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Il y a 2 ans et 307 jours

Engager le réemploi, la liste des 29 familles propices

Photo : AdobeStockCette note est un appel à la mobilisation de tous les acteurs, à s'inscrire dans une démarche commune, afin d'accélérer la massification des pratiques de réemploi dans le secteur du bâtiment. La première étape proposée dans la démarche collective consiste à cibler dans un premier temps les familles de produits les plus propices au réemploi. Le CSTB a pris le parti de mettre à profit l'expérience des acteurs du terrain, en organisant plus de quarante échanges, afin de mieux comprendre les pratiques du territoire national. La typologie des acteurs rencontrés était diverse : des plateformes de reconditionnement proposant à la vente des PEM issus du réemploi (18 acteurs), des assistants à maîtrise d'ouvrage spécialisés en réemploi, des concepteurs et prescripteurs, des entreprises travaux, des contrôleurs techniques, des maîtres d'ouvrage engagés, et des assureurs. Ces échanges ont permis de dresser une liste de 29 familles de produits, sur lesquelles la filière devrait concentrer en priorité ses actions. Nota : les possibilités de réutilisation (avec changement d'usage) ne sont pas regardées dans cette étude. Organiser et ranger en familles, les PEM (produits-équipements-matériaux) évoqués par les acteurs lors des entretiens, n'a pas été aisé. La nomenclature à utiliser reste un sujet ouvert, qui pourra notamment être précisé lors des prochains échanges des Groupes Utilisateurs accompagnant le développement de la plateforme nationale règlementaire PEMD (pour vous y inscrire : plateforme.PEMD@cstb.fr). La nomenclature retenue dans cette approche est celle de l'Assurance Construction. Les familles les plus mentionnées lors des échanges avec les acteurs apparaissent en priorité dans cette liste. A noter que la description des familles de produits est directement issue des remontées des acteurs, et pourra donc être reprécisée ultérieurement. De plus, les niveaux de maturité ne sont pas les mêmes selon les familles. Un document plus complet, explicitant le mode de sélection de ces familles, pourra être élaboré prochainement. Lire la suite : Engager le réemploi, la liste des 29 familles propices
Il y a 2 ans et 308 jours

Le béton, grand oublié de la transition écologique

Ingénieur Arts et Métiers Paris Tech, Florent Dubois est aujourd’hui responsable Construction Durable chez Lafarge France. [©Lafarge France] Deux ans après le forfait “Ma Prime Rénov”, les législateurs se penchent sur les standards des nouveaux bâtiments. Entrée en vigueur début 2022, la RE 2020 est pensée pour donner la primauté à la sobriété énergétique et à la décarbonation de la construction. En particulier, via l’utilisation de matériaux biosourcés… Pour beaucoup, ce contexte invite à faire plus vert que vert et donc à renier le béton qui reste associé à des représentations peu flatteuses. Bien qu’en théorie le béton ait toute sa place dans les nouveaux mix de matériaux, certains décideurs auront tendance à lui préférer le bois, même s’il ne s’agit pas toujours du matériau le plus adapté. Or, la question de la qualité de vie est trop importante – et trop complexe ! – pour se contenter d’une solution simple, voire simpliste. Sur le volet écologique et économique, le béton a de beaux arguments à faire valoir. D’autant qu’il a entamé sa mue bas carbone. Alors pourquoi le reléguer d’office au “monde d’hier”, sans lui donner une chance d’aller au bout de sa propre transition ? Le fantasme d’un urbanisme sans béton Enterrer le béton, c’est renoncer à une ressource utile et pleine de potentiel, qui a déjà beaucoup évolué depuis trente ans. [©Lafarge France] La question du mieux-vivre n’a jamais été aussi prégnante que depuis que nous avons été contraints de rester confinés à domicile. Pour beaucoup, la crise du Covid a mis en exergue des besoins jusque-là sous-estimés : plus d’espace, meilleur aménagement et ouverture sur l’extérieur. Conséquence directe : le “monde d’après” fait la part belle aux régions et aux villes dites “cathédrale” (situées à 2 h de Paris et dotées d’un patrimoine culturel riche). Ces aspirations individuelles sont loin d’être incompatibles avec une quête de mieux-être collectif. En un sens, les citoyens d’aujourd’hui renouent avec l’idéal aristotélicien de la tempérance et avec le dogme stoïcien qui consiste à vivre en accord avec la nature. L’heure semble être aux mobilités douces et à la sobriété, dont s’imprègne la nouvelle génération d’architectes et de promoteurs. De fait, les “éco-quartiers” et les bâtiments “éco-conçus” n’ont jamais autant été en vogue ! Alors que le rééquilibrage territorial qui se dessine met au jour de nouveaux besoins, en termes de logement, on attend de l’urbanisme contemporain qu’il s’intègre harmonieusement à la nature. Et dans cette vision idéalisée, le béton tel qu’on se le représente habituellement n’a pas sa place. Qui voudrait encore d’un matériau réputé polluant et non recyclable ? Le citoyen et la planète, grands perdants d’un débat qui n’en est pas un Il faut néanmoins rappeler que, comme toutes les images d’Epinal, celle-ci ne correspond à aucun art de vivre réel. D’une part, parce que peu de gens sont prêts à assumer un modèle de développement qui ne repose pas sur la métropolisation et l’augmentation des infrastructures de mobilité. D’autre part, parce que l’objectif impérieux de décarbonation impose des solutions complexes : jusqu’à preuve du contraire, le matériau miracle n’existe pas ! Pourtant, l’Etat a fait le choix d’investir des milliards d’euros dans la filière du bois et pousse à son utilisation massive… au détriment d’autres matériaux. Lire aussi : Shift Project, réduire son empreinte carbone Or, en fonction des territoires et de leur spécificité, ce parti-pris n’est pas toujours pertinent. Il peut même s’avérer contre-productif dans la mesure où le bois de construction répond mal à l’injonction du “vite et massif”, voire provoque, en cas de sylviculture intensive, des conséquences nocives sur l’environnement. Bien sûr, on ne peut qu’applaudir la volonté d’accélérer la transition vers une économie décarbonée. Mais il est dommage que le débat public se retrouve caricaturé et surtout perde de vue le principal intéressé : le citoyen lui-même. Celui-ci est tributaire de politiques qui le dépassent, mais qui le concernent au premier chef. Et pour cause : le logement représente en moyenne 20 % de ses revenus. Il est donc une bombe sociale latente. Nous avons trop tendance à oublier que les Français sont fortement contraints en termes de pouvoir d’achat. Et qu’avec la pénurie de logements, aggravée par la baisse de constructions neuves, la situation n’est pas près de s’arranger. Le béton est beaucoup moins cher que la plupart des matériaux existants. Et contrairement à ce qu’on pourrait penser, pas nécessairement plus polluant. L’évacuer du débat public au détriment de l’habitant et, in fine, de la planète, n’a tout simplement pas de sens. Oser le béton pour construire demain ! Le béton est beaucoup moins cher que la plupart des matériaux de construction existants. [©Lafarge France] L’enjeu dépasse la question du matériau A ou B, puisque c’est toute l’industrie qu’il faut transformer. Gardons-nous simplement d’être trop expéditifs dans les choix qui vont être faits. Enterrer le béton, c’est renoncer à une ressource utile et pleine de potentiel, qui a déjà beaucoup évolué depuis trente ans. Pour l’avenir, nous pouvons encore miser sur deux axes de technologies de rupture. Celles qui permettent de formuler des bétons bas carbone, recyclés ou encore biosourcés, et celles qui permettent de capter et de réutiliser les émissions résiduelles de CO2. Sans compter toutes les émissions que nous pouvons éviter, en utilisant tout simplement des bétons plus performants, en moindre quantité. Alors pourquoi nous en priver ? En s’appuyant sur ces leviers, la filière du béton pourra devenir neutre en carbone et largement moins consommatrice de ressources minérales non renouvelables. Mais ce chantier collectif est aussi une affaire de volonté politique. Nous ne manquons pas de données, ni sur les besoins de construction ni sur les ressources disponibles dans les différents territoires. Il est grand temps de quitter les postures idéologiques et de mettre toutes ces expertises au service d’une meilleure qualité de vie. Pour la nouvelle génération d’architectes, de techniciens et d’ingénieurs, le défi est passionnant. Il s’agit, ni plus ni moins, de construire un vivre-ensemble enfin durable. Florent DuboisIngénieur Arts et Métiers Paris Tech et responsable Construction Durable chez Lafarge France.
Il y a 2 ans et 308 jours

Tri’n’Collect à la conquête de l’Ouest

Tri’n’Collect possède désormais 12 agences réparties sur la côte Ouest de la France. [© Tri’n’Collect] Expert dans les solutions de tri à la source sur chantier, Tri’n’Collect poursuit son développement partant à la conquête de l’Ouest. La start-up vient d’ouvrir six nouvelles agences, à Bayonne (64), Brest (29), Caen (14), La Rochelle (17), Tours (37) et Vannes (56). Désormais, elle compte un total de 12 sites. La stratégie de développement territorial s’inscrit dans une logique de proximité. Cela, afin de limiter le transport de déchets entre les chantiers, les lieux de massification, de traitement et de valorisation des matériaux. Chaque agence a été implantée pour une raison précise. A l’image de l’agence de La Rochelle où l’opération “Zac de la Gare” du Crédit Mutuel Aménagement Foncier a été confiée à Tri’n’Collect. Celle-ci représente le plus grand projet d’aménagement de la start-up. Elle permettra l’économie de plus de 80 t de CO2. Vers un développement national A ce jour, Tri’n’Collect a évité l’enfouissement de plus de 4 300 t de matériaux qui ont pu être valorisés localement dans le respect de hiérarchie des modes de traitement des déchets. De plus en plus d’acteurs du bâtiment s’engagent pour une construction durable avec les nouvelles obligations réglementaires et la pression inflationniste des coûts de gestion des déchets. Lire aussi : Soclova et Tri’n’Collect renouvellent leur partenariat C’est pourquoi Tri’n’Collect a accueilli 20 nouveaux collaborateurs en 2022, permettant de franchir le cap des 50 partenaires. D’ici septembre, trois autres agences seront ouvertes. Le Morbihan sera renforcé avec un site annexe à Vannes. Tandis que celles de Tours et de Bayonne couvriront respectivement les départements de l’Indre-et-Loire et des Landes. Pour 2025, Tri’n’Collect vise à déployer une quarantaine d’agences. Et ainsi, occuper le territoire national.
Il y a 2 ans et 308 jours

Mondial du bâtiment 2022 : KAWNEER dévoilera ses dernières innovations sur son stand au salon BATIMAT

Spécialiste des solutions architecturales en aluminium, KAWNEER propose une offre de menuiseries et de services complète et pertinente, au plus près des attentes des professionnels. Au salon Batimat, du 3 au 6 octobre 2022 à Paris Expo, l’entreprise présentera en exclusivité ses derniers développements. Que ce soit pour le neuf ou la rénovation, pour le […]
Il y a 2 ans et 308 jours

La hausse du taux du Livret A pourrait mettre en difficulté les HLM

Comment le Livret A finance le logement social ?Une partie importante du Livret A est confiée, avec d'autres produits d'épargne (Livret de développement durable et solidaire, Livret d'épargne populaire), à la Caisse des dépôts et consignations (CDC).Celle-ci est tenue par la loi de dédier ces ressources en priorité à des prêts finançant le logement social et la politique de la ville, via sa filiale la Banque des territoires.Ces prêts sont octroyés pour des durées très longues, qui peuvent aller jusqu'à 80 ans.Au total, près de 80% de la dette des bailleurs sociaux est détenue par la CDC.Fin 2021, 170,7 milliards d'euros étaient affectés par la CDC au financement du logement social et de la politique de la ville, dont 11,8 milliards débloqués dans l'année.Cette somme a permis de construire 85.300 logements sociaux en 2021, et d'en réhabiliter 81.600.Que se passe-t-il si le taux augmente ?"L'impact de la hausse du Livret A est non négligeable", glisse-t-on dans l'entourage du ministre délégué au Logement, Olivier Klein.Le gros des prêts contractés par les bailleurs sociaux est en effet à taux variable, c'est-à-dire que les intérêts qu'ils doivent rembourser augmentent ou baissent en fonction du taux du Livret A."Cependant, nous avons des garde-fous", assure-t-on au ministère. "Le modèle français de financement du logement social par le Livret A va protéger (les bailleurs sociaux, NDLR) d'un impact direct de la hausse des taux, puisque les prêts de la Banque des Territoires vont rester attractifs.""A très court terme, l'impact va être limité; à plus long terme, cela dépend du temps que durera cette augmentation", assure Clément Lecuivre, directeur général de CDC Habitat, bailleur social filiale de la CDC.Manuel Domergue, directeur des études de la Fondation Abbé Pierre, y voit un risque d'autant plus grand que les bailleurs sociaux ont beaucoup emprunté ces dernières années."Quand le taux était bas, ça a permis aux bailleurs sociaux de s'endetter à bas coût, donc c'était quelque chose d'assez intéressant pendant des années, et là, la remontée des taux a des effets assez coûteux pour les bailleurs sociaux, et ce n'est sûrement que le début", ajoute M. Domergue.Comment les bailleurs sociaux s'adaptent ?Ils vont fatalement devoir faire des arbitrages."Si le taux continue d'augmenter, ça va limiter les capacités d'investissements nouveaux des bailleurs", prévient Marianne Louis, directrice générale de l'Union sociale pour l'habitat (USH) qui représente les bailleurs sociaux."Moins de capacité d'investissement, c'est moins de constructions, moins de rénovations... c'est un peu ça, le sujet", dit-elle.Avec les obligations de rénover les passoires thermiques sous peine de ne plus pouvoir les louer, c'est plutôt sur la construction que vont se faire les économies, prévient-elle.Autant d'embûches supplémentaires pour les quelque 2,3 millions de personnes en attente d'un logement social.Avec un passage de 1% à 2%, "on a 1,5 milliard (de charges par an, NDLR) de plus. Et là, c'est, en gros, 70.000 réhabilitations perdues", calcule de son côté Didier Poussou, directeur général de la Fédération des entreprises sociales pour l'habitat, les bailleurs sociaux privés.Que peuvent faire les pouvoirs publics ? Ils sont face à un dilemme. En période d'inflation, augmenter trop peu le taux du livret A, prisé des petits épargnants, risquerait de les en détourner, et donc d'assécher la manne qui finance le logement social.Mais l'augmenter alourdit les coûts de fonctionnement des bailleurs sociaux.Pour éviter de choisir, il faudrait que l'Etat mette la main à la poche."La solution, c'est d'assumer qu'avoir un parc HLM qui répond à tout ce qu'on lui demande, (...) ça coûte de l'argent public", cingle Manuel Domergue, rappelant les économies imposées aux bailleurs sociaux lors du premier mandat d'Emmanuel Macron."C'est comme quand vous achetez un appartement: si les taux d'intérêt sont élevés, il faut augmenter votre apport", détaille Marianne Louis. "Donc la part +argent gratuit+. Est-ce qu'on est capables, demain, d'augmenter les aides à la pierre? C'est ça, la question."
Il y a 2 ans et 309 jours

Würth France annonce la pose de la première pierre du chantier Evolog, l’agrandissement de ses plates-formes logistiques

Retour sur la cérémonieLors de cette manifestation, la société OTE a mis en place le premier pylône du bâtiment shuttle : un obélisque de 23 mètres de haut et de 21 tonnes. Il a été dressé à la verticale, réglé et scellé immédiatement. Symboliquement, une vis creuse contenant un parchemin a été placée dans une cavité du poteau en béton. Ce parchemin, signé conjointement par Claude Kopff, Président du Directoire et Claude Muller, Directeur de la Logistique de Würth France a pour objectif de remercier l’ensemble des parties prenantes au projet Evolog.Evolog : un investissement de plus de 70 M€ pour moderniser et agrandir la plate-forme logistique d’ErsteinWürth France poursuit son développement pour soutenir sa stratégie multicanale et sa croissance, tout en améliorant sa productivité et sa compétitivité. C’est pourquoi, EVOLOG, vaste projet de modernisation et d’agrandissement de ses plates-formes logistiques, a vu le jour. Il s’agit pour Würth France de l’investissement le plus important depuis sa création en 1967.Pour le premier volet de ce projet d’envergure, ce sont plus de 70 millions d’euros qui sont investis dans la plate-forme logistique d’Erstein (67). Créée en 1990, la plate-forme a déjà fait l’objet de quelques changement notamment deux extensions en 1995 et 1999.Amélioration des délais de livraison, augmentation de la productivité, amélioration de l’ergonomie des postes de travail, réactivité et meilleure maîtrise du traitement des commandes sont les principaux objectifs de ce projet. Ceci, non seulement pour améliorer la satisfaction des clients et rester compétitif sur le marché, mais également pour assurer la pérennité des emplois et la montée en compétences des collaborateurs grâce à la formation aux nouvelles technologies.Après plusieurs années de travail, c’est le système « Goods to Person » qui a été privilégié afin d’augmenter la réactivité, la productivité, ainsi que la sécurité des collaborateurs. Leurs conditions de travail seront améliorées et l’ergonomie de leurs postes repensée. Ce système permet également un meilleur traitement des commandes et des délais de livraison optimisés.Composée de 3 nouveaux bâtiments, cette extension constituera une surface additionnelle de stockage entre 12.000 m² et 15.000 m².Le shuttle, entrepôt entièrement automatisé d’une surface d’environ 1800 m² et de 24 mètres de haut, aura une capacité de stockage de 120.000 bacs qui alimenteront les différentes stations de picking grâce à une multitude de navettes automatisées ainsi qu’un système convoyage performant. Le système contribuera à la consolidation des commandes grâce au stockage tampon des colis, permettant ainsi d’expédier tous les colis d’une même commande de façon consolidée. La particularité de ce nouveau bâtiment est son système de protection incendie par atmosphère appauvrie en oxygène. En effet dans cet environnement hautement sécurisé, et qui n’est pas dangereux pour l’homme, la combustion des produits qui y seront stockés est impossible.Le bâtiment fonctionnel, d’une surface d’environ 5000 m² sur 5 niveaux, sera le point de lancement automatique des colis avec ses formeuses à cartons et contiendra une vingtaine de stations de picking haute performance.Le bâtiment d’expédition, quant à lui, fera le lien avec la plate-forme logistique actuelle. Il s’agit du nouvel emplacement du service Expédition avec d’abord en emballage automatique des colis avec réduction de hauteur par des chapeauteuses, une palettisation automatique et 12 nouveaux quais de chargement. Les quantités d’emballage et de produit de calage seront réduits et par conséquent l’impact environnemental.En plus de ces nouveaux bâtiments, c’est une grande partie de la plate-forme logistique actuelle qui sera modernisée. Le système de convoyage sera totalement rénové et de nombreux équipements viendront améliorer les conditions de travail des collaborateurs et permettront de réduire le nombre de colis expédiés par une consolidation plus poussée. Grâce à une nouvelle dimension des colis, les références convoyables seront augmentées et le nombre de colis et donc l’impact environnemental seront diminués. De plus, les livraisons de nos magasins se feront dans des bacs pliables réutilisables ce qui réduira drastiquement les déchets émis par ces derniers. Enfin, l’installation de panneaux solaires permettra de fournir une partie de l’énergie nécessaire.Les travaux de cet investissement hors norme constitueront une véritable prouesse technique puisque tout au long du chantier la plate-forme restera en activité, sous la responsabilité de Claude Muller, directeur logistique, et de Sébastien Bach, en charge du projet.Pour Claude Kopff, président du directoire : « Après 3 ans de travail conjoint avec la direction du groupe, nous avons eu fin 2020 l’accord pour lancer ce vaste projet de modernisation de notre plate-forme logistique. C’est un symbole de l’attachement de la famille Würth à notre site alsacien mais aussi une preuve de la volonté de pérennité de notre entreprise. Un investissement entièrement autofinancé grâce à une trésorerie saine et des fonds propres corrects, en somme le résultat d’une gestion de bon père de famille. Les travaux qui ont débuté en 2022 permettront une mise en service courant 2024. Tout au long de cette période, les collaborateurs de la plate-forme seront formés aux métiers de demain pour qu’ils soient parties prenantes de ce beau projet d’entreprise. » Les étapes-clés de la logistique chez Würth France : 1990 : inauguration d’une nouvelle plateforme logistique de 10.000 m² en ZI Ouest à Erstein (67) 1995 : première extension logistique de 5.000 m² 1999 : deuxième extension logistique de 13.000 m² (nouvelle gare de triage) 2002 : troisième extension logistique (nouveau palettier entièrement automatisé) 2008 : mise en service de la seconde plateforme logistique à Montélimar (26) (17.000 m²) 2021 : étude du projet EVOLOG pour la plateforme logistique d’Erstein (actuellement 34.000 m²) 2022 : début des travaux EVOLOG
Il y a 2 ans et 309 jours

Mise en exploitation des premiers 30 km de l’A79+, première autoroute à péage en flux libre en France

Cette autoroute sera achevée à l’automne 2022 et remplacera la RN79. Elle traversera d’Est en Ouest le département de l’Allier permettant ainsi de relier les autoroutes A6 et A71 sur un tronçon payant de 88 km. L’A79, décrété par l’État d’intérêt public, proposera aux usagers le système de péage en flux libre autorisé par la Loi d’orientation des mobilités (LOM) de décembre 2019. Déjà présent en Autriche, Espagne, Portugal et aux États-Unis, la technologie du flux libre s’affranchit des barrières de péage physique contribuant ainsi à moderniser le réseau d’autoroutes français. La suppression des barrières physiques apporte plusieurs avantages, tant au bénéfice des utilisateurs que de la collectivité : une circulation plus fluide avec une diminution des risques de bouchon et un gain de temps de trajet réduction de la consommation de carburant et des émissions de CO2. Lors de chaque arrêt à une barrière de péage, un poids lourd dépense un litre de gasoil ordinaire, soit 3,1 kg de CO2 émis (source : ASFA) suppression du stress à l’abord des péages, donc plus de sécurité et de confortréduction de l’artificialisation des sols. La surface nécessaire à une barrière de péage est estimée à 16 ha. Le Groupe Eiffage, qui finance en propre le projet avec un investissement de 538 millions d’euros, a réuni tous ses savoir-faire pour concevoir, construire et exploiter la première autoroute en flux libre : ALIAE est maître d’ouvrage et concessionnaire de l’A79 pour une durée de 48 ans ; Eiffage Génie Civil est le mandataire du GIE CLEA qui a la charge de la conception et de la construction de l’A79 ;APRR à qui ALIAE a confié l’exploitation et la maintenance de l’A79 sur la durée de la concession. Les chiffres clés 88 km la longueur de l’A79 23,5 mois délais de réalisation 548 ME le montant de l’investissement en propre de Eiffage48 ans durée de la concessionL’A79 en un coup d’œilUn nouveau tronçon autoroutier qui traverse la France d’Est en Ouest et relie l’A6 et l’A71. L’A79 est la section autoroutière entre Sazeret (Allier) et Digoin (Saône-et-Loire) de la Route Centre Europe Atlantique RCEA), un axe transversal stratégique pour relier sur des trajets longue distance la façade atlantique française à l’Allemagne, la Suisse et l’Italie via le centre de la France. Chaque jour, 10.000 à 15.000 véhicules composés à près de 40% de poids lourds empruntent cet itinéraire. Ce trafic de poids lourds très élevé, conjugué à une configuration routière devenue obsolète, en ont fait l’un des axes routiers français parmi les plus accidentogènes : entre 2008 et 2017, 124 personnes ont perdu la vie entre Montmarault et Mâcon. C’est pourquoi l’État a décidé en 2017 de la construction de l’A79 confiée à ALIAE. Une infrastructure du développement local et territorial L’A79 est aussi conçue pour favoriser le développement territorial. Bien que le trafic de transit soit particulièrement important, l’infrastructure doit être un vecteur d’échanges et de lien au niveau local. Ce lien sera favorisé par une mesure particulièrement forte : les automobilistes pourront circuler gratuitement sur la section Cressanges - Toulon (17 km) et sur la section de Dompierre (6 km). Par ailleurs, pour encourager l’utilisation de l’infrastructure payante par les utilisateurs locaux ou pour la desserte locale, ALIAE proposera une politique tarifaire très attractive avec une formule télépéage offrant jusqu’à 60 % de réduction sur les trajets. Cette réduction pourra s’appliquer dès le premier euro réalisé sur les trajets selon un barème dépendant du nombre de passages effectués dans le mois. Les aires de repos et de services joueront également un rôle de proximité important. En plus des aires de Pierrefitte et des haltes de Deux Chaises au niveau de la barrière de péage, deux aires de repos (Dompierre Ouest et Cressanges) et une aire de services (Toulon-sur-Allier) seront accessibles à la fois par l’autoroute et par la voirie locale.4 aires de repos Aires de repos (4 aires sur les 88 km)Parking VL/PLCovoiturageSanitaires et douches pour les chauffeurs poids lourdsBâtiment d’accueil : mange-debout, distributeur de boissons et snack, écran d’information, wi-fi gratuitBornes de paiement flux-libreEspace détente et pique-nique1 aire de service L’aire de services du Bourbonnais (Toulon-sur-Allier)RestaurantParking pour véhicules légers (VL) et poids lourds (PL)Station carburants VL/PLStation de recharge rapide véhicules électriquesPrises spéciales pour camions frigorifiquesSani-stations bus et camping-carArrêt transport en commun pour le prolongement de la ligne de bus H AléoBornes de paiement flux-libreEspace détente et pique-niqueEspace événementielSanitaires et douches gratuits pour les chauffeurs poids lourdsWi-fi gratuit 88 Km intégralement en flux libre, une première en France Dès l’automne 2022, ALIAE mettra en service la première autoroute française en flux libre, sans barrière de péage physique. Voulu par la loi d’Orientation des Mobilité de décembre 2019, le péage en flux libre a déjà été adopté dans plusieurs pays européens (Autriche, Espagne, Portugal) ainsi qu’au Brésil, Chili, aux Etats-Unis et en Inde. Et plusieurs projets sont annoncés en France sur l’A4, A13-A14, A69 et A412. Fini les gares de péages et les files d’attentes. Les portiques et la technologie mis en œuvre ont été conçus et fournis par l’un des leaders mondiaux. Ils sont déjà utilisés dans de nombreux pays : Etats-Unis, Espagne, Autriche, Brésil, Chili, Colombie, Inde. Le dispositif est constitué de caméras infrarouge, d’antennes télépéage et de capteurs auxquels s’ajoute une couche d’intelligence algorithmique qui permet de faire communiquer les équipements entre eux et vers le système de back office permettant la facturation et le recouvrement du péage en flux libre. Protection des données : un dispositif conforme au RGPD Les systèmes logiciels pour le paiement sur site internet et les bornes à pied sont développés en France et Eiffage est en l’éditeur. Les données sont hébergées en France. Le système d’identification du flux libre est conforme RGPD et ne lit les plaques d’immatriculation qu’à des fins de perception et de facturation du péage. Le droit d’accès aux données et de rectification est assurée à tous les clients. Le processus de contrôle de la protection des données personnelles est rigoureux et assuré avec un DPO (Data Protection Office) et un réfèrent RGPD, aussi bien chez Eiffage que chez APRR. Le Flux libre, mode d’emploi Sur les 88 km de l’A79, 6 portiques équipés de caméras infrarouges permettront d’identifier, quelles que soient les conditions météo, le badge télépéage ou la plaque d’immatriculation et le type de véhicule, déclenchant automatiquement la facturation. 4 options de paiement sont disponibles pour effectuer facilement le paiement des trajets Badge télépéage véhicule léger ou poids lourd : Le badge est détecté à chaque passage sous les portiques et la facturation se fait en fin de mois. Il est valable sur toutes les autoroutes de France. Inscription plaque (IBAN ou CB) : Le client enregistre simplement son numéro de plaque d’immatriculation et ses coordonnées bancaires sur le site www.aliae.com La plaque est détectée à chaque trajet et le prélèvement se fait chaque semaine. Paiement en ligne sur ww.aliae.com Après son passage, le client dispose de 72 heures pour payer, en rentrant son numéro de plaque minéralogique Paiement sur borne de paiement ou « borne à pied » 16 bornes de paiement sont mises à disposition sur les aires de repos ou de services de l’autoroute de l’A79+.Les clients peuvent y payer leur trajet lors de leur pause sur le parcours. Première autoroute en France à proposer une modulation tarifaire selon des critères environnementaux Véhicules légers : tarifs dégressifs selon les émissions de CO2 Véhicules légers (classes 1, 2 et 5) Poids lourds : tarifs dégressifs selon la classe de véhicule ET leurs émissions de CO2 Poids lourds (classes 3 et 4)
Il y a 2 ans et 312 jours

Le CSTB inaugure le laboratoire Fresnel, une plateforme d’essais dédiée aux vitrages

Avec cette nouvelle plateforme d’essais dédiée aux vitrages, le CSTB met à disposition des acteurs français et européens un outil technologique inédit, visant à accompagner le développement et l’émergence de solutions innovantes, en lien avec les enjeux de performance énergétique et environnementale notamment.Le laboratoire Fresnel regroupe pour ce faire, sur un seul et même site, l’ensemble des équipements permettant d’évaluer et de tester la durabilité des performances des vitrages, ainsi que leur aptitude à l’emploi. Parmi ces équipements de pointe, trois nouvelles enceintes de vieillissement artificiel des vitrages, cofinancées par la région Auvergne-Rhône-Alpes et le Fonds européen de développement régional (FEDER).Les vitrages : une forte dynamique d’innovationFace au défi du changement climatique et de l’économie de ressources, les fabricants de vitrages, éléments-clés de la sobriété énergétique et environnementale des bâtiments, se mobilisent, adaptant la conception de leurs produits aux nouvelles exigences et tendances émergentes.Depuis une trentaine d’années, une dynamique d’innovation soutenue s’est mise en place, induisant une évolution technologique fulgurante. Une nouvelle génération de vitrages isolants a ainsi vu le jour : vitrages avec gaz, avec couche basse émissivité, warm edge (produits intégrant des intercalaires renforcés thermiquement sur la périphérie des vitrages pour éviter les ponts thermiques), etc.D’autres développements sont en cours, concourant à améliorer encore les performances actuelles, mais aussi à embarquer d’autres performances propres aux fonctions assurées par l’enveloppe du bâtiment : vitrages isolants électrochromes et thermochromes, dont les propriétés de transmissions lumineuse et énergétique peuvent être modifiées via une mise sous tension électrique pour le 1er et par la chaleur pour le 2nd ; vitrages sous-vide, technologie particulièrement prometteuse, car permettant des performances thermiques élevées, avec des vitrages moins épais, etc.Les équipes de la Direction Baies et Vitrages du CSTB, mobilisant plus de 50 ingénieurs et techniciens, répartis dans les laboratoires de Marne-la-Vallée et de Grenoble, accompagnent les fabricants dans cette dynamique d’innovation.Parmi les leviers qui leur sont pour cela proposés, les essais sont fondamentaux. Ils permettent de comprendre et caractériser les nouveaux produits et technologies à venir.En la matière, le CSTB disposait déjà de plusieurs équipements dédiés aux vitrages. Tous ont été regroupés au sein d’un seul et même site, le laboratoire Fresnel, au CSTB Grenoble. Ils ont également été complétés par de nouveaux outils scientifiques et techniques.L’accompagnement de l’innovation, au cœur des missions du CSTB : À travers ses activités de Recherche & Expertise, d’essais, d’évaluation et de certification, le CSTB accompagne les acteurs de la construction, favorisant l'émergence d'innovations fiables et sécurisées.Le laboratoire Fresnel : la nouvelle plateforme d’essais dédiée aux vitragesLe laboratoire Fresnel permet aux fabricants d’évaluer et tester la durabilité des performances et l’aptitude à l’emploi de leurs produits, dans un objectif d’évaluation et de certification notamment :2 grandes familles de produits testés :Vitrages simples : Vitrages monolithiques, en particulier trempésVitrages feuilletésVitrages isolants : Doubles et triples vitragesVitrages à store incorporéVitrages actifs (électrochromes et thermochromes)Vitrages Extérieurs AttachésVitrages à clameauxVitrages sous vide4 grandes typologies de caractéristiques étudiées :La durabilité du vitrageSes performances thermiquesSes performances mécaniquesSes performances optiquesUne très grande variété d’essais réalisés :Essais de cyclages climatiques, d’exposition à l’ensoleillementEssais d’exposition aux hautes températuresEssais d’exposition à l’humiditéEssais de fragmentationMesures d’humidité, mesures de point de roséeMesures du taux de remplissage en gazEtc.Le laboratoire Fresnel dispose de plusieurs équipements de pointe, parmi lesquels 3 nouvelles enceintes de vieillissement artificiel pour les produits :Des enceintes de qualification : 1 enceinte coffre à climat variable ;1 enceinte coffre avec UV, permettant d’exposer les vitrages aux UV et à l’humidité.1 enceinte de suivi grand format (8m3).Ces enceintes permettent d’exposer les vitrages à des températures comprises entre -15°C et 56,5°C, ainsi qu’à l’humidité avec ou sans UV.Le laboratoire Fresnel dispose ainsi de 5 enceintes permettant de tester le vieillissement des vitrages.Le laboratoire Fresnel : une plateforme d’essais au cœur d’un écosystème dédié aux produits de la baieLe laboratoire Fresnel est situé à proximité immédiate des autres infrastructures du CSTB dédiées aux baies et vitrages : le laboratoire PRE3CIE, plateforme d’essais dédiée aux produits innovants de l’enveloppe, et la plateforme de formation par le geste dédiée à la mise en œuvre des produits de la baie.Par ailleurs, les essais réalisés peuvent être croisés et / ou complétés, selon les propriétés ou performances étudiées, par des travaux menés par d’autres directions du CSTB : la Direction Enveloppe du Bâtiment ; la Direction Sécurité, Structures, Feu ; la Direction Santé, Confort, avec le Laboratoire Acoustique du Bâtiment (LABE).Le laboratoire Fresnel, en bref :Laboratoire situé au CSTB Grenoble ;Permettant aux industriels de réaliser, sur un seul et même site, l’ensemble des essais et évaluations nécessaires au développement, à la mise au point et à la vérification de la qualité et de la performance de leurs produits ;Un rayonnement international avec des essais réalisés selon les référentiels européens, accessibles à l’ensemble des fabricants européens ;Un investissement de plus d’1 million d’euros, réalisé par le CSTB, pour l’installation globale ;Dont 340.000 euros pour les 3 nouvelles enceintes, cofinancés à hauteur de 169.789 euros par la région Auvergne-Rhône-Alpes et le Fonds européen de développement régional (FEDER)
Il y a 2 ans et 313 jours

Christophe Possémé, élu président du CCCA-BTP

Christophe Possémé est président de l’entreprise Le Bâtiment Associé à Muizon (51), qui compte 155 collaborateurs : maçonnerie, taille de pierre, charpente, ossature bois, restauration du patrimoine, travaux de déplombage et désamiantage, travaux publics.Après un CQP (certificat de qualification professionnelle) de briqueteur et un baccalauréat professionnel Construction bâtiment gros œuvre, Christophe Possémé a obtenu un diplôme de chef d’équipe gros œuvre puis un DUT (diplôme universitaire de technologie) de Conducteur de travaux. Il a également suivi le cycle de direction d’entreprise de l’Aproba et il est titulaire du certificat supérieur Développement durable et Qualité environnementale de l’IFRB. Après plusieurs années passées dans différentes entreprises du bâtiment, Christophe Possémé a rejoint en 2000 l’entreprise Le Bâtiment Associé en qualité de conducteur de travaux. Directeur de travaux de 2005 à 2009, puis directeur général adjoint de 2009 à 2010, il est depuis 2011 le président de l’entreprise.Son engagement professionnelChristophe Possémé a été président du NF DTU 20.1 Ouvrages en maçonnerie de petits éléments - Parois et murs de 2010 à 2013 et président de Constructys Champagne-Ardenne de 2011 à 2013.Il a également été vice-président de 2013 à 2019 de l’UMGO-FFB**, dont il est aujourd’hui le président. Depuis 2020, Christophe Possémé est membre du comité exécutif de la FFB (Fédération française du bâtiment) et président de la commission marché de la FFB. Un engagement de longue date dans la formation professionnelle aux métiers du BTPChristophe Possémé est de longue date investi dans la formation professionnelle aux métiers de son entreprise, notamment des jeunes par la voie de l’apprentissage. À ce titre, Le Bâtiment Associé, qui forme chaque année une vingtaine d’alternants et dont la formation et la montée en compétence permanente des salariés constitue une valeur forte de l’entreprise, a reçu en 2021 le Trophée de l’alternance.Le conseil d’administration du CCCA-BTP du 5 juillet 2022 a également élu :Éric Routier (FNCB-CFDT), vice-président,Ludovick Lefebvre (FNSCBA-CGT), trésorierLaure Vial (CAPEB), secrétairePour Christophe Possémé, président du CCCA-BTP : « Dans un environnement où les mutations sont désormais permanentes et s’accélèrent, les entreprises de nos secteurs du BTP doivent relever de nombreux et forts enjeux, qu’il s’agisse de performance environnementale, de transitions écologique, technologique et numérique, mais aussi de compétences professionnelles. Il est ainsi plus que jamais essentiel de former des jeunes à nos métiers, mais aussi d’assurer la montée en compétences des salariés de notre secteur. C’est le cœur de la mission du CCCA-BTP que j’ai désormais l’honneur de présider.Avec l’ensemble de notre conseil d’administration à gouvernance paritaire, pleinement mobilisé et déterminé pour relever ces défis d’avenir, je m’attacherai à porter, promouvoir et déployer une politique volontariste et innovante de formation professionnelle, en particulier par la voie de l’apprentissage. C’est le rôle du CCCA-BTP et ce que les partenaires sociaux du BTP attendent de nous, en déclinaison de leurs orientations. C’est d’ailleurs tout le sens de l’offre de services que le CCCA-BTP propose à l’ensemble des organismes de formation aux métiers du BTP. En cette année anniversaire pour le CCCA-BTP, qui fête ses 80 ans, notre action doit permettre d’être toujours aux avant-postes des défis d’avenir que nous devons relever. Cela passe par l’anticipation et l’innovation, qui sont des marqueurs singuliers des initiatives que nous prenons et des projets que nous menons. Ma volonté est d’agir de façon transversale avec l’ensemble des acteurs de notre environnement, pour impulser et conduire des projets ambitieux et à fort impact, pour garantir la performance de notre activité et une haute qualité pédagogique dans la formation professionnelle à nos métiers du BTP. »* Le CCCA-BTP, outil des branches du bâtiment et des travaux publics à gouvernance paritaire, est dirigé à la fois par les fédérations professionnelles d’employeurs (CAPEB, FFB, Fédération des SCOP du BTP et FNTP) et les organisations syndicales de salariés (BATI-MAT-TP CFTC, CFE-CGC BTP, FNSCBA-CGT, FGFO Construction et FNCB-CFDT).** UMGO-FFB : Union de la maçonnerie et du gros œuvre - Fédération française du bâtiment.
Il y a 2 ans et 314 jours

Construire plus performant avec les systèmes de chauffage et de rafraîchissement Wavin

Convaincus de la nécessité d’améliorer l’efficacité des bâtiments pour réduire la consommation d’énergie, les services Recherche et Développement de Wavin ont développé des systèmes complets de planchers chauffants rafraîchissants basse température et de plafonds climatiques très peu énergivores adaptés à l’habitat résidentiel, collectif et au tertiaire. Pré-études avant-projet, études techniques, conception, assistance chantier... Wavin accompagne ses clients à chaque étape du projet avec une offre sur-mesure. Elle inclut l’ensemble des composants et accessoires nécessaires à la pose des planchers chauffants : dalles isolantes, tubes caloporteurs, système de régulation...Durables, efficaces et invisibles, les solutions de chauffage et de rafraîchissement par rayonnement Wavin diffusent une température homogène et constituent un moyen simple d’optimiser la performance énergétique des bâtiments. Elles sont pilotées, depuis un écran tactile ou une application mobile, par le système de régulation Sentio de Wavin. Ce système comprend des unités de contrôle central et d’extension, des thermostats et des sondes, qui rendent ces solutions de chauffage particulièrement simples d’utilisation et d’installation. Les solutions de chauffage et rafraîchissement Wavin offrent ainsi aux occupants une qualité de confort inégalée, tout en assurant des performances énergétiques éprouvées.Plancher chauffant rafraîchissant basse température WavinPerformant et invisible, le plancher chauffant rafraîchissant basse température Wavin garantit une répartition uniforme de la chaleur dans toutes les pièces et permet de profiter d’une température idéale du sol. Cette solution s’intègre facilement à l’habitat résidentiel, collectif et aux bâtiments tertiaires grâce à sa discrétion et sa conception sur-mesure. Ce dispositif de chauffage et de rafraîchissement par rayonnement est particulièrement adapté pour apporter un confort thermique homogène et agréable à ses occupants et ce même dans les grands espaces. L’association d’une pompe à chaleur, économe en énergie, avec une solution PCRBT* équipé d’un système de régulation, est idéale pour améliorer la performance globale du système de chauffage et rafraîchissement. Cette combinaison offre de très bons rendements et répond aux très hautes exigences en termes de performance énergétique des bâtiments.Le système complet de planchers chauffants/rafraîchissants Wavin bénéficie à ce titre de la reconnaissance CERTHITERM, la première marque de qualité en France à garantir le niveau de performances thermiques globales des systèmes complets de planchers, murs ou plafonds chauffants/rafraichissants hydrauliques basse température.*plancher chauffant rafraîchissant basse températureDalles isolantes à plots Phonixx Grande performance acoustiqueÉléments de base de tout projet de plancher chauffant basse température, les dalles isolantes ont un rôle primordial pour assurer la bonne isolation du sol, limiter les pertes de chaleur et assurer la durabilité du système de chauffage. Avec des résistances thermiques élevées allant de 0,75 à 5,55 m2K/W, les dalles isolantes Wavin certifiées QB ou ACERMI (Association pour la CERtification des Matériaux Isolants) comptent parmi les plus performantes du marché.Parmi elles, les nouvelles dalles isolantes Phonixx Wavin qui réduisent significativement la transmission des bruits de chocs. En effet, pour un excellent confort acoustique, elles offrent une réduction des nuisances sonores et des bruits d’impacts entre étages allant jusqu’à 21 dB, une valeur record ! Elles permettent ainsi d’obtenir une meilleure efficacité sans avoir recours à une sous-couche acoustique complémentaire.Légères et faciles à manipuler, ces dalles s’installent rapidement et sans difficulté pour gagner un temps considérable sur les chantiers. De plus, leur qualité et leur rigidité permettent la circulation des personnes lors de leur installation.Enfin, la composition mono-matière des dalles isolantes à plots Phonixx facilite leur recyclage tant lors de leur mise en oeuvre (chutes de chantier) qu’en fin de vie.Une barrière anti-oxygène protectrice au coeur de la structureFiable et durable, la nouvelle génération de tubes en Polybutylène Wavin Flexius BAO intègre désormais une Barrière Anti-Oxygène. Elle permet d’éviter le développement de boues dans les circuits fermés de plancher chauffant garantissant ainsi un bon fonctionnement sur le long terme. Ordinairement placée en périphérie extérieure des tubes, la BAO est ici intégrée au coeur de la structure du tube, la protégeant de tout endommagement lié aux aléas de chantier et garantissant sa performance. Ainsi, il n’y a aucun risque de dégradation de la BAO lors de la mise en oeuvre, lui garantissant une durée de vie optimale.Disponibles en plusieurs longueurs, les couronnes de nouveaux tubes Wavin Flexius BAO répondent aux besoins de toutes les tailles de chantiers de plancher chauffant et rafraîchissant. Leur grande flexibilité a inspiré le nom de cette nouvelle génération de tubes Wavin Flexius BAO qui facilite la réalisation des boucles au sol, quelles que soient les conditions de pose : froid, espaces restreints, pas de pose serrée etc.Très résistants à l’épreuve du temps, ces tubes caloporteurs sont naturellement inertes à la corrosion, aux impacts et à l’écrasement. Ils bénéficient d’un Avis Technique et de la certification Qualité pour le Bâtiment (QB) du CSTB. Par ailleurs, dans une logique de développement durable, Wavin travaille sur un programme pour réutiliser les chutes de mise en oeuvre des tubes Flexius BAO afin de les réintégrer dans la production d’autres produits de son catalogue.Une installation intelligente, connectée et sur-mesureUne bonne maîtrise des températures est indispensable pour optimiser la performance énergétique du bâtiment. En neuf comme en rénovation, les solutions de plancher chauffant et rafraîchissant Wavin distribuent la chaleur de manière uniforme et réduisent la consommation d’énergie. Elles sont pilotées, depuis un écran tactile intuitif ou une application mobile, par le système de régulation Sentio de Wavin qui comprend des unités de contrôle central et d’extension, des thermostats et des sondes. Véritable « cerveau » de l’installation, cette solution très simple d’installation puis d’utilisation au quotidien permet un pilotage précis du confort climatique pièce par pièce, tout en limitant la consommation énergétique : jusqu’à 15% d’économies d’énergie de chauffage*.Avec sa programmation très précise, les températures sont ajustées en fonction des heures d’utilisation des pièces et du confort souhaité, des apports extérieurs… Sentio bénéficie par ailleurs d’une certification Eu.Bac qui valide sa capacité à maintenir précisément une température cible malgré l’inertie inhérente à un système de plancher chauffant : valeur de CA = 0,5 K.Enfin, Sentio de Wavin peut également optimiser le rendement énergétique de l’installation en adaptant la température du fluide caloporteur en fonction des conditions climatiques extérieures, grâce à une unité de mélange et une sonde extérieure proposées en option. Il offre ainsi aux occupants une qualité de confort inégalée et des économies d’énergie significatives puisque le générateur ne produit que ce qui est nécessaire en maximisant l’utilisation des calories.*Source Ademe 2022
Il y a 2 ans et 314 jours

Le processus de succession du président-directeur général d'EDF est engagé

Dans ce contexte et alors que des chantiers d’envergure seront lancés par l’entreprise dans les prochains mois, l’Etat et Jean-Bernard Lévy sont convenus de lancer dès à présent le processus de succession de ce dernier à la tête d’EDF.Le mandat de Jean-Bernard Lévy en tant que président-directeur général prendra fin au plus tard le 18 mars 2023, compte tenu de la limite d’âge fixée par les statuts de la société.En accord avec Jean-Bernard Lévy, le nouveau président-directeur général d’EDF pourra être désigné avant cette échéance afin que le nouveau dirigeant soit rapidement en mesure de mettre en œuvre les chantiers stratégiques et industriels annoncés par le Président de la République à Belfort le 10 février 2022, notamment le lancement du programme de construction de six réacteurs nucléaires EPR 2 et la contribution d’EDF au développement accéléré des énergies renouvelables. Il aura aussi pour priorité à plus court terme d’assurer la remise en service des réacteurs nucléaires arrêtés pour maintenance.En huit ans, Jean-Bernard Lévy a poursuivi la transformation du Groupe EDF pour le préparer aux évolutions de long terme du mix de production énergétique en France et à l’international et lui permettre de prendre une part active dans la transition énergétique. EDF se positionne aujourd’hui comme l’un des leaders de la production électrique bas carbone, au travers d’un portefeuille d’activités diversifié, qui bénéficie de la confiance de dizaines de millions de clients.EDF s’est également affirmée en tant que chef de file de la filière nucléaire française, avec en particulier l'intégration réussie de Framatome et la reprise à venir des activités nucléaires de General Electric.Le Gouvernement salue le travail de Jean Bernard Lévy à la tête du groupe ainsi que la forte mobilisation de l’ensemble de son corps social pour garantir l’approvisionnement du pays en électricité bas-carbone.Jean-Bernard Lévy continuera d’assurer ses fonctions jusqu’à la nomination de son successeur par décret du Président de la République, après avis des commissions parlementaires compétentes et sur proposition du conseil d’administration d’EDF.
Il y a 2 ans et 314 jours

Ecologic et le Réseau National des Ressourceries et Recycleries signent un accord-cadre pour le réemploi des équipements électriques et électroniques

Les fonds pour le réemploi prévus par la loi AGEC et renforcés par la loi Climat visent à allonger la durée de vie des produits – et éviter qu’ils ne deviennent des déchets.Dans cette perspective, Ecologic, éco-organisme historique de la filière des équipements électriques et électroniques (EEE) et le Réseau National des Ressourceries et Recycleries (RNRR) viennent de signer un accord-cadre pour développer le réemploi des équipement électriques et électroniques (EEE) et qui s’inscrit dans la continuité d’un partenariat de plusieurs années entre les deux organisations. Le réemploi des EEE : un enjeu écologique et socialDe très nombreux équipements électriques et électroniques se retrouvent dans les filières de recyclage alors qu’ils pourraient être remis en état et reconditionnés. En 2021, 6.000 tonnes d’EEE étaient réemployés. L’objectif d’Ecologic pour 2023 est de doubler le tonnage pour dépasser les 12.000 tonnes.Les ressourceries et recycleries du RNRR - acteur phare du réemploi solidaire en France - se caractérisent par une démarche à la fois écologique, sociale et sociétale. Associations loi 1901, présentes en milieu rural et urbain, elles luttent contre la surproduction, la surconsommation, le gaspillage et la pollution en offrant une nouvelle vie aux objets tout en œuvrant à l'insertion professionnelle de publics éloignés de l’emploi. Elles sont aussi des lieux de réflexion, de sensibilisation aux questions de transitions, de convivialité et de créations d’initiatives citoyennes.Pour développer le réemploi des EEE, elles ont néanmoins besoin de moyens additionnels.Un accord-cadre pour accompagner les ressourceries et recycleries du RNRRL’accord-cadre signé entre Ecologic et le RNRR constitue le premier jalon dans le processus du développement du réemploi. Pour René-Louis PERRIER, Président d’Ecologic : « Pour soutenir le développement de l’activité des adhérents du RNRR, nous allons les accompagner au travers de programmes de formations, d’acquisition de matériel et d’équipements, de mise en place d’ateliers de réparation et de reconditionnement. Notre but est d’accroître l’économie du réemploi solidaire et in fine, d’augmenter le nombre d’appareils réemployés. » Pour David Romieu, Président du RNRR : « La loi AGEC fixe des objectifs de réemploi très ambitieux qui doit atteindre 5% du poids des déchets ménagers pour 2030. Les moyens financiers qui seront déployés pour accompagner le développement de la filière des DEEE au sein des Ressourceries-Recycleries du Réseau sont substantiels et devraient permettre un effet levier important si l’ADEME et les collectivités locales maintiennent bien leur soutien à nos structures. Compte-tenu des enjeux, ces sources de financement complémentaires sont un élément clef pour favoriser l’économie du réemploi solidaire et de ses acteurs. »Le réemploi des EEE : un enjeu démocratiqueSi l’enjeu de cet accord-cadre est d’associer ambition écologique et sociale et d’essaimer et systématiser la démarche, il est aussi de démocratiser la question du tri pour que les EEE qui ont un potentiel de réemploi soient orientés vers les acteurs de l’ESS en capacité de réaliser ce réemploi de qualité. L’information auprès du grand public est donc essentielle à plusieurs titres. D’une part, pour mettre en lumière l’intérêt sociétal du réemploi mais aussi pour l’inciter à se tourner en tant que consommateur vers les EEE de seconde main.
Il y a 2 ans et 314 jours

Lancement du manifeste Unisson(s) : vers une architecture bas carbone et du vivant

Avec son manifeste, le mouvement UNISSON(S), porté par A4MT et l’Institut Français pour la Performance du Bâtiment (IFPEB), souhaite réunir les acteurs de la construction, de l’aménagement, du paysage et de l’industrie afin d’encourager l’émergence d’une nouvelle architecture, socle de l’évolution des nouveaux enjeux.Alors que la France met en place une Réglementation Environnementale de la construction en 2022, relevant le défi environnemental qu’est le réchauffement climatique en contraignant le contenu carbone des ouvrages, le mouvement UNISSON(S) s’engage à fédérer, encourager et promouvoir les acteurs de la filière prenant part à l’élaboration d’une nouvelle écriture architecturale. Pour y parvenir, UNISSON(S) souhaite recenser et donner à voir les expériences concrètes de ces parties-prenantes, en décryptant avec eux leurs réussites et leurs écueils comme le précisent les initiateurs du mouvement.Le but : « susciter le débat entre les spécialistes et créer le dialogue avec la société à travers une itinérance dans les différentes régions de France permettant ainsi le développement d’un regard critique et avisé des concitoyens non experts », explique Laurent Morel, Président de l’IFPEB, associé de A4MT et Carbone 4, et membre du Comité d'organisation d'UNISSON(S).« Créer une nouvelle culture ensemble qui permette de préserver les ressources autant que faire se peut. Que toutes les parties prenantes, les architectes, les ingénieurs, soient autour de la table pour réaliser la ou les transitions en s’amusant parce qu’il y a matière à s’enchanter, en prenant même de l’avance sur les prescriptions », déclare Laëtitia George, Présidente de Contrast-e et membre du Comité d'organisation d'UNISSON(S), à propos du mouvement.Cette dynamique, se voulant représentante d’une « école française » au sein du Nouveau Bauhaus Européen initié en 2020 par la Commission européenne, va permettre aux architectes de montrer un nouvel imaginaire des possibles de la ville et du paysage de demain à travers une architecture bas carbone et du vivant.Pour Anne Rouzée, architecte, associée d'ATELIERS 2/3/4 et membre du Comité scientifique d'UNISSON(S) : « Construire autrement signifie concevoir autrement avec la recherche d’une nouvelle esthétique. Comme pour le textile ou le mobilier qui connaissent le boom de la seconde main, le secteur de la ville et du bâti doit vivre encore plus vite la transition. »Pour Guillaume Mangeot, architecte, directeur de l’Agence PCA et membre du Comité scientifique d'UNISSON(S) : « L’architecture est le reflet d’une culture qui est elle-même le reflet de la société. Nous devons reconstruire un nouveau récit lequel se dans projeter et vivre ensemble. C’est cela qui me motive dans l’initiative d’UNISSON(S). »Le mouvement UNISSON(S) réunit ainsi des acteurs reconnus du secteur. Premiers grands parrains et signataires du Manifeste, BNP Paribas Real Estate, Bouygues Immobilier, Bureau Veritas France, Celsius Energy, Cabinet Malaquin, Espaces Ferroviaires, Nexity, Société de la Tour Eiffel et Sogelym Dixence, partenaires et sponsors s’engagent aux côtés d’architectes, paysagistes, maîtres d’ouvrages, concepteurs, élus, écoles et tous métiers de l’aménagement et de la ville.Accompagné de ses parrains et partenaires, l’Institut Français pour la Performance du Bâtiment (IFPEB), Action for Market Transformation (A4MT), Contrast-e, Construction21 et le Nouveau Bauhaus Européen, le mouvement UNISSON(S) invite tous les acteurs de la filière à signer son Manifeste en faveur d'une architecture bas carbone et du vivant pour dessiner, ensemble, la ville de demain.Pour Dominique Boré, Présidente d’honneur de la Maison de l’Architecture Ile-de-France et Commissaire générale d’UNISSON(S) : « Il faut que l’architecte soit le garant, le primus inter pares de la transition écologique du bâtiment. La nouvelle réglementation environnementale (RE2020) va conduire à se réunir avec toutes les parties prenantes et travailler autrement, dès l’amont des projets. »Pour son lancement officiel, le mouvement UNISSON(S) sera présent au Salon de l’Immobilier Bas Carbone (SIBCA) le 23 septembre prochain au Grand Palais Ephémère.Découvrir le Manifeste.Signer le Manifeste.Site Internet.Comité scientifique et technique d’Unisson(s) Dominique BORE l Cédric BOREL l Maud CAUBET l Claire CHABROL l Pierre DARMET l Laëtitia GEORGE | Annabelle LEDOUX l Guillaume MANGEOT l Laurent MOREL l Véronique PAPPE l Thierry PAQUOT l Christophe RODRIGUEZ l Anne ROUZEE
Il y a 2 ans et 315 jours

Transformation du site industriel de Saint-Thégonnec (29) et développement de nouvelles solutions PAC, climatisation et hydrogène : Bosch Thermotechnologie poursuit ses ambitions

Le site industriel de Saint-Thégonnec dédie son savoir-faire au ballon inox  L’usine Bosch Thermo technologie de Saint-Thégonnec, sur une surface de 23 000 m2, vit sa plus importante transformation, devenant exclusivement un Centre de compétence ballon inox. Avec l’arrêt des chaudières fioul et gaz à fin juin 2022, le site industriel rebondit : s’appuyant sur […]
Il y a 2 ans et 315 jours

Innovation et Construction : Inauguration du laboratoire Fresnel, plateforme d’essais du CSTB dédiée aux vitrages

Ce mardi 5 juillet, sur son site de Saint-Martin-d’Hères, près de Grenoble, le Centre Scientifique et Technique du Bâtiment – CSTB, a inauguré le laboratoire Fresnel.  Avec cette nouvelle plateforme d’essais dédiée aux vitrages, le CSTB met à disposition des acteurs français et européens un outil technologique inédit, visant à accompagner le développement et l’émergence […]
Il y a 2 ans et 315 jours

Une nouvelle usine de semi-conducteurs sera construite près de Grenoble, un projet à 5,7 milliards d'euros

"C'est le plus grand investissement industriel des dernières décennies hors nucléaire et un grand pas pour notre souveraineté industrielle : c'est 1.000 emplois à la clé", a commenté le ministre de l'Economie, Bruno Le Maire, sur Twitter.Les projets d'investissements industriels, qui seront présentés lundi après-midi à Versailles (6,7 milliards d'euros d'investissements, "plus de 4.000 emplois créés"), tombent à point nommé pour le gouvernement, pressé par l'inflation qui pèse sur le pouvoir d'achat. La future usine de semi-conducteurs bénéficiera d'un "soutien financier important de l'Etat français", ont précisé le groupe franco-italien STMicroelectronics et l'américain GlobalFoundries.Elle s'inscrit dans le cadre du "Chips Act", le programme de l'Union européenne pour retrouver une place aux côtés de l'Asie et de l'Amérique dans la production mondiale de semi-conducteurs. Marquée par la pénurie de ces précieux composants, à la suite de la crise du Covid-19, l'Europe veut remonter sa part à 20% de la production mondiale, contre moins de 10% aujourd'hui.Les semi-conducteurs produits à Crolles, près de Grenoble, serviront notamment des marchés finaux "tels que l'automobile, l'industriel, l'internet des objets et les infrastructures de communication".Les premières productions devraient être lancées à partir de la fin 2023, avec une montée en charge progressive jusqu'à 2025/2026, selon l'Elysée. La production sera pour environ 58% destinée à GlobalFoundries, le reste étant pour STMicroelectronics, ont indiqué les deux entreprises.M. Macron se rendra mardi sur place pour présenter ce projet d'usine, qui sera à terme "le plus important site de production de puces français et l'un des plus importants d'Europe".Ces annonces surviennent dans un climat tendu, après des révélations dimanche soir par le journal Le Monde des liens qui ont uni Emmanuel Macron, alors ministre de l'Economie (2014-2016), et la société Uber. S'appuyant sur différents témoignages et documents, ces "Uber Files" concluent à l'existence d'un "deal" secret, visant à aider la plateforme à consolider ses positions en France, ce qu'ont vivement dénoncé des élus de gauche.AttractivitéPour l'Elysée, la participation record de patrons étrangers à "Choose France" - ils étaient 120 à 130 lors des précédentes éditions - montre un "très fort intérêt des patrons étrangers, suite à la réélection du président".Malgré la perte de la majorité absolue par le gouvernement, "il n'y a pas d'inquiétude des grands patrons" sur la poursuite d'un programme favorable aux investissements industriels en France, assure l'entourage du chef de l'Etat.Les dirigeants de Coca-Cola, Disney, Siemens, Merck Allemagne, des banques américaines Citi, JP Morgan, Morgan Stanley, du conglomérat chinois Fosun ou du groupe australien de services financiers Macquarie se retrouveront sous les ors de Versailles.M. Macron rencontrera aussi les "grands fonds souverains", comme ceux des Emirats, d'Arabie saoudite, du Koweït, du Qatar et de Corée, ainsi que des fonds canadiens.Parmi les autres projets annoncés dans le cadre de "Choose France", le spécialiste des colis express FedEx va créer 1.000 emplois permanents à Roissy (Val-d'Oise). L'espagnol Amadeus (gestion de réservations touristiques) 800 emplois, notamment à Sophia-Antipolis (Alpes-Maritimes), le cabinet de conseil Accenture 500 en Bretagne et le vietnamien Vinfast (automobile) 350 à 400 dans des showrooms et ateliers, selon l'Elysée.Le géant britannique du médicament GlaxoSmithKline (GSK) va investir dans des essais cliniques, l'américain Collins Aerospace (avionique, systèmes d'information - groupe Raytheon) dans la recherche-développement et l'allemand Vorwerk se doter d'une deuxième usine Thermomix, en Eure-et-Loir.Le groupe néerlandais de travail temporaire Randstad va recruter par ailleurs 7.000 collaborateurs en CDI intérimaire d'ici la fin 2022. La France s'enorgueillit d'être le pays le plus attractif en Europe pour les investisseurs étrangers par le nombre de projets - 1.222 en 2021 -, leur taille étant en revanche généralement plus petite, selon le baromètre du cabinet EY.Près de 80 projets d'investissements, représentant 12 milliards d'euros et 21.000 emplois, ont été annoncés dans le cadre des sommets "Choose France" depuis 2018 : 25 ont été réalisés, 50 sont en cours et cinq ont été abandonnés ou reportés.
Il y a 2 ans et 317 jours

Arcade : Informatiser le secteur du béton

Article paru dans le n° 101 de Béton[s] le Magazine De gauche à droite, Alice Ladet, responsable commerciale, Guillaume Cordel, dirigeant d’Arcade, et Anne Cordel, responsable recherche & développement. [©ACPresse] « Comment allier ce que j’aime avec ce que je connais ? » Telle est la question que s’est un jour posée Guillaume Cordel, fondateur et gérant de la société Arcade. « Mon histoire personnelle est liée à celle de la carrière, du BTP, secteurs dans lesquels évoluaient mes parents et mes grands-parents. Je connais donc ces métiers de l’intérieur. » A côté de cela, Guillaume Cordel cultive une passion pour l’informatique. Naturellement, il s’installe dans les bureaux de l’entreprise familiale. Lire aussi : Des abeilles sur le toit d’Arcade ! Là, il développe Icare, sa première solution informatique. « Il s’agissait d’un logiciel de pesage, d’édition de bons de livraison et de facturation », précise Guillaume Cordel. Icare a été installé sur quelques grosses carrières, au début des années 1990. C’est ainsi qu’est né Arcade en 1993. En parallèle, Icare intègre une fonction “laboratoire”, qui finit par aboutir à un nouveau logiciel autonome : Icare Labo, réécrit entre temps pour Windows. Son nom : Wil (pour Windows Icare Labo). L’arrivée des suites “full web” « Wil est devenu notre logiciel phare, décliné en différentes versions, dont Wil Béton », rappelle Guillaume Cordel. Cette solution permet aujourd’hui la formulation et la gestion des essais autour du matériau, intègre les obligations normatives, et assure le suivi métrologique des équipements. « Nous continuons à enrichir et à faire évoluer Wil, qui va encore être là pour longtemps. » D’un point de vue historique, Arcade a fini par proposer une large offre de logiciels : Icare pour la gestion, Wil pour le laboratoire, Mentol pour l’environnement et la sécurité, et Carmin pour la maintenance industrielle. Des outils performants, mais auxquels il manquait la dimension “full web”. Pour répondre à cette nouvelle attente, Arcade a fait le choix de refondre cette offre et de mettre sur le marché sa suite Massia. « Il s’agit d’une solution web nouvelle, complète, modulable et évolutive », confirme Alice Ladet, responsable commerciale d’Arcade. Elle se décline en cinq modules : Gestion (administration des ventes), Performance (suivi de la production des industries extractives), Laboratoire et sa version “tablette et smartphone” Labo Mobilité, QSE et Foncier, et Maintenance (gestion des installations et du parc matériels). Collaborations avec Delta Automation et Oris « Tous ces modules ou logiciels ont demandé un très important travail de développement, souligne Guillaume Cordel. On ne met pas au point une suite comme celle-ci en quelques mois. L’informatique, ce n’est plus de l’artisanat. Massia a nécessité 5 années de R&D et mobilisé 10 informaticiens ! » Aujourd’hui, l’aventure Arcade se poursuit. Déjà, l’entreprise va fêter ses 30 années d’existence en 2023. Ensuite, elle a signé un partenariat avec Delta Automation, spécialiste des logiciels et automatismes pour centrales à béton. « L’idée est de créer un éco-système complet, en développant les synergies possibles entre nos outils informatiques. Delta Automation apporte ainsi son expertise en matière de logiciels de production. » Lire aussi : Un nouveau site Internet pour Arcade Un autre partenariat vient d’être mis en place avec la plate-forme Oris. « Il s’agit d’une plate-forme dédiée aux opérateurs de la construction routière pour sélectionner et comparer les solutions et les matériaux disponibles sur le marché. Dans ce cadre, Arcade va développer une passerelle pour permettre aux utilisateurs des suites Wil et Massia de déposer les fiches produits de leurs granulats sur la plate-forme Oris », conclut Guillaume Cordel. Article paru dans le n° 101 de Béton[s] le Magazine
Il y a 2 ans et 317 jours

Alkern : Coquillages et pavés

Article paru dans le n° 101 de Béton[s] le Magazine Alkern propose des pavés drainants en coquilles Saint-Jacques, issus d’un projet développé et breveté par l’Esitc de Caen. [©Alkern] A l’horizon 2024, Alkern s’est fixé comme objectif de développer des solutions plus responsables pour l’environnement. En prévoyant des investissements nécessaires. Mais l’industriel dispose déjà dans ses gammes des produits préfabriqués au service de la ville durable. Si l’activité du groupe se tourne majoritairement vers le bâtiment (50 % de l’activité), l’aménagement extérieur occupe tout de même 25 % de son chiffre d’affaires (les 25 % qui restent concernent les travaux publics). « Avec nos 55 usines réparties en France, dont deux en Belgique, nous sommes au plus proche des chantiers, explique Mathilde Bru, cheffe de produit aménagement extérieur et mobiliers urbains d’Alkern. Les solutions d’aménagement voyagent très peu, environ 80 km, le but étant de produire en local. Nous avons d’ailleurs des catalogues régionaux. Ils ont un tronc commun et des spécificités de coloris ou de formes en fonction du territoire. » Bordures, murets de séparation, dalles classiques ou à engazonner, jardinières, fontaines, bancs ou encore tables de ping-pong… Alkern s’est développé dans différents domaines. « Les solutions drainantes prennent de plus en plus de place », précise Mathilde Bru. Et Eric Colmard, prescripteur chez Alkern, de confirmer : « Depuis quelques années, il y a une vraie émergence des produits drainants, même s’ils existent depuis longtemps. Toutes les collectivités et autres acteurs de l’aménagement s’arment aussi contre des îlots de chaleur ». Cet article est réservé aux abonnés des revues Béton[s] le Magazine et Bâti & Isolation. Déjà abonné Mon email Mon mot de passe Oublié ? En plus de votre magazine, profitez d’un accès illimité à l’ensemble des contenus et services du site www.acpresse.fr : Lecture de l’intégralité des dossiers thématiques, reportages chantiers, fondamentaux, histoire de la construction… Consultation des indicateurs économiques (chiffres et analyses) + vos newsletters pour suivre l’info en continu Je m'abonne
Il y a 2 ans et 318 jours

Ideal Work : « Nous recherchons des partenaires en France »

Article paru dans le n° 101 de Béton[s] le Magazine Christophe Vaissier, directeur du développement business d’Ideal Work France. [©ACPresse] Jusqu’à son rachat par Bostik (groupe Arkema) en septembre 2020, c’est Eqiom qui assurait la distribution de la marque italienne Ideal Work sur le territoire national. Aujourd’hui, les choses sont différentes. Si Eqiom garde l’exclusivité sur l’Ile-de-France et le Grand Est – ses classiques zones de chalandise -, Ideal Work est en train de se déployer sur le reste du pays. « Nous sommes en train de développer nos équipes partout en France et sommes à la recherche de distributeurs locaux », explique Christophe Vaissier, directeur du développement business d’Ideal Work France. L’idée est de trouver 5 à 6 distributeurs régionaux pour assurer une proximité territoriale. En parallèle, Ideal Work continue à suivre en direct ses applicateurs historiques. Ceci, en attendant de trouver les distributeurs exclusifs ad hoc en mesure de le faire. Cet article est réservé aux abonnés des revues Béton[s] le Magazine et Bâti & Isolation. Déjà abonné Mon email Mon mot de passe Oublié ? En plus de votre magazine, profitez d’un accès illimité à l’ensemble des contenus et services du site www.acpresse.fr : Lecture de l’intégralité des dossiers thématiques, reportages chantiers, fondamentaux, histoire de la construction… Consultation des indicateurs économiques (chiffres et analyses) + vos newsletters pour suivre l’info en continu Je m'abonne
Il y a 2 ans et 318 jours

L'objectif "zéro artificialisation nette" des sols face à toujours plus d'oppositions

Au début de l'été, deux coups ont successivement été portés à ce principe, qui vise à diminuer le rythme de grignotage des espaces naturels par la ville pour arriver à zéro en 2050.Le premier par l'Association des maires de France (AMF), qui a annoncé saisir le Conseil d'Etat contre deux des trois décrets d'application du ZAN.Le second par des sénateurs, qui ont étrillé dans un rapport son application par le gouvernement, assurant que "le modèle économique du ZAN reste à définir".L'artificialisation dégrade la biodiversité, augmente les risques d'inondations et contribue au réchauffement climatique en libérant du CO2 stocké dans les sols.En dix ans, son rythme a diminué de près d'un tiers, passant de 31.589 hectares en 2009-2010 à 22.553 en 2018-2019, selon l'Observatoire de l'artificialisation des sols.Mais il reste trop important: selon les objectifs fixés par la loi Climat et Résilience de 2021, il va encore devoir être réduit de moitié tous les dix ans pour atteindre zéro net en 2050.Ce qui braque, de longue date, des professionnels de la construction, sceptiques sur cette mesure qui menace des pans entiers de leur activité."Contre-productif"Pour la Fédération française du bâtiment (FFB), le ZAN risque "d'accentuer la pénurie foncière" et de renchérir encore les prix de l'immobilier. "Ça va avoir un double effet négatif, sur le prix et sur la qualité de vie", estime aussi François Rieussec, président de l'Union nationale des aménageurs.La Fédération des promoteurs immobiliers (FPI), qui tient à Strasbourg son congrès annuel où le sujet de la "sobriété foncière" a traversé les débats, n'y est pas opposée par principe, mais souligne que la première urgence est de produire des logements.Et désormais, ce sont des élus, majoritairement de droite, qui mènent la fronde."Le gouvernement n'a pas du tout prévu la suite de l'histoire. Il est allé très vite sur ce sujet (...) mais il n'a pas prévu son financement", soutient le sénateur (LR) du Vaucluse Jean-Baptiste Blanc, rapporteur spécial d'un texte sur le ZAN.Il y préconise, entre autres, d'établir un "fonds ZAN" pour financer les efforts des collectivités ou d'orienter les aides budgétaires et fiscales vers la sobriété foncière.Il craint également que cela n'accentue les déséquilibres territoriaux, entre les métropoles qui auraient les capacités d'élaborer des solutions innovantes et les petites collectivités, plus démunies.Du côté des maires, l'AMF a fustigé dans un communiqué "une approche de recentralisation rigide" et des décrets d'application qui "accentuent les fractures territoriales en opposant les projets entre eux, et sont contre-productifs car leur application arithmétique et indifférenciée va à rebours des aménagements vertueux en matière de lutte contre le changement climatique, mais aussi des aménagements indispensables à l'ambition de réindustrialisation du pays".Friches"Comment fait une commune qui a travaillé ces dix dernières années sur ses friches ?", s'interroge également Constance de Pélichy, maire (LR) de la Ferté Saint-Aubin (Loiret), qui réclame que l'Etat prenne en compte les efforts passés des communes en matière de sobriété foncière.Pourquoi cette opposition ?"C'est normal, parce que le logiciel qu'on donne aux élus depuis longtemps, c'est la construction sur le vide", réagit auprès de l'AFP Christine Leconte, présidente du Conseil national de l'ordre des architectes."Là où l'Etat doit avancer avec les territoires, c'est en leur permettant de voir leur potentiel, qui aujourd'hui n'est pas les terres agricoles mais les friches, les petites parcelles, les dents creuses, les bâtiments en ruine", ajoute-t-elle."La principale hypothèse, c'est qu'un certain nombre d'élus n'avaient pas été sensibilisés au problème, et n'ont pas vu cette mesure arriver", juge Vincent Le Rouzic, urbaniste et directeur adjoint des études à la Fabrique de la Cité, laboratoire d'idées du groupe Vinci."Le deuxième élément, c'est qu'on a certains territoires qui ont un mode de développement territorial principalement fondé sur de l'étalement urbain progressif, par du pavillon diffus, et de ce point de vue-là, l'objectif ZAN est un obstacle", détaille-t-il.Précisément ce modèle que la loi entend limiter.
Il y a 2 ans et 318 jours

Sécuriser le réemploi, une démarche collective

Photo : AdobeStockLargement développé dans d'autres secteurs, le réemploi reste une pratique marginale dans le monde du bâtiment (d'après le projet Européen Interreg FCRBE, aujourd'hui seulement 1% des éléments de construction sont réemployés dans le Nord-Ouest de l'Europe à la suite de leur première application). Pourtant, les impacts positifs qui y sont associés sont multiples, et l'engouement des acteurs pour son développement connaît une véritable montée en puissance. De plus, le contexte réglementaire évolue favorablement, notamment en 2022 (RE2020, filière REP PMCB, diagnostic PEMD), et de nombreuses initiatives voient le jour, aussi bien sur le développement de l'offre que sur la structuration de la demande. Cependant, les enjeux de qualité et de responsabilité sont majeurs pour le secteur du bâtiment, et l'offre de PEM (produits-équipements-matériaux) issus du réemploi doit être sécurisée afin de répondre aux attentes des acteurs. Plusieurs actions ont vu le jour ces dernières années, via notamment les travaux de la Fondation Bâtiment Energie (enjeu A), les cellules innovation du Booster du réemploi, les 36 fiches matériaux issues du projet Européen Interreg FCRBE... Lire la suite : Sécuriser le réemploi, une démarche collective
Il y a 2 ans et 319 jours

Isère : La région Auvergne – Rhône-Alpes s’équipe en stations hydrogène

Article paru dans le n° 101 de Béton[s] le Magazine La future station hydrogène d’HYmplulsion se situe sur le site de Saint-Egrève de Vicat. [©Vicat] Créée en 2018, HYmpulsion est une entreprise spécialisée dans la mobilité hydrogène en Auvergne – Rhône-Alpes (AuRA). Ses actionnaires se composent de la région AuRA, Engie, Michelin, le Crédit Agricole et la Banque des Territoires. En avril dernier, Laurent Wauquiez, président de la Région, Thierry Raevel, président d’HYmpulsion, et Guy Sidos, Pdg de Vicat, se sont réunis à Saint-Egrève (38). Les trois acteurs annonçaient ainsi la création d’une nouvelle station hydrogène sur le site du bétonnier. « Nous sommes fiers de contribuer activement à l’émergence de la filière hydrogène. Et à l’indépendance énergétique, grâce à la production locale de nouveaux vecteurs décarbonés : les carburants de synthèse », explique Guy Sidos. Retrouvez l’actualité des entreprises en région Auvergne-Rhône-Alpes Pour l’industriel, comme pour d’autres, cette énergie constitue un atout pour la décarbonation des transports et des process industriels. Au total, 5 stations d’hydrogène verront le jour courant 2022. Les usagers ayant fait le choix de cette mobilité pourront traverser la région sur un axe Est – Ouest et systématiquement disposer sur leur trajet d’une solution de recharge en hydrogène renouvelable. « Dans le contexte de crise énergétique actuelle, le développement de l’hydrogène est plus que jamais pertinent », conclut Pierre Fort, Dg du Crédit Agricole Sud Rhône Alpes. Article paru dans le n° 101 de Béton[s] le Magazine
Il y a 2 ans et 319 jours

Christophe Possémé, nouveau président du CCCA-BTP

Christophe Possémé, 45 ans, a été élu président du CCCA-BTP (Comité de concertation et de coordination de l’apprentissage du bâtiment et des travaux publics), lors du conseil d’administration du 5 juillet 2022, pour un mandat de trois ans. Il succède à Éric Routier, qui présidait l’association à gouvernance paritaire depuis 2019. Christophe Possémé est président de l’entreprise Le Bâtiment Associé à Muizon (51), qui compte 155 collaborateurs : maçonnerie, taille de pierre, charpente, ossature bois, restauration du patrimoine, travaux de déplombage et désamiantage, travaux publics. Après un CQP (certificat de qualification professionnelle) de briqueteur et un baccalauréat professionnel Construction bâtiment gros œuvre, Christophe Possémé a obtenu un diplôme de chef d’équipe gros œuvre puis un DUT (diplôme universitaire de technologie) de Conducteur de travaux. Il a également suivi le cycle de direction d’entreprise de l’Aproba et il est titulaire du certificat supérieur Développement durable et Qualité environnementale de l’IFRB. Après plusieurs années passées dans différentes entreprises du bâtiment, Christophe Possémé a rejoint en 2000 l’entreprise Le Bâtiment Associé en qualité de conducteur de travaux. Directeur de travaux de 2005 à 2009, puis directeur général adjoint de 2009 à 2010, il est depuis 2011 le président de l’entreprise. Christophe Possémé est de longue date investi dans la formation professionnelle aux métiers de son entreprise, notamment des jeunes par la voie de l’apprentissage. À ce titre, Le Bâtiment Associé, qui forme chaque année une vingtaine d’alternants et dont la formation et la montée en compétence permanente des salariés constitue une valeur forte de l’entreprise, a reçu en 2021 le Trophée de l’alternance. Le conseil d’administration du CCCA-BTP du 5 juillet 2022 a également élu : Éric Routier (FNCB-CFDT), vice-président, Ludovick Lefebvre (FNSCBA-CGT), trésorier Laure Vial (CAPEB), secrétaire
Il y a 2 ans et 319 jours

La région Ile-de-France adopte un contrat État-région sans volet transports

Ce engagement financier a "vocation à rééquilibrer, sur le long terme, les investissements en Île-de-France au bénéfice de tous les territoires, urbains comme ruraux", a souligné la région présidée par Valérie Pécresse (LR) dans un communiqué.La région se félicite du "doublement de l'enveloppe strictement dédiée aux projets environnementaux" (572 millions d'euros) qui doit notamment servir au développement de la filière hydrogène et au remplacement des vieilles chaudières polluantes.L'enveloppe du volet enseignement supérieur et recherche, à plus d'un milliard d'euros, permettra notamment de rénover des bâtiments universitaires, acheter du matériel scientifique de pointe ou agrandir les résidences étudiantes.L'aménagement durable (749 millions), l'emploi et la formation (383 millions) et la culture (254), pour la première fois, font également l'objets de volets distincts, comme l'égalité femmes-hommes (30).Le précédent CPER, d'un montant final de 7,4 milliards d'euros, comportait une enveloppe de 5,3 milliards pour les transports.Les discussions pour une nouvelle enveloppe n'ayant pas abouti, Etat et région sont convenues en 2021 d'un avenant au précédent contrat, pour une durée de deux ans et un montant de près de 2,6 milliards d'euros.Un retard dénoncé dès janvier par les départements franciliens qui déploraient que l'Etat "reste sourd" à leurs appels, alors qu'ils investissent 1,5 milliard pour développer les transports.Elu de la majorité de droite, Pierre Liscia a dénoncé ce "grand absent" des transports, fustigeant le fait que "l'Etat se désengage du secteur des mobilités" dans la "plus grande région d'Europe, celle qui accueillera les JO en 2024"."Ce CPER est un rendez-vous manqué" notamment en raison des transports, a jugé Jonathan Kienzlen (PS), pour qui "la faute en incombe principalement à l'Etat".La majorité de droite a voté un amendement de l'opposition communiste demandant une entrée en application du futur volet mobilités au plus tard au 1er janvier 2023.Assemblée consultative de la société civile, le Conseil économique, social et environnemental régional (Ceser) francilien a regretté dans son rapport le "faible taux d'exécution globale du précédent CPER", avec 40% de crédits mandatés fin 2021.
Il y a 2 ans et 319 jours

L'Agence nationale pour la rénovation urbaine (ANRU) s'installe en Seine-Saint-Denis, "un symbole"

Installée, depuis sa création en 2004, rue de Vaugirard dans le VIème arrondissement de la capitale, l'agence a déménagé ses 130 salariés de l'autre côté du périphérique, dans un immeuble flambant neuf le long du canal de l'Ourcq, où le foncier disponible a fait fleurir les projets immobiliers."L'idée de venir en Seine-Saint-Denis s'est imposée compte tenu du fait que c'est le département sur lequel nous avons la plus grosse intervention en terme de renouvellement urbain", explique dans un entretien à l'AFP Anne-Claire Mialot, nommée en décembre dernier."Ça permet aussi de montrer qu'on croit concrètement à la possibilité de transformation des quartiers, et c'est aussi cela que symbolise notre arrivée", appuie-t-elle.Le nouveau siège doit être inauguré jeudi, en présence du nouveau ministre de la Ville et du Logement, Olivier Klein, qui occupait jusqu'alors la présidence de cet établissement public."C'est une fierté de voir le président accéder à ces fonctions qui sont essentielles pour l'avenir de notre pays. Il a l'expérience de la construction de logements, du renouvellement urbain et de la politique de la ville dans sa ville de Clichy-sous-Bois" dont il est maire, estime Mme Mialot.Au total, 453 quartiers sont ciblés par le nouveau programme national pour le renouvellement urbain mené par l'ANRU, qui dispose d'un budget de 12 milliards d'euros."Aujourd'hui, c'est le temps de l'opérationnel" avec une majorité de chantiers lancés, souligne sa directrice.Trente-sept quartiers de Seine-Saint-Denis, le département le plus pauvre de France métropolitaine, sont concernés par ces opérations pour "plus de 2 milliards d'euros de concours financier", soit des subventions et des prêts bonifiés.Plus globalement, "l'Ile-de-France est la première région où on intervient", rappelle Mme Mialot, citant également des villes emblématiques telles Sarcelles (Val-d'Oise), Grigny (Essonne) ou Les Mureaux (Yvelines)."Une bosse" ?L'ANRU entend aussi se déployer massivement à Marseille, où le plan "Marseille en Grand" prévoit d'injecter 650 millions d'euros pour rénover les quartiers pauvres (Castellane, Kalliste...) et "le centre-ville où on met 200 millions d'euros pour travailler sur l'habitat privé".Des villes ouvrières du Nord tout comme la métropole lyonnaise verront également des programmes de rénovation se concrétiser.Avec partout, la même boussole: "travailler sur la rénovation de l'habitat, mais aussi sur la mixité sociale et fonctionnelle, faire revenir du développement économique et des activités dans les quartiers".Exit les "quartiers dortoirs", il faut "refaire des villes où toutes les fonctions sont présentes", annonce Mme Mialot.Par son action, l'ANRU a, selon sa directrice générale, "un effet levier sur d'autres problématiques comme l'inclusion, le développement durable, la résilience".Mais la reprise de l'inflation, qui frappe notamment le prix des matériaux et renchérit le coût des prêts, ne risque-t-elle pas de contrarier certains grands projets ?"Si c'est conjoncturel, c'est une bosse qu'on passera comme d'autres, si c'est un peu plus structurel, la question pourrait se poser de la soutenabilité d'un certain nombres de projets", glisse Anne-Claire Mialot."Pour l'instant, j'ai des élus et des bailleurs qui me disent, +c'est compliqué+, mais je n'ai personne qui m'a dit +j'arrête ce projet parce que je ne peux pas le financer+".Au-delà de l'amélioration du cadre de vie des habitants, les opérations de rénovation urbaine incluent la présence d'équipements publics (écoles, crèches) et "la diversification de l'habitat" pour accueillir différentes populations."La concentration des personnes les plus précaires dans un même lieu n'apporte rien de bon. La mixité permet l'entraide, le dialogue, le vivre-ensemble, la connaissance réciproque, de faire tomber les stéréotypes", juge Anne-Claire Mialot.
Il y a 2 ans et 319 jours

Notre rapport Responsabilité Sociétale des Entreprises 2021 est en ligne

Dans la continuité de son premier rapport RSE, le CSTB souhaite, cette année encore, partager son engagement sociétal pour l'année 2021 au travers de ses projets phares et de ses actions en interne. Dans un monde en profonde mutation, le CSTB s'adapte et se transforme pour accompagner les évolutions de notre environnement et relever les défis auxquels nous aurons collectivement à faire face dans les prochaines années. Et parce que les défis sont multiples, le CSTB se mobilise, en propre ou avec des partenaires, pour accompagner les acteurs de la construction, identifier les réponses possibles et mieux anticiper les transformations. Parmi tous ces enjeux, le changement climatique est probablement le plus impactant. Il trouve un écho dans les domaines d'actions stratégiques développés en 2020 : « Bâtiments et quartiers pour bien vivre ensemble », « Bâtiments et villes face au changement climatique », « Rénovation, fiabilisation de l'acte de construire et innovation », « Économie circulaire et ressources pour le bâtiment ». Consultez les Feuilles de route scientifiques et techniques, vision 2030 Les prises de parole du Président, de la Directrice générale déléguée et du Directeur général adjoint en charge de la Recherche et Développement du CSTB, ainsi que le partage de son engagement RSE, donnent une vision globale des avancées du CSTB au service de ses clients et partenaires, sa contribution aux objectifs de développement durable et des perspectives pour demain. Plus que jamais, le CSTB a à cœur d'œuvrer pour « le futur en construction ». Découvrez notre rapport RSE 2021
Il y a 2 ans et 320 jours

AGC et E.ON confirment leur partenariat pour améliorer l'efficacité énergétique et la décarbonation de sites

Dans ce contexte, l'énergéticien E.ON et le fabricant de verre AGC renforcent leur partenariat par un projet commun de récupération de chaleur résiduelle et de production d'énergie verte dans l'usine de verre flotté d'AGC à Seingbouse, en France. Le projet sera développé, mis en œuvre, financé et exploité par E.ON. E.ON et AGC Glass Europe ont lancé leur partenariat en 2019 et ont déjà mis en œuvre des projets d'efficacité énergétique dans divers pays européens. En outre, la construction de futures centrales photovoltaïques d'une capacité allant jusqu'à 20 mégawatts (MW) est prévue en Hongrie et en République tchèque.« Waste Heat to Power » Récupération de chaleur fatale pour produire de l'électricité neutre en CO2 La chaleur fatale est la plus grande source d'énergie inutilisée au monde. Environ la moitié de la chaleur utilisée dans l'industrie est ainsi perdue. Le cœur du processus de fabrication du verre est le four à verre flotté qui fonctionne à des températures élevées, supérieures à 1000°C. Environ 30 % de la chaleur nécessaire au processus de production est finalement perdue dans les gaz de combustion et restait, jusqu'à présent, inutilisée. E.ON et AGC Glass Europe veulent remédier à cela. Sur le site de production d'AGC à Seingbouse, cette chaleur sera récupérée pour générer de l'électricité neutre en CO2 en mettant en œuvre une centrale innovante à cycle organique de Rankine (ORC) d'une capacité de 1,3 mégawatts (MW).Pour poursuivre la décarbonation du site, E.ON installe également une centrale photovoltaïque (PV) d'une capacité de 2,7 MW sur le site de l'usine. Elle produira de l'électricité renouvelable sur une surface totale de 27 000 m2.Un « Green PPA » sur site pour réduire la dépendance aux marchés de l’énergieEn combinant une centrale électrique ORC avec une centrale PV, E.ON fournira à AGC environ 10 gigawattheures (GWh) d'électricité décarbonée par an à partir de 2023. Cette électricité est entièrement produite et consommée sur le site d'AGC et couvre une grande partie des besoins en électricité du site. Sur cette base, environ 595 tonnes de CO2 sont évitées chaque année.Le projet est structuré sous la forme d'un contrat d’achat d’électricité (PPA : Power Purchase Agreement) long terme où E.ON produira et vendra de l'électricité à un prix fixe. Cela permettra au site d'AGC de se prémunir du risque de volatilité des marchés de l'énergie. De plus, le projet ne nécessite aucun investissement de la part d'AGC car il est financé par E.ON et soutenu par l'Etat français dans le cadre du plan « France Relance » mis en place par l'ADEME*.Marc Bartheld, directeur d'usine AGC Seingbouse : « Notre usine est l'une des plus grandes lignes de production d'AGC pour le secteur du bâtiment avec une production annuelle de 240 000 tonnes de verre flotté. Notre objectif est de réduire nos émissions de gaz à effet de serre de 30 % et notre consommation d'énergie de 20 % d'ici 2030. Pour y parvenir, nous travaillons constamment à l'amélioration des performances environnementales de nos sites de production. Le projet de Seingbouse ici en France est un parfait exemple de la manière dont E.ON peut nous aider non seulement à atteindre nos objectifs de durabilité, mais aussi à garantir la compétitivité du site sur le long terme."Guenther Schneider, président d'E.ON France : « Outre la décarbonation, la sécurité d'approvisionnement et l'indépendance vis-à-vis des prix volatils des matières premières deviennent, dans le contexte de marché actuel, de plus en plus cruciales pour nos clients industriels. Par conséquent, ces objectifs peuvent être atteints en combinant mesures d'efficacité énergétique avec la réutilisation de la chaleur perdue et production locale d'énergie verte. Grâce à sa présence internationale, E.ON peut aider AGC à mettre en œuvre cette stratégie de développement durable de manière efficace sur l'ensemble de ses sites européens."(*) Le projet ORC a été financé par le Gouvernement français dans le cadre du plan de Relance opéré par l’ADEME. Le programme « France Relance », porté par l'ADEME, contribue à accélérer la décarbonation de l'industrie française.
Il y a 2 ans et 321 jours

Wolf France, spécialiste de systèmes de chauffage, climatisation et ventilation, dresse un bilan positif de 2021

Une marque de confiance, pionnière dans le confort intérieurSpécialiste de systèmes de chauffage, de climatisation et de ventilation, WOLF se donne chaque année pour mission de répondre aux besoins les plus essentiels de chacun en termes d’eau, d’air et de chaleur pour un confort de vie au quotidien. Cet objectif s’est affirmé grâce à une large gamme de produits conçus avec des technologies ultra-modernes et dont la qualité et les hautes performances sont hors pair. De plus, tous les appareils de la marque se coordonnent parfaitement et peuvent être combinés ensemble, pour une gestion totale et globale du confort intérieur en résidentiel comme en tertiaire.Les distributeurs eux-mêmes sont conquis« La maintenance sur vos produits est vraiment facile, et rapide. La conception de vos produits est ingénieuse; vous vous mettez bien à la place des installateurs On voit bien que vous avez travaillé sur plein de détails qui nous facilitent la vie… La Wolf App est d’une simplicité exemplaire; on y trouve facilement toutes les pièces, avec les vues éclatées; et votre «inspecteur erreur» donnent bien les réponses attendues. Bravo pour votre service technique ; surtout n’en changez pas ! Vos techniciens à la hotline décrochent vite, et sont compétents. Félicitations pour votre logistique; la livraison à J+1, pour toute commande avant 12h30, marche parfaitement bien et est plus qu’appréciable. Les collaborateurs Wolf sont vraiment réactifs; on sent bien le sens du service, c’est très appréciable. WOLF en France, c’est un peu une grande famille; on connaît les gens par le prénom. Et on voit bien qu’ils se décarcassent pour nous. Quand je vois vos produits, je dis chapeau la qualité! Je peux proposer ça en toute tranquillité à mes clients. » La qualité PREMIUM comme ligne directriceLa qualité des produits WOLF n’est plus à prouver. WOLF veille à améliorer en continu ses technologies afin de proposer de nouvelles solutions toujours plus adaptées aux besoins futurs de la population et avec une qualité irréprochable « Made in Germany ».L’ensemble des produits WOLF chauffage sont PREMIUM et sont imaginés, créés et fabriqués dans leur usine à Mainburg en Bavière. 5 ans de garantie sont valables pour toutes les chaudières à condensation de 2e génération, pompes à chaleur et ventilations résidentielles. Outre la qualité que WOLF se fixe dans la fabrication de ses produits, l’entreprise a maintenu des délais de production courts en pleine crise de Covid-19 pour suivre l’exigence qu’elle s’est donnée. En pleine pandémie, WOLF est fière d’avoir continué à livrer ses clients dans les plus brefs délais, réel défi alors que les matières premières venaient à manquer.Le « Made in Germany » aspire aux quatre coins du monde à une image de qualité, de haut de gamme et de fiabilité reconnus depuis des décennies. Le label allemand est l’une des indications de provenance les plus réputées au monde, voire la plus prestigieuse.Les chiffres clés de l’année 2021Le C.A a connu une progression exceptionnelle de 50%Le C.A de WOLF Europe est de 500M€Toutes les familles de produits ont progressé : + 36% sur le gaz, + 183% sur les pompes-à-chaleurDes ambitions fortes pour l’année 2022Une entreprise pérenne qui recruteAvec plus de 3.000 employés à son actif, WOLF développe ses équipes d’année en année. En 2021, la structure a accru sa force commerciale (itinérante et sédentaire) pour accompagner son développement. 4 commerciaux ont rejoint l’équipe chauffage, basée à Lyon, et un chef de produit a également intégré les équipes pour superviser le lancement de la nouvelle gamme de pompes à chaleur FHA.Focus sur les produits phares de 2022WOLF développe son offre et va proposer une nouvelle gamme complète de pompes-à-chaleur monoblocs attendue pour l’automne 2022. Le segment des pompes-à-chaleur Air-Eau monoblocs est celui qui connaît la plus forte croissance (+ 82% en France en 2021). Ces produits, plus faciles à installer que les bi-blocs, répondaient à une demande constante de la part des clients. Les installateurs en rêvaient, WOLF l’a fait.La satisfaction client comme priorité continuePour cette nouvelle année, WOLF souhaite consolider ses liens personnels avec ses clients. Pour ce faire, les équipes ont pour projet de réaliser des présentations produits par le biais de quatre camions de démonstration qui parcourent la France. WOLF souhaite ainsi renforcer sa présence dans des départements français.Les équipes sont également mobilisées afin de réaliser des formations dans leur 4 centres de formation et comptent créer des événements destinés à leurs clients. En 2022, le positionnement de WOLF sur le marché de la pompe à chaleur sera confirmé grâce à la commercialisation d’une toute nouvelle gamme inédite, qui vient asseoir le statut d’expert de la marque sur son marché.
Il y a 2 ans et 321 jours

Holcim en passe de racheter Cantillana

Holcim annonce le rachat de Cantillana. [©Cantillana] Holcim poursuit le développement de sa division “Solutions & Products” en Europe. Après plusieurs acquisitions dans ce sens (PRB, Izolbet, PTB-Compaktuna…), le géant industriel annonce le rachat du Belge Cantillana. Jusqu’alors propriété de la famille Stadsbader, ce dernier est spécialisé dans les produits de gros œuvre, dans les enduits de façade pour l’isolation thermique par l’extérieur et les granulats. L’industriel a vu le jour en 1875, à Saint-Nicolas, en Flandre-Orientale. Aujourd’hui, Cantillana compte plus de 200 collaborateurs en Belgique, en Allemagne, en France et aux Pays-Bas. En 2022, il devrait atteindre 80 M€ de chiffre d’affaires. Lire aussi : Holcim assoit sa conquête des marchés de la toiture et de l’isolation  « Cette acquisition nous permet de renforcer notre présence en Europe, surtout dans le domaine de la rénovation et de l’efficacité énergétique », conclut Miljan Gutovic, directeur des régions Afrique, Europe et Moyen-Orient.Pour rappel, Holcim veut atteindre 30 % de chiffre d’affaires généré par sa division “Solutions & Products”, d’ici 2025. Un objectif en accord avec sa “Stratégie 2025 – Accelerating Green Growth”. La gamme Solutions & Products est essentiellement tournée vers le bâtiment durable, l’isolation, la rénovation et les solutions de toitures.
Il y a 2 ans et 321 jours

LGV Bordeaux-Toulouse : première réunion du conseil de surveillance

Ce Grand projet du Sud-Ouest (GPSO) vise à relier Toulouse à Paris en trois heures et à Bordeaux en une heure, soit un gain d'une heure sur chaque trajet, ainsi que de vingt minutes vers Dax.Le conseil de surveillance de la société du GPSO réunit les 25 collectivités territoriales d'Occitanie et de Nouvelle-Aquitaine qui participent au financement, ainsi que la SNCF.Le GPSO représente "327 km de lignes nouvelles, en incluant les aménagements au sud de Bordeaux et au nord de Toulouse", a précisé Etienne Guyot, préfet d'Occitanie et coordinateur du projet, lors d'une conférence de presse à Toulouse.La SNCF "maître d'ouvrage a présenté le planning de réalisation avec (...) un objectif de mise en service en 2032", a-t-il ajouté, annonçant un début des travaux d'aménagement en 2023.La présidente PS du conseil régional d'Occitanie, Carole Delga, a été élue à la tête du conseil de surveillance, à la suite duquel s'est tenue la première réunion du comité de pilotage du projet.Elle a souligné que le GPSO vise à "permettre une connexion à l'international, mais aussi le développement des trains du quotidien" en Occitanie, impossible selon elle en l'état des structures existantes, saturées ou en passe de l'être.Elle s'est par ailleurs engagée à faire en sorte de "gagner du temps par rapport au premier calendrier présenté" pour une mise en service plutôt en "2030-2031".Alain Rousset, président PS de la région Nouvelle-Aquitaine, a argué que la LGV est un "succès populaire" qui ne dessert pas seulement Paris, mais a "un report massif et écologique" sur les transports quotidiens et a invoqué la nécessité d'une 2e voie ferroviaire pour le fret.Le GPSO est financé à 40% par l'Etat, 40% par des collectivités locales d'Occitanie et de Nouvelle-Aquitaine, et à 20% par l'Union européenne.Fin juin, la Commission européenne a refusé le financement d'études techniques d'aménagements au sud de Bordeaux, soit 17,3 millions d'euros sur les 2,8 milliards de fonds européens attendus."Cette annonce de l'Union européenne du 29 juin 2022 ne préjuge en rien des appels à projet ultérieurs", a déclaré lundi M. Guyot, soulignant que l'UE préfère soutenir "des projets déjà en phase travaux" et "a déjà financé 39,2 millions du GPSO sur les aménagements ferroviaires au nord de Toulouse, au sud de Bordeaux".Pour les opposants à la LGV toutefois, tel Pierre Hurmic, maire EELV de Bordeaux, "il est encore temps (...) de préparer une candidature alternative" avec la modernisation des lignes existantes, avant le prochain appel à subventions prévu en septembre.
Il y a 2 ans et 321 jours

La Cour des comptes présente son rapport sur l'organisation des marchés de l’électricité

Permettre l'exercice de la concurrence entre fournisseurs, garantir aux consommateurs des prix stables et reflétant la compétitivité du parc nucléaire existant, assurer le financement de ce parc et disposer de capacités suffisantes pour garantir l'équilibre entre offre et demande d'électricité... Le rapport publié ce jour par la Cour des comptes répond à trois questions évaluatives sur les principaux dispositifs de la politique publique d'organisation des marchés de l'électricité. Il souligne que la mise en œuvre combinée de ces dispositifs au cours des dix dernières années ne permet plus de garantir que les objectifs initiaux soient atteints. Ce constat, illustré à l'extrême dans le contexte récent de flambée des prix du gaz et de l'électricité, appelle à mettre à profit les prochaines échéances de révision ou de caducité des dispositifs existants, pour clarifier les objectifs et revisiter les outils de l'intervention sur les marchés de l'électricité...Une intervention publique qui répond à des enjeux propres à la FranceLe système de production français se distingue au sein de l'Europe par le poids et la compétitivité du parc nucléaire historique. Dès lors, en l'absence d'intervention publique, l'ouverture à la concurrence du marché de l'électricité à l'échelle européenne se traduirait par un approvisionnement de la clientèle française à des conditions de prix susceptibles d'excéder nettement les coûts de production du parc français.Des outils d'intervention dont la mise en œuvre ne garantit plus l'atteinte des objectifsPour permettre le développement de la concurrence sur le marché de détail, les tarifs règlementés de vente (TRV), auxquels les deux tiers des ménages sont encore abonnés, sont désormais établis en fonction de coûts d'approvisionnement représentatifs de ceux des fournisseurs alternatifs (par opposition aux fournisseurs historiques, dont EDF). La stabilité et la compétitivité de ces tarifs dépendent de plus en plus du bon fonctionnement des régulations mises en place sur les marchés de gros (entre producteurs et fournisseurs), et notamment de l'accès régulé au nucléaire historique (ARENH). Depuis 2019, ces tarifs sont de plus en plus affectés par l'évolution des prix des marchés de gros, au risque de s'éloigner significativement des coûts de production du parc français. Ainsi, sans les mesures exceptionnelles du bouclier tarifaire mises en place début 2022 par le gouvernement, les tarifs règlementés de vente auraient bondi de 35 % TTC au 1er février 2022.L'accès régulé au nucléaire historique (ARENH), qui devait permettre aux fournisseurs alternatifs de s'approvisionner à des conditions équivalentes aux coûts de production d'EDF, est pris en défaut, car son prix n'a jamais pu être fixé au niveau de ces coûts de production. Son plafonnement en volume, lié au caractère provisoire du dispositif, n'a pas été ajusté à la progression des parts de marchés des fournisseurs alternatifs, entrainant ainsi un « écrêtement » des demandes de ces fournisseurs depuis 2019. Il a malgré tout permis à EDF de couvrir ses coûts comptables de production sur la période 2011-2021, même si cette couverture est de moins en moins assurée au fil des années.Le mécanisme de capacité mis en place en 2016 pour garantir une disponibilité suffisante des moyens de production lors des pointes de consommation hivernales est à l'origine d'importants transferts financiers entre producteurs et consommateurs. Il rémunère certaines filières, et notamment le parc nucléaire, de façon non proportionnée au regard des strictes nécessités de la sécurité d'approvisionnement.La Cour fait globalement le constat que la mise en œuvre combinée de ces différents outils aboutit à une organisation qui n'est plus ni lisible ni pilotable, et qui ne garantit plus l'atteinte des objectifs initiaux.Une politique publique dont les objectifs doivent être clarifiés et les instruments revisités à brève échéanceÀ court terme, la Cour appelle surtout à se pencher sur la méthode de calcul des tarifs réglementés de vente en cas d'écrêtement des demandes d'ARENH, afin de limiter l'exposition de ces tarifs à de brusques variations de prix de marché. À moyen terme, compte tenu du rôle toujours prépondérant du parc nucléaire dans la production d'électricité en France, la régulation publique de l'accès à cette production va rester un enjeu majeur au-delà du terme assigné à l'ARENH (soit fin 2025). La Cour appelle ainsi les pouvoirs publics à clarifier, dès 2022, les objectifs qui seraient poursuivis dans le cadre d'une nouvelle régulation du nucléaire, pour en déterminer les nouvelles modalités et garantir son articulation avec les autres dispositifs de politique publique.
Il y a 2 ans et 321 jours

“1 immeuble, 1 œuvre” : L’importance de l’art dans la ville

L’art et l’architecture ont toujours été intimement liés dans l’histoire. [©Eva Jospin] L’art ne laisse pas indifférent. On aime ou on déteste, mais il stimule les émotions. L’art et l’architecture ont toujours été intimement liés dans l’histoire. « Il n’y a pas si longtemps qu’il existe une rupture entre l’architecture et les artistes, depuis que la construction s’est industrialisée et normalisée », insiste l’artiste Eva Jospin. C’est pourquoi en 2015, le ministère de la Culture et de la Communication a lancé le programme “1 immeuble, 1 œuvre”, en lien avec la Fédération des promoteurs immobiliers (FPI). Ceci, afin d’accompagner les promoteurs et sociétés foncières dans cette démarche de soutien à la création artistique et de diffusion des arts plastiques. 72 signataires actuellement « Notre objectif ? Rendre systémique et collective cette commande, d’où la charte signée le 16 décembre 2015 avec le ministère de la Culture et ses 13 premiers signataires. Ils sont désormais 72 », rappelle Artur Toscan du Plantier, président du Club “1 immeuble, 1 œuvre” et directeur de la stratégie d’Emerige. [©Emerige] Ils étaient 13 signataires alors, s’engageant à commander ou à acquérir une œuvre d’art auprès d’un artiste pour tout immeuble à construire ou à rénover. En 2018, c’est l’envol du programme de commandes artistiques. Aujourd’hui, les acteurs de l’immobilier sont toujours plus nombreux à s’engager volontairement, en signant la charte ministérielle, à financer l’acquisition ou la production d’une œuvre. Ils sont désormais 72, du grand groupe immobilier comme Emerige, dirigé par Laurent Dumas, à l’initiative de la proposition ministérielle, Vinci Immobilier, Bouygues Immobilier ou de plus petits acteurs, citons Bâti-Nantes ou des bailleurs sociaux à l’instar de Toit et Joie – Poste Habitat. Tous s’engagent à faire appel à un artiste vivant, en procédant à la commande ou à l’achat d’une œuvre existante, dans le champ des arts visuels. Et à prendre à leur charge la rémunération de l’artiste, ainsi que les coûts de réalisation et d’installation de l’œuvre. 554 œuvres produites, partout en France Agnès Pezeu, directrice du fonds de dotation d’Interconstruction. [Interconstruction] Au final, depuis sa création, l’association a vu la commande de 554 œuvres, partout en France. A l’intérieur ou à l’extérieur des bâtiments, dans les parties communes ou sur la place publique, un véritable parcours d’œuvres se dessine sur l’ensemble du territoire. Sculptures, peintures, installations lumineuses, photographies ou créations originales de mobilier : les réalisations renouent avec une pratique historique d’un dialogue concerté entre art et architecture. Et confirment la diversité et la richesse de la scène française. Depuis le lancement de l’opération, des artistes, émergents ou confirmés, ont convié habitants et visiteurs à la réflexion, à la rêverie, à la discussion, mais aussi au débat. Parmi lesquels Daniel Buren, Johan Creten, Gloria Friedman, Fabrice Hyber, Eva Jospin, Arik Levy, Théo Mercier, Yann Lestrat ou encore Prune Nourry. Le programme s’est aussi ouvert aux propositions artistiques temporaires conduites sur le temps de chantiers. « J’ai la conviction que l’art doit infuser dans la ville par l’architecture. Pour Linkcity, il est important de développer une vision artistique dans nos réalisations architecturales. C’est une vraie volonté de Linkcity. La majorité des opérations livrées comprennent une œuvre. Quand je suis arrivé chez Linkcity il y a dix ans, cette volonté artistique était déjà présente », insiste Philippe Da Silva, directeur d’opération maîtrise d’ouvrage d’exécution chez Linkcity, filiale de développement immobilier de Bouygues Construction. Un cheminement piéton « Quand je suis arrivé chez Linkcity il y a dix ans, cette volonté artistique était déjà présente », insiste Philippe Da Silva, directeur d’opération maîtrise d’ouvrage d’exécution chez Linkcity, filiale de développement immobilier de Bouygues Construction. [©Linkcity] « Je suis attaché à “L’empreinte du Mammouth”, réalisée par Stefan Shankland. Cette œuvre s’inscrit au cœur du lot O8 dans la Zac des Batignolles (Paris VIIe). L’artiste a utilisé le “Marbre d’ici”, qui est le nom donné à la nouvelle matière première produite à partir du recyclage des gravats et déchets de chantier. Réduits en poudre, mélangés à du ciment et coulés en strates, ces déchets inertes ont été transformés en une ressource : un matériau noble, un béton à haute valeur patrimoniale, esthétique et écologique, pour la réalisation d’un cheminement piéton sillonnant à travers le jardin au pied des immeubles du lot O8 », explique Philippe Da Silva. Et l’artiste Stefan Shankland, de poursuivre : « Cette œuvre produit un monument ordinaire à l’effigie de la transformation de la matière et crée une continuité entre l’avant, le pendant et l’après transformation urbaine. Le chantier est un métabolisme qui transforme les ressources naturelles au cours du temps et laisse, pour trace ultime de son activité, un immeuble. Cette sculpture horizontale nous parle de stratification, de géologie, de gisements venus du sous-sol avant d’être érigés en architecture verticale ». Grâce à l’art contemporain « Cette sculpture horizontale nous parle de stratification, de géologie, de gisements venus du sous-sol avant d’être érigés en architecture verticale. » ©Stefan Shankland] En 2021, Intercontruction a signé la charte “1 immeuble, 1 œuvre”, mais depuis plus de 20 ans, ce promoteur associe une œuvre d’art par construction. L’artiste est choisi en fonction du lieu et des habitants. « Derrière chaque œuvre, il y a un artiste. Comme tout chercheur, il évolue dans un processus méthodique de réflexion et d’exploration souvent long et intuitif. Nous souhaitons mettre un supplément d’âme dans nos constructions grâce à l’art contemporain. Nos chantiers les plus emblématiques ? Nous avons posé avec les artistes de Duoduo une œuvre en céramique sur un pignon d’immeubles à Vanves. Je me souviens aussi des photos de Corinne Mercadier à Courbevoie ou encore les peintures abstraites de Patrice Pantin, à Guyancourt », souligne Agnès Pezeu, directrice du fonds de dotation d’Interconstruction.En finançant l’acquisition d’œuvres artistiques dans leurs programmes immobiliers, les promoteurs soutiennent la création contemporaine et valorisent l’architecture. Cet engagement inédit améliore la qualité de vie des habitants, en permettant au plus grand nombre d’accéder à la création artistique. Aujourd’hui, le programme “1 immeuble, 1 œuvre” continue de fédérer et de mobiliser promoteurs immobiliers, sociétés foncières et bailleurs sociaux. De plus en plus nombreux à rejoindre le programme, désireux d’engager un échange et un partage autour d’œuvres d’art dans des lieux de vie ou de travail. « Depuis les années 1950, la commande artistique était l’apanage de la puissance publique notamment à travers le 1 % artistique. Des acteurs de l’immobilier commandaient des œuvres de manière individuelle. Notre objectif ? Rendre systémique et collective cette commande, d’où la charte signée le 16 décembre 2015 avec le ministère de la Culture et ses 13 premiers signataires. Ils sont désormais 72 », rappelle Artur Toscan du Plantier, président du Club “1 immeuble, 1 œuvre” et directeur de la stratégie d’Emerige. L’art et l’architecture ne font plus qu’un “Matera”, œuvre d’Eva Jospin. [©Cyrille Dubreuil] Et de poursuivre : « Les projets qui m’ont beaucoup touché ? La forêt d’Eva Jospin dans le VIIe arrondissement. Cette œuvre pour Beaupassage a été réalisée, en 2017, dans d’anciens entrepôts appartenant à Emerige, rue de Tolbiac à Paris, et qui servaient d’atelier d’artistes mis à disposition par le groupe. Telle une grande forêt immersive dans la longueur de la galerie d’accès au boulevard, “La Traversée” est apposée le long du mur, côté droit. Côté gauche, cette futaie est réfléchie par des poly-miroirs plans. La forêt de carton, matériau de prédilection de l’artiste, forme un immense haut-relief de 530 cm de long par 280 cm de haut. Bois, branches, rameaux, racines, frondaisons, cimes, troncs, ramifications, feuilles, fruits, bourgeons, greffons, buissons, arbres, arbustes, tiges, mousses… Tout ce qui forme l’enchevêtrement sylvestre, mystérieux, insondable, voire labyrinthique d’une forêt devient, dans les mains d’Eva Jospin, un paysage modelé, découpé, incisé et ciselé dans du carton ». Et Eva Jospin, de reprendre : « A Massy-Palaiseau, dernièrement je suis intervenue sur toute une façade pour le cabinet Brenac et Gonzales Associés. Et également à Bagneux pour le cabinet Lambert Lenack. Les deux étant des commandes d’Emerige. J’ai utilisé la technique du béton matricé avec des bas-reliefs en carton, moulés. Je travaille sur les façades, sur toute l’architecture. L’art crée une passerelle, un langage avec le bâtiment ». Une expo photos sur les palissades de chantier Sacha Goldberger a habillé au sens propre six compagnons œuvrant sur le chantier avec des costumes renaissance en vue d’exposer leurs portraits sur la façade d’habillage urbain, comme s’il s’agissait d’une galerie renaissance. On peut être une entreprise assise sur des milliards d’euros de gestion d’actifs en Europe, en Asie et en Amérique, et faire une pause dans le temps. C’est ce qu’a fait Ardian, présidé par Dominique Sénéquier, qui a confié au photographe Sacha Goldberger, le soin de donner vie à un chantier de réhabilitation de l’ancien immeuble d’Europe 1, rue François 1er à Paris. Les noms de la rue et du chantier lui-même (“Renaissance“) l’ont inspiré pour mettre en scène les artisans intervenant sur place pour restaurer l’immeuble racheté en 2018 par Ardian Real Estate, la branche “Immobilier” du groupe. Il a habillé au sens propre six compagnons œuvrant sur le chantier avec des costumes renaissance en vue d’exposer leurs portraits sur la façade d’habillage urbain, comme s’il s’agissait d’une galerie renaissance. Chacun pose avec son outil de travail. Toutes ces réalisations témoignent du lien prégnant entre l’art et l’architecture, qui refait son apparition dans la construction et fait connaître à un plus grand nombre l’art contemporain. Muriel Carbonnet
Il y a 2 ans et 322 jours

2022, une année sous le signe de l’innovation technique pour la société Orsol

Avancée technique majeure avec l’obtention de deux ATExNouvelle étape qui s’inscrit pleinement dans la démarche qualité en place, les parements ORSOL bénéficient depuis juillet 2021 d’une ATEx (Appréciation Technique d’Expérimentation) de cas A n°2926-V1 délivrée par le CSTB.Cette appréciation technique vise à évaluer des produits ou procédés innovants par le biais de l’examen d’un dossier. Cette procédure d’évaluation a été menée par un comité d’experts coordonné par le CSTB, et s’est conclue par la délivrance d’une ATEx qui atteste de la fiabilité des parements ORSOL et de leur procédé de pose IDEAPOSE pour les supports de type béton banché et RT3 revêtus d’un enduit CS4. Ce procédé permet à ORSOL de garantir ses produits 10 ans (hors pose) et assure un rendu esthétique optimal dans le temps.De nouvelles possibilités au-delà du DTU pour les professionnels de la constructionCette ATEx offre notamment la possibilité de poser des parements ORSOL à joints non remplis dont le poids est supérieur à 40 kg/m22 jusqu’à une hauteur de 6m, en extérieur.Les parements ORSOL pourront donc être posés dans des situations non visées par le DTU 52.2 (Document Technique Unifié), et être ainsi plus facilement recommandés dans le cadre d’appels d’offre pour des chantiers publics ou ceux soumis à l’approbation d’un bureau de contrôle. Cette ATEx est ainsi une véritable reconnaissance technique qui facilite la démarche des architectes et promoteurs, car elle confirme que les parements ORSOL répondent pleinement aux normes de sécurité et de performance attendues dans le domaine de la construction.Une nouvelle ATEx en partenariat avec ZOLPANPour répondre aux préoccupations environnementales et exigences réglementaires en matière de performance énergétique (RT2012 et désormais RE2020), d’autres avis techniques ou ATEX sont en cours de développement de manière conjointe avec d’autres entreprises du bâtiment, notamment dans le domaine de l’ITE (Isolation Thermique par l’Extérieur). ORSOL a ainsi obtenu en décembre 2021 une ATEx en partenariat avec ZOLPAN pour la pose des parements ORSOL sur support PSE (isolation au polystyrène expansé). Cela ouvre de nouvelles perspectives techniques pour les projets d’architectes ou promoteurs immobiliers.Une démarche qualité renforcée avec la validation de nouveaux essais sismiquesAu cœur de son développement depuis de nombreuses années, la démarche qualité ORSOL permet à l’entreprise de proposer des produits fiables et durables pour les habitations et les lieux publics.Leurs résistances technique et chromatique en font des produits idéaux pour une utilisation en intérieur comme en extérieur. Dans le cadre de sa démarche qualité, ORSOL apporte donc le plus grand soin à ses processus de fabrication en relation avec les préconisations du CERIB (Centre d’Etudes et de Recherches de l’Industrie du Béton).En s’appuyant sur son Laboratoire interne, ORSOL procède régulièrement à des essais techniques, ce qui lui permet de vérifier que ses produits répondent aux normes du bâtiment recommandées par le CSTB (Comité Scientifique et Technique du Bâtiment). Ces essais se font sur les principaux critères de conformité propres au domaine des revêtements muraux, qui ont permis d’obtenir les résultats suivants sur les parements ORSOL et leurs accessoires:Coefficient d’absorption d’eau par immersion de 6,0 % conforme à la norme NF EN 13198-2003Résistance au gel / dégel : aucun défaut d’aspect, d’épaufrure, d’écaillage après 25 cycles NF EN 13198Résistance à la flexion : conforme à la norme NF EN 13 748-1 : Résistance > 4 MPa.Adhérence couple mortier colle / parement avec conditions initiales + après cycle gel/dégel : Conforme à la norme NF EN 12004 : Force de traction > 1.72MPa.Résistance à la compression : f(c28)= 50 MPa selon NF EN 12 1390-3.Résistance au feu : résistant selon la classification européenne A1 (anciennement M0)Coefficient d’absorption solaire : < 0,7 % (sauf Black, Anthracite, Ton Rocaille, Gris clair et Gris nuancé)C’est dans cette même optique d’amélioration continue que fin 2021, le CSTB a procédé à des essais sismiques jamais réalisés jusque là.Le test Eurocode 8 selon la norme NF EN 1998-1Un test dont l’objectif est de s’assurer qu’en cas de séisme, les vies humaines sont protégées, les dommages limités et les structures importantes pour la protection civiles sont opérationnelles. Pour cela, des parements jointés (collection Manoir) et à joints non remplis (collection Rocky Mountain) ont été posés dans les règles de l’art sur un support auquel on applique des vibrations. Les essais consistent en 8 séquences de test où on augmente progressivement ces vibrations. Le résultat de ces tests s’est avéré plus que satisfaisant puisque les parements ORSOL sont arrivés sans aucune chute ou fissuration jusqu’à la dernière phase de vibrations sismiques, censée représenter le tremblement de terre le plus important possible en France et dans les DOMTOM).Cette nouvelle série de tests a donc apporté la confirmation que les parements ORSOL peuvent être posés sur l’ensemble du territoire français, y compris dans des zones où la sismicité peut être importante.
Il y a 2 ans et 322 jours

Le CCCA-BTP, accélérateur d'innovation dans la formation aux métiers du BTP, fête ses 80 ans

La soirée a été ponctuée de plusieurs séquences, en présence de personnalités et de représentants de l’État et des professionnels des secteurs du bâtiment et des travaux publics, acteurs de premier plan qui agissent au quotidien pour assurer une haute qualité pédagogique dans la formation professionnelle aux métiers du BTP, en particulier par la voie de l’apprentissage, et répondre aux besoins en compétences des entreprises et aux attentes des jeunes.Un événement riche d’échanges avec…Carine Seiler, Haut-commissaire aux compétences Sur le thème : « Transformation et digitalisation de la formation - De nouvelles modalités d’acquisition des compétences »Stéphane Rémy, Sous-directeur des politiques de formation et du contrôle à la délégation générale à l'emploi et à la formation professionnelle (DGEFP) Sur le thème : « Les branches du bâtiment et des travaux publics - Un rôle essentiel dans la mise en œuvre des politiques publiques » Édouard Geffray, Directeur général de l’enseignement scolaire au ministère de l’Éducation nationale Sur le thème : « Formation des enseignants et des formateurs - Qualité de l’acte pédagogique » Jean-Pierre Willems, Consultant, professeur à l’Université Paris 1 Panthéon-SorbonneSur le thème : « L’apprentissage BTP - Les grands enjeux à venir »Bruno Villalba, Professeur de sciences politiques à AgroParisTech Sur le thème : « Les secteurs du bâtiment et des travaux publics - Acteurs de la performance environnementale »Catherine Vandor, Mère d’un ancien apprenti formé à BTP CFA Brétigny-sur-Orge Sur le thème : « L’apprentissage aux métiers du BTP - Une voie de formation qui fait grandir »Ces séquences ont été ponctuées par les interventions d’Éric Routier, président du CCCA-BTP, et de Jean-Christophe Repon, vice-président du CCCA-BTP, ainsi que par des vidéos témoignages.Depuis 80 ans, toujours un temps d’avance...À travers 80 ans d’innovation au service des entreprises et des apprentis du BTP, le CCCA-BTP est resté fidèle à sa mission originelle : promouvoir et concourir au développement de la formation professionnelle aux métiers du BTP.C’est en prenant en permanence des initiatives et en gardant toujours un temps d’avance sur les évolutions socio-économiques, législatives, techniques, technologiques ou pédagogiques que le CCCA-BTP est devenu au fil des années un acteur majeur de la formation professionnelle aux métiers du BTP, en particulier par la voie de l’apprentissage. 94 500 apprentis sont aujourd’hui en formation dans les métiers du BTP dans près de 400 établissements de formation partout en France.Grâce à son ancrage paritaire, qui le connecte directement aux réalités des métiers et des territoires, le CCCA-BTP mène de nombreuses actions sur tous ses champs d’expertise (pédagogie, innovation, études, montée en compétences, communication…) au profit du développement et de l’excellence de l’apprentissage BTP. Ces actions visent à garantir une haute qualité pédagogique dans la formation aux métiers du BTP et à répondre aux besoins en compétences des entreprises du secteur et aux attentes des jeunes, y compris en termes d’accompagnement socio-éducatif.Anticiper, innover, performer…Avec la loi du 5 septembre 2018 pour la liberté de choisir son avenir professionnel, la formation professionnelle, en particulier l’apprentissage, a connu une mutation sans précédent, à laquelle les organismes de formation ont dû s’adapter, tant en termes de fonctionnement et d’organisation, qu’en matière d’offre et d’actions de formation, mais aussi d’innovation. C’est également pour répondre à ce profond changement, que le CCCA-BTP s’est lui aussi transformé et adapté pour relever tous les défis du nouvel environnement de la formation professionnelle. En sa qualité d’outil des branches du bâtiment et des travaux publics, le CCCA-BTP agit au profit de l’ensemble des organismes de formation aux métiers du BTP. Avec son offre de services, il les accompagne pour leur permettre d’anticiper les évolutions, gagner en attractivité, assurer le développement de leur activité, optimiser leur performance et garantir une haute qualité pédagogique sur l’ensemble des territoires. Le CCCA-BTP, qui fait de l’innovation un marqueur fort de son action, soutient les expérimentations et les projets innovants avec des appels à projets et appels à candidatures, conçoit des ressources et outils pédagogiques adaptés à la montée en compétences des apprentis, aux nouvelles formes d’apprentissage (réalité virtuelle et augmentée, formation à distance, hybridation des compétences) et aux besoins en qualification professionnelle des entreprises. Le CCCA-BTP est un éclaireur de tendances, un accélérateur d’innovation dans la formation aux métiers du secteur de la construction et un impulseur de performance, au profit des organismes de formation aux métiers du BTP et, plus largement, au service des branches du bâtiment et des travaux publics.Le mot d’Éric Routier, président du CCCA-BTP« Nous avons souhaité faire de ce 80e anniversaire un moment à la fois convivial et éclairant de notre action au profit du développement, de l’excellence et de la performance de l’apprentissage BTP. Nous sommes les héritiers d’une longue histoire, sur laquelle nous pouvons capitaliser et qui nous permet d’éclairer notre présent et d’inscrire résolument notre action dans l’avenir. Les professionnels du BTP ont toujours eu la profonde conviction qu’investir dans la formation des talents de demain est une condition essentielle, pour assurer le développement et la pérennité de notre secteur du BTP. Les apprentis que nous formons sont les futures forces vives de nos entreprises. C’est au profit de l’ensemble des organismes de formation aux métiers du BTP que notre association à gouvernance paritaire agit aujourd’hui, avec une offre de services qui leur est spécifiquement dédiée, pour assurer la performance de leur activité et une haute qualité pédagogique. » Le mot de Jean-Christophe Repon, vice-président du CCCA-BTP « L’identité paritaire de notre association nationale, qui connecte directement le CCCA-BTP aux réalités des métiers et des territoires, nous a toujours permis d’avoir un temps d’avance, pour adapter la formation à nos métiers du bâtiment et des travaux publics et répondre ainsi aux besoins en compétences et qualifications professionnelles dont nos entreprises ont besoin. Le CCCA-BTP a toujours eu une vision d’avenir et a toujours fait de l’innovation l’un des marqueurs essentiels de son action. C’est cette capacité à anticiper qui permet à notre secteur du BTP d’être aux rendez-vous des grandes transformations, qu’il s’agisse des transitions énergétique, technologiques ou numérique. La formation est essentielle aux entreprises et aux jeunes qui choisissent nos métiers. Elle est à la fois un vecteur économique, une source de développement et de compétences. La pérennité de nos entreprises passe par la promotion de l’apprentissage. »
Il y a 2 ans et 322 jours

Londres annonce des mesures de soutien pour la reconstruction de l'Ukraine

Lors de la conférence sur la reconstruction de l'Ukraine à Lugano, en Suisse, Mme Truss exposera les projets du Royaume-Uni pour soutenir le pays à court terme, à travers l'aide humanitaire, mais aussi à plus long terme pour relancer l'économie ukrainienne en apportant l'expertise financière et économique britannique, a indiqué son ministère dans un communiqué dimanche.Londres soutiendra notamment la reconstruction de la ville et de la région de Kiev, à la demande du président Zelensky, indique le Foreign office.Le Royaume-Uni compte également travailler avec Kiev et ses alliés pour accueillir la conférence sur la relance de l'Ukraine en 2023 et établira un bureau à Londres pour aider à coordonner ces efforts."Le redressement de l'Ukraine après la guerre d'agression de la Russie sera le symbole du pouvoir de la démocratie sur l'autocratie. Cela montrera à Poutine que ses tentatives de détruire l'Ukraine n'ont abouti qu'à une nation plus forte, plus prospère et plus unie", a déclaré la cheffe de la diplomatie britannique, en amont de la conférence."Nous avons été en tête en termes de soutien à l'Ukraine pendant la guerre et continuerons à être en tête du soutien au plan de reconstruction et de développement du gouvernement ukrainien", a-t-elle affirmé.Mercredi, le gouvernement britannique avait annoncé débloquer un milliard de livres (1,16 milliard d'euros) d'aide militaire supplémentaire à l'Ukraine pour répondre à l'invasion russe, comprenant des systèmes de défense anti-aérienne et des drones.Ces nouveaux fonds vont porter l'aide militaire britannique à Kiev à 2,3 milliards de livres.
Il y a 2 ans et 322 jours

Avec sa nouvelle stratégie ONEHOME, Unilin Insulation s’engage pour la construction d’un monde durable

Le réchauffement climatique est au cœur des préoccupations des états qui se sont fixés comme objectif, conformément à l’Accord de Paris, la neutralité carbone d’ici 2050. La durabilité étant inscrite dans les gênes d’Unilin Insulation, leader européen sur le marché des panneaux de toiture et 2ème producteur de plaques de polyuréthane, l’entreprise entend relever ce défi en intensifiant ses efforts en matière de RSE / Responsabilité Sociétale des Entreprises. « One Home », la nouvelle vision du groupe Unilin à laquelle Unilin Insulation contribue, en est le parfait reflet. Elle est axée non seulement sur la protection de la planète mais plus largement sur la qualité des espaces de vie dans l’habitat et sur celle de l’environnement de travail de ses salariés. One Home, 100 % d’ambition pour 0 % d’émissions : la vision de la durabilité en paroles et en actes En déployant sa vision de durabilité « One Home », le groupe Unilin organise ses activités conformément à l’Accord de Paris sur le climat qui vise à limiter le réchauffement de la planète. L’entreprise s’engage à respecter des objectifs fondés sur la science. Ceux-ci seront contrôlés par l’initiative Science Based Targets, une tierce partie indépendante qui promeut les meilleures pratiques dans la lutte contre le changement climatique. Comprenant 12 objectifs à concrétiser d’ici 2050, la stratégie RSE « One Home » repose sur 3 piliers : • PLANET HOME pour protéger la planète, • YOUR HOME avec des produits innovants assurant des espaces de vie sains, confortables et durables, • OUR HOME visant un environnement de travail sûr, stimulant et positif pour ses collaborateurs. Planet Home, protéger la planète En réduisant les émissions de gaz à effet de serre En Europe, les bâtiments sont à l’origine de près de 36 % des émissions totales de CO2, principalement dues au chauffage et à la climatisation. Même si les solutions d’isolation d’Unilin Insulation contribuent à l’efficacité énergétique de ceux-ci, il n’en demeure pas moins que les matériaux utilisés et la façon dont ils sont produits génèrent encore des émissions de gaz à effet de serre. Pour les limiter, Unilin Insulation souhaite rendre l’ensemble de ses sites de production (dont celui de Sury-le-Comtal en France et ceux de Desselgem et Feluy en Belgique) neutres en carbone d’ici à 2030. Afin d’atteindre cet objectif, l’entreprise a d’ores et déjà entrepris des actions pour réduire les émissions générées sur ses sites de production ainsi que les émissions indirectes de l’électricité qu’elle achète. 5 % et se tourne vers les énergies renouvelables en équipant, par exemple : • Son unité de Feluy de deux éoliennes de 3,6 MW chacune (l’équivalent de la consommation d’électricité de 3 400 ménages). Depuis fin avril, les turbines fournissent à l’usine plus de 70 % de l’électricité nécessaire à la production d’une isolation durable, le reste étant injecté dans le réseau électrique de la ville ; • 3 sites de production, dont celui de Desselgem, sont équipés de 14 551 panneaux solaires d’une puissance de 5,7 MWp, soit la consommation énergétique annuelle de 1 385 ménages. Sur le site de Sury-le-Comtal, Unilin Insulation fabrique, au plus près de ses clients, des produits Made in France. Différents projets y sont à l’étude pour restreindre les consommations énergétiques : installation de panneaux photovoltaïques, récupération de chaleur, passage à un éclairage Led à l’intérieur des bâtiments. Au global, la production d’énergie solaire et éolienne réalisée et planifiée réduira les émissions indirectes de CO2 de 34 % d’ici à la fin 2024. En développant un modèle d’économie circulaire Dans le cadre de la décarbonation de ses activités, Unilin Insulation va agir sur toutes les autres émissions de gaz à effet de serre qui ne sont pas liées à la fabrication de ses produits mais à d’autres étapes du cycle de vie de ceux-ci (approvisionnement, achats, transport, déchets, &#8230;). 70 % des panneaux seront recyclés d’ici 2030 : 90 % des déchets de production et de chantier et 35 % des déchets de démolition. Afin de parvenir au recyclage de ses panneaux d’isolation en mousse de polyuréthane, Unilin Insulation s’implique activement, depuis fin 2021, dans le projet européen CIRCULAR FOAM qui vise à rendre la mousse de PU rigide circulaire sans sacrifier sa qualité. Grâce au recyclage chimique, les déchets de mousse rigide de PU seront transformés en nouvelles matières premières utilisées pour fabriquer de nouveaux panneaux isolants tout aussi qualitatifs. A l’horizon 2040, cet écosystème circulaire permettra de donner une nouvelle vie à 1 million de tonnes de déchets de mousse rigide de PU par an en Europe (provenant de l’isolation des bâtiments et des réfrigérateurs) mais aussi d’éviter 2,9 millions de tonnes d’émissions de CO2 et 150 millions d’euros de coûts d’incinération. En parallèle, Unilin Insulation s’engage à ne plus jeter ses déchets mais à les recycler autant que possible et a pour triple objectif : • 0 déchet de production mis en décharge d’ici 2023, • 0 déchet de chantier mis en décharge d’ici 2025, • 0 déchet de démolition mis en décharge d’ici 2030. Enfin, Unilin Insulation souhaite optimiser ses économies de CO2 en utilisant des matières premières recyclées, biosourcées ou basées sur le CO2 dans sa production. Cela a déjà été initié avec ses fournisseurs et la part du carbone circulaire pour produire les panneaux d’isolation devrait atteindre 5 % d’ici 2025 et 30 % d’ici 2030. Un nouvel emballage éco-responsable déjà mis en place Pour réduire son empreinte carbone, Unilin Insulation s’attaque à l’ensemble de la chaîne de production. En intégrant au moins 50 % de plastique recyclé dans un nouveau film rétractable pour emballer les plaques isolantes Utherm, cette initiative, développée et initiée avec ses partenaires, diminue de près de 42 % les émissions de CO2, soit un gain annuel de plus de 1 000 tonnes. De même, en rendant les emballages plastiques transparents et en utilisant 35 % moins d’encre, ces derniers peuvent être recyclés plus facilement, sans aucun compromis sur la qualité. Le nouveau film a ainsi été doté d’une barrière anti-UV afin de protéger les plaques isolantes de la décoloration lorsqu’elles restent entreposées longtemps à l’extérieur. YOUR HOME, des produits innovants au service d’espaces de vie sains, confortables et durables Autour de YOUR HOME, deuxième pilier de sa stratégie de développement durable, Unilin Insulation se positionne comme un acteur engagé de l’isolation offrant à ses clients, professionnels et particuliers, des solutions à haute valeur ajoutée garantissant des espaces de vie sains, confortables et durables, conformes aux exigences réglementaires. Sachant que près de 75 % du parc immobilier européen est inefficace sur le plan énergétique, l’isolation des bâtiments est donc une étape nécessaire pour réduire leur consommation. Bénéficiant de performances élevées en matière d’isolation, les plaques PIR et les panneaux de toiture d’Unilin Insulation bénéficient d’une durée de vie aussi longue que les bâtiments qu’ils isolent. Ces solutions compactes et légères, particulièrement adaptées à la rénovation, offrent un confort optimisé été comme hiver pour une empreinte carbone limitée. De plus, en réduisant l’émission de composés organiques volatils (COV) de ses panneaux en PU (classification A+), Unilin Insulation participe à une bonne qualité de l’air intérieur. Avec pour force motrice l’innovation, Unilin Insulation continue ses efforts en faveur du climat et de la construction durable non seulement en diminuant l’impact carbone de ses panneaux en PU, mais aussi en proposant des solutions mixtes avec des matériaux biosourcés ou en facilitant et sécurisant le travail des installateurs. Les derniers systèmes d’isolation par l’extérieur lancés en sont la preuve : USYSTEM Roof OS Comfort Natural et USYSTEM Roof DS Natural Wool Panneaux de toiture, spécial éco- construction, offrant tous les avantages de deux matériaux durables (fibre de bois et polyuréthane pour Usystem Roof OS Comfort Natural et fibre de bois pour Usystem Roof DS Natural Wool) caractérisés par des cycles de vie étendus et une réduction des émissions de gaz à effet de serre des bâtiments. UTHERM Sarking K Anti-Slide et UTHERM Sarking K Comfort Anti-Slide Gammes de plaques isolantes dotées d’un revêtement anti-dérapant et anti- réfléchissant pour une sécurité de pose en climat de montagne. Elles garantissent, en outre, un confort thermique et acoustique en toutes saisons. Dans la continuité de ces innovations, une nouvelle gamme spécial ERP verra le jour au second semestre 2022. OUR HOME, pour un environnement de travail sûr, stimulant et positif pour ses collaborateurs Dernier volet de la politique RSE d’Unilin Insulation : le bien-être, la sécurité et la santé de ses salariés, des préoccupations majeures qui sont au cœur de ses activités. Visant le « 0 accident », l’entreprise a instauré une politique de sécurité positive et bienveillante afin de développer cette culture à tous les niveaux de son organisation. Les managers ayant un rôle clé à jouer, Unilin Insulation a mis en place, depuis 2019, un programme de formation pour tous les managers afin de développer les qualités de leadership en la matière. En 2021, l’entreprise a instauré des « Life Saving Rules », règles de sécurité pour sauver des vies, sur tous ses sites de production. Celles-ci garantissent une formation et une communication claires, l’analyse des situations à risque et l’élimination des obstacles qui s’opposent à un travail sûr. Enfin, Unilin Insulation déploie des programmes favorisant également le bien-être de ses employés sur et en dehors de leur lieu de travail. Afin de rendre compte de ses avancées concrètes en matière de durabilité, le groupe Unilin publiera un rapport annuel dès la fin 2022. En parallèle, les performances de durabilité de ses produits seront mesurées grâce à l’analyse de leur cycle de vie. http://www.unilininsulation.fr/
Il y a 2 ans et 322 jours

Remaniement : découvrez le nouveau gouvernement et les personnalités pour le BTP et l'artisanat

Comme prévu et comme le veut la tradition, les ministres-candidats éliminés aux élections législatives ont donnés leurs démission et l’Élysée vient de nommer un nouveau Gouvernement, profitant de l'occasion pour créer de nouveaux postes de ministres délégués dans des domaines comme l'Artisanat, le Logement ou les Transports.Olivier Klein, un connaisseur des quartiers déshérités chargé de la Ville et du logementIl est à la tête d'une des villes les plus pauvres de France: Olivier Klein, 55 ans, maire de Clichy-sous-Bois (Seine-Saint-Denis), a été nommé lundi ministre délégué à la Ville et au logement.L'élu fait entrer les quartiers populaires au gouvernement.Maire de Clichy-sous-Bois depuis 2011, Olivier Klein est un enfant du cru. Il a grandi dans le quartier du Chêne Pointu à Clichy-sous-Bois, décor des "Misérables" de Ladj Ly et souvent présenté comme l'une des copropriétés les plus dégradées de France.D'abord membre du Parti communiste, ce professeur d'histoire-géo a rejoint le PS en 2006. Après une quinzaine d'années dans le camp socialiste, M. Klein s'est rapproché puis a soutenu Emmanuel Macron.Enfant, il vendait avec son père l'Humanité et Pif Gadget les week-ends et les 1er Mai, dans la galerie commerçante du Chêne Pointu, "c'était une tradition", a confié à l'AFP M. Klein qui a vu les classes moyennes déserter Clichy-sous-Bois dans les années 1980.C'est à partir de cette ville déshéritée de Seine-Saint-Denis que les banlieues françaises se sont embrasées en 2005 après la mort de deux adolescents, Zyed Benna et Bouna Traoré, électrocutés dans un transformateur électrique en tentant d'échapper à la police."Y a du boulot !""Il est très engagé dans sa ville", estime le président PS de la Seine-Saint-Denis Stéphane Troussel. "Il a contribué à la transformer, personne ne peut dire que cette ville n'a pas changé en 15 ans", souligne l'élu.M. Klein "est accessible, à l'écoute et impliqué localement. Il a contribué au désenclavement de Clichy" avec notamment l'arrivée du tramway, la construction d'un conservatoire, d'une piscine et de logements neufs, énumère Mohamed Mechmache, fondateur de l'association ACLEFEU basée à Clichy-sous-Bois. "Il défend l'idée de soutenir les petites associations de proximité car elles ont un vrai ancrage", assure M. Mechmache également président de la coordination "Pas sans nous" qui a fait un tour de France des quartiers pendant la dernière campagne électorale présidentielle.A la tête de l'Agence nationale pour la rénovation urbaine (ANRU) depuis 2018 et vice-président de la Métropole du Grand Paris, délégué à l'habitat et la mixité, "il a une connaissance de l'aménagement et de la politique de la ville", selon M. Mechmache.Selon lui, cette nomination au gouvernement est "un message important" pour une ville aussi "médiatique que Clichy-sous-Bois"."J'espère que dans les semaines, les mois, les années à venir, il saura ne pas oublier la Seine-Saint-Denis et défendre l'égalité territoriale parce qu'il y du boulot!", lance Stéphane Troussel.Caroline Cayeux, maire de droite expérimentée, aux Collectivités localesLa maire de Beauvais Caroline Cayeux, nommée lundi ministre déléguée aux collectivités locales, est une septuagénaire énergique, représentante selon ses dires de la "droite sociale", qui avait récemment appelé à un rassemblement trans-partisan autour d'Emmanuel Macron.Elle possède une expérience de son portefeuille, étant à la tête depuis 3 ans de l'Agence nationale de la cohésion des territoires (ANCT), un établissement public destiné à assurer la coordination entre l'État et les collectivités territoriales.Maire de Beauvais depuis 2001, elle préside depuis 2014 "Villes de France", une association qui regroupe les localités de 20.000 à 100.000 habitants et est aussi membre du bureau de l'Association des maires de France (AMF).A l'UMP puis chez Les Républicains, Mme Cayeux s'est affichée aux présidentielles de 2012 et 2017 comme un soutien sans faille de François Fillon, qu'elle considère comme l'héritier du "gaullisme social" de Philippe Séguin.Lors de la campagne de 2017, elle avait comparé "les Macronistes" aux membres de la secte Moon et aux Raéliens, Emmanuel Macron étant pour sa part ramené à un rôle d'"illusionniste mystique qui présente bien".En 2018, celle qui était encartée à droite depuis 1981 avait cependant claqué la porte des Républicains, en désaccord avec le président d'alors, Laurent Wauquiez.Cette rupture partisane ne l'avait pas empêchée d'être réélue dès le premier tour des municipales 2020 à Beauvais, soutenue par la République en Marche.Elle se pose désormais en rassembleuse: après les législatives, elle avait appelé dans le JDD à la constitution d'"une plateforme programmatique trans-partisane" avec "les forces politiques volontaires (...) aux côtés du président de la République".Née à Paris en 1948, cette licenciée d'anglais, titulaire d'un diplôme supérieur de droit international privé, a été enseignante, puis responsable d'un organisme de formation professionnelle.Elle s'est fait connaître en 2001 en devenant maire RPR de Beauvais à la surprise générale, contre le sortant socialiste, en place depuis 24 ans. Elle s'est aussi longtemps investie dans son ex-parti dans le sillage de Philippe Séguin.Elle a subi plusieurs échecs électoraux: cantonales 2001, législatives 2002, sénatoriales 2004, régionales 2004 et 2010. Entre 2011 et 2017, elle est sénatrice de l'Oise.Très active sur les réseaux sociaux, Caroline Cayeux communique sur Twitter, Facebook, Instagram et Snapchat.Mais cette hyper-activité en ligne peut avoir son revers: le 1er avril 2018, elle annonce sur Facebook l'arrivée d'un Ikea dans sa ville, avec un millier d'emploi à la clé. Un poisson d'avril... qui provoque un tollé localement.Mariée à un agriculteur, elle est la fille du Dr Pierre Fournier, médecin et pharmacien, qui fut PDG des Laboratoires Fournier Frères durant plusieurs années et également président de l'ordre national des pharmaciens.Carole Grandjean, une spécialiste du social à l'Enseignement et la Formation professionnelsMacroniste de la première heure, la députée de Meurthe-et-Moselle Carole Grandjean, nommée lundi ministre déléguée à l'Enseignement et à la Formation professionnels, s'est investie dans les questions sociales à l'Assemblée nationale.Cette conseillère municipale de Nancy de 39 ans et ancienne responsable ressources humaines pour le groupe de restauration collective Elior, a fait partie, en 2017, de la vague de députés LREM novices en politique à l'Assemblée. Elle est alors également déléguée départementale d'En Marche!.Lors des dernières élections législatives, elle a été confortablement réélue dans la 1ère circonscription de Meurthe-et-Moselle avec 53,4% des voix, contre un candidat insoumis.Membre de la commission des Affaires sociales où elle siège depuis son premier mandat, elle s'est attelée aux sujets touchant la protection sociale des travailleurs, la santé au travail et la lutte contre les fraudes aux prestations sociales.En 2020, elle a été co-rapporteure du controversé projet de loi de réforme des retraites, abandonné depuis.Elle est membre en outre du conseil d'orientation pour l'emploi et du conseil national de la stratégie autisme.A Nancy, Carole Grandjean - fille de Denis Grandjean, adjoint de l'ancien maire de la ville André Rossinot -, est appréciée de ses collègues de la majorité comme de l'opposition au conseil municipal, "même si on ne la voit pas beaucoup dans la circonscription", ajoute-t-on.A son poste, en tant que ministre déléguée auprès du ministre du Travail et du ministre de l'Education nationale, Carole Grandjean devra s'occuper notamment de poursuivre la transformation du lycée professionnel, un "immense chantier" annoncé par Emmanuel Macron pendant sa campagne, avec la volonté de rapprocher davantage l'école et les entreprises.Le président avait dit vouloir s'inspirer de la réforme de l'apprentissage pour cette "grande réforme", en accroissant notamment les périodes de stages en entreprise des lycéens professionnels."On est extrêmement inquiet du périmètre du poste de Carole Grandjean, car c'est la première fois que les lycées professionnels ne relèvent plus uniquement de l'Education nationale", a regretté auprès de l'AFP Sigrid Girardin, du syndicat enseignant Snuep-FSU. "On craint que l'objectif soit de privilégier l'employabilité immédiate au détriment des formations équilibrées".Pour Vincent Magne, professeur d'histoire et de lettres en lycée professionnel et membre de l'association des professeurs d'histoire-géographie (APHG), il y a une "crainte que la formation professionnelle soit vue uniquement comme une voie pour former des ouvriers, alors qu'elle ne se résume pas à cela".La liste complète du nouveau gouvernementLa Première ministre est chargée de la planification écologique et énergétique.La composition du Gouvernement est la suivante :Les ministres Bruno Le Maire, ministre de l'économie, des finances et de la souveraineté industrielle et numérique ; Gérald Darmanin, ministre de l’intérieur et des Outre-mer ; Catherine Colonna, ministre de l’Europe et des affaires étrangères ; Éric Dupond-Moretti, garde des sceaux, ministre de la justice ; Sébastien Lecornu, ministre des armées ; Olivier Dussopt, ministre du travail, du plein emploi et de l'insertion ; Pap Ndiaye, ministre de l'éducation nationale et de la jeunesse ; Sylvie Retailleau, ministre de l'enseignement supérieur et de la recherche ; Marc Fesneau, ministre de l’agriculture et de la souveraineté alimentaire ; Christophe Béchu, ministre de la transition écologique et de la cohésion des territoires ; Agnès Pannier-Runacher, ministre de la transition énergétique ; Rima Abdul-Malak, ministre de la culture ; François Braun, ministre de la santé et de la prévention ; Jean-Christophe Combe, ministre des solidarités, de l'autonomie et des personnes handicapées ; Stanilas Guerini, ministre de la transformation et de la fonction publiques ; Amélie Oudéa-Castéra , ministre des sports et des jeux olympiques et paralympiques. Les ministres déléguésAuprès de la Première ministre : Olivier Véran, chargé du renouveau démocratique, porte-parole du Gouvernement ; Franck Riester, chargé des relations avec le Parlement ; Isabelle Rome, chargée de l'égalité entre les femmes et les hommes, de la diversité et de l'égalité des chances. Auprès du ministre de l'économie, des finances et de la souveraineté industrielle et numérique : Gabriel Attal, chargé des comptes publics ; Roland Lescure, chargé de l'industrie ; Jean-Noël Barrot, chargé de la transition numérique et des télécommunications ; Olivia Grégoire, chargée des petites et moyennes entreprises, du commerce, de l'artisanat et du tourisme. Auprès du ministre de l'intérieur et des Outre-mer et du ministre de la transition écologique et de la cohésion des territoires : Caroline Cayeux, chargé des collectivités territoriales. Auprès du ministre de l'intérieur et de l'outre-mer : Jean-François Carenco, chargé des outre-mer. Auprès de la ministre de l’Europe et des affaires étrangères : Olivier Becht, chargé du commerce extérieur, de l'attractivité et des Français de l'étranger. Auprès du ministre du travail, du plein emploi et de l'insertion et du ministre de l'éducation nationale et de la jeunesse : Carole Grandjean, chargée de l'enseignement et de la formation professionnels. Auprès du ministre de la transition écologique et de la cohésion des territoires : Clément Beaune, chargé des transports ; Olivier Klein, chargé de la ville et du logement. Auprès du ministre de la santé et de la prévention : Agnès Firmin Le Bodo, chargée de l'organisation territoriale et des professions de santé. Auprès du ministre des solidarités, de l'autonomie et des personnes handicapées : Geneviève Darrieussecq, chargée des personnes handicapées. Les secrétaires d'ÉtatAuprès de la Première ministre : Charlotte Caubel, chargée de l'enfance ; Hervé Berville, chargé de la mer ; Marlène Schiappa, chargée de l'économie sociale et solidaire et de la vie associative. Auprès du ministre de l'intérieur et des Outre-mer : Sonia Backès, chargée de la citoyenneté. Auprès de la ministre de l’Europe et des affaires étrangères : Laurence Boone, chargée de l'Europe ; Chrysoula Zacharopoulou, chargée du développement, de la francophonie et des partenariats internationaux. Auprès du ministre des armées et du ministre de l'éducation nationale et de la jeunesse : Sarah El Haïry, chargée de la jeunesse et du service national universel. Auprès du ministre des armées : Patricia Mirallès, chargée des anciens combattants et de la mémoire. Auprès du ministre de la transition écologique et de la cohésion des territoires : Bérangère Couillard, chargée de l’écologie ; Dominique Faure, chargée de la ruralité.
Il y a 2 ans et 322 jours

Trophées Bâtiments Circulaires 2022 : qui sont les candidats ?

Suite au succès de la 1ère édition, le Booster du Réemploi et Construction21 ont lancé les Trophées Bâtiments Circulaires 2022, 2ème saison du concours de la construction en matériaux de réemploi. Vous avez été nombreux à répondre à l&#8217;appel et 33 candidats sont en compétition cette année, soit 30% de plus que l’édition précédente ! Ces projets aussi variés qu&#8217;ambitieux sont bien la preuve du développement de la filière. Situés dans 4 pays différents et couvrant une diversité de types de bâtiments, ils constituent une véritable mine d’informations et source d’inspiration pour transformer positivement le secteur de la construction. Voici la liste des candidats par catégorie : Bâtiments tertiaires / prix de la rénovation : L&#8217;Atelier des Transitions Javelot Le Hangar Zéro Les Canaux : une éco-réhabilitation en économie circulaire, innovante et humaniste Tour Aurore Bourdelle Siège de l&#8217;ordre des architectes Réunion / Mayotte Réhabilitation d&#8217;une grange en tiers lieu Octant Institut de Botanique ULiège &#8211; Bât. B22 Pasteur &nbsp; Bâtiments tertiaires / prix de la construction neuve Retrival Office de tourisme de Petite-Terre #Community Innolin Office intercommunal de tourisme Cèze / Cévennes Bâtiments résidentiels / prix de la rénovation Le Costil 55 Lyon Maison circulaire Caserne de Reuilly 85 rue petit &nbsp; Bâtiments résidentiels / prix de la construction neuve Maison container La Cabane de Silhac &nbsp; Prix hors-cadre Nodéa Requalification de la promenade de l’hôpital Broussais Abri à vélo La Réconciliation : pôle loisir et galerie commerciale aushopping Pavillon de sanitaires du Chiro d&#8217;Itterbeek La Tiny de Benoit Orée 85 La cuisine &#8211; Reconversion d&#8217;un hangar pour le Winnipeg Folk Festival Passerelle Re:Crete Saisons Zéro &#8211; Monastère des Clarisses Eco-fourrière des quarantes sous &nbsp; Retrouvez toutes les informations sur le site de Construction 21.
Il y a 2 ans et 322 jours

Trophées Bâtiments Circulaires 2022 : qui sont les candidats ?

Suite au succès de la 1ère édition, le Booster du Réemploi et Construction21 ont lancé les Trophées Bâtiments Circulaires 2022, 2ème saison du concours de la construction en matériaux de réemploi. Vous avez été nombreux à répondre à l’appel et 33 candidats sont en compétition cette année, soit 30% de plus que l’édition précédente ! Ces projets aussi variés qu’ambitieux sont bien la preuve du développement de la filière. Situés dans 4 pays différents et couvrant une diversité de types de bâtiments, ils constituent une véritable mine d’informations et source d’inspiration pour transformer positivement le secteur de la construction. Voici la liste des candidats par catégorie : Bâtiments tertiaires / prix de la rénovation : L’Atelier des Transitions Javelot Le Hangar Zéro Les Canaux : une éco-réhabilitation en économie circulaire, innovante et humaniste Tour Aurore Bourdelle Siège de l’ordre des architectes Réunion / Mayotte Réhabilitation d’une grange en tiers lieu Octant Institut de Botanique ULiège – Bât. B22 Pasteur &nbsp; Bâtiments tertiaires / prix de la construction neuve Retrival Office de tourisme de Petite-Terre #Community Innolin Office intercommunal de tourisme Cèze / Cévennes Bâtiments résidentiels / prix de la rénovation Le Costil 55 Lyon Maison circulaire Caserne de Reuilly 85 rue petit &nbsp; Bâtiments résidentiels / prix de la construction neuve Maison container La Cabane de Silhac &nbsp; Prix hors-cadre Nodéa Requalification de la promenade de l’hôpital Broussais Abri à vélo La Réconciliation : pôle loisir et galerie commerciale aushopping Pavillon de sanitaires du Chiro d’Itterbeek La Tiny de Benoit Orée 85 La cuisine – Reconversion d’un hangar pour le Winnipeg Folk Festival Passerelle Re:Crete Saisons Zéro – Monastère des Clarisses Eco-fourrière des quarantes sous &nbsp; Retrouvez toutes les informations sur le site de Construction 21. Cet article Trophées Bâtiments Circulaires 2022 : qui sont les candidats ? est apparu en premier sur Planète Bâtiment.
Il y a 2 ans et 323 jours

Tryba lance une toute nouvelle collection de fenêtres PVC et Aluminium

Disponibles dès mai 2022 chez tous les concessionnaires Tryba de France, ces gammes répondent aux attentes des clients, s’inscrivent dans leur environnement et tiennent compte des dernières tendances en matière de décoration et de luminosité.Plus de confort thermique et plus de lumièreAujourd’hui, 86% des Français souhaitent changer de fenêtres pour mieux se protéger contre le froid et 83% pour améliorer l’isolation phonique[1]. Allier la performance technique et la finesse des profilés : c’est la promesse des nouvelles gammes de fenêtres Tryba, lancées après un an et demi de recherche & développement. « Avec ces nouvelles fenêtres, nous avons cherché une performance thermique supérieure, être dans l’air du temps au niveau esthétique, de travailler sur la finesse des profils avec un bâti harmonisé dans la mise en œuvre. C’est l’occasion aussi pour nous de simplifier l’offre produit pour faciliter le choix de nos clients », note Sébastien Gérard, Directeur de l’Offre et du Développement Produits chez Tryba.Par ailleurs, le grand atout de Tryba est sa nouvelle vitrerie installée depuis 2022 sur le site de fabrication de Gundershoffen, à la pointe de la technologie avec une innovation exclusive « Thermo Plastic Spacer » (TPS), capable d’optimiser au maximum l’isolation thermique et phonique.« Ce nouveau matériau, utilisé à la place des traditionnels écarteurs entre les vitrages, est formé sur-mesure par un robot. Le vitrage devient isolant via une ou deux chambres hermétiques remplies de gaz argon. Le TPS offre alors un produit final de qualité impeccable. », indique Philippe Spindler.2 collections au design personnalisableSelon la configuration des logements, Tryba propose des solutions spécifiques, pour les fenêtres PVC et aluminium.La fenêtre PVC par Tryba :Collection Tryba PVCFenêtre T81 Pourquoi choisir le PVC* ? :Isolation thermique améliorée grâce aux 6 chambres dans le dormant et 6 dans le battant.Étanchéité du vitrage parfaite grâce à l’innovation technologique exclusive Thermo Plastic Spacer (TPS). Maintien des performances dans le temps grâce aux armatures systémique en acier. Esthétique élégante grâce aux paumelles symétriques et aux poignées centrées. Finesse de la fenêtre, avec une croisée ultra-fine et un profilé design, qui laisse passer un maximum de lumière.Comme 65% des Français*. *Étude Harris Interactive pour l’UFME réalisée sur 1053 personnes du 17 au 20 mai 2021.Collection Tryba AluFenêtres TA76OV / TA760CPourquoi choisir l’ALU* ? :Dans cette version avec l’ouvrant visible, alliance de l’esthétisme de l’aluminium et d’un maximum de performances d’isolation.Étanchéité du vitrage parfaite grâce à l’innovation technologique exclusive TPS (Thermo Plastic Spacer).Isolation optimale grâce au bouclier thermique avec la technologie BTC 36 (Barrière Thermique Continue).Maintien des performances dans le temps grâce aux paumelles fixées dans les parois aluminium du dormant et du battant.Les vis de fixation des paumelles dans le dormant sont invisibles. Paumelles symétriques y compris avec l’option oscillo-battant.Grand choix de coloris dont 14 teintes en standard.Comme 12% des Français*.*Étude Harris Interactive pour l’UFME réalisée sur 1053 personnes du 17 au 20 mai 2021.Le modèle phare de la saison ?L’ouvrant caché Aluminium.Lors de la fermeture, la partie mobile de la fenêtre (l'ouvrant) vient se cacher derrière le dormant (cadre de la fenêtre).Ouverte ou fermée, la fenêtre a la même finesse pour un maximum de lumière à l’intérieur.Produits sur mesure et prix de vente sur demande.Menuiseries garanties fabrication françaiseLabel CE (par CEKAL)Norme NF (par Qualibat)Document Technique d’ApplicationTryba offre à ses techniciens un accompagnement continu dans la mise en œuvre.Un meilleur rendu esthétiqueChez Tryba, en neuf comme en rénovation, les possibilités de choix en matière d’esthétisme sont nombreuses. En effet, une large palette de couleurs et d’accessoires (poignées, gravures, crémones à l’ancienne, cache-paumelles…) créés sur-mesure permettent de fondre les fenêtres dans l’univers décoratif souhaité.“Le cahier des charges pour ces nouvelles gammes de fenêtres était d’offrir deux types d’esthétiques. Une version contemporaine et une version moulures, qui s’intègrent naturellement dans la rénovation de l’habitat.”, atteste Sébastien Gérard.[1] Etude Harris Interactive pour l’UFME réalisée sur 1053 personnes du 17 au 20 mars 2021
Il y a 2 ans et 323 jours

Isonat reçoit une subvention de l’Ademe

L’engagement d’Isonat en faveur de la décarbonation a été récompensé par l’Ademe, qui a décidé de financer à hauteur de 850 000 €. [©Isonat] Décarboner son industrie est une priorité pour Isonat, fabricant d&rsquo;isolants biosourcés en fibre de bois, en droite ligne avec l’objectif Net Zero Carbon du groupe Saint-Gobain et d’Isover. Cet engagement a été récompensé par l’Ademe, qui a décidé de financer à hauteur de 850 000 €. L&rsquo;entreprise, qui a lancé des travaux pour doubler les capacités de production de son usine de Mably (42), souhaite réduire de 20 % (1 100 t/an) ses émissions de CO₂. Isonat a ainsi investi plus de 10 M€ dans son unité de production. Une évolution qui fera passer la production de panneaux isolants à l’horizon 2023 de 19 000 t à 42 000 t. Et ce, en réalisant une économie d’énergie de 4 500 MWh/an. Les 850 000 € attribués par l’Ademe ont été calculés en fonction du nombre de tonnes de CO₂ économisées.
Il y a 2 ans et 323 jours

La construction durable selon WEBER : une vocation véritable

Un programme RSE porté par l’emblématique hashtag « VertEtFier », une gamme de produits & services éco-engagés qui ne cesse de s’étoffer, de conséquents investissements en vue de réduire toujours davantage son empreinte carbone et sa consommation de ressources, un accompagnement privilégié des professionnels du bâtiment dans le développement de nouveaux modes constructifs, comme celui de la [&hellip;]
Il y a 2 ans et 325 jours

Félicitations à Wenjuan Wei, direction Santé-Confort du CSTB, lauréate du prix du meilleur jeune chercheur sur la Qualité de l'Air Intérieur

Ce prix, le Yaglou Award, lui a été décerné à l'occasion de la cérémonie d'ouverture de la conférence INDOOR AIR 2022 qui s'est tenue en Finlande du 12 au 16 juin, et récompense l'ensemble de ses travaux dédiés à la qualité des environnement intérieurs. Un prix international très sélectif décerné tous les 2 ans par l'Academy of Fellows de l'ISIAQ, International Society for Indoor Air Quality and Climate. Docteure en génie civil de la prestigieuse université chinoise Tsinghua à Pékin (2014), Wenjuan a mené une thèse sur le développement de méthodes pour évaluer les émissions de composés organiques volatils (COV) par les matériaux de construction et de décoration. Elle a réalisé une partie de ses travaux au NIST (National Institute of Standards and Technology) aux Etats-Unis en 2011 et 2012. En 2014, elle a rejoint le CSTB en tant que chercheure invitée pendant deux ans. Elle a alors engagé des travaux sur la prise en compte de la qualité de l'air intérieur dans les certifications «&nbsp;bâtiments durables&nbsp;» dans le monde et a publié un article qui fait référence aujourd'hui1. Lauréate d'une bourse de recherche du programme européen Marie Curie, elle conduit un post-doctorat au CSTB de 2016 à 2018. Elle a alors développé un modèle prédictif des concentrations dans l'air intérieur et les poussières déposées sur les surfaces dans les bâtiments pour les composés organiques semi-volatils. Cette famille de polluants intérieurs fait l'objet d'un intérêt tout particulier du fait des expositions importantes dans les bâtiments et de leur toxicité. Depuis 2018, elle est ingénieure «&nbsp;Recherche et Expertise&nbsp;» au sein de la Division Qualité des Environnements Intérieurs du CSTB. Elle poursuit ses travaux de modélisation des concentrations intérieures et des expositions humaines associées, par inhalation, ingestion et contact cutané. Elle travaille également au développement d'indices de qualité de l'environnement intérieur et aux effets du changement climatique sur la qualité des ambiances intérieures. En savoir plus&nbsp;: Prix du meilleur jeune chercheur Indoor air quality requirements in green building certifications.
Il y a 2 ans et 325 jours

Résultat des Eurobois Awards 2022 : 8 innovations récompensées

Parmi les 28 innovations en lice, 7 ont été désignées lauréates par le jury professionnel et un prix « Coup de cœur » a été décerné par le jury étudiants :Innovations récompensées par le jury professionnelCatégorie ergonomie poste de travailLa société VP DOLEX pour le produit ELEVATEUR POUR ETAU D'ETABLI ELV ET ELVPRemplace la base tournante grâce à sa rotation possible sur 360 ° - Permet un ajustement de la hauteur de l’étau pour adapter la hauteur de celui-ci à la taille de l’utilisateur - Lutte contre les Troubles Musculo-Squelettiques et évite tout problème de dos dans le cadre d’une utilisation prolongée.Catégorie aménagementLa société SALICE pour le produit EXEDRA 2Très innovant et performant, Exedra2 est une évolution du système pour portes escamotables Exedra qui, grâce à une solution de mouvement novatrice, permet l’ouverture simultanée de deux portes jointes. Le système permet ainsi de fermer des espaces de largeur jusqu'à 3m sans rail bas.Catégorie makersLa société FELDER GROUP pour le produit HNC 47.82 Une créativité sans fin et une précision CNC professionnelle pour les amateurs, les bricoleurs, les petites entreprises, les modélistes et les écoles.Catégorie productivité chantierLa société LEITZ pour le produit ACCUCUT AccuCut désigne des lames de scie spéciales à largeur de coupe réduite et disposant des développements les plus récents en termes de matériaux de coupe. Ces innovations offrent une durée de vie accrue des batteries des machines électroportatives sans fil.Catégorie recherche et développementLa société WAYS INDUSTRIE pour le produit SECHAGE SOUS ATMOSPHERE CO2Cette technologie disruptive de séchage permet de sécher avec du CO2 tout type d’essence de bois en quelques jours, en respectant la structure du matériau tout en augmentant significativement sa durabilité. Le bois sera de meilleure qualité, stable et séquestrera naturellement des quantités de CO2.Catégorie confort chantierLa société FESTOOL France pour le produit STATION D'ENERGIE MOBILE SYS-POWERSTATIONLa station d'énergie mobile SYS-PowerStation fournit du courant en permanence et en tout lieu. Elle permet d'alimenter tous les outils filaires, toutes marques confondues.Catégorie optimisation industrielleLa société SCM GROUP France pour le produit STEFANI XPlaqueuse de chants industrielle conçue pour offrir la meilleure qualité de placage de chants sur tout type de panneau et de matériau et pour répondre pleinement aux besoins d'une usine numérique, connectée et intégrée. Innovations récompensées par le jury étudiantsLes étudiants, qui participaient pour la première fois cette année au jury, ont attribué le prix « Coup de cœur des étudiants » à la société LE CRENEAU INDUSTRIEL pour l’innovation suivante : CRENO CLT-ONELa CRENO CLT-ONE est dédiée à l'usinage des panneaux CLT, avec une productivité inégalée : en moyenne 30min pour un plancher et 45min pour un mur. Elle permet d'usiner les 6 faces grâce à une architecture innovante combinant tête 5axes, agrégats additionnels et posages flexibles automatisés.Qu’est-ce que les EUROBOIS AWARDS ?Plateforme de lancement de produits, les EUROBOIS AWARDS ont récompensé le caractère innovant d’un produit ou d’un service, mais aussi son design, sa performance, la démarche RSE de l’entreprise, la qualité environnementale du produit/service, sa certification, son usage pour les professionnels, et enfin sa maîtrise des coûts.Cette année, le processus d’inscription, ouvert à tous les exposants, a été simplifié pour faciliter la participation des entreprises. Participer au concours a offert aux candidats une visibilité accrue auprès des professionnels de la filière en amont et pendant le salon, avec la présentation de l’ensemble des innovations sur le site web, les réseaux sociaux du salon ainsi que sur l’application Eurobois Connect.Des pitch et visites des stands pour promouvoir les innovations et défendre les projetsPour valoriser leur candidature, les entreprises avaient l’opportunité de présenter leur innovation à travers un pitch de 5 minutes, sur le plateau TV du salon, le mardi 14 juin matin. Cette présentation permettait à la fois aux entreprises de rencontrer leur public, mais également de séduire le jury en démontrant leur capacité à défendre leur innovation.Le lendemain, au 2ème jour du salon, le jury s’est rendu sur les stands des innovations présélectionnées. Ses membres ont pu ainsi échanger avec les candidats et découvrir en détail les nouveautés.Les lauréats élus par un jury de professionnels et d’étudiantsComme chaque année, le jury était composé de professionnels de la filière bois (ébénistes, agenceurs, menuisiers, charpentiers…). Dans le but de représenter au mieux tous les publics, la grande nouveauté cette année réside dans la création d’un jury étudiant composé de jeunes en école d’architecture, menuiserie, agencement ou ingénieur.La création de ce jury étudiant permet une appréciation différente et nouvelle des innovations en compétition. C’est également l’occasion pour EUROBOIS d’intégrer les générations futures dans la filière, qui seront les professionnels de demain. Cette immersion dans le monde professionnel est tout aussi bénéfique aux étudiants, dont la présence sur le salon constitue une première mise en réseau avec les acteurs de la filière. Ce jury a remis un prix spécifique à X qui a été élue « Coup de cœur des étudiants ».Membres du jury professionnel :Président du jury professionnel : ARNAUD GODEVIN, Directeur de l’ESB – Ecole Supérieure du BoisMembres du jury professionnel : Jérôme CARRAZ Responsable de l'Institut de la Charpente et Construction bois - COMPAGNONS DU DEVOIR ET DU TOUR DE FranceVincent CHARROIN Président - SAS CHARROIN TOITURES, Président de la Chambre Professionnelle « Charpente-Toiture » de BTP RHONE - FFBJean-Denis FORTERRE Responsable du service Technique à la CAPEB Auvergne-Rhône-AlpesRaphael HOUSSET Gérant - ATELIER RAPHAELMathieu HUGON Responsable de l'institut européen de la menuiserie, l'agencement et l'ébénisterie - COMPAGNONS DU DEVOIR ET DU TOUR DE FranceLaurent JACQUET Créateur de contenu vidéo, web /Domaine bâtiment, bricolage, maison - BICHON PRODUCTIONJean-François JAILLET Gérant, Jaillet Menuiserie – Membre de la Chambre Française de l‘AgencementXavier LUGINBUHL Directeur Général - Groupe HASAP • Herve MARECHAL Dirigeant agenceur - APPORT ANSELes membres du jury étudiant :Diana ALMERI, en formation « Décorateur » - CREAD - École d'Architecte d'IntérieurAnge CHARPENTIER, en 2ème année de cycle ingénieur de l’ENSTIB - École nationale supérieure des technologies et industries du boisMathilde DE COURCY, en formation « Architecte d’intérieur designer global » - CREAD - École d'Architecte d'IntérieurAmandine FONTAINE, en formation « Décorateur » - CREAD - École d'Architecte d'IntérieurFantine KOCH, en 2ème année à l’ENSTIB - École nationale supérieure des technologies et industries du boisCécile SOULIER, en formation « Architecte d’intérieur designer global » - CREAD - École d'Architecte d'Intérieur