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Il y a 4 ans et 42 jours

Lauréats du concours d'architecture Archi Jeunes organisé par l'agence Valode & Pistre

Archi Jeunes habiter, demainAu-delà du choc sanitaire et économique qu'elle provoque, la crise du COVID change notre vision de nombreux aspects de la vie collective et individuelle. Elle aura un impact à long terme sur nos comportements et en particulier ceux liés à notre façon d'habiter. Simultanément à cette crise, la prise de conscience des effets du réchauffement climatique et de la pollution de la planète dus aux activités humaines est de plus en plus largement partagée par la population.Une des conséquences de cette pandémie devra être l'impérative prise en compte, dans la conception de l'habitat, des nouvelles attentes sanitaires, sociales et environnementales, qui se sont fortement révélées à l'occasion de cette crise.Les architectes Denis Valode et Jean Pistre pensent qu'il est nécessaire et utile d'ouvrir le débat à une nouvelle génération d'architectes, pour imaginer de nouvelles formes d'habitat. Conscients aussi des difficultés d'insertion professionnelle de cette jeune génération, directement impactée par les effets de la crise sanitaire (quasi absence de stages, formation à distance…), ils ont souhaité agir concrètement pour tendre la main aux talents de demain.En organisant le prix « Archi Jeunes », l'agence Valode & Pistre souhaite donner la parole aux étudiants en architecture en fin d'études ou tout récemment diplômés, qui entendent contribuer à cette évolution.Imaginer un habitat collectif innovantLe projet architectural attendu était une proposition d'habitat collectif innovant apportant des réponses au constat d'inadaptation des logements et de leur environnement, ainsi qu'aux aspirations apparues à l'occasion de la crise du COVID et du confinement en particulier : contradictions entre vie professionnelle, scolaire et familiale, entre vie collective et distanciation, entre confinement et aspiration au contact avec les éléments naturels et la végétation ainsi que la diffusion des préoccupations écologiques.Le contexte, la localisation, les caractéristiques urbanistiques (densité, dimensions etc.) et le choix entre réhabilitation et construction neuve étaient laissés à l'appréciation des candidats.Les lauréats1er Prix : ASSIA GHANI & MÉLINA NDOUMBEMaisons ouvrières, RoubaixIl s’agit d’un projet de régénération d’un quartier constitué de maisons ouvrières typiques des Flandres. L’objectif est de développer des extensions, de structurer des associations de volumes, de redévelopper l’usage des jardins pour définir un habitat adapté à de nouvelles conditions de vie.2e Prix : ZINEB BENNOUNA & MARYLOU MACHECOURTAu kêr de demain, DakarLe projet propose le développement d’un habitat urbain dans des quartiers les plus pauvres de Dakar. Constitué de groupement de logements assemblés autour de la ressource en eau avec des préoccupations d’autosuffisance et de convivialité. La mise en œuvre de la construction remet au goût du jour des techniques traditionnelles oubliées, comme la voûte nubienne en terre.3e Prix :DIAEDDINE KHALEDPrémalliance, GrenobleCe projet consiste en une réhabilitation/transformation d’un complexe tertiaire préfabriqué des années 70. Les espaces sont reconfigurés pour créer des logements panoramiques disposant de loggias et d’un espace non affecté.4e Prix :TELMO ESCAPIL-INCHAUSPEWhat goes up must come downLe projet consiste en la construction de deux extensions en forme de tours transparentes dans l’espace inutilisé d’une résidence d’habitat social à Paris. Les nouvelles constructions apportent la possibilité de vivre à l’extérieur, en relation directe avec les éléments.5e Prix :LOUIS GIBAULTTour circuit - Circuit courtIl s’agit du projet d’une tour constituée d’un empilement de maisons individuelles - une densification à faible emprise. C’est une nouvelle typologie d’habitat qui associe mixité, flexibilité et qui est pensée comme un écosystème.Les 10 nominésLivila Platania & Emiliano Frega, Re-inventer la banlieue: BagneuxMarie Oudon & Anouk Merleau, Parking des ChaumettesHojun Bae, Votre espaceSophie Barre & Valentin Excoffon, 12 rue BalluMélitine Girel Chatellard & Rémi Santin, SisteronAndre Gonzalo Morales Sotomayor, Logement 2.021, NancyPauline Peytavin & Amélie Le Bot, De la zone aux quartiersAline Portalier & Nicolas Debest, Tour ZehrfussAbderraouf Djema & Romain Guillou, Au-delà des métropolesOcéane Meyer & Émilie Tonin, Usines BrussonToutes les informations relatives au concours sont à retrouver sur le site : www.archijeunes.com
Il y a 4 ans et 45 jours

Lapeyre : la crainte "d'un redressement judiciaire généralisé" pour les salariés

CESSION. La vente de l'enseigne Lapeyre (groupe Saint-Gobain) au fonds d'investissement allemand Mutares fait des remous. Les syndicats craignent pour de nombreuses suppressions d'emplois, et un rapport commandé par les représentants du personnel des usines et de Lapeyre Services évoque "un risque de redressement judiciaire généralisé très élevé voire quasi certain (...)".
Il y a 4 ans et 47 jours

Jean Tschumi, l’architecte suisse de l’ombre

L’architecte et enseignant suisse, Jean Tschumi, a principalement œuvré après la Seconde Guerre mondiale, dans les années 1950. [©Wiki Commons] A la suite d’une donation exceptionnelle, la Cité de l’architecture et du patrimoine consacre sa première rétrospective à l’architecte suisse Jean Tschumi. Cette dernière aura lieu, du 12 mai au 19 septembre 2021, dans le XVIe arrondissement de Paris. Près de 150 dessins, maquettes, photographies, pièces de mobiliers, films historiques, œuvres d’art seront disponibles le temps d’une évasion culturelle. De ses débuts de décorateur, au concours pour le siège de l’Organisation mondiale de la santé, l’exposition permet de (re)découvrir toute l’ampleur d’une œuvre. Bien que peu connu du public français, l’art de Jean Tschumi se partage entre la France et la Suisse. Spécialiste des sièges sociaux d’entreprises, son nom est rattaché à une architecture de prestige, fonctionnelle et moderne. Dans cette première rétrospective française, une douzaine de projets de l’architecte seront présentés. Elle s’articule autour d’une série de thèmes architecturaux, dont l’urbanisme souterrain, l’architecture d’entreprise, l’artisanat du dessin ou encore l’importance du mobilier. Des débuts prometteurs, de Lausanne à Paris Né en 1904, dans le canton de Genève, en Suisse, Jean Tschumi est initié, dès son plus jeune âge, au dessin et au travail du bois. Dans les années 1920, il s’installe en France, afin de suivre une formation à l’Ecole nationale supérieure des beaux-arts de Paris. Il y étudie notamment au côté de l’architecte français Emmanuel Pontremoli. Simultanément, il s’inscrit à l’Institut d’urbanisme de l’université de Paris. Par la suite, l’architecte commence à travailler avec le designer de meubles et d’intérieur Emile-Jacques Ruhlmann. Puis, il conçoit l’aménagement intérieur de l’usine d’armement et de ferronnerie d’art Edgar Brandt, à Châtillon-sous-Bagneux (92). Il y occupe le poste de directeur artistique. Jean Tschumi collabore aussi à l’aménagement intérieur des cabines de luxe du paquebot Normandie. Les années 1930 et 1940 marquent un tournant significatif dans la carrière de l’architecte. Il fonde, à Paris son agence “Tschumi et Vermeil décorateurs” avec l’architecte suisse Henri Vermeil. Par la suite, Jean Tschumi rencontre Edouard-Marcel Sandoz, sculpteur, entrepreneur et mécène, avec lequel il se lie d’amitié et collabore sur plusieurs projets. L’entreprise de produits pharmaceutiques Sandoz devient le principal commanditaire de Jean Tschumi, multipliant ainsi les chantiers. Jean Tschumi et Edouard-Marcel Sandoz, une histoire d’amitié De 1951 à 1956, Jean Tschumi a réalisé le siège de la Mutuelle vaudoise à Lausanne. Le bâtiment est une mise en application du thème de la “corporate identity” voulu par son créateur. [©Christian-Richters]L’immeuble se compose de deux ailes et présente des façades de verre, reposant sur une série de piliers de béton. [©Christian-Richters] Après différents projets de décoration intérieure pour les sièges bâlois et parisiens, l’architecte réalise plusieurs laboratoires industriels et bureaux aux sorties de la Seconde Guerre mondiale. Dont ceux d’Orléans, entre 1945 et 1953, où il associe pilotis, claustras et brise-soleil. Cette réalisation structurelle en béton lui vaut une première reconnaissance dans la presse architecturale. Au cours de l’année 1943, sur recommandation de Sandoz, il est appelé à Lausanne pour former et prendre la direction de la nouvelle Ecole d’architecture et d’urbanisme de l’Université de Lausanne. Il occupe ce poste durant près de 18 ans, jusqu’en 1961. Grâce aux efforts qu’il a fournis sans relâche et à ses compétences inéluctables, l’école a acquis un rayonnement international. Parallèlement à sa charge d’enseignant et de directeur à Lausanne, l’architecte n’oublie pas son agence à Paris. Il continue d’y travailler sur plusieurs programmes. A partir de 1950, de grandes sociétés, telles que l’Assurance Mutuelle vaudoise, Nestlé et André Graines lui font confiance pour réaliser leurs sièges sociaux. Modernité, fonctionnalité et confort sont les maîtres-mots de ces projets. L’architecture de Jean Tschumi puise dans les leçons du classicisme structurel du spécialiste du béton armé, l’architecte Auguste Perret. Une carrière ayant marqué le Mouvement moderne Le siège de Nestlé, à Vevey, a été élaboré entre 1956 et 1960 par l’architecte suisse. Pour ce faire, Jean Tschumi s’est inspiré des œuvres de Le Corbusier. [©Christian-Richters] Au cours d’un voyage aux Etats-Unis, en 1952, Jean Tschumi s’inspire des nouveaux modèles américains et de leurs façades-rideaux diaphanes en métal et en verre. L’architecte les introduit notamment pour les sièges de la Mutuelle vaudoise accidents (1951-1956), à Lausanne, et de Nestlé, à Vevey (1956-1960). Tous deux ouverts sur le panorama du lac Léman. Jean Tschumi réalise d’autres projets tout aussi importants, à l’image de la construction de L’Aula-des-Cèdres, fine coque en béton précontraint. Cette dernière tient alors lieu d’amphithéâtre pour l’Ecole polytechnique et universitaire de Lausanne, où Jean Tschumi est responsable de l’enseignement de l’architecture. Il élabore cet édifice avec l’ingénieur François Panchaud, lui-même y enseignant le béton armé. De 1961 à 1962, Jean Tschumi construit, en partenariat avec l’ingénieur François Panchaud, l’Aula-des-Cèdres à Lausanne. Cette collaboration entre les deux hommes est à l’origine d’immenses voiles de béton reflétant le bâtiment. [©Christian-Richters] Mais aussi, des bâtiments pour la société Sandoz à Orléans (45), Noisy-le-Sec (93) et Saint-Pierre-la-Garenne (27) et des Laboratoires Choay. Ou encore de l’exposition nationale suisse de Lausanne, pour laquelle il imagine une spectaculaire tour en béton et aluminium de 325 m de haut. Malheureusement, cette dernière ne vit jamais le jour. En effet, la carrière de l’architecte suisse, loin d’être à son terme, s’achève brusquement à l’aube du 25 janvier 1962. Jean Tschumi, alors âgé de 57 ans, s’éteint au cours d’un énième voyage à bord du train Paris-Lausanne, terrassé par une crise cardiaque. Tout au long de sa vie, Jean Tschumi, tant par son exemple que par son influence de pédagogue, s’est efforcé de remettre Lausanne sur le droit chemin. Il a œuvré pour la renommée de sa profession et nul doute que ses œuvres resteront pendant encore de nombreuses années comme une démonstration du Mouvement moderne. « Il a su, dans une œuvre prématurément interrompue, allier ce qui est de notre temps – les matériaux, les techniques. Et ce qui est de tous les temps : le respect du cadre, du site, des besoins et des aspirations des hommes », a déclaré, peu de temps après sa disparition, son ami de longue date l’architecte français, Pierre Vago.
Il y a 4 ans et 47 jours

Legallais.com, désigné meilleur site E-commerce 2021

Après avoir été de nouveau labellisée Great place to work en novembre, reconnue Entreprise engagée par le Trophée RSE des experts comptables en décembre, Legallais a reçu le prix Or du meilleur site e-commerce BtoB en février.Organisé par BFM Business et la Fevad, Fédération du e-commerce et de la vente aux professionnels sur la base d'un sondage réalisé par Médiamétrie auprès de 1.645 entreprises françaises (collectivités locales, industries, professions libérales, artisans-commerçants, entreprises de services) ayant acheté sur un site de e-commerce B2B au cours des 1é derniers mois. Les notes tiennent compte de 5 critères : choix des produits, fonctionnement du site, rapport qualité/prix, politique RSE et service client. Legallais avait 15 concurrents parmi lesquels CDiscountPro, Manutan, JPG ou Téréva.Plus de 50.000 références accessibles dont le stock est affiché en temps réel, des configurateurs, des guides de choix ou encore un espace pro personnalisé pour gérer et optimiser le processus d'achats ( suivre devis, commandes et livraisons, créer un catalogue sur-mesure avec liste d'achats, tarifs négociés et personnalisés...) sont autant de services et d'atouts pour faire du site legallais.com un allier quotidien des 60.000 clients."Nous sommes très fiers de recevoir cette distinction, c'est tout le travail des équipes Legallais pour offrir à nos clients les meilleurs services disponibles sur internet, qui se voit récompensée aujourd'hui." Philippe Nantermoz, Directeur général
Il y a 4 ans et 48 jours

Haute-Savoie : André Roux muscle son usine plus vite, plus fort

Mobilisée sur le projet de village olympique, la menuiserie accélère son agrandissement grâce aux fonds de France Relance.
Il y a 4 ans et 48 jours

Construction Days : Les 3 J du matériel

Comexposium en partenariat avec le Seimat lancent les Construction Days. [©Comexposium] Comexposium vient d’annoncer le lancement d’un nouveau salon dédié au matériel de construction. Ainsi, les Construction Days se dérouleront sur 3 jours, du 14 au 16 septembre à Lyon (69). « C’est un mois propice pour se rassembler. Et Lyon est un territoire clef, dans la deuxième région économique française », explique Isabelle Alfano, directrice du pôle construction et agro-équipements chez Comexposium. Et Pascal Guillemain, président du Seimat, de poursuivre : « L’année 2020 a été plutôt bonne pour les fabricants d’équipements et de matériels de construction. Une tendance qui devrait aller à la hausse pour 2021. Il y a une vraie demande chez nos adhérents de rencontres et de rendez-vous. D’avoir un espace de visibilité. Nous sommes fiers et heureux de participer avec Comexposium à la création de ce nouveau rendez-vous professionnel dans notre univers. » Les Construction Days tourneront autour de 3 grands axes : les démonstrations, l’innovation et business. Une formule qui rappelle largement un autre salon de la marque… Un salon outdoor Les 3 jours du matériel se dérouleront principalement en extérieur. Laissant ainsi la place aux matériels de grandes tailles pour se déployer. Au total, 5 secteurs seront représentés : “terrassement démolition & transport”, “route, industries des matériaux & fondations”, “bâtiment & filière du béton”. Et enfin, “levage & manutention” et “nouvelles technologies”. « Après l’annulation d’Intermat, il fallait un rendez-vous pour remettre une dynamique dans nos secteurs et “pointer” les nouveautés, déclare Davy Guillemard, vice-président du Seimat. Les 3 jours constituent un format idéal qui nous permet aussi de cibler le Sud de la France, qui est difficile à amener en région parisienne. » Le nouveau salon sera aussi doté d’un village start-up et d’une zone d’expression. « Le cycle de conférences n’est pas encore établi, mais il abordera les enjeux actuels autour des matériaux décarbonés, des matériels hybrides ou électriques, de l’économie circulaire ou de la digitalisation », détaille Isabelle Alfano. Un rendez-vous en développement La commercialisation des Construction Days vient tout juste de commencer ce 3 février 2021. Les organisateurs estiment déjà que le salon accueillera près de 300 exposants et 10 000 visiteurs. Quelques marques ont déjà témoigné leur engagement à l’image d’Amman, Cifa, ou encore Imer et Putzmeister. Reste à savoir si les Construction Days seront un nouvel évènement qui perdurera dans le temps. Pour le moment, aucune périodicité n’a été annoncée.
Il y a 4 ans et 50 jours

Le Groupe Rockwool dévoile les résultats de son rapport développement durable pour l’année 2020

Parallèlement, l’entreprise a atteint ou dépassé deux de ses six objectifs intermédiaires de développement durable avec deux ans d’avance sur le calendrier fixé.Alors que les gouvernements et la société sont toujours aux prises avec la pandémie de COVID-19, une reprise économique plus « verte » revêt une importance encore plus grande. Le Rapport sur le développement durable 2020 du Groupe ROCKWOOL décrit en détail la contribution des produits de l’entreprise à la concrétisation de cette ambition. Il comprend également des informations sur les améliorations d’ordre opérationnel qui ont été apportées et les progrès accomplis pour soutenir la réalisation des ODD.La réduction de la consommation d’énergie et de l’utilisation des ressources est essentielle pour maîtriser le défi du changement climatique mondial. Les produits ROCKWOOL jouent ici un rôle majeur. « La réduction de la consommation d’énergie et le recours aux énergies renouvelables sont les moyens les plus efficaces pour décarboner la société en termes économiques. C’est pourquoi nous maintenons que la meilleure approche est d’utiliser moins de ressources et de repenser le reste dans une optique verte », déclare le CEO du Groupe ROCKWOOL Jens Birgersson.Jens Birgersson ajoute : « Nous sommes fiers que S&P Global Trucost ait une nouvelle fois classé tous nos produits comme positifs au regard des ODD, soulignant ainsi leur impact positif sur la réalisation de ces objectifs. Le développement durable est au cœur de nos activités. Nous suivons une approche vérifiable et basée sur des données concrètes pour la documentation de nos efforts visant à maximiser l’impact positif de nos produits et réduire le plus possible l’impact négatif de nos opérations.»À noter que le cabinet S&P Global Trucost a évalué plus de 15 000 entreprises dans le monde et classe le Groupe ROCKWOOL dans le top 10 de celles qui proposent des produits à l’impact positif.Un autre chiffre indique l’impact environnemental positif de l’entreprise : le Groupe ROCKWOOL estime que 95 % de ses revenus issus des produits d’isolation sont conformes à la taxonomie européenne définie pour les activités apportant une contribution positive à la lutte contre le changement climatique et, ainsi, à un développement durable en Europe. Dans l’optique de poursuivre la réduction de son empreinte carbone, en décembre 2020, le Groupe ROCKWOOL s’est engagé à suivre un plan de décarbonation à long terme, avec des objectifs vérifiés et validés dans le cadre du projet Science Based Targets initiative (SBTi).À propos des efforts du Groupe ROCKWOOL visant à réduire son impact opérationnel, Jens Birgersson déclare, « Au cours de l’année 2020, nous avons continué à renforcer la circularité de nos activités en réalisant ou dépassant deux sur six de nos objectifs avec deux ans d’avance sur le calendrier fixé. La réalisation de deux autres objectifs est par ailleurs en bonne voie ».Jens Birgersson pour conclure : « En dépit des défis qui restent à relever par la communauté internationale, nous sommes optimistes pour l’avenir. Les solutions à de nombreux défis de la planète existent déjà, notamment dans la construction. Le Groupe ROCKWOOL souhaite continuer à apporter une contribution à la création de communautés plus durables, plus saines et plus sûres, ainsi qu’à la mise en place d’une économie plus circulaire. »Les principales performances du Groupe ROCKWOOL en matière de développement durable en 2020 Sur l’ensemble de leur durée d’utilisation, les produits d’isolation de bâtiments ROCKWOOL vendus en 2020 permettront d’économiser 100 fois le carbone émis et l’énergie consommée pendant leur production.En décembre 2020, le Groupe ROCKWOOL a annoncé des objectifs de décarbonation mondiaux ambitieux, vérifiés par le projet Science Based Targets initiative (SBTi). En voici les grandes lignes :Réduction des émissions absolues de gaz à effet de serre de 38 % d’ici 2034 (par rapport à l’année de référence 2019)Réduction des émissions absolues de gaz à effet de serre sur l’ensemble du cycle de vie hors usine de 20 % d’ici 2034 (par rapport à l’année de référence 2019)En 2020, le Groupe ROCKWOOL a atteint deux de ses six objectifs de développement durable avec deux ans d’avance sur le calendrier fixé. Ces deux objectifs sont la réduction des déchets de production mis en décharge de 40 % (chiffre atteint par le Groupe ROCKWOOL : 50 %) et l’amélioration de l’efficacité hydrique des usines de 10 %.
Il y a 4 ans et 51 jours

Orange lance la 5G dans le premier port français, le Havre

L’ouverture du réseau 5G* a pour objectif d’améliorer l’attractivité et la compétitivité de la zone portuaire. Désormais, les entreprises bénéficieront de données en temps réel et pourront utiliser la robotique connectée, la maintenance en réalité augmentée ou encore rendre possible des interventions à distance. Ce nouveau réseau permettra également la réalisation de nombreux projets digitaux (IoT, Intelligence Artificielle, deep learning, edge computing) pensés dans le cadre du territoire d’innovation (TI) « smart port city ». Au cœur de ce projet, Orange Business Services a développé depuis deux ans la plateforme « Smart Data Services » auprès d’Haropa et de la Communauté urbaine Le Havre Seine Métropole qui permet de proposer des offres de services dans l’écosystème urbain et portuaire en valorisant la donnée.« La 5G est une révolution technologique majeure, et une opportunité unique pour l'ensemble des entreprises de la zone industrialo-portuaire et de la communauté urbaine de Havre Seine Métropole. Elle contribuera à améliorer leur compétitivité, leur efficacité, et leur souplesse. Elle sera aussi un puissant levier de la relance économique et de la transition énergétiques, deux défis majeurs pour notre société.»Stéphane Richard, Président Directeur Général d’OrangeLes démonstrations présentées au Port du HavreOrange a présenté aussi comment la 5G révolutionne les méthodes de travail. Grâce à la connectivité 5G, rapide et sécurisée, un smartphone accédera à un PC virtuel dans le cloud. Le professionnel pourra télécharger instantanément des documents, collaborer en temps réel en haute définition et utiliser des applications dont il a besoin. Orange a démontré comment la 5G sera utilisée par les techniciens. Un opérateur est assisté en temps réel grâce à l’utilisation de lunettes équipées de caméras exploitant les performances du réseau 5G. * 5G : accessible en France métropolitaine avec offre et équipement compatible, uniquement dans les zones déployées ( 200 communes couvertes à fin Janvier ). Débit maximum théorique de connexion en réception jusqu’à 2,1 Gbit/s dans les zones couvertes en 3,5 GHz avec agrégation des quatre bandes de fréquences 4G et jusqu’à 615 Mbit/s pour les zones couvertes en 2,1 GHz utilisée pour la 4G. Couverture 5G détaillée et différenciée selon les fréquences utilisées sur reseaux.orange.fr
Il y a 4 ans et 51 jours

Nora® by Interface lance deux nouvelles collections de revêtements de sol

Norament Castello : un design intemporel et élégantEn architecture, un design de qualité résiste au temps. Les monuments architecturaux parviennent à se réinventer au fil de l’évolution des styles et s’érigent en passerelle entre les époques. De façon similaire, norament 926 castello (revêtement de sol de 3,5 millimètres d’épaisseur) a été conçu pour offrir un design intemporel. Ses marbrures font écho aux élégantes surfaces en pierre calcaire, ce qui confère une touche de luxe classique à son environnement. Chaque dalle se veut unique et arbore une surface à deux tons et deux niveaux de brillance. La palette raffinée comporte huit teintes chaudes de gris et de beige.« Outre sa robustesse, norament 926 castello offre une absorption sonore et une ergonomie exceptionnelles. Notre matériau durablement élastique réduit les bruits d’impacts par rapport à d’autres surfaces souples ou sols durs. Cela permet de minimiser les bruits parasites et d’améliorer l’acoustique dans les intérieurs, ce qui représente un formidable avantage, en particulier dans les zones à fort passage. Par ailleurs, le sol offre un confort nettement plus élevé, aussi bien en position statique qu’en mouvement », explique Dirk Oswald, responsable de la gestion des produits et de la marque pour les gammes de nora. Norament 926 castello peut être installé de manière traditionnelle, à l’aide d’une colle liquide, mais existe aussi en version nTx (le revêtement est préencollé en usine) avec simplement un film de protection à enlever pour une pose encore plus rapide.Nora Kivo, un produit à l’esprit industriel et urbainLes plus belles idées architecturales puisent leur source dans des éléments authentiques et originaux. Les lieux de travail très créatifs ont tendance à préférer les hommages au passé industriel, selon la devise minimaliste « moins, c’est plus ». Une ambiance moderne et classique avec laquelle s’accorde norament 926 kivo. Son design aux grains irréguliers avec une surface à deux niveaux de brillance légèrement structurée est inspiré du béton et confère aux intérieurs un véritable esprit urbain et industriel. Le revêtement de sol s’adapte harmonieusement à tous les mélanges d’acier, de bois, de brique apparente et constitue un terreau fertile où germent librement des idées de décoration créatives. Le revêtement de sol de 2,7 millimètres d’épaisseur se décline en huit couleurs, du beige chaud aux tons gris-bleu froids.« Ce nouveau revêtement de sol en caoutchouc apporte de nombreux avantages et convient parfaitement aux espaces professionnels, comme les bureaux, les salles de conférence et les cafétérias. La qualité reconnue de nora et son apparence moderne s’associent ici pour créer un rendu industriel fonctionnel et spectaculaire », indique Dirk Oswald. À l’instar de tous les revêtements de sol commercialisés par Interface (moquette, LVT, rouleaux et dalles en caoutchouc), norament 926 castello et norament 926 kivo sont certifiés neutres en carbone grâce au programme Carbon Neutral FloorsTM, et cela sans aucun coût supplémentaire pour le client. L’usine de caoutchouc de Weinheim s’efforce en permanence de supprimer ou de réduire les émissions de CO2 et ainsi de diminuer davantage sa propre empreinte carbone. Les inévitables émissions de CO2 sont compensées par l’acquisition de certificats de réduction d’émissions, qui servent à financer des projets en faveur de la protection du climat.
Il y a 4 ans et 51 jours

LafargeHolcim entre au capital de XtreeE, dont il devient un des actionnaires de référence

Actionnaire d’XtreeE à hauteur de 20%, LafargeHolcim France devient administrateur et rejoint ainsi les Cofondateurs de l’entreprise, Vinci Construction Invest et le fonds d’investissement Shibumi International. Cette opération vise à renforcer l’association des savoir-faire techniques et de R&D entre les deux entreprises pour accélérer le développement et la commercialisation de solutions industrielles 4.0 pour la construction durable de bâtiments et d’infrastructures.L’impression 3D de matériaux pour la construction est en effet une des réponses à la nécessaire transition écologique de ce secteur économique. Elle permet de :limiter les quantités de matériaux utilisées grâce à la conception et à la fabrication numériques : jusqu’à moins 60% de béton en moins sur certaines réalisations ;mettre en œuvre de nouveaux matériaux imprimables structurels à empreinte CO2 réduite ; réaliser des éléments structurels complexes en béton imprimé à coûts et délais maîtrisés grâce à des solutions sur mesure ;réduire les nuisances des chantiers et d’améliorer la qualité des constructions, grâce à la fabrication hors-site.Ainsi, en prévision des Jeux Olympiques de 2024, le groupement Freyssinet / Lavigne & Cheron Architectes / Quadric / XtreeE / LafargeHolcim travaille déjà à la conception et la réalisation pour Plaine Commune Grand Paris d’une passerelle piétonne de 40 mètres franchissant le canal Saint Denis. Son tablier sera entièrement réalisé en béton imprimé 3D structurel, permettant ainsi de réduire de 60% les quantités de matière nécessaires et donc l’empreinte carbone de l’ouvrage.« La transformation écologique du secteur de la construction et plus particulièrement du béton passe aussi par la révolution numérique et les nouvelles performances environnementales qu’offre l’impression 3D. En renforçant notre partenariat stratégique avec XtreeE, un des leaders les plus innovants dans ce domaine, nous ouvrons un nouveau chapitre pour nos matériaux innovants et pour l’évolution des modes constructifs. »François Petry, directeur général de LafargeHolcim FranceXtreeE, développeur d’un réseau international pour l’impression 3D bétonXtreeE vise à accélérer en France et à l’international le développement d’un réseau d’unités industrielles d’impression 3D connectées.En effet, après son usine pilote de Rungis, un premier système opérationnel à l’École des Ponts ParisTech (France) et l’ouverture aux Emirats Arabes Unis en juin 2019 d’une deuxième unité de production, XtreeE a accéléré son déploiement en 2020 avec deux nouvelles unités, au Japon et aux États-Unis. Trois autres unités verront le jour en 2021. Ce réseau doit permettre à terme de produire efficacement, aux quatre coins du globe, des éléments de construction structurels sur mesure, sur la base de sa technologie.XtreeE pourra désormais bénéficier de la forte implantation internationale de LafargeHolcim, de ses capacités de R&D sur son site de L’Ile d’Abeau (France) et de la force de prescription d’un acteur leader dans les matériaux de construction innovants.« L’expertise de LafargeHolcim dans les bétons à haute performance, ainsi que ses savoir-faire sur toute la chaîne de valeur de la construction vont venir enrichir le développement national et international de notre réseau d’unités d’impression 3D connectées. Avec ce réseau, nos clients acquièrent non seulement la capacité de produire eux-mêmes, au plus proche de leur marché, mais aussi la maîtrise de la chaîne numérique, de la conception à la réalisation »Alban Mallet, CEO d’XtreeE
Il y a 4 ans et 51 jours

Lowcarbotys, la marque bas carbone du Cérib

Depuis plusieurs années, le Cérib travaille sur les bétons bas carbone. [©ACPresse] Impulsé par l’industrie du béton et les travaux menés avec l’IMT de Douai et d’Alès, le Cérib mène depuis plusieurs années des recherches autour du bas carbone. Véritable enjeu dans le domaine de la construction, la réduction des émissions de CO2 bouleverse la filière. Une réalité encore plus palpable, avec la publication des arbitrages de la future RE 2020. Afin de réduire l’impact environnemental des systèmes constructifs en béton, le Cérib a pu déterminer que les leviers matériau et process de production en constituent les éléments centraux. Tous ces travaux, innovations et savoir-faire bas carbone sont désormais concentrés sous la marque Lowcarbotys. Ils ont pour vocation d’être mis en œuvre avec les procédés de fabrication actuels sur les marchés du neuf et de la rénovation, et avec tous types de produits ou systèmes constructifs. Un travail sur le matériau et les process de production Plusieurs axes ont été explorés avec des objectifs concrets. Tout d’abord, diminuer de 50 % les émissions carbone du béton par rapport à une formulation opérée sur la base d’un CEM I. Et ensuite, garantir une performance à l’état frais, ainsi que les résistances mécaniques. La question économique du modèle à adopter, tant pour l’industriel et que pour le consommateur, a, elle aussi, son importance. Ceci, pour encourager la démocratisation de ces produits. D’un point de vue technique, les solutions Lowcarbotys permettent l’utilisation de liants bas carbone dans les bétons industriels, grâce à l’accélération de leur durcissement. Ces liants présentent une proportion réduite de clinker allant de 50 à 70 %, voire 100 % pour les technologies de rupture. Cette matière première est, le plus souvent, compensée par des éléments minéraux : additions calcaires, laitiers de hauts fourneaux, métakaolins… Des matériaux bénéficiant d’une empreinte plus favorable. Cependant, il existe un flou réglementaire autour de l’impact réel des laitiers de hauts fourneaux et de son allocation en CO2… Un triptyque vertueux L’utilisation de ces liants bas carbone en préfabrication est rendue possible grâce à l’action de certains leviers à la disposition des industriels. Il s’agit par exemple de la formulation du béton (activateurs, accélérateurs de durcissement, réduction d’eau). Mais aussi, du levier “process” relatif aux procédés de production en usine, tels que la cure thermique ou la vibro-compaction. Le Cérib indique qu’en termes de gain, la réduction de carbone peut atteindre jusqu’à 60 % pour des solutions suivant le spectre normatif actuel. Et jusqu’à 90 % de réduction pour des solutions de rupture. D’autres axes sont en cours de développement au sein du Cérib. L’objectif ? Optimiser au maximum le triptyque “performance, coûts, impacts environnementaux”. Toujours dans l’optique de rester compétitif, tout en répondant aux problématiques de l’économie circulaire et des différentes réglementations à venir.
Il y a 4 ans et 54 jours

Le SNFA publie le premier guide dédié à l'acoustique des façades rideaux à ossature aluminium

Ce guide a pour but d’accompagner l’ensemble des acteurs de la construction tels que les maîtres d’œuvre, architectes, bureaux d’études, entreprises, en vue d’orienter au mieux les choix techniques en phase conception, de bien appréhender les solutions techniques proposées par les entreprises et enfin de suivre la réalisation en phase chantier.Il concerne les façades rideaux et semi-rideaux, conformes au domaine d’application de la norme NF DTU 33.1, et constitue un outil pratique pour les professionnels de la construction de bâtiments tertiaires : bureaux, hôpitaux, établissements d’enseignement, résidences hôtelières ou étudiantes.Un guide pratique de référenceAfin d’aboutir à un ouvrage qui se veut didactique et reconnu par l’ensemble des acteurs, le SNFA a travaillé avec ses membres, puis a consulté plusieurs experts acousticiens de bureaux d’études, de bureaux de contrôles et de laboratoires.Ce guide comporte les informations essentielles avec de nombreux schémas et exemples rendant accessibles les problématiques acoustiques, souvent mal comprises et négligées.Les principes de l’acoustique du bâtiment sont présentés, ainsi que les textes fixant des exigences acoustiques réglementaires, normatives et de certifications d’ouvrage. Il est également expliqué comment la façade légère participe à la réduction des bruits extérieurs, ainsi qu’à la limitation des bruits intérieurs entre locaux. Enfin, des règles de conception simplifiées avec des ordres de grandeur permettent de mieux comprendre les moyens à mettre en œuvre.Le guide explique notamment que l’isolement des bruits extérieurs, provient essentiellement de la performance des vitrages, des ouvrants et du nombre de peaux de la façade (simple ou double peaux).Pour l’isolement aux bruits intérieurs, c’est plutôt l’ossature de la façade qui participe à l’isolement entre bureaux accolés ou entre étages. Pour traiter cette problématique, le choix de la nature de la façade, en grille ou en cadre, est primordial. Par exemple, la façade cadre, constituée d’éléments préfabriqués plus ou moins désolidarisés, permet d’atteindre les performances d’isolation acoustique les plus élevées.Enfin, le guide montre l’étendue des améliorations acoustiques des meneaux qui peuvent être réalisées en usine, comme l’insertion de laine minérale ou végétale, de tôles acier, de plaques de plâtre ou encore de matériaux visco-élastiques. Les jonctions avec les murs et les planchers constituent les points faibles du point de vue de l'isolement acoustique entre locaux et des solutions sont présentées au moyen de plusieurs exemples.Le guide est en accès libre sur https://www.fenetrealu.com/publications
Il y a 4 ans et 54 jours

OXYNOV PRO, le spécialiste du garde-corps Inox

OXYNOV PRO est un site e-commerce spécialisé dans les composants des garde-corps en Inox, à destination des professionnels. Vous y retrouverez plus de 5000 références en stock avec une promesse : livraison en 48h à 72h. Des prix en direct d’usine OXYNOV se présente comme le distributeur le moins cher dans ce secteur qu’est la quincaillerie en Inox pour garde-corps. Grâce à un circuit court en direct d’usine, les prix proposés par OXYNOV PRO sont hyper compétitifs. Tous les achats se font directement sur le site, ce qui réduit les coûts de distribution et permet donc de se positionner avec ces tarifs. Une qualité maitrisée Les produits proviennent de leur Allemagne basée en Allemagne et la qualité de l’Inox est régulièrement contrôlée afin d’être en conformité avec la norme européenne EN 10027. Ainsi, la qualité des matériaux et de leur production est complètement maitrisée. Garde-corps Inox pour intérieur et extérieur Le catalogue propose des pièces pour garde-corps en Inox 304 et 316 à installer soit en intérieur soit en extérieur. La qualité des matériaux proposés permet de fabriquer des garde-corps sécurisés, fiables et très durables pour un résultat esthétique. De nombreuses références en stock Plus de 5000 références sont disponibles en stock et livrables sous 48h à 72h.  Vous retrouverez une gamme complète de pièces détachées dans toutes les catégories de pièces de garde-corps en Inox : Tubes et mains courantes, Pinces, Poteaux et câblage… Un espace professionnel dédié Pour accéder aux prix préférentiels des produits et options, il faut d’abord se créer un compte professionnel et renseigner son numéro de SIRET. Suite à l’inscription, l’accès aux tarifs est donné ainsi qu’à toutes les données techniques (plans, notices, fiches techniques…). Ainsi, une remise permanente est accordée aux comptes professionnels Sur votre accès professionnel vous avez accès en direct à l’avancement et l’état de vos commandes passées sur le site. A qui s’adresse-t-il ? OXYNOV PRO s’adresse aux artisans, poseurs, quincailleries et autres professionnels de ce secteur étant à la recherche d’un fournisseur fiable de produits et d’accessoires de garde-corps en Inox de qualité à des prix très avantageux. Un catalogue PDF est téléchargeable sur le site ou en cliquant ici où retrouver toutes les références disponibles sur le site avec les prix de vente. Quelle différence entre Inox 304 et Inox 316 ? Deux types d’inox sont proposés : l’Inox 304 et l’Inox 316. Voilà ce qui les différencie : Inox 304 : c’est l’aluminium utilisé pour une utilisation en intérieur ou extérieur dans des conditions standards. Il est adapté aux usages extérieurs non pollués, c’est-à-dire non humide ou non exposé aux attaques extérieures. Inox 316 : c’est un Inox plus résistant que le 304 grâce à un complément en Mobylène (environ 2 à 3%). Ce type d’Inox est idéal pour les milieux dits humides ou pollués, comme aux abords d’une piscine ou dans les milieux salins. Ces deux types d’Inox sont résistants à la rouille car ils sont inoxydables. Des produits d’entretien existent pour ces deux types d’Inox afin d’éviter les problèmes de corrosion ou de rouille.
Il y a 4 ans et 55 jours

Feedback QVT & lumière naturelle au centre de l'usine K-Line Les Herbiers

Genèse d'un projet lumièreHistoriquement, les équipes K-LINE étaient déjà connaisseuses des prestations Bluetek bien avant 2020. En effet, elles avaient déjà travaillé avec le Groupe Briand il y a quelques années dans le parc industriel de la Plaine de l'Ain situé à Saint-Vulbas. Satisfaits du résultat, les décideurs K-LINE ont simplement reconduit des valeurs sûres en termes d'efficacité et d'organisation, c'est-à-dire les prestations de travaux collaboratifs entre l'entreprise de construction Briand et le fabricant poseur Bluetek.Un atelier qualité de vie au travail comme point de départ Comme beaucoup d'entreprises, la société K-LINE s'est investie ces dernières années dans une réflexion sur la Qualité de Vie au Travail. C'est dans cette thématique que s'est articulée l'un des ateliers QVT ; le bien-être passant aussi via une bonne qualité de lumière naturelle à l'intérieur des bâtiments. La proposition a été complétée de brise-soleils orientés permettant la suppression de l'effet de serre via une protection solaire largement dissocié du vitrage. C'est ainsi que le projet a été validé. Il allait améliorer les conditions de travail des salariés de l'usine vendéenne en leur apportant un éclairement tout neuf.Organisation et timing64 anciennes voûtes en polyester ont été déposées et remplacées par les équipes travaux Bluetek. Le service, basé à Ambert dans le Puy-de-Dôme, a mobilisé plus de 6 personnes. Ces travaux ont été réalisés pendant la fermeture estivale, soit les trois premières semaines d'août. La livraison des appareils a été scindée afin de respecter le temps de pose et éviter un stockage inutile. Les brise- soleils ont été posés courant septembre 2020. La globalité de la prestation a été largement félicitée par l'entreprise Briand.Bluevoûte Therm et Voile-Dôme : l'assurance d'un confort de travailLes 64 Bluevoûte ont été fournies avec sablières et grilles 1200 joules. Elles sont équipées d'un brise-soleil latéral ou longitudinal de type Voile-Dôme. L'une des voûtes est également équipée de 2 ouvrants pneumatiques de type Exuvoile. La toiture du bâtiment est ainsi devenue une opportunité majeure pour la diffusion d'une lumière naturelle optimisée. Elle favorise le confort de travail, en limitant la surchauffe estivale et l'éclairage artificiel. Elle permet donc de réaliser des économies d'énergies tout au long de l'année.Étude lumière post réalisationImplantationSur ce bâtiment de 23 770 m² pour 9,690 m de hauteur (à l'acrotère) ont été posés :Zone Est : 18 Bluevoûte dimensions 2,1 X 7,89 m + Voile-Dôme longitudinalZone Ouest : 45 Bluevoûte dimensions 2,095 X 10,54 m + Voile-Dôme longitudinalPetite zone : 1 Bluevoûte dimensions 2,154 x 10,46 m + Voile-Dôme latéralLes voûtes sont munies d'un remplissage en polycarbonate alvéolaire (PCA) épaisseur 16 mm incolore. Transmission lumineuse 33 %. Facteur solaire brut 0,12. Toutes les baies en façade ont une transmission lumineuse globale de 70 %.RésultatsL'installation d'éclairage zénithal, couplée à l'éclairage en façade, a été bien conçue. Elle permet d'atteindre une autonomie lumineuse naturelle supérieure à 50 % pour 300 lux d'éclairement entre 8 h et 18 h, avec une répartition de lumière globalement homogène.Le FLJ moyen de 2,8 % est atteint sur toutes les zones pour 60 % et plus d'autonomie lumineuse.Maître d'Ouvrage : K-LINE / Les Herbiers (FR-85)Contact : Marc Cotillon / Chargé de Travaux et MaintenanceTravaux : Briand / Les Herbiers (FR-85)Contacts : Cédric Girardeau / Chargé d'Affaire - Guerric Bruandet / Responsable Service TravauxFourniture lanterneaux Bluetek - Luynes (FR-37)Contacts : Ludovic Berthonneau / Responsable Commercial Régional BluetekDaniele Mariotti / Ingénieur Recherche & InnovationPose Bluetek Service Travaux - Ambert (FR-63)Contacts : Danièle Boyer / Responsable Activité Travaux - Marie Compte / Assistante Commerciale Travaux -Daniel Marel / Responsable Montage - Yannick Beal / Monteur
Il y a 4 ans et 55 jours

Acova modernise le process de traitement de surface de son usine historique de Vaux Andigny

Dans son unité de fabrication historique située dans l’Aisne, Acova, marque du groupe Zehnder, modernise le process de traitement de surface de ses radiateurs en acier afin de réduire leur impact environnemental et pérenniser son outil de production français. Un investissement de 3 millions d’euros au service de l’environnement… Dans le cadre de sa démarche RSE, Acova, fabricant français de radiateurs décoratifs et radiateurs sèche- serviettes dont l’usine historique est implantée à Vaux-Andigny, a entrepris, depuis quelques mois, la modernisation de l’ensemble du process de traitement de surface et de peinture, sans arrêt de la production. Représentant un investissement de 3 millions d’euros, celle-ci concerne : • le remplacement de la ligne automatisée de traitement de surface, fonctionnant initialement sur le principe de protection anticorrosion par cataphorèse, par un nouveau traitement basé sur l’autophorèse, une technologie innovante de protection anticorrosion beaucoup moins énergivore : consommation d’eau diminuée de 27% grâce à 3 cuves en cascade, 70% de rejet d’eau en moins, diminution de 90% des boues. • le changement du four de cuisson par un modèle fonctionnant au gaz. Doté d’un meilleur rendement et d’une récupération d’air chaud pour chauffer les bains de traitement de surface, sa mise en service sera effective en Mai 2021. Ce nouvel équipement et l’étuve de séchage vont permettre une diminution de 53% de la consommation d’énergie (gaz et électricité). … et de la qualité Made In France Cet investissement s’inscrit également dans la politique d’amélioration continue d’Acova. Si le nouveau procédé chimique de protection anti-corrosion des radiateurs par autophorèse réduit l’impact environnemental du process de fabrication, il garantit aussi la qualité et la durabilité des produits. En effet, cette nouvelle technologie offre ainsi : • une répartition uniforme de la couche anticorrosion même dans les zones les plus étroites du radiateur pour une protection parfaite. • une résistance exceptionnelle du radiateur, attestée par la tenue au test de brouillard salin 3 fois plus longue que le niveau d’exigence de la marque NF. Conjuguer savoir-faire historique et innovations durables Acova, dont le nom a pour origine l’acronyme de « Atelier de COnstruction de Vaux Andigny », est une marque pionnière qui a inventé le radiateur sèche serviettes mais aussi proposé les premiers radiateurs en couleurs dans les années 70. Aujourd’hui, ils sont disponibles dans une palette riche de plus de 50 couleurs et finitions. Grâce à la modernisation du process de traitement de surface, Acova réduit non seulement l’impact environnemental de ses produits mais pérennise également son outil de production pour offrir des radiateurs décoratifs de haute qualité en acier, fabriqués en France, qui continuent à évoluer pour s’adapter aux tendances de la décoration. L’usine de Vaux Andigny a fêté ses 100 ans en 2020 et emploie 178 salariés. http://www.acova.fr
Il y a 4 ans et 56 jours

Impact de la crise sanitaire sur le marché du Nouvel Habitat : les enseignements un an après

En 2020, La Covid-19 a eu un impact fort sur l’organisation et l’activité des Industriels du Nouvel Habitat (Inoha). Un an après le début de cette période inédite, Inoha, en collaboration avec Innoscape, spécialisé dans l’efficacité commerciale par l’usage de la donnée, a réalisé un sondage auprès de ses adhérents. Inoha dresse aujourd’hui un bilan sur les effets de la crise sanitaire et les nouveaux usages qu’elle a engendré. Mené fin 2020 par Inoha et Innoscape auprès des adhérents de l’association, le sondage sur l’impact de la crise sanitaire (coûts, activités, relations avec les enseignes de la distribution …) est riche d’enseignements et fait ressortir trois points marquants : . Des conséquences directes sur les coûts et les organisations des entreprises 57% des répondants ont constaté des surcoûts liés notamment à l’achat de protections sanitaires et aux ressources humaines pour 53% (intérim, CDD..). A cela s’ajoutent des hausses importantes des dépenses liées au fret maritime, multiplié par 5 depuis l’automne 2020, ainsi que l’augmentation du prix des matières premières et leur pénurie qui continuent depuis le début de l’année 2021. En 2020, les délais de livraison ont augmenté pour 55% des industriels. 80% des entreprises ont, en effet, eu des problèmes liés aux approvisionnements en aval, à leurs capacités de production et à la logistique (55%). C’est pourquoi 67% d’entre-elles estiment nécessaire de repenser leur logistique. « L’année 2020 a été extrêmement complexe. Nous avons dû faire face à une consommation absolument inattendue tant au niveau des volumes qu’au niveau de certaines familles de produits dont les ventes ont explosé en 2020. Les bricoleurs se sont lancés dans des travaux qu’ils n’avaient pas l’habitude de réaliser. Pour répondre à cette forte demande, nous avons, d’une part, recruté du personnel en intérim et en CDI. D’autre part, nous avons fait le choix de livrer tous nos clients distributeurs, avec un taux de service à 70%. Pour cela, nous avons mis en place des quotas de livraison. En fonction de nos capacités de production, nous nous sommes ainsi engagés à livrer des quotas de marchandises supplémentaires à condition que l’enseigne s’engage de son côté sur un volume de commande annuel » témoigne M. Clément des Boscs, Directeur Commercial Grands Comptes de Reca Peintures. . De la nécessite de renforcer le dialogue avec les distributeurs Le taux de service reste toujours au cœur des préoccupations des industriels du Nouvel Habitat. 78% des interrogés pensent que les enseignes vont mettre plus de pression sur ce sujet en 2021 alors que la supply chain reste désorganisée. En 2020, 75% ont vu leur taux de rupture augmenter de 10 points en moyenne ce qui représente des sources de tensions fortes dans la supply chain. 45% des répondants estiment que leur taux de service restera aussi dégradé en 2021 qu’en 2020. Pour réduire les risques, 65% des industriels pensent nécessaire d’augmenter leurs stocks. 75% estiment que leur activité a été impactée en 2020 par le manque d’interaction avec les enseignes et 80% pensent qu’elles risquent d’être limitées jusqu’à la fin de la crise sanitaire. Pour s’adapter à l’évolution des pratiques de leur écosystème et pour une meilleure collaboration avec les enseignes, 85% souhaitent améliorer leur processus internes en renforçant notamment la digitalisation de leurs outils commerciaux. 75% d’entre-eux pensent qu’il est essentiel de mieux partager avec les enseignes des indicateurs de performance communs. « Dès la fin du premier confinement, nous avons mis en place des outils d’analyse et nous avons joué la carte de la transparence avec nos clients distributeurs en leur indiquant nos niveaux de stock et la disponibilité de nos produits. Ceci nous a permis d’établir une relation de confiance pour anticiper leurs besoins », explique Philippe DONNET, Directeur Commercial Grand-Public du Groupe TTI, fabricant mondial d’outils. . Une opportunité pour développer de nouveaux business et l’e-commerce Durant la crise sanitaire, le consommateur a pris des habitudes d’achat en ligne qu’il n’est pas prêt d’abandonner. Afin de capter cette forte demande, 97% des industriels du Nouvel Habitat veulent renforcer leur présence sur les canaux de vente digitaux (sites d’enseignes, market places de pure players ou d’enseignes traditionnelles). 50% d’entre-eux ont d’ailleurs profité de cette période pour développer de nouvelles activités comme en témoigne Alexandre Jaouen, Directeur Retail Husqvarna Europe du Sud, représentant de la marque de jardin Gardena : « le marché du jardin a connu une croissance de 10% en 2020 ce qui a généré un intérêt de plus en plus important de la part de certaines enseignes. Nous avons ainsi développé notre présence dans des enseignes BtB telles que les quincailleries industrielles qui ne s’intéressaient pas jusqu’à présent à ce segment de marché mais aussi sur des sites de vente en ligne. En parallèle, nous avons lancé notre propre site marchand durant la fermeture des grandes surfaces de bricolage et de jardinage. Grâce à cet outil, nous pouvons montrer la largeur de nos gammes et être en contact direct avec les consommateurs. Les sites online de nos propres clients s’étant également renforcés, ils nous permettent aussi de présenter l’intégralité de notre offre de manière qualitative ». Dans cette période critique, cette forte dynamique de la vente en ligne a profité à tous les acteurs de la filière et notamment aux Industriels du Nouvel Habitat qui ont aujourd’hui des compétences dans ce domaine et ont atteint une maturité digitale. « Notre industrie a réussi à absorber le choc du premier confinement malgré des hausses de coût de production de près de 20% par rapport à la période normale. Cette crise a même été une réelle opportunité de repenser notre manière de travailler en faisant preuve d’agilité. Un an après le début de la pandémie, nous anticipons un bon premier semestre malgré les hausses de matières premières et surtout leurs ruptures qui risquent de nous limiter dans notre développement.» conclut Jean-Luc Guéry, Président d’Inoha. http://www.inoha.org
Il y a 4 ans et 56 jours

Deltamod investit dans une nouvelle usine au service du reconditionnement des bâtiments modulaires

Implanté sur la commune de Nort-sur-Erdre près de Nantes (44), les dirigeants ont décidé de donner un nouvel élan à leur activité en investissant près de 5 millions d’euros dans une nouvelle usine dédiée au stockage et reconditionnement de bâtiments modulaires.Une nouvelle usine au service de l’économie circulaire30.000 m² de surface de stockage d’anciens bâtiments modulaires et plus de 3.000 m² de surface industrielle pour les reconditionner et leur donner une seconde vie, voici la nouvelle usine sortie de terre près de Nantes (44) sur la commune de Nort-sur-Erdre.Cet investissement de 4,8 millions d’euros coïncide avec la montée en puissance de l’économie circulaire et le côté précurseur des dirigeants en 2013. Si le métier de la construction hors-site et notamment le bâtiment modulaire préfabriqué était en plein essor à cette époque, ils ont été les premiers à croire dans le marché de la « seconde main » ou plutôt comment allonger ou donner une seconde vie aux bâtiments modulaires.« Il faut savoir que 70% des déchets produits en France sont issus du secteur du BTP (ADEME & CGDD). Le réemploi entre dans une démarche de développement durable et d’économie circulaire. Il permet à la fois de diminuer l’impact carbone lié au transport et de réduire les déchets » évoque Pierre Visonneau, Directeur général de Deltamod.« Nous avons donc été les premiers à proposer une offre de modulaires d’occasion pour ensuite rapidement faire évoluer ce service vers du sur-mesure en reconditionnant les modulaires en fonction du cahier des charges de notre client. Le reconditionnement peut être minime comme totale tout en respectant un principe de base à savoir minimiser les déchets au maximum » ajoute James Moutaouadhia, Président Directeur Général de Deltamod.La jeune entreprise s’est donc développée rapidement pour atteindre un chiffre d’affaires de plus de 6 millions d’euros en 2020 en employant 30 salariés dans tous les métiers du reconditionnement (plombier, électricien, peintre, logisticien sans oublier le personnel du bureau d’études, commercial et administratif).Un marché du modulaire de réemploi en forte croissanceL’avantage principal du bâtiment modulaire par rapport à la construction traditionnelle réside dans son temps de conception et sa modularité. Ce phénomène est encore plus vrai avec le marché du réemploi.Avec un stock permanent de plus de 500 modules, la société Deltamod est capable de répondre immédiatement à un besoin de mètres carrés supplémentaires. Que ce soit en occasion avec une disponibilité immédiate ou du sur-mesure, le donneur d’ordre accède à une réactivité hors-norme sans rogner sur la qualité du bâtiment.Si le marché du modulaire en France représente plus de 1 Millard d’euros en France, celui du réemploi est seulement de 2% en 2020. Certes, c’est encore peu mais la demande pour ce type de structure grandit chaque année. Le marché du réemploi est entrain de devenir un réflexe dans le choix des collectivités ou des industriels au même titre que dans les secteurs de la téléphonie ou encore l’automobile.« La préoccupation environnementale est de plus en plus forte et les besoins de plus en plus nombreux. Il était important de structurer notre activité et de proposer un service à 360° pour le marché du réemploi » explique Pierre Visonneau.« Nous avons donc créé 4 activités distinctes pour répondre à la demande. Occamod pour la partie modulaire Occasion et Deltamod Solutions pour le reconditionnement sur-mesure. D’autre part, nous avons souhaité anticiper et éviter la démolition systématique des préfabriqués en créant notre branche Deltamod Recycling qui nous permet de racheter ou reprendre gracieusement les bâtiments qui encombrent et ne servent plus. Cette action est vitale pour disposer d’un stock à reconditionner » enchérit James Moutaouadhia.« Enfin, notre dernière activité est le transfert modulaire.Ce principe consiste à déplacer un ou plusieurs bâtiments modulaires d’un site existant vers un nouveau site.Cela permet de donner de nouvelles perspectives à des collectivités ou sociétés qui disposent de modulaires et qui souhaitent leur donner une nouvelle fonction. De plus, nous pouvons également reconditionner les bâtiments sur place avec notre équipe pour lui donner un autre usage que son origine. Nous donnons ainsi un vrai sens à l’action du reconditionnement. » ajoute Pierre Visonneau.Des donneurs d’ordre déjà convaincusLe signal fort de ces dernières années est le nombre de demandes qui explose pour le modulaire de réemploi et notamment pour des surfaces de plus en plus grandes. Si dans les années 2000, le modulaire avait une image« basique » pour un usage de stockage ou de base vie, les industriels du secteur ont contribués à la montée en gamme avec des ouvrages de grande qualité.Bureaux, écoles, réfectoires, crèches, club house, espaces d’accueil ou de loisirs, ou encore centre d’hébergement, la liste des réalisations de la société Deltamod en dit long sur son potentiel de développement.Les deux derniers chantiers majeurs de Deltamod en attestent avec la réalisation d’un centre d’hébergement modulaire de 5.000 m² sur la commune de Clichy (92) ou encore l’opération de reconditionnement modulaire de 1 700 m² de bureaux administratifs en R+2 pour le CEA Bruyères-le-Châtel.Le premier chantier réalisé à la demande de ALTERALIA, démontre la rapidité d’intervention pour la création de 400places en urgence et 6 mois de réalisation intégrant toute la phase de terrassement, reconditionnement, transfert et mise en service de plus de 100 modules et 5.000 m² de surface.Le second exprime l’intérêt du métier de Deltamod à savoir le rachat ou la reprise des anciens modulaires pour les reconditionner. L’entreprise a ainsi racheté 1 200 m² de surface modulaire inutilisée à la société PSA Sochaux puis ajouter 500 m² de modules supplémentaires provenant de la société Sanofi pour les transférer sur le nouveau site et ainsi créer un seul bâtiment total de 1.700 m² pour le CEA.« C’est la joie de notre métier, petites ou grandes surfaces, modulaires existants à déplacer, modulaires anciens à reconditionner, modulaires à transformer pour un nouvel usage, il faut savoir s’adapter dans ce métier en gardant toujours à l’esprit de reconditionner à bon escient » conclut Pierre Visonneau.Avec + de 10% de croissance par an et son nouvel outil industriel, la jeune entreprise Nantaise se donne5 ans pour tripler son chiffre d’affaires. Avec déjà 8 recrutements programmés en 2021, nul doute que le modulaire de réemploi a de belles années devant lui et un ambassadeur de choix avec la société Deltamod.
Il y a 4 ans et 57 jours

Geosophy lève 750.000 euros pour développer l'énergie souterraine au profit naturel de l'immobilier

A l'heure du renforcement des réglementations environnementales s'illustrant par la parution du décret tertiaire imposant des diminutions de consommation énergétique, l'innovation technologique proposée par Geosophy constitue une aubaine pour les propriétaires immobiliers. Le marché visé par Geosophy est de 50 millions d'euros par an en France.Les récents financements qu'a recueilli Geosophy lui permettent déployer son offre commerciale en s'appuyant sur son expertise et ses modélisations des énergies souterraines pour proposer des opérations de valorisation immobilière, opportunité inédite pour les industriels du bâtiment français, parfaitement alignée avec l'objectif d'une relance économique durable. En effet, en concevant un modèle innovant de valorisation tertiaire, Geosophy incite à repenser les espaces et les besoins. Exploitant la valeur méconnue des sous-sols, la start-up revalorise les biens immobiliers et met à profit sa fine expertise en faveur d'une transition énergétique fiable et sans écueil.Premier tour de tableGeosophy fait partie des 1000 solutions capables de protéger l'environnement qui bénéficient du Label “efficient solution” 2020 de la Fondation Solar Impulse. La start-up poursuit son ambitieuse trajectoire en bouclant avec succès son augmentation de capital de 550 000 euros en recueillant les participations de quatre associations dont Business Angels des Grandes écoles (BADGE). Ce premier tour de table révèle la noble stratégie que désire adopter le comité stratégique paritaire de Geosophy en s'associant à des acteurs reconnus de premier plan.« Nous avons souhaité faire appel à des investisseurs individuels pour nous accompagner dans cette phase de notre développement pour bénéficier non seulement de leurs capitaux, mais aussi de leurs conseils stratégiques et opérationnels, exigeants mais bienveillants, ainsi que de leur expérience et de leurs réseaux pour accroître notre notoriété et accélérer la dynamique de nos relations avec nos clients et nos fournisseurs » a déclaré Alice Chougnet, Présidente de Geosophy.Forts d'une expérience éprouvée dans la R&D et la gestion de projets appliquée aux services pétroliers, les fondateurs Alice Chougnet et Quentin Barral ont développé, grâce à leur savoir-faire et avec l'aide de laboratoires de recherche et d'industriels du domaine, une solution logicielle brevetée d'aide au choix d'une solution optimale de chauffage en hiver, climatisation en été, des bâtiments à base de géo-énergie.Un financement permettant une R&D de pointe au profit d'une transition énergétique fiable et sans écueil : au cœur de la deeptech et de la dataCette levée de fonds dédie les travaux de Geosophy en Recherche et Développement et permet de rendre sa solution opérable sur le plan commercial. La start-up concentre donc ses travaux de recherche et de développement selon 3 axes : la modélisation des sous-sols alliée aux besoins des bâtiments ainsi que la valorisation des biens immobiliers.En étroite collaboration avec l'Institut Français du pétrole et des énergies renouvelables, Geosophy tire profit de l'inertie thermique des sous-sols peu profonds caractérisés par une température constante de 12 à 15 degrés, source de chaleur l'hiver, et de fraîcheur l'été. En considérant les besoins des bâtiments couplés avec le potentiel énergétique de leurs sous-sols, Geosophy s'appuie sur ses travaux de recherche pointus pour appliquer ses modélisations à la géo-energie. La géo-énergie jouit des bénéfices de constituer une énergie locale, durable, gratuite, renouvelable et neutre pour le paysage. Forte d'autant d'atouts, elle entend être en mesure de satisfaire les nouveaux objectifs réglementaires.
Il y a 4 ans et 58 jours

Soprema va construire deux usines à Nîmes

INVESTISSEMENT. Spécialiste de l'isolation et de l'étanchéité, Soprema, a annoncé la construction de deux usines à Nîmes. Ce projet vise à optimiser la démarche d'économie circulaire et étendre la présence du groupe.
Il y a 4 ans et 58 jours

Serge Ferrari, tout juste bénéficiaire, se fixe des objectifs ambitieux de croissance

Au cours de l'exercice écoulé, marqué par la crise sanitaire et l'impact de l'incendie d'une usine, le groupe basé à Saint-Jean-de-Soudain (Isère) a enregistré un bénéfice de 0,5 million d'euros, pratiquement divisé par dix par rapport aux 4,8 millions de l'année précédente, selon un communiqué publié jeudi.Cette chute s'explique surtout par le gonflement des frais financiers après deux importantes acquisitions qui devraient permettre au groupe d'accroître son activité de 40%.Le résultat opérationnel courant s'est en effet bien tenu, à 6,8 millions d'euros (-11,3%), sur des ventes de 195,3 millions d'euros (+3,3%).Alors qu'il était totalement désendetté, SergeFerrari doit désormais supporter une dette nette de 66,5 millions d'euros, après les acquisitions de l'allemande Verseidag-Indutex et de la taïwanaise FIT.L'année en cours sera celle de "l'intégration industrielle" avec les nouveaux sites du groupe. Et les premiers effets "significatifs" des synergies attendues devraient apparaître en 2022.A "moyen terme", le groupe vise un chiffre d'affaires consolidé de 300 millions d'euros, avec une progression de ses résultats "supérieure à celle de l'activité".
Il y a 4 ans et 58 jours

Soprema ouvrira deux usines dans le Gard en 2023

Le spécialiste des solutions d'étanchéité a annoncé l'acquisition de deux terrains à Nîmes (30), pour y construire deux nouveaux sites de production dans la Zac Mitra située entre Garons et Saint-Gilles.
Il y a 4 ans et 62 jours

Artibat vous donne rendez-vous en octobre 2021 à Rennes

À quelques mois de cet événement incontournable de la filière, qui sera d'ailleurs probablement le premier grand rendez-vous sectoriel physique depuis le début de la pandémie, ARTIBAT constitue, pour les exposants, une véritable valeur sûre, tant pour la rencontre conviviale avec les professionnels que pour le business qu'il génère.Du côté des visiteurs (entreprises, artisans, prescripteurs), ARTIBAT s'annonce comme LE rendez-vous très attendu par la profession, surtout après cette année si particulière. Les visiteurs (40 000 attendus) connaissent bien le salon, savent et apprécient ce qu'ils viennent y trouver : le rapport direct avec les exposants, la possibilité de toucher les produits, les tester et découvrir les dernières nouveautés.Comme de coutume, ARTIBAT 2021 éditera son catalogue millésime des nouveautés et proposera une véritable vitrine technologique des produits de la filière. Ce guide des nouveautés, distribué gratuitement aux visiteurs, leur permettra de poursuivre l'expérience « Nouveautés vues sur ARTIBAT » après le salon.ARTIBAT, lieu d'échanges sur les sujets qui font l'actualitéARTIBAT, c'est aussi des temps forts dédiés à des sujets en phase avec l'actualité, tels que la rénovation énergétique et ses enjeux. Rappelons d'ailleurs qu'il sera possible de découvrir, sous la marque CIRQ* hébergée au cœur du salon, les innovations des 15 startups sélectionnées par un jury de professionnels. La Scène de CIRQ donnera également, pendant 3 jours, la parole à des architectes, des fabricants et institutions afin d'éclairer les visiteurs sur les bonnes pratiques en matière de rénovation énergétique et de débattre sur les moyens pour lutter activement contre le réchauffement climatique.L'édition d'ARTIBAT 2021 permettra également de vivre une expérience aussi unique qu'immersive grâce au partenariat engagé avec HB Développement**. Les organisateurs font le pari d'une approche sensorielle pour cette installation temporaire, déployée sur 130 m².Ce projet d'envergure a pour ambition d'inviter à innover, repenser et/ou apporter des aménagements et solutions qui permettraient d'améliorer ou d'adapter le quotidien des personnes âgées ou en situation de handicap.Concrètement, les visiteurs, vêtus de simulateurs de vieillissement, d'équipements 3D et autres dispositifs de simulation pourront tester des installations afin d'appréhender et ressentir les obstacles auxquels les personnes à mobilité réduite ou en situation de handicap doivent faire face dans leur quotidien.ARTIBAT oblige, les visiteurs pourront également tester les nouveaux matériaux et nouvelles solutions améliorant les conditions de vie des usagers.« C'est grâce à la confiance de nos exposants que nous gardons le cap et l'envie de préparer un salon exceptionnel pour la fin de cette année. L'éclaircie se devine sur le second semestre et l'équipe est pleinement mobilisée afin d'accompagner les exposants dans leurs préparatifs, organiser les projets ambitieux qui font l'actualité du bâtiment et évidemment, veiller au respect des mesures sanitaires indispensables au rassemblement de plus de 40 000 professionnels. Nous avons hâte de tous vous retrouver. Rendez-vous en octobre 2021 à Rennes ! »Valérie Sfartz, Directrice du Salon ARTIBAT* Une marque co-déposée par ARTIBAT et Novabuild.** HB Développement : détenteur de marques qui garantissent l'expertise des artisans du bâtiment pour tous types de travaux liés au confort d'usage, le maintien à domicile et l'accessibilité de l'habitat. Tous les projets ainsi que le salon seront évidemment organisés dans le strict respect des consignes sanitaires qui seront en vigueur en octobre 2021.
Il y a 4 ans et 62 jours

Quelle maison individuelle pour demain ? High tech et imprimée 3D ou low tech et frugale ?

BATIACTU BUSINESS CLUB. Jeudi 8 avril 2021, le Batiactu Business Club consacrera une visioconférence à la maison individuelle de demain. High tech, imprimée en 3D, low tech : à quoi ressemblera-t-elle ? Plusieurs acteurs viendront débattre : Hexaom (Ex groupe Maisons France Confort), XtreeE, expert de l'impression 3D et l'architecte Philippe Madec.
Il y a 4 ans et 62 jours

Nouvelle pompe à chaleur Saunier Duval destinée à la rénovation et toujours fabriquée en France

Ces solutions, dédiées à la rénovation, sont disponibles en chauffage seul (GeniaAir Max) ou en double service (GeniaSet Max) pour répondre à tous les projets. Ces pompes à chaleur air / eau monobloc assurent le chauffage, le rafraîchissement et la production d’eau chaude sanitaire (intégrée ou déportée) en utilisant les calories naturellement présentes dans l’air extérieur. Grâce à une température de départ jusqu’à 75 °C, ces pompes à chaleur sont idéales en remplacement d’une chaudière existante sans changement des émetteurs en place. Elles s’adaptent aussi bien aux radiateurs moyenne et haute température qu’aux planchers chauffants. Grâce au fluide naturel R290, GeniaAir Max et GeniaSet Max sont des solutions durables avec un impact quasi nul sur l’environnement. Toujours plus silencieuses, ces pompes à chaleur atteignent une pression acoustique de seulement 32 dB(A) à 5 mètres, aussi discrètes qu’un réfrigérateur récent. Elles s’intégreront ainsi parfaitement dans les zones urbaines denses.Avec un COP jusqu’à 4,9 et une efficacité saisonnière jusqu’à 191 %, les pompes à chaleur GeniaAir Max et GeniaSet Max garantissent un confort en toutes saisons et des économies d’énergie au quotidien. Pour le professionnel, aucune démarche n’est nécessaire lors de l’achat. En effet ces pompes à chaleur fonctionnent avec un fluide naturel non soumis à la réglementation F-Gas. De plus, l’installation est facilitée grâce à la technologie monobloc (fluide contenu à l’intérieur de l’unité extérieure et scellé d’usine) sans intervention sur le fluide frigorigène ni ouverture de l’unité extérieure. La mise en service est également simplifiée avec des réglages possibles directement depuis l’interface de l’unité intérieure ou du régulateur. GeniaAir Max et GeniaSet Max s’adaptent à tous les projets : 5 modèles monophasés (230 V) de 3,8 à 12,6 kW à -7 °C / 55 °C, 2 modèles triphasés (400 V) de 10,1 à 12,6 kW à -7 °C / 55 °C et des unités intérieures au choix (colonne double service compacte, module mural avec appoint intégré ou interface pompe à chaleur seule). Le nouveau régulateur MiPro Sense et la passerelle de connectivité MiLink V3 permettent le pilotage à distance. L’utilisateur peut ainsi gérer sa température de confort, programmer des plages horaires, assurer un suivi de ses consommations d’énergie ou encore activer le mode « vacances ». Ces nouvelles pompes à chaleur sont produites en France au sein du plus grand site français de fabrication d’unités extérieures de pompes à chaleur résidentielles. Située à Nantes, l’usine a agrandit sa capacité avec la mise en place d’une ligne de production supplémentaire dédiée aux pompes à chaleur. Un levier pour Saunier Duval qui a pour objectif de tripler sa production d’ici 2023 afin de répondre aux besoins de plus d’une vingtaine de pays où la marque Saunier Duval est présente.
Il y a 4 ans et 63 jours

Lancement d'un fonds privé pour développer la filière bois dans la construction

Objectif, lever "40 millions d'euros" : "une première levée de fonds a déjà eu lieu, financée conjointement par 24 caisses régionales du Crédit Agricole et Crédit Agricole SA", indiquent le Crédit Agricole et les "business angels" de Forinvest, des forestiers privés, dans un communiqué dont l'AFP a pris connaissance mercredi."Aujourd'hui ouvert à d'autres investisseurs institutionnels, ce fonds d'investissement à impact environnemental et sociétal a pour objet de soutenir et d'accompagner les entreprises de toute la chaîne de valeur de la filière bois dans leur développement en renforçant leurs fonds propres", ajoutent-ils."On a besoin de développement industriel, en première mais surtout deuxième et troisième transformation", a expliqué à l'AFP Eric Toppan, secrétaire général de Forinvest Business angels.D'autant plus, selon lui que la nouvelle règlementation environnementale des bâtiments neufs, (RE2020), qui doit entrer en vigueur le 1er janvier 2022, "vise à réduire l'empreinte environnementale des bâtiments et donne ainsi une dynamique très forte à tout ce qui est construction à base de produits bois".La demande en bois d'ingénierie "est d'ores est déjà plus importante que les capacités de production actuelles", selon M. Toppan."La dernière enquête nationale construction bois, de 2018, montrait qu'on était à peu près à 50% de bois français dans l'ensemble de la construction à base de bois", a rappelé M. Toppan.Il s'agit cependant d'une moyenne et la France peine bien davantage à fournir la demande pour des produits plus techniques, comme le CLT, ou bois lamellé-croisé, un des éléments essentiels pour construire des immeubles de grande hauteur."Aujourd'hui, on est à 15% de production nationale sur le CLT. Mais on était à zéro il y a cinq ans", a précisé M. Toppan."D'une manière générale, les bois, pour être utilisé dans la construction, doivent être séchés. Une fois que ces bois sont séchés, ils peuvent faire l'objet de transformations supplémentaires, et devenir des bois d'ingénierie, tout ce qui va être utilisé en lamellé-collé", a rappelé M. Toppan.Les capitaux levés par ce nouveau fonds permettront notamment d'investir dans des séchoirs, lors des quatre à cinq prochaines années.La filière espère limiter le recours à l'importation de produits finis d'Autriche, d'Allemagne ou d'Europe du Nord et ainsi améliorer la balance commerciale du secteur, qui accuse ces dernières années un déficit qui tourne autour de 7 milliards d'euros."Le Fonds prendra des participations minoritaires dans des entreprises en investissant des montants allant de 0,5 à 5 millions d'euros dans des projets de capital croissance, développement ou transmission", précisent les initiateurs du projet.
Il y a 4 ans et 63 jours

Artibat, un rendez-vous très attendu

Le très attendu salon Artibat prend ses marques et attend encore des exposants. [©Artibat] Avec déjà plus de 700 inscrits, soit 85 % des 65 000 m2de surface d’exposition, le salon Artibat 2021 prend ses marques. Il se tiendra les 13, 14 et 15 octobre prochains au Parc des expositions de Rennes. D’autres exposants sont encore attendus ! A chacun de faire ses choix… Cet évènement incontournable de la filière sera le premier grand rendez-vous sectoriel physique depuis le début de la pandémie. Il est donc très attendu par les exposants, tant pour la rencontre conviviale avec les professionnels de la construction que pour le business qu’il génère. Pareil du côté des visiteurs ! Artibat s’annonce comme LE rendez-vous très attendu par la profession, surtout après cette année si particulière.  Un lieu d’échanges  Les visiteurs (40 000 espérés) connaissent bien le salon et apprécient ce qu’ils viennent y trouver. A savoir le rapport direct avec les exposants, la possibilité de toucher les produits, les tester et découvrir les dernières nouveautés. Le programme prévoit aussi les innovations de 15 start-up sélectionnées, des prises de parole d’architectes, de fabricants et d’institutions. Mais aussi une expérience immersive dans une installation temporaire, déployée sur 130 m², grâce au partenariat engagé avec HB Développement… « C’est grâce à la confiance de nos exposants que nous gardons le cap et l’envie de préparer un salon exceptionnel pour la fin de cette année. L’éclaircie se devine sur le second semestre et l’équipe est pleinement mobilisée. Ceci, afin d’accompagner les exposants dans leurs préparatifs, organiser les projets ambitieux qui font l’actualité du bâtiment. Et bien sûr, veiller au respect des mesures sanitaires indispensables au rassemblement de plus de 40 000 professionnels. Nous avons hâte de tous vous retrouver. Rendez-vous en octobre 2021 à Rennes ! », a déclaré Valérie Sfartz, directrice du salon Artibat.
Il y a 4 ans et 63 jours

Alkern, leader des produits préfabriqués en béton, prêt pour le bas carbone et la RE2020

Ainsi, si en 2010 l'industriel affichait un CA de 122 millions d'euros avec près de 650 salariés, Alkern réalise aujourd'hui plus de 200 millions de CA avec un millier de collaborateurs, soit un doublement de sa taille en l'espace de 10 ans.Reconnaissons d'ailleurs le savoir-faire d'intégrateur du Groupe Alkern qui cible chaque acquisition, permet à des sociétés parfois sans succession de perdurer et de se développer au sein d'un groupe prônant la sécurité et la performance.Précisons que ce chiffre d'affaires est réalisé à 90% en France et 10% en Belgique, et qu'il est généré par trois domaines principaux d'expertise :le bâtiment avec une large gamme de solutions en béton pour la construction de maisons individuelles et bâtiments collectifs (blocs béton, poutres, planchers, appuis de fenêtre,…) qui représente 45% du CA ;l'aménagement extérieur : terrasses, pavés, margelles, pour 30% ;et les TP (voirie, aménagement urbain, assainissement et réseaux secs) à hauteur de 20%.Avec 51 sites répartis sur le territoire hexagonal (et 2 en Belgique), Alkern, dirigé depuis début 2020 par Xavier Janin, produit 100% localement et revendique désormais, par exemple, la fabrication de plus de 2 blocs béton par seconde.Cette production locale et le maillage densifié des usines Alkern s'accompagnent aussi d'une importante R&D. Un département qui se focalise notamment sur la réduction de son impact environnemental, tout en apportant des solutions aux problèmes majeurs d'aménagement du territoire (performance thermique des bâtiments, gestion des eaux de ruissellement, réduction des îlots de chaleur urbains…).Xavier Janin, président d'Alkern depuis 1 an, précise : « Nous avons la particularité de pouvoir intervenir sur toute la chaîne de décision : depuis la conception jusqu'à la livraison sur site. Nous avons 53 usines et des bureaux d'études, qui nous permettent, en amont des projets, d'assister les maîtres d'œuvre et les maîtres d'ouvrage à dimensionner nos offres pour leurs projets et leurs besoins. »La Proximité, le credo ALKERNLe marché de la préfabrication béton exige une grande proximité avec les clients, afin de répondre au mieux aux attentes régionales (formats, couleurs, réglementations, etc.) et apporter une assistance technique adaptée. Grâce à son maillage industriel particulièrement homogène, le Groupe Alkern répond parfaitement aux exigences de tous ses clients en leur proposant de larges gammes de produits, où qu'ils soient situés sur l'ensemble du territoire national. Les structures commerciales et administratives, décentralisées en région, favorisent et renforcent les relations directes entre le site de production et le client, créant ainsi un véritable gage de simplicité et d'efficacité dans les partenariats établis.2020 : Bilan d'une année hors normesAprès un démarrage dynamique en 2020, l'élan des premiers mois a été brutalement arrêté par la pandémie de COVID-19.Alkern a su réagir rapidement, suite à l'arrêt brutal de l'activité et s'organiser afin de reprendre les livraisons, à la demande de ses clients, sous une semaine.En terme d'activité, l'intérêt des ménages confinés pour leur extérieur s'est traduit par une croissance notable de l'activité Amex chez Alkern (+20% entre juin et décembre 2020 versus 2019). Le rattrapage des chantiers arrêtés et la mise en place de protocoles sanitaires plus simples sur les chantiers de maisons individuelles ont aussi permis à Alkern de réaliser une croissance de 10% de son activité bâtiment, sur la même période. En revanche, la baisse du nombre de permis de construire sur le 2nd semestre est une alerte. Enfin, l'activité TP a pâti du report des élections municipales, du décalage des chantiers et du faible niveau d'appels d'offres, se traduisant par une baisse de l'activité de 20%, sur la fin d'année.En parallèle, devant cette situation exceptionnelle, 2020 a aussi été un accélérateur de modernisation avec la mise en place de nouvelles manières de travailler (outil de réunion à distance, digitalisation de certains process) et une organisation commerciale plus proche des clients.En résumé, Alkern a su faire face à une année 2020 compliquée et a permis de lancer des chantiers structurants pour l'entreprise.Xavier Janin de préciser : « Lors du premier confinement, nous avons arrêté toutes nos activités tout comme la majorité des acteurs du BTP. Cela étant, dès le 24 mars nous pouvions livrer nos clients avec des mesures sanitaires strictes et nous avons su, par la suite, répondre à la demande de rattrapage des chantiers qui avaient été mis en veille. D'un point de vue organisation et management, la crise de la Covid-19 a été un véritable accélérateur de décision. Le fait d'avoir travaillé dans un environnement instable et imprévisible, nous a en effet amenés à mettre en place des points quotidiens pour prendre des décisions de façon très rapide. Cela nous a forcé à repenser notre façon de travailler. Le virage digital a été pris au sein de notre organisation, là où nous n'avions pas conscience de nos limites avant les restrictions de déplacement imposées par la Covid-19. Ces technologies sont désormais devenues des standards pour nos réunions. Nous avons ainsi réécrit notre stratégie : la modernisation de l'entreprise, l'intensification de la prescription de nos produits, une R&D plus soucieuse de l'environnement et la poursuite de notre croissance externe, sont désormais les sujets qui nous mobilisent ».Indicateurs de performance environnementale Alkern 2020Alkern affiche une politique environnementale volontariste et soutenue qui sera encore renforcée sur les prochaines années. À travers les indicateurs détaillés ci-dessous, Alkern suit son impact environnemental et met en avant les avantages du matériau béton :La décarbonation des bâtimentsAinsi grâce à l'utilisation de blocs rectifiés Alkern à la place de blocs traditionnels ; l'économie de l'impact carbone représente l'équivalent de 28 millions de kilomètres parcourus en voiture en 2020. De même, mentionnons le remplacement de produits d'origine pétrochimique (PSE) par une mousse 100% minérale (partenariat Airium®), qui a permis l'économie de quelques 5.525 m3 de PSE, soit le volume moyen d'un immeuble de 20 étages.Produits s'inscrivant dans l'économie circulaireDe même, l'utilisation de matières premières recyclées (remplacement de granulats par de la coquille Saint-Jacques broyée par exemple), est à l'origine d'une économie de 2,2 tonnes de granulats. Tout comme la réutilisation des palettes qui permet de préserver 37 300 m3 de bois ou encore le recyclage de déchets de laine de roche qui a atteint 8 237 tonnes l'an dernier.Gestion de la ressource en eauLa gestion de la ressource en eau constitue un autre axe de la politique environnementale du groupe Alkern. Ainsi, la diminution de la consommation d'eau par l'utilisation des blocs joints minces vs blocs traditionnels a permis d'économiser l'équivalent de 4 piscines olympiques. Autre aspect écologique d'avenir, la diminution de l'imperméabilisation des sols: en effet, grâce à la gamme O' et ses 5 références drainantes, Alkern a aménagé quelque 78.385 m2 de surfaces perméables (soit 13 terrains de foot). Enfin, précisons que le stockage d'eau de pluie par l'Hydrocyl (destiné à la réalisation de chaussées réservoirs) a permis de créer le stockage de 1.400 m3 d'eau pluviale.RE2020 Alkern ready : cap sur la performance environnementale pour des bâtiments mieux isolés au moindre impact carboneAlkern, et ses équipes R&D, travaillent depuis longtemps sur la performance thermique et bas carbone de ses produits et a ainsi lancé toute une gamme de blocs béton rectifiés et majoritairement isolés. Ces blocs d'une résistance thermique entre 0,3 et 2,14 m2.K/W répondent aux enjeux de la RE2020 pour la maison individuelle. Pour le bâtiment collectif et l'enjeu de traitement des ponts thermiques, Alkern a lancé en 2020 le système R+MUR, solution économique de paroi bas carbone affichant une empreinte carbone entre -30 et -70% moindre que les solutions standard actuelles.L'engagement d'Alkern pour améliorer l'impact carbone de ses solutions constructives reste une priorité. Ainsi en 2020, 2 millions d'€ ont été investis sur les sites d'Izeaux (38) et Mouy (77), d'une part dans l'intégration d'une rectifieuse pour la fabrication de blocs à joints minces, d'autre part dans une ligne de fabrication de blocs intégrant la mousse 100% minérale Airium®, permettant de proposer un bloc 100% recyclable, sans étape de tri.Objectif : certification ISO 14001 pour l‘ensemble des sites pour 2024Au-delà de la certification de l'intégralité de ses sites ISO 14001 pour 2024, Alkern s'engage dès cette année à ce que chacun de ses 51 sites français s'approprie pleinement l'un de ces objectifs : réduction de la consommation de matières premières, réduction des consommations d'énergie, réduction de la consommation en eau, réduction de la production de déchets et réduction de l'impact local des opération.A ce propos Xavier Janin confirme : « Avec cette R&D plus soucieuse de l'environnement, nous répondrons aussi aux nouvelles réglementations environnementales. À l'évidence, les bâtiments de demain seront plus vertueux et émettront moins de CO2. La diminution de l'impact carbone de nos processus de fabrication comme de nos produits est au cœur de nos préoccupations. Nous avons la chance d'avoir déjà avec les blocs préfabriqués en béton une des solutions la plus bas carbone du marché mais nous travaillons à lancer des solutions encore plus vertueuses pour garder un coup d'avance sur les solutions constructives alternatives. »Les leviers de croissance pour soutenir cette stratégie :Une nouvelle vitrine digitale pour particuliers et professionnelsLe digital, durant le confinement, a connu un essor important, et Alkern a décidé de prendre le virage de ces outils, tant pour ses clients BtoB, ses partenaires (réseaux de distribution et de poseurs/installateurs), que pour le BtoC. Ainsi, Alkern lance en 2021 une initiative e-business pour apporter plus de supports et de réponses à ses clients.La 1ère étape est le lancement, le 1er mars, du nouveau site internet Alkern, nouvelle vitrine digitale présentant l'ensemble de l'offre.Plus moderne, développé en responsive design, le nouveau site web Alkern présente l'ensemble des produits fabriqués par Alkern, et fournit également aux visiteurs des contenus pédagogiques et utiles pour le choix des produits et leurs mises en œuvre.Premier fabricant indépendant de produits préfabriqués en béton en France, Alkern emploie plus de 1.000 collaborateurs et réalise un chiffre d'affaires de plus de 200 millions d'euros. Le Groupe s'appuie sur une cinquantaine de sites de production de produits béton avec une présence sur les secteurs du bâtiment, de l'aménagement extérieur et des travaux publics.
Il y a 4 ans et 68 jours

PRB séduit à nouveau par le système de palettes consignées Chep

PRB renouvelle sa collaboration avec Chep, le loueur de palettes bleues. [©PRB] Convaincu de l’intérêt environnemental du système de partage et de réutilisation des palettes Chep, l’industriel PRB renouvelle sa collaboration deux années. Ce contrat porte sur l’utilisation annuelle de 120 000 palettes consignées dans l’Hexagone. Depuis sa création, en 1975, le groupe familial vendéen s’est engagé à réduire de manière durable son empreinte carbone, à travers une feuille de route. Cette dernière prévoit le développement de produits éco-conçus  avec des matières biosourcées. Mais aussi une réduction des émissions carbone, en privilégiant les transports en train. Ensuite, une diminution de la pénibilité pour les opérateurs. Puis, l’utilisation d’engins de manutention nouvelle génération moins énergivore et la chasse aux déchets. Et enfin, la réduction des émissions de CO2 occasionnées par le transport. Réduction de 28 % des émissions de CO2 pour PRB Une fois chargées, les palettes sont prêtes pour être transportées vers les différents magasins de la grande distribution. [©PRB] Le choix d’une nouvelle logistique des palettes était donc une évidence. Preuve en est : comparé à l’utilisation des palettes perdues, le système de partage et de réutilisation proposé par Chep a déjà permis à PRB de réduire de 28 % ses émissions de CO2. « Avant, nous utilisions des palettes perdues pour livrer nos produits. Notre entreprise ayant beaucoup évolué en matière de responsabilité environnementale, il nous a paru évident de repenser la logistique des palettes, souligne Joël Tesson, directeur logistique achats de PRB. Et de détailler : « Nos clients distributeurs sont eux-mêmes dans une démarche d’amélioration, tant au niveau des produits qu’ils référencent que sur leurs propres actions. Il y a deux ans, nous leur avons proposé ce nouveau dispositif qu’ils ont accepté. Et nous avons basculé en moins de trois mois vers ce modèle. Le bilan est très positif ». Le choix d’une solution vertueuse et performante Désormais et depuis 2018, les outils de production ont été adaptés pour recevoir les palettes bleues Chep, qui sont livrées en 72 h à l’usine des Achards, en Vendée. Elles sont stockées sous abri durant une quinzaine de jours pour garantir leur parfait séchage. Et passent ensuite en production. Une fois chargées, les palettes sont transportées vers les différents magasins de la grande distribution. En fin de parcours logistique, elles sont récupérées par Chep et ramenées dans les centres de service pour être inspectées, triées et remises en circulation. Le système de Chep a permis d’éliminer le gaspillage, grâce à l’utilisation de ses supports partagés, qui ont remplacé ceux à usage unique. Depuis, les résultats de PRB sont significatifs en matière d’organisation logistique et de réduction de gaz à effet de serre.
Il y a 4 ans et 68 jours

Plaque de Plâtre : Saint-Gobain améliore son outil de production en Espagne

INVESTISSEMENT. Saint-Gobain va réaliser une nouvelle ligne de production de plaques de plâtre dans son usine de Quinto, près de Saragosse, en Espagne.
Il y a 4 ans et 69 jours

FLATLINE, nouvel acteur français sur le marché de l’étanchéité des toitures-terrasses

L’année 2021 marquera la naissance de FLATLINE, spécialiste en solutions globales pour l’étanchéité des toitures-terrasses. FLATLINE est une société du Groupe ONDULINE, nouvelle société sœur d’ALWITRA, fabricant allemand de solutions d’étanchéité de hautes performances, suite à son rachat. Distributeur exclusif de l’ensemble des gammes ALWITRA (membranes EVALON, EVALASTIC…), FLATLINE a pour vocation d’accompagner les applicateurs, les architectes, bureaux d’étude et maîtres d’ouvrage dans la conception et la réalisation de systèmes d’étanchéité technique et environnementaux pour les toitures-terrasses. Une large gamme de produits adaptés au devenir du marché Végétalisée, comme support de panneaux solaires, autoprotégée ou accessible… à chaque type de toiture-terrasse sa membrane d’étanchéité et son application spécifique. L’entreprise FLATLINE, qui profite de toute l’expertise et des offres en membranes d’ALWITRA et d’industriels partenaires, propose des gammes de produits répondant à la plupart des vocations des toitures-terrasses autoprotégées, accessibles, végétalisées, coolroof, imitation zinc ou productrices d’énergie. L’offre FLATLINE se décline ainsi en un très large choix de membranes d’étanchéité, cassettes et tapis végétalisés, gamme complète pour le photovoltaïque, différents systèmes pour toitures-terrasses, joints debouts, couvertines d’acrotères, profilés de rives… Une équipe d’experts au service des donneurs d’ordre L’équipe FLATLINE, est constituée d’experts techniques couvrant l’ensemble du territoire et capables de répondre à tous les projets de toitures-terrasses. Pierre-Jean Guiffant, nommé à la direction de FLATLINE, conduira une nouvelle équipe de 4 ingénieurs commerciaux associés à 4 personnes, basées en France et dédiées au support technique ainsi qu’à l’animation commerciale. Fort de plus 20 ans d’expérience et de management dans le domaine du bâtiment dont 14 au service de la membrane synthétique, le nouveau Directeur général affirme : « Nous sommes convaincus de l’intérêt pour le marché de la création d’une activité de distribution de systèmes d’étanchéité de toitures avec un savoir-faire environnemental et technique. La société FLATLINE a pour vocation de développer et promouvoir des solutions globales d’étanchéité de toitures-terrasses environnementales au travers de la vente de membranes d’étanchéité synthétiques et coolroof, de systèmes de végétalisation, photovoltaïques et plus généralement de tous les constituants inhérents aux toitures- terrasses. Nos équipes supports et marketing travailleront dans le souci d’apporter une réponse adaptée et une optimisation des services et des produits proposés à nos clients. » Une plateforme logistique normande FLATLINE bénéficie de l’appui logistique d’ONDULINE. Sur la plateforme située en Normandie, 2500 m2 sont destinés au stockage des produits et matériels. La performance des équipes de l’entrepôt assure une préparation soignée des commandes et une livraison rapide. Des valeurs tournées vers le respect de l’environnement Végétalisation, panneaux photovoltaïques et coolroof sont autant de solutions pour toitures-terrasses qui contribuent au respect et à la protection de l’environnement. De plus, la majorité des produits distribués par FLATLINE bénéficient d’une Déclaration Environnementale de Produit (EPD). L’EPD certifie que le processus de fabrication du matériau est respectueux de l’environnement. Bénéficiant de l’expertise et des services de recherche et développement d’ALWITRA, l’innovation est une préoccupation majeure de FLATLINE. Sa connaissance technique et sa maîtrise, associées à un outil de production performant, favorisent le développement de solutions innovantes notamment dans le domaine des greenroofs et du photovoltaïque, et de qualité répondant aux nouvelles réglementations du marché. Chiffres clés ALWITRA/FLATLINE 2 usines spécialisées dans la production de membranes d’étanchéité en Allemagne + de 180 millions de m² de toitures étanchées avec des produits ALWITRA
Il y a 4 ans et 69 jours

Portalp, une entreprise qui défie la crise

Aboutissement d’une politique soutenue d’investissements et de croissance externe, Portalp dispose aujourd’hui d’une offre globale de produits et services pour l’ouverture et la mise en sécurité des bâtiments. Malgré un contexte économique tendu, le groupe Portalp défie la crise et continue de se développer grâce à l’obtention de nouveaux marchés d’envergure.PORTALP, une ETI familiale française dynamiqueLa société Portalp fabrique, sur son site historique de production près de Grenoble en Isère, des gammes de portes automatiques piétonnes. Par différentes acquisitions d’entreprises complémentaires à son activité, Portalp dispose d’une expertise dans de nombreux domaines en lien avec son cœur de métier. Cette synergie lui permet de proposer une offre globale de solutions et systèmes destinés à faciliter l’accès et la sécurité de tous les bâtiments (commerces, tertiaire, hôtellerie, restauration, industrie, santé, transport, logistique) et d’intervenir depuis l’étude d’un projet jusqu’à sa maintenance. Afin d’être au plus proche de ses clients, Portalp s’est dotée d’un réseau français de 26 agences régionales, complété depuis 2007 par 6 filiales dans le monde (USA, Luxembourg, Belgique, Italie, Espagne et Autriche).Chacune de ces agences assure l’installation et la maintenance de tous types d’automatismes, quelle que soit la marque. Inscrite dans l’ADN de l’entreprise, cette volonté de proximité et de services s’appuie également sur un maillage international de distributeurs partenaires couvrant de nombreux pays en Europe, Afrique, Moyen-Orient, Asie, Amérique du Nord et Amérique Latine.Aujourd’hui, le groupe Portalp, qui compte 900 collaborateurs en France et à l’international, réalise un chiffre d’affaires de 100 millions d’euros (2019). Avec plus de 450 000 installations dans le monde et 78 000 équipements en maintenance, Portalp continue de se développer en 2020 malgré un marché français en baisse.Des projets d’envergure, accélérateurs de croissanceAvec l’appui de son réseau d’agences, de filiales et de partenaires, Portalp a remporté des projets prestigieux en France et à l’étranger (CHU de Grenoble, Aéroport de Saint-Domingue, partenariats avec les plus grands réseaux d’agences bancaires...). Son expertise depuis plus de 20 ans dans les portes palières de quais s’est également illustrée dès 2019 en remportant trois contrats d’une ampleur sans précédent, en groupement avec ENGIE Solutions :L’obtention du marché des façades de quai des cinq stations de la nouvelle ligne U5 du métro de Vienne (Autriche), comprenant la fourniture de 1.300 mètres linéaires de façades dont 180 portes palières ainsi que la maintenance sur 25 ans. Ce contrat a ainsi donné lieu à la création de Portalp Autriche.L’attribution de deux marchés liés au GrandParis Express. D’une part, la Société du Grand Paris a confié au groupement ENGIE Solutions-Portalp l’équipement de seize gares des lignes 16 et 17, soit 1728 mètres linéaires de façades dont288 portes palières. D’autre part, la RATP lui a également ouvert les portes du métro automatisé du prolongement de la ligne 14 pour laquelle Portalp fabriquera 1920 mètres linéaires de façades dont 384 portes de huit stations. Pour répondre à tous ces grands projets en cours et à venir, qui contribuent à la pérennité et au développement de l’entreprise, Portalp a lancé des investissements stratégiques, gages de réussite :La construction, toujours près de Grenoble, d’une usine à Saint-Égrève. A la pointe de la modernité, ce nouvel outil industriel, d’une surface de production de 6 500 m2, doit permettre à l’entreprise d’augmenter sa capacité d’au moins 50 % en 2021.Un nouveau plan de recrutement (ingénieurs, techniciens de pose et maintenance, commerciaux...), alors que l’effectif de l’entreprise est déjà passé de 750 à 900 collaborateurs en un an.Autant de moyens que Portalp se donne pour continuer à placer l’innovation produit au cœur de sa croissance.Une politique d’innovation constantePortalp a construit sa force et sa notoriété sur l’innovation et l’expertise en développant des gammes nourries par les besoins et attentes de ses clients autant que par une vision d’avenir.L’entreprise propose ainsi :Des familles de portes automatiques piétonnes pour répondre à toutes les configurations (cintrées, coulissantes, battantes, coupe-feu, sur-mesure...) qui intègrent la plateforme PORTALP RS, nouvelle génération de portes connectées, lancées en 2020Des solutions pour sécuriser les accès des bâtimentsDes portes et façades de quai comprenant le module RS Métro. Utilisées dans les transports publics, elles sont conçues pour optimiser la sécurité des passagers et faciliter la maintenanceDes réalisations spéciales sur-mesure pour équiper des téléphériques, funiculaires et grandes roues.Certifiées et conformes aux normes nationales et internationales en vigueur, toutes ces gammes répondent aux plus hautes exigences de qualité et de sécurité. Conçues et fabriquées sur le territoire national, elles témoignent de l’attachement de Portalp à ses racines. Cette production Made in France se traduit par une politique d’approvisionnement favorisant les circuits courts et par l’obtention, en septembre 2020, du label Origine France Garantie. En France, cette offre globale s’accompagne d’un réseau intégré de plus de 300 techniciens, répartis sur l’ensemble du territoire pour être au plus proche des clients, qui assurent la maintenance 7j/7 et 24h/24.Une entreprise tournée vers l’avenirPortée par l’enthousiasme de son vice-président Maxime Duponchel, qui reprend progressivement le flambeau, l’entreprise familiale Portalp entend bien maintenir le cap et poursuivre en 2021 cette trajectoire du succès.« Portalp a mis en œuvre un plan de croissance particulièrement volontaire, qui a porté ses fruits avec l’ouverture de nouveaux marchés à fort potentiel, en parallèle de la consolidation de nos activités historiques. En 2020, nous nous sommes donnés les moyens de transformer et de moderniser nos outils de production mais également de développer nos ressources R&D. Durant cette même année, nos effectifs ont connu une croissance de 25 %. Ces axes stratégiques contribuent à affirmer notre développement technologique et notre savoir-faire "Made in France" sur le plan international. Pour 2021, de nouveaux défis nous attendent. Résolument tournés vers l’avenir, nous sommes déterminés à poursuivre notre développement autour de deux axes majeurs : la satisfaction de nos clients et l’innovation. Croyez-moi, nous sommes une vraie fourmilière, regorgeant de créativité, de talents et de projets ambitieux ! L’histoire ne fait que commencer... »Maxime DuponchelPortalp en bref :Près de 60 ans d’existence100 millions de CA en 2019900 collaborateurs10.000 portes automatiques piétonnes fabriquées par anUn centre de formation intégréUn centre d’appel et d’assistance technique, basé en France, accessible 7j/7 et 24h/24
Il y a 4 ans et 70 jours

Saint-Gobain investit 40 M€ dans une nouvelle ligne de plaques de plâtre en Espagne

Cet investissement dans son usine de Quinto, près de Saragosse, permettra au géant des matériaux d'élargir sa gamme de produits et de solutions constructives à haute valeur ajoutée.
Il y a 4 ans et 70 jours

Oknoplast, un réseau premium qui ne cesse de grandir

Une croissance continue pour OknoplastLe groupe a été à même de maintenir ses campagnes promotionnelles en suivant le calendrier prévu avec une campagne promotionnelle de printemps, une sur l'automne et l'hiver. Ces prises de paroles ont été extrêmement bénéfiques pour conserver un lien avec le grand public afin de travailler la notoriété du groupe, mais également auprès des professionnels de la menuiserie qui sont toujours plus nombreux à le rejoindre.Cela s'est d'ailleurs révélé par un franc succès au niveau des volumes de commandes, ainsi qu'au niveau du nombre de nouveaux clients puisque le groupe a obtenu une croissance de +8% par rapport à 2019.Un réseau qui s'étoffe sur le territoire nationalOknoplast a enregistré 17 nouveaux partenaires Premium depuis le début de l'année 2020 montant ainsi le nombre de partenaires à 209 revendeurs sur le territoire national. Le groupe compte bien poursuivre sur cet élan pour les années à venir.Oknoplast vous invites à découvrir le portrait d'un de ses nouveaux partenaires, Monsieur Mickael Ruz de la Société MRM sur Saint-Gaudens (31) :Depuis combien d'années votre entreprise existe ?J'ai créé ma société il y a 8 ans en tant qu'auto-entrepreneur. Au fil des années, l'entreprise a bien grandit. Je me suis alors entouré de poseurs dans un premier temps afin de répondre à la demande sur notre secteur. Depuis maintenant deux 2 ans, j'ai souhaité prendre une toute nouvelle orientation en intégrant la vente de notre propre sélection de produits. La société MRM s'est alors solidement agrandie et compte aujourd'hui 12 collaborateurs : 2 commerciaux, 1 directrice commerciale, 1 assistante de direction, 1 apprentie commerciale, 1 chargé d'affaire sur la partie isolation, 2 équipes de pose et 1 métreur.Comment avez-vous découvert OKNOPLAST ?J'ai découvert les produit OKNOPLAST grâce à leur première campagne publicitaire TV. J'ai alors entrepris des recherches sur internet afin d'en apprendre un peu plus sur le groupe, leurs gammes et les avis qui pouvaient circuler sur les produits. J'ai alors pris contact avec le commercial en charge du secteur sud-ouest d'OKNOPLAST afin d'obtenir une présentation de l'entreprise et ses produits.Qu'est-ce qui vous a séduit dans le partenariat premium proposé par OKNOPLAST ?J'ai eu un très bon feeling avec mon interlocuteur commercial. Une présentation claire et complète d'OKNOPLAST, ses produits, son réseau, sans aucune sensation de forcing. Notre collaboration a débuté avec 1 à 2 commandes afin de tester les produits et d'éprouver la pose et le service logistique. Mon équipe de pose et moi-même avons validé les tests, qui ont été vraiment concluants et satisfaisants. Souhaitant conforter mon choix d'aller plus loin dans la collaboration avec OKNOPLAST j'ai participé à l'une des visites usine proposée par le groupe. J'ai ainsi pu en apprendre plus sur OKNOPLAST, sa structure et son organisation. Mon souhait n'était absolument pas d'aller chercher du prix. Ce que je souhaitais avant tout, c'était de trouver un fabricant qui m'accompagnerait avec des produits de qualité, une offre complète et des services qualitatifs. Et c'est ce que j'ai trouvé avec OKNOPLAST.Comment s'est passée votre intégration au sein du réseau ?L'intégration au sein d'OKNOPLAST est agréable et plutôt simple. De nombreux outils sont mis à notre disposition pour nous aider au quotidien comme My Oknoplast qui nous permet d'avoir un suivi en ligne simple et rapide sur nos commandes, nos livraisons, nos demandes SAV, les retours de palettes, les commandes d'outils marketing, etc… Notre commercial nous accompagne sur la mise en place de l'Atelier Oknoplast afin de donner naissance à un véritable showroom en partenariat avec le groupe. Nous avons également pu bénéficier de formations à Rennes au siège avec Monsieur Jean-Luc Schlosser. L'occasion pour mon équipe et moi-même de rencontrer les collaborateurs du pôle de la filiale France, aussi bien les techniciens, que le service administration des ventes et le marketing. Nous conservons un lien de proximité avec notre commercial qui vient régulièrement nous voir et avec qui nous avons un soutien constant dans la recherche éventuelle de solutions en cas de problèmes mais également pour faire naître des évolutions en réponse aux nouveaux projets à venir.Quelles sont vos premières impressions après ces premiers mois depuis la mise en place de votre collaboration avec le groupe ? Et que pouvons-nous vous souhaiter pour la suite ?Nous sommes très satisfaits de cette collaboration pour le moment. Nous avons reçu un bon accompagnement lors de notre intégration dans le réseau ce qui fut très appréciable. A présent, nous espérons pouvoir continuer de grandir, gagner de plus en plus de parts de marché sur notre secteur afin de venir y ouvrir de nouvelles agences.
Il y a 4 ans et 71 jours

Pascale Thery est la nouvelle directrice de l’usine Isover de Chalon-sur-Saône

Elle succède à Christophe Rogier, parti prendre les rênes d’Isonat
Il y a 4 ans et 72 jours

Le Groupe Knauf engage ses clients dans l’Économie Circulaire du PSE avec Knauf Circular®

Knauf Circular® : la réponse aux enjeux réglementaires, économiques et environnementaux du recyclage L’avenir du plastique, la gestion des déchets et l’économie circulaire constituent les sujets phares des nouvelles réglementations qui se développent en France et en Europe. Les bases de ces nouvelles réglementations avaient été initiées par la Feuille de Route Économie Circulaire (FREC). Dans ce contexte, l’AFIPEB (Association Française de l’Isolation en Polystyrène dans le Bâtiment) prenait déjà un engagement volontaire visant annuellement une valorisation de 2500 tonnes de PSE d’ici 2025. Membre d’Elipso (association des entreprises de l’emballage plastique fortement impliquée dans une dynamique d’économie circulaire), Knauf Industries s’est aussi engagée à réincorporer 4000 tonnes par an de polystyrène expansé recyclé dans ses calages industriels et emballages de manutention, et ce d’ici 2023. Promulguée le 10 février 2020, la Loi Anti-Gaspillage pour une Économie Circulaire, dite AGEC, entre en application au travers de la publication des différents décrets.Pour la filière emballage, l’AGEC, et en particulier son futur décret 3R, imposera le recyclage, la réutilisation ou le réemploi des emballages et la réduction de l’emploi de plastiques vierges. Son objectif est de tendre vers 100 % de plastiques recyclés en 2025. Pour la filière bâtiment, elle imposera à partir du 1er juillet 2021, à toute entreprise, d’intégrer dans ses devis les informations relatives à la gestion des déchets de travaux de construction : les modalités, leurs coûts, les installations dans lesquelles ils seront déposés en fonction de leur typologie. Dès le 1er janvier 2022, une Responsabilité Élargie du Producteur ainsi qu’une éco-contribution (création d’un éco-organisme chargé de la gestion des déchets pour accélérer leur valorisation) seront mises en place. L’éco-contribution sera financée par un système d’écotaxes, modulées en fonction de la performance environnementale du produit. Et, enfin, la loi de Transition Énergétique pour la Croissance Verte (LTECV) ambitionne que la part du recyclage des déchets non dangereux devra atteindre les 65 % d’ici 2025. Knauf Circular®, en développant un service de collecte et de recyclage des déchets de PSE pour qu’ils soient réintroduits dans de nouveaux produits, répond totalement à ces exigences.Knauf Circular® : un service innovant pour la lutte contre le gaspillage, l’enfouissement ou la mise en décharge De par cette véritable opportunité économique et environnementale, le Groupe Knauf témoigne concrètement de son engagement en faveur de l’environnement et de sa volonté d’accompagner ses clients dans cette démarche. Knauf Circular® se destine à tous les utilisateurs de PSE : négoces en matériaux, entreprises du bâtiment, grandes surfaces de bricolage et alimentaires, professionnels de la mer, industriels et aussi déchetteries, permettant de collecter les PSE post consommation des ménages.Knauf Circular® opère la collecte sur sites des déchets propres de PSE : chutes de chantier d’isolation (hors déconstruction), caisses marée, emballages industriels et commerciaux, calages de protection…, commercialisés par Knauf ou non, pour les introduire dans une filière de collecte et de recyclage responsable, fiable, et garante de leur revalorisation en de nouveaux produits en polystyrène pour le bâtiment, l’emballage ou la vie courante. Pour s’assurer d’une valorisation optimale, vertueuse et suivie des déchets de PSE, il suffit pour l’entreprise qui souhaite bénéficier de Knauf Circular® de signer la convention prévue à cet effet. Cette prestation de service payante Knauf Circular® se traduit par la mise à disposition de sacs de 1 m³ de contenance (ou le cas échéant, d’un moyen de reprise plus conséquent) et de leur reprise sous 10 jours sur sites (chantiers, entreprises, points de regroupement...) pour un minima de sacs de PSE établi en fonction de la quantité de déchets de PSE générée par l’activité et le profil de l’entreprise (industriels, négoces, mareyeurs, déchetteries…). Knauf Circular® se veut d’une grande praticité d’utilisation au quotidien, avec des sacs faciles à porter, fermés et transparents qui seront enlevés sur site sur simple appel au numéro vert dédié. Lors de cette collecte, un bordereau de suivi des déchets sera délivré, pour preuve de traçabilité, justifiant du recyclage des déchets.Knauf Circular® : un service unique ouvert à tous les secteurs d’activité au niveau national qui apporte la garantie du recyclage du PSE Pour la phase pilote du quart Sud-Est de la France, Knauf Circular® s’est déjà traduit par la signature d’une cinquantaine de conventions en quelques mois et la mise à disposition de 10000 sacs dans les 4 usines pilotes du projet. Knauf Circular® s’impose à date comme la seule proposition de service de collecte et de recyclage du PSE en France avec un tel maillage du territoire et une telle proximité avec ses clients. Des investissements industriels d’un montant supérieur à 2 millions d’euros ont ainsi été engagés pour doter chacun des 18 sites en équipements de traitement du PSE collecté, offrant une capacité de recyclage annuelle de plusieurs milliers de tonnes de PSE. Knauf Circular® se traduit également par la création d’un poste au siège de l’entreprise en Alsace, pour assurer l’administration commune aux différentes entités Knauf de cette activité. Knauf Circular® apporte la preuve que le PSE est recyclable et recyclé. Il pérennise l’usage du PSE dans ses différentes applications en lui apportant une solution concrète de recyclage, totalement en adéquation avec les nouvelles réglementations. Cette action forte s’inscrit sur le long terme dans le cadre de la démarche de responsabilité sociétale du Groupe Knauf.« Nous développons les filières de collecte et de recyclage du PSE pour réduire l’utilisation de la matière vierge. Nos usines sont équipées de dispositifs de collecte et de recyclage des déchets d’emballages alimentaires et industriels et de chutes de chantiers du bâtiment. Grâce à la proximité géographique avec les clients, de plus en plus de déchets post-consommation et de chutes de production trouvent une seconde vie et entrent dans la composition de nouveaux produits Knauf, cales, panneaux d’isolation… Ceux qui s’avèrent impropres à une réintroduction dans nos productions seront retraités par des recycleurs partenaires en France ou en Europe pour devenir des biens de consommation courante ou des produits d’isolation pour le bâtiment. » Kurt Münder, PDG Knauf Industries« Le Groupe Knauf relève et relèvera plusieurs défis pour que la filière PSE entre concrètement dans l’économie circulaire. Aujourd’hui, avec Knauf Circular®, les utilisateurs sont assurés de la totale revalorisation de leurs déchets de PSE. D’autres programmes de recherche et développement viendront enrichir cette première initiative dans les années à venir. Des recherches sont en cours en matière d’écoconception pour favoriser le recyclage des matériaux en fin de vie. Knauf travaille également à augmenter la part de PSE recyclé dans ses produits neufs, qui doivent répondre aux exigences techniques et réglementaires de leur domaine d’application – bâtiment et emballage. De belles perspectives s’offrent à nous pour inscrire notre Groupe dans l’économie circulaire ! » Christine Muscat, DG Knauf FranceKnauf Circular® : un service simple et complet qui accompagne le client et valorise son action Toute l’actualité Knauf Circular® est à suivre sur le site dédié, www.knaufcircular.fr qui informe sur les modalités de reprises en fonction de la typologie de convention signée (négoces et entreprises de pose, professionnels de la mer, industriels et grandes surfaces, déchetteries) et sur les différents types de PSE collectés. Knauf y propose notamment une vidéo de présentation avec des témoignages clients issus des différentes activités (bâtiment, emballages, industrie). Le Groupe Knauf accompagne également les professionnels signataires de conventions Knauf Circular® pour qu’ils puissent porter haut les couleurs de leur engagement au travers de supports de communication dédiés ; des outils utiles et pragmatiques, qui reprennent les arguments justifiant de cette démarche concrète en faveur de l’économie circulaire du PSE.
Il y a 4 ans et 75 jours

Saint-Gobain Distribution Bâtiment France déploie un escape game digital au sein des écoles de commerce

Afin de se faire mieux connaître des plus jeunes, Saint-Gobain Distribution Bâtiment France a choisi de faire appel à un outil tout à la fois ludique, pédagogique, dynamique et moderne : l’escape game. Et pour être sûre de pouvoir toucher les étudiants quel que soit le contexte sanitaire, l’entreprise a opté pour un escape game digital.Un moyen original de se faire connaître et de créer du lienL’un des éléments clés du recrutement est de faire connaître son entreprise, ses engagements, son potentiel. Cela est d’autant plus vrai auprès des jeunes publics qui connaissent mal toutes les possibilités offertes par une entreprise telle que Saint-Gobain Distribution Bâtiment France.Afin de pourvoir les 700 postes en alternance et en stage disponibles chaque année, l’entreprise a choisi une manière innovante d’aller au-devant des étudiants en leur proposant de participer à un escape game. Crise sanitaire oblige, Saint-Gobain Distribution Bâtiment France organise ce jeu en virtuel. Vingt-quatre étudiants de la Burgundy Business School de Dijon ont eu la primeur de cet escape game le 1er décembre 2020. À la clé, un moment de partage qui les a enthousiasmés et qui a constitué pour les quatre équipes de six étudiants un véritable challenge ludique et pédagogique.Créer de l’animation dans les écolesLes écoles sont aussi en recherche d’activités pour animer des rencontres entre les étudiants et les entreprises.Le principe de l’escape game mis en place par Saint-Gobain Distribution Bâtiment France est donc une façon très originale de créer du lien et un réel dynamisme. Le scenario choisi embarque les étudiants dans unemission à la fois amusante et fédératrice, issu d’une série télévisée célèbre et dans lequel ils doivent déjouer les plans d’un braquage de banque.En travaillant ensemble et en cherchant des solutions, les étudiants développent un véritable esprit d’équipe et une vraie cohésion de groupe et cela même en jouant à distance les uns des autres.En observant leurs attitudes et leurs réactions, les équipes de Saint-Gobain Distribution Bâtiment France peuvent déterminer les compétences comportementales de chacun et les mettre en parallèle des besoins des métiers proposés par l’entreprise.Saint-Gobain Distribution Bâtiment France prévoit de mettre en place cet escape game dans trois écoles dès le début d’année 2021 puis de le déployer dans 11 écoles partenaires.
Il y a 4 ans et 76 jours

Brise-soleil verticaux pour une école élémentaire

Implanté sur la ville de Fâches-Thumesnil (59), le programme de réhabilitation de l’école élémentaire Kléber, rénovée entre 2018 et 2020, a consisté à renforcer l’isolation thermique du bâtiment, à réaménager ses abords et sa cour de récréation. S’agissant de la façade de l’école, l’atelier d’architecture Charles RENARD (59), en charge du projet, a pris le parti de l’agrémenter de brise-soleil à lames orientables de la gamme Recti’Ligne de TELLIER BRISE-SOLEIL. Le rôle premier des lames est de rendre un bâtiment plus confortable. Une étude de la course solaire a été déterminante pour utiliser les bienfaits du soleil tout en préservant le bâtiment des fortes chaleurs et ses occupants de l’éblouissement. Les brise-soleil à lames debout installés sur la façade de l’école Kleber permettent de bloquer les rayons du soleil lorsqu’ils sont bas dans l’horizon, ils assurent ainsi le confort d’été souhaité. Cette solution de rafraîchissement passif offre de nombreux avantages (écologiques, esthétiques et économiques) tout en répondant aux besoins des usagers en matière de protection. Grâce à la simplicité de rotation des lames pilotées à l’aide de vérins motorisées, les occupants de l’école peuvent moduler l’ombrage et régler les apports de lumière naturelle. Selon la période de l’année ou le moment de la journée, ils bénéficient ainsi continuellement d’un éclairage optimal. Ils peuvent également assurer une occultation totale en position fermée.  Composées de lames de section 350 x 50 cm, de barres de manœuvre et de montants tubulaires, les brise-soleil Recti’Ligne ont été entièrement usinés dans les ateliers de TELLIER BRISE-SOLEIL à Chemillé-en-Anjou (49). Toutes les pièces nécessaires à leur fonctionnement ont été assemblées en usine, y compris les kits de rotation placés aux extrémités des lames.  Le système de montage “en prêt-à-poser” a permis aux installateurs de gagner du temps et de faciliter la pose sur le chantier de l’école Kléber, en seulement 2 semaines.  Maîtrise d’ouvrage : Ville de FACHES-THUMESNIL (59) Maîtrise d’œuvre & Crédits photos : Atelier Charles RENARD – Architecte ROUBAIX (59) Entreprise de pose : Ecolopo (59) 
Il y a 4 ans et 76 jours

Des nouveautés en bambou

MOSO international, spécialiste des solutions en bambou pour l’intérieur comme l’extérieur, apporte des innovations majeures à sa gamme de lames de terrasse Bamboo X-treme® qui permettent de gagner du temps lors de la pose. L’entreprise ajoute à sa gamme une lame de 30 mm d’épaisseur (137 x 30 mm), spécialement adaptée pour habiller des projets architecturaux exigeants, tels que des passerelles piétonnes ou des ponts. Soucieux d’améliorer la qualité de ses produits, MOSO propose désormais une gamme de lames de terrasse finies en usine avec le saturateur Sikkens Cetol WF 771. Ce procédé offre un avantage en termes de gain de temps. D’une part, l’artisan est dispensé d’une étape de finition lors de la pose et d’autre part, la terrasse est immédiatement utilisable. En plus des lames avec une face lisse et striée standard, MOSO propose désormais une lame de terrasse avec une face striée V et une face brossée en 155 mm de large. La lame brossée et striée V est réversible :  côté strié laissant apparaître les fines stries pour un design élégant ou côté brossé pour une installation sécurisée. La lame de terrasse version brossée obtient d’excellents résultats en termes de résistance à la glissance ce pour des installations autour de piscines ou dans des zones à trafic intense. Par ailleurs, la nouvelle lame « bombée » se révèle très pratique, avec un léger bombage de 1,5 mm, l’eau s’écoule directement sur le côté, de sorte que les lames sèchent rapidement et se salissent moins. La nouvelle forme facilite également l’installation puisque cette dernière ne requière aucune pente. Les lames de terrasse bombées sont disponibles en 155 mm de large. Photo : Candlewood Lake – Photographer/Design: Rob Turner Studios  
Il y a 4 ans et 76 jours

La construction hors-site, solution pour un secteur "qui investit et innove peu"

RAPPORT. Pour les dirigeants de Real Estech, qui ont rendu leur rapport au gouvernement, 80% à 85% des travaux de construction pourraient être réalisés en usine. Les atout d'une telle industrialisation sont nombreux, mais des évolutions sont nécessaires, notamment d'un point de vue réglementaire.
Il y a 4 ans et 76 jours

Première réunion du Conseil National de l’Hydrogène

La stratégie pour le développement d’un hydrogène décarboné place la France parmi les pays les plus en pointe sur cette technologieCette stratégie, qui a été annoncée par le gouvernement le 8 septembre 2020, prévoit 7 milliards d'euros de soutien public d'ici 2030, dont 2 milliards d'euros d'ici 2022, dans le cadre de France Relance et des Investissements d’Avenir.La supervision des travaux menés pour la mise en œuvre de cette stratégie est assurée par un coordonnateur, Hoang Bui, dont la nomination a été confirmée.Les co-présidents du CNH, Benoit Potier, président directeur général d’Air Liquide, et Patrick Koller, directeur général de Faurecia, ont présenté une analyse comparative des stratégies internationales sur l’hydrogène, se fondant notamment sur les travaux du Conseil mondial de l’hydrogène (Hydrogen Council).Il en ressort que la France est positionnée dans le peloton de tête des pays les plus avancés pour leur stratégie, aux côtés de l’Allemagne en Europe ou de la Chine, la Corée et le Japon en Asie. Les critères d’évaluation suivants ont été analysés : développement de la production de l’hydrogène renouvelable et bas carbone, définition d’objectifs clairs, dispositif de pilotage et de suivi de la stratégie, moyens financiers, adaptation des réglementations.Le lancement de la stratégie en septembre a engendré une forte dynamique industrielleLe Conseil national de l’hydrogène constate une forte dynamique industrielle qui est amenée à se poursuivre dans les prochains mois.Dans le cadre de France Relance, 27 projets de R&D et d’intégration de technologies hydrogène ont d’ores et déjà été soutenus, pour 212 M€ d’investissement total et 37 M€ de soutien public(2).A ces projets viennent s’ajouter 60 M€ de soutien à la filière aéronautique dans le cadre du CORAC (Comité d’orientation de la recherche pour l’aéronautique civile). Par ailleurs, début 2021, un soutien financier a été annoncé pour aider 4 régions (Occitanie, Bourgogne-Franche-Comté, Auvergne-Rhône-Alpes, Grand-Est) à acquérir 14 trains hydrogène représentant un investissement total de 300 M€.Dans le cadre de la première session de l’appel à projets « écosystèmes territoriaux » de l’ADEME, 7 projets, représentant un investissement de 136M€ et une demande d’aide de 45M€, ont été présélectionnés pour soutenir la production par électrolyse et la mobilité hydrogène. La deuxième session de cet appel à projets compte déjà plus de 47 nouvelles demandes ouvertes, pour une présélection en juin.De premiers éléments ont été présentés concernant les projets d’envergure qui pourraient bénéficier d’un accompagnement dans le cadre du PIIEC(3) en cours de construction au niveau européen, sous l’impulsion de la France et de l’Allemagne. Ces projets français représentent un montant total d’aide avoisinant les 8 Mds € et concernent la production d’électrolyseurs, la décarbonation de l’industrie lourde, la production des équipements pour la mobilité. Les projets retenus donneront lieu aux premiers versements d’aides dès la fin de l’année.Dans ce cadre France Hydrogène a dénombré 4 projets d’usines en France de fabrication d’électrolyseurs et a identifié des installations d’électrolyse projetées d’une puissance totale de 3,2 GW, soit d’ores et déjà près de 50% de l’objectif fixé par la stratégie nationale de disposer d’une capacité d’électrolyse sur notre territoire de 6,5 GW en 2030.Des projets innovants utilisant les technologies de l’hydrogène sont également en développement dans les systèmes électriques des zones non interconnectées en outre-mer, tel que le projet CEOG(4) de centrale photovoltaïque à puissance garantie avec stockage hydrogène. Les modalités de son soutien sont en cours d’étude.Les écosystèmes français affichent une bonne maîtrise des technologies clés et le CNH travaille à renforcer les compétences et la chaine de valeur françaiseLe Conseil national Hydrogène a établi une cartographie des technologies clés, en s’appuyant sur l’expertise de l’ensemble des comités stratégiques de filières concernés. Cette analyse montre que la France maîtrise ou disposera rapidement de toutes les technologies critiques nécessaires à sa souveraineté et permettant un passage rapide à l'échelle industrielle. Des thématiques prioritaires ont été identifiées pour faire l’objet de travaux complémentaires. Il s’agit par exemple des membranes, des compresseurs d’air pour piles à combustible et électrolyseurs, ou encore des procédés de décarbonation pour l’industrie sidérurgique et les cimenteries.Le Conseil national de l’Hydrogène a ainsi initié des travaux pour identifier des contributeurs, former des consortia et développer des technologies, équipements, applications et logiciels correspondant pour renforcer la chaine de valeur française.Afin de soutenir ces nouveaux projets de R&D, le Secrétariat général pour l'investissement a amélioré le dispositif d’aide « briques technologiques et démonstrateurs hydrogène » opéré par l’ADEME, en portant notamment la part de subvention dans les aides accordées à 60%, voire 75% sous certaines conditions.Les industriels du Conseil national de l’hydrogène s’engagent pour développer les formations au sein de la filièreLa dynamique de la filière hydrogène est porteuse de perspectives importantes d’emplois.France Hydrogène est ainsi en cours de finalisation d’un référentiel des compétences-métiers qui sera présenté fin mars et accessible par internet. Sur les 75 métiers identifiés, une quinzaine apparait déjà en tension. Pour y remédier, des initiatives dans le domaine de la formation professionnelle ont été évoquées lors de cette réunion, telles que « la Symbio Hydrogen Academy » portée par l’entreprise Symbio et ses actionnaires Faurecia et Michelin. Elle vise à former 300 personnes par an aux métiers de l’hydrogène dans la région lyonnaise.De la même manière, le groupe Air Liquide apporte son soutien aux initiatives telles que la « H2 Académie », qui est destinée notamment à former des étudiants en BTS à partir de septembre 2021 à Port-Jérôme, près du Havre.Le Conseil national de l’hydrogène se réunira régulièrement pour s’assurer de la bonne mise en œuvre de la stratégie hydrogèneLa prochaine réunion du Conseil national de l'hydrogène se tiendra d’ici l’été. Elle permettra de faire le point sur des thématiques d’intérêt commun telles que :les enjeux de réglementation et de normalisation spécifiques au domaine de l’hydrogène, via des groupes de travail associant les industriels pour construire un cadre réglementaire permettant le développement de la filière en toute sécuritéles projets et partenariats autour des technologies clefs qui font encore défaut à la filière françaisela mise en place de mécanismes de soutien à la production d’hydrogène renouvelable et décarbonéla question des infrastructures de transport et de distribution(1) Le rôle et la constitution du Conseil national de l’hydrogène avaient été précisés lors d’un communiqué de presse le 11 janvier 2021.(2) Les subventions proviennent des fonds de modernisation automobile et aéronautique, du soutien aux projets industriels dans les territoires, du Programme Investissements d’Avenir dans le cadre du Comité d’orientation de la recherche pour l’automobile et les mobilités (CORAM).(3) Projet Important d’Intérêt Européen Commun. Le dispositif, à l’instar de celui sur les batteries, autorise les Etats membres à financer les projets au-delà des limites habituellement fixées par la réglementation européenne lorsqu’il s’agit de soutenir des projets de grande ampleur qui apportent une contribution très importante à la croissance économique, à l’emploi et à la compétitivité de l’industrie et de l’économie de l’Union(4) Centrale Electrique de l’Ouest Guyanais
Il y a 4 ans et 76 jours

Le groupe Kramer retire son offre de reprise de l’usine Jacob Delafon à Damparis dans le Jura

Par cette acquisition, le groupe Kramer souhaitait diversifier ses activités et étoffer logiquement son offre sur l’ensemble du marché sanitaire (céramique et robinetterie) en France et à l’export.Malgré la réactivité et l’implication des services de l’Etat, de la région et de ses partenaires commerciaux, le groupe Kramer a pris la décision de retirer son offre de reprise.Selon le groupe Kramer, l’opacité dont a fait preuve le groupe Kohler en matière d’informations ne permet pas de répondre aux conditions et délais imposés par celui-ci et emporte aujourd’hui la conviction de l’impossibilité de mener à bien ce projet que le repreneur n’aura jamais pu exposer directement aux salariés.Manuel Rodriguez, président du groupe Kramer, a adressé à l’ensemble des salariés du site de Damparis, une lettre ouverte pour leur faire part de sa décision de renoncer de façon responsable au projet, ne souhaitant pas ajouter davantage d’incertitude à leur situation déjà très anxiogène.Manuel Rodriguez a fait part également de sa déception de n’avoir pu sauver 91 emplois sur les 150 que compte le site de Damparis. Il assure, par ailleurs, que son groupe continuera de porter haut et fort les valeurs du Made in France.Le gouvernement tente de "renouer le dialogue"Le gouvernement s'efforce de "renouer les liens du dialogue" entre le groupe américain Kohler, qui veut se séparer de l'usine Jacob Delafon, à Damparis (Jura), et le groupe français Kramer qui a retiré mardi l'unique offre de reprise.La ministre déléguée à l'Industrie Agnès Pannier-Runacher "tente de renouer les liens du dialogue aujourd'hui rompus entre les deux groupes pour voir si une solution de reprise peut exister", a affirmé le porte-parole du gouvernement Gabriel Attal, à l'issue du conseil des ministres."Il y a donc une mobilisation du gouvernement sur ce sujet", a-t-il ajouté, au lendemain de l'annonce par Kramer du retrait de la seule offre de rachat du dernier fabricant français de sanitaires en céramique haut de gamme, qui compte 140 salariés à Damparis.Le groupe américain veut se séparer depuis septembre parce qu'il "n'entre plus dans sa stratégie" à partir de 2021.PME de robinetterie basée à Etain (Meuse), Kramer avait déposé début février une lettre d'intention auprès de Kohler pour la reprise partielle du site de Damparis à partir du 30 juin prochain, avec la préservation de 91 emplois sur 140 et l'objectif d'augmenter l'effectif au bout de trois ans grâce à la montée en puissance de la production.Son projet reposait sur une première année de fabrication pour le compte de Kohler.
Il y a 4 ans et 76 jours

Christophe Rogier est nommé directeur général d’Isonat

La société du groupe Saint-Gobain, spécialisée dans les isolants biosourcés, vient d'annoncer, au 1er janvier 2021, la nomination au poste de directeur général de l’ancien directeur de l’usine Isover de Chalon-sur-Saône.
Il y a 4 ans et 78 jours

RATP Habitat obtient la certification ISO 9001 sur l'ensemble de ses activités

« Nous sommes très fiers d'annoncer aujourd'hui l'obtention de la certification ISO 9001 sur l'ensemble de nos activités ! Cela met en lumière notre volonté d'amélioration continue et notre esprit d'innovation, toujours axés vers une plus grande satisfaction des locataires et des territoires. Cette réussite est collective. Elle est le reflet de l'engagement quotidien des 150 collaborateurs de RATP Habitat qui œuvrent chaque jour en faveur d'une ville plus inclusive, responsable et durable. » Claire Goudineau, Directrice Générale de RATP HabitatAux côtés du groupe RATP et de la Business Unit RATP Solutions Ville dont elle dépend, RATP Habitat imagine et redessine, les contours d'une ville plus inclusive, responsable et durable, ouverte aux transformations et aux innovations, attentive aux nécessaires évolutions de leur modèle urbain.Cette filiale, spécialisée dans l'habitat social, est engagée depuis maintenant 60 ans en faveur du développement des territoires et de la mixité sociale. La certification ISO 9001 vient aujourd'hui reconnaître ses compétences et le sérieux de son travail en matière de construction, de réhabilitation et de gestion locative de logements et de commerces.Cette certification a été obtenue à l'issue d'un processus d'environ 18 mois. Processus au terme duquel un audit a été réalisé par Bureau Veritas, organisme de certification, entre le 14 et le 16 décembre 2020.
Il y a 4 ans et 78 jours

Cem’In’Eu : Mettre Rhône Ciments entre train et fleuve

Le port de Sète permet de faire transiter le clinker de la mer au fleuve. [©Cem’In’Eu] Connecté aux réseaux ferré et fluvial, le nouveau site industriel de la start-up cimentière Cem’In’Eu de Portes-lès-Valence (26) lance l’approvisionnement par le Rhône. La première barge de clinker en provenance de Sète (34) a accosté, le 8 février dernier, au port fluvial de commerce de la Drôme, à Valence. A l’heure actuelle en phase de démarrage industriel, le nouveau site baptisé Rhône Ciments est la 2e usine française de Cem’In’Eu (après celle d’Aliénor Ciments, à Tonneins, dans le Lot-et-Garonne). Le groupe déploie un nouveau modèle industriel 4.0, qui intègre une chaîne logistique optimisée au maximum. Ceci, afin de réduire l’impact carbone de l’industrie cimentière. Rhône Ciments sera approvisionnée en matières premières à la fois par voie ferrée et par le Rhône en provenance du port de Sète. Rhône Ciments, un site choisi avec stratégie A terme, l’usine recevra environ 4 000 t de clinker par semaine par ces deux moyens de transport. Le transport fluvial est affrété par l’entreprise sétoise Cem’In’Log [lien vers https://www.acpresse.fr/cemineu-conteneur-train-clinker-voyage-propre/]  et opéré par Agora Fluvial (groupe Sogestran). Placée au cœur des territoires, Rhône Ciments est idéalement située pour desservir les marchés d’Auvergne – Rhône-Alpes Sud et de Provence – Alpes – Côte d’Azur et Occitanie.  « Si nous avons sélectionné le site de Portes-lès-Valence pour implanter Rhône Ciments, c’est pour sa connexion aux réseaux fluvial et ferré, déclare Magali Laurenço [Lein vers https://www.acpresse.fr/nominations-feminines-chez-cemineu/], directrice de Rhône Ciments. Un atout unique pour atteindre nos objectifs ambitieux en matière d’impact carbone. La collaboration avec la Compagnie nationale du Rhône et la CCI Drôme nous permet aujourd’hui d’accueillir la première barge de clinker dans de bonnes conditions et d’envisager de manière sereine notre développement, dans le respect de l’environnement. »