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Résultats de recherche pour directeur general

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Il y a 4 ans et 183 jours

Le grands fonds de soutien aux groupes français Lac 1 entre en action

Ce fonds doté de plus de 4 milliards d'euros et géré par Bpifrance a acquis une participation de 5,08% dans Arkema pour un montant de 348 millions d'euros, a annoncé mardi le directeur général de la banque publique d'investissement Nicolas Dufourcq.Lac 1, un temps baptisé Lac d'argent, a été initié début 2020 et a bouclé sa première tranche de 4,2 milliards d'euros fin mai.C'est un fonds privé mais géré par Bpifrance et outre la banque publique d'investissement qui a apporté 1 milliard d'euros, une vingtaine de souscripteurs ont participé à cette première levée de fonds: plusieurs grands investisseurs institutionnels (assurances, banques), les groupes Orange, Unibel, Financière Dassault, ou encore le fonds souverain d'Abou Dhabi Mubadala.Lors de sa création, l'objectif affiché était d'atteindre une capacité d'investissement de 10 milliards d'euros, notamment pour permettre de stabiliser le capital d'entreprises françaises cotées et les protéger contre des rachats hostiles.Par ailleurs, en pleine crise économique engendrée par l'épidémie de Covid-19, "un grand nombre de sociétés performantes, internationalisées et innovantes souhaitent stabiliser leur capital en s'appuyant sur des investisseurs de long terme", expliquait au printemps Nicolas Dufourcq.Dans le cas d'Arkema, son président "a le souci d'avoir à son capital des investisseurs de long terme", a-t-il indiqué mardi, alors que Lac 1 a la vocation d'investir sur une durée d'au moins dix ans.Une prochaine opération ?Groupe de chimie de spécialité né en 2006, Arkema est un des principaux acteurs mondiaux de la chimie de spécialité, et produit notamment des adhésifs, des matériaux avancés et des résines pour revêtement.La direction a présenté en avril un plan stratégique à cinq ans, via lequel il ambitionne de devenir "un pur acteur de la chimie de spécialité" en renforçant son portefeuille dédié, qui représentait déjà en 2019 près de 80% de ses 8,7 milliards d'euros de chiffres d'affaires."La chimie de spécialité est importante parce que nous aurons de plus en plus besoin de matériaux innovants", a expliqué M. Dufourcq pour justifier ce premier investissement de Lac 1, ajoutant que Bpifrance est déjà très présent sur ce secteur via le soutien à l'innovation et le financement de PME.Lac 1 envisage d'ailleurs "d'accroître" sa participation dans Arkema et Bpifrance devrait obtenir lors de la prochaine assemblée générale en mai un siège au conseil d'administration, a précisé par ailleurs M. Dufourcq.Peu après l'ouverture de la Bourse de Paris, l'action Arkema prenait 2,49% à 87,42 euros, dans un marché en hausse de 1,31%.Pour Lac 1, cette première opération devrait rapidement être suivie d'une autre. "Nous nous rapprochons d'une décision de lancement d'une opération d'acquisition", a indiqué M. Dufourcq, sans préciser dans quel secteur elle pourrait avoir lieu.Il a simplement avancé que cela serait plutôt dans l'industrie, conformément à l'ADN de Bpifrance.Quand à Lac 1, "nous continuons la levée de fonds", a-t-il ajouté, même si la crise sanitaire et les restrictions de déplacements ne facilitent pas les discussions avec des investisseurs potentiels.
Il y a 4 ans et 183 jours

"Notre investissement en R&D reste inchangé", Alexandre Marchetta, directeur général de Mecalac

Malgré la crise sanitaire et économique, le fabricant de matériels de construction Mecalac continue de se montrer ambitieux et de miser sur l'innovation. Entretien avec son directeur général, Alexandre Marchetta.
Il y a 4 ans et 185 jours

Airium isole désormais les combles perdus

En collaboration avec l’industriel PRB, LafargeHolcim lance une nouvelle application pour sa mousse minérale Airium : l’isolation des combles perdus. [©LafargeHolcim] En collaboration avec l’industriel PRB, LafargeHolcim lance une nouvelle application pour sa mousse minérale Airium : l’isolation des combles perdus. Depuis sa commercialisation en 2017, la mousse Airium est mise en œuvre dans les blocs béton des industriels du GIE France Blocs (Alkern, Fabemi et Seac), leur conférant une isolation performante. Désormais, elle est applicable en combles perdus. Ainsi, LafargeHolcim s’appuie sur son réseau d’applicateurs formés, agréés et suivis par les équipes Airium et PRB, capables d’intervenir sur l’ensemble du territoire. Un partenariat qui va accélérer le développement commercial de la solution, tout en ciblant un réseau d’applicateurs “premium”. Ceci, parmi les entreprises d’isolation de combles (souffleurs), le réseau de chapistes LafargeHolcim et le réseau de façadiers de PRB. Enfin, pour célébrer le lancement de cette offre conjointe, PRB et Airium seront présents au départ le 8 novembre prochain du Vendée Globe sur le bateau de Kevin Escoffier. Un partenariat avec PRB « Le partenariat avec Airium offre un grand intérêt pour PRB, car nous sommes déjà très présents sur le marché de l’isolation du bâtiment,souligne Jean-Jacques Laurent, président du directoire de PRB. Cette innovation nous permet d’élargir notre offre pour nos clients façadiers. Mais aussi spécialistes de l’isolation, avec une solution performante et haut de gamme pour isoler les combles. » Et François Petry, directeur général LafargeHolcim France, d’affirmer : « L’innovation est un axe de développement fort pour LafargeHolcim. Cette nouvelle application Airium Combles offre de toutes nouvelles possibilités pour leur isolation, pour le neuf comme pour la rénovation. Sa faible empreinte carbone est un atout de plus pour répondre à la priorité donnée par le gouvernement à la rénovation énergétique avec la PrimeRénov’ ». Pour l’isolation des combles perdus Les équipes de recherche et développement de LafargeHolcim ont ainsi mis au point une mousse dédiée à l’isolation des combles perdus, permettant une performance thermique maximale en hiver. Ainsi qu’un confort maximal face aux pics de chaleur en été. Grâce à un temps de déphasage supérieur à 9 h. Cette solution est éligible aux combles à 1 € dans le cadre du dispositif des Certificats d’économie d’énergie (CEE). La texture fluide d’Airium assure un remplissage dans tous les recoins pour supprimer les ponts thermiques. Autres avantages pour les combles, la mousse résiste au feu, aux rongeurs, mais aussi au vent, grâce à sa rigidité une fois sèche. De plus, fabriquée et pompée sur place, elle ne dégage aucun COV. Et présente un bilan carbone réduit de 26 kg CO2/m3, soit 4,6 kg eq CO2/m² pour R = 7 m2.K/W. Enfin, sa composition 100 % minérale en fait un produit entièrement recyclable pour favoriser l’économie circulaire.
Il y a 4 ans et 189 jours

Création de Canopée, laboratoire de recherche de “l’extrême”

Le 23 octobre 2020, le CNRS, l’université de Lorraine et Saint-Gobain ont créé, Canopée, un laboratoire de recherche. [©Saint-Gobain] Le 23 octobre 2020, le CNRS, l’université de Lorraine et Saint-Gobain ont créé un laboratoire de recherche. Ce dernier se nomme Canopée et est dédié à l’étude de matériaux et “systèmes” en conditions extrêmes de température. Objectif : diminuer l’empreinte carbone des procédés de fabrication à haute température. Pour relever ce défi, ce laboratoire “hors les murs” associera des experts en sciences des matériaux et en thermique. Créé pour 5 ans, Canopée a pour ambition de construire une meilleure compréhension des transferts thermiques. Ceci, depuis l’échelle du matériau jusqu’à celle de l’installation industrielle. Il développera des méthodes précises de mesure, en conditions extrêmes, des propriétés des matériaux et des grandeurs physiques caractérisant les procédés. Antoine Petit, président-directeur général du CNRS, souligne que « nos liens déjà forts et fructueux avec Saint-Gobain, de par l’existence de trois structures communes de recherche1, se renforcent avec ce nouveau rapprochement ». De son côté, Benoît Bazin, directeur général délégué de Saint-Gobain, affirme que « nous sommes très heureux de cette nouvelle collaboration avec le CNRS et l’université de Lorraine pour travailler à élaborer des matériaux plus performants. Tout en réduisant l’empreinte carbone de nos procédés industriels. C’est un enjeu essentiel qui s’inscrit dans l’engagement du groupe d’atteindre la neutralité carbone à l’horizon 2050 ». 1 Trois UMR (unité mixte de recherche) :– 2 en France : à Aubervilliers,  créée en 1990 et à Cavaillon, créée en 2008 – et 1 au Japon, créée en 2014.
Il y a 4 ans et 190 jours

Vincent Giraudeaux (Yséis), «Maintenir la coopération qui nous a permis d’affronter la première vague »

Pour Vincent Giraudeaux, directeur général de la société de conseil en prévention Yséis (formation et coordination sécurité et protection de la santé (SPSP), le secteur du BTP, fort de l’expérience du premier confinement et d’une concertation entre parties prenantes au projet, peut affronter la deuxième vague de l’épidémie.
Il y a 4 ans et 191 jours

Mariage à 1,2 milliard de dollars dans les énergies renouvelables en Norvège

"L'hydroélectrique et le photovoltaïque sont des technologies complémentaires qui offrent des opportunités de nouveaux projets, par exemple des panneaux solaires flottant sur des réservoirs de barrages", a fait valoir le directeur général de Scatec Solar, Raymond Carlsen, dans un communiqué.Le groupe, qui a signé un accord contraignant avec le fonds étatique d'investissement dans les pays en développement Norfund, actuellement propriétaire de SN Power, dit vouloir devenir un acteur multicartes, présent dans le solaire, l'hydroélectrique, l'éolien et le stockage d'électricité.Après le rachat, il sera implanté dans 14 pays, y compris des marchés en expansion en Asie du Sud-Est et l'Afrique subsaharienne, et affichera une capacité de production de 3,3 GW avec ses unités existantes et celles en cours de construction.Pour refléter la diversité de ses activités, Scatec Solar dit vouloir changer son nom et devenir Scatec.L'opération devrait être bouclée au premier semestre 2021.
Il y a 4 ans et 191 jours

L'Insee dévoilera vendredi l'ampleur du rebond de l'économie au troisième trimestre, avant la rechute

Dans sa dernière note de conjoncture, publiée début octobre, l'Insee a estimé à +16% l'ampleur du rebond du produit intérieur brut (PIB) entre juillet et septembre, après la chute historique de 13,8% du deuxième trimestre, marqué par le confinement."Nous avons eu une surprise positive à la sortie du confinement. La consommation a rebondi plus vite que dans d'autres pays européens. C'est ça qui nous avait donné de l'espoir" sur la reprise, avance auprès de l'AFP Selin Ozyurt, économiste chez Euler Hermes.Dopée par les vacances, les mesures de préservation du pouvoir d'achat, ou encore la prime à l'achat de véhicules, la consommation des ménages a en effet tiré la croissance au troisième trimestre."A côté de cela, le secteur manufacturier a repris de manière plus dynamique", ajoute Charlotte de Montpellier, économiste pour la banque ING.La reprise de l'activité a ainsi concerné tous les secteurs, même si le niveau d'activité "reste quand même bien inférieur à celui qui prévalait avant la crise", ajoute-t-elle, d'environ 5% à fin septembre.Cette prévision de l'Insee pour le troisième trimestre est la même que celle effectuée par la Banque de France mi-septembre. Mais elle est inférieure au rebond de 19% qu'anticipait auparavant l'Institut.Car depuis la rentrée, le climat s'est assombri sur le front sanitaire, avec une augmentation des contaminations, et le mois de septembre n'a pas été aussi bon qu'espéré.Durant l'été, "on parlait d'une reprise en forme de V, de U, et il y avait cette confiance qui revenait", un optimisme totalement abandonné désormais, avance Selin Ozyurt.Si le climat des affaires compilé par l'Insee qui témoigne du moral des entreprises a continué de progresser en septembre, cette amélioration s'est en effet tassée devant les incertitudes sur l'évolution de la situation sanitaire et ses répercussions sur l'économie.L'indicateur d'évaluation de l'activité dans le secteur privé publié par le cabinet IHS Markit avait lui rechuté en septembre, une première depuis le déconfinement, en particulier dans les services.Et il a de nouveau reculé en octobre, tout comme le moral des ménages selon des données publiées mercredi par l'Insee."retour à la réalité""Après un été qui a apporté un peu d'optimisme, le mois de septembre a sonné le retour à la réalité, et la dégradation des perspectives a remis en question les plans futurs, que ce soit des entreprises pour leurs investissements et des ménages en terme de comportements de consommation", détaille Charlotte de Montpellier.Et alors que le gouvernement comptait sur ce rebond au troisième trimestre et sur l'annonce du plan de relance de 100 milliards d'euros sur deux ans pour redonner des perspectives aux entreprises et aux ménages, l'arrivée de la deuxième vague épidémique a ruiné ses espoirs.Couvre-feu, restrictions d'activité et menace de reconfinement, même partiel: la fin de l'année s'annonce difficile pour l'économie."La croissance sera négative au quatrième trimestre", a prévenu mardi le ministre de l'Economie Bruno Le Maire, tout en maintenant sa prévision d'une contraction du PIB de 10% sur l'année.L'Insee table elle pour l'instant sur une chute de 9%, avec une stabilité de l'activité au dernier trimestre. Mais "c'était avant les nouvelles annonces de restrictions", a rappelé la semaine dernière son directeur général, Jean-Luc Tavernier, laissant entendre qu'une révision à la baisse était possible."On le sait maintenant, les contraintes sanitaires continueront à contrarier le cours des affaires encore plusieurs trimestres", souligne Olivier Passet, directeur des synthèses économiques du cabinet Xerfi, dans une note publiée lundi.Le gouvernement, qui a déjà prolongé et renforcé certaines aides, s'attend ainsi à devoir en faire encore plus. Mais sans renoncer en même temps au plan de relance, a assuré Bruno Le Maire.
Il y a 4 ans et 191 jours

Jean-Michel Talazac, nommé Directeur Commerce et marketing chez AC Environnement

Jean-Michel Talazac a été nommé, le 1er octobre dernier, Directeur commerce et marketing chez AC Environnement. Basé au siège régional à Lyon, sa zone d'action s'étend sur tout l'hexagone.Diplômé en licence de commerce et fort d'une formation en management des forces de ventes, il a débuté sa carrière en tant qu'ingénieur technico-commercial avant d'intégrer la division AUTOMATION du groupe Bosch au poste de Directeur des ventes sur la région Nord. Il a ensuite travaillé chez Apave Groupe, expert de la maîtrise des risques où il a fait ses armes dans le domaine de l'inspection réglementaire avant d'intégrer la Direction commerciale chez Bureau Veritas. Il passera ensuite une partie de sa carrière chez Dekra Industrial où il occupera le poste de Directeur national des comptes stratégiques. Dans le cadre de ses nouvelles fonctions, Jean-Michel Talazac aura la charge de la structuration et du management de la direction commerciale, de la diversification de l'offre de service et du développement du portefeuille clients B to B.Depuis le début de l'année, le groupe AC Environnement a engagé une démarche de professionnalisation de son organisation et de transformation numérique complète de ces process afin de poursuivre son développement et mieux accompagner ses collaborateurs dans l'exercice de leur métier. Pour cela, il s'est doté d'une nouvelle direction composée d'experts, aux côtés de Denis Mora son président, que sont Bruno Afresne, directeur général exploitation et commerce, Gilles Simionesco, directeur général administratif et financier, Jean-Baptiste Sebag, directeur général opérations et transformation. Ce nouveau comité de direction sera chargé de mettre en œuvre un nouveau plan stratégique à 4 ans.La parole à Jean-Michel Talazac« Fort de mon background industriel ainsi que de mes expériences dans le domaine du Testing, de l'Inspection et de la Certification (TIC), ma mission sera de mettre à profit mon expertise du développement commercial pour conquérir les grands comptes privés, ce qui constitue l'un des objectifs d'AC Environnement. Intégrer ce groupe fait sens pour moi car il s'agit d'une ETI à dimension humaine qui favorise la proactivité, l'agilité ou encore la rapidité de prise de décision, valeurs aujourd'hui qui sont grandement plébiscitées par le marché. Dans ce cadre-là, AC Environnement a une carte évidente à jouer en conservant trois axes qui sont selon moi majeurs : la qualité des prestations, l'innovation en lien avec la gestion de la data et le positionnement au cœur du dispositif de l'importance du service Client. Aujourd'hui c'est le match qui se joue et se jouera pour les années à venir. S'agissant de la digitalisation des systèmes l'un des enjeux principaux étant, comment inscrire la data dans la chaîne de valeur de l'entreprise dans l'objectif de générer de la valeur ajoutée pour satisfaire et pérenniser nos Clients.»Jean-Michel Talazac, nouveau Directeur Commerce et marketing chez AC Environnement
Il y a 4 ans et 191 jours

Le portail polychrome de la cathédrale d’Angers protégé par une galerie signée Kengo Kuma

La cathédrale Saint-Maurice d’Angers dispose d’un portail occidental sculpté datant du XIIe siècle, qui était protégé par une galerie construite dans le premier tiers du XIIIe siècle, démolie en 1807. En 2009, des travaux de nettoyage du portail ont révélé des vestiges de polychromies médiévales et modernes qui ont fait l’objet d’une ambitieuse campagne d’études puis d’une restauration exemplaire conduites par la direction régionale des affaires culturelles (DRAC) des Pays de la Loire. Ce portail apparaît désormais comme un des rares témoignages de la polychromie des cathédrales au Moyen Age. Seule la construction d’une nouvelle protection pérenne permettrait de préserver durablement cet ensemble exceptionnel. Après plusieurs études historiques et archéologiques, les données recueillies n’ont pas été jugées suffisantes pour envisager une reconstitution à l’identique de la galerie ancienne. C’est pourquoi la Commission nationale du patrimoine et de l’architecture du ministère de la Culture a validé, le 4 juillet 2019, un projet inédit de création d’une galerie contemporaine protégeant le portail sur la façade occidentale de la cathédrale médiévale. Le 13 octobre 2020, le jury composé du préfet du Maine-et-Loire, du maire d’Angers, de l’évêque d’Angers, du directeur régional des affaires culturelles des Pays de la Loire, de la directrice de l’Opérateur du patrimoine et des projets immobiliers de la culture (OPPIC), d’un représentant de la direction générale des patrimoines du ministère de la Culture et de personnalités qualifiées, architectes et historienne de l’art médiéval, a analysé les projets des cinq équipes d’architectes qui avaient été sélectionnées. Le projet présenté par Kengo Kuma, architecte japonais de renommée internationale, a été classé premier. La construction contemporaine qu’il a imaginée répond parfaitement aux attendus du concours : elle s’intègre harmonieusement à un bâtiment patrimonial majeur et plus largement à son contexte urbain, tout en assurant la protection du portail de la cathédrale et de ses polychromies anciennes. Kengo Kuma, né en 1954, est un architecte japonais dont l’agence dispose de deux antennes, à Tokyo et Paris. Il a récemment mené la construction du stade olympique de Tokyo (inauguré en décembre 2019). Sensible au dialogue entre l’architecture et le patrimoine historique ou naturel, il est chargé notamment, en France, de l’extension du musée Albert Kahn (Boulogne-Billancourt) et de la restauration de ses jardins (en cours de chantier). Les équipes d’architectes non retenues à l’issue de ce concours sur esquisse ont chacune proposé des projets de grande qualité, s’appuyant tant sur le contexte urbain que sur les grands enjeux liés à un édifice patrimonial tel qu’une cathédrale. Il s’agit des projets de : – Rudy Ricciotti, Grand prix national de l’architecture 2006 ; – Philippe Prost, architecte et urbaniste ; – Pierre-Louis Faloci, Equerre d’argent 1996, Grand prix national de l’architecture 2018 ; – Bernard Desmoulin, Equerre d’argent 2009. Roselyne Bachelot-Narquin, ministre de la culture, a félicité Kengo Kuma et son équipe pour la qualité de leur travail et salue cette démarche inédite, s’agissant d’une cathédrale, qui démontre une nouvelle fois la fécondité du dialogue entre création contemporaine et patrimoine. Visuel : ©Kengo Kuma & Associates/Lautreimage
Il y a 4 ans et 192 jours

Risques de fermetures d'aéroports européens si le trafic continue à baisser

Airports council international (ACI) estime que "193 aéroports seront confrontés à une insolvabilité dans les prochains mois si le trafic passagers ne reprend pas d'ici la fin de l'année. Il s'agit principalement d'aéroports régionaux" qui n'assurent que des vols intérieurs, selon l'organisation.Mais "les aéroports européens plus importants et les hubs ne sont pas à l'abri d'un important risque financier", poursuit ACI Europe, qui représente 500 aéroports dans 46 pays européens. "Ils ont réduit les coûts jusqu'à l'os et ont recours aux marchés financier pour consolider leurs résultats et mettre en place des boucliers" financiers, note l'ACI."Cette hausse soudaine de la dette de 16 milliards d'euros supplémentaires pour les 20 principaux aéroports européens représente près de 60% de leur chiffre d'affaires pour une année normale", explique l'organisation.En septembre, le trafic des aéroports européens était en baisse de 73% en moyenne par rapport à la même période l'an dernier et de 75% à la mi-octobre, selon elle."Les chiffres publiés aujourd'hui reflètent une situation extrêmement sombre. Après huit mois de crise, les aéroports brûlent du cash pour rester ouverts, avec des revenus loin de couvrir les frais opérationnels", a commenté Olivier Jankovec, directeur général d'ACI Europe. Il a appelé, pour faire redémarrer le trafic, au déploiement massif de tests de Covid-19 dans les aéroports pour éviter les mesures de quarantaine à l'arrivée.
Il y a 4 ans et 192 jours

Un nouveau directeur des opérations chez Consolis

Stefan Rinaldo nommé au poste de directeur des opérations chez Consolis. [©Consolis] Consolis a nommé Stefan Rinaldo au poste de directeur des opérations du groupe. Il fera aussi partie du comité exécutif. Il prendra ses fonctions à partir du 2 novembre. Mikael Stöhr, directeur général, précise être« heureux d’étoffer l’équipe de direction avec l’arrivée de Stefan Rinaldo. Qui pilotera l’excellence industrielle, la R&D et la sécurité »De son côté, Stefan Rinaldo précise :« Je me réjouis de travailler pour concevoir et produire des solutions de construction de classe mondiale, qui répondent aux besoins des clients en matière de productivité, de développement durable et de qualité. » Pour rappel, Consolis est un groupe industriel de préfabrication béton européen, qui fournit des structures en béton préfabriqué pour les secteurs des transports, des services publics et du bâtiment. Présent dans 21 pays à travers le monde avec plus de 11000 collaborateurs.  Son parcours Diplômé en commerce et économie à l’université de Karlstad en Suède, Stefan Rinaldo a vécu et occupé plusieurs postes. Notamment au Brésil, en Suède, en Suisse, et à Taïwan. Stefan Rinaldo a travaillé 20 ans chez ABB, entreprise du secteur de la technologie. Il a œuvré pendant 13 ans au sein du groupe Alimak, fournisseur d’ascenseurs et de monte-charges pour l’industrie de la construction. Où il a occupé le poste de directeur des opérations et de directeur général adjoint. 
Il y a 4 ans et 192 jours

Un nouveau directeur général pour Armacell France

CARNET-NOMINATION. Le spécialiste de la mousse flexible pour le marché de l'isolation d'équipements et fournisseur de mousses techniques, Armacell, annonce la nomination d'un nouveau directeur général France en la personne de Damien Nowak.
Il y a 4 ans et 192 jours

Le Groupe Velux s'engage pour une « neutralité carbone à vie » en partenariat avec le WWF

Le Groupe VELUX a annoncé son nouvel engagement d'atteindre la «neutralité carbone à vie» d'ici son 100e anniversaire en 2041. Cet engagement amènera le Groupe, leader sur le marché des fenêtres de toit, à capturer l'équivalent de son empreinte carbone historique[1], soit 5,6 millions de tonnes de CO² (scope 1 et 2[2]) émises depuis sa création en 1941. Cette ambition va se concrétiser grâce à des projets de conservation des forêts supervisés par le WWF.Conformément aux objectifs ambitieux fixés par l'accord de Paris sur le climat, qui vise à limiter l'augmentation de la température mondiale à 1,5 °C, le Groupe VELUX s'est engagé dans cette trajectoire afin de réduire significativement les émissions de carbone liées à son activité et à sa chaîne de valeur (scopes 1, 2 et 3[3]).La « neutralité carbone à vie » est un nouvel engagement pionnier développé par le Groupe VELUX en collaboration avec le WWF International, visant à assumer la responsabilité des émissions de carbone passées et futures. Cette ambition innovante vise à capturer l'équivalent des émissions de carbone historiques du Groupe VELUX et vise à préserver en même temps les inestimables forêts naturelles et la faune du monde entier.« La planète fait aujourd'hui face à une crise grave en termes de climat et de biodiversité, ce qui nécessite des mesures exceptionnelles. En accord avec nos valeurs d'entreprise, nous cherchons à faire toujours plus que la majorité ; c'est donc pour cela que nous avons développé l'engagement de "neutralité carbone à vie". Cet engagement novateur implique un partenariat de 20 ans avec le WWF International, afin de capturer l'équivalent de nos émissions de carbone historiques d'ici 2041. Nous réduirons également significativement nos futures émissions de CO² et demandons à nos fournisseurs de faire de même. Nous espérons que d'autres sociétés trouveront là l'inspiration de parvenir elles mêmes à une "neutralité carbone à vie", afin de créer un futur durable pour toutes et tous. »- David Briggs, PDG du Groupe VELUXPour atteindre une « neutralité carbone à vie » le Groupe VELUX collabore avec le WWF en investissant dans des projets forestiers et de préservation de la biodiversité jusqu'en 2041. Ceux-ci contribueront à stopper la détérioration d'habitats naturels, la déforestation et la dégradation des sols menaçant la biodiversité, en travaillant aux côtés et au bénéfice des communautés locales. Les deux premiers projets forestiers verront le jour en Ouganda et en Birmanie.En Ouganda, l'accent sera mis sur la restauration des forêts dégradées, la création de nouvelles forêts et la protection des forêts naturelles existantes grâce à un large éventail de mesures, parmi lesquelles le boisement, reboisement, revégétalisation et la gestion durable des forêts. Ce projet permettra également de faire pousser des arbres au sein de terrains boisés, systèmes agroforestiers et plantations en-dehors des zones protégées, afin de répondre à la demande liée à divers produits forestiers et réduire la pression exercée sur les forêts naturelles. Le projet en Birmanie aura pour objectif de conserver la biodiversité unique et les paysages forestiers du canton birman de Tanintharyi, en travaillant étroitement avec les communautés locales.« L'impact des crises actuelles liées au climat et à la biodiversité devenant de plus en plus clair, une volonté et des mesures solides sont désormais urgemment nécessaires pour créer un futur durable pour toutes et tous. L'engagement de "neutralité carbone à vie" du Groupe VELUX est un exemple important, que d'autres pourront ensuite suivre. »« Faire une promesse conforme à l'objectif de limitation de l'augmentation de la température mondiale à 1,5 °C tout en protégeant des paysages forestiers importants et la biodiversité –et les services cruciaux qu'ils fournissent aux communautés et à l'économie- est un projet positif et ambitieux en ligne avec des engagements climatiques responsables servant de fondation pour atteindre les Objectifs de Développement Durable. Ensemble, nous espérons que d'autres sociétés seront inspirées par la "neutralité carbone à vie" de VELUX afin d'élever l'ambition globale des entreprises en matière d'action climatique ou en faveur de la nature. »- Marco Lambertini, directeur général du WWF InternationalLe partenariat avec le WWF s'inscrit plus largement dans la stratégie de développement durable « Sustainability Strategy 2030 » du Groupe VELUX afin de devenir une entreprise neutre en émission de CO² d'ici 2030. Cet objectif de réduction des émissions se base sur la science, grâce au programme « Science Based Targets Initiative »[4]. Afin de révolutionner son activité, le Groupe VELUX accélère ses investissements dans l'efficacité énergétique au sein de ses sites de production, la transition vers les énergies renouvelables et l'achat d'électricité 100 % renouvelable. Il s'est également engagé à modifier de manière significative la façon dont il effectue la sélection et l'achat de matériaux. Pour plus d'informations sur la « neutralité carbone à vie » de VELUX et les projets de conservation des forêts au cœur du partenariat avec le WWF, rendez-vous sur velux.com / itsournature.com.NOTES [1] – Aucune méthodologie standard n'existe aujourd'hui afin de calculer une empreinte carbone historique. Des données précises sur les facteurs d'émissions et la consommation énergétique passés n'existent pas souvent. Le Groupe VELUX a donc développé une méthode permettant de calculer ses émissions carbone historiques. Cette méthode est basée sur la norme « Greenhouse Gas Protocol Corporate Standard » mondialement reconnue, et appliquée aux données historiques. Cette méthodologie unique, ainsi que ses suppositions sous-jacentes, sont vérifiées de manière indépendante par l'organisme Carbon Trust et analysées par des experts du WWF.[2] – Définition des scopes 1 et 2. Scope 1 (émissions directes générées par des sources possédées ou contrôlées par une entreprise, comme les infrastructures d'une société ou encore des véhicules de fonction). Scope 2 (émissions indirectes provenant de la génération d'électricité, de vapeur, de chauffage ou de refroidissement utilisés dans l'activité de l'entreprise concernée).[3] – La définition du scope 3 inclut toutes les autres émissions indirectes produites au sein de la chaîne de valeur d'une société (comme lors de l'achat de biens et services ou la génération et le transport de déchets).[4]– L'initiative « Science Based Targets » a pour but d'encourager les entreprises à définir des objectifs basés sur la science et accroître leur avantage concurrentiel dans le cadre de la transition vers une économie à faibles émissions de carbone. Elle s'inscrit dans une collaboration entre le CDP, le Pacte mondial des Nations Unies, le World Resources Institute (WRI) et le World Wide Fund for Nature (WWF) et constitue l'un des engagements de la coalition We Mean Business. Cette initiative définit et promeut les bonnes pratiques en matière de développement d'objectifs basés sur la science, propose des ressources et des conseils destinés à limiter les obstacles à leur adoption et analyse et approuve de manière indépendante les objectifs fixés par les sociétés.
Il y a 4 ans et 193 jours

Le groupe immobilier Icade gagne en optimisme pour 2020 malgré le Covid

"On a un impact de la crise qui se révèle être moindre" que prévu, a résumé à l'AFP le directeur général d'Icade, Olivier Wigniolle, à l'occasion des chiffres trimestriels du groupe.A la fois actif dans les bureaux, le logement et les établissements de santé, Icade a enregistré au troisième trimestre un chiffre d'affaires de 356 millions d'euros, soit une hausse de 4,9% par rapport à la même époque l'an dernier.C'est une amélioration après une baisse au premier semestre face à la crise sanitaire et à des semaines de confinement qui ont plombé l'activité du groupe.Icade, dont le capital est essentiellement public via la Caisse des Dépôts, prévient toutefois que ses résultats 2020 baisseront nettement. Son indicateur de référence, le "cash flow net courant" devrait s'établir autour de 4,80 euros par action, soit un recul de plus de 8%.Mais, par rapport au début de l'été, le groupe a gagné en optimisme. Il estime que la crise n'amputera son bénéfice net annuel que d'environ 75 millions d'euros et non plus une centaine.Il y a "trois principales raisons", a énuméré M. Wigniolle.D'abord, Icade s'est rendu compte que ses chantiers, largement interrompus par le confinement, avaient redémarré plus vite et plus efficacement qu'attendu.Second facteur favorable, le groupe a subi moins d'impayés que prévu de la part de ses locataires, que ce soit dans les bureaux ou les établissements de santé."On est quasiment à des taux d'avant crise", a expliqué le directeur général, estimant que les allègements consentis aux locataires avaient globalement permis de les maintenir à flot.Enfin, troisième facteur, "on avait imaginé que la commercialisation de logements allait être plus compliquée que par le passé", a expliqué M. Wigniolle. "Il faut bien reconnaître qu'on avait une vision trop pessimiste."Comme les autres grands promoteurs français, Icade a profité d'un bond des ventes de logements aux grands investisseurs, qui devrait compenser une chute auprès des particuliers depuis le début de la crise.En matière de ventes annuelles de logements, "on fera vraisemblablement mieux qu'en 2019", a assuré M. Wigniolle, même si leur nombre s'inscrivait en nette baisse à fin septembre.
Il y a 4 ans et 193 jours

"Préparer dès maintenant la fin du déploiement de la fibre" J.-N. de Vathaire NGE Infranet

ENTRETIEN. Concessionnaire et constructeur de réseaux d'initiative publique, NGE Infranet poursuit sa croissance au gré du déploiement du plan France très haut débit et de la fibre optique sur le territoire. A l'occasion de l'Université du THD aux Sables d'Olonnes, Batiactu a rencontré son directeur général, Jean-Noël de Vathaire.
Il y a 4 ans et 196 jours

Le gouvernement lance deux appels à projets visant au développement de la filière hydrogène

En application de la stratégie nationale du Gouvernement pour le développement de l'hydrogène décarboné en France, Barbara Pompili, ministre de la Transition écologique, Bruno Le Maire, ministre de l'Économie, des Finances et de la Relance, Frédérique Vidal, ministre de l'Enseignement Supérieur, de la Recherche et de l'Innovation, Jean-Baptiste Djebbari, ministre délégué chargé des Transports, Agnès Pannier-Runacher, ministre déléguée chargée de l'industrie, Guillaume Boudy, secrétaire général pour l'investissement et Arnaud Leroy, président-directeur général de l'ADEME, annoncent l'ouverture de deux appels à projets visant au développement de la filière hydrogène.Aujourd'hui, de manière partagée à travers l'Europe, l'hydrogène constitue une opportunité stratégique pour la transition vers une économie « zéro carbone » et la création d'une filière industrielle. L'hydrogène produit de façon décarbonée est un levier clé de décarbonation de plusieurs processus industriels et de certaines mobilités, et permettra à terme d'optimiser le rôle des énergies renouvelables dans le mix énergétique. L'hydrogène s'inscrit également dans une priorité stratégique de souveraineté énergétique pour de nombreux États. La France se mobilise aux côtés de ses partenaires européens pour la création d'une chaîne de valeur à l'échelle européenne sur l'hydrogène, comme en témoigne la rencontre du 13 octobre entre le président de la République Emmanuel Macron, la chancelière allemande Angela Merkel, les ministres français et allemands de l'économie Bruno Le Maire et Peter Altmaier, la présidente de la Commission Ursula von der Leyen et le commissaire européen chargé de la politique industrielle Thierry Breton, et des dirigeants d'entreprises.Les deux appels à projets lancés aujourd'hui constituent la première étape de cette stratégie:L'appel à projets « Briques technologiques et démonstrateurs » financé par le Programme d'investissements d'avenir (PIA) de l'Etat et opéré par l'ADEME, s'adresse principalement aux entreprises. Il vise à développer ou améliorer les composants et systèmes liés à la production et au transport d'hydrogène et à ses usages tels que les applications de transport ou de fourniture d'énergie, ou encore à concevoir et développer de nouveaux véhicules notamment pour le transport routier de marchandises et le ferroviaire. Il pourra également soutenir des pilotes et démonstrateurs d'envergure (supérieur à 20MW) sur le territoire national, permettant à la filière industrielle de l'hydrogène de développer de nouvelles solutions et de se structurer.L'appel à projets « Écosystèmes territoriaux hydrogène » de l'ADEME soutient des investissements de production et de distribution d'hydrogène renouvelable ou décarboné, pour des usages industriels et en mobilité, en particulier dans le domaine des utilitaires et des transports lourds (collectifs ou de marchandise). Il vise à faire émerger des consortiums réunissant sur un même territoire collectivités et industriels porter des écosystèmes de grande envergure favorisant des économies d'échelle.Qui peut déposer un projet ?L'appel à projets « Briques technologiques et démonstrateurs » s'adresse aux entreprises, pour des projets menés seul ou en partenariat avec d'autres entreprises et/ou acteurs de la recherche, pour des projets d'innovation d'un montant minimum de 2 à 5 millions d'euros selon les axes visés dans l'appel à projet.L'appel à projets « Écosystèmes territoriaux hydrogène » s'adresse aux collectivités et entreprises, souhaitant s'investir dans la production et la distribution d'hydrogène, ainsi que dans les usages industriels et en mobilité.Calendrier, dates limites et formulaires de dépôt des projets :« Briques technologiques et démonstrateurs » : dépôt au fil de l'eau jusqu'au 31 décembre 2022;« Écosystèmes territoriaux hydrogène » : 17 décembre 2020 ; 16 mars 2021 ; 14 septembre 2021;Pour rappel, la stratégie d'accélération française a été officiellement annoncée le 8 septembre dernier. Avec une dotation globale de plus de 7 Md€ jusqu'à l'horizon 2030 dont 2 Md€ intégrés dans le plan de relance, la stratégie française porte des ambitions très élevées pour répondre aux enjeux suivants:Des enjeux environnementaux : l'hydrogène est pourvoyeur de nombreuses solutions pour décarboner l'industrie et les transports et réduire les impacts sur la qualité de l'air de la mobilité;Des enjeux économiques : l'hydrogène offre l'opportunité de créer une filière et un écosystème industriels créateurs d'emplois ;Des enjeux de souveraineté énergétique pour réduire notre dépendance vis-à-vis des importations d'hydrocarbures ;Des enjeux d'indépendance technologique pour valoriser les atouts dont dispose la France dans la compétition mondiale.Au travers de cette stratégie, le soutien de l'État accompagne de manière séquentielle et progressive toutes les étapes clés de l'émergence d'une filière industrielle locale :Le soutien à la R&D permettant de développer des technologies plus performantes pour l'ensemble des usages de l'hydrogène ;Le soutien aux premières commerciales et à l'industrialisation qui combine une approche européenne (partenariats avec des pays partenaires pour développer des projets d'envergure) et nationale ;Le soutien au déploiement qui permet d'amorcer la diffusion de ce vecteur et de ses usages sur certains marchés.
Il y a 4 ans et 196 jours

L'économie française menacée de rechute par la deuxième vague épidémique

Depuis quelques semaines, les indicateurs économiques témoignaient déjà d'un regain d'inquiétude lié à la recrudescence des contaminations en France.Mais en imposant notamment un couvre-feu sur une partie du territoire, le gouvernement a de fait mis à l'arrêt un certain nombre d'activités déjà fortement pénalisées: les bars et restaurants, comme les métiers de la culture et de l'évènementiel.Ces mesures "vont limiter l'impulsion de croissance au risque d'avoir une variation négative de l'activité au dernier trimestre", prévient Philippe Waechter, chef économiste chez Ostrum Asset Management. Lui, mise sur un recul du PIB de 0,5% sur les trois derniers mois de l'année.Pour l'assureur-crédit Euler Hermes, il devrait se contracter de 1,1% et à l'OFCE, on table sur une baisse "de l'ordre de 0,8%", indique Mathieu Plane, directeur adjoint du département analyse et prévision."Cette nouvelle dégradation au dernier trimestre est liée aux trois secteurs déjà les plus touchés - l'hôtellerie-restauration, les services de transports et les services aux ménages, qui englobent notamment les activités de loisirs - et qui vont replonger", précise-t-il."Mois de tous les dangers"L'économie française affronte "le mois de tous les dangers", prévient encore Sylvain Duranton du Boston Consulting Group, qui a publié jeudi son nouveau "baromètre de la reprise" fondé sur l'analyse de quelque 10.000 données haute fréquence."L'économie est prise en tenaille entre une confiance des consommateurs, une envie d'acheter, de sortir, de faire du sport qui s'affaisse du fait de la pandémie, un rebond qui ne rebondit plus, et des particuliers et entreprises qui hésitent à investir", explique-t-il à l'AFP.Signe de ce climat attentiste, la production de prêts par les banques est en recul.L'Insee, qui tablait encore début octobre sur une stagnation du PIB au dernier trimestre, après la chute de 13,8% au deuxième et le rebond estimé de 16% au troisième, pourrait aussi abaisser sa prévision."C'était avant les nouvelles annonces de restrictions" et le nouveau contexte renforce la possibilité d'une "baisse par rapport à cette prévision", a prévenu mercredi le directeur général de l'Institut national de la statistique, Jean-Luc Tavernier, auditionné au Sénat.L'indicateur mensuel du climat des affaires, publié jeudi matin par l'Insee, a ainsi reflué en octobre pour la première fois depuis le déconfinement, illustrant les inquiétudes des chefs d'entreprises sur leurs perspectives d'activité.Au-delà de la perte d'activité dans les secteurs directement touchés, la deuxième vague de la pandémie renforce l'incertitude sur l'avenir, un climat peu propice aux décisions de consommation ou d'investissement.Épée de DamoclèsCar malgré les mesures de soutien prises par le gouvernement, c'est bien la situation épidémique qui donnera le tempo de la reprise ou non de l'économie."Tant qu'on aura cette épée de Damoclès au-dessus de nos têtes, n'imaginons pas que nous pourrons retrouver une activité normale", souligne ainsi à l'AFP Philippe Waechter.Malgré tout, la France n'est pas revenue dans la situation du confinement général du printemps où une grande partie de la population ne pouvait plus travailler, nuance Mathieu Plane.Si les dernières restrictions décidées risquent de mettre au chômage de nombreuses personnes car "ces secteurs sont très riches en emploi, leur poids dans le PIB n'est pas massif, environ 4%, et ce ne sont pas des secteurs moteurs de l'économie" comme l'aéronautique ou l'automobile, juge-t-il.Il estime toutefois que le gouvernement devrait encore renforcer le soutien aux entreprises, qui auront du mal à faire face aux premières échéances des prêts garantis par l'État obtenus pendant la crise et au remboursement des reports de charges qui leur ont été accordés.Pour Philippe Waechter aussi, il faut que la France, et plus généralement l'Europe, accentue "l'impulsion budgétaire" pour relancer l'économie, avec "un soutien à la demande plus marqué".Sinon, "il n'est pas sûr qu'on ait le rattrapage attendu au premier ou au deuxième trimestre de l'année prochaine", prévient-il.
Il y a 4 ans et 198 jours

Saint-Gobain : mobilisation générale pour la rénovation énergétique globale

Comment Saint-Gobain, peut-il relayer le volet « rénovation énergétique » du plan de relance ? Son directeur général envoie au front les industriels du groupe, les enseignes de distribution et ses 50000 salariés.
Il y a 4 ans et 199 jours

Drone Volt annonce le décès de son PDG, Olivier Gualdoni

Les équipes DRONE VOLT s'associent à la peine immense de son épouse, ses 2 enfants et tous ses proches.Olivier était avant tout un époux et un père aimant, un homme très apprécié de tous, généreux, ouvert et toujours disponible, une personne sur qui l'on pouvait compter en toute circonstance, tant sur le plan personnel qu'humain. Doué d'une très grande capacité d'écoute, Olivier plaçait toujours la relation humaine au cœur de l'entreprise et a su ainsi créer autour de lui une équipe solide et soudée en laquelle il avait toute confiance. Leader charismatique, Olivier était un dirigeant dynamique et entièrement dévoué à son entreprise et ses collaborateurs.Olivier a pris la direction de DRONE VOLT fin 2015 et a été ces 5 dernières années l'artisan de la transformation d'une petite entreprise de distribution de drones en un constructeur de drones professionnels, aujourd'hui groupe international capable de lutter à armes égales avec les géants en place. Grâce à la mise en œuvre d'une stratégie innovante basée sur la compétence d'équipes d'ingénieurs et de techniciens français et hollandais, le groupe DRONE VOLT a gagné des parts de marché auprès des plus grandes entreprises et agences gouvernementales de la planète.Le Conseil d'administration, réuni en urgence ce jour, a décidé de modifier la gouvernance du Groupe.Le Conseil d'Administration a coopté Dimitri Batsis, fondateur de DRONE VOLT et actionnaire historique depuis 2012, en qualité d'administrateur de la société en remplacement d'Olivier et l'a nommé Président du Conseil d'administration, un poste qu'il avait confié à Oliver quelques années plus tôt.Lors de la même séance, le Conseil a décidé à l'unanimité de dissocier les fonctions de Président et de Directeur Général et a nommé Marc Courcelle, jusqu'alors Directeur de la Production de DRONE VOLT, en qui Olivier avait toute confiance, comme Directeur Général.Tout en pleurant cette perte immense aux côtés de sa famille, le groupe DRONE VOLT assure être en ordre de marche pour poursuivre ses activités et peut compter aujourd'hui sur l'équipe en place qui prend la relève.
Il y a 4 ans et 199 jours

Armacell France accueille son nouveau Directeur Général, Damien Nowak pour développer ses marchés

Titulaire d'une maitrise de commerce, gestion et marketing, Damien Nowak bénéficie d'une expérience forte au sein de multinationales industrielles. Homme de terrain, à plusieurs reprises en charge de marchés stratégiques concurrentiels B to B sur le territoire français, il a su mener au succès ses équipes et faire remporter la satisfaction clients. Fin connaisseur du marché français B to B sur les secteurs bâtiment et construction il a su détecter les besoins clients, développer des marchés et délivrer de la valeur aux clients au-delà des habituels standards.Marié et père de 4 enfants Damien Nowak est engagé dans plusieurs projets valorisant l’humain, est passionné par la découverte de cultures et de territoires mais également de sports qu'il a pu pratiquer à haut niveau.« Je suis très enthousiaste à l'égard de ce nouveau défi et de la possibilité d'avoir un impact direct sur le développement d'Armacell France. Je retrouve sur nos marchés très concurrentiels à tous les niveaux, grand nombre de similitudes avec des marchés sur lesquels j’ai pu travailler ardemment. Armacell France, dont la qualité des produits et des services est plébiscitée, est bien placée pour répondre aux besoins clients et devenir une entreprise encore plus forte et plus leader, au service du marché. Je m’y atèle déjà avec toute mon équipe ! »Damien Nowak, Directeur Général Armacell France
Il y a 4 ans et 199 jours

J1 La Passerelle : signature de la promesse de convention d'occupation temporaire

Une nouvelle étape vers la réalisation du projet a été franchie avec la signature par les parties prenantes de la promesse de convention d'occupation temporaire d'une durée de 70 ans.Le projet « J1 - La Passerelle », dessiné par l'agence d'architectes Reichen et Robert, a été guidé par le souhait de renouer du lien entre la ville et le port, et l'ambition partagée de rendre l'accès à la mer aux Marseillais. Ce projet urbain propose ainsi de développer une grande esplanade entièrement ouverte à tous de plus de 12 000 m² abritée par une vaste canopée. Le choix architectural a été de conserver l'esprit du lieu : une grande halle, objet de collection, témoin de l'histoire de la ville et mémoire collective vivante. Ce parti-pris vise à faire du J1 un emblème iconique de Marseille et un incontournable lieu de destination. Le bâtiment réhabilité contribuera au rayonnement de Marseille par une diversité des activités et des programmes : culture, loisirs, activités tertiaires, formation, restauration ou encore hôtellerie.De gauche à droite : Jean-Luc Brial - Directeur général adjoint VINCI Construction France, Annaïg Velay - Directrice ADIM Provence, Hervé Martel - résident du directoire du Port de Marseille Fos, Richard Curnier, Directeur régional de la Banque des Territoires en Provence-Alpes Côte d'Azur, Olivier Betoux - Directeur délégué Provence - VINCI Construction France. Les prochains mois seront consacrés notamment à la finalisation des études de conception et au dépôt du permis de construire de l'ouvrage, pour un démarrage des travaux début 2022 et une livraison prévisionnelle en 2024.
Il y a 4 ans et 203 jours

Les plus pauvres sont de plus en plus découragés d'acheter leur logement

Il y a "une baisse des emprunteurs les plus modestes" parmi les crédits immobiliers accordés par les banques, a souligné ce jeudi Jean-Marc Vilon, directeur général de Crédit Logement.Cet organisme, qui réunit les principales banques françaises, vient de publier ses chiffres trimestriels sur l'état du marché. Etablis avec l'institut CSA, ils font référence pour le secteur.D'un côté, ils témoignent de conditions toujours très favorables, dans la lignée des dernières années: des taux extrêmement bas, 1,22% en moyenne en septembre, et des prêts accordés pour des durées historiquement longues, 19 ans et deux mois le mois dernier.Mais cela ne veut pas dire qu'il est toujours aussi facile d'emprunter pour acheter un logement.Au troisième trimestre, les banques ont diminué le nombre total de prêts immobiliers de près de 8% par rapport à un an plus tôt, et ce sont les plus pauvres qui en font largement les frais.Bien sûr, la crise sanitaire est passée par là avec, au printemps, plusieurs semaines de confinement qui ont bloqué de nombreuses opérations.Mais les professionnels évoquent une tendance plus large, avec un grand coupable en tête: les autorités financières, qui demandent depuis près d'un an aux banques de restreindre leurs conditions.Le ministère de l'Economie et la Banque de France enjoignent notamment aux banques d'éviter de prêter sur plus de 25 ans. Ils craignent que l'essor des prêts immobiliers, sensible depuis des années et largement lié à la politique très interventionniste de la Banque centrale européenne (BCE), finisse par se traduire par des opérations trop risquées.Vague d'impayés à l'horizonCes mesures ont vivement déplu à un large pan du monde immobilier, des courtiers en crédit jusqu'aux constructeurs de maison.Sur un ton parfois alarmiste, ils ont estimé que cela revenait à exclure de nombreux ménages du marché immobilier, en particulier ceux qui veulent acheter un logement pour la première fois.Est-ce une réalité? En partie. Les prêts immobiliers n'ont pas connu d'effondrement massif mais certaines catégories souffrent plus que d'autres."On a un marché où les primo-accédants, surtout les plus modestes, ont eu plus de mal à réaliser leurs opérations", a remarqué M. Vilon, qui s'exprimait dans une vidéo en ligne.Ces propos rejoignent les constats de grands acteurs comme Nexity, premier promoteur français. Son patron, Alain Dinin, affirmait en septembre que les mesures de restriction excluaient de fait près de la moitié de ses clients achetant leur premier logement."Socialement, politiquement, c'est une erreur de ne pas penser à permettre aux gens à revenus modestes de se loger", a martelé lors d'une conférence de presse M. Dinin, virulent depuis des mois contre ces restrictions.De leur côté, les autorités ont maintenu ces mesures à la rentrée et préviennent qu'il n'est pas d'actualité de revenir dessus.Au sein du Haut comité de stabilité financière (HCSF), qui réunit les autorités financières, on assume d'être prudent alors que la crise économique du virus s'annonce historique et qu'une explosion du chômage aurait de lourdes conséquences sur le remboursement des crédits."On ne peut pas exclure un gros accident sur le marché du travail", prévient une source proche du HCSF. "Ce n'est pas le scénario central, mais quand vous faites de la stabilité financière, il faut tenir compte de ça".Les gens sont-ils déjà en difficulté pour rembourser leurs crédits immobiliers? Pas encore, selon Crédit Logement, mais c'est parce que les banques ont fait des concessions ponctuelles pendant le confinement. A plus long terme, banques et emprunteurs risquent bien d'être rattrapés par la situation."C'est surtout 2021 qui va être marquée par l'arrivée de ces impayés sur le crédit immobilier", a conclu M. Vilon.
Il y a 4 ans et 204 jours

Frédéric Didier, nouveau Directeur Général de Wienerberger France

Revendiquant une solide expertise du secteur des matériaux de construction et du bâtiment, il débute sa carrière dans les années 2000 comme responsable commercial régional chez Ciments d'Origny. Une société au sein de laquelle il évoluera dans diverses fonctions (Support technique, Export, Responsable commercial), avant d'être nommé, en 2009, Directeur National des ventes liants hydrauliques routiers et produits spéciaux d'Holcim France.En 2013, il intègre Eqiom France – groupe CRH pour occuper la fonction de Directeur Régional Granulats Est de la France. En 2016, il rejoint le groupe Wienerberger comme Directeur Général Adjoint de la filiale française. Il a, entre autre, développé l'activité Tuiles avec beaucoup de réussite, grâce à une approche dynamique et collaborative, basée sur une stratégie pragmatique à l'écoute du marché.Nommé aujourd'hui à la Direction Générale de Wienerberger France, Frédéric Didier a la volonté de développer la stratégie d'innovation et de performance du Groupe Wienerberger en France.« Véritable précurseur, Wienerberger s'est doté aujourd'hui d'importants moyens permettant d'appréhender les attentes du marché autour desdéfis environnementaux ou de la transformation digitale par exemple. Je compte capitaliser sur cette richesse et notre expertise industrielle, pour renforcer davantage notre offre et le développement de nos compétences et services. »Frédéric DidierWienerberger commercialise aujourd'hui des marques à forte notoriété : Koramic pour la tuile terre cuite, Aléonard pour les tuiles pour bâtiments historiques, Terca pour la brique apparente, Porotherm pour la brique de structure.
Il y a 4 ans et 205 jours

Rencontre avec : Inger Marie Jensen Hansen

En septembre dernier, l’éditeur de mobilier danois Carl Hansen & Søn a ouvert sa première boutique parisienne. Rencontre avec Inger Marie Jensen Hansen, responsable des accessoires, des boutiques et des sites de la marque. En 2017, après avoir pris sa retraite de son poste de médecin-cheffe du service des maladies rhumatismales et de directrice de la recherche à l’Hôpital universitaire d’Odense, Inger Marie Jensen Hansen, l’épouse de Knud Erik Hansen – l’actuel dirigeant de Carl Hansen & Søn – a rejoint la société. Aujourd’hui, elle est responsable des lignes d’accessoires, de tous les flagship stores et des boutiques en ligne. À l’occasion de l’ouverture de la première boutique parisienne de Carl Hansen & Søn, Inger Marie Jensen Hansen s’est confiée à la rédaction de Muuuz. Muuuz : Pouvez-vous nous raconter l’histoire de Carl Hansen & Søn ?Inger Marie Jensen Hansen : Depuis plus de 112 ans, nous sommes spécialisés dans la fabrication artisanale de meubles d’exception qui donne vie à des concepts de design visionnaires. Notre histoire remonte à 1908, lorsque l’ébéniste danois Carl Hansen ouvre un petit atelier de meubles sur l’île danoise de Fionie. Depuis lors, le succès de l’entreprise repose sur deux idées fondamentales : un engagement sans compromis en faveur du meilleur savoir-faire artisanal et des alliances avec des designers talentueux qui réinventent et affinent sans cesse le concept de design moderne. En 1934, le fils de Carl, Holger Hansen, reprend l’entreprise. À seulement 23 ans, Holger se révèle être la personne qu’il fallait, au bon endroit, au bon moment. Sa formation en ébénisterie, combinée à son ambition et au courage lié à son jeune âge, lui permet de développer l’entreprise en augmentant la productivité et en participant à des salons internationaux. En 1962, après avoir dirigé avec succès l’entreprise de son père pendant près de trois décennies, Holger meurt subitement d’une crise cardiaque. Les fils de Holger, Knud Erik et Jørgen Gerner, n’ont respectivement que 11 et 16 ans – trop jeunes pour lui succéder. La femme de Holger, Ella Hansen, prend la décision courageuse de reprendre l’entreprise familiale jusqu’à ce que ses jeunes fils atteignent l’âge adulte – une décision audacieuse pour une femme sans éducation en 1962. Le fils aîné, Jørgen Gerner, entre dans l’entreprise en 1973 et succède à sa mère en tant que directeur général en 1988. Le fils cadet, Knud Erik Hansen, prend la relève en 2002 et aujourd’hui, la petite menuiserie créée à Odense il y a plus d’un siècle est devenue une entreprise internationale de design.Quel a été le cheminement parcouru depuis la création de l’entreprise ? Aujourd’hui, quelle est sa démarche ?Depuis que Knud Erik Hansen, le petit-fils de Carl Hansen, est devenu la troisième génération à la tête de l’entreprise familiale en 2002, Carl Hansen & Søn a considérablement étendu sa présence internationale. Aujourd’hui, les meubles que nous fabriquons sont disponibles partout dans le monde et nous avons des flagship stores et des showrooms à New York, San Francisco, Tokyo, Osaka, Paris, Londres (Belgravia et Clerkenwell), Milan, Stockholm, Oslo, Copenhague et Gelsted, ainsi que des filiales commerciales en Europe, au Moyen-Orient, aux États-Unis, au Japon et à Hong Kong. Dans les années à venir, nous prévoyons d’en ouvrir d’autres dans un plus grand nombre de villes. Pourtant, malgré tous ces changements, notre engagement centenaire à produire des meubles classiques d’envergure internationale n’a pas évolué. Notre siège social se trouve maintenant dans la ville de Gelsted, sur l’île danoise de Fionie, et nous fabriquons également nos meubles dans nos sites de production voisins afin de garantir la meilleure qualité possible. Nous utilisons une combinaison de techniques traditionnelles et de nouvelles technologies pour créer un design moderne et intemporel. Depuis le début de la fabrication jusqu’au moment où nos meubles prennent place dans un nouvel espace intérieur, nous sommes guidés par le dévouement à des pratiques honnêtes et durables qui respectent l’héritage de notre fondateur et de nos designers. Quel est le processus de développement de vos meubles ?Depuis 2002, le PDG de Carl Hansen & Søn, Knud Erik Hansen a préservé l’héritage de cette dernière en matière de design, élaboré une stratégie pour les nouveaux talents et trouvé l’équilibre idéal entre artisanat et technologie. En pratique, cela signifie que Carl Hansen & Søn a automatisé le dur labeur qui épuisait auparavant les ébénistes, tout en veillant à ce que l’artisanat joue un rôle clé dans la production de classiques du design. Une fois que les machines informatisées ont découpé les différents éléments du meuble et assuré une qualité uniforme en vue du traitement ultérieur, les ébénistes prennent le relais pour assembler, polir, huiler, rembourrer, tisser et donner à chaque pièce cette finition particulière que seul un artisan qualifié peut apporter. Carl Hansen & Søn continue à respecter les traditions de l’artisanat et à s’appuyer sur les connaissances et l’expérience acquises au fil des générations. Les ébénistes et les tapissiers expérimentés continuent à exercer leurs métiers respectifs, tandis que les maîtres tisserands emploient un large éventail de techniques pour la production des sièges et des dossiers. L’étroite collaboration entre le nouveau designer et le fabricant aboutit à une culture où les défis de l’artisanat continuent à stimuler le développement de nouveaux designs.Depuis la création de l’entreprise, quelle est la relation entre Carl Hansen & Søn et les différents designers avec lesquels elle collabore ? Holger Hansen, fils de Carl Hansen, avait un œil sur Hans J. Wegner dans les années 1940, quand Wegner était encore un jeune ébéniste danois peu connu. En 1949, après avoir terminé ses dessins de nouvelles chaises, Wegner fait le trajet à bicyclette de Copenhague à Odense – une journée entière de trajet – où se trouvait l’entreprise de meubles de la famille Hansen. Une fois sur place, Wegner s’installe dans la villa de la famille Hansen, et dort dans la chambre du plus jeune fils, Knud Erik. Dès le début, les créations de Wegner sont uniques et sans précédent. Au cours de ses trois premières semaines, Wegner conçoit quatre chaises – CH22, CH23, CH24 et CH25. Wegner utilise des éléments modernes tels que des dossiers cintrés à la vapeur, des formes organiques, des bois clairs et des sièges tissés dans des constructions complexes qui aboutissent à des objets simples et élégants. La première collection de Wegner pour Carl Hansen & Søn est dévoilée en 1950 et connaît un succès immédiat. Malgré les premières réactions mitigées de la part des clients, la chaise Wishbone est ensuite surnommée « chaise nationale du Danemark », ce qui démontre la nature visionnaire du design de Wegner. L’intérêt pour la première collection ne se limite pas au Danemark et, en 1952, Holger Hansen crée un réseau de distributeurs agréés aux États-Unis. Avec ce succès commercial, Holger Hansen – qui a misé sur le jeune architecte – peut pousser un soupir de soulagement. Aujourd’hui, Carl Hansen & Søn continue à travailler en étroite collaboration avec le Hans J. Wegner Design Studio, en tant que premier fabricant mondial de meubles Wegner. Outre Wegner, Carl Hansen & Søn collabore également avec des designers et architectes célèbres tels que Kaare Klint, Børge Mogensen, Ole Wanscher, Nanna Ditzel et bien d’autres.Comment choisissez-vous les designers pour les nouvelles collaborations ? Quelles sont vos dernières collaborations ?Au fil des ans, Carl Hansen & Søn s’est attaché à préserver les classiques du design danois tout en continuant à élargir sa collection pour représenter de nouveaux créateurs influents. Notre objectif : réunir sous un même toit la crème des designs de meubles modernes les plus emblématiques. Nous nous associons également à des designers contemporains qui défendent les principes fondamentaux de la modernité danoise, à savoir la simplicité, la fonctionnalité et l’artisanat, tout en insufflant une nouvelle vie aux espaces modernes. Ces collaborations sont ancrées dans un respect commun pour une conception et une production réfléchies, et dans des perspectives qui apportent de nouvelles dimensions à notre catalogue. Notre partenariat avec le designer danois Rikke Frost, avec lequel nous avons lancé le canapé Sideways en septembre 2020, incarne ces valeurs.Et comment trouver et choisir des pièces dans les archives ?Nous recherchons dans les archives en étroite collaboration avec les proches des créateurs. Naturellement, nous tenons également compte de la demande et de notre collection, afin que le nouveau produit ait un sens. Pouvez-vous nous parler de la ligne d'accessoires ? La ligne d’accessoires Carl Hansen & Søn enrichit notre gamme de produits existante avec des articles uniques et inspirants provenant du Danemark et du monde entier. Tous les accessoires de Carl Hansen & Søn partagent un design de qualité, des couvertures tissées à la main jusqu’aux vases audacieux en verre, en passant par les chemins de table complexes cousus à la main et les miroirs fabriqués de mains d’expert. Chaque pièce est choisie avec soin pour apporter beauté, charme et chaleur aux intérieurs. Pourquoi avez-vous choisi d'installer votre flagship store à Paris ? Quels sont les défis et les objectifs de ce nouveau lieu ?Paris est un haut lieu du design. Les lignes classiques de notre collection correspondent bien au goût parisien. Aussi, comme la France est un marché émergent pour nous, avec des clients exigeant une qualité et un savoir-faire artisanal haut gamme, nous avons estimé qu’il était temps d’investir dans un lieu de vente, conformément à notre stratégie d’expansion internationale dans les grandes villes du monde, afin de pouvoir faire connaître Carl Hansen & Søn à un public plus large. Avec un flagship store, nous pouvons être en contact direct avec nos clients, ce qui nous permet de leurs offrir une expérience d’achat encore meilleure et de mieux comprendre le marché. Pour en savoir plus, visitez le site de Carl Hansen & Søn. Visuels : © Carl Hansen & SønLa Rédaction
Il y a 4 ans et 205 jours

LafargeHolcim lance ECOPact, la plus large gamme de bétons bas carbone du marché

La nouvelle gamme de bétons ECOPact est issue de la démarche Lafarge 360 lancée en juillet 2019 pour mener la transition écologique dans le secteur des matériaux de construction. Une démarche ambitieuse destinée à accompagner les maîtres d'œuvre, maitres d'ouvrages et constructeurs de toutes tailles dans la conception de bâtiments bas carbone et ancréé dans l'économie circulaire.ECOPact s'appuie ainsi sur l'échelle d'évaluation 360Score qui affiche en toute transparence l'impact sur l'environnement des produits LafargeHolcim. Cette gamme vient en complément des services d'eco-conception 360Design, un simulateur en ligne pour calculer l'empreinte carbone du gros œuvre d'un bâtiment et ainsi optimiser la performance environnementale d'un projet.Les solutions ECOPact, une gamme complèteECOPact propose un taux de réduction carbone de 30 à 50%. Cette solution est disponible sur tout le territoire national et ne change pas les usages et pratiques de construction traditionnels.ECOPact A est une solution qui va plus loin en offrant un taux de réduction carbone de 50 à 70%. Cette performance est notamment obtenue grâce aux innovations de formulation et permet de conserver les modes constructifs habituels.ECOPact AA est une solution de rupture en termes d'innovation et de réduction carbone puisqu'elle propose un taux de réduction supérieur à 70% grâce à des liants dont les performances sont exceptionnelles. Pour cette gamme de solutions, LafargeHolcim accompagnera ses clients dans le cadre, notamment, d'usages spécifiques.ECOPact A+ est une solution à impact carbone neutre compensé. Ce béton neutre en carbone obtenu par la compensation se compose d'un béton Ecopact A et d'achat de crédits carbone certifiés par un organisme international.« LafargeHolcim s'engage, pour ses clients, dans la voie d'une construction plus responsable, plus circulaire et tout aussi performante. La gamme de bétons bas carbone Ecopact que nous proposons aujourd'hui est une innovation supplémentaire pour construire plus responsable. Avec Ecopact, nous complétons l'éventail de notre gamme de bétons pour répondre aux attentes sur le sujet, et elles sont fortes ! » précise François Petry, Directeur Général LafargeHolcim France.LafargeHolcim dispose aujourd'hui du portefeuille de solutions et produits bas carbone le plus large du secteur, s'appuyant sur une organisation de R&D à la pointe de l'industrie et un réseau mondial d'innovation fortement axé sur le développement de produits durables : 40% des brevets concernent des solutions bas carbone, et plus de 50% des efforts de R&D sont consacrés à des projets bas carbones.LafargeHolcim est également la première entreprise mondiale de matériaux de construction à signer l'engagement "Business Ambition for 1,5°C" et à se fixer des objectifs intermédiaires de réduction carbone validés par l'initiative Science Based Targets (SBTi), alignés sur la trajectoire net zero.ECOPact, déjà des références en coursECOPact convient à tous les types d'ouvrage - logements collectifs, individuels, bâtiments tertiaires, infrastructures - et fait déjà l'objet de chantiers : c'est le cas avec les 296 logements pour étudiants conçus par la maîtrise d'œuvre Kern&associés architectes urbanistes et dont le maitre d'ouvrage est le CROUS d'Aix-En-Provence.D'autres projets sont en cours, comme par exemple le chantier de la Faculté d'Economie et de Gestion de Aix-en-Provence, ou l'Institut Médico Educatif de la Roque d'Anthéron.« Avec ECOPact nous avons conçu des bétons responsables qui rendent la construction bas carbone possible pour tous les chantiers, ceux du quotidien comme les plus ambitieux. D'autres développements innovants sont en cours pour enrichir la gamme et répondre précisément aux évolutions du marché » Michèle Duval, Directrice des gammes produits et services LafargeHolcim France.
Il y a 4 ans et 205 jours

Saint-Gobain double sa production de matériaux biosourcés d'isolation

Le directeur général France du groupe, Guillaume Texier, a salué dans le plan de relance "un effort sans précédent pour pousser la rénovation énergétique", qui arrive à "un moment propice".Saint-Gobain veut "aider à aller plus vite et à lever certains freins" pour soutenir cet effort, a-t-il déclaré lors d'un point-presse.Saint-Gobain a présenté une série d'actions en ce sens, dont une formation RGE en ligne pour les artisans du secteur, l'information du grand public sur les solutions techniques d'isolation ou encore un dispositif de "mécénat d'entreprise" par lequel des salariés du groupe pourront aider des associations.Le groupe, qui est un fabricant de matériaux isolants, va aussi mettre l'accent sur ses innovations, comme des solutions biosourcées à base de laine de bois, à côté des matériaux plus classiques comme la laine de verre et la laine de roche.Un investissement de 5 millions d'euros va permettre, d'ici 2023, de doubler la capacité de l'usine de fibre de bois de Mably, avec la création de 30 à 40 emplois à la clé.Les matériaux biosourcés ne représentent encore que 3 à 4% du marché de l'isolation, mais leur croissance annuelle est de 15%, selon Saint-Gobain.L'enseigne de distribution pour le bâtiment, Point.P, a lancé il y a quelques mois un catalogue de 1.500 références de produits biosourcés.Le groupe va d'autre part utiliser la start-up qu'il a développée, Kandu, pour proposer aux acteurs publics un diagnostic gratuit du confort de leurs bâtiments, prenant en compte les conforts thermique et acoustique, la qualité de l'air et la lumière, en vue d'une rénovation.Selon Saint-Gobain, la rénovation énergétique a un potentiel important, avec en France 7 à 8 millions de logements très énergivores (classes F et G), dont près de 5 millions de "passoires thermiques"."Le secteur du bâtiment est bien reparti au cours de l'été, mais il y a quand même de grosses incertitudes sur ce qui se passe derrière", a indiqué M. Texier. "Donc il y a un besoin de mettre de la relance économique et (...) la rénovation, c'est la manière la plus rapide de mettre en place de la relance", a-t-il ajouté.
Il y a 4 ans et 206 jours

Rénovation énergétique : Saint-Gobain en ordre de marche pour accompagner le plan de relance

Guillaume Texier, directeur général de Saint-Gobain en France, et Patrice Richard, président de Saint-Gobain Distribution Bâtiment France, ont présenté mardi 13 octobre les actions de mobilisation du géant des matériaux pour soutenir le lancement du plan de relance sur la rénovation énergétique des bâtiments.
Il y a 4 ans et 206 jours

LafargeHolcim lance EcoPact

EcoPact convient à tous les types d’ouvrages et fait déjà l’objet de chantiers. Ici, l’Institut médico-éducatif de La Roque-d’Anthéron (13). [©3AArchitectes et Associès] Engagé dans la réduction des émissions de CO2 et la valorisation des ressources, LafargeHolcim France innove. Ceci, en proposant EcoPact, une nouvelle offre de bétons permettant d’aller jusqu’à un impact neutre en carbone. Une démarche initiée en 2019, avec Lafarge 360. Ainsi, LafargeHolcim avait pour ambition de mener la transition écologique dans le secteur des matériaux de construction. En 2020, l’industriel va encore plus loin. « Cette nouvelle offre béton neutre en carbone s’inscrit dans notre démarche Lafarge 360 pour construire plus responsable. Avec EcoPact, nous complétons l’éventail de notre gamme de bétons pour répondre aux fortes attentes de nos clients et de nos marchés », indique François Petry, directeur général LafargeHolcim France. La gamme EcoPact notée 360Score A+ La gamme EcoPact s’appuie ainsi sur l’échelle d’évaluation 360Score, qui affiche en toute transparence l’impact sur l’environnement des produits LafargeHolcim. Cette gamme vient en complément des services d’éco-conception 360Design. Ce dernier est un simulateur en ligne, qui calcule l’empreinte carbone du gros œuvre d’un bâtiment. Et ainsi optimiser la performance environnementale d’un projet. La gamme EcoPact se décline en quatre solutions : • EcoPact “classique” propose un taux de réduction carbone de 30 à 50 %. Cette solution est disponible sur tout le territoire national et ne change pas les usages et pratiques de construction traditionnels. • EcoPact A est une solution qui va plus loin, en offrant un taux de réduction carbone de 50 à 70 %. Cette performance est obtenue grâce aux innovations de formulation et permet de conserver les modes constructifs habituels. • EcoPact AA est une solution de rupture, en termes d’innovation et de réduction carbone. Puisqu’elle propose un taux de réduction supérieur à 70 % grâce à des liants, dont les performances sont exceptionnelles. • EcoPact A+ est une solution à impact carbone neutre compensé. Ce béton obtenu par compensation se compose d’un béton EcoPact A et d’achat de crédits carbone certifiés par un organisme international. « Avec EcoPact, nous avons conçu des bétons responsables qui rendent la construction bas carbone possible pour tous les chantiers. Ceux du quotidien comme les plus ambitieux. D’autres développements innovants sont en cours pour enrichir la gamme et répondre précisément aux évolutions du marché », conclut Michèle Duval, directrice des gammes produits et services LafargeHolcim France.
Il y a 4 ans et 207 jours

Un ex-conseiller logement du président de la République entre chez Perl

CARNET-NOMINATION. Perl, filiale de Nexity au modèle immobilier "fondé sur le partage de l'usage et de la propriété", renforce son équipe dirigeante avec l'arrivée de Tristan Barrès en qualité de directeur général.
Il y a 4 ans et 210 jours

Pierre Ramain, nouveau directeur général du Travail

Il remplace Yves Struillou, qui avait démissionné mi-septembre de ce haut poste du ministère du Travail, à la suite d'un désaccord avec la ministre Elisabeth Borne sur la gestion du dossier d'un inspecteur du travail, sanctionné car accusé d'avoir désobéi pendant le confinement.Enarque de la promotion Senghor (2004), M. Ramain a occupé différents postes au sein de ce ministère, avant d'être conseiller social à Matignon de 2015 à 2017, puis rapporteur à la section du contentieux et à la section sociale au Conseil d'État."Nous aurons besoin de ses qualités pour relever les défis qui sont devant nous: accompagner l'évolution de l'inspection du travail, animer le dialogue social au niveau des branches professionnelles, guider les entreprises dans la gestion du Covid, combattre le travail illégal, résorber le travail détaché", a déclaré Mme Borne dans un communiqué.
Il y a 4 ans et 211 jours

L'hôtel Costa Salina de Porto Vecchio s'équipe d'un abri de terrasse Rénoval Abris pour protéger ses clients des vents forts

« Les vents peuvent être violents par ici, explique Nicolas Hemain, le Directeur de l'hôtel. C'est pourquoi nous avons voulu rénover l'ancien abri dont la structure, trop légère, était souvent malmenée par le vent ». Cette installation permet également à l'hôtel d'augmenter son espace d'exploitation passant de 18 m² à près de 80 m². « En temps normal [hors période liée au Covid-19], nous pouvons servir 40 couverts sous l'abri. Nous sommes classés Groupe 2 des ERP de 5ème Catégorie ».« À l'hôtel Costa Salina, nous avons installé un abri haut de gamme Prestige, précise Olivier Dixneuf, Directeur Général de Rénoval Abri. Il est intégralement doté de double vitrage à isolation renforcée avec gaz argon, en parois latérales et en façade, pour des épaisseurs de respectivement 16 et 20 mm et un UG égal à 1,1. Le verre opale est également anti UV pour un meilleur confort des occupants. L'abri est construit avec des profilés aluminium en chicane afin d'améliorer la performance thermique. L'ensemble est surmonté d'une toiture à panneaux isolants de 16 mm triple parois affichant un UG égal à 2,4 ».L'abri de terrasse Prestige du Costa Salina se compose de 5 éléments. Il intègre des baies coulissantes 4 vantaux associées à 2 baies coulissantes 2 vantaux, pour des dimensions de (largeur x longueur) 6,50 x 12 m. Les profilés alu sont de coloris gris taupe.« Par sa conception, l'abri résiste à la grande force des vents corses. Les équipes Rénoval Abri ont effectué une intervention efficace. Depuis, nous sommes pleinement satisfaits de la structure qui remplit parfaitement son office. En outre, les baies coulissantes permettent de faire circuler l'air lorsqu'il faut trop chaud. Et quand on ne reçoit pas de clientèle sous l'abri, soit environ deux mois par an, nous l'utilisons comme pièce de stockage pour le mobilier extérieur, un second aspect très pratique de l'abri ! » conclut Nicolas Hemain.
Il y a 4 ans et 211 jours

L’école des Ponts ParisTech et Sanef s’associent pour une chaire

Signature de la chaire industrielle Sanef-Abertis par Sophie Mougard, directrice de l’École des Ponts ParisTech et Arnaud Quémard, directeur général de Sanef le 1er octobre 2020 [© Anthony Gasparetto] L’école des Ponts ParisTech et Sanef annoncent la création d’une chaire industrielle sur 4 ans, baptisée Sanef-Abertis. Cette dernière a pour thème l’auscultation non destructive des armatures de précontrainte extérieures des ouvrages d’art. Son objectif ? Travailler sur l’étanchéité des gaines de précontrainte. Et donc sur le bon fonctionnement des câbles que celles-ci renferment. Cette idée de chaire est apparue après la rupture d’un câble sur le pont de l’Ile de Ré en septembre 2018. Surveiller et rénover les précontraintes extérieures sont désormais une obligation. Par ailleurs, la chaire industrielle Sanef-Abertis désire acquérir une expertise dans le domaine de la rénovation. Celui-ci permettrait de sécuriser, de surveiller et d’organiser des travaux de maintenance sur les ouvrages d’art.  De plus, Jonas Aparicio, ingénieur à l’école des Ponts, souhaite développer une méthode qui permettrait de simuler les conditions climatiques sur terrain. Et donc, à terme d’analyser les points de corrosion, d’évaluer les défauts et leurs évolutions. La chaire industrielle Sanef-Abertis sera dirigée par Gilles Foret, directeur de recherche et professeur à l’école des Ponts Paris-Tech. Du côté de Sanef, Julien Castres Saint-Martin, directeur du patrimoine, et Yannick Jeanjean, responsable génie civil du groupe, seront chargés de l’encadrement.
Il y a 4 ans et 211 jours

Nomination d'Olivier de Longeaux au poste de DG de K•LINE

En 2019, le chiffre d'affaires de K•LINE a atteint 359 M€ - celui du Groupe LIEBOT 600 M€ - et son périmètre d'action a considérablement évolué : multi-marchés, 6 sites de production, 1 600 salariés, une présence européenne… Une situation qui nécessite la présence d'un Directeur Général dédié pour le 1er fabricant de fenêtres en France, tous matériaux confondus.Directeur Général de K•LINE depuis 2003 (à cette époque K•LINE facturait 55 M€), Bruno Léger est devenu Directeur Général du Groupe LIEBOT en 2008. Il va maintenant dédier tout son temps, avec l'équipe des Directeurs Généraux sous sa responsabilité, au développement du Groupe LIEBOT et de ses filiales, françaises et internationales.Olivier de Longeaux, 47 ans, père de 4 enfants, arrivera chez K•LINE le 1er octobre et entrera en fonction en janvier 2021. Ingénieur Agronome de formation, MBA (USA), il a fait toute sa carrière au sein du Groupe SAINT GOBAIN : d'abord pendant 17 ans dans les Abrasifs (principalement basé aux USA), puis dans la Céramique. Depuis 18 mois, il avait rejoint le Groupe LAPEYRE en tant que Directeur Général de LAPEYRE INDUSTRIES.Olivier de Longeaux aura pour mission d'accompagner la croissance de K•LINE tout en conservant l'approche familiale, humaine et innovante qui la caractérise.
Il y a 4 ans et 212 jours

CCB France se renforce dans les Hauts-de-France

CCB France vient de racheter la centrale à béton CuBe de Noyelles-lès-Séclin (59). Cela monte à 6 son nombre d’unités de production de BPE dans les Hauts-de-France. [©CCB] Depuis 2016, la Compagnie des Ciments Belges (CCB) fait partie de Cementir Holding Group, société familiale spécialisée dans la production de ciment blanc. CCB France, sa filiale, renforce sa présence sur le marché du BPE dans les Hauts-de-France. Ceci, en rachetant à la société CuBe sa centrale à béton de Noyelles-lès-Séclin (59). Cette dernière représente une très belle acquisitionpour CCB France, puisqu’elle vient compléter le réseau de ses 5 centrales déjà présentes dans les Hauts-de-France. Cet achat permettra de servir encore mieux les clients actuels de CCBet de CuBe. « Filiale du groupe Cementir, CCB a la volonté de poursuivre sa politique de croissance en général. Et en particulier, ses investissements sur le marché français pour asseoir de manière durable ses activités ciments et granulats »,souligne Philippe Frenay, directeur général granulats et béton chez CCB.
Il y a 4 ans et 212 jours

Resolving, Partenaire Exécutif du salon BIM World, présente son édition spéciale totalement virtuelle

Ce choix d'un événement digital à l'occasion du BIM WORLD, dont RESOLVING est un sponsor historique (Partenaire Exécutif), permet de partager et échanger en toute quiétude en évitant les aléas organisationnels, et les risques entourant les réunions publiques depuis la pandémie.« La situation sanitaire oblige toutes les entreprises à revoir leurs modes opératoires et la circulation de leurs collaborateurs et clients. Pour le BIM World, nous avons choisi de faire un saut complet dans le digital en portant sur le Web un programme d'animations qui reproduit ce que nous aurions pu présenter sur notre stand. Nos consultants, clients et partenaires invités, ne seront pas présents physiquement sur le salon à la Porte de Versailles, mais connectés à leurs écrans pour animer des prises de paroles et répondre aux questions individuelles de nos visiteurs pendant 2 jours », explique Hakim Fagoul, Directeur France de RESOLVING.RESOLVING a porté sur le Web dans un environnement graphique dédié un programme permanent de conférences, d'ateliers FAQ et de démonstrations, et introduit toutes les possibilités d'interactions et de rendez-vous avec les speakers et les équipes RESOLVING.Cet événement virtuel se déroule avec l'appui et en présence des clients et partenaires de RESOLVING : BatiRIM®, ENGIE Solutions, Nexity, Paris-Ouest Construction, Rabot Dutilleul Construction et Spie batignolles.Au programme pendant les 2 jours, retrouvez nos experts autour de 5 thématiques :Innovations RESOLVINGDigitalisation des processus internes d'entrepriseDigitalisation des projets d'une entreprise généraleDigitalisation des projets d'une maîtrise d'ouvrageDigitalisation du diagnostic Ressource et de la déconstruction sélectivePour suivre le live les 7 et 8 octobre de 9H à 18H :https://www.resolving-bim-world-digital.com/
Il y a 4 ans et 212 jours

Une ancienne halle industrielle de Lyon, lieu transitoire pour 19 structures

Depuis juin 2020, une ancienne halle industrielle baptisée Halle Girondins accueille 19 structures du champ culturel, artistique et social sur le territoire de Gerland à Lyon 7e. La Halle Girondins fait partie du patrimoine industriel du quartier, il s’agit d’une ancienne fumisterie d’environ 1000 m². Elle est mise à disposition par le Groupe SERL, aménageur de la ZAC des Girondins pour le compte de la Métropole de Lyon, et exploitée par Plateau Urbain. Cette ancienne halle industrielle représente l’opportunité de mettre à disposition des locaux d’activités à des artistes et artisans en forte demande, et de préfigurer ainsi les usages du futur pôle socioculturel. « L’urbanisme transitoire correspond à une attente sociétale, et l’occupation temporaire sécurise les lieux avant leur mutation. Ce type de dispositif permet de tester des usages et à des jeunes entreprises de challenger leurs activités » explique Vincent Malfère, directeur général du Groupe SERL. 19 structures ont intégré la Halle Girondins pour une durée de 19 mois. Elles sont issues de différents secteurs et proposent des projets de nature associatives et entrepreneuriales ou relevant de l’économie sociale et solidaire en lien avec l’artisanat (5&Sence, Les Zincs, Sylvain de Rozevire, Morgane Aubert, Maison Maillet), l’art (Jean Julien Ney, Morgane Roumegoux, Vincent Guiomar, TANK& POPEK), la médiation culturelle (Archipel Médiateur Culturel), l’éducation et la culture (Enactus, Imagineo, Documents d’Artistes, Epicerie séquentielle, la Maison de l’Apprendre, Le Collectionner Moderne, Simon Roussin), la santé et l’environnement (Auticiel, Siel Bleu, Co Recyclage, Ma Ville Verte, Le Gardien des Plantes).
Il y a 4 ans et 214 jours

Covid-19 : le gouvernement prône le télétravail, les syndicats réclament un cadre clair

"De nombreux postes de travail permettent un travail à distance et des rotations peuvent s'organiser afin de limiter l'impact sur le collectif de travail", a expliqué la ministre du Travail, Elisabeth Borne, lors d'une rencontre avec les syndicats et le patronat, appelant à recourir "autant que possible" au télétravail dans ces zones, dont Paris et la petite couronne.La veille au soir, Matignon avait souhaité que le télétravail soit "plus que jamais" privilégié au vu de la multiplication des cas de contamination.Aurélien Rousseau, directeur général de l'Agence régionale de santé d'Ile-de-France, a annoncé lundi que 203 foyers de contamination étaient actifs en région parisienne: "Un peu moins de 40% dans le milieu scolaire et universitaire, 26% dans le milieu professionnel et 10% dans des rassemblements privés".Le protocole sanitaire ne change pas. Interrogés par l'AFP, syndicats et patronat jugent inutile de le faire.Mis à jour le 17 septembre, ce texte indique que "le télétravail demeure un mode d'organisation recommandé", notamment pour "limiter l'affluence dans les transports en commun"."Compte tenue de la situation actuelle avec une circulation du virus qui continue, la mise en oeuvre du télétravail peut être considérée comme un aménagement du poste de travail rendu nécessaire pour permettre la continuité de l'activité de l'entreprise et garantir la protection des salariés", ajoute-t-il. Pour cette raison, sa mise en oeuvre "ne nécessite aucun formalisme particulier"."Généralisation du télétravail"Le texte dit toutefois qu'"aucune disposition" ne peut imposer à l'employeur de donner suite à une demande de télétravail, mais "si le poste est éligible au télétravail, l'employeur doit motiver son refus".Si cette forme de travail a été massivement développée pendant le confinement, avec seulement un quart des salariés travaillant sur site en mars, la tendance a sensiblement changé avec le déconfinement: depuis juillet un salarié sur dix poursuivait son activité à distance.Depuis septembre, "les entreprises ont eu tendance à faire revenir les salariés sur site", dit Eric Chevée, chargé du dossier télétravail à la CPME. Cette tendance a été "freinée à partir d'octobre à cause de la progression de la maladie", tempère-t-il.Depuis septembre, "ces recommandations de télétravail sont suivies de loin", témoigne Jérôme Vivenza, secrétaire confédéral à la CGT, assurant que les entreprises invitent les salariés à revenir travailler "en présentiel".Les déclarations gouvernementales depuis dimanche vont faire "redémarrer un cycle d'encouragement au télétravail", estime Cyril Chabanier, président de la CFTC.Alors qu'une négociation en vue d'un accord national interprofessionnel (Ani) doit démarrer le 3 novembre, les syndicats regrettent que le patronat ait traîné des pieds depuis le printemps pour consentir à ouvrir ces discussions."Il risque d'y avoir des réticences à reprendre le télétravail car beaucoup de questions posées pendant le confinement sont restées en suspens. La négociation aurait pu y répondre", dit M. Vivenza.Parmi les sujets sur la table de la négociation, les syndicats souhaitent aborder la charge de travail, la prise en charge de coûts directement liés au télétravail et la déconnexion, la protection des données, la problématique de la garde des enfants lorsque les classes sont fermées, les personnes vulnérables, l'égalité femmes-hommes, etc.Pas sûr que la négociation aboutisse à un consensus, car le Medef a prévenu qu'il souhaitait que le texte ne soit "ni normatif", "ni prescriptif", au grand dam des syndicats."Nous ne sommes pas sur l'idée de modifier le corpus réglementaire", confirme M. Chevée, soulignant que depuis janvier, près de 600 accords sur le télétravail ont été signés, prévoyant notamment deux à trois jours de télétravail par semaine."Ça fait des mois qu'on réclame un Ani. Il faut que le gouvernement mette la pression sur le patronat pour un accord normatif rapide, alors qu'on se dirige peut-être à nouveau vers une généralisation du télétravail", répond M. Chabanier.
Il y a 4 ans et 217 jours

L'emploi dans les énergies renouvelables continue de croître dans le monde à 11,5 millions de travailleurs

Les énergies renouvelables continuent d'apporter des avantages socio-économiques en créant de nombreux emplois dans le monde entier, selon les derniers chiffres publiés aujourd'hui par l'Agence internationale pour les énergies renouvelables (IRENA). La septième édition de la revue annuelle sur les énergies renouvelables et l'emploi a recensé dans le monde 11,5 millions d'emplois dans ce secteur. C'est l'énergie solaire photovoltaïque qui arrive en tête avec 3,8 millions d'emplois, soit le tiers de l'effectif total.« L'adoption des énergies renouvelables crée des emplois et augmente les revenus locaux sur les marchés énergétiques développés et en développement », constate le directeur général de l'IRENA, Francesco La Camera. « Si aujourd'hui, une poignée de pays sont en tête, chaque pays peut exploiter son potentiel d'énergie renouvelable, prendre des mesures pour tirer parti des capacités locales de développement industriel et former ses travailleurs. »L'année dernière, soixante-trois pourcent des emplois en lien avec les énergies renouvelables ont été recensés en Asie, ce qui confirme le statut de leader de cette région sur ce marché. Le secteur des biocarburants suit de près celui de l'énergie photovoltaïque solaire avec 2,5 millions d'emplois. La chaîne d'approvisionnement agricole emploie une grande partie des effectifs, en particulier dans les pays comme le Brésil, la Colombie, la Malaisie, les Philippines ou la Thaïlande dont les activités sont très gourmandes en main-d'œuvre. Les autres grands employeurs dans le secteur des énergies renouvelables sont l'industrie hydroélectrique et l'industrie éolienne, qui représentent respectivement 2 millions et 1,2 millions d'emplois.L'emploi s'avère plus inclusif dans le secteur des énergies renouvelable que dans celui des combustibles fossiles et affiche un meilleur équilibre hommes-femmes. Le rapport souligne que les femmes représentent 32% des effectifs dans le secteur des énergies renouvelables, contre 21% pour les combustibles fossiles.Bien qu'on manque d'estimations précises et que les chiffres absolus soient encore faibles, les énergies renouvelables hors réseau créent de plus en plus d'emplois, avec en tête les technologies solaires. L'énergie renouvelable décentralisée peut également trouver des applications productives dans les zones rurales. Cet effet multiplicateur sur l'emploi est visible dans l'agroalimentaire, la santé, la communication et le commerce local.Les politiques globales, notamment des mesures d'éducation et de formation, les interventions sur le marché du travail et des politiques industrielles en faveur de l'exploitation des capacités locales sont essentielles pour soutenir la croissance de l'emploi dans le secteur des énergies renouvelables..L'édition 2020 de la revue annuelle met en lumière des initiatives prometteuses pour soutenir l'éducation et la formation des travailleurs. Ces efforts portent sur la formation professionnelle, l'élaboration de programmes d'études, la formation des enseignants, l'utilisation des technologies de l'information et de la communication, la promotion de partenariats public-privé innovants et le recrutement de groupes sous-représentés tels que les femmes.Les décideurs politiques doivent également donner la priorité à la reconversion des travailleurs du secteur des combustibles fossiles qui ont perdu ou risquent de perdre leurs moyens de subsistance. Ces travailleurs ont souvent acquis des compétences et un savoir-faire considérables et pourraient contribuer à la réorientation vers une industrie de l'énergie propre.La croissance de l'emploi dans les énergies renouvelables au niveau mondial est encourageante. Toutefois, ce secteur pourrait créer bien plus d'emplois si l'on adoptait une politique globale qui favorise la transition énergétique. Jamais l'importance d'une telle impulsion n'a été aussi évidente qu'en ce moment crucial. Tandis que le monde reste confronté à la pandémie de COVID-19, l'humanité reçoit des avertissements quasi quotidiens de ce qui l'attend si aucune mesure n'est prise pour enrayer le flot de perturbations climatiques.La nécessité de changer de cap est indéniable, tout comme les avantages à en tirer. Dans son programme de redressement post-COVID publié récemment, l'IRENA indique qu'un programme de relance ambitieux pourrait créer jusqu'à 5,5 millions d'emplois de plus que l'approche du statu quo au cours des trois prochaines années. Une telle initiative permettrait également au monde de garder en vue l'objectif fixé par l'agence dans ses perspectives mondiales pour les énergies renouvelables : créer 42 millions d'emplois dans le domaine des énergies renouvelables d'ici 2050.Lisez la version intégrale de la revue annuelle sur les énergies renouvelables et l'emploi, édition 2020
Il y a 4 ans et 217 jours

BASF Construction Chemicals s’appelle désormais MBCC Group

MBCC Group est le nouveau nom de l’ex-division BASF Construction Chemicals. Elle chapeaute de nombreuses marques présentes dans le secteur de la construction. [©MBCC Group] MBCC Group : tel est le nom de la nouvelle maison-mère de l’ex-division “chimie de la construction” de BASF. En effet, c’est fin décembre 2019 que l’ensemble de cette division avait été cédée au fonds capital-investissement Lone Star Funds. Ceci, pour un montant de 3,17 Md€. La transaction entre les deux géants a été finalisée le 30 septembre 2020, à minuit ! MBCC Group possède plusieurs marques phares. La première n’est autre que Master Builders Solutions, spécialiste des adjuvants pour bétons, des produits pour travaux souterrains et des solutions de sols industriels. Vient ensuite PCI, qui regroupe les mortiers industriels, les colles et les systèmes pour carrelages. Les autres s’appellent Colorbiotics (colorants pour paillis), Thermotek (produits de protection pour toitures). Ou encore Wolman (produits de protection du bois) et Watson Bowman Acme (joints de dilatation). Dans les faits, MBCC Group se compose d’environ 70 entités juridiques à l’échelle internationale et compte plus de 7 500 collaborateurs. Jochen Frabritius, président de MBCC Group Ex-président de Xella, Jochen Frabritius vient d’être nommé à la tête de MBCC Group. [©Xella] Lone Star Funds a placé Jochen Fabritius à la tête du nouveau groupe. Ingénieur génie civil de formation, il a effectué l’essentiel dans sa carrière dans le secteur de la construction. Ces dernières années, il a été le président de Xella, le spécialiste du béton cellulaire. Groupe appartenant aussi à Lone Star Funds, qu’il avait rejoint en 2014 en qualité de directeur général.  Aujourd’hui, MBCC Group fait partie des principaux fournisseurs mondiaux de produits chimiques et solutions techniques destinés au secteur de la construction. Il est présent dans plus de 60 pays. Mais son siège social est basé à Mannheim, en Allemagne. Quant aux sièges régionaux, ils se situent à Beachwood, dans l’Ohio, aux Etats-Unis, pour la zone Amériques. La zone Moyen-Orient – Russie – Afrique est dépendante du siège de Dubaï aux Emirats Arabes Unis. Enfin, les bureaux de Singapour supervisent la zone Asie – Pacifique.  Côté hexagonal, la filiale du groupe a été baptisée Master Builders Solutions France. S’agissant du SAS, Guillaume Francqueville en est le tout nouveau président. L’entité voit son siège social implanté à Evry (91). Elle chapeaute les marques Master Builders Solutions et PCI.  Une stratégie basée sur l’innovation autour des bétons Le centre de R&D de Trostberg, en Allemagne, concentre la recherche fondamentale et le développement des nouvelles technologies autour des bétons de MBCC Group. [©MBCC Group] L’innovation reste au cœur de la stratégie de MBCC Group. Dans un premier temps, elle s’appuie sur le centre de R&D de Trostberg, en Allemagne. Là se concentre la recherche fondamentale et le développement des nouvelles technologies autour des bétons. Ce centre gère aussi la totalité du porte-feuille de brevets, tout comme les projets technologiques mondiaux. Toutefois, MBCC Group dispose aussi de centres de R&D régionaux en Amérique du Nord, en Asie – Pacifique, en Europe et dans la zone Moyen-Orient – Russie – Afrique. « Proposer des solutions durables est un aspect fondamental du porte-feuille du groupe, affirme Sven Asmus, directeur de la technologie de MBCC Group. Aujourd’hui, plus de 35 % de l’ensemble des produits que nous proposons sont à la pointe du développement durable. Pérenniser notre croissance tout en contribuant à la lutte contre le réchauffement climatique est notre manière de répondre aux besoins de nos clients. » Entre BIM et services numériques Entité de MBCC Group, Master Builders Solutions est le spécialiste des adjuvants pour bétons, des produits pour travaux souterrains et des solutions de sols industriels. [©MBCC Group] Un autre aspect dans lequel s’inscrit en totalité MBCC Group est la numérisation du secteur de la construction. il propose ainsi plus de 700 objets “bimisés” (Building Information Modeling) au secteur de la construction. Une bibliothèque en croissance constance pour l’essentiel des marques du groupe. Les objets sont disponibles dans plusieurs bases de données BIM mondiales ou accessibles directement via une page dédiée. Enfin, via l’entité Master Builders Solutions, MBCC Group propose des outils de calcul et des services numériques. Parmi ceux-ci, la plate-forme spécialisée “On Line Planning Tool”. Elle permet aux professionnels de la construction de trouver de manière simple et rapide les bonnes solutions pour leurs projets. Frédéric Gluzicki
Il y a 4 ans et 219 jours

Paris La Défense a un nouveau directeur général

CARNET-NOMINATION. Pierre-Yves Guice a été désigné directeur général de l'établissement public gestionnaire du quartier d'affaires parisien. Il remplace Marie-Célie Guillaume, qui a quitté ses fonctions en juillet.
Il y a 4 ans et 219 jours

Nouveau Directeur Général chez Wienerberger France

Frédéric Didier, 43 ans, est le nouveau Directeur Général de Wienerberger France. Revendiquant une solide expertise du secteur des matériaux de construction et du bâtiment, il débute sa carrière dans les années 2000 comme responsable commercial régional chez Ciments d’Origny. Une société au sein de laquelle il évoluera dans diverses fonctions (Support technique, Export, Responsable commercial), avant d’être nommé, en 2009, Directeur National des ventes liants hydrauliques routiers et produits spéciaux d’Holcim France. En 2013, il intègre Eqiom France – groupe CRH pour occuper la fonction de Directeur Régional Granulats Est de la France. En 2016, il rejoint le groupe Wienerberger comme Directeur Général Adjoint de la filiale française. Il a, entre autre, développé l’activité Tuiles avec beaucoup de réussite, grâce à une approche dynamique et collaborative, basée sur une stratégie pragmatique à l’écoute du marché. Frédéric Didier a la volonté de développer la stratégie d’innovation et de performance du Groupe Wienerberger en France. Il précise : « Véritable précurseur, Wienerberger s’est doté aujourd’hui d’importants moyens permettant d’appréhender les attentes du marché autour des défis environnementaux ou de la transformation digitale par exemple. Je compte capitaliser sur cette richesse et notre expertise industrielle, pour renforcer davantage notre offre et le développement de nos compétences et services. » Photo : Vincent Muller
Il y a 4 ans et 220 jours

Economie circulaire : "Il manque un acteur national référent pour accélérer les choses"

ECOLOGIE INDUSTRIELLE. En lançant un "hub d'accélération national pour une économie circulaire dans la construction" baptisé Agyre, Stéphane Le Guirriec, directeur général de la structure et président de l'Institut MECD (Matériaux et équipements pour la construction durable), cherche à inscrire le BTP dans un cercle vertueux qui ne se limiterait pas à la seule valorisation des déchets. Entretien.
Il y a 4 ans et 220 jours

Nouveau directeur commercial et marketing chez Vracs de l’Estuaire

Comme nouveau directeur commercial et marketing chez Vracs de l’Estuaire, Thierry Dauger s’attachera à développer l’image professionnelle du cimentier, en tant que cimentier responsable. [©Vracs de l’Estuaire] Vracs de l’Estuaire a nommé Thierry Dauger au poste de directeur commercial et marketing. Première filiale européenne du groupe cimentier marocain Cimat-Cimaf, implantée au Havre (76). Par cette nomination, le cimentier souhaite impulser une nouvelle dynamique. Et « incarner une véritable alternative pour les acteurs du BTP en quête d’agilité et de compétitivité », peut-on lire dans le communiqué de presse. « L’arrivée de Thierry Dauger constitue une excellente opportunité pour Vracs de l’Estuaire. Ses 30 ans d’expertise dans notre secteur d’activité nous seront précieuses pour nous aider à nous développer de façon significative », déclare Youssef Alaoui, directeur général de Vracs de l’Estuaire. Son parcours Thierry Dauger aura pour mission d’asseoir la démarche commerciale par segment de marché. Et d’adapter une offre produits conforme à l’évolution normative. Puis, il s’attachera à développer l’image professionnelle de Vracs de l’Estuaire, en tant que cimentier responsable. Et surtout comme un challenger reconnu par la profession du BTP et des acteurs de la filière des matériaux de construction. A 53 ans, Thierry Dauger est titulaire de deux DUT en génie civil et techniques de commercialisation de l’université de Bordeaux. Il est diplômé de l’Ecole universitaire de management (IAE) de Bordeaux. Il débute sa carrière en 1990 au sein du groupe Ciments Français. Puis, Italcementi comme responsable de secteur. Enfin, comme directeur d’agence Sud-Ouest à partir de 2000. En 2007, il prend la direction des ventes et grands comptes pour la zone Atlantique.
Il y a 4 ans et 220 jours

Frédéric Didier, nommé directeur général chez Wienerberger France

Frédéric Didier est nommé directeur général chez Wienerberger France, filiale du groupe mondial de terre cuite.