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Il y a 3 ans et 333 jours

Fioul domestique : la FF3C juge la position des sénateurs en faveur du biofioul « cohérente et juste »

Les sénateurs ont voté en faveur de son remplacement progressif par un biocombustible liquide – le biofioul –incorporé dès l’année prochaine, jusqu’à 30 % dans le fioul domestique: « L’État crée les conditions pour que la part renouvelable des combustibles liquides de chauffage soit au moins égale à 30 % de la consommation finale d’énergie des combustibles liquides de chauffage en 2030 » Claude Malhuret, sénateur de l’Allier, a souligné l’intérêt de « soutenir activement la mise en place d’un processus rapide de remplacement du fioul domestique fossile par un bioliquide renouvelable », lequel « permettrait de diminuer les émissions de gaz à effet de serre liées à l’utilisation du fioul domestique ». Le sénateur a également rappelé que « l’incorporation d’un bioliquide dans le fioul domestique entraînant une diminution de 50 à 70 % des émissions de gaz à effet de serre, le développement de l’incorporation de ce bioliquide permettrait également de préserver le mode de chauffage des territoires les plus éloignés des grandes métropoles ». Ce vote sénatorial intervient dans la foulée du rapport du député du Vaucluse Julien Aubert, présenté en commission des finances à l’Assemblée Nationale le 3 juin dernier, appelant le gouvernement à adapter la trajectoire « d’élimination des équipements au fioul » définie en 2018 à la situation des territoires. La session plénière des Rencontres Professionnelles 2021 de la distribution des combustibles et carburants a pris connaissance de cette avancée pour la trajectoire de remplacement du fioul domestique fossile. Pour Éric Layly, Président de la Fédération Française des Combustibles, Carburants et Chauffage (FF3C), organisation professionnelle représentant 1.500 professionnels indépendants de la distribution d’énergies hors réseaux, « le Sénat a adopté une position cohérente et juste à même de favoriser la transition énergétique dans les territoires tout en tenant compte des contraintes, des inquiétudes et de la situation non seulement énergétique mais également économique des usagers des zones périurbaines et rurales. » De son côté, le gouvernement a indiqué souhaiter s’assurer de la compatibilité des chaudières avec le biofioul avant de pouvoir en approuver le développement. Préparant depuis 3 ans la transition du fioul domestique vers le biofioul, la FF3C est aujourd’hui en mesure de garantir aux professionnels du secteur comme aux consommateurs la pleine compatibilité technologique des matériels. Des essais, en voie de finalisation, devraient confirmer dès la rentrée de septembre cette compatibilité technologique. Plusieurs constructeurs ont d’ores et déjà annoncé la compatibilité de leurs matériels avec un bioliquide contenant jusqu’à 30 % d’ester de colza, matérialisée par un marquage « Biofioul ready ». La FF3C souligne également la place des agriculteurs de la filière française des huiles et protéines végétales, représentés par la Fédération française des producteurs d’Oléagineux et de Protéagineux (FOP), dans la transition du fioul domestique vers le biofioul. En effet, le développement du biofioul offre un nouveau débouché aux productions de protéines végétales françaises pour l’alimentation animale grâce à la valorisation concomitante de l’huile et de la protéine contenues dans la graine de colza. Sa mise en œuvre contribuera ainsi à la souveraineté protéinique de la France dont les objectifs et moyens ont été formalisés dans le Plan Protéine présenté par le ministre de l’Agriculture le 1er décembre 2020. 3ème énergie de chauffage en France, le fioul domestique équipe 3,5 millions de résidences principales, principalement dans des territoires ruraux et périurbains non desservis par le gaz de ville. Son utilisation est particulièrement importante dans des zones où les températures hivernales sont basses (façade Est, régions Hauts-de-France et Auvergne-Rhône-Alpes, entre autres) et où la substitution par une pompe à chaleur (PAC) est complexe, onéreuse (15.000 euros en moyenne) et pas toujours adaptée.
Il y a 3 ans et 334 jours

Zoom sur : la façade tout en courbes de Christophe Rousselle

L’architecte Christophe Roussel a réalisé un ensemble de 134 logements complétés de cinq locaux commerciaux à Colombes (92). Un programme tout en courbes, comme son nom l’indique, puisqu’il est identifiable grâce à sa multitude de balcons tortueux qui caractérisent sa façade. Retour sur un geste architectural fort. L’opération de 9 071 mètres carrés se compose de deux bâtiments en béton et en inox longeant la ligne de tramway de la commune des Hauts-de-Seine. Des commerces en double hauteur au rez-de-chaussée sont ainsi surplombés de logements, tous dotés d’espaces extérieurs singuliers. Ces terrasses, variées en formes et hauteurs, constituent la volumétrie si particulière de Courbes.Chaque étage fait l’objet d’un traitement spécial permettant de mettre son orientation en valeur et atténuant également les contraintes liées aux voisinages – vis à vis ou ombrage trop présent notamment. Les logements bénéficient ainsi de balcons uniques, d’une surface moyenne de 22 mètres carrés, dont les sols en bois sont délimités par des gardes corps vitrés jouant avec les rayons du soleil. Un traitement chaleureux qui vient alléger le caractère massif de l'ensemble.Pour en savoir plus, visitez le site de Christophe Rousselle.Visuels : © Takeji ShimmuraLa rédaction
Il y a 3 ans et 334 jours

Lancement d'un "plan fraîcheur" à Grenoble pour lutter contre les canicules en augmentation

Avec le réchauffement climatique, la ville de Grenoble et Météo France prévoient jusqu'à 43 jours de canicule en 2050, contre 3 par an aujourd'hui. L'agglomération est située dans une cuvette qui peut devenir étouffante en été.La municipalité souhaite "créer des espaces plus frais pour des endroits plus vivables", note son adjoint à la Nature en ville Gilles Namur, et "la fraîcheur passe par l'eau".A chaque nouveau pic de chaleur, à Grenoble et ailleurs, les fontaines se transforment en piscines improvisées, quand ce ne sont pas des bornes incendies qui sont ouvertes de force pour créer des geysers urbains.Pour contrer ces phénomènes interdits, la ville va installer plusieurs brumisateurs près des bassins d'ornements, notamment dans le quartier populaire du Mistral, et des brumisateurs temporaires, suspendus en hauteur pour éviter les dégradations.Ces projections de micro-gouttes "nous met dans des conditions sanitaires acceptables" et consomme très peu d'eau, avance Gilles Namur, second adjoint du maire écologiste Eric Piolle."Nous avons la volonté de rouvrir les fontaines, de les rendre plus accessibles," ajoute l'adjoint, ces brumisateurs étant une expérimentation appelée à s'étendre si elle fonctionne.Des écoles transformées en centre de loisirs l'été bénéficieront de matériel pour jouer avec l'eau, comme des tuyaux percés. De nouvelles bornes-fontaines, pour boire, seront également installées, le long de nouvelles pistes cyclables par exemple.Ce "plan fraîcheur" met aussi en avant l'objectif de végétalisation et de "débitumisation" de la ville, notamment autour des écoles. "L'arbre est un climatiseur", avance M. Namur.La ville envisage d'aménager, à terme, un bassin d'eau situé au sud de la ville, dans le quartier populaire de la Villeneuve, en plan d'eau à la baignade autorisée. Et rappelle, sur une carte dédiée aux points de fraîcheur, que la capitale des Alpes est entourée de montagnes et lacs d'altitude accessibles en bus.
Il y a 3 ans et 335 jours

Extension de cuisine lumineuse et moderne avec Hi-Macs®

Pour ce faire, un grand lanterneau a été installé au-dessus de la nouvelle annexe et le mur arrière a été ouvert par de grandes baies coulissantes au-dessus d'une banquette. Une coordination minutieuse de l'espace restreint a permis d'inclure un îlot de cuisine, surmonté d'un plan de travail en HI-MACS®, avec un coin bar, tout en laissant de la place pour une table à manger. Le sol, en béton poli, a été contrebalancé par l'utilisation de solives en chêne naturel pour soutenir le lanterneau et former le banc de la fenêtre, créant une esthétique à la fois contemporaine, fonctionnelle et chaleureuse.Les éléments de cuisine contemporains, sans poignée, sont complétés par les plans de travail en HI-MACS® Ivory White, choisis aussi bien pour leur facilité d’entretien que pour leur élégante finition. HI-MACS® est le matériau idéal pour les plans de travail de cuisine, car il est non poreux, extrêmement facile à nettoyer, d'un simple coup de chiffon humide, et peut être assemblé sans joints visibles, ce qui signifie qu'il ne donne aucune prise à la saleté et aux germes. Avec une garantie de 15 ans, lorsqu'il est installé par un membre de notre Quality Club, HI-MACS® offre un excellent rapport prix/performance. La crédence, pleine hauteur, en HI-MACS®, derrière l'évier et la zone de préparation, contribue à la sensation d'espace et d’harmonie."Nous avons demandé quelque chose de moderne et de plus créatif que le traditionnel retour latéral que l'on trouve dans la région. Les conceptions étaient fantastiques – une grande fenêtre surélevée avec une assise, des poutres en chêne, du béton poli et des briques apparentes", déclare Dan, le client."L'urgence sanitaire actuelle nous rappelle combien l'hygiène et la propreté sont importantes, et, naturellement, ce sont des caractéristiques essentielles qui exigent l'utilisation des meilleurs matériaux. HI-MACS®, grâce à sa résistance à la saleté, aux virus, aux bactéries et à de nombreux agents chimiques - certifiée au niveau international - est le matériau parfait pour les revêtements muraux, les meubles, les surfaces de travail et d'autres applications, où l'hygiène est sans concession." Martin Saxby - Country Manager LG Hausys Europe.
Il y a 3 ans et 336 jours

François Deroche, président de l’Association française pour les pompes à chaleur (AFPAC)

Directeur marketing chez Daikin, François Deroche est élu président de l’association en mars 2021. Il était vice-président depuis 2019 et succède à Eric Bataille.
Il y a 3 ans et 336 jours

Un nouvel espace de vie pour cet appartement à l'esprit bohème

VISITE. Savamment mis en valeur, cet appartement familial a su conserver le charme de son caractère ancien, malgré quelques modifications de son plan d'origine. Une élégante déco à l'esprit bohème y crée une ambiance chaleureuse, très accueillante.
Il y a 3 ans et 336 jours

L’OPPBTP et BTP-Prevoyance partenaires de la start-up Biodata bank pour prévenir les coups de chaleur sur les chantiers

Cette dernière a développé et breveté un bracelet intelligent dédié à la prévention, permettant d’analyser la température corporelle pour éviter les coups de chaleur. L’objectif de ce partenariat est de mettre en place, avec plus de 850 salariés du bâtiment et des travaux publics, un premier test à grande échelle de cette solution. Il s’agit également de sensibiliser les professionnels du BTP à ce risque de plus en plus présent dans l’environnement de travail, et de s’assurer de la valeur ajoutée médicale et technique de la solution en termes de prévention, grâce à la participation d’experts et médecins sensibilisés à la question.Le coup de chaleur, un risque majeur sur les chantiersLes périodes caniculaires toujours plus intenses, fréquentes et prolongées, et les importantes variations climatiques impactent directement les métiers du bâtiment et des travaux publics dont de nombreuses activités sont réalisées en extérieur. Les professionnels du BTP sont ainsi de plus en plus exposés au risque de « coup de chaleur », qui correspond à une élévation de la température du corps au-delà de 39° C et constitue une urgence vitale. En effet, le coup de chaleur doit être pris en charge et soigné rapidement pour ne pas entraîner de séquelles. Conscients de son impact sur leur santé, les acteurs du BTP sont donc de plus en plus mobilisés sur cette problématique.Une innovation au service de la préventionLa solution de détection développée par Biodata bank, la Heat Warning Watch Canaria™, est un bracelet intelligent permettant d’analyser la température corporelle pour détecter les coups de chaleur dans des cas d’usage très variés. Au coeur de cette innovation, un nouveau capteur de flux thermique et algorithme qui permet de surveiller la température corporelle sans connexion de communication requise. Facile à distribuer, hygiénique et imperméable, le bracelet a vocation à permettre d’alerter simplement l’utilisateur lorsque sa température corporelle augmente d’un degré grâce à un signal luminaux et sonore.Du fait de son intérêt évident sur les chantiers, la start-up a pu intégrer en novembre 2019 l’Accélérateur Santé Prévention du BTP, à l’issue du 6ème comité de sélection de start-up. Créé par l’OPPBTP en partenariat avec la Fondation Excellence SMA, PRO BTP et le CCCA-BTP, et piloté par Impulse Partner, l’Accélérateur Santé Prévention du BTP se donne en effet l’objectif de repérer et soutenir des projets innovants et des start-up, en particulier en aidant à la mise en relation avec des clients potentiels du BTP et à l’expérimentation des solutions innovantes.C’est dans ce cadre que Biodata bank, l’OPPBTP et BTP-PREVOYANCE souhaitent aujourd’hui conjuguer leurs efforts pour réaliser le premier test de la solution sur chantier.Une première expérimentation auprès de plus de 850 salariés du BTPCe partenariat a pour objectif d’évaluer la fiabilité et la valeur ajoutée en prévention du bracelet intelligent développé par Biodata bank pour pouvoir, à long terme, accompagner la profession face à la problématique du coup de chaleur, en lui apportant une nouvelle solution innovante et fiable. Pour cela, l’OPPBTP a élaboré un protocole expérimental d’essai dans les conditions réelles d’utilisation, ayant débuté au début du mois de juin 2021. Celui-ci prend en compte les spécificités de plusieurs métiers représentés par une population cible de plus de 850 personnes salariées du BTP, au sein de 24 entreprises volontaires et 53 entités identifiées avec l’aide de BTP-PREVOYANCE. Au terme d’une période de test de la solution de 3 mois, les salariés testeurs volontaires pourront livrer leurs retours d’expérience sur la solution. Grâce à cette évaluation, l’OPPBTP livrera une évaluation du dispositif reposant sur l’expertise médicale de Dominique Leuxe, médecin conseil national de l’OPPBTP, et l’expertise technique de Mohamed Trabelsi, responsable du domaine EPI au sein de l’OPPBTP.Les mesures et les conclusions issues de cette expérimentation permettront d’enrichir une démarche globale d’amélioration de la prévention du risque de coup de chaleur.De nombreuses ressources à destination des entreprisesSur son site internet preventionbtp.fr, l’OPPBTP met à disposition des professionnels du Bâtiment et des Travaux Publics de nombreux outils afin de les aider à connaître et à adopter les bons réflexes pour se protéger en cas de hausse des températures. Dans la rubrique Sur les chantiers, la page « Je suis exposé à des températures extrêmes » regroupe ainsi l’ensemble des ressources en lien avec cette situation de travail. Les professionnels y retrouveront notamment :Des solutions concrètes et pratiques à mettre en œuvre sur le terrain (Covid-19 : porter un masque par fortes chaleurs ; Choisir les bons vêtements de protection ; Bien choisir ses équipements de protection individuelle des yeux et du visage…) ;Des affiches à télécharger gratuitement, à imprimer et à placarder dans les bases vie ;Des questions / réponses pour répondre à toutes les interrogations des entreprises concernant la prise en charge des risques liés aux fortes chaleurs ;Des références juridiques pour comprendre la réglementation légale autour de la gestion des épisodes de canicule, dans un contexte de pandémie Covid-19 ;Une fiche conseil afin d’adopter les bons réflexes pour aérer et rafraîchir ;Des articles de fond (Travaux en extérieur en plein soleil: comment bien se protéger des UV ? ; Tout savoir sur le régime d'indemnisation des intempéries) et des actualités sur le sujet.Sur sa chaîne Youtube, l’OPPBTP propose en outre une playlist de 6 courtes vidéos qui rappellent en images tous les bons gestes à adopter sur les chantiers.
Il y a 3 ans et 337 jours

Loi Climat-Résilience : pour Équilibre des Énergies, le remplacement des chaudières au fioul ne doit pas faire oublier celui des vieux convecteurs électriques

« La rénovation thermique de plus de deux millions de logements classés « passoires thermiques » équipés de vieux convecteurs électriques représente un défi majeur à la fois pour la transition énergétique et pour l’urgence sociale. Or, le rythme de rénovation de ces logements est insuffisant. Les pouvoirs publics doivent se saisir de ce sujet au cours de l’examen du projet de loi Climat-Résilience au Sénat ». Brice Lalonde, président de l’association Équilibre des Énergies et ancien ministre de l’Environnement.Remplacer les convecteurs pour atteindre les objectifs de transition énergétiqueLa réhabilitation des « passoires thermiques » est une nécessité Mais, si le remplacement des chaudières aux énergies fossiles, et en premier lieu de celles qui utilisent le fioul, est bien engagé avec des aides financières importantes, la rénovation des logements équipés de vieux convecteurs électriques rencontre d’importantes difficultés.Cette situation est préoccupante. Ces vieux convecteurs, parce qu’ils sont très robustes, sont encore présents dans de très nombreux logements. Ils engendrent des surconsommations avec des factures élevées, génèrent de l’inconfort, et ont un impact notable sur la puissance appelée à la pointe. Aujourd’hui, on évalue à entre 6 et 7 millions le nombre de logements équipés de vieux convecteurs, avec une forte prévalence dans des « passoires thermiques » où ils représentent environ 2 millions des 4,8 millions de logements classés en F ou en G dans le nouveau diagnostic de performance énergétique – DPE1.Un angle mort de la politique de rénovation Pour une grande partie de ces logements, et à plus forte raison dans les immeubles, il serait quasiment impossible, en l’absence de circuits d’eau, de remplacer les vieux convecteurs par des pompes à chaleur ou des réseaux de chaleur. Dans ces cas, la seule solution pour moderniser le système de chauffage est d’installer des radiateurs performants en les accompagnant des gestes d’isolation nécessaires.Mais aujourd’hui, même lorsqu’ils permettent d’améliorer l’efficacité énergétique et de réduire les factures, les radiateurs performants ne sont soutenus par aucune aide publique. Les radiateurs performants restent injustement confondus avec les vieux convecteurs alors que le progrès technique a fait des radiateurs performants une solution décarbonée en adéquation avec les différents objectifs de transition énergétique (cf. annexe) 2. Lors de la vague de froid de 2018, le suivi en temps réel de 50 000 radiateurs connectés a montré qu’ils contribuaient à la maîtrise des consommations et des factures. En effet, les fonctionnalités de ces radiateurs ont permis de maintenir la température moyenne de chauffage des logements à 17C°, soit deux à trois degrés de moins que la température de consigne usuellement relevée. D’autre part, outre l’utilisation de l’électricité décarbonée, les radiateurs performants sont des compléments pertinents aux solutions utilisant les énergies renouvelables telles que le chauffage au bois, les chauffe-eau thermodynamiques ou les panneaux photovoltaïques. Équilibre des Énergies invite les pouvoirs publics à remédier à cette lacune de la politique de rénovation en mettant en place une aide financière dédiée aux radiateurs performants afin de soutenir la rénovation des deux millions de logements classés en passoires thermique équipées de vieux convecteurs. La création d’une telle aide combinée aux aides existantes, pour renforcer l’isolation ou pour moderniser le mode de production d’eau chaude, incitera les Français à engager des rénovations exemplaires tant sur les émissions de CO2 que les consommations d’énergie.1 source : Dossier de presse DPE, ministère de la Transition écologique, 20212 Voir aussi la fiche Équilibre des Énergies - Les radiateurs électriques ont leur place dans la transition énergétique
Il y a 3 ans et 341 jours

Pompes à chaleur multi-splits QLIMA

Système de chauffage d'avenir, la pompe à chaleur (PAC) a le vent en poupe. Économe, elle utilise des énergies renouvelables gratuites pour chauffer la maison en hiver ou la rafraîchir en été. La PAC répond ainsi aux préoccupations environnementales de l'époque et au désir de voir les factures énergétiques baisser. Les derniers modèles de PAC QLIMA comblent toutes les attentes.
Il y a 3 ans et 341 jours

Nouveaux climatiseurs réversibles QLIMA

Depuis quelque temps, la climatisation réversible (ou pompe à chaleur air/air) connaît un développement dynamique dans les foyers français qui font le choix d'une solution durable, écologique et économique. La multiplication des étés suffocants et des hivers relativement doux explique cette demande, que des spécialistes comme QLIMA savent anticiper. Ainsi, les nouveaux appareils 2 en 1 QLIMA, dotés d'une fonction rafraîchissement en été et chauffage en hiver, apportent un gain de place appréciable, un confort accru, avec à la clé de réelles économies d'énergie.
Il y a 3 ans et 343 jours

Outsteel, une nouvelle marque dédiée à l'intégration parfaite des pompes à chaleur et climatisation

Avec OUTSTEEL, Cheminées Poujoulat étend son terrain de jeu au marché de la pompe à chaleur, plus précisément à son habillage et à sa protection. Reconnue depuis 70 ans pour son savoir-faire dans les conduits de fumée et sorties de toit métalliques, l’entreprise met à profit ses compétences pour proposer des solutions innovantes avec une nouvelle gamme complète de caches pompe à chaleur et climatisation en acier galvanisé, afin de protéger et dissimuler de manière esthétique ces unités techniques extérieures. Intégral, partiel ou simple « casquette », le produit s’ajuste à chaque modèle de pompe à chaleur ou climatisation, quel que soit le fabricant.Conçus et fabriqués en France, ces caches s’intègrent parfaitement dans leur environnement pour apporter une harmonie visuelle. Facile à poser, facile d’accès, l’aspect durable a été intégré à la conception par le choix des matériaux et des finitions.Commercialisés à compter de juillet 2021, les produits de la marque OUTSTEEL seront distribués via les réseaux professionnels (distributeurs, chauffagistes ENR, piscinistes), grand public et le e-commerce.Retour sur la genèse du projet et présentation de cette nouvelle marque et de ses produits.À la conquête d'un nouveau territoire : l'habillage de la pompe à chaleur1 - La genèse du projet : accompagner le besoin de décoration des consommateursCheminées Poujoulat a constaté que plusieurs pays voisins, comme les Pays-Bas, avaient eu l’idée de cacher leurs pompes à chaleur pour les protéger contre le vol, les intempéries, et les rendre plus esthétiques.Une autre tendance observée est l’importance que les Français accordent à leur décoration : selon une étude, elle serait de 87 %*.Dans le contexte actuel, le jardin est devenu une véritable extension des maisons. Et le plaisir des consommateurs à le personnaliser ne se limite plus aux aménagements paysagers : mobilier design et déco, couleurs et matériaux tendances, rangements smart et discrets fleurissent aux quatre coins des jardins.« Proposer des caches capables d’habiller 80 % des appareils vendus sur le marché, et ce, quelle que soit la configuration de la pompe à chaleur, sur un mur ou au sol, nous est apparu comme une évidence », explique Stéphane Thomas, Directeur Stratégie et Développement.*Étude Omnibus réalisée par YouGov du 13au 14 novembre 2019, auprès de 1 021 personnes représentatives de la population française, selon la méthode des quotas.2 - Une nouvelle activité en cohérence avec le savoir-faire industriel de Cheminées Poujoulat : le façonnage de l’acier galvanisé peintEn tant que marque du groupe Poujoulat, OUTSTEEL bénéficie d’un savoir-faire industriel pointu acquis depuis 70 ans qui lui permet de proposer une gamme de caches pompe à chaleur et climatisation personnalisable, au design et aux finitions inégalées. Sa maîtrise parfaite en matière de transformation de la tôle est un atout pour ouvrir le champ d’une activité nouvelle : coupe, découpe laser, pliage, emboutissage, peinture, etc. sont autant de techniques industrielles qui peuvent être mises au service de la conception de ce type de produits.Conçu en France, l’ensemble des modèles de la gamme OUTSTEEL sont fabriqués dans l’usine principale du groupe Poujoulat à Granzay-Gript, près de Niort, implantée au même endroit que le siège social. Sa superficie totale est de 46.000 m², dont une zone logistique de 20.000 m². Matériau de première qualité, l’acier galvanisé offre à la fois souplesse et robustesse aux caches pompe à chaleur et climatisation pour résister aux contraintes extérieures et être démontés facilement pour l’entretien de l’unité, ou en cas de déménagement.3 - Une nouvelle identité visuellePour qu’OUTSTEEL puisse prendre son envol sur de nouveaux territoires, la marque s’est dissociée de Cheminées Poujoulat.La structure du logo en deux parties permet une bonne lisibilité de la marque : d’un côté « OUT » en anglais illustre bien l’univers extérieur ; de l’autre, l’encadré autour de « STEEL » souligne l’acier galvanisé, un matériau robuste capable de résister aux conditions extérieures.La signature « DESIGN D’EXTÉRIEUR » permet de mettre en lumière les créations esthétiques de la marque dédiées à l’espace extérieur.Un univers complet de caches pac pour répondre à toutes les envies et tous les budgetsFabriqués à partir d’un matériau de première qualité (l’acier), personnalisables, adaptables, faciles et rapides à monter, les caches pompe à chaleur et climatisation OUTSTEEL regorgent d’inventivité.1 - Un rôle technique et esthétiqueUne solution designQue ce soit pour les pompes à chaleur ou les systèmes de climatisation, les produits OUTSTEEL permettent de réaliser un habillage de ces unités extérieures. Ils sont esthétiques et réellement plus élégants que l’unité en elle-même, placée dans le jardin.Une protection garantieIntempéries, chocs involontaires ou sécurité des enfants, les protections en acier OUTSTEEL supportent les dommages pouvant être causés par la pluie, la grêle, les UV et les feuilles. Si elle n’est pas abritée et protégée, l’unité extérieure peut être exposée à des chocs qui pourraient perturber son fonctionnement.2 - Cinq modèles pour trois types de cacheL’alliance entre esthétisme et ingéniositéLe concept de cache intégral se caractérise par :une base en fixation murale, avec un système de glissières pour s’ajuster aux distances au mur, en fonction de la dimension de laPAC et de sa profondeur,des faces avant et de côté pour cacher la PAC pour un rendu esthétique, tout en permettant une circulation de l’air maximale,une face de dessous en option pour cacher l’installation lorsqu’elle est en hauteur (en pignons par exemple), perforée pour laisser passer l’eau, une face arrière ainsi que des pieds pour camoufler l’installation au sol lorsqu’elle est éloignée d’un mur,plusieurs dimensions et couleurs disponibles.Le modèle BROUSSE a été inspiré parles lignes courbes qui évoquent les grandes herbes. La légèreté du végétal est la source d’inspiration pour ce cache intégral au design ajouré, facile à intégrer et facile à vivre.Il est disponible en 2 dimensions :S : 925 x 700 x 471 mmM : 1 025 x 750 x 521 mmEt en 4 nuances dans l’air du temps : noir, gris, marron ou blanc cassé. Le produit est livré en kit à composer soi même, en fonction de sa configuration.Prix : à partir de 290 € TTC Le modèle BUBBLES parle de lui même par rapport à son esthétique. Sa façade perforée rappelle des petites bulles en effervescence. Il se caractérise par un accès à l’appareil le plus simple et rapide disponible sur le marché grâce à ses faces démontables, pour un entretien facilité.Il se décline en 3 dimensions :S : 850 x 716 x 470 mmM : 950 x 766 x 520 mmL : 1 050 x 866 x 550 mmEn plus des 4 couleurs unies de base, le modèle BUBBLES existe en version bicolore blanc cassé et gris.Prix : à partir de 340 € TTCPersonnalisable à souhaitProduit sur-mesure, le modèle COLORS est à mi-chemin du cache intégral et de la casquette. Il est décliné en 3 tailles (S, M et L) et est réglable en hauteur et en profondeur. Clin d’œil au toit, il se compose de tuiles positionnées sur un châssis métallique noir qui peuvent être mixées selon 4 nuances de vert et gris, à la manière d’un patch work afin de proposer un ensemble cohérent en fonction des goûts et des couleurs de chacun. Prix : à partir de 265 € TTCLa protection en toute simplicité et en toute libertéLe principe général de la casquette se résume par :une base à fixer au murprendre un niveau, percer et fixerLe modèle COVER a vocation de couvrir l’unité extérieure et de la protéger des conditions climatiques (UV, pluie, vent). Disponible en dimension 930 x 696 mm et en 4 couleurs de base (blanc cassé, gris, noir ou vert), ce produit d’entrée de gamme offre une solution accessible à tous les niveaux de budget. Prix : à partir de 180 € TTCLe modèle CAP vient en complément : il est plus cossu en termes de finition et de résistance mécanique, avec des pieds d’ancrage au sol ou directement sur le mur. L’esthétique est un peu différente avec un produit conçu en 2 morceaux, qui lui donnent une petite pente, avec au milieu une âme en bois. Prix : à partir de 195 € TTCDes produits accessibles et faciles à poser1 - Une distribution nationale via les réseaux professionnels, grand public et le e-commerceLa distribution est prévue dans le réseau habituel selon 3 axes :La distribution professionnelle avec les distributeurs traditionnels, les chauffagistes, les vendeurs d’ENR et les piscinistes,La distribution grand public avec la GSB,La e-distribution et sites e-commerce dédiés.2 - Une pose facile et rapide à la portée de tous Tous les modèles OUTSTEEL se posent facilement. Ils peuvent être installés parles professionnels qui accompagnent le particulier, mais aussi par le consommateur lui-même.Une notice de pose détaillée est fournie avec chaque cache pompe à chaleur et climatisation pour guider le montage pas à pas.Pour plus d'information consultez ces ressources :Site Cheminées PoujoulatOUTSTEEL, la marque qui habille les PAC à l’extérieur de l’habitat
Il y a 3 ans et 343 jours

SATURATEUR PUR-T® DECK – La haute protection anti-UV des terrasses et des bardages

Que ce soit pour aménager des esplanades de centres commerciaux, des terrasses de restaurants ou autres lieux publics… ou pour réaliser un bardage sur des bâtiments tertiaires, collectifs ou résidentiels, le bois est un matériau de premier choix. Authentique et noble, qu’il soit au sol ou en façade, il rend les espaces esthétiques et dans l’air du temps. Pour préserver durablement l’aspect naturel et chaleureux des caillebotis, des terrasses, des constructions ou des bardages en bois contre les assauts du temps, il est impératif d’entretenir et de protéger la surface. Plastor, spécialiste depuis plus de 50 ans de la formulation et de la fabrication de produits bois, propose le saturateur Pur-T® Deck, un produit de finition et de protection haute performance, facile à mettre en oeuvre et respectueux de l’environnement.   PUR-T® DECK Imperméabilise durablement le bois Bénéficiant d’une Fiche de Données Environnementales et Sanitaires (FDES), le saturateur Pur-T® Deck Plastor s’inscrit pleinement dans le cadre des chantiers HQE et d’écoconstruction grâce à sa formulation à faible empreinte écologique. Haute protection contre les intempéries, sa formulation en phase aqueuse, à base d’huile enrichie en anti-UV et en pigments résistants aux agressions extérieures, prolonge la beauté naturelle du bois. Le saturateur garantit ainsi une longévité particulièrement accrue au matériau. Le saturateur Pur-T® Deck permet de bloquer efficacement l’eau et l’humidité en surface grâce à son pouvoir hydrofuge renforcé. Nourri et imperméabilisé, le bois préserve durablement son aspect authentique et élégant. Il est parfaitement protégé des taches, même les plus grasses, et des salissures. Non filmogène, il ne s’écaille pas. Compatible avec les bois traités en autoclave, le saturateur Pur-T® Deck s’applique sur tout type de bois. Il est disponible en 4 teintes : naturel, teck, mélèze et bois grisé. Existe en 1 L – 5 L – 20 L
Il y a 3 ans et 344 jours

Nouvelle gamme de Climatisation Air Flux 6300 à récupération de chaleur de Bosch Thermotechnologie

Dédiée aux hôtels, bureaux, maisons de santé, cliniques, Immeubles de Grande Hauteur, salles de fitness, boutiques, etc., elle se distingue par de nombreux atouts :des puissances étendues avec 6 modèles monoblocs de22 kW à 50 kW et des cascades de 3 unités pouvantatteindre 150 kW,des plages de fonctionnement jusqu’à - 25°C en modechaud, et + 52°C en mode froid,l’ouverture vers l’Eau Chaude Sanitaire haute températurejusqu’à 80°C, avec le nouveau module hydraulique AF-HB,le plus compact et léger du marché,des performances élevées en modes réversible,récupération de chaleur et ECS (SEER jusqu’à 7,26 et SCOPjusqu’à 4,59),la possibilité de raccorder jusqu’à 36 unités intérieuresà une seule unité extérieure,une uniformité de gamme au niveau design, installation,réglages, paramétrages et maintenance, gage de confortoptimal pour l’installateur,une gamme certifiée EUROVENT.Dernières nées de la gamme Bosch VRF Air Flux, les unités extérieures Air Flux 6300 permettent de proposer une offre toujours plus complète. Elles viennent enrichir les unités extérieures réversibles Mini VRF MDCI et VRF Air Flux 5300 (entre 7 kW et 270 kW). Air Flux 6300 est compatible avec l’ensemble des unités intérieures et accessoires Air Flux. Cassettes 1, 2 ou 4 voies, gainables compacts haute ou moyenne pression statique, consoles, muraux..., toute une panoplie d’unités intérieures est proposée pour s’adapter à tous les environnements collectifs et tertiaires. Les régulations individuelles et centralisées tactiles permettent de piloter le système intégralement et facilement. Le raccordement à divers systèmes de Gestion Technique est également possible via des passerelles de communication.Une solution confortable et économe en énergieCette gamme offre, en un seul système, un fonctionnement simultané de refroidissement et de chauffage. La récupération d’énergie et de chaleur est obtenue en transférant la chaleur extraite dans certaines pièces vers les zones ayant besoin de chauffage. Elle se révèle pratique et indispensable pour le confort des occupants, particulièrement en demi-saison, lorsque les façades Nord d’un bâtiment peuvent avoir besoin de chauffage, tandis que les pièces orientées Sud sont rafraîchies.Le [+] : nouveaux boîtiers de répartition SBOX AF-SBLes boîtiers de répartition SBOX AF-SB facilitent lefonctionnement du système à récupération d’énergie. Le boîtier contrôle chaque groupe d’unités intérieures (jusqu’à 12 par SBOX), afin d’obtenir simultanément un mode chauffage et climatisation dans un système régulé par un boîtier SBOX. Les unités intérieures raccordées à un même boîtier SBOX peuvent fonctionner indépendamment, en mode refroidissement ou chauffage. Gage de sécurité, un boîtier surveille en permanence la quantité de fluide par pièce, et assure la sécurité requise par la norme EN378, notamment en ce qui concerne la détection de fuite de fluides.Le niveau sonore des unités peut être abaissé de 4 dB(A) à 8 dB(A), en ajustant la vitesse des ventilateurs et la fréquence des compresseurs. Six programmes « Silence » sont paramétrables, une source de confort supplémentaire qui favorise la concentration et le bien-être au travail.Quand Bosch Thermotechnologie accroît le champ des possiblesCompatible avec les nouvelles unités extérieures Air Flux 6300, le nouveau module hydraulique AF-HB assure la production d’Eau Chaude. Il offre une plage de température de production d’eau chaude allant de 25°C à 80°C (puissance nominale de 14 kW). Grâce au positionnement du module en amont des boîtiers de répartition (SBOX), le nombre d’unités intérieures après les SBOX peut être augmenté selon les besoins, et le foisonnement atteint jusqu’à 200 % de la puissance totale de l’unité extérieure. Sa compacité (80 cm de hauteur) et sa légèreté (58 kg) facilitent l’installation et permettent un agencement discret. Autre avantage, il peut aussi s’utiliser pour le chauffage : plancher chauffant, radiateurs et ventilo-convecteurs. Au quotidien, ses fonctions sont nombreuses : désinfection thermique, vacances, programmation hebdomadaire, mode Silence... Plusieurs modules hydrauliques peuvent être installés en cascade pour multiplier la puissance ECS disponible !Un condensé de technologieLa gamme à récupération de chaleur Air Flux 6300 se dote d’un nouveau compresseur à injection de vapeur qui optimise les performances de chauffage. Il garantit un fonctionnement stable jusqu’à - 25°C ainsi qu’un sous-refroidissement optimisé. Il offre une plage de fréquence jusqu’à 140 Hz, et une montée en température plus rapide et efficace à charge partielle (à partir de 15 Hz). En cas d’unités en cascade, cette technologie offre un équilibrage efficace entre les compresseurs. Le moteur sans balais réduit les frottements et améliore l’efficacité aux charges faibles et partielles, ainsi que la durée de vie globale de l’équipement.GarantiesCette gamme est garantie 5 pièces pour toutes les pièces détachées et 5 ans compresseurs. Si la mise en service est réalisée et validée par le Service Après-Vente Constructeur du Fournisseur, la main d’œuvre est incluse pour les deux premières années.
Il y a 3 ans et 346 jours

Rénovation de toiture : quels avantages et à quel moment procéder aux travaux?

Certes, la rénovation de la toiture peut être un projet de grande envergure et peut représenter parfois un budget conséquent. Cependant, lorsqu’elle présente des dommages, il est indispensable de passer à l’acte afin de prévenir des dégâts importants sur l’ensemble de la maison. Pour éviter le pire, il est nécessaire d’entamer des travaux de rénovation. D’autant plus que cette opération présente bien de nombreux avantages. Découvrez notamment les intérêts à entreprendre la rénovation de la toiture et les bons moments pour l’effectuer. Les avantages de la rénovation de la toiture Lorsqu’il est évident que la toiture est en mauvais état, il est obligatoire de refaire la toiture. Souvent, cet aspect est indiqué par des dégâts et des problèmes récurrents.   La rénovation de la toiture est particulièrement intéressante pour protéger au mieux la maison. C’est une évidence, le toit assure la sécurité de la maison. Une charpente vieillie et une fuite ne doivent pas être sous-estimées. Les travaux de rénovation permettent d’éviter que ces problèmes deviennent plus graves. En plus des réparations, il est même possible d’entamer un agrandissement de l’espace de vie grâce à l’aménagement des combles. Dans tous les cas, faire appel à une entreprise de couverture comme https://www.entreprise-couverture-ardennes.fr/ s’avère être indispensable pour mener à bien le projet, peu importe son étendue. Faire des économies, c’est possible avec la rénovation de la toiture. Dans la plupart des cas, le toit est le principal responsable des déperditions énergétiques de la maison, dont 30 % de pertes de chaleur. Du coup, en cas de problèmes, il est nécessaire de se focaliser sur la rénovation de l’isolation afin de réduire la consommation d’énergie.  Cette solution permet de faire des économies sur les factures énergétiques. D’un point de vue esthétique, la rénovation de la toiture ajoute réellement un cachet particulier à l’ensemble de la maison. Il suffit notamment de bien choisir la couverture idéale. À quel moment procéder à la rénovation de la toiture ? En règle générale, une vérification de la toiture doit se faire une fois par an au minimum. Cette opération doit surtout être effectuée après les intempéries. À cette période, il faudra surtout réaliser un contrôle strict de nombreux éléments de la toiture. Le professionnel pourrait notamment détecter des signes inquiétants et des matériaux défectueux. Le spécialiste vérifiera par exemple s’il n’y aurait pas de fuites ou d’infiltrations d’eau. En même temps, il montera sur le toit pour s’assurer que les ardoises ou les tuiles sont bien en place et qu’elles ne sont pas endommagées. Des fois, il arrive que les tuiles soient ondulées et certains éléments comme les crochets des ardoises oxydés. Pour compléter le contrôle de l’état de la toiture, il surveille également la présence de mousse et de lichen afin de les éliminer. Pour votre information, l’âge de la toiture amène également à des travaux de rénovation. Dans ce cas, une toiture de plus de 40 ans doit être vérifiée tous les ans. Pour un toit d’une vingtaine d’années, un diagnostic doit être envisagé tous les deux ans. Par ailleurs, un toit de 10 ans environ doit être contrôlé tous les 10 ans.  
Il y a 3 ans et 349 jours

L'interdiction de remplacement de chaudières fioul suscite l'inquiétude et le mécontentement des foyers équipés

Alors que le décret fixant les modalités est attendu “très prochainement”, Hellio révèle les résultats d'une enquête réalisée conjointement avec FioulReduc, site internet indépendant de vente de fioul à prix bas, également auditionné pour le rapport du député. Conscient que ce changement va impacter bon nombre d'utilisateurs et soucieux de proposer à chaque ménage le système de chauffage le mieux adapté, l'acteur de référence de la maîtrise de l'énergie a souhaité s'intéresser au comportement des consommateurs de fioul ainsi qu'à leurs attentes. Cette étude, à laquelle 1.018 consommateurs de fioul ont répondu en ligne entre le 8 et le 26 mars 2021¹, dévoile que près d'1 consommateur de fioul domestique sur 2 souhaite conserver ce mode d'énergie pour se chauffer. De manière générale, le décret portant sur l'interdiction de remplacement de chaudières fioul suscite de l'inquiétude et du mécontentement chez 68% des consommateurs.Les principales dispositions déjà connues du décret relatif à l'interdiction des chaudières au fioul et au charbonEn novembre 2018, le Premier Ministre, Edouard Philippe, fixait l'intention de renouvellement de toutes les chaudières fioul d'ici 10 ans². Dans cet objectif et après une consultation publique en début d'année à laquelle Hellio a participé, la publication au journal officiel du texte définitif relatif à l'interdiction des chaudières au fioul et au charbon est attendue dans les semaines à venir.Ce décret vise les systèmes de chauffage utilisant des combustibles très fortement émetteurs en gaz à effet de serre. Cette interdiction porte sur l'installation d'équipements de chauffage dans les bâtiments résidentiels et tertiaires (écoles, commerces, hôpitaux…).Concrètement, à la mi-2022, il sera impossible de faire installer dans un logement ou une entreprise une nouvelle chaudière au fioul émettant plus de 250g de CO2 par kWh, soit l'intégralité des chaudières fonctionnant au fioul actuel 100% fossile. Il sera toutefois possible de faire réparer les équipements en place.Des exceptions sont prévues, notamment dans le cas d'une impossibilité technique de remplacement, ou lorsqu'il n'existe pas de solution de raccordement à des réseaux de chaleur ou de gaz.Le choix de rester au fioul guidé par la satisfaction de son équipement en placeSelon les résultats de l'enquête, le profil des consommateurs de fioul est le suivant : leur foyer est composé de 2,3 personnes en moyenne, ils sont en majorité retraités, avec un âge moyen de 61 ans. Le revenu moyen de leur foyer est de 37 343 € et ils dépensent en moyenne 1 632 € en fioul chaque année.Ces consommateurs apprécient le fioul avant tout pour son confort de chauffe (36%), sa simplicité dans la gestion au quotidien (27%) et sa fiabilité (20%). Selon eux cependant, le principal inconvénient du fioul est son prix variable à 36%. L'impact environnemental du fioul figure également parmi les inconvénients cités.Face à cette mesure réglementaire ne portant que sur les nouvelles installations, près d'un répondant sur deux déclare que cette interdiction ne va pas les pousser à changer d'énergie dans les 5 années à venir. La principale motivation invoquée par les consommateurs est le bon fonctionnement de leur installation avec 47% des réponses exprimées. Autre réponse significative, 17% répondent ne pas avoir les moyens de changer d'énergie de chauffage. Ils sont également 17% à déclarer que, selon leur situation (géographique, raccordement…), le chauffage fioul est la solution la moins coûteuse pour eux.“À l'heure actuelle, ma chaudière fonctionne correctement avec une révision régulière faite par un plombier. De plus, habitant à la montagne, je ne vois pas quel autre moyen de chauffage je pourrais adopter, l'électricité est trop onéreuse”, indique cet utilisateur du Puy-de-Dôme lors de l'enquête.Cette décision gouvernementale suscite de l'inquiétude pour 36% des consommateurs et du mécontentement pour 32% d'entre eux, comme en témoigne ce consommateur de Haute-Garonne : “J'ai bénéficié d'aides pour mettre une chaudière fioul à condensation. Cela paraît incohérent que cet équipement soit maintenant bientôt interdit.”Les perspectives de l'interdiction d'installation de nouvelles chaudières au fioulPour 15% des répondants se chauffant au fioul, l'interdiction d'installation de nouvelles chaudières au fioul va les pousser à changer d'équipement de chauffage, à plus ou moins court terme. Leur choix se porterait à 52% vers une pompe à chaleur, 32% pour une chaudière à granulés de bois et 12% pour une chaudière gaz.La possibilité d'utiliser du biofioul (fioul comportant des biocarburants afin de le rendre plus écologique en diminuant son taux de soufre et ses émissions de CO2) en remplacement du fioul suscite la curiosité d'une majorité de consommateurs (51%). Les réserves évoquées à ce sujet concernent la compatibilité de leur matériel, le surcoût lié à ce produit et son impact écologique.Les aides financières : un élément déclencheurAfin d'atteindre son objectif de changement de toutes les chaudières fioul dans les 10 prochaines années, le gouvernement français a mis en place plusieurs aides financières.Celles-ci semblent jouer un rôle déclencheur dans la volonté de changement de systèmes de chauffage des ménages. Sur les 15% de répondants déclarant vouloir changer de chaudière pour passer du fioul à une autre énergie, les aides financières actuelles représentent la plus grande motivation (41%).Pourtant, si ces dernières sont citées comme un outil essentiel dans la volonté de changement de mode de chauffage, 69% des consommateurs de fioul déclarant ne pas encore envisager le renouvellement de leur équipement au fioul souhaitent avoir davantage de moyens financiers et plus d'un tiers attendent plus d'informations et de conseils (28%).Rappel des aides au changement de chaudièreMaPrimeRénov'Cette aide publique permet de financer les travaux d'isolation, de chauffage, de ventilation ou d'audit énergétique d'une maison individuelle ou d'un appartement en habitat collectif. Les travaux doivent avoir été effectués par des entreprises labellisées RGE. Depuis le 1er octobre 2020, MaPrimeRénov' est accessible à l'ensemble des propriétaires, quels que soient leurs revenus, qu'ils occupent leur logement ou qu'ils le mettent en location. Son montant varie en fonction des niveaux de revenus classés en 4 catégories : bleu (ménages très modestes), jaune (ménages modestes), violet (revenus intermédiaires), rose (revenus élevés). Hellio est mandataire de l'Anah depuis juillet 2020.Le Coup de Pouce chauffageLes dispositifs “Coups de pouce” sont des primes financières forfaitaires allouées à la réalisation de travaux d'économie d'énergie en échange d'exigences de qualité et de garantie de performance énergétique. Créé par le Ministère de la transition écologique en janvier 2019, le dispositif “Coup de pouce Chauffage” aide les ménages à changer leur chaudière peu performante pour un équipement à haute performance énergétique ou utilisant des énergies renouvelables. Hellio, signataire de la charte d'engagement de ce “Coup de pouce” accompagne les ménages dans ces changements. Le “Coup de pouce Chauffage” est cumulable avec MaPrimeRénov' et l'éco-prêt à taux zéro.“Cette tendance conforte l'idée selon laquelle les aides financières sont un instrument essentiel des politiques publiques sur l'efficacité énergétique. Une visibilité sur le long terme de ces aides est indispensable à la fois pour les ménages et pour les professionnels de la rénovation énergétique. C'est particulièrement le cas pour les entreprises de fourniture de fioul dont l'activité va devoir être réorganisée. Outre cette stabilité, on dénote également un besoin d'écoute, d'information et de compréhension des citoyens des évolutions liées à la transition énergétique. Le remplacement des équipements fioul en 10 ans ne se fera pas sans les ménages qui veulent être conseillés, informés mais aussi libres dans le choix de l'énergie et de l'équipement ! Hellio revendique depuis plusieurs années une stabilité des aides financières, et développe les compétences de ses conseillers en rénovation énergétique dans cette perspective”, insiste Marina Offel, responsable des affaires publiques et juridiques pour Hellio. “Après une phase de surprise et d'agacement face à des déclarations politiques et médiatiques parfois un peu stigmatisantes et imprécises, nos clients commencent à intégrer les mesures annoncées par le gouvernement. Une majorité considère cependant avec pragmatisme qu'il n'y a pas d'urgence à tout changer puisque leur chaudière fonctionne encore bien mais envisage volontiers une transition vers le biofioul. Ceux qui sont contraints ou décidés à quitter le fioul souhaitent aujourd'hui plus d'aides financières et un meilleur accompagnement pour ne pas sacrifier le confort et la simplicité qu'ils ont toujours connu avec le fioul”, résume Hervé Degrève, fondateur de FioulReduc.Pour télécharger l'étude complète : cliquez ici(1) - Méthodologie : FioulReduc et Hellio ont organisé conjointement une consultation auprès des 124.000 clients de FioulReduc répartis sur toute la France, à laquelle 1 018 personnes ont répondu en ligne entre le 8 et le 26 mars 2021.(2) - Carburants, 17 novembre, chauffage… Les annonces d'Édouard Philippe sur RTL
Il y a 3 ans et 349 jours

Le nouveau siège social d’Orange révèle tout le potentiel du bambou MOSO®

Aucune parcelle architecturale du nouveau siège social d’Orange n’échappe aux solutions bambou de MOSO® International. Installées du sol au plafond en passant par les murs, la prééminence du bambou caractérise ce chantier d’envergure situé à Issy-les-Moulineaux. Idéalement placé dans la ville, le bâtiment est prêt à accueillir 3000 salariés de l’un des principaux opérateurs de télécommunication dans le monde. Ce projet aussi ambitieux que novateur est signé par l’agence VIGUIER, promu par Altarea Cogedim. Un bâtiment marqué par une identité architecturale forte mixant le minéral et le végétal Étendu sur 56 000 m², le nouveau siège d’Orange appelé « Bridge » peut difficilement passer inaperçu à Issy-les-Moulineaux. Son emplacement stratégique, à la fois proche du centre-ville, bien desservi par les transports et en bord de Seine offre une promesse de confort aux futurs occupants des lieux. Pour ce projet fortement symbolique, le cabinet d’architecture VIGUIER a tenu à sélectionner un faible nombre de matériaux afin d’aboutir à un ensemble harmonieux et cohérent entre l’architecture extérieure et intérieure. Le choix du bambou, du métal et du minéral a ainsi permis d’atteindre le résultat attendu, c’est-à-dire un ensemble unifié et clair. Le projet d’architecture d’intérieur a consisté à revêtir de bambou les zones largement ouvertes au public et aux événements, le rez-de-chaussée ou encore les lieux de passage. Découlant de ces zones prédéfinies qui constituent le cœur du projet, le cabinet a assuré une continuité du revêtement en bambou à travers les ascenseurs, leurs paliers, les sanitaires et les terrasses intérieures situées dans les étages. Dans la même logique, cette démarche a été déclinée sur les espaces paysagers extérieurs, c’est-à-dire sur la terrasse du toit, sur les balcons et le parvis. Un accompagnement sur-mesure opéré par un partenaire de confiance Le choix du matériau végétal ne s’est pas porté immédiatement sur le bambou, et ne devait concerner au départ que le parquet. L’architecte prônait initialement le chêne dont l’option semblait pertinente au vu du déploiement prévu sur des espaces larges, variés et particulièrement sollicités par les passages. Le promoteur investisseur était surtout soucieux de la pérennité que pouvait offrir le matériau choisi, considéré comme le point essentiel du projet. En premier lieu, le bambou a séduit par ses qualités techniques. Ce matériau remplissait toutes les contraintes en matière de résistance au poinçonnement, et il présentait de forts atouts en matière de durabilité et de flexibilité. Ainsi, sa souplesse autorisait toutes les audaces créatives. Il restait toutefois un dernier point à satisfaire : la tonalité du bambou devrait se rapprocher de celle du chêne. Soucieux de répondre à cette exigence esthétique, MOSO® a su faire preuve d’écoute et d’adaptabilité. La société a mobilisé les équipes de son site de production, situé en Chine, pour contretyper la teinte du revêtement sol jusqu’à l’obtention de la finition souhaitée. Convaincue, l’agence d’architecture décide alors de décliner le bambou non seulement sur les sols, mais également sur les murs et plafonds. Possibilités illimitées avec les solutions MOSO® Bambou Le bambou est un matériau flexible offrant des possibilités illimitées en termes d’application. Selon le mode de fabrication, il peut tout aussi bien être installé à l’intérieur qu’à l’extérieur. Les architectes en charge du projet Bridge Pont d’Issy l’ont bien compris ; le matériau est décliné sous plusieurs formes, ajoutant dans chaque espace une touche naturelle, qualitative et chaleureuse. Des sols en bambou– intérieur et extérieur Au total, 8 600 m2 de sol BambooPlex sont installés à l’intérieur de l’édifice, dans des zones de passage et des marches d’escalier. Le sol BambooPlex, muni d’une couche d’usure en bambou Density® de 4,5 mm d’épaisseur, assure une résistance au trafic intense. MOSO® BambooPlex dispose d’une haute stabilité permettant également une installation sur sol chauffant. Enfin, il a été livré avec une certification FSC afin de répondre aux exigences environnementales du projet. En extérieur, 1 200 m2 de terrasse Bamboo X-treme® habillent le toit et les balcons, créant une continuité entre l’intérieur et l’extérieur du bâtiment. MOSO® Bamboo X-treme® est une lame de terrasse combinant un thermo-traitement avec une compression à haute densité des lamelles de bambou. Grâce à ce procédé, la solution bénéficie de la plus haute durabilité. Elle est certifiée Classe 1 en termes de durabilité biologique (selon EN 350 / CEN/TS 15083-2, test de bois enterrés Classe 1 EN 350 / CEN/TS 15083-1) et une classe d’usage Classe 4 (selon EN 335). Panneaux, placages et carrelets en bambou L’auditorium est revêtu en extérieur et intérieur de placages en bambou et de rouleaux flexibles Flexbamboo s’adaptant parfaitement aux courbes de cet espace. Pour répondre aux exigences de performances acoustiques, le placage en bambou est appliqué sur des panneaux acoustiques. Les dossiers et tablettes des assises sont également recouverts de placage en bambou. Les carrelets MOSO® Bambou ornent les faux plafond et mur rideaux. Les industriels ont eux-mêmes opéré le travail de finition dans le même esprit que la réalisation du parquet, à partir des solutions MOSO® fournies à l’état brut. Ainsi, les teintes ont subi la variation de couleurs attendue à chaque itération. Les panneaux massifs MOSO® Bambou permettent de créer d’élégantes mains courantes, portes et huisseries. Les 3 atouts majeurs des produits MOSO® Bambou La dureté favorise la pérennité des revêtements Les produits MOSO® Bambou offrent de nombreux avantages, tels qu’une dureté exceptionnelle, grâce à un procédé de compression à haute densité des lamelles de bambou.  Celui-ci permet d’obtenir une résistance Brinell supérieure à 9.5kg/mm2 selon la norme EN1534 pour les solutions Density® et Bamboo X-treme®. Les solutions sont déclinables sans fin Les produits MOSO® Bambou se démarquent également par leur stabilité dimensionnelle considérable avec des coefficients de dilatation très faibles, comparés à toutes les essences de bois. Ils sont ainsi tout à fait adaptés à des environnements à fortes contraintes et à fort trafic. Il répond à de nombreuses applications, telles que les sols, murs, extérieurs couverts, bardage…. Le bambou possède des caractéristiques mécaniques proches des bois tropicaux, ce qui favorise sa dureté et sa résistance, y compris au feu. La durabilité en faveur des enjeux environnementaux Le bambou MOSO® est un matériau durable. Ce n’est pas un bois, mais une graminée. Cette plante présente la croissance la plus rapide au monde, pouvant aller jusqu’à 1 mètre par jour. Grâce à son système de rhizomes permettant un renouvellement des cannes de bambou très élevé, sa production n’occasionne pas de déforestation. Cet aspect essentiel participe à réduire l’impact environnemental. Les produits MOSO® Bambou permettent d’obtenir de nombreux crédits de différents écolabels comme HQE, BREEAM et LEED. L’analyse du cycle de vie des produits MOSO® Bambou, réalisée de manière indépendante par l’Université de Delft aux Pays-Bas, démontre l’empreinte carbone neutre des produits MOSO®. Plus récemment, MOSO® offre la possibilité de calculer les émissions carbone retenues dans un projet selon les produits employés. L’étroite collaboration avec MOSO® International a permis de répondre aux attentes techniques et esthétiques de ce projet architectural ambitieux. La présence du bambou a finalement donné du contraste à la tonalité blanche de l’architecture et a apporté une note chaleureuse à l’ensemble. Détails du projet Orange – Siège social Lieu : Issy-les-Moulineaux (92) Architecte : Agence VIGUIER Promoteur investisseur : Altarea Cogedim. Applications en bambou : 8600m2 sol BambooPlex Density® Naturel, certifié FSC installation sur sol chauffant (produit sur-mesure conçu pour le projet) ; Installateur : INTERSOL 3000m2 placages fins vertical pour panneaux acoustiques ; Industriel : Topakoustic ; Installateur : BOISTECH 80m3 carrelets vertical (section 20X55mm) pour plafonds acoustiques ; Industriel : Laudescher Installateur : CERTAC 20m3 carrelets Bamboo N-Finity pour murs rideaux ; Industriel et installateur : DAUBIGNEY (pour Goyer) — Panneaux massifs (Vertical Caramel) et mains courantes et portes ; Industriel et installateur : DAUBIGNEY (pour Goyer) — Placage fin (Vertical Caramel) pour portes ; Industriel et installateur : BOISTECH 1200m2 Terrasse Bamboo X-treme® (toit terrasse) ; Installateur : SPORTS ET PAYSAGES Légende photo : Daniel Osso et MOSO® Bambou  À propos de Moso Avec une expérience de plus de 20 ans, MOSO® international est le pionnier des solutions innovatrices en bambou pour l’intérieur comme l’extérieur et le seul producteur de bambou à intervenir mondialement. Basé aux Pays-Bas, MOSO® international possède des bureaux en Espagne, en Italie, en Afrique du Sud, en Chine, aux Etats-Unis et aux Emirats Arabes Unis et compte 75 collaborateurs au total. www.moso-bamboo.com/fr/
Il y a 3 ans et 349 jours

Projet de recherche « Odyssée des matériaux en feu extrême »

L'un des objectifs est d'élaborer des matériaux et des assemblages de matériaux possédant une faible inflammabilité, protégeant des substrats variés et limitant la propagation du feu. Il s'agira également de comprendre les effets de la microgravité sur le comportement au feu de polymères FR en plus des hauts flux de chaleur.Ses travaux s'inscrivent dans la continuité du projet « FireBar-Concept » pour lequel le Professeur Bourbigot avait obtenu une bourse de l'ERC (European Research Council) en 2015 et qui visait à élaborer des matériaux et des assemblages de matériaux ayant une faible inflammabilité, protégeant les substrats et limitant la propagation de l'incendie.De l'UMET à l'IUF : 30 années de recherche consacrées à accroître la résistance au feu des matériauxLes travaux sur le feu et la résistance des matériaux de Serge Bourbigot font référence depuis de nombreuses années. Sa nomination à l'IUF en octobre 2020 vient distinguer l'excellence scientifique et académique de ses activités de recherche en chimie et matériaux.Avec les 15 chercheurs de son équipe (enseignant-chercheurs, chercheurs, ingénieurs, doctorants et postdoctorants), il concentre ses travaux actuels sur la résistance et la réaction au feu des matériaux polymères, sa volonté étant d'élaborer de nouveaux matériaux qui ne s'enflamment pas en cas de stress et de développer les propriétés d'ignifugation de matériaux existants. Il travaille aussi à la modélisation des comportements des matériaux et du feu dans un environnement agressif et complexe, et au développement de méthodes de caractérisation et de mesures originales. Ses travaux se déclinent autour de deux axes : (i) Procédés d'élaboration de matériaux additivés et de revêtements (synergie et formulation, extrusion réactive, nanocomposite, spectrochimie) et (ii) Similitude et modélisation (réduction d'échelle et analyse dimensionnelle, analyse cinétique, modèle de pyrolyse).Pour cela, le Professeur Bourbigot exploite le potentiel offert par les nouvelles techniques de simulation numérique qui permettent de toucher du doigt les limites de certaines idées et d'explorer d'autres champs d'investigation. En conceptualisant les protections au feu par des assemblages numériques et par la simulation, il peut définir et optimiser de nouveaux designs de multi-matériaux. Il aborde les aspects de similitude pour créer des scénarios 'feu' à échelle réduite. Cela lui apporte une grande flexibilité dans ses expériences et de la rapidité dans le développement de nouveaux matériaux performants.Trois domaines plus particulèrement investis en 2021En termes de domaines d'application, Serge Bourbigot et son équipe travaillent sur :le secteur du nucléaire - par exemple, pour contribuer à la longévité des centrales, ce qui requiert l'installation de systèmes et équipements spécifiques à base de matériaux adaptés au feu (clapets anti-feu, chatières, câbles ...) ;les batteries électriques telles celles installées dans les voitures ou les avions et qui nécessitent des protections spécifiques pour parer ou retarder le déclenchement de l'incendie en cas de prise de feu ;les milieux confinés où les charges thermiques croissent très vite et ont un très grand rayon d'action, sur des sites spécifiques type plateformes pétrolières ou raffineries où le feu se propage sous forme de jets, ou encore dans des espaces en microgravité comme au sein des fusées et de la station spatiale internationale.Sur ce point, un projet multi-partenarial est en cours, mobilisant des équipes de Centrale Lille, de Sorbonne Université et de Aix-Marseille Université. Déposé auprès du CNES, il regarde comment se comportent des polymères retardés à la flamme agissant en phase gaz (libération de radicaux libres phosphorés) ou en phase condensée (phénomènes d'intumescence physique et chimique).Diplômé de l'ENSCL (promotion 1990), Serge Bourbigot est docteur en spectrochimie, et habilité à diriger des recherches depuis 1993. Maître de conférences à l'ENSCL de 1995 à 1999, il devient professeur des universités en 1999 et rejoint l'ENSAIT de 1999 à 2003, avant de revenir à l'ENSCL en 2003 et depuis 2020 à Centrale Lille.Rattaché à l'UMET (Unité Matériaux et Transformation, CNRS UMR 8207), il est responsable de l'axe de recherche dédié à l'ingénierie des systèmes polymères et pilote l'équipe sur la réaction et la résistance au feu des matériaux.Il a participé au dépôt d'une dizaine de brevets.Le 1er octobre 2020, il a été a été nommé membre Senior de l'IUF (Institut universitaire de France) pour 5 ans.
Il y a 3 ans et 349 jours

Barda’Clean : des plaques de parement auto-nettoyantes signées Perin & Cie

Le Barda’Clean est issu de la préfabrication en béton, il est conçu en partenariat avec Ciments Calcia. [©Perin & Cie] Les maîtres d’ouvrage et maîtres d’œuvre recherchent avant tout des aspects environnementaux, durables et esthétiques pour leur projet de façades. Désormais, Barda’Clean est une marque de bardages issue de la préfabrication en béton. Ce produit a été développé par Perin & Cie, qui se positionne comme un nouvel acteur dans le domaine de la façade. Barda’Clean protège la structure et son isolation des intempéries, mais aussi de la chaleur du soleil. Il évacue la condensation pour améliorer dans le temps la qualité et le confort thermique du bâtiment. De plus, ce bardage préfabriqué s’adapte à toutes les structures et peut devenir un plafond ou une couverture. Il est idéal pour les projets de rénovation. Enfin, il permet un traitement graphique des façades. Un partenariat gagnant Barda’Clean est issu d’un partenariat avec le cimentier Ciments Calcia, qui a mis au point un ciment dépolluant par catalyse et auto-nettoyant. Garantissant une façade propre sans entretien. L’Avis technique utilisé pour ce produit est celui Fe l’Effix de Ciments Calcia. Les plaques de bardage peuvent se développer sur une surface maximum de 2 m2 pour une épaisseur Fe 2 cm. Elles sont ensuite accrochées par des agrafes selon le procédé VetiClip de Vetisol à une ossature métallique ou bois. Ce système de bardage rapporté ventilé se met en œuvre en neuf, en rénovation, pour le tertiaire ou le résidentiel collectif. Mise en œuvre du bardage dans une crèche à Issy-les-Moulineaux. [©Perin & Cie]
Il y a 3 ans et 350 jours

Le béton de chanvre consomme très peu d’énergie

Dans l’étude réalisée par le Cerema, pour le compte de Construire en Chanvre Ile-de-France, les simulations ont été faites au moyen du logiciel Wufi Plus sur un bâtiment R+1 fictif de 100 m2. [©Cerema – Etienne Gourlay] On sait aujourd’hui que le béton de chanvre permet de stocker durablement du carbone. Ainsi, un complexe structure bois-remplissage béton de chanvre de 26 cm d’épaisseur permet d’emmengasiner jusqu’à plus de 35 kg de CO2/m2de mur mis en œuvre sur une durée de vie de de l’enveloppe. Soit 50 ans, voire 100 ans. Cette caractéristique sera valorisée dans les années à venir avec la mise en place de la RE 2020. En revanche, les performances thermiques du béton de chanvre sont à l’heure actuelle encore sous-estimées. Caractéristiques du béton de chanvre En effet, les échanges de vapeur d’eau contenue dans l’air avec le béton de chanvre permettent d’amortir, très sensiblement et de manière passive, les variations quotidiennes de température et d’hygrométrie dans un bâtiment. La conséquence de ces échanges est de réduire les consommations énergétiques et d’améliorer grandement le confort thermique et hydrique au sein des logements. Ces phénomènes internes de changement d’état de l’eau (vaporisation et condensation) ne sont pas pris en compte dans le moteur de calcul réglementaire actuel. L’épaisseur de béton de chanvre mise en œuvre pour respecter la RT 2012 est alors supérieure à celle nécessaire pour viser une consommation énergétique donnée. Cela conduit donc à des surcoûts de construction. Et, par conséquent, à une moindre compétitivité du béton de chanvre vis-à-vis d’autres matériaux. Lire aussi : Boulogne-Billancourt : Huit niveaux isolés en béton de chanvre, une première en Europe Une étude du Cerema Une étude a donc été réalisée par le Cerema, pour le compte de Construire en Chanvre Ile-de-France. Dans cette étude, les simulations réalisées au moyen du logiciel Wufi Plus sur un bâtiment R+1 fictif de 100 m2, dont les parois sont isolées par 30 cm de béton de chanvre, ont permis de mettre en évidence que les transferts couplés de chaleur et d’humidité au sein des murs en béton de chanvre permettent de réduire de 20 kWh/m2/an le besoin en chauffage du bâtiment, lorsque celui-ci est bien isolé par ailleurs (dalle, toiture…). Les 30 cm de béton de chanvre se comportent alors “énergétiquement” comme 22 cm de laine de chanvre. Le point important à retenir de cette étude exploratoire est que les transferts hygrothermiques au sein du béton de chanvre modifient sensiblement les besoins en chauffage du bâtiment.  Lire aussi :Essai au feu concluant pour le béton de chanvre « Cependant, bien que la physique des phénomènes mis en jeu à l’échelle du béton de chanvre soit aujourd’hui bien connue et maîtrisée, il apparaît que leur traduction en termes d’économies d’énergie engendrées constitue un verrou scientifique assez difficile à lever, notamment sur la question des besoins en refroidissement qui reste en suspens au terme de cette étude », peut-on lire dans le communiqué de presse. Des travaux complémentaires au moyen du logiciel Wufi Plus et d’un autre logiciel seront menés dans les prochains mois par le Cerema pour croiser les résultats et élargir les hypothèses des cas d’études.
Il y a 3 ans et 350 jours

Quadrilatère réaménage le siège du Crédit Immobilier de France

Quadrilatère dévoile aujourd’hui son travail de conception et le résultat de leurs travaux pour le siège de l’établissement bancaire français Crédit Immobilier de France, spécialiste de l’accession à la propriété des ménages modestes, installé au 26 rue de Madrid dans le 8è arrondissement de Paris.Le Crédit Immobilier de France a souhaité améliorer les conditions de travail de ses collaborateurs en leur offrant un lieu au sein duquel ils se sentent bien.Le projet de réaménagement sur 1.720m², répond à trois enjeux très actuels :Une réflexion sur la mise en place de nouveaux modes de travail plus collaboratifs et plus flexibles,Un renforcement du lien entre les collaborateurs,Une réduction et une optimisation des surfaces locatives.L’entreprise est ainsi passée d’une organisation classique extrêmement cloisonnée, dans des bureaux individuels ou partagés par 2-3 personnes, à des espaces de travail plus ouverts, complétés par des espaces collaboratifs plus nombreux : une tisanerie ouverte, des bulles de 2-3 personnes et des alcôves / espaces lounges informels à chaque étage. Les espaces autrefois assez sombres, comme la cuisine ou les salles de réunion, sont désormais plus lumineux, plus chaleureux, plus accueillants.Une « Place du Village » a été créée au 2ème étage, historiquement dédié à la direction et peu fréquenté par les collaborateurs. Désormais « désacralisé », cet espace ouvert à tous est devenu le nouveau cœur du siège.Quadrilatère a également pris en compte les inquiétudes des futurs utilisateurs, notamment acoustiques, liées au passage en open space : en remplaçant le PVC existant au sol par une moquette absorbante ; en supprimant les cloisons dotées de parements métalliques sur lesquels le son se réfléchissait ; ou encore en choisissant du mobilier en cohérence avec les usages : cloisonnettes acoustiques, de formes englobantes, revêtues de tissus absorbants pour les espaces informels situés sur les plateaux.Ces changements ont été réalisés en co-conception avec les collaborateurs du Crédit Immobilier de France, à l’occasion de trois ateliers qui leur ont permis de participer au micro-zoning du projet ; d’exprimer leurs besoins en fonction de leurs modes de travail ; de choisir l’ambiance de la “Place du Village” (gamme de couleurs, mobilier); de réfléchir sur le bien vivre ensemble et d’établir de nouvelles règles de vie. Les employés du CIF ont également pu choisir leur fauteuil de travail, puisqu’une sélection a été laissée en test chez le client pendant 1 semaine.
Il y a 3 ans et 351 jours

Les travaux de Notre-Dame de Paris en timelapse

Les travaux sont colossaux, et l’enjeu est de taille : la cathédrale Notre-Dame de Paris, qui accueillait en moyenne 30 000 visiteurs par jour et qui tenait 2000 offices par an, est toujours fermée. Les dégâts sont immenses, la flèche surplombant Notre-Dame, qui mesurait 96 mètres et qui faisait l’objet d’une rénovation lorsque le brasier s’est déclenché, s’est effondrée sur la toiture en feu. Déformées par la chaleur du feu, les 40 000 pièces de l’échafaudage déployé pour l’atteindre constituaient une menace importante. Le découpage de l’échafaudage autour de la flèche s’est achevé en novembre dernier grâce au travail des échafaudeurs, cordistes, nacellistes et grutiers. La phase périlleuse des travaux de sécurisation et de consolidation, préalable à la restauration de l’édifice, devrait désormais s’achever avant l’été prochain.Pour témoigner de cet effort et pour partager l’avancée de ces travaux avec le monde entier, la Fondation Notre Dame a choisi Digibox, une société spécialisée en réalisation de timelapses et en suivi de chantiers. La solution Digibox est un boîtier connecté qui permet d’effectuer des prises de photos à intervalles réguliers et programmés pour répondre aux enjeux de la communication des projets de construction dans l'immobilier, le BTP, la rénovation de chantiers historiques. Il est utilisé aussi bien en tant qu’outil pour le suivi de chantier en temps réel que pour la réalisation de films dans un but de communication. Le produit final est une banque de photos intelligentes et la réalisation d’un film timelapse retraçant l’histoire d’un projet et de son chantier. La solution Digibox est déployée dans toute la France pour de nombreux secteurs d’activités et de chantiers différents.“L’incendie de Notre-Dame a été un véritable drame pour la communauté chrétienne et pour le monde entier, c’est un symbole de la France qui a été touché. Il est très important pour nous de pouvoir rassurer les fidèles et les donateurs sur l’avancée des travaux en cours, et grâce à la solution innovante proposée par le mécénat de Digibox, c’est chose possible. Sans les dons que nous recevons chaque jour, il serait impossible de restaurer le mobilier, de financer les aménagements intérieurs et de continuer à faire rayonner Notre-Dame le temps du chantier” explique Christophe Rousselot, délégué général de La Fondation Notre Dame.
Il y a 3 ans et 355 jours

Pompe à chaleur + photovoltaïque en autoconsommation : un bon couple en neuf, comme en rénovation

Voici deux exemples, l’un en maison individuelle neuve, l’autre en collectif existant, montrant l’intérêt de l’association de pompes à chaleur et d’installations photovoltaïques en autoconsommation.
Il y a 3 ans et 355 jours

Isolation : quelles sont les failles dans un bâtiment ?

Le chauffage représente 60 % de la consommation énergétique des bâtiments et la facture flambe si la construction est mal isolée. Les déperditions thermiques alourdissent inévitablement la facture d’électricité et il faudra entamer des travaux d’isolation de l’extérieur ou de l’intérieur. Faisons le point sur les failles en matière d’isolation dans un bâtiment. Les failles d’isolation d’un bâtiment Les déperditions thermiques dans un bâtiment peuvent provenir du toit, des murs, des portes, des fenêtres, des planchers bas, des ponts thermiques ainsi que des fuites et du renouvellement de l’air. Le toit, les murs et le renouvellement de l’air Les professionnels de l’isolation se doivent de savoir d’où viennent les pertes de chaleur afin de conseiller au mieux les clients. L’artisan peut recommander à son client d’isoler son bâtiment avec Hellio, afin de réduire les déperditions thermiques. Il est à noter que : 30 % des déperditions thermiques dans un bâtiment proviennent du toit, lorsque la chaleur s’échappe des combles mal ou pas isolés 20 % proviennent des murs avec une déperdition de la chaleur en raison d’une isolation insuffisante à l’extérieur le renouvellement de l’air et les fuites, quant à eux, représentent également 20 % des pertes de chaleur dans un bâtiment Les ponts thermiques, les ouvertures et les planchers bas Les ponts thermiques sont responsables de 5 % des déperditions de chaleur dans une construction. Il s’agit de zones discontinues entre les parois de la structure et les matériaux qui finissent par rompre la barrière isolante. Les joints et les vitrages des portes et des fenêtres causent 15 % des pertes thermiques, tandis que 10 % proviennent des sols mal isolés. Isolation optimale : les solutions et les subventions existantes Une bonne isolation permet de maintenir un confort thermique optimal dans un bâtiment, en été comme en hiver. Elle réduit également les bruits provenant de l’extérieur et permet d’économiser sur la facture énergétique. Votre rôle sera donc également de renseigner vos clients à ce sujet. Les solutions pour une isolation optimale Les solutions d’isolation d’un bâtiment sont nombreuses, mais l’idéal est de se tourner vers un professionnel qui pourra diagnostiquer l’efficacité énergétique du logement. Il sera également en mesure d’identifier les sources des déperditions à traiter. Pour diminuer les pertes de chaleur dans un bâtiment, il conviendra de réaliser des travaux d’isolation du toit, des sols et des murs. Il faudra également : réduire les pertes thermiques en isolant par l’extérieur, limiter les fuites d’air via un calfeutrage ou de la mousse polyuréthane, opter pour des portes ainsi que des fenêtres isolantes. Isolation : les aides disponibles en 2021 L’État propose de nombreuses aides financières afin de vous accompagner dans votre volonté de transition énergétique pour le bâtiment. Ces aides permettent le financement de toute ou partie des opérations de rénovation énergétiques engagées. Les postes éligibles sont le changement de chauffage ainsi que les postes d’isolation thermique. En 2021, les Français peuvent bénéficier des CEE (certificats d’économies d’énergie) qui concernent des travaux liés à l’enveloppe de l’habitat. Il peut s’agir de l’isolation de la toiture/des combles, des planchers bas et des murs. Ils peuvent également profiter de la prime Coup de Pouce Isolation s’ils sont classés en tant que ménages « modestes ».
Il y a 3 ans et 356 jours

Le plafond tendu, une technique pour embellir vos intérieurs délicate et fine, demandant à être exécutée par un expert.

Décoplafond, c’est plus de 30 ans d’expérience, des dizaines de chantiers de plafonds tendus installés, toujours avec la qualité et dans le respect des délais. Pietro Di Tursi est un expert artisan qui va améliorer et embellir n’importe quelle pièce de votre habitat, grande ou petite. Que vous souhaitiez décorer votre maison, créer un look professionnel de premier ordre pour le bureau ou inspirer une atmosphère unique dans votre environnement, Décoplafond.com est la solution en Occitanie, venez sur notre site, nos espaces sociaux découvrir les chantiers, apprécier le travail réalisé, la transformation avant/après la pose d’un plafond tendu dans les endroits les plus insolites (hauteur de plafond, entre-poutres élevées) ou les salles plus ou moins exigues. Décoplafond s’occupe de la pose de plafonds tendus, ainsi que les éléments liés à cette technologie pour embellir le design d’intérieur et pour générer un nouvel effet de finition incomparable pour une variété d’applications dans les projets existants dans tout intérieur. Notre distinction est la capacité de créer des plafonds tendus, chauffants particulièrement soignés et fins et de fournir une installation terminée clé en main, de votre espace de vie. Notre service est rapide et efficace, nous fournissons une attention méticuleuse aux détails, des matériaux de haute qualité, un goût sur et reconnu et un staff d’installation professionnelle qualifiée. Pour nous, les choix du client sont primordiaux, nous sommes à votre écoute, et décoplafond apporte un point de vue d’expert, afin d’adapter vos envies aux contraintes techniques ainsi nous livrons des designs d’intérieur contemporains, traditionnels ou vintages correspondant strictement à vos spécifications. Les toiles tendus matériaux peuvent être imprimés pour des effets supplémentaires (peuvent même être rétro-éclairées) et sont entièrement imperméable, lavable. La toile est également sans entretien, hygiénique, non toxique et est classé au feu selon les normes de classe euro B-s1, d0 conformément à la norme NF EN 13501-1. Ce test est relatif aux performances et à la sécurité du produit, tel qu’il aurait été installé en tant que barrière de sécurité hygiènique. Notre produit empêche la propagation des flammes ou une augmentation critique de la température. Adaptable à tous les leiux et formes, il peut s’installer aisément dans n’importe quelle pièce de votre logement, qu’il s’agisse d’un appartement ou d’une maison individuelle. Il faut savoir qu’il ne s’installe pas directement sur le plafond, mais sur les murs; grâce à des lisses profilées qui y sont fixées. Le faux plafond tendu est alors étiré d’un mur à l’autre. Deux techniques sont utilisées dans cette étape : le montage à chaud ou le montage à froid. Le montage à chaud consiste à étirer la toile sous l’effet de la chaleur pour qu’elle ait un aspect lisse, à la grande différence, que le plafond tendu est démontable et remontable à volonté. Le montage à froid permet quant à lui d’obtenir le même résultat sans avoir à chauffer le plafond. D’une résistance peu commune, la toile tendue résiste à l’eau et au poids. Faire appel à un professionnel qui maitrise parfaitement la technique de ce type d’ouvrage, et a l’habitude de le réaliser. Vous aurez ainsi la certitude d’avoir un bon rendu visuel, dans un délai moindre tout en limitant les risques de mauvaise pose. Piétro Di Tursi met un oint d’honneur à réaliser vos projets en respectant les lieux, la propreté du chantier, la netteté de son travail en font un des spécialiste midi-pyrénéen de la pose de plafond tendu, même dans des bâtiments anciens, des granges rénovées … Décoplafond est un expert qui outre le plafond tendu, est aussi un spécialiste de la pose de plafond chauffant, aujourd’hui c’est un vecteur d’économies très importantes sur votre budget énergie, vous serez entourés, lovés dans une châleur descendante, agréable et …économique. Venez faire une estimation de votre chantier sur https://decoplafond.com/demander-un-devis/,nous sommes respectueux de votre anonymat et ne profitons pas des informations ainsi recueillies, respecter nos clients est un sacerdoce de l’entreprise depuis toujours.
Il y a 3 ans et 356 jours

L'Association Qualitel présente le 1er État des lieux du logement des Français

Réalisée sur un échantillon de 1.000 logements, associant mesures et observations, cette étude permet de comprendre comment l'habitat a évolué au fil du temps et à quoi il ressemble aujourd'hui. Verdict : « Bien, voire très bien sur certains points, mais peut encore mieux faire sur d'autres... ». Focus sur quelques enseignements de ce nouveau Rendez-Vous QUALITEL du Logement*.D'avant-guerre à nos jours : comment les logements français ont-ils évolué au cours du dernier siècle ?Au fil des dernières décennies, les logements français ont évolué, notamment en termes de configurations et d'aménagement. Ainsi par exemple :Un extérieur... absolument, y compris dans l'immobilier collectif : plus d'1 appartement sur 2 (54%) est aujourd'hui équipé d'un balcon et / ou d'une terrasse. En moins d'un siècle, la proportion des appartements avec extérieur a ainsi été multipliée par 3 ! Et l'accès à l'extérieur se joue aussi... par la fenêtre : en maison par exemple, la surface vitrée a gagné 2,1m² depuis l'avant-guerre, atteignant, depuis 2009, une moyenne de 6,2m² (4,9m² dans les appartements de moins de 10 ans, soit 1,7m² de plus qu'avant-guerre).Toujours moins de rangements : de la cave au grenier, en passant par le placard intégré, les espaces facilitant stockage et rangements disparaissent progressivement. En un siècle, la part des logements possédant une cave a ainsi été divisée par 12 et celle des logements possédant un grenier, par 3,5. Une perte d'espace non compensée par les placards intégrés : seuls 49% des logements récents sont équipés de 2 placards intégrés ou plus (41 % en appartement et 60 % en maison).Moins d'appartements traversants : 50 % des appartements de plus de 10 ans sont traversants, contre 32 % des plus récents. D'une conception plus contraignante, ils sont souvent moins économiques pour le projet et donc moins privilégiés.Côté salle de bain :Douche ou baignoire, la maison n'a pas choisi : 1/4 des maisons possède au moins une douche ET une baignoire, contre 6 % seulement des appartements. Globalement, le duel est néanmoins remporté par la douche, qui équipe aujourd'hui 61% des logements. Plus gourmande en eau et en surface, la baignoire, présente dans 56% des logements, perd quant à elle du terrain depuis une dizaine d'années.Manque de fenêtre... et d'eau chaude : 37% des salles de bain ne possèdent pas de fenêtre. C'est, logiquement, d'autant plus vrai dans les appartements : seuls 38% possèdent une fenêtre dans la pièce humide v/s 81% pour les maisons. Côté eau chaude, la salle de bain peut également encore mieux faire : pour 41% des logements, l'eau chaude à température idéale de 38° met plus de 30 secondes à arriver dans la salle de bain principale, soit un gaspillage annuel moyen de 7 665 litres d'eau.Isolation & chauffage : la transition écologique est-elle en marche ?Le logement s'adapte progressivement au grand défi du siècle : le réchauffement climatique. Sous l'impulsion des réglementations successives, l'isolation thermique s'est généralisée, les EnR commencent à se développer... Ces évolutions devraient s'intensifier et s'accélérer avec la RE 2020. Dans le détail :En maisons, énergies fossiles en voie de disparition, énergies renouvelables en amorce : le nombre de logements chauffés au gaz a été divisé par 2 et le fioul a été banni des constructions récentes. A l'inverse, les pompes à chaleur et l'électricité se sont démocratisées.Les EnR tendent à se développer : elles représentent aujourd'hui 8 % des modes de chauffage dans l'individuel, 10% des maisons sont équipées de chauffe-eau thermodynamique ou solaire , 25% des plus récentes sont nativement équipées en énergies renouvelables v/s 7% des plus de 10 ans, etc.A partir de 1980, l'isolation devient le standard et tend vers la systématisation : 100% des logements construits après 2009 sont isolés thermiquement. Contribuant également à une isolation performante, le double-vitrage est aussi devenu la norme : 91 % des logements construits avant 1979 en sont équipés ... alors même qu'il ne s'est popularisé qu'à la fin des années 1970. Aujourd'hui, 94 % des logements sont équipés en double ou triple vitrage.Des volets à toutes les fenêtres ... ou presque : 8 logements sur 10 sont entièrement équipés d'occultations, dont 54 % par des volets roulants.Des progrès restent à faire : par où commencer, sur quoi insister ?Dans certains domaines, le logement peut encore mieux faire. L'Association QUALITEL engage ainsi les acteurs du secteur à poursuivre leurs efforts sur différents points d'amélioration, parmi lesquels :L'humidité et les moisissures associées : certes moins nombreuses avec la ventilation devenue la norme dans les pièces humides, les moisissures jouent toujours les troubles fêtes : près d'1 logement sur 5 présente des moisissures visibles à l'œil nu, dans les salles de bain, mais aussi dans les chambres. Dans ces dernières, le taux d'humidité est particulièrement élevé : 3 logements sur 10 présentent un taux d'humidité supérieur à 60% dans les chambres (v/s 55% recommandé par les médecins).La sécurité contre les vols et intrusions : la porte reste la faille des logements français en matière de sécurité. Dans 4 logements sur 10, cette porte présente moins de 3 « vrais » points de fermeture, minimum requis par les assurances. Et quand la porte est infranchissable, le cambrioleur passe par la fenêtre . Or, en rez-de-chaussée, seulement 1/3 des logements ont des fenêtres équipées de barreaux ou d'occultation.L'adaptation des immeubles aux personnes âgées et handicapées, qui progresse encore trop lentement : 2 bâtiments résidentiels collectifs sur 3 ne disposent pas d'ascenseur. Et quand il y en a un, 1 habitant sur 5 doit franchir des marches avant de l'atteindre. Des contraintes problématiques au quotidien, pour tous ceux qui souffrent de perte d'autonomie. 60% des Français se disent d'ailleurs insatisfaits de l'adaptation de leur logement aux personnes handicapées.L’État des Lieux du logement des Français en chiffres :1000 logements représentatifs du parc français étudiés100 indicateurs (température, taille des fenêtres, ventilation, chauffage, isolation, etc.)75 enquêteurs mobilisésEnquête réalisée par IPSOS pour l'Association QUALITEL, du 23 mai au 26 juillet 2019Disponible en téléchargement à cette adresse.
Il y a 3 ans et 357 jours

Le béton de chanvre réduirait de 70% les besoins énergétiques

MATÉRIAUX. Le Cerema démontre, dans une étude, que les transferts couplés de chaleur et d'humidité dans les murs en béton de chanvre permettent de réduire jusqu'à 70% le besoin en chauffage dans le cas d'un bâtiment très performant thermiquement.
Il y a 3 ans et 357 jours

Pompe à chaleur + solaire thermique = SolaroPAC

Les pompes à chaleur dont la source froide est constituée de capteurs solaires thermiques basse température sont développées par plusieurs industriels français et atteignent des rendements élevés.
Il y a 3 ans et 357 jours

Analyseur de consommation énergétique

L’analyseur EQmatic d’ABB est spécialement conçu pour surveiller, enregistrer, visualiser et analyser les données de consommation et d’énergie transmises par les compteurs d’électricité, de gaz, d’eau et de chaleur qui équipent partout les bâtiments résidentiels, industriels et tertiaires. L’offre se compose de trois appareils, proposant chacun un protocole de communication avec les compteurs d’énergie : M-Bus, Modbus ou KNX. Personnalisable par une interface utilisateur en ligne, chaque modèle existe en deux variantes correspondant au nombre maximal de compteurs raccordables, à savoir 16 ou 64. La gamme s’adapte ainsi à tous les types de compteurs du marché et à toutes les tailles d’installation. Une surveillance détaillée des flux et coûts énergétiques identifie les pertes afin d’optimiser les usages et de pérenniser les économies d’énergie. EQmatic est la première solution numérique de gestion des données de compteurs sur réseau M-Bus. Outre une installation et une mise en service simples et rapides, les clients bénéficient de l’accompagnement d’ABB pour mettre à profit les fonctions de gestion énergétique. Tout désigné pour les entreprises attachées à la certification ISO 50001, l’EQmatic se configure sans peine pour s’intégrer à un parc de compteurs d’électricité, de gaz, d’eau ou de chaleur multiconstructeurs. L’appareil permet la détection automatique des compteurs EQ (séries A et B) et des analyseurs de réseau M4M d’ABB, la gestion de la charge, alarme et surveillance des paramètres environnementaux (KNX), le stockage local et partage des données, l’intégration au système de gestion énergétique ABB Ability EDCS, l’analyse graphique des données par tableaux de bord et diagrammes, possibilités d’exportation de données.
Il y a 3 ans et 357 jours

Analyseur de consommation énergétique

L’analyseur EQmatic d’ABB est spécialement conçu pour surveiller, enregistrer, visualiser et analyser les données de consommation et d’énergie transmises par les compteurs d’électricité, de gaz, d’eau et de chaleur qui…Cet article Analyseur de consommation énergétique est apparu en premier sur Planète Bâtiment.
Il y a 3 ans et 358 jours

Réseaux de chaleur en mutation

Les réseaux de chaleur évoluent vers des régimes basses températures qui améliorent les rendements et facilitent l’intégration d’énergies renouvelables ou de récupération locales. Exemple à l’appui, celui de la réhabilitation de l’Hôpital Saint Vincent de Paul.
Il y a 3 ans et 361 jours

Le chauffage au granulé de bois, pourtant en phase avec les réglementations, remis en cause dans les débats publics

L’interdiction du gaz dans la construction neuve à l’horizon 2022, le non-remplacement des chaudières aussi dès 2022, ou encore la réforme du nouveau DPE entrée récemment en consultation, soulèvent de nouveaux défis.Le bois, première source d’énergie renouvelable de France, soutenu par la PPE (Programmation Pluriannuelle de l’Énergie), possède de nombreux atouts pour répondre aux besoins en chaleur. Les pouvoirs publics, conscients du potentiel de la biomasse, ont fait de cette source d’énergie locale et renouvelable, un élément incontournable de la prochaine RE 2020 qui entrera en vigueur en 2022. Plus précisément, le granulé, grâce à sa densité énergétique, son excellent bilan carbone, sa combustion propre et sa flexibilité d’utilisation, a toutes les qualités pour un chauffage durable et respectueux de l’environnement.Cependant, de nombreuses interrogations demeurent dans le débat public. Elles concernent notamment le taux d’émissions de particules fines du chauffage au bois, ou encore la provenance du bois pour fabriquer du granulé, parfois associé à des pratiques de déforestation.Face à ces récentes mises en cause, Propellet souhaite rappeler deux arguments majeurs. Premièrement, un appareil moderne et performant au granulé associé à ce combustible de haute qualité n’émet qu’un taux très faible de particules fines. Par ailleurs, les granulés sont fabriqués à 100% à partir des sous-produits de la forêt et des industries du bois. Cette matière n’est pas directement issue de l’exploitation forestière puisqu’elle arrive en bout de chaine.Equipements performants et combustible certifié : La recette d’une qualité de l’air préservéeLa qualité de l’air est un enjeu majeur pour la santé publique dont les autorités se sont saisies. Des textes officiels comme le rapport parlementaire de la député Emilie Chalas sur la qualité de l’air et le chauffage au bois domestique ou encore le récent plan d’action du gouvernement pour un chauffage au bois domestique performant, soulignent tous une réalité: s’ils encouragent les appareils de chauffage au bois modernes à haut rendement, ils déplorent l’impact négatif des appareils à foyer ouvert, anciens et mal entretenus sur la qualité de l’air.Or, malheureusement, et malgré le renouvellement progressif du parc des équipements de chauffage, les foyers ouverts et équipements anciens peu performants (datant d’avant 2005) constituent encore 48% du parc des équipements et sont responsables de 82% des émissions de particules fines du chauffage au bois individuel.Propellet appelle ainsi à la sensibilisation des citoyens sur l’impact négatif sur la qualité de l’air que peut représenter un appareil inadapté et dépassé. L’association souhaite encourager le remplacement des appareils anciens par des équipements modernes, performants et à foyer fermé labelisés « Flamme Verte sept étoiles » ou équivalents. Par ailleurs, l’utilisation d’un granulé de haute qualité certifiée, permet de diminuer drastiquement les émissions de particules fines.« Le chauffage au granulé moderne, tel qu’on le connait actuellement, n’émet pratiquement pas de particules fines. Un appareil récent performant émet jusqu’à 30 fois moins de particules fines qu’un foyer fermé antérieur à 2002 et jusqu’à 30 fois moins qu’un foyer ouvert ! Malheureusement, le raccourci est encore trop facile entre une cheminée traditionnelle fortement émettrice de particules fines et une chaudière moderne ultra performante et à haut rendement. Il faut rétablir la vérité sur la réalité du chauffage au granulé en allant au-delà d’une image stéréotypée. » - Eric Vial, délégué général de Propellet.Un granulé issu des coproduits de l’industrie du bois« Nous avons récemment vu dans les médias une violente remise en cause de la biomasse pour se chauffer, associant des images de déforestation massives à la fabrication de granulé. Nous tenons à rappeler un chiffre : 100% du granulé est fabriqué à partir des coproduits des industries du bois, tels que les copeaux ou la sciure, qui sont produits lors de la première transformation du bois (pour fabriquer des charpentes, mobiliers, etc.) Le granulé a donc un rôle clef à jouer dans la valorisation de ces résidus en énergie ! » - Eric Vial, délégué général de PropelletLa fabrication de granulé de bois joue un rôle majeur dans le cycle de vie du bois, notamment lorsqu’il s’agit de réutiliser des coproduits qui ne trouveraient pas d’autres débouchés.La production de granulé est également issue de la coupe d’éclaircies ou d’entretien de la forêt. Ces coupes permettent notamment aux jeunes arbres d’obtenir davantage de lumière pour grandir. Elles assurent une sylviculture plus dynamique et permettent la régénérescence des arbres afin qu’ils captent plus de carbone.« De nombreuses inquiétudes persistent actuellement concernant la disponibilité de la ressource et beaucoup s’imaginent que la massification du chauffage au bois entraînera une surexploitation du tissu forestier. C’est faux ! La production de ces coproduits est suffisamment importante pour assurer les besoins en chauffage au granulé. D’autre part, le granulé de bois n’a pas pour vocation de répondre à l’ensemble des besoins énergétiques. La transition passe forcément par le mix énergétique » - Eric Vial, délégué général PropelletNaturellement, le renouvellement des appareils de chauffage individuels au bois, qui sont aujourd’hui beaucoup plus performants, combiné aux efforts d’efficacité thermique des bâtiments conduiront à ce qu’une même quantité de bois puisse permettre de chauffer un nombre plus important de ménages français. Par ailleurs, les besoins en construction ou mobilier, étant croissants, cela s’accompagnera par une augmentation maîtrisée des prélèvements forestiers, en tous les cas bien inférieurs à la croissance de la forêt.
Il y a 3 ans et 361 jours

Jusqu’où les propriétés du béton pourront-elles s’étendre ?

Retrouvez cet article dans le n° 94 de Béton[s] le Magazine Le béton sait prendre de multiples formes, parfois les plus inattendues… [©ACPresse] Depuis plus de 20 ans, les nouveaux bétons – BHP, Bap et autres Bfup – n’ont cessé de s’étendre et de s’améliorer. Et cela ne s’arrête pas. De nouvelles propriétés physiques apparaissent. Le béton drainant avale l’eau des crues. Un autre réduit les îlots de chaleur, en devenant réfrigérant. Quant au 3e, il se cicatrise tout seul…   Par définition, le béton est un matériau hétérogène, mélange d’un certain nombre de constituants de base. Mais il est toujours possible d’en remplacer un ou deux, ou d’en rajouter un de plus… C’est ce que s’évertuent à faire les chercheurs sur leurs paillasses. Et le succès peut être, parfois, au rendez-vous. En lisant la presse, en furetant sur Internet, en assistant à des congrès ou au détour d’une allée sur un salon, on découvre parfois des bétons étonnants. En voici un petit florilège… Cet article est réservé aux abonnés des revues Béton[s] le Magazine et Bâti & Isolation. Déjà abonné Mon email Mon mot de passe Oublié ? En plus de votre magazine, profitez d’un accès illimité à l’ensemble des contenus et services du site www.acpresse.fr : Lecture de l’intégralité des dossiers thématiques, reportages chantiers, fondamentaux, histoire de la construction… Consultation des indicateurs économiques (chiffres et analyses) + vos newsletters pour suivre l’info en continu Je m'abonne
Il y a 3 ans et 361 jours

Xella habille le projet majeur de Saint-Etienne

Retrouvez cet article dans le n° 94 de Béton[s] le Magazine Les blocs Ytong limiteront l’éventuelle propagation des feux dans le centre commercial Steel. [©Xella] LOIRE. Le projet du centre commercial Steel a été imaginé par Sud Architectes, Atelier Rivat et Studio Briand & Berthereau. Il a ouvert ses portes à l’entrée de Saint-Etienne, en septembre. Il associe 52 000 m2 de surfaces commerciales, avec plus de 70 enseignes, restaurants et loisirs. Et 37 000 m2 d’espaces verts. Sur ce type d’établissements recevant du public (ERP), la réglementation relative à la protection incendie est très exigeante. Elle prévoit des dispositions constructives particulières, pour limiter la propagation des flammes et des fumées. Parmi les techniques choisies, les solutions coupe-feu Xella ont été retenue. Ceci, pour le cloisonnement des cellules commerciales et des locaux techniques.  Les produits Xella à l’honneur Les entreprises Civez, Sopraco et Chenaud Bâtiments sont en charge du chantier. Elles sont habituées aux produits Xella et ont privilégié le bloc Ytong Compact 20. Ce ne sont pas moins de 550 m3. Soit près de 2 800 m2 de murs séparatifs coupe-feu Ytong. Qui ont été posés dans les différentes zones commerciales.  Classé A1, soit dans la catégorie “Matériaux non combustibles”, le bloc Ytong n’alimentera pas le feu et limitera la propagation des flammes. De plus, il ne dégage ni fumée toxique, ni gaz. Et ne se déforme pas sous l’effet de la chaleur. En détail, le bloc limite l’élévation de température à 30 °C au bout de 1 h 30. Et à 70 °C au bout de 4 h 00.  Lire aussi les autres actualités en région Autre atout : la légèreté. « Nous sommes intervenus sur l’une des enseignes du centre commercial Steel, explique Eric Chenaud gérant de Chenaud Bâtiments. Nous y avons posé 250 m2 d’Ytong Compact 20. Le faible poids du bloc, limité à 93,5 kg/m2, a permis de répondre à la contrainte de surcharge linéique des murs séparatifs sur les dalles. » Retrouvez cet article dans le n° 94 de Béton[s] le Magazine
Il y a 3 ans et 363 jours

Quelles sont les différences entre un rafraîchisseur d’air et une clim mobile ?

Durant les périodes de canicule, un simple ventilateur ne vous suffit pas et vous êtes à la recherche d’un moyen efficace pour rafraîchir l’air intérieur de votre habitation, sans être obligé d’investir dans un appareil de climatisation fixe ? Alors, vous avez le choix entre un climatiseur mobile et un rafraîchisseur d’air. Si les deux sont fabriqués dans l’objectif de lutter contre la chaleur de l’été, ils n’ont pas le même principe de fonctionnement. Pour être sûr et certain de faire le meilleur choix, on vous invite à découvrir les caractéristiques respectives et les atouts de ceux-ci. Qu’est-ce qu’un rafraîchisseur d’air ? Connu parfois sous le nom du « climatiseur sans évacuation », le rafraîchisseur d’air se distingue d’un principe de fonctionnement complètement différent d’un système de climatisation classique. Il ne contient pas de fluide frigorigène, mais il est doté d’un réservoir d’eau et d’un ventilateur. Le rafraîchisseur d’air est un appareil qui fonctionne par évaporation : il aspire l’air chaud de la pièce et le souffle en s’aidant d’un ventilateur vers un tampon humidifié. Ce processus provoque l’évaporation et la réduction de la température. L’air frais, mais également plus humide ainsi obtenu, sera renvoyé dans toute la pièce. Selon les modèles, la fonction de l’humidification peut être désactivée et le dispositif pourrait fonctionner en mode ventilation seulement. Tout comme un climatiseur, il pourrait également être doté de filtres dans le but d’assurer la purification de l’air. Qu’est-ce qu’un climatiseur mobile ? Le système de climatisation mobile fonctionne généralement selon les mêmes principes qu’un système de climatisation fixe, sauf qu’il est équipé de roulettes et plus compact. Il s’agit d’une pompe à chaleur air-air dotée d’un circuit frigorifique avec quatre éléments principaux : un condenseur, un compresseur, un évaporateur et un détendeur. Ce système a pour rôle de capter les calories de l’air ambiant de la pièce et les rejeter dehors à travers une gaine, s’il s’agit d’un modèle monobloc ou bien à travers une unité extérieure, s’il s’agit d’un modèle split. Quant au prix, le système de climatisation mobile monobloc est moins coûteux à l’acquisition et plus facile à déplacer. C’est, alors, une solution d’appoint par excellence apte à vous suivre partout dans le foyer. En revanche, cette climatisation dispose d’un niveau sonore plus élevé en comparaison avec la climatisation split. Composé de deux unités séparées, dont l’une contenant le groupe de condensation et de compression, celui-ci s’installe impérativement à l’extérieur de l’habitation. À lire aussi: Les innovations majeures sur les climatisations   Rafraîchisseur d’air vs clim mobile : comment choisir ? Si les deux modèles de systèmes de climatisation sont prêts à l’emploi et sont faciles à déplacer, ils ont, cependant, des atouts bien différents. En fait, les rafraîchisseurs d’air sont beaucoup plus respectueux de l’environnement, parce qu’ils ne contiennent pas de liquide frigorigène. Les rafraîchisseurs d’air sont aussi disponibles à un prix très abordable et permettent de faire des économies d’énergie, alors que les systèmes de climatisation mobiles coûtent beaucoup plus cher, tout en étant plus énergivores. La mise en place des climatiseurs est également un peu plus complexe à cause de l’obligation de faire passer le tuyau d’évacuation. Cependant, quant à celle de rafraichisseurs, elle est plus autonome, car ceux-ci exigent d’être réalimentés en eau fraîche d’une manière périodique. Les rafraîchisseurs d’air, tout comme les systèmes de climatisation mobiles monobloc, font trop de bruit. Mais, si vous voulez avoir le dispositif le plus silencieux possible, il vaut mieux s’orienter vers une climatisation mobile split qui sera, alors, plus encombrante et plus compliquée à mettre en place. Il faut tenir compte que le rafraîchisseur d’air n’est pas un climatiseur et que ses performances de rafraîchissement sont assez limitées. Cet équipement peut rendre l’air plus humidifié, ce qui intensifie la sensation de chaleur. Que vous optiez pour un climatiseur mobile ou bien un rafraîchisseur d’air, il ne faut pas oublier les bons gestes permettant de maintenir votre habitation au frais durant les périodes de canicule. Par exemple, il faut veiller à bien fermer vos fenêtres et vos volets la journée et les ouvrir la nuit, quand la température extérieure commence à baisser. En cas de besoin de plus d’informations à propos de ce sujet ou en cas de la moindre hésitation, tenez à prendre toujours le conseil d’un professionnel de climatisation tel que notre société Climatisation Expert ! C’est le seul qui pourra vous aider et mieux vous orienter. Consultez notre site web pour plus d’information https://climatisation-expert.fr/sarcelles-95200 .
Il y a 3 ans et 364 jours

Rénovation ou neuf ? Quel marché est le plus porteur ?

Aucun secteur ou presque n’a été épargné de la crise engendrée par la pandémie de covid19. Le domaine du bâtiment et travaux publics ainsi que tous les autres secteurs qui s’y apparentent ont été le plus touchés.  Vous êtes artisan ? Vous vous demandez quel marché est le plus prometteur cette année et les années qui vont suivre entre la rénovation et le neuf. Cette rubrique est pour vous. La rénovation, un marché qui promet Personne n’a prévu qu’il y aurait une maladie réussissant à bouleverser le monde vers la fin de 2019. Avec le confinement total qui a commencé en 2020, tout projet a été délaissé. Néanmoins, on peut dire que le domaine de la rénovation reste très prometteur. Il l’a toujours été et le restera certainement. En effet, de très nombreux bâtiments ont besoin d’être rénovés en France. Et ce, dans différents domaines. Cela peut être des travaux de rénovation générale. Mais, on peut aussi rénover les différentes parties séparément. On parle notamment du ravalement de façade, de la rénovation de la toiture, des menuiseries et encore d’autres. Qui plus est, ces travaux sont indispensables pour la durabilité de la construction ainsi que le confort de vie des habitants. En outre, vous pouvez comparer en ligne les différents prix de la pose dans la rénovation pour proposer un prix concurrentiel. Les travaux de rénovation énergétique, les plus florissants Pour garantir un meilleur confort dans une habitation, on ne peut pas éviter les travaux de rénovation énergétique. Cela permet aussi de réduire la consommation et donc la facture ainsi que l’impact sur l’environnement. De plus en plus de Français investissent dans ces travaux. Qui plus est, l’État encourage ces types de travaux. ·        La rénovation des isolations Ce sont les isolations qui garantissent la performance énergétique d’un bâtiment. Il est donc impératif, voire obligatoire de les rénover lorsqu’elles commencent à devenir des passoires à chaleur. Et lorsqu’on parle d’isolation, c’est du sol au plafond en passant par les murs et les menuiseries. Vous n’aurez aucun mal à trouver un client pour de tels travaux. ·        La rénovation des systèmes sanitaires Les plomberies incluant les tuyauteries et les équipements sanitaires doivent également être rénovées, lorsqu’ils vieillissent. Qui  plus est, les fuites d’eau et les canalisations bouchées peuvent être dangereuses en affaiblissant la structure d’une maison. Il est donc impossible de se passer de ces travaux de rénovation et de réparation. Cette année où pour les années à venir, il y aura toujours des travaux de rénovation à faire. Il s’agit donc d’un marché toujours en devenir. Si vous êtes artisans, vous pouvez très bien trouver du travail dans ce domaine plus facilement. Crise ou pas crise, difficulté ou non, tout le monde s’occupera toujours de leur habitation. Qu’en est-il du marché dans le neuf ? Le marché dans le neuf a été plus touché que le domaine de la rénovation cette année. En effet, cela a connu un recul de 15 % rien qu’entre 2019 et 2020. Cela est notamment à cause des périodes de confinement qui ont littéralement gelé les chantiers. Quoi qu’il en soit, l’année prochaine semble plus prometteuse pour les professionnels de la construction. ·        Une hausse prévue en 2021 S’il n’y avait plus rien à faire pour 2020 dans le secteur de la construction neuve. On prévoit un rebond de 11 % cette année. C’est déjà ça, même si cela n’est pas assez pour combler les pertes que les entreprises et les artisans ont souffertes l’année dernière. Toutefois, des doutes subsistent encore et de nombreux travailleurs dans ce secteur n’auront pas encore leur part. ·        Un revirement possible Cette année, on a déjà commencé les campagnes de vaccination. On peut donc espérer que cela retourne la situation. Outre l’ouverture des chantiers, on attend aussi le retour des investisseurs qui se sont retirés pendant les périodes de confinement. Le marché dans le neuf devrait donc redevenir plus intéressant pour les artisans. Alors, rénovation ou neuf ? Quel marché est le plus porteur ? Tel qu’on a pu le constater, la rénovation comme le neuf ont été touchés par la crise engendrée par le Covid19. Cependant, le marché dans le neuf a été plus vulnérable. Malgré le fait qu’il présente de l’espoir pour cette année et surtout pour l’année prochaine. Il est évident que le domaine de la rénovation l’emporte. En effet, en tant qu’artisan dans un domaine déterminé, vous trouverez toujours des travaux de rénovation à réaliser. Mais ce qui rend le marché de la rénovation plus florissant, c’est qu’il est soutenu par l’État. Les différents crédits d’impôt et primes octroyés pour certains travaux en sont la preuve. Professionnel dans ce domaine ? Vous pouvez donc toujours compter sur ce marché pour trouver des occupations. Et ce, en attendant que le marché dans le neuf offre plus d’occasions.
Il y a 4 ans et 0 jours

Ceramiche Keope : Elements Design « Paint »

Elements Design de Ceramiche Keope est la collection de surfaces mates en style minimaliste qui, s’inspirant des architectures des grandes métropoles internationales, rappelle les détails esthétiques de la résine. La proposition en grès cérame est désormais enrichie par cinq nouvelles teintes pastel inédites conçues pour des espaces architecturaux contemporains créant des ambiances harmonieuses et détendues. Les nuances pastel inédites poursuivent le chemin de la créativité de la collection, en s’harmonisant autour de cinq tons chaleureux et authentiques : Avio, Sage, Peach, Powder et Cotto, fascinantes couleurs terreuses permettant de réaliser des espaces au caractère très naturel. La modernité des surfaces Elements Design est surprenante en version mate, brillante ou structurée pour offrir une vision ultra-contemporaine des espaces, tandis que les décors et les mosaïques conçus pour la collection confèrent une touche glamour aux qualités fonctionnelles du grès cérame.Grâce à sa composition minéralogique et son processus de production, le grès cérame de Ceramiche Keope ne craint pas, en effet, les altérations et agressions telles que les coups ou les abrasions, résiste au feu, au gel, à l’humidité, tout en conservant dans le temps la couleur et l’aspect du premier jour de pose. Parfaitement en mesure de s’adapter à tout type de contexte, commercial ou résidentiel, Elements Design suggère de jouer, d’oser avec les couleurs, les finitions et les différentes inspirations, tout en conservant son cachet, vu la cohérence conceptuelle qui lie entre elles les différentes séries de la collection Elements. Du revêtement des murs et du sol, avec les nouvelles finitions délicates, au sol extérieur, réalisé dans la déclinaison d’extérieur d’Elements Design, il est possible de réaliser une harmonieuse continuité entre intérieur et extérieur, créant un véritable « total look ».L’éventail de possibilités d’utilisation est large, et les possibilités d’assortiment sont infinies, aussi bien au mur qu’au sol. La ligne se présente aussi bien en petits formats que dans les plus grandes plaques. À côté de l’épaisseur 9 mm des formats traditionnels, Elements Design propose aussi le 6 mm des grands formats. Un projet dont le caractère polyvalent permet de développer des solutions personnalisées en mesure de répondre à tout type d’exigence. Ceramiche KeopeCeramiche Keope une entreprise italienne de céramique qui étudie, conçoit et produit des revêtements de sol ou muraux en grès cérame. Son histoire, débutée en 1995 à Casalgrande (Reggio Emilia), l’a amenée à être présente dans plus de 80 pays dans le monde. Aujourd’hui, avec une production annuelle de plus de 5 millions de mètres carrés, l’entreprise offre des solutions au design raffiné et aux performances techniques élevées aussi bien pour les espaces extérieurs qu’intérieurs, les espaces commerciaux, publics et résidentiels. Les produits Ceramiche Keope n’émettent aucune substance organique, n’entraînent pas d’allergies et se nettoient simplement. La la beauté de leurs produits sont le fruit d’investissements technologiques et de sa volonté de développer des produits très performants. La philosophie de Ceramiche Keope peut se résumer dans le soin apporté aux détails, la responsabilité sociale, le respect de l’environnement et des personnes. Autant de valeurs qui ont toujours caractérisé l’entreprise en vue de diffuser la singularité du « Made in Italy » dans le monde.Pour en savoir plus, visitez le site de Ceramiche Keope.Visuels : © Ceramiche KeopeLa rédaction
Il y a 4 ans et 0 jours

L’élargissement de la gamme de vannes Alfa Laval Unique DV-ST UltraPure optimise l’efficacité du traitement aseptique.

Alfa Laval étend sa gamme de vannes à diaphragme Unique DV-ST UltraPure pour répondre à la demande croissante de traitements aseptiques plus efficaces. La toute nouvelle gamme comprend des actionneurs plus fins et des corps de vannes légers en fonte optimisés avec des options permettant un fonctionnement économique imbattable. Afin de répondre à pratiquement toutes les exigences des processus aseptiques dans les industries alimentaires et pharmaceutiques, la gamme améliorée DV-ST UltraPure est entièrement personnalisable. La gamme DV-ST UltraPure novatrice repose sur des actionneurs plus minces et peu encombrants et des corps de vanne légers pour des performances optimisées. Ces vannes à diaphragme aseptiques de petite taille sont très performantes, aussi bien au regard de la réduction du coût total de possession que pour les gains tangibles en matière de durabilité. « Grâce à ces améliorations, nos vannes à diaphragme uniques DV-ST UltraPure sont les meilleures de leur catégorie », déclare Paw Kramer, responsable du portefeuille des vannes et produits d’automatisation chez Alfa Laval. Encombrement réduit de l’actionneur, performances élevées La taille a son importance. Le nouvel actionneur DV-ST UltraPure en acier inoxydable mince (SS/SL) est 42 % plus léger, 25 % plus compact et 17 % moins haut que la plupart des actionneurs. Grâce à une consommation d’air réduite, il est également plus économe en énergie. Testés pour effectuer un million de courses sans entretien, ces actionneurs entièrement soudés et sans maintenance supportent une large gamme de pressions. Les options comprennent un limiteur de course, une indication économique de la position de la vanne, ainsi qu’une détection et un contrôle automatisés complets de la vanne. Nouveaux corps de vanne en fonte à performances optimisées Le nouveau modèle Cast OP, conforme à la norme ASME BPE, rejoint la famille de corps de vannes DV-ST UltraPure. Conçu sur la base d’une analyse de la mécanique des fluides numérique, il est 36 % plus léger en moyenne que le corps de vanne en fonte standard et présente une taille de siège beaucoup plus petite. Cela se traduit par des avantages tels que : des coûts d’installation réduits grâce à un encombrement moindre ; des cycles de nettoyage plus rapides et plus économes en énergie car il y a moins d’acier à chauffer pour la stérilisation en place ; un coût total de possession plus faible grâce aux diaphragmes, poignées et/ou actionneurs plus petits ; et une maintenance sûre, simple et peu coûteuse. Reconçue pour répondre aux besoins des clients Entièrement personnalisable, la gamme améliorée Unique DV-ST UltraPure répond à pratiquement toutes les exigences des processus aseptiques. Elle est accompagné de la documentation Q-doc d’Alfa Laval pour une traçabilité complète des pièces, des processus de qualification et de validation fluides qui vous permettront de rester serein. Pour en savoir plus sur la gamme améliorée Unique DV-ST UltraPure d’Alfa Laval, rendez-vous sur www.alfalaval .com/unique-dv-st-ultrapure/   Présentation d’Alfa Laval L’entreprise Alfa Laval est active dans les domaines de l’énergie, de la marine ainsi que dans celui de l’alimentation et de l’eau. Elle offre son expertise, ses produits et ses services à de nombreuses industries dans une centaine de pays. Elle s’est engagée à optimiser les processus, à créer une croissance responsable et à favoriser le progrès en allant toujours plus loin pour aider ses clients à atteindre leurs objectifs commerciaux et de développement durable. Les technologies innovantes d’Alfa Laval sont dédiées à la purification, au raffinage et à la réutilisation des matériaux, favorisant ainsi une utilisation plus responsable des ressources naturelles. Elles contribuent à améliorer l’efficacité énergétique, la récupération de chaleur et le traitement de l’eau ainsi qu’à réduire les émissions. Alfa Laval accélère ainsi non seulement le succès de ses clients, mais également celui des personnes et de la planète. Pour améliorer le monde, chaque jour. C’est tout cela, Advancing betterTM. Alfa Laval compte 16 700 employés. En 2020, ses ventes se sont élevées à environ 4 milliards d’euros. La société Alfa Laval est cotée en bourse au Nasdaq OMX. www.alfalaval.com   Pour plus d’informations, veuillez contacter les personnes suivantes : Paw Kramer responsable du portefeuille vannes et produits d’automatisation chez Alfa Laval Téléphone : +45 28 95 57 05 Adresse électronique : paw.kramer@alfalaval.com   Marianne Hojby Responsable de la communication marketing chez Alfa Laval Téléphone : +45 28 95 44 71 Adresse électronique :marianne.hojby@alfalaval.com
Il y a 4 ans et 3 jours

Pourquoi les produits en terre cuite permettent de réduire les ponts thermiques ?

Ces déperditions énergétiques engendrent au-delà de l’inconfort dans l’habitat, des factures de chauffage élevées et des émissions de CO2 supplémentaires. Plus un logement est bien isolé, plus ce dernier aura la capacité de limiter les ponts thermiques, et donc de garder la chaleur à l’intérieur du logement.Terre cuite bio’bric : un matériau 100% français naturellement isolant Les solutions constructives bio’bric sont fabriquées à base d’argile ; ressource locale renouvelable extraite à proximité des 9 sites de production répartis en France. La cuisson de l’argile permet de transformer le matériau en terre cuite et de lui conférer un fort pouvoir isolant. La haute performance thermique des briques est liée à leur géométrie, et notamment leurs alvéoles. Plus la géométrie des briques est complexe, plus elles sont isolantes.La performance thermique dans l’enveloppe du bâtiment Plus la résistance thermique de la brique est élevée et les ponts thermiques traités grâce à des accessoires, plus l’enveloppe du bâtiment sera isolée. Les déperditions d’énergie seront significativement réduites et cela permettra de limiter l’épaisseur d’isolant additionnel dans les murs. bio’bric propose ainsi une large gamme de briques allant d’une résistance thermique de 0,75 à 1,5 m².K/W. Elles sont ainsi au minimum 4 fois plus isolantes qu’une maçonnerie traditionnelle non isolante (Rth = 0,2 m².K/W).Des accessoires en terre cuite pour une façade homogèneLes ponts thermiques sont souvent observés au droit des ouvertures et à la jonction des planchers avec la façade. Ils entrainent des problèmes d’inconfort ainsi que des risques de dégradations éventuelles de la construction, comme l’apparition de condensation et de points froids. Le choix d’accessoires comme des planelles isolées ou linteaux / coffres de volet roulant en terre cuite permet d’obtenir une façade 100% terre cuite homogène et une performance pérenne. bio’bric propose des packs associant la brique de mur à ses accessoires en terre cuite pour réduire significativement ces ruptures d’isolation en maisons individuelles et logements collectifs. Début 2020, bio’bric ajoutait à sa gamme de produits la planelle supeRmax ; meilleure performance du marché avec une résistance thermique de 1,7 m².K/W. Associée à la brique spécial collectif, la bgv’costo th+ (R = 1,5 m².K/W), bio’bric propose le système d’excellence pour la construction de bâtiments à étages : Ψ L9 = 0,26 W/m².K en plancher béton.Pour en savoir plus : cliquez ici.* Source étude UVED
Il y a 4 ans et 4 jours

L’un des plus grands sites d’événementiel s’offre 17.000 m² de plafonds Hunter Douglas Architectural

Le fabricant de renommée mondiale a ainsi fourni plus de 17 000 m2 de systèmes de plafonds modernes et durables, pour l'intérieur et l'extérieur des bâtiments de l’espace, qui accueillera bientôt la prochaine édition de l’Eurovision et soufflera ses 50 bougies.2020 : rénovation exigeante pour la scène emblématique de RotterdamAvec un espace total de près de 54 000 m2 et une capacité maximum de 16 426 visiteurs dans un seul espace (la Ahoy Arena), Rotterdam Ahoy compte parmi les plus grands lieux d’événementiel au monde. Plus qu’une simple salle événementielle, Rotterdam Ahoy est également un lieu emblématique de la ville dont elle porte le nom. L’histoire du lieu commence avec la reconstruction de Rotterdam dans les années 1950. Plus tard, avec la création de la Ahoy Arena en 1971, Rotterdam Ahoy s’épanouit.Aussi, le lieu n’a cessé de se réinventer grâce à diverses phases de rénovation. La dernière, récemment achevée, a été particulièrement exigeante. Elle a notamment eu lieu dans le cadre du projet de développement d’un centre-ville pour la zone sud de Rotterdam, Hart van Zuid ; au cœur de ce projet, l’expansion et un réaménagement de Rotterdam Ahoy ont été décidés. C’est ainsi qu’en 2020, le Rotterdam Ahoy Convention Centre (RACC), la RTM Stage (salle de concert et auditorium/théâtre), ainsi que divers autres espaces d’exposition ou de restauration ont vu le jour. En plus des exigences du projet Hart van Zuid, deux événements importants devaient probablement aussi être pris en compte. C’est en effet cette année que le lieu célèbrera son cinquantième anniversaire et, s’il devait héberger l’Eurovision en 2020, il accueillera le concours européen qui a été repoussé au 22 mai prochain.Pour le cabinet d’architecture Kraaijvanger, responsable du projet, les travaux de réaménagement visaient notamment à améliorer l’expérience des visiteurs avec une conception qui, à la fois, pourrait renforcer l'excitation associée aux événements et offrir la tranquillité nécessaire à une orientation intuitive au sein du lieu.Des plafonds à haute exigence acoustique et esthétique, pour l’intérieur et l’extérieurImpliqué dans ce projet de rénovation, Hunter Douglas Architectural a livré 17 000 m2 de systèmes de plafond capables de répondre à toutes les exigences acoustiques et esthétiques, en fournissant à chaque espace un plafond adapté. En effet, ces derniers ont été installés dans cinq des six halls, dans l’espace Plaza et dans les nouveaux RACC et RTM stage. Les objectifs et l'utilisation polyvalente des différents espaces ont été examinés avec soin et ce sont donc diverses solutions qui ont été retenues.Séduisant par son esthétique chaude et son acoustique feutrée, le système HeartFelt®, qui a remporté la plus haute récompense du Red Dot Award 2017 dans la catégorie "Product Design", habille notamment certaines salles de l’espace événementiel. Les plafonds bacs 300C/L ont également été choisis pour leur excellente performance en matière acoustique : convenant parfaitement aux zones publiques à haut niveau de bruit telles que les aéroports, les centres commerciaux ou les bâtiments de conférence, ils transforment les environnements bruyants en HeartFelt® espaces à l'acoustique agréable.Le confort acoustique dans un bâtiment public tel que le Rotterdam Ahoy est bien sûr très important pour offrir aux visiteurs la meilleure expérience possible. Ouverts et composés d'aluminium de haute qualité, les systèmes de plafonds grilles métalliques Hunter Douglas Architectural sont une application parfaite pour les intérieurs disposant d’un plénum de profondeur limitée et dans lesquels les constructions ouvertes et légères sont préférées; c'est souvent le cas dans les espaces publics et de nombreuses zones de Rotterdam Ahoy ne font bien sûr pas exception. Les plafonds à grille, noirs et blancs dans ce projet, composent par exemple le plafond du bar-restaurant Seventy One ainsi que les espaces de transits; ils aident à modeler un espace et offrent des effets d'ombre et de lumière intéressants.À l’extérieur, ce sont également les plafonds métalliques ouverts qui ont été choisis. Ces plafonds extérieurs Luxalon®, de Hunter Douglas Architectural, dotent le bâtiment d’une architecture expressive. Ils sont fabriqués en aluminium spécial résistant à la corrosion et développés pour résister aux conditions climatiques les plus extrêmes.Des options intelligentes et des solutions sans concessions en termes de durabilitéCôté options, Hunter Douglas Architectural s'est également assuré que les visions des partenaires concernés se concrétisent. Grâce à une conception ingénieuse et à des choix de produits judicieux, les différents plafonds de Rotterdam Ahoy sont équipés de solutions intelligentes et esthétiques qui contrôlent la chaleur, la lumière, le son et l'énergie. Ici, la flexibilité ne se fait pas au détriment du confort. Selon le cabinet d’architecture Kraaijvanger, l’équipement et les performances d’Ahoy, en matière d’acoustique, d’éclairage et de technologie théâtrale sont ce qu’il se fait de mieux dans le secteur.Pour Hunter Douglas Architectural, les produits livrés sont totalement en accord avec la philosophie des gérants de la salle, qui cherchent à privilégier des solutions innovantes et durables.Avec le projet Rotterdam Ahoy, Hunter Douglas Architectural a pu démontrer une nouvelle fois sa capacité à répondre à des exigences élevées, tant en matière de performance acoustique, qu’en matière de design.
Il y a 4 ans et 4 jours

Murs en béton de chanvre : jusqu’à 70% de chauffage en moins

On sait aujourd’hui que le béton de chanvre permet de stocker durablement du carbone : un complexe structure bois-remplissage béton de chanvre de 26 cm d’épaisseur permet de stocker jusqu’à plus de 35 kg de CO2 par mètre carré de mur mis en œuvre sur une durée de vie de de l’enveloppe (soit 50 ans voire 100 ans). En revanche, les performances thermiques du béton de chanvre sont à l’heure actuelle encore sous-estimées. En effet, les échanges de vapeur d’eau contenue dans l’air avec le béton de chanvre permettent d’amortir, très sensiblement et de manière passive, les variations quotidiennes de température et d’hygrométrie dans un bâtiment. La conséquence de ces échanges est de réduire les consommations énergétiques et d’améliorer grandement le confort thermique et hydrique au sein des logements. Ces phénomènes internes de changement d’état de l’eau (vaporisation et condensation) ne sont pas pris en compte dans le moteur de calcul réglementaire actuel, l’épaisseur de béton de chanvre mise en œuvre pour respecter la RT 2012 est alors supérieure à celle effectivement nécessaire pour viser une consommation énergétique donnée : cela conduit donc à des surcoûts de construction et, par conséquent, à une moindre compétitivité du béton de chanvre vis-à-vis d’autres matériaux.   Dans le cadre de l’étude réalisée par le Cerema, pour le compte de Construire en Chanvre Ile de France, les simulations réalisées au moyen du logiciel WUFI® Plus sur un bâtiment fictif de 100 m2 (rez-de-chaussée et un étage) dont les parois sont isolées par 30 cm de béton de chanvre, ont permis de mettre en évidence que les transferts couplés de chaleur et d’humidité au sein des murs en béton de chanvre permettent de réduire de 20 kWh/m2/an le besoin en chauffage du bâtiment lorsque celui-ci est bien isolé par ailleurs (dalle, toiture, etc.). Ainsi, les 30 cm de béton de chanvre se comportent alors « énergétiquement » comme 22 cm de laine de chanvre. Cela peut représenter jusqu’à 70% d’économie de chauffage dans le cas d’un bâtiment très performant thermiquement. En revanche, si le bâtiment est moins bien isolé, l’influence relative du béton de chanvre en paroi diminue car les « pertes thermiques » se font par les éléments les moins bien isolés.
Il y a 4 ans et 5 jours

BTP : avez-vous besoin d’une assurance décennale ?

Vous êtes un professionnel du BTP et vous vous demandez s’il est vraiment nécessaire de souscrire une assurance décennale ? Nous vous invitons à en savoir plus sur l’assurance responsabilité civile décennale. De quoi s’agit-il ? Est-ce une obligation ou non ? Est-il indispensable de souscrire ce contrat ? L’intérêt de souscrire une assurance décennale L’assurance décennale est un contrat d’assurance professionnelle destiné essentiellement aux professionnels du bâtiment et travaux publics (BTP). Elle a pour vocation de couvrir le constructeur en cas de sinistres compromettant la solidité ou le bon usage du bien immobilier concerné. Ce contrat comprend la garantie décennale prévue par la loi, selon l’article 1972-4-1 du Code civil. Celle-ci est valide pour 10 ans à compter de la remise des clés. À travers cette garantie, les constructeurs acceptent d’honorer leur obligation de réparer les éventuels dommages sur le bien construit. Vous pouvez en effet choisir d’obtenir votre assurance décennale en ligne ou auprès d’une agence physique. La souscription en ligne est cependant l’option idéale pour gagner du temps et bénéficier de tarifs compétitifs. Assurance décennale : une obligation pour tout constructeur La souscription d’une assurance responsabilité civile décennale est une obligation pour tous les constructeurs selon la loi Spinetta du 4 janvier 1978. En tant que professionnel BTP, vous n’avez donc pas le choix que de contracter cette assurance professionnelle. Les professionnels du BTP concernés En principe, l’assurance décennale concerne divers professionnels du bâtiment, en l’occurrence : les artisans du BTP (maçons, couvreurs, charpentiers, plombiers, électriciens, etc.), les auto-entrepreneurs et les entrepreneurs de la construction, les métiers d’étude et de conseil (architectes, ingénieurs, etc.), les techniciens et les lotisseurs-aménageurs. Avant d’intervenir sur le bâtiment, ces professionnels doivent signer un contrat de louage d’ouvrage régissant leur relation avec le maître d’ouvrage. Notons que les sous-traitants sont exclus de l’obligation de souscrire une assurance responsabilité civile décennale. La présentation de l’attestation d’assurance décennale Avant de démarrer les travaux, vous êtes obligés de remettre au maître d’ouvrage votre attestation d’assurance responsabilité civile décennale. Ce document certifie que vous êtes réellement assurés. Il doit mentionner les coordonnées de votre assureur et la couverture géographique du contrat d’assurance. Il est également impératif de remettre ce justificatif au propriétaire du bien à construire. Si ce dernier prévoit de céder son bien avant l’expiration du délai de 10 ans, il doit transmettre l’attestation d’assurance décennale au nouveau propriétaire. Notons également que ce document doit accompagner chaque devis et chaque facture que vous délivrerez au cours des travaux. Pourquoi est-il indispensable de souscrire une assurance décennale ? Au-delà de son caractère obligatoire, l’assurance décennale est vraiment indispensable. Pourquoi ? Ce contrat vous protège des conséquences pécuniaires en cas de sinistres affectant la solidité de l’ouvrage ou son bon usage de destination. Les dommages couverts La garantie décennale couvre tous les dommages de construction et les vices importants. Ces derniers affectent la solidité de l’ouvrage ou rendent le bâtiment inhabitable. Ces dommages ou vices peuvent survenir sur le gros œuvre (charpente, murs, toiture, etc.). Ils peuvent également se rapporter aux équipements du bâtiment (pompe à chaleur, canalisations encastrées, chauffage central…). La garantie décennale peut également s’appliquer sur les vices ou défauts concernant l’électricité, l’isolation ou les menuiseries. Dans ce cas, le propriétaire ou maître d’ouvrage doit justifier que ces problèmes ont rendu le bien impropre à sa destination. Les dommages exclus L’assurance décennale exclut : les dommages de nature esthétique (une couleur de peinture inadaptée par exemple), les dommages dont la cause est inconnue, les vices émanant du propriétaire ou d’un tiers. Précisons que la garantie décennale ne prend pas en compte les menus ouvrages, en l’occurrence les fissurations aux plafonds ou aux murs sans infiltration. L’utilisation de la garantie décennale Si votre client constate des dommages affectant la solidité de son bien par exemple, il peut vous poursuivre en actionnant la garantie décennale. Pour ce faire, il doit vous adresser une lettre recommandée indiquant le dommage identifié. Ce courrier met également en demeure votre entreprise de prendre en charge les réparations. Vous disposez d’un délai de 5 jours pour avertir votre assureur. Une fois que la pertinence des réclamations de votre client est justifiée, votre assureur doit verser les frais de travaux de réparation. Conseils pour choisir et souscrire votre assurance décennale Retrouvez ci-dessous quelques conseils pour bien choisir le contrat d’assurance responsabilité civile décennale adapté à votre activité. Les critères de choix à prendre en compte Lors de votre choix d’une assurance décennale, renseignez-vous sur la réputation de l’assureur. Vérifiez son ancienneté, son expérience et son service client. Faites des recherches sur l’assureur sur les forums, les blogs et les réseaux sociaux. Prêtez une attention particulière sur les garanties offertes par le contrat d’assurance, afin de vous assurer que l’ensemble de vos activités soient couvertes. Informez-vous également sur les exclusions, le montant des cotisations, la zone de couverture et la date de prise d’effet du contrat. Faites appel à un courtier en assurance en ligne pour vous aider à trouver le meilleur contrat. La démarche pour souscrire une assurance décennale Vous devez fournir à l’assureur quelques renseignements pour obtenir un devis d’assurance décennale, en l’occurrence votre type d’entreprise, la dénomination de votre entreprise, l’effectif de votre entreprise, le chiffre d’affaires annuel et les activités à couvrir. Afin de justifier vos déclarations, vous devez transmettre à l’assureur quelques documents, tels qu’un extrait de Kbis, un document INSEE et vos moyens de paiement. Veillez à ce que la souscription de votre assurance responsabilité civile décennale soit effectuée avant l’ouverture officielle de votre chantier. Quel est le prix d’une assurance décennale ? Un assureur peut fixer le prix d’une assurance décennale selon de nombreux facteurs : votre métier (maçon, électricien, plombier…), votre entreprise (sa taille, son effectif, son chiffre d’affaires, son ancienneté, etc.), vos antécédents en termes de sinistres, votre expérience et votre formation, votre zone géographique d’intervention, les garanties offertes, la franchise en cas de sinistre. Le prix d’une assurance décennale peut également varier d’un assureur à un autre. C’est pourquoi il est astucieux de comparer quelques devis avant de souscrire un contrat. Souscrire une assurance décennale est non seulement obligatoire, mais également indispensable pour tous les constructeurs (artisans, entrepreneurs, architectes, etc.). Cette assurance professionnelle permet de vous protéger des conséquences pécuniaires des dégâts ou vices sur le bâtiment et ses équipements indissociables. Profitez des services d’un courtier en ligne pour vous aider à dénicher l’assurance décennale au meilleur rapport garanties/prix.
Il y a 4 ans et 6 jours

Une étude montre que le béton de chanvre permet de réduire la consommation énergétique des logements

Le béton de chanvre est un matériau de construction développé en France depuis le début des années 1990, obtenu par mélange de particules de chanvre (la chènevotte), d’un liant, d’eau et d’éventuels adjuvants. Il permet de réaliser des écoconstructions de bâtiments comme matériau de remplissage d’une structure porteuse.On sait aujourd’hui que le béton de chanvre permet de stocker durablement du carbone : un complexe structure bois-remplissage béton de chanvre de 26 cm d’épaisseur permet de stocker jusqu’à plus de 35 kg de CO2 par mètre carré de mur mis en œuvre sur une durée de vie de de l’enveloppe (soit 50 ans voire 100 ans). Cette caractéristique sera très largement valorisée dans les années à venir avec la mise en place de la RE2020.En revanche, les performances thermiques du béton de chanvre sont à l’heure actuelle encore sous-estimées. En effet, les échanges de vapeur d’eau contenue dans l’air avec le béton de chanvre permettent d’amortir, très sensiblement et de manière passive, les variations quotidiennes de température et d’hygrométrie dans un bâtiment. La conséquence de ces échanges est de réduire les consommations énergétiques et d’améliorer grandement le confort thermique et hydrique au sein des logements. Ces phénomènes internes de changement d'état de l'eau (vaporisation et condensation) ne sont pas pris en compte dans le moteur de calcul réglementaire actuel, l’épaisseur de béton de chanvre mise en œuvre pour respecter la RT 2012 est alors supérieure à celle effectivement nécessaire pour viser une consommation énergétique donnée : cela conduit donc à des surcoûts de construction et, par conséquent, à une moindre compétitivité du béton de chanvre vis-à-vis d’autres matériaux.Dans le cadre de l’étude réalisée par le Cerema, pour le compte de Construire en Chanvre Ile de France, les simulations réalisées au moyen du logiciel WUFI® Plus sur un bâtiment fictif de 100 m2 (rez-de-chaussée et un étage) dont les parois sont isolées par 30 cm de béton de chanvre, ont permis de mettre en évidence que les transferts couplés de chaleur et d’humidité au sein des murs en béton de chanvre permettent de réduire de 20 kWh/m2/an le besoin en chauffage du bâtiment lorsque celui-ci est bien isolé par ailleurs (dalle, toiture, etc.). Ainsi, les 30 cm de béton de chanvre se comportent alors « énergétiquement » comme 22 cm de laine de chanvre. Cela peut représenter jusqu’à 70% d’économie de chauffage dans le cas d’un bâtiment très performant thermiquement.En revanche, si le bâtiment est moins bien isolé, l’influence relative du béton de chanvre en paroi diminue car les « pertes thermiques » se font par les éléments les moins bien isolés.Le point important à retenir de cette étude exploratoire est que les transferts hygrothermiques au sein du béton de chanvre modifient sensiblement les besoins en chauffage du bâtiment. Cependant, bien que la physique des phénomènes mis en jeu à l’échelle du béton de chanvre soit aujourd’hui bien connue et maîtrisée, il apparaît que leur traduction en termes d’économies d’énergie engendrées constitue un verrou scientifique assez difficile à lever, notamment sur la question des besoins en refroidissement qui reste en suspens au terme de cette étude.Des travaux complémentaires au moyen du logiciel WUFI® Plus et d’un autre logiciel seront menés dans les prochains mois par le Cerema pour croiser les résultats et élargir les hypothèses des cas d’études.Des relevés de type monitoring sur le terrain seront notamment réalisés pour disposer de données permettant de conforter ces simulations.