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Il y a 4 ans et 115 jours

Korian noue un partenariat de développement avec Aedifica aux Pays-Bas

Création de la première co-entreprise liant une foncière et un opérateur aux Pays-BasDétention des actifs à 50/50Premier portefeuille d’actifs à développer pour une valeur de 75m €Une structure permettant de soutenir l’accélération du développement de Korian aux Pays-BasCe partenariat prend la forme d’une co-entreprise (« maatschap »), détenue à parts égales par les deux partenaires, qui investira dans le développement de projets immobiliers neufs aux Pays-Bas.Ces établissements, qui seront opérés par Korian, sont destinés à l’accueil et aux soins de personnes fragiles et âgées. Korian exploite déjà à ce jour 36 villas, appartements thérapeutiques et cliniques aux Pays-Bas, et mettra en service 9 établissements supplémentaires d’ici 2021, soit une capacité totale de 1 300 lits.Parmi les nouveaux établissements en construction, 3 sont portées par la co-entreprise, la première de ce type créée avec Aedifica.Des projets supplémentaires seront annoncés dans les prochaines semaines.Une attention particulière sera portée à la qualité énergétique et aux normes environnementales des futurs bâtiments, en ligne avec la norme dite « GPR » aux Pays-Bas.A terme, ce partenariat vise à développer un portefeuille d’actifs d’environ 75 millions d’euros dont une partie significative devrait être sécurisée rapidement en 2021. L’association dans une structure juridique commune permet à Korian de bénéficier de la création de valeur associée au parc qu’il exploite aux Pays-Bas, tout en augmentant son taux de détention immobilière.Aedifica est un partenaire historique de Korian, en Belgique où il est propriétaire des murs de 28 des 120 établissements gérés par Korian, ainsi qu’aux Pays-Bas, où il détient 10 établissements opérés par Korian.Dominiek Beelen, directeur général de Korian Benelux a commenté : « Aedifica est un partenaire de longue date de Korian en Belgique, où il possède les bâtiments de 28 de nos 120 établissements, et récemment également aux Pays-Bas où elle possède dix villas de soins exploitées. Nous sommes heureux d'annoncer cette joint-venture qui nous permettra de poursuivre notre politique de croissance organique aux Pays-Bas en exploitant l'expérience des deux groupes. Ensemble, nous prévoyons de développer de nouvelles villas de soins innovantes et écologiquement responsables pour les personnes âgées, axées sur une approche de soins personnalisés à petite échelle dans un environnement familial. Il existe un besoin croissant d'établissements de soins résidentiels où nous pouvons mettre notre approche positive des soins au service de nos personnes âgées, not attendons d’ailleurs à avoir plus de 45 établissements au Pays Bas à fin 2021 ».De son côté, Stefaan Gielens, directeur général d’Aedifica a ajouté : « Aedifica et Korian s'associent dans une entreprise commune pour investir ensemble dans le développement de biens immobiliers à l'épreuve du temps dans le secteur des soins de santé aux Pays-Bas. En joignant nos forces à celles de Korian, nous créons une nouvelle opportunité de croissance continue sur le marché néerlandais. En outre, cette transaction renforcera notre collaboration de longue date avec l'un des principaux opérateurs européens de maisons de soins. Grâce à l'expérience combinée d'Aedifica et de Korian, encore plus de personnes âgées aux Pays-Bas pourront bénéficier de concepts de soins durables et innovants qui mettent les résidents au centre des préoccupations et leur donnent l'espace nécessaire pour recevoir des soins de la manière qu'ils préfèrent ».Cette collaboration s’inscrit dans la stratégie « Asset Smart » mise en place par Korian en 2016 qui intègre notamment des partenariats équilibrés avec des foncières de renom et qui permettra au Groupe de capter une partie de la valeur long-terme de l’immobilier qu’il opère.Korian a effectivement mis en place depuis trois ans, un certain nombre d’autres partenariats immobiliers en co-détention :Une co-entreprise en 2020 avec Konrad incluant sept maisons de retraite, une résidence service en Belgique, un projet d’extension sécurisé et un pipeline de deux projets futurs. Korian détient 52% de l’ensemble et Konrad, 48%. Les baux de Korian sur ces actifs ont une durée de 12 ans.En mai 2019, Korian s’est associé à la Banque des Territoires et Crédit Agricole Assurances, pour accompagner le déploiement sur le territoire français, des maisons Ages & Vie, solution alternative d’habitat partagé pour les personnes âgées. A fin 2020,la foncière ainsi créée détiendra 69 des 150 implantations nouvelles annoncées à horizon 2024, l’ensemble des bâtiments étant construits selon la norme NF Habitat HQE.Korian poursuit le développement de son parc immobilier afin de soutenir ses opérations, en ligne avec sa stratégie et dans le respect de ses engagements RSE auprès de ses parties prenantes.
Il y a 4 ans et 116 jours

Création du Conseil national de l'hydrogène

Cette stratégie vise trois priorités qui conjuguent développement technologique et transition écologique :la décarbonation de l'industrie pour contribuer à l'atteinte de la neutralité carbone en 2050 en faisant émerger une filière française de l'hydrogène;le développement des mobilités lourdes à l'hydrogène ;le soutien à la recherche, l'innovation et le développement des compétences.L'objectif de cette stratégie est d'accélérer la maîtrise technologique des composants essentiels de la chaîne de valeur et un passage rapide à l'échelle industrielle pour permettre une baisse significative des coûts de production.Depuis l'annonce de la Stratégie nationale pour le développement de l'hydrogène décarboné, en septembre dernier, des actions ont déjà été engagées :le lancement, le 14 octobre 2020, des deux Appels à Projets « Briques technologiques et démonstrateurs » et « Ecosystèmes territoriaux », dotés respectivement de 350 et 275 millions d'euros mobilisant le Programme Investissements d'Avenir ;l'installation d'un Programme Prioritaire de Recherche (PPR) « applications de l'hydrogène » mobilisant également les moyens du Programme des Investissements d'Avenir pour soutenir la recherche en amont et préparer la future génération des technologies de l'hydrogène ; ce programme sera piloté scientifiquement par le CEA et le CNRS ;au niveau européen, la signature conjointe par 23 Etats-membres, le 17 décembre 2020, d'un manifeste pour le développement d'une chaîne de valeur de l'hydrogène. Il s'agit du point de départ d'un nouveau Projet important d'intérêt européen commun (PIIEC) qui sera mis en œuvre sur l'année 2021.Pour assurer une mise en œuvre efficace de la Stratégie nationale pour le développement de l'hydrogène décarboné, Barbara Pompili, Bruno Le Maire, Frédérique Vidal et Agnès Pannier-Runacher ont décidé la création du Conseil national de l'hydrogène.Cette instance, dont la composition a été proposée aux Ministres par Alexandre Saubot, vice-président du Conseil national de l'industrie, aura pour rôle de structurer les échanges entre l'Etat et les parties prenantes de la mise en œuvre de la stratégie, en particulier les filières industrielles, et de mesurer le bon déroulement des actions prévues pour identifier, le cas échéant, les éventuels freins. Elle contribuera ainsi au développement d'une filière française compétitive de l'hydrogène décarboné, favorisera l'émergence de projets collectifs visant à la structuration d'une chaîne de valeur complète sur notre territoire ou dans le cadre de coopérations européennes.La composition de ce conseil, qui se réunira dans le cadre du Conseil national de l'industrie et associera également Régions de France, est la suivante : Philippe Boucly, président de France Hydrogène ;Laurent Carme, directeur général de McPhy ;Frédéric Chalmin, directeur général de KemOne, représentant le Comité Stratégique de Filière Chimie & Matériaux ;Philippe Darmayan, président d'ArcelorMittal France, représentant le Comité Stratégique de Filière Mines et Métallurgie ;Jean-Brice Dumont, directeur exécutif de l'ingénierie et membre du comité exécutif d'Airbus, représentant le Comité Stratégique de Filière Aéronautique ;Gabrielle Gauthey, directrice générale du Carbon Neutrality Business de Total ;Hervé Guillou, président du Comité Stratégique de Filière Industriels de la Mer ;François Jacq, administrateur Général du CEA ;Patrick Koller, directeur Général de Faurecia, représentant le Comité Stratégique de Filière Automobile ;Jean-Bernard Lévy, président-directeur général d'EDF ;Catherine MacGregor, directrice générale d'Engie ;Benoît Potier, président-directeur général d'Air Liquide et co-président du Conseil mondial de l'hydrogène ;Henri Poupart-Lafarge, président-directeur général d'Alstom et représentant le Comité Stratégique de Filière Ferroviaire ;Alexandre Saubot, président de France Industrie ;Guy Sidos, président-directeur général de Vicat et représentant le Comité Stratégique de Filière Construction ;Pierre Verzat, président de Syntec ingénierie.La coordination des industriels membres du Conseil national de l'hydrogène sera assurée via une co-présidence entre Patrick Koller et Benoit Potier. Le secrétariat du conseil sera assuré par le coordinateur interministériel qui sera prochainement nommé, en lien avec les délégués permanents du comité stratégique de filière Nouveaux systèmes énergétiques et de France Hydrogène.La première réunion du Conseil national de l'hydrogène se tiendra dans le courant du mois de janvier. Elle permettra notamment de faire un premier bilan de la mise en œuvre de la Stratégie nationale pour le développement de l'hydrogène décarboné et de faire un point d'étape sur la construction et le calendrier du PIIEC.Réaction de Philippe Boucly, président de France Hydrogène« Une étape importante dans la mise en œuvre de la stratégie française »L'État a annoncé aujourd'hui la mise en place et la composition du Conseil National de l'Hydrogène. Une étape importante que je salue car elle installe l'hydrogène en tant qu'industrie stratégique en France. Elle illustre la volonté du gouvernement de maintenir un dialogue soutenu et de proximité avec les industriels afin de réussir la mise en œuvre d'une stratégie nationale ambitieuse. Le Conseil National de l'Hydrogène qui réunit de grands industriels représentant plusieurs filières industrielles, aura notamment pour mission d'évaluer le bon déroulement des actions prévues pour identifier, le cas échéant, les éventuels freins ou les nouvelles actions à mettre en place. L'objectif est clair et partagé entre l'État et les industriels : réussir à développer une filière française compétitive de l'hydrogène décarboné d'ici 10 ans. Au-delà de l'enjeu climatique, il nous faut également gagner la bataille de la réindustrialisation. Cela passe nécessairement aussi par la structuration d'une chaine de valeur complète sur notre territoire. Je suis sûr qu'au travers de coopérations, les locomotives que sont les grands groupes, alliées aux PME-PMI et start-up innovantes sauront trouver le chemin et les moyens pour développer des projets d'envergure et changer d'échelle. Nous sommes tous alignés sur l'objectif à atteindre. La tâche est grande et les objectifs ambitieux. Nous avons les moyens d'y parvenir et les forces réunies au sein du Conseil National de l'Hydrogène vont en permettre une utilisation des plus efficientes.Philippe Boucly, Président de France Hydrogène
Il y a 4 ans et 116 jours

Colas s’engage pour réduire son empreinte carbone

Centrale à béton Servant, marque appartenant au groupe Colas. [©Colas] Colas s’engage dans une stratégie de décarbonation de ses activités. Le groupe s’est fixé un objectif ambitieux : réduire de 30 % ses émissions directes de gaz à effet de serre (Ges) comme ses émissions indirectes en amont. Pour cela, il a élaboré une feuille de route “Carbone”. Cette dernière est pilotée par un comité stratégie carbone. Elle est déployée dans les entités opérationnelles. « Le changement climatique nous oblige et nous engage aujourd’hui et demain, indique Frédéric Gardès, directeur général de Colas. Etre leader mondial de la construction et de l’entretien d’infrastructures de transport, c’est avoir la responsabilité de faire évoluer tout ce secteur dans la bonne direction. Dès 2021, toutes les équipes de Colas dans le monde seront mobilisées pour concrétiser les engagements établis dans notre feuille de route carbone. » Celle-ci comporte d’ailleurs 24 engagements, mesurés à l’aide d’indicateurs existants ou en cours de création. L’objectif fixé est issu des estimations d’économies de CO2liées à la mise en place de diverses actions internes.  Réduire la dépendance aux énergies fossiles La première d’entre elles consiste à intégrer les enjeux climatiques dans la stratégie du groupe. Pour y parvenir, Colas souhaite : • Analyser les risques et les opportunités du changement climatique sur les activités ;• Sensibiliser tous les collaborateurs aux enjeux climatiques ;• Développer de nouveaux segments métiers basés sur les offres énergies renouvelables ;• Valoriser la stratégie bas carbone du groupe dans ses offres. La deuxième action vise à améliorer l’efficience énergétique pour réduire les émissions de Ges liées à la consommation directe d’énergie. A savoir :  • Mettre en place des outils de pilotage et de suivi énergétique des centrales d’enrobage, des engins et des véhicules. D’ici à 2024, près de 50 % de la flotte seront équipés en télématique embarquée ;• Former à l’éco-conduite les collaborateurs utilisateurs d’engins et de véhicules ;• Diminuer la consommation et le taux de ralenti des véhicules ;• Réduire la dépendance aux énergies fossiles en recourant aux énergies renouvelables ;• Favoriser les transports alternatifs (fret ferroviaire ou par voie navigable) à la route pour l’acheminement du bitume et des granulats ;• Faire évoluer la flotte de véhicules vers des solutions bas carbone (électriques, hydrogène vert, biogaz, hybrides…). Développer l’achat de ciment et de liants hydrauliques bas carbone  En troisième place viennent l’essor et la promotion des produits, techniques et solutions bas carbone. Aussi bien pour les activités “bétons” qu’“enrobés” : • Développer l’achat de ciment et de liants hydrauliques bas carbone ;• Réduire l’intensité carbone des bétons produits sur les sites de BPE du groupe Colas ;• Développer le recours aux matériaux biosourcés ;• Faire du groupe un acteur de la recherche sur les liants bas carbone dans le domaine des infrastructures de transport ;• Augmenter la part de matériaux recyclés dans les enrobés. L’objectif est de 18 % d’ici à 2024 ;• Développer le recyclage des chaussées en place ;• Diminuer la température de fabrication des enrobés ;• Promouvoir les enrobés tièdes, avec une production mondiale de 50 % à l’échelle mondiale d’ici 2030. Enfin, la quatrième grande action prévoit de contribuer à la neutralité carbone et à la réduction des émissions des clients et usagers. Pour ce faire, Colas prévoit de : • Proposer des services de mobilité innovants et responsables ;• Optimiser les usages des infrastructures ;• Favoriser la recherche et développement sur des techniques de captage et séquestration de CO2. Une démarche menée via des partenariats avec des entreprises ou start-up spécialisées dans le domaine.
Il y a 4 ans et 119 jours

Jacques Bouillot, nouveau président de l’ESB

Jacques Bouillot, Directeur Filière sèche & solutions bas carbone chez Eiffage Construction succède à Jean-Luc Ansel, à la tête du Conseil d’Administration de l’école d’ingénieurs ESB à Nantes, depuis 2017. Tout d’abord membre du Conseil d’Administration, Jacques Bouillot a rejoint le Bureau de l’ESB en 2017 en tant que Vice-Président chargé de la formation. Titulaire d’un diplôme d’ingénieur de l’Ecole spéciale des Travaux Publics, du Bâtiment & de l’Industrie (1986), d’un Master en sciences économique et commerciale de l’ESSEC (1988) et d’un Master en Développement Durable de l’Université Paris Dauphine (2008), il cultive son appétence pour les enjeux climatiques tout au long d’une carrière orientée vers l’industrie et la construction. Directeur Filière sèche & solutions bas carbone chez Eiffage Construction, il est à l’origine de la structuration du service bois qui permet aujourd’hui à l’entreprise de se positionner sur des projets tels que Jean Jouzel (La Rochelle), la Tour Hyperion (Bordeaux), la tour Sensations (Strasbourg) ou le Village des athlètes, en vue des JO 2024 (Seine-Saint-Denis). Convaincu du potentiel du bois et des matériaux biosourcés dans la construction bas carbone, il est membre actif de la commission feu d’ADIVbois, l’association pour le Développement des Immeubles à Vivre en bois, à laquelle il apporte sa vision de l’entrepreneuriat général.
Il y a 4 ans et 119 jours

Olivier Rousset, nouveau directeur général adjoint de l’ONF

Bertrand Munch, directeur général de l’Office national des forêts, a nommé Olivier Rousset au poste de directeur général adjoint. Précédemment directeur territorial en Midi-Méditerranée, il remplace François Bonnet qui a rejoint le ministère de la Transition écologique en tant que délégué ministériel pour la forêt et le bois. En 2010, Olivier Rousset rejoint l’ONF comme directeur de l’agence territoriale Bourgogne-Est constituée de 13 unités territoriales réparties dans les départements de Côte-d’Or et de Saône-et-Loire. Puis, en 2016, il se voit confier la direction territoriale Méditerranée et le pilotage de la création d’une nouvelle direction territoriale à l’échelle des régions PACA et Occitanie. De 1999 à 2010, Il a exercé, au sein des ministères de l’agriculture, de l’intérieur puis de l’environnement. D’abord, en administration centrale, comme chef de bureau en charge de mesures du deuxième pilier de la politique agricole commune. Puis, comme chargé de mission, auprès du préfet de région Provence-Alpes-Côte d’Azur, pour les sujets forestiers, agricoles et environnementaux. Il a, à ce titre, piloté le plan interministériel de restauration de la rivière Durance. Enfin, il a été directeur délégué de DIREN PACA puis directeur adjoint de la DREAL PACA. En 1996, il débute son parcours professionnel au Centre d’Ecologie Fonctionnelle et Evolutive (CNRS). Ses travaux de recherche de doctorat ont porté sur les dynamiques de régénération du chêne pubescent sur les plateaux calcaires du sud du Massif Central et ont permis de caractériser l’importance des interactions positives entre espèces végétales dans les milieux naturels difficiles.
Il y a 4 ans et 120 jours

Le Gouvernement lance une mission pour dynamiser le tiers financement en rénovation

ANNONCE. Comme l'avait annoncé Emmanuel Macron en décembre 2020, un travail va être lancé sur le tiers financement dans la rénovation énergétique des passoires thermiques. Olivier Sichel, directeur général délégué de la Caisse des dépôts, a ainsi été chargé par la ministre du Logement, Emmanuelle Wargon, de dégager des pistes permettant de massifier ce type d'opérations.
Il y a 4 ans et 121 jours

Portail, clôture : un nouveau DG pour Préfalu

CARNET-NOMINATION. Le spécialiste des portails, clôtures et portillons en aluminium, Préfalu, dispose d'un nouveau directeur général en la personne d'Olivier Briat.
Il y a 4 ans et 122 jours

L'EPA Nice Écovallée sélectionne Architecturestudio pour la maîtrise d'œuvre urbaine de Parc Méridia

Architecturestudio sera chargée de faire émerger un nouveau quartier de vie au sein de l'Opération d'Intérêt National Nice Écovallée poursuivant la structuration et la requalification urbaine du territoire sur une soixantaine d'hectares entre la ZAC Nice Méridia et le stade Allianz Riviera.Pour Sarah Bellier, Directeur général par intérim de l'EPA Nice Écovallée« Le projet proposé par Architecturestudio a répondu à nos aspirations en termes de praticité, opérationnel, avec une justesse d'échelle urbaine. Il s'agit de faire émerger d'ici 12 ans, un nouveau quartier de vie paysager dans le prolongement de Nice Méridia. Parc Méridia participera au changement d'échelle de la technopole urbaine. La concertation publique débutera courant 2021. Parmi les 23 groupements qui ont répondu à notre consultation, trois ont été admis à concourir : le groupement avec Architecturestudio, le groupement Agence Ter (mandataire) avec CAB, TECTA, INDDIGO, Guam Conseil et Builders&Partners et le groupement TVK (mandataire) avec BASE, SOA, Suez Consulting SAFEGE, EODD, Roland Ribi et Associés et la Société du canal de Provence et d'aménagement de la région provençale. Nous sommes très fiers, le territoire est attractif pour les professionnels de la ville. »Pour Philippe Pradal, Président de l'EPA Nice Écovallée« Parc Méridia lance concrètement la phase 2 de l'OIN Nice Écovallée. Aujourd'hui, à l'ouest de Nice, la ville polycentrique se dessine. Nice Méridia, Grand Arénas et Parc Méridia sont et seront de nouveaux pôles de vie et d'attractivité qui répondent aux besoins de logements des habitants et usagers du territoire et au-delà des entreprises. Une nouvelle dynamique économique et urbaine est enclenchée. »Parc Méridia, un projet d'envergure pour donner une nouvelle échelle à la technopole urbaine, Nice MéridiaParc Méridia s'inscrit dans le contrat de PPA (Projet partenarial d'aménagement) signé en 2019 pour la période 2019-2032 par les partenaires. Il prévoit le développement d'environ 589.000 m2 de surface de plancher. Il s'agit de créer un nouveau quartier de vie mixte, animé et intergénérationnel visant à accueillir logements, entreprises et emplois, ainsi que les commerces et services de proximité et équipements publics nécessaires aux habitants et usagers.Parc Méridia, un quartier paysagerCe développement urbain va de pair avec la préservation et la mise en valeur des zones naturelles et agricoles. Au titre de la Directive territoriale d'aménagement (DTA), un minimum de cinquante hectares de terres agricoles seront préservés. La zone agricole au nord du périmètre a vocation à faire l'objet d'un projet agricole. Le quartier s'articulera autour d'un grand parc paysager de 20 ha (plus important que la Promenade du Paillon (15ha)) sur ce territoire historiquement et symboliquement agricole et paysager, pour une reconquête de la nature sur des espaces aujourd'hui très dégradés. Ce parc sera réalisé sous maîtrise d'ouvrage de la Métropole Nice Côte d'Azur.« Habiter le parc, les sillons » selon ArchitecturestudioLe groupement lauréat propose une urbanisation douce, où se mêlent densité désirable, mixité plurielle, maillage performant et souple et paysage continu. L'enjeu est de valoriser un lien fort avec le parc de 20 ha dans une subtile cohabitation avec les équipements sportifs du parc des Sports et dans un dialogue avec les espaces naturels et agricoles remontant vers l'Allianz Riviera et son écoquartier. La qualité de vie, l'exemplarité environnementale et l'innovation seront les fondamentaux de Parc Méridia. Le quartier se dessine selon un principe de sillons d'est en ouest pour ouvrir les bâtiments sur le paysage de la plaine du Var. La trame urbaine s'inscrit dans le prolongement de celle de la ville traditionnelle et de Nice Méridia.Un parc de 20 ha qui s'inscrit dans le plan de verdissement de Nice, ville verte de la méditerranéeAu XIXe siècle, Nice était déjà la ville-jardin de l'Europe. Ce patrimoine exceptionnellement préservé est un des axes majeurs du développement de la ville et de la métropole Nice Côte d'Azur. Aux plus de 300 hectares d'espaces verts déjà accessibles au public à Nice et en complément des 50 nouveaux hectares de parcs et jardins qui sont programmés d'ici fin 2025, dont 30ha sur le grand parc paysager de la plaine du Var, 10ha sur l'extension de la Promenade du Paillon, s'ajoute ainsi le parc de l'écoquartier Grand Méridia à l'ouest du centre historique de Nice, dans l'OIN ou l'urbanisme repose sur un modèle de transition écologique. Il ne s'agit pas seulement de faire naître un nouvel espace naturel. « Il s'agit d'aménager, de valoriser les complémentarités entre ville et campagne et de préserver les précieuses ressources » selon Christian Estrosi, Maire de Nice, Président de la Métropole Nice Côte d'Azur, Président délégué de la Région Provence Alpes Côte d'Azur,Dès 2008, ces priorités et notamment la Trame Verte et Bleue ont été inscrites dans le Plan Local d'Urbanisme de Nice. Cela a permis de préserver les espaces agricoles et naturels, notamment ceux des collines et de la plaine du Var mais aussi de redévelopper la culture du maraîchage comme élément économique structurant en écho à la forte vocation agricole du lieu. Grâce à tous les efforts engagés en faveur de la végétalisation du territoire, Nice recense 1 arbre pour 5 habitants soit l'une des communes les plus vertes de France.Ces nouveaux espaces verts augmentent considérablement la surface perméable du territoire permettant d'améliorer durablement le drainage des espaces publics et de supprimer progressivement les ilots de chaleur.Ils atténuent les épisodes d'inondation ou de ruissellement des eaux et favorisent l'infiltration dans les réserves d'eau souterraines pour redonner au sol son rôle naturel d'éponge en évitant la saturation des réseaux.Parc Méridia, une opération majeure de la deuxième phase de Nice ÉcovalléeDix ans après la création de l'Opération d'Intérêt National Nice Écovallée, la première phase de développement s'achève avec la livraison des premiers aménagements publics et programmes immobiliers dans Grand Arénas, le quartier d'affaires à vivre 100% azuréen, et Nice Méridia, la technopole urbaine au cœur de la Métropole de Nice Côte d'Azur. Alors qu'une nouvelle centralité métropolitaine émerge, plébiscitée par les habitants et les entreprises qui y créent de l'emploi autour du futur pôle d'échanges multimodal et des lignes 2 et 3 du tramway, une nouvelle page s'écrit pour Nice Écovallée depuis l'approbation en décembre 2019 du contrat de Projet Partenarial d'Aménagement. Ce contrat de PPA identifie trois nouvelles opérations, le hameau de La Baronne à la Gaude, Lingostière sud et Parc Méridia pour la période 2019-2032.
Il y a 4 ans et 122 jours

Premier béton prêt à l’emploi à base de bois chez Vicat

L’offre bas carbone Vicat s’enrichit du premier Béton Prêt à l’Emploi (BPE) biosourcé à base de bois. Composé de ciment bas carbone « Naturat », de granulats de bois et d’une charge minérale, il est livré en toupie pour une mise en œuvre identique à celle d’un béton traditionnel. Compatible avec le savoir-faire que les maçons ont développé depuis des décennies, il présente une rhéologie de 90 minutes et une consistance adaptée au remplissage de coffrages. La diversité des formulations permet de répondre à de nombreuses applications. Un premier chantier sera réalisé aux Puces du Canal à Villeurbanne (69) pour un ouvrage lié à la mobilité douce. « L’inclusion du bois dans une charge minérale donne naissance à un nouveau matériau qu’il est possible de produire sur tout le territoire. Il complète notre offre de matériaux biosourcés initialement destinés à la préfabrication. Ce développement est une réponse aux besoins de la future RE2020 et accompagne les filières de la construction vers la neutralité carbone. »  Guy Sidos, Président-directeur général du groupe Vicat Photo : Vicat
Il y a 4 ans et 123 jours

Le Groupe Lorillard assoit sa position de leader sur le marché de la menuiserie bois avec l’acquisition de la société Menuiserie Meslin

Expert de la menuiserie industrielle sur-mesure, le Groupe Lorillard, présidé par Monsieur Thierry LUCE, vient d’acquérir l’entreprise Menuiserie Meslin à Glatigny (50). Cette acquisition concède au Groupe Lorillard de nouvelles parts de marché et vise à renforcer sa position de leader dans la menuiserie bois, avec l’offre bois la plus large et la plus complète du marché. Elle permet également au Groupe d’intégrer des produits bois et aluminium spécifiques. De gauche à droite : Pierre Lorillard Directeur Général délégué au commerce, Madame et Monsieur Le Roy Dirigeants de la Menuiserie Meslin et Thierry Luce Président du Groupe Lorillard   DES VALEURS PARTAGÉES Créée en 1961, la société Menuiserie Meslin est spécialisée dans la fabrication de menuiseries bois personnalisées et sur mesures. Entreprise familiale, dirigée par Monsieur et Madame Le Roy, elle rassemble 48 salariés et réalise un chiffre d’affaires de 7,5 millions d’euros (2020). S’adressant exclusivement aux artisans, la commercialisation en B to B n’implique que la fourniture de menuiseries. Ainsi l’entreprise, qui n’a pas encore de commerciaux, réalise 80 % de son chiffre d’affaires sur Paris et la région parisienne, à la faveur de sa notoriété, de ses produits atypiques (portes cochères, menuiseries cintrées en plan et en élévation pour bâtiment haussmanniens, etc.) et de son savoir-faire spécifique dans la menuiserie bois. Forte d’une activité saine et croissante, la Menuiserie Meslin a cependant besoin de s’adosser à un groupe afin de bénéficier d’une structure puissante pour développer son savoir-faire sur l’ensemble du territoire et faire croître la commercialisation de ses menuiseries. Au regard de l’histoire, du caractère familial et de la forte implantation régionale de l’entreprise, la société susceptible de les racheter se devait de partager les mêmes valeurs. C’est le Groupe Lorillard qui a donc été choisi par les dirigeants pour acquérir l’entreprise Menuiserie Meslin. Initialement ce rachat aurait dû se faire au mois de juillet dernier mais la crise sanitaire actuelle a bloqué l’avancement de l’acquisition. Et ce n’est qu’en novembre que le protocole d’accord fut signé. Site de production et siège social de la Menuiserie Meslin à Glatigny (50).   ENRICHIR LES ACQUIS C’est toute son expérience industrielle et commerciale que le Groupe Lorillard va mettre à la disposition de la Menuiserie Meslin. Le Groupe a défini un plan industriel avec des investissements à court, moyen et plus long terme, afin d’augmenter les capacités de production, d’améliorer la performance de l’entreprise et d’accroître son chiffre d’affaires. Ainsi, une campagne de recrutement va être menée pour intégrer du personnel de chiffrage et renforcer le Bureau d’Etudes, ainsi que des opérateurs et menuisiers dans les ateliers. Des évolutions et des investissements vont également être menés pour l’outil de production. La société Menuiserie Meslin conçoit des menuiseries bois (80 % de l’activité), des menuiseries aluminium (20% de l’activité) et produit quelques menuiseries PVC. La production PVC va être rapatriée à Chartres afin de laisser plus de place pour l’agrandissement de la production aluminium qui représente 1,5 M€ du chiffre d’affaires actuel de la société Menuiserie Meslin. Ainsi, plusieurs équipements aluminium du Groupe vont être transférés chez Meslin afin de renforcer la production de produits aluminium spécifiques. Une plus-value pour le Groupe qui ne proposait pas encore ce type de produits : portes repliables, portes basculantes, verrières, coulissants d’angle réalisés à partir de la gamme Technal, partenaire historique de la Menuiserie Meslin. Parallèlement, l’outil de production bois va bénéficier de nouvelles machines visant à améliorer la performance d’usinage ainsi que d’une nouvelle cabine de laquage pour la garantie 10 ans des finitions bois, courant 2021. L’objectif est clair : densifier l’activité B to B avec la vente aux artisans, en augmentant la production bois de près de 30% et l’ambition de porter le chiffre d’affaires à 8,5 M€ en 2021 et 12 M€ à 3 ans. Atelier bois de Glatigny (50) de la Menuiserie Meslin   CHRONIQUE D’UNE CROISSANCE ANNONCÉE Comme l’évoquait Thierry Luce début 2020 « Il est aujourd’hui nécessaire de continuer à investir pour résister à une pression concurrentielle nationale et internationale toujours plus importante » ; l’objectif du Groupe Lorillard est d’acquérir une taille critique qui se situe entre 200 et 250 M€ de chiffre d’affaires. L’acquisition de la Menuiserie Meslin porte le chiffre d’affaires du Groupe à près de 190 M€ à fin 2020, rapprochant le Groupe de l’objectif critique souhaité. Autres ambitions du N°1 sur le bois en France : renforcer sa position de leader sur ce marché par l’élargissement de son offre et porter la capacité de production bois du Groupe à plus de 25 % d’ici 2022. Avec la société Menuiserie Meslin, le Groupe Lorillard se dote d’une 4ème usine de production bois (avec son site chartrain, Molénat à Decazeville et Bourneuf à Parigné-L’Evêque), mais acquiert également des produits inédits au sein du Groupe et une complémentarité commerciale avec les marques Molénat et Bourneuf. En effet, Lorillard dispose désormais d’une commercialisation multicanale (BtoB, BtoC, chantier) ; Molénat distribue spécifiquement aux négoces, et Bourneuf se consacre à la fourniture et la pose de chantier haut de gamme ; quant à Meslin, elle vient renforcer le mode de fourniture directe aux artisans.   Aujourd’hui, le Groupe Lorillard figure parmi les plus grands fabricants de menuiseries industrielles en France avec ses 7 sites de production répartis à travers le pays : Chartres (28), Saint-Doulchard (18), Pralong (42), Parigné-l’Evêque (72), Decazeville (12), Saint-Martin-de-Seignanx (40) et Glatigny (50) dont 4 ateliers bois, 4 ateliers PVC, 3 ateliers aluminium et 1 atelier pour les volets roulants. Et, l’acquisition de ce 7ème site de production oeuvre pour une stratégie de maillage du territoire, avec l’objectif de minimiser les coûts de transports en produisant toujours au plus près des clients et des chantiers. In fine, avec l’acquisition de la société Menuiserie Meslin, la représentativité de l’activité bois au sein du Groupe Lorillard se chiffre à 45 M€ (fourniture et pose et fourniture seule), soit un quart du chiffre d’affaires du Groupe.
Il y a 4 ans et 123 jours

La collecte nette pour le Livret A rebondit à 2,4 milliards d'euros en novembre

Ce faisant, le Livret A a ainsi fait nettement mieux qu'au mois de novembre 2019, durant lequel il avait moissonné 610 millions d'euros. En octobre 2020, il a par ailleurs essuyé une collecte nette négative (retraits moins dépôts) de 940 millions d'euros."Avec la proximité des fêtes, les paiements des impôts locaux et l'absence de primes, novembre est traditionnellement un mauvais mois pour le Livret A", mais "pour 2020, le deuxième confinement, avec une renonciation forcée à la consommation, explique la forte collecte nette", souligne dans une note Philippe Crevel, directeur général du Cercle de l'épargne, cabinet de réflexion sur l'épargne et sa réglementation.Avec ces 2,4 milliards, le Livret A enregistre ainsi une collecte nette cumulée depuis le début de l'année d'un peu plus de 27 milliards d'euros, contre environ 14 milliards recensés durant la même période en 2019, précise la Caisse des dépôts, laquelle gère ce placement conjointement avec les établissements bancaires.Considéré comme un placement refuge, le Livret A, qui garantit pourtant un taux d'intérêt historiquement faible de 0,5% par an, connaît en 2020 un succès historique dans le contexte d'incertitudes économiques et sanitaires liées au Covid-19, contrastant notamment avec une forte décollecte sur les contrats d'assurance vie.Les tendances sont globalement les mêmes si l'on prend en compte le Livret de développement durable et solidaire (LDDS), qui a réalisé une collecte nette de 910 millions d'euros en novembre, contre un mois de collecte nette nulle en novembre 2019. En octobre 2020, le LDDS a par ailleurs connu une décollecte de 80 millions d'euros.À eux deux, le Livret A et le LDDS ont ainsi collecté plus de trois milliards d'euros en net en novembre, et plus de 35 milliards depuis le début de l'année.Le Livret A finance essentiellement le logement social, tandis que le LDDS est dédié à l'économie sociale et solidaire ainsi qu'aux économies d'énergie dans les logements.À fin novembre, 446 milliards d'euros au total étaient placés sur les deux produits."En mettant sciemment leur argent sur leurs livrets d'épargne, les ménages flèchent et sécurisent une partie de leurs revenus à la différence de ceux laissés sur les comptes courants. Il y a une volonté manifeste à se constituer une réserve pour faire face à la survenue de problèmes d'emploi ou de revenus", pointe M. Crevel."Dans le contexte anormal de 2020, les ménages ne veulent pas s'engager sur le long terme et privilégient donc des produits liquides. Cette priorité pénalise le premier produit d'épargne français, l'assurance vie", ajoute cet analyste.
Il y a 4 ans et 123 jours

Vicat développe le premier béton prêt à l'emploi biosourcé à base de bois

L'alliance du ciment et du boisComposé de ciment bas carbone « Naturat », de granulats de bois et d'une charge minérale, il sera livré en toupie pour une mise en œuvre identique à celle d'un béton traditionnel. Compatible avec le savoir-faire que les maçons ont développé depuis des décennies, il présente une rhéologie de 90 minutes et une consistance adaptée au remplissage de coffrages. La diversité des formulations permet de répondre à de nombreuses applications.Un premier chantier sera réalisé aux Puces du Canal à Villeurbanne (69) pour un ouvrage lié à la mobilité douce.« L'inclusion du bois dans une charge minérale donne naissance à un nouveau matériau qu'il est possible de produire sur tout le territoire. Il complète notre offre de matériaux biosourcés initialement destinés à la préfabrication. Ce développement est une réponse aux besoins de la future RE2020 et accompagne les filières de la construction vers la neutralité carbone. »Guy Sidos, Président-directeur général du groupe Vicat
Il y a 4 ans et 126 jours

Une usine de panneaux solaires à 1.500 emplois en projet tout près de "Smartville" en Moselle

Le projet est prévu sur la zone d'accueil de l'usine automobile Smart, vendue en début de semaine par le groupe Daimler au Britannique Ineos.Le projet, dont la demande de permis de construire a été déposée, consiste à produire dans un premier temps 4,5 millions de panneaux par an, au moyen d'un investissement de 681 millions d'euros, a annoncé Rec Solar lors d'un point presse par visioconférence.Cette première phase qui démarrerait en 2022 doit créer 1.500 emplois, puis une seconde à confirmer aboutirait, en 2025, à un effectif de 2.500 salariés pour 9 millions de panneaux annuels. De quoi produire une puissance de 4 gigawatts-crête (GWc), "l'équivalent d'un réacteur nucléaire de 900 mégawatts", selon la société.La "décision définitive" d'enclenchement de la première étape (2 GWc) devrait être prise "mi-mars" par le groupe Rec, a annoncé Cemil Seber, son directeur général.Elle dépendra de deux critères principaux: le résultat de la concertation sur le projet qui démarre lundi prochain sous l'égide de la Commission nationale du débat public et le bouclage du financement de l'investissement.Sur ce second point, "on fera évidemment appel aux aides (publiques) auquel on pourra avoir droit", a déclaré M. Seber.L'usine Rec serait l'une des plus grandes du genre en Europe, avec celle que projette le Suisse Meyer-Burger en Allemagne, dans un domaine dominé par les fabricants asiatiques.Selon M. Seber, sa capacité en 2022 puis en 2025 représenterait à chaque fois environ 10% du marché européen, si bien que "le marché a certainement une taille suffisante pour absorber notre production", a-t-il estimé.Groupe dans l'énergie solaire de 2.000 salariés et 500 millions de dollars de chiffre d'affaires en 2019, Rec exploite une première usine de panneaux photovoltaïques à Singapour.Il veut s'implanter à Hambach afin de "produire au coeur du marché européen, en plein essor", selon M. Semer. "Depuis Singapour, il faut quatre à six semaines d'acheminement, ce qui est trop", a expliqué le dirigeant.L'usine se complèterait d'un centre de recherche et développement, autour de la technologie "innovante" de fabrication, "l'hétérojonction", que Rec Group développe avec le Commissariat à l'énergie atomique français, a précisé M.Semer.
Il y a 4 ans et 130 jours

Le Groupe Poujoulat poursuit ses investissements industriels dans la production de bois de chauffage

Installée sur une friche industrielle (une ancienne filature) à Demangevelle en Haute-Saône, l'usine Bois-Factory 70 produit du bois de chauffage haute performance (écorcé, calibré et séché). Certifiées NF biocombustibles solides, ces produits permettent aux utilisateurs de bois énergie de disposer d'un combustible adapté aux appareils modernes et performants (labellisés Flamme Verte) et répondent ainsi aux enjeux de la qualité de l'air. Le site, d'une surface de dix hectares, est implanté au cœur d'un massif forestier peuplé d'essences feuillues parfaitement adaptées aux exigences de la combustion. La première tranche d'investissements représente 20 millions d'euros (génie civil, machines-outils, chaudière biomasse et premier séchoir). Une seconde tranche d'investissement, de 6 millions d'euros, s'engagera à compter du début de l'année 2021 pour permettre la montée en charge de l'usine. Cette seconde tranche a bénéficié d'une aide du plan de relance au titre du « Fonds d'accélération des investissements industriels dans les territoires » porté par la Préfecture de département et la Conseil Régional Bourgogne Franche-Comté. Le site a, par ailleurs, été soutenu par le fonds chaleur de l'ADEME dès 2015 pour ses investissements permettant d'alimenter le process de séchage. A moyen terme, l'unité de production de Haute-Saône fournira 150 000 stères de bois certifiés, 20 000 m3 de bois d'allumage et 10 000 tonnes de bûches densifiées, permettant de doubler la capacité de production du groupe. L'usine comptera une quarantaine de salariés et participera à la dynamisation de la filière forêt-bois de la région avec près de 150 emplois indirects.« Nous nous inscrivons, avec cet outil, dans le sillon tracé par la Programmation pluriannuelle de l'énergie, à savoir : développer le bois énergie domestique moderne et performant. Pour ce faire, le groupe propose des biocombustibles de toute nature ayant les performances requises pour que cohabitent chauffage au bois et amélioration de la qualité de l'air. Avec le déploiement des appareils modernes labellisés Flamme Verte « 7 étoiles », nos produits répondent aux exigences d'une excellente hygiène de combustion. Notre offre de bois de chauffage certifié est d'ores et déjà un succès, la croissance est au rendez-vous. » Frédéric COIRIER, Président Directeur Général du Groupe
Il y a 4 ans et 135 jours

Le béton, une nouvelle perspective pour l'impression 3D

Pour "imprimer" un mur, un long bras articulé diffuse une mince coulée de béton selon un parcours déterminé en appliquant une couche sur la précédente. En quelques heures, un mur est érigé, ouvrant de nouvelles perspectives aux métiers de la construction."L'intérêt de l'impression 3D, c'est comment aller plus loin que l'utilisation courante du béton" et "chercher des formes qu'on ne pourrait pas faire de façon traditionnelle, ou qui demanderaient beaucoup plus de temps", explique Alain Guillen, directeur général Développement et Applications de XTreeE.Cette start-up basée à Rungis a lancé dans son atelier la fabrication d'une trentaine de murs, destinés à la construction en 2021 de cinq maisons à Reims, dans le cadre du projet Viliaprint, porté par le bailleur social Plurial Novilia.L'entreprise vient d'obtenir une Appréciation technique d'expérimentation (Atex) pour la construction en impression 3D béton, délivrée par le Centre scientifique et technique du bâtiment (CSTB).Une phase industrielle"Aujourd'hui pour la première fois en France, on a une construction en impression 3D béton qui est validée par les autorités publiques", souligne M. Guillen. "Grâce à cet avis technique, on va pouvoir passer maintenant à une phase vraiment industrielle".Pour le responsable de la maîtrise d'ouvrage chez Plurial Novilia, Jérôme Florentin, "c'est certainement le début d'une longue histoire". "On commence à avoir beaucoup de concurrents", observe-t-il, en mentionnant les Pays-Bas, la Chine, les Etats-Unis, la Russie.Ce type de construction "va avoir tendance à se développer, pas de façon fulgurante dans les prochains mois, mais sur des constructions mixtes" avec "des murs imprimés associés à des modes constructifs classiques", estime-t-il.De son côté, le fabricant de machines Constructions-3D, basé à Valenciennes, vient de réaliser son premier bâtiment en impression 3D béton pour son futur siège.Antoine Motte, fondateur et dirigeant de Constructions-3D, est confiant sur les perspectives de cette technologie, citant une étude du cabinet SmarTech en 2018, qui prévoit pour 2027 un chiffre d'affaires mondial de 20 milliards de dollars pour l'impression 3D dans la construction, dont 4 milliards pour les fabricants de matériels."Un quart de l'humanité est mal logée aujourd'hui, et donc si on peut, par la technologie, apporter une machine qui va construire une maison par jour (...) on se dit qu'avec un million de machines, on peut déjà juguler la croissance du mal logement, et deux millions de machines résoudront le problème", fait valoir Antoine Motte.Améliorer "l'imprimabilité"Mais il reste encore des étapes à franchir, reconnaît le patron de Constructions-3D. "Ces machines pourront apporter des solutions quand on aura réussi à imprimer des 'encres' locales, réalisées à partir de l'argile", explique-t-il.Reste ensuite à former les futurs travailleurs du bâtiment à cette nouvelle technologie."Demain, pour faire fonctionner ces machines, l'opérateur idéal est quelqu'un qui aura un peu de compétences en numérique, qui connaîtra les contraintes d'un chantier de bâtiment et qui sera un petit peu mécanicien", décrit Didier Malbranque, co-fondateur de Constructions-3D.La start-up valenciennoise a mis au point une petite machine, plutôt destinée à la formation, qui est installée dans une douzaine de lycées professionnels ou écoles du bâtiment des Hauts-de-France.Cette nouvelle technologie intéresse au premier chef les groupes cimentiers, qui fournissent la matière première."On est encore en phase de recherche, mais on évolue vers les premiers chantiers, les premières réalisations", assure Olivier Martinage, ingénieur R&D du groupe Vicat, partenaire de XTreeE dans le projet Viliaprint.La recherche porte notamment sur "l'imprimabilité" du béton pour "améliorer les performances, les vitesses d'impression, le rendu esthétique", explique-t-il."C'est une technologie en devenir", confirme Yves Baroulier, directeur Grands Projets de LafargeHolcim. "L'impression 3D va nous permettre (...) une plus grande sobriété: moins de matériau et bas carbone".LafargeHolcim collabore avec XtreeE sur la construction en impression 3D d'ici 2023 d'une passerelle de 40 mètres sur le site des futurs Jeux olympiques de Paris 2024 en Seine-Saint-Denis.
Il y a 4 ans et 136 jours

Pour atteindre les objectifs de la PPE, il ne faut pas entraver le développement de la géothermie

Le SNCU, syndicat des opérateurs de réseaux de chaleur et de froid, membre de la FEDENE, s'associe à l'ADEME et au Syndicat des Énergies Renouvelables (SER) pour rappeler que la grande majorité des projets de géothermie profonde est réalisée dans les bassins sédimentaires et n'a jamais présenté de risque de sismicité induite. Il réaffirme les bénéfices et les perspectives prometteuses offertes par la géothermie pour avancer résolument dans la transition énergétique. Un forage spécifique en contexte failléLe projet alsacien mené à Vedenheim reposait sur une opération en contexte « faillé », à plus de 4 000 mètres de profondeur. Dans ces failles, la circulation de l'eau en profondeur modifie l'équilibre mécanique des roches. Cette modification peut entrainer un risque sismique d'intensité variable, principalement dans les phases de test sur les forages et de mise en route. Les opérations de géothermie sont strictement encadrées par les autorités et réalisées en concertation avec l'ensemble des acteurs afin de pouvoir agir et informer rapidement en cas de problème. Le projet ECOGI, centrale géothermique dans un contexte similaire mais moins profond (2 500 m) fonctionne d'ailleurs depuis plusieurs années sans présenter aucune difficulté.La grande majorité des projets de géothermie profonde en France métropolitaine sont exploités dans un contexte différent, en bassin sédimentaire, à des profondeurs allant jusqu'à 2 500 mètres, comme par exemple dans les bassins parisien et aquitain. Cette technologie consiste à exploiter le potentiel thermique de couches géologiques homogènes et stables mécaniquement. S'appuyant sur une expérience éprouvée pendant plus de 50 ans, ce type d'intervention n'a jamais fait apparaitre le moindre risque de micro-sismicité, tant lors de la réalisation que de l'exploitation.Énergie d'avenir, la géothermie est indispensable pour atteindre les objectifs de la PPEVertueuse, locale et durable, parfaitement adaptée aux milieux urbains denses, l'énergie géothermique puisée dans les couches géologiques demeure indispensable pour accélérer l'accroissement de la chaleur renouvelable dans le mix énergétique français. La Programmation Pluriannuelle de l'Énergie fixe à la filière un objectif ambitieux à atteindre d'ici 2028 : + 3,6 TWh de chaleur issue de la géothermie profonde. Cette trajectoire reste accessible en se concentrant sur la valorisation des ressources sédimentaires du territoire.Des régions fortement urbanisées disposent à la fois de ressources géothermales abondantes, telles que le bassin parisien (avec l'aquifère du Dogger notamment) et le bassin aquitain, et une forte demande très localisée en chauffage et eau chaude sanitaire. Les projets géothermiques en cours sur le territoire sont sûrs et doivent être poursuivis et encouragés. Pour la filière, rappeler ces distinctions techniques est crucial pour ne pas entraver le développement de la géothermie en France ni amoindrir ses bénéfices. En s'appuyant sur l'indispensable apport de cette technologie d'avenir, la filière reste optimiste sur l'objectif fixé par la PPE.« La filière entend réaffirmer l'absence de risque des projets géothermiques menés par les adhérents du SNCU. Nous sommes convaincus que la géothermie demeure une technologie résolument tournée vers l'avenir et très prometteuse, associant performances énergétique et économique. Associée au développement des réseaux de chaleur et de froid, la géothermie offre un potentiel considérable pour produire une chaleur renouvelable et responsable et ainsi atteindre les objectifs de la PPE en temps et en heure ».Aurélie Lehericy, présidente du SNCU« Plus de 70 opérations de géothermie profonde en France chauffent depuis plus de 50 ans plus d'un million d'habitants, essentiellement en Région parisienne et en Aquitaine et valorisent 1,8 TWh par an d'énergie renouvelable1. Le développement de la filière géothermique garde donc toute sa place pour l'atteinte des objectifs de chaleur renouvelable fixés par la PPE. La géothermie en contexte faillé peut permettre de développer cette ressource renouvelable et décarbonée ailleurs que là où elle est traditionnellement implantée, mais pour cela il est impératif que les porteurs de projet démontrent au préalable la maîtrise des risques de sismicité induite. »Fabrice Boissier, Directeur général délégué de l'ADEME« L'évènement sismique intervenu en Alsace doit être rigoureusement analysé pour en tirer les enseignements. Mais il est aussi essentiel de comprendre qu'il concerne une filière totalement distincte des opérations de géothermie de surface, et de géothermie profonde sur des nappes aquifères situées dans des couches géologiques sédimentaires, qui alimentent en chaleur et en froid des milliers d'habitants sur une grande partie du territoire, depuis des décennies. La production de chaleur renouvelable est un enjeu essentiel face au défi climatique, et la géothermie est pour cela un atout majeur dont notre pays doit continuer à développer le potentiel - en travaillant par exemple, pour la géothermie profonde de haute température, sur des profondeurs plus réduites offrant des températures plus basses et qui permettent de produire de grandes quantités de chaleur, comme c'est le cas de l'installation de Rittershoffen. »Jean-Louis BAL, Président du SER1 Soit l'équivalent de la consommation de chauffage annuelle de 180 000 logements
Il y a 4 ans et 136 jours

Décarboner grâce à la rénovation des bâtiments et le… chauffage électrique

Actuellement, le débat sur les réglementations à mettre en place sur le secteur du bâtiment pour atteindre la neutralité carbone, et notamment la part du chauffage électrique, est particulièrement vif, et ce d’autant plus que de nombreuses politiques (dans le neuf et l’existant) doivent être coordonnées pour obtenir une action efficace sur les émissions de gaz à effet de serre de la France. Pour éclairer ce débat, l’étude RTE-ADEME, fruit de deux ans de travaux communs, a cherché à évaluer les différents impacts (sur les émissions de CO2, sur le système électrique et la sécurité d’approvisionnement, ainsi que sur le bilan économique) du scénario SNBC à mi-chemin (horizon 2035) de l’objectif de neutralité carbone, mais également d’un ensemble de « stress-test » en cas de non-atteinte de certains points de la politique publique. Sur le plan du climat : la mise en œuvre conjointe des trois piliers de la SNBC permet de diviser par deux les émissions du chauffage dans le secteur du bâtiment d’ici 2035, sans pour autant délocaliser les émissions de CO2 ailleurs en Europe. Sur le plan du système électrique : le développement du chauffage électrique par des solutions efficaces comme les pompes à chaleur n’entraîne pas d’impact significatif à l’horizon 2035 (consommation annuelle moyenne et pointe stables ou en légère baisse). Sur le plan économique : prioriser les efforts de rénovation vers les logements les plus énergivores (« passoires thermiques ») présente un fort intérêt… Arnaud Leroy, président directeur général de l’ADEME, a déclaré : « Cette étude met en évidence que les 3 leviers de la décarbonation du bâtiment – isolation, électrification et développement des énergies renouvelables (bois, biométhane, réseau de chaleur) – permettent chacun d’atteindre environ 30% de la trajectoire CO2. Elle renforce l’absolue nécessité d’empêcher le déploiement des radiateurs à effet joule et d’accélérer, dans la durée, le nombre et la performance des rénovations du bâtiment, qui permettent de conjuguer les objectifs climatiques, l’amélioration du confort des logements et la lutte contre la précarité énergétique. »
Il y a 4 ans et 136 jours

Wilo gagne le prix allemand du développement durable

Le Groupe Wilo a reçu le célèbre prix allemand du développement durable (Deutscher Nachhaltigkeitspreis, DNP) dans le domaine de la transition climatique. Le prix allemand du développement durable récompense les entreprises pour lesquelles la durabilité fait partie de leur stratégie d'entreprise.« Nous sommes fiers qu'une entreprise industrielle ait été reconnue comme un pionnier de la lutte contre le changement climatique. C'est un signal fort et la preuve que nous sommes une entreprise qui prend part à la protection du climat », déclare Oliver Hermes, président et directeur général du groupe Wilo.La durabilité fait partie intégrante de la stratégie d'entreprise du groupe Wilo. D'ici 2025, par exemple, 100 millions de personnes doivent avoir un meilleur accès à l'eau potable.« Nos produits, systèmes et solutions contribuent à fournir de l'eau aux populations du monde entier de manière intelligente, efficace et respectueuse du climat », souligne Oliver Hermes.Wilo a déjà été sélectionné comme l'un des « 50 leaders mondiaux en matière de durabilité et de climat » en août dernier. L'initiative mondiale de durabilité et de protection du climat implique des entreprises qui agissent sur la base des objectifs de développement durable (ODD) des Nations Unies.La crise comme opportunité de transformationLe comité du Prix allemand du développement durable considère 2020 comme une année de changement. Plus que jamais, nous avons besoin de modèles d'entreprise capables de faire avancer le changement et d'utiliser la crise comme une opportunité de réelle transformation.« Le climat mondial a besoin de pionniers. Chez Wilo, nous prétendons non seulement promouvoir le thème de l'efficacité énergétique, mais aussi être un précurseur dans la protection du climat et le numérique. Nous le faisons avec la ferme conviction que les produits les plus connectés, les plus intelligents et les plus économes en énergie sont toujours le choix le plus réfléchi. Cela signifie que la transformation numérique, l'efficacité énergétique et la protection du climat sont étroitement liées », explique Oliver Hermes.La protection du climat reste l'un des principaux défis de notre époque, même si la crise du coronavirus a temporairement relégué au second plan le discours sociopolitique sur la politique environnementale et climatique mondiale au cours de ces derniers mois.Accélérer la transformation vers une plus grande durabilité« Alors que les défis mondiaux tels que le changement climatique et l'extinction des espèces se sont intensifiés ces dernières années, les compétences de l'économie durable se sont développées en parallèle », déclare Stefan Schulze-Hausmann, initiateur du prix allemand du développement durable. « Nous recherchons des entreprises qui utilisent ces compétences avec audace et efficacité pour accélérer la transformation vers une plus grande durabilité ». Avec sa stratégie de développement durable, qui s'appuie sur la stratégie d'entreprise, Wilo se concentre sur sept des 17 ODD des Nations Unies qui correspondent aux valeurs et aux objectifs du groupe.Chez Wilo, tout le monde est un pionnier de la protection du climat« Je tiens à remercier tous ceux qui, chez Wilo, tiennent en haute estime la question de l’environnement. C'est-à-dire l'ensemble de nos 8 000 collaborateurs dans le monde. Ils sont tous des pionniers de la protection du climat et ont contribué à ce que Wilo remporte ce prix. La protection du climat fait partie de notre ADN depuis la création de l'entreprise en 1872, c'est-à-dire depuis environ 150 ans », souligne Oliver Hermes.Le prix est décerné par la Fondation allemande du prix de la durabilité (Stiftung Deutscher Nachhaltigkeitspreis) en coopération avec le gouvernement allemand, l'Association des villes allemandes, les associations d'entreprises, les organisations de la société civile et les instituts de recherche. Le prix a été décerné le 4 décembre lors d'un gala en ligne.
Il y a 4 ans et 136 jours

Activité commerciale record en 2020 pour Voltalia

Cela représente 2,6 fois le niveau, "déjà élevé", de la puissance sécurisée en 2019, dit la société dans un communiqué.Voltalia réalise une percée auprès des entreprises, qui lui achètent directement leur électricité via des "corporate PPAs"(pour "power purchase agreement"), des contrats de gré à gré négociés sur le long terme entre entreprise et producteur d'énergie.Ces clients, issus de secteurs divers comme la distribution, l'agribusiness, la chimie, la banque, et même une autorité publique (la City de Londres) représentent désormais 25% de la clientèle de Voltalia, pour une durée moyenne de contrat à 16,4 années."Cette performance est d'autant plus remarquable dans une période de pandémie qui a ralenti l'activité de nombreux clients", souligne son directeur général Sébastien Clerc.Après la signature de 241 mégawatts en 2018 et 389 mégawatts en 2019, 1.028 mégawatts de nouveaux contrats ont été signés en 2020.Cette année "signe l'accélération rapide du solaire, au sol et en toitures", avec une forte baisse des coûts, souligne le communiqué.
Il y a 4 ans et 136 jours

Stonepanel® Premium, une nouvelle collection de parements extérieurs et intérieurs

En complément de la gamme existante, Stonepanel® Premium offre une solution innovante mêlant design et innovation technologique pour habiller les murs extérieurs et intérieurs de pierres naturelles. Du « made in Europe » exclusivement pour cette nouvelle gamme.Sobre, rythmé de douces singularités, le parement mural en pierre qui donne du relief est une excellente alternative aux revêtements utilisés habituellement, pour des décors rustiques voire contemporains et naturels ! Impossible de ne pas y trouver son bonheur.Vers un approvisionnement de plus en plus européen« Nous importons de la pierre des quatre coins du monde en complément de nos carrières mais la pandémie a fait apparaître des failles au niveau de l’approvisionnement et des délais de transports trop longs» explique Frédéric Morisseau, Directeur général de Cupa Stone France tout en poursuivant « nous essayons de plus en plus de privilégier une provenance de France, Belgique, etc. Cette nouvelle gamme est un grand pas vers cette démarche ».La gamme Stonepanel® premium : des décors 100% naturel pour l'extérieur ou l'intérieur de la maisonLes parements extérieurs qui permettent d’habiller avec brio des murs sans cachet apportent aux intérieurs une sensation d’intemporalité exceptionnelle et une décoration originale. Avec cette gamme Premium qui offre une sélection des meilleurs produits Stonepanel® en combinant à la perfection esthétique et performances, Cupa Stone répond à une clientèle exigeante et à un nouvel art de vivre en osmose avec la nature. Zoom sur les 3 nouveautés et les 2 références existantes Infercoa et Saint Yriex :Stonepanel® SabbiaPierre calcaire de couleur crème aux nuances marron et aux sillons dorés. C’est le modèle le plus clair et le plus lumineux de la gamme.Format standard : 60 x 20 cm x 4 cmEpaisseurs : 3,5 à 5 cmPrix public indicatif TTC : 133,20 €/m² hors poseStonepanel® SalvoraArdoise marron rougeâtre dont les nuances varient du clair au plus foncé pour doter les intérieurs et les extérieurs d’originalité.Format standard : 60 x 20 cm x 4 cmEpaisseurs : 3,5 à 5 cmPrix public indicatif TTC : 203,71 €/m² hors poseStonepanel® DoréQuartzite dorée, aux tonalités marron, beige et gris clair, apporte à la fois élégance et luminosité.Format standard : 60 x 20 cm x 4 cmEpaisseurs : 3,5 à 5 cmPrix public indicatif TTC : 151,20 €/m² hors poseStonepanel® InfercoaPierre naturelle avec des nuances grises et bleues. Le relief de la finition vieillie adoucie est bien adapté pour l’intérieur.Format standard : 60 x 20 cm x 4 cmEpaisseurs : 3,5 à 5 cmPrix public indicatif TTC : 118,80 €/m² hors poseStonepanel® Saint YrieixRoche de couleur brun-orangée et d’aspect brillant. Elle présente un litage marqué alternant de fines couches de couleur claire et de plus épaisses de couleur plus sombre.Format standard : 60 x 20 cm x 5 cmEpaisseurs : 3,5 à 5 cmPrix public indicatif TTC : 297,00 €/m² hors poseLes + Produit pour intégrer une démarche RSEFabrication européenne.Avis Technique.Délais de livraison réduits.Impact environnemental limité sur les trajets : diminution de l’impact du transport routier des marchandises sur l’environnement en privilégiant la proximité.Stonepanel® Sabbia Stonepanel® Salvora Stonepanel® DoréStonepanel® InfercoaStonepanel® Saint YrieixLe panneau Stonepanel® Premium ne nécessite aucun travaux de nettoyage pendant au moins une dizaine d’années ; l’aspect visuel du parement reste Impeccable dans la durée.Composé de pierres naturelles montées sur une base de ciment renforcée (3 cm d’épaisseur) par une armature en fibre de verre qui garantit la tenue des pierres, ce système qui possède les certificats allemand et britannique vient d’obtenir l’Avis technique n°13/17-1375_V3.Tous les produits en pierre naturelle sont disponibles exclusivement dans les 11 agences du réseau Cupa Stone en France.
Il y a 4 ans et 137 jours

Continuité à la tête de Seqens, après le départ de Nadia Bouyer

CARNET-NOMINATION. C'est l'ancien directeur général délégué qui a été nommé pour remplacer, à la tête du bailleur social francilien, Nadia Bouyer, devenue directrice générale d'Action logement, maison-mère de Seqens.
Il y a 4 ans et 140 jours

Somfy annonce une prise de participation majoritaire au capital de Repar'stores

Cette prise de participation majoritaire nourrit le double objectif de renforcer le positionnement de Somfy sur le segment des services et d’accompagner Repar’stores dans son développement européen.L’acquisition de Repar’stores s’inscrit dans le cadre du plan stratégique à 10 ans, Ambition 2030, amorcé par Somfy au début de l’exercice 2020 : consolider son statut de partenaire de confiance pour l’automatisation des ouvertures et des fermetures de la maison et du bâtiment tout en se dotant de moyens pour capter de nouvelles opportunités de marchés sur le segment des services et renforcer son engagement auprès des utilisateurs finaux.Fondé en 2009, Repar’stores s’est rapidement imposé comme le leader du marché français de la réparation et de la modernisation des volets roulants, enregistrant depuis plusieurs années une forte croissance de son activité. Au titre de l’exercice clos le 30 juin 2020, le chiffre d’affaires de la société s’établit à 28,5 millions d’euros en croissance de +21,7% en moyenne sur les deux derniers exercices. Elle emploie plus de 100 personnes et compte environ 190 franchisés. Forte de cette dynamique, Repar’stores souhaite profiter de ce contexte favorable pour se positionner comme un réseau leader en Europe.Accompagner Repar’stores dans son développement européenLe segment de la réparation et de la modernisation des volets roulants est une niche à fort potentiel du fait de la taille du parc installé (plus de 65 millions de volets roulants estimés en France, dont près de la moitié ne sont pas motorisés) et de sa croissance continue (tirée par la rénovation et la construction neuve). En moyenne, un volet roulant subit 1 à 2 réparations au cours de sa durée de vie, tendance renforcée par la montée en puissance des attentes en matière de développement durable incitant les utilisateurs à favoriser la réparation quand cela est possible.Pour adresser ce marché en pleine expansion, Repar’stores pourra s’appuyer sur la forte présence internationale de Somfy et son réseau de filiales européennes.L’équipe dirigeante de Repar’stores demeurera autonome sur le plan opérationnel tout en bénéficiant du soutien des équipes de Somfy, afin d’accompagner au mieux sa stratégie d’expansion.Une opération créatrice de valeurSous réserve de la réalisation de conditions suspensives usuelles, cette prise de participation devrait être effective début janvier 2021. A compter de cette date, Repar’stores sera consolidé dans les comptes de Somfy par intégration globale. L’accord est assorti de promesses additionnelles permettant l’acquisition du solde restant des actions de Repar’stores à échéance 2026.« Au moment où Repar’stores s’apprête à franchir un nouveau cap dans son développement, nous sommes enthousiastes de rejoindre le Groupe Somfy avec qui nous avons construit une relation de confiance de longue date et partageons les mêmes valeurs d’entreprises familiales. Son empreinte internationale nous permettra de franchir une nouvelle étape dans le développement de notre réseau dans d’autres pays européens. » commente Roger Varobieff, Directeur Général de Repar’stores.« Nous nous réjouissons de nous rapprocher des équipes de Repar’stores avec qui nous partageons la vision commune d’un modèle de développement plus durable. Au-delà des synergies opérationnelles que nous apportera cette alliance, ce rapprochement nous permet de renforcer notre engagement en matière de développement durable – porté par notre programme Act for Green – en investissant dans la réparabilité et la durabilité des volets roulants. » conclut Jean Guillaume Despature, Président du Directoire de Somfy.
Il y a 4 ans et 140 jours

Le nouveau siège de Pernod Ricard consacré meilleur projet d’architecture d’intérieur de l’année par le magazine Interior Design

Cette distinction, l’une des plus prisées de la profession, lui a été attribuée dans le cadre de la 15ème édition des « Best of Year Awards » organisés par le magazine international de référence, Interior Design. Le palmarès 2020 a été dévoilé lors d’une cérémonie digitale par sa rédactrice en chef Cindy Allen, qui n’a pas manqué de faire référence à Paul Ricard et à l’histoire du nom The Island. Le projet était en lice contre deux autres finalistes : le siège de Rockefeller Group situé à New York et le EY Wavespace, centre d’innovation du groupe situé à Anvers.Depuis juillet dernier, The Island, rappelant les îles du Sud de la France dont le Groupeest originaire, incarne la transformation mise en œuvre par Pernod Ricard depuis quelquesannées sous la houlette de son Président-Directeur général Alexandre Ricard. L’aménagement intérieur des 18 000 mètres carrés du bâtiment hyperconnecté et éco-responsable situé en plein cœur de Paris est l’œuvre de l’agence Saguez & Partners. Après deux années d’élaboration, cette dernière a conçu pour Pernod Ricard un projet reflétant sa vision centrée sur le collaborateur avec un seul leitmotiv : concevoir un espace favorisant au maximum les interactions entre chacun des 900 collaborateurs. Convaincus que 80% des idées innovantes naissent de ces échanges interpersonnels, informels comme l’a démontré Thomas Allen, chercheur au MIT, Saguez & Partners a créé un espace de travail favorisant les rencontres, les collaborations, les échanges d’expériences et les synergies.Pour le fondateur de l’agence, Olivier Saguez, « Ce prix consacre un projet particulièrement emblématique. Rarement une entreprise aura autant cherché à briser les silos et à favoriser les interactions. Nous sommes très fiers d’avoir été les designers d’un projet humainement si ambitieux ».Pour Olivier Cavil, Directeur de la Communication de Pernod Ricard qui fut en charge de l’ensemble du projet The Island, « Ce nouveau siège est sans doute le plus beau symbole de la transformation de notre Groupe. Ce n’est pas seulement un lieu fonctionnel, c’est un lieu chaleureux et esthétique, un lieu qui fait vivre au quotidien notre culture de la convivialité ; de celle qui replace au cœur l’importance des échanges physiques informels à l’heure de la généralisation des réunions virtuelles et du télétravail. Quoi de mieux qu’une île pour rêver disait Paul Ricard ».Le « Best of Year Award » de Interior Design est le deuxième prix international remportépar The Island qui avait été désigné en septembre dernier comme meilleur projet de bureaulors des MIPIM Awards 2020.
Il y a 4 ans et 141 jours

Réélection du président de l’UNPG

Durant son second mandat, Alain Plantier poursuivra ses engagements. [©UNPG] Le conseil d’administration de l’Union nationale des producteurs de granulats (UNPG) a réélu Alain Plantier à la présidence du syndicat. Après un premier mandat de trois ans, débuté en 2017. Durant ces trois années, Alain Plantier a défendu l’accès durable de la profession à la ressource minérale. Sous sa présidence, l’UNPG a joué un rôle déterminant dans l’accompagnement de l’élaboration des nouveaux schémas régionaux des carrières. « Lors de sa première investiture, Alain Plantier avait souligné l’importance de soutenir les meilleures pratiques opérationnelles sur les sites de production. Ainsi que le déploiement du référentiel de responsabilité sociétale des entreprises de la profession. Et de contribuer à la création d’un label sectoriel », peut-on lire dans le communiqué de presse. Le mot d’Alain Plantier « Dès les premiers jours de la crise sanitaire, l’UNPG s’était attelée à la réalisation d’un guide de bonnes pratiques pour assurer la santé et la sécurité des salariés, commente Alain Plantier. Pour l’UNPG, l’objectif était de soutenir et d’accompagner ses adhérents pour assurer une continuité d’activité partielle des chantiers du BTP. Puis, de permettre une reprise de l’ensemble du secteur. Aujourd’hui, les résultats nous montrent, sans surprise, un fort impact de la crise sanitaire sur l’activité en 2020. L’année devrait donc se solder par une contraction de l’activité d’environ – 8 % pour les granulats en données brutes. La production de granulats “primaires”, c’est-à-dire hors recyclage, devrait atteindre fin 2020, 294 Mt. Soit un niveau de 10 % en dessous de la moyenne de ces 10 dernières années. L’UNPG continuera donc, plus que jamais, son accompagnement au plus près de ses adhérents. En leur apportant soutien, réponses et outils pour s’organiser au mieux. » Les grandes orientations du second mandat La constante mobilisation des producteurs de granulats a permis de dépasser, dès 2018, le seuil des 70 % de taux de valorisation fixé par l’Union européenne pour 2020. Les déchets inertes du bâtiment (33,5 Mt) sont ainsi déjà valorisés à hauteur de 80 %, grâce à un maillage de 1 500 plates-formes réparties sur l’ensemble du territoire. Durant son second mandat, Alain Plantier poursuivra ces engagements. Ceci, en actionnant et en optimisant tous les leviers, permettant d’atteindre cet objectif de diminution de l’empreinte carbone. Cela passera par le maintien des sites à proximité des zones de consommation, afin de fournir des matériaux locaux en boucles courtes. Qui limitent ainsi les transports et les émissions de CO2. Son parcours Diplômé de l’école des Mines d’Alès, Alain Plantier a intégré le groupe Vicat en 1985. Il est alors devenu directeur général des activités granulats. En 1994, il rejoint le groupe Cemex comme directeur adjoint de la zone granulats Ile-de-France. Après avoir occupé différents postes à responsabilité, dont celui de directeur général France des activités granulats du groupe, il est aujourd’hui directeur général matériaux Nord France.
Il y a 4 ans et 141 jours

SNM Lift reçoit le prix du meilleur distributeur Oil & Steel 2020 !

Le 9 décembre, Fabrizio Girotti, Directeur Général Oil & Steel a fait le déplacement en France pour remettre à SNM Lift le prix du meilleur distributeur 2020. Lors de la visite de la succursale de PM Oil & Steel France à Chassieu (Lyon), Fabrizio Girotti, a nommé et récompensé SNM Lift comme meilleur concessionnaire de l’année, pour les excellents résultats obtenus au cours de 2020. SNM Lift affiche en effet la meilleure progression des ventes de l’année sur les 130 distributeurs de la marque dans le monde. SNM Lift a également le meilleur indice de satisfaction clients, selon l’enquête menée par le groupe PM Oil & Steel. Cette année aura donc été l’année du renforcement du partenariat entre SNM Lift et Oil & Steel avec l’annonce en juillet de la reconduction du contrat de distribution de la marque, débuté il y a 7 ans sur le nord-ouest de la France. Fabrizio Girotti, Directeur Général Oil & Steel, a déclaré: «Je suis heureux de récompenser SNM Lift pour les excellents résultats obtenus cette année: qualité de service, satisfaction client et croissance des ventes. SNM est un partenaire important pour notre entreprise et le résultat du travail de 2020 nous donne de l’espoir pour l’avenir. La France a toujours été un marché clé pour Oil & Steel, et avoir un partenaire qui partage nos valeurs et notre mission est fondamental pour l’objectif que nous voulons atteindre ». Vincent Galzin, dirigeant de SNM Group, déclare: «Nous sommes très heureux de notre partenariat avec Oil & Steel. Le produit est fiable et correspond à la demande du marché français. Le potentiel de vente est toujours très important. Un nouvel élan se fait sentir avec l’arrivée de Manitex et d’une équipe dédiée à la division des nacelles élévatrices comme Oil & Steel ». De gauche à droite: Vincent Galzin, Dirigeant SNM Group, Fabrizio Girotti, Directeur General Oil&Steel   A propos de SNM Créé en 1981, le groupe SNM, est une PME française qui assure la distribution et la maintenance de matériels de levage. Sa filiale SNM Cranes est spécialisée en grues automotrices et grues à tour, SNM Heavy Handling en équipements de manutention portuaire et manutention lourde, et SNM Lift en nacelles élévatrices. Plus d’infos sur : www.snmgroup.fr A propos de Oil & Steel Fondée en 1995, Oil&Steel S.p.A. est une entreprise italienne spécialisée dans la production de nacelles élévatrices qui est parvenue à gagner en quelques années la pleine confiance du marché européen, en conquérant d’importantes parts de marché. Filiale du groupe PM, fondé en 1959, Oil&Steel conçoit, produit et commercialise dans le monde entier des nacelles élévatrices d’un haut standard qualitatif. Attentive depuis toujours aux exigences de sa Clientèle, la société est passée au fil des années du statut de fabricant à connotation artisanale à celui d’une véritable industrie d’envergure internationale. Les points clé de la philosophie de produit Oil&Steel se résument dans les concepts suivants: Performances – Simplicité – Fiabilité. Plus d’infos sur : www.oilsteel.com
Il y a 4 ans et 141 jours

Jean-Marc Golberg réélu Président du SNBPE

Titulaire d'un PhD en géologie, pétrologie et géochimie de l'Université de Montpellier, Jean-Marc Golberg rejoint Lafarge en 1988 comme ingénieur qualité bétons et granulats. Il occupe ensuite différentes fonctions dans les activités granulats et bétons en France avant d'être nommé directeur de l'agence bétons Provence en 1996. En 1998, Jean-Marc Golberg prend la direction de l'agence bétons Bretagne.En 2003, il devient directeur général de Lafarge granulats Ouest, puis rejoint en janvier 2009, le centre de recherche mondial du groupe Lafarge à l'Isle d'Abeau (Isère) en tant que directeur recherche & développement bétons et granulats. En septembre 2013, Jean-Marc Golberg est nommé directeur général béton pour la France.Durant son premier mandat, Jean-Marc Golberg a fait de sa priorité et de celle du SNBPE la reconnaissance des qualités techniques, économiques, sociales et environnementales du béton prêt à l'emploi. Un intérêt tout particulier a également été porté sur le fait de communiquer davantage sur l'utilisation plus importante des granulats recyclés dans le béton, mais aussi de communiquer dans un objectif de convaincre que le béton est un matériau recyclable indéfiniment de toutes les solutions constructives, qu'elles soient horizontales ou verticales.Les grandes orientations du second mandatLors de ce deuxième mandat, Jean-Marc Golberg souhaite poursuivre le travail entamé ces dernières années, en tant que Président du SNBPE. La priorité sera donnée à la création de synergies toujours plus importantes avec les autres acteurs de la Filière Béton. Avec, notamment, un objectif à court terme, d'amener les Pouvoirs Publics à revoir leur copie concernant la nouvelle méthode de calcul de l'empreinte carbone, dite ACV dynamique, dans le cadre de la RE2020. Le SNBPE souhaite proposer une démarche vertueuse pour tous les matériaux de construction afin qu'ils se décarbonent et participent à la recherche de solutions constructives environnementalement mieux disantes et ce, en application de ce que prévoyait la Loi ELAN.Jean-Marc Golberg souhaite également faire valoir le caractère inerte du béton durci et que cela soit pris en compte par les Pouvoirs Publics dans les décisions qu'ils prendront quant à la gestion des déchets du bâtiment prévue dans la Loi sur l'Économie circulaire.
Il y a 4 ans et 142 jours

Réélection du président du SNBPE pour un second mandat

Jean-Marc Golberg est réélu pour un deuxième mandat à la présidence du SNBPE. [©SNBPE] A l’issue de l’assemblée générale du 15 décembre, Jean-Marc Golberg a été réélu à la présidence du SNBPE pour un second mandat. Lors du premier, il a mis en valeur les qualités techniques, économiques, sociales et environnementales du béton prêt à l’emploi. De plus, il a renforcé la communication sur des thématiques importantes et d’actualité. Pour Jean-Marc Golberg, le sujet du recyclage a été primordial. Son second mandat Désormais, il souhaite communiquer sur les granulats recyclés. Mais aussi sur le béton recyclé en général. Pour son deuxième mandat, il aspire a poursuivre le travail déjà entrepris. Il voudrait aussi axer le SNBPE sur la création de synergies avec les autres acteurs de la filière béton. Par ailleurs, Jean-Marc Golberg espère revoir avec les pouvoirs publics la nouvelle méthode de calcul de l’empreinte carbone dans le cadre de la RE 2020. En effet, le syndicat voudrait proposer une démarche pour tous les matériaux de construction. Ceci, afin de faciliter la décarbonation, ainsi que la recherche de solutions constructives environnementales. Et ce, en accord avec la loi Elan. « J’aimerais faire valoir le caractère inerte du béton durci et que cela soit pris en compte par les pouvoirs publics dans les décisions qu’ils prendront quant à la gestion des déchets du bâtiment prévue dans la loi sur l’Economie circulaire », indique Jean-Marc Golberg.   Son parcours Jean-Marc Golberg a obtenu un doctorat en géologie, pétrologie et géochimie à l’université de Montpellier. Il débute sa carrière en rejoignant Lafarge en 1988, en tant qu’ingénieur qualité bétons et granulats. Il occupera ensuite différentes fonctions, avant d’être nommé directeur de l’agence Lafarge Béton Provence en 1996. En 1998, il prend la direction de l’agence Lafarge Béton Bretagne. En 2003, Jean-Marc Golberg devient le directeur général de Lafarge Granulats Ouest. Après 8 ans à ce poste, il rejoint le centre de recherche mondial du groupe Lafarge en Isère, en tant que directeur recherche & développement bétons et granulats. En septembre 2013, il est nommé directeur général LafargeHolcim Béton France. 
Il y a 4 ans et 142 jours

Pour la 4ème année consécutive, DuPont Sustainable Solutions reconnue comme une des meilleures marques de conseil en HSE

Genève – Suisse – 15 décembre 2020 – DuPont Sustainable Solutions (DSS) est classé pour la quatrième année consécutive au 1er rang des marques de conseil HSE (Environnement, Santé & Sécurité), selon une étude publiée en décembre par le cabinet de recherche et de conseil indépendant Verdantix. L’enquête menée auprès de plus de 300 managers HSE répartis dans 31 pays a permis à DSS d’obtenir le meilleur score en matière de préférence et de notoriété parmi toutes les entreprises de conseil en HSE. « DuPont Sustainable Solutions est sincèrement fier d’avoir été reconnu par les responsables HSE du monde entier comme le meilleur cabinet de conseil pour la quatrième année consécutive », a déclaré Davide Vassallo, Directeur Général de DuPont Sustainable Solutions. «Nos experts consultants s’efforcent d’accompagner chacun de nos clients pour protéger les personnes, améliorer les opérations et renforcer les compétences de leurs salariés. Au nom de tout le personnel de DSS, nous les remercions pour leur confiance en nos compétences, comme en témoigne l’enquête Verdantix 2020 ». Selon l’enquête « Global Corporate Survey 2020 de Verdantix : reconnaissance des marques des fournisseurs de services HSE », 79% des répondants classent DSS au 1er rang dans la catégorie préférence de marque et 25 % comme le cabinet de conseil « leader du marché ». 54% des participants estiment que les compétences de DSS sont « fortes » en tant que fournisseur de services HSE. Ce résultat dépasse largement la performance atteinte par DSS dans l’enquête menée l’an dernier par Verdantix. En 2019, 48% des interrogés avait classé DSS au 1er rang pour la préférence de marque et comme le consultant HSE leader du marché ou le plus performant. Cette année, la forte présence de DSS dans la région Asie-Pacifique, où la moitié des répondants considéraient l’entreprise comme « acteur majeur du marché », ainsi que sa gamme élargie de services comme SafetyTech.ai, une plateforme numérique permettant le déploiement de technologies de sécurité innovantes, ont contribué à améliorer la perception de la marque, selon Verdantix. De plus, 93% des personnes interrogées cette année ont déclaré connaître les compétences de DSS en tant que consultant HSE, ce qui lui confère la plus grande notoriété de marque sur ce marché. « Lorsque DSS est devenu un cabinet de conseil indépendant en 2019, nous nous sommes concentrés sur la mise sur le marché rapide de solutions innovantes. Cela a permis à DSS de réagir vite à la pandémie COVID et développer des services comme SafetyTech.ai qui peuvent aider les organisations à améliorer leurs capacités de gestion HSE et à atteindre l’excellence opérationnelle, ce qui est essentiel dans cet environnement commercial difficile. Nous pensons que cette orientation renouvelée a contribué à la reconnaissance accrue de DSS pour la préférence de marque en 2020 », a déclaré Davide Vassallo. L’étude Verdantix a été réalisée par 301 managers HSE ayant des responsabilités directes dans le domaine des stratégies et initiatives HSE d’entreprises situées dans 31 pays d’Asie-Pacifique, d’Europe, des Etats du Golfe et d’Afrique, d’Amérique Latine et d’Amérique du Nord. Les trois quart des participants (74%) travaillent dans des entreprises ayant un chiffre d’affaires supérieur à 1 milliard de dollars et viennent de 25 secteurs différents. Environ 40 % des responsables HSE interrogés sont issus d’industries où les risques HSE sont élevés à très élevés (secteurs des produits chimiques, de l’exploitation minière, des métaux, du pétrole et du gaz). 43 % des participants proviennent d’industries où les risques HSE sont moyens (secteurs des biens de consommation, de l’équipement industriel et de l’automobile). http://bit.ly/about-dss
Il y a 4 ans et 143 jours

Création de MENREC pour la collecte et le démantèlement des menuiseries en fin de vie

Cette nouvelle organisation ambitionne de valoriser les différents matériaux des menuiseries en fin de vie (bois, PVC, aluminium et verre) et leur réemploi pour la fabrication de nouvelles solutions (fenêtres, portes et volets).Encore considérées comme des déchets, les menuiseries en fin de vie font aujourd’hui généralement l’objet d’enfouissement dans des carrières alors qu’elles représentent une source importante de nouvelles matières premières et d’économies de carbones. Stopper cet enfouissement, tel est le crédo de MENREC.« Les menuiseries proposées par ATLANTEM INDUSTRIES et FENÉTRÉA, présentent une durée de vie de 30 ans, certifiée dans les Fiches de Déclaration Environnementale et Sanitaire (FDES) des produits. Nos entreprises ayant commercialisé leurs premiers produits il y a environ 27 ans, il nous est paru évident d’anticiper les premiers chantiers de déconstruction. Notre démarche vient également répondre à la prochaine augmentation des projets de rénovation attendue suite à l’annonce du Plan France Relance. L’occasion d’affirmer nos engagements respectifs pour stopper l’enfouissement des menuiseries en fin de vie. », s’accordent à l’unisson Dominique LAMBALLE, Président de FENÉTRÉA, et Bruno CADUDAL, Directeur Général d’ATLANTEM INDUSTRIES.Une démarche collaborativeAfin de créer une structure solide et dynamique, ATLANTEM INDUSTRIES et FENÉTRÉA ont intégré deux autres entreprises familiales aux compétences complémentaires : RIOU GLASS, leader français indépendant du vitrage, et le GROUPE BOHELAY, société de transport spécialisée dans la logistique du recyclage. Créée le 4 décembre dernier et présidée par Adrien BOHELAY, MENREC est une SAS indépendante détenue à part égale par les quatre co-fondateurs. Le siège et l’unité de démantèlement sont implantés à Saint-Allouestre, dans le Morbihan (56). Une situation géographique centrale pour la collecte dans le Grand Ouest. L’activité débutera au 1er mars 2021. MENREC a pour objectif de favoriser le développement de l’emploi solidaire. L’organisation prévoit le recrutement de dix collaborateurs à horizon fin 2021.Un dispositif responsable clé en main pour les installateursMENREC apporte à l’installateur du Grand Ouest une solution clé en main en matière de collecte et de démantèlement de menuiseries en fin de vie, sans surcoût par rapport à la situation actuelle. Il se verra délivrer une attestation prouvant que les menuiseries remplacées rentrent dans un dispositif d’économie circulaire. Une valorisation de son engagement responsable auprès de ses clients.L’organisation met à disposition des installateurs (artisans, menuisiers, réseaux de fenêtriers…), un rack ou une benne spécifiquement créés par MENREC. Lorsque le contenant est plein, le professionnel en informe MENREC via le site www.menrec.fr. La démarche est simplifiée : pas de tri à effectuer en amont, un gain de temps ! Un camion plateau avec chariot embarqué effectue une tournée pour collecter les racks et les bennes. Les déchets sont :acheminés vers l’unité de démantèlement qui dissocie le PVC, l’aluminium, le bois et le vitrage,stockés sur une plateforme de 1.000 m2, démantelés puis envoyés dans les centres de recyclage spécialisés,réintroduits dans de nouveaux process de fabrication d’ATLANTEM INDUSTRIES, de FENÉTRÉA et RIOU GLASS.
Il y a 4 ans et 144 jours

Rémi Cunin d'Egis à Edeis

L'ancien numéro 2 d'Egis rejoint le groupe d'ingénierie en tant que directeur général.
Il y a 4 ans et 144 jours

"L'incertitude est grande pour l'année 2021", B. Fabre (Aliaxis-Nicoll)

ENTRETIEN. Crise du covid, réemploi des matériaux, réglementation environnementale 2020... Benoît Fabre, directeur général d'Aliaxis France, fait le point auprès de Batiactu après une année riche en enseignements.
Il y a 4 ans et 144 jours

LafargeHolcim : un nouveau four pour Martres-Tolosane

Avec nos remerciements à LafargeHolcim. Un mouchoir de poche. Ainsi peut être décrite l’emprise du chantier de construction du nouveau four de la cimenterie LafargeHolcim de Martres-Tolosane, en Haute-Garonne (31). Conséquent, l’équipement doit s’insérer entre les deux fours existants, en service jusqu’à la fin des travaux, et un silo de stockage. « C’est une opération d’un montant de plus de 100 M€. Soit l’investissement le plus important réalisé par le groupe en France depuis 40 ans », souligne François Pétry, directeur général de LafargeHolcim France et Belgique. En fait, ces travaux s’inscrivent dans un plan global plus large de 300 M€ d’investissements sur l’ensemble des sites répartis sur le territoire national.  La nouvelle ligne de cuisson (four et tour de pré-chauffage) doit s’inscrire dans la zone comprise entre les fours en service et le silo en béton qu’on devine à gauche. [©ACPresse] A travers ce programme, LafargeHolcim cherche, en premier lieu, à pérenniser son unité de production, tout en l’inscrivant dans les préoccupations environnementales actuelles et futures. « Les anciens fours ont respectivement été mis en service en 1956 et en 1966 », rappelle Jean-Louis Sibioude, directeur de l’usine. Ils ont fait plus que leur temps. « Le nouveau four doit permettre de diminuer la consommation d’énergie électrique et thermique de la cimenterie de près de 20 %, donc son empreinte carbone. Ceci, en rendant possible la valorisation d’une part beaucoup plus importante des déchets. » En cours de construction, la future tour de pré-chauffage culminera à près de 100 m de haut. [©ACPresse] Le chantier de construction s’inscrit dans un véritable mouchoir de poche. [©ACPresse] Une haute technologie à basse émission de CO2 Dans sa future configuration, le site devrait tripler son taux d’utilisation de combustibles de substitution. Ici, l’industriel s’inscrit encore plus dans l’économie circulaire. En proposant un exutoire pour nombre de matériaux pouvant se substituer aux combustibles fossiles. « Grâce à ce nouveau dispositif, nous allons passer de 20 à 80 % de substitution », confirme Jean-Louis Sibioude. Un taux qui devrait être atteint à terme. C’est-à-dire dans les 12 à 18 mois après l’entrée en fonctionnement de la cimenterie “version 2020”.  Elément central de l’usine, le nouveau four dit “MK3” présente une longueur de 64 m pour 4,30 m de diamètre. Il s’agit d’un four dit de “haute technologie à basse émission de CO2”. Il est alimenté en énergie par une tuyère Pillard. Ce four remplacera les deux existants – qui seront démantelés -, pour offrir une capacité de production en hausse de 20 %. Ainsi, il sera en mesure de fabriquer environ 550 000 t de clinker par an. Soit plus de 770 000 t de ciments, contre 650 000 t aujourd’hui. Elément clef de l’investissement de 120 M€ destiné à moderniser l’ensemble de la ligne de production de la cimenterie, le montage du four s’est déroulé du 23 au 26 novembre dernier. Les 6 éléments (viroles) ont pu être assemblés grâce à d’importants moyens de levag. A savoir, trois grues mobiles de 250 t, 450 t et 500 t, ainsi qu’une grue à tour parmi les plus grandes en Europe (140 m). Opération de bétonnage de la superstructure de la tour de pré-chauffage. [ACPresse]L’ensemble des bétons représente un volume de l’ordre de 11 000 m3. [©ACPresse] Enfin une tour de pré-chauffage Mais la véritable nouveauté du site sera la tour de pré-chauffage. Culminant à près de 100 m de haut, elle abritera le dispositif de pré-calcination, conçu et fourni par CBM. Celui-ci verra se croiser les gaz chauds sortant du four et la farine crue qui donnera naissance au clinker. « La température dans la zone de pré-calcination oscille entre 300 °C en haut et 900 °C en entrée de four, détaille Jean-Louis Sibioude. Cette technologie assure environ 50 % de la cuisson de la farine. » Surtout, cette tour de pré-chauffage est le point d’entrée privilégié de l’essentiel des combustibles de substitution : pneus déchiquetés, combustibles solides de récupération (CSR) et autres copeaux de bois. « Il y a des discussions avec d’autres industriels locaux, cherchant des déchets à valoriser en combustibles », reprend François Pétry. Et Jean-Louis Sibioude, de compléter : « Tous les combustibles alternatifs proposés sont testés de manière très précise. Afin de connaître leur composition chimique, pour ne pas dégrader la qualité de notre clinker, donc des ciments produits ». En d’autres termes, LafargeHolcim – ni aucun cimentier d’ailleurs – ne brûle pas n’importe quoi dans ses fours… Ces massifs constituent les supports du futur four MK3 de la cimenterie de Martres-Tolosane. En arrière-plan, les deux fours actuels. [©ACPresse] Les segments du nouveau four attendent d’être installés et assemblés entre eux pour former un ensemble de 64 m de long pour 4,30 m de diamètre. [©ACPresse] Des pneumatiques entiers Un des points singuliers de la cimenterie de Martres-Tolosane est la mise en place d’une installation d’introduction de pneumatiques entiers, directement dans le four1. Cette approche permet d’éviter la phase préalable de déchiquetage. L’atelier a été mis en service en 2016, dans le cadre d’une précédente phase de travaux. Mais entrant dans le projet global de modernisation. Il a nécessité un investissement de 2,1 M€, dont 400 000 € financés par l’Ademe. Et a été construit sur mesure par ATS Walter. Pour assurer l’approvisionnement en pneumatiques, LafargeHolcim s’est rapproché d’un collecteur. Qui travaille avec des garagistes auprès desquels les pneumatiques sont récupérés. Celui-ci les trie et les lave avant de les livrer à la cimenterie. La collecte est opérée en local, dans le cadre de contrats pluriannuels avec engagement de fourniture des volumes minimaux. La capacité de traitement de l’atelier atteint 8 000 t/an de pneumatiques. Ce qui représente 15 % de l’apport thermique d’un des deux fours actuels de l’usine.  « Les pneumatiques n’ont pas d’impacts négatifs sur la qualité de la production, ni sur l’environnement de l’usine », rappelle Jean-Louis Sibioule. Bien au contraire, même. La fraction minérale, pour l’essentiel constituée de la trame en acier du pneumatique, assure l’apport en fer. Supprimant ainsi les besoins de compléments extérieurs. Ceci, en plus de l’apport énergétique… Assemblage de la partie inférieure du broyeur Loesche. [©ACPresse] Partie supérieure du broyeur, en cours de pré-assemblage. [©ACPresse] Pour la durée des travaux, l’atelier “pneumatiques” a été déplacé de l’autre côté des fours. [©ACPresse] Près de 11 000 m3 de béton Pour les besoins de la construction du nouveau four, l’atelier “pneumatiques” – du moins, la zone de stockage, de tri et de préparation – a été déplacé de l’autre côté des fours. En effet, la position initiale de cet atelier tombait au droit des massifs supports en béton du nouveau four. Outre la cuisson, les travaux de rénovation de la cimenterie de Martres-Tolosane se concentrent aussi sur le broyage amont. Qui permet l’obtention de la farine crue, et sur son acheminement en direction du pré-calcinateur. En aval, un nouveau refroidisseur IKN à grille pendulaire. Il vient se connecter sur le processus de fabrication et de stockage des ciments.  Le broyeur cru constitue le dernier élément imposant de la nouvelle ligne de production. De type vertical, il s’agit du modèle LM3000 2+2 de Loesche. Par rapport à l’ancienne installation, il devrait permettre de diviser par deux la consommation énergétique.  Bien que les équipements industriels occupent le devant de la scène, l’opération de transformation de l’usine n’en est pas moins consommatrice de béton. Ainsi, à l’image de Boccard, qui pilote le pré-assemblage des équipements, l’entreprise de BTP Eiffage Génie Civil assure la construction de la superstructure non métallique. Si les bétons restent classiques, ils représentent tout de même 11 000 m3, à mettre en regard des 4 000 t d’équipements et des 3 000 t de charpentes métalliques. « Des bétons fournis par LafargeHolcim, à partir d’une centrale à béton proche de l’usine », indique en conclusion Didier Michel, directeur du projet de modernisation pour LafargeHolcim.  Les deux fours originels de la cimenterie de Martres-Tolosane ont été mis en service en 1956 et en 1966. Ils seront démantelés après 2020. [©ACPresse] En jaune, toutes les parties conservées de l’usine. En gris et bleu, les parties nouvelles. [©LafargeHolcim] 1Lire CBPC 930, supplément de BLM n° 67, de novembre/décembre 2016. Un nouveau terminal ferroviaire Excentrée par rapport à l’actuelle zone de travaux de la cimenterie de Martres-Tolosane, une toute nouvelle unité de chargement de clinker est en service depuis quelques mois sur le site. Elle se substitue à un poste de chargement manuel (à l’aide d’une chargeuse sur pneumatiques). Cette installation permet à l’usine une expédition en direction de la station de broyage d’Angoulême, en Charente (16), distante de 400 km. Il s’agit de la seule partie de l’ex-cimenterie de La Couronne, qui soit restée en service, suite à l’arrêt de la production de clinker, du fait de la fermeture de sa carrière mitoyenne, dont le gisement était épuisé. Confiés à Chovet-DB2i (groupe Demathieu & Bard), les travaux ont nécessité un investissement de 4,4 M€. La pièce principale du dispositif est une trémie d’une capacité de 1 000 t, soit les deux tiers d’un train complet d’une vingtaine de wagons. De fait, cette trémie a un peu le rôle d’un stock-tampon. Elle présente un diamètre de 10 m, pour une hauteur utile (sans le cône) de 11 m. L’ensemble de la superstructure culmine à 24 m. Elle bénéficie de deux sorties : la principale, réservée au chargement des trains, et l’optionnelle, dédiée en remplissage de citernes sur semi-remorques. La reconfiguration de la zone a imposé de dévier la voie ferrée existante pour l’axer sous la trémie et, en même temps, répondre aux contraintes relatives au gabarit réglementaire des wagons. Afin de s’inscrire dans la charte environnementale du groupe LafargeHolcim, tout un système anti-poussière d’extraction, de transfert et de vidange du clinker dans les wagons a été mis au point par Chovet-DB2i. Grâce à cette nouvelle installation, le remplissage d’un wagon de 66 t se fait dorénavant en 10 mn et celui d’un train complet de 1 500 t, en 6 h. Grâce à sa nouvelle installation, la cimenterie LafargeHolcim de Martres-Tolosane peut remplir de clinker un train complet de 1 500 t en 6 h.[©LafargeHolcim]
Il y a 4 ans et 144 jours

Christophe Jeauneau, nouveau président du Synad

Christophe Jeauneau, nouveau président du Synad. [©ACPresse] Depuis quelques jours, Christophe Jeauneau (53 ans) est le nouveau président du Syndicat national des adjuvants pour bétons et mortiers (Synad). Ceci, pour une durée de trois ans. Il succède à Claude Le Fur, qui a assuré cette présidence pendant deux mandats successifs. Et qui reste membre du Bureau du Synad.  Son parcours Outre sa fonction au sein du Synad, Christophe Jeauneau est surtout le directeur général de Mapei France. Poste qu’il occupe depuis cinq années à présent. Manageur commercial et ingénieur de formation, Christophe Jeauneau débute sa carrière, en 1991, chez Armater & Sols Solutions, comme responsable technique. Puis, responsable du développement en Asie du Sud-Est. En 1994, il intègre le groupe Saint-Gobain où il accèdera rapidement à des postes à responsabilité. Fort de ses expériences, Christophe Jeauneau rejoint, à partir de 2008, le groupe Vicat pour y remplir trois missions simultanées. Il devient président directeur général de la filiale VPI, directeur général de la branche “Papier et Emballage” et directeur marketing du groupe. En parallèle, il évolue dans la sphère syndicale, en devenant président de la commission “Matériaux/Technique” du SNMI (Syndicat national des mortiers industriels). Et en étant membre du Bureau du Centre technique du papier. Pour sa part, Claude Le Fur est le directeur du développement de l’activité béton Europe du Sud et Moyen-Orient chez Sika. Par ailleurs, il est aussi vice-président de l’European Federation of Concrete Admixtures Associations (Efca). Autrement dit, la fédération européenne des syndicats nationaux d’adjuvants.  Ses missions Dans la continuité de ses prédécesseurs, Christophe Jeauneau œuvrera à la reconnaissance du Synad et des adjuvants pour bétons et mortiers. Il a salué l’excellente gestion du syndicat par Claude Le Fur, avec qui il continuera de travailler en tant que membre du Bureau. L’enjeu était, et reste aujourd’hui, de faire en sorte que les adjuvants soient toujours plus reconnus pour ce qu’ils sont. A savoir, des constituants indispensables à la fabrication et à l’emploi de bétons de qualité. Le nouveau président s’inscrit donc dans la continuité de son prédécesseur. Tout en souhaitant s’appuyer sur son expérience technico/marketing. Et mettre à profit l’expertise acquise durant son parcours pour faire rayonner toujours plus le Synad dans le secteur de la construction. Son attention sera portée notamment sur les actions de communication. Ainsi que sur le dispositif qui les soutient, afin d’accroître la visibilité du Synad. Enfin, Christophe Jeauneau compte démultiplier les synergies avec les différents acteurs de la Filière Béton qu’il connaît parfaitement.
Il y a 4 ans et 147 jours

Privés de loyers, des propriétaires en résidence de tourisme refusent d'être "une variable d'ajustement"

"On est en train d'attaquer nos économies, c'était pas le but", regrette Alain Mathieu, propriétaire d'un studio dans une résidence de tourisme à Puteaux (Hauts-de-Seine), gérée par le groupe Réside Études.Ce retraité avait contracté un crédit pour l'achat de son bien, convaincu par la perspective d'un investissement "tranquille". Une façon de se constituer "un pécule pour l'avenir", et d'aider financièrement sa fille handicapée. Dans ces locations destinées à un usage touristique, le paiement des loyers est garanti par le groupe exploitant.En mars, il reçoit un loyer correspondant au premier trimestre d'exploitation de la résidence, ouverte en décembre 2019. Depuis, plus rien.Réside Études, qui n'a pas donné suite aux sollicitations de l'AFP, a justifié la suspension des loyers par l'incidence de la crise sanitaire et économique, dans un courrier adressé aux copropriétaires. Le groupe y affirme avoir subi une diminution de 45% de ses recettes d'hébergement par rapport à l'année précédente.Alain Mathieu, qui estime avoir déjà perdu 6.000 euros, a pu négocier avec sa banque un report du remboursement de son prêt jusqu'au deuxième trimestre 2021 mais doit tout de même payer les intérêts, environ 300 euros par mois. Et il n'est pas certain que l'activité de sa résidence, qui dépend largement du tourisme d'affaires, aura repris l'année prochaine.Avec d'autres investisseurs, Alain Mathieu a entrepris une action collective contre Réside Études. "Les propriétaires deviennent une variable d'ajustement de leurs difficultés financières", s'alarme leur avocat, Jacques Gobert. "Juridiquement, les loyers doivent être payés malgré le Covid" ajoute-t-il.Après l'échec de négociations avec Réside Études, l'avocat marseillais, qui dit représenter plus de 4000 propriétaires contre plusieurs groupes de résidence de tourisme, s'affirme prêt à lancer une procédure judiciaire contre le groupe."Confiance détruite"Avec une trentaine de copropriétaires d'une résidence Pierre et Vacances de Val Thorens, Laurent (prénom modifié) a aussi lancé une action collective, encore en phase de conciliation. Lui a perçu des loyers, mais amputés des périodes de confinement. Soit plus de 6.000 euros de manque à gagner. "Sans doute plus", soupire-t-il, alors que sa résidence est, pour l'heure, toujours fermée au public.Pour l'emprunt de ses quatre appartements, achetés pour compléter sa future retraite, il débourse 1.800 euros par mois. Et doit finalement "piocher" dans ses revenus.En compensation des loyers non versés, les deux groupes ont proposé à leurs bailleurs de recevoir, sur les prochaines années, une partie du chiffre d'affaires supplémentaire de leurs résidences.Mais Alain, Mathieu et Laurent, qui comme les autres propriétaires n'ont pas accès aux comptes de leurs résidences, ont jugé les offres trop incertaines, et les ont déclinées."La confiance est complètement détruite", confie Laurent."Les appartements sont devenus indisponibles à leur destination touristique" ce qui a eu pour effet "de suspendre l'objet du bail" et donc le versement du loyer, affirme Dominique Ménigault, directeur de la gestion du patrimoine de Pierre et Vacances, qui rappelle que le chiffre d'affaires du groupe a diminué de 22,4% en 2020."C'est une situation totalement extraordinaire", note Pascale Jallet, déléguée générale du Syndicat National des Résidences de Tourisme (SNRT). Elle distingue celle déjà "très difficile" des résidences mer, montagne et campagne qui ont vu leur chiffre d'affaires baisser de 30% en 2020 selon une étude du SNRT, de celle des résidences de ville, qui accusent une perte d'au moins 60%."Il faut arriver à trouver une solution équilibrée, qui rétablisse la charge entre les exploitants, les propriétaires et l'État", reprend-t-elle.
Il y a 4 ans et 148 jours

Audrey Noguera, Responsable des Solutions Industrielles Kawneer

Dans le cadre de la réorganisation commerciale interne de Kawneer initiée par Raphaël Dericbourg, Directeur Général de Kawneer Europe du Sud et Nord-Est Europe, Audrey Noguera se voit confier la responsabilité du pôle Kawneer Industrial Solutions dédié aux clients industriels de la marque. Titulaire d’un Master 2 Marketing stratégique produits et marques de l’Université de Montpellier Management (MOMA), Audrey Noguera, 37 ans, bénéficie d’une expertise de près de 14 ans acquise au sein de l’entreprise en tant que Chef de Produits Gamme et Assemblé. Audrey Noguera est Responsable du pôle Kawneer Industrial Solutions, qui dépend du nouveau Service Marketing Business Développement créé dans le cadre de la nouvelle organisation commerciale interne de Kawneer. Dans ses nouvelles fonctions, elle assure l’interface entre les clients de Kawneer, fabricants de menuiseries à l’échelle industrielle, les différents services en interne et les commerciaux sur le terrain. Véritable chef d’orchestre, elle identifie, dans un premier temps, les besoins spécifiques de ces clients liés à leur mode de fonctionnement et aux marchés sur lesquels ils évoluent. Puis, elle coordonne les équipes internes pour adapter les process de Kawneer aux leurs, les simplifier et ainsi répondre à leurs attentes le plus rapidement possible, tant sur la partie développement produits que services (logistique, EDI, …). L’objectif final étant la création d’une offre adaptée à leur typologie pour les faire gagner en productivité. https://www.kawneer.com/
Il y a 4 ans et 149 jours

Spie batignolles expérimente l'impression 3D pour gagner en performance sur ses chantiers

« Nous sommes persuadés de l'intérêt de la technique de l'impression 3D pour développer de petits éléments en béton, dont la réalisation traditionnelle est généralement chronophage. Ces techniques permettront d'améliorer les conditions de travail de nos collaborateurs sur le chantier, notre productivité et in fine notre performance. »Frédéric Gaurat, directeur technique chez Spie batignollesL'impression 3D dans le bâtiment : un vaste champs des possiblesBien que l'impression 3D, ou tridimensionnelle, ait fait l'objet d'un tout 1er dépôt de brevet au début des années 80, son essor remonte surtout à 2010 avec l'impression de premiers objets réalisés à base de différentes matières telles que le plâtre, le plastique...Si cette technologie commence à être employée dans le secteur du bâtiment, elle concerne principalement à ce stade la construction de petites maisons individuelles, ou l'impression d'éléments décoratifs non structurels. Rien qui n'ait encore permis de véritables changements organisationnels dans le BTP, un secteur lourdement confronté à une pénurie de main d'œuvre.Spie batignolles s'empare du sujet pour développer l'emploi de cette technique sur ses chantiers, avec la volonté d'aller plus loin. Spie batignolles initie ses premiers cas d'usage d'impression 3D bétonSpie batignolles s'est fixé pour objectif d'utiliser l'impression 3D béton sur des éléments réplicables incorporés à l'ouvrage lorsque cette technique présente une alternative intéressante aux méthodes traditionnelles.Deux exemples d'application directe de ce nouveau mode constructif : le coffrage de nœuds de poutres complexes et la réalisation de boîtes de réservation.1-Les nœuds de poutres sur poteaux concentrent des charges importantes sur des surfaces réduites. Dans la conception de certains planchers complexes, la géométrie définitive de ces nœuds est bien souvent unique : 3 ou 4 poutres, de largeur, de hauteur et d'angle différents doivent être clavetées ensemble sur le même poteau. En méthode traditionnelle, la réalisation du coffrage de ces ouvrages est consommatrice de matériaux à usage unique, de temps passé, elle se fait en plusieurs phases, et elle est potentiellement source de non-qualité.Fort de ce constat, la direction technique de Spie batignolles a eu la volonté de trouver une solution résolvant au mieux l'ensemble de ces problèmes.En partenariat avec XtreeE, Spie batignolles a conçu, imprimé, puis mis en œuvre le coffrage d'un nœud de poutre, incorporé à l'ouvrage, à la forme géométrique complexe, permettant le clavetage des poutres sur le poteau en une seule phase.« Le premier prototype réalisé à l'échelle 1 sur un nœud de trois poutres conséquentes nous a permis de valider le procédé. Cet essai a répondu à une majorité de nos exigences avec des résultats très concluants. Il nous incite à poursuivre nos développements afin de rendre ce procédé encore plus performant et de l'étendre sur plusieurs projets dès 2021. »Frédéric Gaurat, directeur technique chez Spie batignollesDans ce 1er cas, les équipes industrialisent « hors site » le coffrage du nœud de poutre. L'utilisation de la maquette numérique liée à l'impression 3D permet à la direction technique de réaliser de manière très rapide une pièce complexe unique qui simplifiera la réalisation de l'ouvrage sur site.2 - Les boîtes de réservations font partie des coffrages les plus basiques généralisés sur un chantier. Traditionnellement réalisées en bois, elles servent à prévoir le passage des différents réseaux électriques, CVC et plomberie après coulage des voiles en béton. Bien qu'indispensables, leur mise en œuvre ne nécessite aucune expertise technique particulière mais occasionne un temps passé significatif.Spie batignolles et XtreeE sont parvenus à imprimer des boites de réservation prêtes en 24h seulement en employant le béton Ductal® qui présente l'avantage de sécher très rapidement et de se solidifier fortement. Les boîtes ainsi mises en œuvre sont incorporées à l'ouvrage fini et n'ont pas besoin d'être retirées.Les essais réalisés sur chantier ont permis de valider cette application de l'impression 3D.Dans ce 2ème cas, Spie batignolles industrialise « hors site » la réalisation de boîtes de réservations en série. Grâce au BIM, les réservations sont optimisées (nombre, standardisation des dimensions), et les boîtes imprimées en 3D permettent de supprimer de nombreuses tâches telles que la réalisation de la boîte en bois, le décoffrage en hauteur après coulage, ou encore l'évacuation du bois - rendu non réemployable - dans les bennes à déchets.L'impression 3D béton, moteur de l'industrialisation du BTPDans ces 2 exemples d'application de l'impression 3D, l'objectif final est d'industrialiser l'acte de construire depuis la conception jusqu'à la mise en œuvre sur le chantier, au service d'une meilleure performance. Ce nouveau mode constructif conduit à adapter le « sur mesure » ou la « grande série » à partir de la maquette numérique. A chaque fois, ce process permet de gagner en sécurité (moins de travaux en hauteur), en qualité de réalisation (élément fini incorporé à l'ouvrage), en délai et en performance économique.Avec la conception de ces premiers éléments constructifs issus de l'impression 3D, Spie batignolles s'engage pleinement dans l'ère du BTP 4.0 et continue à travailler sur de nouveaux développements réunissant les caractéristiques de récurrence, résistance, durabilité et sécurité.« Ce nouveau mode constructif, ouvre d'importantes perspectives et participera à une profonde transformation de nos métiers du BTP vers une industrialisation croissante, tant ses atouts sont indéniables en termes de rentabilité, de qualité de réalisation, de délai d'exécution et de sécurité. »Frédéric Gaurat, directeur technique chez Spie batignolles
Il y a 4 ans et 149 jours

Johnson Controls lance OpenBlue, une plateforme numérique pour les bâtiments intelligents

Intégrée aux équipements des bâtiments fournis par Johnson Controls, et enrichie par des partenariats technologiques avec des entreprises leaders issues du classement Fortune 100, cette plateforme numérique ouverte rendra les espaces partagés plus sûrs, plus agiles et plus durables.Johnson Controls OpenBlue est l'aboutissement d'années de recherche et de développement menées par les ingénieurs et les scientifiques de la société dans le monde entier, pour créer "l’architecture du futur" et imaginer des bâtiments plus intelligents, plus sûrs et plus durables. La nouvelle suite de solutions connectées permet une expérience totalement innovante pour les occupants des bâtiments, une sécurité respectueuse et une durabilité impactante, grâce à une technologie numérique de pointe.La connectivité est essentielle pour atteindre cet objectif : les systèmes du bâtiment doivent fonctionner ensemble et communiquer pour être plus efficaces. OpenBlue a été conçu dans un souci d'agilité, de flexibilité et d'évolutivité, pour permettre aux bâtiments de devenir des espaces dynamiques. En exploitant la plateforme OpenBlue, les clients pourront gérer les opérations de manière plus systématique, en créant des bâtiments qui ont de la mémoire, de l'intelligence et une identité unique. La plateforme et les solutions et services OpenBlue bénéficie d’une technologie d’intelligence artificielle (IA) primée, combinant des données provenant à la fois de l'intérieur et de l'extérieur des bâtiments."La manière dont nous interagissons avec notre environnement et dont les bâtiments et les espaces communs sont gérés dans un souci de sécurité et de durabilité est partout en tête des préoccupations, et nous reconnaissons plus que jamais la complexité de ces systèmes. Johnson Controls rend les bâtiments efficaces et sûrs depuis 135 ans, et cette année, notre obligation de fournir à nos clients des solutions complètes et de premier ordre n'a jamais été aussi importante", a déclaré George Oliver, président et directeur général de Johnson Controls. "Le lancement d'OpenBlue reflète la façon dont nous pensons que les bâtiments évoluent, passant d'actifs rigides à des ressources dynamiques. C'est donc un élément essentiel de notre stratégie, qui nous permet d'orienter nos clients du monde entier vers les solutions et les services nécessaires pour transformer leurs espaces à long terme".Les solutions OpenBlueEn combinant des systèmes traditionnellement indépendants, OpenBlue permettra de connecter chaque partie d'un bâtiment pour créer de nouvelles possibilités d'espaces plus intelligents, plus efficaces et plus durables.Les clients d'OpenBlue pourront notamment :Bénéficier d’une flexibilité dynamique. OpenBlue permettra aux bâtiments de fonctionner suivants différents modes, pour répondre à diverses situations critiques. Ces modes pourront inclure la gestion de l'accès au bâtiment, la circulation de l'air, le mouvement des ascenseurs, le verrouillage des portes, l'éclairage et la collaboration ouverte, ainsi que d'autres paramètres environnementaux et de sécurité.Déployer des solutions en réponse à la pandémie. OpenBlue connecte les produits, la technologie et les services de Johnson Controls pour aider les clients à reprendre le travail de la manière la plus sûre et la plus efficace possible. Ces solutions et services comprennent la recherche de contacts, la surveillance de la distanciation sociale, les caméras thermiques, l’amélioration de la qualité de l’air, les environnements sans contact, la gestion de la conformité et des rapports, l'optimisation de l'énergie, la surveillance avancée de la sécurité, etc.Choisir parmi des services à plusieurs niveaux pour répondre à leurs besoins. OpenBlue contiendra une suite de services à plusieurs niveaux, dotés d’intelligence artificielle, et offrant des capacités avancées telles que le diagnostic à distance, la maintenance prédictive, les évaluations de risque avancées, le contrôle de conformité et bien plus encore.Mettre la sécurité au cœur des solutions. OpenBlue a été conçu avec la sécurité au cœur de son fonctionnement, et permettra aux clients d'accéder à des solutions sécurisées dès leur conception. Chacune des offres OpenBlue est développée avec des protocoles de conception robustes pour la sécurité et les processus de confidentialité.Augmenter les économies d'énergie et améliorer la qualité de l'air intérieur. En connectant les équipements de CVC aux nouvelles données et à l'IA, les utilisateurs de la plateforme peuvent s'attendre à des économies de 20 à 60 % en optimisant les performances du système complet de CVC sur les coûts énergétiques et les paramètres de qualité de l’air.Plateforme numérique et partenariatsLa plateforme OpenBlue de Johnson Controls agrège les technologies opérationnelles traditionnelles, les systèmes informatiques existants avec les applications cloud infusées par l'IA et les technologies de pointe telles que les jumeaux numériques, ce qui rend possible la compréhension, l'intégration et la collaboration. OpenBlue permettra aux technologies d'exploitation de communiquer et de s'intégrer de manière transparente à travers un large éventail de systèmes."La connectivité est la clé qui nous permet de faire mieux travailler les bâtiments", a déclaré Mike Ellis, vice-président exécutif, Chief Customer & Digital Officer chez Johnson Controls. "Cette nouvelle suite de solutions permettra d'obtenir des résultats inimaginables auparavant pour nos clients en connectant les bâtiments à des fonctionnalités logicielles uniques, ce qui permettra d'offrir une grande valeur ajoutée aux clients. Nous nous sommes associés à un certain nombre de sociétés technologiques de premier plan et de leaders d'opinion dans divers secteurs pour déployer des solutions sur mesure dans les mois à venir".Une nouvelle marque de Johnson Controls"Le lancement d'OpenBlue est une approche radicale des espaces dynamiques", a déclaré Phil Clement, vice-président et Chief Marketing Officer de Johnson Controls. "L'identité de la marque a été créée en tenant compte d'un certain nombre de facteurs : Open fait référence à notre vision d’un avenir optimiste mais aussi à l'architecture ouverte de la plateforme pour permettre aux produits de fonctionner avec différentes solutions. La couleur bleue est au cœur de la marque Johnson Controls depuis 135 ans et donne un clin d'œil à notre fort héritage dans l'espace des bâtiments".Les experts de la technologie OpenBlue animeront des ateliers clients exclusifs "OpenBlue – l’architecture du futur", des webinaires de réflexion et des séances de réflexion pour aider les clients à réimaginer les possibilités des environnements construits et à redéfinir les capacités des espaces et des lieux pour faciliter la mission de leurs occupants.Johnson Controls s'associe à des entreprises mondiales du Fortune 100 pour réunir une expertise de pointe en matière de plates-formes de données ouvertes, d'applications logicielles et d'IA de pointe, de systèmes de construction et de dispositifs de pointe intelligents. Le nouvel écosystème technologique offre une nouvelle vision, tout en réimaginant l'avenir des lieux de travail, notamment les hôpitaux, les bureaux, les datacenters, les villes et bien d'autres encore.Pour en savoir plus sur OpenBlue, cliquez ici
Il y a 4 ans et 150 jours

Nouvelle direction chez Tout Faire : Interview de Cédric Fabien et Charles Gaël Chaloyard

Le groupement de négociants en matériaux Tout Faire a recruté un nouveau directeur général, Charles Gaël Chaloyard, 48 ans, et nommé Cédric Fabien, 35 ans, à sa présidence. Ils répondent à nos questions.
Il y a 4 ans et 151 jours

Capremib s’offre une centrale dédiée aux Bfup

La nouvelle centrale à béton de l’usine Capremib s’inscrit dans un hall dédié de 250 m2. [©ACPresse] Des formules de bétons, Capremib en utilise des dizaines. Leur point commun ? Elles concernent toutes des bétons “normaux”, fabriqués au sein de la centrale historique du site de Cormicy, commune située à quelques kilomètres au Nord de Reims (51). L’unité tourne d’ailleurs à plein régime, ce qui rend délicate toute expérimentation. Et encore plus le souhait de se positionner comme un acteur de la structure en Bfup. C’est dans ce contexte que l’industriel vient de franchir un nouveau pas dans son développement, avec l’inauguration d’une nouvelle centrale à béton, installée dans un bâtiment neuf et isolé de 250 m2. « Cet équipement est dédié à la production de Bfup et de bétons fibrés, souligne Clément Blanc, directeur général de Capremib. C’est une centrale d’ingénierie qui nous permettra aussi de tester des nouvelles formules et de réaliser des bétons spéciaux en petites quantités. » Clément Blanc est le directeur général de Capremib. [©ACPresse] En effet, il y a aussi de plus en plus de demandes en matière de bétons résistants au feu. Avec cet équipement, Capremib se prépare à répondre à ces attentes. Idem pour la production de voussoirs en béton fibrés. Très longtemps interdit en France, ce principe est en passe de devenir la norme. Les nouveaux lots des chantiers du Grand Paris privilégient cette technologie comme solution de base. Une centrale à béton signée Kniele-BSC La centrale à béton s’articule autour d’un malaxeur conique Kniele, installé par BSC. [©ACPresse]La forme conique du malaxeur Kniele permet des gâchées correspondant à 15 % du volume nominal. [©ACPresse]La vidange se fait par le dessous et bénéficie d’une ouverture totale. [©ACPresse] La nouvelle centrale à béton s’articule autour d’un malaxeur conique Kniele, d’une capacité de 1 500 l. L’une des particularités de cet outil est de pouvoir mélanger même de très petits volumes de béton (remplissage à 15 % de la capacité nominale), d’où son choix. C’est BSC qui a assuré la fourniture du Kniele, mais aussi la conception et de la construction de la centrale dans son ensemble. Compte tenu de son usage “Bfup”, elle comprend deux doseurs à fibres, pour permettre les compositions multi-échelles. Les cases à granulats disposent d’un système de dosage ultra précis, du fait de la grande finesse des sables. Deux stations à big bags ont aussi été intégrées pour permettre l’utilisation de prémix prêts à l’emploi. Même si cette centrale va privilégier le mélange sur site. Aussi deux silos à ciments, chacun subdivisé en deux, autorisent le stockage de quatre nuances de liants et autres pulvérulents. Le BSI d’Eiffage comme Bfup Les cases à granulats disposent d’un système de dosage ultra précis, du fait de la grande finesse des sables. [©ACPresse]Compte tenu de son usage “Bfup”, la centrale comprend deux doseurs à fibres, pour permettre les compositions multi-échelles. [©ACPresse]Placés à l’extérieur, deux silos à ciments, chacun subdivisé en deux, permettent le stockage des liants, acheminés par des vis sans fin jusqu’à malaxeur. [©ACPresse]Deux stations à big-bags ont été intégrées pour permettre l’utilisation de prémix prêts à l’emploi. [©ACPresse] Côté Bfup, Capremib a opté pour le BSI du groupe Eiffage. Aujourd’hui, assez peu d’industriels peuvent profiter de cette technologie, mais Eiffage travaille sur un déploiement plus large de sa solution… Chez Capremib, le BSI est fourni sous la forme d’un prémix cimentaire auquel il faut ajouter les autres constituants de la formule. A savoir, le sable en différentes coupures, les adjuvants sous forme liquide et les fibres. Outre ce Bfup industriel, Capremib utilise aussi sa formule maison : le Capremix. La centrale à béton Kniele-BSC complète l’unité de production principale du site de Cormicy. Mais elle est aussi en mesure de la suppléer en cas de nécessité. L’installation de la centrale s’est accompagnée de la construction d’un hall supplémentaire de 400 m2 couverts. « Il sera dédié à la préfabrication des éléments en Bfup », confirme Clément Blanc. Deux premières affaires sont d’ailleurs déjà en cours. Toute d’abord des poutres Prad en Bfup blanc destinées à la reconstruction du pont Célestin Philbois, à Troyes (10). « Il s’agit sans doute du premier pont jamais construit en Bfup blanc. » Ensuite, des dalles de pont, en Bfup gris matricé, destinées au pont de Gerstheim (67). « D’une épaisseur de 30 cm, ces éléments destinés à la réhabilitation permettent un allègement général de la structure. » Les Bfup sont transférés vers les moules à l’aide d’une classique benne à béton. [©ACPresse]Zone de préfabrication des éléments en Bfup. [©ACPresse]Dalles en Bfup matricé destiné à la réhabilitation du pont de Gerstheim (67). [©ACPresse] Des agrandissements de site pour 2021… Les investissements en équipements de production n’ont pas été limités au seul site de Capremib. Celui de Cibetec, à Saint-Léonard (51), a ainsi vu le remplacement des deux malaxeurs de sa centrale à béton. Ce sont deux Teka à turbine de 750 l de capacité, qui sont entrés en service, il y a un peu plus d’un an aujourd’hui. Ils bénéficient d’un système automatisé de nettoyage, car « nous y réalisons beaucoup de bétons colorés, précise Clément Blanc. Et de poursuivre : « Bien entendu, ils savent aussi malaxer des Bfup ». D’autres transformations sont encore à suivre, en 2021 sans doute. Il est question d’agrandir les terrains des deux sites de production. Et le hall “armatures” de Capremib. L’industriel espère pouvoir gagner 1 ha supplémentaire sur le site de Cormicy, ce qui ne devrait pas être trop complexe. En effet, l’usine se situe en rase campagne, le long du CD 944, avec un cimetière pour seul voisin… Mais si l’unité génère du trafic poids lourds et un peu de bruit, cela ne dérange pas grand monde ! Jean-Paul Franzini sort du bois Jean-Paul Franzini, dans l’atelier de moules de l’usine Capremib. [©ACPresse] On pourrait presque dire que Jean-Paul Franzini fait partie des meubles. Que l’usine Capremib de Cormicy (51) a été construite autour de lui... Il est vrai que l’homme est incontournable. Quelque 44 ans passés dans la maison n’y sont pas étrangers. « Jean-Paul Franzini est entré chez Capremib en 1976 ! », précise Clément Blanc, directeur général de Capremib. Il était alors âgé de 17 ans et venait tout juste de décrocher son CAP de menuiserie. Jean-Paul Franzini a été le spécialiste des moules sur mesure en bois indispensables au coulage de nombre de pièces en béton. « J’ai assuré la conduite de l’atelier de conception des moules en tant que chef menuisier », indique l’intéressé. Une vie dans le bois qu’il a souhaité prolonger quelque peu « pour accompagner, encadrer et de finir de former mes successeurs ». Mais c’est décidé, Jean-Paul Franzini raccroche définitivement ses outils professionnels le 31 décembre 2020. Sa nouvelle vie ? Un mix entre des loisirs et ses petits-enfants. Il continuera aussi à jouer de la perceuse et du marteau, pour le plaisir cette fois-ci. Il y a toujours à faire, à la maison...
Il y a 4 ans et 151 jours

VM veut aller "à toute vitesse" sur la rénovation énergétique

ENTRETIEN. Le groupe VM veut accélérer sur la rénovation énergétique, dans la dynamique du plan de relance. Son directeur général, Eric Rouet, nous explique de quelle manière.
Il y a 4 ans et 151 jours

Intégration des fenêtres et coulissants Schüco dans le système Loxone pour créer des bâtiments intelligents

Une automatisation intelligente des bâtiments en combinaison avec des systèmes de fenêtres et de coulissants de pointe permet une gestion optimale de l'énergie, du confort et de la sécurité dans les bâtiments résidentiels et commerciaux. Afin d'offrir une solution simple et de haute qualité.Pour combiner élégamment la gestion de l'énergie, le confort, la sécurité et l'automatisation des bâtiments, Schüco a développé le raccord mécatronique TipTronic SimplySmart. La technique d'entraînement cachée permet l'automatisation des fenêtres et des systèmes coulissants en aluminium Schüco. Grâce à la nouvelle extension Schüco de Loxone, les fenêtres et portes coulissantes Schüco TipTronic SimplySmart peuvent désormais être facilement intégrées dans le système d'automatisation du bâtiment intelligent du fabricant. Ils s'ouvrent, s'arrêtent, s'inclinent ou se ferment désormais automatiquement, par exemple pour améliorer la qualité de l'air ou lorsqu'il pleut.Un bénéfice énergétique optimal"Avec notre coopération, nous combinons le meilleur des mondes de Loxone et de Schüco pour nos clients", explique le directeur général de Loxone, Rüdiger Keinberger, pour expliquer les objectifs de la coopération.Joachim Gau, chef de l'unité commerciale Bâtiments intelligents de Schüco, ajoute : "L'intégration des fenêtres et des portes coulissantes Schüco dans le système Loxone crée un bâtiment intelligent qui offre un confort complet et utilise de manière optimale le potentiel énergétique de l'enveloppe du bâtiment".L'extension Schüco permet d'intégrer jusqu'à 30 unités Schüco. Grâce au logiciel de configuration Loxone Config, l'intégration est simple par simple pression sur un bouton. Une fois intégrés, outre le confort et la commande optimale des fenêtres et des portes par le système d'automatisation du bâtiment intelligent, les gestionnaires de bâtiments et les clients reçoivent également, sur demande, un retour d'information sur les largeurs d'ouverture actuelles et les statuts de verrouillage.
Il y a 4 ans et 154 jours

Vracs de l’Estuaire : « Nous souhaitons avoir un ancrage local fort »

Retrouvez cet article dans le n°80 de Béton[s] le Magazine. Le constat est simple : près de 500 entreprises françaises sont installées au Maroc… Mais combien d’entreprises marocaines en France ? « Une seule ! », indique Youssef Alaoui, directeur général délégué des Vracs de l’Estuaire. Et ce, depuis septembre 2016 seulement, date précise de la mise en service l’unité de production, au cœur de la zone portuaire du Havre (76). Youssef Alaoui, directeur général délégué des Vracs de l’Estuaire. [©ACPresse] « Les Vracs de l’Estuaire constituent la première étape du plan de développement en France et en Europe de notre groupe, poursuit Youssef Alaoui. A moyen terme, nous ouvrirons un 2e site en France. » Le groupe, c’est celui des Ciments du Maroc (Cimat), dont la création remonte à 2007. Il est aujourd’hui à la tête de deux cimenteries, d’une capacité de production unitaire de 1,6 Mt/an. Entre temps, Cimat est sorti des frontières marocaines pour partir à la conquête de l’Afrique de l’Ouest et centrale. « Pour cela, nous avons fondé les Ciments de l’Afrique en 2011. A travers eux, nous sommes présents dans onze pays. » De quoi acquérir une belle expertise dans la construction, et l’exploitation de centres de broyage et d’ensachage. Et de cimenteries, bien entendu. Droit d’usage de la marque NF Les Vracs de l’Estuaire s’inscrivent dans cette même démarche industrielle. L’entité est filiale à 100 % de Cimat. « Ceci depuis le mois de janvier 2018. Auparavant, nous n’étions que partiellement actionnaires de cette entreprise. » Depuis son ouverture, l’usine-pilote du Havre a permis de créer 45 emplois directs et plus de 60 indirects, montrant bien la volonté d’un ancrage local fort. La capacité de l’outil est de 600 000 t/an. Toutefois, sa montée en puissance est progressive. « A fin 2018, notre production était de 200 000 t en rythme annuel, souligne Youssef Alaoui. Un chiffre tout à fait en phase avec notre plan de développement. » Les Vracs de l’Estuaire rayonnent sur une zone de chalandise de 250 km à 300 km autour du Havre. L’industriel fournit les producteurs indépendants de BPE, les préfabricants, les entreprises de BTP et les négoces en matériaux de construction. « Plus de 83 % de notre production est livrée en vrac et seulement 17 % sont commercialisées en sacs. Nous sommes à l’écoute de notre marché et essayons d’y répondre au mieux. » Cette réponse passe en particulier par la fourniture de ciments, bénéficiant du droit d’usage de la marque NF. Un 42,5 au prix d’un 32,5 Le précieux sésame a été obtenu dès le mois d’août 2017, soit moins d’une année après la mise en service de l’usine. « Nous sommes le premier cimentier indépendant à être titulaire de la marque NF pour nos ciments », insiste Youssef Alaoui. En toute logique, la matière première des ciments – à savoir, le clinker – provient d’une cimenterie Cimat. Celle de Ben Ahmed, située à 70 km au Sud-Est de Casablanca. « Nos cimenteries marocaines sont ultra modernes, bénéficiant des dernières technologies, telles une production par voie sèche ou la présence d’un pré-calcinateur. » L’offre des Vracs de l’Estuaire compte quatre ciments, trois sont proposés en vrac et un seule en sac. Mais en deux variantes. « Notre CEM II/A-LL 42,5 N CE CP2 NF est disponible en sacs de 25 kg ou de 35 kg », détaille Youssef Alaoui. Côté vrac, on retrouve deux CEM I 52,5 N dont le CEM I 52,5 N CE SR5 PM CP2 NF, qui se caractérise par sa résistance aux sulfates. « Ce ciment permet la formulation de CEM III par ajout de laitiers moulus de hauts fourneaux. » Enfin, les Vracs de l’Estuaire commercialisent un CEM II/A 42,5 R. Il n’y a pas de 32,5 au catalogue, comme l’explique en conclusion Youssef Alaoui : « Nous avons  fait le choix de proposer un CEM II 42,5 au prix d’un CEM II 32,5. Nous faisons de la surqualité sans surcoût pour l’utilisateur final ». Alors, dans ce contexte, pourquoi se priver ? Retrouvez cet article dans le n°80 de Béton[s] le Magazine.
Il y a 4 ans et 154 jours

Le Groupe Monnoyeur crée une Direction RSE et nomme à sa tête Anne-Laure Denis

L'entreprise familiale est le leader de la distribution de biens d'équipement et de services pour la construction et l'industrie, également acteur majeur européen de la transformation digitale du secteur de la construction. Forte d'un parcours et d'une expérience RSE de plus de 10 ans dans l'industrie, Anne-Laure Denis apportera son expertise et son savoir-faire au service du groupe centenaire.La mission d'Anne-Laure Denis au sein du Groupe Monnoyeur sera de poursuivre la définition d'une politique et d'une stratégie RSE Groupe, ainsi que d'assurer leur mise en œuvre avec les différents pôles d'activités. Elle sera également en charge du pilotage opérationnel des différentes composantes de la politique RSE, elle en déterminera les indicateurs clés puis en assurera le suivi et l'amélioration. En outre, elle animera et coordonnera la mise en œuvre et la communication des plans d'actions avec les parties prenantes internes et externes.Anne-Laure Denis démarre sa carrière en 1999 dans le conseil en stratégie chez Kearney. En 2005, elle devient auditeur interne chez Kraft Foods avant d'accéder, en 2009, au poste de responsable Environnement et Développement Durable chez bioMérieux. En 2014, elle intègre Lafarge où elle est en charge de la RSE puis en 2016, elle est nommée responsable RSE et Innovation chez LafargeHolcim.« Nous sommes ravis d'accueillir Anne-Laure au sein du Groupe Monnoyeur, elle apportera son savoir-faire et sa connaissance approfondie de la responsabilité sociale et environnementale. Cette création de poste est le reflet de nos fortes ambitions en matière de RSE, elle marque notre volonté d'insuffler une nouvelle dynamique et de construire une véritable stratégie dédiée. C'est l'ensemble du Groupe et de ses filiales qui doit se développer de manière durable. Anne-Laure nous aidera à relever ces défis majeurs, plus que jamais d'actualité en cette période d'incertitude. » souligne Philippe Monnoyeur, Directeur Général du Groupe Monnoyeur.Âgée de 45 ans, Anne-Laure Denis est diplômée d'HEC Paris et titulaire d'un Master of Science en Environnement de l'Imperial College à Londres.
Il y a 4 ans et 154 jours

Damien Reveau élu président de Menuiseries 21

Lors de son assemblée générale du 17 novembre 2020, la charte qualité des fabricants de fenêtres en bois et mixtes (bois-alu) Menuiseries 21 a élu Damien Reveau comme président. Le directeur général délégué du Groupe Ridoret succède à Xavier Lecompte (Atulam). En tant que dirigeant de la Menuiserie Reveau (Combrand), Damien Reveau est engagé dans la charte Menuiseries 21 depuis 2005. Jusqu’alors membre du comité de suivi et acteur essentiel de la charte depuis son entrée, Damien Reveau compte défendre le savoir-faire et les intérêts des entreprises de menuiserie. Le nouveau président de Menuiseries 21, bien qu’étant à la tête d’une entreprise de taille industrielle (120 salariés), est très attaché à la conception et la fabrication de produits sur mesure. Pour Damien Reveau : « Mon objectif est de faire valoir les intérêts des entreprises du bâtiment auprès de nos confrères industriels, pour que nos entreprises ne deviennent pas de simples poseurs de produits approvisionnés. » Le vice-président désigné est Cédric Goepfert (Bader). Le nouveau président et son vice-président ont nommé leur comité de suivi, chargé de surveiller le respect des engagements techniques, environnementaux et sociétaux des signataires.