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Il y a 4 ans et 8 jours

JPM nomme un nouveau Directeur d’activité et modifie son organisation stratégique

Cette nomination entérine la réorganisation opérée par JPM en 2021, qui fait le choix de se consacrer désormais exclusivement à la distribution professionnelle. Jérôme Dupont incarne ce tournant stratégique à travers sa volonté de dynamiser et promouvoir le savoir-faire de JPM. Il entend enrichir l’offre actuelle de la marque, tout en renforçant les relations de proximité avec ses partenaires.Riche de plus de 20 ans d’expérience dans les secteurs de la quincaillerie et du bâtiment, Jérôme Dupont fait ses armes au sein d’une entreprise à taille humaine dans laquelle il cultive son goût de la proximité avec les clients et collaborateurs. Au contact des fabricants industriels, il développe l’envie de devenir fournisseur et intègre le groupe ASSA ABLOY en 2009. En 2017, il devient Directeur commercial France Ouest de la Business Unit ASSA ABLOY Solutions de Sécurité, avant d’être nommé le 1er mars 2021 Directeur d’activité de JPM.Un nouveau directeur d’activités pour incarner le tournant stratégique de JPML’arrivée d’un nouveau Directeur d’activité scelle la réorganisation opérée par JPM, qui adopte une nouvelle approche commerciale en se focalisant uniquement sur la distribution professionnelle.“Ma volonté est de relever les challenges liés au développement de JPM en consolidant et en renforçant les partenariats commerciaux, afin de faire rayonner le savoir-faire de cette marque historique”, poursuit Jérôme Dupont. Cette réorganisation traduit la volonté de la marque d’être plus proche de ses distributeurs pour mieux les accompagner.“L’offre de JPM s’adresse à une typologie de clients hétéroclites dont les besoins diffèrent fortement. Notre nouvelle stratégie consiste à s’adresser à chacun d’entre eux et être attractif en se positionnant au plus près de leurs besoins”, déclare Jérôme Dupont, Directeur d’activité de JPM. Pour ce faire, des formations et informations produits seront mises à la disposition des collaborateurs et des partenaires, pour garantir un accompagnement en suivi de clientèle et une présence plus régulière et soutenue dans les points de vente.Pour faciliter l’instauration de cette proximité, des outils automatisés seamless et facilitants ont été développés, tels que le catalogue interactif pour assurer une mise à disposition de toutes les informations produits nécessaires aux clients, ou encore les outils Cylweb et Cléweb, qui permettent aux clients de suivre en autonomie les commandes de cylindres et clés JPM.Parallèlement, la nouvelle stratégie de JPM consiste à miser sur une forte innovation produits. L’offre existante va être abondée et des nouveautés viendront enrichir la palette de solutions proposées par JPM, pour satisfaire aux attentes de la distribution et du marché.Par ailleurs, la prescription des produits JPM va connaître un fort développement grâce au soutien des équipes ASSA ABLOY Solutions de Sécurité et ASSA ABLOY Contrôle d'Accès. Ils porteront l’offre JPM dans leurs préconisations et prescriptions, et l’intégreront ainsi au quotidien dans leurs suivis deprojets.JPM, un acteur historique de la sécurité en 3 dates cléSpécialisé dans la sécurisation des bâtiments ERP et ERT (serrures, fermetures anti-panique, cylindres, ferme-portes, contrôle d’accès et contrôle des issues de secours), JPM est aujourd’hui un acteur reconnu depuis bientôt 400 ans.En 1645, JPM est créé par l’horloger Jean-Pierre Maquennehen, qui construit la première manufacture de serrures en Picardie.Dans les années 1970, pour répondre aux besoins croissants de sécurisation des personnes dans les lieux publics, et suite au tragique accident du dancing « Le 5/7 », JPM crée la première fermeture anti-panique en France et devient leader sur le marché.En 1997, JPM rejoint le Groupe ASSA ABLOY.
Il y a 4 ans et 10 jours

Saint-Gobain inaugure la première maison individuelle au monde entièrement réalisée en béton imprimé 3D

Saint-Gobain, à travers sa filiale néerlandaise Saint-Gobain Weber Beamix, a développé des mortiers spéciaux de haute technicité utilisables en impression 3D, et a élaboré la technique d'impression en collaboration avec Witteveen + Bos, entreprise de conseil et d'ingénierie. Les autres partenaires du projet sont l'entreprise de construction Van Wijnen, l'investisseur institutionnel Vesteda, l'université de technologie d'Eindhoven et la municipalité d'Eindhoven.« L'impression 3D permet des constructions plus efficaces et plus durables. Ces maisons imprimées utilisent moins de matière, et peuvent être construites beaucoup plus rapidement, avec plus de flexibilité et des designs personnalisés et renouvelés. L'accélération de cette technologie ouvre ainsi de nouvelles possibilités pour la construction. »Bas Huysmans, Directeur Général de Weber BeneluxLa méthode de constructionLa forme de rocher de la maison illustre parfaitement la liberté de forme qu'offre l'impression 3D dans la construction. D'une surface de 94 mètres carrés elle se compose de 24 éléments en béton, imprimés couche par couche en usine qui ont été transportés par camion sur site pour y être assemblés. Grâce à une isolation très performante, la maison est particulièrement économe en énergie et apporte plus de confort à ses occupants.Les prochaines maisonsCette maison fait partie d'un programme de cinq maisons qui seront construites l'une après l'autre, de sorte que chaque nouvelle réalisation puisse être optimisée grâce aux enseignements tirés des précédentes.Pour plus d'informations sur le « projet Milestone » : https://www.3dprintedhouse.nl/en/
Il y a 4 ans et 11 jours

Le gouvernement n'écarte plus un deuxième plan de relance

Le président de la République a relancé le débat vendredi en évoquant une "grande concertation" dans les prochains mois pour "inventer un deuxième temps de la relance".Il n'a pas précisé si l'État allait débloquer des moyens supplémentaires, mais évoqué "une simplification drastique, un réinvestissement dans les secteurs dont nous avons le plus besoin et une accélération".Emmanuel Macron entend ainsi consulter les élus locaux et les acteurs économiques durant l'été."On fera le bilan à l'été de tous les dispositifs" et de la situation économique, a confirmé lundi le ministre de l'Économie Bruno Le Maire sur RTL, avant de donner rendez-vous en septembre pour voir "à ce moment-là s'il est utile pour le pays (...) de rajouter ou non de l'argent dans le plan de relance".La plupart des économistes ont jugé le plan de relance de 100 milliards d'euros adapté à la sortie de crise depuis son adoption fin 2020. Mais de nombreuses voix se sont aussi élevées dans le monde économique pour critiquer un projet insuffisant ou mal calibré.L'Observatoire français des conjonctures économiques (OFCE) estimait fin janvier que la France pourrait doubler le plan de relance actuel en profitant des conditions d'endettement favorables actuelles.François Bayrou, Haut commissaire au Plan a aussi plaidé pour une "reconquête de l'appareil productif" français grâce à la mobilisation de 200 à 250 milliards d'euros.Il y a quelques jours, le président du Medef, Geoffroy Roux de Bézieux estimait que le plan de relance devrait être complété de manière "significative" pour les secteurs mis en difficulté par la crise.Après l'annonce du calendrier du déconfinement, le patron de la Fédération du commerce, Jacques Creyssel, demandait lui sur BFM Business un deuxième plan de relance qui concerne "en priorité les secteurs qui ont été les variables d'ajustement, notamment le commerce".Pas qu'un sujet d'argentA Bercy, où on a mis des mois à mettre sur pied le plan de relance, cela fait des semaines qu'on temporise sur ces demandes.Si Bruno Le Maire n'a jamais totalement fermé la porte, il a toujours mis en avant l'enjeu de le déployer rapidement, vantant encore lundi que près d'un tiers, soit "30 milliards", aient déjà été engagés."Pour le moment, la priorité absolue c'est le décaissement de ces 100 milliards d'euros", a-t-il encore dit lundi matin.Le gouvernement a aussi déjà réalloué des fonds, mais sans augmentation de l'enveloppe globale, sur des dispositifs pour lesquels la demande des entreprises a largement dépassé les attentes (industrialisation, numérisation des PME)."L'enjeu n'est pas qu'un sujet d'argent, mais d'avoir des projets en face", défend-on à Bercy, où on voudrait surtout éviter toute dépense durable, qui grèverait encore un peu plus les comptes de l'État, alors que la dette publique et le déficit se sont envolés depuis le début de la crise.L'État pourrait ainsi débloquer de nouveaux moyens pour des dépenses d'investissement, au moment aussi où la France pousse pour que l'Union européenne muscle sa réponse à la crise, afin de ne pas être déclassée par les États-Unis et la Chine."L'Europe devra ajouter un nouveau volet d'investissement de long terme au-delà du plan de relance déjà lancé pour être à la hauteur", affirmait récemment aux Echos Clément Beaune, le secrétaire d'État chargé des Affaires européennes.Les gouvernements européens "prévoient un retour de l'économie à son niveau pré-crise beaucoup plus tardif que tout le monde, en 2022, alors que la Chine est déjà au-dessus (...) et que les États-Unis le seront dès le trimestre prochain", souligne l'économiste Shahin Vallee.
Il y a 4 ans et 11 jours

Accord 42 fx, offrez-vous le luxe de deux machines en une !

Publi-information Accord 42 fx, offrez-vous le luxe de deux machines en une ! La gamme de centres d’usinage pour le massif signée SCM comprend différents modèles dont la accord 42 fx. D’un grand intérêt aussi bien pour les menuisiers que pour les producteurs de portes et d’escaliers, c’est le dernier-né de la gamme accord. Ce modèle peut être équipé d’un plan de travail automatique et, grâce à sa flexibilité, il est recommandé pour les entreprises à la recherche d’une haute productivité sur des lots variables. La principale caractéristique de ce centre d’usinage est le groupe opérateur TWIN, composé de deux unités de fraisage indépendantes à 3 et 5 axes. L’utilisation alternée des deux unités de fraisage réduit de façon notoire les temps de non usinage: tandis qu’une unité est en usinage, l’autre exécute le changement d’outils en temps masqué. En outre, la possibilité d’usiner avec deux groupes de même type (tous deux à 3 ou 5 axes) en même temps permet d’atteindre de hautes productivités sans renoncer à la flexibilité que seul un centre d’usinage peut garantir. Cliquez-ici pour de plus amples informations ! 
Il y a 4 ans et 14 jours

Le chiffre d'affaires de SergeFerrari bondit au premier trimestre sous l'effet des acquisitions

Le groupe basé à Saint-Jean-de-Soudain (Isère) a facturé sur ces trois mois pour 64,0 millions d'euros de prestations, soit 50,7% de plus qu'un an auparavant, selon un communiqué.A données constantes, l'activité progresse encore d'un robuste 15,7%.Pour le reste de l'exercice, SergeFerrari continue de privilégier l'intégration de ses nouvelles filiales allemande et taïwanaise, avec notamment le transfert d'activités de l'usine suisse d'Eglisau vers le site de Krefeld, en Allemagne, qui devrait être effectif d'ici la fin de l'année.
Il y a 4 ans et 15 jours

Diffuver transforme les façades

Aujourd’hui dans le cercle très fermé des dix plus importants acteurs français de transformation du verre, l’entreprise lyonnaise part à l’assaut de tous les défis.Créée il y a 35 ans par Philippe Melon, Diffuver s’est spécialisée depuis une quinzaine d’années dans le vitrage isolant technique dédié à la façade prenant au fur et à mesure des parts de marché, pour devenir aujourd’hui leader dans sa région Rhône-Alpes. Avec deux sites, à Marclopt (42), Lyon (69) et deux filiales en Ardèche et dans la Drôme, Diffuver s’affiche comme poids lourd de la façade en même temps que s’étirent à l’extrême les dimensions du verre... et les références emblématiques de son savoir-faire. Auprès des professionnels – architectes, maîtres d’œuvre, entreprises générales du bâtiment, aluminiers, métalliers... – l’entrepreneur poursuit au quotidien son objectif : investir au service de sa spécialisation et de la performance. Autour d’un axe «simple» : « savoir construire et livrer en conséquence », résume Philippe Melon, président de Diffuver. Pour le transformateur, qui s’est illustré auprès d’impressionnants édifices, avec pas moins d’un kilomètre de murs-rideaux pour Framatome Lyon ou plus de 7 000 m² de vitrage pour le chantier de Steel, Active Shopping Resort à Saint-Etienne parmi les plus récents en 2020, « les prévisions de chantiers pour cette année invitent à l’optimisme. 1 500 m² de nos vitrages isolants seront notamment mis en place sur les façades du plus grand centre commercial d’Europe continentale pour lesquelles notre atelier de Vaulx-en-Velin aura collé des centaines de motifs en autant de carrés se détachant sur les verres ! ». Une stupéfiante réalisation à découvrir avant l’été 2021, qui vient s’adjoindre aux signatures architecturales uniques avec lesquelles Diffuver s’est construit une solide réputation ; à l’instar des 2.000 m² de verres isolants fabriqués sur son site en Loire pour Le Cube Vert, siège d’Euronews à Lyon, conçue par les architectes Jakob + MacFarlane, adeptes des géométries mouvementées et des ouvrages à contre-courant.Savoir-verre Avec une quarantaine de salariés sur l’ensemble de ses sites et une production annuelle de 100.000 m² de double vitrage, Diffuver transforme constamment son outil pour gagner en productivité, service et qualité…sa marque de fabrique. Preuve par l’exemple, depuis trois ans, sous l’impulsion de Rémi Maximin, nouvel associé et par ailleurs président de Glassalia et vice-président de CEKAL, la société a entamé un programme d’investissement de 3 M€ pour satisfaire le marché en fort développement des verres grande dimension.Dans son usine de Marclopt, Diffuver a ainsi repoussé les murs de 600 m² supplémentaires pour accueillir une table de coupe pour verre feuilleté avec pont de 6 m, deux centres d’usinage et une ligne de vitrage isolant Jumbo dernière génération, issus du fabricant autrichien Lisec.« Ce monstre de 56 m concentre une technologie qui a nécessité 1 mois d’assemblage et de déploiement dans notre atelier », renseigne Rémi Maximin, également directeur du site. Opérationnelle depuis fin février 2021, cette ligne unique en France embarque un scanner de détection des défauts, un retourneur, une presse tandem et un robot d’enduction dernière génération. Elle est capable de supporter jusqu’à 2 tonnes de verre et 350 kg par mètre linéaire et des verres isolants de 6000 x 3210 mm. « Cette installation hyper performante, sans équivalence en France, va nous permettre de répondre aux demandes les plus exigeantes en matière de vitrages isolants XXL et de rentrer dans le top 5 des fabricants capables d’industrialiser ce type de vitrage », se réjouit Philippe Melon. « Nous avons également investi dans deux camions porteurs avec remorque et grue de 42 tonnes pour accompagner au mieux nos clients dans la livraison de ces verres ».Le VEC, du haut des façadesLa haute technicité de Diffuver distingue également son atelier de collage dédié à tous chantiers VEC (Vitrage Extérieur Collé). Une expertise « de plus en plus sollicitée par nos confrères et piste d’avenir », pointe le dirigeant ; « la façade VEC, qui utilise des vitrages collés sur des cadres aluminium ouvrants ou fixes, peut intégrer de nombreux vitrages, tels que verres feuilletés de sécurité ou verres trempés, montés sur des double ou triple vitrage isolant. Outre son esthétisme épuré et homogène particulièrement apprécié par les architectes et prescripteurs, le mur-rideau VEC, de par sa fixation, absorbe parallèlement les vibrations et les contraintes extérieures (neige, vent, forte température, mouvements sismiques...).L’intérêt de ces façades, dont le type de montage relève d’une grande maîtrise technique, rejoint parfaitement les enjeux de la transition énergétiques et des bâtiments durables (HQE, BBC, etc.). Proactif déterminé à faire évoluer la fabrication du vitrage et ses applications, le transformateur se félicite de sa situation géographique, au centre de l’Hexagone, composant avec une proximité et des appels d’offres locaux jusqu’aux contreforts suisses et de l’Ile-de-France, remportant de plus en plus de marchés parisiens, tout en ménageant l’impact du transport sur l’environnement.« Nous participons ainsi au développement du modèle économique actuel, plus vertueux et soucieux de nos répercussions écologiques, à titre industriel et entité morale ».
Il y a 4 ans et 15 jours

Bourneuf s’agrandit et obtient une nouvelle certification

L’activité bois dans les menuiseries, très porteuse, opère une évolution notable sur le marché des chantiers de rénovation où la demande client est de plus en plus forte, mais aussi dans le neuf. Pour répondre à cette évolution, le Groupe Lorillard a choisi d’augmenter la capacité de production bois de plus de 25 % d’ici 2022. 2,5 millions € viennent d’être investis chez Bourneuf, à Parigné L’Évêque, pour l’intégration entre autres d’un nouveau centre d’usinage au sein du nouvel agrandissement de près de 1000 m² de l’usine. La nouvelle ligne de production accueille 4 machines neuves dont une tronçonneuse, une déligneuse, une corroyeuse et un centre d’usinage nouvelle génération. L’intérêt majeur de cette nouvelle chaîne est son concept de commande modulaire qui va permettre à Bourneuf d’accroître sa productivité. L’entreprise a obtenu début 2021 la certification CR3 anti effraction pour ses fenêtres, en vertu des normes EN1627 à EN1630. Ces normes classifient les menuiseries selon un critère unique : le retard à l’effraction. Celui-ci est mesuré selon le temps de résistance et le type de matériel autorisé. La force physique avec l’aide d’outils tels qu’un pied de biche s’applique à une menuiserie CR3, capable de garantir un temps de résistance à l’effraction de 5 minutes.
Il y a 4 ans et 16 jours

Une toiture de 17 000 m2 éclairée avec ONDUCLAIR THERMO

L’ancienne couverture de 17 000 m2 en plaques en fibrociment amianté d’un bâtiment de Chassagny en Auvergne-Rhône-Alpes a été déposée pour être remplacée par des panneaux sandwich en acier. Des panneaux translucides en polycarbonate ONDUCLAIR THERMO d’ONDULINE s’inscrivent dans la nouvelle toiture pour laisser passer la lumière du jour tout en profitant d’une excellente isolation. Cette nouvelle toiture est destinée à recevoir des panneaux photovoltaïques sur ses pentes orientées au sud. Les plaques en fibrociment amianté, devenues trop vieilles, étaient susceptibles, à terme, de présenter un risque pour les occupants du bâtiment et ne permettaient pas de répondre à ce nouveau projet. L’entreprise ETERA a été choisie pour la rénovation de cette très grande couverture de 17 000 m2. Elle a assuré le désamiantage de l’ensemble, par la dépose des anciennes plaques, puis la pose de la nouvelle couverture qui devra recevoir les panneaux photovoltaïques. Des panneaux sandwich isolants avec un parement extérieur en acier ont été sélectionnés pour ce chantier et, pour que l’intérieur du bâtiment profite de la lumière du jour, les panneaux translucides en polycarbonate ONDUCLAIR THERMO ont été choisis pour ponctuer de sources lumineuses la nouvelle couverture. « La particularité des plaques ONDUCLAIR THERMO est qu’elles proposent la même épaisseur que les panneaux sandwich, elles sont parfaitement compatibles ce qui a facilité leur intégration dans la nouvelle couverture » affirme Laurent Ferret, le directeur d’ETERA. La solution ONDUCLAIR THERMO d’ONDULINE a en effet été spécifiquement développée pour être associée à des panneaux sandwich en couvertures neuves ou en rénovation et éclairer l’intérieur des bâtiments (usines, hangars agricoles, ERP…). La plaque ONDUCLAIR THERMO est composée de 2 parties : une plaque en polycarbonate ou en polyester et une plaque inférieure en polycarbonate alvéolaire. Sa transparence assure un confort maximal à l’intérieur des bâtiments grâce à une transmission lumineuse accrue.   ONDUCLAIR THERMO – Facile à poser « La charpente était très ancienne, avec des entre axes entre pannes très irréguliers » ajoute Laurent Ferret, « il faut souligner la souplesse et la réactivité d’ONDULINE qui nous a permis de bénéficier de nos plaques ONDUCLAIR aux différentes dimensions demandées ». Le montage des panneaux ONDUCLAIR THERMO est simple et rapide. Les panneaux se posent à l’avancement, en même temps que les panneaux métalliques. Les panneaux sont dotés de renforts longitudinaux sous chaque nervure principale pour augmenter leur rigidité. Facile à mettre en œuvre et profitant d’une grande résistance aux impacts, la solution ONDUCLAIR THERMO est flexible selon les besoins des chantiers. Déclinée en de nombreuses épaisseurs (30, 40, 50, 60, 80, 100, 120, 140, 150 mm), elle permet une adaptation parfaite aux différents panneaux sandwich métalliques du marché. Les lames d’air des panneaux agissent comme un isolant naturel. Pour plus de confort et afin de satisfaire les besoins les plus exigeants en termes d’isolation, ONDULINE propose une option T (Confort Thermique) qui offre des coefficients d’isolation performants (jusqu’à 0,836W/m2.K).   Les solutions ONDUCLAIR THERMO se déclinent en une large gamme pour répondre à tous les besoins : ONDUCLAIR THERMO PC : système de panneaux sandwich dont la peau supérieure est en polycarbonate d’une épaisseur d’1 mm et la peau inférieure en polycarbonate alvéolaire. ONDUCLAIR THERMO PLR : système de panneaux sandwich dont la peau supérieure est en polyester d’une épaisseur d’1,2 à 1,6 mm et la peau inférieure en polycarbonate alvéolaire. ONDUCLAIR THERMO PC T et PLR T : systèmes avec option « Confort Thermique » pour une isolation accrue. ONDUCLAIR THERMO PC R et PLR R : systèmes avec option « Renforcé » pour une résistance aux charges accrue et une plus grande facilité d’installation en neuf ou en rénovation. ONDUCLAIR PC TR ET PLR TR : systèmes profitant des 2 options « Renforcé » et « Confort Thermique » permettant d’allier performance thermique, mécanique et facilité de mise en œuvre. www.onduline.fr
Il y a 4 ans et 18 jours

Cap sur 2021, Bourneuf s’agrandit et se dote de nouvelles machines pour une année hors norme

Annoncé par Thierry Luce – Président du Groupe Lorillard- courant 2020, le plan d’investissement industriel du Groupe pour la partie bois s’élevait à 5,2 millions d’euros. L’activité bois, très porteuse, opère une évolution notable sur le marché des chantiers de rénovation où la demande client est de plus en plus forte, ainsi que dans le neuf, ce qui est encore plus récent et inhabituel. L’objectif était donc d’augmenter la capacité de production bois du Groupe de plus de 25 % d’ici 2022. Ainsi, 2,5 millions € viennent d’être investis chez Bourneuf, à Parigné L’Évêque, pour l’intégration entre autres d’un nouveau centre d’usinage au sein du nouvel agrandissement de près de 1000 m² de l’usine.   L’INVESTISSEMENT INDUSTRIEL COMME LEVIER DE COMPÉTITIVITÉ En service depuis janvier 2021, la nouvelle ligne de production accueille 4 machines neuves dont une tronçonneuse, une déligneuse, une corroyeuse et un centre d’usinage nouvelle génération. Mais l’intérêt majeur de cette nouvelle chaîne est son concept de commande modulaire qui va permettre à Bourneuf d’accroître sa productivité. La nouvelle extension du site des menuiseries Bourneuf à Parigné l’Evêque L’activité de Bourneuf, qui conçoit des menuiseries singulières, aux dimensions exceptionnelles, avec des profilés quasiment personnalisables, exige la nécessité de concevoir des pièces individuelles en toute flexibilité. Piloté en réseau, le nouveau centre d’usinage Conturex répond parfaitement à cette nécessité et prend en charge l’intégralité de l’usinage. Il reçoit les instructions et configurations du service Ordonnancement & Méthodes qui implémente et génère les fichiers de production selon les plans validés par le Bureau d’Etudes. Ce Conturex développé par la société Weinig, permet un usinage complet des composants d’une menuiserie en un seul passage. Mieux encore, la chaine est capable de fonctionner en autonomie totale dès lors que le magasin est « pluggé ». En effet, les équipements périphériques destinés à la fabrication de la menuiserie sont également inclus dans le processus d’automatisation. Cette automatisation va permettre de fournir plus de capacité de production à l’entreprise, qui comme le précise Pascal Joubert, Directeur Général : « doit répondre à un carnet de commande supérieur à 21 millions d’euros en 2021, alors que l’entreprise réalise d’ordinaire un chiffre d’affaires de 15 millions d’euros ». La production de mise en peinture doit conséquemment accroître son rendement. Une cabine de peinture et un pistolet double tête seront donc aménagés dans les prochaines semaines. Nouvelle installation Conturex, développée par la société Weinig, permettant un usinage complet des composants d’une menuiserie en un seul passage.   UNE SPÉCIFICITÉ PARTICULIÈRE Intégrée depuis 2016 au Groupe Lorillard, l’entreprise Les Menuiseries Bourneuf prospère sur son marché de niche : les menuiseries complexes. Comme l’explique Pascal Joubert « Notre spécificité c’est de réaliser des choses qui n’existent pas. C’est-à-dire que l’on conçoit des produits selon des besoins, souvent très compliqués, qui demandent beaucoup d’heures en bureau d’études avec une technicité et une conception peu communes ». Experte d’une menuiserie bois atypique et prestigieuse, l’entreprise en a fait ses lettres de noblesses. Sa capacité à répondre à des projets dont les besoins sont particuliers, tant dans la conception que dans l’esthétique, la place en partenaire de choix. Le bureau d’études a accueilli 2 nouveaux salariés et possède désormais 5 personnes pour répondre aux demandes de plus en plus nombreuses. Et en outre, en dehors des palaces et autres lieux haussmanniens prestigieux, Bourneuf répond nouvellement – et de plus en plus fréquemment – à des projets en construction neuve pour des écoles comme l’ENSAM à Angers, Mellinet à Nantes ou encore le lycée Corneille à Rouen. « Nos chantiers sont majoritairement en rénovation mais depuis quelques temps les demandes pour des bâtiments neufs sont de plus en plus fréquentes avec des projets intégrants des ensembles adossés à des épines en bois très hautes, des côtes dimensionnelles très importantes qui sortent des standards » précise Pascal Joubert.   UNE NOUVELLE CERTIFICATION Toujours en quête d’excellence, Bourneuf développe des menuiseries de très haute technicité. Dans cette continuité, l’entreprise a obtenu début 2021 la certification CR3 anti effraction pour ses fenêtres, en vertu des normes EN1627 à EN1630. Ces normes classifient les menuiseries selon un critère unique : le retard à l’effraction. Celui-ci est mesuré selon le temps de résistance et le type de matériel autorisé. La force physique avec l’aide d’outils tels qu’un pied de biche s’applique à une menuiserie CR3, capable de garantir un temps de résistance à l’effraction de 5 minutes. Cette nouvelle certification s’ajoute à l’homologation pare-balle FB6 NS ainsi qu’aux classifications coupe-feu 1h et pare-flamme ½ heure et vient renforcer la forte valeur ajoutée premium des huisseries Bourneuf. 2021 s’annonce être une année exceptionnelle pour Bourneuf. L’entreprise a ouvert une agence à Nantes et également à Bordeaux- en plus de Paris et Lyon – et va également embaucher 3 menuisiers dont un compagnon en formation depuis 1 mois, afin de faire face à cette croissance annoncée. Une ferveur pour le bois reviendrait-elle en force ? Pascal Joubert mise plutôt sur « l’activité actuelle du marché du bâtiment qui bénéficie du plan de relance, des aides de l’Etat pour le tertiaire, les écoles, etc. Il est indéniable que le bois est un matériau biosourcé qui a cette prévalence par rapport au PVC ; mais il ne faut pas oublier qu’une gestion PEFC est une exigence pour un mode de consommation maîtrisé du bois ». C’est dans le cadre de sa stratégie d’amélioration continue que le Groupe Lorillard poursuit ses investissements sur ses différents sites de production afin qu’ils bénéficient d’outils toujours plus performants et précis, et permettant davantage de personnalisation. Le prochain site à en bénéficier sera celui de la Menuiserie Meslin. Pascal Joubert qui pilote l’intégration de la Menuiserie Meslin au sein du Groupe, confirme qu’elle dispose également d’un fort carnet de commande et nécessite d’embaucher et d’investir dans un nouveau centre d’usinage (prévu sur Mai 2021). Une cabine de finition sera également installée en 2022. Avec l’acquisition de la Menuiserie Meslin, la représentativité de l’activité bois au sein du Groupe Lorillard se chiffre à 45 M€ (fourniture et pose et fourniture seule), soit un quart du chiffre d’affaires du Groupe. Partager la publication « Cap sur 2021, Bourneuf s’agrandit et se dote de nouvelles machines pour une année hors norme »
Il y a 4 ans et 18 jours

Somfy a bénéficié de l'effet "maison-refuge" pendant le confinement au 1er trimestre

De janvier à mars, les ventes de Somfy ont augmenté à 375,7 millions d'euros contre 291,3 millions d'euros l'an passé, soit une hausse de 29%, liée aussi à l'intégration dans le périmètre de la société Repar'stores, indique un communiqué diffusé mardi."Toutes les zones géographiques du monde ont clos le trimestre sur une hausse supérieure à 10%, à données comparables, et la plupart ont franchi, voire largement dépassé, le seuil des 20%" précise le communiqué."Somfy profite clairement de la tendance à investir dans la maison durant les périodes de confinement", a souligné un porte-parole.Pour suivre cette croissance très forte, sur fonds de tensions sur les approvisionnements en composants électroniques, le groupe, qui possède 7 usines en Chine, Tunisie, Pologne, Italie, et France (deux sites en Haute-Savoie) a aussi annoncé un projet de modification de sa gouvernance, qui sera proposé lors de l'assemblée générale du 2 juin, et sera applicable le même jour s'il est voté.Il prévoit de dissocier les fonctions de président du conseil d'administration et de directeur général.Le projet prévoit que Jean Guillaume Despature, actuel président du directoire et directeur-général du groupe, devienne président non exécutif du conseil d'administration, et que Pierre Ribeiro, actuel directeur financier et membre du directoire, soit directeur général de Somfy.Michel Rollier, qui présidait le conseil de surveillance, deviendra, lui, vice-président non exécutif du conseil d'administration.Somfy a également nommé une directrice générale déléguée Valérie Dixmier, en charge "des Hommes, de la Culture, et de l'Organisation".La nouvelle organisation permettra de dissocier les fonctions de mise en place "de la stratégie du groupe" et celles de "suivi de la capacité à délivrer et à suivre cette croissance très forte", a indiqué le porte-parole.Le groupe Somfy, société familiale fondée en 1969 dans la vallée de l'Arve a été racheté en 1984 par la famille Despature, qui possède aussi notamment la société textile Damart. Somfy employait quelque 6.000 salariés à fin 2020.Les activités du groupe vont des moteurs de volets roulants aux dispositifs anti-intrusion, en passant par des thermostats connectés, alarmes, ou détecteurs de mouvements.
Il y a 4 ans et 18 jours

4ème édition d’Usimages, biennale de la photographie du patrimoine industriel

Usimages, organisée par l’Agglomération Creil Sud Oise (ACSO) avec le concours de Diaphane, pôle photographique en Hauts-de-France, propose 13 expositions en plein air dans les communes et invitent ainsi les habitants à une déambulation photographique à travers le territoire. Jusqu’au 20 juin 2021. Cette biennale est une formidable occasion de mettre en valeur des photographies […] L’article 4ème édition d’Usimages, biennale de la photographie du patrimoine industriel est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 4 ans et 21 jours

La halle gourmande de Saint-Ouen sera opérationnelle d’ici fin 2022

L’ancienne usine Alstom de Saint-Ouen va être transformée en une halle gourmande d’ici 2022.
Il y a 4 ans et 21 jours

Saint-Gobain cède son activité canalisation en Chine

"Saint-Gobain annonce la signature d'un accord concernant PAM Chine, aux termes duquel le groupe cède 67% de son activité canalisation en Chine", indique un communiqué du groupe français.La transaction, dont le montant n'a pas été précisé, devrait être clôturée "au cours de l'été". Elle valorise l'entreprise à environ 100 millions d'euros.PAM Chine, qui comprend une usine de production à Ma'anshan, dans l'est du pays, et emploie près de 1.100 salariés, a généré l'an dernier un résultat d'exploitation de 9 millions d'euros pour un chiffre d'affaires de 170 millions d'euros.Saint-Gobain cessera de contrôler PAM Chine, à la suite de cette opération. Elle lui permettra toutefois "de maintenir son lien avec l'activité canalisation en Europe, dans le cadre d'un partenariat industriel de long terme", souligne le communiqué.La transaction s'inscrit dans la stratégie du groupe "d'optimisation" de portefeuille, visant à améliorer son "profil de croissance" et sa "rentabilité".
Il y a 4 ans et 22 jours

Toupret s’offre le Polonais KMK Gips

Avec l’acquisition du fabricant polonais KMK Gips, le groupe Toupret montre sa croissance en Europe de l’Est. [©Toupret] Depuis sa création en 1938, le groupe français Toupret fabrique des enduits de préparation et de décoration des murs. Il dispose de trois sites de production en France, ainsi que des filiales à l’international. Présent en Pologne depuis quelques années, le groupe signe aujourd’hui le rachat de KMK Gips. Qui est un fabricant polonais d’enduits en poudre et en pâte.  Avec l’acquisition de cette entreprise sur le marché polonais, le Français poursuit son objectif de croissance à l’international. Et son développement en Europe de l’Est. L’achat de KMK Gips permet à Toupret d’intégrer une nouvelle unité de production en Pologne. Cette usine permettra au groupe d’étendre ses capacités de production. Et de répondre aux attentes des marchés professionnels, ainsi que du DIY (Do It Yourself1).  Une étape majeure du plan de développement Située à Kamiensk, au Sud de Varsovie, elle viendra compléter l’organisation existante de Toupret Polska. Cette filiale est dirigée par Adam Kreglewski, directeur des opérations commerciales. « Nous sommes ravis de cette annonce et nous sommes certains que cela permettra au groupe de déployer la marque Toupret en Pologne. Pays où elle est déjà bien implantée et connue comme la marque de référence des enduits de préparation des murs », précise Adam Kreglewski. Et Gary Haworth, directeur général du groupe Toupret, de poursuivre : « Lors de l’ouverture de notre nouvelle usine et de notre plate-forme logistique de Tigery, en Ile-de-France, en 2020, nous avions annoncé un plan stratégique important avec des investissements à hauteur de 20 M€ sur 5 ans. L’acquisition de KMK Gips constitue aujourd’hui une des étapes majeures de ce plan de développement ». 1Fais le toi-même. Charline David 
Il y a 4 ans et 24 jours

La pénurie de matériels inquiète le Seimat

Le Seimat est inquiet quant à la hausse des prix des matériels. [©ACPresse] Menée en avril dernier auprès de ses adhérents, une enquête exclusive du Seimat1 souligne l’allongement des délais de livraison de 10, voire 20 semaines supplémentaires. Ceci, pour de nombreuses catégories de matériels.  Ces délais accrus peuvent entraîner des pertes de marché. Et sont liés à la pénurie de matières premières et composants due à une flambée des coûts et au rendement diminué dans les usines. Les fautifs s’appellent “pandémie du Covid” et dysfonctionnement du fret maritime. Outre une pénurie généralisée, ils génèrent des hausses spectaculaires de coûts de transport. Cette situation ne laisse aucune alternative viable au plan économique. Aussi bien aux constructeurs qu’aux importateurs de matériels de construction. En conséquence, ces derniers affirment devoir appliquer des hausses tarifaires dans les mois à venir. Pour 53 % d’entre eux, elle entrera en application au cours du 2etrimestre 2021. Pour 30 %, au cours du second semestre 2021. Et pour les 17 % restants, les hausses seront visibles à partir du début d’année 2022. Les professionnels concernés se disent prêts à appliquer ces évolutions tarifaires en deux fois pour en lisser l’impact. Et pour maintenir de bonnes relations économiques avec les industriels du secteur… Deux plans d’action pour sauver le matériel En conséquence, le Seimat, avec le soutien de Ficime2, souhaite mettre en place deux plans d’action. Tout d’abord, informer les partenaires économiques de cette situation exceptionnelle. Ceci, pour inviter l’ensemble des acteurs à pouvoir maintenir, en bonne intelligence, les relations existantes. Et de faire preuve de solidarité, afin de sauvegarder un secteur économique commun. D’autant plus que celui-ci a déjà impacté par le contexte lié au Covid. Ensuite, le Syndicat veut solliciter le ministre de l’Economie et des Finances pour que les pénalités de retard soient suspendues pendant la durée de cette situation. Une démarche de solidarité à appliquer dans les marchés publics. Seimat comme Ficime restent mobilisés sur ce sujet, dans l’intérêt commun de leurs adhérents et partenaires économiques. 1Syndicat des entreprises internationales des matériels de travaux publics, mines et carrières, bâtiment et levage.2Fédération des entreprises internationales de la mécanique et de l’électronique.
Il y a 4 ans et 25 jours

Centre culturel Alpex, à Scionzier, par Atelier Archiplein

L’agence internationale Atelier Archiplein a livré en 2021 à Scionzier (Haute-Savoie) la réhabilitation et l’agrandissement d’une ancienne usine de décolletage en centre culturel : Alpex. L’ouvrage de 900 m², réalisé pour la commune de Scionzier maître d’ouvrage, est orné d’une colonnade en pierre massive. Circuit court ? Communiqué. Le projet consiste en la réhabilitation et l’agrandissement d’une […] L’article Centre culturel Alpex, à Scionzier, par Atelier Archiplein est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 4 ans et 25 jours

3 nouvelles start-up intègrent l’accélérateur« Santé – Prévention dans le BTP »

Trois des quatre start-up ayant présenté leurs solutions lors de cette nouvelle session en visioconférence ont été retenues pour rejoindre les 43 autres start-up déjà intégrées au sein de l’écosystème d’Impulse Partners. Elles bénéficieront du soutien des quatre partenaires fondateurs, CCCA-BTP, l’OPPBTP, PRO BTP et la Fondation EXCELLENCE SMA.4 entreprises ont présenté leurs projets le lundi 15 mars en visioconférence, devant un jury composé de professionnels du BTP et de la prévention et en présence des partenaires fondateurs, le CCCA-BTP, l’OPPBTP, PRO BTP et la Fondation EXCELLENCE SMA. Leurs projets ont été évalués sur la base de cinq critères :Le caractère innovant de leur technologie ou service ;L’accessibilité du marché visé ;L’équipe (les compétences et expertises mobilisées, la capacité à porter le projet) ;La fiabilité du business model ;L’adéquation de la start-up avec les thématiques santé et prévention de l’accélérateur.Cette onzième édition a permis à trois start-up ayant présenté leurs innovations de convaincre les membres du jury. Celles-ci ont donc été retenues pour intégrer l’accélérateur « Santé – Prévention dans le BTP » :Miloé est une plateforme de santé numérique intégrant un passeport de santé ainsi qu'une fiche médicale d'urgence matérialisée par la technologie sans-contact dans divers objets physiques. En cas de situation d’urgence, elle permet de communiquer facilement les informations vitales au personnel soignant pour que son détenteur puisse recevoir les soins les plus adaptés. Miloé travaille actuellement avec des médecins du travail afin de déployer sa solution auprès des professionnels.« Dans le cadre du partenariat que nous avons mis en place il y a 2 ans avec Miloé, les 350 adhérents au Pôle Sport & Santé du Stade Marseillais Université Club (SMUC) disposent d’une carte Miloé. Cela nous permet de renforcer la sécurité de nos adhérents dans leur activité sportive, mais également dans leur vie quotidienne » témoigne Isabelle Petit, Chargée de développement Sport & Santé au SMUC.Q-Bot a développé une solution afin de faciliter les travaux d'isolation des sols et des murs. Elle permet de projeter une mousse isolante dans des zones inaccessibles par l’homme grâce à un petit robot muni d’une caméra et de lasers, pilotable à distance. Q-Bot a déjà isolé une vingtaine de maisons en France auprès de particuliers et de bailleurs sociaux, ainsi qu’un groupe scolaire à Voiron, près de Grenoble.« Nous avons fait appel à Q-Bot en 2020 dans le cadre d’un chantier d’isolation de vides sanitaires pour 6 pavillons situés à Merlevenez (56). La solution de Q-Bot a pu passer sans difficulté dans ces espaces de 30 à 50 cm de hauteur sous le plancher des maisons afin de réaliser la projection de mousse polyuréthane. Nous espérons pouvoir renouveler l’expérience pour l’isolation de 36 pavillons supplémentaires situées sur l’Ile de Groix » témoigne Erwan Bargain, Responsable du Pôle travaux au sein du bailleur social Bretagne Sud Habitat.Built Solutions propose une solution SaaS qui permet de faire remonter toutes les informations réglementaires concernant les conditions d’exploitation des bâtiments(Dossier d’Intervention Ultérieure sur l’Ouvrage - DIUO, Dossier Technique Amiante - DTA,vDossier des Ouvrages Exécutés – DOE, Dossier d'identité SSI, Registre de sécurité...) auxexploitants, en croisant les données avec la maquette numérique des bâtiments. Cette traçabilité de l’information permet de faciliter la maintenance et d’éviter les accidents liés à la dégradation des bâtiments.« A l’heure de la digitalisation massive du secteur du bâtiment, tous les documents réglementaires associés au bâtiment doivent être stockés de manière sécurisée car ils sont essentiels tout au long de son cycle de vie : de sa construction à sa démolition, en passant par toutes les phases d’exploitation ou de maintenance. » confirme Christophe Bouvard, Directeur général de l’activité de développement d’iPorta, plateforme de gestion de patrimoine immobilier et distributeur de Built Solutions.Ces start-up bénéficieront de l’expertise et des retours d’expériences des quatre partenaires fondateurs pour faire monter en puissance la performance des entreprises en matière de santé et prévention. Les partenaires s’engagent également à faciliter les échanges et la visibilité des start-up auprès de leurs entreprises adhérentes, notamment au travers de leurs sites web, leurs réseaux sociaux et leurs médias respectifs, ainsi qu’à l’occasion des événements auxquels ils sont susceptibles de participer.
Il y a 4 ans et 29 jours

Riou Glass poursuit la modernisation de son outil de production

INVESTISSEMENT. Après avoir investi 4 millions d'euros sur son site industriel implanté dans l'Eure entre 2019 et 2020, le fabricant de verre plat, Riou Glass, continue d'améliorer son outil de production en modernisant son usine mayennaise.
Il y a 4 ans et 29 jours

Riou Glass investit 1,6 M€ dans son usine mayennaise de transformation de verre plat

Malgré la pandémie, le groupe maintient le cap de ses investissements visant à moderniser ses unités de production françaises. Après avoir réalisé d’importants travaux sur son usine historique de Boulleville dans l’Eure, pour un montant de 4 millions d’euros, c’est maintenant au tour du site mayennais Riou Glass VIO installé à quelques kilomètres de Laval.
Il y a 4 ans et 29 jours

Tomra Sorting Recycling et Stadler UK ont été retenus pour le recyclage des déchets de chantiers

Ayant déjà travaillé sur plusieurs projets dans le monde, STADLER et TOMRA ont planché ensemble dès le début pour s'assurer que les installations et les équipements répondraient aux exigences spécifiques de VIRIDOR.Avec sa nouvelle usine, VIRIDOR a pu passer sa capacité de 65.000 tonnes/an à 75.000 tonnes/an (soit 17 tonnes/heure). L'usine fonctionne à pleine capacité. La qualité de la production a été considérablement améliorée grâce aux nouveaux équipements TOMRA.Les matériaux traités arrivent en mélange, ils sont fournis par le Comté de Suffolk. Ils passent d'abord par un process de séparation mécanique, comprenant un tambour de dosage, un séparateur balistique STADLER PPK, un tambour de criblage, des séparateurs balistiques STADLER STT 2000, des aimants overband et des séparateurs à courants de Foucault. Après cette étape de séparation mécanique, vient l'étape de séparation par air, puis le tri avec les capteurs optiques, les machines TOMRA AUTOSORT® tout nouvellement installées.Auparavant, trois trieurs optiques TOMRA étaient déjà en place. Ils ont été remplacés par 11 nouvelles unités TOMRA AUTOSORT®. Sauf une, relativement récente (4 ans), qui a juste nécessité une mise à jour logicielle.Les lignes de production ont été programmées pour séparer les fibres en mélange (matières de type carton, papier en mélange, journaux et brochures) et trier les plastiques par type de polymère (PET, HDPE, plastiques durs, films, pots, bacs et plateau...).Le système AUTOSORT® inclut les toutes dernières technologies de TOMRA pour offrir une précision avancée des tâches de tri complexes à cadence élevée. AUTOSORT® apporte une précision constante pour toutes les fractions de matériaux ciblés, même au sein de flux complexes, là où les technologies conventionnelles sont généralement mises en échec.Le résultat du tri est soumis à un contrôle qualité final avant d'être mis en balles prêtes à être transportées vers les clients finaux basés au Royaume-Uni. Les rebuts sont envoyés à l'incinération, ou en décharge.Grâce à la mise en place de ce nouvel équipement, VIRIDOR bénéficie d'avantages opérationnels tangibles :Augmentation du débit (10.000 tonnes supplémentaires par an)Pureté des fractions obtenues. A titre d'exemple, on obtient un taux quasi parfait, à 98,5%, sur les journaux et les brochures, et à 95% sur les polymères, tels que le PET, le PEHD et les plastiques mixtesGains de rentabilité, résultant du fonctionnement à pleine capacité de l'usineRéduction du risque d'arrêt des installationsFlexibilité de la production, permettant de s'adapter aux évolutions du marché, et des flux de matériaux entrantsBaisse des coûts, grâce au tri du PET et du PEHD effectué sur place, au lieu d'être envoyé dans une autre usine du groupe comme auparavant.Steven Walsh, Ingénieur Commercial chez TOMRA Sorting Recycling, commente : " Nous avons très bien travaillé avec STADLER sur ce projet, ayant déjà collaboré ensemble tant au niveau national et international. Avant la rénovation, ce site de VIRIDOR ne pouvait trier automatiquement que des plastiques et il dépendait du tri manuel pour le carton et le papier. Aujourd'hui, nous avons l'une des usines les plus automatisées du Royaume-Uni. En intégrant les équipements de TOMRA et son expertise technique, VIRIDOR peut produire des matériaux de qualité supérieure prêts à être réintégrés dans l'économie circulaire".Benjamin Eule, Directeur de STADLER UK Limited, ajoute : " Nous avons géré le projet d'ensemble, de la mise à l'arrêt de l'usine à la fourniture d'une solution clé en main plus moderne. Ce fut l'un des délais les plus courts de notre histoire ! Il n'aura fallu que trois mois entre la discussion initiale et la signature des contrats, puis 5 mois encore pour démarrer le projet sur site. En deux semaines de mise à l'arrêt, nous avons tout refait à neuf, à l'exception d'une des trieuses optiques de TOMRA sur laquelle a simplement été téléchargé la dernière version du logiciel. Le projet – y compris la démolition des anciens équipements – a pris 80 jours au total. Nous avons installé une nouvelle charpente métallique, des convoyeurs et tous les composants électriques nécessaires au processus. Nous avons également géré les processus de mise en service. "Derek Edwards, directeur de VIRIDOR RECYCLING, a déclaré : " C'est de loin l'investissement le plus important réalisé sur un site de traitement des déchets de chantiers, en Angleterre, ces dernières années. VIRIDOR se concentre sur le développement d'opportunités pour réintroduire des matériaux issus du recyclage dans le circuit productif. Nous considérons les déchets comme une ressource et, grâce à l'engagement de Suffolk en faveur du recyclage, nous sommes bien placés pour tirer le meilleur parti du recyclage des déchets du Comté du Sufolk, et pour vendre ces matériaux aux clients finaux basés au Royaume-Uni. Le plan d'investissement visait à augmenter la capacité de l'usine, mais aussi à adapter la qualité aux exigences du marché. L'usine dispose des mêmes matières premières qu'auparavant, mais peut désormais traiter 10 000 tonnes de plus par an. Nous sommes ravis de ses performances. "
Il y a 4 ans et 30 jours

Sika teste en France sa première génération de mortiers “durables”

Sika France lance cinq nouveaux mortiers de réparation plus “durable”. [©Sika] « Plus de valeur, moins d’impact » constitue le leitmotiv de la stratégie de Sika. Le but ? S’ancrer dans une démarche environnementale, tout en garantissant des solutions techniques. « Nous nous sommes fixé six cibles stratégiques à atteindre d’ici 2023 », explique Virginie Guittard, responsable développement durable chez Sika France. Parmi ces objectifs, l’industriel s’attaque à la performance climatique et énergétique. Ainsi, Sika souhaite réduire sa consommation d’énergie par l’utilisation de nouvelles technologies et la pratique opérationnelle. Le groupe compte diminuer aussi de 12 % ses émissions de CO2/t vendues d’ici 2023. D’autre part, le traitement des déchets et de l’eau constitue un axe majeur. Avec comme ambition la réduction de 15 % de quantité d’eau par tonne vendue et l’augmentation de 25 % de part de déchets recyclés. L’engagement sociétal et la sécurité au travail font partie du programme de cette stratégie environnementale. Enfin, outre ces mesures impactant son process de fabrication et ses pratiques, l’industriel suisse développe des solutions plus en adéquation avec cette philosophie.  Une méthode dotée de critères techniques et environnementaux Afin d’évaluer cette dernière démarche, Sika s’est basé sur la méthode PSA1 du World business council for sustainable development (WBCSD). Une organisation mondiale regroupant près de 200 entreprises engagées dans la transition écologique. La méthode comprend six catégories pour la partie technique et une douzaine pour les bénéfices environnementaux [voir tableau]. Chaque critère comprend une note pour classer le produit. Des preuves, tests, essais, analyse du cycle de vie et Fdes sont nécessaires afin d’appuyer la notation.  « Nous ne voulons pas dissocier la performance et le développement durable, détaille Nicolas Chaignon, chef de marché gros œuvre. La France est la filiale pilote pour la mise sur le marché de cinq produits allant dans ce sens. » Sika France a lancé une nouvelle gamme de mortiers “développement durable” dans le domaine de la réparation des bétons. Ces solutions viendront remplacer les équivalents moins écologiques déjà présents sur le marché et dans la gamme Sika. Elles répondent toutes aux exigences de la certification environnementale Leed v4.  Une nouvelle gamme de mortiers Sika MonoTop-1010 est une protection anti-corrosion des armatures. Il a pour équivalent le Sika MonoTop 910 N. Le nouveau mortier bénéficie d’une empreinte carbone réduite de 25 %. Le mortier de réparation structurale et de surfaçage Sika MonoTop-3020 enregistre une empreinte carbone de – 15 % et – 44 % d’émissions de poussières. Il s’ancre dans la norme NF EN 1504-3 (R3) et son équivalent est le Sika MonoTop 723 N.Sika MonoTop-4012 F est l’équivalent du Sika MonoTop 412 N. Il se caractérise par une empreinte carbone de – 21 % et répond à la norme NF EN 1504-3 (R4). Le mortier de scellement et de calage SikaGrout-234, ex-Sika Grout 217, voit son empreinte carbone diminuée de 38 %.SikaWall-180 Viscorep, ancien Sika Viscorep, est un mortier de ragréage ultra fin pour murs, plafonds, utilisable en intérieur comme en extérieur. Il est caractérisé par de faibles émissions de COV (A+/Excell +) et une réduction des poussières de – 67 %. Si la nouvelle formulation de ces produits n’a pas été dévoilée, l’équipe de Sika France évoque les pistes d’amélioration. « Nous avons travaillé au cas par cas, conclut Nicolas Chaignon, chef de marché gros œuvre. Nous avons joué sur la part des matériaux recyclés, les additifs que nous avons modifiés, réduits ou substitués par d’autres. »  1Portfolio Sustainability Assessment = Evaluation développement durable du portefeuille produits.
Il y a 4 ans et 31 jours

Scania : “Caps” sur la préparation des camions

Cet article est à retrouver dans le n° 93 de Béton[s] le Magazine Le Caps assure l’adaptation des véhicules aux carrosseries qu’ils doivent recevoir. [©ACPresse] Qu’est-ce que le Centre d’adaptation et de préparation Scania, dit “Caps”, ouvert au sein de l’usine d’Angers ?« Nous construisons des centaines de poids lourds sur nos lignes d’assemblage. Pour certains, des configurations particulières sont nécessaires. C’est de cet aspect que se charge le Caps », résume Philippe Rousseau, chef de produit camions chez Scania. A vrai dire, ce service existait déjà, mais était réalisé dans des locaux loués à proximité.  L’innovation est donc l’intégration du Caps au cœur d’un bâtiment partagé, d’une surface totale de 5 100 m2, dont 3 400 m2d’ateliers. Un investissement de 6 M€.Le Caps a pour mission d’assurer la préparation des camions avant leur livraison. Cela va de l’inspection à l’activation du chronotachygraphe, en passant par le déplacement de certains composants ou la pose d’accessoires. L’installation d’éléments de carrosserie fait aussi partie des interventions. L’atelier vient d’être certifié ISO 9001:2005. 3 j ou 3 semaines d’intervention en moins Les porteurs “béton” sont particulièrement intéressés pour un passage au sein du Caps, car nécessitant de nombreuses adaptations. « Pour permettre le montage d’une cuve de malaxage, 3 j de travail sont nécessaires », souligne Patrice Roger, responsable du Caps. Et de poursuivre : « Pour accueillir un équipement de pompage, nous passons à 3 semaines d’intervention… »En d’autres termes, Scania fait gagner 3 j ou 3 semaines au carrossier. Un délai loin d’être négligeable, quand un client souhaite voir la livraison de son véhicule “pour hier”. Depuis la création du Caps, quelque 883 camions ont été préparés, dont 73 porte-toupies et quelques porte-pompes. Grâce à son nouveau bâtiment, Scania a déjà battu ce record avec 850 véhicules traités entre janvier et août 2020… Ce qui montre que les nouvelles installations assurent l’essor de cette structure. Ainsi, le Caps est en mesure de traiter un volume de plus de 6 000 véhicules par an. Aujourd’hui, le rythme annuel est d’environ 4 400 véhicules, soit 20 par j. Cet article est à retrouver dans le n° 93 de Béton[s] le Magazine
Il y a 4 ans et 31 jours

L’ex-usine Bonna Sabla rouvre et devient Sitinao

Cet article est à retrouver dans le n° 93 de Béton[s] le Magazine L’ex usine de Bonna Sabla fermé en novembre dernier rouvre ses portes sous le nom de Sitinao. [©Sitinao] Haute-Loire. La vie d’une usine arrive parfois à son terme. Les lignes de production s’arrêtent, les lumières s’éteignent et chacun rentre chez soi, face à un avenir incertain… Mais parfois, cette usine reprend vie. Fin novembre 2020, huit mois après sa fermeture, l’unité de Bas-en-Basset a recommencé à produire des éléments d’aménagement urbains préfabriqués, sous l’impulsion de Christophe Marcoux, repreneur de l’ancien site Bonna Sabla, devenu Sitinao. « Nous avons pu relancer facilement le site, car les machines avaient été soigneusement arrêtées. Et sur les 22 employés qui ont repris, seuls deux n’étaient pas de la précédente équipe, dont moi-même, explique Arnaud Chamar, nouveau directeur de l’usine. Nous sommes les seuls en France à produire des pièces, grâce à la technique du pressage et de l’essorage. Celles-ci sont destinées à l’aménagement urbain, sur le modèle de l’ancienne marque de Bonna Sabla. » Entrepreneur de travaux publics en Haute-Loire, Christophe Marcoux n’a pas pu se résoudre à laisser l’outil industriel et les compétences associées à l’abandon. Il compte s’appuyer sur son réseau bien établi dans la région pour relancer les ventes. « Nous allons d’abord nous reposer sur le bassin local, en prenant le temps de faire de la prescription auprès des bureaux d’études, de renouer des contacts qui étaient rompus, précise Arnaud Chamar. Nous commencerons ensuite à concevoir de nouvelles solutions, notamment autour du bas carbone. Enfin, nous élargirons notre zone de vente». Pour le moment, l’usine devrait tourner à plein régime à la fin du premier semestre.  Cet article est à retrouver dans le n° 93 de Béton[s] le Magazine
Il y a 4 ans et 31 jours

Soriba : « Nous investissons pour le futur »

Cet article est à retrouver dans le n°93 de Béton[s] le Magazine. De gauche à droite, Stéphane Garnier, président de Soriba, Valentin Garnier, en charge du projet industriel “escaliers et du bas carbone”, et Simon Garnier, responsable du site de production de Challans. [©Soriba] L’actualité du moment chez Soriba concerne la construction d’une nouvelle usine à Fontenay-le-Comte, en Vendée. Vous pouvez nous en dire plus sur ce projet ? L’idée est de créer un outil capable de répondre à nos besoins immédiats et à venir. Le béton est une industrie lourde et pérenne. Il ne faut donc pas se tromper dans ces choix. Notre nouvelle installation prend place sur un site existant de 9 ha. Elle complète et étend l’usine qui y est déjà présente. Pour cette réalisation, nous nous sommes basés sur le retour d’expérience de notre dernière extension, qui date de 2011. Celle-ci était déjà une rupture en matière d’outils industriels de préfabrication. Une nouvelle fois, nous investissons pour le futur. L’unité de production de Fontenay-le-Comte Cet article est réservé aux abonnés des revues Béton[s] le Magazine et Bâti & Isolation. Déjà abonné Mon email Mon mot de passe Oublié ? En plus de votre magazine, profitez d’un accès illimité à l’ensemble des contenus et services du site www.acpresse.fr : Lecture de l’intégralité des dossiers thématiques, reportages chantiers, fondamentaux, histoire de la construction… Consultation des indicateurs économiques (chiffres et analyses) + vos newsletters pour suivre l’info en continu Je m'abonne
Il y a 4 ans et 31 jours

Cem’In’Eu joue la fille de l’eau

Cet article est à retrouver dans le n° 93 de Béton[s] le Magazine Les barges de clinker permettent de desservir la nouvelle usine de Cem’In’Eu de Portes-lès-Valence. [©Cem’In’Eu] Drôme. Connecté aux réseaux ferré et fluvial, le nouveau site industriel de la start-up cimentière Cem’In’Eu de Portes-lès-Valence (26) lance l’approvisionnement par le Rhône. La première barge de clinker en provenance de Sète (34) a accosté, le 8 février dernier, au port fluvial de commerce de la Drôme, à Valence. A l’heure actuelle en phase de démarrage industriel, le nouveau site baptisé Rhône Ciments est la 2e usine française de Cem’In’Eu (après celle d’Aliénor Ciments, à Tonneins, dans le Lot-et-Garonne). Rhône Ciments sera approvisionnée en matières premières à la fois par voie ferrée et par le Rhône en provenance du port de Sète. A terme, l’usine recevra environ 4 000 t de clinker par semaine par ces deux moyens de transport. Le transport fluvial est affrété par l’entreprise sétoise Cem’In’Log et opéré par Agora Fluvial (groupe Sogestran). Placée au cœur des territoires, Rhône Ciments est idéalement située pour desservir les marchés d’Auvergne – Rhône-Alpes Sud,  et de Provence – Alpes – Côte d’Azur et d’Occitanie. « Si nous avons sélectionné le site de Portes-lès-Valence pour implanter Rhône Ciments, c’est pour sa connexion aux réseaux fluvial et ferré, déclare Magali Laurenço, directrice de Rhône Ciments. Un atout unique pour atteindre nos objectifs ambitieux en matière d’impact carbone. La collaboration avec la Compagnie nationale du Rhône et la Chambre de commerce et de l’industrie de la Drôme nous permet aujourd’hui d’accueillir la première barge de clinker dans de bonnes conditions. Et d’envisager de manière sereine notre développement, dans le respect de l’environnement. » Cet article est à retrouver dans le n° 93 de Béton[s] le Magazine
Il y a 4 ans et 31 jours

Interface lance Embodied Beauty™ en France, les premières dalles de moquette à bilan carbone négatif

Cette collection offre toute une gamme de dalles de moquette inspirée par la nature et fabriquée pour la respecter. Les sept modèles de la collection Embodied Beauty™ sont en harmonie avec la mission Climate Take Back™ de l’entreprise (qui vise à lutter contre le réchauffement climatique) et son engagement à réduire l’empreinte carbone de ses produits. Grâce au programme Carbon Neutral Floors™, ils sont neutres en carbone tout au long de leur cycle de vie. Il s’agit en outre de la première collection Interface à proposer des dalles de moquette dont le bilan carbone de la fabrication au départ de l’usine est négatif.Une collection à l’esthétique japonaise pour une connexion à l’environnementConçue par Kari Pei, vice-présidente d’Interface chargée de la conception des produits à l’échelle mondiale, Embodied Beauty™ reflète une esthétique japonaise, mêlant minimalisme et régénération à la beauté organique du monde naturel. Cette collection fait naître un sentiment de connexion avec les autres et avec la nature en harmonie avec les principes de l’ikigai, un concept japonais qui repose sur l’« identification de la raison d’être » de chacun. Ces influences s’associent pour offrir une gamme unique allant des motifs monochromatiques étroits aux textures tuftées qui s’accompagnent de graphismes de grandes dimensions.« Embodied Beauty™ est notre première collection à inclure des produits à bilan carbone négatif et, à ce titre, elle traduit fidèlement l’idée de travail en symbiose avec la nature, un concept très présent dans la culture japonaise. Ce concept a inspiré l’esthétique du design et permis de générer une multitude de textures et de couleurs parmi lesquelles puiser. En regardant ces modèles de près, vous y trouverez des éléments du kintsugi, l’art de réparer des objets cassés afin de créer quelque chose de beau et de nouveau, mais aussi du sashiko, une forme décorative de broderie. Ces dalles de moquette composent un sol raffiné, dispensant une atmosphère calme et une élégance feutrée convenant à pratiquement tous les espaces. » souligne Kari Pei.Inspirée par la nature. Conçue pour la respecterComposée de sept modèles de dalles de moquette et de six coloris, la gammeEmbodied Beauty™ évoque la beauté délicate des textiles anciens, les texturesmaillées irrégulières, les motifs tissés et les contours doux et subtils de la nature.La collection comprend trois modèles dont le bilan carbone est négatif de la fabrication au départ de l’usine : Shishu Stitch™, Tokyo Texture™ et Zen Stitch™. Ces produits associent la nouvelle sous-couche CQuest™BioX de l’entreprise à des fibres spécifiques et des processus exclusifs de tuftage. Ils ont été conçus pour stocker davantage de carbone que n’importe quelle dalle de moquette auparavant. En emmagasinant le carbone, ces modèles innovants l'empêchent de s’échapper dans l’atmosphère où il contribue au réchauffement climatique. Ainsi, ils aident les clients d’Interface à réduire l’empreinte carbone des espaces qu’ils créent.Embodied Beauty™ comprend par ailleurs quatre autres modèles – GeishaGather™, Sashiko Stitch™, Simple Sash™ et Vintage Kimono™ – déclinés dans des gris discrets et apaisants aux tons chauds et clairs, ainsi que dans des couleurs naturelles composant une palette sophistiquée et toute en nuances. Tous ces modèles permettent de réaliser des associations et des contrastes élégants. Ils s’installent facilement et efficacement côte à côte, offrant une solution de revêtement de sol intégrée au charme intemporel.
Il y a 4 ans et 31 jours

Groupe JPS Granulats : Le bas carbone comme leitmotiv

Cet article est à retrouver dans le n° 93 de Béton[s] le Magazine Olivier Stocker, président du groupe JPS Granulats : « Dans le béton, c’est le clinker qui est émetteur de CO2, pas l’eau, ni les granulats ». [©ACPresse] Président du groupe JPS Granulats, Olivier Stocker est quelqu’un qui aime faire bouger les lignes. Déjà en 2017, il a fait modifier le référentiel de certification NF Liants hydrauliques1(NF 002). Ceci, pour le mettre en phase avec les Modalités d’application du marquage CE Ciments (CE 002). Une initiative qui a ouvert la porte à la fabrication de ciments en usines de mélange en France.  Par voie de conséquence, Ciments 2170, filiale de JPS Granulats, a pu lancer une production de CEM II/B-LL 42,5 N CE NF et 32,5 R CE NF. Le premier intègre 25 % de fillers calcaire micronisés Adca, fabriqués par JPS Granulats, et 75 % de clinker, fourni par Vicat. Quant au 32,5 R, le taux de substitution grimpe à 30 %. « Notre objectif pour 2022 est de passer 100 % de notre production en CEM II/B-LL 32,5 R », explique Olivier Stocker. Et de poursuivre : « Dans le cadre de notre R&D, nous avons même formulé un ciment avec 40 % de fillers calcaire et réalisé des bétons affichant tous les critères de durabilité et de résistance qu’on doit attendre d’eux ».  L’étape suivante dans le développement de l’offre ciments s’appelle CEM II/C 42,5 et CEM VI. Des solutions bas carbone, toujours réalisées par mélange, mais ternaires. Outre le clinker et le filler micronisé, ils intègrent du laitier. Toutefois, pas de haut fourneau. « En local, nous avons identifié un industriel intervenant dans le recyclage de l’acier,reprend Olivier Stocker. Ce dernier est en mesure de nous fournir un laitier dit de recyclage, apte à la production de ciment». Mais là se pose une nouvelle fois un problème de normalisation, qui n’a pas prévu la possibilité d’utiliser du laitier de recyclage. Il faudra donc faire bouger les lignes, puisque la ressource est là… Prolongez votre lecture Pour lire la totalité de cet article, inscrivez-vous gratuitement Déjà inscrit ?Je m'inscris Mon email Mon mot de passe Oublié ? M.Mme**SociétéParticulierNom société**** Code promoJe m'inscris aux newsletters (facultatif) : Bâti & Isolation CBPC Béton[s] Chapes Les information collectées à partir de ce formulaire permettent aux éditions AvenirConstrution de gérer ses contacts et ses clients. Elles seront stockées dans notre base de contacts sauf rectification de votre part pour une durée de trois ans à compter de votre dernier contact avec les éditions AvenirConstrution. Conformément à la loi informatique et libertés modifiée, vous pouvez exercer vos droits directement de votre compte ou en écrivant à privacy@acpresse.fr jQuery(document).ready(function($){gformInitSpinner( 3, 'https://www.acpresse.fr/wp-content/plugins/gravityforms/images/spinner.gif' );jQuery('#gform_ajax_frame_3').on('load',function(){var contents = jQuery(this).contents().find('*').html();var is_postback = contents.indexOf('GF_AJAX_POSTBACK') >= 0;if(!is_postback){return;}var form_content = jQuery(this).contents().find('#gform_wrapper_3');var is_confirmation = jQuery(this).contents().find('#gform_confirmation_wrapper_3').length > 0;var is_redirect = contents.indexOf('gformRedirect(){') >= 0;var is_form = form_content.length > 0 && ! is_redirect && ! is_confirmation;var mt = parseInt(jQuery('html').css('margin-top'), 10) + parseInt(jQuery('body').css('margin-top'), 10) + 100;if(is_form){jQuery('#gform_wrapper_3').html(form_content.html());if(form_content.hasClass('gform_validation_error')){jQuery('#gform_wrapper_3').addClass('gform_validation_error');} else {jQuery('#gform_wrapper_3').removeClass('gform_validation_error');}setTimeout( function() { /* delay the scroll by 50 milliseconds to fix a bug in chrome */ jQuery(document).scrollTop(jQuery('#gform_wrapper_3').offset().top - mt); }, 50 );if(window['gformInitDatepicker']) {gformInitDatepicker();}if(window['gformInitPriceFields']) {gformInitPriceFields();}var current_page = jQuery('#gform_source_page_number_3').val();gformInitSpinner( 3, 'https://www.acpresse.fr/wp-content/plugins/gravityforms/images/spinner.gif' );jQuery(document).trigger('gform_page_loaded', [3, current_page]);window['gf_submitting_3'] = false;}else if(!is_redirect){var confirmation_content = jQuery(this).contents().find('.GF_AJAX_POSTBACK').html();if(!confirmation_content){confirmation_content = contents;}setTimeout(function(){jQuery('#gform_wrapper_3').replaceWith(confirmation_content);jQuery(document).scrollTop(jQuery('#gf_3').offset().top - mt);jQuery(document).trigger('gform_confirmation_loaded', [3]);window['gf_submitting_3'] = false;}, 50);}else{jQuery('#gform_3').append(contents);if(window['gformRedirect']) {gformRedirect();}}jQuery(document).trigger('gform_post_render', [3, current_page]);} );} ); jQuery(document).bind('gform_post_render', function(event, formId, currentPage){if(formId == 3) {gf_global["number_formats"][3] = {"1":{"price":false,"value":false},"2":{"price":false,"value":false},"3":{"price":false,"value":false},"4":{"price":false,"value":false},"9":{"price":false,"value":false},"5":{"price":false,"value":false},"6":{"price":false,"value":false},"7":{"price":false,"value":false},"11":{"price":false,"value":false},"10":{"price":false,"value":false},"8":{"price":false,"value":false}};if(window['jQuery']){if(!window['gf_form_conditional_logic'])window['gf_form_conditional_logic'] = new Array();window['gf_form_conditional_logic'][3] = { logic: { 9: {"field":{"actionType":"show","logicType":"all","rules":[{"fieldId":"4","operator":"is","value":"Soci\u00e9t\u00e9"}]},"nextButton":null,"section":null},5: {"field":{"actionType":"hide","logicType":"all","rules":[{"fieldId":"4","operator":"is","value":"Particulier"}]},"nextButton":null,"section":null},6: {"field":{"actionType":"hide","logicType":"all","rules":[{"fieldId":"4","operator":"is","value":"Particulier"}]},"nextButton":null,"section":null} }, dependents: { 9: [9],5: [5],6: [6] }, animation: 0, defaults: {"4":["choice_3_4_0"]}, fields: {"1":[],"2":[],"3":[],"4":[9,5,6],"9":[],"5":[],"6":[],"7":[],"11":[],"10":[],"8":[]} }; if(!window['gf_number_format'])window['gf_number_format'] = 'decimal_comma';jQuery(document).ready(function(){gf_apply_rules(3, [9,5,6], true);jQuery('#gform_wrapper_3').show();jQuery(document).trigger('gform_post_conditional_logic', [3, null, true]);} );} if(typeof Placeholders != 'undefined'){ Placeholders.enable(); }} } );jQuery(document).bind('gform_post_conditional_logic', function(event, formId, fields, isInit){} ); jQuery(document).ready(function(){jQuery(document).trigger('gform_post_render', [3, 1]) } );
Il y a 4 ans et 31 jours

MCB décroche l’île de La Réunion

Cet article est à retrouver dans le n° 93 de Béton[s] le Magazine MCB doit construire 30 moules permettant la préfabrication de xblocPlus en béton non armé [©MCB] Loire. L’usine Moules Concept Béton (MCB) est implantée sur la commune du Chambon Feugerolles, au cœur des territoires. Cet industriel est spécialisé dans la réalisation “d’ouvrages chaudronnés destinés à la mise en forme du béton”, comme le précise son site Internet. En d’autres termes, des moules et coffrages métalliques sur mesure. C’est dans le cadre de son expertise unique que MCB vient de décrocher une commande pour la construction de moules pour blocs brise-lame. « Ces blocs sont conçus par le Néerlandais Delta Marine Consultants. Il s’agit de leur nouvelle offre baptisée xblocPlus, car ils présentent une forme inédite », explique Rémy Mallet, dirigeant de MCB.   Réalisés en métal, les moules sont au nombre de 30 et bénéficient de quelques améliorations par rapport au concept d’origine. L’ensemble est destiné au chantier de l’aéroport Roland-Garros de Saint-Denis de La Réunion. Assurés par le groupe Vinci, les travaux visent au “prolongement de la protection littorale existante le long de la concession aéroportuaire ». Et doivent voir la pose de quelque 11 500 xblocPlus non armés, d’un poids unitaire de 4,4 t environ (volume de 2 m3). C’est la Société bourdonnaise industrielle de préfabrication et de béton (SBIPB) qui assurera la production des xblocPlus sur la plate-forme aéroportuaire. Pour ce faire, cette filiale Vinci vient de réceptionner une première livraison de moules pour effectuer des essais. Pas de centrale sur site pour cette préfabrication foraine : les bétons doivent être fournis par un BPE voisin de l’aéroport. Le chantier est prévu pour une durée de trois ans.  Cet article est à retrouver dans le n° 93 de Béton[s] le Magazine
Il y a 4 ans et 31 jours

SBM recherche un partenaire français

Cet article est à retrouver dans le n°93 de Béton[s] le Magazine. Alexander Kraus est le responsable commercial centrales à béton de SBM. [©SBM] SBM est un industriel autrichien intervenant dans plusieurs domaines. Pouvez-vous nous indiquer vos spécialités ? Pour commencer, SBM est une entreprise avec 70 ans d’expérience, qui se développe autour de deux axes : la production de béton et celle de matériaux de carrière. Nous comptons 165 collaborateurs. Nos marchés principaux sont bien entendu l’Autriche, où est installée notre usine, à Oberweis. Mais aussi l’Allemagne et la Suisse. Sur ces marchés, l’ensemble de notre catalogue est plébiscité, aussi bien nos centrales fixes classiques, mobiles, super mobiles ou conteneurisées. Au total, nous sommes présents dans une trentaine de pays, en particulier avec notre unité super mobile Euromix. Surtout sur les chantiers où il est nécessaire de s’appuyer sur une centrale mobile de forte capacité. Nos solutions conteneurisées sont aussi très bien perçues sur les marchés scandinaves, où les besoins sont très spécifiques. Les centrales mobiles représentent 50 % de notre activité. Les autres 50 % se réalisent autour des projets d’infrastructure majeurs comme les lignes de chemin de fer, les autoroutes ou les ports. Nous concevons et installons des équipements sur mesure qui s’adaptent à ces projets. Prolongez votre lecture Pour lire la totalité de cet article, inscrivez-vous gratuitement Déjà inscrit ?Je m'inscris Mon email Mon mot de passe Oublié ? M.Mme**SociétéParticulierNom société**** Code promoJe m'inscris aux newsletters (facultatif) : Bâti & Isolation CBPC Béton[s] Chapes Les information collectées à partir de ce formulaire permettent aux éditions AvenirConstrution de gérer ses contacts et ses clients. 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Conformément à la loi informatique et libertés modifiée, vous pouvez exercer vos droits directement de votre compte ou en écrivant à privacy@acpresse.fr jQuery(document).ready(function($){gformInitSpinner( 3, 'https://www.acpresse.fr/wp-content/plugins/gravityforms/images/spinner.gif' );jQuery('#gform_ajax_frame_3').on('load',function(){var contents = jQuery(this).contents().find('*').html();var is_postback = contents.indexOf('GF_AJAX_POSTBACK') >= 0;if(!is_postback){return;}var form_content = jQuery(this).contents().find('#gform_wrapper_3');var is_confirmation = jQuery(this).contents().find('#gform_confirmation_wrapper_3').length > 0;var is_redirect = contents.indexOf('gformRedirect(){') >= 0;var is_form = form_content.length > 0 && ! is_redirect && ! is_confirmation;var mt = parseInt(jQuery('html').css('margin-top'), 10) + parseInt(jQuery('body').css('margin-top'), 10) + 100;if(is_form){jQuery('#gform_wrapper_3').html(form_content.html());if(form_content.hasClass('gform_validation_error')){jQuery('#gform_wrapper_3').addClass('gform_validation_error');} else {jQuery('#gform_wrapper_3').removeClass('gform_validation_error');}setTimeout( function() { /* delay the scroll by 50 milliseconds to fix a bug in chrome */ jQuery(document).scrollTop(jQuery('#gform_wrapper_3').offset().top - mt); }, 50 );if(window['gformInitDatepicker']) {gformInitDatepicker();}if(window['gformInitPriceFields']) {gformInitPriceFields();}var current_page = jQuery('#gform_source_page_number_3').val();gformInitSpinner( 3, 'https://www.acpresse.fr/wp-content/plugins/gravityforms/images/spinner.gif' );jQuery(document).trigger('gform_page_loaded', [3, current_page]);window['gf_submitting_3'] = false;}else if(!is_redirect){var confirmation_content = jQuery(this).contents().find('.GF_AJAX_POSTBACK').html();if(!confirmation_content){confirmation_content = contents;}setTimeout(function(){jQuery('#gform_wrapper_3').replaceWith(confirmation_content);jQuery(document).scrollTop(jQuery('#gf_3').offset().top - mt);jQuery(document).trigger('gform_confirmation_loaded', [3]);window['gf_submitting_3'] = false;}, 50);}else{jQuery('#gform_3').append(contents);if(window['gformRedirect']) {gformRedirect();}}jQuery(document).trigger('gform_post_render', [3, current_page]);} );} ); jQuery(document).bind('gform_post_render', function(event, formId, currentPage){if(formId == 3) {gf_global["number_formats"][3] = {"1":{"price":false,"value":false},"2":{"price":false,"value":false},"3":{"price":false,"value":false},"4":{"price":false,"value":false},"9":{"price":false,"value":false},"5":{"price":false,"value":false},"6":{"price":false,"value":false},"7":{"price":false,"value":false},"11":{"price":false,"value":false},"10":{"price":false,"value":false},"8":{"price":false,"value":false}};if(window['jQuery']){if(!window['gf_form_conditional_logic'])window['gf_form_conditional_logic'] = new Array();window['gf_form_conditional_logic'][3] = { logic: { 9: {"field":{"actionType":"show","logicType":"all","rules":[{"fieldId":"4","operator":"is","value":"Soci\u00e9t\u00e9"}]},"nextButton":null,"section":null},5: {"field":{"actionType":"hide","logicType":"all","rules":[{"fieldId":"4","operator":"is","value":"Particulier"}]},"nextButton":null,"section":null},6: {"field":{"actionType":"hide","logicType":"all","rules":[{"fieldId":"4","operator":"is","value":"Particulier"}]},"nextButton":null,"section":null} }, dependents: { 9: [9],5: [5],6: [6] }, animation: 0, defaults: {"4":["choice_3_4_0"]}, fields: {"1":[],"2":[],"3":[],"4":[9,5,6],"9":[],"5":[],"6":[],"7":[],"11":[],"10":[],"8":[]} }; if(!window['gf_number_format'])window['gf_number_format'] = 'decimal_comma';jQuery(document).ready(function(){gf_apply_rules(3, [9,5,6], true);jQuery('#gform_wrapper_3').show();jQuery(document).trigger('gform_post_conditional_logic', [3, null, true]);} );} if(typeof Placeholders != 'undefined'){ Placeholders.enable(); }} } );jQuery(document).bind('gform_post_conditional_logic', function(event, formId, fields, isInit){} ); jQuery(document).ready(function(){jQuery(document).trigger('gform_post_render', [3, 1]) } ); Parmi les annonceurs de Béton[s] le Magazine n° 93 Cet article est à retrouver dans le n°93 de Béton[s] le Magazine.
Il y a 4 ans et 31 jours

Polémique autour de l'implantation d'une usine de laine de roche Rockwool dans l'Aisne

La préfecture de l'Aisne a donné son feu vert à l'implantation d'une usine Rockwool de production de laine de roche près de Soissons, malgré l'avis négatif de l'enquête publique.
Il y a 4 ans et 31 jours

Treetek : immeuble mixte bois et béton à Lille

Tereneo, filiale de Nexity, a livré à INEA l’immeuble Treetek, en structure mixte bois et béton aux performances environnementales exceptionnelles, au sein du pôle d’excellence dédié au numérique EuraTechnologies à Lille. L’immeuble TREETEK développe 6 000 m² de surface en deux bâtiments de 4 000 et 2 000 m², et a été conçu par l’agence d’architecture MATADOR et DE ALZUA+. Réalisée en structure mixte bois et béton, l’opération vise le niveau E2C1 de la certification E+C- (niveau E1C1 atteint). Il revêt un rythme de façade en briques respectueux du dessin régulier et très ordonnancé des bâtiments industriels historiques, dont l’ancienne usine Le Blan Lafont est une trace. L’utilisation de la brique moulée main aux arêtes irrégulières, sablée, de couleur rouge foncé présente de plus une excellente résistance au feu (classement A1) et limite sa propagation. Treetek, avec son patio intérieur planté d’arbres et de vivaces sur 600 m² confirme le choix d’une palette végétale à forte variation et ambiance estivale et hivernale contrastée – vert en été, couleurs en hiver ; il s’agit d’un tiers-lieu essentiel créant un vrai lien entre les futurs occupants, conjugaison de travail et bien-être, espace de convivialité, de rencontres : la recherche du bien vivre. L’accent a été mis sur le volet digital : contrôle d’accès, contrôle de l’éclairage et contrôle des températures sont désormais accessibles au bout des doigts de chaque utilisateur depuis leur smartphone.
Il y a 4 ans et 32 jours

Les nouveaux entrants de la pompe

Retrouvez cet article dans le n° 93 de Béton[s] le Magazine Le Coréen KCP a réussi plusieurs offensives depuis sa base arrière espagnole… [©ACPresse] Dossier : Le portrait du pompage du béton en France Le Top Dix du pompage Cemex : « Le pompage est un service que le BPE se doit d’offrir » Quali Parts & Services : « Nous avons l’exclusivité de distribution de la marque sud-coréenne Dy » Les pompes nouvelles sont arrivées SoPump veut digitaliser le pompage du béton Le pompage en France, c’est une centaine de sociétés présentes sur l’ensemble du territoire. Ce sont quelque 1 800 machines en service. C’est la mise en place de 25 % du BPE transporté. Et c’est le travail en sécurité comme leitmotiv. Le pompage du béton est un métier de proximité. Si quatre entreprises agissent à l’échelle nationale, l’essentiel des prestations intervient à un niveau plus local. Mais qui occupe le Top Dix du pompage ? Le pompage du béton fait pleinement partie des services proposés par le producteur de BPE Cemex. Une offre présente sur l’ensemble de la zone d’influence de l’industriel. A partir de sa base toulousaine, Quali Parts & Services rayonne sur l’ensemble du territoire, proposant ses services d’entretien et de réparation. Mais surtout, l’entreprise assure la distribution exclusive des pompes sud-coréennes Dy. Explications avec Nelson Morgado, président de QPS. La crise sanitaire a, certes, ralenti l’activité, mais pas bridé l’innovation. Le secteur du pompage du béton en profite bien, avec une large offre de nouveautés qui arrivent sur le marché ou ont été lancées il y a peu de temps. Pour ainsi dire, il n’est pas d’industriel qui ne présente pas au moins une nouvelle machine en ce début d’année 2021.  SoPump est la petite application qui monte dans le domaine du pompage du béton. La start-up est en action depuis une année maintenant. Longtemps, en Europe, le marché de la pompe à béton a été le terrain réservé de quelques marques, en tête desquelles se plaçaient Putzmeister et Schwing Stetter. D’aucuns les considèrent encore comme les références. L’Italie était en embuscade, avec des noms comme Cifa, Imer, Mecbo ou Sermac. Si les trois dernières sont encore européennes, Cifa, Putzmeister et Schwing Stetter sont passées sous pavillon chinois. Même si les usines sont toujours basées sur le Vieux Continent. Cet article est réservé aux abonnés des revues Béton[s] le Magazine et Bâti & Isolation. Déjà abonné Mon email Mon mot de passe Oublié ? En plus de votre magazine, profitez d’un accès illimité à l’ensemble des contenus et services du site www.acpresse.fr : Lecture de l’intégralité des dossiers thématiques, reportages chantiers, fondamentaux, histoire de la construction… Consultation des indicateurs économiques (chiffres et analyses) + vos newsletters pour suivre l’info en continu Je m'abonne  Retrouvez cet article dans le n° 93 de Béton[s] le Magazine
Il y a 4 ans et 32 jours

Création du groupe international Ondura suite à l’acquisition des entreprises Alwitra et CB

Le groupe Ondura réalise un chiffre d’affaires consolidé de 350 M€, avec 2.000 employés et 13 usines dans le monde et est dirigé par Patrick Destang, le CEO d’Onduline. C'est une des ETI Françaises parmi les plus internationales. Avec Ondura, le marché français bénéficie de toute l’expertise d’un groupe pouvant apporter une réponse complète en matière d’étanchéité des toitures et des bâtiments, à destination d’une clientèle de particuliers et de professionnels.Un groupe international, une réponse unique en matière d’étanchéité.Le nouveau groupe Ondura se positionne comme un acteur international majeur dans les matériaux de construction. Le socle historique du groupe est français, avec son siège mondial à Suresnes en région parisienne, un centre de R&D près de Rouen et une usine à Comines dans le Nord. Les trois entités Onduline, Alwitra et CB opéreront de manière indépendante tout en profitant des synergies commerciales et de l’accès aux gammes de leurs sociétés sœurs. En France, Flatline, la société française nouvellement créée par le groupe assurera la distribution des solutions Alwitra. Pilotée par Patrick Destang, également CEO d’Onduline, Ondura distribue ses produits dans plus de 100 pays, à travers 32 filiales dans le monde, vers 20.000 clients dont les plus grandes chaînes de distribution professionnelle et grandes surfaces de bricolage. Elle dispose de 13 usines dans 9 pays différents, et d’un effectif de 2.000 salariés. Elle réalise 350 M€ de chiffre d’affaires.Avec les solutions de toitures légères Onduline, les écrans de sous-toitures Corotop et Ondutiss, les membranes d’étanchéité Alwitra, et les solutions d’éclairement en polycarbonate d’Onduclair, Ondura maîtrise les technologies nécessaires aux toits en pente ou plats et apporte aux distributeurs une réponse unique à destination d’une clientèle de particuliers et de professionnels. Son offre produit permet de toucher des applications en DIY et des applications professionnelles avec une plus forte composante technique, où elle s’appuie sur des couvreurs et des étancheurs, via le réseau des négociants en matériaux et distributeurs spécialisés couverture.Malgré le contexte difficile de 2020, le CA pro-forma a progressé de + 5% et de + 11% à taux de change constant. Ondura aborde l’année 2021 avec un optimisme raisonnable, grâce à son ancrage renforcé en Europe et son offre élargie, véritable relais de croissance. Fort de ces atouts, le groupe entend poursuivre son développement au cours des prochaines années, tant par la croissance du chiffre d’affaires que par des acquisitions ciblées, avec le soutien de ses actionnaires.Patrick Destang, CEO d’Onduline et d’Ondura, se réjouit : « Onduline est fière d’avoir été à l’origine de la création d’Ondura, un groupe international qui affiche haut et fort ses ambitions : développer des solutions d’étanchéité pour protéger les bâtiments et leurs occupants par tout temps. Nous avons des positions uniques sur ce segment, qui nous ont permis de croître durant la crise sanitaire de 2020. Les particuliers veulent améliorer leur habitat et leur environnement extérieur, et les professionnels et collectivités rénover le bâti existant pour en augmenter la durée de vie... ».
Il y a 4 ans et 32 jours

Comment Atlantic occupe 45% du marché des chaudières à condensation de plus de 70 kW

Si les corps de chauffe sont fabriquées en France à Pont-de-Vaux, les chaudières, elles sont finies à Boz, depuis janvier 2020, une toute nouvelle usine à 4 km de la première...
Il y a 4 ans et 35 jours

Ondura, le nouveau groupe dédié aux solutions d’étanchéité des toitures et des bâtiments

Constitué autour d’Onduline, la nouvelle société française réalise un chiffre d’affaires consolidé de 350 M€, avec 2 000 employés et 13 usines dans le monde.
Il y a 4 ans et 36 jours

Ingénieur, un métier à l’épreuve de la crise ? Participez à notre enquête !

Cette année encore, Le Moniteur, L'Usine Nouvelle, L'Usine Digitale, LSA, L'Argus de l'assurance et La Gazette des communes s'associent pour mener une enquête de grande envergure auprès des ingénieurs de France.
Il y a 4 ans et 37 jours

Le salon Mipim, rendez-vous mondial de l'immobilier, veut reprendre en présentiel en septembre à Cannes

Le salon, qui devait initialement se tenir en juin dernier après avoir été annulé en mars 2000 en pleine explosion de la pandémie, est le principal rendez-vous annuel des acteurs de l'immobilier mondial, non seulement entreprises, investisseurs, promoteurs ou prestataires mais aussi élus locaux et responsables politiques.Il avait accueilli plus de 28.000 participants venus de plus de 100 pays lors de sa dernière édition en 2019, selon Ronan Vaspart, directeur du Mipim."Le digital a fait le tampon pendant ces 12 à 18 mois mais ne suffit pas", a-t-il expliqué à l'AFP.L'édition 2021 du salon international des professionnels de l'immobilier se tiendra dans un format resserré sur deux jours au Palais des festivals en attendant son retour aux dates habituelles, depuis son lancement en 1990, du 15 au 18 mars 2022, a indiqué dans un communiqué Reed Midem, l'organisateur du Mipim.Il s'agit d'un "événement unique, conçu pour permettre à la communauté internationale de l'immobilier et aux investisseurs de se retrouver en personne" après des mois de restrictions, selon Reed Midem.L'édition de septembre sera "hybride" avec une plateforme digitale qui proposera des retransmissions complémentaires des rendez-vous d'affaires, de l'espace d'exposition et des conférences et, selon M. Vaspart, plus concentrée sur l'Europe continentale.La rencontre "va permettre de faire le point sur les secteurs d'activité ayant été particulièrement touchés et les plans d'action à mettre en place pour transformer certains modèles", a précisé le directeur.Les questions de l'avenir du monde du bâtiment de bureaux avec le télétravail forcé et l'essor du co-working, des besoins de plus d'extérieur en résidentiel accentués par le confinement ou encore du business model de l'hôtellerie ou de la conception des bâtiments dans le secteur de la santé seront notamment abordées."Deux éléments déjà initiés vont s'accélérer, c'est la dimension environnementale" et "la dimension autour de l'innovation et du digital dans ce nouveau contexte" avec des "bâtiments plus intelligents" qui permettront par exemple de mieux identifier les jauges, explique M. Vaspart."On est dans une nouvelle donne, un nouveau monde qui nous oblige à nous adapter", a-t-il poursuivi.
Il y a 4 ans et 37 jours

La préfecture de l'Aisne donne son feu vert à une usine de laine de roche Rockwool

Le 31 mars, le préfet a délivré à Rockwool, le leader mondial de la fabrication d'isolants en laine de roche, une autorisation d'exploiter dans une Zone d'aménagement concertée (ZAC) du village de Courmelles.Le géant danois, qui exploite déjà une usine dans le Puy-de-Dôme, envisage de longue date de s'y implanter mais le projet avait déjà été reporté en 2008 en raison de la crise des subprimes."Aucune disposition réglementaire ne s'oppose à la délivrance d'une autorisation d'exploitation", écrit la préfecture, quelques jours après un avis favorable - serré - du Conseil départemental de l'environnement et des risques sanitaires et technologiques.La préfecture souligne "l'absence de zone humide et d'effet sur des zones Natura 2000, un impact faible sur le bruit comme sur la circulation par la RN2, l'absence de mise en évidence d'un impact sanitaire spécifique ainsi que d'odeurs".Le projet avait pourtant reçu un avis défavorable du commissaire enquêteur. L'enquête publique concluait que les désavantages de ce projet, qui génèrerait 130 emplois directs, l'emporteraient sur ses avantages.Elle pointait entre autres l'impossibilité de mesurer l'impact paysager réel du site, qui doit comporter une cheminée de 47 m de haut, et les incertitudes concernant ses effets sur la santé des riverains.Elle notait aussi que la consommation énergétique du site représenterait "1,8 fois celle de toutes les industries de l'agglomération soissonnaise".Le conseil municipal de Courmelles s'est lui aussi prononcé, à l'unanimité, contre cette implantation. "Je suis agriculteur, j'ai manipulé le glyphosate pendant des années, maintenant interdit aux particuliers et bientôt aux agriculteurs. J'ai fait valoir le principe de précaution", expliquait il y a une semaine le maire, Arnaud Svrcek."Le préfet a vu le volet emploi", a estimé samedi l'élu sans étiquette.Les opposants au projet ont lancé des pétitions, tandis que 29 médecins ont alerté sur le rejet de substances toxiques dans l'atmosphère (particules fines, ammoniac, acide chlorhydrique...), que les vents dirigeront majoritairement vers Soissons."On se doutait que le préfet allait passer en force malgré les oppositions", a assuré Thomas Wozniak, de l'association Stop Rockwool, indiquant que plusieurs associations comptaient contester cette décision devant le tribunal administratif.Alors que la préfecture met en avant "l'abandon du four à coke au profit d'une technologie novatrice de four électrique bien moins polluante (70 % de rejets de CO2 en moins)", M. Wozniak dénonce un "greenwashing" à la Rockwood avec une technologie "qui existe depuis 25 ans"."L'avenir, ce n'est pas la laine de roche qui a un bilan CO2 énorme, mais les isolants biosourcés", fait-il valoir. Il souligne en outre que les emplois créés ne seraient pas des emplois à forte valeur ajoutée et qu'avec un projet offrant "deux emplois à l'hectare, on aurait pu faire beaucoup mieux".Sur son site internet, Rockwool explique transformer une ressource naturelle abondante en des produits qui répondent au "plus grands défis de notre monde" en améliorant les performances thermiques des bâtiments.
Il y a 4 ans et 38 jours

Plaque de plâtre : Saint-Gobain va densifier son outil de production en Roumanie

INVESTISSEMENT. Le groupe de matériaux de construction, Saint-Gobain, annonce vouloir réaliser une deuxième ligne de production de plaques de plâtre dans son usine de Turda, en Roumanie.
Il y a 4 ans et 38 jours

Malgré des voix discordantes, la préfecture valide la construction d'une usine Rockwool

USINE. Malgré l'avis défavorable du commissaire enquêteur et plusieurs opposants, la direction régionale de l'environnement, de l'aménagement et du logement a validé le projet de construction d'une unité de production de laine de roche Rockwool dans l'Aisne. Détails et réaction de Rockwool.
Il y a 4 ans et 38 jours

Somfy digitalise le savoir-faire de ses artisans grâce à EldoTravo.fr

Au travers de ce partenariat, l’industriel offre une meilleure expérience à ses clients et affirme la qualité de ses services. Un partenariat qui fait sens, EldoTravo.fr étant une solution de réponse au besoin grandissant de transparence et de recommandation de plus en plus remarqué de la part des particuliers. Un constat que la start-up voit se renforcer depuis le début de la crise sanitaire il y a un an.EldoTravo gagne la confiance de Somfy et renforce son accompagnement auprès des industrielsLe leader mondial de l’automatisation des ouvertures et fermetures de la maison et du bâtiment décide d’aider ses Experts Somfy à valoriser leur savoir-faire sur internet. Via la solution EldoTravo.fr, en sollicitant systématiquement les clients en fin de chantier et en publiant leurs témoignages accompagnés de photos et vidéos, les Experts Somfy peuvent offrir l’expérience la plus transparente possible aux particuliers à la recherche d’artisans pour leurs travaux. « Nous avons établi une relation de confiance avec les équipes d’EldoTravo.fr, basée sur un accompagnement totalement personnalisé et dynamique. La mise en avant des avis de nos clients nous a permis de booster notre visibilité en ligne et nous avons su convaincre davantage de prospects grâce aux photos qui les rassurent ! », explique Antonio Pereira, Arti 2000, gérant Arti 2000, Expert Somfy.Ce partenariat fait sens avec le développement de la start-up qui accompagne les professionnels du bâtiment dans la digitalisation de leur activité. « Notre accompagnement auprès d’industriels comme Somfy est basé sur la diversité et la fiabilité des services que nous mettons à la disposition des installateurs de la marque. Nous sommes convaincus que le digital, s’il est adopté par les professionnels, leur apporte une aide considérable dans la relation avec leurs clients et leur permet donc d’améliorer leur business. », explique Jean-Bernard Melet, cofondateur d’EldoTravo.fr.Dans les années à venir la start-up a pour ambition d’étendre encore davantage la mise à dispositions de ses services aux industriels afin de renforcer encore son positionnement de spécialiste de l’accompagnement digital des professionnels de l’habitat en France.Plus que jamais les particuliers ont besoin de recommandation et d’expertiseLa fragmentation de l’offre dans l’artisanat de l’amélioration de l’habitat, mixée à une méfiance des particuliers, génère un très fort besoin de prescription pour déclencher la réalisation de travaux. Un phénomène qui semble s’être accéléré durant la crise sanitaire, comme en témoigne le nombre de visiteurs mensuel de la plateforme EldoTravo.fr, qui est passé de 42 000 à 100 000 visiteurs uniques/mois en un an. La start-up dresse un constat similaire concernant les sollicitations de particuliers via les fiches Google My Business par artisan, elles ont augmenté de 50% entre mai 2020 et février 2021.Pour répondre à ce besoin de recommandation, EldoTravo propose des solutions visant à :Offrir aux particuliers une meilleure expérience en ligne la plus transparente possible, au travers d’un service de récolte et de diffusion d’avis vérifiés, photos à l’appui.Aider les artisans à accélérer leur digitalisation avec une offre de référencement local qui accompagne les professionnels dans l’optimisation de leur référencement sur Google My Business.
Il y a 4 ans et 38 jours

Saint-Gobain : 45 M€ pour une nouvelle ligne de plaques de plâtre en Roumanie

Saint-Gobain va agrandir son usine de Turda, dans le nord de la Roumanie. la deuxième ligne devrait être opérationnelle en 2023.
Il y a 4 ans et 42 jours

L'administration valide le PSE de la raffinerie de Grandpuits

La Direccte (direction générale des entreprises de la concurrence, de la consommation du travail et de l'emploi) d'Île-de-France "décide que l'accord collectif relatif au plan de sauvegarde de l'emploi de l'entreprise Total Raffinerie France est validé", indique un courrier de l'administration en date du 31 mars, selon un représentant de la CFDT (1er syndicat chez Total) pour le raffinage-pétrochimie.L'accord soumis par la direction a été signé fin février, par la CFDT, FO et la CFE-CGC après presque 40 jours de grève sur le site.Total avait annoncé en septembre que le raffinage à Grandpuits cesserait fin 2021 et le stockage de produits pétroliers fin 2023 pour laisser place à un projet de reconversion centré sur la production de biocarburants et de bioplastiques, et à l'exploitation de deux centrales solaires photovoltaïques.Estimé à 500 millions d'euros, ce redéploiement n'entraînera aucun licenciement mais des départs à la retraite anticipée et des mobilités internes, selon le groupe, qui a assuré que 250 postes sur les 400 que compte aujourd'hui la plateforme de Grandpuits et le dépôt associé de Gargenville seraient maintenus.Pour la CGT, qui indique dans un communiqué se "réserver la possibilité" de saisir la justice pour faire invalider le PSE, cet accord va entériner "700 suppressions de postes" parmi le personnel et les sous-traitants.Selon l'organisation syndicale, ce PSE "reproduit des modèles d'usine développés en Thaïlande ou en Espagne. La Direccte, et par ce biais l'Etat lui-même, assume donc d'entériner l'existence d'une véritable poudrière en Seine-et-Marne. Nous affirmons que cela pose le risque d'un nouveau +Lubrizol+ dans le département".L'incendie survenu le 26 septembre 2019 sur un site classé Seveso seuil haut de la société Lubrizol à Rouen avait provoqué un immense nuage de fumée noire de 22 km de long.
Il y a 4 ans et 42 jours

Vinci met des milliards sur la table pour devenir un géant des énergies renouvelables

Vinci a "signé un accord avec ACS pour l'acquisition de ses activités énergie", a-t-il indiqué jeudi dans un communiqué.Il s'agit pour le groupe français d'un "développement stratégique majeur" visant à créer un "acteur mondial de l'ingénierie, des travaux et services dans le domaine de l'énergie". L'objectif est également de "développer des projets d'énergie renouvelable".A la Bourse de Paris, vers 11H00 (heure de Paris), le titre de Vinci montait de 2,92% à 89,93 euros, dans un marché en légère hausse.L'opération, qui devrait être finalisée vers la fin de l'année, va permettre au géant du BTP de mettre la main sur la division Services industriels d'ACS.Cette entité d'environ 45.000 collaborateurs génère un chiffre d'affaires de plus de 6 milliards d'euros, principalement en Espagne et en Amérique latine. Elle est dédiée à l'ingénierie et aux travaux essentiellement dans le domaine de l'énergie.L'acquisition concerne également les participations détenues par ACS dans huit concessions dans le domaine des réseaux de transmission électrique ainsi qu'une plateforme de développement de projets de concessions dans les énergies renouvelables.Le prix de l'acquisition est estimé à environ 4,9 milliards d'euros. Payable "entièrement en numéraire", elle sera financée par la trésorerie disponible et les lignes de crédit, précise Vinci.En outre, le groupe pourra effectuer des paiements additionnels, sur une période de 8,5 ans au plus tard après la finalisation de l'opération, lorsque la société développera des capacités d'énergie renouvelable supplémentaires. Le montant maximum cumulé de ces paiements pourra atteindre 600 millions d'euros."Acteur majeur" des renouvelablesLa plateforme de développement de projets de concessions doit "permettre à Vinci de devenir un acteur majeur du secteur des énergies renouvelables".Le groupe a déjà identifié de "nouvelles opportunités" de projets pour cette activité, principalement dans le photovoltaïque, l'éolien et l'éolien en mer. Ces projets représentent le développement d'une capacité d'environ 23 gigawatts."Les synergies issues de notre complémentarité géographique, de nos expertises techniques et de nos modèles d'affaires intégrés, seront un atout de taille pour gagner de nouveaux projets et saisir des opportunités" dans le secteur des énergies renouvelables, a commenté Xavier Huillard, président-directeur général de Vinci, cité dans le communiqué.Par ailleurs, Vinci et ACS comptent également créer une coentreprise qui pourra acquérir "des actifs matures d'énergie renouvelable". Cette société serait détenue à 51% et consolidée en intégration globale par Vinci.Le groupe Vinci, connu notamment pour ses concessions d'autoroutes et d'aéroports, était déjà présent dans le domaine des infrastructures liées à l'énergie et aux énergies renouvelables via sa division Vinci Energies, qui a généré un chiffre d'affaires de 13,7 milliards d'euros l'an dernier.Cette entité, présente dans 56 pays, est un acteur majeur de l'ingénierie et des travaux électriques. Elle est active dans les infrastructures d'énergie (environ 4 milliards d'euros de chiffres d'affaires), mais aussi de communication et de transport. Elle travaille également sur des projets de bâtiments ou d'usine.Vinci Energies propose notamment à ses clients des "solutions techniques" afin de réduire leur empreinte carbone.En Europe, cette division occupe une "position forte" dans de nombreux pays dont l'Allemagne, la Suisse, la Belgique et l'Espagne, selon le site internet du groupe.Sur ces marchés, il fait face à la concurrence d'Engie, de Spie, d'Eiffage ou encore de Bouygues.Le groupe Vinci a réalisé un chiffre d'affaires de 44 milliards d'euros en 2020, en recul de 10%, en raison de perturbations liées à la crise sanitaire.