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Il y a 4 ans et 103 jours

Un nouveau directeur général pour le spécialiste du portail sur mesure Préfalu

Olivier Briat, nouveau Directeur Général du spécialiste du portail sur mesure« Je suis heureux d’avoir rejoint la société Préfalu en mai dernier. C’est une entreprise à taille humaine, ce qui lui permet une forte agilité. Par exemple, Préfalu imagine, conçoit, fabrique et commercialise avec une seule entité. En même temps Prefalu bénéficie de la force de frappe du Groupe HPG, puissant acteur français de la menuiserie. » Olivier BriatDepuis 8 mois, Olivier Briat s’attache avec succès à déployer la dynamique de Préfalu et à faire grandir l’entreprise. Le chiffre d’affaires a ainsi augmenté de 30%.Au-delà de ses compétences professionnelles, Olivier Briat est apprécié pour ses qualités humaines et managériales : bienveillance et écoute active prévalent dans ses relations avec ses collaborateurs et ses clients. Son credo : « Avancer pas à pas… mais continuer d’avancer quand même ».Ses principaux objectifs pour 2021 sont de travailler l’offre de produits et de services pour concevoir un nouveau programme d’innovations, d’intégrer un bureau d’études à la structure et de renforcer la notoriété de Préfalu, afin de poursuivre son développement.Agé de 51 ans et père de 2 enfants, Olivier Briat débute sa carrière en 1993 chez Otis au sein de l’agence de Toulouse. En 2016, il intègre la société Hormann Centre-Est en tant que Directeur régional. Puis, en mai 2020, il est nommé Directeur Général de la société Préfalu.Depuis sa création en 1992, la marque Préfalu se positionne comme un acteur majeur du marché des portails, clôtures et portillons en aluminium. Dans son usine de Mornant en Rhône-Alpes, elle conçoit des produits 100% français dédiés principalement à l’équipement résidentiel. Ses maîtres-mots : longévité et personnalité ! Préfalu s’attache à développer des produits outdoor dotés d’une durée de vie élevée, tout en offrant à ses clients une approche de personnalisation quasi-illimitée.
Il y a 4 ans et 103 jours

Nouvelle Gamme Rigitone® Design pour des plafonds acoustiques et esthétiques en ERP

Faisant du confort sa première promesse, PLACO® dévoile sa nouvelle gamme d'ilots acoustiques RIGITONE® DESIGN, imaginée pour des plafonds acoustiques et esthétiques.Liberté créative, design, facilité et rapidité de mise en œuvre, les caractérisent. Tels des nuages flottant au-dessus des espaces, les produits RIGITONE® DESIGN jouent les effets de style avec leurs formes concaves ou convexes, une hauteur de suspension ajustable jusqu'à 2 m et des motifs perforés carrés ou aléatoires.Source de confort, les ilots à base de plaques de plâtre RIGITONE® intègrent la technologie ACTIV'AIR®, qui permet d'éliminer jusqu'à 80% du formaldéhyde présent dans l'air intérieur. Ils offrent ainsi une atmosphère saine et chaleureuse, et optimisent l'intelligibilité des échanges. L'autre prouesse en matière de confort réside dans leur conception en kit qui permet une installation rapide !Une fabrication responsable made in savoieLa gamme RIGITONE® DESIGN est fabriquée dans l'usine PLACO® située au cœur de la Savoie, à Chambéry. Un parti pris économique et écologique cher à la marque, à l'heure où la relocalisation des productions est au cœur des débats en France et dans le monde. Le système est assemblé et conditionné en kit par l'ESAT SATREC de La Ravoire (Établissement et Service d'Aide par le Travail). Cette démarche favorise la réinsertion et l'inclusion professionnelle de personnes en situation de handicap.Des îlots tout en légèretéL'inspiration créative constitue l'un des piliers de RIGITONE® DESIGN. Aériennes et élégantes, les plaques de plâtre (L. 1980 mm x l. 1000 mm) ondoient en toute légèreté et révèlent une ambiance harmonieuse, douce et raffinée.Création de designs mixtes, en vague ou dispersés, large choix de motifs décoratifs pour un style épuré (8-18 perforé rond - 8 mm de diamètre et 18 mm d'entraxe - ou 8-15-20 Super avec perforations rondes aléatoires)…, le système s'adapte aux ambiances nouvelles ou existantes, et permet de façonner des espaces singuliers, empreints de modernité et d'élégance. Telle une sculpture, le plafond aux formes concaves et convexes offre une grande flexibilité de design.Un système, un kit, une installation facilitéeLa facilité d'installation de RIGITONE® DESIGN se retrouve dans sa conception en kit qui se compose de :1 plaque de plâtre RIGITONE® Activ'Air® 8/18 ou 8-15-20 Super,1 panneau de laine de verre ISOVER CLEANTEC®,6 entretoises F 530,2 profilés cintrés F 530 (rayon de cintrage de 2 870 mm),16 cavaliers DF STIL® F 530,1 kit de suspension de 4 câbles de 2 m avec accessoires,des accessoires de pose.Le tout est accompagné d'un « Guide de mise en œuvre » richement illustré. Des schémas expliquent les étapes de pose, pas-à-pas. Le kit étant déjà pré-préparé, il suffit de fixer les profilés cintrés à l'aide des cavaliers et d'accrocher l'ilot en ajustant la hauteur des câbles de suspension. Un véritable gain de temps et de confort pour les installateurs, et de praticité pour le référencement dans les négoces !
Il y a 4 ans et 104 jours

Le crowdfunding immobilier a battu tous les records en 2020 selon son baromètre annuel

« L'année 2020 s'est déroulée dans un contexte inédit, mais le crowdfunding immobilier a poursuivi sa croissance malgré les difficultés que le secteur immobilier a pu rencontrer pendant la crise. Cette forte progression démontre le poids grandissant que prend le crowdfunding immobilier dans l'univers des placements. Dans ce contexte singulier, les promoteurs et marchands de biens se sont encore plus tournés vers ce levier de croissance pour financer rapidement leurs opérations, et les épargnants ont plus que jamais été au rendez-vous.C'est un produit qui a déjà fait ses preuves auprès des investisseurs avertis, et qui séduit désormais aussi les épargnants désireux de diversifier leur épargne, et ce dès 1000 euros. Avec un rendement moyen de 9,3%/an et une durée moyenne de placement de 21 mois, ce produit d'investissement, aux fondamentaux solides, fait son chemin dans le portefeuille de placements des Français comme en atteste le milliard d'euros collecté depuis 2016. La démocratisation du crowdfunding immobilier va d'évidence se poursuivre et l'ensemble des acteurs ont un rôle à jouer pour en faire la pédagogie et apporter les bons conseils aux investisseurs moins avertis qui manifestent un intérêt croissant. Il répond aussi à un besoin actuel lié à la crise : soutenir financièrement les TPE/PME françaises de l'immobilier pour les aider à mener à bien leurs projets. »Jérémie Benmoussa, Président du Directoire de FundimmoNiveau de collecte et de remboursements recordsAvec 505 millions d'euros collectés en 2020 contre 373 en 2019, le marché bat un nouveau record en pleine crise économique, témoignant de la force du modèle et de la résilience du marché immobilier.Le nombre de projets financés est en progression (+8%) : 589 opérations en 2020 contre 544 en 2019, une hausse modérée en raison des confinements qui ont limité le nombre de projets. La hausse globale de la collecte s'explique donc par des projets financés plus importants que l'an passé.Les montants remboursés sont également en forte croissance : 180 millions d'euros en 2020 contre 103 millions d'euros en 2019, soit une hausse de 75%, directement liée à la croissance annuelle de la collecte des années précédentes, et qui témoigne de la solidité du modèle du crowdfunding immobilier, les confinements n'ayant pas impacté de manière significative la vitesse des remboursements sur l'année 2020. Le nombre de projets remboursés est également en hausse, passant de 220 en 2019 à 310 en 2020 (+41%).Un produit qui séduit et qui se démocratiseLe montant moyen financé par projet en 2020 s'élève à 857 329 euros, contre 689 150 euros en 2019. En hausse de 24%, il traduit la capacité des plateformes à attirer de gros opérateurs et d'importants volumes d'investisseurs par projet. Cette progression est également naturellement liée au rehaussement par la loi Pacte du plafond de collecte à 8 millions d'euros (contre 2,5 millions avant octobre 2019), permettant ainsi de financer des opérations immobilières de plus grande envergure. En 2020, environ 15% de la collecte a concerné des projets compris entre 5 et 8 millions d'euros, preuve que la loi Pacte a eu un véritable impact sur l'envolée des montants collectés. La durée de placement quant à elle réduit légèrement : 21 mois contre 21,3 mois en 2019.En se basant sur les données publiées par 28 plateformes*, représentant 100% de la collecte totale du marché, on voit que les investisseurs sont en moyenne 177 par collecte, avec un placement moyen de 4711 euros (contre 1581 euros en 2019, soit près de 198% d'augmentation).Le taux de rendement moyen quant à lui est en légère hausse, à 9,3% par an (9,2% par an en 2019).*sur les 32 plateformes étudiées, 4 d'entre elles n'ont pas collecté d'argent et ont uniquement procédé à des remboursementsL'Ile-de-France caracole en tête et le marché reste orienté vers le résidentielDans la continuité de l'année 2019, l'Ile-de-France reste en tête avec une collecte de 225 millions d'euros (+43% par rapport à l'an dernier), devant Auvergne-Rhône-Alpes (63 millions d'euros, +2%) et la Région Sud (59 millions d'euros) qui monte en puissance (+49% par rapport à 2019) en raison de la croissance de la collecte pour des opérations de marchands de biens de luxe, notamment sur la Côte d'Azur. A elles seules, ces 3 régions concentrent près de 70% de la collecte totale du marché en 2020. A noter également les fortes progressions de la collecte en Normandie (+377%), Bretagne (+282%), dans les hauts-de-France (+245%) ou encore dans les Pays de la Loire (+139%).Parmi les 578 projets financés en 2020, 79,2% étaient des projets orientés sur le résidentiel, loin devant les commerces (6%), les bureaux (4,8%), les résidences séniors & étudiantes (4,7%), les hôtels (2,2%), les projets d'aménagement (1,8%), et la logistique (1,3%). La baisse de la part des commerces et bureaux (moins de 11% en 2020 contre 13% en 2019) s'explique par l'impact de la crise sur la construction de nouveaux bâtiments de ce type. On note aussi la montée en puissance d'une nouvelle typologie d'actifs : les résidences seniors et étudiantes, qui étaient quasi négligeables en 2019 et qui représentent près de 5% des projets en 2020, soit 23,6 millions d'euros de collecte.La part des opérations de marchands de biens (achat de biens qui sont ensuite valorisés puis revendus avec une plus-value) est elle aussi en hausse : elles représentent 38,8% de la collecte en 2020, contre 23% en 2019, soit une augmentation de près de 69%. Cette diversification explique en partie la montée en puissance du résidentiel.En 2020, le « projet moyen » financé par le crowdfunding immobilier était une opération résidentielle de 43 logements en Ile-de-France, représentant un chiffre d'affaires d'environ 11 millions d'euros.Un levier business crucial pour les professionnels de l'immobilierSolution de financement innovante pour les professionnels de l'immobilier, le crowdfunding immobilier leur permet de gagner du temps pour lever des fonds propres et de faire appel à des investisseurs sans les faire entrer au capital de la société de projet, en gardant leur indépendance. Cette souplesse de trésorerie a séduit 321 opérateurs depuis la création du marché.Le marché du financement participatif de l'immobilier reste à date concentré autour de 5 plateformes majeures (dont Fundimmo), qui représentent deux tiers du marché global en termes de collecte, et qui ont chacune levé en moyenne 66,7 millions d'euros en 2020. Suivent ensuite 5 plateformes de taille intermédiaire qui représentent 23,1% de parts de marché (chacune ayant levé 23,3 millions d'euros en moyenne), puis 10 plateformes qui représentent 9,5% de part de marché (avec 4,8 millions d'euros levés en moyenne), et 7 plateformes qui représentent 1% de part de marché (697 000 euros levés). Les plateformes restantes n'ont pas fait de collecte en 2020, uniquement des remboursements.Baisse légère des retards de remboursements, stabilité du taux de défaut moyenLe taux de retard moyen, qui prend en compte uniquement les dépassements de l'échéance contractuelle maximum depuis 2012, est en baisse de 1,91 points sur les retards de moins de 6 mois, et de 1,99 points sur les retards de plus de 6 mois par rapport à l'année 2019. Ils s'élèvent respectivement à 4,4% et 5,7%. Dans le détail, seulement quelques acteurs concentrent des retards conséquents. Cette baisse peut s'expliquer mécaniquement par les montants remboursés qui suivent leurs cours et la croissance de la collecte.Le taux de défaut moyen, calculé sur la base de projets ayant subi une perte en capital et/ou une perte des intérêts depuis 2012, est évalué à 0,16%, en baisse de 0,41 points : aucun nouveau cas de défaut n'a été avéré en 2020. Dans une démarche de transparence, l'agrégateur de projets HelloCrowdfunding actualise tous les mois les données sur le déroulement des différents projets, permettant ainsi d'identifier les projets en retard.Principaux indicateurs :505 millions d'euros collectés (+35% par rapport à 2019), pour financer 589 projets (+8%).180 millions d'euros remboursés (+75% par rapport à 2019), représentant 310 projets (+41%).Un montant moyen par collecte de 857 329 euros (+24% par rapport à 2019).Une durée moyenne de placement de 21 mois (contre 21,3 mois en 2019).Un rendement annuel moyen de 9,3%.La région Ile-de-France concentre la plus forte collecte, qui a atteint 225 millions d'euros en 2020. L'Auvergne-Rhône-Alpes (63,2 millions d'euros) et la Région Sud (58,7 millions d'euros) complètent le podium, comme en 2019, avec une montée en puissance de la Région Sud (+49%).Un taux de retard moyen inférieur à 6 mois de 4,4% (-1,91 points par rapport à 2019), et un taux de retard moyen supérieur à 6 mois de 5,7% (-1,99 points). Le taux de défaut de remboursement est de 0,16% (-0,41 point).
Il y a 4 ans et 104 jours

Usine verticale pour ciment vert

Hoffmann Green Cement Technologies, pionnier du ciment décarboné sans clinker, annonce avoir lancé la construction de son deuxième site de production, réalisé intégralement à partir de ciment Hoffmann Green, et confirme son développement industriel. Cet ouvrage exceptionnel implanté à côté du premier site de production « H1 », à Bournezeau en Vendée aura une capacité de production de 250 000 tonnes par an. La conception et le design de « H2 » ont été définis à partir des retours d’expérience de « H1 ». Ainsi, munie d’une tour de mélange de 70 mètres de haut, « H2 » est une usine verticale dont la fabrication de ciment suivra un processus gravitaire permettant d’optimiser la productivité de l’unité. La verticalité de ce site permet également d’avoir une emprise foncière réduite à 1,5 hectare : l’emprise foncière de « H2 » est ainsi divisée par deux comparée à celle de « H1 » pour une capacité de production multipliée par 5. « H2 » sera le modèle d’unité utilisé pour le développement en France et à l’international sous forme d’accords de licence. Le budget de ce deuxième site est estimé à 22 millions d’euros et sa mise en service est prévue au second semestre 2022, en ligne avec le plan industriel de la Société.
Il y a 4 ans et 107 jours

Hoffmann Green Cement Technologies va se doter d'une 2ème usine

DEVELOPPEMENT. Expert du ciment décarboné, Hoffmann Green Cement Technologies, va construire une deuxième usine de production, en Vendée.
Il y a 4 ans et 108 jours

HGCT lance la construction de sa deuxième usine

La deuxième usine vendéenne de HGCT sera verticale, pour une capacité de production de 250 000 t de ciments décarbonés. [©HGCT] C’est à Bournezeau, en Vendée (85), que Hoffmann Green Cement Technologies (HGCT) vient de lancer la construction de sa deuxième usine, baptisée “H2” (voir la vidéo). Cette unité prend place juste à côté du premier site de production : l’outil pilote “H1”. D’une capacité de production de 250 000 t/an, elle a été conçue et designée à partir des retours d’expérience de H1. Ainsi, HGCT a fait le choix d’une usine verticale, dont la fabrication de ciment suivra un processus gravitaire. Celui-ci s’articulera donc autour d’une tour de mélange de 70 m de haut. De quoi optimiser la productivité. De plus, la verticalité de ce site permet aussi d’avoir une emprise foncière réduite à 1,5 h, divisée par deux par rapport à celle de H1. Ceci, pour une capacité de production multipliée par cinq ! Autre particularité, la tour principale sera bâtie en utilisant des bétons formulés sur la base de ciments Hoffmann Green ! L’industriel applique ici l’adage : “On n’est jamais mieux servi que par soi-même…” [©HGCT] Dédiée à la production de ciments décarbonés sans clinker H2 sera le modèle d’unité utilisé pour le développement en France et à l’international, sous forme d’accords de licence. Le budget de ce deuxième site est estimé à 22 M€. Et sa mise en service est prévue au second semestre 2022. Comme H1, l’usine H2 sera totalement dédiée à la production de ciments décarbonés sans clinker. « Cette deuxième unité est un jalon clef de notre plan de développement pour augmenter nos capacités de production. H2 va ainsi nous permettre de répondre à la demande grandissante pour notre ciment bas carbone sans clinker. En effet, nous avons récemment signé de nombreux partenariats avec des acteurs majeurs de la construction. A l’image de Capremib, de Cemex, d’Eiffage Génie Civil, de GCC ou encore de KP1 », soulignent Julien Blanchard et David Hoffmann, co-fondateurs de HGCT. Une économie de 22 000 t de CO2 Et Olivier Lefelle, responsable des travaux neufs de l’entreprise, de conclure : « Cette deuxième usine constitue une étape structurante et importante. Le choix d’un modèle vertical pour la tour de mélange est un concept innovant dans le domaine de la construction. Mais s’inscrit dans la vision responsable de HGCT. De plus, en utilisant les ciments Hoffmann pour sa construction, ce chantier permettra d’économiser environ 20 000 t de C02 ».
Il y a 4 ans et 109 jours

Nicolas Lambert poursuit sa carrière chez Mercedes-Benz

Portrait de Nicolas Lambert, nouveau responsable marketing de Mercedes Benz Trucks France. [©Mercedes-Benz Trucks France] Le 1er janvier 2021, Nicolas Lambert succède à Cédric Lebreton comme responsable marketing communication de Mercedes-Benz Trucks France. Ses missions s’articuleront autour du marketing avant-vente, opérationnel et digital. Mais aussi du marketing produits, des homologations et de la formation commerciale. Une carrière au sein de Mercedes-Benz Diplômé de l’école de commerce Skema de Nice, Nicolas Lambert est considéré comme “l’homme de l’étoile”. Du fait de ses nombreux postes successifs au sein du groupe Mercedes-Benz. C’est en 2005 qu’il rentre dans la filiale française du constructeur automobile allemand. Les premières années, il évolue dans le secteur “Vans”. Dans un premier temps, comme chef de produit, avant d’être nommé à la tête du district Sud-Ouest. Par la suite, il devient responsable département produits et outils de vente. En 2016, il est nommé responsable département véhicules d’occasion toujours pour les Vans. En 2018, après 13 années de bons loyaux services au sein de l’entité française de Daimler Truck, il est promu chef de projet location longue durée Vans pour une autre filiale du groupe. Mercedes-Benz Financial Services l’accueille, mais pour seulement 2 belles années. Le 1er janvier 2021, il obtient un rôle stratégique pour Mercedes-Benz Trucks France. Mercedes-Benz Trucks France Afin de répondre aux mutations importantes du marché du véhicule industriel des prochaines années, la maison-mère Daimler AG a souhaité créer une spécialisation par activité. Ceci dans le cadre de son programme “Customer Dedication” lancé en 2014. Le 1er avril 2019, Mercedes-Benz Trucks France voit donc le jour. L’entité du groupe allemand regroupe les activités de vente et de réparation des camions Mercedes-Benz, Unimog et Fuso sur le territoire français. Toutefois, Mercedes-Benz France continue ses activités de distribution et de réparation pour les voitures et utilitaires de la marque.
Il y a 4 ans et 109 jours

La collection bardage de BMI Monier source d’inspiration pour la prescription

La tuile en façade, une solution créativeProlongation esthétique de la toiture, la tuile réussit l’exploit d’être à la fois un matériau très familier, ancré dans notre patrimoine historique, et très créatif dès qu’il intervient en façade. Le rythme de petits éléments permet en effet des jeux graphiques et des calepinages originaux. Avec sa collection bardage de tuiles made in France, BMI Monier accompagne cette tendance architecturale. Par la diversité de leur forme et de leur teinte, les tuiles BMI Monier permettent de créer des effets design sur les façades des constructions neuves, en résidentiel ou tertiaire, comme d’offrir une seconde vie aux façades à rénover.Le bardage selon BMI MonierLes tuiles BMI Monier constituent un habillage de façade économique et de qualité qui bénéficie de la forte expertise de la marque dans le domaine de la Terre Cuite et du Béton. La collection bardage s’accompagne de services dédiés aux architectes, avec un suivi technique de chaque projet.Le bardage selon BMI Monier c’est aussi :Le choix de la tranquillitéRésistantes, les tuiles BMI Monier sont reconnues pour leur durabilité et leur revêtement inaltérable. Elles résistent aux chocs et aux conditions climatiques les plus extrêmes. Posées en bardage, leur résistance aux chocs sera particulièrement appréciée dans les établissements scolaires, par exemple.La place à la créativitéLa collection bardage BMI Monier se compose de 6 modèles de tuiles, déclinées en différents coloris modernes, tels que le noir, le moka, l’anthracite mat... ou plus traditionnels avec les déclinaisons de teintes naturelles telles que terracotta, rouge vieilli, rouge sienne...Une solution éco-responsableSoucieux de répondre aux enjeux environnementaux, BMI Monier possède pour ses tuiles Terre Cuite et Béton, la fiche de données environnementales et sanitaires (FDES).Le made in FranceToutes les tuiles BMI Monier sont fabriquées au cœur des régions françaises. BMI Monier compte 7 usines dans l’hexagone : Saint-Nabord, Verberie, Aiguillon, Limoux, Signy-l’Abbaye, Roumazières-Loubert et Marseille.L’esthétique qui rejoint l’économiqueComparée aux autres matériaux employés dans le domaine des bardages lourds, la tuile BMI Monier est une solution très économique. À résistance et longévité égales, la tuile est le meilleur compromis technico-économique. Les premiers objets BIM Monier sont disponibles en accès libre sur le site Monier et BMIObject. Créés en collaboration avec le Centre Technique, les objets BIM dédiés aux toits en pente (Tuiles Béton et Tuiles Terre Cuite) contiennent l’ensemble des informations, caractéristiques géométriques et techniques nécessaires tout au long du cycle de vie du bâtiment.Les objets BIM Monier peuvent dès à présent être intégrés dans les maquettes numériques où les données qu’ils contiennent serviront en phase de conception et de construction, mais également pour la maintenance, la rénovation ou lors de la déconstruction ou démolition. Les tuiles et les accessoires sont disponibles gratuitement au format IFC et sous plusieurs logiciels CAO et BIM : Revit, ArchiCAD, 3DS max, AutoCAD, Sketchup...La collection bardage tuiles Monier en détailCette collection bardage se compose d’une belle sélection de Tuiles Béton, de Tuiles Terre cuite, d’accessoires et de fixations :Innotech, une Tuile Béton grand moule aspect plat, au design contemporain affirmé : coloris Amboise, Graphite, Lauze, Sarment, Terracotta.Perspective, une Tuile Béton grand moule faible relief, dont la forme crée un rythme nouveau en façade : coloris Ardoise, Brun, Noir, Rouge Sienne.Vieille France, la Tuile Béton plate, une ode à la tradition, revisitée dans un matériau moderne : coloris Rouge vieilli et Vieux chêne.Signy, une Tuile Terre Cuite grand moule aspect plat, dont les lignes généreuses signeront les façades les plus contemporaines. Un grand format économique (taux de couverture très important). Coloris Anthracite Mat, Moka, Rouge naturel, Rouge vieilli (Classement Q3).Belmont, une Tuile Terre Cuite grand moule faible galbe à l’esthétique renouvelée :coloris Anthracite Mat, Moka, Rouge naturel, Rouge vieilli (Classement aux chocs Q3).Postel 20, une Tuile Terre Cuite petit moule faible relief au caractère nordique : coloris Anthracite, Gris ardoisé, Rouge naturel, Rouge vieilli.Paysage NormatifPour le lancement de cette offre bardage, BMI Monier a conçu une brochure dédiée à la prescription, dressant notamment le paysage réglementaire et normatif et donnant les recommandations de mise en œuvre selon la structure des bâtiments.
Il y a 4 ans et 109 jours

L'agence Dragon Rouge éclaire la « Lighthouse » de Nanterre

C'est un immeuble de bureaux classique que l'agence DRAGON ROUGE vient de totalement transformer. Le chantier initié pendant l'été 2019 vient de s'achever. Exit le Magellan, siège depuis 2001 de l'équipementier automobile FAURECIA. Place à la «LIGHTHOUSE » -littéralement le Phare- que l'on ne devrait pas rater en effet. Et pour cause, puisque l'un de ses signes distinctifs est une gigantesque lampe surmontée d'un abat-jour éclairée la nuit qui traverse l'immeuble de 23 mètres de bas en haut. Les propriétaires ont confié à l'agence DRAGON ROUGE la tâche de reconfigurer et de repositionner cet immeuble de bureaux de six étages et 10600 mètres carrés de surface. L'objectif était de revitaliser l'immeuble, en bordure de Paris et de La Défense, d'y créer des services, de l'intérêt et de susciter l'envie de venir travailler à Nanterre. Il s'agissait de donner à l'immeuble une nouvelle personnalité forte et différenciante. Aux côtés du studio K de Karl Petit qui a signé l'architecture et l'agencement des espaces bureaux proprement dits, l'agence de design DRAGON ROUGE signe une grande partie des espaces de la LIGHTHOUSE, soit 2600 mètres carrés au total, du rez-de-chaussée au 6e étage, en passant par le toit terrasse et les extérieurs. La traduction d'une nouvelle façon de travaillerPour susciter l'envie de venir travailler dans cet immeuble, DRAGON ROUGE a travaillé selon deux axes créatifs : d'abord, la création d'un nom et d'une identité forte, innovante et provoquant un effet « waouh ». D'où l'idée d'un objet symbolique et iconique. C'est cette lampe colossale, véritable colonne vertébrale de l'immeuble qui traverse la tour de bas en haut, du pied au rez-de-chaussée au gigantesque abat-jour sur le toit terrasse du 5e étage. Si l'immeuble est investi par une seule société, elle fédérera les équipes. Dans le cas contraire, elle créera en tout état de cause des liens entre les différents plateaux. Par ailleurs, l'agence s'est fondée sur les nouvelles attentes des salariés en matière d'espaces de travail : disposer de lieux confortables, hybrides, polyvalents qui peuvent s'adapter au gré des besoins dans la journée. Des lieux de travail chaleureux, conviviaux, un peu comme un intérieur de maison. Espaces polyvalents, lieux hybrides et matériaux modernesDu bas en haut de l'immeuble, les espaces dessinés par DRAGON ROUGE sont la traduction créative de l'équation nécessaire aux nouveaux immeubles de bureaux : des plateaux confortables, modulables avec cloisons ou en open space, polyvalents. Quant aux matériaux, ils sont modernes et pratiques à l'usage, adaptés aux lieux de fort passage que sont des bureaux. Les sols sont souples et silencieux, faciles d'entretien, de même que le néo skaï des fauteuils. Le rez-de-chaussée. Le hall d'entrée majestueux est occupé en grande partie par le pied de la lampe géante, transformé en assise circulaire pour les visiteurs. Le rez-de-chaussée accueille aussi une conciergerie et des vestiaires. C'est à ce niveau que se trouve aussi le business center : quatre salles de réunion modulables pour accueillir de 8 à 24 personnes, un « work café » et un espace lounge, sans oublier un espace de coworking dans la mezzanine du hall. Au rez-de-chaussée toujours, se trouve le restaurant inter-entreprise. Ici, DRAGON ROUGE soucieuse de proposer de la diversité aux salariés, a imaginé plusieurs ambiances de restauration : Des espaces déjeuner comme à la cuisine avec des vitrages façon atelier, des assises hautes ou normales, des lampes à ampoules filaments apparents.Des espaces déjeuner au salon avec de grandes cloisons arrondies, des banquettes circulaires, des paravents claustras, et des luminaires rappelant les moulures haussmanniennes.Une ambiance salle à manger avec de grandes tables en bois façon tables d'hôtes, des chaises dépareillées de couleurs différentes. Des petits boxes pour des déjeuners plus intimistes pour manger seul ou à deux. Des matériaux différents spécifient chacun des espaces, l'effet général évoquant les pièces à vivre d'une maison.Le forum. C'est l'autre pièce maîtresse du rez-de-chaussée. Cet espace modulable, doté d'estrades escamotables, de placards intégrés dans les cloisons, de projecteurs, avec au centre un grand tapis mosaïque de couleurs rouges orangées et des poufs assortis, est polyvalent et se module en fonction des activités : salle de repos, de ping-pong, salle de sports, show room d'exposition en lumière naturelle ou auditorium de 100 places opaque…. Le toit terrasse et les espaces extérieurs : DRAGON ROUGE a investi les espaces extérieurs en cherchant un équilibre entre les parkings et les espaces végétalisés. Au 5e étage, le toit-terrasse d'où émerge l'abat-jour de la lampe géante a demandé un soin particulier pour que cet abat-jour colossal et ajouré soit source de lumière.Dragon Rouge a assuré les missions de conception et de suivi d'exécution de l'ensemble du programme en tant que mandataire du groupement de maîtrise d'œuvre.Avec la LIGHTHOUSE, c'est un nouvel éclairage sur les façons de travailler et sur l'immobilier de bureaux de demain que traduit DRAGON ROUGE. Parmi ses activités, Dragon Rouge crée des espaces commerciaux et tertiaires, portant une attention particulière sur les bureaux.L'accélération du travail à distance et la digitalisation des outils de travail font évoluer ce modèle des bureaux. D'un lieu de production, les bureaux deviennent des lieux de statut, d'innovation, et de célébration de la culture de l'entreprise. Ils contribuent à valoriser l'actif immatériel qu'est la marque de l'entreprise, et sont plus que jamais l'expression de sa culture et de sa raison d'être.
Il y a 4 ans et 110 jours

Le recrutement plus que jamais un enjeu majeur pour le bâtiment

Actuellement, seuls 7%* des entrepreneurs pensent à se développer via un investissement ou une embauche. Ce chiffre passe à 17%* dans le secteur de la construction et du BTP.De nouveaux besoins au sein des entreprises ?L’objectif 2021 : maintenir son activité ! 93%* des entrepreneurs clients de RIVALIS estiment que la pérennité de leur entreprise n’est pas engagée suite à cette crise économique. C’est plutôt pour eux l’occasion d’innover, de rebondir, de se renouveler. Obliger de s’adapter pour survivre ! Il faut revoir son business modèle, sa communication, ses canaux de ventes, recruter… Et ça, le secteur du bâtiment l’a bien compris. Malgré une perte d‘activité de 15% selon la FFB, ces entreprises n’ont pas dit leur dernier mot. Concentrés sur des projets sur du long terme, elles sont formelles, les recrutements continueront en 2021 ! Le recrutement reste une difficulté majeure pour les dirigeants d’entreprises. La peur de l’échec et des conséquences cristallise leurs recherches. « Par exemple, réaliser une fiche de poste semble être une évidence et pourtant rares sont les dirigeants à coucher sur papier les missions et leurs attentes » explique Roland CORDON, conseiller RIVALIS, 1er réseau national d’accompagnement des dirigeants d’entreprise, qui intervient auprès du dirigeant pour lui apporter le cadre et la méthodologie nécessaires.Des entreprises qui peinent à embaucher...Les difficultés de recrutement représentent un frein de croissance considérable. Souvent, le manque de compétences RH et une exigence trop forte de dirigeants mènent a des processus de recrutement chronophages et hasardeux. Afin de pallier ce problème RIVALIS établit un processus de recrutement sur-mesure. Règle d'or : ne jamais faire un entretien seul ! Toujours avoir un deuxième point de vue. autre élément à travailler : l'attractivité du poste (bonne épargne salariale, possibilité d'évolution...). Il faut savoir se mettre à la place du candidat, pourquoi cette entreprise plutôt qu'une autre ?"Parfois je mets en place un jeu de rôle avec le dirigeant afin de simuler une embauche pour être certain qu'il ait assimilé chaque étape du processus de recrutement : identification et analyse du besoin, fiche de poste, entretiens, embauche, intégration et fidélisation" explique Roland CORDON.... et des candidats qui ont besoin d'être rassurés ! Il faut mettre en avant certes les avantages liés au poste mais aussi la santé de l'entreprise, les perspectives d'évolution... L'intégration est un élément clé du processus de recrutement ! Le nouveau collaborateur doit être accompagné durant la phase de recrutement oui, mais aussi tout au long de sa période d'essai et après encore."Le premier jour, il ne faut pas lui parler que de travail. Le bien-être au travail passe aussi par la convivialité, l'appréhension des aspects pratiques - comme les habitudes pour la pause-café, le déroulement de la pause déjeuner, tous les éléments essentiels qui sont très souvent négligés" affirme Roland CORDON.Après l'intégration vient la fidélisation. La base d'un on recrutement est aussi d'éviter le phénomène du turnover ! Être à l'écoute et veiller a l'épanouissement de chaque collaborateur est primordial. Le conseiller RIVALIS ne se veut pas expert en recrutement. Il veille simplement à ce que chaque dirigeant soit sensibilisé aux bonnes pratiques et eux enjeux liés au recrutement !
Il y a 4 ans et 110 jours

Trois nominations chez Sateco

De gauche à droite : Frédéric Quillévéré, directeur technique, Patrick Micheneau, nouveau directeur du développement international, et Guillaume Duvillers, chargé d’affaires pour le Sud Ouest chez Sateco. [©Sateco] Afin d’accompagner au mieux les nouvelles ambitions commerciales et techniques de Sateco, la direction s’entoure de nouvelles compétences. Ainsi, Patrick Micheneau, déjà directeur général adjoint, prend en charge le développement international. Quant à Frédéric Quillévéré, il intègre Sateco en tant que directeur industriel. Enfin, Guillaume Duvillers est le nouveau chargé d’affaires pour la région Paca. Patrick Micheneau, mission à l’international aussi A 47 ans, Patrick Micheneau est l’actuel directeur général adjoint de Sateco. Il vient d’être nommé au développement international. Il est désormais missionné pour assurer le management des grands projets export. De plus, il assurera aussi le déploiement de la filiale HK Services, en Suisse. Et sera l’interlocuteur privilégié des majors du BTP à l’International. « Après avoir suivi des études d’ingénieur en génie des systèmes industriels, il débute sa carrière en 1999 chez Avo Industrie (groupe Carbone Lorraine) comme chef de projet. Puis, devient responsable des achats. En 2002, il intègre le groupe Heuliez comme responsable méthodes montage. Ensuite, il dirige le pôle “Unité de production montage”, puis celui “d’Ingénierie”. Poste qu’il occupe jusqu’à son départ en 2007. Et Patrick Micheneau, de conclure : « Au sein des services techniques de Sateco, j’ai occupé le poste de directeur technique depuis 2009, puis le poste de directeur général adjoint à fin 2018. Développement des nouveaux produits et mise en place de nouveaux outils de production, ce sont mes compétences tant au sein de Sateco que durant mon passé professionnel. A 47 ans, fort de mes expériences précédentes, créer et déployer un pôle international est un vrai challenge. Challenge motivant et plein de sens pour la promotion du savoir-faire Sateco au-delà de nos frontières ». Un nouveau directeur technique Nouvel entrant chez Sateco, Frédéric Quillévéré (53 ans) devient le nouveau directeur industriel. Il a pour mission d’optimiser le bureau d’études, le développement des produits, les devis techniques et la recherche & développement. Ceci, avec la supervision de la direction de production pour les deux usines du groupe (Mirebeau – 86 et Maillé – 86). Ainsi, il privilégiera l’innovation, en fiabilisant les flux opérationnels pour plus de qualité. «  Exigence, travail en équipe et bonne humeur sont les éléments essentiels pour participer à la poursuite du développement de Sateco », insiste Frédéric Quillévéré. Diplômé des Arts et Métiers, c’est chez PSA qu’il débute sa carrière. De 1989 à 2000, il y occupe un poste de responsable de production. Puis, de responsable méthodes, avant d’intégrer la société Heuliez. Ceci, en tant que directeur industriel jusqu’en 2006. Il a ensuite dirigé une société de chaudronnerie dans le domaine agro-alimentaire. Un nouvel ambassadeur de l’expertise Sateco en région Guillaume Duvillers, 45 ans, est le nouveau chargé d’affaires pour le secteur méditerranéen. Ainsi, il supervisera les départements 04/05/07/13/26/30/83/84. « Je vais assurer le suivi de la distribution des produits Sateco. A savoir les banches et les accessoires, le matériel de sécurité… dans l’ensemble de la région Paca »,indique Guillaume Duvillers. Diplômé du bâtiment (BTS), il a débuté sa carrière, en 1996, chez Eiffage comme chef de chantier. Puis, le même poste chez Nord France (groupe Fayat). En 2014, il  intègre Nord Coffrage comme chargé d’affaires.
Il y a 4 ans et 111 jours

SITES, groupe d’ingénierie spécialisé dans la durabilité des actifs structurels acquiert la société technologique Cornis, leader dans l’inspection des éoliennes et des solutions d’intelligence artificielle.

Spécialisée dans le suivi du vieillissement des éoliennes via des méthodes et outils d’expertise utilisant l’Intelligence Artificielle, Cornis accompagne depuis 10 ans les principaux constructeurs et exploitants mondiaux d’éoliennes pour l’inspection et l’expertise des pales. L’entreprise intervient dans plus de 40 pays (+ de 20.000 éoliennes inspectées) et réalise un chiffre d’affaires de 2M€ dont 75% à l’export. Avec cette acquisition, SITES, acteur pionnier de la surveillance de santé structurelle depuis 1984, renforce sa position dans le secteur des énergies décarbonées. Leader indépendant de la surveillance des structures des installations nucléaires et hydrauliques, aux côtés des infrastructures de transport et des structures complexes en général, cette opération élargit ses activités dans le domaine de l’éolien et plus généralement celui des EnR (Énergies Renouvelables). Par ailleurs, cette union entre pépites françaises vise à accélérer la conquête de marchés internationaux (Royaume-Uni, Allemagne, Belgique, Danemark, les marchés éoliens qui se trouvent en Europe du Nord mais aussi la Chine et l’Afrique du Sud, pays où SITES est présent via ses filiales) et les développements technologiques pour la surveillance de structures. Un savoir-faire technologique complémentaire et « Made in France » Au delà d’un parfait alignement sur les enjeux de la surveillance préventive des structures et de l’asset integrity management, le rapprochement entre SITES et Cornis repose sur une approche commune combinant une connaissance fine des ouvrages et de leur dynamique de vieillissement, des expertises fortes d’inspection et la mise en oeuvre des meilleurs technologies disponibles en lien avec l’imagerie, le traitement du signal, la data science et l’Intelligence Artificielle. Les outils Cornis d’inspection de pales ainsi que la plateforme de reporting en ligne sont utilisés sur plus de 20.000 éoliennes dont 40% offshore. Ces outils créent des synergies avec les solutions déployées par SITES dans le domaine du HD Mapping et du Structural Health Monitoring. Depuis leur création, les deux entités partagent des valeurs communes, une déontologie basée sur l’indépendance, une fierté d’exporter le savoir-faire français et la volonté de participer au développement durable en prenant soin au quotidien des infrastructures d’énergie et de transport. « Avec Cornis, nous sommes très heureux de placer SITES en leader indépendant de la surveillance préventive des infrastructures de production d’énergies décarbonées, d’accélérer la digitalisation des métiers et de l’expertise du monitoring structurel et d’intégrer une équipe qui partagent nos valeurs. » commente Hervé LANÇON, co-Directeur Général de SITES. Thibaut GOUACHE, co-Fondateur de Cornis, ajoute : « Nous ancrons Cornis dans une histoire longue et durable, celle de SITES et ces 35 années d’expérience. Pour nos clients, grâce à SITES, nous élargissons les compétences de nos équipes, pour veiller non seulement sur les pales d’éoliennes, mais aussi les mâts et les fondations bétons. Pour les fondateurs et tous les salariés de Cornis, cette fusion est une excellente opportunité de continuer de croître et d’adresser de nouveaux défis dans et en dehors de l’éolien. C’est une belle réussite collective. » Cette opération consolide sur le sol français un acteur indépendant capable de proposer sur l’ensemble du cycle de surveillance structurelle en France et à l’international, des expertises de pointe et un savoir-faire complet en matière d’innovation métier et technologique. L’intégration des activités de Cornis dans celles de SITES sera réalisée au travers d’une business unit dédiée aux EnR qui assurera une continuité complète de service pour les clients de Cornis. À date, le Groupe SITES compte plus de 450 salariés. SITES | Ingénierie, Instrumentation, monitoring et inspection Cornis – Artificial Intelligence for Operations and Maintenance
Il y a 4 ans et 111 jours

Nouvelle image de marque et nouvelle identité graphique pour Unilin Insulation

Avec 6 usines, dont une implantée en France, Unilin Insulation est leader sur le marché des panneaux de toiture et 2ème producteur européen de plaques isolantes en polyuréthane.Afin d’affirmer son identité européenne, d’harmoniser ses gammes de produits dans tous les pays par une architecture claire facilement identifiable, Unilin Insulation adopte une nouvelle image de marque et une nouvelle identité graphique : Unilin Insulation for smart living.Une nomenclature produit unique pour tous les paysDans le cadre de sa nouvelle image de marque, Unilin Insulation fait évoluer ses solutions d’isolation thermiques et acoustiques pour les murs, le sol et les toitures plates et en pente. Elles sont désormais réunies dans deux gammes distinctes :Utherm, gamme de plaques isolantes, souligne par un pictogramme représentant le soleil, les propriétés thermo-isolantes optimales des produits. La gamme se décline comme auparavant, en fonction de la destination de l’isolation, avec de nouvelles dénominations :Utherm FloorUtherm WallUtherm RoofUtherm SarkingUne gamme Comfort est créée. Elle rassemble tous les produits bi-matière apportant un bien-être au sein du logement, première motivation des Français pour rénover (48%).La gamme ISOCOMBO et ses deux déclinaisons SARKING et WALLdisparaissent et intègrent ainsi l’appellation Utherm Comfort.Usystem, gamme de solutions de panneaux de toiture et autres éléments structurels En adoptant une langue commune et universelle pour tous les pays,Unilin Insulation réinvente la gamme Trilatte au profit d’Usystem qui regroupe les éléments structurels, tant séparés que sous la forme de produits préfabriqués complets. Le pictogramme dans le logo symbolise les éléments tout-en-un et faciles à installer.Totalement repensée, cette nouvelle gamme rassemble des produits adaptés aux dernières réglementations énergétiques et répondant à toutes les demandes en termes de performances d’isolation.Pour faciliter la lecture de celle-ci, Unilin Insulation adopte une architecture claire, selon une structure logique. Tous les produits commencent par la marque Usystem. Ils se déclinent ensuite par :l’application : Roof pour les panneaux de toiture et Wall pour les cloisons ;le type de panneau : OS pour les caissons chevronnés, DS pour les panneaux sandwich chevronnés, SW pour les panneaux sandwich ou PR pour les systèmes préfabriqués ;un USP, c’est-à-dire la mise en avant d’un avantage unique du panneau (Comfort, Easy Airtight, Mineral Wool, ...) ;Les faces intérieures des panneaux de toiture reçoivent également un nouveau nom européen constitué du matériau suivi éventuellement du coloris (comme par exemple EXPRIM Blanc de lune qui devient Wood White, Plâtre qui devient Gyp, Medium qui devient MDF, ...)UNILIN INSULATION FOR SMART LIVING : une nouvelle identité graphiqueRegroupant le logotype, le nom de l’entreprise, la division et la baseline, le nouveau logo forme un tout compact et clairement lisible qui affirme l’unité de la marque. La nouvelle identité graphique renforce l’image de la marque en tant que partenaire fiable, offrant des solutions complètes d’isolation innovantes et intelligentes qui garantissent confort et qualité de vie optimum.Avec une seule image de marque pour tous les pays et un nouveau logo, Unilin Insulation simplifie la lecture de ses gammes et se positionne comme le référent européen de l’isolation.
Il y a 4 ans et 114 jours

Près de 7 Français sur 10 envisagent d'investir dans la pierre cette année

Retards des chantiers, visites virtuelles voire tout simplement annulées, ou encore réticence des banques à prêter ; les possibilités d'investissements ont été mises à rude épreuve. Néanmoins, il semblerait que les Français soient toujours désireux de considérer la pierre comme une valeur refuge en cette année 2021. People United Business, le premier réseau social de l'immobilier, s'est intéressé à cette tendance et a sondé sa communauté afin de savoir si leurs projets d'achat étaient toujours d'actualité. 69% des Français désireux d'investir en 2021 D'après cette étude, il semblerait que les Français soient prêts à sauter le pas de la propriété cette année. A la source de cette volonté, de nombreux facteurs : la petite superficie de leurs logements actuels, une forme “d'exode provincial” pour revenir à un rythme moins effréné, ou tout simplement un changement radical de projet de vie. En tout état de cause, l'année 2021 regorgera pour ces Français de nouveaux challenges et d'envies de renouveau sur le terrain de l'immobilier. “L'année 2021 peut faire figure de tremplin pour les Français désireux d'investir, qu'il soit question de leur résidence principale ou d'un investissement locatif. Bien que la crise sanitaire ait ralenti les opportunités de création de projets de vie, notre solution permet de faciliter la rencontre entre des opportunités qualifiées d'investissement et le profil des intentionnistes. Avec une remise en circulation de biens prisés, la dernière année forte du dispositif PINEL ou encore l'attractivité naissante de nouvelles métropoles de l'Hexagone, les Français confirment leur envie d'investir dans l'immobilier, et disposeront des bons outils pour le faire.”Frederick Marchal, cofondateur et CMO de People United BusinessDans ce contexte, People United Business, fournit à ses membres les outils pour acheter au bon endroit, au bon moment, au meilleur prix, avec les meilleurs partenaires, qu'ils soient particuliers ou professionnels.La plateforme prévoit de consacrer des projets premium aux utilisateurs qui afficheront le meilleur bilan de réussite, et de récompenser les prescripteurs et membres les plus actifs.Pour se lancer, rendez-vous sur https://peopleunitedbusiness.com/
Il y a 4 ans et 114 jours

Pendant le couvre-feu, les commerçants veulent une procédure simplifiée pour ouvrir le dimanche

"On a demandé au gouvernement de libéraliser totalement l'ouverture des magasins le dimanche pour ceux qui le souhaitent", a déclaré Jacques Creyssel, directeur général de la Fédération des entreprises du commerce et de la distribution (FCD), au micro de BFM Business."Le gouvernement nous dit de respecter les procédures. Actuellement, il faut cinq semaines de consultations pour ouvrir le dimanche. Ce n'est pas possible. Pendant cette période exceptionnelle, quand c'est nécessaire d'ouvrir et ça ne l'est pas partout, il faut qu'on puisse le faire de façon très simple et ce n'est pas le cas aujourd'hui", a-t-il encore regretté.Le dirigeant a également argué du fait que l'ouverture le dimanche permettrait "du point de vue sanitaire et économique de compenser" les nouvelles mesures restrictives annoncées jeudi par le gouvernement.La FCD représente environ 30.000 points de vente qui emploient 750.000 salariés."Les courses alimentaires après 17h00 représentent à peu près 30% du chiffre d'affaires. Il y aura du report. Dans certains cas tôt le matin, entre midi et deux. Il y aura de la livraison. Mais les commerces vont souffrir: les plus gros, les centres commerciaux, les hypermarchés, mais aussi les petits magasins d'habillement par exemple", a-t-il encore précisé, soulagé néanmoins d'avoir échappé "à un reconfinement total ou lors du week-end".
Il y a 4 ans et 114 jours

Radiateur de chauffage central Acova ARTEMIA : des innovations au service du confort

ACOVA complète son offre de radiateurs face lisse ARTEMIA avec une version chauffage central. Tout en élégance avec son design minimaliste, ses lignes d’une extrême finesse et ses finitions particulièrement soignées, cette gamme offre une série d’innovations au service du confort de tous, particuliers et installateurs. TOUT EN ÉLÉGANCE Avec sa façade lisse très tendance, le design minimaliste du nouveau radiateur vertical ARTEMIA en version chauffage central s’accorde parfaitement aux intérieurs contemporains. Il sait jouer la carte de la discrétion ou du contraste grâce aux 50 teintes du nuancier Acova. D’une extrême finesse, ARTEMIA s’intègre parfaitement à la cloison murale avec sa faible épaisseur et moins de 9 cm de saillie au mur. Conçu et fabriqué en France dans l’usine de Vaux Andigny (02), il bénéficie d’une finition soignée dans les moindres détails : les angles et bords ont été travaillés avec attention pour un rendu esthétique parfait y compris de profil. LE CONFORT DU RAYONNEMENT POUR TOUTES LES PIÈCES Pour s’adapter à toutes les pièces et délivrer la chaleur nécessaire au volume de celles-ci, la gamme de radiateurs verticaux ARTEMIA en version chauffage central se décline en : • 4 hauteurs (141,1 – 170,7 – 185,5 et 200,3 cm), • 3 largeurs (51,7 – 61,7 et 71,7 cm) Auparavant proposée en version électrique, la gamme ARTEMIA existe désormais en chauffage central pour répondre à tout type de logement, en neuf ou en rénovation. DES INNOVATIONS EXCLUSIVES POUR FACILITER LA MISE EN ŒUVRE PAR LES INSTALLATEURS Pour faciliter la pose quel que soit le type d’installation et de projets, ARTEMIA en version chauffage central bénéficie de nombreuses innovations exclusives. 2 TYPES DE RACCORDEMENT POUR PLUS DE MODULARITÉ : • Le raccordement « universel » avec flexibles (modèles VXTX) Extrêmement innovant, le raccordement «universel» avec flexibles offre une grande liberté d’installation grâce aux multiples possibilités de raccordements (par le bas ou sur le côté). Cette solution gain de temps est plus rapide quelle que soit l’installation puisqu’il n’est plus nécessaire d’adapter la tuyauterie existante. Grâce aux raccords qui se font plus discrets et la tuyauterie réduite, elle est aussi plus esthétique. • Le raccordement fixe (modèles VXT) avec 4 manchons soudés Avec 4 possibilités de raccordement fixe par le bas du radiateur (centré ou excentré), cette solution modulaire est particulièrement adaptée aux installations classiques en cuivre. Ainsi Artémia répond aux différentes contraintes de chantier et pratiques d’installation des artisans. Plusieurs types de robinetterie sont proposés en fonction de la configuration d’installation et du modèle choisi : coudé, droit, en H, en blanc ou en chromé. UN SYSTEME DE POSE SUR CHARNIÈRE DROITE/GAUCHE INÉDIT TRÈS PRATIQUE Pour faciliter la pose du radiateur et s’adapter à la configuration de la pièce, Acova Artémia est équipé d’un système de montage sur charnière à droite ou à gauche au choix, réversible au moment de l’installation. Installé, le radiateur peut pivoter (seulement avec le modèle à raccordement avec flexibles) pour offrir l’accès à l’arrière de celui-ci et faciliter son nettoyage, par exemple. http://www.acova.fr
Il y a 4 ans et 114 jours

Nord Drivesystems : Une stratégie numérique moderne

Le nouveau site de Nord Drivesystems, contemporain, intuitif et conviviale. [©Nord Drivesystems] Pour l’année 2021, le groupe Nord Drivesystems s’envole vers la digitalisation. Et offre à son site Internet une remise en beauté. Le fabricant d’entraînements mécaniques et électroniques mise sur une page contemporaine, intuitive et conviviale. Facilitant aussi l’accessibilité et l’utilisation à ses clients. Une boutique en ligne a été intégrée, l’utilisateur peut désormais profiter des offres et services de la marque. Une plate-forme numérique et moderne En plus de l’amélioration de son site Internet, Nord Drivesystems a unifié son image de marque. En effet, le portail client myNORD, la boutique en ligne, ainsi que son site web ont été fusionnés en une même unité visuelle et fonctionnelle. Ce relooking fait partie intégrante du programme “Nord Connect 360”, visant à rendre plus efficace pour les clients le processus de commande et celui de numérisation. Hormis de permettre un transfert d’informations fluide, ce concept propose une connexion numérique entre acteurs internes et externes. Par ailleurs, les réseaux et la connexion à l’environnement de l’Industrie 4.0 sont d’importants sujets pour le secteur. Ainsi, avec ses solutions d’entraînement, le groupe Nord Drivesystems propose les éléments nécessaires à la création d’usines intelligentes. Une très large gamme Principal fournisseur mondial de solutions complètes d’entraînement depuis plus de 50 ans, Nord Drivesystems s’efforce de proposer des produits innovants, répondant aux attentes de ses clients. Ainsi, sa gamme s’étend des entraînements standards aux solutions personnalisées. Présent dans 98 pays à travers le monde, l’industriel fabrique aussi des moteurs électriques d’une puissance de 120 W à 1 000 kW. De plus, les variateurs de la marque comportent aussi bien des modèles classiques à installation en armoire électrique. Que des exemplaires pour systèmes d’entraînement intégrés au moteur pour des solutions avec automatisation décentralisée.
Il y a 4 ans et 115 jours

Isover subventionné par l'Ademe dans le cadre de son engagement en faveur de la décarbonation

Des investissements nécessaires pour un constat sans appelDans son plan “France Relance”, le Gouvernement a prévu un soutien ambitieux et volontariste des entreprises, avec 1,2 milliard d'euros d'ici 2022 pour améliorer l'efficacité énergétique, faire évoluer les procédés de fabrication, notamment par le biais de l'électrification, et décarboner la production de chaleur.Objectif : soutenir la compétitivité économique et environnementale des industries et notamment favoriser la décarbonation.Le secteur du bâtiment représente 43% des consommations énergétiques annuelles françaises et génère 23% des émissions de gaz à effet de serre (GES) français.Pour l'ADEME comme pour ISOVER, décarboner l'industrie est indispensable à l'atteinte des objectifs climatiques que la France s'est fixé : près de 20% des émissions de gaz à effet de serre en France étant issus des activités industrielles. La décarbonation est également un levier de performance de l'industrie française à moyen-terme.ISOVER France et notamment son site industriel d'Orange, certifié ISO 50 001 (économie d'énergie) et ISO 14 001 (management environnemental) s'est engagé depuis plus de 20 ans dans une stratégie environnementale exigeante visant à réduire ses consommations d'énergie et ses émissions de gaz à effet de serre. Ces efforts répondent aux ambitions fortes du Groupe Saint-Gobain d'atteindre la neutralité carbone en 2050.Une subvention récompensant un projet ambitieux déjà bien entamé et concretConsécutivement au plan France Relance, ISOVER anticipe une augmentation des besoins du marché en produits isolants. La marque a engagé depuis plusieurs années une démarche volontaire d'introduction de calcins issus de matières secondaires dans ses produits, qu'il s'agisse de matières issues de verre bouteille, verre plat, pare-brise ou même de laine de verre via son service ISOVER Recycling. L'utilisation des calcins présente divers avantages dont une baisse de consommation d'énergie électrique et une réduction significative des émissions de CO? de sa production. C'est pourquoi le site d'Orange souhaite augmenter le taux de matières recyclées (calcin externe) dans sa composition verrière.La feuille de route environnementale pour l'usine d'Orange vise -33% d'émissions de CO² à l'horizon 2030.3 axes de développement sont prévus pour des travaux débutant en septembre prochain :La modification de la tour de composition verrière, qui permettra d'augmenter d'au moins 20% le taux de matières recyclées (calcin externe) passant de 40% à 60% a minima et engendrera des économies d'énergie et de CO² grâce à une baisse en température induite du four. Ce projet permettra d'augmenter le taux de matières recyclées dans son four de fusion verrière et de réduire les émissions de CO² de 2.800 tonnes/an, soit une baisse des émissions de CO² de 4.600 tonnes/an, calculé sur la base du cycle de vie complet du produit.L'agrandissement de la zone de stockage externe des calcins, avec la création de 4 stands d'environ 200 m² chacun, permettant une meilleure séparation des diverses sources et facilitant leur exploitation.Les équipements permettant de transporter les matières premières vers le four seront remplacés par des convoyeurs à bande plus adaptés.
Il y a 4 ans et 118 jours

Création du Conseil national de l'hydrogène

Cette stratégie vise trois priorités qui conjuguent développement technologique et transition écologique :la décarbonation de l'industrie pour contribuer à l'atteinte de la neutralité carbone en 2050 en faisant émerger une filière française de l'hydrogène;le développement des mobilités lourdes à l'hydrogène ;le soutien à la recherche, l'innovation et le développement des compétences.L'objectif de cette stratégie est d'accélérer la maîtrise technologique des composants essentiels de la chaîne de valeur et un passage rapide à l'échelle industrielle pour permettre une baisse significative des coûts de production.Depuis l'annonce de la Stratégie nationale pour le développement de l'hydrogène décarboné, en septembre dernier, des actions ont déjà été engagées :le lancement, le 14 octobre 2020, des deux Appels à Projets « Briques technologiques et démonstrateurs » et « Ecosystèmes territoriaux », dotés respectivement de 350 et 275 millions d'euros mobilisant le Programme Investissements d'Avenir ;l'installation d'un Programme Prioritaire de Recherche (PPR) « applications de l'hydrogène » mobilisant également les moyens du Programme des Investissements d'Avenir pour soutenir la recherche en amont et préparer la future génération des technologies de l'hydrogène ; ce programme sera piloté scientifiquement par le CEA et le CNRS ;au niveau européen, la signature conjointe par 23 Etats-membres, le 17 décembre 2020, d'un manifeste pour le développement d'une chaîne de valeur de l'hydrogène. Il s'agit du point de départ d'un nouveau Projet important d'intérêt européen commun (PIIEC) qui sera mis en œuvre sur l'année 2021.Pour assurer une mise en œuvre efficace de la Stratégie nationale pour le développement de l'hydrogène décarboné, Barbara Pompili, Bruno Le Maire, Frédérique Vidal et Agnès Pannier-Runacher ont décidé la création du Conseil national de l'hydrogène.Cette instance, dont la composition a été proposée aux Ministres par Alexandre Saubot, vice-président du Conseil national de l'industrie, aura pour rôle de structurer les échanges entre l'Etat et les parties prenantes de la mise en œuvre de la stratégie, en particulier les filières industrielles, et de mesurer le bon déroulement des actions prévues pour identifier, le cas échéant, les éventuels freins. Elle contribuera ainsi au développement d'une filière française compétitive de l'hydrogène décarboné, favorisera l'émergence de projets collectifs visant à la structuration d'une chaîne de valeur complète sur notre territoire ou dans le cadre de coopérations européennes.La composition de ce conseil, qui se réunira dans le cadre du Conseil national de l'industrie et associera également Régions de France, est la suivante : Philippe Boucly, président de France Hydrogène ;Laurent Carme, directeur général de McPhy ;Frédéric Chalmin, directeur général de KemOne, représentant le Comité Stratégique de Filière Chimie & Matériaux ;Philippe Darmayan, président d'ArcelorMittal France, représentant le Comité Stratégique de Filière Mines et Métallurgie ;Jean-Brice Dumont, directeur exécutif de l'ingénierie et membre du comité exécutif d'Airbus, représentant le Comité Stratégique de Filière Aéronautique ;Gabrielle Gauthey, directrice générale du Carbon Neutrality Business de Total ;Hervé Guillou, président du Comité Stratégique de Filière Industriels de la Mer ;François Jacq, administrateur Général du CEA ;Patrick Koller, directeur Général de Faurecia, représentant le Comité Stratégique de Filière Automobile ;Jean-Bernard Lévy, président-directeur général d'EDF ;Catherine MacGregor, directrice générale d'Engie ;Benoît Potier, président-directeur général d'Air Liquide et co-président du Conseil mondial de l'hydrogène ;Henri Poupart-Lafarge, président-directeur général d'Alstom et représentant le Comité Stratégique de Filière Ferroviaire ;Alexandre Saubot, président de France Industrie ;Guy Sidos, président-directeur général de Vicat et représentant le Comité Stratégique de Filière Construction ;Pierre Verzat, président de Syntec ingénierie.La coordination des industriels membres du Conseil national de l'hydrogène sera assurée via une co-présidence entre Patrick Koller et Benoit Potier. Le secrétariat du conseil sera assuré par le coordinateur interministériel qui sera prochainement nommé, en lien avec les délégués permanents du comité stratégique de filière Nouveaux systèmes énergétiques et de France Hydrogène.La première réunion du Conseil national de l'hydrogène se tiendra dans le courant du mois de janvier. Elle permettra notamment de faire un premier bilan de la mise en œuvre de la Stratégie nationale pour le développement de l'hydrogène décarboné et de faire un point d'étape sur la construction et le calendrier du PIIEC.Réaction de Philippe Boucly, président de France Hydrogène« Une étape importante dans la mise en œuvre de la stratégie française »L'État a annoncé aujourd'hui la mise en place et la composition du Conseil National de l'Hydrogène. Une étape importante que je salue car elle installe l'hydrogène en tant qu'industrie stratégique en France. Elle illustre la volonté du gouvernement de maintenir un dialogue soutenu et de proximité avec les industriels afin de réussir la mise en œuvre d'une stratégie nationale ambitieuse. Le Conseil National de l'Hydrogène qui réunit de grands industriels représentant plusieurs filières industrielles, aura notamment pour mission d'évaluer le bon déroulement des actions prévues pour identifier, le cas échéant, les éventuels freins ou les nouvelles actions à mettre en place. L'objectif est clair et partagé entre l'État et les industriels : réussir à développer une filière française compétitive de l'hydrogène décarboné d'ici 10 ans. Au-delà de l'enjeu climatique, il nous faut également gagner la bataille de la réindustrialisation. Cela passe nécessairement aussi par la structuration d'une chaine de valeur complète sur notre territoire. Je suis sûr qu'au travers de coopérations, les locomotives que sont les grands groupes, alliées aux PME-PMI et start-up innovantes sauront trouver le chemin et les moyens pour développer des projets d'envergure et changer d'échelle. Nous sommes tous alignés sur l'objectif à atteindre. La tâche est grande et les objectifs ambitieux. Nous avons les moyens d'y parvenir et les forces réunies au sein du Conseil National de l'Hydrogène vont en permettre une utilisation des plus efficientes.Philippe Boucly, Président de France Hydrogène
Il y a 4 ans et 121 jours

L’usine de ventilation de l’A86, un organe respirant élaboré par Aden

Depuis 2015, l’usine de ventilation de l’autoroute A86 à Nogent-sur-Marne (Val-de-Marne) arbore une résille ondulante en métal déployé aluminium. L’intégration urbaine de l’usine était un enjeu pour l’agence Aden Architectes. Une usine à l’esthétique spectaculaire. L’usine, avec pour maître d’ouvrage la Direction des Routes Ile-de-France DRIEA IF, a pour rôle la ventilation du tunnel qui […] L’article L’usine de ventilation de l’A86, un organe respirant élaboré par Aden est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 4 ans et 121 jours

Douze poutres XXL usinées puis livrées

Douze poutres jumelées en bois lamellé-collé de 43 mètres de long ont été livrées pour l’extension d’un l’entrepôt frigorifique. Usinées et assemblées en usine, la logistique et le transport ont nécessité une attention toute particulière.
Il y a 4 ans et 121 jours

LafargeHolcim s’offre Firestone Building Products

Jan Jenisch, président de LafargeHolcim. [©LafargeHolcim] LafargeHolcim opère un achat de taille estimé à 2,7 Md€. En effet, l’industriel suisse a annoncé avoir signé un accord, afin d’acquérir Firestone Building Products (FSBP). Cette filiale du groupe Bridgeston est spécialisée dans la fabrication et la commercialisation de solutions de toiture et d’étanchéité. Basée à Nashville, aux Etats-Unis, elle a enregistré un chiffre d’affaires de 1,47 Md€ en 2020. Pour LafargeHolcim, cette transaction permettra de passer à 4,90 Md€ de vente annuelle Outre-Atlantique. Mais aussi, de renforcer son positionnement sur les marchés d’Amérique latine et d’Europe. « Je suis enthousiaste à l’idée de me lancer dans le secteur très attrayant des toitures, déclare Jan Jenisch, Pdg du groupe LafargeHolcim. Avec Firestone Building Products, nous renforçons notre plus grand marché, les Etats-Unis. Tout en construisant une plate-forme mondiale de croissance et d’innovation. L’étape d’aujourd’hui est un saut stratégique pour devenir le leader mondial des solutions de construction innovantes et durables. Et pour construire un monde respectueux des gens et de la planète. » Des synergies à hauteur de 89,88 M€/an sont attendues dans un délai de 2 ans. Avec cet achat, l’industriel acquiert aussi une quinzaine d’usines, 1 800 points de distribution et 3 laboratoires de R&D. Les postes des 1 900 collaborateurs de FSBP seront maintenus, ainsi que leur siège de Nashville.
Il y a 4 ans et 122 jours

Dickson investit dans une seconde usine dans le Nord avec une centaine d'emplois à la clé

La future usine sera implantée à Hordain (Nord), dans un bâtiment existant qui doit être étendu sur 28.000 m³, avec une fin des travaux prévue en 2022. "À terme, une centaine d'emplois seront créés sur le site", a indiqué le groupe de 600 salariés, spécialiste des toiles de store, dans un communiqué.Ce nouveau projet, après l'acquisition d'un site logistique à Lesquin en 2012 et la construction du Pôle Innovation en 2017 à Wasquehal - siège et principal site de production de Dickson- vise à augmenter la capacité de production de 50% et "répondre à la demande croissante des clients pour la production de toiles exclusives", ajoute le texte.Citée par le groupe, la ministre de l'Industrie Agnès Pannier-Runacher, a salué ce nouvel investissement, qui "dans le contexte difficile de la crise sanitaire, marque avant tout la reconnaissance de l'attractivité d'un territoire et des savoir-faire industriels qui y sont présents" et "illustre le dynamisme de la filière textile française"."Les services de l'État se sont mobilisés en amont, dans le montage du dossier, pour défendre la candidature du site de Hordain face à un autre site localisé en Europe", a pour sa part souligné le préfet de région, Michel Lalande.La Région Hauts-de-France, a, elle, souligné, que l'aide financière qu'elle a apportée avec la Communauté d'agglomération de la Porte du Hainaut a "joué un rôle décisif dans l'implantation" de ce site. Le montant et la forme de cette aide sera précisée lors d'une prochaine session plénière.
Il y a 4 ans et 122 jours

Jérôme Nérot, nommé Directeur Commercial & Marketing du CSTB

Jérôme Nérot, une double expertise commerciale & marketing, développée dans le secteur de la constructionTitulaire d'un Master II en marketing international (ISEC Paris) et d'un Executive MBA (EDHEC Business School), Jérôme Nérot démarre sa carrière dans le domaine du management commercial en 1996, dans une filiale du groupe Total.En 2000, il poursuit son parcours dans le secteur de la construction et devient contrôleur de gestion chez Leroy-Merlin. Par la suite, il renforce son expertise dans les domaines de la stratégie commerciale, du marketing et de l'accompagnement des organisations en phase de transformation, au sein de différentes structures :Le Ministère du Travail, de 2004 à 2007 - Consultant en conduite du changement.Wilo Group, fabricant européen de pompes et circulateurs pour les secteurs du bâtiment, de l'eau et de l'industrie, de 2008 à 2017 - Successivement Responsable des Grands Comptes et de l'équipe statistiques, puis Sales Manager.Lahyer France, spécialiste des systèmes d'échafaudages, de 2017 à 2020 - Directeur Commercial & Marketing France.Jérôme Nérot maitrise ainsi l'ensemble des fonctions marketing & commerciales fondamentales dans le développement des organisations, et connait parfaitement les marchés et enjeux du BTP.C'est dans ce contexte qu'il rejoint aujourd'hui le CSTB, prenant la responsabilité de la Direction Commerciale & Marketing, sous la responsabilité de son Président, Etienne Crépon.Il devient par ailleurs membre du Comité Exécutif du CSTB.« La double expertise de Jérôme Nérot dans les domaines complémentaires de la stratégie commerciale et du marketing, associée à sa parfaite connaissance de l'écosystème de la construction, constituent des atouts-clés pour optimiser les services développés par le CSTB et répondre aux besoins actuels et futurs de nos clients et du marché en constante évolution. »Étienne Crépon, Président du CSTBUne Direction Commerciale & Marketing en appui au déploiement du projet d'entreprise du CSTBLieu d'expertise et d'écoute, le CSTB, qui anticipe les bâtiments, quartiers et villes de demain, place ses clients et partenaires, acteurs publics ou privés, grands groupes ou TPE/PME, au cœur de toutes ses actions et orientations.Cet engagement fort, gage de qualité de services et de réponses opérationnelles novatrices aux attentes du marché, constitue le fil conducteur du projet d'entreprise qui formalise la dynamique d'évolution et de modernisation du CSTB.Pour accompagner son déploiement, le CSTB renforce son organisation avec une Direction Commerciale & Marketing dédiée, intégrant l'actuelle Direction Marketing. Pilotée par Jérôme Nérot, cette Direction aura pour mission de proposer aux acteurs, clients et partenaires une offre simplifiée et accessible, dans une logique de pluridisciplinarité.Organisée autour de 5 activités-clés (recherche et expertise, évaluation, essais, certification et diffusion des connaissances), couvrant l'ensemble des composantes de la construction, à l'échelle des matériaux et procédés, du bâtiment et de la ville, s'appuyant sur des compétences multiples et des équipements de pointe, cette offre est aujourd'hui inégalée en France.L'enjeu, pour la Direction Commerciale & Marketing, est de permettre aux acteurs d'appréhender plus facilement cette diversité de services et de prestations proposés. Pour ce faire, elle agira à la fois :En amont pour analyser et comprendre les évolutions du marché de la construction, aujourd'hui et demain ;En aval pour définir des offres en phase avec ces évolutions, répondant aux grands enjeux et tendances du secteur, en lien avec les transitions environnementale, énergétique et numérique.Elle travaillera en synergie avec toutes les Directions opérationnelles et s'appuiera sur l'ensemble des compétences complémentaires portées par les équipes du CSTB.« Le CSTB est un acteur incontournable de la construction, avec des expertises et des savoir-faire techniques reconnus. Intégrer ses équipes, structurer et déployer la stratégie et le plan d'actions commercial et marketing qui vont contribuer à renforcer la place centrale du client, au cœur de tous les projets et orientations, est particulièrement enthousiasmant. »Jérôme Nérot, Directeur Commercial & Marketing du CSTB
Il y a 4 ans et 123 jours

Bas carbone et RE 2020 : quelles sont les nouvelles obligations et attentes du marché ?

BATIACTU BUSINESS CLUB. Ce 19 janvier 2021, la visioconférence du Batiactu Business Club sera consacrée aux nouvelles obligations bientôt fixées par la réglementation environnementale 2020 dans la construction neuve. Quels sont les enjeux de ce texte et quelles seront les attentes du marché ?
Il y a 4 ans et 123 jours

Le maire de Belfort estime que la position du gouvernement sur l'usine GE est "éloignée de la réalité"

GE a multiplié ces derniers mois les plans sociaux et M. Meslot a récemment estimé que le groupe américain aurait supprimé "plus de 1.200 emplois directs" à Belfort sur les 4.300 personnes que comptait le site en 2015.L'élu avait fait part de ses craintes à la ministre en octobre. Mme Pannier-Runacher lui a répondu, par une lettre du 15 décembre que l'AFP a pu consulter."Le bassin d'emplois belfortain, qui dispose de compétences rares dans les métiers du nucléaire, et d'un tissu d'entreprises structuré autour de la Vallée de l'Énergie, a naturellement vocation à bénéficier" du plan de relance de la filière nucléaire, estime la ministre. Cela "permettra de maintenir et développer un outil industriel qui a joué et jouera un rôle clé pour l'édification de notre système électrique".Mme Pannier-Runacher souligne la "totale vigilance" du gouvernement pour que les salariés bénéficient de "solutions constructives (...) à la hauteur des moyens" de GE. Elle souhaite aussi "contribuer à la diversification des activités en capitalisant sur les compétences uniques du territoire", et met en avant notamment la nouvelle filière de l'hydrogène.Elle annonce enfin la mise en place d'un comité de pilotage, dont sera membre la commune de Belfort, "pour coordonner l'ensemble des initiatives".Des assurances qui restent insuffisantes pour Damien Meslot: "Si ces mots sont effectivement suivis d'effets, je serais rassuré, voire satisfait, pour l'emploi et pour nos habitants. Je crains toutefois que ce discours soit éloigné de la réalité", note-t-il."Je ne serais réellement rassuré que dans le cas où les activités présentes à Belfort seraient rachetées par un consortium autour du groupe EDF", souligne-t-il. "C'est la seule solution qui permettrait de mettre en oeuvre une politique industrielle de l'énergie qui protégerait le savoir-faire et les compétences en France.""En ce qui concerne les moyens consacrés au domaine de l'hydrogène, nous verrons quelle part des 9 milliards d'euros d'investissements prévus en France d'ici 2030 bénéficiera à notre département", conclut le maire de Belfort.
Il y a 4 ans et 124 jours

L’ADEME subventionne ISOVER dans le cadre de son engagement en faveur de la décarbonation

ISOVER investit dans un projet répondant aux enjeux de décarbonisation industrielle en France pour un montant de 3,8 millions d’euros dont 800 000 euros seront subventionnés par l’ADEME, partenaire du plan “France Relance”. Une subvention qui valorise les engagements et investissements de l’industriel pour ses démarches favorables au développement durable et à la décarbonation, notamment dans ses usines françaises. La feuille de route environnementale pour l’usine d’Orange vise -33 % d’émissions de CO2 à l’horizon 2030. Trois axes de développement sont prévus pour des travaux débutant en septembre prochain. Tout d’abord, la modification de la tour de composition verrière, qui permettra d’augmenter d’au moins 20 % le taux de matières recyclées (calcin externe) passant de 40 % à 60 % a minima et engendrera des économies d’énergie et de CO? grâce à une baisse en température induite du four. Ce projet permettra d’augmenter le taux de matières recyclées dans son four de fusion verrière et de réduire les émissions de CO? de 2 800 tonnes/an, soit une baisse des émissions de CO? de 4 600 tonnes/an, calculé sur la base du cycle de vie complet du produit. Ensuite, l’agrandissement de la zone de stockage externe des calcins, avec la création de 4 stands d’environ 200 m² chacun, permettant une meilleure séparation des diverses sources et facilitant leur exploitation. Enfin, les équipements permettant de transporter les matières premières vers le four seront remplacés par des convoyeurs à bande plus adaptés.
Il y a 4 ans et 125 jours

Le Groupe Lorillard assoit sa position de leader sur le marché de la menuiserie bois avec l’acquisition de la société Menuiserie Meslin

Expert de la menuiserie industrielle sur-mesure, le Groupe Lorillard, présidé par Monsieur Thierry LUCE, vient d’acquérir l’entreprise Menuiserie Meslin à Glatigny (50). Cette acquisition concède au Groupe Lorillard de nouvelles parts de marché et vise à renforcer sa position de leader dans la menuiserie bois, avec l’offre bois la plus large et la plus complète du marché. Elle permet également au Groupe d’intégrer des produits bois et aluminium spécifiques. De gauche à droite : Pierre Lorillard Directeur Général délégué au commerce, Madame et Monsieur Le Roy Dirigeants de la Menuiserie Meslin et Thierry Luce Président du Groupe Lorillard   DES VALEURS PARTAGÉES Créée en 1961, la société Menuiserie Meslin est spécialisée dans la fabrication de menuiseries bois personnalisées et sur mesures. Entreprise familiale, dirigée par Monsieur et Madame Le Roy, elle rassemble 48 salariés et réalise un chiffre d’affaires de 7,5 millions d’euros (2020). S’adressant exclusivement aux artisans, la commercialisation en B to B n’implique que la fourniture de menuiseries. Ainsi l’entreprise, qui n’a pas encore de commerciaux, réalise 80 % de son chiffre d’affaires sur Paris et la région parisienne, à la faveur de sa notoriété, de ses produits atypiques (portes cochères, menuiseries cintrées en plan et en élévation pour bâtiment haussmanniens, etc.) et de son savoir-faire spécifique dans la menuiserie bois. Forte d’une activité saine et croissante, la Menuiserie Meslin a cependant besoin de s’adosser à un groupe afin de bénéficier d’une structure puissante pour développer son savoir-faire sur l’ensemble du territoire et faire croître la commercialisation de ses menuiseries. Au regard de l’histoire, du caractère familial et de la forte implantation régionale de l’entreprise, la société susceptible de les racheter se devait de partager les mêmes valeurs. C’est le Groupe Lorillard qui a donc été choisi par les dirigeants pour acquérir l’entreprise Menuiserie Meslin. Initialement ce rachat aurait dû se faire au mois de juillet dernier mais la crise sanitaire actuelle a bloqué l’avancement de l’acquisition. Et ce n’est qu’en novembre que le protocole d’accord fut signé. Site de production et siège social de la Menuiserie Meslin à Glatigny (50).   ENRICHIR LES ACQUIS C’est toute son expérience industrielle et commerciale que le Groupe Lorillard va mettre à la disposition de la Menuiserie Meslin. Le Groupe a défini un plan industriel avec des investissements à court, moyen et plus long terme, afin d’augmenter les capacités de production, d’améliorer la performance de l’entreprise et d’accroître son chiffre d’affaires. Ainsi, une campagne de recrutement va être menée pour intégrer du personnel de chiffrage et renforcer le Bureau d’Etudes, ainsi que des opérateurs et menuisiers dans les ateliers. Des évolutions et des investissements vont également être menés pour l’outil de production. La société Menuiserie Meslin conçoit des menuiseries bois (80 % de l’activité), des menuiseries aluminium (20% de l’activité) et produit quelques menuiseries PVC. La production PVC va être rapatriée à Chartres afin de laisser plus de place pour l’agrandissement de la production aluminium qui représente 1,5 M€ du chiffre d’affaires actuel de la société Menuiserie Meslin. Ainsi, plusieurs équipements aluminium du Groupe vont être transférés chez Meslin afin de renforcer la production de produits aluminium spécifiques. Une plus-value pour le Groupe qui ne proposait pas encore ce type de produits : portes repliables, portes basculantes, verrières, coulissants d’angle réalisés à partir de la gamme Technal, partenaire historique de la Menuiserie Meslin. Parallèlement, l’outil de production bois va bénéficier de nouvelles machines visant à améliorer la performance d’usinage ainsi que d’une nouvelle cabine de laquage pour la garantie 10 ans des finitions bois, courant 2021. L’objectif est clair : densifier l’activité B to B avec la vente aux artisans, en augmentant la production bois de près de 30% et l’ambition de porter le chiffre d’affaires à 8,5 M€ en 2021 et 12 M€ à 3 ans. Atelier bois de Glatigny (50) de la Menuiserie Meslin   CHRONIQUE D’UNE CROISSANCE ANNONCÉE Comme l’évoquait Thierry Luce début 2020 « Il est aujourd’hui nécessaire de continuer à investir pour résister à une pression concurrentielle nationale et internationale toujours plus importante » ; l’objectif du Groupe Lorillard est d’acquérir une taille critique qui se situe entre 200 et 250 M€ de chiffre d’affaires. L’acquisition de la Menuiserie Meslin porte le chiffre d’affaires du Groupe à près de 190 M€ à fin 2020, rapprochant le Groupe de l’objectif critique souhaité. Autres ambitions du N°1 sur le bois en France : renforcer sa position de leader sur ce marché par l’élargissement de son offre et porter la capacité de production bois du Groupe à plus de 25 % d’ici 2022. Avec la société Menuiserie Meslin, le Groupe Lorillard se dote d’une 4ème usine de production bois (avec son site chartrain, Molénat à Decazeville et Bourneuf à Parigné-L’Evêque), mais acquiert également des produits inédits au sein du Groupe et une complémentarité commerciale avec les marques Molénat et Bourneuf. En effet, Lorillard dispose désormais d’une commercialisation multicanale (BtoB, BtoC, chantier) ; Molénat distribue spécifiquement aux négoces, et Bourneuf se consacre à la fourniture et la pose de chantier haut de gamme ; quant à Meslin, elle vient renforcer le mode de fourniture directe aux artisans.   Aujourd’hui, le Groupe Lorillard figure parmi les plus grands fabricants de menuiseries industrielles en France avec ses 7 sites de production répartis à travers le pays : Chartres (28), Saint-Doulchard (18), Pralong (42), Parigné-l’Evêque (72), Decazeville (12), Saint-Martin-de-Seignanx (40) et Glatigny (50) dont 4 ateliers bois, 4 ateliers PVC, 3 ateliers aluminium et 1 atelier pour les volets roulants. Et, l’acquisition de ce 7ème site de production oeuvre pour une stratégie de maillage du territoire, avec l’objectif de minimiser les coûts de transports en produisant toujours au plus près des clients et des chantiers. In fine, avec l’acquisition de la société Menuiserie Meslin, la représentativité de l’activité bois au sein du Groupe Lorillard se chiffre à 45 M€ (fourniture et pose et fourniture seule), soit un quart du chiffre d’affaires du Groupe.
Il y a 4 ans et 125 jours

"Nous voulons concrétiser notre projet de construction d'usine en Europe", SageGlass

INTERVIEW. SageGlass, spécialiste du vitrage dynamique (groupe Saint-Gobain), souhaite se déployer davantage sur le marché européen et affiche ses ambitions. Son nouveau directeur Europe et Moyen-Orient, Francis Cholley, nous en dit plus.
Il y a 4 ans et 128 jours

Une usine de panneaux solaires à 1.500 emplois en projet tout près de "Smartville" en Moselle

Le projet est prévu sur la zone d'accueil de l'usine automobile Smart, vendue en début de semaine par le groupe Daimler au Britannique Ineos.Le projet, dont la demande de permis de construire a été déposée, consiste à produire dans un premier temps 4,5 millions de panneaux par an, au moyen d'un investissement de 681 millions d'euros, a annoncé Rec Solar lors d'un point presse par visioconférence.Cette première phase qui démarrerait en 2022 doit créer 1.500 emplois, puis une seconde à confirmer aboutirait, en 2025, à un effectif de 2.500 salariés pour 9 millions de panneaux annuels. De quoi produire une puissance de 4 gigawatts-crête (GWc), "l'équivalent d'un réacteur nucléaire de 900 mégawatts", selon la société.La "décision définitive" d'enclenchement de la première étape (2 GWc) devrait être prise "mi-mars" par le groupe Rec, a annoncé Cemil Seber, son directeur général.Elle dépendra de deux critères principaux: le résultat de la concertation sur le projet qui démarre lundi prochain sous l'égide de la Commission nationale du débat public et le bouclage du financement de l'investissement.Sur ce second point, "on fera évidemment appel aux aides (publiques) auquel on pourra avoir droit", a déclaré M. Seber.L'usine Rec serait l'une des plus grandes du genre en Europe, avec celle que projette le Suisse Meyer-Burger en Allemagne, dans un domaine dominé par les fabricants asiatiques.Selon M. Seber, sa capacité en 2022 puis en 2025 représenterait à chaque fois environ 10% du marché européen, si bien que "le marché a certainement une taille suffisante pour absorber notre production", a-t-il estimé.Groupe dans l'énergie solaire de 2.000 salariés et 500 millions de dollars de chiffre d'affaires en 2019, Rec exploite une première usine de panneaux photovoltaïques à Singapour.Il veut s'implanter à Hambach afin de "produire au coeur du marché européen, en plein essor", selon M. Semer. "Depuis Singapour, il faut quatre à six semaines d'acheminement, ce qui est trop", a expliqué le dirigeant.L'usine se complèterait d'un centre de recherche et développement, autour de la technologie "innovante" de fabrication, "l'hétérojonction", que Rec Group développe avec le Commissariat à l'énergie atomique français, a précisé M.Semer.
Il y a 4 ans et 132 jours

Le Groupe Poujoulat poursuit ses investissements industriels dans la production de bois de chauffage

Installée sur une friche industrielle (une ancienne filature) à Demangevelle en Haute-Saône, l'usine Bois-Factory 70 produit du bois de chauffage haute performance (écorcé, calibré et séché). Certifiées NF biocombustibles solides, ces produits permettent aux utilisateurs de bois énergie de disposer d'un combustible adapté aux appareils modernes et performants (labellisés Flamme Verte) et répondent ainsi aux enjeux de la qualité de l'air. Le site, d'une surface de dix hectares, est implanté au cœur d'un massif forestier peuplé d'essences feuillues parfaitement adaptées aux exigences de la combustion. La première tranche d'investissements représente 20 millions d'euros (génie civil, machines-outils, chaudière biomasse et premier séchoir). Une seconde tranche d'investissement, de 6 millions d'euros, s'engagera à compter du début de l'année 2021 pour permettre la montée en charge de l'usine. Cette seconde tranche a bénéficié d'une aide du plan de relance au titre du « Fonds d'accélération des investissements industriels dans les territoires » porté par la Préfecture de département et la Conseil Régional Bourgogne Franche-Comté. Le site a, par ailleurs, été soutenu par le fonds chaleur de l'ADEME dès 2015 pour ses investissements permettant d'alimenter le process de séchage. A moyen terme, l'unité de production de Haute-Saône fournira 150 000 stères de bois certifiés, 20 000 m3 de bois d'allumage et 10 000 tonnes de bûches densifiées, permettant de doubler la capacité de production du groupe. L'usine comptera une quarantaine de salariés et participera à la dynamisation de la filière forêt-bois de la région avec près de 150 emplois indirects.« Nous nous inscrivons, avec cet outil, dans le sillon tracé par la Programmation pluriannuelle de l'énergie, à savoir : développer le bois énergie domestique moderne et performant. Pour ce faire, le groupe propose des biocombustibles de toute nature ayant les performances requises pour que cohabitent chauffage au bois et amélioration de la qualité de l'air. Avec le déploiement des appareils modernes labellisés Flamme Verte « 7 étoiles », nos produits répondent aux exigences d'une excellente hygiène de combustion. Notre offre de bois de chauffage certifié est d'ores et déjà un succès, la croissance est au rendez-vous. » Frédéric COIRIER, Président Directeur Général du Groupe
Il y a 4 ans et 136 jours

4 nouvelles start-up intègrent l'accélérateur « Santé – Prévention dans le BTP »

4 entreprises ont présenté leurs projets le jeudi 3 décembre en visioconférence, devant un jury composé de professionnels du BTP et de la prévention et en présence des partenaires fondateurs, le CCCA-BTP, l'OPPBTP, PRO BTP et la Fondation EXCELLENCE SMA. Leurs projets ont été évalués sur la base de cinq critères :Le caractère innovant de leur technologie ou service ;L'accessibilité du marché visé ;L'équipe (les compétences et expertises mobilisées, la capacité à porter le projet) ;La fiabilité du business model ;L'adéquation de la start-up avec les thématiques santé et prévention de l'accélérateur. Cette dixième édition a permis aux quatre start-up ayant présenté leurs innovations de convaincre les membres du jury. Elles ont donc toutes été retenues pour intégrer l'accélérateur « Santé – Prévention dans le BTP » :Parsys Telemedicine, spécialiste de la télémédecine, conçoit des solutions logicielles et matérielles de téléconsultation et téléexpertise. Spécialisée à l'origine dans la production de certains équipements médicaux, la start-up a depuis élargi son panel de produits pour proposer des solutions clés-en-main de télémédecine sur site, semi-fixes ou mobiles, et ainsi qu'un service d'assistance via une plateforme web médicale.Intsite a développé un système de vision artificielle destiné à avertir les grutiers des risques dans leur environnement professionnel. La start-up met en avant les avantages de cette solution en matière de sécurité mais également de productivité.WearHealth est spécialisée dans l'intelligence artificielle appliquée à l'interprétation des mouvements des opérateurs sur leur lieu de travail. La start-up propose des EPI ou vêtements connectés et se charge de collecter et d'interpréter les données qui en résultent. Cela permet notamment de cartographier les zones à risque sur un site, d'identifier les tâches les plus pénibles et d'optimiser les opérations.Bulane conçoit des systèmes de production de flamme innovants à partir d'eau et d'électricité (extraction de l'hydrogène par électrolyse de l'eau), pour des opérations de brasage et de soudure. Cela permet notamment une réduction des risques d'accident liés à la manipulation des bombonnes de gaz, une meilleure ergonomie et légèreté des outils, une réduction de l'exposition aux gaz issus de combustion complète ainsi qu'une diminution de l'empreinte environnementale de -94%.Ces start-up bénéficieront de l'expertise et des retours d'expériences des quatre partenaires fondateurs de faire monter en puissance la performance des entreprises en matière de santé et prévention. Les partenaires s'engagent également à faciliter les échanges et la visibilité des startup auprès de leurs entreprises adhérentes, notamment au travers de leurs sites web, leurs réseaux sociaux et leurs médias respectifs, ainsi qu'à l'occasion des événements auxquels ils sont susceptibles de participer.
Il y a 4 ans et 137 jours

Vicat lance un béton prêt à l’emploi à base de bois

Le tout nouveau béton prêt à l’emploi biosourcé de Vicat est à base de granulats de bois. [©Vicat] « Le meilleur des deux mondes. » Ainsi Vicat définit-il son tout nouveau béton prêt à l’emploi biosourcé à base de granulats de bois. Son nom ? Il n’en a pas encore, puisque le matériau est encore en phase de tests sur le secteur de Lyon… En revanche, il est basé sur le ciment bas carbone Naturat, complétée d’une charge minérale, en plus des granulats de bois. Un béton clairement« orientée vers la neutralité carbone », indique Vicat.   Ce béton sera livré en toupie pour une mise en œuvre identique à celle d’un béton traditionnel. Compatible avec le savoir-faire que les maçons ont développé depuis des décennies, il présente une rhéologie de 90 mn et une consistance adaptée au remplissage de coffrages.  Un nouveau béton à base de bois La diversité des formulations permettra de répondre à de nombreuses applications. Toutefois dans la limite de sa résistance à la compression. Un premier chantier doit être réalisé aux Puces du Canal, à Villeurbanne (69). Il s’agira de créer un ouvrage lié à la mobilité douce… « L’inclusion du bois dans une charge minérale donne naissance à un nouveau matériau qu’il est possible de produire sur tout le territoire, détaille Guy Sidos, Pdg du groupe Vicat. Ce béton complète notre offre de matériaux biosourcés initialement destinés à la préfabrication. Ce développement est une réponse aux besoins de la future RE2020. Et accompagne les filières de la construction vers la neutralité carbone. »
Il y a 4 ans et 137 jours

Saint-Gobain Weber : “Vert et fier” de sa démarche RSE

Saint-Gobain Weber a généralisé son nouveau “management d’accompagnement”, à l’ensemble des sites de production de l’entreprise. Usine de Sorgues. [©ACPresse] “Vert et fier”. Le leitmotiv sonne juste. Il est dans l’air du temps et en phase avec tout éco-engagement d’entreprise. Ici, il s’agit de celui de Saint-Gobain Weber. “Vert” se rapporte à l’environnement. Pas de discussion là-dessus. Mais “Fier” ? « La responsabilité sociétale des entreprises est toujours une démarche commune. Pour qu’elle fonctionne pleinement, il est indispensable que chaque collaborateur de l’entreprise y croit, y adhère, se l’approprie. En soi fier ! », explique Charlotte Famy, directrice générale de Saint-Gobain Weber France. Le pilier humain constitue ainsi le premier pan de la transformation de la démarche RSE de l’entreprise. Cela passe par une réorganisation territoriale. « Nous avons créé cinq directions régionales autonomes », confirme Meriem Dussart, directrice marketing de Saint-Gobain Weber. En parallèle, la chaîne managériale a été allégée dans son organisation pour laisser place à une plus grande prise d’autonomie. « Nous voulions donner davantage de sens au travail de chacun, susciter l’initiative. »C’est l’usine de Servas (01) qui a servi de site pilote pour ajuster ce nouveau “management d’accompagnement”, aujourd’hui généralisé à l’ensemble des sites de production de l’entreprise. Aider les artisans à développer leurs idées Charlotte Famy, directrice générale de Saint-Gobain Weber France. [©ACPresse] Côté utilisateurs, Saint-Gobain Weber a posé les mêmes jalons. La volonté est aussi de les rendre “fiers” de mettre en œuvre des produits de la marque. D’où la mise en place de la Weber Academy, qui propose plus de quatre-vingts formations à destination des professionnels. Ces dernières sont structurées selon trois catégories : mise en œuvre, conception de bâtiments durables, et vente de produits et systèmes. Une manière simple de tout connaître (ou presque) sur ces sujets. « Nous avons aussi participé à la construction de deux centres de formation pour apprentis », reprend Meriem Dussart. De quoi bien préparer les futures générations au monde du travail… Avec la création de Weber Incubateur, l’entreprise se rapproche encore plus de ses clients. « Nous voulions mettre l’utilisateur au cœur du processus de création », insiste Charlotte Famy. Pas question ici d’encadrer des start-up. Saint-Gobain Weber est plus pragmatique : un artisan a une idée, mais n’a ni le temps ni les moyens de la concrétiser. « Nous sommes en mesure d’étudier avec lui la pertinence et la faisabilité de son projet. Puis de l’accompagner dans le dépôt d’un brevet, avant de passer au développement de sa solution en partenariat et sous la marque Weber »,complète Meriem Dussart. Près de 86 % des solutions produits en local Meriem Dussart, directrice marketing de Saint-Gobain Weber. [©Saint-Gobain Weber] En fragmentant l’organisation de l’entreprise en directions régionales autonomes, Saint-Gobain Weber France a en quelque sorte créé cinq territoires, « cinq petits pays proches des clients, qui fabriquent des solutions adaptées aux spécificités locales », résume Charlotte Famy. Et de poursuivre : « Ainsi, chaque site est un acteur engagé, qui connaît son territoire et les besoins des utilisateurs ». A travers cette territorialisation, Saint-Gobain Weber peut sans difficulté favoriser les circuits courts, veiller à ce que les matières premières soient locales.« Près de 86 % des produits commercialisés sur un territoire donné sont fabriqués au cœur de ce territoire », dévoile Meriem Dussart. Et 70 % de la gamme bénéficient du marquage “Origine France Garantie”. La logistique n’est pas laissée au hasard dans cette organisation. Les zones de chalandise ne dépassent pas un rayon moyen de 200 km. Toujours cette recherche de proximité. L’entreprise expérimente aussi le transport par véhicules fonctionnant au biogaz, sur son site de Heyrieux (38).  La voie royale du transport fluvial A Bonneuil-sur-Marne (94), c’est la voie fluviale qui s’apprête à devenir une voie royale. Cette éco-initiative permet d’éliminer sept semi-remorques chaque semaine des routes franciliennes. De cette manière, Saint-Gobain Weber se fait livrer 50 % du sable nécessaire à la confection de ses matériaux. Et fait partir 20 % de ses produits finis. « Notre objectif est d’étendre ce mode de livraison. D’ailleurs, nous travaillons à la remise en service d’un second quai sur ce site, le seul situé en bord d’eau », informe Meriem Dussart.  La stratégie RSE de Saint-Gobain Weber se base sur des objectifs chiffrés, visant à réduire les impacts environnementaux d’ici à 2025. « Nous voulons baisser notre empreinte carbone de 30 % sur la période de référence débutée en 2010,explique Lionel Raynaud, directeur R&D de l’entreprise.Les consommations de matières premières devront être réduites de 20 %. Et les déchets plastiques de nos emballages, être diminués de 30 %. »A cela s’ajoute un recul de 5 % par an des déchets de production, accompagné de leur valorisation à hauteur de 90 % ! Une feuille de route ambitieuse. Mais tenable quand on est “vert et fier”…  Une nouvelle offre “éco-engagée” Weber Collect assure la récupération des déchets de construction sur chantier. [©Saint-Gobain Weber] « Nous faisons évoluer nos formulations, en utilisant des liants à CO2réduits ou en utilisant des sables issus du recyclage des retours de béton. »Saint-Gobain Weber mène des essais avec des laitiers de hauts fourneaux ou des pouzzolanes. Mais aussi avec des cendres volantes ou des résidus de traitement des industries verrières… Autant de tests qui permettront de déboucher sur de nouvelles gammes de solutions “éco-engagées”. Avec des analyses de cycle de vie (ACV) et des fiches de déclarations environnementales et sanitaires (Fdes) rédigées en interne par des équipes dédiées, rattachées à la R&D. Mais vérifiées par des organismes extérieurs.  Aujourd’hui, l’offre “éco-engagée” compte quatre premiers produits et deux services. Weber Collect est le premier d’entre eux. Lancé en Ile-de-France et sur le secteur de Lyon, pour le moment, il assure la récupération des déchets de construction sur chantier pour permettre aux artisans de gagner du temps.  Des Weber Trucks et des Weber Pompes Le Weber Trucks est un malaxeur mobile permettant de fabriquer et de mettre en œuvre, sur site, des mortiers de sols prêts à l’emploi. [©ACPresse] Le second service s’appelle Weberfloor Services. Il s’organise autour de trois Weber Trucks. C’est-à-dire des malaxeurs mobiles permettant de fabriquer et de mettre en œuvre, sur site, des mortiers de sols prêts à l’emploi. A la clef : une réduction des déchets de chantier et une économie de 350 000 sacs vides à recycler par an ! Ce service est complété depuis peu par l’offre Weber Pompe. « Un ensemble d’équipements mobiles, lui aussi dédié à la fabrication et à la mise en œuvre, sur site, de solutions de chapes et de ragréages », détaille Lionel Raynaud. Ici, la matière première est conditionnée en sacs (et non en vrac comme dans les Weber Trucks), d’où un choix possible entre seize solutions de base.  Quant aux produits “éco-engagés”, ils sont orientés “second œuvre” pour le moment. A l’image de la colle à carrelage webercol flex éco. « Un matériau sans ciment basé sur la valorisation de co-produits industriels activés. Et affichant A+ pour ce qui est de la qualité d’air intérieur, résume Lionel Raynaud. Les émissions de CO2de cette colle anti-poussières sont réduites de 50 %. »  Autre technologie bas carbone, la webercol façade intègre 10 % de matières premières secondaires pour un bilan CO2en recul de 20 %. Cette colle déformable est idéale pour la fixation en façade de plaquettes de parements en céramique et de pierres naturelles. Le liège et le bois comme solutions d’isolation webertherm XM natura est le tout premier système ITE utilisant le liège comme isolant. [©Saint-Gobain Weber] Le secteur de l’isolation profite aussi des innovations Saint-Gobain Weber. Tout d’abord avec le webertherm XM natura. Il s’agit ni plus ni moins du tout premier système ITE utilisant le liège comme isolant. Un produit 100 % biosourcé, imputrescible, recyclable et biodégradable. « Sa mise en œuvre induit une contribution au réchauffement climatique négative, soit une réduction de 6 kg de CO2/m2posé », détaille Lionel Raynaud. Cette famille “biosourcée” vient de s’agrandir avec l’arrivée du webertherm XM fibre de bois. werbertherm XM fibre de bois vient d’être lancé sur le marché. [©Saint-Gobain Weber] Ce système ITE est dédié aux supports maçonnés et aux constructions bois. Il associe un sous-enduit minéral à base de chaux et surtout des panneaux isolants en fibres de bois. « Ces éléments sont réalisés à partir de chutes de bois récupérées, broyées et agglomérées avec un liant. De quoi permettre d’économiser de la ressource », complète Lionel Raynaud. Et Charlotte Famy, de conclure : « Tout nouveau produit devra désormais répondre à l’un des critères de notre nouvelle charte d’éco-responsabilité. Un engagement qui satisfait à la demande des particuliers, de plus en plus sensibles au confort thermique de leur logement. Mais aussi à l’utilisation de solutions plus respectueuses de l’environnement ».  Frédéric Gluzicki
Il y a 4 ans et 138 jours

Rémunérations dans le BTP à l'ère post-Covid

Hays, leader du recrutement spécialisé, dresse un état des lieux des tendances de recrutement et de rémunération dans le BTP post Covid-19.Tendances de recrutementProfils les plus recherchésConducteur de travaux / OPCChef de chantierCoordonnateur SPSCompétences les plus priséesFlexibilitéRésistance au stressEngagementTendances de rémunération"Malgré la crise, les rémunérations restent globalement stables dans le BTP. Néanmoins, on observe aujourd'hui une recrudescence des besoins sur certains types de postes, qui conduit, de fait, à une revalorisation salariale. Les profils concernés sont essentiellement les conducteurs de travaux et chefs de chantier en entreprise générale, ainsi que les coordinateurs travaux et coordonnateurs SPS en maîtrise d'œuvre."Cécily Bretel, Business Manager BTPDe leur côté, les professionnels évoluant dans le BTP sont confiants pour l'avenir puisque 82% d'entre eux estiment leur dirigeant capable de mener l'entreprise vers la réussite.**Enquête administrée par Hays en septembre 2020 auprès d'un échantillon de plus de 200 professionnels du BTP, issus de sa base de données clients et candidats.
Il y a 4 ans et 138 jours

Activité commerciale record en 2020 pour Voltalia

Cela représente 2,6 fois le niveau, "déjà élevé", de la puissance sécurisée en 2019, dit la société dans un communiqué.Voltalia réalise une percée auprès des entreprises, qui lui achètent directement leur électricité via des "corporate PPAs"(pour "power purchase agreement"), des contrats de gré à gré négociés sur le long terme entre entreprise et producteur d'énergie.Ces clients, issus de secteurs divers comme la distribution, l'agribusiness, la chimie, la banque, et même une autorité publique (la City de Londres) représentent désormais 25% de la clientèle de Voltalia, pour une durée moyenne de contrat à 16,4 années."Cette performance est d'autant plus remarquable dans une période de pandémie qui a ralenti l'activité de nombreux clients", souligne son directeur général Sébastien Clerc.Après la signature de 241 mégawatts en 2018 et 389 mégawatts en 2019, 1.028 mégawatts de nouveaux contrats ont été signés en 2020.Cette année "signe l'accélération rapide du solaire, au sol et en toitures", avec une forte baisse des coûts, souligne le communiqué.
Il y a 4 ans et 139 jours

Wedi et Hansgrohe s'allient pour développer le marché français de l'encastré dans la salle de bain

Alors que l’encastré est très développé dans les pays limitrophes (environ une salle de bain sur deux), il représente sur le territoire national une vraie opportunité de développement qui pourrait conduire les industriels à doubler leur chiffre d’affaires. On compte actuellement 1 salle de bain rénovée sur 10 qui intègre une solution encastrée, soit seulement 10% du marché, malgré des bénéfices évidents autant pour les installateurs que les particuliers.Pour simplifier et étendre le recours à l’encastré sur toute la chaîne de valeur, depuis le distributeur et jusqu’au particulier, wedi et Hansgrohe misent sur la complémentarité de leurs produits, qui associés ensemble, créent un vrai système constructif pour une douche étanche, rapide à installer, et esthétique.Un système constructif innovant et 100% étancheEn s’associant, wedi et Hansgrohe combinent les points forts de leurs deux solutions afin de proposer un ensemble design et étanche.Fondée il y a 37 ans par Helmut Wedi, maître carreleur qui lui a donné son nom, wedi est devenue une marque incontournable et leader sur le marché du bien-être et de l’agencement de la salle de bain. Ses matériaux de construction prêts à l’emploi, ses éléments pour douche de plain-pied, et ses modules design sont aujourd’hui reconnus pour leur étanchéité, leur fiabilité et leur installation simple et rapide. Les produits wedi sont légers, propres à découper, et faciles à manipuler pour l’installation d’une douche. La matière des panneaux, le polystyrène extrudé, permet une étanchéité à 100% de toutes les installations wedi.De son côté, Hansgrohe façonne l’univers de la douche depuis plus de 120 ans. Fidèle à son ADN, le groupe est unanimement reconnu pour son confort de douche. Le fruit d’un enveloppement total, une palette de jets régulièrement enrichie, un large choix de design et la garantie d’un investissement durable au travers d’un produit testé en usine qui traversera les années. Du côté du montage, le corps d’encastrement iBox Universal Hansgrohe assure une gestion du chantier en toute sérénité : adapté à tous les murs entre 58 et 105 mm, il garantit une étanchéité parfaite via ses joints en caoutchouc totalement hermétiques au niveau des 4 raccords, et pourra être réexploité pour une évolution de la douche via 200 sets de finitions disponibles.De nouvelles opportunités business pour les artisansFace aux évolutions du marché, wedi et Hansgrohe innovent afin de proposer des produits qui correspondent aux besoins et à la réalité sur le terrain des artisans pour les aider à valoriser et dynamiser leur activité. Les deux industriels font le constat que le marché actuel de la douche ne permet plus aux artisans de faire valoir leurs compétences. La solution la plus plébiscitée, la colonne de douche, apparente, simple et peu technique à installer pour un bricoleur averti, a banalisé le savoir-faire des professionnels. L’encastré, promu par le partenariat entre wedi et Hansgrohe, remet les compétences de l’installateur au cœur de la pose et élargit ses opportunités business. Ces solutions nécessitent un savoir-faire et une maîtrise parfaite, quasiment inaccessible à celles et ceux qui ne sont pas du métier. Cette valeur ajoutée permet aux professionnels de retrouver des marges saines, de valoriser leur main d’œuvre et leurs produits, tout en montant en gamme leurs installations.La cloison modulaire : Une innovation conjointe primée lors des Salles de Bains Remarquables 2020Pour aller plus loin, les deux industriels ont lancé un produit pré-assemblé en usine, avec leurs deux solutions combinées: la cloison modulaire avec iBox intégrée. Les tubes multicouches sont directement intégrés dans la cloison pour une facilité de mise en œuvre : l’intervention est limitée au raccord eau chaude/eau froide. La pose de la cloison modulaire se fait en 90% de temps en moins par rapport aux méthodes classiques qui utilisent la maçonnerie ou les plaques de plâtres. L’installateur est assuré de réaliser une installation rapide, pérenne et à forte valeur ajoutée. Grâce à sa pose accessible et facile, le produit s’ouvre à toutes les typologies d’installateurs quelle que soit leur formation.Lever les freins chez les distributeurs, les artisans et les particuliersPour démocratiser le recours à l’encastré, wedi et Hansgrohe souhaitent en faciliter sa vente et sa mise en œuvre.Côté installateurs, les freins sont principalement la peur d’une fuite d’eau et d’une salle de bain sinistrée. Au travers de leurs centres de formations respectifs de 250m2 pour Hansgrohe à Antony (92) et 150m² pour wedi à Lyon, sont proposées des formations pratiques qui permettront aux artisans d’avoir les bons réflexes pour une installation rapide, étanche et de haute qualité. Des manuels de mise en œuvre « pas-à-pas » viendront compléter les outils mis à disposition des professionnels en janvier 2021.Pour le distributeur, le recours à l’encastré peut signifier un chiffrage complexe à effectuer, avec une longue liste de références à intégrer dans un devis. Pour répondre à ce défi, Hansgrohe dispense une formation commerciale sur l’encastré par le biais de son équipe de vente. En s’appuyant sur un guide de choix, les vendeurs de salles d’expositions se verront guidés au travers des bénéfices utilisateurs, des étapes clés du chiffrage, d’un outil de sélection de produits à la carte, ou plus simplement de 15 packs commandables en une seule référence.Et enfin, ce programme n’aurait certainement pas les mêmes retombées sans le lancement d’une offre de recrutement, ayant vocation à progressivement prendre le relai des colonnes de douches. C’est ainsi qu’Hansgrohe propose des packs dès 579€, soit le prix d’une colonne dans le réseau pro, pour encourager le transfert.L’encastré, une solution esthétique pour les particuliersLes solutions encastrées permettent de réaliser des salles de bains élégantes et minimalistes en mettant en valeur le carrelage, véritable clou de la salle de bain depuis quelques années. L’encastré est aussi plus facilement modulable et permet d’adapter la disposition de la douche aux contraintes de la salle de bain pour un rendu esthétique adapté aux volontés des consommateurs.
Il y a 4 ans et 145 jours

La famille fondatrice reprend les rênes de Compobaie Solutions

Compobaie Solutions vient d’être rachetée par la famille fondatrice. Qui est composée de Jacques Anglade et de ses trois enfants. [©Compobaie Solutions] Spécialiste français du bloc baie en béton préfabriqué en usine, Compobaie Solutions opère un tournant dans son développement. En effet, la période critique traversée par le monde du bâtiment en 2008 avait conduit à un changement d’actionnariat… Retour en arrière aujourd’hui : l’entreprise vient d’être rachetée par la famille fondatrice. Jacques Anglade et ses trois enfants ont repris les rênes de la société. Et depuis début novembre dernier, Compobaie Solutions est sortie de sa procédure de sauvegarde. A présent, la famille Anglade souhaite conforter l’organisation et la structure de l’entreprise. Son principal objectif est d’asseoir, après 30 années d’existence, sa place sur le marché du bâtiment. Cette reprise a aussi permis de sauver 150 emplois. Et ouvre de nouveaux horizons pour le groupe. Lui offrant désormais des perspectives remplies de projets. « Compobaie Solutions souhaite rester fidèle à son cœur de métier et à son savoir-faire, en continuant son orientation sur le segment de la maison individuelle et du logement collectif », indique le communiqué de presse.
Il y a 4 ans et 145 jours

Vicat s’équipe pour décarboner son usine de Montalieu-Vercieu

Le dispositif CO2ntainer de Carbon 8 Systems est intégré dans le processus de fabrication de la cimenterie Vicat de Montalieu-Vercieu (38). [©ACPresse] Depuis plusieurs années, le groupe Vicat multiplie les actions, afin de s’ancrer durablement dans la transition écologique. Que ce soit dans son offre produits, avec des solutions “bas carbone”. Ou dans ses process de fabrication. L’objectif de l’industriel est bien dans l’air du temps : décarboner l’ensemble de sa chaîne de valeur.  Depuis le mois de septembre 2020, Vicat accueille sur le site de sa cimenterie Montalieu-Vercieu (38) une technologie innovante pour valoriser les poussières issues du four. En effet, la montée en puissance de combustibles alternatifs génère plus de poussières, captées en sortie de cheminée. Point de captation du C02 sur le circuit d’évacuation des gaz de combustion. [©ACPresse]Les poussières sont capturées en sortie de four, avant d’être acheminées jusqu’au silo rattaché au CO2ntainer. [©ACPresse] Vicat cherchait à les valoriser, objectif aujourd’hui en cours de test en partenariat avec la start-up britannique Carbon8 Systems. C’est elle qui est à l’origine du développement du dispositif CO2ntainer. Celui-ci s’intègre directement dans le processus de fabrication de l’usine pour capter le C02 présent dans les gaz de combustion. Quant aux poussières, elles sont capturées en sortie de four. Puis, mises en stock avant d’être acheminées jusqu’au petit silo rattaché au CO2ntainer. En carbonatant de manière accélérée cette poussière, Carbon8 Systems permet la production de granulats légers, offrant des capacités d’isolation thermique. Tout en stockant de manière pérenne le CO2. Une première dans une cimenterie européenne Ainsi, cette technologie brevetée offre à Vicat la possibilité de fabriquer des produits à forte valeur ajoutée. L’opération n’est pas anodine. Chaque année, sur le site de Montalieu-Vercieu, Vicat produit près de 7 000 t de poussières… Grâce à ce procédé inventé par Carbon8 Systems, quelque 2 000 t/an de C02 sont ainsi réabsorbées immédiatement. A gauche, les poussières captées sur le circuit de production. A droite, les granulats obtenus après carbonatation. [©ACPresse] « Dans le cadre de son engagement à réduire notre impact environnemental, Vicat a étudié de nombreuses idées innovantes. Visant à diminuer ses émissions de carbone, explique Laury Barnes-Davin, directrice scientifique du groupe. La proposition de Carbon8 Systems qui rassemble deux opportunités en une technologie : la capture du CO2émis par l’usine et l’utilisation de ce CO2pour produire des granulats nous a immédiatement enthousiasmés. Elle représente un véritable potentiel pour nos activités en France, voire dans tous les pays où nous sommes implantés. »  L’installation du CO2ntainer à Montalieu-Vercieu est une première dans l’industrie cimentière en Europe. Par ailleurs, Vicat envisagerait d’ailleurs de dupliquer ce dispositif sur ces autres sites en France et/ou à l’international. 
Il y a 4 ans et 146 jours

Alain Boisselon élu à la tête de l’Unicem

Alain Boisselon, nouveau président de l’Unicem. [©Unicem] Alain Boisselon a été élu à la présidence de l’Union nationale des industries de carrières et matériaux de construction (Unicem). Il succède à Nicolas Vuillier. Directeur de l’activité carrières de Granulats Vicat France, Alain Boisselon va ainsi renforcer le rôle fédérateur de l’Unicem vis-à-vis des unions régionales et des syndicats, membres de l’Union. Ceci, en favorisant la concertation dans l’étude et la défense des intérêts matériels des entreprises adhérentes. Il va aussi développer une vision sur le long terme. Et travailler à la reconnaissance de leurs matériaux. « Le président de l’Unicem entend accompagner encore davantage les entreprises face aux défis auxquels est confrontée notre société », peut-on lire dans le communiqué de presse. Sa carrière professionnelle « La nécessité de lutter contre le changement climatique, les émissions de CO2, de préserver la biodiversité. Mais aussi de mieux protéger les ressources en eau et la qualité de l’air, nous soumettent à des questionnements déstabilisants de la part des parties prenantes. A commencer par nos clients, explique Alain Boisselon. La nature et la méconnaissance de nos activités expliquent ces interrogations auxquelles nous devons répondre par des orientations claires. A savoir, des explications convaincantes appuyées par des faits, des progrès visibles. Seule l’action collective, et dans notre cas celle de notre Union, peut remplir ce besoin. » Alain Boisselon a plus de 35 années d’expérience dans le secteur de la construction. Après avoir obtenu son diplôme d’ingénieur l’ESTP, il décroche celui de l’IAE Paris – Sorbonne Business School. Il débute ensuite sa carrière en tant qu’ingénieur bitume, chez Shell, où il passera 6 ans. En 1991, il rejoint le groupe Vicat où il occupe différents postes dans les métiers du béton prêt à l’emploi et des granulats. Sa carrière syndicale Tout au long de sa carrière, Alain Boisselon a occupé des mandats syndicaux. Président de l’Unicem Rhône-Alpes depuis 2012, il a organisé, en 2016, la fusion entre les Unicem Auvergne et Rhône-Alpes. Dont il est devenu le président.  De plus, il a été membre du comité directeur du SNBPE en tant que représentant de Vicat, entre 1990 et 2000. Puis, du Bureau de l’Unicem de 2013 à 2017 et membre du Bureau de l’Union nationale des producteurs de granulats (UNPG) depuis 2019. Le tout, en assurant la présidence de la Commission économique pendant 20 ans. Et ce, jusqu’en 2016. A l’échelle européenne, Alain Boisselon a été président de l’Environment Commitee de l’Union européenne des producteurs de granulats (UEPG) pendant 6 ans, de 2014 à 2020.
Il y a 4 ans et 146 jours

Le Groupe Rockwool annonce des objectifs de décarbonisation mondiaux ambitieux

Le Groupe ROCKWOOL, leader mondial des solutions en laine de roche, annonce des objectifs mondiaux ambitieux de décarbonisation fondés sur la science qui ont été vérifiés et approuvés par l'initiative Science Based Targets (SBTi).Les principaux éléments des plans de décarbonisation du Groupe ROCKWOOL comprennent :La réduction des émissions absolues de gaz à effet de serre des usines de 38 % d'ici 2034 (par rapport à l'année de référence 2019)1La réduction des émissions absolues de gaz à effet de serre sur l'ensemble du cycle de vie hors usine de 20 % d'ici 2034 (par rapport à l'année de référence 2019)2Ces objectifs de réduction des émissions absolues, qui s'ajoutent à nos objectifs de développement durable existants, représentent une réduction ambitieuse d'un tiers des émissions de gaz à effet de serre sur l'ensemble du cycle de vie (Scope 1, 2 et 3) du Groupe ROCKWOOL d'ici 2034, tout en assurant la réduction continue de l'intensité des émissions de carbone (carbone émis par tonne produite) de notre production.Jens Birgersson, PDG du Groupe ROCKWOOL déclare : « Nous sommes fiers de faire partie des quelques entreprises de production à forte intensité d'énergie dont les objectifs de réduction des émissions fondés sur la science ont été vérifiés et approuvés par SBTi. Ces nouveaux objectifs s'appuient sur une base solide, car nous sommes déjà une entreprise à intensité de carbone nette négative. Bien que peu d'entreprises puissent avoir cette prétention, nous savons également que ce n'est pas suffisant, et c'est la raison pour laquelle nous nous sommes engagés sur cette voie ambitieuse de la décarbonisation. »Expliquant l'engagement de décarbonation du Groupe ROCKWOOL, Jens Birgersson poursuit : « L'atteinte de ces objectifs de réduction des émissions sera une étape importante pour concrétiser l'ambition globale de réduction des émissions de gaz à effet de serre de l'entreprise à net zéro d'ici 2050.En démontrant qu'une entreprise de production à forte consommation d'énergie peut atteindre ces objectifs, nous espérons inciter les autres à prendre des mesures pour contribuer à la création d'un avenir plus vert et plus durable. »Alberto Carrillo Pineda, Directeur, Science Based Targets chez CDP, l'un des partenaires de l'initiative Science Based Targets, commente : « Nous félicitons le Groupe ROCKWOOL qui fait partie des leaders de son secteur en ayant reçu l'approbation de l'initiative Science Based Targets pour ses objectifs de réduction des émissions. En fixant des objectifs fondés sur la science du climat, le Groupe ROCKWOOL se prépare pour réussir la transition vers une économie zéro émission nette. »Les nouveaux engagements de décarbonisation s'appuient sur le statut existant d'entreprise à intensité de carbone (CO2e) nette négative du Groupe ROCKWOOL. En effet, pendant toute la durée de vie de son utilisation, l'isolation des bâtiments ROCKWOOL vendue en 2019 économisera 100 fois le carbone émis pendant sa production3. Recyclable à l’infini sans perte de performances, la laine de roche se distingue également des matériaux de construction non recyclables qui autrement pourraient être incinérés et générer des émissions en fin de vie. Le recyclage de la laine de roche dans nos usines contribue à réduire les émissions de carbone liées à la production.Tirant parti de nos efforts, depuis des décennies, pour améliorer l'efficacité énergétique de nos propres opérations, la réduction des émissions directes de notre production est un élément clé de notre innovation technologique. Par exemple, nous développons à grande échelle la technologie de fusion électrique, particulièrement adaptée d'un point de vue environnemental dans les pays où le réseau électrique est déjà bas carbone. C'est la raison pour laquelle nous avons choisi notre usine de Moss, en Norvège, comme projet pilote pour le plus grand four électrique du secteur. Avec le démarrage du nouveau four, les émissions de carbone de l'usine de Moss diminueront d'environ 80%.Alors que nous poursuivons la décarbonisation, nous récoltons déjà les bénéfices d'investissements importants dans la technologie leader de fusion avec utilisation flexible des carburants qui nous permet de passer du charbon à des carburants à intensité carbone moins élevée tels que le gaz naturel ou le biogaz dans les sites où cette technologie est utilisée. Outre la conversion de nos deux usines danoises au gaz naturel en 2020 et au biogaz certifié neutre pour le climat en 2021, nous convertirons également l'une de nos usines en Pologne au gaz naturel en 2021, et notre toute dernière usine en cours de construction aux États-Unis sera mise en service au gaz naturel à la place du charbon. Nous prévoyons la conversion d'autres usines, du charbon au gaz, en employant cette technologie de fusion avec utilisation flexible des carburants dans les prochaines années.Désormais, les enseignements tirés de ces multiples innovations et nos efforts continus en matière d'efficacité énergétique seront appliqués dans l'ensemble des opérations mondiales du Groupe ROCKWOOL.1 - L'objectif de 38 % couvre les émissions de Scope 1 et Scope 22 - L'objectif de 20 % couvre les émissions de Scope 33 - Y compris les émissions en amont, de l'extraction et du transport des matières premières et des carburants
Il y a 4 ans et 146 jours

LafargeHolcim : un nouveau four pour Martres-Tolosane

Avec nos remerciements à LafargeHolcim. Un mouchoir de poche. Ainsi peut être décrite l’emprise du chantier de construction du nouveau four de la cimenterie LafargeHolcim de Martres-Tolosane, en Haute-Garonne (31). Conséquent, l’équipement doit s’insérer entre les deux fours existants, en service jusqu’à la fin des travaux, et un silo de stockage. « C’est une opération d’un montant de plus de 100 M€. Soit l’investissement le plus important réalisé par le groupe en France depuis 40 ans », souligne François Pétry, directeur général de LafargeHolcim France et Belgique. En fait, ces travaux s’inscrivent dans un plan global plus large de 300 M€ d’investissements sur l’ensemble des sites répartis sur le territoire national.  La nouvelle ligne de cuisson (four et tour de pré-chauffage) doit s’inscrire dans la zone comprise entre les fours en service et le silo en béton qu’on devine à gauche. [©ACPresse] A travers ce programme, LafargeHolcim cherche, en premier lieu, à pérenniser son unité de production, tout en l’inscrivant dans les préoccupations environnementales actuelles et futures. « Les anciens fours ont respectivement été mis en service en 1956 et en 1966 », rappelle Jean-Louis Sibioude, directeur de l’usine. Ils ont fait plus que leur temps. « Le nouveau four doit permettre de diminuer la consommation d’énergie électrique et thermique de la cimenterie de près de 20 %, donc son empreinte carbone. Ceci, en rendant possible la valorisation d’une part beaucoup plus importante des déchets. » En cours de construction, la future tour de pré-chauffage culminera à près de 100 m de haut. [©ACPresse] Le chantier de construction s’inscrit dans un véritable mouchoir de poche. [©ACPresse] Une haute technologie à basse émission de CO2 Dans sa future configuration, le site devrait tripler son taux d’utilisation de combustibles de substitution. Ici, l’industriel s’inscrit encore plus dans l’économie circulaire. En proposant un exutoire pour nombre de matériaux pouvant se substituer aux combustibles fossiles. « Grâce à ce nouveau dispositif, nous allons passer de 20 à 80 % de substitution », confirme Jean-Louis Sibioude. Un taux qui devrait être atteint à terme. C’est-à-dire dans les 12 à 18 mois après l’entrée en fonctionnement de la cimenterie “version 2020”.  Elément central de l’usine, le nouveau four dit “MK3” présente une longueur de 64 m pour 4,30 m de diamètre. Il s’agit d’un four dit de “haute technologie à basse émission de CO2”. Il est alimenté en énergie par une tuyère Pillard. Ce four remplacera les deux existants – qui seront démantelés -, pour offrir une capacité de production en hausse de 20 %. Ainsi, il sera en mesure de fabriquer environ 550 000 t de clinker par an. Soit plus de 770 000 t de ciments, contre 650 000 t aujourd’hui. Elément clef de l’investissement de 120 M€ destiné à moderniser l’ensemble de la ligne de production de la cimenterie, le montage du four s’est déroulé du 23 au 26 novembre dernier. Les 6 éléments (viroles) ont pu être assemblés grâce à d’importants moyens de levag. A savoir, trois grues mobiles de 250 t, 450 t et 500 t, ainsi qu’une grue à tour parmi les plus grandes en Europe (140 m). Opération de bétonnage de la superstructure de la tour de pré-chauffage. [ACPresse]L’ensemble des bétons représente un volume de l’ordre de 11 000 m3. [©ACPresse] Enfin une tour de pré-chauffage Mais la véritable nouveauté du site sera la tour de pré-chauffage. Culminant à près de 100 m de haut, elle abritera le dispositif de pré-calcination, conçu et fourni par CBM. Celui-ci verra se croiser les gaz chauds sortant du four et la farine crue qui donnera naissance au clinker. « La température dans la zone de pré-calcination oscille entre 300 °C en haut et 900 °C en entrée de four, détaille Jean-Louis Sibioude. Cette technologie assure environ 50 % de la cuisson de la farine. » Surtout, cette tour de pré-chauffage est le point d’entrée privilégié de l’essentiel des combustibles de substitution : pneus déchiquetés, combustibles solides de récupération (CSR) et autres copeaux de bois. « Il y a des discussions avec d’autres industriels locaux, cherchant des déchets à valoriser en combustibles », reprend François Pétry. Et Jean-Louis Sibioude, de compléter : « Tous les combustibles alternatifs proposés sont testés de manière très précise. Afin de connaître leur composition chimique, pour ne pas dégrader la qualité de notre clinker, donc des ciments produits ». En d’autres termes, LafargeHolcim – ni aucun cimentier d’ailleurs – ne brûle pas n’importe quoi dans ses fours… Ces massifs constituent les supports du futur four MK3 de la cimenterie de Martres-Tolosane. En arrière-plan, les deux fours actuels. [©ACPresse] Les segments du nouveau four attendent d’être installés et assemblés entre eux pour former un ensemble de 64 m de long pour 4,30 m de diamètre. [©ACPresse] Des pneumatiques entiers Un des points singuliers de la cimenterie de Martres-Tolosane est la mise en place d’une installation d’introduction de pneumatiques entiers, directement dans le four1. Cette approche permet d’éviter la phase préalable de déchiquetage. L’atelier a été mis en service en 2016, dans le cadre d’une précédente phase de travaux. Mais entrant dans le projet global de modernisation. Il a nécessité un investissement de 2,1 M€, dont 400 000 € financés par l’Ademe. Et a été construit sur mesure par ATS Walter. Pour assurer l’approvisionnement en pneumatiques, LafargeHolcim s’est rapproché d’un collecteur. Qui travaille avec des garagistes auprès desquels les pneumatiques sont récupérés. Celui-ci les trie et les lave avant de les livrer à la cimenterie. La collecte est opérée en local, dans le cadre de contrats pluriannuels avec engagement de fourniture des volumes minimaux. La capacité de traitement de l’atelier atteint 8 000 t/an de pneumatiques. Ce qui représente 15 % de l’apport thermique d’un des deux fours actuels de l’usine.  « Les pneumatiques n’ont pas d’impacts négatifs sur la qualité de la production, ni sur l’environnement de l’usine », rappelle Jean-Louis Sibioule. Bien au contraire, même. La fraction minérale, pour l’essentiel constituée de la trame en acier du pneumatique, assure l’apport en fer. Supprimant ainsi les besoins de compléments extérieurs. Ceci, en plus de l’apport énergétique… Assemblage de la partie inférieure du broyeur Loesche. [©ACPresse] Partie supérieure du broyeur, en cours de pré-assemblage. [©ACPresse] Pour la durée des travaux, l’atelier “pneumatiques” a été déplacé de l’autre côté des fours. [©ACPresse] Près de 11 000 m3 de béton Pour les besoins de la construction du nouveau four, l’atelier “pneumatiques” – du moins, la zone de stockage, de tri et de préparation – a été déplacé de l’autre côté des fours. En effet, la position initiale de cet atelier tombait au droit des massifs supports en béton du nouveau four. Outre la cuisson, les travaux de rénovation de la cimenterie de Martres-Tolosane se concentrent aussi sur le broyage amont. Qui permet l’obtention de la farine crue, et sur son acheminement en direction du pré-calcinateur. En aval, un nouveau refroidisseur IKN à grille pendulaire. Il vient se connecter sur le processus de fabrication et de stockage des ciments.  Le broyeur cru constitue le dernier élément imposant de la nouvelle ligne de production. De type vertical, il s’agit du modèle LM3000 2+2 de Loesche. Par rapport à l’ancienne installation, il devrait permettre de diviser par deux la consommation énergétique.  Bien que les équipements industriels occupent le devant de la scène, l’opération de transformation de l’usine n’en est pas moins consommatrice de béton. Ainsi, à l’image de Boccard, qui pilote le pré-assemblage des équipements, l’entreprise de BTP Eiffage Génie Civil assure la construction de la superstructure non métallique. Si les bétons restent classiques, ils représentent tout de même 11 000 m3, à mettre en regard des 4 000 t d’équipements et des 3 000 t de charpentes métalliques. « Des bétons fournis par LafargeHolcim, à partir d’une centrale à béton proche de l’usine », indique en conclusion Didier Michel, directeur du projet de modernisation pour LafargeHolcim.  Les deux fours originels de la cimenterie de Martres-Tolosane ont été mis en service en 1956 et en 1966. Ils seront démantelés après 2020. [©ACPresse] En jaune, toutes les parties conservées de l’usine. En gris et bleu, les parties nouvelles. [©LafargeHolcim] 1Lire CBPC 930, supplément de BLM n° 67, de novembre/décembre 2016. Un nouveau terminal ferroviaire Excentrée par rapport à l’actuelle zone de travaux de la cimenterie de Martres-Tolosane, une toute nouvelle unité de chargement de clinker est en service depuis quelques mois sur le site. Elle se substitue à un poste de chargement manuel (à l’aide d’une chargeuse sur pneumatiques). Cette installation permet à l’usine une expédition en direction de la station de broyage d’Angoulême, en Charente (16), distante de 400 km. Il s’agit de la seule partie de l’ex-cimenterie de La Couronne, qui soit restée en service, suite à l’arrêt de la production de clinker, du fait de la fermeture de sa carrière mitoyenne, dont le gisement était épuisé. Confiés à Chovet-DB2i (groupe Demathieu & Bard), les travaux ont nécessité un investissement de 4,4 M€. La pièce principale du dispositif est une trémie d’une capacité de 1 000 t, soit les deux tiers d’un train complet d’une vingtaine de wagons. De fait, cette trémie a un peu le rôle d’un stock-tampon. Elle présente un diamètre de 10 m, pour une hauteur utile (sans le cône) de 11 m. L’ensemble de la superstructure culmine à 24 m. Elle bénéficie de deux sorties : la principale, réservée au chargement des trains, et l’optionnelle, dédiée en remplissage de citernes sur semi-remorques. La reconfiguration de la zone a imposé de dévier la voie ferrée existante pour l’axer sous la trémie et, en même temps, répondre aux contraintes relatives au gabarit réglementaire des wagons. Afin de s’inscrire dans la charte environnementale du groupe LafargeHolcim, tout un système anti-poussière d’extraction, de transfert et de vidange du clinker dans les wagons a été mis au point par Chovet-DB2i. Grâce à cette nouvelle installation, le remplissage d’un wagon de 66 t se fait dorénavant en 10 mn et celui d’un train complet de 1 500 t, en 6 h. Grâce à sa nouvelle installation, la cimenterie LafargeHolcim de Martres-Tolosane peut remplir de clinker un train complet de 1 500 t en 6 h.[©LafargeHolcim]
Il y a 4 ans et 146 jours

Saint-Gobain renforce son partenariat avec El Volcan en Amérique du sud

Saint-Gobain et le groupe El Volcan, partenaires historiques au Chili (dans le fibrociment, les mortiers, l’isolation et la plaque de plâtre), en Colombie (dans l’isolation et l’imperméabilisation), et au Brésil (dans la plaque de plâtre), ont signé un accord qui porte sur leurs activités au Pérou (mortiers et plaques de plâtre) et en Argentine (plâtre et plaques de plâtre) qui représentent environ 60 millions d’euros de chiffre d’affaires, 6 usines et 450 employés.
Il y a 4 ans et 149 jours

La famille fondatrice de Compobaie Solutions reprend sa direction

Jacques Anglade et ses trois enfants reprennent, ainsi, les rênes de la société créée il y a plus de 30 ans. Depuis début novembre, Compobaie Solutions est sortie officiellement de sa procédure de sauvegarde lui offrant désormais un horizon éclairci et rempli de projets.Cette fin d'année 2020 sonne comme une nouvelle ère pour Compobaie Solutions et ses équipes. Jacques Anglade, fondateur, a décidé de racheter l'entreprise il y a quelques mois pour la relancer et recréer les conditions de sa réussite.La période critique traversée par le monde du bâtiment en 2008 avait conduit à un changement d'actionnariat pour une poursuite d'activité sous l'entité Compobaie Solutions.Aujourd'hui, c'est accompagné de ses trois enfants que Jacques Anglade reprend les commandes d'une entreprise qu'il connait tant et qui lui est cher. L'histoire familiale est en marche !La famille Anglade souhaite conforter l'organisation et la structure de Compobaie Solutions. Son principal objectif est d'asseoir, après 30 années d'existence, la place de Compobaie Solutions sur le marché du bâtiment. Cette reprise aura permis de sauver 150 emplois et ouvre de nouveaux horizons pour le groupe.Aujourd'hui, la sortie de la procédure de sauvegarde permet à l'entreprise de recentrer ses objectifs sur l'innovation de son produit spécialisé. Le groupe propose une solution de traitement des ouvertures intelligentes : le bloc baie béton, assemblé en usine pour optimiser sa qualité optimale qui facilite sa mise en œuvre sur les chantiers et ses performances techniques.Les ambitions de la famille Anglade s'inscrivent dans une réelle volonté d'innover autour du Bloc baie béton déjà maîtrisé, pour le rendre encore plus performant et incontournable.Le savoir-faire et l'expertise de Compobaie Solutions s'appuient également sur cette force de pouvoir faire cohabiter l'aspect industriel et entrepreneur, autrement dit : la rigueur et la souplesse d'adaptation autour d'un seul et même produit.Compobaie Solutions souhaite rester fidèle à son cœur de métier et à son savoir-faire en continuant son orientation sur le segment de la maison individuelle et du logement collectif.C'est une bouffée d'oxygène et de nouveaux horizons qui s'offrent ainsi à cette entreprise leader sur son marché.