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Il y a 4 ans et 118 jours

Collection bardage en terre cuite

Le fabricant de tuiles Terre Cuite et Béton made in France BMI Monier se positionne sur le marché du bardage avec une offre inspirante pour les architectes, promoteurs et maîtres d’œuvre. Prolongation esthétique de la toiture, la tuile réussit l’exploit d’être à la fois un matériau très familier, ancré dans notre patrimoine historique, et très créatif dès qu’il intervient en façade. Le rythme de petits éléments permet en effet des jeux graphiques et des calepinages originaux. Par la diversité de leur forme et de leur teinte, les tuiles BMI Monier permettent de créer des effets design sur les façades des constructions neuves, en résidentiel ou tertiaire, comme d’offrir une seconde vie aux façades à rénover. La collection bardage s’accompagne de services dédiés aux architectes, avec un suivi technique de chaque projet.     Photo : Fresnicourt © Laurent Blossier    
Il y a 4 ans et 121 jours

Une ancienne laiterie métamorphosée en maison d'hôtes

ÉTONNANT. Transformer cette laiterie en maison d'hôtes a permis à sa propriétaire de donner une seconde vie à cet ancien hangar agricole. Habilement réhabilité, le bâtiment a été modernisé pour en faire une habitation confortable, tout en conservant son identité.
Il y a 4 ans et 121 jours

BioZone, la solution la plus puissante pour purifier l'air du SARS-CoV-2

Ooria, distributeur exclusif pour la France des dispositifs BioZone de purification de l'air, se réjouit de la confirmation de l'efficacité de ces solutions contre le SARS-CoV-2. Ooria commercialise à titre exclusif depuis 15 ans, les dispositifs BioZone pour la France, ainsi que pour la Suisse, le Benelux et le Maghreb.Ces dispositifs permettent de purifier l'air sans utilisation de produits chimiques. Ils utilisent une technologie rassemblant 5 mécanismes différents et indépendants de purification réunis en une seule technologie développée par la NASA et brevetée. Contrairement à de nombreuses autres technologies présentes sur le marché, la technologie BioZone ne se résume pas à l'utilisation isolée des lampes UV, des ions ou de l'ozone. C'est la combinaison mesurée de cinq mécanismes qui en fait la meilleure technologie qui soit pour la décontamination de l'air et des surfaces en continu et en présence humaine (voir encadré).Les tests ont été réalisés par BCS Laboratories, un laboratoire de Floride (États-Unis) certifié ISO/IEC 17025, accrédité par l'US Centers for Disease Control, l'US Environmental Protection Agency, l'US Department of Agriculture et le Florida Department of Health. Les tests ont été conçus pour modéliser le temps d'exposition par rapport à l'inactivation du virus SRAS-CoV-2 dans le flux d'air en mouvement dans les systèmes de chauffage, ventilation, climatisation (CVC). Les résultats de ces tests publiés le 10 décembre 2020 montrent que les dispositifs BioZone permettent d'inactiver les virus, dont le SARS-CoV-2, en moins d'une seconde.« L'annonce de l'efficacité de la technologie BioZone contre le Sars-CoV-2 est une excellente nouvelle dans le contexte de la crise de la Covid-19. Ooria et ses équipes sont fiers d'apporter une solution majeure pour lutter contre l'épidémie en France, en Suisse, au Benelux et au Maghreb et distribuant de manière exclusive les dispositifs issus de la technologie BioZone. »Philippe Simon, Président d'OoriaZoom sur la technologie BioZoneÀ l'intérieur de l'appareil, l'oxydation photocatalytique décompose les Composés Organiques Volatils (COV) tels que le méthane ou le benzène et les lampes UV-C brevetées de BioZone exercent leur pouvoir germicide en éliminant les bactéries, moisissures, micro-organismes et virus.À l'extérieur de l'appareil, BioZone utilise un processus photochimique pour produire du PhotoPlasma (plasma froid d'oxygène) qui contient des molécules réactives, des ions, des électrons et des radicaux qui détruisent et décomposent activement les structures biologiques et chimiques des contaminants atmosphériques, y compris les virus.Ce PhotoPlasma contient :un oxygène très réactif et énergisé qui désinfecte l'air ;un taux maîtrisé d'ozone (conforme aux normes d'exposition européennes et mondiales) qui élimine les bactéries, moisissures, micro-organismes et les virus ;des ions négatifs qui augmentent l'efficacité du processus en supprimant les impuretés et les poussières en suspension dans l'air.Ce PhotoPlasma a été testé et vérifié pour être extrêmement puissant contre les virus aéroportés et déposés sur les surfaces.La gamme BioZone propose deux types de solutions. Elle s'adapte à des problématiques ciblées de purification d'air dans certains espaces comme des bureaux, des vestiaires, des sanitaires, au travers de la gamme EASY avec des appareils autonomes, prêts à l'emploi à fixer ou à poser. Elle se décline également pour des problématiques plus techniques aux applications industrielles et commerciales, grâce à la gamme TECHNIC implantée directement au cœur des systèmes CVC ou réseaux de centrales de traitement de l'air (CTA), permettant ainsi d'assurer une destruction des virus à 100% à l'intérieur des bâtiments.
Il y a 4 ans et 124 jours

Bureaux Additi, à Rennes, par Kraft Architectes : seconde peau, seconde chance

Les bureaux Additi (7 263 m²), livrés à Rennes (Ille-et-Vilaine) en janvier 2020 pour Ouest-France, maître d’ouvrage, par l’agence rennaise Kraft Architectes témoignent de l’évolution de la presse écrite. Ce projet, réalisé dans ce qui était un garage industriel pour un budget travaux de 18 M€ TTC, a obtenu le Prix Spécial du jury lors […] L’article Bureaux Additi, à Rennes, par Kraft Architectes : seconde peau, seconde chance est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 4 ans et 125 jours

Promatect® XS, une innovation unique en France pour la protection des structures métalliques

PROMATECT® XS Plaque pour la protection au feu des structures métalliques verticales La résistance au feu de la structure d’un bâtiment est primordiale pour assurer la protection passive contre l’incendie : elle permet aux occupants de quitter les lieux de l’incendie, mais aussi de limiter les risques lors de l’intervention des secours. Promat, leader de la protection passive contre l’incendie pour les bâtiments, présente PROMATECT® XS. Cette innovation unique en France assure la protection des structures métalliques. PROMATECT® XS permet de gagner en compétitivité et en performances sur le marché de la protection au feu. PROMATECT® XS est une plaque incombustible classée A1 composée de sulfate de calcium et d’additifs retardants au feu et revêtue d’un voile de verre. Disponible en deux épaisseurs (15 et 20 mm), en bords droits et en dimensions 1200 x 2500 mm, cette plaque est destinée à tous les bâtiments nécessitant une protection au feu. www.cattoire.com
Il y a 4 ans et 125 jours

Dickson investit dans une seconde usine dans le Nord avec une centaine d'emplois à la clé

La future usine sera implantée à Hordain (Nord), dans un bâtiment existant qui doit être étendu sur 28.000 m³, avec une fin des travaux prévue en 2022. "À terme, une centaine d'emplois seront créés sur le site", a indiqué le groupe de 600 salariés, spécialiste des toiles de store, dans un communiqué.Ce nouveau projet, après l'acquisition d'un site logistique à Lesquin en 2012 et la construction du Pôle Innovation en 2017 à Wasquehal - siège et principal site de production de Dickson- vise à augmenter la capacité de production de 50% et "répondre à la demande croissante des clients pour la production de toiles exclusives", ajoute le texte.Citée par le groupe, la ministre de l'Industrie Agnès Pannier-Runacher, a salué ce nouvel investissement, qui "dans le contexte difficile de la crise sanitaire, marque avant tout la reconnaissance de l'attractivité d'un territoire et des savoir-faire industriels qui y sont présents" et "illustre le dynamisme de la filière textile française"."Les services de l'État se sont mobilisés en amont, dans le montage du dossier, pour défendre la candidature du site de Hordain face à un autre site localisé en Europe", a pour sa part souligné le préfet de région, Michel Lalande.La Région Hauts-de-France, a, elle, souligné, que l'aide financière qu'elle a apportée avec la Communauté d'agglomération de la Porte du Hainaut a "joué un rôle décisif dans l'implantation" de ce site. Le montant et la forme de cette aide sera précisée lors d'une prochaine session plénière.
Il y a 4 ans et 125 jours

Saint-Gobain surperforme au quatrième trimestre 2020

La croissance interne atteint 6 % au quatrième trimestre, et le résultat opérationnel grimpe de 20 % au second semestre.
Il y a 4 ans et 127 jours

Dati tient la "majorité incompétente" d'Hidalgo pour responsable du déclin démographique de Paris

L'ex-ministre de la Justice attaque dans un tweet la maire de Paris et "sa majorité incompétente et opportuniste" qui, selon elle, "sont en train de tuer Paris" en relayant un article du Parisien qui présente les résultats d'une étude démographique publiée mardi par l'Insee portant sur la période 2013-2018.Cette étude montre notamment que Paris est le seul département francilien qui voit sa population baisser. Selon l'Insee, la capitale, avec 2.175.601 habitants au 1er janvier 2021, perd en moyenne 10.800 habitants par an soit 0,5% de sa population. Une tendance qui n'est pas nouvelle puisqu'elle apparaissait déjà dans les chiffres 2012-2017 de l'institut.Selon la maire LR du VIIe, ce "déclin continu" est dû à la mauvaise gestion de l'équipe de la maire PS Anne Hidalgo "depuis 2014". "Les familles fuient une ville devenue sale, compliquée, dangereuse", s'insurge-t-elle.David Assouline, sénateur PS de Paris, a répondu en rappelant à Rachida Dati, candidate malheureuse à la mairie de Paris aux municipales 2020, que "la campagne électorale est finie". Il l'a également invitée à arrêter de "voter contre la construction de logements sociaux ds le VIIe" afin que son arrondissement devienne "autre chose qu'un ghetto pour riches".Rachida Dati, qui avait proposé pendant la campagne des mesures pour aider les familles des classes moyennes, était arrivée deuxième du second tour des municipales en juin, avec 34% contre 49% des voix pour son adversaire socialiste. Depuis, les deux femmes ont posé des jalons en vue de 2022 en disant vouloir prendre leur part à la prochaine présidentielle.
Il y a 4 ans et 127 jours

Malgré la crise, le marché du logement ancien entame 2021 sans chamboulement

"Étonnamment, l'immobilier résiste envers et contre tout", a résumé lundi Laurent Vimont, président de Century 21, l'un des principaux réseaux français d'agences, lors d'un bilan de l'année 2020.M. Vimont évoque un marché "miraculé", ironisant au passage sur "un tas de gens qui nous avaient expliqué que les prix allaient s'effondrer".Comme tous les autres secteurs économiques, le monde du logement a subi en 2020 deux épisodes de confinement, l'un strict au printemps ets l'autre plus relâché en fin d'année, décrétés par les autorités contre la propagation du coronavirus.Les visites de logements ont donc été interrompues pendant des semaines. Plus largement, de nombreux citadins se sont exilés pour travailler à distance, poussant certains observateurs à s'interroger sur un bouleversement durable du marché en faveur des campagnes et des petites villes.Mais pour l'heure, la donne n'a guère changé, selon les principaux réseaux français: Century 21, son plus gros concurrent Orpi et le plus petit Laforêt.Leurs chiffres pour 2020 sont très parcellaires, car ils ne représentent qu'un petit nombre des agences françaises, mais ils donnent une première tendance, plusieurs semaines avant les chiffres de référence des notaires.Que décrivent-ils? Une baisse des ventes, certes, mais relativement limitée (entre -6% pour Laforêt et -12% pour Century 21) au regard de l'arrêt contraint de l'activité des agences.Surtout, les prix, qui progressent depuis des années, ont continué à monter avec une hausse au mètre carré comprise entre 2% et 4% selon les différents réseaux.Car les grands facteurs de cette hausse sont toujours là. D'un côté, les taux des crédits immobiliers restent extrêmement bas, malgré quelques restrictions par les autorités financières, et stimulent la demande.De l'autre, le nombre de logements disponibles apparaît toujours limité par rapport à cette demande, poussant donc les prix vers le haut.Attrait pour les maisons"Pour 2021, l'offre restera nettement insuffisante", souligne dans un communiqué Yann Jéhanno, à la tête de Laforêt.Faut-il pour autant croire à un déplacement de cette demande, qui délaisserait les grandes villes comme Paris, au profit de petites villes, voire des campagnes? Aucun réseau ne l'observe."Les prédictions d'exode vers la province ou d'envie d'une résidence secondaire ne se sont pas traduites dans les faits", remarque Laforêt. "Certes, les intentions sont là, mais à ce jour, rien n'est encore flagrant."Il y a bien quelques frémissements. Les trois réseaux ont tous observé que les maisons avaient suscité plus d'attrait que les appartements, témoignant a priori d'une envie d'espace et de verdure parmi les acheteurs.Et "les villes moyennes ont fait figure de locomotives pour le marché en 2020", remarque dans un communiqué Christine Fumagalli, présidente d'Orpi, notant de nouvelles marques d'intérêt pour des villes comme La Rochelle ou Limoges.Mais cela n'annonce pas pour autant un déclin du marché dans les métropoles françaises. A l'exception d'une stabilisation à Bordeaux, Orpi fait état d'une hausse des prix dans toutes les grandes villes du pays."Les métropoles restent attractives et la demande est toujours supérieure à l'offre, bien qu'on constate un léger réajustement des prix, notamment sur les biens avec défauts ou travaux et une plus grande exigence des futurs acheteurs", remarque le réseau.Dans ces conditions, difficile d'imaginer pour l'instant un changement massif du marché cette année, que ce soit sur les prix globaux ou l'attrait des villes, même si se pose la question des effets à long terme d'une récession d'une ampleur historique."Si les taux restent bas en 2021 et qu'on ne reste pas confinés trop longtemps, on devrait retrouver des conditions de marché identiques", estime M. Vimont.
Il y a 4 ans et 127 jours

« Objectifs bas carbone » pour les participants du CementLab

Afin de nourrir et amplifier cette démarche fédérative, des rencontres sont, en effet, régulièrement organisées. Les start-up viennent y présenter leur solution auprès des différents acteurs de la chaîne de construction au sens large : du chercheur à l'entreprise générale, en passant par l'architecte, le bureau d'études, l'industriel producteur de matériaux, les constructeurs et promoteurs, etc. Le workshop du 15 décembre a d'ailleurs connu un grand succès, avec la participation d'environ 130 personnes. Suite aux interventions de qualité de la première partie du CementLab, les participants ont sollicité en nombre les start-up, afin d'échanger avec eux, dans un second temps, dans les coffee-rooms privées.Le bas carbone, un engagement de l'industrie cimentièreL'industrie cimentière est engagée depuis des décennies dans une démarche d'écologie industrielle : gestion raisonnée de la ressource, économie circulaire, nouvelles technologies, recherche et développement. Pour réduire son empreinte carbone, l'industrie cimentière travaille sur deux axes d'optimisation : les ciments à basse empreinte carbone, ainsi que les technologies de rupture pour capter le CO², dans le process. La cimenterie du futur sera une industrie qui non seulement captera les émissions de carbone, mais produira ses matériaux à partir de déchets.Des start-up innovantes qui œuvrent dans un objectif de réduction de l'empreinte carboneL'industrie cimentière, engagée dans des démarches qui s'inscrivent dans le cadre de la transition écologique, soutient toute initiative visant à réduire l'empreinte carbone du secteur. Dans ce cadre, 3 start-up ont pu ainsi venir exposer les solutions qu'elles proposent :Néolithe : Néolithe développe une technologie de transformation des déchets ménagers et industriels non-recyclables en granulats minéraux utilisables dans le BTP (notamment dans les routes et les bétons). Leur procédé permet l'économie de 80% des émissions de CO² traditionnellement liées au traitement des déchets. Openergy : Plateforme de simulation énergétique du bâtiment en exploitation, introduisant un suivi systématique des résultats.CloudCycle : Solution digitale d'harmonisation entre l'offre et la demande de béton réduisant les coûts et les émissions de CO².Des témoignages d'experts et spécialistesOutre les pitchs des start-up, Sekoya, la plateforme carbone & climat d'Eiffage, entièrement dédiée aux matériaux et procédés bas carbone, a fait l'objet d'une présentation.Sekoya a pour rôle d'identifier et de mettre en valeur les solutions des entreprises les plus innovantes, favorisant ainsi l'émergence de la ville et des infrastructures durables. Cette plateforme soutient le déploiement des solutions bas carbone, afin de lutter contre le dérèglement climatique, pour participer à l'amélioration de la qualité de vie des habitants. Les solutions auditées par Sekoya sont proposées dans le cadre d'appels d'offres.En complément de ce témoignage, le CSTB (Centre Scientifique et Technique du Bâtiment) est venue présenter ses missions : garantir la qualité et la sécurité des bâtiments, et son positionnement sur le bas carbone. Le CSTB rassemble des compétences pluridisciplinaires pour développer et partager les connaissances scientifiques et techniques déterminantes. Il accompagne les acteurs dans le cycle de l'innovation de l'idée au marché et dans la transformation du monde du bâtiment en lien avec les transitions environnementale, énergétique et numérique.Les liens des replay : Intervention Eiffage/Sekoya : https://www.youtube.com/watch?v=ljLinbCkOMMIntervention Néolithe : https://www.youtube.com/watch?v=c0qKgBh6NeoIntervention Cloudcycle : https://www.youtube.com/watch?v=eB0C408rQWIIntervention Openergy : https://www.youtube.com/watch?v=HXB0hFU_q4YLe CementLab en 5 points :Un laboratoire d'idées dédié au ciment et à son usage, et plus largement à tous les acteurs de la construction (cimentiers, carriers, producteurs de béton, constructeurs, promoteurs, architectes, bureaux d'études et d'ingénierie, économistes, etc.).Comprendre et analyser les enjeux de la transition numérique et écologique pour adapter l'offre et les bonnes pratiques nécessaires aux impératifs du marché.Favoriser une dynamique d'échanges et de rencontres entre industriels, start-up et chercheurs pour encourager le transfert de technologie et l'innovation dans une démarche de développement durable et d'économie circulaire.Saisir les opportunités de solutions convergentes et les unir pour passer de l'idée à la réalisation concrète sur le terrain.Une démarche initiée par le SFIC (Syndicat français de l'industrie cimentière) et pérennisée par des rencontres régulières ainsi qu'une plateforme dédiée : https://cementlab.infociments.fr.
Il y a 4 ans et 128 jours

Livre : “Profession ARCHITECTE”

La seconde édition du livre “Profession ARCHITECTE”, dirigé par Isabelle Chesneau, présente un volume actualisé avec les... Cet article Livre : “Profession ARCHITECTE” est apparu en premier sur Archicree - Créations et Recherches Esthétiques Européennes.
Il y a 4 ans et 148 jours

Réduire sa facture de chauffage, c’est possible avec les poêles à combustible liquide Qlima

Le chauffage occupe une part importante dans le budget des foyers. Les familles font donc très attention à leur consommation d’énergie en hiver, préférant s’équiper d’appareils efficaces et économes. Tels les poêles à combustible liquide Qlima qui allègent significativement les dépenses. Économiques à l’achat comme à l’usage, les poêles à combustible liquide Qlima, leader européen sur ce marché, constituent la réponse idéale pour les particuliers attentifs à leur facture énergétique et à leur confort. En utilisant un combustible Qlima à 0,075 € TTC/kWh*, l’économie réalisée peut atteindre jusqu’à 35 % par rapport à un radiateur électrique radiant au tarif de 0,171 € TTC/kWh*. Installés en 30 secondes, ils chauffent la pièce en 5 minutes ! Les poêles à combustible liquide Qlima sont le moyen le plus rapide pour chauffer un intérieur. En quelques minutes, la puissance de chauffe, associée à un ventilateur performant (sur modèles Lasers), procure une chaleur confortable qui se diffuse rapidement dans toute la pièce. Répondant à la très stricte norme NF, les poêles à combustible liquide Qlima sont totalement sécurisés. Ils sont équipés d’un détecteur de CO2, d’un système anti-renversement en cas de choc et d’un arrêt automatique si la température de la pièce est trop élevée. Qlima propose deux catégories de poêles à combustible liquide : – Les poêles électroniques Laser, dont le nouveau modèle SRE 4033 C, d’une esthétique design, efficace et économe, ou le SRE 9046 C-2, un appareil puissant pour grandes surfaces. – Les poêles à mèche, comme le R 8128S C, à haut rendement, équipé d’un système unique de brûleur à double combustion « Turbo ». * Coûts kW/h moyens constatés   Nouveau poêle électronique Laser SRE 4033 C Qlima Un confort en or ! Efficace, sûr, rapide et très économe, le poêle électronique Laser SRE 4033 C Qlima s’intègre dans tous les intérieurs pour apporter une chaleur douce. Solution de chauffage design, il apporte les degrés nécessaires au bien-être dans des pièces jusqu’à 52 m2 pour 15 à 43 cts/h* seulement. Disponible en couleur or, ce modèle associe un brûleur haut de gamme à des fonctions programmables qui empêchent le gaspillage. Le brûleur à bec bunsen du SRE 4033 C Qlima utilise la forme gazeuse du combustible dans la chambre de combustion. Les effets sont remarquables : démarrage rapide (environ 45 secondes), odeurs considérablement réduites, y compris au démarrage et à l’extinction, et régulation de la combustion très précise. La régulation du poêle se fait en effet de 100 W en 100 W. Cela procure une chaleur constante, confortable, sans variations de température désagréables. De plus, un système d’air pulsé chauffe la pièce très rapidement grâce à une répartition équilibrée de l’air chauffé, perpétuellement brassé. Pilotable depuis un large écran de contrôle LCD, le SRE 4033 C Qlima dispose d’un mode Save, avec marche et arrêt automatiques, afin de maintenir la température programmée sans variation de chaleur. Un capteur mesure la température ambiante, et l’appareil s’autorégule en fonction de la chaleur choisie, réduisant ainsi la consommation de combustible de 8 %. La fonction hors gel (en réglant l’appareil sur 5 °C) empêche le froid hivernal de dégrader la maison. Pour un chauffage en toute sécurité, le poêle électronique Laser Qlima est équipé d’un détecteur de CO2 qui contrôle en permanence l’atmosphère de la pièce, et permet d’arrêter automatiquement l’appareil par extinction totale du brûleur avant que la teneur en CO2 n’atteigne 1 %. * Avec un combustible Qlima Pure. Coûts variables selon le combustible utilisé.   Poêle électronique Laser SRE 9046 C-2 Qlima La puissance en action pour grandes surfaces Particulièrement puissant, le poêle électronique Laser SRE 9046 C-2 Qlima permet de chauffer rapidement de grandes surfaces (jusqu’à 76 m2) pour 17 à 60 cts/h*. La chaleur produite se propage uniformément au moyen du ventilateur intégré. En seulement cinq minutes, l’appareil diffuse une chaleur confortable dans l’espace de vie. Équipé d’un brûleur high-tech, le SRE 9046 C-2 Qlima adapte en permanence sa puissance (entre 1 280 et 4 650 W) : c’est la régulation électronique. La puissance produite varie ainsi de 100 W en 100 W afin de correspondre précisément à la température programmée. Il en résulte un grand confort d’utilisation, mais aussi une réelle économie d’énergie. En activant le mode Save du SRE 9046 C-2 Qlima, la régulation électronique est doublée d’une fonction marche/arrêt automatique qui optimise la régulation. Par exemple, si la température de la pièce dépasse de 3 °C la température programmée, l’appareil s’éteint. Dans le cas contraire, il se remet en fonctionnement. Avec une régulation définie au plus juste, le confort est amélioré et la facture énergétique abaissée. De plus, pour empêcher le froid de faire des dégâts dans la maison, il est possible de programmer le mode Save sur 5 °C (fonction hors gel). Pour encore plus de confort, le SRE 9046 C-2 Qlima est équipé d’un grand réservoir de 9 litres, assurant jusqu’à 67 heures d’autonomie, et d’un système de temporisation de la ventilation, pendant l’allumage et l’extinction, qui évite la diffusion des odeurs de combustion. Ce modèle performant est également doté de dispositifs de sécurité infaillibles : parois froides, détecteur de CO2, système anti-renversement… * Avec un combustible Qlima Pure. Coûts variables selon le combustible utilisé.   Poêle à mèche R 8128S C Qlima Un rendement proche de 100 % Autonome et à haut rendement, le poêle à combustible liquide R 8128S C Qlima est équipé d’un système unique de brûleur à double combustion « Turbo » qui permet d’optimiser les performances de l’appareil. Le principe consiste à brûler les gaz issus de la première combustion au moyen d’un brûleur supérieur, afin d’obtenir une efficacité énergétique proche de 100 %. Avec ce système breveté, la combustion est propre, sans condensation, et le dégagement des odeurs considérablement limité. Le système « Turbo » apporte une grande puissance de chauffe et un confort d’utilisation hors pair : la chaleur est diffusée uniformément dans la pièce par convection (70 %) et par rayonnement (30 %). Capable de chauffer jusqu’à 42 m2 de surface, le poêle à mèche R 8128S C Qlima affiche une autonomie de 17 h 50, pour une puissance de chauffe de 2 850 W. Cet appareil mobile, qui fonctionne sans avoir besoin d’être branché à une prise de courant, constitue un chauffage autonome idéal dans les pièces de vie, mais aussi dans les garages, ateliers, vérandas… Ultra performant, le R 8128S C Qlima est aussi un as de la sécurité, car doté des équipements suivants : • Un dispositif de contrôle d’atmosphère qui mesure en permanence le taux de CO2 et arrête l’appareil par extinction totale du brûleur avant que la teneur en CO2 n’atteigne 1 %. • Une sonde qui déclenche l’arrêt total de l’appareil dès que la température de la pièce est trop élevée (33 °C). • Un dessus tempéré en conformité avec la norme de sécurité en vigueur. • Un système d’arrêt automatique qui se déclenche en cas de choc ou de renversement. • Un système de sécurité qui éteint l’appareil dès le retrait du réservoir.   Poêle électronique Laser SRE 4033 C Qlima     Type de brûleur : à injection électronique Puissance : de 1 190 à 3 300 W Volume pièce : de 21 à 52 m2 Autonomie : de 14,5 à 40 h Consommation : de 0,124 à 0,344 l/h Capacité du réservoir : 5 l Dimensions : L 436 x P 313 x H 435 mm Garantie : 4 ans Prix public indicatif : moins de 329 euros TTC Points de vente : GBS, GSA et sites e-commerce Poêle électronique Laser SRE 9046 C-2 Qlima Type de brûleur : à injection électronique Puissance : de 1 280 à 4 650 W Volume pièce : de 30 à 76 m2 Autonomie : de 18 à 67 h Consommation : de 0,134 à 0,485 l/h Capacité du réservoir : 9 l Dimensions : L 466 x P 349 x H 445 mm Garantie : 4 ans Prix public indicatif : moins de 549 euros TTC Points de vente : GBS, GSA et sites e-commerce Poêle à mèche R 8128S C Qlima     Type de brûleur : à double combustion Puissance : 2 850 W Volume pièce : de 20 à 42 m2 Autonomie : 17 h 50 Consommation : 0,297 l/h Capacité du réservoir : 5,2 l Dimensions : L 455 x P 295 x H 470 mm Garantie : 4 ans Prix public indicatif : moins de 249 euros TTC Points de vente : GBS, GSA et sites e-commerce www.qlima.fr
Il y a 4 ans et 128 jours

2021 : la transition entre CITE et MaPrimeRénov’ continue

La loi de finances pour 2021 a été publiée au Journal officiel du 30 décembre 2020. Parmi ses 271 articles, certains concernent l’amélioration énergétique des bâtiments, la transformation du CITE vers MaPrimeRénov’. Transformation du Crédit d’impôt pour la transition énergétique (CITE) (LF 2021 : art. 53 / CGI : art. 200 quater) Dans la continuité de la loi de finances pour 2020 qui a organisé une refonte du Crédit d’impôt pour la transition énergétique, des dispositions transitoires sont prévues jusqu’à l’extinction du CITE et son remplacement par MaPrimeRénov’. Les contribuables qui justifient de l’acceptation d’un devis et du versement d’un acompte en 2018 et dont les travaux sont payés en 2020 peuvent bénéficier du CITE dans les conditions applicables avant 2020. Ces dispositions transitoires s’appliquant déjà aux contribuables qui justifient de l’acceptation d’un devis et du versement d’un acompte en 2019 et dont les travaux sont payés en 2020. Le texte comporte également des mesures transitoires permettant le bénéfice du CITE dans sa version en vigueur en 2020, pour les dépenses payées en 2021 pour lesquelles le contribuable peut justifier de l’acceptation d’un devis et du paiement d’un acompte en 2019 ou en 2020. Dans ces deux cas, le contribuable ne peut pas cumuler, pour les mêmes dépenses, le CITE et MaPrimeRénov’. MaPrimeRénov’ : ajustement du dispositif (LF 2021 : art. 241 / Loi du 28.11.19 de finances pour 2020) Dans le cadre du plan de relance, le Gouvernement avait annoncé l’ouverture de MaPrimeRénov’ aux propriétaires-occupants aux revenus supérieurs, aux propriétaires-bailleurs et aux syndicats de copropriétaire. Les conditions de cet élargissement seront précisées par décret début janvier 2021. À noter que le régime MaPrimeRénov’ Copropriétés a quant à lui été défini par la délibération n° 2020-54 du Conseil d’administration de l’Anah du 2 décembre 2020 et publiée au bulletin officiel du 19 décembre 2020. Concernant les propriétaires aux revenus supérieurs, il est prévu qu’ils ne soient éligibles à la prime que pour certaines catégories de travaux et de dépenses financées, avec un barème différent des autres catégories de ménages. Aussi, l’article 15 de la loi de finances pour 2020 est modifié pour préciser que, jusqu’au 31 décembre 2022, par dérogation, la prime peut être distribuée sans conditions de ressources, selon la nature des travaux et les dépenses financées. Le plan de relance prévoit également que les ménages nouvellement éligibles à MaPrimeRénov’ à partir du 1er janvier 2021 puissent débuter leurs travaux dès le 1er octobre 2020. L’article 15 de la loi de finances pour 2020 est ainsi complété de manière à ce que l’attribution de la prime soit rétroactive au 1er octobre 2020. Cette rétroactivité est exprimée de la façon suivante : « entre le 1er janvier et le 31 décembre 2021, le bénéficiaire peut déposer une demande de prime après avoir commencé ses travaux ou prestations, sous réserve que ceux-ci soient justifiés par un devis réalisé entre le 1er octobre et le 31 décembre 2020, qu’ils aient été commencés au cours de cette même période, et que le bénéficiaire ne soit pas éligible à la prime (dans sa version antérieure) à la date de démarrage des travaux ou prestations ». Par ailleurs, pour éviter des cumuls entre MaPrimeRénov’ et le CITE pour les propriétaires occupants, entre le 1er octobre et le 31 décembre 2020, une disposition est prévue pour autoriser l’Anah à transmettre systématiquement à l’administration fiscale les informations dont elle dispose sur les bénéficiaires de MaPrimeRénov’. Dans la réalisation de cette communication, l’Anah ne peut pas se voir opposer l’obligation au secret professionnel. Enfin, un seuil en dessous duquel MaPrimeRénov’ ne sera pas versée car le montant serait trop faible au regard des coûts d’instruction, est instauré. Parallèlement, il est prévu la création d’un second seuil en deçà duquel l’Anah peut renoncer à recouvrer les sommes indûment perçues. Le montant de ces deux seuils sera précisé par arrêté conjoint des ministres chargés du Logement, de l’Énergie et du Budget.   Source : Anil  
Il y a 4 ans et 131 jours

Une usine de panneaux solaires à 1.500 emplois en projet tout près de "Smartville" en Moselle

Le projet est prévu sur la zone d'accueil de l'usine automobile Smart, vendue en début de semaine par le groupe Daimler au Britannique Ineos.Le projet, dont la demande de permis de construire a été déposée, consiste à produire dans un premier temps 4,5 millions de panneaux par an, au moyen d'un investissement de 681 millions d'euros, a annoncé Rec Solar lors d'un point presse par visioconférence.Cette première phase qui démarrerait en 2022 doit créer 1.500 emplois, puis une seconde à confirmer aboutirait, en 2025, à un effectif de 2.500 salariés pour 9 millions de panneaux annuels. De quoi produire une puissance de 4 gigawatts-crête (GWc), "l'équivalent d'un réacteur nucléaire de 900 mégawatts", selon la société.La "décision définitive" d'enclenchement de la première étape (2 GWc) devrait être prise "mi-mars" par le groupe Rec, a annoncé Cemil Seber, son directeur général.Elle dépendra de deux critères principaux: le résultat de la concertation sur le projet qui démarre lundi prochain sous l'égide de la Commission nationale du débat public et le bouclage du financement de l'investissement.Sur ce second point, "on fera évidemment appel aux aides (publiques) auquel on pourra avoir droit", a déclaré M. Seber.L'usine Rec serait l'une des plus grandes du genre en Europe, avec celle que projette le Suisse Meyer-Burger en Allemagne, dans un domaine dominé par les fabricants asiatiques.Selon M. Seber, sa capacité en 2022 puis en 2025 représenterait à chaque fois environ 10% du marché européen, si bien que "le marché a certainement une taille suffisante pour absorber notre production", a-t-il estimé.Groupe dans l'énergie solaire de 2.000 salariés et 500 millions de dollars de chiffre d'affaires en 2019, Rec exploite une première usine de panneaux photovoltaïques à Singapour.Il veut s'implanter à Hambach afin de "produire au coeur du marché européen, en plein essor", selon M. Semer. "Depuis Singapour, il faut quatre à six semaines d'acheminement, ce qui est trop", a expliqué le dirigeant.L'usine se complèterait d'un centre de recherche et développement, autour de la technologie "innovante" de fabrication, "l'hétérojonction", que Rec Group développe avec le Commissariat à l'énergie atomique français, a précisé M.Semer.
Il y a 4 ans et 135 jours

Le Groupe Poujoulat poursuit ses investissements industriels dans la production de bois de chauffage

Installée sur une friche industrielle (une ancienne filature) à Demangevelle en Haute-Saône, l'usine Bois-Factory 70 produit du bois de chauffage haute performance (écorcé, calibré et séché). Certifiées NF biocombustibles solides, ces produits permettent aux utilisateurs de bois énergie de disposer d'un combustible adapté aux appareils modernes et performants (labellisés Flamme Verte) et répondent ainsi aux enjeux de la qualité de l'air. Le site, d'une surface de dix hectares, est implanté au cœur d'un massif forestier peuplé d'essences feuillues parfaitement adaptées aux exigences de la combustion. La première tranche d'investissements représente 20 millions d'euros (génie civil, machines-outils, chaudière biomasse et premier séchoir). Une seconde tranche d'investissement, de 6 millions d'euros, s'engagera à compter du début de l'année 2021 pour permettre la montée en charge de l'usine. Cette seconde tranche a bénéficié d'une aide du plan de relance au titre du « Fonds d'accélération des investissements industriels dans les territoires » porté par la Préfecture de département et la Conseil Régional Bourgogne Franche-Comté. Le site a, par ailleurs, été soutenu par le fonds chaleur de l'ADEME dès 2015 pour ses investissements permettant d'alimenter le process de séchage. A moyen terme, l'unité de production de Haute-Saône fournira 150 000 stères de bois certifiés, 20 000 m3 de bois d'allumage et 10 000 tonnes de bûches densifiées, permettant de doubler la capacité de production du groupe. L'usine comptera une quarantaine de salariés et participera à la dynamisation de la filière forêt-bois de la région avec près de 150 emplois indirects.« Nous nous inscrivons, avec cet outil, dans le sillon tracé par la Programmation pluriannuelle de l'énergie, à savoir : développer le bois énergie domestique moderne et performant. Pour ce faire, le groupe propose des biocombustibles de toute nature ayant les performances requises pour que cohabitent chauffage au bois et amélioration de la qualité de l'air. Avec le déploiement des appareils modernes labellisés Flamme Verte « 7 étoiles », nos produits répondent aux exigences d'une excellente hygiène de combustion. Notre offre de bois de chauffage certifié est d'ores et déjà un succès, la croissance est au rendez-vous. » Frédéric COIRIER, Président Directeur Général du Groupe
Il y a 4 ans et 140 jours

Saint-Gobain Weber : “Vert et fier” de sa démarche RSE

Saint-Gobain Weber a généralisé son nouveau “management d’accompagnement”, à l’ensemble des sites de production de l’entreprise. Usine de Sorgues. [©ACPresse] “Vert et fier”. Le leitmotiv sonne juste. Il est dans l’air du temps et en phase avec tout éco-engagement d’entreprise. Ici, il s’agit de celui de Saint-Gobain Weber. “Vert” se rapporte à l’environnement. Pas de discussion là-dessus. Mais “Fier” ? « La responsabilité sociétale des entreprises est toujours une démarche commune. Pour qu’elle fonctionne pleinement, il est indispensable que chaque collaborateur de l’entreprise y croit, y adhère, se l’approprie. En soi fier ! », explique Charlotte Famy, directrice générale de Saint-Gobain Weber France. Le pilier humain constitue ainsi le premier pan de la transformation de la démarche RSE de l’entreprise. Cela passe par une réorganisation territoriale. « Nous avons créé cinq directions régionales autonomes », confirme Meriem Dussart, directrice marketing de Saint-Gobain Weber. En parallèle, la chaîne managériale a été allégée dans son organisation pour laisser place à une plus grande prise d’autonomie. « Nous voulions donner davantage de sens au travail de chacun, susciter l’initiative. »C’est l’usine de Servas (01) qui a servi de site pilote pour ajuster ce nouveau “management d’accompagnement”, aujourd’hui généralisé à l’ensemble des sites de production de l’entreprise. Aider les artisans à développer leurs idées Charlotte Famy, directrice générale de Saint-Gobain Weber France. [©ACPresse] Côté utilisateurs, Saint-Gobain Weber a posé les mêmes jalons. La volonté est aussi de les rendre “fiers” de mettre en œuvre des produits de la marque. D’où la mise en place de la Weber Academy, qui propose plus de quatre-vingts formations à destination des professionnels. Ces dernières sont structurées selon trois catégories : mise en œuvre, conception de bâtiments durables, et vente de produits et systèmes. Une manière simple de tout connaître (ou presque) sur ces sujets. « Nous avons aussi participé à la construction de deux centres de formation pour apprentis », reprend Meriem Dussart. De quoi bien préparer les futures générations au monde du travail… Avec la création de Weber Incubateur, l’entreprise se rapproche encore plus de ses clients. « Nous voulions mettre l’utilisateur au cœur du processus de création », insiste Charlotte Famy. Pas question ici d’encadrer des start-up. Saint-Gobain Weber est plus pragmatique : un artisan a une idée, mais n’a ni le temps ni les moyens de la concrétiser. « Nous sommes en mesure d’étudier avec lui la pertinence et la faisabilité de son projet. Puis de l’accompagner dans le dépôt d’un brevet, avant de passer au développement de sa solution en partenariat et sous la marque Weber »,complète Meriem Dussart. Près de 86 % des solutions produits en local Meriem Dussart, directrice marketing de Saint-Gobain Weber. [©Saint-Gobain Weber] En fragmentant l’organisation de l’entreprise en directions régionales autonomes, Saint-Gobain Weber France a en quelque sorte créé cinq territoires, « cinq petits pays proches des clients, qui fabriquent des solutions adaptées aux spécificités locales », résume Charlotte Famy. Et de poursuivre : « Ainsi, chaque site est un acteur engagé, qui connaît son territoire et les besoins des utilisateurs ». A travers cette territorialisation, Saint-Gobain Weber peut sans difficulté favoriser les circuits courts, veiller à ce que les matières premières soient locales.« Près de 86 % des produits commercialisés sur un territoire donné sont fabriqués au cœur de ce territoire », dévoile Meriem Dussart. Et 70 % de la gamme bénéficient du marquage “Origine France Garantie”. La logistique n’est pas laissée au hasard dans cette organisation. Les zones de chalandise ne dépassent pas un rayon moyen de 200 km. Toujours cette recherche de proximité. L’entreprise expérimente aussi le transport par véhicules fonctionnant au biogaz, sur son site de Heyrieux (38).  La voie royale du transport fluvial A Bonneuil-sur-Marne (94), c’est la voie fluviale qui s’apprête à devenir une voie royale. Cette éco-initiative permet d’éliminer sept semi-remorques chaque semaine des routes franciliennes. De cette manière, Saint-Gobain Weber se fait livrer 50 % du sable nécessaire à la confection de ses matériaux. Et fait partir 20 % de ses produits finis. « Notre objectif est d’étendre ce mode de livraison. D’ailleurs, nous travaillons à la remise en service d’un second quai sur ce site, le seul situé en bord d’eau », informe Meriem Dussart.  La stratégie RSE de Saint-Gobain Weber se base sur des objectifs chiffrés, visant à réduire les impacts environnementaux d’ici à 2025. « Nous voulons baisser notre empreinte carbone de 30 % sur la période de référence débutée en 2010,explique Lionel Raynaud, directeur R&D de l’entreprise.Les consommations de matières premières devront être réduites de 20 %. Et les déchets plastiques de nos emballages, être diminués de 30 %. »A cela s’ajoute un recul de 5 % par an des déchets de production, accompagné de leur valorisation à hauteur de 90 % ! Une feuille de route ambitieuse. Mais tenable quand on est “vert et fier”…  Une nouvelle offre “éco-engagée” Weber Collect assure la récupération des déchets de construction sur chantier. [©Saint-Gobain Weber] « Nous faisons évoluer nos formulations, en utilisant des liants à CO2réduits ou en utilisant des sables issus du recyclage des retours de béton. »Saint-Gobain Weber mène des essais avec des laitiers de hauts fourneaux ou des pouzzolanes. Mais aussi avec des cendres volantes ou des résidus de traitement des industries verrières… Autant de tests qui permettront de déboucher sur de nouvelles gammes de solutions “éco-engagées”. Avec des analyses de cycle de vie (ACV) et des fiches de déclarations environnementales et sanitaires (Fdes) rédigées en interne par des équipes dédiées, rattachées à la R&D. Mais vérifiées par des organismes extérieurs.  Aujourd’hui, l’offre “éco-engagée” compte quatre premiers produits et deux services. Weber Collect est le premier d’entre eux. Lancé en Ile-de-France et sur le secteur de Lyon, pour le moment, il assure la récupération des déchets de construction sur chantier pour permettre aux artisans de gagner du temps.  Des Weber Trucks et des Weber Pompes Le Weber Trucks est un malaxeur mobile permettant de fabriquer et de mettre en œuvre, sur site, des mortiers de sols prêts à l’emploi. [©ACPresse] Le second service s’appelle Weberfloor Services. Il s’organise autour de trois Weber Trucks. C’est-à-dire des malaxeurs mobiles permettant de fabriquer et de mettre en œuvre, sur site, des mortiers de sols prêts à l’emploi. A la clef : une réduction des déchets de chantier et une économie de 350 000 sacs vides à recycler par an ! Ce service est complété depuis peu par l’offre Weber Pompe. « Un ensemble d’équipements mobiles, lui aussi dédié à la fabrication et à la mise en œuvre, sur site, de solutions de chapes et de ragréages », détaille Lionel Raynaud. Ici, la matière première est conditionnée en sacs (et non en vrac comme dans les Weber Trucks), d’où un choix possible entre seize solutions de base.  Quant aux produits “éco-engagés”, ils sont orientés “second œuvre” pour le moment. A l’image de la colle à carrelage webercol flex éco. « Un matériau sans ciment basé sur la valorisation de co-produits industriels activés. Et affichant A+ pour ce qui est de la qualité d’air intérieur, résume Lionel Raynaud. Les émissions de CO2de cette colle anti-poussières sont réduites de 50 %. »  Autre technologie bas carbone, la webercol façade intègre 10 % de matières premières secondaires pour un bilan CO2en recul de 20 %. Cette colle déformable est idéale pour la fixation en façade de plaquettes de parements en céramique et de pierres naturelles. Le liège et le bois comme solutions d’isolation webertherm XM natura est le tout premier système ITE utilisant le liège comme isolant. [©Saint-Gobain Weber] Le secteur de l’isolation profite aussi des innovations Saint-Gobain Weber. Tout d’abord avec le webertherm XM natura. Il s’agit ni plus ni moins du tout premier système ITE utilisant le liège comme isolant. Un produit 100 % biosourcé, imputrescible, recyclable et biodégradable. « Sa mise en œuvre induit une contribution au réchauffement climatique négative, soit une réduction de 6 kg de CO2/m2posé », détaille Lionel Raynaud. Cette famille “biosourcée” vient de s’agrandir avec l’arrivée du webertherm XM fibre de bois. werbertherm XM fibre de bois vient d’être lancé sur le marché. [©Saint-Gobain Weber] Ce système ITE est dédié aux supports maçonnés et aux constructions bois. Il associe un sous-enduit minéral à base de chaux et surtout des panneaux isolants en fibres de bois. « Ces éléments sont réalisés à partir de chutes de bois récupérées, broyées et agglomérées avec un liant. De quoi permettre d’économiser de la ressource », complète Lionel Raynaud. Et Charlotte Famy, de conclure : « Tout nouveau produit devra désormais répondre à l’un des critères de notre nouvelle charte d’éco-responsabilité. Un engagement qui satisfait à la demande des particuliers, de plus en plus sensibles au confort thermique de leur logement. Mais aussi à l’utilisation de solutions plus respectueuses de l’environnement ».  Frédéric Gluzicki
Il y a 4 ans et 141 jours

Les professionnels du bâtiment dans la liste des travailleurs de "deuxième ligne"

Une réunion, la deuxième du genre, a eu lieu il y a quelques jours entre la ministre du Travail, Elisabeth Borne, et les organisations patronales et syndicales, l'occasion de présenter les avancées de la mission sur ce sujet, lancée début novembre et menée par Sophie Moreau-Follenfant, dirigeante du gestionnaire du réseau à haute tension RTE, et Christine Erhel, économiste (Cnam).L'objectif: améliorer la rémunération ou encore la formation de ces travailleurs, dont les syndicats ont souligné l'importance pour le maintien de l'activité depuis le début de la crise sanitaire.Pour établir la liste des familles de métiers, deux critères ont été choisis, a précisé Christine Erhel aux journalistes: l'exposition potentielle au risque Covid-19 (contact direct avec le public, les collègues, exposition aux risques infectieux) et la présence sur site, évaluée pendant le premier confinement, et qui doit être supérieure à la moyenne.Une douzaine de secteurs sont concernés, a précisé le ministère, qui n'a pas souhaité communiquer la liste exhaustive avant de l'avoir envoyée aux partenaires sociaux. Ont été cités l'agriculture, les aides à domicile, le commerce (vendeurs, caissiers), le gardiennage, la sécurité, la logistique (manutention), la propreté, les transports.Le bâtiment a été inclus d'office, même si le secteur était fermé pendant le premier confinement. En revanche, la santé ne va pas figurer dans la réflexion, car ce secteur fait déjà l'objet d'une réflexion séparée, a précisé le ministère.La mission sélectionnera ensuite "de manière plus précise les métiers et les branches pour lesquels des négociations seront conduites lors de l'année 2021".Elle doit également faire un état des lieux des conditions d'emploi et de travail de ces salariés (salaires, contrats, CDD, CDI, conditions de travail, accidents de travail, temps de travail et vie privée, horaires atypiques, formation, dialogue social...).Les partenaires sociaux et la mission planchent aussi sur une autre dénomination des ces travailleurs de "deuxième ligne". Un consensus semble se dessiner autour de "métiers de la continuité économique et sociale", selon le ministère.En revanche, syndicats et patronat restent divisés sur les modalités de reconnaissance, les premiers poussant à une "augmentation salariale générale" quand les seconds appellent à regarder "finement, métier, par métier".
Il y a 4 ans et 141 jours

Wilo gagne le prix allemand du développement durable

Le Groupe Wilo a reçu le célèbre prix allemand du développement durable (Deutscher Nachhaltigkeitspreis, DNP) dans le domaine de la transition climatique. Le prix allemand du développement durable récompense les entreprises pour lesquelles la durabilité fait partie de leur stratégie d'entreprise.« Nous sommes fiers qu'une entreprise industrielle ait été reconnue comme un pionnier de la lutte contre le changement climatique. C'est un signal fort et la preuve que nous sommes une entreprise qui prend part à la protection du climat », déclare Oliver Hermes, président et directeur général du groupe Wilo.La durabilité fait partie intégrante de la stratégie d'entreprise du groupe Wilo. D'ici 2025, par exemple, 100 millions de personnes doivent avoir un meilleur accès à l'eau potable.« Nos produits, systèmes et solutions contribuent à fournir de l'eau aux populations du monde entier de manière intelligente, efficace et respectueuse du climat », souligne Oliver Hermes.Wilo a déjà été sélectionné comme l'un des « 50 leaders mondiaux en matière de durabilité et de climat » en août dernier. L'initiative mondiale de durabilité et de protection du climat implique des entreprises qui agissent sur la base des objectifs de développement durable (ODD) des Nations Unies.La crise comme opportunité de transformationLe comité du Prix allemand du développement durable considère 2020 comme une année de changement. Plus que jamais, nous avons besoin de modèles d'entreprise capables de faire avancer le changement et d'utiliser la crise comme une opportunité de réelle transformation.« Le climat mondial a besoin de pionniers. Chez Wilo, nous prétendons non seulement promouvoir le thème de l'efficacité énergétique, mais aussi être un précurseur dans la protection du climat et le numérique. Nous le faisons avec la ferme conviction que les produits les plus connectés, les plus intelligents et les plus économes en énergie sont toujours le choix le plus réfléchi. Cela signifie que la transformation numérique, l'efficacité énergétique et la protection du climat sont étroitement liées », explique Oliver Hermes.La protection du climat reste l'un des principaux défis de notre époque, même si la crise du coronavirus a temporairement relégué au second plan le discours sociopolitique sur la politique environnementale et climatique mondiale au cours de ces derniers mois.Accélérer la transformation vers une plus grande durabilité« Alors que les défis mondiaux tels que le changement climatique et l'extinction des espèces se sont intensifiés ces dernières années, les compétences de l'économie durable se sont développées en parallèle », déclare Stefan Schulze-Hausmann, initiateur du prix allemand du développement durable. « Nous recherchons des entreprises qui utilisent ces compétences avec audace et efficacité pour accélérer la transformation vers une plus grande durabilité ». Avec sa stratégie de développement durable, qui s'appuie sur la stratégie d'entreprise, Wilo se concentre sur sept des 17 ODD des Nations Unies qui correspondent aux valeurs et aux objectifs du groupe.Chez Wilo, tout le monde est un pionnier de la protection du climat« Je tiens à remercier tous ceux qui, chez Wilo, tiennent en haute estime la question de l’environnement. C'est-à-dire l'ensemble de nos 8 000 collaborateurs dans le monde. Ils sont tous des pionniers de la protection du climat et ont contribué à ce que Wilo remporte ce prix. La protection du climat fait partie de notre ADN depuis la création de l'entreprise en 1872, c'est-à-dire depuis environ 150 ans », souligne Oliver Hermes.Le prix est décerné par la Fondation allemande du prix de la durabilité (Stiftung Deutscher Nachhaltigkeitspreis) en coopération avec le gouvernement allemand, l'Association des villes allemandes, les associations d'entreprises, les organisations de la société civile et les instituts de recherche. Le prix a été décerné le 4 décembre lors d'un gala en ligne.
Il y a 4 ans et 142 jours

L'activité des bureaux d'études techniques et ingénieurs conseils fortement impactée par le reconfinement

Inévitablement, la seconde vague de l'épidémie de coronavirus et les nouvelles mesures restrictives qui l'ont accompagnée ont durement touché les TPE PME de la branche BETIC, qui subissaient encore les conséquences économiques de la première vague. Les entreprises travaillant pour le secteur de l'industrie et plus particulièrement pour l'automobile et l'aéronautique sont les plus durement touchées et les prévisions restent pessimistes pour les prochains mois.Les chiffres clés du baromètre CINOV pour novembre 202058% des entreprises répondantes déclarent une baisse de leur CA en novembre 2020 (+ 4 points par rapport à octobre)Dont 20% déclarent une baisse de CA de plus de 50% (+ 11 points par rapport à octobre)53% des TPE PME de la branche BETIC prévoient une nouvelle baisse de CA dans les 3 prochains mois (+ 1 point)21% des entreprises interrogées ont eu recours à l'activité partielle en novembre et 15% souhaitent mettre en place l'APLDLa 2e vague accentue la criseAu mois de novembre, les entreprises interrogées dans le cadre du baromètre CINOV étaient 58% à déclarer une baisse de leur chiffre d'affaires par rapport à 2019, soit une augmentation de 4 points par rapport au mois d'octobre. Plus inquiétant encore, 20% des entreprises répondantes ont déclaré une baisse de CA de plus de 50% : soit une augmentation de 11 points par rapport au mois précédent. Ce sont les indépendants qui subissent le plus directement ce nouvel épisode de crise : ils sont 34% à déclarer une perte de CA de plus de 50% en novembre, soit une hausse de 17% par rapport au mois d'octobre.L'impact est également disparate en fonction des typologies d'activité : les cabinets d'études intervenant dans le domaine du conseil en management, du tourisme, de l'ergonomie ou encore du numérique figurent parmi les plus durement touchés.Un impact renforcé pour le secteur industriel, particulièrement pour l'automobile et l'aéronautiqueL'impact sur l'activité des entreprises de la branche BETIC est également très lié au secteur d'activité de leurs clients. Sans surprise, ce sont les entreprises intervenant pour du conseil auprès des entreprises industrielles qui sont les plus touchées par la crise. Ainsi, les entreprises ayant pour secteur client principal l'industrie et plus particulièrement l'aéronautique et l'automobile sont celles qui annoncent le plus un CA en baisse pour novembre par rapport à 2019 : plus de 70% d'entre elles sont concernées. Les entreprises intervenant pour l'hôtellerie-restauration sont elles aussi très touchées : 60% d'entre elles envisagent un CA en baisse pour les trois mois à venir.A contrario, les entreprises ayant pour secteur client principal la logistique, le transports et les télécoms sont 80% à déclarer une hausse de CA par rapport à 2019 et 60% à anticiper une nouvelle hausse dans les 3 mois à venir.Télétravail, activité partielle, formation : les entreprises tentent de s'adapter pour préserver l'activité et sauver les emploisPour le moment, l'impact de la crise et de cette nouvelle vague de l'épidémie demeure mesuré sur l'emploi : seules 13% des entreprises interrogées déclarent envisager une baisse de leurs effectifs dans les prochains mois. Pour préserver l'emploi, les chefs d'entreprise de la branche BETIC ont parfois recours à l'activité partielle : ils sont 21% à déclarer y avoir eu recours au mois de novembre (+ 6 points par rapport à octobre). Mais une grande partie de ces entreprises (52% des répondants), c'est la formation qui apparaît comme le principal levier pour traverser la crise. Les entreprises de la branche sont 70% à déclarer avoir pris connaissance des dispositifs de financement de la formation professionnelle.Concernant le télétravail, rendu obligatoire à 100% lorsqu'il est possible par le gouvernement dans le cadre de la lutte contre l'épidémie, les chefs d'entreprise de la branche sont très partagés. 83% des entreprises interrogées ont ainsi déclaré que leurs salariés ont été amenés à travailler en présentiel pendant le confinement. Parmi les freins identifiés à la mise en place du télétravail à 100%, les chefs d'entreprise de la branche citent les difficultés liées au management à distance (79%), l'impossibilité technique d'effectuer certaines missions en télétravail (62%) et la volonté des salariés de maintenir une activité en présentiel (21%). Ils sont même 15% à déclarer que certains salariés leur ont fait état de risques psycho-sociaux liés au télétravail à 100%.« Les chefs d'entreprises de la branche BETIC sont déterminés à faire face à la crise et à s'adapter pour préserver les emplois. Nos TPE PME subissent de plein fouet les conséquences de cette 2e vague de l'épidémie et la Fédération CINOV est mobilisée à 100% pour porter leur voix auprès des décideurs publics. Nous serons notamment particulièrement attentifs à ce que la commande publique puisse être relancée dans les meilleurs délais et à ce que le dispositif d'activité partielle puisse être prolongé au moins jusqu'en mars » Frédéric Lafage, Président de la Fédération CINOV
Il y a 4 ans et 146 jours

Le gouvernement passe en force sur la révision rétroactive des contrats solaires

Pendant deux mois, les acteurs de l'énergie solaire se sont mobilisés afin d'expliquer les conséquences de cette mesure au Gouvernement, aux députés et aux sénateurs. Ces échanges ont démontré que le projet de révision des contrats photovoltaïques, mené sans étude d'impact ni consultation préalables, était lourd de conséquences pour la filière française des énergies renouvelables :Risque de faillite pour plusieurs centaines d'agriculteurs engagés dans le photovoltaïque (environ la moitié des 850 contrats visés),Risque d'insolvabilité pour la très grande majorité des centrales qui sont endettées, menaçant directement la viabilité des producteurs qui les opèrent, essentiellement des acteurs indépendants ancrés dans les territoires,Dégradation des conditions de financement des énergies renouvelables, fragilisant l'atteinte des objectifs de la Programmation Pluriannuelle de l'Énergie (PPE),Perte d'attractivité de la France aux yeux des investisseurs, notamment étrangers, engagés dans le déploiement des énergies renouvelables,Gain financier nul, et potentiellement perte, pour les finances de l'État.A l'écoute du terrain et des territoires, de nombreux élus se sont mobilisés pour alerter le Gouvernement sur ces risques. Ainsi, le 27 novembre dernier, le Sénat avait voté à l'unanimité la suppression de l'article concerné – les sénateurs ayant jugé, à juste titre, que cette mesure constituait une grave remise en cause de la parole de l'État. Au cours de l'examen en seconde lecture à l'Assemblée Nationale cette semaine, de nombreux députés de tous bords se sont mobilisés à leur tour, en déposant des sous-amendements permettant d'en atténuer les conséquences mortifères. Tous ces élus ont jugé que cette mesure était inopportune, dangereuse et contraire à la volonté des Français de voir le solaire continuer son développement. Seul le gouvernement est inexplicablement demeuré sourd aux arguments fondés de l'ensemble de la profession et des parlementaires.Solidarité Renouvelables annonce qu'elle poursuivra sa mobilisation en continuant de faire entendre la voix des professionnels du renouvelable pendant la phase d'élaboration du décret d'application, tout en étudiant tous les recours juridiques possibles.Le vote qui s'est tenu le 16 décembre à l'Assemblée n'est qu'une étape, et il est encore temps pour le Gouvernement de renoncer à ce projet néfaste et anachronique. A l'heure où le Président Emmanuel Macron annonce un référendum pour inscrire la défense du climat dans la Constitution, le moment ne saurait être plus mal choisi pour saborder la filière renouvelable française.Vous pouvez retrouver le manifeste du collectif et la liste des 300 signataires sur http://solidariterenouvelables.org/
Il y a 4 ans et 146 jours

Réélection du président de l’UNPG

Durant son second mandat, Alain Plantier poursuivra ses engagements. [©UNPG] Le conseil d’administration de l’Union nationale des producteurs de granulats (UNPG) a réélu Alain Plantier à la présidence du syndicat. Après un premier mandat de trois ans, débuté en 2017. Durant ces trois années, Alain Plantier a défendu l’accès durable de la profession à la ressource minérale. Sous sa présidence, l’UNPG a joué un rôle déterminant dans l’accompagnement de l’élaboration des nouveaux schémas régionaux des carrières. « Lors de sa première investiture, Alain Plantier avait souligné l’importance de soutenir les meilleures pratiques opérationnelles sur les sites de production. Ainsi que le déploiement du référentiel de responsabilité sociétale des entreprises de la profession. Et de contribuer à la création d’un label sectoriel », peut-on lire dans le communiqué de presse. Le mot d’Alain Plantier « Dès les premiers jours de la crise sanitaire, l’UNPG s’était attelée à la réalisation d’un guide de bonnes pratiques pour assurer la santé et la sécurité des salariés, commente Alain Plantier. Pour l’UNPG, l’objectif était de soutenir et d’accompagner ses adhérents pour assurer une continuité d’activité partielle des chantiers du BTP. Puis, de permettre une reprise de l’ensemble du secteur. Aujourd’hui, les résultats nous montrent, sans surprise, un fort impact de la crise sanitaire sur l’activité en 2020. L’année devrait donc se solder par une contraction de l’activité d’environ – 8 % pour les granulats en données brutes. La production de granulats “primaires”, c’est-à-dire hors recyclage, devrait atteindre fin 2020, 294 Mt. Soit un niveau de 10 % en dessous de la moyenne de ces 10 dernières années. L’UNPG continuera donc, plus que jamais, son accompagnement au plus près de ses adhérents. En leur apportant soutien, réponses et outils pour s’organiser au mieux. » Les grandes orientations du second mandat La constante mobilisation des producteurs de granulats a permis de dépasser, dès 2018, le seuil des 70 % de taux de valorisation fixé par l’Union européenne pour 2020. Les déchets inertes du bâtiment (33,5 Mt) sont ainsi déjà valorisés à hauteur de 80 %, grâce à un maillage de 1 500 plates-formes réparties sur l’ensemble du territoire. Durant son second mandat, Alain Plantier poursuivra ces engagements. Ceci, en actionnant et en optimisant tous les leviers, permettant d’atteindre cet objectif de diminution de l’empreinte carbone. Cela passera par le maintien des sites à proximité des zones de consommation, afin de fournir des matériaux locaux en boucles courtes. Qui limitent ainsi les transports et les émissions de CO2. Son parcours Diplômé de l’école des Mines d’Alès, Alain Plantier a intégré le groupe Vicat en 1985. Il est alors devenu directeur général des activités granulats. En 1994, il rejoint le groupe Cemex comme directeur adjoint de la zone granulats Ile-de-France. Après avoir occupé différents postes à responsabilité, dont celui de directeur général France des activités granulats du groupe, il est aujourd’hui directeur général matériaux Nord France.
Il y a 4 ans et 146 jours

Jean-Marc Golberg réélu Président du SNBPE

Titulaire d'un PhD en géologie, pétrologie et géochimie de l'Université de Montpellier, Jean-Marc Golberg rejoint Lafarge en 1988 comme ingénieur qualité bétons et granulats. Il occupe ensuite différentes fonctions dans les activités granulats et bétons en France avant d'être nommé directeur de l'agence bétons Provence en 1996. En 1998, Jean-Marc Golberg prend la direction de l'agence bétons Bretagne.En 2003, il devient directeur général de Lafarge granulats Ouest, puis rejoint en janvier 2009, le centre de recherche mondial du groupe Lafarge à l'Isle d'Abeau (Isère) en tant que directeur recherche & développement bétons et granulats. En septembre 2013, Jean-Marc Golberg est nommé directeur général béton pour la France.Durant son premier mandat, Jean-Marc Golberg a fait de sa priorité et de celle du SNBPE la reconnaissance des qualités techniques, économiques, sociales et environnementales du béton prêt à l'emploi. Un intérêt tout particulier a également été porté sur le fait de communiquer davantage sur l'utilisation plus importante des granulats recyclés dans le béton, mais aussi de communiquer dans un objectif de convaincre que le béton est un matériau recyclable indéfiniment de toutes les solutions constructives, qu'elles soient horizontales ou verticales.Les grandes orientations du second mandatLors de ce deuxième mandat, Jean-Marc Golberg souhaite poursuivre le travail entamé ces dernières années, en tant que Président du SNBPE. La priorité sera donnée à la création de synergies toujours plus importantes avec les autres acteurs de la Filière Béton. Avec, notamment, un objectif à court terme, d'amener les Pouvoirs Publics à revoir leur copie concernant la nouvelle méthode de calcul de l'empreinte carbone, dite ACV dynamique, dans le cadre de la RE2020. Le SNBPE souhaite proposer une démarche vertueuse pour tous les matériaux de construction afin qu'ils se décarbonent et participent à la recherche de solutions constructives environnementalement mieux disantes et ce, en application de ce que prévoyait la Loi ELAN.Jean-Marc Golberg souhaite également faire valoir le caractère inerte du béton durci et que cela soit pris en compte par les Pouvoirs Publics dans les décisions qu'ils prendront quant à la gestion des déchets du bâtiment prévue dans la Loi sur l'Économie circulaire.
Il y a 4 ans et 147 jours

Les professionnels du bâtiment autorisés à déjeuner dans les salles polyvalentes

"Depuis l'annonce du second confinement, la restauration des salariés du BTP a été rendue difficile au regard des conditions climatiques liées à la période hivernale", reconnaissent dans un communiqué la ministre de la Cohésion des territoires Jacqueline Gourault et le ministre délégué chargé des Petites et moyennes entreprises Alain Griset.En conséquence, le gouvernement autorise les maires à mettre à disposition une salle, à titre gracieux et sur demande des entreprises, pour permettre aux ouvriers du bâtiment d'effectuer leur pause déjeuner à l'abri et au chaud."Tout ce qui contribue à faciliter l'activité des entreprises, en particulier des plus petites d'entre elles, doit être encouragé", a exprimé Alain Griset dans le communiqué.La mesure a été saluée par Franck Serra, secrétaire général de la fédération FO de la construction. "Pour les conditions de travail on est satisfaits, c'est une bonne chose", a-t-il indiqué.Côté CGT, "on est d'accord avec la mesure", mais on ne satisfait pas pour autant d'une disposition qui n'a vocation qu'à être temporaire."Manger dehors ça concerne les salariés depuis toujours", a précisé Frédéric Mau, secrétaire fédéral de la CGT Construction, pour qui les négociations annuelles obligatoires (NAO) dans le secteur ne prévoient qu'"entre 0 et 1%" d'augmentation de salaire "et rien pour les indemnités repas"."Le restaurant c'est inaccessible, et c'est pas 2020 et le Covid qui font que les choses ont changé", a-t-il poursuivi. "Aujourd'hui, l'indemnité repas est devenu un appoint pour le salaire".La CGT préconise l'installation de "bases de vie" sur les chantiers pour manger au chaud. "L'investissement dans un four à micro-ondes et un frigo ne peut constituer une mise en danger de la santé financière de l'entreprise", écrit le syndicat dans un communiqué.La CAPEB salue cette mesure générale qu’elle appelait de ses vœux et qui, potentiellement, concerne, dans le secteur de l'artisanat du bâtiment, plus d’un million d’actifs répartis sur l'ensemble du territoire.
Il y a 4 ans et 147 jours

Réélection du président du SNBPE pour un second mandat

Jean-Marc Golberg est réélu pour un deuxième mandat à la présidence du SNBPE. [©SNBPE] A l’issue de l’assemblée générale du 15 décembre, Jean-Marc Golberg a été réélu à la présidence du SNBPE pour un second mandat. Lors du premier, il a mis en valeur les qualités techniques, économiques, sociales et environnementales du béton prêt à l’emploi. De plus, il a renforcé la communication sur des thématiques importantes et d’actualité. Pour Jean-Marc Golberg, le sujet du recyclage a été primordial. Son second mandat Désormais, il souhaite communiquer sur les granulats recyclés. Mais aussi sur le béton recyclé en général. Pour son deuxième mandat, il aspire a poursuivre le travail déjà entrepris. Il voudrait aussi axer le SNBPE sur la création de synergies avec les autres acteurs de la filière béton. Par ailleurs, Jean-Marc Golberg espère revoir avec les pouvoirs publics la nouvelle méthode de calcul de l’empreinte carbone dans le cadre de la RE 2020. En effet, le syndicat voudrait proposer une démarche pour tous les matériaux de construction. Ceci, afin de faciliter la décarbonation, ainsi que la recherche de solutions constructives environnementales. Et ce, en accord avec la loi Elan. « J’aimerais faire valoir le caractère inerte du béton durci et que cela soit pris en compte par les pouvoirs publics dans les décisions qu’ils prendront quant à la gestion des déchets du bâtiment prévue dans la loi sur l’Economie circulaire », indique Jean-Marc Golberg.   Son parcours Jean-Marc Golberg a obtenu un doctorat en géologie, pétrologie et géochimie à l’université de Montpellier. Il débute sa carrière en rejoignant Lafarge en 1988, en tant qu’ingénieur qualité bétons et granulats. Il occupera ensuite différentes fonctions, avant d’être nommé directeur de l’agence Lafarge Béton Provence en 1996. En 1998, il prend la direction de l’agence Lafarge Béton Bretagne. En 2003, Jean-Marc Golberg devient le directeur général de Lafarge Granulats Ouest. Après 8 ans à ce poste, il rejoint le centre de recherche mondial du groupe Lafarge en Isère, en tant que directeur recherche & développement bétons et granulats. En septembre 2013, il est nommé directeur général LafargeHolcim Béton France. 
Il y a 4 ans et 148 jours

La Ville de Paris et Cemex s'associent pour évacuer les feuilles mortes par la Seine

Habituellement utilisée pour l'approvisionnement en granulats de la capitale ou l'évacuation de déchets du BTP, une barge d'une capacité de 200 m3 a été remplie de feuilles mortes, représentant plus de 100 tonnes, sur le site CEMEX de Bercy. Elle a ensuite été acheminée vers le port de Gennevilliers où les feuilles seront prises en charge et valorisées pour des applications ultérieures. Elles pourront, par exemple, servir de matières secondaires pour d'autres activités comme la création d'espaces verts ou le maraichage.Un aller simple vers GennevilliersCette opération de remplissage s'est déroulée sur un mois, du 9 novembre au 9 décembre, période durant laquelle les camions utilitaires des 5e, 6e, 12e et 13e arrondissements de Paris ont apporté les feuilles sur le site portuaire CEMEX de Bercy. Grâce aux équipements portuaires de l'industriel, les feuilles ont été chargées et entassées dans la barge afin d'optimiser le volume disponible et ainsi réduire les coûts et les émissions de CO2 engendrés par les camions sur les routes. Il aura suffi d'un aller simple pour transporter toutes ces feuilles en dehors de la capitale, vers le port de Gennevilliers, permettant ainsi d'éviter 18 allers-retours de bennes de collecte (soit 6 tonnes par benne).CEMEX se réjouit de pouvoir mettre son dispositif portuaire parisien et sa flotte fluviale au service de la Ville de Paris et de ses habitants.À la suite de cette première expérience concluante, CEMEX espère que ce type d'opération pourra être renouvelée sur de plus gros volumes en l'étendant vers d'autres collectes, comme les sapins de Noël, par exemple.Trajet de la barge du site CEMEX de Bercy jusqu'au port de Gennevilliers
Il y a 4 ans et 148 jours

PMC 2020 : le palmarès en vidéo

Chaque année, les Prix Moniteur de la construction récompensent les entreprises de BTP les plus performantes de France. A la suite des sept jurys régionaux, six lauréats ont été distingués au niveau national : quatre prix de catégories (clos et couvert, second œuvre, équipements techniques et travaux publics), une mention spéciale récompensant la meilleure stratégie de prévention et, bien entendu, le Grand prix. Découvrez, en vidéo, les annonces de chacun de ses six lauréats, avec une interview en visio du chef d’entreprise récompensé.
Il y a 4 ans et 148 jours

Réseau Lorenove, 3 nouvelles concessions ouvrent leurs portes

Le travail de l’équipe de Gérard Coron-Dall’o qui intervient sur l’animation commerciale, l’animation technique et le développement du réseau, porte ses fruits. Ce troisième trimestre manifeste l’ouverture de 3 nouvelles concessions dans le nord de l’Aveyron, dans la Loire et les Pyrénées Atlantiques. Visiblement le confinement n’a pas altéré la volonté de développement et de croissance des entrepreneurs français. Xavier Ryncarz, Alexandre Verdier et Michaël Ramah en sont le parfait exemple ! Ces trois chefs d’entreprises viennent de rejoindre le réseau Lorenove et d’ouvrir respectivement leurs concessions « LORENOVE MOLENAT AUBIN », « LORENOVE ROANNE » et « LORENOVE PAU ».   TROIS NOUVELLES CONCESSIONS POUR UNE MÊME VALEUR AJOUTÉE Compte tenu de la stratégie de développement du réseau qui vise à privilégier la qualité du partenariat à la quantité, LORENOVE capitalise sur les atouts et l’expérience que possèdent les entrepreneurs afin de fonder les bases solides de leur réussite. Ainsi Xavier RYNCARZ, Responsable de l’Agence « LORENOVE MOLÉNAT AUBIN » est un ancien salarié de l’entreprise MOLÉNAT, rachetée en 2015 par le Groupe LORILLARD. Intérimaire, puis successivement opérateur d’atelier, assistant de responsable de production, assistant en administration des ventes et responsable SAV, Xavier RYNCARZ a fondé et fait évoluer sa carrière chez MOLÉNAT, depuis 22 ans. Xavier RYNCARZ, Responsable de l’agence «LORENOVE MOLÉNAT AUBIN» Implantée historiquement depuis 1922 à DECAZEVILLE en AVEYRON, l’entreprise MOLÉNAT s’est spécialisée en 1965 dans la fabrication de menuiseries à destination des professionnels, mais n’a jamais commercialisé ses produits auprès des particuliers. Poussé par l’envie d’évoluer vers de nouveaux challenges, fort de son expérience au sein du Groupe LORILLARD et à l’appui du réseau LORENOVE, Xavier RYNCARZ fonde l’agence « LORENOVE MOLÉNAT ». Doté d’un showroom de 75 m², le magasin est implanté sur le site de MOLÉNAT, idéalement placé en bordure de nationale, et a ouvert ses portes mi-septembre. Xavier RYNCARZ qui démarre seul pour le moment, sera vite épaulé par une équipe de pose qui est en cours de développement. Sa zone commerciale s’étend de VILLEFRANCHE DE ROUERGUE, RODEZ (AVEYRON) à FIGEAC (LOT) en passant par MAURS (CANTAL).   De son côté Alexandre VERDIER, Dirigeant de la concession « LORENOVE ROANNE » a commencé sa carrière chez PLASTIBAIE en 2007 qui fut rachetée en 2009 par le Groupe LORILLARD. Après 7 ans passés au sein de PLASTIBAIE, cet ancien Responsable de Production a besoin de se réorienter vers de nouveaux horizons tout en valorisant son expérience acquise. Il rachète alors en 2014 les FERMETURES DU BRIONNAIS (71) spécialisées dans la vente de menuiseries BtoB, BtoC et auprès des architectes. En 2017 et 2018 il crée et rachète respectivement l’entreprise ALUSTAR (42) et Les Etablissements PUTANIER (42). A la tête d’un effectif de 30 salariés, Alexandre VERDIER souhaite accroître son activité BtoC et déployer sa commercialisation vers une clientèle haut de gamme. Devenir concessionnaire LORENOVE est pour lui un tremplin propice pour prendre de nouvelles parts de marché. Le magasin et le showroom de 160 m² de « LORENOVE ROANNE » ont ouvert fin octobre. Alexandre VERDIER, Dirigeant de la concession «LORENOVE ROANNE» Située dans la Zone Industrielle, la concession est accueillie au sein des 1000 m² des Etablissements PUTANIER abritant désormais les activités de vitrerie et miroiterie, la fourniture et la pose de menuiseries ainsi que le showroom. Sa zone commerciale s’étend de ROANNE (LOIRE) aux départements limitrophes du sud de la SAONE-ET-LOIRE, ainsi qu’au sud-est de l’ALLIER et l’est du PUY-DE-DOME. 10 salariés, 2 équipes de pose sont d’ores et déjà opérationnels. Un métreur/poseur ainsi qu’une technico-commerciale viendront renforcer la concession.   A Pau, Michaël RAMAH, dirigeant de la concession « LORENOVE PAU » vient de rejoindre le réseau. Ce Palois d’origine qui fait un retour aux sources pour raisons personnelles, suite à 15 ans d’expatriation, a choisi de repartir de zéro. En effet après 8 ans passés au sein d’un réseau de storistes, du côté d’Anger, Michaël RAMAH choisit de revendre sa société pour se tourner vers une offre de menuiseries plus étendue. Lorenove n’ayant pas d’entité sur la région Paloise et souhaitant se développer sur le secteur, c’est une opportunité commune qui s’est offerte à la marque et cet entrepreneur, pour déployer une future enseigne Fenêtres Lorenove. Michaël RAMAH, Dirigeant de la concession «LORENOVE PAU» Michaël connaît parfaitement le fonctionnement et les atouts des réseaux de concessionnaires mais le marché de la rénovation des menuiseries lui est inédit. A l’appui de formations techniques et commerciales dispensées par le Groupe Lorillard et du soutien de son animateur réseau, Michaël est opérationnel. Il s’est entouré d’une équipe de 2 poseurs, d’une assistante commerciale et d’un commercial et a doté son magasin d’un showroom de 150 m². Un second commercial devrait rejoindre l’équipe dans quelques mois. Situé en accès d’une zone commerciale passante, LORENOVE PAU ouvrira ses portes début janvier pour accueillir la clientèle du bassin Béarnais. Le choix de Xavier RYNCARZ, d’Alexandre VERDIER et de Michaël RAMAH de rejoindre le réseau LORENOVE, se fonde sur la notoriété de l’enseigne et l’engagement fort du Groupe LORILLARD à leurs côtés. Rejoindre LORENOVE c’est rejoindre un réseau soudé et jouir de son rayonnement tout en bénéficiant d’une exclusivité territoriale. « Intégrer LORENOVE c’est avoir la force d’un réseau derrière soit, pouvoir proposer un panel de produit de qualité et très étoffé avec des menuiseries mais également des volets roulants, battants, des portails. Je démarre seul mon activité sur ma région mais j’ai derrière moi tout un réseau et un Groupe solide pour m’épauler ». « Je souhaite développer mes activités vers un marché plus haut de gamme et pour cela j’ai besoin d’une force commerciale nationale, d’outils de communication performants et de garanties concurrentielles comme par exemple la garantie 20 ans sur les menuiseries PVC qui est un argument fort quant à la fiabilité des produits proposés. » « J’ai choisi de me rallier au réseau Lorenove principalement pour l’étendue des gammes, la renommée du réseau, la qualité des produits ainsi que les idées et valeurs humaines que la marque véhicule, qui m’ont toujours séduites. Leur nouveau concept d’accompagnement pour les entrepreneurs, m’a aussi conquis car sur mon secteur l’enseigne n’était pas du tout présente ainsi, je pars de zéro, sans entreprise de menuiserie, sans base de clients et il y a tout à faire », témoignent Xavier RYNCARZ, Alexandre VERDIER et Michaël RAMAH. De notoriété croissante, le réseau national de concessionnaires Fenêtres LORENOVE se fortifie. L’enseigne met un point d’honneur à véhiculer ses valeurs de marque : qualité, savoir-faire, rigueur, intégrité et services. Ainsi la stratégie de développement exige une sélection rigoureuse des candidats et implique un accompagnement attentif. L’intégration de ces 3 nouvelles concessions vient confirmer le bon déroulement du déploiement territorial du réseau. Et, dans la continuité de ce développement consciencieux, une autre concession devrait ouvrir ses portes d’ici fin janvier 2021 au Mans.
Il y a 4 ans et 148 jours

Cemex : Les feuilles mortes montent sur Seine, à Paris !

Avec l’opération “Feuilles sur Seine”, près de 100 t de feuilles mortes seront compostées sur le port de Gennevilliers après y avoir été transportées par voie fluviale. [©Ville de Paris / DPE] L’automne, “sa langueur monotone” et ses feuilles mortes… Avec l’opération “Feuilles sur Seine” qui a vu s’associer l’industriel Cemex et la Ville de Paris, près de 100 t d’entre elles seront compostées sur le port de Gennevilliers. Ceci, après y avoir été transportées par voie fluviale. La barge de 200 m3Cemex a ainsi quitté le port de Bercy le 10 décembre dernier. Direction Gennevilliers pour un compostage industriel. Ceci, afin d’éviter leur incinération. Ces feuilles mortes pourront, par exemple, servir de matières secondaires pour d’autres activités comme la création d’espaces verts ou le maraîchage. Un premier test pour attribuer un nouveau destin à ces encombrants végétaux. Cette opération avait notamment pour but de réduire les émissions de CO2 engendrées par les camions sur la route. Dix-huit aller-retour de bennes de collecte ont ainsi été évités.  A la suite de cette opération sur la Seine, Cemex espère que ce type d’opérations pourra être renouvelé sur de plus gros volumes. En l’étendant, pourquoi pas, vers d’autres collectes, comme les sapins de Noël.
Il y a 4 ans et 149 jours

PMC 2020 : découvrez le lauréat de la catégorie second oeuvre

Le jury national des Prix Moniteur de la construction a choisi de distinguer, dans la catégorie clos et couvert, l’entreprise Delacommune et Dumont.
Il y a 4 ans et 152 jours

Baromètre Domexpo 2020 : quelles sont les énergies de chauffage les plus utilisées en maison neuve ?

Mené en partenariat avec Caron Marketing, le Baromètre Domexpo 2020 confirmera-t-il la prédominance de la PAC - Pompe à chaleur, observée l'année dernière ? Quels sont les autres moyens de chauffage plébiscités par les nouveaux propriétaires ? Quelles sont les tendances émergentes ? Etc. Résultats avec Domexpo...Faire construire sa maison soulève de nombreuses questions, et ce, avant même que le projet ne se concrétise réellement : comment trouver un terrain ? Comment financer au meilleur taux ? Quelles sont les aides auxquelles un particulier a droit ? Etc. Visiter un village Domexpo, avec ou sans rendez-vous, et rencontrer un ou plusieurs professionnels, apportera ainsi les premières réponses.Ensuite, une fois son constructeur sélectionné, ce sera lui qui aidera, conseillera et guidera les particuliers tout au long du projet : choix des menuiseries, du type de toiture, des matériaux de construction, du type d'énergie de chauffage...C'est sur ce dernier point que Domexpo a choisi de consacrer son dernier Baromètre de la maison neuve, mené en partenariat avec Caron Marketing, qui souligne notamment que :La PAC - Pompe à chaleur, qu'elle soit utilisée seule ou en complément d'un autre type d'énergie, reste le moyen de chauffage le plus plébiscité en France et en Île-de-France, avec respectivement 66% et 64% des maisons individuelles neuves qui en sont équipées. Une part en augmentation en comparaison du dernier Baromètre Domexpo où la PAC représentait 55% sur le territoire national et 51% pour la région francilienne.Le gaz conserve sa seconde position, à la fois en France et en Île-de-France.« Installée dans presque 2 maisons neuves sur 3, la pompe à chaleur est prépondérante sur le marché de la maison neuve, mais ce sont désormais les solutions hybrides qui se développent le plus. Cette solution présente de nombreux avantages : elle est notamment moins chère en consommation immédiate, plus respectueuse de l'environnement et ne nécessite qu'un seul abonnement électrique...Le gaz, quant à lui, comme l'année dernière, arrive en seconde position des énergies de chauffage les plus utilisées. Avec l'entrée en vigueur de la RE2020, le 100% gaz pourrait être amené à disparaitre des logements neufs.Si cette disposition se confirmait, cela aurait un impact non négligeable sur les budgets des ménages accédants les plus modestes car dans les régions climatiques du Nord de la France, la solution gaz reste à l'usage plus intéressante que l'électricité.Domexpo va donc dans les prochaines semaines rester vigilante pour pouvoir conseiller au mieux tous les candidats à la construction. »Daniel Lair-Lachapelle, Président de DomexpoSource : Recensement 2020 des constructeurs de maisons individuelles de Caron Marketing
Il y a 4 ans et 153 jours

11ÈME ÉDITION Trophée de la vitrification : PLASTOR RÉCOMPENSE LES PLUS BEAUX CHANTIERS EN VITRIFICATION PARQUET 2019

Comme chaque année, la remise des trophées de la Vitrification Plastor est l’occasion de distinguer des chantiers réalisés par des professionnels du parquet, partenaires de la marque. L’aspect technique et décoratif du chantier, mais également la qualité du travail et le savoir-faire artisanal sont pleinement pris en compte.Les parquets de ces chantiers d’exception profitent en matière de protection des performances des produits et systèmes Plastor. Les lauréats primés pour cette 11ème édition sont : • 1er Prix : La Grande Halle du Wip à Colombelles (14), réalisée par l’entreprise Les Sens du Bois (50), • 2ème Prix : La mairie de Plourin-Lès-Morlaix (51), réalisée par l’entreprise Corre ponçage SAS (29). • 3ème Prix : Une maison de particulier Béarnaise (64), réalisée par l’entreprise Esteves (64).   1ER PRIX : La Grande Halle du Wip à Colombelles (14) Entreprise Les Sens du Bois (50) Nicolas TAVARES et Franck JEUFFRAULT : Gérants de l’entreprise Les Sens du Bois (50) La rénovation de La Grande Halle du Wip à Colombelles, édifice du patrimoine industriel, intègre principalement du béton et du bois, avec 1 600 m2 de parquet ainsi que 6 escaliers de 40 marches qui ont été poncés et vitrifiés par la société Les Sens du Bois. Partenaires depuis plus de 10 ans avec Plastor, Nicolas TAVARES et Franck JEUFFRAULT, gérants de la société spécialisée dans la rénovation et la vitrification de parquets et d’escaliers, ont utilisé les produits Plastor pour réaliser les finitions de ce projet. « Nous sommes arrivés sur ce chantier grâce à la recommandation de la société Gouelle menuiserie à Sartilly (50) qui a remporté l’appel d’offre et réalisé la pose des planchers. Notre entreprise a réalisé le ponçage et la vitrification, donc toutes les finitions sur des parquets traditionnels en Douglas ainsi que sur des panneaux en contreplaqué avec une couche de massif en pin blanc. Nous devions également vernir les lisses des garde-corps des escaliers pour les protéger. La rénovation de ce bâtiment industriel exigeait le respect de normes de qualité environnementale, d’où l’importance du choix de produits à faible émissivité. Dans ce même souci, il a été décidé que les poteaux et dessous des couloirs apparents resteraient bruts. Nous avons dû tenir les délais avec la complexité habituelle, en organisant nos zones de travail au mieux afin que tous les autres artisans et corps de métier puissent avancer rapidement. Pour ce faire, nous avons mobilisé toute notre équipe, à savoir 5 personnes. Parfois mon père et un de ses collègues nous ont rejoints, nous étions alors 7. Nous sommes parvenus à réaliser les finitions en deux semaines de travail en tout. Comme il s’agissait de parquet neuf, la matière était assez agréable à travailler. Grâce aux produits Plastor dont nous apprécions la qualité depuis maintenant 12 ans, nous avons aisément pu évaluer le temps de travail de la manière la plus précise qui soit. Pour répondre aux prérequis d’émissions de COV très limitées, nous avons choisi d’utiliser l’huile Aquanat, très faible en émissivité de solvants avec seulement 25 g de COV/L. Pour durcir la couche de ces produits assez maigres, nous avons opté pour le DUOPUR-T3 mat, compatible avec l’huile Aquanat, qui avait été validé par le service technique de Plastor. Le suivi et le relationnel que nous entretenons avec les équipes de Plastor sont pour beaucoup dans notre réussite. »   LES PRODUITS PLASTOR UTILISÉS POUR LA GRANDE HALLE DU WIP Huile AQUANAT L’huile pour parquet monocomposant Aquanat de Plastor offre une excellente protection pour les parquets soumis à un trafic quotidien intense. Elle conserve l’aspect naturel du bois brut tout en le mettant en valeur. Facile d’utilisation, elle ne laisse pas de film visible et sèche en 1 à 2 h seulement entre 2 couches. Elle s’applique ainsi sans lustrage en 3 couches dans la journée et sans essuyage. Son odeur n’est pas gênante, elle dégage seulement 25 g/L de COV. Disponible en 2 effets : mat et effet brut. Rendement : 15 m2/L par couche Existe en 1L, 5L et 10L   Vitrificateur DUOPUR-T 3 Vitrificateur polycarbonate bicomposant en phase aqueuse pour pièces à fortes contraintes et lieux publics, le DuoPurT3 de Plastor est très agréable à appliquer. Gras, sans odeur gênante et classé A+, il donne un bon garnissant, un film non jaunissant et un temps de reprise important. Il est adapté aux parquets ou dérivés des bois intérieurs neufs ou anciens dans tous types d’essences. Appliqué directement sur bois brut, il permet de conserver la tonalité claire des bois. Il est formulé avec 0 % de NMP (N-Methyl Pyrrolidone) et NEP (N-Ethyl Pyrolidone). 3 aspects : mat, satiné et brillant. Rendement : 10 m2/L par couche Existe en 5L (Mélange Résine 4,5L + durcisseur 0,5L) et 10L (Mélange Résine 9L + durcisseur 1L)   2ÈME PRIX : La mairie de Plourin-lès-Morlaix (51) Entreprise Corre Ponçage SAS (29) Michel CORRE Gérant de l’entreprise Fondée en 1957, Corre Ponçage est une entreprise familiale, spécialisée de père en fils, installée à Brest. Forte de ses 63 ans d’expérience, elle effectue la pose et l’entretien de parquets. « Nous exerçons notre activité principalement auprès de particuliers. Il est assez rare que nous travaillions pour des collectivités. Dans le cas de la mairie de Plourin-lès-Morlaix, nous avons obtenu le chantier par la municipalité, qui connaissait la qualité de notre travail. Ce programme de mairiemédiathèque avait fait l’objet d’un concours d’architecture brillamment remporté par Philippe Madec en 1994. Notre intervention a surtout concerné la salle du conseil municipal. Le chantier représentait environ 200 m2 de parquet en chêne. Il s’agissait de la rénovation d’un parquet existant qui avait déjà été entretenu quelques années auparavant. La salle ayant diverses fonctions, le parquet avait subit des dommages. Il était rayé à cause des tables, abimé par le passage et avait essuyé quelques problèmes d’humidité liés à la condensation près des baies vitrées. Nous avons réalisé le ponçage et la vitrification en 3 couches. Nous étions seuls sur le chantier, la rénovation a duré une semaine. Nous avons d’abord utilisé un fond dur universel puis 2 couches de DUOPUR-T3, Sur conseil du service technique Plastor, et pour un obtenir un aspect mat très profond, nous avons appliqué une première couche satinée puis une seconde mate. Nous collaborons avec Plastor depuis toujours. Leurs produits et les relations que nous entretenons avec les commerciaux nous donnent entière satisfaction. Mes enfants reprennent l’entreprise et eux aussi sont ravis. »   3ÈME PRIX : Maison de particulier Béarnaise (64) Entreprise Esteves (64) Roger ESTEVES Gérant de l’entreprise Roger Esteves a commencé à travailler dans l’entreprise de son père en 2012 avant de reprendre seul la société. Il réalise la pose de parquets, le ponçage et la vitrification, ainsi que la pose de serrurerie, de menuiseries, de placards et de volets, le plus souvent pour des particuliers. Pour la rénovation du parquet de cette maison traditionnelle typique du Béarn, les produits Plastor ont été utilisés. « L’un de mes fournisseurs m’a recommandé auprès du propriétaire de la maison qui engageait une rénovation générale. Je devais rénover 100 m2 de parquet en pin ainsi qu’une petite partie en chêne, cela concernait un étage entier et un escalier. La première fois que j’ai vu le parquet, il était en assez bon état, seulement quand je suis revenu pour travailler, il avait été abimé et sali par les modifications effectuées par les plaquistes au niveau des cloisons. Comme rien n’avait été protégé, il y a eu beaucoup de plâtre à enlever. J’ai dû composer avec les plombiers durant le chantier. Mon père est venu en renfort, nous avons effectué des réparations de dégâts causés par les plaquistes. Le chantier nous a pris une bonne semaine en continu. Le client tenait à un aspect satiné si bien que nous avons d’abord réparé et poncé le parquet puis nous avons appliqué un fond dur universel PRIM’SO et 2 couches de DUOPUR-T3 satiné qui donne un bel aspect ciré. Je connais bien les produits Plastor car j’ai toujours travaillé avec la marque, comme mon père le faisait depuis des décennies. Nous sommes enchantés par leurs produits et leurs conseils. »   LES PRODUITS PLASTOR UTILISÉS POUR LA MAIRIE DE PLOURIN-LÈS-MORLAIX ET LA MAISON BÉARNAISE Primaire PRIM’SO Doté d’un haut pouvoir pénétrant qui lui permet de former une base d’accrochage idéale pour la finition, le fond dur universel PRIM’SO est compatible avec tous les vitrificateurs Plastor (phase aqueuse comme solvant). Sa fonction bouche-pores neutralise les anti-oxydants pour assurer le parfait séchage de tous les vitrificateurs parquet. D’un grand confort d’utilisation, PRIM’SO sèche rapidement et sans odeur gênante. Par ailleurs, il donne une légère couleur miel au parquet et convient pour des bois neufs ou anciens dans tous types d’essences. Rendement : 10 m2/L par couche Existe en 1L, 5L et 10L   Vitrificateur DUOPUR-T 3 Le DUOPUR-T3 est un vitrificateur polycarbonate bicomposant en phase aqueuse pour pièces à fortes contraintes et lieux publics. Constitué d’un mélange 90/10, il est très agréable à appliquer. Gras, sans odeur gênante et classé A+, il donne un bon garnissant, un film non jaunissant et un temps de reprise important. Il permet de conserver la tonalité claire des bois lorsqu’il est utilisé directement sur bois brut. Il est parfaitement adapté aux parquets ou dérivés des bois intérieurs neufs ou anciens dans tous types d’essences. Enfin, il est formulé avec 0 % de NMP (N-Methyl Pyrrolidone) et NEP (N-Ethyl Pyrolidone). 3 aspects : mat, satiné et brillant. Rendement : 10 m2/L par couche Existe en 5L (Mélange Résine 4,5L + durcisseur 0,5L) et 10L (Mélange Résine 9L + durcisseur 1L)
Il y a 4 ans et 159 jours

De Gaulle bâtisseur

En trente ans, la France s’est métamorphosée. Rurale au lendemain de la Seconde Guerre mondiale, les Trente Glorieuses accouchent d’une France urbaine dans les... Cet article De Gaulle bâtisseur est apparu en premier sur Archicree - Créations et Recherches Esthétiques Européennes.
Il y a 4 ans et 154 jours

Aides à la rénovation énergétique : Action Logement doit revoir sa copie

POLÉMIQUE. Quelques jours après le lancement d'une polémique sur la fin des aides à la rénovation énergétique des logements des ménages à bas revenus, prévues dans le cadre de son Plan d'investissement volontaire, Action Logement annonce, après avoir rencontré la ministre chargée du Logement, travailler à "dégager de nouveaux financements", notamment pour soutenir le plan de relance gouvernemental. La réforme de l'organisme interviendra "dans un second temps".
Il y a 4 ans et 154 jours

I.MOWER T20000 (PEGASUS), le robot tondeuse le plus intelligent du marché

Adapté aux besoins des professionnels, I.MOWER T20000 se distingue par sa puissance technologique, son niveau de sécurité et sa richesse fonctionnelle. Il délivre notamment des informations sur les espaces verts et permet de réaliser des dessins ou des motifs soignés et précis sur les pelouses. Neuilly-sur-Seine – décembre 2020, INFINY IA, start-up française spécialisée en intelligence artificielle, notamment dans les domaines de l’analyse visuelle (Computer Vision), de la mobilité autonome et de la robotique, présente I.MOWER T20000, un robot tondeuse futuriste. Concentré de technologies, I.MOWER T20000 est le premier robot tondeuse doté d’une intelligence comparable à celle d’une voiture autonome. Grâce aux ressources qu’offre le deep learning à travers la vision par ordinateur, ce robot multifonction autonome propose une efficacité de tonte et une sécurité optimale. Conçu pour répondre aux besoins des professionnels des espaces verts I.MOWER T20000 s’avère aussi efficace pour les petites que pour les vastes surfaces. Il assure la tonte d’un terrain de 20 000 m2 en 10 heures seulement. Il servira par exemple à l’entretien des espaces verts dans les villes, des pelouses des terrains de golf, des grands jardins d’hôtels, ou encore des surfaces vertes situées dans les zones aéroportuaires. Le robot tondeuse peut tracter une remorque non motorisée de 50 kg et motorisée de 300kg. I.MOWER T20000 est à ce jour le seul robot tondeuse capable de réaliser des dessins ou des motifs très soignés et précis. L’utilisateur peut ainsi exprimer tous ses désirs créatifs dans le jardin, un logo d’entreprise par exemple. Une aide à la décision pour gérer les espaces verts Le cœur de l’intelligence réside à la fois dans la station d’accueil mais aussi dans la tondeuse I.MOWER T20000 qui abritent un boîtier supercalculateur dédié à l’intelligence artificielle (IA) ultra performant, créé par les experts d’INFINY IA. Grâce ses équipements embarqués, dont plus de 20 capteurs divers, 4 caméras 360° et 1 lidar 360°, I.MOWER T20000 est capable d’analyser plus de 2 millions d’informations à la seconde. La tondeuse I.MOWER T20000 allie performance de calcul et fort potentiel évolutif. Ainsi, de multiples ajouts de fonctionnalités sont possibles. Pour des usages innovants, elle est en mesure de cartographier un jardin d’une extrême précision. Elle pourra même transmettre des informations sur la qualité de la terre, le type d’arbres ou de fleurs en fonction de son parcours ou encore, préciser les zones à irriguer. Au-delà d’un robot tondeuse traditionnel, I.MOWER T20000 s’impose comme le véritable compagnon du paysagiste et du jardinier. Une sentinelle dans le jardin Le contrôle permanent de l’espace vert Le système est capable de détecter la présence d’intrus ou d’actions inhabituelles sur une zone. Chaque événement sera immédiatement signalé au propriétaire et une photographie de l’objet ou de la personne, floutée dans ce cas, lui sera même envoyée par SMS, email ou appel téléphonique. Pour renforcer l’alerte, une activation sonore et visuelle (gyrophare) ou un message sonore personnalisé pourra également être paramétré. La sécurité renforcée pour les individus et les animaux Le robot est programmé pour assurer une protection absolue pour les individus, même durant la tonte. Les lames de la tondeuse I.MOWER T20000 s’arrêtent de tourner aussitôt qu’elles détectent un obstacle, avant de modifier leur trajectoire. Ce système permet aussi de préserver la vie des petits visiteurs des jardins, tels que les hérissons, premières victimes de ces accidents meurtriers. Un design de bolide sportif personnalisable INFINY IA a décidé de faire appel à son partenaire PROTOSTYLE pour apporter un soin tout particulier à l’aspect de la tondeuse I.MOWER T20000. Son design est élégant, novateur et presque totalement personnalisable – nom, taille et logo du robot, couleur de carrosserie, des jantes et des motifs, remorque, coque extérieure.   Un modèle hybride soucieux de l’environnement La tondeuse I.MOWER T20000 et l’ensemble de ses équipements sont rechargeables via une station d’accueil, par énergie solaire, sur secteur ou encore de façon mixte pour favoriser une autonomie de fonctionnement et un respect de l’environnement. I.MOWER T20000 nécessite par ailleurs une très faible consommation d’électricité, parmi les plus basses du marché des robots tondeuses. I.MOWER T20000 offre une autonomie jusqu’à 12 heures. Selon le mode choisi (solaire, mixte, secteur), le temps de recharge moyen varie entre 120 mn à 180 mn. La tondeuse I.MOWER T20000 sera disponible à partir du premier semestre 2021. Les précommandes sont accessibles via le site https://infiny-ia.com/ à partir de 9 000 Euros H.T. Elle sera d’abord distribuée en France et dans les pays francophones, puis progressivement disponible dans le reste du monde. Vidéo de la version T2000 : https://youtu.be/DW5L2pf3wqE À propos de INFINY IA Créée en mai 2020, INFINY IA est spécialisée en intelligence artificielle dans les domaines de l’analyse visuelle (IA Computer Vision), de la mobilité autonome et de la robotique. Basée à Neuilly-sur-Seine, elle s’appuie sur l’expertise d’une équipe de passionnés pour développer des solutions de mobilité pour le grand public et les professionnels. INFINY IA compte à ce jour 25 collaborateurs avec un objectif de doubler l’effectif d’ici 2 ans. Site internet : https://infiny-ia.com/
Il y a 4 ans et 154 jours

Un chantier de parking controversé à Chambéry finalement accepté par la majorité

Ce parking en devenir avait été source de tensions et de débats lors de la campagne municipale, entre la majorité LR sortante à l'initiative du projet et le binôme Repentin-Le Meur soutenu par un arc politique allant des écologistes à l'UDI, contre le projet en l'état.En juin, quelques jours avant le second tour de l'élection municipale, des opposants au projet, rassemblant des militants d'Extinction Rebellion, de Youth for Climate et un collectif citoyen, avaient occupé la grue du chantier pendant trois jours et deux nuits, avant d'en redescendre.Les travaux devraient reprendre en janvier, a annoncé jeudi M. Repentin, après avoir été interrompus en juillet à la demande de sa majorité tout juste élue.Une concertation avait ensuite été proposée aux habitants qui pouvaient se prononcer sur différents projets alternatifs. "Nous ne pouvions pas faire autrement tellement le projet avait cristallisé les tensions dans la population", a expliqué vendredi à l'AFP Mme Le Meur.Les sept niveaux seront conservés comme initialement prévu. Mais des améliorations seront apportées, précise la municipalité, avec notamment une meilleure prise en compte des véhicules en autopartage et des vélos.Selon Mme Le Meur, "tous les impacts financiers de ce choix sont réintégrés dans le coût de la délégation de service public" avec le délégataire spécialiste du stationnement Q-Park, qui doit courir jusqu'en 2047."Cela ne coûtera donc pas un centime de plus aux Chambériens", a affirmé l'élue, d'abord à la tête d'une liste citoyenne avant son alliance avec M. Repentin pour le second tour de l'élection."C'est faux", a rétorqué l'opposition. Pour Aloïs Chassot, chef de file LR à la mairie, "tout ça pour ça" : contester le projet, organiser une concertation après l'élection "pour revenir au final au projet initial"."Mais nous sommes satisfaits que ce projet se fasse comme prévu". En pointant du doigt les conditions de la délégation imposées à la Ville du fait d'un contrat conclu par la majorité précédente avec Q-Park, "la majorité en place tente de trouver une excuse à un renoncement de campagne", a estimé l'élu membre de la majorité sortante.
Il y a 4 ans et 154 jours

Le gisant de la reine Berengère de retour dans l’Abbaye royale de l’Epau (72)

Après des années de recherche et des mois de travaux de restauration, le gisant de la reine Berengère a retrouvé sa place d’origine au sein de l’église abbatiale de l’Abbaye royale de l’Epau. Les travaux ont été́ pilotés par le Département, en délégation de maîtrise d’ouvrage de la DRAC des Pays de la Loire sous maitrise d’œuvre du Cabinet ARCHITRAV et de son responsable François Jeanneau (architecte en chef des Monuments Historiques). L’opération de restauration a démarré́ fin septembre et s’est achevée le 30 novembre. Ce chantier de restauration a été labellisé « Chantier de France » et a mobilisé les savoirs faire et l’expertise de véritables métiers d’arts ancestraux, tout en y intégrant les techniques d’investigation innovantes d’aujourd’hui. En 2018, le gisant a fait l’objet d’une étude historique et architecturale générale intégrant des relevés de polychromie et un diagnostic sanitaire complet. Grâce à cette étude, le gisant de la reine a pu être déplacé au chœur de l’église abbatiale. L’objectif de ce déplacement était d’améliorer les conditions de conservation et de présentation du gisant. Sculpté dans la seconde moitié du XIIIème siècle, le gisant de la reine est en pierre calcaire, type cliquart. La représentation de Bérengère, sans doute idéalisée, porte la couronne, signe distinctif d’une reine. Au Moyen Âge, le gisant était entièrement peint : bleu azurite pour la robe, rouge clair pour le manteau, bleu-vert pour le voile, ocre-jaune pour le lion. Le coût de ce déplacement s’élève à 218 000 €, soit 36% pris en charge par la DRAC des Pays de la Loire. Source et photo : Drac Pays de la Loire  
Il y a 4 ans et 156 jours

Construction d'un nouveau mess pour l'Armée de l'Air à Orange (84)

C'est le 23 novembre 2020 que les équipes du groupement mené par Spie batignolles sud-est se sont vu notifier l'ordre de service Travaux après plus d'un an de développement de projet du stade APS au dossier PRO.Équipement fédérateurLe mess de la base aérienne 115 Orange-Caritat a vocation à rassembler sur un même site l'ensemble du personnel autour d'un rendez-vous quotidien convivial. Il contribue à l'amélioration de l'aménagement global de la base.Le bâtiment, construit sur un seul niveau, pour une surface plancher de 3400 m² se compose de plusieurs espaces :une ligne de self-serviceune grande salle de restauration commune pour personnels militaires et civils, pour une capacité de 560 usagersd'une seconde salle de restauration destinée au commandant et à ses VIP (« Club de Direction »)une vaste cuisineun espace café/loisirsdes bureaux administratifsdes sanitairesdes vestiairesCes salles sont réparties en deux espaces qui se distinguent par des différences d'entrées, de hauteur sous plafond et de matériaux employés pour leur construction. Par exemple, la zone de restauration collective est surélevée et affiche une hauteur sous plafond de plus de 3m. Le parc de stationnement offrira 50 places, dont une zone réservée aux VIP, et une zone de livraison avec un accès facilité et direct à la cuisine pour le personnel du mess.Enjeux environnementaux, organisationnels et techniquesUn site autonome en eauLe cahier des charges de l'ESID de Lyon – Pôle Conduite d'Opérations de Montpellier - a mis en perspective un enjeu environnemental prégnant sur lequel Atelier 5 Architectes et Spie batignolles sud-est ont beaucoup œuvré en phase de conception. D'une part, la base aérienne 115 Orange-Caritat a été aménagée dans un cadre paysager particulièrement soigné, que les nouveaux aménagements ne devaient surtout pas entacher. Dans son dessin architectural, Atelier 5 Architectes a proposé de sublimer la nature environnante en choisissant des matériaux uniformes, en cohérence avec les extérieurs et en intégrant de nouveaux aménagements paysagers autour du nouveau mess.D'autre part, le site est complètement autonome en eau potable grâce à l'aménagement d'un captage vers la nappe phréatique sous le terrain. Cette eau alimente également les villes alentours. Ce captage étant situé à proximité de la future piste d'athlétisme, les membres du groupement ont dû anticiper un certain nombre de process pour contourner cet équipement, qu'il s'agisse de la circulation des camions, de la réalisation des terrassements et du stationnement des engins.Equipements éco-énergétiquesDans l'offre remise par Spie batignolles et ses partenaires, des estimations de consommations énergétiques futures du bâtiment, au regard des équipements retenus, ont été détaillées. Il s'agit d'une simulation thermique qui permet d'anticiper les consommations liées au fonctionnement des différentes activités du mess (cuisine, …) et par le confort intérieur (température, ventilation, …).Pour s'assurer des futures performances énergétiques du bâtiment, un dispositif de récupération de chaleur sur les équipements produisant du froid sera installé. Il permettra d'alimenter les batteries d'eau chaude des rooftops fonctionnant au CO2, un fluide dit naturel sans impact sur le réchauffement planétaire, pour le chauffage et l'apport d'air neuf. En parallèle, des CTA double flux à récupération d'énergie assureront l'introduction d'air neuf et l'extraction de l'air vicié dans les bureaux, les cuisines, les espaces de stockage et la salle de restauration des autorités. Pour garantir des consommations optimisées, des sondes de présence permettront de couper le fonctionnement des CTA lorsque les salles seront inoccupées.Une pompe à chaleur permettra d'assurer le confort d'été, en limitant les consommations d'énergie grâce à son fonctionnement axé sur une énergie renouvelable.Les installations seront dissimulées derrière un acrotère, toujours dans la perspective de proposer une architecture discrète au cœur de ce site où la nature est très présente.Logistique méticuleuseCompte-tenu de la pluralité de réseaux et d'équipements de cuisine à prévoir, Spie batignolles sud-est a choisi de collaborer dès la phase de conception avec le cuisiniste AC2R pour réfléchir à une gestion pertinente de l'ensemble des flux et process des parties cuisine / self et restaurant.La base aérienne 115 de l'Armée de l'air poursuivra son activité pendant toute la durée des travaux. De ce fait, les équipes de Spie batignolles sud-est ont réfléchi à une organisation minutieuse pour réduire au maximum les nuisances liées à l'activité du chantier, portant notamment sur une gestion précise du flux de camions, sur la réduction du niveau acoustique de certaines tâches pendant les heures de bureau, du fait de la proximité de la zone de travaux avec les locaux des militaires et du Commandant de la base.Calendrier des travauxAu cours de ces deux prochains mois, les équipes du groupement interviendront sur le dévoiement des réseaux et sur la réalisation des terrassements généraux du mess construit sur vide sanitaire accessible. La mauvaise portance du terrain nécessite un renforcement du sol par colonnes ballastées qui sera opéré par un sous-traitant de Spie batignolles sud-est.La phase de gros œuvre débutera fin janvier/ début février 2021. L'ensemble des travaux du mess s'étalera sur 16 mois pour une livraison prévue au 1er trimestre 2022. Le calendrier a été optimisé grâce au Lean Management, système d'organisation déjà appliqué par les équipes Travaux de Spie batignolles sur des projets antérieurs y compris lors de la phase de développement de projet.Les militaires de la base aérienne pourront s'élancer sur la nouvelle piste d'athlétisme dès le 3e trimestre 2021.Le marché de performance a été conclu pour une période de 3 ans. C'est la société Axima qui sera en charge de la maintenance technique du mess à partir de la réception des travaux.Spie batignolles sud-est a également été mandaté par l'Armée de l'Air pour les opérations de déplombage, de désamiantage et de démolition du mess d'origine, jusqu'à ses fondations, devenu vétuste et très consommateurs d'énergie. Ces travaux interviendront entre octobre 2021 et mars 2022.
Il y a 4 ans et 159 jours

Milieux aquatiques et inondations : la compétence qui monte

L’acronyme Gemapi dissimule une mutation territoriale : le génie écologique affleure sous le génie civil, et les débats politiques sous les enjeux techniques, quand les intercommunalités s’emparent de la gestion des milieux aquatiques et de la prévention des inondations (Gemapi), comme la loi les y oblige depuis le 1er janvier 2018. Les 1er et 3 décembre, neuf territoires accompagnés depuis 2016 par l’Etat ont montré la diversité des voies compatibles avec les exigences de cette compétence. Orchestrateur de l’appel à partenaires clôturé à cette occasion, le Centre d’expertise sur les risques, l’environnement, la mobilité et l’aménagement (Cerema) prépare une seconde consultation pour le début 2021.
Il y a 4 ans et 160 jours

L'économie française loin de son niveau d'avant crise en décembre selon l'Insee

Affinant ses prévisions dévoilées il y a deux semaines, l'Institut national de la statistique table aussi sur une contraction de 4,5% du produit intérieur brut (PIB) au quatrième trimestre, et "d'environ 9%" sur l'ensemble de 2020.Ces prévisions se basent sur le respect des étapes de déconfinement annoncées par le gouvernement, avec notamment la fin des restrictions de déplacement remplacées par un couvre-feu, et la réouverture des cinémas, théâtres et musées à partir du 15 décembre.Cette levée progressive des restrictions "entraînerait une reprise graduelle de l'activité avec toutefois des disparités selon les secteurs", souligne l'Insee, qui note que ce deuxième confinement a plus pénalisé la consommation que la production, les entreprises ayant réussi à s'adapter aux restrictions sanitaires.La réouverture des commerces dits non essentiels et le rebond attendu de la demande avec les fêtes de fin d'année devraient stimuler le commerce de détail et l'activité de certaines industries (biens d'équipement, habillement, ameublement).La consommation, qui serait retombée à 14% sous son niveau d'avant-crise en novembre, après un écart de -3% en octobre, est attendue en décembre 6% en dessous de son niveau d'avant crise, selon l'Insee.Cette remontée serait due aux achats de biens manufacturés comme l'habillement et l'équipement du foyer, relativement empêchés durant le confinement, ainsi qu'aux dépenses de carburants et de services de transports, limitées toutefois par la poursuite du télétravail."Alors que la consommation avait fortement rebondi dès la fin du confinement de printemps, avec un retour assez rapide vers un niveau proche de celui d'avant-crise, le rebond serait plus progressif en décembre", souligne l'Insee.Les autres activités de services et les transports verraient leur situation légèrement s'améliorer, avec un déficit d'activité passant de -31% à -23%, tandis que l'hébergement-restauration ne connaîtrait aucun mieux, les bars et restaurants restant fermés en décembre.L'industrie, moins affectée par ce second confinement, devrait voir son activité ramenée en décembre 5% en dessous de son niveau d'avant crise, contre 8% en novembre.
Il y a 4 ans et 161 jours

Les ingénieristes guettent toujours les signes d'une relance

CONJONCTURE. Comme pour de nombreux métiers de la construction, le second confinement de l'année 2020 est très différent du premier pour les ingénieristes. Si le travail continue, le secteur est cependant toujours confronté à de multiples incertitudes et difficultés.
Il y a 4 ans et 161 jours

Calista, propriétée de CDC Habitat, revisite la résidence pour personnes âgées valides

Douze météoritesOuverts sur la lumière et dotés de jardins suspendus ou d'espaces privés extérieurs, les logements de la résidence Calista de Jacou jouent la carte de l'originalité.« J'ai souhaité créer comme des cabanes perchées sur des toiture-terrasse, et casser le monolithisme d'un immeuble classique, en fractionnant les volumes. On se situe entre la villa individuelle et le logement collectif », ajoute l'architecte.Chacune des douze « boîtes », « comme des météorites tombées de façon aléatoire », se caractérise par une variété spécifique de matériaux – parements en pierre, zinc ou bois.« Les résidents se sentent repérés. Ils peuvent dire, de l'extérieur, ‘j'habite là'. Les échos sont très positifs », explique joliment Jean-Luc Martineau. Tout en restant dans des coûts raisonnables de construction, car certains résidents bénéficient de loyers modérés.« Avec Amétis, nous avons beaucoup échangé pour trouver des systèmes techniques efficaces de construction. »Résidence Calista : un écrin accueillantUn salon commun offre la possibilité aux habitants d'échanger, autour d'une partie de cartes, ou de visionner ensemble la télévision. L'habitat se structure autour d'une ruelle intérieure piétonne et végétalisée.Les passerelles et coursives offrent des effets de contreplongées d'une qualité presque cinématographique. On est loin des batteries de logements exigus, destinés à des personnes âgées seules. Calista propose par exemple des T3, pour l'accueil de familles ou d'amis, ou, tout simplement, pour la vie de couple.Le secteur est par ailleurs bien équipé, avec un collège, des équipements sportifs, des espaces verts, des voies dédiées à la mobilité douce, des services publics et la proximité de la ligne 2 du tramway de la métropole montpelliéraine.Des châssis de très grands formatsProfils Systèmes a réalisé les menuiseries aluminium en partie haute. Ces grands châssis (8 mètres sur 3) ont été installés par la société Alutech, également située à Jacou. « Il ne s'agit pas de formats standard. Amétis nous a contacté, car ils ne trouvaient pas d'entreprises pour ce type de prestation. Les échanges ont débuté un an et demi avant le début du chantier, pour déterminer, entre autres, un type de verre rejetant les UV du soleil, et pour harmoniser le châssis par rapport aux traverses et aux meneaux. »De plus, des stores intérieurs motorisés à bandes verticales, parachèvent la bonne protection solaire des logements, tout en laissant pénétrer généreusement la lumière.« Les douze ensembles de la résidence Calista de Jacou ont été équipés de ces grands châssis, mais pas de façon identique. La prise de cote a été à chaque fois différente, avec des prises d'angles inédites, vu les formes trapézoïdales de la construction », souligne Josian Laux, responsable commercial d'Alutech.Les châssis ont chacun été posés d'un seul tenant, à chaque fois au second étage, après un transport très court (environ 1 kilomètre) entre le lieu de fabrication et le chantier. Le chantier ayant pris du retard, seulement trois sur douze ont pu être hissés à l'aide d'une grue. Neuf autres l'ont été avec des cordes, à la force des bras, « et avec le risque de frottement sur la façade », rembobine Josian Laux.Compliqué, mais gagné. Au final, Bruno Bidault, gérant d'Alutech, encense l'esthétique de Calista, « que l'on reconnaîtrait entre mille, avec ses habillages différents de façade».
Il y a 4 ans et 161 jours

La restauration du chemin de ronde des remparts de Carcassonne va être bouclée

Grâce à la dotation exceptionnelle prévue par le ministère de la Culture dans le cadre du plan de relance, le CMN peut envisager plus tôt la restauration du rempart médiéval de Carcassonne, de la porte Saint-Nazaire à la porte Narbonnaise. Ce sera l’achèvement d’un projet de grande ampleur mené depuis plusieurs années pour la restauration du monument, la modernisation des espaces d’accueil des publics et l’extension du parcours de visite. A la suite de la restauration de 2014 à 2015 du rempart médiéval ouest, le circuit de visite avait pu être enrichi à l’été 2015 d’un second circuit de remparts à l’ouest, du château comtal à la porte Saint-Nazaire, complétant le circuit des remparts gallo-romains, situés au nord, du château comtal à la porte Narbonnaise et restaurés en 2008. Le plan de relance vient contribuer par l’intermédiaire du ministère de la Culture à la restauration de la dernière partie du chemin de ronde des remparts, située à l’est et constituée de six tours et 300 mètres de courtines. Elle sera restaurée et sécurisée afin de répondre à un double enjeu de conservation et d’ouverture au public. Ce chantier sous la maîtrise d’œuvre d’Olivier Weets, architecte en chef des monuments historiques, comprendra la reprise des sols, la sécurisation du parcours et des escaliers par la mise en place de mains courantes, ainsi que l’aménagement des six tours. A l’issue de ces travaux les visiteurs auront la possibilité de parcourir la totalité du rempart intérieur (rempart gallo-romain, rempart médiéval ouest et rempart médiéval est) soit plus de 1500 mètres. L’important travail préparatoire a commencé, le diagnostic ayant déjà été réalisé. Le début des travaux est ainsi prévu dès octobre 2021 pour une livraison fin 2023. Visuel : CMN  
Il y a 4 ans et 162 jours

Aujourd’hui l’architecture, Lewis Carroll fondu enchaîné dans Orwell

La fallacieuse évolution de la sémantique orwellienne vers la bureaucratie chez Alice au Pays des merveilles signe la fin du métier d’architecte, remplacé par des hordes d’ordinateurs gavés de données normalisées. Ai-je donc tant vieilli sous des travaux guerriers…, pour que l’on puisse douter une seconde de la candeur de mon regard et de la […] L’article Aujourd’hui l’architecture, Lewis Carroll fondu enchaîné dans Orwell est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 4 ans et 162 jours

Nouveaux modules solaires pour grandes installations

Après l’annonce de l’augmentation du guichet unique de 100 à 500kW, le spécialiste de l’électronique et du solaire LG Electronics enrichit son offre avec les nouveaux modules Mono X Plus. Ils sont spécialement conçus pour des projets dépassant les 100 KWc. Ils sont destinés aussi bien aux installations agricoles, commerciales ou tertiaires. Les panneaux solaires Mono X Plus sont disponibles en deux versions : la première, comptant 120 demi-cellules, atteint une puissance de 370 watts, la seconde de 144 demi-cellules produit 450 watts. L’installation de demi-cellules sur le module permet une absorption optimale de la lumière afin de générer un rendement maximal. Le verre HTAR (Haute transmission de lumière avec taitement anti-reflet) utilisé limite la réflexion et assure une puissance de sortie supérieure de cinq watts à celle des panneaux solaires classiques. LG offre à ses clients une garantie de performance linéaire d’au moins 87,9 % après 25 ans.