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Résultats de recherche pour meuble

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Il y a 3 ans et 341 jours

Xella a redéfini sa stratégie de marques avec Siporex et Ytong

Siporex devient la marque dédiée au second œuvre pour l’aménagement intérieur : cloison, meuble de rangement, habillage… [©Xella] Jusque-là, au sein du groupe Xella, l’offre de produits en béton cellulaire était disponible sous les marques Siporex et Ytong. Chacune d’entre-elles disposait de son propre réseau de distribution pour commercialiser des produits équivalents. Marque devenue générique et distribuée en grandes surfaces de bricolage, Siporex est surtout utilisée pour l’aménagement intérieur et la décoration. Ainsi que pour la construction de cloisons dans la maison. Quant à l’offre Ytong, elle est commercialisée via les négoces de matériaux. Ceci, pour la construction et la rénovation de maisons, de logements collectifs, de bâtiments professionnels. Ainsi que pour la mise en œuvre de murs coupe-feu. Redéfinition de la stratégie de marques de Xella Aujourd’hui, pour capitaliser sur la notoriété Siporex auprès des particuliers comme des professionnels et assurer une meilleure visibilité à Ytong, Xella a redéfini sa stratégie de marques. Le groupe établit ainsi une nouvelle offre multicanale, plus claire avec des enseignes fortes, chacune ancrée dans leur univers. Ainsi, Siporex devient la marque dédiée au second œuvre pour l’aménagement intérieur : cloison, meuble de rangement, habillage… Et Ytong devient la marque dédiée au gros œuvre pour la construction : murs coupe-feu, maisons individuelles, extension-surélévation, logements collectifs, bâtiments tertiaires…
Il y a 3 ans et 342 jours

Construction hors site : l'incroyable montage d'un immeuble de 10 étages

L'entreprise chinoise Broad Group, qui fabrique une gamme d'unités de climatisation, de chauffage et de structures préfabriquées, a réalisé le travail en 28 heures et 45 minutes, avec l'aide de trois grues et d'une importante main-d'œuvre sur place.
Il y a 3 ans et 342 jours

Lutte contre l'habitat indigne: 12 personnes jugées lundi à Marseille

Après l'effondrement de deux immeubles rue d'Aubagne en novembre 2018, qui avait fait 8 morts en plein coeur de la deuxième ville de France, de nombreuses voix avaient critiqué l'inaction de l'ex-mairie de droite, dirigée par Jean-Claude Gaudin, contre le mal-logement et les propriétaires ne respectant pas leurs obligations d'entretien.Dans la foulée, le parquet avait créé un "Groupe local de traitement de la délinquance dédié à la lutte contre l'habitat indigne".Depuis, 50 enquêtes concernant le non-respect d'un arrêté de péril et 25 enquêtes pour des faits relevant de l'insalubrité ont été ouvertes.Dans ce cadre, six affaires distinctes seront jugées lundi, sous réserve qu'elles ne soient pas renvoyées. Les prévenus sont des propriétaires, des SCI ou même une agence immobilière d'une chic rue de Marseille.Les infractions présumées, commises entre 2018 et 2021, vont du "refus délibéré, sans motif légitime et malgré mise en demeure, d'exécuter sur un bâtiment menaçant ruine les travaux prescrits par l'arrêté de péril", passible d'un an de prison et d'une amende pouvant aller jusqu'à 250.000 euros à la "soumission de plusieurs personnes vulnérables ou dépendantes à des conditions d'hébergement indignes" passible de 7 ans d'emprisonnement et d'une amende pouvant aller jusqu'à un million d'euros."Sur le contentieux sensible de l'habitat indigne et insalubre, nous notons avec satisfaction l'augmentation des signalements de la mairie de Marseille", avait déclaré la procureure de la République, Dominique Laurens lors de son discours de rentrée en janvier.Le nouveau maire de Marseille Benoît Payan, élu sur une liste de gauche unie, avait réitéré début janvier la volonté de sa majorité de lutter contre le logement insalubre et indigne. Environ 100.000 personnes vivent dans des taudis à Marseille, selon la Fondation Abbé Pierre.Presque deux ans jour pour jour après le drame de la rue d'Aubagne, le parquet de Marseille avait annoncé la mise en examen de Julien Ruas, un ex-adjoint de l'ancien maire Jean-Claude Gaudin, des chefs d'homicides involontaires par violation délibérée, blessures involontaires par violation délibérée, mise en danger délibérée d'autrui. Il était dans le précédent exécutif LR notamment chargé de la prévention et la gestion des risques.Deux autres mises en examen ont été prononcées dans le cadre de cette instruction, celle du syndic de la copropriété du 65 rue d'Aubagne, le seul des deux immeubles qui était occupé au moment de la catastrophe, et celle du bailleur social Marseille Habitat. Cette société d'économie mixte de la ville de Marseille était propriétaire du deuxième immeuble qui s'est effondré, sis au 63 de la rue d'Aubagne et dont l'accès avait été condamné en 2017.
Il y a 3 ans et 342 jours

Eiffage livre la plus haute tour en structure bois de France

INNOVATIONS. La tour Hypérion, à Bordeaux, est en cours de livraison. C'est, à ce jour, le plus haut immeuble en structure bois construit en France d'après Eiffage Immobilier, qui a porté ce programme conçu par Jean-Paul Viguier sur le territoire de l'Opération d'intérêt national Bordeaux Euratlantique.
Il y a 3 ans et 342 jours

SEQENS et le CSTB expérimentent un nouvel outil BIM-GEM pour optimiser la gestion des immeubles

Photo : Frédéric ACHDOUSEQENS, filiale d'Action Logement, gérant un parc de plus de 100 000 logements en Île-de-France, et le CSTB, se sont associés pour développer un nouveau système de collecte et de partage de données BIM en temps réel. L'outil est utilisable par tous les acteurs de la chaîne exploitation des bâtiments résidentiels. Cet outil novateur permettra un pilotage optimisé des parcs, au bénéfice des prestataires, occupants, Maîtres d'ouvrage et bailleurs. En savoir plus : Communiqué de presse du 21/06/2021
Il y a 3 ans et 342 jours

Optimiser l'exploitation et la maintenance des immeubles grâce au BIM

Le BIM-Exploitation contribue à optimiser la qualité des ouvrages, leur gestion et maintenance, tout au long de leur durée de vie. Pour déployer son usage, il est essentiel de développer des outils utilisables par tous les acteurs de la chaine exploitation et maintenance. C'est l'enjeu du partenariat engagé par SEQENS, filiale d'Action Logement, gérant un parc de plus de 100 000 logements en Île-de-France, et du Centre Scientifique et Technique du Bâtiment (CSTB).Les deux acteurs associent leurs expertises pour expérimenter et démontrer l'efficacité d'un nouvel environnement de collecte et de partage de données BIM, mises à jour et accessibles en temps réel par l'ensemble des intervenants, au service de l'exploitation du logement. Cet outil novateur permettra un pilotage optimisé des parcs, au bénéfice des prestataires, occupants, Maîtres d'ouvrage et bailleurs.L'enjeu du partenariat SEQENS - CSTB : expérimenter puis mettre en production un nouvel outil BIM-Gestion-Exploitation-Maintenance (GEM), au service du logementLe BIM-GEM permet d'améliorer les processus de gestion, location, entretien et maintenance des bâtiments. Pourtant, si le BIM Conception-Construction est de plus en plus utilisé, le BIM-GEM reste à développer, tout particulièrement dans le secteur du logement. L'enjeu est de taille, l'essentiel des coûts d'un bâtiment étant concentré sur cette phase.Pour permettre et accompagner le déploiement du BIM-GEM, l'élaboration d'outils opérationnels, accessibles à tous les acteurs intervenant dans la gestion des immeubles, est indispensable. Le partenariat noué par SEQENS, bailleur social francilien, et le CSTB, Établissement public au service de l'innovation dans le bâtiment, s'inscrit dans cette dynamique.Objectif : obtenir une preuve de concept pour un nouvel environnement de collecte et de partage de données BIM en temps réel (ECPD-BIM), faisant le lien entre toutes les informations-clés de la vie de l'ouvrage, de sa construction à son usage, puis le mettre en production.Développé par le CSTB, l'outil ECPD-BIM a ainsi été expérimenté durant 4 mois, dans le cadre d'un cas d'usage précis, adapté aux besoins et configurations spécifiques de logements gérés par SEQENS.Cette phase d'expérimentation a démontré l'intérêt de la solution pour les activités de SEQENS, tant dans la phase d'initialisation, qui permet de nourrir les systèmes d'informations de la société depuis des données BIM de conception, que dans la phase d'exploitation des bâtiments, où les informations de terrain sont centralisées dans un modèle unifié, pour être diffusées aux collaborateurs. L'ECPD-BIM ouvre également des opportunités à SEQENS pour imaginer de nouvelles applications de collecte et de partage des informations de terrain.Les bénéfices d'usage seront multiples :Pour les bailleurs et Maîtres d'ouvrage, optimiser les coûts de fonctionnement ;Pour les personnels intervenant sur les immeubles et les prestataires, disposer de toutes les données relatives à un parc, mises à jour en temps réel, facilitant sa gestion et sa maintenancePour les occupants, gagner en confort et optimiser les charges locatives.SEQENS et le CSTB se donnent un an à présent pour améliorer et industrialiser ce prototype ECPD-BIM, conçu pour être accessible et utilisable par l'ensemble des acteurs de la chaine Gestion-Exploitation-Maintenance.SEQENS - CSTB : des expertises complémentaires, mises au service de la transition numérique du logement2ème entreprise sociale pour l'habitat francilien, SEQENS est un bailleur social engagé, organisant notamment son développement autour :De la priorisation de logements durables et économes en énergie ;De la qualité du cadre et du confort de vie des habitants, à l'échelle du quartier comme des logements ;Du maintien du lien social et de l'implication des occupants à travers diverses démarches sociales et solidaires ;De la proximité, avec les locataires, mais aussi avec l'ensemble des parties prenantes.Dans ce contexte, SEQENS a souhaité engager une démarche innovante d'expérimentation pour optimiser la gestion de son parc. Elle s'est ainsi rapprochée du Centre Scientifique et Technique du Bâtiment :"Le partenariat engagé depuis fin 2020 avec le CSTB est une chance pour Seqens, en parfaite adéquation avec la transformation numérique du groupe. Et les résultats sont déjà au rendez-vous ! Nous avons déjà pu bénéficier de leur savoir-faire et développer une solution de continuité numérique, parfaitement adaptée aux besoins d'un bailleur social. Seqens a la volonté d'être précurseur, ouvrir la voie pour les autres bailleurs mais surtout et avant tout être un pionner, notamment dans la démarche BIM-CIM. Cela s'inscrit par ailleurs dans la démarche plus globale engagée par Seqens en faveur de la digitalisation des procédures pour une meilleure connaissance et un pilotage plus performant de son parc social, et avec un seul objectif : l'amélioration du cadre de vie de ses locataires." Pascal VAN LAETHEM, Directeur général de SEQENSLe CSTB déploie ses compétences pluridisciplinaires dans une approche systémique, intégrant l'ensemble des enjeux du bâtiment, quartiers et villes, au service des acteurs, en particulier dans le domaine du numérique. Autour de cette thématique, il accompagne les Maîtres d'ouvrages, gestionnaires de patrimoine, collectivités..., dans la gestion de l'information, le développement d'outils collaboratifs multicritères, la formation, etc. Il mène ainsi de nombreux travaux de Recherche & Développement autour du BIM, en particulier en phase Exploitation (création de jumeaux numériques, développement d'outils de visualisation et d'interprétation sur mesure, services pour les gestionnaires, exploitants et occupants, etc.)Le CSTB met aujourd'hui cette expertise à disposition de SEQENS, pour l'expérimentation d'un nouvel ECPD-BIM, dédié à l'exploitation du logement :" Le CSTB est fier d'être associé à la démarche innovante de SEQENS d'expérimentation des possibilités offertes par le BIM pour l'exploitation de son parc de logements. Elle permettra à terme, de proposer cet environnement de collecte et de partage de données BIM en temps réel (ECPD-BIM) à plus grande échelle, et d'accompagner ainsi les acteurs de la construction et du logement dans la transition numérique. Ce partenariat me parait fondamental pour développer des approches et outils innovants, efficients et reproductibles, pour l'ensemble de la filière. C'est tout l'enjeu de la recherche partenariale au CSTB telle que nous l'élaborons et la mettons en œuvre avec Seqens." Etienne CREPON - Président du Centre Scientifique et Technique du Bâtiment
Il y a 3 ans et 342 jours

Paris va pouvoir réguler les mutations de commerces en meublés touristiques

Aprè la parution d'un décret, Paris va réguler la transformation des commerces en meublés touristiques, dans le but de freiner le développement des locations sur les plateformes de type Airbnb.
Il y a 3 ans et 342 jours

Loi Climat-Résilience : pour Équilibre des Énergies, le remplacement des chaudières au fioul ne doit pas faire oublier celui des vieux convecteurs électriques

« La rénovation thermique de plus de deux millions de logements classés « passoires thermiques » équipés de vieux convecteurs électriques représente un défi majeur à la fois pour la transition énergétique et pour l’urgence sociale. Or, le rythme de rénovation de ces logements est insuffisant. Les pouvoirs publics doivent se saisir de ce sujet au cours de l’examen du projet de loi Climat-Résilience au Sénat ». Brice Lalonde, président de l’association Équilibre des Énergies et ancien ministre de l’Environnement.Remplacer les convecteurs pour atteindre les objectifs de transition énergétiqueLa réhabilitation des « passoires thermiques » est une nécessité Mais, si le remplacement des chaudières aux énergies fossiles, et en premier lieu de celles qui utilisent le fioul, est bien engagé avec des aides financières importantes, la rénovation des logements équipés de vieux convecteurs électriques rencontre d’importantes difficultés.Cette situation est préoccupante. Ces vieux convecteurs, parce qu’ils sont très robustes, sont encore présents dans de très nombreux logements. Ils engendrent des surconsommations avec des factures élevées, génèrent de l’inconfort, et ont un impact notable sur la puissance appelée à la pointe. Aujourd’hui, on évalue à entre 6 et 7 millions le nombre de logements équipés de vieux convecteurs, avec une forte prévalence dans des « passoires thermiques » où ils représentent environ 2 millions des 4,8 millions de logements classés en F ou en G dans le nouveau diagnostic de performance énergétique – DPE1.Un angle mort de la politique de rénovation Pour une grande partie de ces logements, et à plus forte raison dans les immeubles, il serait quasiment impossible, en l’absence de circuits d’eau, de remplacer les vieux convecteurs par des pompes à chaleur ou des réseaux de chaleur. Dans ces cas, la seule solution pour moderniser le système de chauffage est d’installer des radiateurs performants en les accompagnant des gestes d’isolation nécessaires.Mais aujourd’hui, même lorsqu’ils permettent d’améliorer l’efficacité énergétique et de réduire les factures, les radiateurs performants ne sont soutenus par aucune aide publique. Les radiateurs performants restent injustement confondus avec les vieux convecteurs alors que le progrès technique a fait des radiateurs performants une solution décarbonée en adéquation avec les différents objectifs de transition énergétique (cf. annexe) 2. Lors de la vague de froid de 2018, le suivi en temps réel de 50 000 radiateurs connectés a montré qu’ils contribuaient à la maîtrise des consommations et des factures. En effet, les fonctionnalités de ces radiateurs ont permis de maintenir la température moyenne de chauffage des logements à 17C°, soit deux à trois degrés de moins que la température de consigne usuellement relevée. D’autre part, outre l’utilisation de l’électricité décarbonée, les radiateurs performants sont des compléments pertinents aux solutions utilisant les énergies renouvelables telles que le chauffage au bois, les chauffe-eau thermodynamiques ou les panneaux photovoltaïques. Équilibre des Énergies invite les pouvoirs publics à remédier à cette lacune de la politique de rénovation en mettant en place une aide financière dédiée aux radiateurs performants afin de soutenir la rénovation des deux millions de logements classés en passoires thermique équipées de vieux convecteurs. La création d’une telle aide combinée aux aides existantes, pour renforcer l’isolation ou pour moderniser le mode de production d’eau chaude, incitera les Français à engager des rénovations exemplaires tant sur les émissions de CO2 que les consommations d’énergie.1 source : Dossier de presse DPE, ministère de la Transition écologique, 20212 Voir aussi la fiche Équilibre des Énergies - Les radiateurs électriques ont leur place dans la transition énergétique
Il y a 3 ans et 343 jours

Ravalement, ITE, bardage : la triple expertise de Sto pour la réhabilitation des façades du Président au Touquet

Au programme des 12 prochains mois : une isolation thermique par l’extérieur, un ravalement et la réhabilitation de 477 balcons. Au total, ce sont 3 000 m² de façades qui seront traitées en ravalement et 2 600 m² en ITE. La résistance thermique visée par cette rénovation est R = 3,70 m².K/W.Au Touquet Paris Plage, dans le Pas-de-Calais, la résidence « Le Président » s’apprête à bénéficier d’un profond lifting. Situé sur le littoral, aux abords dela mer, ce bâtiment historique de la station balnéaire construit dans les années 70 subit régulièrement les assauts de la pluie, du vent, du sable, du sel et des embruns. Résultat : ses façades sont soumises à rude épreuve et se dégradent plus rapidement qu’en circonstances ordinaires. Il y a 10 ans, l’immeuble fait l’objet d’une première rénovation avec des pierres agrafées et collées mais celles-ci se détériorent très vite. En 2017, le conseil syndical décide de prévoir une nouvelle rénovation.À la genèse du projet : le bardage StoVentec Glass pour reproduire la mosaïque existanteLa copropriété se met alors en quête d’une solution rapide à mettre en œuvre et pérenne, capable de se rapprocher des mosaïques en pâte de verre existantes. En effet, les Architectes des Bâtiments de France (ABF) veulent reprendre certains codes historiques de la station balnéaire et avoir au moins un rappel de ces mosaïques. Le service prescription de Sto intervient alors pour proposer sa solution de bardage StoVentec Glass qui offre toutes les qualités requises : une souplesse graphique à souhait qui lui permet de reproduire n’importe quel dessin et une grande durabilité.Trois choix esthétiques successifs sont proposés : le 3ème sera le bon, validé par la copropriété et les ABF.La première idée était de reproduire la Grande Vague japonaise de Kanagawa.La 2ème proposition, issue d’un concours de designers, dont l’un a été épaulé par le service StoDesign, consistait en un dégradé de couleurs.Le choix final se porte sur le projet imaginé par l'architecte Pascal Morchain, à l’origine de la 1ère idée : un modèle qui reprend les basiques de son dessin de la vague et ceux du dégradé de couleurs bleu, la couleur du Touquet, avec une impression d’ondulation dans l'horizontalité et des variations de hauteur. Un important travail de recherche esthétique est mené quant à l'agencement des carreaux afin d'éviter une répétition successive identique.« Il y a eu un gros travail pour rassurer la copropriété sur la pertinence du système StoVentec Glass, cette dernière ayant été un peu échaudée par la rénovation précédente. Il a fallu faire preuve de beaucoup de pédagogie et démontrer que cette solution réunissait toutes les qualités en termes de vitrage, de tenue et garantie dans le temps, d'émaillage, de sérigraphie, de pérennité du collage et de protections périphériques (encollage). Nous avons monté un dossier technique qui a été remis au bureau de contrôle APAVE pour valider notre système complet en front de mer, avec la prise en compte du risque d'érosion (sable et vent projetés sur le StoVentec Glass), de corrosion des rails... Tout a été passé à la loupe ! », raconte Lionel Guerin, chargé de prescription du secteur des Hauts-de-France chez Sto.Le choix de la solution, et donc du fabricant, s'est appuyé sur des prototypes. Sto a proposé une solution en verre émaillé en face interne d'un vitrage. Le verre émaillé en face interne du vitrage a fait la différence tant en termes de rendu esthétique que de pérennité dans le temps.Avec le soutien du service technique, un prototype a été conçu : celui-ci a été mis en place sur l’un des balcons, faisant office de façade témoin. À souligner que chaque panneau est fabriqué sur-mesure : il n'y a pas de dimension standard ni de découpe répétée égale de balcon à balcon, en raison de la conception originelle.Avril 2021 : coup d’envoi du ravalement et de la pose de l’ITEL’une des forces de Sto est de pouvoir proposer une triple expertise en façade, soit, en plus du bardage, des solutions pour le ravalement et l’ITE.Démarré en février 2021, le chantier devrait durer un an. Après la dépose de l’existant en février 2021, le chantier est entré dans sa première phase : depuis début avril 2021 et pour environ 6 mois, plusieurs opérations seront menées de front, sur les 216 mètres de longueur et les 11 étages de l’immeuble.L’entreprise spécialisée en rénovation énergétique, les ECO-Isolateurs Pro, en sous-traitance de l’entreprise générale Cabre, œuvre actuellement à la préparation des supports, à la réhabilitation des bétons et à la décontamination pour éliminer les couches de peintures existantes. Pour ce faire, l’entreprise a fait le choix d’utiliser Sto-Décap Protect, un décapant qui agit en profondeur tout en étant très respectueux des applicateurs et de l’environnement.Une isolation thermique par l’extérieur sera en parallèle retenue sur les pignons et les fonds de loggias, de manière à améliorer la performance énergétique de la résidence. Les pignons seront isolés à l’aide du systèmeStoTherm Mineral 1, utilisant comme isolant des panneaux en laine de roche mono-densité ininflammable Sto-Panneau Minéral (λ de 0,036 W/m.K) pour garantir la bonne résistance au feu de ce bâtiment R+11. Les panneaux seront calés-chevillés et fixés mécaniquement par chevilles sur le support en béton. Le sous enduit hydraulique mince armé StoLevell Uni, produit de calage et de marouflage, sera appliqué directement sur les panneaux isolant.La finition sera ensuite assurée par un enduit grésé ignifugé StoSilco K 1,5, à base de résines micro-siloxanes en phase aqueuse, appliqué à la taloche, de couleur bleu ciel, toujours dans le respect des codes du Touquet. En fonds de balcons, pour éviter une emprise trop importante du complexe isolant et offrir un gain de place maximal, le système StoTherm Minéral 1 est remplacé par StoTherm Resol. Au lieu de la laine de roche, ce sont des panneaux rigides de mousse phénolique qui assurent l’isolation. La conductivité thermique λ certifiée par Acermi de ce matériau est de 0,022W/m.K, ce qui en fait l’isolant le plus performant du marché. On atteint la même résistance thermique avec une épaisseur d’isolant moins importante.Le même enduit de finition StoSilco K 1,5 sera également mis en œuvre pour le ravalement du reste des façades pour une homogénéité parfaite avec les parties traitées en ITE.Depuis mi-avril, l’entreprise générale Cabre, a également démarré la mise en œuvre des ossatures métalliques qui serviront à fixer le bardage StoVentec Glass. En juin, les panneaux du StoVentec Glass seront livrés et la grande partie du chantier sera entamée.
Il y a 3 ans et 345 jours

Le budget de l'Anah augmenté pour faire face au succès de MaPrimeRénov' et des besoins des territoires

2,2 milliards de crédits pour MaPrimeRénov’Depuis son lancement en 2020, MaPrimeRénov’ rencontre un succès croissant. Plus de 300 000 dossiers ont déjà été déposés depuis le début de l’année, pour un objectif initial de 400 à 500 000 primes distribuées pour 2021. Abondé par le plan de Relance, le budget prévisionnel alloué à MaPrimerénov’ cette année est ainsi porté de 1,7 à 2,2 milliards d’euros afin d’être au rendez-vous de l’engouement des Français pour la rénovation énergétique. Ce nouveau budget permettra de financer des objectifs revus à la hausse, entre 700 à 800 000 primes distribuées.Par ailleurs, conformément aux engagements pris par le Gouvernement, les propriétaires bailleurs pourront déposer leur demande MaPrimeRénov’ pour la rénovation de leur logement locatif au 1e juillet 2021.Des moyens renforcés pour les Outre-Mer et Saint-ÉtienneLe conseil d’administration a également adopté deux délibérations pour améliorer l’accompagnement de certains territoires en faveur de la rénovation de leurs centres anciens. En Martinique, Guyane et à la Réunion, engagés dans des opérations de renouvellements urbains complexes, le financement exceptionnel de plusieurs chefs de projet permettra de piloter et coordonner la forte dynamique de réhabilitation du parc privé.Pour la ville de Saint-Étienne, l’Anah a renouvelé sa convention de partenariat avec l’établissement public d’aménagement (EPASE) afin de prolonger l’accompagnement dans ses projets de requalification du territoire stéphanois, portant notamment sur les immeubles dégradés du centre-ancien et permettant la création de logements abordables en centre-ville.
Il y a 3 ans et 346 jours

Jean Garçon, un créateur des Trente Glorieuses à redécouvrir

Longtemps ignoré, le patrimoine sportif est aujourd'hui reconsidéré. En particulier les lieux monumentaux que sont les stades, lesquels disent beaucoup d'une ville, d'une région, voire d'un pays, tant ils sont lourds de symboles et souvent chargés de mémoire. De manière originale, cet ouvrage s'attache à décrire et […] Lire l'article
Il y a 3 ans et 347 jours

Plateformes type Airbnb: la mairie de Paris va réguler les mutations de commerces en meublés touristiques

Ce décret d'application d'un amendement de la loi du 27 décembre 2019 relative à l'engagement dans la vie locale et à la proximité de l'action publique, précise l'application de l'article 55, qui autorise "certaines communes à soumettre à autorisation la location en tant que meublés de tourisme de locaux commerciaux". L'objectif est de "protéger l'environnement urbain et de préserver l'équilibre entre emploi, habitat, commerces et services".Avec l'entrée en vigueur du décret au 1er juillet, "on pourra enfin limiter la transformation de locaux commerciaux en locaux touristiques", s'est réjoui auprès de l'AFP Ian Brossat, maire-adjoint PCF au logement."Il nous reste à définir les règles, à savoir quelles sont les conditions pour obtenir une autorisation", a déclaré l'élu communiste, qui se donne jusqu'à la fin de l'année 2021 pour mettre au point et faire voter une réglementation, opérationnelle début 2022.Contacté par l'AFP, Airbnb a déclaré souhaiter étudier le décret avant de le commenter.Si un propriétaire de logement parisien souhaite louer plus de 120 jours par an sur une plateforme comme Airbnb, Abritel ou HomeAway, il doit demander un changement d'usage de celui-ci, très contraignant. Il doit également compenser la perte de logement en transformant en habitation une surface équivalente - voire double dans certaines zones - ce qui n'est pas encore le cas pour les locaux commerciaux.Jusqu'ici, les propriétaires de ces derniers n'étaient soumis qu'à une déclaration, selon M. Brossat."Nous étions démunis face à ce phénomène", qui "change le paysage de la rue", estime M. Brossat. "Nous préférons des commerces de proximité à des Airbnb qui pullulent", a ajouté l'adjoint.En février, la Ville de Paris a remporté une importante victoire juridique face aux plateformes de location, la Cour de cassation ayant jugé sa réglementation conforme au droit européen, "proportionnée" et justifiée pour lutter contre la pénurie de logements destinés à la location.
Il y a 3 ans et 349 jours

Les villes moyennes consolident leur attractivité immobilière

Les villes moyennes ont enrayé la spirale du déclin. Publiée le 15 juin, la seconde édition du baromètre des Notaires de France et du programme national Action cœur de ville en apporte une démonstration chiffrée : dans les 222 agglomérations concernées, les immeubles se vendent autour d’un prix médian de 1385 euros/m2, au lieu de 1294 euros/m2 en 2018. La consolidation globale de l’attractivité dissimule un tableau hétérogène.
Il y a 3 ans et 349 jours

Paris va réguler la transformation de locaux commerciaux en meublés touristiques

RÉGLEMENTATION. Un nouveau décret permet désormais à la capitale de réglementer les meublés touristiques. Une bonne nouvelle pour la mairie, qui considère que l'ampleur des plateformes de locations d'appartements a "changé le paysage".
Il y a 3 ans et 349 jours

NOUVELLE STRATÉGIE DE MARQUE : SIPOREX devient la nouvelle marque forte multicanal dédiée aux projets d’aménagement et cloisons en carreaux béton cellulaire

Jusqu’alors, au sein du groupe Xella, l’offre de produits en béton cellulaire était disponible sous les marques SIPOREX et YTONG. Chacune d’entre-elles disposait de son propre réseau de distribution pour commercialiser des produits équivalents. SIPOREX, marque devenue générique très connue du grand public et distribuée exclusivement en Grandes Surfaces de Bricolage, est essentiellement utilisée pour l’aménagement intérieur et la décoration ainsi que la construction de cloisons dans la maison. Quant à l’offre YTONG, elle est commercialisée via les négoces de matériaux pour la construction et la rénovation de maisons, de logements collectifs, de bâtiments professionnels ainsi que la mise en oeuvre de murs coupefeu. Aujourd’hui, pour capitaliser sur la notoriété SIPOREX auprès des particuliers comme des professionnels et assurer une meilleure visibilité à YTONG, le groupe Xella a redéfini entièrement sa stratégie de marques. Il établit ainsi une nouvelle offre multicanal, plus claire avec des marques fortes, chacune ancrée dans leur univers : SIPOREX devient la marque dédiée au second oeuvre pour l’aménagement intérieur (cloison, meuble de rangement, habillage…) avec une offre de carreaux de 5, 7 et 10 cm disponibles en Grandes Surfaces de bricolage et en Négoces de matériaux. YTONG devient la marque dédiée au gros oeuvre pour la construction (murs coupe-feu, maisons individuelles, extension-surélévation, logements collectifs, bâtiments tertiaires…) avec des blocs de 15 à 42 cm désormais disponibles en Grandes Surfaces de bricolage et en Négoces de matériaux.   François CHARDON – Directeur Marketing et Prescription Xella « Nous avons choisi de repositionner nos marques SIPOREX et YTONG pour plusieurs raisons. Nous voulons mieux exploiter la notoriété de SIPOREX auprès des particuliers et des professionnels et offrir davantage de visibilité à la marque YTONG pour promouvoir les bénéfices des murs YTONG, notamment auprès du grand public, en lien avec notre communication YTONG Inside. Ensuite, il est essentiel d’avoir un discours en accord avec les avantages clés pour chaque application. Notre ambition est de créer des marques fortes pour chaque univers – SIPOREX pour le second oeuvre et YTONG pour le gros oeuvre – avec des moyens bien différenciés. Enfin, cette approche répond à l’évolution du marché et à la typologie des clients. Aujourd’hui, les particuliers comme les professionnels s’approvisionnent, pour leurs matériaux, dans tous les réseaux de distribution, en GSB comme en Négoces en matériaux. C’est pour toutes ces raisons, que nous avons entièrement redéfini notre stratégie en proposant une nouvelle offre multicanal pour les deux marques, afin d’en faire des marques fortes dans leur propre univers.»   Nouvelle gamme SIPOREX : une offre optimisée pour l’aménagement Idéale en rénovation, la nouvelle gamme SIPOREX a été optimisée pour répondre à tous les projets d’aménagement intérieur et extérieur : moduler des pièces avec des cloisons droites ou courbes, habiller des murs, créer des meubles de rangement, concevoir une cuisine extérieure… Complète, elle propose des carreaux en béton cellulaire et les accessoires de pose spécifiques : – Des carreaux droits (lisse ou emboîtement) : 5, 7 et 10 cm d’épaisseur / hauteur 25 et 50 cm – Des carreaux courbes de 30 et 60° : 10 cm d’épaisseur / hauteur 25 cm – Des linteaux armés : 10 cm d’épaisseur / hauteur 25 cm / longueurs 125, 150 et 200 cm – Des accessoires de pose : mortier colle, colle prête à l’emploi, truelle.   Les carreaux SIPOREX Les carreaux, les carreaux courbes et les linteaux SIPOREX présentent des caractéristiques exceptionnelles pour tous les travaux d’aménagement. Résistant au choc et léger (22 à 55kg /m2), le béton cellulaire est un matériau plein qui peut recevoir des fixations lourdes. Imperméable, perspirant et hydrofuge, il peut s’utiliser dans toute la maison, même dans les pièces humides (cuisine, salle de bains). Incombustible et ininflammable, il est particulièrement adapté à l’habillage d’une cheminée. Pour le confort et le bien-être des occupants, c’est un matériau sain, écologique et classé A+, qui préserve l’air intérieur. Pratique, il convient pour de multiples applications. Par ailleurs, le carreau SIPOREX est simple à manipuler car il est compact et léger. Facile à mettre en oeuvre, il se découpe, se ponce et se façonne facilement pour offrir une grande liberté dans les projets. Pratique, il s’assemble par emboîtement ou par collage. De nombreuses finitions peuvent être posées sur les carreaux SIPOREX : enduits de finition, carrelage, peinture, toile de verre, résine…   Innovation : SIPOREX Easyfix Une colle prête à l’emploi pour simplifier la pose des carreaux SIPOREX Pour faciliter le montage des carreaux de béton cellulaire et réduire le temps de mise en oeuvre d’une cloison ou de réalisation d’un aménagement, SIPOREX lance une nouvelle colle vinylique : SIPOREX Easyfix. Classée A+ et labellisée EC1 Plus, cette colle est parfaitement adaptée aux travaux d’intérieur car sa formulation est saine et écologique. A très faible émission de COV, elle répond aux plus hautes exigences en matière d’environnement et de santé. Pratique et prête à l’emploi, SIPOREX Easyfix est une colle qui permet un montage à sec, rapide, sans préparation préalable, ni eau ni outillage ! Un véritable gain de temps. Ergonomique, le flacon à double embout (espacé de 4 cm) assure une bonne répartition de la colle sur la partie du carreau à encoller. Son temps d’ajustement est de 10 minutes, ce qui laisse le temps de bien positionner les carreaux. La bouteille d’1kg est adaptée pour un projet de 9 à 14 m2, et permet de coller 50 m linéaire de carreaux SIPOREX. Prix public conseillé : 17,50 euros HT / Points de vente : GSB, Négoces en matériaux   Une nouvelle communication orientée «projets utilisateurs» Les outils de communication (réseaux sociaux, site, guide de pose…) autour de la nouvelle gamme SIPOREX sont orientés sur les projets des utilisateurs. Ils veulent éveiller les envies d’aménagement à travers des visuels de projets finis, créatifs… et un discours simple « Avec des SI on peut tout faire ! » : PERFORMANT ! Un matériau résistant, léger, hydrofuge, coupe-feu, sain et écologique. FACILE ! Un matériau pour de multiples applications, mêmes les plus créatives grâce aux carreaux courbes, et rapide à poser avec la colle SIPOREX Easyfix. PRATIQUE ! Un matériau compact, facile à manipuler et à travailler, qui autorise plusieurs finitions. ECONOMIQUE ! Un matériau compétitif qui offre un gain de temps dans sa pose.   Un accompagnement soutenu des points de vente partenaires Pour accompagner le lancement de la nouvelle gamme SIPOREX, Xella met à la disposition des partenaires distributeurs un guide pratique à destination des utilisateurs. Concis et didactique, il présente les avantages des carreaux SIPOREX avec : – une approche projet « Avec des SI on peut tout faire ! » pour offrir la possibilité au lecteur de se projeter dans des réalisations concrètes, – un guide de choix, – les règles de montage pour les cloisons et les rangements. Des ILV et des offres promotionnelles sont aussi proposées. Avec ces outils, les points de vente peuvent orienter les particuliers et les professionnels dans leurs projets, et s’assurer une bonne rotation produits en magasin. Par ailleurs, pour parfaire les connaissances des points de vente partenaires, Xella va plus loin en proposant des sessions de formation en ligne et en organisant une journée de visite d’usine et de montage de produit. Enfin, Xella, partenaire du programme de fidélité VIPros, participe à l’opération « Série Illimité » pour promouvoir la nouvelle marque SIPOREX. Du 1er juin jusqu’au 30 octobre les artisans et professionnels du bâtiment ont la possibilité de gagner un véhicule utilitaire hybride Ford Transit Custom, ainsi que plusieurs lots offerts par les marques partenaires du programme VIPros.
Il y a 3 ans et 349 jours

L'AMF requiert 500.000 euros d'amende contre Perial Asset Management

Le dossier porte sur une série de manquements liés à la valorisation des immeubles gérés par Perial, sa campagne de commercialisation, sa gestion des conflits d'intérêts et la lutte contre le blanchiment des capitaux et le financement du terrorisme (LCB-FT).La représentante du collège de l'AMF, Lauriane Bonnet, a maintenu les 11 griefs considérés comme caractérisés par la Commission des sanctions.Il est reproché à Perial, dans la méthode d'évaluation des immeubles gérés par le groupe, d'avoir mené des procédures de valorisation "lacunaires et peu opérationnelles".La procédure "ne détaillait pas le rôle de l'évaluateur indépendant, ne mentionnait pas sa présence au comité de valorisation et ne prévoyait pas la traçabilité de ses travaux", a précisé le rapporteur général de la Commission des sanctions Lucien Millou.Sur Twitter et Youtube, il est également reproché à Perial d'avoir manqué à son obligation d'une information "claire et équilibrée" sur la commercialisation des produits financiers, en particulier sur les investissements risqués que représentent les SCPI, dont le capital n'est pas garanti. "Quatre vidéos représentaient bien une information déséquilibrée et trompeuse", a souligné Mme Bonnet.Pour sa défense, le président de Perial Eric Cosserat a fait valoir que la société avait "toujours agi dans l'intérêt exclusif de (ses) clients" et n'avait en aucun cas "voulu les tromper".Sur la gestion des conflits d'intérêts, l'AMF reproche à Perial l'existence de deux conventions de gestion entre le groupe et deux autres sociétés du groupe, dont les gérants "ont reçu de la part de Perial des commissions d'un montant de 463.835 euros et 905.983 euros", a déclaré M. Millou.Et concernant la LCB-FT, le collège de l'AMF a retenu quatre griefs portant sur des "lacunes de procédure", l'absence de "contrôle" et de "collecte d'informations" sur les clients lors de l'entrée en relation d'affaires avec Perial."Les manquements passés ont été corrigés", s'est défendu le président de Perial.Le groupe assure également avoir renforcé son dispositif de commercialisation et mis à jour sa procédure de valorisation. Il s'est aussi engagé à solliciter un audit par un cabinet externe.La décision de la Commission des sanctions est attendue dans les semaines à venir.Fondé en 1966, le groupe Perial gère "plus de 4 milliards d'actifs et plus de 500 immeubles" détenus par des organismes de placement collectif immobilier (OPCI) et des sociétés civiles de placement immobilier (SCPI). La société n'a jamais été condamnée par la Commission des sanctions de l'AMF.
Il y a 3 ans et 349 jours

Provins : bientôt un nouvel immeuble rue d’Esternay

Un immeuble de 32 logements contribuera à la requalification de la rue d’Esternay d’ici 2022.
Il y a 3 ans et 350 jours

Nouvelle gamme de Climatisation Air Flux 6300 à récupération de chaleur de Bosch Thermotechnologie

Dédiée aux hôtels, bureaux, maisons de santé, cliniques, Immeubles de Grande Hauteur, salles de fitness, boutiques, etc., elle se distingue par de nombreux atouts :des puissances étendues avec 6 modèles monoblocs de22 kW à 50 kW et des cascades de 3 unités pouvantatteindre 150 kW,des plages de fonctionnement jusqu’à - 25°C en modechaud, et + 52°C en mode froid,l’ouverture vers l’Eau Chaude Sanitaire haute températurejusqu’à 80°C, avec le nouveau module hydraulique AF-HB,le plus compact et léger du marché,des performances élevées en modes réversible,récupération de chaleur et ECS (SEER jusqu’à 7,26 et SCOPjusqu’à 4,59),la possibilité de raccorder jusqu’à 36 unités intérieuresà une seule unité extérieure,une uniformité de gamme au niveau design, installation,réglages, paramétrages et maintenance, gage de confortoptimal pour l’installateur,une gamme certifiée EUROVENT.Dernières nées de la gamme Bosch VRF Air Flux, les unités extérieures Air Flux 6300 permettent de proposer une offre toujours plus complète. Elles viennent enrichir les unités extérieures réversibles Mini VRF MDCI et VRF Air Flux 5300 (entre 7 kW et 270 kW). Air Flux 6300 est compatible avec l’ensemble des unités intérieures et accessoires Air Flux. Cassettes 1, 2 ou 4 voies, gainables compacts haute ou moyenne pression statique, consoles, muraux..., toute une panoplie d’unités intérieures est proposée pour s’adapter à tous les environnements collectifs et tertiaires. Les régulations individuelles et centralisées tactiles permettent de piloter le système intégralement et facilement. Le raccordement à divers systèmes de Gestion Technique est également possible via des passerelles de communication.Une solution confortable et économe en énergieCette gamme offre, en un seul système, un fonctionnement simultané de refroidissement et de chauffage. La récupération d’énergie et de chaleur est obtenue en transférant la chaleur extraite dans certaines pièces vers les zones ayant besoin de chauffage. Elle se révèle pratique et indispensable pour le confort des occupants, particulièrement en demi-saison, lorsque les façades Nord d’un bâtiment peuvent avoir besoin de chauffage, tandis que les pièces orientées Sud sont rafraîchies.Le [+] : nouveaux boîtiers de répartition SBOX AF-SBLes boîtiers de répartition SBOX AF-SB facilitent lefonctionnement du système à récupération d’énergie. Le boîtier contrôle chaque groupe d’unités intérieures (jusqu’à 12 par SBOX), afin d’obtenir simultanément un mode chauffage et climatisation dans un système régulé par un boîtier SBOX. Les unités intérieures raccordées à un même boîtier SBOX peuvent fonctionner indépendamment, en mode refroidissement ou chauffage. Gage de sécurité, un boîtier surveille en permanence la quantité de fluide par pièce, et assure la sécurité requise par la norme EN378, notamment en ce qui concerne la détection de fuite de fluides.Le niveau sonore des unités peut être abaissé de 4 dB(A) à 8 dB(A), en ajustant la vitesse des ventilateurs et la fréquence des compresseurs. Six programmes « Silence » sont paramétrables, une source de confort supplémentaire qui favorise la concentration et le bien-être au travail.Quand Bosch Thermotechnologie accroît le champ des possiblesCompatible avec les nouvelles unités extérieures Air Flux 6300, le nouveau module hydraulique AF-HB assure la production d’Eau Chaude. Il offre une plage de température de production d’eau chaude allant de 25°C à 80°C (puissance nominale de 14 kW). Grâce au positionnement du module en amont des boîtiers de répartition (SBOX), le nombre d’unités intérieures après les SBOX peut être augmenté selon les besoins, et le foisonnement atteint jusqu’à 200 % de la puissance totale de l’unité extérieure. Sa compacité (80 cm de hauteur) et sa légèreté (58 kg) facilitent l’installation et permettent un agencement discret. Autre avantage, il peut aussi s’utiliser pour le chauffage : plancher chauffant, radiateurs et ventilo-convecteurs. Au quotidien, ses fonctions sont nombreuses : désinfection thermique, vacances, programmation hebdomadaire, mode Silence... Plusieurs modules hydrauliques peuvent être installés en cascade pour multiplier la puissance ECS disponible !Un condensé de technologieLa gamme à récupération de chaleur Air Flux 6300 se dote d’un nouveau compresseur à injection de vapeur qui optimise les performances de chauffage. Il garantit un fonctionnement stable jusqu’à - 25°C ainsi qu’un sous-refroidissement optimisé. Il offre une plage de fréquence jusqu’à 140 Hz, et une montée en température plus rapide et efficace à charge partielle (à partir de 15 Hz). En cas d’unités en cascade, cette technologie offre un équilibrage efficace entre les compresseurs. Le moteur sans balais réduit les frottements et améliore l’efficacité aux charges faibles et partielles, ainsi que la durée de vie globale de l’équipement.GarantiesCette gamme est garantie 5 pièces pour toutes les pièces détachées et 5 ans compresseurs. Si la mise en service est réalisée et validée par le Service Après-Vente Constructeur du Fournisseur, la main d’œuvre est incluse pour les deux premières années.
Il y a 3 ans et 350 jours

La mairie de Paris veut racheter un immeuble pour sauver un dancing gay

La Ville de Paris veut racheter un immeuble du quartier du Marais pour sauver le Tango, une discothèque gay menacée par la vente de l'édifice, et y installer des logements sociaux.
Il y a 3 ans et 353 jours

Macron inaugure l'Hôtel de la Marine totalement restauré, nouvelle attraction touristique à Paris

A l'issue de la visite, le président Macron s'est entretenu avec le président de la Fifa (Fédération internationale du Football), Gianni Infantino, puisque l'Hôtel de la Marine accueille désormais une antenne de cette organisation basée à Zurich (Suisse).Ce monument, qui représente "des siècles d'Histoire", "va devenir un nouveau lieu de l'attractivité de la France", s'est félicité le chef de l'Etat après avoir visité ses salons dorés, dont certains rappellent le château de Versailles.Il a salué sa restauration menée par le Centre des monuments nationaux (CMN), qui "a réussi à réinventer le lieu" en en "retrouvant l'esprit" tout en "le modernisant", grâce au "savoir-faire français", notamment des "compagnons et artisans dont nous avons tant besoin".Construit au XVIIIe siècle par Ange-Jacques Gabriel, premier architecte de Louis XV, ce vaste bâtiment abrita jusqu'en 1789 le Garde-Meuble de la Couronne avant de devenir, pendant plus de 200 ans, le siège du ministère puis de l'Etat-major de la Marine.Philippe Bélaval, le président du CMN, a souligné que sa restauration, menée depuis 2017, n'avait "quasiment rien coûté aux contribuables" puisque moins de 10% de son coût de 130 millions d'euros a été supporté par l'Etat, le reste étant autofinancé ou soutenu par le mécénat.Le projet a été pensé pour être "ouvert sur la ville" avec restaurant, café, librairie et 6.000 m2 d'espaces de co-working. Le bâtiment accueille aussi le siège de la Fondation pour la mémoire de l'esclavage présidée par l'ancien Premier ministre Jean-Marc Ayrault, puisque c'est dans un de ses salons qu'a été signé le décret d'abolition de l'esclavage le 27 avril 1848 à l'initiative de Victor Schoelcher.Le lieu sera également enrichi à l'automne par la Collection Al Thani, l'une des plus prestigieuses collections d'art privées au monde.Le chef de l'Etat s'est ensuite rendu avec son épouse Brigitte au centre d'entraînement de Clairefontaine (Yvelines) pour déjeuner avec les joueurs de l'équipe de France avant l'Euro de football qui débute vendredi.
Il y a 3 ans et 353 jours

L'effondrement d'un immeuble en Corée du Sud fait neuf morts

L'autobus, qui transportait 17 personnes, était à l'arrêt au moment où le bâtiment de cinq étages s'est écroulé.Il a été enseveli sous les décombres dans un énorme nuage de poussière, selon des images impressionnantes de télévision.Neuf passagers ont été tués et huit autres autres ont été gravement blessées, selon les pompiers.Toutes les personnes qui travaillaient sur le lieu de démolition avaient été évacuées avant que l'immeuble ne s'effondre, ont-ils précisé.Les raisons de cet accident étaient inconnues jeudi et une enquête a été ouverte, selon les autorités.La plus grave catastrophe survenue en temps de paix en Corée du Sud est l'effondrement d'un grand magasin en 1995, faisant plus de 500 victimes.
Il y a 3 ans et 353 jours

Crédit immobilier : les seniors moins nombreux à emprunter en 2020

Pourtant, malgré ces nombreux atouts, ils sont aussi plus à même de développer davantage de problèmes de santé, susceptibles de faire grimper significativement le coût de leur assurance de prêt... Avec la crise sanitaire, les établissements bancaires se montrent plus frileux vis-à-vis des profils seniors : la proportion d'emprunteurs de plus de 50 ans a ainsi diminué de plus de 2 points, entre 2019 et 2020. Quel est donc le profil type de l'emprunteur de plus de 50 ans en 2020 ? Pour quel(s) projet(s) et dans quelles conditions ?Quoiqu'il en soit les séniors, comme les autres profils, auront toujours la possibilité de poursuivre la concrétisation de leurs projets immobiliers dans des conditions favorables, en ce mois de juin 2021, grâce à des taux de crédit bas et toujours aussi attractifs, malgré une hausse moyenne de 0.03% des taux d'emprunt sur l'ensemble des durées de prêt.Une baisse de 2% du volume d'emprunteurs de plus de 50 ans en 2020 (par rapport à 2019)Les emprunteurs de plus de 50 ans ont été largement impactés par la crise sanitaire : entre 2019 et 2020, leur proportion, parmi le total des emprunteurs financés par La Centrale de Financement, a chuté de 2%. Cette baisse s'explique notamment par une vigilance des banques qui s'est accrue vis-à-vis des profils présentant des risques de santé plus élevés, dans ce contexte de pandémie mondiale. En effet, les seniors ont été statistiquement la frange de population la plus touchée par le virus au cours de la crise sanitaire : déjà élevés, les frais d'assurance invalidité décès dépassent désormais les intérêts bancaires du prêt, pour les profils cinquantenaires et au-delà.Avec le départ à la retraite, la baisse des revenus limite l'accès au crédit immobilierPour les emprunteurs de plus de 60 ans, la baisse de revenus liée au départ à la retraite se pose également comme un obstacle majeur au financement de leurs projets immobiliers :« Les profils seniors ont été les plus pénalisés par la crise sanitaire ; déjà considérés comme des populations à risque par les assureurs, ils ont été particulièrement touchés par le virus. Une difficulté à laquelle s'ajoute celle de la baisse globale de leur revenu au moment du départ à la retraite, une baisse d'environ 25% en moyenne[2]. Afin de leur permettre d'accéder malgré tout à l'emprunt immobilier, La Centrale de Financement propose de nombreuses solutions permettant notamment de réduire le coût de l'assurance. Grâce à notre important réseau de partenaires assureurs, nous donnons accès à un large choix de solutions d'assurances emprunteurs (25 contrats différents) permettant de bénéficier de l'option la plus avantageuse, quel que soit son profil et sa situation financière ! », précise Sylvain Lefèvre, président de La Centrale de Financement.Le profil-type de l'emprunteur de plus de 50 ans en 2020Après analyse des dossiers de prêt finalisés sur l'année 2020, Le Centrale de Financement a dressé le portrait-type de l'emprunteur de plus de 50 ans qui est, en majorité une femme (55% des cas) de 56 ans disposant d'un revenu mensuel moyen de 6 160 € par mois. Elle emprunte pour une durée moyenne de 17 ans et pour un montant de 194 671€ en moyenne, et doit être en capacité de fournir un apport d'environ 32% du montant du prêt total (62 294€), soit 19,2 de points de pourcentage de plus par rapport au volume d'apport moyen demandé en 2020 (12,8%), tous profils d'emprunteurs confondus.Les emprunteurs de plus de 50 ans privilégient davantage le locatifAu cours de l'année 2020, La Centrale de Financement a observé une préférence renouvelée des emprunteurs de plus de 50 ans pour l'acquisition d'une résidence principale, pour 70% d'entre eux, et une appétence réelle pour le locatif (nu ou meublé) dans plus de 27% des cas.« Majoritairement secundo-accédants, les emprunteurs de plus de 50 ans orientent généralement la concrétisation de leurs projets immobiliers vers un changement de résidence principale, ou vers l'acquisition d'une résidence secondaire destinée à la location, qui leur permettrait de compléter leur pension de retraite. », ajoute Sylvain Lefèvre.Parmi l'ensemble des dossiers financés pour un projet d'acquisition en résidence principale, seulement 12% des acquéreurs ont plus de 50 ans.Juin 2021 : la hausse des taux se poursuit sur l'ensemble des durées de prêt, mais les conditions d'emprunt restent attractivesLe mois de juin 2021 s'inscrit dans la continuité de la tendance haussière déjà observée au mois de mai 2021, avec une nouvelle hausse des taux sur l'ensemble des durées de prêt. Avec les taux annoncés en juin 2021, un emprunteur contractant un prêt d'un montant de 180 000 € sur 25 ans à 1,31% verra sa mensualité s'élever à 717,90 euros pour un coût total de crédit de 31 151 euros, soit près de 2,3% de plus que le mois précédent (correspondant à un coût supplémentaire de plus de 713 euros sur 25 ans) pour un prêt de la même durée et du même montant.Évolution des tauxLes taux immobiliers moyens de juin 2021 par durée d'empruntLes conditions de taux généralement constatées sont en hausse de 0.03%, en moyenne, pour toutes les durées de prêt confondues. Dans le détail : les hausses de taux de crédit les plus significatives s'observent principalement pour les prêts contractés sur 10 ans, ainsi que pour ceux sur 15, 20 et 25 ans, avec une augmentation de +0.04 % et +0.03 % respectivement par rapport à mai 2021. Les meilleurs taux obtenus sur le mois de juin 2021 sont, pour la majorité des durées d'emprunt, légèrement plus avantageux que ceux obtenus au mois de mai 2021. Pour les prêts contractés sur une durée de 7 ans, on observe ainsi une baisse significative de -0,07% par rapport au mois précédent ; pour les prêts contractés sur 10 et 20 ans, les meilleurs taux obtenus en juin 2021 observent une baisse moins importante, de 0,01 point de pourcentage par rapport au mois de mai 2021.Les meilleurs taux immobiliers de juin 2021 par durée d'empruntProfil des emprunteurs ayant réalisé leur projet en mai 2021L'emprunteur type du mois de mai 2021[1]Les seniors constituent une catégorie démographique qui se situe au-delà de la cinquantaine.[2] Selon une étude de la DREES publiée en 2015.[3] Le terme « Vefa » correspond à un bien immobilier neuf dont la construction n'est pas encore achevée.
Il y a 3 ans et 354 jours

Immeuble bas carbone en bois et terre cuite

A Toulouse, cette opération de grande envergure, composée notamment d’une tour de 30 mètres en R+10 : le complexe immobilier Wood’Art / La Canopée, signé Dietrich | Untertrifaller Architectes en collaboration avec Seuil Architecture, en R+10 (31 mètres de haut) réalisée à 76% bois (ossature et plancher) représente l’un des plus importants projets grande hauteur édifié en bois à ce jour en France. Initié par ADIVBOIS et opéré par OPPIDEA, ce complexe immobilier ultra performant au plan environnemental ne constitue pas uniquement une démonstration technique : son modèle constructif innovant réunit tous les ingrédients pour être reproductible. Construit sur 100% de sa parcelle, ce projet aux volumes compacts aurait pu laisser craindre une massivité écrasante et brutale. Grâce à l’imagination débordante de ses concepteurs, c’est au contraire avec une légèreté déconcertante et une fantaisie savamment dosée que l’opération s’inscrit dans son environnement. Une prouesse architecturale obtenue à travers un ingénieux jeu de découpage et d’épannelage des bâtiments en R+5, R+8 et R+10, ainsi qu’à une audacieuse écriture en façade. “Nous avons imaginé une seconde peau de lamelles de terre cuite qui apporte un effet rassurant, enveloppant, protecteur en même temps qu’elle offre une image vivante et vibrante aux bâtiments”, explique l’architecte autrichien Michael Untertrifaller. “La terre cuite collait parfaitement à la variation que nous recherchions”, ajoute Philippe Goncalves de Seuil Architecture. “Il a fallu relever de nombreux défis techniques, se souvient Philippe Bontemps, responsable R&D, bois et bas carbone au bureau d’étude Terrell. La maîtrise de la sécurité incendie, la stabilisation des tours ou encore l’étanchéité à l’eau font partie des sujets qui nous ont beaucoup mobilisés.” Car il y a peu de références réglementaires sur lesquelles s’appuyer pour mener à bien ce projet bois XXL très novateur. “A titre d’exemple, lors de la conception en 2017, le DTU 31-4 qui encadre la mise en œuvre des façades à ossature bois n’existait pas encore”, indique l’ingénieur. Il a donc été nécessaire de multiplier les avis de chantier. ”Terreal a été identifié très tôt dans le projet, dès la phase concours afin de pré-valider les hypothèses techniques, notamment sur la mise en œuvre des panneaux de terre cuite en façade qui dépassent les hauteurs réglementaires.”
Il y a 3 ans et 354 jours

Subtil contraste en façade

Dans le 12ème arrondissement de Paris, un nouveau programme immobilier a été confié par la RIVP à l’architecte Stefan Brechtel du cabinet d’architecture parisien Louis Paillard. Ce programme mixte (R+7 côté rue et R+3 côté jardin intérieur), comprend un total de 23 logements sociaux et deux commerces. L’immeuble est entièrement paré de plaquettes en terre cuite Mont Blanc (en façade) et Mont Noir (au rez-de-chaussée) des Rairies Montrieux . Pour ces deux premières teintes, le briquetier a réalisé une finition satinée sur mesure sur les plaquettes mates de sa gamme Email Nature. Quant au troisième coloris, la plaquette Mont Blanc brillant de la gamme Monocuisson a été choisie afin de créer un subtil contraste en façade par son association avec la plaquette Mont Blanc satinée. Selon la luminosité, cet effet de contraste se révèle plus ou moins finement par son jeu de calepinage en losanges. 
Il y a 3 ans et 354 jours

L’OPPBTP édite un nouveau guide pour réduire l’exposition des salariés aux poussières de bois

Les engagements pris prévoyaient, notamment, la réalisation d'une étude (PROPOBOIS) visant à aider les entreprises à réduire l'exposition des salariés aux poussières de bois dans le secteur du bois-construction et de l'ameublement. Cette étude menée durant 18 mois a permis d'élaborer le guide « Poussières de bois : évaluez le risque d'exposition dans votre atelier » qui propose une série de solutions et de recommandations pratiques à mettre en place pour améliorer les conditions de travail.Un guide pédagogique pour une meilleure préventionLe guide « Poussières de bois : évaluez le risque d'exposition dans votre atelier » élaboré conjointement par l'OPPBTP et FCBA a pour ambition d'accompagner les chefs d'entreprise dans l'évaluation de la situation de leur entreprise par rapport au risque poussières de bois et surtout d'identifier les points majeurs d'amélioration et les actions concrètes à mener.La méthode décrite dans cet ouvrage de 71 pages propose un moyen pratique de mieux cerner les enjeux propres à chaque entreprise. Elle s'applique pas à pas et est étayée par un outil établi sur Excel facilitant la saisie des données et les calculs, et grâce auquel il est possible, en toute autonomie :d'identifier les zones de risque majeur d'exposition aux poussières de bois au sein de l'atelier ;de déterminer et de hiérarchiser les actions à mettre en oeuvre ;de participer à la définition des groupes d'exposition similaire dans le cadre du contrôle réglementaire de la valeur limite d'exposition professionnelle (VLEP).Au sommaire de ce guide :Les enjeux d'une bonne maîtrise de l'exposition : des informations relatives aux effets des poussières de bois et l'importance des bonnes pratiques minimales à mettre en oeuvre afin de fixer le cadre pour les entreprises.Les étapes de l'autodiagnostic : ce chapitre traite, étape par étape, de la méthode d'évaluation pour déterminer de manière autonome la situation face au risque de poussières de bois.Les actions correctives après l'autodiagnostic : cette partie aborde l'analyse des résultats de l'autodiagnostic et propose des pistes d'actions correctives pouvant être mises en place afin de réduire le niveau d'exposition des salariés.Annexe 1 : Les appareils de protection respiratoire.Annexe 2 : Quiz d'auto-évaluation des bonnes pratiques.Annexe 3 : Exemples de cas d'application de la méthode.Tout au long de l'élaboration de ce guide, ces éléments ont été validés avec le Copil « Poussières de bois » comprenant des organisations professionnelles de la seconde transformation du bois (l'Ameublement français, CAPEB, UMB de la FFB, UFME, UIPC, UICB SCOP BTP).Le guide est disponible sur les sites de l'OPPBTP et du FCBALes poussières de bois, un enjeu majeur pour la filièreEnviron 444 200 salariés déclarent être exposés aux poussières de bois dans le cadre de leur travail (selon l'enquête SUMER 2010). Or, ces particules peuvent être à l'origine de problèmes de santé allant de la simple atteinte cutanée au développement de cancers des sinus ou des fosses nasales.Réduire l'exposition des salariés aux poussières de bois est donc un enjeu majeur que l'OPPBTP et l'institut FCBA ont souhaité traiter à travers la mise en place d'actions concrètes.La collaboration entre l'OPPBTP et FCBA a été initiée dans le cadre de la convention « Poussières de bois » (2012/2015) signée avec le Ministère du travail, l'INRS, la CNAMTS et les organisations professionnelles des secteurs bois et ameublement. Elle s'est prolongée en 2017 par la réalisation d'une étude (PROPOBOIS) afin de définir une démarche de diagnostic, facilement applicable par les entreprises, pour la détermination des « Groupes d'Exposition Similaire » (GES).Cette étude, menée durant 18 mois auprès de 8 entreprises volontaires du secteur bois-construction et ameublement représentatives de la profession, a permis d'analyser différentes situations d'exposition des salariés en lien avec la nature des procédés mis en oeuvre et à élaborer une série de solutions qui sont aujourd'hui détaillées dans le guide « Poussières de bois : évaluez le risque d'exposition dans votre atelier ».Webinaire (en replay) : prévenir les risques d'exposition aux poussières de bois du Mercredi 19 maiFCBA, avec l'OPPBTP, a organisé un webinaire à destination des entreprises de la filière autour de la méthodologie d'autoévaluation pour prévenir les risques d'exposition aux poussières de bois.Vincent Quint, Responsable Environnement Industriel (FCBA) et Isabelle Monnerais, Responsable de domaine – Risque chimique – Services aux entreprises (OPPBTP) donneront les clés pour réussir son auto-évaluation et présenteront les bénéfices pour les entreprises.Programme de la matinée :Exposition aux poussières de bois et réglementation,Présentation de la méthode d'autoévaluation,Comprendre et maitriser l'exposition des salariés : comment définir un plan d'amélioration ?Questions / Réponses.Pour voir ou revoir ce webinaire, cliquez ici
Il y a 3 ans et 355 jours

LES GAMMES JOY ET CONCA RÉCOMPENSÉES PAR DEUX PRIX INTERNATIONAUX DE DESIGN PRESTIGIEUX

Les mitigeurs Joy et le lavabo Conca, deux gammes d’Atelier Collections d’Ideal Standard, ont été récompensés par les iF DESIGN AWARDS et les Red Dot Design Awards, deux prix prestigieux de renommée internationale. Les produits Atelier Collections sont le résultat du partenariat exclusif d’Ideal Standard avec le célèbre studio de design italien Palomba Serafini Associati et représentent l’engagement de la marque à façonner l’avenir de la vie moderne à travers le design. Co-fondateur de PS+A, Roberto Palomba, qui a été reconduit dans ses fonctions de Chief Design Officer d’Ideal Standard, s’est inspiré du riche héritage du fabricant pour développer les collections, notamment la robinetterie Joy et le lavabo en céramique Conca, visant à réunir innovation et beauté pour un résultat intemporel. Esthétiquement, Joy s’inspire de greffes botaniques, avec une conception en fonte unique assurant une pièce à la silhouette élancée et moderne, facile à nettoyer et disponible en quatre finitions saisissantes : chrome, gris orage, or brossé et gris magnétique. La simplicité pure de Joy le rend extrêmement polyvalent, complétant à la fois les céramiques carrées et rondes et s’adaptant à une variété de styles de salle de bain. Joy participe également à la réduction de la consommation d’eau à 5 L/min, tandis que la cartouche à disque en céramique FirmaFlow d’Ideal Standard offre les réglages de température les plus fins pour une expérience utilisateur plus confortable. La gamme de produits céramiques Conca fait partie de la collection plus large Conca, qui comprend également de la robinetterie, des meubles et une baignoire. Les courbes organiques et les détails sensuels sont au cœur de Conca, avec des technologies de pointe permettant non seulement de nouveaux niveaux de pureté dans la conception grâce aux lignes fines du lavabo, mais aussi une utilisation optimisée et respectueuse des matières premières. Bien qu’il soit conçu pour la vie contemporaine, Conca est également enraciné dans la riche histoire du design d’Ideal Standard, s’inspirant de la collection classique de la marque du même nom, conçue par Paolo Tilche en 1972. Ce sont les approches de conception uniques et innovantes de ces deux produits qui ont séduit et convaincu les jury indépendants du iF DESIGN AWARD et du Red Dot Award. Roberto Palomba, co-fondateur de PS+A et directeur de la conception chez Ideal Standard, a déclaré : « Nous sommes ravis d’avoir remporté ces deux prix très importants, qui reconnaissent le travail acharné et le dévouement qui ont permis de consolider la position d’Ideal Standard en tant que chef de file du design. Ces prix nous encouragent à continuer dans cette voie ». Pour plus d’informations sur Joy et Conca, visitez : https://www.idealstandard.fr/produits/collections/conca et https://www.idealstandard.fr/produits/collections/joy Pour plus d’informations sur les gammes Atelier Collections, visitez : https://www.idealstandard.fr/produits/atelier À propos du iF DESIGN AWARD Depuis 67 ans, le iF DESIGN AWARD est reconnu comme un arbitre de qualité pour un design d’exception. Le label iF est réputé dans le monde entier pour ses services de design exceptionnels, et le iF DESIGN AWARD est l’un des prix de design les plus importants au monde. Les soumissions sont décernées dans les disciplines suivantes : conception de produits, d’emballages, de communication et de services, architecture et architecture d’intérieur ainsi que concept professionnel, expérience utilisateur (UX) et interface utilisateur (UI). Toutes les candidatures récompensées sont présentées dans le iF WORLD DESIGN GUIDE et dans l’application iF design. À propos du Red Dot Design Award Afin d’apprécier la diversité dans le domaine du design de manière professionnelle, le Red Dot Design Award se décompose en trois disciplines du Red Dot Award : Product Design, Red Dot Award : Brands & Communication Design et Red Dot Award : Design Concept . Avec plus de 18 000 candidatures, le Red Dot Award est l’un des plus grands concours de design au monde. En 1955, un jury s’est réuni pour la première fois pour évaluer les meilleurs designs de l’époque. Dans les années 1990, le Dr Peter Zec, PDG de Red Dot, a développé le nom et la marque du prix. Depuis lors, la distinction recherchée «Red Dot» est le sceau international vénéré d’une qualité de conception exceptionnelle. Les lauréats sont présentés dans les annuaires, les musées et en ligne. Plus d’informations sont disponibles sur www.red-dot.de. A propos d’Ideal Standard International Ideal Standard International est l’un des principaux fabricants mondiaux de solutions de salle de bains résidentielles, commerciales et médicales de haute qualité. Basée à Bruxelles, en Belgique, l’entreprise privée emploie près de 9 500 personnes et exploite 17 sites de fabrication, desservant plus de 60 pays à travers l’Europe, le Moyen-Orient et l’Afrique. En utilisant les dernières technologies et en travaillant avec des designers de classe mondiale, la société se concentre sur le développement de solutions de salle de bain innovantes dans plusieurs catégories de produits, notamment la céramique de salle de bain, les robinets et les raccords, le bain et le bien-être et les meubles et accessoires. Ses produits sont vendus sous de fortes marques internationales et locales telles que Ideal Standard, Armitage Shanks (Royaume-Uni), Porcher (France), Ceramica Dolomite (Italie) et Vidima (Europe de l’Est). https://www.idealstandard.fr/
Il y a 3 ans et 355 jours

A Marseille, un immeuble de bureaux devenu cité éphémère pour artistes

"Un gros bâtiment avec des artistes dedans": voilà le pari résumé en quelques mots par Raphaël Haziot, de Yes We Camp, association spécialisée dans l'occupation temporaire d'espaces urbains, à l'origine de cette opération.En attendant d'être abattu, en juin 2022, par son propriétaire, le groupe immobilier Icade, puis remplacé par des barres de logements sociaux, cet ex-immeuble de bureaux situé dans le 9e arrondissement de la cité phocéenne a retrouvé des occupants: peintres, architectes, sculpteurs, artisans, photographes, designers, tous les métiers se croisent, au fil des étages, comme dans une ruche.Vendredi, jour de l'inauguration officielle de "Buropolis", 230 artistes avaient trouvé refuge dans le bâtiment, au cœur d'une ville capitale européenne de la culture en 2013 certes, mais où les espaces manquent pourtant pour les créateurs, avec seulement 13 ateliers mis à disposition par la municipalité."Dans un coworking, c'est chacun chez soi. Ici, c'est comme une petite ville, on partage tout", explique Silvia Romanelli, costumière.Avec d'autres membres d'un collectif, elle occupe un grand espace, au 7e étage de l'immeuble. Loyer: 3 euros le m². Une aubaine pour cette Italienne de 35 ans qui avait dû quitter son atelier de la ville de Marseille, dans le quartier du Panier, son bail étant arrivé à échéance."La seule solution pour les artistes, ce serait les baux précaires, de 12 à 18 mois", regrette Sarah Netter, 28 ans, du collectif Crocs, occupante d'un autre plateau au 3e étage, avec sept camarades. "L'idéal ce serait des ateliers-logements, sur 3 à 5 ans", plaide la jeune femme, à genoux, en train de coudre une gigantesque robe pour une performance théâtrale.A quelques mètres, Manon Delmas travaille sur des feuilles de lierre dont elle dégage le squelette après avoir enlevé la peau et la pulpe avec une pince à épiler puis un pinceau. Résultat, après des heures de travail minutieux et de séchage: un voile translucide fin comme une aile de papillon."Une forme d'émulation"A un autre niveau de l'immeuble, c'est l'antenne marseillaise du collectif Kourtrajmé qui a posé ses caméras.Au 9e étage, 1.000 m² ont été réservés comme espace d'exposition. Parmi les premiers artistes à s'exprimer, Morgane Hofner, des Beaux Arts de Marseille, et ses saisissantes figures au crayon de couleur sur tissu.Au rez-de-chaussée, la buvette et la cantine. A côté, une bibliothèque et un coin lecture à destination des jeunes du quartier.Mais Buropolis, c'est aussi des dizaines d'ateliers individuels. Ici le loyer frôle les 10 euros le mètre carré: "On peut rester dans sa bulle mais aussi profiter de la collectivité pour recharger. Cela créé une forme d'émulation", explique Franck Conte, street-artist et peintre, connu pour avoir dessiné les portraits de joueurs de l'OM sur les murs de la ville."Marseille, c'est là où il faut être pour se faire un réseau", explique Violaine Barrois, 37 ans, designer graphique. Elle vit au nord d'Aix-en-Provence mais elle rejoint chaque jour ses 12 m² à Buropolis: "Je n'ai pas les moyens de m'acheter un atelier. 100 euros par mois, c'est au-delà de toute attente !"Si Yes We Camp a eu les clefs du bâtiment en janvier, les premiers artistes ne sont arrivés qu'en février. Et ce fut d'abord un mois de chantier collectif. L'immeuble étant presque désossé, "il a fallu monter les cloisons, poser des placos, installer des toilettes", explique Raphaël Haziot, contraint de jongler avec un budget global de 1,2 million d'euros, dont 80% couverts par les loyers versés par les artistes.Mais dans 12 mois, la parenthèse se refermera."Il y a comme un sentiment d'urgence, c'est pour ça que nous travaillons sur des projets à la chaîne", explique Violaine Barrois: "C'est comme dans une résidence, il faudra laisser une trace de notre passage".
Il y a 3 ans et 355 jours

Les propositions de la Fédération CINOV pour les élections régionales

Actrices essentielles des mutations en cours, les professions de la branche BETIC (bureaux d'études techniques, cabinets d'ingénieurs-conseils et sociétés de conseils) se tiennent à disposition des futurs exécutifs régionaux pour les accompagner dans la mise en oeuvre de projets innovants, susceptibles de faire rayonner les régions et qui bénéficieront en premier lieu au tissu économique local et aux habitants desdits territoires.Les métiers de la prestation de services intellectuels, acteurs essentiels du développement régionalA travers ses propositions, la Fédération CINOV tient d'abord à rappeler le rôle de premier plan joué par les professions de la prestation de services intellectuels du Conseil, de l'Ingénierie et du Numérique dans le développement économique à tous les niveaux : communal, intercommunal, départemental, régional, national et européen.Cela se vérifie particulièrement à l'échelon régional – les leviers de compétence de ces collectivités étant complémentaires des expertises, des domaines d'action et des processus décisionnels propres aux métiers de la branche. Selon Frédéric LAFAGE, Président de CINOV, « les professions [représentées par la Fédération] sont aujourd'hui connues de tous : pas un hôpital, un lycée, une route, un immeuble, une voie ferroviaire, une organisation d'entreprise, une application logicielle, une transition numérique, ne se réalise sans le recours à nos métiers ».Des propositions pour une relance économique réussie et une sortie de crise maîtriséePour répondre aux enjeux auxquels seront confrontés les futurs exécutifs régionaux, la Fédération CINOV leur tend la main et les invite à faire appel à son expertise et à son savoir-faire dans l'élaboration et la mise en oeuvre de leurs programmes politiques, notamment dans les domaines du développement économique, de la commande publique, de la transition numérique et de la formation professionnelle.Pour favoriser le développement économique des territoires, CINOV appelle d'abord les futurs présidents de régions et leurs équipes à simplifier et à numériser les démarches administratives d'accès au financement public, en créant un interlocuteur unique pour le dépôt des dossiers de financement des TPME, mutualisant l'ensemble des ressources disponibles (aides du plan de relance, subventions régionales, prêts bancaires, fonds européens…).« Nous appelons également à faciliter la reprise des secteurs culturel et touristique, à éviter la concurrence déloyale de l'ingénierie publique, à faciliter l'accès des TPME à la commande publique et à la rendre plus responsable, en intégrant à chaque contrat des mesures de performance réelle », précise Frédéric LAFAGE, Président de la Fédération.Priorité doit être donnée à la transition numérique et à la formation professionnelle !La Fédération CINOV considère par ailleurs que la réussite économique des territoires à moyen terme passera essentiellement par la réussite de leur transition numérique. « Nous appelons donc les futurs exécutifs régionaux à accélérer la transition numérique des collectivités dont ils auront la charge, et à poursuivre le soutien et la participation active des Régions à la transition numérique des TPME », déclare Frédéric LAFAGE.A cet effet, CINOV propose par exemple d'intégrer le numérique dans les concours et le parcours obligatoire de formation – initiale et continue – de l'ensemble des fonctionnaires, notamment territoriaux. La Fédération propose également d'affecter les dépenses numériques en section d'investissement, et non de fonctionnement, ce qui permettrait d'en augmenter les financements. Enfin, l'une des pistes complémentaires envisagées par CINOV pourrait être de créer, à l'initiative des Régions, des ateliers de la transition écologique et numérique.Outre les enjeux de relance économique, de commande publique et de transition numérique, la Fédération CINOV invite les futurs exécutifs régionaux, à travers la Stratégie Régionale pour l'Enseignement Supérieur, la Recherche et l'Innovation (SRESRI), à adapter l'offre de formation et d'apprentissage aux besoins réels des écosystèmes locaux. En effet, rappelle Frédéric LAFAGE, « seule une collaboration active et approfondie entre les services régionaux, les universités et acteurs de l'enseignement supérieur et les représentants de l'écosystème local permettra de faire gagner en visibilité tout un panel de métiers aujourd'hui méconnus, et de mieux répondre aux besoins du marché de l'emploi dans ces écosystèmes. »Les 8 propositions structurantes de la Fédération CINOV pour les élections régionales des 20 et 27 juin 2021 :Simplifier et numériser les démarches administratives d'accès au financement public ;Faciliter la reprise des secteurs culturel et touristique ;Eviter une concurrence déloyale de l'ingénierie publique ;Faciliter l'accès des TPME à la commande publique ;Développer une commande publique responsable en intégrant, à chaque contrat, des mesures de performance réelle ;Accélérer la transformation numérique de la collectivité ;Poursuivre le soutien et à la participation active de la Région à la transition numérique des TPME ;Adapter l'offre de formation et d'apprentissage aux besoins réels de l'écosystème local.
Il y a 3 ans et 360 jours

Adieu les tours ! Lyon esquisse sa vision d'une Part-Dieu végétalisée et "apaisée"

Si l'ancien maire Gérard Collomb rêvait d'une "skyline" fournie, symbolisant l'accès de sa ville au rang de grande métropole européenne, ses successeurs ont acté l'abandon de tout projet d'immeuble de grande hauteur dans le premier quartier d'affaires français en dehors de l'agglomération parisienne.Le nouveau projet, "clairement orienté vers les habitants", selon le président de la métropole Bruno Bernard (EELV), réduit de 100.000 mètres carrés les constructions prévues dans le quartier, dont 85.000 m2 de bureaux. Il reste néanmoins encore 250.000 m2 de bureaux à livrer d'ici 2030, précise-t-on à la métropole.Le volume de construction de logements est globalement maintenu - 92.000 m2 restent à livrer - mais avec un poids accru de logements accessibles.De nouveaux équipements de proximité, notamment des crèches, ont été planifiés pour accompagner l'accroissement prévu de la population du quartier."Jusqu'ici, on parlait surtout de la +skyline+ de La Part-Dieu, de sa grande verticalité. Maintenant, on a retrouvé la terre et une dimension humaine", a relevé devant la presse l'adjoint à l'Urbanisme de la ville Raphaël Michaud.En particulier, "la forêt de tours" prévue au nord de la gare laissera la place à un espace vert, à des logements et des immeubles de bureaux de taille modeste.La nouvelle majorité municipale et métropolitaine, avait pris acte dès son arrivée au pouvoir il y a un an, de l'irréversibilité de grands projets en cours qui vont transformer profondément le quartier: modernisation du centre commercial, refonte de la gare, édification de la nouvelle tour ToLyon et reconstruction de l'ancienne tour EDF.Elle entend toutefois mettre sa patte sur le verdissement du quartier, avec un accroissement sur le mandat de 77% du nombre d'arbres et de 25% des surfaces "dégoudronnées". Avec une accélération prévue pour un éventuel deuxième mandat. De même, les itinéraires cyclistes vont être doublés sur la période.Le foncier des principaux espaces verts prévus appartient toutefois à des tiers, comme l'Etat ou France Télévisions, ce qui augure de discussions "pas simple", a concédé Béatrice Vessiller, vice-présidente chargée de l'Urbanisme à la métropole.Une donnée qui explique notamment que les premières réalisations des Verts ne devraient se concrétiser qu'en toute fin de mandature.Ce changement de cap s'effectuera "dans une équation économique identique", les "investissements lourds prévus étant maintenus", en dépit de la réduction des droits à construire, a indiqué M. Bernard.
Il y a 3 ans et 361 jours

L’industrie du ciment face à un virage bas carbone très serré

La filière ciment béton réaffirme sa trajectoire de décarbonation en phase avec la Stratégie nationale bas carbone (SNBC) et demande une révision des normes de calculs de la construction béton.
Il y a 3 ans et 361 jours

L'Association Qualitel présente le 1er État des lieux du logement des Français

Réalisée sur un échantillon de 1.000 logements, associant mesures et observations, cette étude permet de comprendre comment l'habitat a évolué au fil du temps et à quoi il ressemble aujourd'hui. Verdict : « Bien, voire très bien sur certains points, mais peut encore mieux faire sur d'autres... ». Focus sur quelques enseignements de ce nouveau Rendez-Vous QUALITEL du Logement*.D'avant-guerre à nos jours : comment les logements français ont-ils évolué au cours du dernier siècle ?Au fil des dernières décennies, les logements français ont évolué, notamment en termes de configurations et d'aménagement. Ainsi par exemple :Un extérieur... absolument, y compris dans l'immobilier collectif : plus d'1 appartement sur 2 (54%) est aujourd'hui équipé d'un balcon et / ou d'une terrasse. En moins d'un siècle, la proportion des appartements avec extérieur a ainsi été multipliée par 3 ! Et l'accès à l'extérieur se joue aussi... par la fenêtre : en maison par exemple, la surface vitrée a gagné 2,1m² depuis l'avant-guerre, atteignant, depuis 2009, une moyenne de 6,2m² (4,9m² dans les appartements de moins de 10 ans, soit 1,7m² de plus qu'avant-guerre).Toujours moins de rangements : de la cave au grenier, en passant par le placard intégré, les espaces facilitant stockage et rangements disparaissent progressivement. En un siècle, la part des logements possédant une cave a ainsi été divisée par 12 et celle des logements possédant un grenier, par 3,5. Une perte d'espace non compensée par les placards intégrés : seuls 49% des logements récents sont équipés de 2 placards intégrés ou plus (41 % en appartement et 60 % en maison).Moins d'appartements traversants : 50 % des appartements de plus de 10 ans sont traversants, contre 32 % des plus récents. D'une conception plus contraignante, ils sont souvent moins économiques pour le projet et donc moins privilégiés.Côté salle de bain :Douche ou baignoire, la maison n'a pas choisi : 1/4 des maisons possède au moins une douche ET une baignoire, contre 6 % seulement des appartements. Globalement, le duel est néanmoins remporté par la douche, qui équipe aujourd'hui 61% des logements. Plus gourmande en eau et en surface, la baignoire, présente dans 56% des logements, perd quant à elle du terrain depuis une dizaine d'années.Manque de fenêtre... et d'eau chaude : 37% des salles de bain ne possèdent pas de fenêtre. C'est, logiquement, d'autant plus vrai dans les appartements : seuls 38% possèdent une fenêtre dans la pièce humide v/s 81% pour les maisons. Côté eau chaude, la salle de bain peut également encore mieux faire : pour 41% des logements, l'eau chaude à température idéale de 38° met plus de 30 secondes à arriver dans la salle de bain principale, soit un gaspillage annuel moyen de 7 665 litres d'eau.Isolation & chauffage : la transition écologique est-elle en marche ?Le logement s'adapte progressivement au grand défi du siècle : le réchauffement climatique. Sous l'impulsion des réglementations successives, l'isolation thermique s'est généralisée, les EnR commencent à se développer... Ces évolutions devraient s'intensifier et s'accélérer avec la RE 2020. Dans le détail :En maisons, énergies fossiles en voie de disparition, énergies renouvelables en amorce : le nombre de logements chauffés au gaz a été divisé par 2 et le fioul a été banni des constructions récentes. A l'inverse, les pompes à chaleur et l'électricité se sont démocratisées.Les EnR tendent à se développer : elles représentent aujourd'hui 8 % des modes de chauffage dans l'individuel, 10% des maisons sont équipées de chauffe-eau thermodynamique ou solaire , 25% des plus récentes sont nativement équipées en énergies renouvelables v/s 7% des plus de 10 ans, etc.A partir de 1980, l'isolation devient le standard et tend vers la systématisation : 100% des logements construits après 2009 sont isolés thermiquement. Contribuant également à une isolation performante, le double-vitrage est aussi devenu la norme : 91 % des logements construits avant 1979 en sont équipés ... alors même qu'il ne s'est popularisé qu'à la fin des années 1970. Aujourd'hui, 94 % des logements sont équipés en double ou triple vitrage.Des volets à toutes les fenêtres ... ou presque : 8 logements sur 10 sont entièrement équipés d'occultations, dont 54 % par des volets roulants.Des progrès restent à faire : par où commencer, sur quoi insister ?Dans certains domaines, le logement peut encore mieux faire. L'Association QUALITEL engage ainsi les acteurs du secteur à poursuivre leurs efforts sur différents points d'amélioration, parmi lesquels :L'humidité et les moisissures associées : certes moins nombreuses avec la ventilation devenue la norme dans les pièces humides, les moisissures jouent toujours les troubles fêtes : près d'1 logement sur 5 présente des moisissures visibles à l'œil nu, dans les salles de bain, mais aussi dans les chambres. Dans ces dernières, le taux d'humidité est particulièrement élevé : 3 logements sur 10 présentent un taux d'humidité supérieur à 60% dans les chambres (v/s 55% recommandé par les médecins).La sécurité contre les vols et intrusions : la porte reste la faille des logements français en matière de sécurité. Dans 4 logements sur 10, cette porte présente moins de 3 « vrais » points de fermeture, minimum requis par les assurances. Et quand la porte est infranchissable, le cambrioleur passe par la fenêtre . Or, en rez-de-chaussée, seulement 1/3 des logements ont des fenêtres équipées de barreaux ou d'occultation.L'adaptation des immeubles aux personnes âgées et handicapées, qui progresse encore trop lentement : 2 bâtiments résidentiels collectifs sur 3 ne disposent pas d'ascenseur. Et quand il y en a un, 1 habitant sur 5 doit franchir des marches avant de l'atteindre. Des contraintes problématiques au quotidien, pour tous ceux qui souffrent de perte d'autonomie. 60% des Français se disent d'ailleurs insatisfaits de l'adaptation de leur logement aux personnes handicapées.L’État des Lieux du logement des Français en chiffres :1000 logements représentatifs du parc français étudiés100 indicateurs (température, taille des fenêtres, ventilation, chauffage, isolation, etc.)75 enquêteurs mobilisésEnquête réalisée par IPSOS pour l'Association QUALITEL, du 23 mai au 26 juillet 2019Disponible en téléchargement à cette adresse.
Il y a 3 ans et 362 jours

Arcueil : Eiffage Construction a livré le projet Green Oak

L’immeuble Green Oak, à Arcueil, vient d’être livré par Eiffage Construction.
Il y a 3 ans et 362 jours

Le gagnant de l’Innov Day TP est…

Les lauréats et le gagnant du concours Innov Day TP (2e en partant de la droite). [©Rodolphe Saveureux] Après une première édition en 2017, Innov Day TP, concours de l’innovation dans les travaux publics, est revenu en 2021 en version 100 % digitale. Ce concours est organisé par le cluster Indura, la FRTP Auvergne – Rhône-Alpes et Innov’Infra, hub de compétitivité pour l’aménagement et les infrastructures. Près de 46 500 votes en ligne ont été comptabilisés et c’est un concours de présentation qui a départagé les 9 lauréats dans les catégories “Transitions numériques et robotiques”. Et “Sobriété énergétique”, enfin “Green technologies”. Pour chacun de ces univers, un gagnant a été désigné, dont un lauréat pour l’ensemble de ce concours.  Ainsi, c’est Chab qui s’est distingué à ce niveau, remportant le trophée “Green technologies” et le concours. Basée à Saint-Romain-de-Popey (69), l’entreprise a conçu des chaussettes à béton répondant aux besoins de mise en place de pieux dans des zones meubles ou en présence de cavités karstiques. Chab est née de l’union de trois industriels : Balas Textile, CTMI et SMB Bord Côte, en collaboration avec l’Insa Lyon. « Chab change la donne pour les fondations profondes et participe à des techniques de construction beaucoup plus propres », souligne Olivier Balas, président de Balas Textile. Ainsi, ces chaussettes à béton remplacent les caissons en acier par une solution textile légère et facile à utiliser. Cette dernière offre le même niveau de qualité, réduit les coûts, les retards et les risques. Elle permet la réalisation de pieux en évitant toute pollution. Et ce, avec un niveau de manipulation simple et en toute sécurité. Cette solution offre une réduction importante de l’empreinte carbone et une productivité accrue quel que soit le terrain. Ceci, pour un coût très inférieur par rapport à celle employant des tubes acier. Olivier Balas sera récompensé par une visibilité nationale lors de la Rencontre annuelle des travaux publics de la FNTP en février 2022. Lire aussi :Innov Day TP, 50 innovations de travaux publics “Transitions numériques et robotiques”La start-up PaintUp propose son robot capable de nettoyer, décaper et peindre grâce à un bras robotisé porté par un chariot télescopique rotatif. L’entreprise est installée à Villefranche-sur-Saône (69). “Sobriété énergétique”NGE Fondations de Saint-Priest (69) a mis au point des écrans forestiers permettant d’éviter la réalisation d’ancrages forés. Ce qui réduit les travaux d’abattage et le préjudice à l’environnement associé. Les 3 gagnants participeront à la 6eédition du salon Espace BTP du 1erau 4 juillet, au Parc des Oiseaux de Villars-les-Dombes (01).
Il y a 3 ans et 362 jours

La Fondation Abbé Pierre exhorte le gouvernement à agir maintenant pour éviter les expulsions locatives

Dans un entretien à l'AFP, Christophe Robert appelle de ses vœux la mobilisation de tous les acteurs du secteur et annonce la mise en place d'un système de veille et d'alerte pour s'assurer de la mise sous protection des 30.000 ménages menacés d'expulsion.QUESTION : Vous avez demandé, en vain, la prolongation de la trêve des expulsions locatives qui prend fin ce mardi. Regrettez-vous la décision du gouvernement?REPONSE : "On a fait cette demande parce que la situation sanitaire, sociale et économique reste très dure et parce qu'on est dans une phase qui va être périlleuse dans le sens où 30.000 ménages sont potentiellement menacés d'expulsion, c'est énorme, on n'a jamais connu ça.Il nous semblait que le meilleur moyen d'éviter les catastrophes sociales c'était de prolonger encore la trêve mais en la mettant à profit pour accompagner les personnes vers d'autres solutions de logement, malheureusement ça n'a pas été retenu.Maintenant l'énorme enjeu c'est que des solutions de logement alternatives soient proposées avant de prononcer l'expulsion manu militari, et qu'en cas de difficultés dans certains territoires, les familles puissent être maintenues dans les logements en dédommageant les propriétaires simultanément, le temps de trouver une solution.Q : Le gouvernement s'est d'ores et déjà engagé à échelonner les expulsions et à trouver une solution de relogement ou d'hébergement. Est-ce suffisant?R : "Le fait de dire « il faut trouver au maximum des solutions de logement alternatives pour les personnes menacées d'expulsion », ça c'est une bonne chose mais il y a une fragilité forte dans le fait de dire « s'il n'y a pas de logement, ce sera un hébergement ».Le secteur de l'hébergement d'urgence est saturé. On a certes ouvert 43.000 places depuis mars 2020 et ces places vont être maintenues jusqu'en 2022, c'est une bonne nouvelle mais on ne va pas continuer à mettre des personnes dans de l'hébergement, ce n'est pas satisfaisant. Vous sortez d'un logement, vous avez vos meubles, vos lits, vos trois gamins, qu'est-ce que vous faites de vos meubles ? Et l'hébergement c'est pour combien de temps ? Trois jours ? Une semaine ? Un mois ? Et après qu'est-ce qu'il se passe?L'autre fragilité c'est de dire que tout dépendra de l'offre disponible localement, ce qui fait qu'un préfet peut se dire « j'applique bien la circulaire en proposant un hébergement ».C'est la raison pour laquelle nous allons mettre en place avec d'autres associations un système de veille et d'alerte pour nous assurer qu'il y a bien une logique de protection et pour repérer les endroits où il y aurait des problèmes et où il serait nécessaire de recadrer le tir par rapport aux consignes gouvernementales.Q : Faut-il s'attendre à une nouvelle hausse sans précédent des expulsions locatives dans les années qui viennent?R : "Tout dépendra de la capacité ou non du gouvernement à déployer une politique d'anticipation pour qu'il n'y ait pas des dizaines de milliers de ménages qui se retrouvent au fil des mois en situation d'impayés avec des expulsions dans deux ans et demi, trois ans.C'est la bombe à retardement sur laquelle nous avons alerté en début d'année et qui nous inquiète énormément. L'équation est simple : vous avez une augmentation du nombre de demandes de RSA, une hausse très importante du chômage, vous avez des personnes qui n'ont pas forcément été couvertes par les aides de l'État depuis un an, qui voient leurs ressources très fortement diminuer et qui vont se retrouver en difficulté de paiement.C'est maintenant qu'il faut agir, dans huit ou dix mois ce sera trop tard. L'enjeu c'est la mise en dynamique de tous les acteurs dans tous les territoires, c'est de mettre autour de la table, sous l'égide du préfet, les huissiers les bailleurs sociaux, les bailleurs privés, les associations, les équipes de travail social, les CAF etc. Et se fixer des objectifs."Propos recueillis par Marine PENNETIER
Il y a 3 ans et 362 jours

10e édition du Forum International Bois Construction

La 10e édition du Forum International Bois Construction se tiendra du 15 au 17 juillet 2021 au Grand Palais Ephémère, sur Le Champs-de-Maris à Paris. Un événement exceptionnel, réunissant la filière forêt-bois-construction autour de la thématique : La construction biosourcée pour bâtir un avenir. Un programme riche et un dispositif inédit pour le Forum. Pendant ces trois jours, vous pourrez retrouvez les ateliers thématiques suivant : L’association du biosourcé et du géosourcé La construction bois et la bio-économie circulaire Le bois au Village des Athlètes La reconstruction de Notre-Dame de Paris Les surélévations Le CO2 Le charpentier La mixité bois acier-béton Le domaine hospitalier Les crèches Le LVL Le luxe Temps forts également avec l’annonce des lauréats du Prix National de la Construction Bois et des Press International Award Wood Architecture le jeudi 16 juillet à partir de 18 heures. À noter une ouverture au grand public avec deux débats citoyens le 17 juillet à 18h et à 19h : 1/ L’économie circulaire dans l’aménagement : mythe ou réelle demande des acheteurs publics et privés organisé par Les Canaux 2/ La jeunesse interpelle la filière forêt-bois organisé par FIBois Île-de-France en partenariat avec Les Nuits des Forêts et Le Monde Pour la première fois toutes les conférences, traduites en français et en anglais, seront filmées en temps réel et accessibles en livestream partout dans le monde. Retrouvez en détail le programme des conférences de l’édition 2021 ©Artbuild • La scénographie du Forum vers une démarche au bilan carbone le plus neutre possible Avec une mise en place d’une démarche éco-responsable et éco-conçue, c’est une première en France en : concevant et développant des stands en 100 % bois français en hêtre et peuplier; imaginant un auditorium éphémère qui sera la salle plénière, démontable et réutilisable. créant avec l’agence AAVP Architecture un mobilier avec des matériaux recyclés et de réemploi à partir de 1200 portes de l’ancien Hôpital Saint-Vincent-de-Paul (Paris 14°). Ce mobilier sera vendu aux enchères à la fin du Forum. installant une borne à l’entrée qui permettra de calculer en deux minutes l’empreinte carbone de chaque visiteurs, congressistes et exposants qui pourront compenser leurs émissions en CO2 en plantant un ou plusieurs arbres. • Les nouveautés 2021 Cette année encore, le Forum se renouvelle et proposera de nouvelles expositions : Grande exposition sur la reconstruction de la Charpente de Notre-Dame de Paris ADIVbois et Les Canaux : deux espaces de vie : L’un est l’espace presse autour des trois prototypes ADIVbois et d’une scénographie imaginée par Appelle Moi Papa, studio de graphisme et direction artistique basée à Nantes L’autre est celui des Canaux installé devant le grand écran de l’Auditorium Ephémère Un espace filière forêt-bois de 185m2 imaginé par le CNDB et le Studio DAAO, valorisant la diversité des essences, des savoir-faire et des possibilités qu’offre le matériau bois : Un espace ADIVbois avec Les Tours en hauteur Un espace Ameublement Français avec Les Huttes Un espace France Bois Forêt + FIBois France avec Les Cabanes Espace Filière forêt-bois ©CNDB Le Plateau TV Bati-Journal Pour cette édition, Bati-Journal, avec le soutien de l’interprofession nationale France Bois Forêt en partenariat avec les organisateurs et le magazine Wood Surfer sera présent avec un dispositif exceptionnel : un plateau TV au cœur du Totem, réalisé par France Douglas, La Fabrique Collective et les Compagnons du Devoir. Les émissions réalisées et animées par Stéphane Miget, journaliste spécialisé construction-bâtiment, reprendront les conférences du Forum et toutes les vidéos seront à retrouver dès le 15 juillet sur la chaîne YouTube de Bati-Journal et sur les sites partenaires de l’animation. Plateau TV Bati-Journal - Forum Bois Construction 2018 Rendez-vous donc dès le 15 juillet au Forum Bois Construction à Paris > Inscriptions
Il y a 3 ans et 363 jours

Les chaussettes à béton CHAB remportent l'InnovDay TP, concours de l'innovation dans les Travaux Publics

La finale s'est déroulée mardi 25 mai 2021 à Lyon dans les locaux de la profession, en présence de Pierre Berger, Président de la FRTP Auvergne-Rhône-Alpes, Paul Galonnier, Président du Cluster INDURA et de Pierre Rampa, Président du Hub Innov'Infra.Les autres innovations gagnantes d'InnovDay TP sont le robot de traitement de façade PaintUP présenté par Romaric Gomart, PDG fondateur de PaintUP, basée à Villefranche-sur-Saône (69) dans l'Univers Transitions numériques et robotiques, et les Ecrans forestiers NGE Fondation présentés par Clément Bois, Directeur développement de NGE Fondations, basée à Saint-Priest (69) dans l'Univers Sobriété énergétique. Les 3 gagnants récompensés par une visibilité régionale participeront à la 6e édition du Salon Espace BTP des 1, 2, 3 et 4 juillet au Parc des Oiseaux de Villars-les-Dombes (01). Olivier Balas sera quant à lui récompensé par une visibilité nationale lors de la Rencontre annuelle des travaux publics de la FNTP en février 2022 ainsi que l'a annoncé par visio Bruno Cavagné, Président de la FNTP.« Mariage du textile et des Travaux Publics, la solution CHAB Chaussette à Béton est née de l'union de trois industriels leader dans leur domaine, Balas Textile, CTMI et SMB Bord Côte, en collaboration avec l'INSA Lyon » Olivier Balas, Président de Balas Textile46.500 votes !Après quatre semaines d'une campagne 100% digitale et 46 500 votes du public, les 49 innovations en lice ont été sélectionnées par les internautes. Les 9 lauréats des 3 univers, Transitions numériques et robotiques, Sobriété énergétique et Green Technologies, ont ensuite été départagés par le jury d'Innov Day TP, composé d'experts économiques, universitaires et scientifiques, à l'issue d'un ultime concours de pitchs.De g à d : Pierre Berger, Président de la FRTP Auvergne-Rhône-Alpes, Romaric Gomart, PDG Fondateur de PaintUP, Clément Bois, Directeur développement de NGE Fondations, Olivier Balas, Président de Balas Textile et Paul Galonnier, Président du Cluster INDURAComposition du jury : Dominique Chevillard, Directeur Technique et de la Recherche FNTP, Thierry Michel, président de la Commission Développement Durable FRTP Auvergne-Rhône-Alpes, Emmanuel Bois, Secrétaire Général Coordonnateur des Ecoles des Travaux Publics d'Egletons, Jean-Louis Valentin Directeur de Centre d'Affaires BTP Banque, Virginie Willaert, Directrice stratégie et développement Egis Rail, Olivier Bedeau, Directeur général de l'Auxiliaire, Félix Darve, Président du Conseil scientifique d'INDURA, Béatrice Causse, Directrice déléguée PRO BTP.Les chaussettes à béton Chab : la solution textile qui change la donne pour les fondationsLa construction nécessite des fondations. Cela implique de forer dans le sol pour construire des pieux de béton armé, ancrés dans un sol solide en dessous. Avec la raréfaction du terrain facilement constructible, les constructeurs se tournent vers des sites où d'épaisses couches de sol instable recouvrent le sol.Pour que les pieux atteignent le substratum rocheux, profondément en dessous, jusqu'à 30 m, il faut utiliser des équipements lourds, coûteux et encombrants tels que des caissons en acier. Les pieux forés à caisson d'acier sont nécessaires lorsqu'ils sont confrontés à des couches creuses. Mais le béton peut se répandre et polluer le sol, lorsque l'eau pénètre ou que le sol grotte, ce qui entraîne des pieux défectueux qui doivent être reconstruits. Le caisson en acier présente trois inconvénients principaux :Coûteux : nécessite de la machinerie lourde spécialisée et une logistique complexe qui peut engendrer des retards ;Fort impact environnemental : empreinte carbone élevée de la production, du transport et de la manutention ;Dangereux à utiliser.« CHAB change la donne pour les fondations profondes et participe à des techniques de construction beaucoup plus propres ! » souligne Olivier BALASLes chaussettes à béton CHAB remplacent les caissons en acier par une solution textile légère et facile à utiliser, qui n'a pratiquement pas d'exigences logistiques.Cette solution offre le même niveau de qualité, réduit les coûts, les retards et les risques.Innovation : Mise en place de pieux dans des zones meubles ou en présence de cavités karstiques. Par sa capacité de déformation et sa résistance à la pression lors du coulage du béton frais, la solution Chab permet la réalisation de pieux en évitant toute pollution et ce, avec un niveau de manipulation simple et en toute sécurité. Elle permet, à coût très inférieur par rapport à la solution employant des tubes acier, une réduction importante de l'empreinte carbone et une productivité accrue quel que soit le terrain.Société basée à Saint Romain-de-Popey (69) : CHAB est née de l'union de 3 industriels leaders dans leur domaine, Balas Textile, CTMI et SMB Bord Côte, en collaboration avec l'INSA Lyon, lauréats R&D booster 2018. Leur volonté a été de créer une structure industrielle innovante régionale dans le domaine du TP à rayonnement national et international. Leur expertise et leur savoir-faire dans les techniques et l'assemblage de composite ont permis à CHAB de déposer un brevet en 2019 sur une solution « Chaussette à béton ». https://chab-solutions.com/ZOOM sur les 2 autres lauréats des Univers Sobriété Energétique & Transitions numériques et robotiquesEcrans forestiers, par NGE FondationsLes écrans forestiers permettent d'éviter la réalisation d'ancrages forés et scellés au coulis de ciment, et de réduire les travaux d'abattage et le préjudice à l'environnement associé.« L'utilisation du peuplement forestier devient l'élément structurel des ouvrages de protection pare-pierres » précise Clément Bois, Directeur développement de NGE Fondations, lauréat dans l'Univers Sobriété Energétique.Fondations porte son effort de recherche sur des solutions innovantes en lien avec ses objectifs de réduction d'émissions de gaz à effet de serre et du respect de la biodiversité.Les 780 collaborateurs de NGE FONDATIONS accompagnent depuis 30 ans leurs clients sur tous les projets de fondations, de confortements et de travaux spéciaux, pour 200 millions d'euros de chiffres d'affaires, sur l'ensemble du territoire français et à La Réunion. Leader français de l'activité de sécurisation contre les risques naturels, NGE FONDATIONS conçoit, teste et commercialise des produits : paroi AD/OC®, écrans pare-blocs et forestiers, paravalanches et solutions de protection spécifiques. https://www.ngefondations.fr/Robot PaintUP, par PaintupLe robot de traitement de façade PaintUP est capable de nettoyer, décaper et peindre grâce à un bras robotisé porté par un chariot télescopique rotatif. Au sol, un ordinateur et un laser permettent de positionner et piloter le robot avec une grande précision.« Au-delà d'une finition prémium et d'une plus grande productivité, ce système améliore la sécurité en diminuant le risque de chutes et réduit la pénibilité » souligne Romaric Gomart, PDG Fondateur de PaintUP, lauréat dans l'Univers Transitions Numériques et Robotiques.Le potentiel de la solution PaintUP va au-delà de son utilisation actuelle. Il est possible entre autres de réaliser des fresques monumentales à des prix très concurrentiels.Société basée à Villefranche-sur-Saône (69) : Après 3 ans de R&D associant une Université et des industriels, le premier prototype PaintUP est entré en production en août 2019 sur un nettoyage de façade de 1800m2. La réussite de ce premier grand chantier a montré que la technologie PaintUP était opérationnel. http://www.paintup.fr/
Il y a 3 ans et 363 jours

Watts protège les réseaux d’eaux intérieurs de la Tour Pacific à La Défense

Construite en 1992, la Tour Pacific est idéalement située dans le secteur Valmy au cœur du quartier d’affaires de Paris La Défense. Conformément au Code de la Santé Publique et au Règlement Sanitaire Départemental, l’immeuble tertiaire a été équipé, lors de sa conception, de dispositifs de protection afin de prévenir tout risque de pollution des réseaux d’eau intérieurs. Près de 30 ans après leur installation, le gestionnaire du bâtiment vient de remplacer l’intégralité des appareils avec des disconnecteurs hydrauliques Watts.   Un vaste maillage de canalisations D’une surface totale de plus de 55.000 m2, la Tour Pacific se compose de deux ailes (Est et Ouest) reliées entre elles par un pont. Haute chacune de 25 étages, elles abritent des espaces de bureaux et offrent de nombreux aménagements tels qu’un espace lounge, un centre de conférence ainsi qu’un restaurant avec terrasse situé au 23ème étage. A l’intérieur, le réseau de distribution d’eau est organisé selon trois utilisations : • l’alimentation en eau chaude /eau froide sanitaire de l’ensemble du gratte-ciel, • le circuit de sécurité incendie qui dessert les sprinklers présents dans les deux ailes du bâtiment, • l’usage technique et d’agrément comprenant le système d’arrosage automatique et le miroir d’eau du roof-top.   Tel que défini par le bureau d’étude d’hydraulique dès la conception de l’immeuble, chaque niveau, composé d’un vaste maillage de canalisations, est équipé de dispositifs de protection antipollution. Placés à différents points du réseau, ils évitent toute contamination de l’eau potable distribuée dans l’installation par des phénomènes de retour d’eau.   Fin 2020, l’entreprise habilitée à effectuer le contrôle annuel obligatoire des disconnecteurs, procédure destinée à vérifier le bon fonctionnement du dispositif antipollution, a constaté que certains appareils vieillissants nécessitaient une remise en conformité. Afin de simplifier le suivi de l’installation, en particulier la maintenance, Monsieur Derouiche d’OA7 Energy, chargé d’affaires travaux sur le site, a alors proposé au propriétaire du bâtiment d’uniformiser les produits en choisissant des solutions de la gamme antipollution de Watts.   Les disconnecteurs hydrauliques Watts au service d’une protection optimale des réseaux Après avoir réalisé des prises de mesure sur site et effectué une pré-sélection des modèles, OA7 Energy a pu compter sur le soutien technique de Watts. Comme l’explique Monsieur Derouiche : « Watts m’a conforté dans mon choix en m’assurant, d’une part que les disconnecteurs retenus correspondaient bien à l’installation de la Tour Pacific et d’autre part, que leur encombrement serait le même afin d’éviter d’importants travaux d’adaptation ».   Conformes à la norme EN12729, 8 nouveaux disconnecteurs hydrauliques à zone de pression réduite contrôlable de type BA ont ainsi été mis en œuvre pour protéger les réseaux d’eau intérieurs à raison de : • 2 disconnecteurs en diamètre 200 mm pour le circuit de sécurité incendie, • 2 disconnecteurs en diamètre 100 mm pour l’alimentation principale en eau froide/eau chaude sanitaire des 800 points d’eau répartis dans les 2 ailes de l’édifice, • 2 disconnecteurs en diamètre 65 mm et 25 mm pour l’alimentation en eau adoucie du bar, de la cuisine et de la laverie, • 2 disconnecteurs en diamètre 50 mm et 25 mm pour l’alimentation du circuit d’arrosage automatique et celle du miroir d’eau actuellement en cours de réalisation au niveau de la terrasse.   Grâce à l’accompagnement personnalisé du responsable technico-commercial de Watts, l’installation des nouveaux disconnecteurs a été réalisée sans encombre en février dernier. « Elle a nécessité l’intervention d’une équipe de 4 personnes pendant 4 jours et l’utilisation de matériel de levage pour manipuler notamment les plus gros modèles dont le poids avoisine les 140 kg », conclut Monsieur Derouiche. http://www.wattswater.fr
Il y a 3 ans et 364 jours

Mise en oeuvre de 2 conduits extérieurs Therminox culminants à 40 mètres de hauteur

Dans le cadre d’un marché de remplacement de chaudières, Gard Habitat a sollicité les services d’Engie pour le lancement et le suivi de ces travaux énergétiques.Pour ce faire, Engie a fait appel au savoir faire de l’entreprise de pose Carreau, laquelle s’est appuyée sur la solution de conduits isolés THERMINOX de CheminéesPoujoulat pour le raccordement de4 nouvelles chaudières gaz à condensation.Le partenariat engagé entre Carreau, fumisterie de bâtiment, et CheminéesPoujoulat, leader européen des conduits de cheminées et sorties de toit métalliques, a, une nouvelle fois, fait la preuve de son efficacité et de son adaptabilité aux particularités d’un chantier hors normes.Une collaboration historique galvanisée sur un chantier d'exceptionGard Habitat, propriétaire bailleur des tours d’habitat collectif G1 et G2 érigées sur la commune de Bagnols-sur-Cèze, a lancé en 2019 un appel d’offres concernant le remplacement de l’équipement de chauffage, du fait de sa vétusté et des fortes consommations d’énergie générées.Engie, en charge de ce marché, a mandaté l’entreprise de fumisterie Carreau pour assurer la préconisation de la solution de conduits à privilégier et sa mise en œuvre.Pour répondre au cahier des charges de son client, Carreau a sollicité Cheminées Poujoulat, partenaire fournisseur de longue date avec lequel le poseur a su nouer de solides relations tant humaines que techniques au cours de ces 12 dernières années.Au regard des éléments de ce marché relatifs à la mise en œuvre d’un chantier remarquable par la taille des conduits à traiter, l’entreprise Carreau a choisi la solution THERMINOX de Cheminées Poujoulat.« Le conduit THERMINOX s’est avéré la solution la plus adaptée compte-tenu de ses attributs esthétiques, de sa durabilité, de son adaptabilité à la technologie du gaz à condensation, de son efficacité et des conditions de sécurité qu’elle offre du fait de la contrainte de hauteurs à prendre en compte », décrit Lionel Abadie, chef d’équipe de la société Carreau.Des conduits culminants à 40 mètre de hautLa société Carreau a réceptionné les conduits le 12 octobre 2020 sur site. Le chantier a démarré avec des travaux de raccordement à un équipement provisoire, destiné à maintenir la fourniture du chauffage et de l’eau chaude sanitaire pendant toute la durée des travaux.Pour engager les travaux de pose des nouveaux conduits, la société Carreau a loué une nacelle absolument atypique, comptant parmi les plus longues nacelles ciseaux automotrices de France rarement employées, pour faire culminer les conduits à 40 mètres de hauteur.Trois collaborateurs de la société Carreau se sont ensuite attelés à installer les conduits THERMINOX en Inox de diamètre 300, à la façon d’un empilement de Lego, prenant appui sur un support mural fixé au mur de chacun des immeubles.Cet empilement a été entrecoupé par la pose de colliers muraux pour assurer le maintien des conduits à la verticale des tours d’habitation. Ces différentes phases se sont répétées maintes fois jusqu’à atteindre le sommet des tours.Ces conduits sont alimentés par 4chaudières gaz à condensation MCA conçues par De Dietrich, positionnées dans une chaufferie.Au total, les 3 poseurs ont œuvré pendant4 semaines, accompagnés tout au long du chantier par Cheminées Poujoulat.Le chantier s’est parfaitement déroulé dans le respect du calendrier fixé initialement.THERMINOX : un conduit performant et durable qui participe aux économies d'énergieLes économies liées à ces nouvelles chaudières peuvent atteindre 30 % à condition qu’elles soient associées à des conduits d’évacuation de fumée adaptés et performants.Pour optimiser le rendement de ces chaudières modernes, Cheminées Poujoulat a conçu, en relation avec les fabricants d’appareils et les installateurs, le conduit THERMINOX. Il répond parfaitement aux nouvelles réglementations thermiques (RT2005, RT2012, RE2020) qui visent à renforcer la performance thermique globale des bâtiments. Ses performances ont été validées par le Laboratoire CÉRIC.Fabriqué avec des matériaux de haute qualité, THERMINOX assure une étanchéité parfaite à l’air comme aux condensats.L’isolation haute densité à base de laine de roche optimise le tirage et évite la formation de condensation à l’extérieur du conduit.L’esthétique restant une priorité pour Cheminées Poujoulat, THERMINOX n’échappe pas à la règle : il bénéficie d’une ligne élégante (intégrant les colliers de sécurité) et de finitions soignées.Disponible en finition inox, peints ou cuivre, THERMINOX s’adapte au mieux à l’architecture du bâtiment.
Il y a 3 ans et 364 jours

Le formidable potentiel de décarbonation de la filière forêt-bois française

Pour le CNDB, l’investissement de 200 millions d’euros dans la filière forêt bois dans le cadre du Plan France Relance ainsi que l’annonce de 50 millions d’arbres plantés sur la période 2021-2022 sont les premiers pas amorçant une dynamique de développement voulue dans l’optique du Plan Ambition Bois 2030. Ce sont les prémices de l’édification d’une véritable souveraineté “forestière”. Pour conserver le potentiel d’absorption des forêts françaises, les capacités de stockage et de substitution octroyées par l’usage du bois, captant à eux seuls 25% des gaz à effet de serre nationaux, le renouvellement et l’accroissement de la ressource forestière doit dès lors devenir une priorité absolue. La forêt et l’usage du bois constituent deux compartiments indissociables garantissant une sécurité optimale en matière de capital d’absorption et de stockage de CO2. Associé à l’accroissement de la forêt via des plans de boisement, reboisement et d’adaptation,  le développement de l’usage du bois pourrait, d’ici 2050, participer à hauteur de 56% à la récolte de plus de 90 millions de m3 de GES par an. L’utilisation du bois dans la conception, la construction et l’aménagement présente donc un double intérêt : la prolongation sécurisée du cycle de stockage du CO2 et le remplacement de matériaux fortement émetteurs de GES par principe de substitution. Débutant par la plantation, la ressource suit un parcours logique d’étapes progressives en commençant par une distinction entre le bois d’œuvre, le bois de trituration, le bois industrie et le bois énergie. Bois d’œuvre, de trituration et industrie passent alors deux phases dites de première et de seconde transformation permettant d’obtenir les différents produits bois tels que des charpentes, du parquet, des meubles, etc. La nature du bois conforte le principe d’une reconversion quasiment perpétuelle de la ressource, si le produit fini est par essence recyclable, les acteurs de la transformation valorisent également les déchets de bois et produits bois connexes liés à leurs activités en les réinsérant dans le cycle de production. 
Il y a 4 ans et 2 jours

BatiIMMO, nouveau service du CSTB, disponible sur le portail Batipédia

Disponible sur BATIPÉDIA, portail d’informations et de services technico-réglementaires du CSTB, BatiIMMO permet ainsi à tout responsable, qu’il soit responsable technique, exploitation- maintenance..., d’établissements de type ERP, de locaux de travail ou d’immeubles d’habitation, de s’assurer de la conformité réglementaire du site dont il a la charge et de garantir la sécurité des usagers.Conformité réglementaire et assurantielle des bâtiments : responsabilités & obligationsEtablissements Recevant du Public, locaux de travail, immeubles d’habitation... : les bâtiments sont soumis à de nombreuses obligations réglementaires et assurantielles (APSAD), évoluant régulièrement. Il revient aux chefs d’établissements, bailleurs sociaux, administrateurs et propriétaires d’immeubles, etc., avec leurs équipes techniques notamment, de connaître et maitriser l’ensemble de ces obligations, de s’assurer de la réalisation, en temps et en heure, des contrôles et vérifications associés, et ainsi, de la bonne conformité du site dont ils ont la charge.En cas d’incident, si ces obligations réglementaires n’ont pas été respectées, leur responsabilité pourra en effet être recherchée et/ou les garanties assurantielles remises en cause. L’enjeu est donc potentiellement lourd humainement et économiquement.Pour aider les acteurs à répondre à cette préoccupation, le CSTB lance BatiIMMO, nouveau service de suivi de la conformité réglementaire et assurantielle.BatiIMMO : un service dédiéSolution-métier bénéficiant de l’expertise du CSTB en matière de veille et analyse continues de l’environnement réglementaire et assurantiel, dans le domaine de la construction, BatiIMMO permet, une fois renseigné :D’identifier les obligations réglementaires et APSAD, adaptées à la destination et au contexte de leur(s) site(s) / bâtiment(s) et équipements ;De planifier les contrôles et interventions périodiques à effectuer, et ainsi en réduire le coût direct ou indirect, en évitant par exemple l’immobilisation ou la perturbation du bon fonctionnement du site ;D’assurer le suivi / pilotage des actions à conduire pour répondre aux observations et réserves formulées lors des contrôles ;De rester informé, au quotidien, de l’évolution de la réglementation, pour anticiper et intégrer les nouvelles obligations de contrôles, dès leur publication.Des fonctionnalités essentielles pour :Assurer le bon fonctionnement des équipements installés ;Garantir la sécurité des usagers ;Sécuriser le chef d’établissement, bailleur, propriétaire ... au regard de l’engagement de sa responsabilité en cas de non-respect ou de non-conformité avec la réglementation, par méconnaissance ou par négligence.BatiIMMO : un outil simpleDisponible via licences annuelles, mono ou multisites, BatiIMMO s’utilise, pour chaque site à suivre, en 2 phases :1. Description du patrimoine :Description des principales caractéristiques du bâtiment (type, adresse, nombre d’occupants, date du permis de construire...) ;Inventaire et description (caractéristiques, date d’installation et des derniers contrôles effectués...) des équipements immobiliers installés, sélectionnés dans une bibliothèque organisée autour de différentes catégories¹ : Santé – Diagnostics – EnvironnementSécurité des locaux Sécurité incendieCirculation ÉlectricitéPlomberie – Réseaux d’eau intérieursChauffage – Ventilation – ClimatisationÉquipements Sous Pression (ESP) VRD – Espaces verts – Aménagements Jeux - SportsCette 1ère phase permet de générer un plan de surveillance réglementaire adapté au contexte du bâtiment suivi. C’est sur ce plan de surveillance que s’appuiera la 2ème phase, dédiée au pilotage & à la planification.2. Pilotage & planification :Via un tableau de bord synthétique, des alertespersonnalisées et une navigation fluide, l’utilisateur peutfacilement :Suivre les obligations afférentes à son site / bâtiment /équipements ;Planifier les contrôles et vérifications associés, les actions et travaux à réaliser en conséquence ;Renseigner au fur et à mesure les interventions effectuées ;Archiver des données pour conserver la mémoire numérique de la conformité réglementaire du bâtiment ;Etc.Le regard du CSTB :« Nul n’est censé ignorer la loi ». Mais de fait, il est souvent difficile, pour un chef d’établissement, un bailleur, un propriétaire... de connaitre et maîtriser parfaitement l’ensemble du cadre réglementaire qui concerne spécifiquement le parc, le bâtiment et les équipements immobiliers dont ils ont la charge. BatiIMMO les accompagne dans cette mission, les sécurisant ainsi face à leur responsabilité en matière de conformité règlementaire du site » - Patrick Morand – Directeur Éditions – Formations CSTBBatiIMMO sera disponible dès le 8 juin, sur le site de BATIPÉDIA :(www.batipedia.com)¹ Près de 150 équipements et plus de 1 000 obligations répertoriés- Possibilité d’ajouter un équipement ou une obligation manquante
Il y a 4 ans et 2 jours

Pigmentation des bétons : L’émotion de la couleur

Retrouvez cet article dans le n° 94 de Béton[s] le Magazine La teinte rouge des bétons de ce stade de tennis, à Paris, renvoie à la couleur des briques utilisées pour la construction des immeubles bordant les boulevards des Maréchaux. [©ACPresse] Certaines villes ont un charme fou. Soit grâce à leur unité architecturale, comme Paris, Venise ou New York. Soit grâce à leur unité “matériale“, celle apportée par les matériaux de construction utilisés. Telle la brique pour Ferrare (Italie) et Patan (Népal). Tels les colombages pour Dinan ou Ochsenfurt (Allemagne). Tel le grès des Vosges pour Strasbourg…  Si l’unité architecturale d’une ville est le plus souvent difficile à réaliser ou même à reconstruire, compte tenu des aléas de l’Histoire, ceci n’est pas vrai de l’unité “matériale”. Cette dernière est accessible partout, et au moindre coût, grâce au béton. Ce matériau est si facile à teinter… Aujourd’hui, il existe des “chartes locales de pigmentation” des bétons. Les ouvrages significatifs doivent les respecter. La coloration est opérée avec des pigments qui correspondent aux sources géologiques locales des granulats. Celles-là même dans lesquelles les Anciens ont puisé pour construire les premiers ouvrages de la ville et qui lui ont donné sa “couleur” originelle. Et dont les monuments – ceux qui sont en pierre de taille – portent l’empreinte et la teinte. Issue de la même origine, de la même roche En même temps, ces pigments complètent la performance des constructions en termes de durabilité, puisqu’un béton ainsi teinté n’a pas besoin d’être ravalé (tout au plus nettoyé). Il faut aussi avoir à l’esprit que le principal secret des bétons modernes se situe dans la continuité de la distribution granulaire. Autrement dit, ces bétons doivent contenir une petite partie de particules fines. Particules qui donnent sa couleur au béton. Du coup, les matériaux retrouvent une logique locale, qui associe à la fois la dimension culturelle – l’histoire – et écologique. Pour ce second cas, ils cumulent la réduction du coût du transport et de l’empreinte carbone qui y est liée. De quoi calmer certains opposants, puisqu’une telle utilisation permet aussi bien de relancer l’emploi dans une région, que de justifier la réouverture de certaines carrières locales pour la bonne cause. En effet, pour encore mieux marier les nouvelles constructions avec les ouvrages en pierre qui existent dans la ville, la meilleure solution est d’utiliser une poudre fine issue de la même origine, de la même roche, de la même carrière. De quoi permettre l’utilisation de produits fins, souvent délaissés.  En reprenant la coloration des pierres locales, le béton “disparaît” pour s’intégrer en totalité dans son environnement immédiat. [©ACPresse] Savoir jouer sur les textures pour nuancer les teintes Comme le rappelle le designer coloriste Jean-Philippe Lenclos, dans une interview accordée au site bybeton.fr : « Le rendu de la peau du bâtiment est plus valorisant, lorsqu’on teint le béton dans sa masse ». L’homme travaille sur la couleur depuis 1959 et a enseigné l’école des Arts décoratifs de Paris. La Corée du Sud lui a demandé de définir une charte couleur d’une ville nouvelle proche de Séoul. La Chine a utilisé son concept de “Géographie de la couleur” pour de nombreuses villes, dont Canton, Hanghzou et Pékin…  Un autre moyen de marier le béton et la pierre de taille est d’utiliser les diverses techniques de traitement de surface disponibles. On peut parler de sablage, de bouchardage, de désactivation, solutions très populaires pour les sols des espaces piétonniers, des places de village. Ces traitements permettent aussi de jouer sur la perception des teintes, donc de multiplier les nuances des bétons, d’en sortir du champ chromatique choisi ou imposé. La beauté vient de l’émotion. Et l’ancrage dans le local est un émoi profond, pour les autochtones comme pour les visiteurs occasionnels que sont les touristes. Après tout, ne viennent-ils pas découvrir une ville, un village pour ressentir cette émotion ?   1https://bybeton.fr/jean-philippe-lenclos-donner-des-couleurs-au-beton-des-villes Retrouvez l’ensemble du dossier : Que seront les bétons de demain ? Parmi les annonceurs de Béton[s] le Magazine n° 94
Il y a 4 ans et 2 jours

Rénovation de copropriétés : comprenez les clés d'un marché complexe en plein essor

BATIACTU BUSINESS CLUB. Jeudi 17 juin 2021, le Batiactu Business Club consacrera une visioconférence à la rénovation des copropriétés. De la prise de décision aux travaux, en passant par le financement, comment se saisir de ce marché porteur mais complexe ? Plusieurs acteurs viendront débattre : la Sem Ile-de-France Energies, le syndic Foncia et l'entreprise GTM (Vinci Construction), spécialisée dans la réhabilitation d'immeubles.
Il y a 4 ans et 2 jours

ACTIS TRISO-SUPER 12 sur les toits d’un immeuble haussmannien : quand isolation rime avec préservation du patrimoine

Véritables chefs d’œuvres architecturaux, les toitures mansardées des immeubles haussmanniens, revêtues de zinc et d’ardoise, sont classées aux monuments historiques de Paris. La rénovation de la toiture de l’une d’entre-elles, située dans le 17ème arrondissement, a fait l’objet de tout le savoir-faire de l’entreprise de couverture Le Méhauté, Compagnons du Devoir. Pour l’isoler par l’extérieur en préservant l’esthétique de l’ensemble, elle a choisi TRISO-SUPER 12 d’ACTIS, un isolant deux en un qui assure l’isolation thermique et l’étanchéité. Une solution d’isolation multicouches pour une esthétique préservée Vétuste et mal isolée, la toiture de 1200 m2 d’un immeuble haussmannien du 17ème arrondissement de Paris nécessitait une réfection totale pour apporter le confort, été comme hiver, à ses résidents. La copropriété a fait appel à l’entreprise Le Méhauté, Compagnons du Devoir, pour assurer les travaux. Celle-ci a opté pour TRISO SUPER 12 d’ACTIS, une solution d’isolation multicouches réflecteur qu’elle utilise depuis 15 ans en extérieur pour préserver l’esthétique des toitures. « A performance égale, cet isolant nous permet de ne pas trop surélever le toit comparé à un isolant plus épais. Après la pose du zinc, nous obtenons une épaisseur de 6 cm de plus que la toiture initiale » explique Cyrille Le Bris, gérant de l’entreprise. Une solution d’isolation extérieure deux en un Solution deux en un, TRISO-SUPER 12 d’ACTIS assure à la fois l’isolation thermique grâce à sa performance (R = 5,25 m2.K/W) ainsi que l’étanchéité à l’air, à l’eau et à la vapeur d’eau grâce à la membrane réfléchissante qui intègre un écran HPV. Elle permet ainsi d’économiser la pose d’un pare- vapeur, d’un écran de sous-toiture ou d’un écran pare-pluie. D’une épaisseur de 35 mm, TRISO-SUPER 12 bénéficie de 2 lames d’air naturelles créées par l’épaisseur du chevron d’une part, les liteaux de support de couverture d’autre part. TRISO-SUPER 12 est agrafé au chevron avant d’être tendu. Ses bords décalés avec languette adhésive débordant de 8 cm permettent d’effectuer un recouvrement des lés parfaitement étanche, tout en simplifiant la pose. « La performance et la mise en œuvre parfaite de cet isolant multicouches réflecteur réside dans la lame d’air qui doit être normalement de 3 cm. Pour assurer cette circulation d’air et éviter tout phénomène de condensation, nous re-chevronnons par-dessus en laissant une lame d’air d’au moins 4 cm. Nous posons également des chatières en quinconce, en partie haute de la toiture en zinc, comme le faisaient les anciens pour faire circuler l’air. Nous utilisons ce produit en isolation par l’extérieur depuis 15 ans et nous n’avons jamais rencontré de problème. Il faut simplement qu’il soit bien mis en œuvre ! » ajoute Cyrille Le Bris. Grâce aux performances de TRISO-SUPER 12 d’ACTIS, tous les résidents de ce bel immeuble du 19ème siècle, vont enfin accéder au confort de l’isolation moderne sans sacrifier au charme esthétique des toitures mansardées. A propos d’actis ACTIS est le leader européen sur le marché des isolants alvéolaires réflecteurs. Créée en 1980, ACTIS est une PME familiale française de 300 personnes, basée à Limoux en région Occitanie, qui a intégré le groupe Laurent Thierry en 2003. ACTIS possède 4 sites de production en France, certifiés ISO 9001 depuis 2005, et est présente dans 8 pays en Europe. ACTIS propose des solutions performantes et certifiées qui répondent à l’ensemble des besoins d’isolation : . pour tous les bâtiments (résidentiels et tertiaires) . pour toutes les applications (toitures, combles et murs) . en neuf comme en rénovation Les solutions ACTIS disposent de certifications délivrées par des organismes d’évaluation accrédités (ACERMI, BM Trada, CSTB, LNE…) https://www.actis-isolation.com/
Il y a 4 ans et 3 jours

Kone intègre des services connectés à l’ascenseur pour répondre aux besoins d’évolutivité et de durabilité des bâtiments

KONE annonce la mise à disposition de la première plateforme digitale de services connectés pour tous les ascenseurs existants, quelles que soient leurs marques. Un an après le lancement de sa gamme d’ascenseurs avec connectivité native, KONE DX, pour bâtiments neufs, KONE accélère la transformation de l’ascenseur vers un modèle serviciel.Désormais, les 590.000 ascenseurs du parc français peuvent être équipés de la plateforme digitale les transformant en ascenseur augmenté avec des services associés. Gestion des flux de personnes, appel de l’ascenseur à distance, écran interactif en cabine, musique personnalisable… ces services sont déjà une réalité et sont activables à tout moment, en fonction des besoins de l’immeuble.Cette révolution pour l’ascenseur prend tout son sens dans le contexte actuel où les bâtiments doivent s’adapter avec agilité pour répondre aux enjeux de durabilité, de nouveaux usages (télétravail, mixité…) et aux mesures sanitaires (déplacements des personnes, sans contact).KONE poursuit sa transformation digitale et monte en puissance sur les services connectésAprès le lancement en 2017 de la première offre de maintenance prédictive sur le marché et l’annonce du premier ascenseur nativement connecté fin 2019, KONE accélère aujourd’hui encore sur la transformation digitale des services proposés à ses clients et aux utilisateurs.Le groupe finlandais devient le premier acteur de son marché en mesure de faire évoluer tous les ascenseurs, sans distinction de marque, des bâtiments existants en plateforme de services connectés. Les 590.000 ascenseurs installés en France1 peuvent bénéficier de cette évolution. Via la plateforme digitale, l’ascenseur devient ainsi un véritable objet connecté avec un bouquet de services personnalisables et activables à la demande pour améliorer le confort, la sécurité et l’expérience utilisateur : c’est l’avènement de l’ascenseur augmenté.« On parle de mobility as a service : l’ascenseur, qui est le premier moyen de transport dans le monde, n’échappe pas à la règle ! Pour KONE, l’ascenseur est une plateforme de services, c’est un nouveau standard que nous avons introduit sur le marché. Aujourd’hui, ce standard concerne aussi le marché de l’existant : n’importe quel bâtiment peut devenir "smart" en connectant son ascenseur. KONE a toujours été pionnier sur l’innovation et propose, aujourd’hui, une solution pour anticiper les évolutions des bâtiments et les besoins de leurs utilisateurs. » explique Guillaume Fournier-Favre, DG de KONE France.KONE place plus que jamais les besoins des propriétaires, gestionnaires d’immeuble et leurs utilisateurs au centre de toutes ses réflexions pour améliorer l’expérience de déplacement. La fine compréhension des besoins présents et futurs est indispensable afin de proposer des services adaptés et même de les anticiper. L’ère du « smart and sustainable building » est maintenant à portée de main de tous les bâtimentsUne réponse apportée aux enjeux de réversibilité et durabilité des bâtimentsTout au long de sa vie, un bâtiment peut connaître un ou plusieurs changements de destination avec comme conséquence des évolutions dans les usages et besoins de ses occupants. Des résidences d’habitation sont susceptibles de se transformer en immeubles de bureaux modifiant la fréquentation et les flux de déplacement au sein de celui-ci. Les services dispensés doivent alors s’adapter à cette nouvelle donne.Ainsi anticiper les transformations et les besoins des futurs utilisateurs devient crucial pour inscrire le bâtiment dans la durabilité. La plateforme digitale KONE confère aux ascenseurs agilité et adaptabilité, à toutes les configurations et impératifs de mixité des usages, tout au long du cycle de vie du bâtiment.La plateforme digitale KONE DX : un écosystème de services innovants et sur-mesureGrâce à cette plateforme digitale opérée par KONE, les gestionnaires et propriétaires d’immeubles peuvent accéder à un écosystème de services innovants, activables sur simple demande, mais aussi connecter leurs propres applications déjà existantes pour leurs besoins de gestion du bâtiment. L’ascenseur devient un système ouvert communiquant avec d’autres services et applications du bâtiment, pour faciliter le pilotage des installations et améliorer la fluidité, le confort et la sécurité.