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Il y a 2 ans et 242 jours

Collecte pour la restauration de la Citadelle de Marseille

La Fondation du Patrimoine a lancé une grande collecte de dons auprès des particuliers et entreprises pour la restauration de la Citadelle de Marseille. Cette collecte se déploie sur deux ans et est ciblée sur la restauration de l’ancien Moulin et du corps de garde Est au Fort d’Entrecasteaux. Ce dernier correspond à la partie haute du Fort Saint-Nicolas, aussi appelée Citadelle de Marseille*, fort militaire du XVIIème siècle racheté par la Ville de Marseille en 2010, puis confié en 2021 à l’association La Citadelle de Marseille pour en assurer la restauration et l’ouverture au public. Classée Monument Historique depuis 1969, cette citadelle témoigne de 350 ans d’histoire de Marseille et d’histoire de France, sans jamais avoir été ouverte au public. Elle a vocation à contribuer à l’attractivité touristique de la ville, mais aussi à devenir un lieu de vie et de création culturelle, dans le respect des valeurs d’inclusion, de transmission et de développement durable défendues par ce projet depuis sa création. L’ancien Moulin et le corps de garde Est font partie des jardins Nord de la Citadelle de Marseille, qui doivent ouvrir au public au printemps 2024. L’objectif de collecte s’élève dans un premier temps à 200 000 €. https://www.lacitadelledemarseille.org  
Il y a 2 ans et 243 jours

Vers un système intégré de gestion des connaissances

Hervé Charrue - Photo : Raphaël DautignySécuriser le capital de connaissances et encourager le partage et l'appropriation des savoirs et des savoir-faire au sein du CSTB sera bénéfique pour l'ensemble des acteurs de la construction et améliorera tant la performance du CSTB que les conditions d'exercice de leurs missions par ses collaborateurs. Le programme de Knowledge Management, lancé en 2021, vise à mettre en place un système intégré de gestion des connaissances. En avril 2021, le CSTB s'est lancé dans une démarche de Knowledge Management (KM), ou gestion des connaissances de l'entreprise. Il s'agit de mettre en place un système intégré afin de gérer et exploiter de manière optimale les actifs immatériels du CSTB, en connexion avec les bases de connaissances externes. Le KM ne se réduit pas à constituer une nouvelle architecture de l'information. Il porte aussi sur la mise en visibilité, l'organisation et la transmission des connaissances entre collaborateurs. Hervé Charrue - Directeur général adjoint en charge de la Recherche et du Développement Lire la suite Rapport Responsabilité Sociétale des Entreprises & Activité 2021 Dans la continuité de son premier rapport RSE, le CSTB souhaite, cette année encore, partager son engagement sociétal pour l'année 2021 au travers de ses projets phares et de ses actions en interne.
Il y a 2 ans et 243 jours

Vers un système intégré de gestion des connaissances

Hervé Charrue - Photo : Raphaël DautignySécuriser le capital de connaissances et encourager le partage et l'appropriation des savoirs et des savoir-faire au sein du CSTB sera bénéfique pour l'ensemble des acteurs de la construction et améliorera tant la performance du CSTB que les conditions d'exercice de leurs missions par ses collaborateurs. Le programme de Knowledge Management, lancé en 2021, vise à mettre en place un système intégré de gestion des connaissances. En avril 2021, le CSTB s'est lancé dans une démarche de Knowledge Management (KM), ou gestion des connaissances de l'entreprise. Il s'agit de mettre en place un système intégré afin de gérer et exploiter de manière optimale les actifs immatériels du CSTB, en connexion avec les bases de connaissances externes. Le KM ne se réduit pas à constituer une nouvelle architecture de l'information. Il porte aussi sur la mise en visibilité, l'organisation et la transmission des connaissances entre collaborateurs. Hervé Charrue - Directeur général adjoint en charge de la Recherche et du Développement Lire la suite Rapport Responsabilité Sociétale des Entreprises & Activité 2021 Dans la continuité de son premier rapport RSE, le CSTB souhaite, cette année encore, partager son engagement sociétal pour l'année 2021 au travers de ses projets phares et de ses actions en interne.
Il y a 2 ans et 243 jours

La révolution du béton magnétique

Les bétons magnétiques doivent permettre de recharger les véhicules électriques par induction lorsqu’ils circulent. [©Magment] On n’arrête plus le progrès ! Du béton magnétique pour recharger des véhicules électriques ! Ainsi, le groupe cimentier Holcim étend sa collaboration avec l’Allemand Magment, spécialisé dans la mise au point de bétons aux propriétés magnétiques. Ce procédé va permettre de recharger les véhicules par induction lorsqu’ils circulent sur des routes équipées d’une telle technologie. Une ambition commune « Holcim et Magment partagent un objectif commun : accélérer la transition de notre monde vers un taux net zéro, grâce à des solutions innovantes et durables, déclare Edelio Bermejo, responsable du Global Innovation Center de Holcim. D’ici 2040, pratiquement toutes les nouvelles voitures vendues seront électriques. Nous sommes ravis d’associer notre béton magnétisable à la technologie de Magment. Cela va permettre aux véhicules de se recharger pendant qu’ils se déplacent. » Électrification des sols industriels Parmi les autres applications en cours de développement, il existe aussi des projets d’électrification des sols industriels. Leur objectif est de recharger en continu les robots des entrepôts et des usines. Forte de ses 120 start-up, Holcim continue d’innover, à travers le monde, en développant de nouvelles technologies pour accélérer la transition vers le zéro carbone.
Il y a 2 ans et 243 jours

Jérôme Pécresse, haut dirigeant de General Electric, quitte ses fonctions

"GE confirme le départ prochain de son vice-président sénior Jérôme Pécresse, qui a décidé de se consacrer à de nouveaux projets", a indiqué la direction de General Electric France, confirmant une information de l'hebdomadaire Marianne.M. Pécresse, polytechnicien, était le dirigeant mondial de l'activité énergies renouvelables, qu'il a dirigée pendant "pratiquement dix années". Il est l'époux de Valérie Pécresse, présidente Les Républicains du conseil régional d'Île-de-France et candidate malheureuse à la dernière élection présidentielle.M. Pécresse a "mené le processus d'intégration des activités énergétiques d'Alstom vendues à GE" en 2015, rappelle GE. "Il a notamment été le fer de lance du développement réussi de GE dans le domaine de l'éolien offshore, qui constituera un pilier essentiel de GE Vernova", a poursuivi l'industriel américain."Je laisserai mes responsabilités opérationnelles à la fin de septembre quand débutera la phase de transition", a indiqué Jérôme Pécresse dans une lettre aux salariés, consultée par l'AFP."Je suis fier des contributions que nous avons apportées ensemble au secteur des énergies renouvelables presque partout dans le monde", écrit-il encore, se disant "convaincu que le développement des énergies renouvelables partout dans le monde continuera à s'accélérer et que la technologie permettra d'en repousser les limites"."L'avenir des entités françaises est dans les mains des Américains", redoute Philippe Petitcolin délégué CFE-CGC (GE turbines à gaz). M. Pécresse pouvait "faire passer les messages" mais "maintenant, la France n'a plus d'interlocuteurs", a-t-il ajouté, voyant dans le départ du dirigeant "un mauvais signal"."Pour nous, il est foutu dehors", sourit Alexis Sesmat, délégué Sud Industrie à l'entité turbines à gaz de General Electric. "C'était le seul et dernier interlocuteur français pour Bercy. La dernière carte du gouvernement français est tombée".Dans l'article 4 de l'accord de novembre 2014, signé entre GE et l'État français lors du rachat de la branche énergie d'Alstom, que l'AFP a pu consulter, l'entreprise s'engage en effet "à proposer au conseil d'administration de GE, après en avoir informé l'État, l'élection au Conseil d'administration de GE d'un président-directeur général de nationalité française de premier plan".Selon Alexis Sesmat, cette annonce est faite "dans la ligne directe de la réorganisation et la scission du groupe".Fin 2021, General Electric a annoncé une réorganisation de ses activités, entraînant la scission en trois entreprises de l'énergie, du médical et de l'aéronautique."Le centre de gravité de la partie énergie n'est plus en France mais bien outre-Atlantique ", dénonce le délégué syndical. Dans l'accord de 2014, valable 10 ans, GE s'engage pourtant à localiser des centres mondiaux en France.
Il y a 2 ans et 243 jours

Certivea et la Smart Buildings Alliance récompensent les bâtiments connectés et communicants les plus remarquables

Des projets remarquablement innovants qui permettent de répondre dès maintenant aux enjeux de sobriété et flexibilité énergétique, et apportent aux utilisateurs des services adaptés au plus près de leurs besoins (qualité de vie, sécurité, maintenance, connectivité, etc.).Pour Patrick Nossent, Président de CERTIVEA : « Depuis 4 ans, le label Ready2Services aide les acteurs dans la transition numérique de l’immobilier. Un virage qui permet de faire d’un bâtiment une véritable plateforme de services intégrés pour répondre notamment aux enjeux immédiats de sobriété et de flexibilité énergétique tout en offrant les services numériques maintenant indispensables aux utilisateurs. Ces Trophées sont aujourd’hui l’occasion de célébrer l’engagement des lauréats et de montrer la voie à tous les acteurs de la filière pour porter le développement des bâtiments connectés, intégrés dans la ville durable et intelligente. »Pour Sébastien Meunier, Président de la Smart Buildings Alliance : « Le label R2S et ses extensions servicielles apportent une solution concrète à tous les acteurs de l’immobilier pour les accompagner dans leur transition énergétique et numérique. Bien au-delà de la seule connectivité du bâtiment, la démarche Ready2Services porte une vision du numérique responsable et créateur de valeur pour les occupants, les exploitants, les gestionnaires d’immeubles et les propriétaires. Elle propose un socle solide pour répondre aux objectifs de sobriété énergétique dans le bâtiment et aider tout le secteur à consommer moins et consommer mieux. La SBA est fière aujourd’hui de participer à la remise des Trophées R2S qui distinguent des acteurs et réalisations remarquables en termes de performances et de services numériques. »Le palmarès 2022 des Trophées Ready 2 ServicesCatégorie « Bâtiment Neuf »Immeuble Origine – ICADE – Nanterre (92)2 immeubles de bureaux neufs situés à Nanterre (92), dans le prolongement de Paris-La Défense, intégrés dans un ensemble mixte formant un îlot urbain ouvert sur la ville, occupés par le groupe Technip Energies.[Fiche d’identité complète, cliquez ici]Catégorie « Bâtiment en Exploitation »Immeuble Wave – VINCI Energies – Lille (59)Livré en 2019, WAVE est le siège régional de VINCI Energies, situé dans le quartier central de la métropole Lilloise avec Euratechnologies, 1er incubateur de startups en France.[Fiche d’identité complète, cliquez ici]Catégorie « Bâtiment en Rénovation »Le ‘156’ à Paris – MAIFLe nouveau bâtiment MAIF a accueilli en 2020 ses premiers occupants provenant de 3 sites parisiens. Le bâtiment a fait l’objet d’une rénovation concertée, avec notamment des objectifs environnementaux et numériques.[Fiche d’identité complète, cliquez ici]Catégorie « Campus »Campus Région du numérique Charbonnières-les-Bains - Région Auvergne-Rhône-AlpesOuvert depuis janvier 2021, le campus accueille des étudiants, enseignants, entreprises et industriels sur un espace de 11 ha. Le lieu se veut un catalyseur d’innovations permettant d’accompagner la transformation numérique des acteurs régionaux.[Fiche d’identité complète, cliquez ici]Top 3 des acteurs qui cumulent le plus grand nombre de m² labellisés ou en cours de labellisationCovivioIcadeRedman[Plus de détails, cliquez ici]Le Label R2S, la meilleure preuve qu’un bâtiment est équipé, connecté et sécurisé pour des services numériques performants et durablesReady2Services (R2S) est le socle de la famille des labels ‘Numérique’ délivrés par CERTIVEA. Déployé dès 2018, le label R2S, fruit de la collaboration entre CERTIVEA et la Smart Buildings Alliance, a été conçu pour aider les acteurs, quel que soit leur secteur, dans le déploiement d’infrastructures numériques sûres, évolutives et performantes, pour améliorer le bien-être, la performance et la durabilité au sein des bâtiments tertiaires, quelle que soit leur étape de vie (neuf, exploitation ou rénovation).Les bâtiments labellisés R2S répondent à des exigences couvrant six thèmes complémentaires : Connectivité - Architecture Réseau – Equipements et interfaces – Sécurité numérique – Management Responsable – Services Numériques.Une nouvelle version du label a été lancée à l’été 2022. Ces 4 années ont en effet été l’occasion de nourrir une réflexion poussée autour de l’évolution de ce label unique en son genre, en prenant en compte les retours d’expériences, les réglementations récentes, mais aussi les attentes des maîtres d’ouvrage, bureaux d’études, prestataires… Parmi les nouveautés de la nouvelle version, on notera une prise en compte accrue des réseaux sans fil (Wi-Fi, GSM, IoT, géolocalisation), l’ajout d’un critère sur la présence d’un Building Operating System (BOS) ou encore la fiabilité de la connexion internet. Autres points importants : la clarification du rôle des protocoles (BACnet, LonWorks, KNX…), qui ont toute leur place dans un bâtiment labellisé R2S, et l’accent mis sur un numérique plus responsable et performant afin de réduire l’empreinte environnementale du bâtiment.Le label R2S en données clés+100 : Bâtiments labellisés ou en cours de labellisation R2S1,7 M de m² :Surface cumulée des bâtiments engagésX 3 : Progression du nombre de projets engagés entre 1er trimestre 2021 et 202250/50 : Répartition des projets entre IDF et reste de la France+100 : Référents R2S formés à travers la France
Il y a 2 ans et 243 jours

RECTOR &TECHNIWOOD : L’association de la préfabrication industrielle béton et bois pour une décarbonation intelligente des bâtiments

Dans un contexte règlementaire encourageant la performance énergétique par la mixité des matériaux et la sobriété carbone des bâtiments, la construction hors-site est en plein développement. Pour son retour sur le salon BATIMAT, RECTOR, spécialiste de la préfabrication d’éléments en béton, a ainsi souhaité partager son stand avec TECHNIWOOD, industriel français leader des façades biosourcées […]
Il y a 2 ans et 243 jours

Wavin France dévoile ECH'O

Le Groupe Wavin est depuis les années 90 fortement impliqué dans une démarche de développement durable à l'échelle mondiale. En France, le programme ECH'O s'articule autour de 3 piliers majeurs en faveur de l'environnement et d'une politique sociétale responsable. Impliquant l'ensemble des salariés, il traduit une volonté de répondre à des objectifs de développement durable et de démontrer les contributions RSE de l'entreprise.
Il y a 2 ans et 244 jours

Le gouvernement demande aux préfets d'aller plus vite sur l'éolien

Face à la crise énergétique, quatre ministres dont ceux de l'Intérieur, de la Transition écologique et de la Transition énergétique demandent aux services déconcentrés de l'Etat de "mettre en place toutes les actions requises afin de faciliter et d'accélérer le traitement des dossiers (...) en cours et à venir".Au total, ces dossiers en cours d'instruction représentent "près de 10 GW de projets photovoltaïque et éolien et environ 5 TWh de capacités de gaz renouvelables".Pour le gouvernement, il s'agit de "faire en sorte qu'aucune instruction n'excède 24 mois, sauf situation très exceptionnelle", selon cette circulaire. Les services déconcentrés de l'Etat sont également invités à observer "un objectif de 18 mois entre la date de dépôt d'un projet de renouvellement ou d'augmentation de puissance de parcs éoliens existants, et sa mise en œuvre". Selon Michel Gioria, délégué général de France énergie éolienne, le syndicat des professionnels de la filière éolienne (350 membres), la circulaire vise notamment l'accélération du traitement des dossiers d'éolien terrestre, sources de controverses récurrentes dans l'opinion. "Il y a 5 GW de projets (d'éolien terrestre) en attente d'autorisation, soit 15% de la capacité déjà installée sur le territoire, c'est considérable", a-t-il souligné.Alors que le développement de projets éoliens suscite de plus en plus d'opposition, freinant leur déploiement, le gouvernement veut faire adopter un projet de loi pour accélérer les procédures et rattraper le retard de la France dans l'éolien et le solaire.En février, dans un discours prononcé à Belfort, peu avant la guerre en Ukraine, le président Emmanuel Macron avait fixé les lignes de la nouvelle politique énergétique de la France, en annonçant un vaste plan de relance du nucléaire civil et l'essor de l'éolien marin, mais un coup de frein sur les éoliennes terrestres."Dans la situation énergétique que nous connaissons avec des hivers qui s'annoncent difficiles au moins jusqu'en 2025, l'indisponibilité d'une partie du parc nucléaire et la crise du gaz russe, l'éolien, le solaire et la méthanisation sont les seuls moyens de production que nous avons pour produire des megawattheures en plus", a souligné Michel Gioria, délégué général de France énergie éolienne.
Il y a 2 ans et 244 jours

Renouvelables : les filières éolienne et pompes à chaleur en plein essor

ANALYSE. Les énergies renouvelables ont représenté 13% de la consommation d'énergie primaire et 19,3% de la consommation d'énergie finale brute de la France en 2021, selon des données compilées par le ministère de la Transition énergétique. Le poids des ENR dans l'économie tricolore s'accroît progressivement, certaines connaissant un développement plus marqué que d'autres.
Il y a 2 ans et 244 jours

Renouvelables : les filières éolienne et pompes à chaleur en plein essor

ANALYSE. Les énergies renouvelables ont représenté 13% de la consommation d'énergie primaire et 19,3% de la consommation d'énergie finale brute de la France en 2021, selon des données compilées par le ministère de la Transition énergétique. Le poids des ENR dans l'économie tricolore s'accroît progressivement, certaines connaissant un développement plus marqué que d'autres.
Il y a 2 ans et 244 jours

UNICEM entreprises engagées : 30 ans d’engagements pour le développement durable dans la filière carrières et matériaux de construction

Cette assemblée générale qui s’est déroulée en présence d'Alain Boisselon, Président de l’Union Nationale des Industries de Carrières et Matériaux (UNICEM) et de Louis Natter, Président de l’association UNICEM entreprises engagées (UEE), a été l’occasion de revenir sur les 30 ans d’engagements en matière de développement durable de la profession à travers les actions concrètes portées par les entreprises de la filière. L’assemblée générale a constitué le point d’orgue de la série d’évènements qui se sont déroulés en régions et qui se poursuivront jusqu’à la fin de l’année.Un programme qui valorise 30 ans d’engagements Au cours de cet évènement, Catherine Bonin, Directrice de l’international, du développement et de l’innovation au Bureau de recherches géologiques et minières (BRGM), Présidente UEE de 2006 à 2011, Benoist Thomas, Secrétaire général du Syndicat national du béton prêt à l’emploi (SNBPE) et David Henry, Directeur entreprise Henry Frères, Président de l’UNICEM Bretagne, sont intervenus dans le cadre d’un débat sur le thème « 30 ans d’engagements, et maintenant ? ».Cette séquence d’échanges aura permis de montrer pourquoi les entreprises souhaitent s’engager dans une démarche de progrès, comment les actions mises en place fédèrent les équipes en interne et comment les démarches ont évolué de la dimension environnementale vers celle, plus globale, de la RSE.Pour David Henry : « Notre engagement dans la charte environnement nous a permis, grâce à l’accompagnement d'UEE, de nous lancer dans le label RSE. Afin d’assurer cette transition, nous avons lancé une concertation en interne et l’idée a été très vite acceptée par les collaborateurs. C’est une des clés du succès de la démarche du Label RSE proposé par la profession ».Pour Benoist Thomas : « Le Label RSE est une démarche de management qui offre aux collaborateurs des chemins de progrès et permet aux entreprises de s’exprimer aussi bien sur leurs outils de production que sur les solutions constructives qu’elles proposent à leurs parties prenantes. Telles étaient les raisons qui ont motivé le SNBPE au moment de son engagement ».Cette table ronde a également été l’occasion de dresser les enjeux à venir.Catherine Bonin « Parmi les grands enjeux qui attendent la profession, on peut citer la gestion de l’eau et l’indépendance minérale. Une partie de la solution résidera dans la capacité des entreprises et des territoires à être plus résilients. »L’accompagnement des PME dans leur démarche RSE et en faveur de l’environnement est au cœur des missions et actions menées par l’association. En 2020, un guide méthodologique destiné à ces entreprises a par exemple été publié afin de faciliter leur engagement dans la RSE puis plus récemment un quiz de sensibilisation à visée pédagogique sur ces enjeux leur a été proposé. La mise à disposition d’outils et l’organisation de formations à destination des adhérents font également partie intégrante des dispositifs d’accompagnement déployés par UEE.François Asselin, président de la Confédération des petites et moyennes entreprises (CPME) est revenu lors de cette assemblée générale sur la question « RSE, contrainte ou opportunité pour les PME ? ».Pour François Asselin : « Faire reconnaître les entreprises vertueuses fait partie des combats de la CPME. L’Etat doit absolument encourager ceux qui s’engagent dans ces démarches exemplaires et leur donner un avantage ».L’objectif immédiat est donc d’obtenir, de la part des pouvoirs publics, une reconnaissance formelle des labels sectoriels tels que le Label RSE UEE, qui valide toutes les conditions requises.Pour Louis Natter : « Cette reconnaissance est attendue par nos entreprises. Elle aura mécaniquement deux effets : mobiliser encore davantage de PME en faveur de la RSE et générer des contreparties tangibles, en particulier la prise en compte de ces démarches dans la commande publique et privée ».Une remise de prix pour saluer les engagements des entreprises adhérentes Lors de l’assemblée générale, les lauréats du concours vidéo « 30 ans d’engagements » lancé en février 2022 ont reçu leur prix des mains du jury exclusivement externe, présidé par Sylvain Boucherand, président de la commission environnement du Conseil Economique, Social et Environnemental. Le jury était composé de : Florence Cayola, Présidente du groupe presse Cayola, Guiomar Henriques, Responsable Collecte de l’OPCO2i Île-de-France, Claire Pétreault, Créatrice et Présidente des Pépites Vertes, Florence Presson, Adjointe au Maire de Sceaux déléguée aux transitions et à l’économie circulaire & solidaire.Ce concours de vidéos ouvert aux collaborateurs des entreprises adhérentes, avait pour objectif de valoriser les métiers et les actions mises en place par les professionnels de la filière, en lien avec le Label RSE ou la démarche Cap Environnement. Les Lauréats : Catégorie« Fiers de nos sites » :1ère prix, attribué à Hugo Dusseux, entreprise Lafarge2ème prix, attribué à Kévin Thirion, entreprise EiffageCatégorie « Passionnés par nos métiers » :1ère prix, attribué à Marc Chimot, groupe CB2ème prix, attribué à Carine Pires, entreprise GarandeauCatégorie « Engagés avec nos parties prenantes » :1ère prix, attribué à Anthony Nguyen, entreprise Vicat2ème prix, attribué à Abigail Torres Guerrero, entreprise CemexPrix Coup de cœur du jury, attribués à :David Wingel, entreprise CemexPierre Proy, groupe CBPrix du Public (décernés à la suite d’un vote du public sur youtube) :Catégorie « Fiers de nos sites » attribué à Antoine Moreau, entreprise Bronzo PerasssoCatégorie « Passionnés par nos métiers » attribué à Lucas Jacquemet, entreprise CMGOCatégorie « Engagés avec nos parties prenantes » Abigail Torres Guerrero, entreprise Cemex
Il y a 2 ans et 244 jours

Réouverture du bâtiment B de l’université de Caen

L’université de Caen occupe une place à part dans l’histoire des universités françaises. Fondée au 15e siècle, elle est l’une des universités les plus anciennes. Détruite entièrement pendant la seconde guerre mondiale en 1944, sa reconstruction qui s’est étalée sur presque 10 ans a été l’occasion de repenser son organisation. Ainsi, Henry Bernard, son architecte urbaniste, avait décidé de rebâtir une université monumentale sur le modèle des « campus » à l’anglo-saxonne. Ce pari audacieux symbolisait la renaissance de la cité normande. 64 ans plus tard, la rénovation du bâtiment B, classé au titre des monuments historiques depuis 1962, est une nouvelle étape de l’évolution de l’université de Caen. La restauration du bâtiment B qui vient de se terminer, après 6 ans de travaux et 29 millions d’euros de budget, permet d’offrir aux étudiants des conditions d’apprentissage optimales grâce à de nombreuses innovations pédagogiques et à un cadre de vie de qualité, tout en mettant en place des innovations technologiques. Cette rénovation intégrale du bâtiment B, première grande étape des rénovations du Campus 1, témoigne de la stratégie de l’université de Caen en matière de gestion immobilière tournée vers l’avenir : des bâtiments connectés, performants énergétiquement, vecteurs de vie étudiante et d’animation et ouverts aux nouvelles manières d’enseigner en relation avec l’utilisation du numérique.Pour Lamri Adoui, président de l’université de Caen Normandie : « La rénovation intégrale du bâtiment B est un condensé de l’ambition écologique et technique de l’université en matière de gestion de son patrimoine immobilier et témoigne de la permanence de cette vision novatrice du célèbre architecte, Henri Bernard. Projet très ambitieux, cette rénovation vise à la fois l’excellence thermique et la modularité des espaces dans un patrimoine classé. »Histoire : Tel le Phénix, l’université de Caen renaît de ses cendresLe Bâtiment B du campus 1, classé monument historique, a été conçu après la deuxième guerre mondiale par le grand architecte Henri Bernard dans le cadre de la reconstruction du centre-ville de Caen après sa destruction pendant la bataille de Normandie. Achevé en 1967 et ayant subi de multiples modifications, le bâtiment était en mauvais état et nécessitait une rénovation complète pour retrouver son dessin initial et être en phase avec les usages contemporains.Les travaux entre traditions et innovationsFermé entre 2016 et 2022, le bâtiment B a été intégralement vidé pour n’en conserver que la structure primaire. En accord avec les architectes des Bâtiments de France et selon le projet initial d’Henri Bernard, des modifications des façades ont été opérées afin d’ouvrir le bâtiment sur le campus et sur la ville, de faire entrer plus largement la lumière naturelle et d’en faciliter la circulation.L’opération a duré 6 ans durant lesquels jusqu’à 25 corps d’état se sont succédés sur le chantier. Le budget total, hors équipements, est de l’ordre de 29 M€ apportés par l’université de Caen, la Région Normandie, le département du Calvados et le Plan de relance (France Relance). Malgré les « surprises » comme la présence d’amiante qui a nécessité un désamiantage complet (15.000 m2) et les retards générés par la crise sanitaire, le planning initial a été respecté. Le bâtiment B est prêt pour la rentrée de septembre 2022 grâce, notamment, à la maîtrise de la technologie BIM (modélisation des données du bâtiment) par les équipes de l’Université.Des innovations technologiques...Afin de répondre à l’ambition de l’université en termes de développement durable, le bâtiment intègre les impératifs écoresponsables actuels. Ainsi, en choisissant la pose de fenêtres ultraperformantes alliées à une chaudière biomasse bois-gaz, l’université́ anticipe le durcissement de la règlementation en matière de consommation énergétique. De plus, le recours à des matériaux biosourcés a été privilégié par l’architecte ; ainsi, les menuiseries (tablettes, chaises) sont en hêtre, un bois local. Par ailleurs, un système de récupération de l’eau de pluie assure une part significative de la consommation du bâtiment....Aux innovations pédagogiquesL’innovation pédagogique est au cœur de la restauration du bâtiment. C’est pourquoi, l’équipe du CEMU, le service d’appui à la pédagogie de l’université qui accompagne les enseignants dans leur démarche pédagogique et l’intégration du numérique dans leurs enseignements, va prendre ses quartiers au 3ème étage du bâtiment B. Dès à présent, les enseignants peuvent utiliser tous les outils digitaux à leur disposition et compter sur les ingénieurs pédagogiques du CEMU pour les épauler dans leur démarche pédagogique, notamment dans l’intégration du numérique dans leurs enseignements.Afin de mettre les étudiants dans les meilleures conditions d’apprentissage, un ensemble de 18 salles de travail connectées d’une capacité de 8 et 12 personnes facilitant le travail collaboratif autour d’un écran sont réparties dans le bâtiment. Cela permet aux étudiants de se retrouver, d’échanger et de se poser. L’idée est de favoriser le travail collaboratif en mode projet. Les salles de cours intègrent tous les outils numériques (prises réseaux, WiFi) et les équipements audiovisuels (vidéoprojecteurs, écrans, casques, etc.). Certaines salles de cours sont modulables et peuvent, si nécessaire, devenir des grandes salles d’examen grâce à un jeu de cloisons mobiles, spécialement étudiées pour offrir une isolation phonique adéquate lorsqu’elles séparent les salles.Le bâtiment possède même son propre plateau d’enregistrement vidéo et son studio audio de qualité professionnelle.
Il y a 2 ans et 244 jours

Bouygues Travaux Publics investit dans une technologie innovante pour l'éolien offshore

Avec l'acquisition exclusive de la technologie d'embase flottante OO-Star, détenue par Floating Wind Solutions, Bouygues Travaux Publics souhaite accélérer son développement de l'éolien offshore.
Il y a 2 ans et 244 jours

L'entreprise Le Foll TP rejoint le groupe Spie batignolles

Historiquement implantée dans l'Eure, à Corneville-sur-Risle, Le Foll TP est une entreprise familiale créée en 1922 et reprise par Madame Sophie Le Foll au décès de son fondateur, Monsieur Pierre Le Foll. Elle est dirigée depuis plusieurs années par Monsieur Pierre Gil. En plus de son siège social, Le Foll TP dispose de 3 agences situées à Pont-Audemer (27), Caen (14) et Andrésy (78).Le positionnement client et la zone géographique couverte par cette entreprise complètent parfaitement l'offre proposée par Spie batignolles et sa branche Travaux Publics et Environnement composée de Spie batignolles malet, Spie batignolles valérian, Spie batignolles favier et Spie batignolles vallia (travaux routiers, terrassement, paysage).Pour Eric de Balincourt, directeur général de la branche infrastructures de Spie batignolles : « Spie batignolles a toujours affirmé sa volonté d'élargir ses positions à l'ensemble du territoire national sur ces métiers. Fort de notre ancrage sur toute la moitié sud de la France avec les équipes de Spie batignolles malet et de Spie batignolles favier, l'acquisition de la société Le Foll TP va désormais nous permettre de rayonner sur toute la Normandie mais aussi l'Ile de France et de développer des synergies clients fortes. Nous sommes très heureux d'accueillir ces équipes au sein de notre Groupe ! »Trois autres sociétés sont également concernées par ce rachat :Transloc, spécialisée dans le transport et la location de matérielsLennuyeux, entreprise de démolition dans le bâtiment, l'industrie et les ouvrages d'artSepra, société de construction qui intervient sur des petits programmes résidentiels et des équipements publics.L'ensemble représente un chiffre d'affaires annuel de 45 millions d'euros et 270 collaborateurs.Parmi les références en grands projets de ces équipes, citons la construction de l'A28 sections Rouen (76) - Alençon (61) et Rouen - Neufchâtel (76) ou encore de l'A29 entre Beuzeville (27) et Honfleur (14), de l'A88 de Sées à Falaise (61) ou l'élargissement autoroutier de l'A13 et de l'A31 de Crimolois (21) à Langres (52).Pour Sophie Le Foll qui transmet la présidence de l'entreprise à Jean-Charles Robin, président de Spie batignolles : « Je tiens à remercier chaleureusement l'ensemble des collaborateurs de la filiale historique du Groupe pour tout le chemin parcouru au cours de ces longues années, parfois dans des conditions de marché difficiles et suis satisfaite de passer la main à un acteur majeur et reconnu qui partage nos valeurs. Je suis convaincue que ce rapprochement est une magnifique opportunité de croissance et de développement pour le futur groupe constitué. »Les différents acteurs de l'opération ont été assistés des conseils de Natixis Partners et de Fieldfisher pour les cédants et de ceux de King & Spalding, Pwc et Arsène pour Spie batignolles.
Il y a 2 ans et 245 jours

Les habitants d'un bidonville au Rwanda dénoncent leur éviction "forcée"

Jeudi, le bidonville de Kangondo, surnommé comme d'autres "Bannyahe" ("là où je peux déféquer"), qui jouxte certains des quartiers les plus chics de Kigali, a été soudain encerclé par la police. Cette dernière a empêché les résidents d'aller et venir, à moins qu'ils ne déménagent définitivement, tandis que des drones diffusaient des messages invitant les résidents à plier bagages.Une date limite a été fixée à dimanche, alors que les habitants, qui se sont pourvus en justice, attendent une décision du tribunal pour la fin du mois."Ils nous ont dit que nous n'étions pas autorisés à accéder à la zone. Nous avons dormi dehors depuis jeudi", a déclaré un habitant à l'AFP samedi.Les bulldozers ont rasé les bâtiments tandis que les locataires désespérés se sont précipités pour sauver ce qu'ils pouvaient, s'emparant de tôles, de briques et de meubles."Depuis jeudi, je ne peux pas aller travailler, je ne peux pas acheter de la nourriture ni trouver de l'eau potable pour mes enfants", a déclaré à l'AFP une habitante de Kagondo."J'ai été retenue prisonnière ici, pourtant j'y vis depuis plus de 20 ans", a-t-elle ajouté, portant son enfant pendant que son mari débarrassait leurs affaires.Samedi matin, de nombreuses familles avaient fait leurs bagages et montaient dans des bus et des camions destinés à les transporter vers Busanza, dans la banlieue de Kigali, où les propriétaires se sont vu proposer de nouveaux logements.La police affirme que ce processus de relogement s'était déroulé "sans heurts"."Jungle sans loi""Je ne veux pas des maisons qu'ils nous donnent parce qu'elles sont petites et laides", a cependant déclaré à l'AFP un père de cinq enfants. "Je veux une compensation financière équitable. S'ils veulent ma terre, ils devraient la payer", a-t-il ajouté.Car les propriétaires accusent le gouvernement de sous-évaluer leurs parcelles, tandis que les locataires se sont vu offrir une compensation maximale de 30.000 francs rwandais (30 dollars) pour trouver un abri temporaire.Le quartier est au centre d'un conflit de longue date entre les habitants et les autorités, qui ont réservé la zone pour le développement.Le gouvernement du président Paul Kagame, critiqué par les groupes de défense des droits de l'homme pour sa gestion du pays d'une main de fer, s'est efforcé de moderniser ce pays d'Afrique de l'Est, Kigali étant au centre d'un programme d'infrastructures de plusieurs milliards de dollars.Les appartements de Busanza ont été construits par un ancien chef de police devenu magnat de l'immobilier, qui cherche maintenant à développer Kangondo en complexes immobiliers haut de gamme.Le porte-parole de la police, John Bosco Kabera, a nié tout recours à la force."Il n'y a pas de déplacement ou d'expulsion par la force. L'exercice de relocalisation des personnes se fait en douceur", a-t-il dit à l'AFP.Les résidents de Kangondo ont attaqué les autorités en justice en 2018, réclamant une meilleure compensation, et un jugement est attendu le 29 septembre."Expulser de force les résidents avant que le tribunal n'arrive à un verdict est une violation claire des lois", a déclaré aux médias locaux Innocent Ndihokubwayo, un avocat représentant les résidents."Si cela continue, le Rwanda deviendra comme une jungle sans loi", a-t-il averti.
Il y a 2 ans et 245 jours

Rector & Techniwood : l’association de la préfabrication industrielle béton et bois pour une décarbonation intelligente des bâtiments

Pour son retour sur le salon BATIMAT, RECTOR, spécialiste de la préfabrication d’éléments en béton, a ainsi souhaité partager son stand avec TECHNIWOOD, industriel français leader des façades biosourcées préfabriquées en bois. Cette association a pour objectif de proposer des solutions de préfabrication industrielle bois et béton hors-site pour une décarbonation intelligente des bâtiments.Une vision partagée de la construction durable et de la construction hors-siteGrâce à ses gammes de produits et systèmes préfabriqués bas carbone, RECTOR est résolument engagée en faveur de la décarbonation, démarche qui s’inscrit dans la stratégie RSE de l’entreprise.Spécialisé depuis 10 ans dans la fabrication de systèmes constructifs en bois (ossature bois, charpente, CLT) et particulièrement de façades bois préfabriquées avec son produit innovant Panobloc® 100% made in France, le groupe TECHNIWOOD affiche également sa volonté de s’inscrire dans une démarche vertueuse en faveur de la transition énergétique.Pour Côme Lesage, Responsable Marketing Stratégique de Rector : « Nous avons eu l’occasion de rencontrer les équipes de Techniwood sur des actions de prescription commune, et très rapidement, nous avons réalisé que nos visions et nos valeurs étaient très proches. »Les deux entreprises croient en la complémentarité des matériaux béton et bois car chacun dispose d’atouts propres qui justifient leur mise en œuvre au meilleur endroit pour répondre aux contraintes des bâtiments durables (thermique, acoustique, feu, bas carbone,...).Pour favoriser le développement de la construction hors-site, RECTOR et TECHNIWOOD sont convaincus qu’il est primordial de :s’appuyer sur les compétences des entreprises générales et de gros œuvre et de les accompagner, le plus en amont possible dans la transition vers un changement des modes constructifs ;proposer des solutions innovantes industrialisées laissant libre cours à la créativité des architectes. Celles-ci ne doivent pas nécessiter de techniques de mise en œuvre trop disruptives pour accélérer les délais de construction et maintenir le logement à un niveau de prix acceptable ;viser l’excellence industrielle grâce à l’utilisation d’outils numériques, tels que le configurateur Caméléo® de RECTOR, compatibles avec l’accélération des chantiers BIM.Des systèmes complémentaires pour porter une offre globaleAyant pour ambition commune d’être la référence dans son domaine pour la construction durable, les deux entreprises s’appuient sur une offre réunissant :la structure plancher-dalle préfabriquée en béton bas carbone Caméléo® sans mur porteur de RECTOR, qui intègre tous les éléments résistants dans l’épaisseur du plancher. Composé d’une trame de poteaux et d’une dalle en béton armé, Caméléo® permet la construction de bâtiments évolutifs dont les espaces intérieurs et les façades peuvent être facilement reconfigurés au fil du temps. Grâce à sa grande adaptabilité (pas de retombées de poutres, ni de séparatifs lourds), les plateaux libres se prêtent à toutes les configurations et le bâtiment construit aujourd’hui s’adapte aisément à de nouveaux usages demain. La transformation peut être ainsi prévue dès la conception de l’ouvrage en choisissant judicieusement l’emplacement des poteaux. RECTOR laisse ainsi aux architectes toute latitude pour exprimer leur créativité dans un cadre évolutif, tout en minimisant les coûts et l’impact environnemental des reconversions. L’écoconception de Caméléo® privilégie systématiquement le bon matériau au bon endroit et accompagne dès les premières esquisses la mixité constructive et tout particulièrement le bois.le panneau de façades éco conçu Panobloc® CLT à isolation intégrée de TECHNIWOOD qui garantit une excellente performance de l’enveloppe du bâtiment (au niveau thermique, feu et carbone) et une mise hors d’eau et hors d’air plus rapide du chantier. Panobloc® est un treillis structurel en bois composé d’un empilage de plis croisés composé d’une alternance de lames de bois massifs et de bandes isolantes de remplissage occupant l’espace libre entre les lames de bois. Fabriqués grâce à un process industriel totalement automatisé sous assurance qualité, les panneaux de façade Panobloc® ont un impact carbone négatif. Ils apportent une grande qualité d’usage et de confort aux occupants (isolation thermique et acoustique, qualité de l’air, ...).Ce système combiné offre tous les bénéfices de la préfabrication (gain de temps, de ressources, de coûts et réduction des nuisances sur chantier) tout en garantissant un bâtiment pérenne, à impact carbone fortement réduit, conforme à la RE2020.
Il y a 2 ans et 248 jours

Holcim vend ses activités indiennes

CESSION. Le cimentier, Holcim, a annoncé avoir achevé la cession de ses activités en Inde. Une opération qui vise à renforcer son bilan et à poursuivre le développement de sa branche Solutions & Products, notamment via des acquisitions.
Il y a 2 ans et 248 jours

Sto déploie une offre de produits essentiels à l’ITE

Après la nouvelle organisation mise en place fin 2021 pour le marché de la maison individuelle, avec à sa tête Julien Velar, Sto France franchit une nouvelle étape dans son développement. Sto’n’Go (Sto et c’est parti) : c’est le nom de l’offre proposée par Sto à destination de ses clients artisans en maison individuelle composée de l’essentiel de produits pour les travaux d’isolation thermique par l’extérieur et de ravalement. Et pour faciliter les démarches administratives de ses clients, Sto met en place une cellule dédiée pour l’obtention de l’aide des Certificats d’Économies d’Énergie (CEE). La sélection Sto’n’Go, c‘est plus de 300 articles pensés pour les chantiers en maison individuelle. Disponibles en enlèvement ou en livraison, ces produits essentiels sont toujours tenus en stock dans les 18 agences du réseau Sto pour répondre rapidement aux différents besoins du marché de la rénovation énergétique. Cet article Sto déploie une offre de produits essentiels à l’ITE est apparu en premier sur Planète Bâtiment.
Il y a 2 ans et 248 jours

Le matériau bois : une partie de la solution pour décarboner la construction

En France, la part du bois dans la construction (secteur résidentiel et non résidentiel) atteint près de 10 % et devrait fortement progresser dans les prochaines années*. Utilisé dans la construction depuis toujours, le bois s’impose dorénavant en tête des matériaux renouvelables et biosourcés et ses usages se diversifient. Il entre ainsi dans la construction, la réhabilitation, la rénovation et l’aménagement. Le bois représente des enjeux écologiques, sociétaux et environnementaux majeurs. Développement du Grand Paris, chantiers liés aux Jeux Olympiques, construction grande hauteur, maison individuelle... les débouchés ne manquent pas aussi bien dans la construction collective qu’individuelle, pour le tertiaire comme pour le résidentiel. La mise en application récente de la RE 2020 est également un facteur de développement du marché pour les prochaines années.BATIMAT met une nouvelle fois en lumière la construction bois et toute la filière en amont comme en aval. Un secteur de 1 521 m2, lui est entièrement dédié dans le Pavillon 1 avec près de 40 exposants inscrits à date. Il s’agit d’organismes tels que FNCB CFDT, FRANCE BOIS FORET, CODIFAB et d’industriels de renom : ADKALIS, AGIBOIS SAS, ALSAFIX, ARCLIN LLC, BEST WOOD SCHNEIDER, C.B.S.T./ SCIERIE JOSLET, CAMBRAI CHARPENTE, ESSETRE S.R.L. UNIPERSONALE, FELIX DISTRIBUTION, GOLBALUX SP. Z O.O., GRABO, GROUPE BERKEM, GROUPE SETIN, HANS HUNDEGGER AG, JUNGINGER NATURHOLZWERK GMBH, KAMEOKA CONSTRUCTION CO., LTD, KYOCERA UNIMERCO FASTENING A/S, LES FILS DE CYRILLE DUCRET, LIGNATEC, LIXOL, MACH DIFFUSION, MALAYSIAN TIMBER COUNCIL, MANUBOIS, MAX EUROPE BV, MONNET SEVE, PGB EUROPE NV, PIVETEAU BOIS, SCHILLIGER BOIS SAS, SCIERIE EYMARD, SELECTION VOSGES, SIMONIN SAS, SIMPSON STRONG TIE, STEICO SE, TECHNIWOOD.Cet espace, ainsi que les conférences dédiées permettent à la fois de saisir tous les enjeux fondamentaux de ce matériau et de valoriser la diversité des produits en bois français.* France Bois Forêt – Le Bois dans la Construction – sept 2020Les conférencesLe bois est au cœur des sujets de décarbonation et sera notamment la thématique de deux conférences Experts’Corner :Mercredi 5 octobre de 16h à 16h45. (Agora 1, Pavillon 1) :Bois & traçabilité dans le cadre des Jeux de Paris. En partenariat avec le CODIFAB et France Bois ForêtCette conférence sera animée par Marie Jorio, Coordinatrice du Projet France Bois 2024 (projet accompagnant le bois dans les Jeux de Paris soutenu par le CODIFAB et France Bois Forêt, accompagné par le CNDB) qui animera en présence de Georges-Henri Florentin, Président de France Bois 2024, une table ronde composée de Jérôme Martinez, Responsable du Label Bois de France ; Paul Emmanuel Huet, Directeur Exécutif PEFC France ; Aurélien Sautière, Directeur Exécutif FSC France, la Solidéo et Paris 2024.Animateur : Jean-Marc Pauget, Architecte Expert Construction Bois CNDBJeudi 6 octobre de 16h à 16h45 :Le bois et le biosourcé pour atteindre la neutralité carbone à horizon 2030. En partenariat avec le CODIFAB et France Bois ForêtCette conférence traitera en introduction de la RE2020, du positionnement des bâtiments actuels, des objectifs du futur. Une table ronde donneraensuite la parole à deux cabinets d’architectes qui viendront témoigner lors de cette session de leurs projets ou réalisations respectives, dont le cabinet A003 architecte.Animateur : Jean-Marc Pauget, Architecte Expert Construction Bois CNDB.Il sera aussi l’une des thématiques phares du plateau TV de Bati-Journal, organisé par Éditions des Halles et BATIMAT et situé au cœur du secteur bois, avec le soutien de l’Interprofession nationale France Bois Forêt. Le bois sera abordé lors de quatre émissions :La préfabrication des bâtiments boisConstruction bois, préserver la ressourceLe bois, matériau biosourcé par essenceLe bois, matériau des circuits courtsDemandez votre invitation gratuite pour BATIMAT
Il y a 2 ans et 248 jours

Wavin France dévoile ECH’O des actions visant à renforcer et à afficher ses engagements RSE localement

 Le Groupe Wavin est depuis les années 90 fortement impliqué dans une démarche de développement durable à l’échelle mondiale. En France, le programme ECH’O s’articule autour de 3 piliers majeurs en faveur de l’environnement et d’une politique sociétale responsable. Impliquant l’ensemble des salariés, il traduit une volonté de répondre à des objectifs de développement durable […]
Il y a 2 ans et 248 jours

TotalEnergies revend sa participation dans un champ pétrolier au Kurdistan irakien

"TotalEnergies a finalisé la cession de sa participation de 18% dans le champ pétrolier onshore de Sarsang, dans la région du Kurdistan irakien, à ShaMaran Petroleum Corp, une société cotée au Canada et en Suède et spécialisée dans l'exploration et le développement pétroliers au Kurdistan, pour un montant ferme de 155 millions de dollars", indique le groupe dans un communiqué.TotalEnergies assure qu'un "montant conditionnel supplémentaire de 15 millions de dollars pourra s'ajouter en fonction de la production et des prix du baril".Découvert en 2011, le champ de Sarsang est exploité par l'entreprise américaine HKN, qui détient la plus grosse part du projet (62%), tandis que le gouvernement régional du Kurdistan en possède 20%.Avec sa part de 18%, TotalEnergies produisait environ 3.500 barils par jour en 2021 à Sarsang, précise-t-il.Le groupe Total, qui a promis en ajoutant "Energies" à son nom de diversifier sa production avec plus d'énergies renouvelables mais dont la stratégie pour le climat reste très critiquée, y compris par certains actionnaires, a produit quelques 14.000 barils "équivalent pétrole" par jour en Irak en 2021.Il détient également une participation de 22,5% dans le champ pétrolier d'Halfaya, au sud du pays, et a signé en septembre 2021 un contrat avec le gouvernement irakien pour des investissements qu'il estime à 10 milliards de dollars afin de construire un réseau de collecte et d'unités de traitement de gaz, une unité de traitement de l'eau de mer et une centrale photovoltaïque.
Il y a 2 ans et 248 jours

Mondial du bâtiment 2022 : KAWNEER dévoile ses dernières innovations

Spécialiste des structures architecturales en aluminium, KAWNEER place ces tendances au coeur de sa stratégie d’innovation en proposant une offre de menuiseries et de services complète et pertinente, au plus près des attentes des professionnels. Au Mondial du Bâtiment, du 3 au 6 octobre 2022 à Paris Expo, l’entreprise présentera en exclusivité ses derniers développements, […]
Il y a 2 ans et 249 jours

Bordeaux veut augmenter fortement son autonomie énergétique

"Nous n'avons pas attendu cette crise pour travailler sur l'autonomie énergétique de nos bâtiments les plus énergivores, a déclaré l'élu écologiste lors de sa conférence de presse de rentrée. Bordeaux va passer de 7 à 41% d'autonomie énergétique d'ici 2026. C'est un pas de géant que notre ville va franchir"."L'équipe municipale travaille depuis deux ans à la réduction de nos consommations énergétiques et au développement des énergies renouvelables", a-t-il poursuivi.La Ville doit ainsi livrer avant la fin 2023 dix installations solaires et compte couvrir 27% de sa consommation annuelle d'électricité avec du photovoltaïque d'ici la fin de la mandature en 2026. Elle prévoit aussi de se débarrasser du gaz pour l'alimentation de ses piscines qui seront raccordées à des réseaux de chaleur (géothermie ou bois).Par ailleurs, elle va abaisser le chauffage à 19 degrés dans les établissements culturels et les écoles, et même 12 degrés dans les grands gymnases. Dans les piscines, la température de l'eau comme de l'air "sera baissée", indique aussi la municipalité sans plus de précision. A partir de janvier, "la Ville éteindra 55% de ses points lumineux de 01H00 à 05H00 du matin", a ajouté M. Hurmic, qui prévoit également "d'éteindre l'illumination de 90% des bâtiments publics"."L'État nous demande de faire 10% d'économies d'énergie. A Bordeaux nous sommes plus ambitieux, nous réduisons de 12% les consommations énergétiques de la ville et nous réduisons de 20% notre facture d'éclairage public", a-t-il assuré."C'est un effort important et nécessaire pour réduire la facture énergétique de la Ville, dont l'augmentation pourrait s'élever à environ 20 millions d'euros", a avancé le maire. Ce montant est le "pire" scénario envisagé par la municipalité, selon l'adjointe chargée des finances, Claudine Bichet.Face à ce surcoût, M. Hurmic a appelé l'État à aider les collectivités. "Comme d'autres maires de grandes villes, je demande aujourd'hui à l'État d'ériger un bouclier tarifaire pour les services publics du quotidien en régulant un marché volatile et spéculatif, à l'instar du bouclier tarifaire qui protège aujourd'hui les ménages de la flambée de l'énergie", a-t-il plaidé.
Il y a 2 ans et 249 jours

Les Journées européennes du patrimoine célébrent le patrimoine durable

Du 16 au 18 septembre 2022, les Journées européennes du patrimoine célébrent le patrimoine durable. Le patrimoine a un rôle à jouer pour un avenir plus sobre et écologique. En réinterrogeant les pratiques, les enseignements tirés des traditions, la continuité des savoir-faire, les acteurs du patrimoine (monuments historiques publics et privés, sites archéologiques, musées, services d’archives, détenteurs de pratiques reconnues comme patrimoine culturel immatériel…) agissent dès aujourd’hui pour renforcer la durabilité du patrimoine. Les professionnels du patrimoine privilégient par exemple les restaurations utilisant le réemploi et les matériaux naturels (pierre, bois, terre, etc.), au plus près des exigences environnementales. Le patrimoine contribue également à la redynamisation et au développement économique et touristique des territoires ainsi qu’à la promotion des savoir-faire présents sur tout le territoire ; il constitue en outre une ressource d’emplois locaux non délocalisables. Autant d’enjeux au cœur de ces Journées européennes du patrimoine 2022. Dès vendredi, le public scolaire va participer à l’opération « Levez les yeux ! » en partenariat avec le ministère de l’Éducation nationale et de la jeunesse. Les élèves découvriront ou redécouvriront le patrimoine de leur région en s’éveillant à l’importance de sa protection et de sa valorisation. Les Journées européennes du patrimoine sont organisées par le ministère de la Culture. Placées sous le patronage du Conseil de l’Europe et de la Commission européenne, elles reçoivent le concours des propriétaires publics et privés de monuments historiques. Elles bénéficient de l’implication du Centre des monuments nationaux, du réseau des Villes et Pays d’art et d’histoire, de la Fondation du Patrimoine, du réseau des Conseils d’architecture, d’urbanisme et de l’environnement, et des associations de sauvegarde du patrimoine présentes depuis la toute première édition : les Vieilles Maisons françaises et La Demeure Historique.   https://journeesdupatrimoine.culture.gouv.fr  
Il y a 2 ans et 249 jours

Salon international du patrimoine culturel : le développement durable, ADN du patrimoine

Porteur, par essence, d’une promesse de transmission, le patrimoine témoigne, à travers toutes ses manifestations, de la recherche constante du juste équilibre entre conservation, durabilité et développement. C’est bien cet ADN particulier qui lui donne une légitimité pour promouvoir et incarner une dynamique éco-responsable, adaptée aux besoins du présent, tournée vers l’avenir, mais surtout soucieuse de l’héritage laissé aux générations futures. Le Salon International du Patrimoine culturel – qui réunira plus d’une centaine d’ateliers et manufactures d’art venus de toutes les régions de France – sera l’occasion de montrer comment les professionnels du patrimoine intègrent les enjeux du développement durable dans chacune de leurs actions. Héritiers de gestes et savoir-faire anciens, les professionnels du patrimoine savent faire cohabiter les procédés traditionnels et l’utilisation de nouvelles pratiques innovantes pour répondre aux nouveaux défis du développement durable. Faire converger préoccupations patrimoniales et objectifs de développement durable pose cependant de nombreuses questions d’actualité : comment concilier les contraintes de rénovation énergétique conformément à la loi Climat du 22 août 2021 et la préservation du patrimoine ancien ? Comment améliorer le confort thermique sans nuire au caractère des édifices restaurés ? Comment promouvoir la reconstruction tout en recherchant la préservation des tissus urbains hérités du passé ? Comment assurer la protection des paysages à l’heure de développement de l’éolien ? Autant de thèmes qui reflètent une tension entre la préservation du patrimoine et la prise en compte de l’environnement dans la cadre du développement durable. Réunissant cette année encore les principaux acteurs du patrimoine, le salon permettra ainsi de confronter les expériences de chacun et d’engager un dialogue autour du thème du développement durable pour conjuguer conservation du passé et construction d’un meilleur environnement
Il y a 2 ans et 249 jours

L'Autorité de la concurrence nomme une responsable du développement durable

L'Autorité de la concurrence a annoncé le 7 septembre la création d'un poste de responsable de son réseau d'experts en développement durable, confié à la juriste Elise Provost.
Il y a 2 ans et 250 jours

La CAPEB, IRIS-ST et Knauf renouvellent leur partenariat

Ce renouvellement de partenariat a été signé par Jean-Christophe REPON, Président de la CAPEB, via sa filiale Béranger Développement, Christine MUSCAT, Directeur Général de KNAUF et David MORALES, Trésorier d’IRIS ST. Il vise à continuer de proposer aux artisans du bâtiment des solutions produits, systèmes et services de rénovation globale, dans les domaines d’expertise de KNAUF : l’aménagement intérieur et l’isolation thermique de l’enveloppe des bâtiments. La proposition veut accompagner les évolutions des marchés, en répondant en particulier aux attentes de confort dans l’habitat, à la gestion des déchets de chantiers, à l’amélioration des conditions de travail sur chantier et à la formation. Ce partenariat participera également à améliorer leurs performances des artisans en les sensibilisant sur les risques sur les chantiers.Dans le cadre de cet accord, la CAPEB s’engage à informer les entreprises artisanales du bâtiment de l’offre de KNAUF, spécialement adaptée aux rénovations énergétiques de qualité, à contribuer aux contenus des fiches solutions techniques de KNAUF ainsi qu’à la promotion de celles-ci auprès des entreprises artisanales du bâtiment. La CAPEB participera également à la conception des contenus de formation réalisés par KNAUF et les promouvra auprès des entreprises adhérentes. Ces formations, dispensées en régions, seront proposées aux entreprises artisanales du bâtiment qui pourront bénéficier d’un tarif spécifique.KNAUF s’engage, de son côté, à élaborer et à communiquer sur des outils et des services en ligne pour accompagner le choix et la mise en œuvre de ses solutions. KNAUF élaborera, en collaboration avec la CAPEB, des fiches sur les solutions techniques et les services proposés et assurera une assistance technique spécifique accessible aux entreprises adhérentes.Enfin, KNAUF mettra en œuvre des actions en faveur de la prévention des risques professionnels avec l’Institut de Recherche et d’Innovation sur la Santé et la Sécurité au Travail (IRIS-ST). Ces actions pourront, par exemple :consister à diffuser auprès des clients les « Mémos santé-sécurité » réalisés par l’Institut pour les différentes familles de métier de l’artisanat du bâtiment (diffusion sur les centres de formation et sur le site web de KNAUF) ;associer la CAPEB et IRIS-ST pour faire évoluer des produits KNAUF, notamment par le biais de tests réalisés par des entreprises artisanales du bâtiment ;·étudier la possibilité d’intégrer dans les formations techniques KNAUF une composante « prévention », à partir d’éléments fournis par IRIS-ST.De son côté, IRIS-ST s’engage à :sensibiliser les entreprises artisanales du bâtiment, clients de KNAUF, à la prévention des risques professionnels, par la mise à disposition du contenu des mémos santé /sécurité réalisés par IRIS-ST (format papier, numérique) ;mettre en place et animer des démarches de test d’équipements et/ou de matériaux (rédaction cahier des charges, constitution d’un groupe d’artisans volontaires, rédaction questionnaire, animation de réunions d’échanges, rapport de test...) ;sensibiliser et promouvoir auprès des entreprises artisanales les innovations de KNAUF.Jean-Christophe REPON, Président de la CAPEB, déclare :« Heureux de pouvoir signer le renouvellement de ce partenariat avec KNAUF et IRIS-ST. Il est en effet essentiel de pouvoir proposer aux entreprises que nous représentons les meilleures solutions en termes d’innovation et de sécurité. La promotion de la performance énergétique des bâtiments ne se fera pas sans l’entreprise artisanale que je représente. C’est notre activité. C’est notre mission. »Christine MUSCAT, Directeur Général de KNAUF ajoute :« KNAUF se réjouit de contribuer à relever aux côtés des entreprises artisanales du bâtiment les enjeux de la rénovation globale, tant sur le plan de la sobriété énergétique que du confort dans l’habitat. Ensemble avec la CAPEB, nous continuerons à développer les actions les plus appropriées pour donner aux artisans les moyens de relever ces défis. »David MORALES, Trésorier d’IRIS ST, explique : « La santé et la sécurité au travail sont des enjeux essentiels dans le quotidien des métiers du BTP. En tant qu’organisme de référence sur ces sujets auprès des artisans, IRIS-ST est très heureux de nouer ce partenariat et de pouvoir ainsi mettre en avant des solutions innovantes, adaptées aux besoins des petites entreprises et répondant aux exigences de prévention des risques professionnels. »
Il y a 2 ans et 250 jours

La CAPEB, IRIS-ST et KNAUF renouvellent leur partenariat afin d’accélérer la rénovation énergétique et sensibiliser les professionnels du bâtiment aux risques sur les chantiers

#Bâtiment / #Partenariat / #Formation / #Isolation / #RénovationEnergétique Paris, le 8 septembre 2022 – La Confédération de l’Artisanat et des Petites Entreprises du Bâtiment (CAPEB), via sa filiale Béranger Développement, l’Institut de Recherche et d’Innovation sur la Santé et la sécurité au Travail (IRIS-ST), et KNAUF, leader des produits d’isolation thermique et acoustique et […]
Il y a 2 ans et 251 jours

Point.P poursuit le développement de ses agences éco-responsables

ENGAGEMENT. A l'instar des agences parisiennes de Javel et du Point du jour, l'agence Point.P du Plessis-Pâté (91) a été pensée en tenant compte des particularités territoriales afin de proposer un concept respectueux de l'environnement.
Il y a 2 ans et 251 jours

Sto déploie Sto'n'Go, une offre de produits essentiels ITE et ravalement pour la maison individuelle

Après la nouvelle organisation mise en place fin 2021 pour le marché de la maison individuelle, avec à sa tête Julien Velar, Sto France franchit une nouvelle étape dans son développement avec Sto'n'Go. Plus de 300 articles toujours en stock dans les agences StoSystème d'ITE complet (avec sous-enduit, colle, isolant en polystyrène, fixation), accessoires, nettoyants et décontaminants, primaires et revêtements de façade, éléments décoratifs et modénatures, laques, préparation et finitions intérieures, outillage… La sélection Sto'n'Go, c‘est plus de 300 articles pensés pour les chantiers en maison individuelle.Disponibles en enlèvement ou en livraison, ces produits essentiels sont toujours tenus en stock dans les 18 agences du réseau Sto pour répondre rapidement aux différents besoins du marché de la rénovation énergétique.Des enduits de finition pré-teintésCôté finition, Sto tient en stock jusqu'à 15 teintes incontournables, disponibles immédiatement et faciles à réassortir, en Stolit K1.5 et StoSilco K1.5.Nuances de blanc, de beige et de gris, cette sélection réalisée par le service StoDesign, expert de l‘esthétique en façade, permet de répondre largement aux besoins de rénovation des maisons individuelles, quelles que soient les spécificités locales.Et pour les artisans qui ne trouveraient pas leur bonheur parmi ces 15 teintes incontournables, les agences Sto peuvent teinter jusqu‘à 6 seaux dans les 32 couleurs du nuancier Maison Individuelle, pour un enlèvement immédiat.Un service dédié à la constitution des dossiers CEEDans le cadre du dispositif de demande de subvention de la prime CEE en maison individuelle, Sto met à disposition de ses clients un interlocuteur dédié pour les accompagner dans la constitution de leur dossier. Sto se positionne comme un guichet unique, collecteur de CEE à la place des artisans auprès de la plateforme de son partenaire mandataire, EBS.Résultat : des démarches administratives simplifiées, les primes CEE étant déduites de la prochaine commande auprès de Sto.Les agences Sto recentrées sur le marché de la maison individuelleFace à l'explosion du marché de la rénovation énergétique, Sto a décidé d'adapter son organisation logistique pour mieux servir ses clients.Une plateforme régionale dédiée aux plus gros clients nationaux a été mise en place dans la région lyonnaise afin de décharger les agences. Celles-ci peuvent désormais se concentrer sur les besoins des artisans locaux en maison individuelle, en quête de rapidité et de réactivité.« Avec un plan de développement sur 5 ans pour le marché de la maison individuelle, Sto se donne les moyens pour s'inscrire comme un acteur de la transition écologique. Avec cette offre, nous souhaitons fluidifier les travaux de rénovation énergétique de nos clients en maison individuelle, dont les carnets de commande sont pleins sur un an ! Notre accompagnement permet de répondre à leurs besoins rapidement, ils peuvent ainsi se concentrer sur la réalisation de leurs chantiers », souligne Julien Velar, coordinateur national maison individuelle Sto France.
Il y a 2 ans et 251 jours

RATP Real Estate a un nouveau directeur général

CARNET-NOMINATION. La filiale développement immobilier et de gestion d'actifs de la RATP a acté la nomination de Stéphane Soreau, en charge auparavant de l'offre de "corpoworking" au sein de la même entité.
Il y a 2 ans et 251 jours

Eolien en mer : Bouygues Travaux publics s'offre une technologie d'embase flottante

ACQUISITION. Le groupe Bouygues passe par une opération de croissance externe afin d'accélérer le développement de l'éolien offshore, en rachetant une technologie innovante dans le flottant.
Il y a 2 ans et 251 jours

Lars Petersson nouveau CEO du Groupe Velux succède à David Briggs qui prend sa retraite

Lars Petersson a occupé le poste de président et de directeur général chez Hempel, entreprise mondiale de revêtements basée au Danemark. Avant Hempel, Lars Petersson a occupé des postes de direction chez Inwido, un fabricant de fenêtres et portes, ainsi que chez Tarkett, une société multinationale française spécialisée dans les revêtements de sols. Depuis 2019, Lars Petersson est membre du conseil d'administration de l'entreprise danoise Dovista.Pour Jørgen Jensen, président du conseil d'administration du Groupe VELUX : « Lars Petersson apporte une vaste expérience grâce à son solide parcours au sein d'entreprises industrielles mondiales appartenant à des secteurs connexes. Sous sa direction, Hempel a lancé avec succès une stratégie de croissance ambitieuse axée principalement sur les clients et a démontré un engagement tout aussi fort à assumer le leadership en matière de Développement Durable. Je suis convaincu que nous avons trouvé en Lars Petersson la personne adéquate pour poursuivre la stratégie de développement du Groupe VELUX. »Pour Lars Petersson : « Je suis honoré et ravi d'avoir l'opportunité de diriger le Groupe VELUX. Je travaille dans le secteur des matériaux de construction depuis 20 ans et j’ai toujours admiré VELUX pour la puissance de sa marque et la qualité de ses produits. L'entreprise est l’héritage d’une stratégie avant-gardiste dans son secteur tout en gardant un sens aigu de sa responsabilité sociétale. J'ai hâte de rejoindre VELUX et de contribuer aux objectifs définis visant à développer l'entreprise tout en mettant toujours plus haut l’enjeu de Développement Durable »Lars Petersson a 53 ans. D’origine suédoise, il réside dans la région de Copenhague.David Briggs prend sa retraite et quitte VELUXAprès cinq ans passés à la tête du Groupe VELUX, David Briggs quittera son poste de CEO en septembre.Pour Jørgen Jensen, président du conseil d’administration du Groupe VELUX : « David a mené une carrière couronnée de succès de près de 30 ans chez VELUX et, sous sa direction ces cinq dernières années, le rayonnement de VELUX s'est poursuivi et accéléré. Je suis désolé de le voir partir mais je respecte pleinement son désir de passer plus de temps avec sa famille. Avec le conseil d'administration et une solide équipe de direction, David a mis en place une stratégie efficace afin d’assurer une croissance significative à l'horizon 2030 et à véritablement montré la voie en termes de Développement Durable au sein du secteur de la construction. Nous demeurons pleinement attachés aux principes fondamentaux de cette stratégie. »Pour David Briggs : « Diriger cette magnifique entreprise et représenter ces talentueux collaborateurs ont été le plus grand honneur et privilège de ma vie. Depuis 2018, nous avons obtenu des résultats dépassant ce que beaucoup pensaient ne pas être possible et nous pouvons tous en être fiers. Et cela grâce à l'engagement de nos collaborateurs mais aussi de nos partenaires, fournisseurs et clients. Je pense sincèrement que le meilleur est à venir pour VELUX, comme le prévoit la stratégie d'entreprise que nous avons lancée en 2021 et qui commence déjà à donner de bons résultats. Il m'est difficile de m'éloigner de cette entreprise que j'aime tant et en laquelle je crois, mais je sens que le moment est venu pour moi et pour ma famille. Avec un conseil d'administration solide, soutenu par les actionnaires historiques de VELUX, je ne doute pas que VELUX continuera à se développer et demeurera ce qui est probablement l’une des meilleures entreprises de matériaux de construction au monde dans les années à venir. »
Il y a 2 ans et 252 jours

Plusieurs manifestations pour l'accès au logement réclament le classement de la Bretagne en zone tendue

Entre 350, selon la préfecture, et 500 personnes, selon les organisateurs, ont défilé dans Douarnenez. Ils étaient une centaine à Concarneau et environ 400 à Vannes, selon les préfectures du Finistère et du Morbihan.Certains manifestants portaient des pancartes "Vue sur mer pour les précaires" ou encore "Que ferais-je sans toit ?", selon un photographe de l'AFP."Nous voulons l'application du dispositif de zone tendue aux villes qui le réclament (...) afin de débloquer plusieurs leviers publics pour produire des logements à prix abordables", a expliqué à l'AFP Maxime Sorin, membre du collectif "Droit à la ville Douarnenez".Le classement en "zone tendue", accordé par décret, permet notamment aux municipalités d'imposer une fiscalité complémentaire sur les logements vacants et les résidences secondaires, une régulation des locations touristiques de courte durée et un encadrement des loyers."Aucune commune de Bretagne n'est placée en zone tendue, ça cristallise le mécontentement. Les élus et les citoyens sont démunis face à folie spéculative immobilière. (...) Les acheteurs locaux ne peuvent plus suivre", a réagi Gaël Roblin, membre du collectif costarmoricain "Tregor Argoat Goelo Zone Tendue".Pour expliquer le phénomène, ce conseiller municipal d'opposition à Guingamp (Côtes-d'Armor) cite la multiplication des résidences secondaires, "qui s'est accélérée pendant le Covid", les déménagements de résidents venus de Rennes, Nantes et de la région parisienne, "avec un pouvoir d'achat important", ainsi que le développement de la location courte durée."Les salariés du littoral sont donc repoussés très loin à l'intérieur des terres, avec des temps de trajet démesurés", a estimé M. Roblin.
Il y a 2 ans et 252 jours

Alphi rachète Simpra

Simpra assure la construction de coffrage sur mesure pour les chantiers de travaux publics et de génie civil. [©ACPresse] Le groupe savoyard Alphi vient d’annoncer l’acquisition de 100 % des titres de l’industriel francilien Simpra. Né il y a 60 ans, ce dernier est spécialisé dans la construction de coffrages sur mesure à destination des chantiers de génie civil et d’ouvrages fonctionnels. A sa tête, Jean-Paul Buvat et Alain Nouhaud en assurent le développement, tant en France qu’à l’international où Simpra réalise aujourd’hui 50 % de son chiffre d’affaires. A l’issue de la transaction, Alain Nouhaud poursuit son activité au sein de l’entité Simpra, assurant ainsi la permanence des savoir-faire et l’aboutissement de nombreux projets à l’étude… De plus en plus internationale Pour Alphi, cette intégration constitue un véritable renforcement de l’offre commerciale vers des outils jusqu’à maintenant peu présents dans la gamme. A savoir, des équipements spécifiques, réalisés à façon. En même temps, le groupe savoyard accroît sa capacité à proposer des coffrages pour dalles et voiles, de type grimpant, des étaiements ou encore des systèmes de protection de façades. « Il s’agit pour nous d’une opportunité de mutualisation des compétences, aussi bien au niveau des équipes que des matériels, en France comme à l’international », indique Alexandre Souvignet, président l’Alphi. Et de poursuivre : « Alphi et Simpra partagent des valeurs clefs comme le service clients, l’expertise technique, l’excellence opérationnelle et, surtout, un mode de management bienveillant ». [Web uniquement] La reprise de Simpra confirme le dynamisme du groupe Alphi en matière de développement et de croissance externe. Elle intervient quelques mois après l’acquisition du Suisse Adria, forte de près de 100 ans d’expertise dans l’étaiement et le matériel pour la construction. Et s’inscrit dans le cadre de l’accélération du déploiement d’Alphi à l’international, en direction du Portugal, du Royaume-Uni, de l’Afrique et de l’Inde.
Il y a 2 ans et 252 jours

Rehau Window Solutions et AGC Glass Europe partenaires pour développer des portes et fenêtres avec du verre isolant sous vide

Zoom sur la fenêtre du futur REHAU Window Solutions et AGC Glass Europe franchissent une étape stratégique, le 20 juillet dernier à Erlangen (siège social de REHAU), dans le développement et la commercialisation de solutions innovantes et d'avenir pour les fenêtres avec vitrage isolant sous vide. Ces deux leaders mutualisent leur savoir-faire et leur expertise technique pour proposer des solutions complètes et durables, apportant une meilleure efficacité énergétique, un niveau de confort plus élevé et une recyclabilité optimale. Une solution pérenne qui répond aux attentes du marché et aux défis énergétiques Pour Frank Zimmermann, CTO de REHAU Window Solutions : « Nous nous réjouissons de cette collaboration très réussie entre deux leaders de l'innovation. REHAU Window Solutions franchit ainsi une nouvelle étape cohérente sur le chemin de la croissance que nous poursuivons activement avec nos clients et nos partenaires dans le but de toujours oser la différence et booster notre business. » Une fenêtre à la pointe de la technologique, toujours plus écologique Fortement engagée en faveur du développement durable, REHAU a mis en place, depuis de nombreuses années, un système de recyclage de chutes de production pour les réintégrer dans la fabrication de nouveaux profilés de fenêtres EcoPuls (contenant entre 40 et 75% de matière première recyclée). En utilisant de la matière première recyclée issue notamment des fenêtres en fin de vie, REHAU réduit de plus de 88% les émissions de CO2 liées à la production*, soit 97.000 tonnes de CO2 en moins. Leur approche unique de recyclage EcoPuls représente un concept de durabilité inégalé dans l'industrie. Le vitrage isolant ultra-mince sous vide FINEO d'AGC Glass Europe (à partir de 6 mm d'épaisseur totale) contribue également à atteindre des performances thermiques et acoustiques inégalées, une meilleure transmission lumineuse et un poids réduit. Grâce à son faible poids (jusqu’à 4 fois plus léger et plus fin qu’un triple vitrage traditionnel), ce nouveau vitrage représente un véritable avantage dans les phases de production et d'installation. Le vitrage plus fin et les valeurs de performances énergétiques plus élevées, se traduisent par une efficacité des ressources et une réduction des émissions de CO2. La construction monolithique, composée exclusivement de verre, permet un recyclage simple et complet de la vitre FINEO, qui est donc 100% recyclable.Pour Serge Martin, CEO de FINEO Glass : « Nous sommes très enthousiastes quant à cette collaboration avec REHAU. Ce développement conjoint apportera des solutions parfaitement en phase avec les attentes du marché, à travers des produits innovants, économes en énergie et durables. » La combinaison innovante de la fenêtre et du verre sous vide FINEO permet d'obtenir un meilleur design, de meilleures performances et même une meilleure durabilité. Une deuxième collaboration entre REHAU et AGC Glass Europe pour le marché Français Nous sommes heureux d’annoncer une nouvelle collaboration entre CLARA by AGC et REHAU France, visant à combiner le design unique en verre Clara avec les avantages d’un cadre de fenêtre en PVC de la marque REHAU. Grâce à ce nouveau partenariat nous accélérerons la sortie sur le marché d’une des fenêtres les plus modernes de sa génération dans un matériau 100% recyclé et recyclable. La fenêtre Clara by Rehau est en cours de développement et sera disponible en 2023 sur le marché Français.
Il y a 2 ans et 252 jours

Vinci désigné candidat attributaire de la concession de l'aéroport de Tahiti Faa'a

CONTRAT. L'Etat a choisi de confier l'exploitation, l'entretien et le développement de la plateforme aéroportuaire de Tahiti Faa'a, à Papeete, à Vinci Airports.
Il y a 2 ans et 253 jours

Au Caire, une île vent debout contre sa transformation en "Manhattan"

Manifestations, affrontements et arrestations ont commencé mi-août "quand les autorités ont donné quatre jours aux habitants de zones préemptées par le gouvernement pour partir", affirme à l'AFP un habitant quinquagénaire souhaitant conserver l'anonymat.Sur cette île du nord du Caire, dans un coude du Nil, 100.000 Egyptiens vivent dans des maisons en briques ocres entre champs verdoyants, canaux d'irrigation et bétail. Chaque jour, par milliers, ils vont travailler en ferry dans les autres quartiers du Caire.Pour le ministre du Logement Assem el-Gazzar, ces logements sont "insalubres". Et ceux qui contestent sont "des forces du mal" qui "s'opposent systématiquement aux projets de développement".En 2017 déjà, des affrontements entre habitants et forces de sécurité avaient fait un mort.A l'époque, le gouvernement accusait les habitants d'avoir construit "illégalement depuis plus de 15 ans" des maisons sur des terres agricoles. Faux, répondait alors l'avocat Khaled Ali en partageant sur Facebook des actes de propriété ainsi que l'acte de naissance d'une habitante née sur l'île "il y a 100 ans"."Ce n'est pas Manhattan"Deux ans plus tard, la justice administrative tranchait, justifiant les expulsions par "l'intérêt public".Le père de famille de 50 ans, travailleur indépendant dans le secteur agricole, se dit prêt à partir, mais pas à n'importe quel prix."On nous propose 70 euros par m2, mais avec ça, on ne peut rien acheter hors de l'île", se lamente-t-il, alors même que Le Caire ne cesse de dire que réaménager Warraq peut rapporter gros.Déjà, l'ancien président Hosni Moubarak, renversé en 2011 par la rue, voulait transformer la plus grande île de la capitale --six km2-- en quartier d'affaires.Le président actuel, Abdel Fattah al-Sissi, un ancien maréchal, a réactivé ce plan et l'a confié au génie militaire."Ce n'est pas Manhattan mais Warraq", fanfaronnait le gouvernement en publiant fin juillet les plans d'"Horus City", du nom du dieu du soleil de l'Egypte ancienne.Gratte-ciel scintillants, héliports et marinas cohabiteront avec des espaces verts pour près d'un milliard d'euros.Les habitants pourraient y trouver leur place, assure à l'AFP un autre résident, trentenaire, qui refuse aussi de donner son nom."Nous voulons seulement que 1,26 km2 soit laissé aux habitants –même derrière un mur", plaide-t-il.Et si l'Etat refuse, "on ne partira pas", menace-t-il, assurant posséder tous les documents prouvant qu'il occupe légalement les lieux. "On paye nos impôts, l'eau et l'électricité, pourquoi ne pourrait-on pas bénéficier du développement de notre île ?"Au-delà de Warraq, d'autres îles craignent de subir le même sort, comme Dahab, plus au sud.Cette année, 17 d'entre elles, dont Warraq, ont perdu leur statut de réserves naturelles après avoir été confiées à l'armée."Vider les pauvres"Mais s'opposer au remodelage du Caire peut coûter cher : en 2019, le militant Ramy Kamel a été détenu pendant plus de deux ans pour "terrorisme", parce qu'il "avait dénoncé des déplacements forcés de chrétiens, notamment à Warraq", explique à l'AFP l'historienne Amy Fallas.Si les quartiers plus cossus ne sont pas épargnés par la politique du bulldozer, les secteurs informels défavorisés sont les premiers visés, assure l'urbaniste Ahmed Zaazaa.Le gouvernement veut "entièrement vider le cœur de la capitale des pauvres", dit-il à l'AFP, dans un pays où deux tiers des habitants vivent autour du seuil de pauvreté.Pour l'urbaniste, l'Etat cherche "à pourvoir aux besoins de la nouvelle capitale" qui se construit à 50 kilomètres de là.Selon lui, "pour que la main-d’œuvre puisse y accéder, (l'Etat) construit des logements sociaux et des axes de transport qui modifient la géographie du Caire" et "détruisent les quartiers historiques du centre" et leur tissu social.A Warraq aussi, les habitants disent redouter de se retrouver déracinés et isolés dans des quartiers où la solidarité entre voisins qui leur permet actuellement de survivre aura disparu.Depuis la prise de pouvoir de M. Sissi en 2013, M. Zaazaa compile rapports officiels, coupures de presse et images satellitaires.Selon lui, environ "15.000 bâtiments ont été démolis au Caire" --un chiffre énorme car "Beyrouth, par exemple, compte 18.000 bâtiments".A Warraq, "les non-résidents ne peuvent pas entrer", explique l'habitant trentenaire.Et les experts en sont réduits à consulter des images satellitaires pour constater l'avancement des destructions.
Il y a 2 ans et 255 jours

Socotec acquiert Ascaudit

Le groupe Socotec a racheté l’intégralité du bureau d’études d’Ascaudit [©Socotec] Le groupe Socotec a racheté l’intégralité du bureau d’études d’Ascaudit. Ceci, via sa filiale Socotec Smart Solutions. Présent sur toute la France avec 10 implantations, Ascaudit est composé de 135 experts techniques et réalise plus de 12 M€ de chiffre d’affaires. Il travaille en direct sur de grands projets tertiaires, ainsi qu’avec les bailleurs sociaux, les grandes copropriétés et les collectivités territoriales.   « Rejoindre le groupe Socotec et sa filiale Smart Solutions permet à nos équipes de passer une nouvelle étape favorable au dimensionnement de nos activités, déclare Hervé Lasseigne, dirigeant historique d’Ascaudit. Nous obtenons une présence renforcée sur le territoire français, une base de clients plus large et un partage des expertises qui vient accélérer le développement de prestations. En particulier sur les enjeux de la sobriété énergétique, de l’adaptation et de la rénovation des bâtiments. » Une culture similaire Grâce à cet achat, une nouvelle offre complète de solutions d’ingénierie de spécialités est ainsi proposée. Elle accompagne les acteurs publics et privés sur la performance énergétique de leurs bâtiments, leur accessibilité et leur sécurité.  « Nos positionnements se combinent avec d’un côté, Socotec Smart Solutions qui œuvre déjà sur ce marché auprès des propriétaires fonciers et industriels. Puis de l’autre, avec Ascaudit très bien implanté auprès des bailleurs sociaux et des collectivités, précise Hervé Montjotin, directeur général du groupe Socotec. Notre culture est proche, puisque les deux entreprises sont composées d’ingénieurs de la construction avec des compétences fortes et recherchées et une culture du service clients, qui ne transige pas et qui apporte une qualité de service forte et reconnue à ses clients et partenaires. » Avec cette acquisition, le groupe devient n°3 sur le marché français de la transition énergétique et de de la performance du patrimoine immobilier. Son panel de prestations s’étend aussi aux attestations d’effets équivalents dans le cade la loi Essoc sur tout projet d’innovation.
Il y a 2 ans et 255 jours

Architecture, écologie, patrimoine : les passions de Charles

ArchitectureDans les années 1980, Charles a lancé une croisade contre une architecture moderne qu'il jugeait "laide", comparant même à une "monstrueuse verrue" un projet d'extension de la National Gallery sur Trafalgar Square à Londres, finalement abandonné. Il a mis ses idées en pratique en soutenant la construction d'un village modèle appelé Poundbury sur ses terres du Dorset, dans le sud-ouest de l'Angleterre, au début des années 1990.Le lotissement, construit dans un style géorgien néoclassique, a été jugé "sans âme" par certains critiques, mais a suscité l'intérêt des acheteurs.Charles a également aidé à revitaliser Nansledan, une extension de la ville de Newquay, dans une région pauvre, anciennement minière des Cornouailles, avec des logements colorés respectueux de l'environnement et des équipements locaux.Ecologie et agriculture bioSensible de longue date à la cause environnementale, Charles a créé un jardin et une ferme entièrement biologiques dans son domaine de Highgrove dans le Gloucestershire, dans l'ouest de l'Angleterre. Il a également lancé la gamme d'aliments et de boissons issu de l'agriculture biologique Duchy Originals, commercialisée par les supermarchés haut de gamme Waitrose.Passionné de jardinage, Charles a révélé dans une interview en 1986 qu'il parlait aux plantes, s'attirant des moqueries. Mais ses opinions en matière de défense de l'environnement sont devenues plus partagées au fil des ans.Lors du sommet du climat COP26 à Glasgow en novembre 2021, il a exhorté les responsables politiques à redoubler d'efforts dans la lutte contre le réchauffement.Sa voiture, une Aston Martin qu'il possède depuis plus de 50 ans, a été modifiée pour pouvoir rouler avec du surplus de vin blanc anglais et du lactosérum provenant du processus de fabrication du fromage. Elle fonctionne avec un mélange de 85% de bioéthanol et 15% d'essence sans plomb.TransylvanieCharles a acheté plusieurs maisons en Transylvanie, une région du centre-ouest de la Roumanie surtout connue comme terre d'origine de Dracula. Il les a restaurées en utilisant des méthodes et des meubles traditionnels. L'une a été transformée en maison d'hôtes.En 2015, il a lancé sa propre fondation caritative en Roumanie, qui vise à protéger le patrimoine culturel et naturel du pays et de promouvoir le développement durable.Charles se targue d'être un parent éloigné d'un prince du XVe siècle connu sous le nom de Vlad l'Empaleur ou Dracula et aurait, selon ses propres dires, "la Transylvanie dans (son) sang".
Il y a 2 ans et 255 jours

Hoffman Green ouvre sa première filiale en Suisse

La future usine suisse d’Hoffmann Green sera calquée sur le site de production H2 de Bournezeau, en Vendée. [©Hoffmann Green Cement] Hoffmann Green Cement annonce l’ouverture de sa première filiale à l’international, en Suisse, en partenariat avec plusieurs acteurs locaux du secteur de la construction. Un développement qui s’inscrit dans la continuité d’un premier accord signé, en avril 2021, avec le groupe Maulini, pour la fourniture de ciment sans clinker issu de la technologie H-UKR. Un contrat opéré pour une durée de deux années et qui semble avoir fait de nouveaux émules, intéressés par ce type de solutions constructives décarbonées. L’essor d’Hoffmann Green en dehors des frontières nationales repose sur la signature d’accords de licences avec des partenaires locaux. Ces derniers sont en charge de financer, de construire et d’opérer des unités de production, puis de commercialiser les ciments décarbonés 0 % clinker d’Hoffmann Green sur leur territoire. C’est sur ce modèle que vient d’être mis en place, en Suisse, une première joint-venture. Société commune qui sera contrôlée par des signataires locaux, licenciés exclusifs des ciments Hoffmann sur le territoire helvète. Le miroir de l’usine de production H2 Disposant des mêmes caractéristiques que les ciments produits sur les sites de Bournezeau, les ciments décarbonés fabriqués en Suisse le seront dans une unité calquée sur l’usine H2. Cette deuxième unité de production d’Hoffmann Green est aujourd’hui en cours de construction en Vendée. « Après avoir signé il y a plus d’un an notre premier contrat hors de France, nous sommes fiers d’accélérer notre développement à l’international au travers d’un modèle de licences sur les technologies et les process Hoffmann Green, résument Julien Blanchard et David Hoffmann, co-fondateurs de Hoffmann Green Cement. L’ouverture de cette première filiale en Suisse prouve l’attractivité de notre solution décarbonée sans clinker en dehors de nos frontières et constitue une étape structurante dans le développement de notre marque. »
Il y a 2 ans et 255 jours

Énergies renouvelables : solaire photovoltaïque, les solutions d’avenir mises en lumière sur Batimat

Pour cela, BATIMAT a choisi de mettre en avant, pour son édition 2022 qui se tient du 3 au 6 octobre à Paris-Porte de Versailles, les solutions émergentes qui concourent à la préservation du climat et de l’environnement. Parmi celles-ci, le photovoltaïque sera présent sur un espace dédié. Il fera aussi l’objet d’ateliers pratiques ainsi que d’une session Experts’Corner dédiée.En fort développement en France depuis 2009, la filière solaire photovoltaïque enregistre une hausse de 11,1% en 2020 (13,6 TWh) par rapport à 2019. L’autoconsommation photovoltaïque est, de son côté, en plein essor. En 2019, elle s’est élevée à 116 Gwh*.Vitrine des enjeux du secteur et des solutions innovantes, BATIMAT ne pouvait que mettre en avant cette thématique phare. Avec ses partenaires, Enerplan et le GMPV-FFB (Le Groupement des Métiers du Photovoltaïque de la Fédération Française du Bâtiment), BATIMAT a imaginé un nouvel espace dédié de 400 m2 au cœur du Pavillon 1 sur lequel seront réunis 12 exposants français et internationaux : ALBIOMA, ALEXIS ASSURANCE, APEM ENERGIE, CREAWATT FABRICK, DUALSUN, ENERPLAN, GMPV, GSE INTEGRATION, K2 SYSTEMS, SYSTOVI, VALENERGIES, GOODWE.* Ministère de la Transition Ecologique - Chiffres clés des énergies renouvelables - Édition 2021Un espace de conférences sera aussi disponible où des animations sont prévues chaque jour.Les événementsLes visiteurs pourront assister, chaque jour à des conférences et des pitchs, animés par les exposants sur l’espace Photovoltaïque :Les Ateliers photovoltaïquesLes idées reçues sur le photovoltaïque (INES : Institut National du Solaire), lundi 3 octobre : 14h30-15h15Le photovoltaïque citoyen, mardi 4 octobre : 10h30-11h15La promotion des métiers auprès des jeunes (FFB), mardi 4 octobre : 14h30-15h15Mieux travailler ensemble pour l’installation d’un projet photovoltaïque (GMPV-FFB), mercredi 5 octobre: 10h30-11h15Le B-A BA de l’autoconsommation (Enerplan), mercredi 5 octobre : 14h30-15h15Comment bien penser un projet en autoconsommation (Atlansun), jeudi 6 octobre : 10h30-11h15Assemblée Générale du GMPV le jeudi 6 octobre de 12h à 15h30 (salle Océanie, Pavillon 4). Possibilité pour les journalistes d’y assister, sur inscription auprès du GMPV.Une session Experts’Corner se tiendra le jeudi 6 octobre de 16h à 17h30 sur l’Agora 1 du Pavillon 1 sur la thématique « Relever le défi européen de la solarisation de nos bâtiments et parkings » - En partenariat avec Enerplan et GMPV-FFB (Espace Photovoltaïque).Une session Experts’Corner se tiendra le jeudi 6 octobre de 16h à 17h30 sur l’Agora 1 du Pavillon 1 sur la thématique « Relever le défi européen de la solarisation de nos bâtiments et parkings » - En partenariat avec Enerplan et GMPV-FFB (Espace Photovoltaïque).
Il y a 2 ans et 255 jours

EDILTECO® Group et EDILTECO® France exposants du salon BATIMAT Le développement durable comme dynamique de cette nouvelle édition

Leader européen et 1er fabricant français de chapes, mortiers et bétons légers, prêts à l’emploi et thermo-acoustiques, producteur de polystyrène sous ACERMI pour les systèmes ITE, les entrevous et plaques de sol, spécialiste de systèmes innovants d’Isolation Thermique Extérieur (ITE) et de solutions pour planchers (poutrelles et entrevous) EDILTECO® Group et sa filiale française EDILTECO® France renouvèlent leur présence sur l’édition 2022 du salon BATIMAT, avec un stand dans le secteur isolation, Hall 1, Stand N66. Entré l’an passé dans une démarche proactive d’économie circulaire et durable, EDILTECO® France marche dans les pas du Groupe qui depuis 2020 s’inscrit dans une politique RSE. Conscient d’avoir un impact économique, social et environnemental, EDILTECO® Group a notamment publié en 2021, son premier rapport de développement durable. À travers ce rapport, le Groupe atteste de son engagement en faveur de la transparence et de la traçabilité. Inspiré par le désir d’opérer de la manière la plus respectueuse possible, le Groupe livre un rapport qui vise à faire connaître ses bonnes pratiques, suivre et rendre compte de ses impacts et progrès ainsi que des premiers résultats tangibles. © Edilteco   LA GAMME GREEN Les économies d’énergies, la durabilité, l’empreinte environnementale et sociale de l’entreprise sont des préoccupations et valeurs intrinsèques au Groupe EDILTECO® et ses filiales. L’introduction récente sur le marché du POLITERM® R et maintenant le lancement de la technologie CarbonCure donnent l’impulsion à l’émergence de la gamme GREEN. Présentée officiellement sur le salon BATIMAT, la nouvelle gamme EDILTECO® GREEN n’a qu’un seul fil conducteur : la durabilité. Pour ce faire, les produits de la gamme GREEN sont des solutions issues d’un processus de production vertueux et dont le concept implique la recyclabilité, la durabilité et les économies d’énergies. Les produits de la gamme GREEN, élaborés à base de PSE, contiennent jusqu’à 100 % de PSE recyclé ; ainsi, les billes ne sont pas vierges mais regranulées, issues d’un processus de recyclage interne à EDILTECO®. La qualité des produits dépend tout d’abord de la bille de PSE : elle doit en effet être « à alvéoles fermées » afin de garantir son imperméabilité absolue qui donne la stabilité au mélange et ses caractéristiques techniques certifiables et constantes. En outre, la prérogative absolue de tous les produits EDILTECO®, est que les billes soient non-absorbantes. Plusieurs années de recherche ont permis le développement d’une solution respectueuse de l’environnement et dotée d’une même efficacité. À l’appui d’un procédé spécial, des chutes de PSE vierge sélectionnées (par exemple panneaux pour ETICS, entrevous, etc.) sont traitées, « décortiquées » et ramenées à leur structure d’origine. Grâce à cette procédure les billes ne sont pas abîmées et restent donc intactes, continuant à garantir leur non-absorption et par conséquent leur performance. La qualité des produits est inaltérable, mais désormais EDILTECO® offre la possibilité, non seulement de continuer à réduire les émissions de CO2 grâce à l’efficacité des produits, mais aussi à limiter et réduire la quantité de déchets en circulation, tout en réduisant dans le même temps la production de nouveaux matériaux et les émissions de CO2 inhérentes.