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Résultats de recherche pour entreprise construction

(3265 résultats)
Il y a 4 ans et 184 jours

Quelles sont les entreprises de la construction les plus appréciées des Français ?

CLASSEMENT. Les marques cherchent de plus en plus à nouer une relation affective avec leurs clients. Une manière de s'assurer de leur fidélité. Une étude Ifop publiée pour Eight Advisory, en partenariat avec Le Journal du Dimanche, dévoile le top 50 des entreprises préférées des Français. Découvrez quelles sont celles de la construction qui se distinguent.
Il y a 4 ans et 185 jours

Coffrage Schöck ASE, le chantier exemplaire de la Tour Ycone à Lyon

Cette solution innovante, clé en main, a ainsi été retenue par le spécialiste de produits béton Plattard pour la préfabrication de plus de 300 mètres linéaires de poutres assemblées au cœur de la Tour Ycone, dans le quartier Confluence, sur la presqu'île de Lyon. Signée de l'architecte Jean Nouvel, cette tour singulière culmine à 64 mètres de haut et abrite un programme mixte de 92 appartements (dont 27 logements en prêt locatif social) répartis sur 14 étages et 660 m2 de commerces localisés en rez-de-chaussée. L'ossature bois, la façade en béton habillée d'aluminium, une double peau en verre opaline ménageant de spacieuses terrasses ou loggias, et une coiffe métallique confèrent une silhouette "flottante" à Ycone. Une légèreté qui s'appuie sur la solidité des planchers montés, à chaque niveau, avec des poutres intégrant les coffrages Schöck ASE en béton fibré extrudé C40/50.Un chantier facilité par une préfabrication elle-même ultra simplifiéeAlors que pour un chantier type, le coffrage traditionnel sur site s'avère une étape fastidieuse, chronophage et parfois risquée, notamment quand les ouvriers sont amenés à coffrer sur des grandes hauteurs, la solution préfabriquée POUTRÉKO® évite nombre de manutentions et apporte une sécurité optimale.L'intégration des Schöck ASE en usine permet d'obtenir des poutres précoffrées pourvues de leur ferraillage qui seront livrées sur site afin d'être coulées en même temps que le plancher. Plus légères car évidées, elles s'avèrent plus facile à décharger et à manipuler, autant de valeurs ajoutées fort appréciées des compagnons. Quant au clavetage entre poutres, là-encore la simplicité prévaut : il suffit de découper les coffrages ASE pour couler nœuds et têtes de poteaux en une seule fois. La large gamme des ASE proposée a ainsi permis l'utilisation de 6 hauteurs d'ASE différentes (tous d'une longueur de 270 cm, mais variantes en hauteur : 18 / 20 / 25 / 30 / 35 / 40 cm) pour s'adapter aux diverses configurations rencontrées sur le chantier de la Tour Ycone ! Ces modèles ASE 0DW, dépourvus de joints d'étanchéité, ont ainsi fait la différence, leur profil chanfreiné séduisant les utilisateurs et assurant une finition irréprochable.Rappelons, par ailleurs, que les coffrages Schöck ASE se caractérisent par leur résistance au cintrage (15-16 N/mm2), à la pression (55- 60 N/mm2), au gel et aux intempéries.Soulignons, enfin, que cette solution ne génère aucun déchet en usine de préfabrication comme sur chantier par rapport aux systèmes traditionnels et amoindrit également la gêne occasionnée aux riverains (puisqu'elle réduit la longue et sonore étape du coffrage et coulage sur site).PrixGrand Prix régional au concours des Pyramides d'argent 2018Prix innovation Industriel 2018Pyramide bas carbone 2017Fiche chantier Tour YconeMaître d'ouvrage : SCCV M3 SUD CONFLUENCE, Co-promotion GROUPE CARDINAL et VINCI PROMOTION IMMOBILIÈREArchitecte : ATELIERS JEAN NOUVELEntreprise de construction : FONTANEL SAEntreprise de préfabrication : PLATTARD SAS
Il y a 4 ans et 187 jours

Nouvelle mise à jour du guide de préconisations de sécurité sanitaire pour la continuité des activités de la construction

Cette nouvelle version du guide introduit les mesures applicables spécifiquement dans les zones où un couvre-feu a été mis en place les 17 et 22 octobre derniers. Ainsi, le guide précise que :dans les zones où des mesures de couvre-feu sont appliquées, en application de l'état d'urgence sanitaire, le port du masque est permanent dans les milieux clos et partagés. Ceci ne s'applique pas aux chantiers ni aux ateliers, où la dérogation au port permanent reste possible dès lors que les conditions de ventilation / aération fonctionnelles sont conformes à la réglementation, que le nombre de personnes présentes dans la zone de travail est limité, que ces personnes respectent la plus grande distance possible entre elles, y compris dans leurs déplacements, et portent une visière et que l'activité de travail ne nécessite pas une protection respiratoire spécifique.dans les zones soumises à couvre-feu, les employeurs fixent dans le cadre du dialogue social de proximité, un nombre minimal de jours de télétravail par semaine, pour les postes qui le permettent. Ils sont également invités à le faire dans les autres zones. Par ailleurs, une attestation de déplacement « couvre-feu » de l'employeur est nécessaire pour circuler, dans les zones concernées, entre 21h et 6h du matin.L'Organisme rappelle également que les personnes vulnérables à risque de forme grave présentant des pathologies particulièrement lourdes, listées dans le décret n° 2020-521 du 5 mai 2020, ont la faculté, si le médecin traitant l'estime nécessaire, d'être placées en activité partielle.Par ailleurs, l'OPPBTP met à jour les annexes et documents pratiques mis à disposition des entreprises :La fiche conseils « Adaptations et dérogations au port du masque dans les lieux clos » ;La fiche conseils « Contact-tracing : identification et déclaration des cas contacts » ;La fiche conseils « Collaborateurs vulnérables à risque de forme grave ».Ces fiches, comme l'ensemble des outils et documents mis à disposition par l'OPPBTP, sont rassemblés dans la Boîte à Outils Covid-19 disponible sur le site preventionbtp.fr. La nouvelle version du guide est disponible ici.
Il y a 4 ans et 189 jours

"Même s'ils sont inquiets, nos clients continuent à investir", S. Loire-Fabre (BTP Banque)

ÉCONOMIE. À l'occasion de la publication de son étude annuelle sur la santé financière des entreprises de la construction, la présidente du directoire de BTP Banque, Sylvie Loire-Fabre, livre son analyse de la conjoncture "Covid" à Batiactu. Trésoreries, PGE, délais de paiement... Revue des principaux sujets économiques dans le bâtiment et les travaux publics.
Il y a 4 ans et 190 jours

Comment assurer le bon déroulement des travaux sur son chantier?

Qu’il s’agisse d’une construction, d’une rénovation ou d’une extension, gérer un chantier est toujours une tâche complexe. De la préparation des plans à la réception des travaux en passant par la négociation avec les artisans et le suivi des travaux, il existe beaucoup de choses à faire. Heureusement, il est possible de compter sur l’expertise d’un professionnel qualifié pour limiter le stress et éviter les mauvaises surprises. Dans cet article, nous vous proposons de découvrir des conseils utiles pour assurer un bon déroulement de votre chantier. Préparez correctement le chantier Avant de lancer un chantier, il est indispensable de faire une bonne préparation. Par exemple, il faudra compter sur un calendrier d’intervention pour assurer le bon déroulement des travaux. En outre, il faut prévoir les difficultés puis faire une quantification en ressources et en temps, tout en laissant une marge pour les imprévus. Vous assurez ainsi une meilleure coordination des travaux. En préparant correctement votre chantier, vous bénéficiez de plusieurs avantages. D’une part, cette préparation vous permet de vérifier la cohérence des documents fournis par les entreprises sollicitées. D’autre part, elle vous offre une occasion de bien étudier les devis pour retenir ce qui vous convient. Effectuez les formalités administratives En fonction de la nature et de la taille des travaux à réaliser, il est souvent nécessaire d’obtenir une autorisation avant l’ouverture du chantier. Pour y parvenir, vous devez mener des démarches auprès des autorités communales ou régionales. Il s’agit en effet d’une étape cruciale qui exige une bonne maitrise de l’ouvrage. Au besoin, vous pouvez choisir un maître d’œuvre près de Rennes qui vous assistera tout au long du projet. En tant qu’expert en construction, ce professionnel peut vous aider à prendre les bonnes décisions pour le bon déroulement de vos travaux. Si vous voulez, il peut mener les démarches administratives en votre nom. À noter qu’il peut également intervenir pour définir le projet, le budget nécessaire ainsi que les responsabilités de chacun des intervenants. Grâce à ses connaissances, un maître d’œuvre peut vous aider à déterminer les techniques à utiliser lors de la réalisation d’un projet. Selon qu’il s’agit d’une nouvelle construction, d’une rénovation ou d’une extension, la stratégie à utiliser peut largement varier. En collaborant avec un maître d’œuvre qualifié, vous mettez toutes les chances de votre côté d’achever votre projet dans les meilleurs délais. Sécurisez vos travaux Indépendamment de sa taille, tout chantier présente des risques. Pour éviter les surprises désagréables, il est fortement recommandé de sécuriser les travaux en souscrivant les assurances nécessaires. Aujourd’hui, les offres en matière d’assurance sont nombreuses et diverses. Il revient donc à chacun d’analyser ses besoins et de prendre les précautions qu’il faut pour limiter les dégâts et assurer le bon déroulement de ses travaux. En sélectionnant les artisans qui interviendront sur votre chantier, vous devez vérifier leurs qualifications et demander des références, si possible. Mais, en dehors de ces éléments, vous devez également vous poser certaines questions. Sont-ils assurés ? Quelles garanties offrent-elles ? Pouvez-vous bénéficier d’un dédommagement dans les plus brefs délais en cas de sinistre ? Ce sont autant de points que vous devez considérer lorsque vous choisissez vos artisans. Sachant que les chantiers sont exposés à des risques pouvant avoir de lourdes conséquences, il est préférable de ne rien laisser au hasard.
Il y a 4 ans et 190 jours

A 130 ans, Dény Security recrute pour partir à la conquête de nouveaux marchés en France et à l’international

Acteur français reconnu dans le domaine de l’organisation des sites à forte implication sécuritaire, Dény Security conçoit, développe et produit des gammes complètes de matériels et de systèmes permettant d’assurer une condamnation sécurisée des accès, et une bonne circulation des flux humains autorisés. En cette année anniversaire, l’entreprise basée à Saint Blimont (80), filiale d’un groupe européen indépendant côté en bourse, annonce un plan de recrutements destinés à renforcer son équipe commerciale dans le cadre de sa stratégie de développement en France et à l’étranger.   Une puissance commerciale Confiée à Antoine Douville, promu Directeur des Ventes à 31 ans après bientôt 10 ans au sein de la société en tant que Responsable Commercial puis Export, la force de vente de Dény Security se distingue par une présence marquée sur le territoire et un contact direct avec ses clients finaux utilisateurs. Cette organisation permet à la PME de 140 personnes de maîtriser parfaitement leurs problématiques de contrôle d’accès quels que soient les secteurs d’activité dans lesquels ils évoluent. Pour promouvoir l’ensemble de ses solutions dédiées à la mise en sécurité, Dény Security s’appuie sur un réseau commercial désormais organisé en trois pôles : • l’activité historique composée de deux responsables régionaux (Ouest, Est) et d’une équipe terrain de 15 collaborateurs qui se répartissent le territoire national par département. Outre le suivi proactif de la clientèle existante afin de consolider la position de Dény Security, ils ont en charge le développement de partenariats locaux solides avec tous les acteurs du secteur (clients, installateurs, menuisiers…), • une cellule « projets » dans laquelle trois personnes se consacrent aux grands comptes tels que les aéroports, le secteur du transport ferroviaire ou celui des banques…, avec, pour chacun un expert dédié. Elles ont aussi pour mission de trouver des projets de construction ou de rénovation d’envergure sur lesquels Dény Security interviendra depuis l’appel d’offres jusqu’à la livraison des produits sur site, • une cellule « prospection » qui vient d’être créée afin d’identifier les dossiers à potentiel parmi les leads entrants. En parallèle, le département Export qui réalise environ 15% du chiffre d’affaires de Dény Sécurity vise les mêmes objectifs.   L’humain et l’innovation au cœur de cet enjeu stratégique de développement Pour réussir à conquérir ces nouveaux marchés et déployer une approche commerciale par métiers, notamment pour le secteur de l’hôtellerie, Dény Security s’est donné les moyens de ses ambitions et a mis en place un plan de recrutements avec des embauches de profils motivés et dynamiques. En complément, Dény Security a investi dans des outils de veille afin d’aider sa force de vente à avoir une vision du marché la plus précise possible. L’objectif : identifier de façon rapide et efficace là où l’entreprise peut se positionner. Disposant d’une large gamme de solutions en parfaite adéquation avec les besoins de ses clients et prospects, Dény Security mobilise en permanence son bureau d’études pour se positionner sur ses marchés cibles. En témoignent, le travail effectué sur la serrure LSS, spécialement conçue pour le secteur bancaire, et plus récemment l’écosystème Optimal développé pour le tertiaire.   Grâce à cette nouvelle organisation commerciale, Dény Security, qui a réalisé un chiffre d’affaires de 22,5 millions d’euros en 2019, vise une progression annuelle à deux chiffres sur ses marchés cibles. http://www.deny-security.com
Il y a 4 ans et 191 jours

Dans le Maine-et-Loire, les constructeurs d'un viaduc autoroutier condamnés

JUSTICE. Le 14 octobre 2020, le tribunal administratif de Nantes a condamné deux entreprises en charge de la construction du viaduc du Layon, sur l'A87, pour des défauts qui ont commencé à apparaître peu après la mise en service de l'ouvrage, en 2002.
Il y a 4 ans et 192 jours

TMP CONVERT – Le nouveau tournant d’un industriel qui voit loin

2021 marquera l’année d’une évolution stratégique des activités de TMP CONVERT. Le fabricant français, reconnu sur le marché des solutions pour aménagements extérieurs avec son offre JOUPLAST®, lance la marque OCAPE® et renouvelle sa charte graphique. Résolument tournée vers l’avenir, l’entreprise investit, dès cette fin d’année, de nouveaux horizons. Leader européen sur le marché des plots de terrasse, TMP CONVERT opère un important virage et déploie son offre dans l’univers de la construction en lançant OCAPE®, une nouvelle marque dédiée aux professionnels de l’étanchéité et de la toiture-terrasse. Pour accompagner ce développement, TMP CONVERT revisite sa charte graphique et adopte un nouveau logo qui reflète pleinement la démarche de l’entreprise. Un nouveau site Internet TMP CONVERT, qui verra le jour avant la fin de l’année, s’articulera également autour de cette charte. Apporteur de solutions pour aménagements extérieurs et toitures-terrasses, TMP CONVERT s’est depuis longtemps engagé dans une démarche de développement durable, respectueuse des normes environnementales en vigueur. Sa production 100 % française privilégie les circuits courts et fait appel à de la matière plastique recyclée. La nouvelle charte graphique traduit la démarche de TMP CONVERT, fabricant impliqué et sensible aux impacts environnementaux de sa production, comme l’atteste l’obtention du label MORE « MObilisés pour REcycler».   Du paysage à la toiture-terrasse et son étanchéité TMP CONVERT, avec sa marque JOUPLAST®, propose aux artisans, paysagistes et particuliers des produits qui répondent parfaitement à leurs besoins et aux textes en vigueur. Les gammes se composent de plots toujours plus astucieux et de solutions innovantes pour aménagements extérieurs. TMP CONVERT s’attache à concevoir des gammes qui sont le fruit d’un travail de terrain et d’une collaboration étroite avec les utilisateurs professionnels. Entièrement restructuré, le service Recherche & Développement de l’entreprise reflète l’investissement humain important consacré aux innovations TMP CONVERT. Quatre personnes sont ainsi dédiées au développement de nouveaux produits, de leur création et conception aux phases de tests jusqu’au suivi attentif des retours des partenaires commerciaux. Cette équipe, associée à un service marketing enrichi de nouveaux collaborateurs spécialisés en marketing stratégique, analyse les exigences métiers pour concevoir des produits répondant aux attentes des hommes de terrain : respect des normes, diminution des temps de manutention, complémentarité des gammes, ingéniosité des produits, compatibilité avec les projets d’aménagement. Certains membres de l’équipe Recherche & Développement sont par ailleurs intégrés aux commissions DTU (43.1 – Travaux d’étanchéité des toitures-terrasses avec éléments porteurs en maçonnerie et 51.4 – Platelages extérieurs en bois) qui définissent les conditions à respecter dans le choix et la mise en œuvre des matériaux afin de garantir la réalisation d’ouvrages de qualité et dans les règles de l’art. C’est dans cet esprit créatif et collaboratif que TMP CONVERT lance dès novembre 2020 la nouvelle marque OCAPE®, destinée aux professionnels de l’étanchéité et de la toiture-terrasse. Composée d’éléments de structure pour l’aménagement des toitures- terrasses et de solutions pour la protection de l’étanchéité et la consolidation des éléments d’étanchéité, OCAPE® traduit la capacité d’innovation de TMP CONVERT et la faculté de l’entreprise à se déployer sur de nouveaux marchés.   Une offre diversifiée 100 % française Acteur reconnu du monde du paysage, et en devenir dans l’univers des toitures-terrasses, TMP CONVERT conçoit et fabrique l’ensemble de ses produits en France. L’entreprise n’a de cesse d’investir dans ses outils de production, de gestion, de communication et leur digitalisation pour simplifier ses échanges avec ses partenaires de la distribution et maintenir son haut degré de performance. La politique de Recherche & Développement en perpétuel renouvellement vise à utiliser des matières recyclées et recyclables, sans recourir à la sous-traitance, et en privilégiant les circuits courts. Par ailleurs, TMP CONVERT s’attache à développer une politique zéro déchet lors de la fabrication de ses produits : rebus et chutes entrent tous dans un cycle complet de recyclage. Cette politique mise en œuvre dès 2008 a valu à TMP CONVERT d’obtenir le label MORE « MObilisés pour REcycler » (créé par la Fédération de la Plasturgie et des Composites), qui atteste de ses engagements en faveur de la réduction de l’empreinte environnementale liée à la fabrication de ses produits. Véritable reconnaissance de l’engagement écologique de l’industriel, ce label témoigne de sa volonté de favoriser une consommation plus durable, avec des produits qui intègrent de plus en plus de matière plastique recyclée. Cette démarche écoresponsable est symbolisée par le nouveau logo de l’entreprise.   Un logo infiniment représentatif Le graphisme et les couleurs du nouveau logo TMP CONVERT ont une signification bien précise qui incarne l’essence même de l’entreprise. Au premier regard, le symbole infini évoque le souci de recherche et de renouvellement constant, ainsi que le métier de TMP CONVERT (recyclage de la matière, fabrication de produits durables, démarche environnementale) qui s’articule autour de l’innovation. Le gris foncé fait référence à l’entreprise et à sa matière grise active, et sert de lien entre le ciel/l’eau (bleu), et la nature (vert). La ligne bleue centrale évoque la détermination de la société dans sa poursuite d’une stratégie innovante, axe solide qui relie les composants colorés du symbole infini. Cette ligne bleue, conductrice et cohérente, rappelle le logo de la marque JOUPLAST® et celui de la toute dernière marque OCAPE®, reflet de la volonté de TMP CONVERT d’aller de l’avant en suivant une politique d’innovation permanente. Le vert évoque à la fois la démarche écoresponsable de l’entreprise et la dynamique portée par des équipes de talent.
Il y a 4 ans et 194 jours

À la rentrée 2020, les créations d'entreprises résistent mais les défaillances augmentent

CONJONCTURE. Les créations d'entreprises ont très légèrement ralenti dans la construction lors du 3e trimestre 2020, en dépit d'un contexte économique et sanitaire toujours très contraint. En revanche, les défaillances de sociétés ont enregistré un net rebond au mois d'août.
Il y a 4 ans et 194 jours

Le secteur de la construction dispose-t'il des capacités numériques suffisantes pour la smart city ?

Finalcad, éditeur de logiciels leader du secteur de la construction, publie les résultats de son étude menée auprès de 400 dirigeants de la construction en France, en Espagne, à Singapour et au Japon dédiée à l'avenir de la construction et de la numérisation.Cette étude révèle que près de la moitié (47%) des personnes interrogées estime que le secteur de la construction ne dispose pas des capacités numériques suffisantes pour répondre aux exigences de la ville intelligente. Ce résultat interpelle alors que le développement intelligent ne cesse de prendre de l’ampleur à travers le monde. À titre d'exemple, en prévision des Jeux olympiques et paralympiques de Paris en 2024, le gouvernement français a déclaré que les nouvelles constructions et installations devraient être durables et « intelligentes ». Pour répondre à cette exigence, les sociétés de construction doivent combler leurs lacunes numériques et, en raison de l'incidence actuelle du COVID-19, accélérer leur transformation numérique dès maintenant, au risque de passer à côté d'importantes opportunités.Le défi de la transformation numérique du secteur de la constructionAujourd'hui, le secteur semble relativement prêt à affronter le défi de la numérisation : en effet, 95% des répondants indiquent que leur entreprise est « assez préparée » en matière de collecte de big data et d'adoption des technologies numériques.Des freins qui persistentCertaines barrières demeurent cependant, ainsi 68% des personnes interrogées affirment que leur principale difficulté, en termes de développement intelligent, est leur incapacité à collecter les données en temps réel. Dans ce domaine, plus d'un quart d'entre elles (28%) pointe également son inaptitude à créer l' « empreinte » numérique d'un bâtiment ou d'un actif.Surmonter ces obstacles sera essentiel pour le développement intelligent, mais aussi pour la construction « verte ». Par exemple, la Commission européenne met actuellement en place Level(s), une nouvelle structure qui permettra d'ici fin 2020 d'adopter une nouvelle approche de développement des bâtiments durables. Level(s) encourage les constructeurs, les architectes et les autorités publiques à réfléchir au cycle de vie d'un bâtiment, depuis l'achat des matériaux jusqu'à son éventuelle déconstruction et au recyclage des matériaux. Toutefois, l'étude conclut que les sociétés de construction ne sont pas encore prêtes à adopter ce type d'approche. En effet, nombre d'entre elles ne peuvent pas collecter et communiquer les données concernant la provenance des matériaux (32%) ni le pourcentage de déchets de matériaux recyclés sur un chantier (42%).« Le COVID-19 a durement touché le secteur de la construction, et le chiffre d'affaires des entreprises a absorbé le plus gros de l'impact. Notre étude montre que les marges bénéficiaires stagnaient déjà à environ 2% avant le COVID-19. Même si l'extrême difficulté qu'affronte le secteur ne fait aucun doute, elle offre aux sociétés de construction l'opportunité de passer au numérique afin d'assurer leur avenir. En privilégiant une numérisation immédiate, elles seront en mesure de tirer parti des futures tendances telles que les villes intelligentes et la construction verte. Ce faisant, elles pourront jouer leur rôle en contribuant à un futur plus durable, tout en accédant à de nouvelles sources de revenus essentielles à leur relance. »-Franck Le Tendre, PDG de Finalcad L'étude révèle également que les lacunes de compétences numériques constituent un frein à la transformation numérique pour la plupart des entreprises de construction : 96% des personnes interrogées estiment que leurs collaborateurs ne disposent pas des aptitudes nécessaires pour utiliser les applications et les outils numériques dans une certaine mesure.Vers une accélération de la numérisation pour plus de productivité et d'efficacitéPour relever ce défi, les sociétés de construction doivent investir dans des solutions intuitives privilégiant l'expérience utilisateur et la simplicité d'utilisation. Tous les collaborateurs pourront ainsi utiliser ces nouveaux outils, quelles que soient leurs compétences actuelles. En promouvant l'adoption des outils numériques grâce à cette approche, la numérisation s'accélèrera, à l'instar de la productivité, de l'efficacité et de la collaboration entre projets. Compte tenu du fait que 97% des dirigeants de la construction reconnaissent avoir certaines difficultés pour travailler de façon collaborative et partager facilement des informations, il est particulièrement important de catalyser ce changement.« La réduction des lacunes de compétences numériques jouera un rôle crucial pour contribuer à une collaboration et une communication efficaces dans le secteur de la construction. Il est par ailleurs essentiel de nous remettre des bouleversements causés par le COVID-19, qui a considérablement modifié le fonctionnement des entreprises, dans les bureaux comme sur les chantiers. La création de la première workplace numérique permettra aux sociétés de construction de jeter les bases numériques de leur future réussite. Point crucial, l'environnement de travail numérique est de surcroît bien plus attrayant pour les jeunes collaborateurs, étant donné que d'ici 2025, 75% des professionnels seront des millénials. Cette approche permettra aux entreprises de tirer parti des tendances et des opportunités commerciales post-COVID-19. »-Franck Le Tendre, PDG de Finalcad Étude Dirigeants Finalcad 2020 : « L'avenir numérique de la construction internationale » est la deuxième partie du rapport qui vise à analyser la numérisation de la construction.Pour consulter les résultats complets et télécharger le rapport, cliquez iciL'étude a été menée en février et mars 2020 pour Finalcad et réalisée par Coleman Parkes, société indépendante d'études de marché auprès de 400 personnes travaillant dans des entreprises de construction commerciale et résidentielle avec un chiffre d'affaires supérieur à 51 millions de dollars par an en France, en Espagne, à Singapour et au Japon. Au total, 200 responsables de site/directeurs gérant en moyenne 10 sites, et 200 responsables/directeurs de siège ont été interrogés. Sur les chantiers, les répondants étaient des chefs de projet, responsables d'un chantier ; aux sièges, il s'agissait de directeurs d'unité opérationnelle chargés de la construction.Pour plus de détails, consultez la section « Informations démographiques ».
Il y a 4 ans et 195 jours

HGCT et KP1, partenaires pour des systèmes préfabriqués en béton bas carbone

KP1 a signé un contrat exclusif sur 5 ans avec Hoffmann Green Cement Technologies. [©KP1] KP1 a signé un contrat exclusif sur 5 ans avec Hoffmann Green Cement Technologies. Ceci, pour le développement d’une offre de systèmes préfabriqués en béton bas carbone. « Les produits préfabriqués que nous pourrions mettre à disposition des entreprises s’inscrivent tous dans une même logique. A savoir, apporter des solutions conformes et performantes pour la réalisation de leurs chantiers. La RT 2012, après les expérimentations E+C–, va évoluer vers la réglementation environnementale RE 2020. Et nous souhaitons que KP1 soit un acteur reconnu dans ce domaine. Le partenariat avec Hoffmann Green devrait nous permettre, à terme, de proposer aux entreprises de maçonnerie des systèmes préfabriqués décarbonés. Ceci, avec des niveaux de performance environnementale inédits à ce jour. Tout en conservant des produits techniques et déjà éprouvés », commente Bruno Roqueplo, président de KP1. Une collaboration entamée il y a un an Et Julien Blanchard et David Hoffmann, co-fondateurs de Hoffmann Green Cement Technologies, de déclarer : « Ce contrat avec KP1 vient valider la pertinence et le succès des travaux communs entrepris depuis près d’un an. L’engagement sur plusieurs années est très concret. Et signifie que dans un futur proche, des éléments de construction, avec un béton présentant un bilan carbone significativement réduit grâce à nos ciments, seront utilisés par KP1. Compte tenu du contexte des derniers mois, en particulier dans le secteur de la construction, nous saluons la volonté et la persévérance de nos deux organisations. Qui ont su garder le cap sur le calendrier des essais. Nous sommes ravis de compter parmi nos partenaires, un groupe comme KP1. Avec qui nous construirons d’une autre façon les bâtiments et les villes de demain ».
Il y a 4 ans et 195 jours

L'industrie nucléaire présente 25 engagements pour rétablir la confiance après l'échec de Flamanville

"C'est un plan très technique, en profondeur, pour faire changer les choses, avec un seul objectif: montrer qu'on a changé pour donner confiance dans le fait qu'on peut nous donner, si le politique le veut, une nouvelle commande de nouvelles centrales et qu'on les délivrera dans le respect de la qualité, des coûts et des délais", a-t-il dit dans un entretien à l'AFP.Cet ancien du secteur automobile avait été nommé en février comme "délégué général à la qualité industrielle et aux compétences" - un poste nouvellement créé - afin de mettre en oeuvre le plan "excell" d'EDF, qui doit s'appliquer à toute la filière française.Ce plan est censé tirer les leçons des déboires de l'EPR de Flamanville, dont les coûts auront été multipliés par 3,3 (à 12,4 milliards d'euros selon EDF) et les délais par au moins 3,5. L'ex-patron de PSA Jean-Martin Folz avait qualifié le chantier d'"échec pour EDF" dans un rapport d'audit remis au gouvernement.M. Tranzer présente jeudi 25 engagements sur 5 thématiques: amélioration de la gouvernance des grands projets, montée en compétence de la filière, fabrication et construction garanties conformes du premier coup, meilleures relations avec les fournisseurs et enfin standardisation pour renforcer la qualité et la sûreté.Quelques mesures sont aussi dédiées spécifiquement à un "plan soudage" - alors que les derniers retards de l'EPR de Flamanville sont justement dus à des soudures défectueuses qui doivent être reprises."On insiste beaucoup sur les écoles de soudures: une a déjà été lancée par Framatome à Châlons-sur-Saône, une seconde est inaugurée en ce moment à Bridgewater à côté d'Hinkley Point pour la centrale qui est en construction en Grande-Bretagne, et à Cherbourg, dans notre centre d'excellence soudage, on veut qu'il y ait une première promotion qui soit lancée à partir du mois de septembre", souligne M. Tranzer.Nouvelles commandesLe PDG d'EDF, Jean-Bernard Lévy, avait voulu recruter ce M. "excellence nucléaire" en dehors du secteur afin de s'inspirer de ce qui fonctionne ailleurs."On s'est appuyés sur le benchmark des meilleures pratiques des autres industries: Naval Group, Airbus - qui a tiré tout le retour d'expérience de l'A380 pour faire l'A350, et bien sûr PSA", indique M. Tranzer, ainsi qu'Alstom.Il s'est inspiré de ces entreprises pour améliorer la gestion des grands projets mais aussi la standardisation - un concept clef dans l'industrie automobile.Par exemple, EDF peut recourir aujourd'hui à plus de 13.000 types de robinets différents pour ses centrales. "Notre ambition c'est de retenir au sein du catalogue de l'ordre de 300 robinets seulement", explique Alain Tranzer."Excell" va aussi bénéficier du plan de relance, qui prévoit une enveloppe de 470 millions d'euros pour le nucléaire. Cet argent va notamment permettre de "soutenir le tissu industriel", avec un fonds d'investissement dédié aux PME, et "les compétences".Cette phase de mise en oeuvre du plan d'excellence industrielle doit aller jusqu'à la mi-2021. Une échéance qui ne doit rien au hasard, puisque c'est le moment où le gouvernement attend d'EDF la remise de son offre pour l'éventuelle construction de nouveaux EPR améliorés, plus simples et moins chers (EPR2). La décision de lancer ou non de nouveaux chantiers nucléaires attendra toutefois le prochain quinquennat."On veut donner confiance mi-2021 parce que c'est à cette date qu'on a prévu de remettre l'offre des EPR2 à l'Etat français", affirme M. Tranzer.Le but est plus largement "d'obtenir des nouvelles commandes pour des nouvelles centrales en France, en Grande-Bretagne, à l'export....", selon lui.EDF espère notamment de nouvelles commandes en Angleterre pour le site de Sizewell mais aussi en Inde notamment.Mais le plan doit aussi servir au chantier de construction des EPR anglais déjà engagé à Hinkley Point C ou au "grand carénage", le programme de grands travaux pour poursuivre la vie du parc existant.
Il y a 4 ans et 195 jours

L’activité de l’artisanat du bâtiment renoue avec la croissance, malgré de nombreuses incertitudes

Après l’effondrement sans précédent de l’activité de l’artisanat du bâtiment au 2e trimestre 2020 (-24%) causé par la crise sanitaire de la Covid19, le 3e trimestre 2020 est marqué par un rebond : +0,5% d’activité en volume atteignant ainsi un niveau comparable à celui du 3e trimestre 2019.Cette reprise de l’activité dans l’artisanat du bâtiment, particulièrement visible dans l’activité de la construction neuve (+1%), s’explique par un redémarrage des chantiers qui étaient arrêtés et par un niveau de commandes en rénovation dans le courant de l’été assez soutenu.Pour autant sur l’ensemble de l’année 2020, l’activité des entreprises artisanales devrait être en baisse d’environ 10%, ce qui ne s’est jamais produit dans le passé, même lors de la crise de 2008.La CAPEB reste en conséquence extrêmement vigilante : si une légère croissance est retrouvée pour ce trimestre, les conséquences sociales et économiques provoquées par la crise sanitaire ne sont pas à écarter malgré l’agilité des entreprises qui ont su s’adapter, avec le soutien des mesures gouvernementales, à une crise totalement inédite.La hausse du chômage et les comportements d’épargne de précaution des ménages pourraient notamment stopper net cette dynamique de reprise dans les mois à venir.Jean-Christophe Repon, Président de la Confédération de l'Artisanat et des Petites Entreprises du Bâtiment (CAPEB) : « Ce rebond est un signal rassurant pour les chefs d’entreprises artisanales du bâtiment, qui n’ont pas cessé de se mobiliser pour poursuivre leur activité dans un contexte de crise totalement inédit. Cette reprise ne doit pas cacher la baisse globale d’activité sur l’ensemble de l’année de qui devrait être d’environ 10%, ni occulter le contexte d’incertitudes dans lequel les entreprises artisanales du bâtiment évoluent. Deux incertitudes majeures : la crise sanitaire bien évidemment et l’impact réel du Plan de Relance. Ce plan étant tout particulièrement orienté vers la rénovation énergétique avec MaPrimeRénov, il est fondamental de simplifier le dispositif RGE, de fluidifier les dispositifs des CEE, de rendre les aides plus lisibles et enfin d’accompagner les entreprises au quotidien dans le traitement de leurs dossiers. Je rappelle que la massification espérée des travaux de rénovation énergétique des logements ne se fera pas sans nous ».Conjoncture au 3e trimestre 2020 : un rebond de croissance sur tous les marchésLe neufL’activité de la construction neuve a d’une façon inattendue enregistré une croissance de 1% après deux trimestres de baisse, croissance liée à la réalisation des chantiers mis en attente. Le nombre de mises en chantier recule de 6,8 % sur les douze derniers mois pour atteindre 380.300 et le nombre de permis de construire fléchit de 11,7% avec 390.900. Les permis de construire sont passés sous la barre des 400.000 en juillet dernier, une situation inédite depuis cinq ans, ce qui laisse présager un dernier trimestre 2020 moins dynamique. Ce repli du nombre de permis et de mise en chantiers résulte du confinement imposé par la crise sanitaire, perturbant notamment l’instruction des demandes d’autorisations d’urbanisme et conduisant à un report du second tour des municipales, période traditionnellement marquée par un décalage dans les programmes de construction.L'ancienL’activité en entretien rénovation s’est quant à elle également redressée pour atteindre le même niveau d’activité qu’au 3e trimestre 2019 (0%). Dans le même temps, les travaux d’Amélioration de Performance Énergétique du Logement progressent eux de 0,5 % au 3e trimestre 2020.Une situation de trésorerie difficile mais contrôlée23% des professionnels font état d’une détérioration de leur trésorerie au 3T2020 (contre 13% au 3T2019 soit 10 points d’écart) alors que dans le même temps 5 % déclarent une amélioration (contre 16% au 3T2019). Le nombre d’entreprises qui font état de besoins de trésorerie est également en augmentation (avec 28%, contre 16% au 3e trimestre 2019). En octobre 2020, le montant moyen des besoins de trésorerie augmente puisqu’il atteint 20.000€ (contre 18.000€ un an auparavant).Emploi et Intentions d’embaucheAlors que l’emploi salarié affichait une hausse de 1,4 % au 1er trimestre 2020 sur un an (+9.900 emplois) après 3,5 % au 4e trimestre 2019, ce troisième trimestre 2020 a amorcé un fort ralentissement qui va s’amplifier sur le reste de l’année 2020.La part de l’intérimAu 2ème trimestre 2020, le secteur de la construction totalise près de 62.000 emplois intérimaires (emplois équivalents temps plein) contre 155.000 au même trimestre de l’année précédente. L’intérim est donc en chute (- 60 %) par rapport au même trimestre de l’année précédente. Le taux de recours à l’intérim (poids de l’emploi intérimaire dans l’emploi salarié total) s’établit à 4,2 %.Jean-Christophe Repon, Président de la Confédération de l'Artisanat et des PetitesEntreprises du Bâtiment (CAPEB) : « Nous sommes certains que la promesse d’embauche dans l’artisanat pourrait atteindre 10.000 emplois créés, à deux conditions. D’abord, il faut faire coïncider les demandes et les offres qui doivent se rencontrer à l’échelon des territoires, c’est-à-dire là où les compétences par métiers et les demandes sont les plus rapprochées. Et deuxio, l’incertitude, que la crise sanitaire fait peser sur l’économie, soit levée. »Évolution selon les métiersL’évolution de l’activité se situe entre -1,0% à +1,5% au troisième trimestre 2020. L’électricité constitue le seul corps de métier qui n’a pas retrouvé un niveau d’activité au moins égal à l’année précédente (-1,0%). A l’inverse, la couverture plomberie chauffage affiche la reprise la plus importante (+1,5%).Évolution des prixLes prix constituent un indicateur suivi plus attentivement en période de crise. Au 2ème trimestre2020, les prix augmentent de +0,9% (par rapport au même trimestre l’année précédente). En parallèle, les coûts augmentent de +0,9% sur la même période. Les prix s’accélèrent légèrement dans les travaux de couverture (+2,2% après +2,0%). À l’inverse, ils se replient pour les autres travaux de construction spécialisés (-0,1% après +0,9%) et ralentissent dans les travaux de menuiserie (+1,2% après +1,4%) et les travaux de plâtrerie (+1,5% après +1,7%).Dynamique territoriale (activité en régions)Au cours de la période estivale, toutes les régions enregistrent une dynamique d’activité positive : +0,5% d’activité en moyenne entre le 3e trimestre2019 et le 3e trimestre 2020, à l’exception de l’Ile-de-France (-1,0%) et de l’Occitanie (+0,0%). La reprise se fait de manière plus soutenue sur la façade Atlantique : en Bretagne (+2,5%), dans les Pays de la Loire (+2%) et en Nouvelle Aquitaine (+1,5%), mais également dans le Grand-Est, la Normandie et en Centre Val de Loire (+1,5%).Jean-Christophe Repon, Président de la Confédération de l'Artisanat et des Petites Entreprises du Bâtiment (CAPEB) : « L’hypothèse annuelle devrait enregistrer une baisse d’activité autour de -10%, celle de l’emploi ne suivra pas la même courbe. C’est l’effet « TPE » : la petite entreprise est un modèle souple et agile qui permet de faire le dos rond en attendant des jours meilleurs ! Au cours du 2ème trimestre, nos prévisions de 15.000 à 30.000 emplois perdus sont aujourd’hui ramenées à 2.000 voire 3.000 emplois perdus. C’est le résultat cumulé de trois éléments : les mesures gouvernementales appropriées et rapides, la reprise des chantiers grâce au guide sanitaire édité par la filière, et la confiance des ménages, qui, à l’issue du confinement, souhaitaient améliorer le confort de leur habitat. »Point sur la situation des entreprises artisanales du bâtiment suite à la crise sanitaireUne grande partie des entreprises artisanales du bâtiment ont pu bénéficier des aides de l’Etat. Ainsi, 8% des entreprises de l’artisanat du bâtiment déclarent avoir bénéficié d’un PGE et 46% déclarent avoir bénéficié du fonds de solidarité.Si la reprise de l’activité de l’artisanat du bâtiment s’accentue, (la moitié des entreprises déclareen effet n’avoir aucune difficulté), elle reste toutefois freinée par le retard de chantier pour 34% des entreprises interrogées, par le refus d’une partie de la clientèle privée d’engager des travaux pour 16 % d’entre elles et enfin par les difficultés d’approvisionnement en matériaux et produits bâtiment.
Il y a 4 ans et 196 jours

Les nouveaux sacs de chaux Calcia et Socli font la part belle à la matière et aux sens de la chaux

Les deux filiales du Groupe HeidelbergCement proposent une gamme complète de chaux naturelles pour répondre à tous les besoins en restauration et rénovation des bâtis. Si à l'occasion des Trophées de la chaux, concours qu'elles organisent conjointement tous les deux ans, lumière est faite sur les techniques de restauration et le savoir-faire des artisans, c'est clairement le matériau lui-même qui est valorisé par ce nouveau packaging des produits, lancé à partir de septembre.La chaux est "Matière" : elle a permis à l'homme de mener à bien ses entreprises architecturales les plus audacieuses (comme les voies romaines ou le célèbre Pont du Gard). Matériau minéral et naturel, elle connaît aujourd'hui un essor important dans le cadre de chantiers anciens et neufs, notamment parce qu'elle permet de conserver l'authenticité des édifices. Ses atouts sont multiples, agréable à mettre en œuvre grâce à sa plasticité, elle peut aussi se retirer facilement sans abîmer le support. Perméable, elle laisse respirer les murs et participe au confort des habitations.La chaux fait également appel aux "Sens" : la vue d'une part, parce que neutre ou teintée (avec des pigments naturels ou des sables locaux propres aux différents terroirs et aux particularités régionales), elle s'avère résolument esthétique. Le toucher d'autre part, car elle offre une multitude de finitions, grattées, lissées, talochées... au gré des envies et grâce, bien sûr, à l'expertise des artisans qui la manient.Outre cette mise en avant de l'ADN de la chaux, la nouvelle charte emballage présente l'avantage d'une lisibilité optimale. Elle repose, en effet, sur une grande sobriété graphique au profit d'informations essentielles pour le compagnon : les applications des produits figurent désormais sur la face du sac.Soulignons que les codes couleurs par produit sont, quant à eux, restés les mêmes, afin que les artisans habitués aux diverses références puissent continuer de les identifier immédiatement. De même, la qualité normative et les propriétés des diverses chaux restent identiques.Côté Ciments Calcia, la gamme, large et complète, dispose de 5 solutionsLa chaux aérienne éteinte CAEB est préconisée pour les finitions d'enduits en restauration, les peintures à la chaux (badigeons, patines) et les stucs. Au rang des chaux hydrauliques naturelles, Rénoblanche se destine à la réalisation d'enduits et de rejointoiement de pierres. Sa blancheur élevée et constante procure aux enduits une luminosité incomparable et met en valeur les sables locaux. Rénobat, quant à elle, offre des résistances mécaniques plus élevées à court terme, pour une utilisation sur des supports plus résistants. C'est une solution idéale en vue de la réalisation de murs et d'enduits extérieurs. Enfin, pour ce qui est des chaux hydrauliques (2/3 de chaux hydraulique naturelle, 1/3 de ciment hautes performances, adjuvants), Renocal (blanche) et Calix (grise) sont recommandées pour les enduits en application manuelle ou mécanique, en neuf comme en rénovation. Ces chaux sont disponibles dans les réseaux de distribution de matériaux de construction du territoire.Côté Socli, la gamme s'avère encore plus étendue, sachant que rappelons-le, Socli est chaufournier depuis plus de 150 ansEn 2019, elle a obtenu le label "Entreprise du Patrimoine Vivant" soulignant son savoir-faire et son expertise de chaufournier.Ainsi les chaux hydrauliques naturelles Chaux Socli et Rénochaux, les chaux hydrauliques Chaulys blanche et Batiliant, les enduits extérieurs Cent%, Rénocolor, et intérieur Monolys, ou encore l'enduit décoratif Taddelakt, pour citer les références les plus emblématiques, incarnent la grande diversité des usages permise par cette large gamme. Précisons que Socli se positionne comme acteur privilégié du Sud-Ouest, rayonnant sur les régions Occitanie/Pyrénées-Méditerranée et Nouvelle Aquitaine.
Il y a 4 ans et 196 jours

Paris-Ouest Construction digitalise ses process métiers liés à la construction et à la rénovation avec Resolving

Après le module de gestion des Réserves, c'est le Suivi de Chantier et la Gestion des Formulaires, qui sont aujourd'hui mis en œuvre : ils se verront complétés ensuite par les modules GED et BIM de la suite RESOLVING.Une culture du BIM structurée autour de 5 ans de pratiqueLe BIM a fait son apparition dans l'entreprise en 2015, à l'occasion d'une conception-réalisation qui l'imposait contractuellement à l'ensemble des prestataires, architectes et bureaux d'études. Ce qui aurait pu être vécu comme une contrainte compromettant la rentabilité d'un projet est au contraire immédiatement perçu par la direction technique et la direction générale de PARIS-OUEST CONSTRUCTION comme une opportunité, et marque le moment d'accéder concrètement à une nouvelle génération de technologies et de pratiques métiers.Et c'est dans ce contexte que PARIS-OUEST CONSTRUCTION adoptera les outils digitaux de RESOLVING de suivi de chantiers et de levée de réserves accessibles sur tablettes numériques.Une nouvelle étape avec RESOLVINGEn juin 2020, PARIS-OUEST CONSTRUCTION a choisi d'impulser une nouvelle étape et a opté définitivement, après des tests en vraie grandeur, pour la solution de Suivi des Chantiers et de gestion des réserves (OPR) proposée par RESOLVING.Plus qu'un nouvel outil, ce changement technologique en faveur de RESOLVING marque un engagement fort en faveur d'un avenir digital. C'est en effet une première brique avant le déploiement à venir de la suite complète d'outils métiers RESOLVING, en commençant en cette fin d'année par les modules complémentaires, GED et BIM.Une transformation digitale inspirée de la réalité du terrainAujourd'hui, la direction technique et de la transition numérique du bâtiment de PARIS-OUEST CONSTRUCTION est composée de 8 personnes, dont 4 sont spécialistes du BIM : des ingénieurs coordinateurs, modeleurs et développeurs. Les BIM Coordinateurs sont les agents actifs d'un futur digitalisé. Au-delà de préparer les maquettes BIM en amont, ils pilotent les partenaires externes et les utilisateurs internes dans les évolutions numériques.« Pour les 15 chantiers que nous menons en parallèle, les outils digitaux sont susceptibles d'être utilisés par 50 à 80 utilisateurs, aux profils métiers et à la culture IT divers. Mais notre rôle ne se résume pas à imposer un nouvel outil, mais bien à accompagner le changement, c'est-à-dire concrètement, tous les utilisateurs, pour engager le mouvement de transformation numérique de toute l'entreprise », explique Xavier TOURNILLON Directeur Technique et de la Transition Numérique du Bâtiment de Paris-Ouest Construction.Les consultants RESOLVING viendront ainsi en appui, pour mettre en place des méthodes de recueil, d'analyse et de standardisation des pratiques utilisateurs, phases préalables à toute digitalisation effective des méthodes et process internes.RESOLVING contribuera également à former les utilisateurs aux outils.« Nous savons que la transition numérique du bâtiment, au stade de la construction mais aussi de la gestion – avec la domotique – est une source d'optimisation énergétique globale de la filière, conclut Xavier TOURNILLON. Nous sommes très engagés en faveur de ces évolutions, et les outils de RESOLVING vont nous y aider. »
Il y a 4 ans et 196 jours

Rencontre avec : Inger Marie Jensen Hansen

En septembre dernier, l’éditeur de mobilier danois Carl Hansen & Søn a ouvert sa première boutique parisienne. Rencontre avec Inger Marie Jensen Hansen, responsable des accessoires, des boutiques et des sites de la marque. En 2017, après avoir pris sa retraite de son poste de médecin-cheffe du service des maladies rhumatismales et de directrice de la recherche à l’Hôpital universitaire d’Odense, Inger Marie Jensen Hansen, l’épouse de Knud Erik Hansen – l’actuel dirigeant de Carl Hansen & Søn – a rejoint la société. Aujourd’hui, elle est responsable des lignes d’accessoires, de tous les flagship stores et des boutiques en ligne. À l’occasion de l’ouverture de la première boutique parisienne de Carl Hansen & Søn, Inger Marie Jensen Hansen s’est confiée à la rédaction de Muuuz. Muuuz : Pouvez-vous nous raconter l’histoire de Carl Hansen & Søn ?Inger Marie Jensen Hansen : Depuis plus de 112 ans, nous sommes spécialisés dans la fabrication artisanale de meubles d’exception qui donne vie à des concepts de design visionnaires. Notre histoire remonte à 1908, lorsque l’ébéniste danois Carl Hansen ouvre un petit atelier de meubles sur l’île danoise de Fionie. Depuis lors, le succès de l’entreprise repose sur deux idées fondamentales : un engagement sans compromis en faveur du meilleur savoir-faire artisanal et des alliances avec des designers talentueux qui réinventent et affinent sans cesse le concept de design moderne. En 1934, le fils de Carl, Holger Hansen, reprend l’entreprise. À seulement 23 ans, Holger se révèle être la personne qu’il fallait, au bon endroit, au bon moment. Sa formation en ébénisterie, combinée à son ambition et au courage lié à son jeune âge, lui permet de développer l’entreprise en augmentant la productivité et en participant à des salons internationaux. En 1962, après avoir dirigé avec succès l’entreprise de son père pendant près de trois décennies, Holger meurt subitement d’une crise cardiaque. Les fils de Holger, Knud Erik et Jørgen Gerner, n’ont respectivement que 11 et 16 ans – trop jeunes pour lui succéder. La femme de Holger, Ella Hansen, prend la décision courageuse de reprendre l’entreprise familiale jusqu’à ce que ses jeunes fils atteignent l’âge adulte – une décision audacieuse pour une femme sans éducation en 1962. Le fils aîné, Jørgen Gerner, entre dans l’entreprise en 1973 et succède à sa mère en tant que directeur général en 1988. Le fils cadet, Knud Erik Hansen, prend la relève en 2002 et aujourd’hui, la petite menuiserie créée à Odense il y a plus d’un siècle est devenue une entreprise internationale de design.Quel a été le cheminement parcouru depuis la création de l’entreprise ? Aujourd’hui, quelle est sa démarche ?Depuis que Knud Erik Hansen, le petit-fils de Carl Hansen, est devenu la troisième génération à la tête de l’entreprise familiale en 2002, Carl Hansen & Søn a considérablement étendu sa présence internationale. Aujourd’hui, les meubles que nous fabriquons sont disponibles partout dans le monde et nous avons des flagship stores et des showrooms à New York, San Francisco, Tokyo, Osaka, Paris, Londres (Belgravia et Clerkenwell), Milan, Stockholm, Oslo, Copenhague et Gelsted, ainsi que des filiales commerciales en Europe, au Moyen-Orient, aux États-Unis, au Japon et à Hong Kong. Dans les années à venir, nous prévoyons d’en ouvrir d’autres dans un plus grand nombre de villes. Pourtant, malgré tous ces changements, notre engagement centenaire à produire des meubles classiques d’envergure internationale n’a pas évolué. Notre siège social se trouve maintenant dans la ville de Gelsted, sur l’île danoise de Fionie, et nous fabriquons également nos meubles dans nos sites de production voisins afin de garantir la meilleure qualité possible. Nous utilisons une combinaison de techniques traditionnelles et de nouvelles technologies pour créer un design moderne et intemporel. Depuis le début de la fabrication jusqu’au moment où nos meubles prennent place dans un nouvel espace intérieur, nous sommes guidés par le dévouement à des pratiques honnêtes et durables qui respectent l’héritage de notre fondateur et de nos designers. Quel est le processus de développement de vos meubles ?Depuis 2002, le PDG de Carl Hansen & Søn, Knud Erik Hansen a préservé l’héritage de cette dernière en matière de design, élaboré une stratégie pour les nouveaux talents et trouvé l’équilibre idéal entre artisanat et technologie. En pratique, cela signifie que Carl Hansen & Søn a automatisé le dur labeur qui épuisait auparavant les ébénistes, tout en veillant à ce que l’artisanat joue un rôle clé dans la production de classiques du design. Une fois que les machines informatisées ont découpé les différents éléments du meuble et assuré une qualité uniforme en vue du traitement ultérieur, les ébénistes prennent le relais pour assembler, polir, huiler, rembourrer, tisser et donner à chaque pièce cette finition particulière que seul un artisan qualifié peut apporter. Carl Hansen & Søn continue à respecter les traditions de l’artisanat et à s’appuyer sur les connaissances et l’expérience acquises au fil des générations. Les ébénistes et les tapissiers expérimentés continuent à exercer leurs métiers respectifs, tandis que les maîtres tisserands emploient un large éventail de techniques pour la production des sièges et des dossiers. L’étroite collaboration entre le nouveau designer et le fabricant aboutit à une culture où les défis de l’artisanat continuent à stimuler le développement de nouveaux designs.Depuis la création de l’entreprise, quelle est la relation entre Carl Hansen & Søn et les différents designers avec lesquels elle collabore ? Holger Hansen, fils de Carl Hansen, avait un œil sur Hans J. Wegner dans les années 1940, quand Wegner était encore un jeune ébéniste danois peu connu. En 1949, après avoir terminé ses dessins de nouvelles chaises, Wegner fait le trajet à bicyclette de Copenhague à Odense – une journée entière de trajet – où se trouvait l’entreprise de meubles de la famille Hansen. Une fois sur place, Wegner s’installe dans la villa de la famille Hansen, et dort dans la chambre du plus jeune fils, Knud Erik. Dès le début, les créations de Wegner sont uniques et sans précédent. Au cours de ses trois premières semaines, Wegner conçoit quatre chaises – CH22, CH23, CH24 et CH25. Wegner utilise des éléments modernes tels que des dossiers cintrés à la vapeur, des formes organiques, des bois clairs et des sièges tissés dans des constructions complexes qui aboutissent à des objets simples et élégants. La première collection de Wegner pour Carl Hansen & Søn est dévoilée en 1950 et connaît un succès immédiat. Malgré les premières réactions mitigées de la part des clients, la chaise Wishbone est ensuite surnommée « chaise nationale du Danemark », ce qui démontre la nature visionnaire du design de Wegner. L’intérêt pour la première collection ne se limite pas au Danemark et, en 1952, Holger Hansen crée un réseau de distributeurs agréés aux États-Unis. Avec ce succès commercial, Holger Hansen – qui a misé sur le jeune architecte – peut pousser un soupir de soulagement. Aujourd’hui, Carl Hansen & Søn continue à travailler en étroite collaboration avec le Hans J. Wegner Design Studio, en tant que premier fabricant mondial de meubles Wegner. Outre Wegner, Carl Hansen & Søn collabore également avec des designers et architectes célèbres tels que Kaare Klint, Børge Mogensen, Ole Wanscher, Nanna Ditzel et bien d’autres.Comment choisissez-vous les designers pour les nouvelles collaborations ? Quelles sont vos dernières collaborations ?Au fil des ans, Carl Hansen & Søn s’est attaché à préserver les classiques du design danois tout en continuant à élargir sa collection pour représenter de nouveaux créateurs influents. Notre objectif : réunir sous un même toit la crème des designs de meubles modernes les plus emblématiques. Nous nous associons également à des designers contemporains qui défendent les principes fondamentaux de la modernité danoise, à savoir la simplicité, la fonctionnalité et l’artisanat, tout en insufflant une nouvelle vie aux espaces modernes. Ces collaborations sont ancrées dans un respect commun pour une conception et une production réfléchies, et dans des perspectives qui apportent de nouvelles dimensions à notre catalogue. Notre partenariat avec le designer danois Rikke Frost, avec lequel nous avons lancé le canapé Sideways en septembre 2020, incarne ces valeurs.Et comment trouver et choisir des pièces dans les archives ?Nous recherchons dans les archives en étroite collaboration avec les proches des créateurs. Naturellement, nous tenons également compte de la demande et de notre collection, afin que le nouveau produit ait un sens. Pouvez-vous nous parler de la ligne d'accessoires ? La ligne d’accessoires Carl Hansen & Søn enrichit notre gamme de produits existante avec des articles uniques et inspirants provenant du Danemark et du monde entier. Tous les accessoires de Carl Hansen & Søn partagent un design de qualité, des couvertures tissées à la main jusqu’aux vases audacieux en verre, en passant par les chemins de table complexes cousus à la main et les miroirs fabriqués de mains d’expert. Chaque pièce est choisie avec soin pour apporter beauté, charme et chaleur aux intérieurs. Pourquoi avez-vous choisi d'installer votre flagship store à Paris ? Quels sont les défis et les objectifs de ce nouveau lieu ?Paris est un haut lieu du design. Les lignes classiques de notre collection correspondent bien au goût parisien. Aussi, comme la France est un marché émergent pour nous, avec des clients exigeant une qualité et un savoir-faire artisanal haut gamme, nous avons estimé qu’il était temps d’investir dans un lieu de vente, conformément à notre stratégie d’expansion internationale dans les grandes villes du monde, afin de pouvoir faire connaître Carl Hansen & Søn à un public plus large. Avec un flagship store, nous pouvons être en contact direct avec nos clients, ce qui nous permet de leurs offrir une expérience d’achat encore meilleure et de mieux comprendre le marché. Pour en savoir plus, visitez le site de Carl Hansen & Søn. Visuels : © Carl Hansen & SønLa Rédaction
Il y a 4 ans et 197 jours

LafargeHolcim lance ECOPact, la plus large gamme de bétons bas carbone du marché

La nouvelle gamme de bétons ECOPact est issue de la démarche Lafarge 360 lancée en juillet 2019 pour mener la transition écologique dans le secteur des matériaux de construction. Une démarche ambitieuse destinée à accompagner les maîtres d'œuvre, maitres d'ouvrages et constructeurs de toutes tailles dans la conception de bâtiments bas carbone et ancréé dans l'économie circulaire.ECOPact s'appuie ainsi sur l'échelle d'évaluation 360Score qui affiche en toute transparence l'impact sur l'environnement des produits LafargeHolcim. Cette gamme vient en complément des services d'eco-conception 360Design, un simulateur en ligne pour calculer l'empreinte carbone du gros œuvre d'un bâtiment et ainsi optimiser la performance environnementale d'un projet.Les solutions ECOPact, une gamme complèteECOPact propose un taux de réduction carbone de 30 à 50%. Cette solution est disponible sur tout le territoire national et ne change pas les usages et pratiques de construction traditionnels.ECOPact A est une solution qui va plus loin en offrant un taux de réduction carbone de 50 à 70%. Cette performance est notamment obtenue grâce aux innovations de formulation et permet de conserver les modes constructifs habituels.ECOPact AA est une solution de rupture en termes d'innovation et de réduction carbone puisqu'elle propose un taux de réduction supérieur à 70% grâce à des liants dont les performances sont exceptionnelles. Pour cette gamme de solutions, LafargeHolcim accompagnera ses clients dans le cadre, notamment, d'usages spécifiques.ECOPact A+ est une solution à impact carbone neutre compensé. Ce béton neutre en carbone obtenu par la compensation se compose d'un béton Ecopact A et d'achat de crédits carbone certifiés par un organisme international.« LafargeHolcim s'engage, pour ses clients, dans la voie d'une construction plus responsable, plus circulaire et tout aussi performante. La gamme de bétons bas carbone Ecopact que nous proposons aujourd'hui est une innovation supplémentaire pour construire plus responsable. Avec Ecopact, nous complétons l'éventail de notre gamme de bétons pour répondre aux attentes sur le sujet, et elles sont fortes ! » précise François Petry, Directeur Général LafargeHolcim France.LafargeHolcim dispose aujourd'hui du portefeuille de solutions et produits bas carbone le plus large du secteur, s'appuyant sur une organisation de R&D à la pointe de l'industrie et un réseau mondial d'innovation fortement axé sur le développement de produits durables : 40% des brevets concernent des solutions bas carbone, et plus de 50% des efforts de R&D sont consacrés à des projets bas carbones.LafargeHolcim est également la première entreprise mondiale de matériaux de construction à signer l'engagement "Business Ambition for 1,5°C" et à se fixer des objectifs intermédiaires de réduction carbone validés par l'initiative Science Based Targets (SBTi), alignés sur la trajectoire net zero.ECOPact, déjà des références en coursECOPact convient à tous les types d'ouvrage - logements collectifs, individuels, bâtiments tertiaires, infrastructures - et fait déjà l'objet de chantiers : c'est le cas avec les 296 logements pour étudiants conçus par la maîtrise d'œuvre Kern&associés architectes urbanistes et dont le maitre d'ouvrage est le CROUS d'Aix-En-Provence.D'autres projets sont en cours, comme par exemple le chantier de la Faculté d'Economie et de Gestion de Aix-en-Provence, ou l'Institut Médico Educatif de la Roque d'Anthéron.« Avec ECOPact nous avons conçu des bétons responsables qui rendent la construction bas carbone possible pour tous les chantiers, ceux du quotidien comme les plus ambitieux. D'autres développements innovants sont en cours pour enrichir la gamme et répondre précisément aux évolutions du marché » Michèle Duval, Directrice des gammes produits et services LafargeHolcim France.
Il y a 4 ans et 198 jours

Schöck confirme son expertise en ITE et ITI avec plusieurs réalisations dans les Hauts-de-France

Toujours à Lille, dans la ZAC Arras, c'est une résidence étudiante de 130 appartements doublée de 43 logements collectifs qui accueillent les solutions Schöck. Deux autres bâtiments résidentiels ont également été équipés de rupteurs de ponts thermiques, l'un à Roubaix, dans le cadre de la reconversion d'un ancien site des 3 Suisses, l'autre à Armentières.Un florilège de réalisations qui montre l'étendue du savoir-faire de ce fervent défenseur de l'homogénéité de l'enveloppe des bâtiments sachant répondre à toutes les configurations de chantiers possibles : qu'il s'agisse de façades en briques, en béton peint et matricé, ou encore de mur rideau, à l'instar de la richesse des systèmes constructifs particulièrement variés des façades dans le Nord.Biotope de Lille, mode constructif en ITE et façade rideau74 balcons en porte-à-faux traités thermiquement et structurellement grâce aux 450 unités de rupteurs Schöck Rutherma® type K, K-BH et ESi ; 470 m2 de prémurs isolés avec environ 2 000 connecteurs thermiques Schöck Isolink®.Le 27 décembre 2019, la Métropole Européenne de Lille s'est vue remettre les clés du bâtiment qui doit accueillir prochainement ses 30 000 m2 de bureaux sur 7 étages, au cœur du 3ème quartier d'affaires de France (après Paris et Lyon).Imaginé par les architectes Henning Larsen Architects (Copenhague) et Keurk Architectures (Lille), avec pour maître d'ouvrage Linkcity Nord-Est et constructeur Bouygues Bâtiment Nord-Est1, le Biotope s'avère ambitieux en matière de qualité environnementale, affichant 5 certifications BREEAM, WELL, E+C-, Biodivercity et Wiredscore. Sa conception s'appuie sur la recherche du bien-être et de la performance de ses occupants, en favorisant notamment la lumière (via de grandes ouvertures donnant sur des terrasses végétalisées) et l'usage de matériaux naturels comme le bois ou la pierre.Initialement envisagé dans le cadre de la candidature de Lille à l'accueil de l'Agence Européenne des Médicaments, le bâtiment devait être réalisé en seulement un an et demi. Cette rapidité de construction est restée un objectif majeur quand la MEL s'est finalement vue confier le projet. En vue de garantir l'homogénéité thermique du bâtiment, Schöck a été retenu pas Bouygues Construction pour la fabrication et la livraison de rupteurs adaptés à la configuration de ce chantier.Autre critère qui a imposé Schöck sur le marché : le fait que ses solutions soient les seules du marché sous Avis Technique en configuration sismique en ITE, or le bâtiment, de catégorie d'importance 3, est construit en zone 2.C'est ainsi que Schöck a déployé 200 ml de rupteurs Schöck Rutherma® type K pour les balcons en porte-à-faux classiques et 100 modèles Schöck Rutherma® type K-BH pour les balcons décalés vers le haut (décalage de 30 à 60 cm par rapport au nu supérieur du plancher). 150 unités complémentaires Schöck Rutherma® module ESi, garantissant une reprise des efforts sismiques, ont été intercalées entre les éléments Schöck Rutherma® type K et K-BH.Notons également que 470 m2 de prémurs isolés au rez-de-chaussée ont intégré des connecteurs thermiques Schöck Isolink® pour garantir l'homogénéité de l'enveloppe du bâtiment.En droite ligne de sa politique d'accompagnement client et la traçabilité de ses produits, Schöck a assuré un suivi complet des différentes phases d'intégration des rupteurs dans les balcons chez le préfabricant et sur le chantier auprès de Bouygues Construction afin de s'assurer que les rupteurs suivent la ligne courbe des balcons.Schöck Rutherma® type KLe rupteur Schöck Rutherma® type K, affichant un corps isolant de 80 mm d'épaisseur, est un élément structurel et thermique pour les balcons en porte-à-faux. Améliorant les performances acoustiques en termes de bruits d'impacts selon le référentiel QUALITEL H&E, les rupteurs Schöck présentent donc une valeur ajoutée thermique ET acoustique.Schöck Rutherma® type K-BHCette variante du type K s'applique dans des configurations où le nu supérieur de la dalle du balcon est décalé par rapport au nu supérieur de la dalle intérieure.Schöck Isolink®Ces connecteurs en fibres de verre représentent une alternative aux armatures en acier inoxydable pour le raccord des parois en béton des panneaux sandwich ou mur à coffrage et isolation intégrée. Avec des avantages exceptionnels : résistants au milieu alcalin et à la corrosion, ces connecteurs se révèlent faciles à découper et bénéficient d'une très faible conductivité thermique.Schöck Rutherma® module ESiPour répondre à des exigences parasismiques, des modules type ES ou ESi (Eléments Sismiques) existent en ITE et peuvent être mis en place afin d'être conforme à la réglementation en vigueur.Lille, Zac ArrasSchock participe à la construction d'une résidence étudiante de 130 appartements en ITI et d'un collectif de 43 logements, via ses rupteurs Schöck Rutherma® DF.Au sein de la dynamique Zac Arras Europe, où vient de s'implanter la nouvelle chambre des métiers ainsi que de nombreux sièges sociaux (dont le groupe Décathlon), bénéficiant également de nouveaux équipements sportifs et culturels, Schöck est intervenu, en 2019, à la fois sur une résidence étudiante de 130 appartements et un immeuble de 43 logements (NF Habitat et RT 2012) pour Bouygues Immobilier.La singularité de la résidence étudiante, à l'accès sécurisé avec un bel espace paysager central, se situe dans ses façades matricées signées par l'Agence Zig Zag Architecture. En effet, on associe souvent un mur matricé à l'impossibilité d'y poser des rupteurs. Or, Schöck maîtrise parfaitement l'exercice. Dans le cadre d'un rendu matricé, un seul arrêt de bétonnage s'avère nécessaire au lieu des deux habituels : c'est cette solution clé en main que propose Schöck.La pose de rupteurs Schöck Rutherma® type DF a été réalisée intégralement sur chantier et là-encore l'entreprise de maçonnerie a pu apprécier l'accompagnement et le suivi dispensés par les intervenants Schöck. L'interaction et les échanges réguliers avec l'entreprise de construction Holbat, le BE Thermique et le BE Structure, afin d'atteindre la conformité RT 2012 de l'immeuble collectif, ont véritablement contribués au succès du projet.Les rupteurs dalle-façade ont été mis en place sur les planchers intermédiaires (situés entre 2 logements) et les planchers hauts (toiture terrasse).Concernant les 43 logements collectifs, 30 ml de rupteurs Schöck Rutherma® type Ki ont également été mis en œuvre sur les coursives.Schöck Rutherma® type DF, DF-VMEléments de jonction entre la dalle intérieure et la façade, les rupteurs type DF comportent, en partie inférieure, 4 pattes de fixation par mètre qui peuvent être agrafées au coffrage pour assurer un maintien optimal lors du coulage béton de la dalle : une sécurité garantissant une stabilité renforcée du rupteur sur le plancher.Schöck Rutherma DF vient de célébrer ses 20 ans d'ATec et se révèle le seul rupteur du marché à bénéficier d'une FDES, affichant un impact carbone de 14.4 kgCO2/ml contre une valeur INIES de 120 kgCO2/ml calculée par le CSTB. Un véritable atout pour les architectes et les bureaux d'études thermiques quant à leurs choix de solutions techniques pour atteindre les labels du E+ C- !Roubaix et ArmentièresRespectivement 44 et 33 appartements collectifs, ayant bénéficié d'un traitement des ponts thermiques en ITIA Roubaix, porté par le promoteur BC Neoximo et signé par l'agence Maes Architectes et Urbanistes, le projet a consisté à convertir un ancien entrepôt des 3 Suisses et à construire une résidence neuve de 44 logements. Au-delà du traitement classique des liaisons dalles-façades avec des rupteurs, Schöck Rutherma® type DF (251 ml au total), l'intérêt de cette réalisation portait sur une solution globale de fourniture de rupteurs associée à la celle des coffrages de rives de dalles Schöck ASE. Dans le cas de la résidence de Roubaix, 216 unités d'une longueur de 1,25 ml (longueur spécifique pour un usage chantier) ont été nécessaires pour coffrer les rives de dalles.Concernant la résidence de 33 logements d'Armentières conçue par l'agence Delassus Dumoulin Prévost Architectes et réalisée pour Pierres & Territoires de France Nord (du T2 au T4), des rupteurs Schöck Rutherma® type Ki30 ont été retenus afin de traiter les ponts thermiques des balcons en ITI (80 ml) et assurer l'homogénéité de la façade. Soulignons que pour ce chantier, un intervenant Schöck est passé à chaque niveau de plancher (PH RDC, PH R+1 et PH R+2), s'assurant que les équipes de construction étaient correctement formées à la pose des rupteurs.Schöck ASERappelons que Schöck ASE répond à la réalisation d'éléments de construction en béton apparent - rives de prédalle, balcon, mur, coffrages de poutre, ou encore coffrages de rive dans une configuration de pose avec rupteurs - dont la surface homogène (en béton fibré extrudé C40/50), sans bulles ni aspérités, représente un véritable atout esthétique.Livrés prêts au montage, dans une longueur maximale de 2.70 ml, il suffit simplement de couper ces ASE pour obtenir la dimension et l'angle souhaités. Leur assemblage est également facilité grâce aux clips de jonction droits et d'angles qui assurent un alignement parfait, les queues d'arondes créant une liaison mécanique avec le béton frais.
Il y a 4 ans et 198 jours

Maçonnerie armée Ytong : une solution coupe-feu économique

La maçonnerie armée, l'innovation Ytong pour des murs coupe-feu économique et rapide à monterClassé A1, il est incombustible et assure une excellente résistance au feu. Grâce à ses propriétés minérales, il est étanche aux flammes et aux fumées et limite fortement l'élévation des températures dans les cellules mitoyennes.Sains et durables, les murs et cloisons séparatives Ytong offrent une protection incendie haute performance. Parmi les solutions coupe-feu proposées, les maçonneries armées en béton cellulaire se distinguent par leur rapidité de pose et leur légèreté. Au sein des projets de bâtiments tertiaires et industriels, elles permettent d'optimiser la mise en œuvre, en érigeant en un temps record des murs coupe-feu de grandes dimensions, et de réaliser ainsi d'importantes économies de temps et d'argent.Pour les projets du futur centre commercial Maine Street situé au sud de l'agglomération du Mans à Ruaudin (72), qui offrira une surface commerciale d'environ 27 000 m2 avec une quarantaine de boutiques, et de la chocolaterie Ethiquable à Fleurance dans le Gers (32), qui regroupera la production, l'entrepôt, les bureaux et une boutique ouverte au public, ce sont deux solutions différentes de maçonneries armées coupe-feu Ytong qui ont été retenues.En tenant compte des contraintes de chacun de ces chantiers, le service technique de Xella a préconisé des techniques constructives optimisées. Ainsi, l'Ytong Gigabloc a été mis en œuvre de manière mécanique pour Maine Street, tandis que des blocs Ytong Compact 20 associés à Ytofor ont été posés manuellement pour l'usine Ethiquable.Maçonnerie armée et blocs Ytong grand format : la haute performance coupe-feuGrâce à la nature minérale du béton cellulaire, ses propriétés intrinsèques et sa forte résistance thermique, les solutions maçonneries armées Ytong sont particulièrement adaptées aux applications coupe-feu. Incombustibles, leur point de fusion se situe à environ 1200°C, et elles ne dégagent aucun gaz toxique ou inflammable.Aurélien REGNIER de l'entreprise BCG qui a réalisé le gros-œuvre et le génie civil du projet Maine Street, décrit les enjeux du projet : « Il s'agissait de construire un hypermarché relié à des magasins de retail pour une surface de 27 000 m2. La problématique des murs coupe-feu était centrale car ils devaient séparer les nombreuses cellules commerciales mitoyennes qui comptent des magasins « à risque » (généralement les espaces de restauration intègrent des cuisines). Les solutions coupe-feu Ytong s'adaptaient parfaitement à ses contraintes. »Le béton cellulaire étant doté de propriétés coupefeu répondait largement aux exigences du programme.« Le matériau présente plusieurs intérêts. Sur le plan technique, sa légèreté par rapport à l'aggloméré ignifuge ou au béton facilite sa manutention et sa mise en place. Les Gigabloc d'Ytong requièrent l'utilisation d'engins mais leur manipulation et leur pose restent bien plus aisées qu'avec du béton qui est beaucoup plus lourd. Le béton cellulaire est également plus performant en matière d'isolations phonique et thermique.En tout, nous avons dû monter 20 murs coupe-feu en béton cellulaire de 32 à 40 m de long et de 7 à 8 m de hauteur. La maçonnerie armée permet de réaliser ces murs très longs et très hauts en se passant de poteaux intermédiaires et chacun a pu être érigé en une semaine.Le service technique de Xella nous a été d'un grand soutien pour le dimensionnement. Grâce à l'étude technique menée par leur service, nous avons pu déterminer les produits et détails de la maçonnerie ainsi que les principes de fixation des blocs. Outre les tors de 10 posés à chaque rang dans la longueur, les murs sont accrochés à la charpente métallique du bâtiment par des fixations «fusibles». Le service technique a déterminé le type de fixation nécessaire en fonction des zones et des charpentes métalliques pour y accrocher chaque mur. »Ingénieur du service technique Xella, Vincent SENECLAUZE ajoute : « Le cahier des charges du projet Maine Street requérait 3H de coupe-feu. Comme notre béton cellulaire est très performant, nous atteignons 3H avec des blocs de 10 cm d'épaisseur, mais lorsqu'il s'agit de murs aux dimensions importantes, d'autres paramètres rentrent en compte. Nous avons émis une note technique pour un produit donné avec ses caracté- ristiques, les dimensions, le degré coupe-feu, la réponse au feu ainsi qu'une hypothèse d'effort au vent et le référentiel de la norme de dimensionnement utilisée, qui est l'Eurocode 6.Ces calculs ont permis de valider la solution des Ytong Gigabloc 15. Le choix de cette solution constructive est exceptionnelle pour des murs de cette dimension (épaisseur 15 cm). Ils mesurent 120 x 62,5 cm et sont rainurés sur leur partie haute. Dans cette rainure, une armature standard, un tor de 10 à chaque rang, renforce la résistance du mur. »Quant au projet de la nouvelle usine Ethiquable, l'entreprise L2C, missionnée par le promoteur Essor Agro pour le gros-œuvre et les travaux de murs coupe-feu, a fait le choix de la solution Ytong Compact 20 avec l'armature Ytofor.Son directeur Vincent Soury témoigne des atouts de la solution : « Le béton cellulaire réalise de belles performances en matière de coupe-feu et de résistance thermique. C'est le compromis idéal pour ce type de programme, une usine accueillant également du public. Une performance coupe-feu 2H était requise. »Une mise en œuvre plus rapidePour le bâtiment Ethiquable, le choix s'est porté sur une mise en œuvre manuelle avec les blocs Ytong Compact 20 et l'armature Ytofor.Vincent Soury de l'entreprise L2C raconte : « Le procédé reste traditionnel. Le montage à joint mince est pratique car le poids du mur reste léger. Les atouts de cette solution sont indéniablement la légèreté et la facilité de mise en œuvre. L'Ytofor est une armature, conditionnée sous forme de rouleau, qui se pose tous les rangs pour supprimer les raidisseurs et les chaînages en béton armé. L'avantage d'Ytofor, c'est qu'on a plus du tout de chaînage à créer, ce qui rend l'exécution hyper rapide. On gagne au moins 50% du temps passé grâce à ces solutions de maçonnerie sèche, car rien n'arrête la main d'œuvre avec Ytofor. On peut monter jusqu'à 55m² dans la journée. »Vincent SENECLAUZE (Xella) pointe les performances techniques de la solution : « La mise en œuvre d'Ytofor tous les rangs, là c'est tout les 25 cm, permet d'obtenir un meilleur renforcement mécanique de la structure du mur, avec une armature répartie sur toute la hauteur. Grâce à Ytofor, nous améliorons les capacités de dilatation.Le caractère innovant d'Ytofor peut parfois susciter des questions, mais nous rassurons nos interlocuteurs car nous disposons de toutes les certifications sur son dimensionnement et sa mise en œuvre. De plus, l'accompagement de notre équipe technique permet une une réponse personnalisée et optimisée pour chaque projet.Nos techniciens-démonstrateurs interviennent à toutes les phases du chantier : pose, démonstration... »Pour Aurélien REGNIER (BCG) qui a mis en œuvre des Ytong Gigabloc sur Maine Street « La pose a été réalisée par 4 personnes : un opérateur commandait une grue, une personne au sol aidait à manipuler les blocs, et dans une nacelle 2 personnes étaient respectivement chargées du positionnement des blocs et de la réalisation des joints. Sur le dessus des Ytong Gigabloc, une rainure accueille un tor de 10 que l'on fixe avec du mortier colle YtongFix, permettant ainsi une construction plus propre. »Les performances environnementales du béton cellulaireLes solutions maçonneries armées Ytong répondent aux objectifs de performances énergétiques, critères également décisifs pour le bâtiment de la chocolaterie Ethiquable. L'enseigne a choisi de répondre au cahier des charges de l'appel à projet In'NoWatt de la Région Occitanie, une certification qui se situe au-delà du référentiel HQE et récompense les opérations innovantes de construction qui limitent leur consommation énergétique avec une empreinte carbone la plus basse possible tout au long de leur cycle de vie.Aurélien REGNIER (BCG) atteste également de la durabilité de la maçonnerie Ytong utilisée dans le cadre du projet Maine Street : « Le béton cellulaire est pour ainsi dire inusable. La durée de vie du matériau est excellente. »Solutions de protection incendie coupe-feu en maçonnerie armée Zéro chaînageYTONG GIGABLOC – une solution de montage rapide (grue ou élévateur nécessaire)Léger, isolant et de grandes dimensions, Ytong Gigabloc (120 x 62,5) permet de monter très rapidement des murs coupe-feu de grande envergure, à l'aide d'une petite grue de chantier. Cette pose facilite les manipulations, réduit considérablement le temps de mise en œuvre et est plus économique.De plus, existants en deux dimensions, les blocs sont facilement coupables, ce qui assure une pose rapide et une parfaite adaptabilité sur le chantier.Enfin, ils assurent la sécurité des personnes et des équipements grâce à leur haute performance coupefeu (EI 240) et leurs excellentes propriétés thermiques qui permettent de mieux résister aux sinistres.Ytong Compact 20 associé à YtoforL'association des murs Ytong Compact avec l'armature Ytofor dans les joints horizontaux renforce la résistance aux efforts transverses et apporte une grande liberté pour la conception et la réalisation de murs coupe-feu. Elle supprime les chaînages horizontaux et verticaux et simplifie la mise en œuvre du chantier (jusqu'à 25% plus rapide à poser).L'armature métallique Ytofor s'intègre directement dans les joints de la maçonnerie en remplacement des chaînages habituels verticaux et horizontaux. Economique et rapide à poser, elle ne nécessite ni béton coulé, ni chaînages, ni accessoires spécifiques.
Il y a 4 ans et 198 jours

TERREAL s’engage dans la deuxième phase de son mécénat pour la sauvegarde du Château de La Salvetat Saint-Gilles en Occitanie

  A l’occasion des Journées européennes du Patrimoine, TERREAL, acteur historique de la terre cuite engagé dans la pérennisation des patrimoines architecturaux français, officialise la signature de la deuxième phase de son mécénat aux côtés de la Fondation du Patrimoine et de la Mairie de La Salvetat Saint-Gilles. Dans la continuité des travaux d’urgence entrepris depuis février 2018, cette deuxième phase correspond à la rénovation complète de la toiture du pavillon Est du château Raymond IV, soit 370 m2 de couverture de cet édifice emblématique de la région de Toulouse. Un chantier de sauvegarde du patrimoine mené en pleine crise sanitaire Château Raymond IV – ©Mairie de La Salvetat Saint-Gilles Depuis son acquisition par la Mairie en décembre 2016, le Château de La Salvetat Saint-Gilles, classé Monument Historique, est au centre d’un vaste chantier de sauvegarde ayant débuté par la restauration du pavillon Ouest, de ses planchers et de la toiture. La deuxième phase de travaux s’annonce encore plus ambitieuse avec tout un travail de reconstitution de la charpente, modelée sur celle de la première tour. Un travail de reprise en sous oeuvre a également été conduit, car cette partie avait été soumise au fil des années aux intempéries, et les murs, infiltrés d’eau, menaçaient de s’effondrer. Jean-Louis Rebière, architecte en chef des Monuments Historiques, témoigne : « Nous avons constaté que le château a été rénové par ajouts et retranchements successifs. Les pièces ont ainsi été recoupées au cours des siècles. Nous avons trouvé dans les décombres du pavillon Est des éléments de plafonds peints ainsi que des carreaux vernissés, tous deux vestiges du XVIIème siècle. A l’issue de la restauration en cours, il pourra être envisagé de restaurer ces précieux vestiges puis de les présenter de façon muséale. »  Un travail de longue haleine pour les différents acteurs du projet qui ont dû s’adapter face à la crise de la Covid-19.  « La situation sanitaire a certes retardé le chantier, mais nous en avons aussi profité pour travailler la charpente en atelier. Aujourd’hui, nous avons repris à trois personnes sur le chantier et nous amorçons tout juste la pose des tuiles. La vie continue ! », explique Sébastien Laffite de l’entreprise Rodrigues-Bizeul, spécialisée dans la restauration de bâtiments historiques.  De son côté, Jean-Louis Rebière souligne : « La mise à l’arrêt du chantier pendant le confinement était problématique surtout pour des raisons climatiques. Nous venions de restaurer le premier pavillon et de réaliser la consolidation des murs et arases du pavillon Est. Il y aurait pu avoir des désordres au niveau des maçonneries exposées aux intempéries, mais finalement le chantier s’est tenu convenablement et nous avons pu reprendre là où nous l’avions laissé. » Une tuile de la gamme Monuments Historiques sélectionnée pour les travaux de rénovation Possédant une implantation locale historique en Occitanie, TERREAL a souhaité s’associer au projet de sauvegarde par un don de tuiles plates de la gamme Monuments Historiques.  La tuile Pompadour en coloris brun-noir a été choisie par l’architecte pour son aspect patiné, semblable aux anciennes tuiles utilisées à l’époque, permettant ainsi de « retranscrire la temporalité de l’édifice et son authenticité ».  Principalement destinée à la restauration des toitures des bâtiments anciens de caractère ou des demeures d’exception, la gamme de tuiles Monuments Historiques est fabriquée à l’usine de Montpon en Dordogne qui existe depuis la fin du XIXe siècle. Les coloris et textures de ces tuiles plates sont obtenus par sablage et poudrage vitrifiés lors de la cuisson à près de 1000°C. L’emploi de ces matériaux inertes assure une longévité exceptionnelle contre l’érosion et la décoloration.  TERREAL a livré 28 palettes de tuiles et 2 palettes d’accessoires de toiture (arêtiers, rives) pour la restauration du pavillon Est, dont la toiture était complètement effondrée. La rénovation complète de la couverture devrait être achevée à l’automne 2020. Cette livraison vient compléter le don en 2018 de 40 palettes de tuiles pour la réfection des 260 m2 de toiture du pavillon Ouest du château.  François Arderiu, Maire de La Salvetat Saint-Gilles, précise : « Grâce au travail remarquable de nos charpentiers-couvreurs qui ont oeuvré avec passion, y compris durant le confinement, la dernière tranche de sauvegarde des toitures pourra être finalisée dès cet automne ».  La Mairie projette un bel avenir pour cet édifice, avec notamment l’étude de l’aménagement en parc des terrains entourant le Château, pour offrir au public un nouvel espace de convivialité et de divertissement. Des travaux complémentaires de restauration sont également envisagés pour permettre une ouverture à la population et aux futurs visiteurs, et faire de ce monument historique un équipement culturel. François Arderiu conclut : « Très vite, ce chantier visible depuis le centre de notre village, a suscité un engouement de la part de la population, concrétisé par les nombreux dons de particulier auprès de La Fondation du Patrimoine ainsi que par la sélection de ce projet pour la première édition du Loto de la mission Bern. Cette générosité des particuliers et des entreprises locales, telles que TERREAL, vis-à-vis de notre patrimoine historique, nous permettra de financer de nouvelles tranches de travaux sans surcoût notable pour notre commune. A ce titre, nous tenons vivement à remercier tous les acteurs de cet élan solidaire pour la protection de notre patrimoine ». Rénovation de la charpente du pavillon Est – ©Mairie de La Salvetat Saint-Gilles   La Fondation du patrimoine, opérateur financier de la mission Bern, a lancé une souscription publique afin de collecter des fonds pour financer ce projet en complément du financement des travaux, principalement supporté par l’Etat, la région Occitanie, le département de la Haute-Garonne et la commune de La Salvetat Saint-Gilles. Construit par Raymond IV, comte de Toulouse, entre 1088 et 1096, cet édifice est un véritable poste d’observation et de défense, situé sur l’arrête d’un plateau dominant de 90 mètres d’altitude. Le château a gardé son caractère de forteresse à travers les âges et a connu quelques « enjolivements » à la Renaissance, notamment des fresques et décors au pochoir datant du XVIIème siècle qui se situent dans la coursive surplombant la cour intérieure. A la Révolution, le propriétaire du château fut guillotiné sur la place du Trône à Paris. La propriété fut saisie, morcelée et vendue comme bien national. Depuis le XVIIIème siècle, plusieurs propriétaires se sont succédés et ont apporté quelques modernités.   A propos de la Fondation du Patrimoine Première organisation privée de France dédiée à la sauvegarde du patrimoine de proximité le plus souvent non protégé par l’État, la Fondation du Patrimoine est un organisme sans but lucratif créé par la loi du 2 juillet 1996. Reconnue d’utilité publique par le décret du 18 avril 1997, elle a pour mission de sauvegarder et mettre en valeur le patrimoine bâti, mobilier et naturel. Fédératrice et mobilisatrice autour d’une cause nationale, la Fondation du Patrimoine participe activement au renforcement de l’attractivité des territoires en devenant un partenaire privilégié des acteurs locaux et un moteur efficace du développement économique local et durable. Très proche du monde entrepreneurial, la Délégation régionale Occitanie-Pyrénées de la Fondation du Patrimoine a lancé depuis 2016 sept clubs d’entreprises, unissant ainsi des entreprises départementales et régionales prêtes à s’investir pour la préservation et la mise en valeur du patrimoine, et donc du territoire. Plus d’informations : www.fondation-patrimoine.org A propos de TERREAL Inspiré par plus de 150 ans de savoir-faire dans les matériaux de construction en terre cuite, TERREAL crée des solutions innovantes pour l’enveloppe du bâtiment. A travers 4 activités (couverture, solaire, structure, façade et décoration), 21 sites de production dans le monde dont 16 en France, plus de 2200 collaborateurs et 412 millions d’euros de chiffre d’affaires (CA consolidé avec 100% de GSE Intégration), TERREAL contribue à l’amélioration de l’habitat en accompagnant ses clients dans la création de projets, porteurs de bien-être pour les hommes et de respect pour l’environnement. En révélant au quotidien toute la beauté de la terre cuite dans chaque réalisation, TERREAL fait rejaillir son énergie au service de ses partenaires et de leur imagination. Plus d’informations : www.terreal.com
Il y a 4 ans et 198 jours

Micro-entrepreneuriat : le BTP affiche un des meilleurs taux de démarrage économique

ÉCONOMIE. Dans son portrait des auto-entrepreneurs pour l'année 2018, l'Insee constate que 420.000 créateurs d'entreprises ont choisi ce régime tous secteurs d'activité confondus, soit 61% du total des créations. Avec 72%, le secteur de la construction dispose pour sa part d'un des taux de démarrage économique les plus élevés, bénéficiant d'un bond de 13 points par rapport à 2014.
Il y a 4 ans et 199 jours

Webinaire « La gestion des données BIM pour un bâtiment en réhabilitation lourde « 

Annalisa de Maestri, Directrice de VP I BIM (entreprise du Groupe Valode & Pistre) sera l’invitée du prochain Jeudi Prescription LIVE organisé par BIMobject France et Polantis le jeudi 22 octobre à 9h00. Annalisa de Maestri partagera son expérience sur la question de la gestion des données BIM pour un bâtiment en rénovation lourde avec l’exemple de l’hôtel Bagheera à Paris. L’hôtel Bagheera est hôtel particulier construit en 1751 qui doit répondre, aujourd’hui, aux standards hôteliers qui ont fortement évolués ces derniers années. Pour cela, Valode & Pistre a imaginé un projet qui s’articule autour de 3 interventions majeures : La réorganisation des espaces publics Des chambres de qualité associées à des circulations horizontales d’étage optimisées pour les clients de l’hôtel et performantes pour l’exploitation. Une gamme de services associés cohérente avec les attentes d’un hôtel 5 étoiles Pour cette transformation, le BIM est au cœur des échanges, avec une attention particulière à la définition des objets et aux données qui les composent.  Architectes, architectes d’intérieur, dessinateurs, ingénieurs, bureaux d’études, fabricants …, participez à ce webinaire ! Venez écouter et échanger avec Annalisa de Maestri et l’équipe de BIMobject. Inscription en ligne Les « Jeudi Prescription » sont organisés en partenariat avec le Club Prescrire. Annalisa de Maestri est ingénieur de formation inscrite à l’Ordre des Ingénieurs de Milan. Annalisa est depuis plus de 10 ans à la direction d’entreprises spécialisées dans le BIM et le digital appliqué aux métiers de la construction, y compris la synthèse d’exécution. Depuis 2019, elle dirige VPBIM, entreprise du Groupe Valode&Pistre, spécialisée dans le BIM Management, la Modélisation tous corps d’état, la synthèse et le développement d’outils d’optimisation et automatisation. Elle est également en charge des sujets de R&D et outils numériques pour le Groupe.   Vous souahitez plus d’information, n’hésitez pas à nous contacter : elise.monot@bimobject.com
Il y a 4 ans et 202 jours

Rencontre avec João Lisboa, chef du département pré-vente et dimensionnement chez Bosch Thermotechnics

Bosch Comercial y Industrial, de la division Thermotechnics du groupe Bosch, propose des équipements de climatisation de puissance moyenne et élevée pour les grandes installations, offrant des solutions en matière de chauffage, d’eau chaude sanitaire, d’énergie solaire thermique, de climatisation et de chaleur pour les processus industriels. Dans le cadre de la diffusion de leurs derniers produits au format BIM, les équipes BIM&CO ont interviewé João Lisboa, chef du département pré-vente et dimensionnement.   BIM&CO : Quelle a été la raison de votre passage au BIM ? Joao Lisboa : En tant qu’entreprise leader dans le secteur, nous nous adaptons aux besoins du marché tout en innovant et en fournissant des solutions aux professionnels pour rationaliser et améliorer leur travail. Après des décennies de baisse de productivité, le secteur de la construction est en pleine mutation. Grâce à la méthodologie BIM, les architectes, les urbanistes, les consultants, les intégrateurs et les entrepreneurs peuvent partager plus facilement les données, consulter les spécifications de conception à n’importe quelle étape d’un projet et collaborer plus efficacement. En ce sens, le BIM a un impact du début de la conception de tout travail architectural à la démolition d’une infrastructure. En fait, tout est enregistré dans la maquette numérique de la construction telle que conçue.   BIM&CO : Quel a été votre cheminement lors du déploiement de ce projet ? Joao Lisboa: Dans un premier temps, nous avons fait le point en interne sur tous les fichiers et informations existantes, tels que les géométries 2D, 3D et CAO. Sur la base de cette vérification et en étant le mieux informé possible sur les produits les plus utilisés par les designers et les architectes, nous avons établi une liste de produits à modéliser, avec toutes les informations nécessaires.   BIM&CO : Quels obstacles avez-vous rencontrés lors de votre passage au BIM ? Joao Lisboa : Chez Bosch, nous sommes fermement attachés à l’innovation et, par conséquent, à l’utilisation de la maquette numérique. Aujourd’hui, nous pouvons assurer que, grâce à l’engagement de l’entreprise, sa mise en œuvre a été relativement facile. Bosch peut désormais gérer toutes les données techniques et les catalogues de produits et ainsi garantir à nos clients des informations officielles sur tous les produits qui sont déjà intégrés sur bimandco.com.   BIM&CO : Comment avez-vous choisi votre plateforme de diffusion de données et d’objets BIM ? Joao Lisboa: Les avantages que BIM&CO nous offre actuellement sont à la hauteur des besoins d’un marché de plus en plus concurrentiel, et c’est pourquoi nous avons décidé de commencer à travailler de cette façon. BIM&CO nous permet de travailler le contenu dans un environnement collaboratif, à la fois avec les clients et les fournisseurs puisque les données avec lesquelles nous travaillons sur l’interface deviennent instantanément disponibles pour tous les logiciels BIM du marché. De plus, et étant donné que nous sommes une entreprise ayant une grande expérience dans le secteur, choisir de collaborer avec BIM & CO pour la gestion de notre bibliothèque BIM s’est avéré être été l’option la plus raisonnable. L’expérience est très positive et nous sommes convaincus qu’au fur et à mesure que nous avancerons, nous trouverons de nouvelles synergies qui nous permettront de croître en affaires, tout en promouvant le travail de nos collaborateurs et en améliorant le quotidien de tous les professionnels impliqués dans les processus architecturaux.   BIM&CO: Quels avantages représente la diffusion de vos objets BIM par le biais d’une bibliothèque ? Joao Lisboa : Pour Bosch, la nouvelle intégration des produits sur bimandco.com permet d’obtenir des informations fondamentales sur le comportement du marché, puisque l’outil d’analyse des téléchargements nous permet d’étudier en profondeur ce dont les clients ont besoin et ce qu’ils ont pu rechercher à un moment précis. L’intérêt du secteur de la construction pour le BIM, et plus particulièrement pour Bosch Building Technologies, est plus que compréhensible car cette méthodologie pourrait permettre de mettre fin au non-respect des délais et des budgets ainsi qu’au manque de transparence qui, dans de nombreux cas, nuit à des projets complexes et de grande envergure. En outre, il est important de souligner que le BIM permet d’intégrer des produits dans un projet selon les normes en vigueur des différents marchés ou pays, tout en permettant des simulations réalistes grâce à la 3D – ce qui permet de se projeter quant au résultat final du projet. Le BIM nous permet également de proposer une gamme de solutions de CVC qui couvre tous les besoins des bâtiments commerciaux et industriels, en fournissant à l’ingénieur concepteur tous les objets BIM à partir d’une seule bibliothèque. BIM&CO: Qu’attendez-vous de ce passage au BIM et comment allez-vous en profiter ? Joao Lisboa: L’intégration de nos produits sur bimandco.com est une nouvelle étape dans le processus de numérisation du Groupe Bosch, un processus qui est une conséquence des exigences du secteur. L’unification du mode de travail entre toutes les parties concernées représente un nouveau pas en avant dans l’efficacité et l’optimisation des projets dans lesquels le Groupe Bosch est immergé dans le monde entier. Alors que l’utilisation du BIM se consolide et commence à transformer le secteur de la construction et à accroître sa transparence, l’objectif de Bosch est de travailler avec l’industrie pour concrétiser ces avantages. Au cours des prochains mois, nous nous attendons à ce que la stratégie BIM de Bosch continue de croître pour tenir compte de toutes les phases et de toutes les parties impliquées dans un projet de construction. En outre, compte tenu de la situation dans laquelle nous nous trouvons suite à l’extension de la pandémie COVID 19, qui rend plus difficile l’échange d’informations, il devient essentiel pour les professionnels de pouvoir accéder à toutes les informations nécessaires via le web, et de pouvoir travailler en même temps depuis leur domicile de manière collaborative via le cloud. Découvrez maintenant les derniers objets BIM de Bosch : RT Condens 5000 W – BASIC RT Condens 5000 W – TOP Estación solar de bombeo AGS
Il y a 4 ans et 202 jours

L’entreprise LCA Construction Bois, une nouvelle fois récompensée

LCA Construction Bois, entreprise vendéenne spécialisée dans la construction du gros œuvre bois et de l’enveloppe extérieure, a obtenu le Prix Régional de la Construction Bois pour le projet « A l’ombre de la Canopée » qui regroupe la construction de deux équipements pour la Ville de Bretignolles-sur-Mer (85) : une maison de santé et une maison des associations. Cette réalisation aura nécessité à LCA 395 heures de travail en bureau d’études, 320 heures de préfabrication dans les ateliers et 1 443 heures de mise en œuvre. « A l’ombre de la Canopée » a été retenu Lauréat dans la catégorie « Travailler-Accueillir ». C’est la 4ème fois qu’une réalisation de LCA est récompensée par le Prix Régional de la Construction Bois.
Il y a 4 ans et 202 jours

Le Conseil de Paris suspend l'agrandissement de la cimenterie Lafarge de Bercy et lance une concertation

Partis divisés, socialistes, élus du groupe Générations, communistes et écologistes ont fini par trouver un accord concernant le site de l'usine, située dans le sud de la capitale, après d'âpres négociations.Le sujet était sensible après la diffusion à la rentrée d'images de l'usine Lafarge, située dans le quartier de Bercy (sud-est de la capitale), déversant dans la Seine un mélange de "particules de ciment, de liquides de traitement et des microfibres de plastique".Le parquet de Paris a ouvert une enquête pour "suspicion de pollution de la Seine par une entreprise de travaux publics".Lafarge affirme que l'écoulement est le fait "d'un accident exceptionnel provoqué par un acte malveillant".Dans son vote, le Conseil de Paris a de nouveau assuré qu'"en cas de préjudice écologique constitué", il "se portera partie civile pour réclamer une réparation en nature à hauteur du préjudice subi".En vertu des accords de Paris sur le climat, et pour respecter ses engagements, la Ville a également voté la création d'"une mission d'évaluation de ses besoins en béton et matériaux de construction à l'horizon 2040".En face, fait inédit, l'Insoumise Danielle Simonnet et les élus de la droite ont chacun voté les voeux de l'autre.Fer de lance dans ce combat, Mme Simonnet n'en démord pas: "Ce projet doit être abandonné ou à défaut (...) faire l'objet d'une révision approfondie" avec à la clé, "un nouveau permis de construire"."La Ville s'était engagée à réduire drastiquement la production et le recours au béton", a rappelé de son côté l'élue du XVe arrondissement, Agnès Evren (LR). "Où sont donc passées les belles promesses (d'utiliser) les matériaux bio-sourcés pour les nouvelles constructions ?", a-t-elle demandé.La droite a demandé que "la Ville s'engage à ce que la concertation avec les élus et habitants ne soient pas une mascarade" et "que les futurs aménagements n'excèdent pas le cadre actuel des installations".Le "travail de concertation (avec) les riverains, ports de Paris, les élus et Lafarge" abordera "toutes les questions et se poursuivra au moins jusqu'en décembre", a assuré l'adjointe en charge de la Seine, Célia Blauel.
Il y a 4 ans et 202 jours

Le Conseil de Paris suspend l'agrandissement de la centrale à béton Lafarge de Mirabeau et lance une concertation

Partis divisés, socialistes, élus du groupe Générations, communistes et écologistes ont fini par trouver un accord concernant le site de l'usine, située dans le sud de la capitale, après d'âpres négociations.Le sujet était sensible après la diffusion à la rentrée d'images de l'usine Lafarge, située dans le quartier de Bercy (sud-est de la capitale), déversant dans la Seine un mélange de "particules de ciment, de liquides de traitement et des microfibres de plastique".Le parquet de Paris a ouvert une enquête pour "suspicion de pollution de la Seine par une entreprise de travaux publics".Lafarge affirme que l'écoulement est le fait "d'un accident exceptionnel provoqué par un acte malveillant".Dans son vote, le Conseil de Paris a de nouveau assuré qu'"en cas de préjudice écologique constitué", il "se portera partie civile pour réclamer une réparation en nature à hauteur du préjudice subi".En vertu des accords de Paris sur le climat, et pour respecter ses engagements, la Ville a également voté la création d'"une mission d'évaluation de ses besoins en béton et matériaux de construction à l'horizon 2040".En face, fait inédit, l'Insoumise Danielle Simonnet et les élus de la droite ont chacun voté les voeux de l'autre.Fer de lance dans ce combat, Mme Simonnet n'en démord pas: "Ce projet doit être abandonné ou à défaut (...) faire l'objet d'une révision approfondie" avec à la clé, "un nouveau permis de construire"."La Ville s'était engagée à réduire drastiquement la production et le recours au béton", a rappelé de son côté l'élue du XVe arrondissement, Agnès Evren (LR). "Où sont donc passées les belles promesses (d'utiliser) les matériaux bio-sourcés pour les nouvelles constructions ?", a-t-elle demandé.La droite a demandé que "la Ville s'engage à ce que la concertation avec les élus et habitants ne soient pas une mascarade" et "que les futurs aménagements n'excèdent pas le cadre actuel des installations".Le "travail de concertation (avec) les riverains, ports de Paris, les élus et Lafarge" abordera "toutes les questions et se poursuivra au moins jusqu'en décembre", a assuré l'adjointe en charge de la Seine, Célia Blauel.
Il y a 4 ans et 203 jours

L'éolien, un vivier d'emploi encore trop dépendant des politiques publiques

"Travailler sur ces grandes structures en hauteur, c'est assez impressionnant," s'enthousiasme Titouan Durand, 20 ans, qui se forme à la maintenance éolienne à l'IUT de Tarbes (Occitanie). "Il y a de la mécanique, un petit peu d'hydraulique, de l'électrique... C'est très général, ça permet de voir un petit peu tout. " En alternance à Amiens (Hauts-de-France) chez Siemens Gamesa, il se dit rassuré par "les engagements pris par les entreprises et l'État" en matière d'énergies renouvelables. "On est à peu près certain qu'on continuera à trouver du travail" estime-t-il. "Ça s'est fait tout seul", abonde Claudio Rumolino, ancien chef d'entreprise reconverti "par conviction" dans l'éolien à 50 ans, aujourd'hui responsable des investissements participatifs chez Vallourec.Quelque 2.000 emplois éoliens supplémentaires ont été créés en 2019, répartis sur plus de 900 sociétés. En 2020, le secteur représentait 20.000 emplois directs et indirects, une augmentation de plus de 25% par rapport à 2016, selon France Énergie Éolienne, qui souligne que "la filière est le premier employeur dans le secteur des énergies renouvelables à l'échelle nationale.""D'une part on continue à investir dans l'éolien, d'autre part il y a des emplois de maintenance, qui correspondent à la quantité d'éoliennes en fonctionnement" détaille Philippe Quirion, directeur de recherches dans l'économie de l'énergie au CNRS."Dans la maintenance, il y a davantage d'emplois dans l'éolien que dans le solaire par exemple, car il y a plus de pièces mobiles et donc de l'usure", explique le chercheur, ajoutant que la construction des composants éoliens est essentiellement localisée en France, contrairement aux équipements photovoltaïques.Subventions indispensables"Entre 2014 et 2019 on a eu environs 1,4 GW supplémentaires par an installés, soit entre 40 et 50 nouveaux parcs par an, précise Lilian Carpene, économiste réseaux et énergies à l'ADEME. Ce qui explique que l'ensemble des marchés et des emplois éoliens aient augmenté".La programmation pluriannuelle de l'énergie prévoit le doublement des capacités d'éolien terrestre installées d'ici à 2028. "Si on prend cet objectif et qu'on fait une simulation du nombre d'emplois créés, on arrive à un peu plus de 18.000 emplois directs, soit un peu plus de 20%", estime M. Carpene.Les politiques publiques soutiennent la filière, explique-t-il, via des tarifs d'achat ou des compléments de rémunération. Au moment où de plus en plus de parcs deviennent rentables, ces soutiens restent "indispensables" pour la majorité du secteur, afin de susciter l'investissement et valoriser ces moyens de production par rapport aux moyens conventionnels."On aura une situation de stabilité de l'emploi s'il y a une stabilité de la politique", souligne le chercheur Philippe Quirion, membre de l'association d'énergéticiens militants négaWatt.Potentiel de reconversionSelon les études menées par l'association mais aussi par l'ADEME, la création d'emplois dans les énergies renouvelables pourra "compenser" les emplois supprimés dans les énergies fossiles."Ce qui ne veut pas dire que quelqu'un qui perd son emploi dans une raffinerie va pouvoir être embauché dans l'éolien", souligne M. Quirion. "Mais il y a des cas où les transitions sont faciles. Par exemple sur l'éolien maritime flottant, la technologie est largement la même que pour faire des plateformes pétrolières off-shore. Il y a des potentiels de reconversion."Selon les derniers chiffres de France Énergie Éolienne (FEE), qui regroupe 90% des acteurs du secteur en France, les emplois se répartissent à 31% dans les études et développement, 23% dans la fabrication des composants, 27% dans l'ingénierie et construction et 19% dans l'exploitation et maintenance.Les formations se sont elles aussi adaptées pour former les professionnels. On dénombre 220 établissements qui proposent des formations dans l'éolien, dont 70 dans l'enseignement supérieur, réparties dans 25 villes sur tout le territoire.Toutefois, "la filière peine à recruter des techniciens pour l'exploitation et la maintenance des parcs", selon FEE. "Ces emplois sont pourtant hautement qualifiés, non délocalisables et s'inscrivent dans la durée, soit a minima vingt à vingt-cinq ans", ajoute la fédération.
Il y a 4 ans et 204 jours

Trimble : Et les lauréats des Tekla Global BIM Awards 2020 sont…

Trimble a dévoilé le nom des lauréats des “Tekla Global BIM Awards 2020”. Cette compétition biennale présente les projets de construction les plus impressionnants au monde, réalisés avec les solutions Tekla. Qui repoussent les frontières de l’ingénierie structurelle et du BIM. Pour cette édition, plus de 135 projets étaient en compétition, parmi lesquels les lauréats des BIM Awards régionaux de Tekla de 36 pays. Un jury composé d’experts en industrie a sélectionné les lauréats. Ce dernier a évalué les projets selon des critères objectifs de collaboration, de mise en œuvre, d’innovation et de faisabilité. Les lauréats des Tekla Global BIM Awards 2020 sont : • Meilleur projet BIM & Meilleur projet InfrastructureProjet : Randselva Bridge – NorvègeEntreprise : Sweco Structural Engineering, PNC, Armando Rito, Isachsen Le pont de Randselva est basé sur des modèles BIM. [©Trimble] Le pont de Randselva est un ouvrage en béton en porte-à-faux de 634 m de long, construit sans dessin. Il est basé sur des modèles BIM. [©Trimble] Le pont norvégien de Randselva est le premier ouvrage de cette taille (634 m de long) pour lequel le processus de construction basé sur le modèle numériquea permis d’éliminer les plans. Le logiciel Tekla Structures a aidé les ingénieurs à surmonter les difficultés liées à la géométrie complexe et élancée du pont. Mais aussi aux problématiques générées par la densité des armatures.  • Meilleur projet commercialProjet : One Nine Elms – Royaume-uniEntreprise : Solve Structural Design One Nine Elms sera un développement à usage mixte (hôtelier et résidentiel) sur la rive Sud de la Tamise, à Londres. [©Trimble]One Nine Elms sera un développement à usage mixte (hôtelier et résidentiel) sur la rive Sud de la Tamise, à Londres. [©Trimble] One Nine Elms est un projet à usage mixte hôtel et résidentiel, situé sur la rive Sud de la Tamise, à Londres. Le BIM a été utile pour concevoir les fondations situées deux niveaux sous terre. Les matériaux ont été acheminés par l’intermédiaire d’ouvertures réduites. Ce qui a compliqué les conditions de construction. Comme, le modèle 3D a servi de source unique de référence tout au long du projet, cela a permis de mettre en évidence les collisions d’armatures dans les zones très denses du projet. Et a ainsi évité les retards coûteux. La plate-forme de collaboration Trimble Connect a visualisé sur le chantier les modèles 3D. Ce qui a contribué à la réussite du projet. • Meilleur projet industrielProjet : Blominmäki Wastewater Treatment Plant Entreprise : Helsinki Region Environmental Services Authority HSY, YIT Oyj, Afry Finland, FCG Finnish Consulting Group, A-Insinöörit  La nouvelle station d’épuration de Blominmäki, en Finlande, sera la plus productive des pays nordiques. Elle éliminera jusqu’à 99 % du phosphore de l’eau. [©Trimble]La nouvelle station d’épuration de Blominmäki, en Finlande, sera la plus productive des pays nordiques. Elle éliminera jusqu’à 99 % du phosphore de l’eau. [©Trimble] A Blominmäki, l’une des stations d’épuration les plus productives des pays nordiques a nécessité une vaste gestion des données. La station comprend 93 000 m3de béton, 9 000 t d’armatures et 1 500 t de structures métalliques. La capacité à collaborer et à partager les informations entre les disciplines et les parties prenantes avec Trimble Connect s’est avérée essentielle pour la réussite du projet. • Meilleur Projet Public Projet  : Helsinki University Hospital (HUS) Bridge Hospital – FinlandeEntreprises : A-Insinöörit Suunnittelu, HUS Kiinteistöt, SRV Rakennus, Team Integrated (AW2 Arkkitehdit, Brunet Saunier Architecture, Arkkitehtuuritoimisto B&M Oy, Arkkitehtitoimisto Harris-Kjisik), Peikko Finland, Granlund-Ramboll Consulting Group Le Bridge Hospital est le plus grand projet de construction de l’histoire de l’hôpital universitaire de Helsinki (HUS). [©Trimble]Le Bridge Hospital est le plus grand projet de construction de l’histoire de l’hôpital universitaire de Helsinki (HUS). [©Trimble] L’investissement dans le Helsinski Bridge Hospital et l’extension du département radiothérapie est évalué à environ 303 M€. Et a nécessité plus de 8 000 éléments en béton préfabriqué et plus de 4 000 t d’acier. Tout au long du processus de conception, les modèles 3D ont joué un rôle important dans la collaboration entre les équipes. Ceci, en facilitant la visualisation et la coordination de toutes les disciplines et de tous les sous-traitants. Une gestion efficace des informations a été essentielle pour la planification des 16 différents domaines du projet, ainsi que des 194 sous-modèles.  • Meilleur Projet Sports & LoisirsProjet : Saga Natatorium – JaponEntreprise : Yantai Daizo Design Co. La maquette numérique du Saga Natatorium a été réalisée en seulement 10 mois par une équipe de cinq personnes. [©Trimble]La maquette numérique du Saga Natatorium a été réalisée en seulement 10 mois par une équipe de cinq personnes. [©Trimble] Le complexe nautique des Jeux olympiques de Tokyo 2020 est une structure en béton armé d’un poids total d’environ 1 300 t. La maquette numérique a été réalisée en seulement 10 mois par une équipe de cinq personnes. La conception du projet était complexe à cause des armatures nécessaires pour le renforcement des réservations dans le béton armé spécial et des structures métalliques. Ces difficultés ont été surmontées, en utilisant les fonctionnalités “d’Auto-connexion” de Tekla Structures pour créer les assemblages dans le modèle. • Meilleur Petit ProjetProjet : Transmission Tower in the Form of a Lion and an Eagle – RussieEntreprise : Belenergomash Bzem, LLC Conçue pour représenter le symbole de la ville russe de Belgorod, la tour prend la forme d’un lion et d’un aigle.[©Trimble]Conçue pour représenter le symbole de la ville russe de Belgorod, la tour prend la forme d’un lion et d’un aigle.[©Trimble] Conçue pour représenter le symbole de la ville russe de Belgorod, la tour prend la forme d’un lion et d’un aigle. La structure contient 5 869 pièces, assemblées et soudées en 1 619 éléments expédiés avec 5 805 boulons. Les profils en acier de la tour ont été découpés et poinçonnés/percés à l’aide des données numériques, provenant directement du modèle Tekla Structures.  • Meilleur Projet EtudiantProjet : The Kalimantan New Mosque – IndonesieEntreprises : Universitas Lambung Mangkurat; Muhammad Reza Fardian, Dwi Kurniawan, Muhammad Rizqon Cahyadi, Muhammad Nurhalis Majid Combinaison d’acier et de béton, la mosquée a été conçue et modélisée avec les logiciels SketchUp et Tekla Structures de Trimble. [©Trimble]Combinaison d’acier et de béton, la mosquée a été conçue et modélisée avec les logiciels SketchUp et Tekla Structures de Trimble. [©Trimble] La mosquée Kalimantan a été conçue pour occuper 1 ha et accueillir environ 16 000 fidèles. Des éléments de la culture locale de Kalimantan, des tribus Banjar et Dayak, sont intégrés dans la conception. Combinaison d’acier et de béton, la mosquée a été conçue et modélisée avec les logiciels SketchUp et Tekla Structures de Trimble. Les étudiants ont également utilisé l’outil de visualisation intégré dans Tekla Structures pour le rendu 3D de la structure. • Meilleur Projet DeveloperProjet : Bolt Clearance Check – Etats-Unis.Entreprise : JMT Consultants L’application “Bolt Clearance Check” de Tekla Structures vérifie s’il y a assez d’espace pour assembler les boulons. [©Trimble] L’application “Bolt Clearance Check” de Tekla Structures vérifie s’il y a assez d’espace pour assembler les boulons. L’outil gagnant résout un vrai problème et aide les dessinateurs dans leur travail. L’application, développée en seulement 15 h par JMT Consultants, montre que de nouveaux outils utiles peuvent être créés rapidement grâce à une interface de programmation abordable. L’outil gagnant s’aligne sur la stratégique d’ouverture de Trimble et encourage de nouveaux développeurs à essayer la programmation avec l’Open API de Tekla. • Mention SpécialeProjet : Twickenham Riverside Development Bid – Royaume-UniEntreprise : Mason Navarro Pledge Le projet duTwickenham Riverside Development Bidvise à redynamiser une partie des rives de la Tamise. [©Trimble]Le projet duTwickenham Riverside Development Bidvise à redynamiser une partie des rives de la Tamise. [©Trimble] La proposition de Twickenham Riverside Development Bid vise à redynamiser une partie des rives de la Tamise. Et à apporter des opportunités économiques à la zone de Twickenham dans son ensemble. L’utilisation de Tekla Structural Designer pour la conception de ce projet multi-matériaux à géométrie complexe, ainsi que l’accent mis sur la durabilité en incorporant le bois, ont valu au projet une reconnaissance particulière. La structure de la verrière en bois et le cadre en béton coulé sur site ont été modélisés. Ceci, pour permettre au maître d’œuvre de mieux comprendre la faisabilité structurelle de la canopée et les contraintes qu’elle impose. Pour plus d’informations sur les Tekla Global BIM Awards 2020, les candidatures et les lauréats, consultez le site.
Il y a 4 ans et 204 jours

Resolving, Partenaire Exécutif du salon BIM World, présente son édition spéciale totalement virtuelle

Ce choix d'un événement digital à l'occasion du BIM WORLD, dont RESOLVING est un sponsor historique (Partenaire Exécutif), permet de partager et échanger en toute quiétude en évitant les aléas organisationnels, et les risques entourant les réunions publiques depuis la pandémie.« La situation sanitaire oblige toutes les entreprises à revoir leurs modes opératoires et la circulation de leurs collaborateurs et clients. Pour le BIM World, nous avons choisi de faire un saut complet dans le digital en portant sur le Web un programme d'animations qui reproduit ce que nous aurions pu présenter sur notre stand. Nos consultants, clients et partenaires invités, ne seront pas présents physiquement sur le salon à la Porte de Versailles, mais connectés à leurs écrans pour animer des prises de paroles et répondre aux questions individuelles de nos visiteurs pendant 2 jours », explique Hakim Fagoul, Directeur France de RESOLVING.RESOLVING a porté sur le Web dans un environnement graphique dédié un programme permanent de conférences, d'ateliers FAQ et de démonstrations, et introduit toutes les possibilités d'interactions et de rendez-vous avec les speakers et les équipes RESOLVING.Cet événement virtuel se déroule avec l'appui et en présence des clients et partenaires de RESOLVING : BatiRIM®, ENGIE Solutions, Nexity, Paris-Ouest Construction, Rabot Dutilleul Construction et Spie batignolles.Au programme pendant les 2 jours, retrouvez nos experts autour de 5 thématiques :Innovations RESOLVINGDigitalisation des processus internes d'entrepriseDigitalisation des projets d'une entreprise généraleDigitalisation des projets d'une maîtrise d'ouvrageDigitalisation du diagnostic Ressource et de la déconstruction sélectivePour suivre le live les 7 et 8 octobre de 9H à 18H :https://www.resolving-bim-world-digital.com/
Il y a 4 ans et 204 jours

Chantiers bâtiments bois ≥R+4 : s'adapter à l'instabilité réglementaire et maîtriser le risque incendie

Après un premier BTP Morning organisé en novembre 2017 par BTP Consultants sur la construction bois, ce bureau de conseil a renouvelé l'échange de prises de paroles lors d'un webinaire qui s'est tenu ce 25 septembre. Il met en évidence les acquis des acteurs les plus engagés sur ce nouveau mode constructif.Patrick Vrignon, Président de BTP Consultants, a rassemblé :Samuel Poutoux, dirigeant du cabinet d'architecture Atelier WOA,Pierrick Le Manac'h, directeur de projets au sein de la structure d'assistance à maîtrise d'ouvrage VOXOA,Eric Dibling, fondateur et dirigeant d'Ingénico Technologies et membre de l'association ADIVbois,Christophe Lemaitre, directeur opérationnel du département WeWood chez Bouygues Bâtiment France Europe,et Jean-Marc Gley, directeur « Technique et Qualité » chez BTP Consultants.« Le bois est un enjeu d'avenir pour la ville dense », a souligné Samuel Poutoux, dirigeant d'Atelier WOA, en ouvrant les interventions. Ce maître d'œuvre dispose déjà de nombreuses références*. « Il faut concevoir dès l'esquisse en tenant compte des spécificités du mode constructif bois », reconnait-il en tout premier lieu. De façon rationnelle, cette démarche dicte alors les impacts sur l'architecture et permet de soigner la préfabrication des pièces, le transport, le levage… tout en intégrant les points sensibles que sont le risque incendie et le traitement de l'acoustique, deux difficultés majeures de ce type de construction, selon lui.Partager le risquePierrick le Manac'h, assistant auprès des maîtres d'ouvrage et directeur de projet chez Voxoa partage ce souci d'anticipation des difficultés dès le montage de l'opération. « Les opérations de bâtiments bois de grande hauteur sont menées dans un contexte très spécifique : ils demandent une grande technicité, nous avons peu de retour d'expérience. De plus, nous sommes dans une situation d'instabilité réglementaire, notamment au regard de la sécurité incendie. Comment assurer la maîtrise des délais, des coûts et le respect du programme tout au long de l'opération ? »Pour lui, la solution est managériale : « La conduite d'opération doit permettre aux parties prenantes de travailler en mode projet et de manière collaborative. Le maître d'ouvrage ou l'AMO adoptent un rôle de chef d'orchestre. » La mise en place de tableaux de bord partagés permettent de réagir aux dérives de délais, de coûts ou de programme avec agilité. « Il faut que tout le monde porte un risque égal. »Les solutions ? Adopter le groupement de conception-réalisation, le groupement de maîtrise d'œuvre ou tout autre montage « hybride » en marché privé ; recourir au dialogue compétitif ou à la négociation avant la signature du contrat…Expérimenter les limites des structures boisImpliquée dans des projets d'envergure depuis plus de dix ans, Ingeneco Technologies affirme maîtriser les difficultés liées à cette filière bois émergente. Pour Eric Dibling, son fondateur et dirigeant, après trois générations de Plan Bois, la construction bois peut être qualifiée de « relativement mature ». À telle enseigne qu'Ingeneco Technologies vient de participer, avec le CSTB, Solideo (société de livraison des ouvrages olympiques pour les JO de 2024), et Socotec à la rédaction d'un guide d'amélioration de la conception des bâtiments en bois pour la levée des freins. Très investi, Eric Dibling souhaite d'ailleurs pousser le plus loin possible la construction bois: « Toutes les potentialités du corpus technique ne sont pas encore exploitées », reconnaît-il. En se basant sur les niveaux de qualité et de sécurité établis par les référentiels techniques et réglementaires, il propose de développer des démonstrateurs de solutions innovantes fondées sur les connaissances scientifiques. En clair, faire avec le bois comme on l'a fait ces dernières décennies avec le béton ou l'acier. À ce titre, l'autorisation de dérogation aux règles de la construction prévue dans la loi Essoc de février 2019 ouvre des perspectives. Eric Dibling pose cependant des garde-fous afin de veiller à l'acceptabilité sociale des solutions tels que la prise en compte des sinistres ou une nécessaire « sévérisation » des sollicitations au regard du changement climatique.30% d'ouvrages bois supérieurs à R+4 en 2030Fort d'une expérience de quelque 120 projets bois livrés ou en cours, Christophe Lemaître, directeur opérationnel de WeWood, filiale de construction bois de Bouygues Bâtiment France Europe, cite ses préoccupations majeures :la gestion de l'humidité pour éviter la sinistralité ultérieure ;la prise en compte de tolérances de pose importante à partir de 5 à 6 niveaux ainsi que sur des points singuliers (liaisons dalle-façade, assemblage poteau-poutre) ;le passage des gaines de désenfumage ;le dimensionnement des assemblages pour la reprise des efforts au vent et la résistance incendie.L'intérêt pour ces sujets est motivé par les perspectives d'évolution de ce mode constructif :Christophe Lemaître estime qu'en 2030, 30% des chantiers de grande hauteurs adopteront le bois. Au quotidien, il utilise un corpus réglementaire et de prescriptions qui permet de réduire les incertitudes : les DTU 31.2, 31.4 sur les murs à ossature bois des bâtiments de moins de 28 m ; le DTU 41.2 sur le bardage bois sur support ; la réglementation incendie avec l'arrêté du 31 janvier 1986 modifié le 7 août 2019 qui interdit l'usage du bois en façade des tours de 4e famille (28 à 50 m), l'instruction technique (IT) 249 relatives aux façades ainsi que les précisions apportées dans le guide FCBA-CSTB-Codifab de 2018… Le risque incendie est primordial, et, complexité supplémentaire, les services départementauxd'incendie auraient eux-mêmes des exigences très différentes d'un lieu à l'autre. Pour cadrer le sujet, le ministère de l'Intérieur a annoncé qu'il allait s'emparer du problème pour fixer la doctrine.Parmi les solutions, il est prévu d'évoquer l'obligation d'installer des sprinklers dans les étages comme cela se pratique déjà dans d'autre pays européens.Pour autant, Christophe Lemaître balise les chantiers de points de vigilance :veiller à l'assurabilité des bâtiments et des partenaires du chantier en vérifiant le domaine d'emploi des matériaux et les qualifications des acteurs du projet ;anticiper l'étude des appréciations techniques expérimentales (ATEx) en intégrant un délai de 12 mois dans le planning ;préférer les contrats de conception-réalisation pour mobiliser l'ensemble des parties prenantes et gérer ainsi les interfaces tous corps d'état.Anticiper dès la phase conceptionJean-Marc Gley, directeur « Technique et qualité » chez BTP Consultants, fait le constat de progrès considérables de la filière construction bois depuis 2017, date de la précédente réunion de BTP Consultants sur ce sujet. Il retient que « l'anticipation est fondamentale sur ce type de projet, et le contrôle technique doit être présent très en amont, dès la conception. Ensuite, en phase chantier, ce sera du suivi et de la vérification. »Un problème persiste cependant : celui de l'instabilité réglementaire. Pensée sur la base de matériaux minéraux non combustibles, la réglementation incendie doit être revue pour les structures bois. Leur potentiel calorifique doit être analysé sous les angles de la propagation de l'incendie, du rayonnement thermique et de la production des gaz de pyrolyse. Ce qui change la mission du contrôleur technique. « Il doit aborder le projet en amont du chantier pour traiter avec le maître d'ouvrage la conception architecturale, les façades…, explique Jean-Marc Gely. On sort de la traditionnalité et le contrôleur technique sera ainsi amené à travailler avec l'architecte, les entreprises et les fournisseurs. » Patrick Vrignon, Président de BTP Consultants, constate que le progrès sur ces constructions passe par un travail plus collaboratif des acteurs.Pour consulter le webinar (environ 1h30), cliquez ici.* Parmi les projets cités, un immeuble de 53 logements R+9 pour le maître d'ouvrage Woodeum à Saint-Denis (93) ; deux immeubles d'un total de 145 logements R+16 et R+8 à Rennes construits avec Anthracite Architecture pour Groupe ARC et Keredes ; et plus récemment le siège emblématique de l'Office National des Forêts à Maisons-Alfort, un site tertiaire R+5 de 7 600 m² mis au point avec l'architecte Vincent Lavergne. D'autres chantiers marquants sont en projet, comme « La Tour Commune » dans la ZAC Massena du 13e arrondissement de Paris pour le compte du Crous de Paris, un R+15 de 221 logements étudiants dont le permis de construire est en cours d'instruction. ** Association pour le Développement des Immeubles à Vivre en bois
Il y a 4 ans et 205 jours

Béton[s] le Magazine fête ses noces de cristal

Quinze années séparent les couvertures du n° 1 et du n° 90 de Béton[s] le Magazine. [©ACPresse] Il y a, dans la vie, des moments qui méritent une pause. Ceux qui donnent l’occasion de regarder en arrière, pour juger du chemin parcouru. Et aussi de choisir la route sur laquelle nous allons nous engager. Ce début du mois d’octobre est une période importante pour nous : il marque le 15e anniversaire de la création des Editions AvenirConstruction. Donc de la revue Béton[s] le Magazine, dont le n° 1 est sorti début novembre 2005 lors du salon Batimat.  Même si la situation actuelle ne pousse pas à la fête, il serait dommage de ne pas nous réjouir ! Que de travail accompli. Que d’informations publiées. Jusqu’à présent, la tâche fut immense et l’équipe qui s’y est attelée, au top ! Merci donc aux collaborateurs actuels, qui œuvrent chaque jour, à faire progresser l’entreprise commune. Merci aussi aux collaborateurs passés, qui ont apporté leur pierre à l’édifice.  15 ans d’informations ciblées et qualifiées En 15 années, 90 numéros de Béton[s] le Magazine ont été publiés et quelque 24 hors-séries thématiques. Des centaines de newsletters sont arrivées dans vos boîtes e-mail. Bâti & Isolation est né et s’est développé. Ciments Bétons Plâtres & Chaux nous a rejoints, pour devenir aujourd’hui Process Industriels. Le mensuel 100 % numérique Chapes-Info a été accueilli avec enthousiasme et poursuit sa croissance. La marque ACPresse est venue fédérer l’ensemble de ces titres. Et de manière naturelle, le site d’informations a pris le nom d’acpresse.fr. Refondu en totalité au début de l’année 2019, il regroupe les univers “Béton”, “Isolation”, “Process”. Autant de portes d’entrée sur les actualités des secteurs concernés et sur les revues print qui y sont rattachées. Plus transversal, l’univers “Architecture” opte pour une information très ciblée. Tandis que “Pause Café” se concentre sur l’art et le design en lien avec la construction. La fidélité des lecteurs et des industriels L’anniversaire des Editions AvenirConstruction (ACPresse) est l’occasion d’adresser un grand “merci” à vous tous, les lecteurs. Fidèles parmi les fidèles, sans qui rien ne serait possible. Notre reconnaissance va aussi aux industriels qui nous font confiance depuis le début pour leur communication. Qui croient en nous et sans qui nous ne serions pas là ! La pause prend fin. Il est temps de regarder en avant, de parier sur l’avenir. Aucune mutation ne peut s’affranchir d’une information de qualité, sérieuse et complète. C’est là notre mission pour les années qui viennent.  Mariola Gluzicki-GrabowskaDirectrice générale Frédéric GluzickiDirecteur des publications
Il y a 4 ans et 205 jours

TOURS HABITAT engage une démarche ambitieuse de réemploi des matériaux de construction

Soucieux de s’engager fortement sur la question du réemploi des matériaux issus de la déconstruction des bâtiments dans le cadre du renouvellement urbain, Tours Habitat (37) a organisé, le 29 septembre 2020, avec son partenaire maître d’ouvrage Bellastock, une matinée d’informations et d’échanges autour de cette thématique innovante. Les acteurs locaux ont pu échanger et penser collectivement le réemploi des matériaux issus de la déconstruction de plusieurs bâtiments dans le cadre du renouvellement urbain du Sanitas à Tours. Les maîtres d’ouvrage, maitres d’œuvre, entreprises du BTP et entreprises de l’économie sociale et solidaire, ont répondu présent à cette première rencontre, qui a donc été l’occasion d’initier une opération collective ambitieuse, en mettant à profit les ressources du territoire. L’ensemble des participants, y compris le maire de Tours, était invité à manifester son intérêt dans la démarche de réemploi des matériaux de construction au sein du quartier du Sanitas, et plus largement sur le territoire métropolitain, par la signature d’un document symbolique : cap’ réemploi. TOURS HABITAT s’est entouré d’une équipe complémentaire, comptant Bellastock et Inddigo, une équipe constituée d’acteurs impliqués dans l’expertise de déconstruction, réemploi et économie circulaire, de démarches collaboratives et la maîtrise de la qualité environnementale.
Il y a 4 ans et 209 jours

Que faut-il savoir sur les travaux de terrassement?

Avant tout chantier de construction, des travaux de terrassement sont généralement effectués. Il s’agit de toutes les opérations destinées à préparer le terrain à la réception d’une nouvelle infrastructure. Elles impliquent de plus le déplacement d’une quantité importante de matériaux (de la terre, des roches, de sables, des cailloux, etc.). Nous parlons de ce procéder dans cet article. Découvrez tout ce qu’il a à savoir sur le sujet. Travaux de terrassement : en quoi consistent-ils ? Comme susmentionné, le terrassement est un ensemble de travaux dont le but est de préparer un terrain avant d’entamer la construction d’une infrastructure. Il peut se matérialiser par des remblais et des déblais. Concrètement, l’aspect initial du terrain est modifié. Le remblai consiste à apporter une masse de terre afin d’élever un terrain ou combler les creux. Ceci étant fait pour le niveler. Quant au déblai, il intervient en second lieu et correspond à la phase des fouilles. À la différence du remblaiement, celui-ci consiste à creuser dans le sol afin d’extraire les terres. À titre d’exemple, des creusements profonds sont réalisés pour la construction d’une cave. Pour les canalisations et divers conduits, on effectue des creusements superficiels. Retenez que les terres résultant du déblaiement seront stockées à part. En raison de leur importance, ces travaux doivent être réalisés par un professionnel comme un terrassier ou une entreprise de terrassement. En effet, ils garantissent la stabilité de la construction finale. Ils empêchent également les tassements, les glissements ou les effondrements de terrain qui mettent en péril la maison et ses occupants. Quelles sont les principales étapes des travaux de terrassement ? Le terrassement est composé d’opérations lourdes et complexes. En effet, pour mieux préparer le terrain à la construction, il faudra nécessairement passer par plusieurs étapes. Le bornage de terrain Également appelée « piquetage », cette étape se concrétise par la délimitation la propriété. Il garantit également la conformité des travaux au plan de l’architecte.  Il permet de prévoir et de relever l’emplacement des canalisations. Le bornage permet enfin de limiter les éventuels soucis liés à la délimitation du fond voisin. L’évacuation des eaux Il est nécessaire d’adapter le projet au système d’évacuation des eaux. En effet, le terrain doit permettre le ruissellement des eaux de pluie. À cet effet, il doit présenter une pente de 5% au minimum. Leur évacuation peut aussi être assurée avec la pose des drains et des regards. Dans ce cas- là, il faut tenir compte de la nature du sol, de sa localisation et de l’état du sous-sol. Le décaissement Ce procédé est également nommé « décapage ». Il consiste à enlever la couche supérieure du terrain, en l’occurrence la terre végétale.  Concrètement, cette dernière se compose de végétaux et de déchets organiques. Pour assurer la stabilité de la construction,  elle devra être installée sur les couches du sol les plus aptes à supporter sa charge. Ici encore, les connaissances et l’expertise d’un professionnel sont requises. Par conséquent, nous vous conseillons de solliciter les services d’une entreprise de terrassement. La mise en place d’un film géotextile La pose du film géotextile permet de séparer la terre du remblai qui sera mis en place en dernier lieu. Ce film empêche également la formation de mauvaises herbes, des végétaux et des racines.  Notez que sa pose n’impacte pas sur l’évacuation des eaux. Le remblai C’est la dernière étape des travaux de terrassement. C’est l’opération entreprise afin de rendre le sol horizontal. Comme susmentionnées, des terres pourront être amenées sur le chantier pour combler le sol.
Il y a 4 ans et 210 jours

Les assurances de l’artisan du bâtiment

Le BTP est un secteur particulièrement exposé aux risques professionnels. À n’importe quel moment, des dommages peuvent survenir sur un chantier. Dans certains cas, les dépenses de réparations sont lourdes au point que l’artisan qui a réalisé les travaux peut être contraint d’arrêter ses activités. Pour éviter ce genre de situation, la loi oblige les artisans à se protéger avec certaines garanties. Quels sont les contrats d’assurance qu’un artisan du bâtiment doit souscrire ? Quels sont les risques couverts par ces garanties ? Découvrez toutes les réponses dans ce guide. L’assurance décennale Après la livraison d’un ouvrage, des dommages peuvent survenir des mois ou des années plus tard et compromettre la solidité de la construction. Si le sinistre a lieu dans les 10 ans suivant la livraison, alors la responsabilité de l’artisan qui a effectué les travaux de construction est engagée. Dans ce cas, l’assurance décennale pour artisan du bâtiment garantit le versement des frais de réparation des travaux. Elle décharge le constructeur des dépenses qui pourraient freiner ses activités ou provoquer la faillite de son entreprise. Elle est indispensable et doit être signée avant le démarrage des travaux. Quels sont les sinistres couverts par la garantie décennale ? Existe-t-il des exclusions ? Les sinistres couverts par la garantie décennale La garantie décennale couvre uniquement les sinistres d’une certaine ampleur. Il s’agit des dommages qui : Compromettent la solidité de l’ouvrage ; Rendent l’ouvrage impropre à l’usage auquel il est destiné ; Affectent les éléments d’équipements indissociables. Autrement dit, pour faire jouer la garantie décennale, on doit constater des fissurations importantes, des glissements de terrain et des défauts d’étanchéité. Les problèmes liés au toit, aux murs et à la charpente sont également pris en compte. Les éléments d’équipements indissociables, eux, concernent les éléments qui ne peuvent être enlevés, démontés ou remplacés sans endommager la construction. Il s’agit par exemple des canalisations encastrées, des volets, des ballons d’eau chaude, de la chape de béton… Les exclusions On ne peut pas faire jouer la garantie décennale pour les menus ouvrages. L’assurance ne prend pas en compte les problèmes liés aux fenêtres, aux portes, aux plafonds ainsi que les fissures dans les murs. La loi estime que ces dommages n’affectent pas la solidité d’un ouvrage. De même, les dommages de nature esthétique sont exclus de la garantie décennale. Par exemple, la responsabilité de l’artisan n’est pas engagée lorsque la couleur de la peinture de l’ouvrage est inappropriée. Dans le même sens, la loi établit 3 situations dans lesquelles la responsabilité de l’artisan n’est pas engagée. Il s’agit des cas de : Vice émanant d’un tiers ; Cause étrangère ; Faute provenant du maître d’ouvrage ou du propriétaire. Si les matériaux fournis par les sous-traitants ne sont pas conformes aux normes, l’artisan peut engager un recours et prouver que sa responsabilité n’est pas engagée. Quant à la cause étrange, elle prend en compte les incendies, les actes de vandalisme et les catastrophes naturelles. Sur un chantier de construction, les décisions du maître d’ouvrage peuvent être à l’origine de défaillances s’il refuse de suivre les conseils de l’artisan. Dans ce cas, on ne peut déclencher la garantie décennale. Enfin, l’usure normale de la construction et l’intention de frauder de l’artisan ne sont également pas prises en compte par l’assurance décennale. La responsabilité civile professionnelle ou RC Pro La responsabilité civile professionnelle ou RC Pro couvre les éventuels dommages que l’artisan pourrait causer au maître d’ouvrage, aux fournisseurs ou à des tiers sur un chantier. Il peut s’agir d’erreurs, d’omissions ou de fautes involontaires du professionnel du bâtiment. Cette assurance professionnelle prend en compte les dommages : matériels (détérioration, perte ou destruction du bien) ; corporels (atteintes physiques et morales) ; immatériels (pertes financières). Par exemple, les nuisances sonores générées par les chantiers de construction troublent généralement de manière anormale le voisinage. La responsabilité civile professionnelle n’a pas de durée déterminée et n’est pas imposée par la loi. Elle varie en fonction du contrat de chaque professionnel du bâtiment. Néanmoins, elle est vivement recommandée pour éviter de supporter de lourdes charges en cas de dommages importants. Certaines compagnies d’assurance proposent une RC Pro très complète afin de couvrir une longue liste de dommages. Elles ajoutent donc des clauses optionnelles pour mieux protéger l’artisan. L’assurance multirisque professionnelle L’assurance multirisque professionnelle couvre les locaux et le matériel de l’artisan contre les incidents majeurs. Il peut s’agir d’un incendie, d’un acte de vandalisme, d’un court-circuit, d’une catastrophe naturelle ou d’un dégât causé par l’eau. Le professionnel bénéficiera du remboursement de la totalité ou d’une partie du montant des frais de réparation des dommages. Comme la RC Pro, l’assurance multirisque professionnelle n’est pas imposée par la loi. Toutefois, elle est vivement recommandée pour éviter au travailleur de fermer son activité en cas d’incident important. La garantie de parfait achèvement La garantie de parfait achèvement couvre les dommages constatés sur un ouvrage au cours de l’année qui suit la date de réception. Si certaines malfaçons ont également été notifiées sur le procès-verbal de réception des travaux, elles peuvent être couvertes par cette assurance. La garantie de parfait achèvement doit être souscrite par l’artisan avant l’ouverture du chantier. Sinon, il ne pourra pas la faire jouer. Pour faire les réparations, les deux parties fixent d’un commun accord un délai. Le non-respect des délais convenus expose le professionnel du bâtiment à des sanctions administratives. Le propriétaire peut saisir le tribunal judiciaire et réclamer des indemnités de retard. Il peut également obtenir l’autorisation de confier les réparations à un autre constructeur et de réclamer le remboursement des dépenses qu’il aura effectuées. La garantie de bon fonctionnement ou garantie biennale Pendant les deux années qui suivent la livraison d’un ouvrage, le propriétaire peut demander au constructeur de réparer ou de remplacer des éléments d’équipements (dissociables de la construction) défaillants. C’est ce que couvre la garantie de bon fonctionnement. Elle est totalement légale et ne peut être exclue par le contrat de construction. Cette assurance vient compléter la garantie décennale pour protéger l’artisan de façon optimale. Que retenir ? Les assurances permettent d’indemniser les artisans du bâtiment en cas de sinistre. Si l’assurance décennale est obligatoire, les autres sont facultatives. Cependant, elles restent vivement recommandées pour se protéger des risques propres au métier.
Il y a 4 ans et 210 jours

Coffrages : le chantier exemplaire de la Tour Ycone

Les coffrages Schöck ASE sont destinés à la réalisation d’éléments de construction apparents comme les rives de prédalles, prémurs, balcons ou encore rives de poutres, dont l’aspect totalement lisse, sans bulles ni aspérités, et le parement impeccable constituent des atouts esthétiques. Cette solution, clé en main, a ainsi été retenue par le spécialiste de produits béton Plattard pour la préfabrication de plus de 300 mètres linéaires de poutres assemblées au cœur de la Tour Ycone, dans le quartier Confluence, sur la presqu’île de Lyon. Signée de l’architecte Jean Nouvel, cette tour singulière culmine à 64 mètres de haut et abrite un programme mixte de 92 appartements (dont 27 logements en prêt locatif social) répartis sur 14 étages et 660 m2 de commerces localisés en rez-de-chaussée. L’ossature bois, la façade en béton habillée d’aluminium, une double peau en verre opaline ménageant de spacieuses terrasses ou loggias, et une coiffe métallique confèrent une silhouette « flottante » à Ycone. Une légèreté qui s’appuie sur la solidité des planchers montés, à chaque niveau, avec des poutres intégrant les coffrages Schöck ASE en béton fibré extrudé C40/50. L’intégration des Schöck ASE en usine permet d’obtenir des poutres précoffrées pourvues de leur ferraillage qui seront livrées sur site afin d’être coulées en même temps que le plancher. Plus légères car évidées, elles s’avèrent plus facile à décharger et à manipuler. Ces coffrages se caractérisent par une résistance au cintrage (15-16 N/mm2), à la pression (55- 60 N/mm2), au gel et aux intempéries. Maître d’ouvrage : SCCV M3 SUD CONFLUENCE, Co-promotion GROUPE CARDINAL et VINCI PROMOTION IMMOBILIÈRE Architecte : ATELIERS JEAN NOUVEL Entreprise de construction : FONTANEL SA Entreprise de préfabrication : PLATTARD SAS Photo : Guillaume Perret  
Il y a 4 ans et 210 jours

L'été permet aux matériaux de construction de remonter un peu la pente mais la reprise reste fragile

Pour autant, le niveau des cumuls annuels demeure encore très inférieur à ceux observés un an plus tôt. La perte d'activité enregistrée au cours des trois mois de mars-avril-mai a ramené les volumes annuels de granulats à leurs niveaux de mi-2016 (point bas historique), effaçant ainsi tout le chemin parcouru en trois ans ! Quant au BPE, les huit semaines de confinement ont gommé les 4/5 du redressement opéré depuis fin 2015. Le retour à une activité proche de la “normale” ne permettra pas de combler le gap à court terme, ce d'autant que la crise sanitaire, qui se double en crise économique, a chamboulé les déterminants de la demande de matériaux. Trois mois qui ont effacé plus de trois ansDepuis le mois de juin, le processus de "rattrapage" s'est amorcé des productions supérieures à celles de 2019. Ainsi, selon les résultats provisoires de l'enquête mensuelle d'août, l'activité granulats aurait progressé de +6,3% au regard de l'an passé et de +2,4% par rapport au mois de juillet (données CVS-CJO). Sur les trois derniers mois connus (juin-juillet-août), les volumes auraient rebondi de +63,7% par rapport au trimestre précédent, se positionnant à +4,3% au-dessus du niveau enregistré sur la même période de 2019. En dépit de ce rebond, les niveaux d'activité des granulats se situent, sur les huit premiers mois de l'année, à près de -11% en deçà de ceux de l'an passé. Quant aux volumes produits sur l'année, ils atteignaient à peine 300 millions de tonnes à fin août (hors recyclage), soit un recul de -7,8% en glissement sur un an. Du côté du BPE, le redressement est plus marqué encore, en écho à un plongeon plus appuyé. En août, les livraisons ont grimpé de +2,5% par rapport à juillet et de +10,1% au regard de 2019 (données CVSCJO). Sur les trois mois d'été, l'activité a rebondi de +88,9% par rapport aux trois mois précédents et de +5,5% sur un an. Mais à fin août, en cumul sur 12 mois, la chute demeure importante et atteint -12,2% en glissement (à 36,1 Mm3) tandis qu'elle approche -16% en cumul sur les huit premiers mois de 2020. L'indicateur matériaux, encore provisoire pour le mois d'août, décrit les mêmes évolutions avec des ampleurs comparables. Ainsi, après un deuxième trimestre qui s'est affaissé de près de -20% (données CJO), l'activité est revenue sur un recul de -12% sur un an pour les huit premiers mois de 2020, aucun des matériaux n'échappant à cette incurie conjoncturelle. Rebond des enquêtes mais jusque quand ?De leur côté, les enquêtes menées auprès des professionnels du bâtiment et des TP au cours de l'été traduisent aussi un net regain d'optimisme après le “trou noir” du printemps. En septembre 2020, l'opinion des chefs d'entreprise du bâtiment sur leur activité récente continue de s'améliorer et leurs carnets de commandes, après avoir retrouvé leur point haut en août, ont quelque peu diminué bien que restant très au-dessous de leur moyenne de longue période (8,5 mois dans le gros œuvre contre une moyenne de 6,2 mois). Ce constat suggère que la période de confinement n'a pas donné lieu à des annulations de commandes mais confirme hélas le net freinage des nouvelles, voire s'accélérer dans le segment du bâtiment neuf. Les mises en chantier de logements ont certes rebondi elles aussi ces derniers mois (le cumul depuis janvier ayant été ramené à -14,7% en juillet sur un an, contre -20% en mai) mais les permis, eux, peinent à se redresser (restant à -20% depuis mai). A fin juillet, et sur douze mois, on dénombrait ainsi 374 700 logements commencés pour 394 100 permis. Le “gel” de l'instruction des dossiers d'autorisation pendant plus de 2 mois, conjugué à la frilosité des promoteurs pour lancer de nouveaux programmes (elle-même liée à la dégradation de la solvabilité et de la confiance des ménages confrontés au problème du chômage), pourraient peser sur la dynamique du redémarrage des permis dans le secteur résidentiel. Même si l'investissement en logement figure toujours comme une priorité pour les ménages, le durcissement des critères d'octroi de prêts immobiliers recommandé aux banques fin 2019 par le HCSF (Haut Conseil pour la Stabilité Financière) pourrait freiner l'accès au crédit habitat des publics les plus modestes. En ce sens, le prolongement et le ciblage des mesures comme le PTZ et le Pinel, annoncés par le gouvernement, constitueraient un facteur de soutien au retour des projets, dans un contexte où l'épargne des ménages, en forte hausse depuis mars, représente un potentiel d'investissement non négligeable. En effet, avec plus de 85 milliards d'euros mis de côté en cinq mois, les ménages affichent un taux d'épargne de 27% du revenu disponible brut au deuxième trimestre 2020 contre moins de 15% un an plus tôt. Plus inquiétantes sont les perspectives dans le segment non résidentiel qui représente 47% des surfaces neuves construites. En effet, plutôt bien orienté avant le début de la crise sanitaire, le marché constructif des locaux d'activité s'est lui aussi sensiblement contracté mais les permis demeurent toujours sur une tendance très baissière à fin juillet (-29,4% sur un an). Tous les segments sont touchés et les effets du choc économico-sanitaire sur les entreprises (report des projets d'investissements, développement du télétravail…) et les collectivités locales (baisse des recettes fiscales…) obèrent l'espoir d'une reprise prochaine du segment non résidentiel. Du côté des travaux publics, les entreprises ont également retrouvé un peu d'optimisme, avec la reprise estivale de l'activité qui, à fin juillet, est encore 15% plus faible que celle des sept mêmes mois de 2019. Mais l'inquiétude reste de mise compte tenu de la mauvaise orientation des flux des nouveaux appels d'offre (-16% sur un an à fin juillet). La fin du cycle électoral, les incertitudes liées au “verdissement” des municipalités, la frilosité des collectivités locales, les nouveaux objectifs en urbanisme (Zéro Artificialisation Nette)… sont autant de facteurs pesant sur les projets futurs d'investissement en BTP. Néanmoins, le Plan de Relance, et ses crédits fléchés vers les projets d'infrastructures, couplé au volontarisme des municipalités dont les finances demeurent très saines, pourrait laisser espérer une éclaircie en 2021. Perspectives Matériaux 2020Compte tenu des précédents éléments et face à ces changements contextuels qui écartent l'hypothèse d'une “normalisation” rapide de la situation, la demande de matériaux pourrait accuser une baisse de -8% pour les granulats et de -11% pour le BPE en 2020 (données brutes). S'il est encore très délicat de se prononcer sur les tendances de 2021, les premiers scénarios envisagés à ce jour tablent sur une hausse des volumes autour de +4 / +5% l'an prochain, laissant les niveaux de 2021 environ 5 à 6% en dessous de ceux de 2019.
Il y a 4 ans et 211 jours

Le Groupe Léon Grosse prend des participations dans Kyotec, acteur de la façade architecturale

2019, une année synonyme de retour à l'équilibre financier pour Léon GrosseAprès deux années difficiles, le Groupe Léon Grosse qui soufflera l'an prochain ses 140 ans d'existence, a su redresser la situation. Avec un carnet de commande de qualité proche du milliard d'euros, l'année 2019 a marqué le retour à un résultat d'exploitation positif. Cette performance est le fruit de la mobilisation des 2.100 collaborateurs du groupe.En 2020, la crise du Covid-19 est venue impacter cette dynamique. Face à cette situation totalement inédite, le Groupe Léon Grosse s'adapte et trouve des solutions pour en diminuer les impacts, et ce malgré l'annulation inattendue de certains contrats signés en 2019. Les perspectives économiques pour 2020 restent encourageantes et permettent au Groupe de poursuivre sa stratégie de développement.Un accord stratégique conclu avec Kyotec, reflet d'une vision partagéeCréé en 2008 par Thierry Foucart et basé au Luxembourg, Kyotec est également implanté en France, en Belgique, au Royaume-Uni, au Portugal et en Pologne. Le Groupe de 175 collaborateurs a réalisé un chiffre d'affaires de 35 M€ en 2019.Spécialisé dans la conception, l'ingénierie et la gestion de projets de façades architecturales complexes dans les secteurs résidentiel et tertiaire, le Groupe dispose d'un savoir-faire reconnu à l'international. Avec plus de 50 réalisations à son actif depuis 2008, Kyotec se concentre sur des projets alliant innovation technologique, prestige et performance énergétique. Parmi les dernières réalisations : la rénovation de la Tour Aurore à Paris, l'installation du mur rideau sur les tours Mobius à Bruxelles ainsi que de la façade “exosquelette” en acier et verre sur le complexe hôtelier City of Dreams à Macau. De la conception à la réalisation, les équipes assurent le pilotage de l'ensemble de la chaîne de valeur.Ce rapprochement s'inscrit dans la stratégie de développement de Léon Grosse et illustre la volonté du Groupe de diversifier son activité. Cet accord permet à Léon Grosse d'accompagner la croissance de Kyotec et de se renforcer sur un métier du secteur de la construction à haute valeur ajoutée et porteur d'une image forte. Ce rapprochement permettra également à moyen terme de développer des synergies créatrices de valeur pour les 2 entreprises, notamment en proposant de nouvelles offres autour de structures architecturales complexes basées sur les expertises techniques complémentaires de Léon Grosse et Kyotec, en France et à l'International.Le Groupe Léon Grosse accompagnera également la mise sur le marché de la technologie brevetée ModulAir, un système de traitement de l'air intégré dans les façades pour le neuf ou la rénovation et développé dans l'atelier de test et de prototypage de Kyotec (Le LuxLab). Ce système permet à la fois de maximiser les hauteurs libres disponibles en assurant une qualité d'air ambiant dans les constructions.« Nous sommes ravis de ce rapprochement. Les compétences éprouvées de Kyotec en matière de façades techniques se veulent le prolongement naturel de l'expertise de Léon Grosse. De plus, notre culture d'entreprise fondée sur les hommes, l'esprit d'entreprenariat et l'agilité est parfaitement compatible avec celle de Kyotec. La création de synergies et le partage des meilleures pratiques permettront à Léon Grosse d'élargir significativement et qualitativement son offre auprès de ses clients, en France et à l'International. »-Lionel Christolomme – Président du Directoire de Léon Grosse« Ce rapprochement stratégique va nous permettre de conserver notre position forte dans le domaine des façades techniques ainsi que notre autonomie tout en ayant l'assurance de pouvoir nous appuyer à tout moment sur les ressources et l'expertise de Léon Grosse. De notre point de vue, Léon Grosse et Kyotec se complètent parfaitement : nous nourrissons un engagement commun en faveur de l'excellence technique et de l'innovation au service du client. »-Thierry Foucart – Président de Kyotec* Une façade architecturale complexe (panneaux en verre et profilé alu) se définit par une géométrie spécifique pouvant nécessiter le développement d'un profil structurel spécifique non référencé par des fournisseurs traditionnels
Il y a 4 ans et 211 jours

Les sociétés d'ingénierie de plus en plus inquiètes attendent toujours le redémarrage de leur activité

Plus d'1 entreprise sur 2 estime que le redémarrage n'a pas encore eu lieu et craint pour la pérennité de son activité. Pour les plus fragilisées, les premières difficultés de trésorerie apparaissent. Dans ce climat d'inquiétudes, en particulier pour les ingénieristes du conseil en technologies, la mise en œuvre rapide, simple et efficace du plan de relance sera clé. Partenaire des industriels et des collectivités, la profession génère 47,5 milliards d'euros de chiffre d'affaires et emploie 312.000 collaborateurs partout en France.« Le gouvernement a présenté le 3 septembre dernier un plan de relance massif et ambitieux. L'urgence est désormais de le mettre en œuvre. Les entreprises d'ingénierie continuent de souffrir du ralentissement économique et pour certaines les premières difficultés de trésorerie apparaissent. Au-delà de notre profession, c'est bien tout l'écosystème économique qui risque d'être atteint d'ici 6 mois ; car l'ingénierie – qui intervient sur les études et la conception – est à la racine de tout projet industriel et de construction ! Les entreprises d'ingénierie sont en ordre de bataille pour enclencher la relance ; il faut lancer les projets dès que possible ! »-Pierre Verzat, président de Syntec-IngénierieUne relance à matérialiserSi l'heure est à la relance, les entreprises d'ingénierie n'en voient pas encore les effets. 2/3 d'entre elles souffrent toujours d'une baisse de leurs prises de commandes par rapport à la même période en 2019 et pour près d'une entreprise sur 2, elle atteint 11 à 30%. Pour 2/3 des sondés, l'activité sera toujours à la baisse aux 3e et 4e trimestre 2020.Une chute durable de l'activité qui a des répercussions directes sur l'emploi des techniciens et ingénieurs. Les équipes restent sous-occupées pour plus de la moitié des entreprises interrogées (47% seulement travaillent à 100%) et 7% des effectifs sont toujours soumis à l'activité partielle (vs. 9% en juillet).Les ingénieristes inquiets et confrontés à des difficultés de trésorerieMalgré l'efficacité des différentes mesures de soutien aux entreprises, les ingénieristes voient leur trésorerie mise à mal. Un tiers d'entre eux est confronté à l'allongement des délais de paiement et pour 15%, ils ont dépassé les 30 jours. Notons que ce délai ne cesse d'augmenter depuis le début de la crise : 7% la semaine du 11 mai, puis 11% la semaine du 1er juin. Pour 72%, ces difficultés s'expliquent en grande partie par le refus de la part du client de prendre en charge les surcoûts liés à la Covid-19.Réouverture des chantiers et des sites industriels, reprise de la publication des appels d'offres, annonces du plan de relance… Alors que la situation semble se normaliser, plus d'1 entreprise d'ingénierie sur 2 estime que le redémarrage économique n'a pas encore eu lieu. Un ralentissement durable de l'économie qui inquiète la profession. Si une petite partie des sondés fait déjà part de difficultés de trésorerie, le risque se situe dans les 6 mois à venir pour 20% d'entre eux. Quoi qu'il arrive, les 12 mois à venir seront décisifs pour la moitié des répondants.*Baromètre réalisé par Syntec-Ingénierie auprès de ses adhérents entre le 1er et 4 septembre 2020. Les répondants sont des entreprises de toutes tailles, qui interviennent dans l'industrie et la construction et dans tous les secteurs d'activité d'ingénierie.
Il y a 4 ans et 211 jours

Une journée en ligne autour de la massification de la rénovation

Alors que le salon ARTIBAT est repoussé d’un an, Jeudi 22 octobre 2020, les organisateurs et NOVABUILD proposent une journée en ligne dédiée aux solutions terrain pour faciliter la massification de la rénovation. Ainsi, alterneront des séquences de présentation des solutions innovantes portées par les 10 lauréats du concours CIRQ 2020 avec des séquences thématiques d‘experts de terrains et des retours d’expériences autour de : l’innovation pour massifier, la rénovation du patrimoine bâti, la massification dans le logement individuel et collectif, l’économie circulaire en rénovation. Marjolaine MEYNIER MILLEFERT, Députée et co-Présidente du PREB (Programme de Rénovation Énergétique du Bâtiment) et Sabine BASILI, Présidente du Programme national pour la qualité de la construction et de la transition énergétique, ouvriront cette journée. Elles nous présenteront le plan rénovation, les moyens alloués par le gouvernement grâce au plan de relance et les solutions proposées par les entreprises. Laurent ROSSEZ, Président de NOVABUILD, et Michel BROCHU, Président de la CAPEB Pays de la Loire, récompenseront en clôture, les 3 premiers lauréats. Les 10 lauréats CIRQ 2020 1er Prix du jury : Isol’En Paille : ISOL’en Paille produit sur mesure une gamme d’isolants de qualité adaptée aux besoins de la construction comme de la rénovation. La botte de paille est l’isolant low-tech open-source le plus abouti ! La Botte de 22, de dimensions innovantes, est une solution de bottes en paille de 22 cm d’épaisseur. Elle est produite dans une usine dédiée et respecte le cahier des charges des règles professionnelles de la construction paille. 2ème Prix du jury : AIR : Signée YLE Architectures, cette solution de végétalisation destinée aux cours d’immeubles haussmanniens garantit l’apport d’air frais dépollué dans les appartements grâce à un système de cheminées solaires basé sur le principe de tirage thermique. La création d’écosystèmes rafraîchissants avec des cours végétalisées selon un principe de strates végétales dépolluantes, couplée au réinvestissement des cheminées raccordées, assure une qualité de l’air optimale des différents lots habitat de la copropriété. 3ème Prix du jury : MAXEEM : Maxeem, plateforme de services numérique, agrège un ensemble de données permettant d’accéder à distance à des informations relatives au bâtiment (surface, nombre d’étage, année de construction…), d’évaluer son potentiel de rénovation, de structurer un préchiffrage travaux ainsi que le montage du plan de financement. Elle identifie les professionnels RGE à proximité pour faciliter la mise en œuvre des projets de rénovation énergétique. Les professionnels sont plus performants grâce à ces outils, développant la confiance avec les donneurs d’ordres. Ces trois lauréats se verront récompensés d’une journée de coaching par OmniGibus (agence spécialisée dans la « Formation Média Training et Prise de parole ») ainsi que d’une dotation de 2 000 € (pour le 1er prix) et 1 000 € (pour les 2ème et 3ème prix). ARTICONNEX : Articonnex apporte aux artisans du bâtiment des solutions pour améliorer leur gestion des matériaux et leurs investissements en machine tout en plaçant l’économie du circulaire au cœur du projet. Articonnex propose un triptique de solutions : une marketplace (revente de matériaux neufs et de réemploi – location d’atelier et matériels de chantiers), un premier entrepôt physique dédié au réemploi et un web magazine pédagogique. BATIRESO : Plateforme de digitalisation et de dématérialisation permettant de contextualiser les échanges entre donneurs d’ordre et entreprises de la construction. Cet outil en ligne est destiné à moderniser les process administratifs de lancement d’appels d’offre et de suivi de chantiers entre professionnels du bâtiment. BATIRESO permet de gagner en productivité en diminuant les tâches administratives liées aux échanges sur un projet de construction. BIModeler : Modélisation BIM semi-automatique des lots architecturaux sur REVIT en LOD 200 / 300 à partir du plug-in BIModeler. Cette solution se caractérise par le suivi de la prestation via une plateforme collaborative full web ainsi que le suivi et le contrôle du process par un expert en modélisation BIM. BIModeler permet une diminution des coûts et délais de modélisation ainsi que des erreurs humaines. BIModeler facilite l’accès au processus BIM. FEELBAT : Les capteurs DELTA Feel permettent de suivre l’évolution des fissures et mouvements d’un bâtiment ou ouvrage d’art via une application dédiée. Le système permet de démocratiser la solution, d’anticiper les désastres sur les balcons et bâtiments. Par leur taille et leur prix ils peuvent couvrir plus de zones que les capteurs actuels. L’ASSECHEUR : Ce procédé assèche tous types de murs : plein/creux, quel que soit le matériau à la suite d’un dégât des eaux : inondation, infiltration, remontées capillaires. Il s’agit d’un traitement naturel de l’humidité du mur : pas de produit chimique, pas d’onde magnétique. L’évolution technologique du syphon atmosphérique par l’utilisation de composants électroniques miniaturisés garantit un volume d’air circulant dans le mur est constant et suffisant pour l’assécher. MON Artiz : Cette initiative structure un réseau d’artisans sélectionnés sous une marque commune pour promouvoir la rénovation énergétique. Elle met à disposition une application numérique pour les accompagner dans leur quotidien et disposer d’une offre élargie par de nouveaux services innovants (possibilité d’intégrer une maquette BIM simplifiée, proposition de variantes pour une rénovation énergétique performante). We Love Réno : Plateforme web collaborative de gestion de travaux, de la gestion commerciale, jusqu’à la réception du chantier. Tous les intervenants du projet peuvent s’organiser, interagir et suivre en temps réel l’évolution du chantier. La plateforme intègre à la fois un CRM, les notices de travaux avec estimatif, un espace d’échange de documents, une planification du suivi de chantier ou encore l’organisation de rendez-vous BtoB. Rendez-vous sur ARTIBAT les 13, 14 et 15 octobre 2021 pour rencontrer « physiquement » les lauréats CIRQ 2020.
Il y a 4 ans et 212 jours

Léon Grosse et Kyotec : les raisons d’un rapprochement

L'entreprise générale de construction a annoncé vendredi 25 septembre une prise de participation à hauteur de 68% des actions du façadier Kyotec. Le point sur les bénéfices attendus de cette opération.
Il y a 4 ans et 212 jours

Le Groupe Ramery engage une nouvelle étape de son développement

En 2019, il affichait un chiffre d'affaires de 532 M€, comparable à celui de 2018. Solide et résilient, le groupe familial entame une nouvelle étape de son histoire. Depuis le 17 septembre dernier, Matthieu Ramery en assure la présidence, entouré d'un comité de direction renouvelé.Nouvelle gouvernance, nouvelle organisationEn 2007, Michel Ramery, fondateur du groupe éponyme, confiait à Philippe Beauchamps une double mission : impulser à l'entreprise une nouvelle dynamique et accompagner sa transmission à son fils, Matthieu. 13 années plus tard, la mission est accomplie. Matthieu Ramery a ainsi pris la Présidence du Groupe, le 17 septembre 2020, réaffirmant sa volonté de le maintenir dans le giron familial.Philippe Beauchamps demeure à ses côtés en qualité de Directeur Général, en charge des relations extérieures.Pour poursuivre le développement du groupe, Matthieu Ramery s'entoure d'une nouvelle équipe dirigeante composée de 7 membres aux profils complémentaires :Jérôme Boudier EnergieXavier Deltour Travaux publics – Enveloppe Bâtiment Hauts de FrancePascal Foulon Métiers fonctionnelsLaurent Gibello Contractant & CommerceJean-Louis Robart Bâtiment Normandie & Aquitaine QSSE & Développement Durable MatérielOlivier RomainEnvironnement & MatériauxChristophe ThiébautImmobilierUn groupe solide et résilientPour conforter sa structure financière, le Groupe Ramery a engagé ces dernières années, notamment en 2019, une démarche volontariste visant à retrouver l'équilibre de ses entités les plus fragiles et à accroître sa rentabilité. Les résultats sont au rendez-vous. En 2019, avec un chiffre d'affaires de 532 M€, comparable à celui de 2018, le groupe a affiché un résultat d'exploitation en hausse de 40% passant de 12,8 M€ à 18 M€.Solide, il a pu affronter la crise sanitaire avec le soutien de ses partenaires bancaires et de l'Etat. Dès mai 2020, les premiers chantiers ont repris, participant ainsi à la relance du secteur avec une attention particulière apportée aux délais de règlement des fournisseurs, tout comme les collectivités ont veillé à réduire les leurs. A ce stade, et sous réserve d'aléas climatiques et de recrudescence de la Covid-19, l'année en cours devrait se clôturer avec un chiffre d'affaires en recul de 15% environ, avec une prévision de résultat à l'équilibre.Quelques chantiers emblématiques décrochés en 2020Le court Suzanne Lenglen de Roland Garros (6M€ - conception réalisation - couverture du stade existant)La Chambre des métiers d'Arras (11,7 M€ - construction d'un nouveau bâtiment)L'EHPAD de Saint Amand les Eaux (31 M€ - marché global de performance - 287 lits).Le centre aquatique de Lens (31M€ - marché global de performance).TOTAL Établissement des Flandres à Mardyck (500 K€/an pendant 5 ans - contrat de nettoyage industriel et Gestion Déléguée des Déchets).ECO-MOBILIER (2M€/ an pendant 6 ans - renouvellement du contrat dépt 59/62 de collecte et transformation de déchets d'ameublement - 40 à 50 KT par an)Villa Cofféa - construction ensemble immobilier de 97 logements, parkings, commerces à Mérignac (7,8M€ - gros œuvre étendu).ORANO Cycle LA HAGUE – Projet DFG RESINES bâtiment nucléaire (11,6 M€ travaux de génie civil )Le carrefour du Fer à Cheval à Croix (1,3M€ lot voirie, assainissement, aménagement)Usine Blédina à Steenvoorde (830k€ Voierie Réseaux Divers de la nouvelle unité de filtration)Oncolille Nouveau Centre de recherche en cancérologie à Lille (4, 7M€ CREM – ventilation, gestion des fluides, exploitation et maintenance)Rive Gauche à Haubourdin (15 M€ Programme immobilier 79 logements)
Il y a 4 ans et 212 jours

Léon Grosse prend le contrôle de Kyotec

Léon Grosse vient de reprendre Kytoec. City of Dreams, Macao, en Chine. [©Ivan Dupont] Le groupe de BTP Léon Grosse a annoncé avoir pris une participation majoritaire dans l’entreprise luxembourgeoise Kyotec. Créée en 2008, cette dernière est spécialisée dans la conception, l’ingénierie et la gestion de projets de façades architecturales complexes. Ceci, dans les secteurs résidentiels et tertiaires. Basée au Luxembourg, elle est aussi implantée en Belgique, en France, en Pologne, au Portugal et au Royaume-Uni. Enfin en 2019, Kyotec comptait 175 collaborateurs et réalisait un chiffre d’affaires de 35 M€.  Ce rapprochement illustre la volonté du groupe Léon Grosse de diversifier son activité. En même temps, cet accord lui permet d’accompagner la croissance de Kyotec. Et de se renforcer sur le secteur de la construction à haute valeur ajoutée. A moyen terme, ce rapprochement aboutira au développement de synergies créatrices de valeur pour les deux entreprises. Développer les compétences en façades techniques En parallèle, le groupe Léon Grosse accompagnera la mise sur le marché de la technologie brevetée ModulAir. Il s’agit d’un système de traitement de l’air intégré dans les façades. Celui-ci est aussi bien destiné aux travaux neufs qu’à la rénovation. LuxLab, l’atelier de test et de prototypage de Kyotec, l’a développé.  « Les compétences éprouvées de Kyotec en matière de façades techniques se veulent le prolongement naturel de l’expertise de Léon Grosse. En effet, ce rapprochement permettra à Léon Grosse d’élargir de manière significative et qualitative son offre auprès de ses clients, en France et à l’international », résume Lionel Christolomme, président du directoire de Léon Grosse. Et Thierry Foucart, président de Kyotec, de conclure : « Ce rapprochement stratégique va nous permettre de conserver notre position forte dans le domaine des façades techniques. De notre point de vue, Léon Grosse et Kyotec se complètent. Nous nourrissons un engagement commun en faveur de l’excellence technique et de l’innovation au service du client ».
Il y a 4 ans et 212 jours

Le site web bimandco.com fait peau-neuve pour la rentrée !

L’éditeur de logiciels SaaS spécialisé dans les solutions de gestion et partage d’objets BIM dédiées aux acteurs de la construction et aux fabricants annonce le lancement de son nouveau site web. C’est en adoptant un design plus clair que BIM&CO a réussi à mettre en avant la proposition de valeur de ses deux solutions de manière plus précise et plus concrète. L’offre BIM&CO for Manufacturers qui aide les fabricants à digitaliser, structurer et diffuser les produits et données de leurs catalogues pour le marché du BIM via la plateforme bimandco.com se voit désormais promue par une page dédiée. Il en va de même pour la solution de BIM Content & Revit Family Manager « Onfly », s’adressant aux grandes entreprises de construction, ingénieries, promoteurs et cabinets d’architectes pour la gestion de leurs données et objets BIM au sein d’une bibliothèque privée. Cette dernière respectant leurs classifications internes propres, permettant l’enrichissement de paramètres d’objets spécifiques et favorisant la collaboration avec les équipes des partenaires extérieurs grâce à plusieurs niveaux de droits sur les objets. Ces deux nouvelles sections inédites s’accompagnent de testimoniaux clients visant à démontrer le savoir-faire made in France de l’entreprise innovante et s’enrichiront au fil des mois de livres blancs thématiques. Le lancement de ce nouveau site web est également l’occasion pour BIM&CO de tisser une plus grande proximité avec ses utilisateurs et ses clients : le site permet de réaliser une demande de rappel directement en ligne et engage la prise de contact par un chargé de projets sous 24h ouvrées. Parce que travailler ensemble permet d’aller plus loin, ce nouveau site met en outre en valeur les partenaires techniques avec lesquels BIM&CO travaille à l’échelle locale et internationale. BIM&CO se voue en effet à la mission de connecter toute technologie ou outil métier à la puissance de ses données pour maximiser les bonnes pratiques en matière de BIM, que ce soit en phase de conception, construction, livraison, maintenance ou déconstruction des bâtiments. Très prochainement, un espace dédié permettra aux utilisateurs de retrouver en toute facilité des centres de formation partenaires de BIM&CO ainsi que des références bibliographiques pour maitriser le BIM. Les webinars et événements seront également publiés de manière centralisée, pour toujours plus de pédagogie et d’interactivité. On dit que les hommes et les femmes font l’entreprise d’aujourd’hui et de demain – ceci s’applique naturellement à BIM&CO qui met en avant fièrement l’ensemble de ses collaborateurs ! Découvrez dès à présent le nouveau portail de BIM&CO à l’adresse suivante : https://www.bimandco.com/bim/fr