administrés ainsi qu'aux services de l'État sur cette île ultra-protégée."On se heurte au millefeuille administratif", abonde Didier Delhalle, maire de Molène (160 habitants). Faute de place pour installer une éolienne, M. Delhalle préfère d'ailleurs miser sur une ferme photovoltaïque qui devrait permettre à l'île d'atteindre 67% d'énergie renouvelable à terme. "Ça sera déjà bien", estime-t-il.Et à Ouessant, l'hydrolienne immergée par 55 mètres de fond pourrait fournir jusqu'à 20% des besoins de l'île, si les tests commencés en 2015 s'avéraient enfin concluants.Malgré ces progrès, l'objectif du 100% renouvelable semble désormais difficile à atteindre. "Peu importe si c'est en 2031 ou en 2035. C'est comme pour tous les grands projets, on ne tient jamais les délais", balaie M. Palluel. "Il faut avoir la modestie de reconnaître qu'on ne maîtrise pas tout."
Il y a 2 ans et 237 jours

Mewa, coup de jeune sur une marque centenaire

Le groupe Mewa, troisième prestataire de services textiles en Europe, s’est fortement développé ces dernières années. Précurseur en matière d’économie circulaire et de réutilisation des textiles d’entreprise qui se traduit par la notion de « Textilsharing », Mewa choisit la voie de la visibilité pour une meilleure reconnaissance de sa marque. La nouvelle identité visuelle a été développée en collaboration avec l’agence munichoise Martin et Karczinski. Elle s’est construite autour de la notion d’entreprise familiale, basée sur ses valeurs et sa tradition d’innovation. Tous les éléments visibles de la marque, comme le logo, la police d’écriture, les couleurs et les visuels, ont été entièrement revus et alignés sur l’identité composée de valeurs, d’une vision et d’une mission.Pour Michael Kümpfel, directeur du marketing et des ventes chez Mewa : « Le monde dans lequel nous travaillons a profondément changé, et nous avec lui ! Pour développer la notoriété de notre marque, il était temps de faire également évoluer notre image pour assurer l’avenir de notre entreprise. Le groupe revendique une histoire familiale séculaire. La stratégie de marque implique également de dépasser la position de « champion caché » et de donner à la marque Mewa une visibilité assumée auprès du public. Nous sommes bien entendu fiers de nos racines. Mais ce succès rencontré au cours des cent dernières années s’explique aussi par notre permanente remise en question. Qu’y-a-t-il de nouveau ? Où se trouvent les potentiels ? De quoi les marchés et les clients ont-ils besoin ? À quoi ressembleront les environnements de travail de demain ? C’est ce que nous voulons aussi raconter dans l’histoire de notre marque. »« La forme exprime l’essence même d’une marque. Ici, nous sommes parvenus à relier l’histoire de Mewa à l’avenir et à rendre son identité visible dans le design », note Peter Martin, fondateur et PDG de Martin et Karczinsky à propos de la nouvelle identité visuelle de Mewa.Des lignes claires pour une marque verbale et visuelleL’agence Martin et Karczinski a reçu un cahier des charges très concret de la part de la direction de l’entreprise. L’objectif de la nouvelle version était de concevoir une marque qui conserve l’essentiel, évoque la croissance et exprime en même temps l’aspect environnemental de l’offre de services de Mewa. « Nous ne voulions pas réinterpréter la marque Mewa de façon radicale, mais la faire évoluer afin que sa tradition et l’histoire de sa réussite restent perceptibles. Il était également important pour nous d’exprimer dans le design l’orientation claire vers l’avenir et l’exigence de durabilité de Mewa », explique Simon Maier-Rahmer, directeur de création de Martin et Karczinski, qui a développé la nouvelle image avec son équipe.La fleur, pictogramme de la marque, représente les valeurs de pureté et d’hygiène, évoque l’environnement et la durabilité et symbolise le développement, la croissance, l’évolution et l’innovation. Afin de développer ce potentiel, le logo a été retravaillé et réduit à l’essentiel sur le plan formel. La nouvelle fleur, à l’aspect noble et puissant, devient le symbole d’une croissance consciente. Le nouveau choix de caractères de Mewa rappelle des fils croisés. Les lettres « M » et « W » suivent dans leur orientation des fils de tissage imaginaires. Cet élément crée ainsi un lien avec les textiles qui ont contribué au développement de l’entreprise et la caractérisent encore aujourd’hui.Mewa a également renoncé à l’écriture en majuscules et opté pour une typographie mixte. « Les lettres majuscules représentaient l’abréviation du nom que notre fondateur, Hermann Gebauer, avait donné à l’entreprise en 1908 : MEchanische Weberei Altstadt », explique Michael Kümpfel. « Aujourd’hui, avec nos quarante-cinq sites en Europe, nous pouvons fièrement afficher Mewa comme une marque et non plus seulement comme une abréviation». La nouvelle police de caractères maison sans empattement a été développée en exclusivité pour Mewa, en collaboration avec TypeMates. Là encore, l’entreprise est restée fidèle à elle-même en combinant innovation et tradition. La police de caractères se révèle moderne, claire et précise, tandis que son nom la relie à ses racines. Cette nouvelle police de caractères se nomme comme la famille fondatrice, « Gebauer ».
Il y a 2 ans et 237 jours

Chryso : Au cœur de la stratégie de Saint-Gobain

Article paru dans le n°102 de Béton[s] le Magazine. Thierry Bernard est le président de Chryso depuis plus de 10 ans aujourd’hui. [©ACPresse] A l’échelle de la planète, le marché de la chimie de la construction pèse près de 90 Md€. Il y a donc encore beaucoup de place pour les concentrations industrielles. Avec Weber à son capital, après le rachat de Chryso en 2021 et l’intégration effective de GCP Applied Technologies durant le second semestre 2022, Saint-Gobain entend y jouer un rôle de premier plan. « Cette activité particulière devrait représenter un chiffre d’affaires de l’ordre de 4 Md€ », souligne David Molho, directeur général des solutions de haute performance de Saint-Gobain. Certes, derrière le mastodonte Sika et ses 8 à 9 Md€ annoncés, mais en très bonne position. D’autant plus, comme le souligne Thierry Bernard, président de Chryso, que « la construction en tant que telle est avant tout un marché local, qui bénéficie et bénéficiera de réponses locales ». Ainsi, à travers Chryso, Saint-Gobain vient de renforcer ses positions en Europe, en Afrique et au Moyen-Orient. GCP Applied Technologies, lui, apporte les Amériques et la zone Asie-Pacifique. Ce qui est d’une importance stratégique, quand l’activité du groupe est organisée à 80 % par pays… Consolidée par la présence de 263 sites de production locale… Réduire l’empreinte carbone du béton L’important essor de Saint-Gobain dans le domaine de la chimie de construction s’explique aussi par sa volonté d’apporter des solutions concrètes pour lutter contre le changement climatique. « Notre industrie est en train de muter, à cause ou grâce au développement durable », reprend Thierry Bernard. A ce niveau, la France vient de franchir un seuil particulier avec l’entrée en application de la RE 2020. « Cette règlementation va avoir un effet d’entraînement sur le secteur de la construction et va stimuler les efforts de R&D. » A lui seul, Chryso y consacre près de 3 % de son chiffre d’affaires, qui se monte à quelque 400 M€. L’industriel des adjuvants indique ainsi réaliser 35 % de son activité sur des produits ayant moins de 5 années d’existence. Telle la ligne EnviroMix, qui permet de réduire jusqu’à 70 % l’empreinte carbone d’un béton. Chryso, c’est aussi 5 centres de R&D, 26 laboratoires appliqués, 200 chercheurs, ingénieurs et techniciens, 340 brevets actifs et 1 500 collaborateurs en tout. « Malgré cela, Chryso était devenu trop petit face aux enjeux actuels et futurs », souligne Thierry Bernard. Des stratégies croisées avec Weber Son intégration au sein de Saint-Gobain s’inscrit donc dans une stratégie de développement tout à fait logique. Et qui sera renforcée par GCP Applied Technologies dans les mois qui viennent, ainsi que par des investissements. A l’image de la mise en service d’une nouvelle usine de production d’adjuvants, sur le site Isover d’Hyderabad, dans le Sud de l’Inde. Ou encore avec l’installation de nouvelles capacités sur le site Weber en Côte d’Ivoire. A l’échelle de la France, Chryso entend mettre en place des stratégies croisées avec Weber. Déjà en proposant la vente d’adjuvants via la distribution. Ensuite, en se déployant sur les marchés du gros œuvre bâtiment et des infrastructures. L’industriel veut aussi promouvoir ses bétons décoratifs avec Weber. Ou encore ses technologies de chapes fluides. Toutefois, il n’y a aucune volonté de fusionner les activités “chapes” des deux entités, car « les typologies de clients ne sont pas les mêmes », confirme Thierry Bernard. Et de poursuivre : « Chryso travaille en direct avec le BPE, tandis que Weber vend ses chapes en sacs aux applicateurs finaux ». Bien entendu, ces approches commerciales différentes n’interdisent pas la mise en place de synergies, en termes de développements de produits… Frédéric Gluzicki Article paru dans le n°102 de Béton[s] le Magazine.
Il y a 2 ans et 237 jours

Val-d’Oise : Lafarge et la SRNB lancent le premier chantier bas carbone d’Ile-de-France

Article paru dans Béton[s] le Magazine n° 102. Lafarge et la SNRB s’engagent dans le développement de béton EcoPact. [©Lafarge] Lafarge et la Société nouvelle régionale du bâtiment (SNRB) signent le premier partenariat d’Ile-de-France pour le développement de bétons bas carbone EcoPact. Cette gamme maximise l’intégration de calcaire, de matériaux hydrauliques ou pouzzolaniques. Et propose un niveau de réduction de CO2allant de 30 % à un taux d’impact neutre en carbone. Retrouvez l’actualité des entreprises en région Ile-de-France A l’occasion de ce partenariat, le premier chantier 100 % bétons bas carbone a démarré en Ile-de-France, à Herblay-sur-Seine. A savoir, la construction de la médiathèque de la ville dans le cadre de laquelle 1 200 m3 de béton EcoPact ont été coulés. Les équipes de la SNRB ont pu compter sur l’accompagnement technique de l’agence Lafarge Bétons Vallée de Seine. Et ont procédé à des tests avec différentes formules pour arriver à un résultat optimal. « Lorsqu’on nous a parlé d’un partenariat bas carbone, cela nous a intéressés. Parce que nous nous demandions comment nous positionner par rapport à cette problématique, explique Mahmut Cakir, Dg de la SNRB. Nous étions conscients qu’il ne fallait pas louper le virage bas carbone. Ce partenariat arrive donc au bon moment et se concrétise par un premier chantier. » Au final, environ 130 t de CO2 seront économisées pour le projet.  Par ailleurs, la médiathèque est composée de voiles coulés en béton auto-plaçant bas carbone. Cela permet une qualité de parement soignée. Ce nouveau partenariat vient confirmer l’intérêt que représente EcoPact. Pour preuve, depuis le lancement de cette stratégie en 2020, plus de 20 entreprises se sont lancées dans la réalisation de chantier bas carbone à travers toute la France. Article paru dans Béton[s] le Magazine n° 102.
Il y a 2 ans et 237 jours

Projet de loi énergies renouvelables : le Collectif pour l’énergie citoyenne publie son Livre blanc à l’occasion du Conseil des ministres

Le Collectif pour l’énergie citoyenne, qui regroupe 13 structures engagées pour la transition énergétique et écologique[1], présente son Livre blanc pour le développement des énergies renouvelables locales et citoyennes à horizon 2030. Il porte cinq mesures axées sur la participation des acteurs locaux dans les projets d’énergies renouvelables, qui permettraient de rehausser l’ambition du projet de loi ; certaines lacunes l’empêchant, selon le Collectif, d’être à la hauteur des enjeux immenses du secteur.Formidable levier d’accélération de la transition énergétique, l’énergie citoyenne doit être soutenue dans les politiques publiques. Il s’agit de redonner aux citoyens et aux collectivités un réel pouvoir d’agir, faciliter l’appropriation et la planification territoriale des énergies renouvelables, et permettre de meilleures retombées économiques dans les territoires.Pour atteindre l'objectif gouvernemental de 1.000 nouveaux projets d'énergie citoyen d'ici 2028, les mesures proposées dans le projet de loi demeurent insuffisantes. D'autres mesures complémentaires, proposées dans le Livre blanc, doivent être intégrées afin de parvenir à cet objectif, et le dépasser.A travers son Livre blanc, le Collectif pour l’énergie citoyenne formule des propositions et identifie des leviers concrets pour soutenir l’essor de l’énergie citoyenne et favoriser la démocratie énergétique au cours des prochaines années en France :Consolider l’objectif national de 1.000 nouveaux projets d'énergie citoyen d'ici 2028 et le rendre opérationnel par une feuille de route interministérielle, associant des moyens territorialisés à la hauteur et un pilotage national.Adapter les dispositifs de soutien aux projets locaux et citoyens, par l’extension du guichet ouvert, la territorialisation des dispositifs de soutien et des incitations croissantes à la gouvernance locale.Accompagner et faciliter les modèles innovants et émergents, qu’il s’agisse des contrats de gré à gré (PPA) ou de l’autoconsommation collective.Accroître le pouvoir d’agir des acteurs locaux, en renforçant les moyens humains et budgétaires alloués à l’ingénierie territoriale et aux réseaux d’accompagnement, et en levant les freins réglementaires à l’investissement des collectivités.Inciter à l’engagement citoyen et encourager la pédagogie autour de la transition énergétique, à travers des campagnes d’information et la simplification réglementaire des levées de l’épargne citoyenne.
Il y a 2 ans et 238 jours

SIPE, centrales à béton SELF pour la distribution en libre service

Sipe propose SELF, centrale à béton en libre service SIPE, producteur italien de malaxeurs et centrales à béton actif sur le marché depuis 1979, propose des solutions pour toute l’industrie du béton : chantiers de toute taille, fournisseurs de BPE, préfabricants, laboratoires, producteurs de réfractaires et de pavés.  La présence de SIPE en France est en fort développement, avec plusieurs centrales livrées et en cours de livraison cette année. Notamment les modèles mobiles – à trémies et à rayon raclant – et les centrales fixes qui sont de plus en plus nombreux dans l’Hexagone.  Parallèlement, l’industriel continue le développement et la promotion de ses centrales SELF pour la production de béton en libre-service, avec une gamme de solutions conçues pour servir les particuliers, carrières à agrégats et négoces de matériaux, fournisseurs de BPE, chantiers de grande taille et producteurs de blocs. La gamme proposée par SIPE s’appuie sur la connaissance du béton et l’innovation technologique, qui mènent à l’objectif primaire – qui est aussi le slogan de l’industriel italien : permettre à ses clients de produire du béton de qualité.  SIPE sera présent au salon BAUMA à Munich, du 24 au 30 octobre, stand 208, hall C1. Découvrez la gamme complète des centrales à béton SIPE : www.sipeitalia.com/fr/
Il y a 2 ans et 238 jours

Bords de routes, voies ferrées, et certaines terres agricoles seront sollicités pour produire de l'énergie solaire

Le projet de loi d'accélération des énergies renouvelables qui sera présenté en conseil des ministres le 26 septembre portera notamment un volet de "libération du foncier", a précisé Emmanuel Macron jeudi lors de l'inauguration du premier parc éolien en mer français, au large de Saint-Nazaire.Avec l'abandon progressif des énergies carbonées pour respecter ses objectifs climatiques, la France va "massivement" accroître ses besoins en électricité, "de 40% d'ici 2050", a indiqué le président pour justifier ces projets."Dans les prochains mois et les prochaines années, nous installerons plus de panneaux solaires en identifiant tous les espaces qui s'y prêtent, en ville, au bord des routes", a déclaré M. Macron, en citant aussi "les grands parkings" où l'installation de panneaux "permet de générer des revenus complémentaires".Évoquant la "décarbonation des autoroutes", il a estimé que "les bords d'autoroute" et les "bords de voies ferrées" pourraient aussi accueillir des panneaux solaires. "Ça permet de protéger la beauté des paysages, tout en développant du renouvelable" a-t-il relevé."Je veux aussi qu'on puisse avancer sur l'agrovoltaïsme" – l'installation de panneaux solaires sur des terres agricoles - qui représente un "potentiel très important de complément de revenus" pour les agriculteurs, a-t-il poursuivi.M. Macron a toutefois insisté sur la nécessité de prévoir des "garde-fous" pour éviter qu'une production d'électricité "ne se substitue pas" aux champs, aux prairies et aux troupeaux, c'est à dire à la production alimentaire. "On sait que c'est faisable et il faut aller beaucoup plus vite", a-t-il dit. A cet effet, le gouvernement "doit présenter un amendement au projet de loi avant son passage au Sénat" pour tirer les conclusions des "concertations" récentes menées avec le Conseil de l'agriculture française et les jeunes agriculteurs, a indiqué le président.M. Macron s'était déplacé le 9 septembre à Outarville dans le Loiret pour le rendez-vous annuel du Congrès des jeunes agriculteurs (JA) "les Terres de Jim".En Europe, "nos voisins sont allés beaucoup plus vite, en particulier dans le nord ou dans le sud et tout ce qui est le bord de la mer Baltique avec une stratégie très forte aujourd'hui et le sud de l'Europe en matière d'énergies renouvelables", a-t-il relevé pour justifier l'accélération de ces énergies en France qui doit porter aussi sur l'éolien en mer et sur terre. L'Agence de l'environnement et de la maîtrise de l'énergie (Ademe) a identifié au total 843 friches industrielles et urbaines susceptibles d'accueillir des installations photovoltaïques, indique une circulaire récente, que l'AFP a pu consulter. Celle-ci a été envoyée par le gouvernement aux préfets pour organiser les délestages en cas de pénurie de gaz et d'électricité cet hiver et accélérer le développement des projets d'énergie renouvelable."Simplifier, accélérer et trouver des zones pour s'installer sont autant de thèmes que nous portons", s'est félicité le syndicat des professionnels de l'énergie solaire Enerplan jeudi soir après l'intervention du président."La nouveauté, c'est le mot important: agrivoltaïsme, car nous n'aurons pas d'autre choix pour atteindre nos objectifs (climat et énergie), et c'est intelligent car utile pour l'agriculture comme pour l'énergie", a-t-il ajouté. "Tout cela est cohérent avec nos attentes, il faudra voir la suite" a-t-il néanmoins prévenu.
Il y a 2 ans et 238 jours

L'OCDE bien moins optimiste que Bercy sur la prévision de croissance 2023 en France

L'institution internationale basée à Paris a revu en baisse de 0,8 point sa précédente prévision française remontant à juin, au même titre que celle de l'ensemble des Etats de la zone euro où la croissance n'est attendue qu'à 0,3% l'an prochain contre 1,6% précédemment anticipé.L'Europe subit de plein fouet le marasme économique causé par la guerre en Ukraine qui entre dans son huitième mois et a engendré une flambée des prix énergétiques et de sérieuses craintes quant à l'approvisionnement en gaz à l'approche de l'hiver.La hausse vertigineuse des prix menace l'activité d'un nombre croissant d'entreprises, surtout au moment de la renégociation de leurs contrats de fourniture d'électricité ou de gaz.La production manufacturière est à son plus bas niveau en 28 mois selon l'indice PMI Flash de S&P Global, minée par le "niveau élevé de l'inflation, les excédents de stocks et la baisse de la demande".L'ampleur du ralentissement dans le secteur manufacturier fait craindre "une généralisation prochaine de la contraction à l'ensemble du secteur privé", ce qui augmente les risques de récession dans l'Hexagone.Bien qu'elle table sur une croissance plus robuste que précédemment anticipé pour 2022 en zone euro, l'OCDE alerte sur des "risques de baisse de production dans plusieurs Etats européens durant les mois d'hiver".La France devrait par ailleurs subir le contre-coup du plongeon économique de son principal partenaire économique, l'Allemagne, où une récession est anticipée par l'OCDE l'an prochain.Au-delà de l'Europe, c'est la croissance mondiale qui sera moins forte en 2023 que prévu auparavant: l'OCDE prévoit désormais une progression du PIB mondial de 2,2% l'an prochain, contre 2,8% encore anticipé en juin.Outre l'Organisation de coopération et de développement économiques, la Banque de France a publié mi-septembre des prévisions économiques tablant sur un net ralentissement l'an prochain avec une croissance de 0,5% selon un scénario de référence.
Il y a 2 ans et 238 jours

Bouygues Construction et Linkcity signent un partenariat avec FCBA

À l’occasion de la première édition du SIBCA, le salon de l’Immobilier Bas Carbone, la filiale bâtiment de Bouygues Construction en France et Linkcity, sa filiale de développement immobilier, ont signé un partenariat avec l’Institut technologique FCBA. Elles entendent ainsi renforcer leur engagement en faveur de la construction bois, en s’appuyant sur un partage de connaissances techniques et de retours d’expériences. Cet accord va en outre permettre aux partenaires de participer à des appels à projets innovants et d’anticiper les évolutions normatives et réglementaires. Ce contrat est signé pour 3 ans à compter du 22 septembre 2022. Bouygues Construction et Linkcity deviennent ainsi les premiers constructeur et promoteur partenaires de FCBA.
Il y a 2 ans et 238 jours

Travaux en hauteur : le groupe Jarnias en pleine expansion

CROISSANCE. Le spécialiste des travaux en hauteur, Jarnias, poursuit son développement. Alors qu'il commence à se faire une place sur le marché suisse, il annonce l'acquisition d'Acousteam, un expert en solutions acoustiques visant à lutter contre la pollution sonore dans le bâtiment, les travaux publics, la voirie, ou encore l'industrie.
Il y a 2 ans et 238 jours

Biosourcing et décarbonation primés aux Awards de l’Innovation du Mondial du Bâtiment

Article paru dans le n° 102 de Béton[s] le Magazine. La start-up française CCB Greentech développe un béton composé à 90 % de bois. [©CCB Greentech] La protection de l’environnement, les matériaux biosourcés ou issus du recyclage et la décarbonation de l’acte de construire… Tels sont les thèmes forts qui occupaient une place prépondérante dans le cadre de la nouvelle édition des Awards de l’Innovation du Mondial du Bâtiment. Deux catégories concernaient plus particulièrement des produits de la filière béton ou apparentée. • Développement des matières biosourcées Les solutions à base de matériaux biosourcés sont au cœur des préoccupations des professionnels du salon Batimat. Ainsi, l’Italien Isotex réinvente le bloc de coffrage avec Isotex Total Green, fabriqué en béton de bois, à partir de matériaux renouvelables et de récupération. Ce bloc coffrant apporte une fonction d’isolation thermique supplémentaire grâce à l’incorporation de l’isolant Neopor BMBcert de BASF, ici dans la version “Biomass Balance” du polystyrène expansé. De son côté, la start-up française CCB Greentech a développé un béton composé à 90 % de bois, issu de la région Auvergne – Rhône-Alpes. Quant à ParexGroup, il lance Parnatur Corps d’Enduit Chanvre, un mortier de dressement biosourcé au chanvre, bi-composant (liant et chènevotte). Enfin, Diasen, lauréat argent dans la catégorie “Interior & Garden”, propose Diathonite Thermostep.047. Il s’agit d’un mortier-chape écologique additionné de granulats de liège, qui est une ressource renouvelable. L’industriel utilise des bouchons et autres chutes de fabrication. • Accélération de la décarbonation des ciments et bétons Deux propositions aux Awards de l’Innovation s’attaquent de front à cette question de la décarbonation du secteur : Hoffmann Green Cement et Edilteco. Développé par Hoffmann, le H-Iona est le ciment le plus décarboné présent sur le marché. Il émet moins de 150 kg eqCO2/t, soit 6 fois moins qu’un ciment Portland classique équivalent… Pour sa part, Edilteco, assure aujourd’hui la distribution dans plusieurs pays d’Europe de la solution canadienne CarbonCure Technologies. Cette dernière n’est autre qu’un  un procédé d’injection de CO2 lors de la fabrication du béton. Article paru dans le n° 102 de Béton[s] le Magazine.
Il y a 2 ans et 238 jours

CDC Habitat s'associe à Ivanhoé Cambridge pour développer des fonciers complexes

LOGEMENT. La Caisse des dépôts et le fonds d'investissement pourront réaliser des projets en copromotion. L'objectif est le développement d'un parc de "logements abordables" dans les zones particulièrement tendues.
Il y a 2 ans et 238 jours

Plus d'éolien et de nucléaire : Macron fixe le cap

"Jour heureux, jour glorieux!", a-t-il lancé après avoir découvert depuis un bateau le champ de 80 éoliennes, déployées de 12 à 20 km des côtes, qui va produire de l'électricité pour 700.000 personnes."Mais tout cela arrive dans un temps compliqué et prend encore trop de temps", a-t-il noté en référence à l'envolée des prix énergétiques et aux risques de pénurie induits par la guerre en Ukraine, qui nécessite plus que jamais une "diversifcation".Pour réduire la dépendance aux énergies fossiles, "il faut produire plus d'électricité", "40% de plus d'ici 2050", a-t-il dit. La France va devoir aller "au moins deux fois plus vite" sur les projets d'énergies renouvelables", éolien et solaire en particulier, a souligné le chef de l'Etat.Cette accélération doit passer par une réduction de "trois à six mois" des "délais d'enquêtes publiques et autorisations gouvernementales", a-t-t-il détaillé.Les délais de contentieux doivent aussi être ramenés à deux ans et demi au maximum, contre jusqu'à quatre ans aujourd'hui, a-t-il souligné. "Il faut créer du consensus au départ et essayer de bloquer le recours dilatoire", a-t-il insisté.Aujourd'hui, il faut en moyenne dix ans pour qu'un site offshore entre en service en France, contre cinq en Allemagne, six au Royaume-Uni. Pour l'éolien terrestre, c'est sept ans, deux fois plus qu'en Espagne ou en Allemagne, et le photovoltaïque n'est guère mieux loti.Ces mesures seront inscrites dans le projet de loi sur l'accélération des énergies renouvelables qui sera présenté lundi en Conseil des ministres ainsi que dans des décrets et amendements gouvernementaux. De l'éolien terrestre aussiLe 10 février à Belfort, Emmanuel Macron a fixé comme objectif l'installation d'une cinquantaine de parcs éoliens offshore en France d'ici 2050 pour une capacité de 40 gigawatts.A ce jour, sept parcs ont été attribués à des opérateurs mais la concrétisation des projets est freinée par nombreux recours, et la France accumule du retard par rapport aux pays voisins.Après Saint-Nazaire, la construction a commencé à Saint-Brieuc, objet de frictions avec les pêcheurs, Courseulles-sur-Mer et Fécamp. A Oléron, des recours ont été déposés pour repousser le projet plus au large."On devra faire de l'éolien sur terre", a-t-il également plaidé après avoir annoncé à Belfort un doublement de sa capacité non plus sur 10 mais 30 ans. "L'éolien terrestre est concentré sur très peu de territoires", a-t-il déploré en appelant à "ouvrir le jeu" en la matière.Parmi les pistes de développement du solaire, le chef de l'État a évoqué "la libération du foncier" pour installer plus de panneaux sur les friches, en citant les bords d'autoroutes et de voies ferrées, mais aussi certaines terres agricoles avec l'agrovoltaïsme.Sur le nucléaire, "l'approche sera la même", il faut qu'on "aille beaucoup plus vite" en "simplifiant les choses", a insisté Emmanuel Macron."On n'a pas investi"A Belfort, le chef de l'Etat a aussi annoncé la relance du nucléaire avec la construction de six réacteurs EPR2 à l'horizon 2035. Un audit publié en février évoquait l'horizon 2037 pour les premières mises en service. Comme sur les énergies renouvelables, un texte de loi va permettre d'"adapter les procédures existantes en matière d'urbanisme pour favoriser le développement des premiers sites identifiés" et de lancer "dès maintenant le programme pour ne pas perdre de temps", a-t-il souligné.Emmanuel Macron a aussi promis un meilleur "partage de la valeur" pour les projets renouvelables avec les collectivités et les riverains, ce qui concernera en premier lieu les éoliennes en mer, souvent contestées.Jean-louis Bal, président du Syndicat des énergies renouvelables (SER), a salué un "discours tonique" et le "besoin d'éolien terrestre" de nouveau mis en avant par le chef de l'Etat.Pour Amandine Lebreton, directrice du plaidoyer à la Fondation pour la Nature et l'Homme en revanche, "ce n'est pas vrai de dire que le retard est dû aux blocages locaux ou administratifs". "On n'a pas investi", estime-t-elle.Devant le chef de l'Etat, Jean-Christophe Gavalet, président de France Nature Environnement, a mis en garde contre une concertation trop limitée du public qui serait totalement "contreproductive" selon lui. "On va aboutir à une radicalisation des positions", avec un risque de réactions "plus violentes", a-t-il averti.
Il y a 2 ans et 238 jours

Plus d'éolien et de nucléaire : Macron fixe le cap

"Jour heureux, jour glorieux!", a-t-il lancé après avoir découvert depuis un bateau le champ de 80 éoliennes, déployées de 12 à 20 km des côtes, qui va produire de l'électricité pour 700.000 personnes."Mais tout cela arrive dans un temps compliqué et prend encore trop de temps", a-t-il noté en référence à l'envolée des prix énergétiques et aux risques de pénurie induits par la guerre en Ukraine, qui nécessite plus que jamais une "diversifcation".Pour réduire la dépendance aux énergies fossiles, "il faut produire plus d'électricité", "40% de plus d'ici 2050", a-t-il dit. La France va devoir aller "au moins deux fois plus vite" sur les projets d'énergies renouvelables", éolien et solaire en particulier, a souligné le chef de l'Etat.Cette accélération doit passer par une réduction de "trois à six mois" des "délais d'enquêtes publiques et autorisations gouvernementales", a-t-t-il détaillé.Les délais de contentieux doivent aussi être ramenés à deux ans et demi au maximum, contre jusqu'à quatre ans aujourd'hui, a-t-il souligné. "Il faut créer du consensus au départ et essayer de bloquer le recours dilatoire", a-t-il insisté.Aujourd'hui, il faut en moyenne dix ans pour qu'un site offshore entre en service en France, contre cinq en Allemagne, six au Royaume-Uni. Pour l'éolien terrestre, c'est sept ans, deux fois plus qu'en Espagne ou en Allemagne, et le photovoltaïque n'est guère mieux loti.Ces mesures seront inscrites dans le projet de loi sur l'accélération des énergies renouvelables qui sera présenté lundi en Conseil des ministres ainsi que dans des décrets et amendements gouvernementaux. De l'éolien terrestre aussiLe 10 février à Belfort, Emmanuel Macron a fixé comme objectif l'installation d'une cinquantaine de parcs éoliens offshore en France d'ici 2050 pour une capacité de 40 gigawatts.A ce jour, sept parcs ont été attribués à des opérateurs mais la concrétisation des projets est freinée par nombreux recours, et la France accumule du retard par rapport aux pays voisins.Après Saint-Nazaire, la construction a commencé à Saint-Brieuc, objet de frictions avec les pêcheurs, Courseulles-sur-Mer et Fécamp. A Oléron, des recours ont été déposés pour repousser le projet plus au large."On devra faire de l'éolien sur terre", a-t-il également plaidé après avoir annoncé à Belfort un doublement de sa capacité non plus sur 10 mais 30 ans. "L'éolien terrestre est concentré sur très peu de territoires", a-t-il déploré en appelant à "ouvrir le jeu" en la matière.Parmi les pistes de développement du solaire, le chef de l'État a évoqué "la libération du foncier" pour installer plus de panneaux sur les friches, en citant les bords d'autoroutes et de voies ferrées, mais aussi certaines terres agricoles avec l'agrovoltaïsme.Sur le nucléaire, "l'approche sera la même", il faut qu'on "aille beaucoup plus vite" en "simplifiant les choses", a insisté Emmanuel Macron."On n'a pas investi"A Belfort, le chef de l'Etat a aussi annoncé la relance du nucléaire avec la construction de six réacteurs EPR2 à l'horizon 2035. Un audit publié en février évoquait l'horizon 2037 pour les premières mises en service. Comme sur les énergies renouvelables, un texte de loi va permettre d'"adapter les procédures existantes en matière d'urbanisme pour favoriser le développement des premiers sites identifiés" et de lancer "dès maintenant le programme pour ne pas perdre de temps", a-t-il souligné.Emmanuel Macron a aussi promis un meilleur "partage de la valeur" pour les projets renouvelables avec les collectivités et les riverains, ce qui concernera en premier lieu les éoliennes en mer, souvent contestées.Jean-louis Bal, président du Syndicat des énergies renouvelables (SER), a salué un "discours tonique" et le "besoin d'éolien terrestre" de nouveau mis en avant par le chef de l'Etat.Pour Amandine Lebreton, directrice du plaidoyer à la Fondation pour la Nature et l'Homme en revanche, "ce n'est pas vrai de dire que le retard est dû aux blocages locaux ou administratifs". "On n'a pas investi", estime-t-elle.Devant le chef de l'Etat, Jean-Christophe Gavalet, président de France Nature Environnement, a mis en garde contre une concertation trop limitée du public qui serait totalement "contreproductive" selon lui. "On va aboutir à une radicalisation des positions", avec un risque de réactions "plus violentes", a-t-il averti.
Il y a 2 ans et 238 jours

Neustark : Captage de CO2 et granulats recyclés, le combo gagnant

Article paru dans le n° 102 de Béton[s] le Magazine Neustark a commencé son développement en Suisse [©Neustark] Lancée en 2019, Neustark s’est ancrée dans une démarche environnementale et d’économie circulaire. Elle s’intéresse aussi bien au captage du carbone qu’au recyclage des bétons de démolition et à la fabrication d’un béton “écologique”. En effet, Neustark a développé toute une chaîne de valeur en Suisse. Il y a tout d’abord, un système de liquéfacteurs de CO2 capté dans l’atmosphère. Sous forme de conteneurs, la solution peut être implantée sur des sites industriels. Ensuite, le carbone à l’état liquide est transporté (à l’aide de camions roulant au biogaz) vers des recycleurs ou des producteurs de ciment ou de béton. Ici, le CO2 est mélangé dans des conteneurs Neustark, avec les granulats recyclés issus des bétons de démolition. « Ces déchets sont des puits de stockage de carbone », explique Valentin Gutknecht, co-fondateur de la start-up. Par minéralisation, le CO2 est transformé en calcaire. Ce matériau peut être utilisé comme alternative au ciment de clinker (une substitution allant, pour le moment, de 0 à 20 %), réduisant ainsi la facture carbone du béton. L’installation de transformation est mobile et s’adapte facilement à toutes les configurations industrielles. La solution de Neustark permet de stocker 10 kgeqCO₂capturé/m3 de béton. Elle peut ainsi éviter jusqu’à 20 kg de nouvelles émissions de CO₂/m³ de béton frais. L’industriel compte bien multiplier ces chiffres dès 2025, avec une nouvelle version de sa technologie. Article paru dans le n° 102 de Béton[s] le Magazine
Il y a 2 ans et 238 jours

Saint-Goblain Weber : La RSE par l’exemple

Marine Charles, directrice générale de Saint-Gobain Weber France. [©ACPresse] Chez Saint-Gobain Weber, le programme RSE est porté par le slogan “#VertEtFier”. Pour autant, afficher un emblème n’a jamais été une fin en soi. L’action doit surtout être appliquée sur le terrain. « Notre stratégie de développement durable s’articule autour de trois axes : l’offre de produits, la manière de les produire et un engagement sur des modes constructifs plus vertueux », confirme Marine Charles, directrice générale de Saint-Gobain Weber France. L’industriel a lancé nombre de démarches allant dans ce sens. Par exemple, il a fait le choix d’une électricité renouvelable. De quoi diviser par 3 les émissions de CO2 liées à l’électricité, soit une économie de 500 t/an. Autre engagement fort, l’économie de matières non renouvelables. Sur trois de ses usines (Bonneuil-sur-Marne – 94, Ludres – 54 et Nemours – 77), l’industriel utilise, à présent, des cendres de biomasse d’origines locales. Résultat : une substitution du ciment à hauteur de 15 % dans les mortiers-colles et de 30 % des fines minérales dans les mortiers et les bétons en sacs. Soit 1 700 t de matières premières économisées. Le site de Sorgues (84), lui, bénéficie d’un partenariat interne avec Saint-Gobain SEPR (industrie céramique). Ce dernier fournit son sable de moulage usagé, permettant un remplacement à 100 % de la charge minérale des mortiers produits. Réduire le gaspillage au maximum Toujours côté usines, certains process industriels ont été revus. Ludres a inauguré un système de récupération des matériaux générés lors de l’élaboration des enduits et des colles. Il s’agit des produits tombés sur les tapis, sous les ensacheuses. « A ce niveau, ce sont 145 t qui ont été réinjectées dans les produits finis en 2021. » Le site de Dissay (86), lui, a mis en place un processus permettant de réduire le volume de reliquats de chaque campagne de production. Cette initiative consiste à renvoyer le reliquat sur un seul bec d’ensacheuse au lieu de 4 auparavant, réduisant ainsi la perte globale. « Là, on parle d’une économie de 230 t/an ! » Un autre moyen de préserver la ressource est de prolonger la date limite d’utilisation des produits. Celle-ci passe à 1 an pour les produits en poudre, à 18 mois pour les enduits de façades et à 2 ans pour les colles à carrelage. Saint-Gobain Weber prend aussi soin de ses contenants. « Nous utilisons 50 % de plastique recyclé dans nos hausses, ce qui correspond à 450 t de polyéthylène vierge non utilisées et 1 000 t de CO2 non émises. » Idem pour les seaux, dont la moitié du polypropylène est issue du recyclage. Un accord de distribution exclusif Les mêmes seaux et autres sacs usagés profitent de points de collecte, grâce à un partenariat avec Rekupo. A présent, six sites Saint-Gobain Weber (Habsheim – 68, Heyrieux – 38, Ludres – 54, Mérignac – 33, Nemours – 77 et Sorgues – 84) assurent ce service. La mixité des matériaux et les nouveaux modes constructifs représentent un autre pan de la démarche engagée par Saint-Gobain Weber. Déjà, 4 systèmes d’ITE sur ossatures bois sont sous Avis technique : les webertherm XM Natura (basé sur un isolant liège), Fibre de Bois, Roche et PSE ECA. D’un point de vue esthétique, on retrouve les mêmes types de finitions minérales que sur maçonnerie. Enfin, la construction hors site laisse présager de beaux lendemains. La première étape s’appelle Tradical. « Depuis le 1er mars dernier, nous avons un accord avec le groupe Lhoist pour distribuer les produits de cette gamme », confirme Camille Fabre, nouvelle directrice stratégie et construction durable. Dans un second temps, des synergies devraient être mises en place avec des industriels de construction hors site, tant bois que béton. Des développements à suivre… Frédéric Gluzicki
Il y a 2 ans et 239 jours

Le Niger veut porter son taux d'électrification de 17% à 80% d'ici à 2035

D'un coût de 317,5 millions de dollars, ce projet dénommé "Haské" (lumière en langue locale haoussa) ambitionne "d'accélérer l'accès" à l'électricité pour les ménages urbains et ruraux, les établissements de santé, d'éducation, les entreprises, a souligné le ministre Ibrahim Yacoubou, lors de la cérémonie de lancement.Le projet "Haské" vise également à assurer l'expansion de l'énergie solaire photovoltaïque dans cet immense Etat sahélien de plus de 22 millions d'habitants.Actuellement, au Niger, le bois fournit "près de 80%" de l'énergie des ménages qui l'utilisent pour s'éclairer et cuisiner, alors que le pays, aux deux tiers désertiques, est frappé par les "effets néfastes des changements climatiques", a relevé le ministre.Pour s'affranchir de sa forte dépendance (70%) énergétique au Nigeria voisin, le Niger s'active aussi à achever d'ici à 2025 son premier barrage, sur le fleuve Niger.A quelque 180 km en amont de Niamey, l'édifice de Kandadji doit générer annuellement 629 gigawattheure (Gwh).La Banque mondiale, la Banque africaine de développement (BAD), la Banque islamique de développement (BID) et l'Agence française de développement (AFD) financent Kandadji, dont le coût est estimé à 740 milliards de francs CFA (1,1 milliard d'euros).Par ailleurs, l'Union européenne et l'AFD vont cofinancer pour la construction d'une autre centrale électrique hybride (thermique-photovoltaïque) d'un coût de 32 millions d'euros à Agadez, la grande ville du nord du Niger régulièrement plongée dans le noir.Cette centrale, d'une capacité de production de 21 mégawatts, devra satisfaire en électricité la ville d'Agadez et ses 150.000 habitants, selon l'UE.Sa construction permettra à Agadez, classée au patrimoine mondial de l'Unesco, de revivre un essor économique et social, après le déclin du tourisme dû aux attaques jihadistes dans le Sahel, selon les autorités locales.
Il y a 2 ans et 239 jours

Béton Mousse Technologie : Une mousse minérale dans les starting-blocks

Béton Mousse Technologie présente sa nouvelle Mousse Minérale. [©Béton Mousse Technologie] Matériau de remplissage léger, fluide et isolant, le béton mousse Aerolithys sera au centre du stand de Béton Mousse Technologie (BMT). Aujourd’hui, deux usages principaux sont à distinguer concernant ce produit. D’une part, comme ravoirage léger en bâtiment. D’autre part, comme remblai technique en génie civil. Et c’est pour cette dernière application que BMT vient de développer une centrale mobile de malaxage d’une capacité de production in situ de près de 100 m3/h… Mais c’est une autre innovation qu’il sera intéressant de découvrir. A savoir, la toute nouvelle Mousse Minérale, dont le développement vient de s’achever. « Les premiers chantiers tests ont eu lieu en septembre dernier, pour un lancement du produit début 2023 », indique Jacky Fronteau, président de BMT. Cette mousse cimentaire – dont le nom définitif n’a pas encore été calé – a été développée et formulée par Aerolithys. En plus d’un agent moussant de dernière génération, elle incorpore des liants de spécialités, dont la sélection a pu se faire grâce à l’étroite collaboration, sur le marché français, avec Imerys. Fabriquée in situ, selon un process de production très précis et maîtrisé, cette nouvelle mousse minérale est de type bas carbone, sans retrait et offre différentes durées de prise. Outre le ravoirage, le remplissage de structures préfabriquées en bois constituera un des principaux usages de ce matériau sous Avis technique de système. Batimat – Hall 1 – Stand P129 Lire le dossier complet ici
Il y a 2 ans et 239 jours

Beal : 16 nouveaux coloris exclusifs

Le micro-mortier Mortex de Beal se décline en une multitude de teintes. [©Beal] Grâce à sa fine épaisseur et à son imperméabilité, le micro-mortier minéral Mortex de Beal épouse toutes les formes, s’adapte à toutes les surfaces. Et offre un look inégalable aux douches, sols, piscines, escaliers et meubles, tant intérieurs qu’extérieurs. Le catalogue Mortex compte déjà 64 couleurs. Un nuancier auquel s’ajoutent 16 nouvelles teintes spéciales dévoilées en exclusivité. « Quatre tons : Jeans, Sakura, Sequoia et Sage ont inspiré notre équipe de Recherche et Développement. Résolument dans l’air du temps, à la fois douces et audacieuses, ces couleurs modernes, mais intemporelles ont chacune été déclinées en quatre intensités », indique Beal. De la plus profonde à la plus claire, ces teintes ouvrent le champ des possibles pour réaliser des travaux de construction, de rénovation ou de décoration. « Le choix ne s’arrête cependant pas là, car votre artisan peut aussi créer la teinte que vous souhaitez, exactement telle que vous l’imaginez », conclut Beal. Batimat – Hall 1 – Stand B92 Lire le dossier complet ici
Il y a 2 ans et 239 jours

Hoffman Green Cement : H-lona à l’honneur

Le liant décarboné H-Iona sera la vedette du stand Hoffmann Green Cement. [©Hoffmann Green Cement] Pour sa première participation, Hoffmann Green Cement met en avant son liant H-Iona. Qui est une extension de sa gamme de ciments décarbonés. L’empreinte carbone de ce matériau est la plus faible du marché en Europe. Les émissions de CO2 sont ainsi divisées par 6, avec moins de 150 kgeqC02/t. Ce liant bénéficie du marquage CE. « En lançant H-Iona, Hoffmann Green Cement poursuit sa démarche d’innovation continue. A travers cette technologie inédite, nous démocratisons l’accès au ciment décarboné. En effet, c’est la première fois que le grand public aura l’occasion d’utiliser un ciment de notre marque », déclarent Julien Blanchard et David Hoffmann, co-fondateurs. Pour ce faire, H-Iona est proposé en sacs de 25 kg, en plus d’une commercialisation en vrac et en big bags de 1t. La fabrication du H-Iona est assurée dans l’unité de Bournezeau, en Vendée. Sur la base d’un mélange de laitier moulu de hauts fourneaux et de sulfate de calcium. C’est un liant très clair de classe de résistance courante de 32,5 MPa à 28 j. Côté industriels, Hoffmann poursuit aussi ses développements. Après l’unité H1, qui a démarré sa production à Bournezeau fin 2018, juste à côté, sa grande sœur H2 est en cours d’achèvement et sera opérationnelle en novembre prochain. Tandis que l’implantation d’un 3e site de production (H3) va commencer sur le Grand Port Ma ritime de Dunkerque, à partir de 2023… Batimat – Hall 1 – Stand M108 Lire le dossier complet ici
Il y a 2 ans et 240 jours

A Shanghai, un quartier historique disparaît sous les pelleteuses

Laoximen ("la Vieille Porte de l'Ouest"), ainsi nommé en raison de sa localisation au niveau des anciens murs d'enceinte du 16e siècle, était jadis le centre culturel de la ville.Construits autour d'un temple confucéen, les bâtiments de deux voire trois niveaux, en pierre ou en bois, semblent anachroniques au milieu des immeubles modernes et étincelants de Shanghai.Le quartier est habité par de vieilles familles shanghaïennes ou des travailleurs migrants venus des campagnes et attirés par les loyers bas. Tous avaient reçu l'ordre de quitter leur logement d'ici la fin 2017.Mais plusieurs années après l'échéance, certains s'accrochent encore à leurs maisons malgré les indemnisations offertes par la municipalité pour déménager ailleurs.Monsieur Yang, qui ne souhaite pas révéler son prénom, est l'un d'eux. Pour lui, pas question de quitter son logement de Laoximen, labyrinthe humide de longs couloirs encombrés de vieux meubles et appareils électroménagers."Ce terrain, c'est mon grand-père qui l'a acheté", explique à l'AFP M. Yang, dont la famille vit ici depuis plusieurs décennies, avant même l'arrivée au pouvoir du Parti communiste en 1949.La plupart de ses voisins ont accepté de déménager. Mais lui dit attendre une compensation à la hauteur de "la valeur de la maison".BanderoleSelon la municipalité, les habitants peuvent recevoir au moins 20.000 yuans (2.900 euros) par mètre carré.Le prix moyen d'un appartement d'occasion à Shanghai dépasse toutefois les 55.000 yuans (8.000 euros) par mètre carré, avec évidement de grandes variations suivant les quartiers, selon le groupe d'agences immobilières Anjuke. La dernière phase de démolition avait été reportée en raison de la pandémie. Mais les pelleteuses ont repris leur travail après la fin, début juin, du long confinement de Shanghai.A l'endroit où de populaires petits restaurants accueillaient les clients du quartier, de larges bannières appellent les derniers récalcitrants à coopérer."Transparente, juste, équitable : promouvons la rénovation de la vieille ville", exhorte l'une d'entre elles, en caractères blancs sur fond rouge. Dans les rues sinueuses du quartier, encombrées de vieilles chaises et de planches, des portes et des fenêtres sont déjà scellées.Laoximen est l'un des milliers de quartiers vieillissants du pays, où les habitants sont progressivement expropriés afin de laisser la place à des bâtiments plus modernes et plus grands.De nombreux logements de ce quartier de Shanghai sont vétustes et ne disposent par exemple pas de système de chauffage.Dans une Chine en développement constant, les expropriations sont monnaie courante. Les habitants se voient généralement proposer de nouveaux appartements ou de l'argent afin de quitter les lieux."Feux d'artifice"Les compensations parfois trop faibles, peuvent susciter la colère des personnes délogées voire des affrontements avec les autorités locales.Ancien habitant de Laoximen, Wu Weigang a déjà déménagé dans un autre district de Shanghai. Mais ce retraité retourne régulièrement dans le quartier, où il a passé son enfance et garde un souvenir ému des fêtes d'antan."Tout le monde allumait des feux d'artifice et accrochait des lanternes en forme de lapin pendant la Fête des lanternes", qui clôt les festivités du Nouvel an chinois, raconte-t-il à l'AFP.La plupart des bâtiments de Laoximen ont été construits au 20e siècle dans le style "shikumen" : c'est-à-dire des maisons mêlant éléments chinois et occidentaux, édifiées en rangées dans des venelles de Shanghai.La nuit, la lueur jaune des réverbères enveloppe les ruelles presque vides du quartier, tandis que la "Perle de l'Orient", la tour de télévision emblématique de la ville, resplendit au loin.Cette zone de Laoximen est réaménagée afin de répondre à "l'intérêt public", a indiqué la municipalité.Mais Wu Weigang espère que le charme de l'ancien quartier survivra aux travaux."Ils m'ont dit que ma maison sera conservée", se félicite-t-il, avant d'ajouter : "Si elle n'était plus là, je ne viendrais pas la voir. Et ça me ferait mal au cœur".
Il y a 2 ans et 241 jours

Un plateau TV Bati-Journal à Batimat 2022

Organisé par Éditions des Halles et Batimat, avec le soutien de l’Interprofession nationale France Bois Forêt, les équipes de Bati-Journal vous retrouveront au cœur du salon Batimat pour une nouvelle édition de son plateau TV, animé par Stéphane Miget (rédacteur en chef de magazine 5façades et Planète Bâtiment). Véritable chaîne TV dédiée au monde du bâtiment, BATI-JOURNAL accompagne les grands événements du secteur afin de vous emmener au cœur de ces rencontres. Bati-Journal réunit dans une ambiance plateau TV des professionnels, des experts ou des politiques afin de débattre autour des enjeux du secteur. Autour des 4 grandes thématiques du salon : Préserver l’environnement Transformer les méthodes Bien vivre dans la ville de 2050 Valoriser les métiers Au travers de nos expertises sur les sujets : Construction bois Patrimoine & restauration Enveloppe du bâtiment Bâtiment durable Programme du plateau TV* (susceptible d’être modifié) : Lundi 03 octobre : 10h00 : Place et rôle des artisans et entreprises (Transformer les méthodes) avec Catherine Gillet (Pilote du Programme FEEBAT) 11h30 : Bois-fôret : concilier construction et préservation de la ressource (Préserver l’environnement) avec Aymeric Albert (Directeur commercial Bois – ONF) 13h30 : Quelles infrastructures pour nourrir la ville en 2050 ? (Bien vivre dans la ville en 2050)  14h45 : Développer l’intelligence de la main (Valoriser les métiers) avec Jérôme Carraz (Responsable de l’Institut de la charpente et de la construction bois – Les Compagnons du devoir) 15h45 : La parole à Piveteau Bois 16h15 : Retour d’expérience – Construction bois avec Benjamin Pirany (Architecte – HSP Architectes) 17h30 : Low Carbon – en partenariat avec Construction 21 avec Laetitia Belaube (Responsable de missions énergie-carbone – Artelia) Pierre-Yves Legrand (Directeur – Novabuild) et Christophe Rodriguez (Directeur général adjoint – IFEP)  Mardi 04 octobre : 09h30 : Préfabriquer avec le bois, pourquoi ? Comment ? Quelles innovations ? (Transformer les méthodes) avec Pierre Vaugoyeau (Directeur commercial – Maître Cube) 10h30 : La parole au CERIB avec Christophe Tessier (Directeur du Centre d’essais feu) 11h00 : Le bois, biosourcé par essence ? (Préserver l’environnement) 12h00 : La parole au SNBVI 13h30 : Patrimoine et centre-ville, moteurs de la revitalisation urbaine ?  (Bien vivre dans la ville en 2050) avec Etienne Bourdais (Head of innovation projects – Vinci) 15h00 : Les métiers et savoir-faire du patrimoine au service de la construction à plus faible impact carbone (Valoriser les métiers) avec Jérôme Carraz (Responsable de l’Institut de la charpente et de la construction bois – Les Compagnons du devoir) et Frédéric Letoffé (Vice-Président – GMH) 16h15 : Retour d’expérience – Patrimoine & Restauration avec Élodie Heberlé (Responsable d’études énergie et environnement – Cerema) 17h00 : La parole à Actis 18h00 : Émission spéciale sur Le Prix National de la Construction Bois Mercredi 05 octobre :  09h30 : Construction métallique, polyvalence et design : dernières évolutions (Transformer les méthodes) avec Pascal Bonaud (Délégué général – ConstruirAcier) et Peggy Schouller (Head of Business Development France – Arcelor Mittal) 10h30 : La parole Simpson Strong-Tie 11h00 : Bois, biosourcés et géosourcés (terre crue et pierre) : les matériaux des circuits cours ? (Préserver l’environnement) avec Yves Hustache (Associé-fondateur – Kiribati) 12h00 : La parole au SNBVI 13h15 : La parole à Hellio avec Arthur Bernagaud (Directeur des opérations BtoC) 14h00 : La parole à SADEV 15h00 : Focus Façadier (Valoriser les métiers) avec Vincent Bes (Directeur régional ouest – Wicona) 16h15 : Retour d’expérience – Enveloppe du bâtiment avec Myriam Humbert (Directrice de projets recherche et développement – Cerema) 17h30 : Low Tech – en partenariat avec Construction 21 avec Catherine Papillon (Directrice DD/RSE – BNP Real Estate), Anne Keusch (Directrice DD & Innovation – Groupama Immobilier) et Charlotte Girerd (Directrice Transition, RSE & Innovation) Jeudi 06 octobre : 09h30 : Audit : étape cruciale pour bien rénover (Transformer les méthodes) avec Xavier Bernard (Délégué régional Île-de-France – AQC) et Étienne Duhot (Responsable de projet – Hellio) 11h00 : Favoriser la réutilisation et la transformation des bâtiments existants (Préserver l’environnement) 12h00 : La parole au SNBVI 13h00 : Renaturer la ville (Bien vivre dans la ville en 2050) avec Sophie Rousse-Rivière (Déléguée générale de l’Advient) 14h15 : Focus Prescripteur bois (Valoriser les métiers) 15h15 : Retour d’expérience – Villes & constructions durables avec Laurent Arnaud (Directeur du domaine bâtiment – Cerema) Toutes les vidéos des émissions seront à retrouver dès le lundi 03 octobre sur la chaîne YouTube de Bati-Journal et sur les sites de nos partenaires institutionnels et médias. En partenariat avec les magazines 5façades, Atrium, Planète Bâtiment et Wood Surfer. Participez à l’événement et commandez votre badge d’accès gratuit avec le code BPA22ATCPR sur le site de batimat.com Cet article Un plateau TV Bati-Journal à Batimat 2022 est apparu en premier sur Planète Bâtiment.
Il y a 2 ans et 241 jours

Un plateau TV Bati-Journal à Batimat 2022

Organisé par Éditions des Halles et Batimat, avec le soutien de l’Interprofession nationale France Bois Forêt, les équipes de Bati-Journal vous retrouveront au cœur du salon Batimat pour une nouvelle édition de son plateau TV, animé par Stéphane Miget (rédacteur en chef de magazine 5façades et Planète Bâtiment). Véritable chaîne TV dédiée au monde du bâtiment, BATI-JOURNAL accompagne les grands événements du secteur afin de vous emmener au cœur de ces rencontres. Bati-Journal réunit dans une ambiance plateau TV des professionnels, des experts ou des politiques afin de débattre autour des enjeux du secteur. Autour des 4 grandes thématiques du salon : Préserver l’environnement Transformer les méthodes Bien vivre dans la ville de 2050 Valoriser les métiers Au travers de nos expertises sur les sujets : Construction bois Patrimoine & restauration Enveloppe du bâtiment Bâtiment durable Programme du plateau TV* (susceptible d’être modifié) : Lundi 03 octobre : 10h00 : Place et rôle des artisans et entreprises (Transformer les méthodes) avec Catherine Gillet (Pilote du Programme FEEBAT) et Aristide Belli (Chef de projet senir programme OSCAR) 11h30 : Bois-fôret : concilier construction et préservation de la ressource (Préserver l’environnement) avec Aymeric Albert (Directeur commercial Bois – ONF) 13h30 : Quelles infrastructures pour nourrir la ville en 2050 ? (Bien vivre dans la ville en 2050) avec Angel Menendez (Architecte – Atelier Lame) 14h45 : Développer l’intelligence de la main (Valoriser les métiers) avec Jérôme Carraz (Responsable de l’Institut de la charpente et de la construction bois – Les Compagnons du devoir) 15h45 : La parole à Piveteau Bois 16h15 : Retour d’expérience – Construction bois avec Benjamin Pirany (Architecte – HSP Architectes) 17h30 : Low Carbon – en partenariat avec Construction 21 avec Laetitia Belaube (Responsable de missions énergie-carbone – Artelia) Pierre-Yves Legrand (Directeur – Novabuild) et Christophe Rodriguez (Directeur général adjoint – IFEP)  Mardi 04 octobre : 09h30 : Préfabriquer avec le bois, pourquoi ? Comment ? Quelles innovations ? (Transformer les méthodes) avec Pierre Vaugoyeau (Directeur commercial – Maître Cube) 10h30 : La parole au CERIB avec Christophe Tessier (Directeur du Centre d’essais feu) 11h00 : Le bois, biosourcé par essence ? (Préserver l’environnement) avec Ambre Le Ferrec (Reponsable pôle 2nde transformation et suivi de la normalisation – Fédération Nationale du Bois) et Jérôme Martinez (Responsable du label Bois de France) 11h00 : La parole à Cadwork avec Denis Roblin (Directeur vente France) 12h00 : La parole au SNBVI 13h30 : Patrimoine et centre-ville, moteurs de la revitalisation urbaine ?  (Bien vivre dans la ville en 2050) avec Etienne Bourdais (Head of innovation projects – Vinci) 15h00 : Les métiers et savoir-faire du patrimoine au service de la construction à plus faible impact carbone (Valoriser les métiers) avec Jérôme Carraz (Responsable de l’Institut de la charpente et de la construction bois – Les Compagnons du devoir) et Frédéric Letoffé (Vice-Président – GMH) 16h15 : Retour d’expérience – Patrimoine & Restauration avec Élodie Heberlé (Responsable d’études énergie et environnement – Cerema) 17h00 : La parole à Actis 18h00 : Émission spéciale sur Le Prix National de la Construction Bois Mercredi 05 octobre :  09h30 : Construction métallique, polyvalence et design : dernières évolutions (Transformer les méthodes) avec Pascal Bonaud (Délégué général – ConstruirAcier) et Peggy Schouller (Head of Business Development France – Arcelor Mittal) 10h30 : La parole Simpson Strong-Tie 11h00 : Bois, biosourcés et géosourcés (terre crue et pierre) : les matériaux des circuits cours ? (Préserver l’environnement) avec Yves Hustache (Associé-fondateur – Karibati), Alec Bickersteth (Chef de projet Filière, Emploi & Formation – Fibois Île-de-France) et Ghislain Moret de Rocheprise (Directeur marketing et commercial – ISOL’en Paille) 12h00 : La parole au SNBVI 13h15 : La parole à Hellio avec Arthur Bernagaud (Directeur des opérations BtoC) 14h00 : La parole à SADEV 14h30 : La parole à Eiffage avec Thomas Doyon (Directeur Eiffage Immobilier Solutions Industrialisées)  15h00 : Focus Façadier (Valoriser les métiers) avec Vincent Bes (Directeur régional ouest – Wicona) et Sandrine Bertin (Déléguée générale – SNFA) 16h15 : Retour d’expérience – Enveloppe du bâtiment avec Myriam Humbert (Directrice de projets recherche et développement – Cerema) 17h30 : Low Tech – en partenariat avec Construction 21 avec Catherine Papillon (Directrice DD/RSE – BNP Real Estate), Anne Keusch (Directrice DD & Innovation – Groupama Immobilier) et Charlotte Girerd (Directrice Transition, RSE & Innovation – SNCF Immobilier) Jeudi 06 octobre : 09h30 : Audit : étape cruciale pour bien rénover (Transformer les méthodes) avec Xavier Bernard (Délégué régional Île-de-France – AQC) et Étienne Duhot (Responsable de projet – Hellio) 11h00 : Favoriser la réutilisation et la transformation des bâtiments existants (Préserver l’environnement) 12h00 : La parole au SNBVI 13h00 : Renaturer la ville (Bien vivre dans la ville en 2050) avec Sophie Rousse-Rivière (Déléguée générale de l’Advient) 14h15 : Focus Prescripteur bois (Valoriser les métiers) 15h15 : Retour d’expérience – Villes & constructions durables avec Laurent Arnaud (Directeur du domaine bâtiment – Cerema) Toutes les vidéos des émissions seront à retrouver dès le lundi 03 octobre sur la chaîne YouTube de Bati-Journal et sur les sites de nos partenaires institutionnels et médias. En partenariat avec les magazines 5façades, Atrium, Planète Bâtiment et Wood Surfer. Participez à l’événement et commandez votre badge d’accès gratuit avec le code BPA22ATCPR sur le site de batimat.com
Il y a 2 ans et 241 jours

Holcim relève le défi de l’eau

Holcim compte réduire sa consommation d’eau douce sur l’ensemble de ses activités. [©ACPresse] Selon l’ONU, nos besoins en eau vont augmenter de 50 % à l’horizon 2030. Aujourd’hui, trois milliards de personnes n’ont pas accès à cette ressource vitale. Par conséquent, Holcim souhaite relever deux des défis les plus urgents au niveau planétaire : la sécurité de l’eau et le changement climatique. Le cimentier suisse rejoint ainsi la “50 l Home Coalition”1 et la “Water Resilience Coalition”2, afin de réduire la consommation d’eau et de protéger les ressources en eau douce dans le monde. « Le développement durable étant au cœur de tout ce que nous faisons, je suis heureuse que nous ayons rejoint la “50 l Home Coalition” et la “Water Resilience Coalition”, déclare Magali Anderson, responsable en chef du développement durable et de l’innovation du groupe. En nous associant à des organisations partageant les mêmes idées sur la gestion de l’eau, nous pouvons avoir un impact positif sur l’environnement. De telles adhésions renforcent réellement notre vision du progrès pour les gens et la planète. » Une gestion minutieuse Holcim utilise l’eau dans de nombreux processus de production. Pour laver les roches dans les carrières, comme matière première dans la production de béton et comme agent de refroidissement dans la fabrication du ciment. Toutes leurs centrales à béton et toutes leurs carrières disposent d’un circuit fermé, qui permet de réutiliser l’eau récupérée pour la production. En tant que membre principal de la “50 l Home Coalition”, le groupe cimentier souhaite améliorer l’efficacité de l’utilisation de l’eau en milieu urbain. Et développer une gestion stricte de cette ressource avec des indicateurs clairs et des mesures ciblées. D’ici 2030, Holcim compte réduire sa consommation d’eau douce sur l’ensemble de son activité. Une baisse de 33 % de son utilisation d’eau dans la fabrication de ciment, de 20 % dans celle des granulats et de 15 % dans le béton prêt à l’emploi. 1Plate-forme mondiale d’actions pour lutter contre la crise de l’eau en milieu urbain et relever les défis du changement climatique. 2Coalition qui a pour mission de propulser l’accès à l’eau potable en tête des priorités des entreprises.
Il y a 2 ans et 241 jours

Semaine Européenne du Développement Durable : CLAREO s’engage et organise la 1ère édition des CLAREO Green Days !

Alors que les effets du changement climatique ne sont plus une projection mais bien une réalité (incendies, inondations, canicules, etc.) et que la préservation de notre planète est un véritable enjeu de société, CLAREO s’engage et organise les CLAREO Green Days pendant la Semaine Européenne du Développement Durable. Les entreprises sont plus concernées que jamais pour mettre en place des actions […]
Il y a 2 ans et 241 jours

Un projet de liaison électrique entre la France et l'Irlance

Le gouvernement a déclaré d'intérêt public le projet de créer une première liaison électrique France-Irlande, pour favoriser le développement des renouvelables et renforcer la sécurité d'approvisionnement des deux pays.
Il y a 2 ans et 242 jours

Diagnostics de performance énergétique : UFC-Que Choisir dénonce un grand n’importe quoi, encore et toujours

Alors que la pertinence du DPE est plus que jamais indispensable compte tenu des conséquences d’une qualification du logement en tant que passoire thermique, l’UFC-Que Choisir, sur la base de l’analyse de 34 diagnostics réalisés dans 7 maisons situées dans différentes régions de France (1), demande au Gouvernement de revoir de fond en comble le processus de certification des professionnels du diagnostic, et que l’opposabilité du DPE soit étendue aux recommandations en matière de travaux à mener.Jusqu'à 3 classes d'écart pour un même bienAlors qu’un consommateur souhaitant réaliser un DPE de son logement dans le cadre d’une vente ou de la location d’un bien pourrait logiquement considérer que le choix du diagnostiqueur n’affectera pas sa classification, la réalité du terrain met en évidence de stupéfiants écarts. En effet, parmi les 7 maisons qui ont fait l’objet de nombreux diagnostics (entre 4 et 5 chacune), 6 d’entre elles ne se sont pas vues reconnaître la même classe énergétique, avec même une maison pour laquelle la classe attribuée va de B à E alors qu’elle est basse consommation !Cette situation pourrait prêter à sourire si la détermination de la classe du DPE n’emportait pas de conséquences si importantes sur la valorisation du bien immobilier, ou encore sur l’estimation de consommation d’énergie et donc des factures, qui pour une maison va même du simple au plus du double (+226%). Pire, avec l’interdiction de vendre ou louer des biens immobiliers énergivores qui interviendra, progressivement, à partir de l’année prochaine pour les plus énergivores, les conséquences d’un classement erroné s’avéreront encore plus préjudiciables.Des recommandations de travaux d'économies farfeluesLa réglementation impose aux diagnostiqueurs de faire figurer sur le DPE des recommandations sur des travaux permettant d’améliorer l’efficacité énergétique des logements ou de limiter les émissions de gaz à effets de serre. Or, certains conseils sont tout simplement ahurissants : un installateur a ainsi recommandé la pose d’un chauffe-eau solaire alors que la maison en disposait déjà. De même, les estimations de travaux jugés essentiels pour une même maison varient d’un peu plus de 3.000 euros à 10 fois plus pour un autre diagnostiqueur.Comment s’étonner de cette situation alors même que les professionnels du diagnostic sont incapables de tous s’accorder sur la principale source de déperdition de chaleur des logements ? Effectivement, pour un même bien, le DPE d’un diagnostiqueur indique que les murs pèsent pour 49% dans la déperdition de chaleur du logement, quand celui de l’un de ses concurrents indique qu’ils ne pèsent que pour 19%.Les pouvoirs publics continuent de cautionner ces professionnelsLes professionnels contactés sont tous présents sur un site gouvernemental (2) recensant les diagnostiqueurs certifiés. Autrement dit, les pouvoirs publics qui cautionnent cette situation ont une lourde responsabilité sur le sentiment légitime de défiance existant à l’égard des DPE.La nouvelle enquête d'UFC-Que Choisir révèle que la certification n’est en rien un gage de qualité, ce qui démontre un défaut du cadre de certification mais aussi dans les contrôles de qualité des prestations réalisées par les diagnostiqueurs.Il convient de souligner que la discordance a pu être rencontrée aussi bien en ayant recours à des réseaux qu’à des indépendants… Les consommateurs sont donc aujourd’hui largement démunis pour prendre attache en toute confiance avec un diagnostiqueur.Attachée à faire du DPE un outil éclairant utilement les propriétaires sur les travaux à entreprendre, et assurant aux futurs acquéreurs ou locataires de disposer d’une information fiable sur la performance énergétique du bien immobilier, l’UFC-Que Choisir demande :De rendre opposable aux diagnostiqueurs les allégations du DPE sur les travaux recommandésDe revoir en profondeur le système de certification pour assurer aux consommateurs que le recours à un professionnel certifié est réellement gage de qualité. Notes (1) Résultats complets de l’enquête disponibles dans le numéro 617 d’octobre du magazine Que Choisir, actuellement en kiosques. (2) http://diagnostiqueurs.din.developpement-durable.gouv.fr/index.action
Il y a 2 ans et 242 jours

Renforcer les partenariats scientifiques de nos grands équipements

Évaluation de l'étanchéité à la pluie d'éléments de couverture dans la veine atmosphérique de la soufflerie climatique Jules VerneUn conseil scientifique de plateforme (CSP) de la soufflerie Jules Verne a été mis en place pour renforcer et développer les partenariats scientifiques avec les laboratoires académiques. Il en sera de même, très prochainement, pour les autres grands équipements d'essais du CSTB. Ces grands équipements, qui représentent des investissements lourds, doivent être rendus plus visibles sur le plan national comme sur le plan international. Ils en ont la capacité, mais ils doivent pour cela s'appuyer sur des bases scientifiques reconnues, partagées avec les acteurs académiques. Le rôle du CSP est d'exprimer les apports de la recherche académique au regard des capacités d'expérimentation de ces plateformes et de leur couplage avec les outils de simulation numérique. Ceci afin que nous les fassions évoluer pour pouvoir ensuite aborder des questionnements plus complexes tout en valorisant les résultats déjà obtenus. Nelson Rodrigues - Directeur adjoint de la Recherche et du Développement Lire la suite Rapport Responsabilité Sociétale des Entreprises & Activité 2021 Dans la continuité de son premier rapport RSE, le CSTB souhaite, cette année encore, partager son engagement sociétal pour l'année 2021 au travers de ses projets phares et de ses actions en interne.
Il y a 2 ans et 242 jours

La FFB s'engage encore plus pour le développement des compétences dans la construction

Ce « Pact for skills in Construction » contient les engagements suivants :établir des partenariats solides, notamment avec les organismes d’enseignement et de formation professionnels (VET) ;surveiller l'offre et la demande professionnelles et anticiper les besoins en connaissances, compétences et savoir-faire ;lutter contre la discrimination ;attirer davantage de jeunes et de femmes dans le secteur ;promouvoir une culture de l'apprentissage tout au long de la vie pour tous, soutenue par des incitations adaptées.La FFB, avec la FIEC (Fédération européenne de l’industrie de la construction) et le CCCA-BTP, participe depuis le 1er janvier 2019 au projet européen « Construction Blueprint » soutenu par le programme Erasmus+. Construction Blueprint, qui réunit 24 partenaires européens et nationaux issus de 12 pays, a pour objectif de développer une stratégie sur les compétences professionnelles. Il s’agit d’identifier les besoins et attentes des entreprises en matière de compétences, notamment en lien avec les enjeux de l’efficacité énergétique, de l’économie circulaire et du numérique, ainsi que de recueillir les bonnes pratiques, nationales et régionales.Pour Olivier Salleron, président de la FFB : « Investie de longue date dans le développement des compétences, la FFB renouvelle son engagement, aux côtés de sa fédération européenne de la construction, la FIEC. Il importe de tout mettre en œuvre pour permettre à nos entreprises de bénéficier d’une main d’œuvre qualifiée, au fait des enjeux de transitions écologique et numérique. »
Il y a 2 ans et 242 jours

Collecte pour la restauration de la Citadelle de Marseille

La Fondation du Patrimoine a lancé une grande collecte de dons auprès des particuliers et entreprises pour la restauration de la Citadelle de Marseille. Cette collecte se déploie sur deux ans et est ciblée sur la restauration de l’ancien Moulin et du corps de garde Est au Fort d’Entrecasteaux. Ce dernier correspond à la partie haute du Fort Saint-Nicolas, aussi appelée Citadelle de Marseille*, fort militaire du XVIIème siècle racheté par la Ville de Marseille en 2010, puis confié en 2021 à l’association La Citadelle de Marseille pour en assurer la restauration et l’ouverture au public. Classée Monument Historique depuis 1969, cette citadelle témoigne de 350 ans d’histoire de Marseille et d’histoire de France, sans jamais avoir été ouverte au public. Elle a vocation à contribuer à l’attractivité touristique de la ville, mais aussi à devenir un lieu de vie et de création culturelle, dans le respect des valeurs d’inclusion, de transmission et de développement durable défendues par ce projet depuis sa création. L’ancien Moulin et le corps de garde Est font partie des jardins Nord de la Citadelle de Marseille, qui doivent ouvrir au public au printemps 2024. L’objectif de collecte s’élève dans un premier temps à 200 000 €. https://www.lacitadelledemarseille.org