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Il y a 4 ans et 290 jours

Monaco : Trois jours pour tout changer

Retrouvez cet article dans le numéro 89 de Béton[s] le Magazine. A Monaco, EMT vient de mettre en route le logiciel CP de Command Alkon. [©EMT] L’Entreprise Monégasque de Travaux (EMT) possède la seule centrale à béton de la Principauté. L’installation est conçue autour de deux malaxeurs. Mais cela impliquait de gérer un planning des commandes chargé. Une situation pas toujours simple, notamment quand il faut changer le logiciel des automates de la centrale. « Nous étions équipés du logiciel CE2 de Command Alkon, qui arrivait au bout de ses possibilités. Nous venons de passer sur leur nouveau logiciel CP, avec quelques adaptations dues à la configuration particulière de notre unité de production, indique Franck Carles, directeur d’exploitation d’EMT. L’opération devait être bien réglée en amont, puisqu’elle a débuté un vendredi après-midi et que le lundi matin, nous avions déjà à répondre à une commande de 1 000 m3de béton. Mais tout a bien fonctionné ! » Les équipes de Command Alkon ont d’autant plus préparé cette intervention, qu’elles déployaient le nouveau CP, dans le cadre du remplacement de CE2, seulement pour la deuxième fois. « Le logiciel CE2 s’arrêtera en 2024. Nous commençons à faire migrer nos clients vers son successeur, le CP,reprend Gaël L’Hopital, directeur opérationnel de Command Alkon. Nous avions déjà fait un pilote avec Eqiom. Cette intervention était la seconde de ce type. Avoir seulement trois jours pour agir était un défi, comme le fait d’avoir deux malaxeurs dans la centrale. Mais nous avions réalisé des simulations en amont. Et le jour J, tout a été réalisé tout de suite. Nous avons même pu faire des tests toute la journée du dimanche. » EMT peut à présent envisager avec confiance les migrations vers son nouveau logiciel, qui vont se généraliser. 
Il y a 4 ans et 290 jours

Les dirigeants du BTP combatifs et prêts à faire évoluer leur organisation pour la reprise

Si des inquiétudes pointent quant à leur trésorerie ou leur carnet de commande, les dirigeants se disent prêts à « réentreprendre », quitte à sacrifier leurs vacances cet été. L'étude rappelle aussi que les dirigeants du secteur sont des travailleurs particulièrement débordés.Patrick Miliotis, directeur général de la Fondation MMA des Entrepreneurs du Futur : « La Fondation interroge chaque année depuis 6 ans les dirigeants français sur leur état de santé physique et psychique. Il nous paraissait incontournable de prendre leur pouls suite à la crise sanitaire et surtout à l'heure de la relance. Cette enquête nous montre que la combativité des entrepreneurs, leur aptitude à s'adapter, à résoudre des problèmes, à saisir des opportunités sont plutôt exacerbées par la crise avec une capacité de résilience en augmentation. Notre mission est d'accompagner ces entrepreneurs à chaque étape de la reprise pour les aider à réentreprendre sans s'épuiser. »Dans le secteur du BTP / Industrie, près d'un entrepreneur sur deux va sacrifier ses congés d'étéA l'heure de la relance, les dirigeants d'entreprises de BTP / Industrie sont en première ligne pour assurer la reprise des chantiers, organiser le retour des équipes sur le terrain, relancer la chaîne d'approvisionnement en matériaux… Pour nombre d'entre eux, la perspective de s'éloigner de l'entreprise n'est tout simplement plus d'actualité. 47% des dirigeants du secteur prévoient ainsi d'écourter, annuler ou reporter leurs congés d'été. Un taux supérieur à la moyenne globale de 44%.Des dirigeants combatifs et agiles, dont les business modèles semblent avoir bien résisté à la criseInterrogés sur leur état d'esprit vis-à-vis de la relance, les chefs d'entreprises français révèlent un très fort sentiment de combativité (92%). Sentiment partagé par 90% des sondés du secteur BTP/Industrie.Pourtant prêts à s'adapter, les dirigeants du secteur sont 76% à se dire ouverts aux opportunités professionnelles. Plus d'un chef d'entreprise du secteur sur deux (59%) prévoit également de mettre en place une nouvelle organisation du travail au sein de sa structure.En bonne forme physique, les entrepreneurs BTP / Industrie se sentent en revanche débordésInterrogés sur leur forme physique, les dirigeants du secteur BTP / Industrie affirment dans leur grande majorité se sentir en bonne forme (81%). Une situation comparable aux chiffres généraux (85%).Pour autant, ils se disent bien souvent stressés (45%) et confient se sentir beaucoup plus débordés que la moyenne (63% vs. 54% au global).Les entrepreneurs du secteur moins inquiets que la moyenne, la trésorerie et le carnet de commande restent les premières sources d'inquiétudeDans ce contexte économique complexe et incertain, 40% des dirigeants du secteur se disent inquiets, un taux remarquablement inférieur à celui du commerce (54%), beaucoup plus durement impacté par la crise.Au global, les sources d'inquiétudes sont logiquement fléchées sur la trésorerie, citée par 82% des personnes interrogées et le carnet de commande, évoqué à 72%.Des chefs d'entreprises particulièrement confiants pour l'avenir de leur activitéPortés par leur volonté d'agir et de « ré entreprendre », les femmes et hommes interrogés ont fait part d'une grande confiance en l'avenir.A l'échelle du secteur, les sondés sont 82% à se dire confiants pour leur vie personnelle ; 78% pour leur situation professionnelle et 73% pour la situation financière du foyer.Les dirigeants du BTP / Industrie dénotent une fois de plus par leur confiance plus marquée que la moyenne pour l'avenir de leur activité : 79% vs. 74% au global.Soutenus par leurs proches dans la reprise, les dirigeants entendent désormais mieux profiter de leur familleAlors que le déséquilibre vie privée et vie professionnelle a longtemps été vu comme une fatalité pour les entrepreneurs, la préservation de la vie de famille est aujourd'hui unanimement considérée comme une priorité.Pour 63% des chefs d'entreprises du secteur, le confinement leur a permis de mieux profiter de leurs proches. Ils ressortent de cette période avec le sentiment d'être soutenus par leurs proches (80%) pour aborder la reprise. Un taux toutefois inférieur à la moyenne globale de 88%.Ces femmes et ces hommes dirigeants entendent aujourd'hui mieux préserver cet équilibre. Ils sont ainsi unanimement décidés (93%) à mieux profiter de leur famille tout au long de l'année et 91% à déclarer vouloir continuer à pratiquer une activité sportive pour se maintenir en forme.Un cycle de webinaires et un guide inédit pour aborder les enjeux santé pour l'entrepreneur face à la relanceTout au long de ces prochaines semaines, la Fondation MMA des Entrepreneurs du Futur déploie un dispositif spécial pour aborder les problématiques de la santé et de la prévention face aux risques d'épuisement pour les entrepreneurs.Un cycle de 3 webinaires « Comment ré entreprendre sans s'épuiser » se déroule du 6 au 8 juillet en partenariat avec les CCI. Il est complété par la sortie du guide inédit « L'Entrepreneur en forme », réalisé sous la direction du médecin psychothérapeute Gérard Ostermann avec le regard de nombreux experts et des témoignages d'entrepreneurs.Méthodologie :Étude réalisée par l'institut OpinionWay pour la Fondation MMA des Entrepreneurs du Futur auprès d'un échantillon de 802 dirigeants d'entreprises représentatif des TPE, PME et ETI françaises (1 à 4999 salariés), dont 191 entreprises du secteur BTP/Industrie.L'échantillon a été interrogé du 12 au 22 juin 2020 par téléphone. La représentativité de l'échantillon est assurée par un redressement sur les critères de taille d'entreprise et de secteur d'activité, après stratification par région de résidence.
Il y a 4 ans et 294 jours

Les crédits immobiliers en quête d'une reprise malgré les incertitudes

Ces dernières semaines, emprunteurs et acheteurs "sont au rendez-vous, il y a des recherches en ligne importantes, il y a des visites de biens, il y a des ventes qui se réalisent de manière significatives, et dans un contexte où les prix semblent tenir. On a une forme d'élan post-confinement", a résumé jeudi dans une vidéo Jean-Marc Vilon, directeur général de l'organisme Crédit Logement qui réunit les principales banques françaises.Cet élan est-il durable? "Il est encore un peu tôt pour le dire. La période qu'on traverse est absolument unique, on n'a évidemment jamais vécu cela et ce qui va se passer sur le marché de l'immobilier va dépendre du marché immobilier lui-même, mais aussi et encore plus de l'évolution économique générale", a-t-il toutefois nuancé, évoquant des "incertitudes très fortes"."Il faut attendre la rentrée pour être un peu plus affirmatif sur les tendances du marché, mais en même temps, il ne faut pas bouder notre plaisir d'une reprise d'activité qui, depuis la fin du confinement, est quand même tout à fait réelle", s'est réjoui M. Vilon.Remontée des tauxLe taux moyen des crédits immobiliers en France a continué à progresser en juin, prolongeant la tendance esquissée en avril et en mai. Durant ces deux mois, les taux du crédit immobilier avaient en effet grimpé respectivement à 1,18% puis 1,25%, après des mois d'évolution à un plancher historique touché en fin d'année dernière à 1,12%.Le résultat du mois de juin porte ainsi le taux moyen des crédits immobiliers à 1,25% sur l'ensemble du deuxième trimestre."Avec le durcissement de la crise économique déclenchée par la mise en oeuvre du confinement, les risques portés par les établissements prêteurs sur la dette immobilière des particuliers se sont renforcés. La montée du chômage et les pertes de pouvoir d'achat accentuent les risques de défaut sur la dette en cours de remboursement, alors que la suppression des aides personnelles à l'accession a fait disparaître un filet de sécurité qui avait montré son efficacité durant la crise des +subprime+", souligne l'observatoire Crédit Logement-CSA.Cette tendance masque des disparités entre les différents profils d'emprunteurs.Les emprunteurs ne présentant pas en général les meilleurs profils (niveaux des revenus et de l'apport personnel, durée des crédits octroyés...) et qui supportaient déjà un taux supérieur à la moyenne de leur famille de durée connaissent l'augmentation la plus forte. À l'inverse, la hausse des taux survenue depuis décembre 2019 est moindre pour les emprunteurs dont le profil est jugé moins porteur de risques.Allongement des duréesCette évolution apparaît en ligne avec les demandes des autorités financières qui, face à l'essor du crédit immobilier avant le confinement, avaient demandé aux banques de resserrer un peu leurs conditions, alors que les prêts atteignaient en France un montant total historique.Mais si elles se sont montrées plus sélectives envers les profils d'emprunteurs, les banques semblent avoir lâché un peu de lest du côté de la durée des emprunts.La remontée des taux des crédits et la poursuite de la hausse des prix des logements ont donc été partiellement compensées par l'allongement des durées : au deuxième trimestre 2020, la durée des prêts bancaires accordés était de 231 mois en moyenne, contre à peu près 228 mois sur le premier trimestre et sur l'ensemble de l'année 2019, montre l'observatoire.En ce qui concerne l'activité des nouveaux prêts immobiliers, l'observatoire remarque une reprise en juin, après des turbulences en mars sur fond de déclenchement de la crise du Covid-19, suivies par un effondrement de la production en avril et en mai. Mais "la reprise observée en juin n'a pas permis de retrouver le niveau d'activité de février 2020, et encore moins celui de juin 2019".Le mois dernier, la production, c'est-à-dire le montant global des crédits accordés, a chuté de 10%, et le nombre de prêts bancaires a reculé de presque 12% par rapport à juin 2019, selon l'observatoire.
Il y a 4 ans et 295 jours

Schöck assoit son expertise en construction passive avec toujours plus de références labélisées

Ce fervent défenseur de la Qualité de l'Enveloppe multiplie ainsi les références en constructions passives, dont l’isolation renforcée, le traitement des ponts thermiques et l’étanchéité à l’air constituent les impondérables pour prévenir de manière optimale les pertes de chaleur et d’énergie. Garantir en toutes saisons un haut niveau de confort aux habitants, tout en respectant l’environnement par des rejets de GES minimes grâce à la faible consommation d’énergie pour le chauffage et la climatisation (source également d’économie pour les ménages) : tel est le leitmotiv qui motive Schöck à plébisciter les labels passifs.Résidence Solatium à Vandœuvre-lès-Nancy (54) labellisée par la Fédération Française de la Construction Passive : 14 logements locatifs destinés à des personnes âgéesMise en œuvre des rupteurs Schöck Isokorb® KXT (pour les balcons en porte-à-faux) et QXT (pour les loggias sur appuis) Schöck est intervenu sur la réalisation de ce bâtiment regroupant deux programmes sociaux (25 studios pour l’Agence de Réinsertion Sociale - résidence Myosotis - et 14 logements pour séniors via Meurthe et Moselle Habitat - résidence Solatium -) et signé de l’atelier Rolf Matz Architecture, spécialisé dans l’architecture bioclimatique, les bâtiments passifs et l’éco-construction à haute performance énergétique. Comme le souligne Lionel Mahuet, Directeur général de Meurthe-et-Moselle Habitat, Maître d’ouvrage du projet, le choix d’une conception selon le standard européen de bâtiment passif, le label Passivhaus, se nourrit « d’une démarche environnementale très ambitieuse pour préserver les ressources naturelles mais aussi de la nécessité de réduire les charges de nos locataires, de jouer à la baisse sur leur facture énergétique et à la hausse sur leur pouvoir d’achat.»La particularité de cette réalisation s’avère avoir été modélisée au préalable en 3 D, présentant l’avantage selon l’architecte-ingénieur Rolf Matz de « mieux appréhender l’interaction des différents corps d’état et ainsi d’optimiser certains postes, comme l’a été celui des fluides par exemple ». A l’issue de cette étude 3D : un CCTP des plus détaillés qui a permis aux entreprises d’y répondre avec exactitude, pour atteindre la performance passive optimale visée. Si le projet prévoyait initialement balcons et coursives en structure métallique, Schöck, jouant son rôle de conseil, a préconisé l’usage du béton, finalement retenu. C’est ainsi qu’au niveau des liaisons mur-dalle loggia (20 au total), Schöck a mis en œuvre ses rupteurs structurels modèle Schöck Isokorb® QXT. Ils assurent la continuité de l’isolation du bâtiment là où celle-ci serait interrompue par une liaison structurelle entre la dalle intérieure et la dalle de loggia, tout en reprenant l’effort tranchant. Par ailleurs, 28 ml de balcons en porte-à-faux ont été traités avec des rupteurs Schöck Isokorb® KXT. Notons que, pour ces deux modèles de rupteurs, la gamme "XT" a été sélectionnée, disposant d’une épaisseur du corps isolant de 120 mm au lieu des 80 mm traditionnels : une référence déjà certifiée par le Passivhaus Institut en Allemagne. Ainsi, la pose de rupteurs, associée aux performances des menuiseries en pvc triple vitrage passives certifiées (avec occultation par brises soleil orientables) et d’une VMC double flux, induit un besoin de chauffage annuel de 7.47 kWh/m² (très inférieur donc à 15 kWh/m2 par an, premier critère pour obtenir le label Passivhaus). Le test d’étanchéité à l’air se révèle également exceptionnel avec pour le standard passif : 0.60 vol/h, soit 0.15 vol/h pour le bâtiment Solatium et 0,14 vol/h pour Myosotis. Caractéristiques techniques de la résidence Solatium, couplée à la résidence Myosotis Sources : Rolf Matz Architecture Surface de plancher : 1 900 m² Mode constructif : mur maçonné structure béton TTest d’étanchéité à l’air : 0.14 vol/h Consommation énergie de chauffage (selon PHPP) : 7.47 kWh/m²/an Bâtiments Certifiés passifs par la Fédération Française de la Construction Passive en janvier 2018Logements labellisés par Propassif à Colmar (68) : 48 en réhabilitation et 30 en construction, rue du Luxembourg, quartier de l’Europe Mise en œuvre des rupteurs Schöck Isokorb® KST (jonction acier-acier) et Schöck Isokorb® QS (liaison béton-acier) Les logements de la rue du Luxembourg à Colmar incarnent l’exemple parfait de la polyvalence des rupteurs Schöck, aussi efficaces en neuf qu’en rénovation, pour un traitement optimal des ponts thermiques en isolation thermique par l’extérieur. A l’origine, un bâtiment typique des années 60 se distinguant surtout par sa vétusté : « C‘était avant que le PHCCA et l’Agence d’architecture DeA architectes Mulhouse ne se décident pour une forme originale de rénovation-construction : la barre est scindée, une partie détruite pour laisser l’ensemble respirer, et le tout repensé entièrement pour laisser la place à l’un des plus grands ensemble Passivhaus en France » explique Propassif. Ainsi, dans la partie rénovée comme dans la partie neuve, plus de 180 rupteurs Schöck Isokorb® type KST, KST-ZST et KST-QST (reprenant, selon leurs dispositions, les efforts de traction, les efforts de compression et les efforts tranchants) ont été positionnés au niveau des balcons, en jonction entre la structure métallique porteuse et la dalle en béton. En effet, cette gamme de rupteurs Schöck, constitués d’éléments en acier inoxydable traversant un corps isolant en néopor, interrompt le flux de chaleur dans l’élément métallique : les supports, habituellement d’un seul tenant, sont désolidarisés et le rupteur mis en place dans l’espace intermédiaire assure la reprise des efforts structurels et la continuité de l’isolation thermique. Solution économique particulièrement facile à mettre en œuvre par simple liaison vissée, Schöck Isokorb® KST présente l’avantage d’éviter les pertes d’énergie et de chaleur tout en limitant également les risques liés à l’humidité et la condensation, à savoir l’apparition de moisissures. Le caractère “invisible” des rupteurs une fois posés (se substituant aux poteaux porteurs) séduit aussi par l’esthétique qu’il offre : des façades parfaitement isolées thermiquement qui demeurent élégantes ! Cet allègement visuel se double aussi d’une réduction des coûts globaux d’exploitation. Par ailleurs, une soixantaine de rupteurs Schöck Rutherma® Q a été utilisée pour les liaisons béton-béton dans certaines zones du bâtiment. Caractéristiques techniques du bâtiment rénové Sources : Propassif Superficie : 2 244 m² Mur extérieur : Béton 2100 W / (mK) 180 mm - Fibre de bois 0,040 W / (mK) 240 mm - Enduit 0,325 W / (mK) 10 mm // Valeur U = 0,179 W / (m² K) Test d’étanchéité à l’air : 0.34 vol/h Consommation énergie de chauffage (selon PHPP) : 11 kWh/m²/anCaractéristiques techniques du bâtiment neuf Sources : Propassif Superficie : 3 552 m² Mur extérieur : Béton 2100 W / (mK) 180 mm - Fibre de bois 0,040 W / (mK) 240 mm // Valeur U = 0,18 W / (m² K) Test d’étanchéité à l’air : 0.54 vol/h Consommation énergie de chauffage (selon PHPP) : 13 kWh/m²/an Ilot résidentiel labellisé par Propassif France à Thionville (57) : 18 logements en R+4 Mise en œuvre des rupteurs Schöck Isokorb® KST (jonction acier-acier) Autre référence labellisée par Propassif : l’ilot résidentiel de 18 logements à Thionville, conçu par ASP Architecture, agence reconnue pour son expertise en architecture à forte valeur ajoutée environnementale, avec pour maître d’ouvrage Batigère, acteur majeur du logement social dans la région Grand-Est.Là aussi, en vue d’éviter les déperditions thermiques, traiter les points de rosée et se conformer aux critères du label passif, l’ancrage de la structure métallique des balcons sur mur béton s’est opéré par l’intermédiaire des rupteurs Schöck Isokorb® KST. Ces derniers ont été fixés par des sabots métalliques : une simplicité et une rapidité de mise en œuvre très appréciées sur les chantiers. Concluons en valorisant le fait que pour toutes ces réalisations passives, l’enveloppe du bâtiment se doit d’être homogène, continue et sans ponts thermiques (induisant une désolidarisation des parties saillantes des bâtiments telles les loggias, balcons et acrotères). Schöck allie performance de ses solutions et excellence de ses services. Il propose ainsi non seulement des rupteurs possédant l’agrément de l’Institut Passivhaus, mais accompagne également les projets de leur conception à leur livraison pour garantir en toute confiance leur certification passive.
Il y a 4 ans et 296 jours

“Construction Moderne” en version numérique

Trois newsletters seront envoyées chaque mois. [©DR] La revue “Construction Moderne” de Cimbéton donne à voir autrement des projets d’architectes ou des chantiers d’envergure de bâtiments ou de génie civil, où le béton est roi. Jusqu’à présent, il y avait 4 numéros papier par an. Mais « face aux évolutions des habitudes de lectorat et pour préserver les usages de notre communauté de lecteurs fidèles, notre rédaction a fait le choix de digitaliser “Construction Moderne”. Tout en instaurant la publication papier annuelle d’une sélection d’articles », indique François Redron, directeur général de Cimbéton. C’est ainsi que 3 newsletters seront envoyées chaque mois. La première vient d’être reçue. « Le dernier “Construction Moderne” n° 162 classique sortira le 5 septembre prochain. Entre temps, les newsletters permettront d’accéder à une information complète sur les réalisations architecturales et sur les projets d’ouvrage d’art. Le futur numéro annuel les regroupera », conclut Patrick Guiraud, directeur travaux publics à Cimbéton.
Il y a 4 ans et 296 jours

Pascal Malafosse, Dg de Sika France, prend les rênes de Parex France

Directeur général de Sika France, Pascal Malafosse devient aussi directeur général de Sika Automotive France et de Parex France. [©Sika] Directeur général de Sika France depuis 2016, Pascal Malafosse ajoute les fonctions de directeur général de Sika Automotive France et de Parex France. Il succède à Guillaume Latil, qui a participé à la croissance du groupe Parex. Ceci, pendant 5 années, avant son intégration au sein du groupe Sika à la suite de son acquisition. Depuis 32 ans chez Sika France, Pascal Malafosse a occupé diverses fonctions. Dont chef des ventes, directeur national adjoint du marché négoce de l’activité distribution… Depuis 2016, il est directeur général de Sika France. « Notre vision est d’anticiper et de relever les défis futurs. Ceci, en offrant des solutions fiables, novatrices, durables et à long terme dans les secteurs de la construction, du bâtiment et de l’industrie. Dans toutes nos réalisations, nous fournissons un label de qualité sur lequel nos collaborateurs, nos clients et toutes les parties prenantes peuvent compter. A savoir construire la confiance chaque jour. » A 54 ans, Pascal Malafosse est titulaire d’un diplôme en génie civil et d’un diplôme international de management obtenu à IMD Lausanne. Ainsi que d’un master en stratégie d’entreprise de HEC Paris.
Il y a 4 ans et 297 jours

La startup MeilleureCopro et Cerqual Qualitel Certification lancent la 1ère calculette de charges de copropriété pour les logements neufs

Cet outil unique, pensé en étroite collaboration avec des promoteurs et plus d'une trentaine de prestataires de services (courtiers en assurance d'immeubles, fournisseurs d'énergie, ascensoristes, sociétés de nettoyage et d'entretien des espaces verts, etc.), est désormais accessible pour les promoteurs dans le cadre de la certification NF Habitat, pour les opérations situées en Ile-de-France, dans un premier temps.Une action concrète pour informer les promoteurs et leurs clients sur le coût de fonctionnement de la future résidence"Jusqu'à présent, les promoteurs n'avaient pas de moyen de connaître les charges futures, sauf à demander à un syndic partenaire qu'il réalise ce type d'estimation sur la base d'abaques ou de l'analyse de résidences similaires de proximité. L'estimation ainsi construite est extrêmement variable d'un programme à l'autre, en fonction des hypothèses prises par les syndics sur la qualité des prestations de service et sur les postes à y intégrer", explique Edouard-Jean Clouet, Président et cofondateur de MEILLEURECOPRO. De nombreux acquéreurs de logements neufs se sont trouvés en difficulté pour pouvoir faire face aux échéances de charges, car les estimations de charges ne prennent pas toujours en considération les spécificités de l'opération, telles que le tarif de l'eau de la ville, le coût du chauffage urbain de référence, des contrats de maintenance obligatoires comme celui de la toiture, etc.La calculette développée par les équipes de CERQUAL et de MEILLEURECOPRO pour la certification NF HABITAT apporte les innovations suivantes :des coûts basés sur des tarifs réels de prestataires : L'outil consulte la base des milliers de tarifs de prestataires négociés par MEILLEURECOPRO dans le cadre de son activité de courtier de services aux copropriétés.une constance dans les estimations de charges, d'un programme à l'autre : Les algorithmes de calcul sont adaptés à tout type d'opération, de petite comme de grande taille.un budget complet, reposant sur des niveaux de services très qualitatifs : L'évaluation prend en considération tous les postes constitutifs du futur budget de copropriété - eau, énergie, honoraires syndic, frais d'entretien et de maintenance, etc.-, et considère des prestations à même de répondre à l'exigence des futurs occupants : nettoyage pluri hebdomadaire des parties communes, compteurs en télérelève, dépannage des équipements 6 à 7J/7, assurance de charges impayées, protection des parties communes à la livraison, etc.Cet outil permet ainsi de conforter les promoteurs dans leur compréhension des charges à venir, et de rassurer les acquéreurs et leurs banques sur les charges futures auxquelles ils devront faire face.Selon Antoine Desbarrières, Président de CERQUAL Qualitel Certification, "cette calculette, qui répond à une demande de nos clients promoteurs et de leurs acquéreurs, nous permet d'objectiver le respect des exigences de la certification NF Habitat sur la maîtrise des charges de copropriétés neuves. C'est un préalable efficace pour sensibiliser le futur copropriétaire sur le sujet."Un outil reposant sur l'harmonisation des process de « pricing » des prestataires "Afin de créer un outil résolument innovant par son automatisation et par la fiabilité de ses estimations, nous avons très vite pris la voie de générer des chiffres reposant sur des tarifs réels de prestataires", précise Edouard-Jean Clouet."Pour se faire, nous avons conduit plusieurs dizaines d'ateliers de travail avec des prestataires pour comprendre leur façon de coter une prestation de service. Cet exercice, relativement simple sur des prestations d'assurance ou de fourniture d'énergie, s'avère nettement plus subtil dès que les prestations touchent l'intervention d'équipes sur la résidence. Chaque prestataire ayant une manière de coter différente, il a fallu définir avec eux le plus grand dénominateur commun pour écrire nos algorithmes, puis affiner l'exercice en introduisant des spécificités liées aux opérations ou aux prestataires" détaille François Massot, Directeur innovation et cofondateur chez MEILLEURECOPRO.Comment la calculatrice de charges de copropriété fonctionne-t-elle ? Dans les faits, le promoteur immobilier a la possibilité de se connecter via le portail client de CERQUAL Qualitel Certification à QUALICHARGES qui est une plateforme dédiée développée par MEILLEURECOPRO. Il suffit ensuite de renseigner des données d'opérations relatives au programme neuf, en se référant au permis de construire et à l'étude thermique.Dès le questionnaire complété, les données sont traitées par un algorithme qui interroge parallèlement les tarifs des prestataires et d'organismes institutionnels à disposition.Le budget généré est restitué au promoteur sous la forme d'une fiche programme, précisant le montant de charge au m²/an, ainsi que le détail des dépenses par poste de charges. Ce budget repose à ce stade sur une hypothèse de niveaux de services élevés. Ce niveau sera naturellement affiné et optimisé par les copropriétaires lors de leur première assemblée générale en fonction du choix qu'ils feront sur leurs prestataires de services.
Il y a 4 ans et 298 jours

Meljac affiche un chiffre d'affaires 2019 en progression de 9% et poursuit son développement en 2020

La capacité d'adaptation de MELJAC lui a permis de traverser deux crises majeures, le décès de son fondateur début 2019 et l'impact de la pandémie début 2020.L'entreprise française conserve des objectifs ambitieux en s'appuyant sur plusieurs facteurs: la forte cohésion de ses 80 collaborateurs, une réorganisation efficace, et le maintien d'une stratégie de développement axée sur l'innovation, l'hôtellerie et le rayonnement international.L'année passée a été marquée par la perte de notre Président-Fondateur André BOUSQUET, nous avons su affronter ce bouleversement en nous appuyant sur l'esprit de MELJAC pour optimiser notre nouvelle organisation. La progression du chiffre d'affaires 2019, issue de l'engagement toujours aussi passionné de nos équipes, nous a permis de résister à l'épreuve économique inédite à laquelle nous sommes tous confrontés.- Jean-Michel LAGARDE, Directeur général de MELJACUne année 2019 marquanteDécès d'André BOUSQUET : Florence BOUSQUET devient gérante et le rôle du directeur général, JeanMichel LAGARDE, est renforcéDes équipes soudées avec les dirigeants, ayant à cœur de perpétuer l'œuvre d'André BOUSQUET et de conserver les valeurs de l'entrepriseAprès un 1er semestre d'adaptation, reprise de la dynamique de l'entrepriseCroissance du CA (+9%) : 9,3 M€ Une année record en terme de prises de commandes et de CAUne forte progression de la trésorerieAboutissement de grands projets : Mandarin Oriental Paris, un palais au Moyen Orient, des villas à Beverly Hills2020 : des équipes en 2x8 pour faire face aux commandesLa solidité financière de l'entreprise lui permet d'affronter les événements qui déstabilisent l'économie française et mondialeArrêt de la production pendant un mois et reprise progressive jusqu'au déconfinementRéorganisation du rythme de travail, des méthodes et du fonctionnement de l'entreprise (rotation des équipes, télétravail)Un niveau de commandes quasiment stable malgré la crise : -2% à fin juin 2020Des équipes toutes impliquées pour résorber un encours de production de 30% supérieur à la normaleUn rayonnement et une visibilité accrusLe développement aux USA Dès la 1ère année pleine, la filiale MELJAC North America devient le plus gros client à l'exportCollaboration « Par Excellence » à New-York : déménagement dans un nouveau showroom en 2020. Plus spacieux, il présentera 9 savoirfaire français d'exceptionLe Moyen-Orient, un marché prometteur : Participation à la Mission Pays du Golfe (organisée par la Chambre des Métiers et de l'Artisanat), décalage prévu fin 2020 Salons : à la rencontre des architectes et des professionnels de l'hôtellerie fin 2020 : Architect@Work ParisEquip'HotelHostysHotel & Lodge Business Meetings & Awards (reporté à 2021)Présence au Lab FFIE (Fédération française des intégrateurs électriciens) : inauguration prévue fin 2020Rénovation des showrooms : Lyon en 2019 Paris prévue fin 2020Des investissements pour répondre aux fortes demandesPrès de 450 K€ investis dans la production en 18 mois : Nouveaux outils de production : centre d'usinage Ultra Grande Vitesse, nouvelle cabine de vernissage, nouveau bain de chrome…Poursuite du réaménagement de l'usine de Villeneuve-le-Roi pour accroître la capacité de la production et agrandir le bureau d'étudesAugmentation de l'effectif moyen de 15% Nouveaux CDIMaintien des contrats d'apprentissageCréation, innovation et sur-mesure toujours au cœur du projetMise au point de 6 nouvelles finitions sur laiton : le nuancier MELJAC offre désormais un choix de 30 finitionsOptimisation de l'adaptation aux systèmes domotiques (très basse tension)Officialisation du partenariat avec URMET France pour élargir l'offre MELJAC dans le domaine du contrôle d'accèsNouvelle collection née d'une collaboration avec le designer Marc NEWSON (lancement prévu fin 2020)
Il y a 4 ans et 300 jours

Après le virus, les constructeurs britanniques veulent bétonner leur reprise

Avec la levée progressive du confinement instauré fin mars au Royaume-Uni, le chantier d'un complexe de logements étudiants a repris à Guildford après cinq semaines d'arrêt, un projet de 38 millions de livres (42 millions d'euros) qui, une fois achevé, comptera 533 chambres réparties sur quatre immeubles.Si certains travaux ont été autorisés à rester ouverts au plus fort du "lockdown", sous réserve de respecter les règles sanitaires, ce chantier s'était interrompu le temps de mettre en place des mesures de sécurité pour ses 75 employés."Tout le monde s'est rendu compte qu'il ne s'agissait pas seulement de notre santé et sécurité - il s'agissait aussi de la famille de chacun", explique à l'AFP le responsable du projet, Barry Kerr, 34 ans.Salle d'isolementDes mesures préventives ont été introduites sur le site de construction opéré par l'entreprise McAleer & Rushe, comme un système de déplacement unidirectionnel, un nombre d'employés réduit, et des cantines, vestiaires, toilettes et lavabos plus nombreux.Les heures de début et de fin ont été étalées, le système d'entrée par empreinte digitale a été retiré, et les employés doivent déclarer leur état de santé tous les jours. Une "salle d'isolement" a été créée au cas où l'un d'eux présenterait des symptômes - elle n'a pas encore été utilisée.L'entreprise et ses sous-traitants ont également recouru au mécanisme de prise en charge partielle des salaires par l'Etat, mis en place par le gouvernement du conservateur Boris Johnson pour éviter des licenciements durant la crise sanitaire."Je crois que l'entreprise a pris la bonne décision (...) en fermant temporairement ses chantiers jusqu'à ce que nous puissions assurer que nous respectons bien les directives" officielles, souligne Barry Kerr.Il précise toutefois que les annonces ont parfois été confuses: les chantiers pouvaient rester ouverts en Angleterre et en Irlande du Nord, mais pas en Ecosse.L'incertitude du BrexitLa confinement a provoqué l'effondrement de l'activité de la construction au Royaume-Uni en avril et en mai, avant un rebond en juin. L'indice PMI pour le secteur est remonté à 55,3 points le mois dernier, contre 28,9 en mai, selon le cabinet IHS Markit. Un indice en dessous de 50 points signale une contraction économique. Avec le confinement, "au moins 50% des chantiers ont fermé", explique Gareth Belsham, directeur du cabinet de conseil en immobilier Naismiths. "Seuls quelques petits promoteurs, principalement des promoteurs résidentiels, ont pu poursuivre au milieu de tout ça".Le choc a été d'autant plus rude que le secteur venait à peine de se remettre des incertitudes économiques liées au Brexit, qui s'est réalisé le 31 janvier avec la sortie du Royaume-Uni de l'Union européenne."Construire, construire, construire"Fin juin, le Premier ministre Boris Johnson a appelé le Royaume-Uni à "construire, construire, construire" pour relancer l'économie frappée de plein fouet par la pandémie, promettant une "révolution par les infrastructures" inspirée du "New Deal" américain.Mercredi, son gouvernement a annoncé qu'il allait injecter 30 milliards de livres dans des mesures de relance, dont des subventions pour la rénovation énergétique et des aides à l'emploi des jeunes."En général, en ce moment, je pense que les perspectives pour la construction sont très bonnes", juge Andrew Southern, fondateur de Southern Grove, qui finance le projet de Guildford ainsi que deux projets similaires dans le centre de l'Angleterre.Gareth Belsham se montre plus sceptique quant à la réalisation de projets d'infrastructures par l'Etat, notamment en raison de l'impact du Brexit sur la disponibilité de la main-d'oeuvre étrangère.
Il y a 4 ans et 301 jours

Urmet France et Meljac l’union pour créer des solutions performantes et esthétiques

Urmet France et Meljac unissent leurs savoir-faire pour proposer aux architectes et donneurs d’ordres publics comme privés, des interphones et des systèmes de contrôle d’accès alliant efficacité technologique et noblesse des matériaux.  Un partenariat autour de projets concrets C’est après deux beaux projets réalisés ensemble, qu’Urmet France et Meljac ont décidé de collaborer durablement pour ajouter à leurs gammes respectives un interphone avec un habillage haut-de-gamme. Les deux entreprises françaises proposent chacune des produits innovants et attrayants qui séduisent de nombreux architectes, décorateurs et particuliers. Leur objectif commun : marier fonctionnalités et esthétique en s’appuyant sur la qualité du savoir-faire traditionnel de Meljac et sur une haute maitrise technologique d’Urmet France. Satisfaire des clients exigeants Pascal Perrin, Directeur Opérationnel Urmet – Yokis affirme : « Nous sommes très heureux de faire bénéficier nos clients de l’incroyable créativité de Meljac pour imaginer des finitions qui répondent à toutes les attentes. L’interphone mais aussi par exemple des claviers codés ou des boutons d’ouverture, peuvent s’intégrer parfaitement dans le bâtiment en mettant en valeur les matières choisies par ses concepteurs. » Jean-Michel Lagarde, Directeur Général de Meljac, précise « Nous remercions Urmet France de nous avoir fait confiance pour mettre en valeur la technologie de pointe qui fait leur réputation. Ce partenariat permet à Meljac d’élargir son offre dans le domaine du contrôle d’accès. En combinant nos savoir-faire, nous offrons une solution complète à la fois élégante et fonctionnelle. » Des expertises respectives reconnues Meljac, leader sur son marché, conçoit des appareillages électriques de luxe (interrupteurs, prises de courant, sonnettes, lampes à poser, spots et liseuses, habillages de thermostats, de systèmes domotiques, etc.). La marque experte de solutions sur mesure, offre un large choix de produits, avec divers formats et finitions, avec des matériaux nobles tels que le laiton, le verre, la porcelaine de Limoges. Urmet France, premier constructeur français d’équipement de confort et de sécurité pour les bâtiments résidentiels collectifs et individuels, conçoit et produit des interphones, claviers codés et systèmes d’accès connectés. C’est tout naturellement que, pour répondre à des demandes pointues sur un marché très exigeant, les deux entreprises proposent des finitions sur-mesure. Un exemple de réalisation à Paris : Des plaques de rue Meljac/Urmet s’harmoniseront avec la façade de l’hôtel particulier abritant les locaux de la FFIE (Fédération Française des Intégrateurs Électriciens) et son futur  »Lab » des meilleurs savoir-faire français (Paris 16e). D’autres exemples de réalisation Urmet à gauche, Meljac à droite : À propos d’Urmet (Roissy – 95) : leader français des solutions de confort, de sécurité et de contrôle d’accès pour les bâtiments résidentiels et collectifs : interphone, système domotique, vidéosurveillance. Conception et fabrication française – 140 collaborateurs – CA 2019 de 61,7 M€ Contact presse : Véronique LELIÈVRE- v.lelievre@meljac.com  À propos de Meljac (Paris – 75) : Créée en 1995 par André Bousquet l’entreprise leader de son marché conçoit des appareillages électriques de luxe. L’entreprise a créé sa 1ère filiale aux États Unis en 2018 et compte une soixantaine de revendeurs agréés dans le monde entier. Labels Origine France Garantie et EPV (Entreprise du Patrimoine Vivant) –  80 collaborateurs – CA 2019 : 9,3 M€. Contact presse : Leslie BÉRAUD – l.beraud@meljac.com 
Il y a 4 ans et 301 jours

Grohe réduit drastiquement l'utilisation de plastique avec 10 millions d'emballages en moins

Le passage à des emballages sans plastique est un processus qui implique tous les sites de production. Outre l'identification des emballages plastiques les plus couramment utilisés, il faut rechercher, tester, puis mettre en œuvre de nouveaux matériaux de substitution plus durables."Offrir des emballages sans plastique fait partie de notre approche globale de durabilité à 360 degrés, qui inclut également les employés, les fournisseurs, les clients, les différents processus de production, les produits et notre contribution à la société. En tant que marque, il est important de revoir constamment les processus existants du point de vue de la durabilité", déclare Thomas Fuhr, Directeur Général de LIXIL International et PDG de Grohe AG. "Parvenir à un emballage produit entièrement sans plastique d'ici 2021 est une étape importante dans notre contribution à la lutte contre le problème mondial des déchets plastiques".Pacific Garbage Screening et GROHE, unis contre les déchets plastiquesL'objectif de réduction des déchets plastiques est également renforcé par la collaboration avec l'architecte Marcella Hansch, fondatrice de Pacific Garbage Screening. Les deux partenaires partagent la vision d'une eau propre, en réduisant les déchets plastiques dans les océans et les rivières.Marcella Hansch développe une plateforme aquatique qui collecte les déchets plastiques dans les rivières avant qu'ils ne soient rejetés dans les océans. Outre le soutien financier de GROHE, les deux partenaires veulent sensibiliser le public au problème du plastique et l'amener à adopter un mode de vie plus durable.En plus de l'initiative contre les déchets plastiques, GROHE déploie une importante stratégie environnementale : depuis juillet 2019, la marque a converti toutes les usines de production de LIXIL EMENA à l'électricité verte, et depuis le 1er avril 2020, GROHE a une production neutre en carbone. GROHE compense ses émissions de CO2 par des projets de compensation et soutient des activités comme le Gold Standard, développé sous la direction du WWF.Grâce à son engagement continu envers la durabilité et le respect des ressources, GROHE a obtenu à plusieurs reprises, des Prix allemands avec les meilleurs classements en développement durable. En 2017, la marque a reçu le Prix RSE du Gouvernement Fédéral Allemand. L'année dernière, le PDG de GROHE, Thomas Fuhr, a reçu le prix B.A.U.M. (trophée sur l'environnement et la durabilité, décerné par le réseau d'entreprises B.A.U.M.) pour son engagement en faveur de la durabilité.
Il y a 4 ans et 302 jours

Pascal Malafosse prend du galon chez Sika

Le spécialiste suisse des produits de chimie a nommé son directeur général France à la tête de Sika automotive France et Parex France. Il succède à Guillaume Latil a la tête de Parex.
Il y a 4 ans et 303 jours

Le confort d'été dans les bâtiments et la ville au sommaire de CONTACT

Parce que la santé et le bien-être des usagers dans les bâtiments et la ville sont des enjeux majeurs, le CSTB traite le confort d'été dans CONTACT de juillet 2020 et présente des solutions pour atténuer l'impact et l'inconfort liés à l'ensoleillement et aux températures élevées en ville. Découvrez dans cette newsletter l'approche systémique et l'expertise pluridisciplinaire proposées par le CSTB autour du confort d'été, à l'échelle du bâtiment, du quartier et de la ville : Résilience des bâtiments face au stress thermique Confort d'été multi-échelle des espaces publics À lire également dans cette édition : les Témoignages de Serge Contat, directeur général de RIVP, et de Sébastien Nerva, directeur adjoint d'EpaMarne, qui partagent leur vision et retour d'expérience dans le cadre de leur collaboration avec le CSTB. Pour décrypter des sujets techniques, les deux Billets d'experts proposés dans ce numéro portent sur : la simulation du confort thermique et l'identification des Îlots de Chaleur Urbains (ICU) ; l'importance des gains thermiques générés par une isolation courante. Et, comme toujours au sommaire de CONTACT, les Références du CSTB sur le confort d'été, les Éditions-Formations pour monter en compétence, le Décodage pour mieux cerner la problématique, etc. En savoir plus : CONTACT n° 4 : Confort d'été à l'échelle du bâtiment et de la ville Abonnez-vous à CONTACT
Il y a 4 ans et 303 jours

La récession en France devrait être limitée à 9% en 2020, selon l'Insee

Le gouvernement anticipe de son côté un recul du produit intérieur brut de 11% et la Banque de France de 10%."En juin, l'activité économique aurait comblé les trois cinquièmes de l'écart qui la séparait, au creux du confinement, de son niveau d'avant crise", se réjouit l'Institut national des statistiques dans sa septième note de conjoncture depuis la fin mars.Il constate aussi que "la consommation des ménages ne serait, quant à elle, plus qu'à 3 points de pourcentage de son niveau normal", alors que les ménages ont constitué une très importante épargne supplémentaire durant les huit semaines de confinement et qu'une question de la reprise est de savoir s'ils vont la dépenser ou la garder en réserve.Après s'être contracté de 5,3% au premier trimestre puis de 17% au deuxième en raison de la pandémie de coronavirus, le PIB rebondirait de 19% au troisième trimestre puis de 3% au quatrième, précise l'Insee, qui fait ses premières prévisions au-delà du mois de juin."Fin 2020, l'activité économique demeurerait légèrement en deçà de son niveau d'avant crise", estime l'Insee, dans une fourchette comprise entre -6% et -1%, selon les scénarios, avec une moyenne à -4%."Les perspectives de production se redressent très nettement : la vigueur de ce rebond tient beaucoup à la faiblesse du point de départ, c'est-à-dire de l'activité économique en période de confinement", selon la note."Cependant les carnets de commandes, en particulier à l'international, demeurent jugés peu garnis par les entreprises industrielles, ce qui n'augure pas d'un retour immédiat à la normale", tempère l'institut.Aussi, avec des exportations en recul de 36% sur un an pour le mois de mai, les échanges extérieurs de la France "demeurent plus dégradés en mai que la production nationale en phase de redémarrage"."Pas indemne"La consommation bénéficie d'un effet de rattrapage après le confinement sur les produits manufacturés, mais cet effet ne s'étend pas à tous les produits, l'habillement par exemple souffrant fin juin d'une base de comparaison élevée alors que les soldes avaient déjà commencé en 2019 et sont décalées cette année.Quant aux services, certains continuent à souffrir comme le transport aérien.Grâce aux mesures prises pendant les huit semaines de confinement pour préserver le tissu économique et l'emploi, "les premières marches de la reprise ont pu être gravies assez rapidement, peut-être plus que prévu. Ce sont les dernières qui risquent d'être les plus difficiles, concernant surtout les secteurs les plus touchés par la crise", met en garde l'Insee.Le ministre de l'Economie Bruno Le Maire a brossé lundi un portrait sombre des prochains mois, notamment pour les "plus petits", prévenant que c'est "une tâche écrasante" qui l'attend.Et même si elle n'atteint finalement que 9%, il s'agira de "la plus forte récession depuis la création des comptes nationaux français en 1948", indique la note de l'Insee.Mais pour son directeur général Jean-Luc Tavernier, si on "peut déjà anticiper que l'ordre de grandeur de la baisse du PIB en 2020 pourrait être d'une dizaine de points, voire un peu moins", "il est absurde de dire que l'on serait de ce fait revenu dix ans en arrière"."Car cette baisse en moyenne annuelle est bien entendu liée principalement à la chute connue pendant les mois de confinement. Si l'économie n'en sort pas indemne, il est probable qu'elle reviendra dans les mois à venir à un niveau plus proche de celui qui prévalait avant le confinement", estime M. Tavernier.
Il y a 4 ans et 303 jours

Val-d’Oise : NGE, quatre ans pour un agrandissement autoroutier

Débutée en 2016, la jonction RN 104 – Francilienne avec l’autoroute A 16 a nécessité quatre ans de travaux. [©NGE] Pour permettre à 50 000 véhicules par jour d’améliorer leur trajet, la très chargée RN 104 – Francilienne a été raccordée à l’autoroute A 16. A la hauteur de L’Isle-Adam. Ce qui a permis, en particulier, la surpression du rond-point de la Croix Verte. Au niveau de Montsoult, point noir de la région. Pour cinq des sept marchés de l’opération, NGE fût à l’action. Quatre en collaboration avec Razel-Bec et un complètement, réalisé par Agilis, filiale du groupe.  Au total, l’opération débutée en 2016 a duré quatre ans. Impliquant 150 collaborateurs de l’entreprise. NGE a réalisé plus de 8 km d’assainissement profond, opéré plus de 850 000 m3 de terrassement. Ainsi que construit dix ouvrages d’art et autant de bassins d’assainissement Sans compter la mise en place de 55 000 t d’enrobés. « Ce chantier de longue haleine illustre bien toutes les forces du groupe NGE. Et son savoir-faire multi-métiers, explique Yoan André, directeur des travaux NGE. Nous avons réalisé un chantier de A à Z grâce à la synergie des filiales du groupe ».  A noter que dans un territoire où la question environnementale est au cœur des enjeux. Pas moins de 70 000 t de mâchefers d’incinération de déchets non dangereux sont revalorisées en couches de forme. Utilisées notamment pour les voiries départementales. 
Il y a 4 ans et 303 jours

Le directeur général France de Sika à la tête de Parex France

CARNET-NOMINATION. Le spécialiste suisse des produits de chimie, Sika a nommé son directeur général France à la tête de Sika automotive France et Parex France.
Il y a 4 ans et 305 jours

Loxam et Kiloutou : le grand entretien post-crise sanitaire

Respectivement directeur général de Loxam et président exécutif de Kiloutou, Stéphane Hénon et Olivier Colleau nous ont accordé une longue interview, à paraître dans le hors-série "spécial location" du Moniteur Matériels daté du 10 juillet. Extrait.
Il y a 4 ans et 305 jours

"L'économie circulaire va s'imposer", Rafael Rodriguez, DG France et Europe du sud de Rockwool

Pour le directeur général France du spécialiste de l'isolation en laine de roche, la "recyclabilité" des produits et un mode de production plus vertueux seront les atouts maîtres sur un marché qui sera porté dans les années qui viennent par la rénovation des logements.
Il y a 4 ans et 308 jours

Les attentes des Français sur le monde de demain

Pour les Français, la crise sanitaire que nous traversons va créer une rupture dans notre société : 72% d'entre eux estiment que rien ne sera comme avant lorsque la crise sera terminée.Les transformations plébiscitées par les Français laissent entrevoir un dénominateur commun : une aspiration forte à se réapproprier leur territoire de proximité. 60% des Français déclarent souhaiter modifier leur manière de consommer en privilégiant des achats locaux et 57% évoquent une volonté d'un retour à des rapports de proximité.La question de la reconsidération des territoires semble devenir une nécessité pour les Français, que ce soit sur leur manière de consommer, leur rapport aux autres, mais également sur leur engagement : 41% d'entre eux souhaitent s'impliquer davantage dans la vie de leurs communes.Les Français appellent à une action de l'État (pour 73% d'entre eux), des collectivités locales (pour 67% d'entre eux) et des entreprises (pour la moitié d'entre eux – 49%) pour opérer ces transformations et accompagner le développement économique et durable des territoires.Les principales attentes à l'égard de ces différents acteurs sont étroitement liées à la reconsidération des territoires de proximité : 62% des Français souhaitent que les villes soutiennent les commerçants locaux, près de la moitié des Français (46%) souhaitent que les entreprises relocalisent certaines de leurs activités, 42% des Français souhaitent que les entreprises soutiennent l'économie locale en privilégiant les circuits courts et 41% des Français souhaitent que les villes agissent sur leur impact environnemental et aillent vers plus de durabilité.La crise sanitaire qui impacte nos sociétés depuis plusieurs mois n'est pas sans conséquence sur les préoccupations et les attentes formulées par les Français quant au monde de demain. Pour 72% d'entre eux, cette crise va créer une rupture et transformer en profondeur leurs modes de vie, si bien que rien ne sera plus jamais comme avant.La crise les invite en premier lieu à reconsidérer leurs préoccupations, en se concentrant sur leurs besoins fondamentaux, avec en tête la santé (pour 54% d'entre eux). Arrivent ensuite des préoccupations liées à la crise économique générée par la crise : 42% se disent préoccupés par leur pouvoir d'achat, tandis que 27% le sont par l'emploi et 24% par les inégalités sociales. Ce contexte participe par ailleurs à donner une résonance plus forte à des préoccupations déjà présentes chez les Français. C'est le cas de l'écologie qui arrive en troisième position des préoccupations avec plus d'un tiers des répondants qui citent la protection de l'environnement (33%) et la lutte contre le réchauffement climatique (30%) comme une priorité.Pour ce qui est de leurs comportements, les changements anticipés par les Français au sortir de la crise laissent entrevoir un dénominateur commun : une aspiration forte à se réapproprier leur territoire de proximité.En effet, 60% des répondants anticipent une modification de leur manière de consommer et mentionnent notamment l'envie de faire des achats plus locaux, en circuit court et de privilégier les petits producteurs, surtout lors des courses alimentaires.En matière d'emploi, 59% des actifs déclarent anticiper un changement de leur rapport au travail et formulent de nouvelles attentes à l'égard des entreprises. En cohérence avec leurs aspirations à consommer plus local, 42% des Français considèrent que les entreprises doivent soutenir l'économie locale en privilégiant les circuits courts. Selon les Français, les collectivités locales et les entreprises sont en première ligne pour opérer ces transformations et accompagner le développement économique et durable des territoires.Au sortir de la crise, 96% des répondants estiment que les collectivités locales auront un rôle important à jouer (dont 67% un rôle primordial). Parmi les principales priorités, 62% considèrent que les collectivités devront soutenir les commerçants locaux et 41% qu'elles devront rendre les villes plus vertes et durables et engager des actions de rénovation des logements insalubres ou vétustes. Enfin, 38% estiment que la principale priorité sera de repenser la mobilité au sein de la ville.Pour ce qui est des entreprises, les attentes des Français sont également fortes : 91% des répondants estiment qu'elles auront un rôle majeur à jouer dans le contexte post-crise (dont 49% un rôle primordial). En matière de priorisation, 46% citent en premier lieu la relocalisation de certaines activités, 43% la préservation de l'emploi des salariés et 40% une meilleure prise en compte de leur bien-être. Dans une moindre mesure, ils sont 33% à relever l'importance de faire évoluer leurs pratiques actuelles de fonctionnement (modes de communication, télétravail…) et 28% à souhaiter qu'elles réduisent leur impact environnemental. Si les Français s'accordent sur le rôle que les entreprises ont à jouer pour construire le monde de demain, ils affichent cependant un certain scepticisme quant à leur capacité à opérer de véritables changements afin d'accompagner les transformations en cours. En effet, pour 34% d'entre eux, l'organisation des entreprises au sortir de la crise demeurera inchangée.« La crise de nous traversons crée une rupture profonde dans nos modes de vie et de consommation. Les Français nourrissent des attentes fortes quant au monde de demain qui convergent vers une nécessité de réinvestir et reconsidérer les territoires de proximité, qui constituent leurs lieux de vie et de travail. Les collectivités locales et les entreprises sont en première ligne pour accompagner ces transformations et adopter des pratiques qui soient plus durables, résilientes et qui encouragent le développement économique des territoires. Pour autant, les Français affichent un certain scepticisme quant à leur capacité à véritablement les mettre en œuvre.Parce que les entreprises et les collectivités qui sortiront renforcées de cette crise seront celles qui auront su créer les conditions de la confiance avec les citoyens en répondant à leurs attentes, ENGIE Solutions s'investit de cette responsabilité de les accompagner dans cette transition majeure en développant des dispositifs qui répondent à leurs nouveaux impératifs en matière de transition énergétique, de verdissement des énergies et de réinvention des lieux de vie et de travail ».- Pour Wilfrid Petrie, Directeur Général Adjoint d'ENGIE en charge d'ENGIE Solutions
Il y a 4 ans et 308 jours

GSO Capital Partners acquiert KP1

Créée en 1959 à Avignon, la société KP1 compte aujourd'hui 39 sites en France dont 21 usines de production et emploie plus de 1700 personnes. Depuis sa création, KP1 a été un pionnier dans la mise à disposition de solutions intelligentes dans le domaine du béton précontraint, pour tous types de constructions (maisons individuelles, logements collectifs et bâtiments non résidentiels).Paulo Eapen, Directeur Général de GSO Europe explique : « Nous connaissons très bien l'activité de KP1 en tant qu'investisseur impliqué depuis notre collaboration initiale en 2014. KP1 est une entreprise robuste et de grande qualité, qui a démontré sa capacité à générer de la croissance au fil des cycles économiques, y compris dans le contexte actuel. Avec son équipe de direction, nous prévoyons de capitaliser sur la stratégie récemment développée en estimant que le Groupe est bien positionné pour offrir une rentabilité à toutes les parties concernées ».Bruno Roqueplo, Président de KP1 témoigne : « L'équipe de GSO n'a cessé de nous impressionner par leur compréhension de notre activité et leur soutien constant au fil des années. Leur investissement récent ces derniers mois a permis de garantir le maintien de notre stabilité financière et de nos emplois. Outre le bénéfice d'avoir un nouvel actionnariat disposant de moyens considérables et d'une vraie connaissance du secteur, cette opération nous permet de renforcer notre structure de bilan de façon significative et nous permet de financer notre plan de développement à long terme. Nous pouvons ainsi préparer la phase suivante de l'histoire de notre Groupe ».
Il y a 4 ans et 309 jours

Emmanuel de Tinguy nouveau Directeur Général de Citae

Après avoir passé une grande partie de sa carrière dans de très grands groupes internationaux, Emmanuel de Tinguy devient le nouveau Directeur Général de Citae, avec pour objectif de doubler le chiffre d’affaires de l’entreprise d’ici 5 ans.
Il y a 4 ans et 309 jours

KP1 change de mains

Durant l’automne 2019, KP1 a inauguré sa nouvelle unité de production de Prémurs à Vernouillet, dans l’Eure-et-Loir (28). [©ACPresse] GSO Capital Partners vient d’annoncer le rachat de l’industriel du béton KP1. Ceci, à travers des fonds qu’elle gère. Cette acquisition est faite auprès de DH Private Equity Partners. Et reste soumise à l’approbation de la commission anti-trust de l’Union européenne. L’opération devrait être finalisée dans les semaines qui viennent. GSO Capital Partners est la plate-forme d’investissement en crédit de Blackstone. Elle dispose d’environ 129 Md$ (114 Md€) d’actifs… GSO Capital Partners est l’un des principaux fonds de gestion alternatifs dans le monde et se concentre sur le marché de financement à effet de levier. « Nous connaissons très bien l’activité de KP1 en tant qu’investisseur impliqué depuis notre collaboration initiale en 2014, explique Paulo Eapen, directeur général de GSO Capital Partners Europe. KP1 est une entreprise robuste et de grande qualité, qui a démontré sa capacité à générer de la croissance au fil des cycles économiques. » De nouveaux moyens pour KP1 Créé en 1959 à Avignon (84), KP1 compte aujourd’hui 39 sites en France. Parmi ceux-ci, 21 usines de production. L’industriel du béton se focalise sur le domaine du béton précontraint, pour tous types de constructions. Il emploie plus de 1 700 personnes. « L’équipe de GSO Capital Partners n’a cessé de nous impressionner. Par sa compréhension de notre activité. Par son soutien constant au fil des années témoigne Bruno Roqueplo, président de KP1. Cette intégration nous permet de bénéficier d’un nouvel actionnariat disposant de moyens considérables. Mais aussi d’une vraie connaissance du secteur. En même temps, elle nous permet de renforcer notre structure de bilan de façon significative. Et de financer notre plan de développement à long terme. Nous pouvons ainsi préparer la phase suivante de l’histoire de notre groupe. »
Il y a 4 ans et 310 jours

Nouveau directeur général pour le pôle Energies & Services de Bouygues

CARNET-NOMINATION. Le successeur d'Olivier-Marie Racine dirige le pôle de Bouygues construction regroupant Bouygues Energies & Services, Kraftanlagen, Bouygues Energies & services InTec et l'ensemble de leurs filiales à compter de ce 1er juillet 2020.
Il y a 4 ans et 311 jours

Un nouveau directeur général adjoint chargé du tertiaire chez Linkcity IDF

Linkcity Île-de-France a annoncé ce lundi 29 juin, la nomination d'un nouveau directeur général adjoint en charge de l'immobilier d'entreprise.
Il y a 4 ans et 311 jours

GBH (distribution) et NGE (BTP) obtiennent des prêts garantis par l'État

Ces deux prêts sont garantis à hauteur de 80% par l'État et correspondent au volet de mesures annoncées par le gouvernement pour soutenir les entreprises frappées par la crise du coronavirus.Les six prêts accordés à GBH et qui atteignent un total de 115 millions concernent ses six sociétés, Automobiles Réunion SN, Cotrans Automobile SAS, Cama, Société guadeloupéenne de distribution moderne, Martinique Automobiles SN et Guyane Automobile SAS.Face au confinement et à l'arrêt brutal de l'économie, le gouvernement a annoncé le 23 mars la mise en place de prêts garantis par l'État (PGE) aux entreprises, pour un montant total pouvant atteindre 300 milliards d'euros.Ces prêts sont garantis à 90% pour la plupart des entreprises et à 70% ou 80% pour les grands groupes.Début juin, le directeur général de la banque publique d'investissement (Bpifrance) Nicolas Dufourcq indiquait que près de 500.000 entreprises avaient déjà bénéficié d'un PGE pour un total de 85 milliards d'euros.
Il y a 4 ans et 315 jours

"L'activité construction au niveau mondial reste dynamique" Orso Vesperini (NGE)

INTERVIEW. Malgré la crise sanitaire, le groupe NGE commence à travailler sur trois nouveaux projets à l'international. L'épidémie de covid-19 a des conséquences sur ses activités hors de France, mais elles devraient plutôt bien résister sur l'année. Et le groupe compte même accélérer son développement, comme l'explique Orso Vesperini, directeur général délégué International et Grands Projets à Batiactu.
Il y a 4 ans et 316 jours

Deltamod a livré 5.000 m² de bâtiments modulaires reconditionnés à Clichy (92)

C'est le long de la Seine, aux portes de Paris, Quai de Clichy (92) que se situe une réalisation unique en France : 5.000 m² de logements à 100% en bâtiment modulaire reconditionné dédiés à l'hébergement d'urgence.Cet ouvrage charté « économie circulaire » est l'œuvre de la société Deltamod, spécialiste du modulaire de réemploi depuis 2013. Ce projet public, porté par son maitre d'ouvrage ALTERALIA - Association dédiée à l'accompagnement et l'insertion par le logement – avait pour objectif de mettre en place une structure d'accueil d'urgence respectant des contraintes économiques et de temps de mise en œuvre.Habitué à des structures traditionnelles pour ce type d'ouvrage, la proposition du bâtiment modulaire et encore plus celle du bâtiment modulaire reconditionné apparaissait comme un défi de taille pour les 2 parties et leurs commanditaires. 6 mois après son démarrage, le résultat parle de lui-même : Fonctionnel, opérant et réussi.Une réalisation unique en France12.000 m² de surface, 5.000 m² de bâtiment modulaire, 160 chambres, 400 personnes hébergées, un projet unique en France réalisé en 6 mois seulement.Ce centre d'hébergement d'urgence est destiné à l'hébergement de demandeurs d'asile et de personnes sans domicile fixe. Il offre un espace de vie collectif fonctionnel et agréable où chaque construction modulaire est dédiée à une fonction précise.Au-delà des 160 chambres, plusieurs espaces modulaires ont été aménagés pour garantir un accueil et une qualité de vie à chaque personne hébergée. Poste de sécurité, bureaux réfectoires, sanitaires et vestiaires, salles de détente, ce projet regroupe différentes typologies de bâtiments modulaires dont certains à étage en R+1.2 mois et ½ ont été nécessaires pour définir et préparer le projet. Après 1 mois d'étude pour la phase de conception, c'est 1 mois et ½ qui ont été consacré au terrassement et réseaux des 12.000 m² de terrain.Au niveau des bâtiments, ce sont plus de 300 modules préfabriqués qui ont été nécessaires pour réaliser les 5.000 m² de logements. Une action rendue possible par le stock de plus de 10.000 m² disponible en permanence au siège de la société Deltamod (44) et son partenariat avec un des leaders de la construction modulaire en France, l'entreprise Cougnaud (85), fournisseur des infrastructures complémentaires.Une fois la matière première disponible, les bâtiments préfabriqués ont été reconditionnés en usine avant d'être transférés directement sur site. Une rénovation totale des anciennes structures pour les remettre à neuf. Isolation, sols, plafonds, électricité, plomberie, sanitaires, décoration intérieure, équipements extérieurs, tout a été repensé pour redonner vie à ces bâtiments. Un travail de 3 mois et ½ de reconditionnement et d'installation qui au-delà de leur nouvelle vocation dédiée à l'hébergement, aura évité la destruction de ces bâtiments et par conséquent la génération de nouveaux déchets.Le bâtiment modulaire de réemploi au service de l'économie circulaireC'est aussi le cœur de ce projet de centre d'hébergement. Contrairement à des structures traditionnelles, le fait d'opter pour une solution de réemploi permet de générer des avantages tels que :EnvironnementalRedonner vie à d'anciens bâtiments permet d'éviter la destruction et la génération de plusieurs tonnes de déchets.SocialDémonter, transférer, installer, reconditionner permet de maintenir l'emploi et créer du lien social.RéglementaireContribuer au prolongement de la durée de vie des modules participe à limiter la consommation et les gaspillages de ressources (matières premières, eau, énergie) conformément au projet de loi anti-gaspillage des Régions.ÉconomiqueConstruire en bâtiment modulaire offre la possibilité de déplacer les structures sur un autre site et de les reconditionner en fonction du futur usage (écoles, bureaux, stockage, vestiaires, …).Un GRAND projet qui fera des petitsSi cet ouvrage est une première pour les acteurs, une première en France, il doit ouvrir de nouvelles perspectives à la société Deltamod et toutes les sociétés et associations en charge de créer des solutions rapides de logement ou d'hébergement.Rapidité, souplesse, économie, environnement, tous les facteurs sont réunis pour donner naissance à d'autres réalisations de ce type.L'association Alteralia, par la voix de son président Olivier DUBAUT, réfléchit déjà à d'autres projets en tirant l'expérience de celui de Clichy. Ensuite, c'est le savoir-faire de la société Deltamod qui fera le reste en accompagnant ses futurs clients au niveau du reconditionnement mais surtout au niveau des services de transfert et recyclage du bâtiment modulaire, une prestation professionnelle et complète pour répondre aux enjeux de nouvelles réponses en termes de logement et d'hébergement du XXIème siècle.3 questions à : Olivier DUBAUT Président ALTERALIAQuel est la mission d'Alteralia ?Alteralia est une association visant à aider et accompagner l'État et les collectivités locales dans les projets d'hébergement d'urgence et de logement à destination des personnes en difficulté. Nous sommes issus de l'association ALJ93 située à Aubervilliers qui a modifié ses statuts il y a 3 ans maintenant pour répondre à des projets régionaux et nationaux. Nous travaillons notamment avec les préfectures d'Ile de France pour organiser les espaces qui vont accueillir les jeunes travailleurs, demandeurs d'asile ou encore de mineurs isolés avec les départements.Pouvez-vous nous décrire les contours et enjeux de ce projet modulaire ?Tout d'abord, ce projet de construction modulaire est double. Une première partie, mandatée par l'État, porte sur un centre d'hébergement d'urgence accueillant des demandeurs d'asile pour une capacité de 250 places. La seconde, d'une capacité de 120 places, est destinée au logement de personnes sans-domicile fixe à la demande du Conseil Régional d'Ile de France et de la Croix-Rouge Française.L'enjeu principal pour ce type de logement d'accueil est le délai de mise en fonction. Le temps passe vite et l'hiver n'attend pas pour sévir. Il est important de trouver des solutions rapides à mettre en œuvre malgré les contraintes météorologiques liées à la construction. Le choix du bâtiment modulaire s'est imposé tout naturellement.Nous avons donc travaillé en étroite collaboration pendant 4 à 5 mois avec la préfecture des Hauts de Seine et notre fournisseur Deltamod pour réaliser et réussir cette réalisation d'envergure de 5 000 m² dans les délais impartis.Pourquoi avoir choisi la société Deltamod ?Déjà, construire en bâtiment modulaire était pour nous une première. Il nous fallait trouver une entreprise réactive, agile et je suis sincèrement admiratif du travail de cette PME.Ensuite, c'est l'approche unique de Deltamod qui nous a séduits en nous proposant des bâtiments modulaires de réemploi. Les bâtiments sont des préfabriqués d'occasion qui sont complètement reconditionnés sur site ou en usine pour leur donner une nouvelle vie. De plus, ces structures sont démontables et réutilisables dans le futur pour nos nouveaux projets.C'est pour nous une solution innovante, moins chère et plus rapide qui ouvre la voie à de nouveaux dossiers d'hébergement d'urgence.3 questions à : Pierre VISONNEAU Co-dirigeant société DELTAMODPourquoi avoir accepté ce projet d'envergure ?Je ne sais pas si je peux qualifier ce projet d'envergure mais plutôt de défi. 12.000 m² de terrassement, 5.000 m² de bâtiment modulaire à transférer, reconditionner et installer en 6 mois, l'enjeu était de taille pour tous les salariés de l'entreprise. Maintenant, une bataille ne se mène pas seul. Nous avons pu compter sur le soutien d'Alteralia par l'intermédiaire de Mr Olivier DUBAUT, Président, de Mr Christophe AUGER, Directeur général, pour toute la gestion de projet, sans oublier la société Cougnaud pour le complément des bâtiments modulaires. C'est un travail d'équipe et une collaboration permanente qui nous ont permis de proposer des logements de qualité dans les délais impartis.C'est aussi ce type de projet qui fait grandir les équipes et une entreprise car nous devons tous nous mobiliser en même temps et avec la même énergie pour répondre à l'exigence de ces chantiers. C'est pour cela que j'adresse toutes mes félicitations à toutes les personnes (collaborateurs, sous-traitants, partenaires, …) qui ont œuvré pour donner vie à cette infrastructure de logement social d'urgence.Comment avez-vous convaincu la société Alteralia d'opter pour le modulaire reconditionné ?Il est vrai que notre proposition était loin d'être gagnante sachant qu'Alteralia n'avait jamais réalisé d'ouvrage en bâtiment modulaire.Le choix de notre entreprise repose sur notre approche unique et innovante en lien avec l'économie circulaire. Si la construction modulaire permet une mise en œuvre rapide et économique demandées sur ce type de projet, notre offre de bâtiment modulaire de réemploi apporte cette différenciation environnementale. Nous militons depuis notre création sur la réduction des déchets en prônant la réutilisation des anciens préfabriqués. Ainsi, nous redonnons vie à d'anciens bâtiments en les reconditionnant directement sur site en fonction de la demande de notre client. Enfin, nous associons un service de transfert et de recyclage du modulaire qui permettra à notre client de déplacer et reconditionner ses bâtiments préfabriqués pour un autre usage dans un autre lieu.Les dirigeants d'Alteralia ont été particulièrement sensible à notre approche environnementale mais également à nos équipes et nos partenaires lors de leur visite de nos locaux avec les représentants de l'État.Avez-vous d'autres projets de ce type pour Deltamod ?Cette réalisation est unique en France. C'est une première pour tous les acteurs et nous devons prendre un peu de recul pour analyser tous les facteurs.Cependant, le maître d'ouvrage Alteralia est très satisfait du résultat et envisage de renouveler l'expérience sur d'autres projets similaires. Ensuite, mes prestataires et mes équipes ont eux aussi été à la hauteur du défi qui nous attendait. Je serais donc tenté de vous répondre « OUI » sans hésitation même si la durée et la taille de ce projet se doivent d'être réfléchies et mesurées dans une organisation.Enfin, il faut convaincre les autres organisations de changer leurs habitudes en matière de construction et je pense sincèrement que le centre d'hébergement de Clichy (92) sera une référence dans la construction modulaire et notamment dans celui du bâtiment modulaire de réemploi en France.Deltamod en quelques lignesCrée en 2013, la société Deltamod développe son business model autour d'une démarche écoresponsable volontariste. Acteur de l'économie circulaire, elle décide de reconditionner les anciens bâtiments modulaires pour leur donner une seconde vie. Basée à Nort-sur-Erdre (Pays de Loire), l'entreprise compte aujourd'hui 28 salariés experts pour devenir le spécialiste du modulaire de réemploi autour de 3 métiers principaux :La vente de constructions modulaires reconditionnées et d'occasionLa prestation de services tels que le transfert modulaire et la mise en serviceLe rachat, reconditionnement et recyclage de bâtiments modulaires.A ce jour, cette nouvelle approche a sauvé plus de 25.000 m² de bâtiment modulaire de la destruction. Un petit geste qui s'ajoute à toutes les actions en faveur de l'économie circulaire et de notre environnement.
Il y a 4 ans et 316 jours

Aménagement d'un hôpital de campagne dédié au coronavirus sur le parc d'exposition d'Hanovre

Cet hôpital de campagne est conçu pour accueillir 500 patientes et patients ne nécessitant pas de soins médicaux intensifs. Plus de 80 médecins et une centaine de membres du personnel médical seront en mesure de soigner ces patients. L'exploitation de ce centre de soins sera prise en charge par l'École Supérieure de Médecine de Hanovre. Il devra être mis en service dès lors que tous les hôpitaux régionaux auront atteint leur capacité maximale. La transformation de halls d'un parc d'exposition en un hôpital de campagne nécessite de nombreuses installations techniques.Un équipement à la pointe C'est une équipe SPIE de Hanovre qui réalise l'installation des infrastructures de cet hôpital de campagne. Une telle opération présente un niveau d'exigences élevé, particulièrement en ce qui concerne l'équipement technique et la logistique qui l'entourent. « Le plus grand défi dans cette opération, c'est de transformer un hall de parc d'exposition vide en un centre médical de pointe - à commencer par l'installation et la mise en réseau du système de télécommunication », déclare Wolfram Ermlich, chef de projet au sein de la division Information & Communication Services de SPIE. À côté du hall destiné au traitement des patientes et des patients, il a fallu transformer d'autres halls - par exemple, pour la gestion des lits, pour les vestiaires du personnel, pour la cafétéria, pour la zone logistique et de stockage et pour le stationnement des véhicules.« En coopération avec Deutsche Telekom, nous avons installé dans la zone de soins aux patients environ 250 téléphones et 16 antennes DECT, et posé 15 kilomètres de câblages en cuivre ainsi qu'un kilomètre de câbles pour la fibre optique. De plus, ce sont cinq réseaux WLAN individuels qui sont à la disposition de cet hôpital de campagne », indique le chef de projet. De cette façon, une communication rapide, sûre et sans interruption peut être garantie à l'intérieur du centre de soins.En ce qui concerne l'installation électrique, d'innombrables prises et connexions ont été prévues pour alimenter les espaces individuels et collectifs, ainsi que les services administratifs situés dans les salles annexes et les halls adjacents.Un excellent partenariat Une bonne collaboration entre les différents responsables de l'opération - l'École Supérieure de Médecine de Hanovre en sa qualité d'exploitant, la Deutsche Messe AG en tant que maître d'ouvrage des halls ainsi que le Technische Hilfswerk en tant que directeur technique général du projet - a contribué à sa réussite.« Le client se félicite de la bonne coopération entre toutes les parties prenantes et se montre très satisfait de la façon dont une opération aussi exigeante a été jusqu'à présent menée à bien. », commente Wolfram Ermlich.
Il y a 4 ans et 318 jours

Le salon Équipbaie-Métalexpo reporté à 2021

La récente épidémie de COVID-19 et ses conséquences sur l'activité économique à la fois des fabricants, des installateurs menuisiers et des métalliers ont incité les organisateurs du salon ÉQUIPBAIE-MÉTALEXPO à reporter l'édition 2020, initialement prévue du 17 au 20 novembre.Malgré les signes encourageants de recul de la pandémie en France, les organisateurs, après discussion avec les exposants inscrits au salon et les organisations partenaires, ont conclu que la combinaison d'une situation sanitaire incertaine et de la récession économique actuelle n'étaient pas propices à la tenue du salon ÉQUIPBAIE-MÉTALEXPO en novembre prochain. En effet, les industriels vont consacrer le reste de l'année 2020 à remettre leur production en ordre de marche, et les entrepreneurs de bâtiment à remplir leurs carnets de commande pour assurer la continuité de leur activité.Afin d'assurer son rôle d'animateur de sa filière, le salon ÉQUIPBAIE-MÉTALEXPO va cependant continuer à déployer des initiatives, comme la publication de l'étude sur la digitalisation des installateurs (ici), et accompagner les entreprises du secteur en attendant la tenue du prochain ÉQUIPBAIE-MÉTALEXPO. Notamment au travers de nouveaux services digitaux sur lesquels les équipes d'organisation et les partenaires du Pôle Fenêtre sont d'ores et déjà mobilisés.« La décision a été difficile à prendre, mais ÉQUIPBAIE-MÉTALEXPO est le rendez-vous de la filière, et maintenir l'édition 2020 aurait été trop contraignant pour les industriels et les entreprises de bâtiment. »- Guillaume Loizeaud, directeur du salonLes dates définitives de la prochaine édition d'ÉQUIPBAIE-MÉTALEXPO 2021 seront définitivement arrêtées et communiquées en juillet.« Face aux incertitudes sanitaires et économiques, le report du salon ÉQUIPBAIE-MÉTALEXPO est une décision qui s'impose. La fraternité et la convivialité sont au cœur de nos salons et plus généralement des valeurs fortes du bâtiment. Nous sommes impatients de vous accueillir en 2021. »- Franck Perraud, Président de la FFB Métallerie« C'est une sage décision que vient de prendre Reed Expositions France de reporter à 2021 le salon ÉQUIPBAIE-MÉTALEXPO. Réussir un salon est un travail de longue haleine, le maintenir en 2020 aurait fait prendre un risque important à ce rassemblement. La profession a besoin d'un salon national fort, ce sera ÉQUIPBAIE-MÉTALEXPO 2021. »- Bruno Cadudal, Président de l'UFME« 2020 était l'année d'un nouveau positionnement prometteur pour ÉQUIPBAIE-MÉTALEXPO, « le rendez-vous des pros », objet de beaucoup de travail en commun entre Reed Expositions France et le Pôle Fenêtre FFB. Son report est donc très frustrant, mais c'est une décision qui s'impose. Notre détermination à réussir et notre envie de surprendre restent intacts. Rendez-vous en 2021. »- Bruno Léger, Président du SNFA
Il y a 4 ans et 318 jours

"Des espaces de travail de proximité sur chaque îlot d'Euromed 2" (H.Parant)

ENTRETIEN. Hugues Parant, directeur général d'Euroméditerranée, détaille pour Batiactu comment l'établissement public d'aménagement peut participer à la relance du secteur, notamment sur l'extension de l'OIN, où les promoteurs sont priés de prévoir des espaces de vie collective en pieds d'immeubles.
Il y a 4 ans et 318 jours

Husqvarna Construction Products France : une nouvelle stratégie ambitieuse pour devenir le partenaire privilégié des sociétés spécialisées dans le béton

Husqvarna Construction Products France, une histoire en béton Né il y a 330 ans en Suède, le groupe mondial Husqvarna se compose de 3 divisions : • Husqvarna, leader des produits d’extérieurs motorisés (tronçonneuses, robots tondeuses, …), • Gardena, spécialiste des solutions d’arrosage, • Husqvarna Construction Products, acteur incontournable de machines et d’outils diamantés pour l’industrie du béton. Présent dans le monde au travers de 9 usines et 4 centres de Recherche & Développement (Suède, Belgique, Bulgarie, Chine, Etats-Unis, …), le groupe a pour moteur l’innovation. Avec un chiffre d’affaires de 4 milliards d’euros en 2019, il compte 13 000 collaborateurs. La division Husqvarna Construction Products emploie quant à elle 2000 personnes et a réalisé en 2019 un chiffre d’affaires de 573 millions d’euros. Riche de cette histoire industrielle familiale ancestrale, Husqvarna Construction Products France fait vivre la marque sur le territoire national auprès de ses clients (distributeurs, loueurs, scieurs, foreurs, démolisseurs, grands groupes et entreprises générales du BTP). Elle leur propose une gamme complète de machines et d’outils diamantés de très grande qualité pour la préparation, la pose, la mise en place, la coupe, le forage, le polissage et la démolition du béton, à l’horizontale comme à la verticale. Dirigée par Olivier Touzé, Husqvarna Construction Products France compte deux sites en France, basés à Bezons (95) et Blois (41), 65 collaborateurs et a réalisé en 2019 un chiffre d’affaires de 33 millions d’euros (+ 17 %). Représentant 32% du marché français des ventes de scies murales, 41% des découpeuses et 34% des ponceuses de sol grand diamètre avec ses marques Husqvarna et HTC, l’entreprise est devenue leader sur son marché. S’inscrivant dans la stratégie disruptive de développement du groupe, et malgré le contexte actuel, Husqvarna Construction Products France s’est fixé de nouveaux objectifs, à atteindre d’ici 2025, orientés sur l’expérience client. Husqvarna, l’expérience béton 360° « Pour devenir le partenaire privilégié des clients les plus exigeants, Husqvarna Construction Products France souhaite passer d’une offre produits à une offre globale intégrant toutes les gammes et les services dont ils ont besoin » explique Olivier Touzé, Directeur Général. Outre renforcer son efficacité dans la vente d’outils diamantés, Husqvarna Construction Products France a défini des leviers de croissance clés, parmi lesquels : • séduire ses clients foreurs, scieurs et démolisseurs et en fidéliser de nouveaux grâce à sa nouvelle gamme de foreuse (DM 400), ses solutions d’aspiration performantes conformes aux nouvelles obligations européennes liées à la silice cristalline ; • continuer à accompagner les grands distributeurs et loueurs historiques français en leur proposant des produits solides, ergonomiques et durables ; • développer un réseau de 15 à 20 partenaires distributeurs réparateurs agréés d’ici fin 2020 qui bénéficieront d’un programme de formation technique pour pouvoir maintenir et dépanner toutes les machines Husqvarna Construction en quelques jours, sur l’ensemble de la France ; • travailler avec les majors du BTP. L’ensemble de ces objectifs s’accompagne de services associés tels que : • les solutions complètes de financement (crédit-bail, location) ; • le développement de l’offre TotalCare comprenant le financement, la maintenance, la réparation et le Fleet Management (solution de gestion du parc machines grâce à l’internet de l‘objet) ; • et toujours, l’accompagnement technique des clients pour résoudre leurs problématiques béton. « Avec d’ores et déjà deux centres services Husqvarna à Bezons et Blois, puis l’installation des ateliers des partenaires agréés sur l’ensemble du territoire français, le service après-vente doit devenir ainsi notre avantage concurrentiel », conclut Olivier Touzé. Répondant aux problématiques rencontrées par les professionnels, la volonté d’Husqvarna Construction Products France d’améliorer l’expérience client se traduit par une nouvelle signature de marque « Husqvarna, l’expérience béton 360° » déclinée dans une campagne de communication. http://www.husqvarnacp.com/fr
Il y a 4 ans et 319 jours

Olivier Sassi quitte l'EPA Nice Ecovallée

CARNET. Le directeur général de l'Etablissement public d'aménagement Nice Ecovallée a quitté ses fonctions le 15 juin. C'est la directrice générale adjointe de l'EPA, Sarah Bellier, qui assure l'intérim.
Il y a 4 ans et 323 jours

Martel Groupe : Le choix pertinent du BPE

La centrale à béton SEBM de Genas (69) est la première à avoir été mise en place, dès 2013. [©Martel Groupe] Retrouvez l’article dans Béton[s] le Magazine n° 89. « La carrière, c’était un peu un rêve de gosse… » Ce rêve, Fabrice Martel, directeur général du groupe lyonnais éponyme, l’a réalisé en 2013, un peu par hasard. « Pour répondre à des besoins internes, nous avions commencé à monter une centrale à béton. Au même moment, nous avons eu l’opportunité d’acquérir une carrière, à proximité. » En fait de carrière, il s’agissait d’une autorisation d’exploitation en bonne et due forme, sur la commune de Saint-Bonnet-de-Mure, à deux pas de l’aéroport de Lyon – Saint-Exupéry !  Fabrice Martel, directeur général du groupe éponyme : « Nous sommes là pour résoudre les problèmes de nos clients ». [©Martel Groupe] Ce changement de périmètre a imposé de revoir la stratégie “BPE” du groupe. « Avoir des granulats à disposition pour alimenter notre centrale changeait la donne », confirme Fabrice Martel. Aussi, de centrale pour l’interne, l’unité de production en construction a été transformée en centrale de réseau. Elle devenait apte à répondre aux besoins du groupe en bétons spéciaux, comme aux attentes d’entreprises de BTP locales. « Nous avions confié à l’industriel Stimm la réalisation de cette centrale à béton. » Une unité bâtie autour d’un malaxeur Teka. Pour Stimm, ce chantier s’est vite avéré d’importance, puisque l’industriel a décroché, en parallèle, celui de l’équipement de la carrière. Sans compter l’augmentation de capacité de la centrale à béton.  « Les chauffeurs sont nos premiers commerciaux. »  SEBM possède aujourd’hui 22 toupies, Putzmeister sur porteurs Mercedes Benz pour l’essentiel. [©Martel Groupe] Sept ans plus tard, le BPE génère 24 % du chiffre d’affaires de Martel Groupe, qui a atteint Cet article est réservé aux abonnés des revues Béton[s] le Magazine et Bâti & Isolation. Déjà abonné Mon email Mon mot de passe Oublié ? En plus de votre magazine, profitez d’un accès illimité à l’ensemble des contenus et services du site www.acpresse.fr : Lecture de l’intégralité des dossiers thématiques, reportages chantiers, fondamentaux, histoire de la construction… Consultation des indicateurs économiques (chiffres et analyses) + vos newsletters pour suivre l’info en continu Je m'abonne
Il y a 4 ans et 323 jours

HGCT et Bétonic développent une chape fluide bas carbone

Didier Airieau, Julien Blanchard et Hervé Charpentier lors de la signature de l’accord entre HGCT et Bétonic. [©HGCT] Début juin, Hoffman Green Cement Technologies (HGCT) a signé un partenariat avec Bétonic pour de futurs développements de produits. Filiale du groupe Charpentier, Bétonic est un producteur de béton, qui vient de fêter ses 25 ans. Et qui dispose de deux centrales de production en Vendée. Signé entre Julien Blanchard, président du directoire d’HGCT, Hervé Charpentier, président du groupe éponyme, et Didier Airieau, directeur général du groupe Charpentier, ce partenariat scelle une collaboration déjà engagée, autour des chapes fluides bas carbone. « Cette signature concrétise nos années de soutien technique à HGCT sur le développement des produits “chapes fluides”. Cet accord confirme une entente entre nos deux entreprises pour finaliser le développement de ce produit et le commercialiser au plus vite », commentent Hervé Charpentier et Didier Airieau. L’objectif est de combiner les savoir-faire d’HGCT en matière de ciment bas carbone et ceux de Bétonic en matière de chapes fluides. Ceci, afin de commercialiser une chape fluide bas carbone d’ici quelques mois. C’est HGCT qui devrait être porteur du projet et, a priori, détenteur de l’Avis technique qui sera rattachée au produit.  
Il y a 4 ans et 325 jours

Un nouveau directeur général délégué pour Idex

CARNET-NOMINATION. Le groupe Idex spécialisé dans la transition énergétique annonce la nomination d'un directeur général délégué.
Il y a 4 ans et 330 jours

"L’ANCT doit être et sera aux avant-postes de la relance", selon sa présidente Caroline Cayeux

Auditionnés par la délégation aux collectivités territoriales de l’Assemblée nationale jeudi 11 juin 2020, Caroline Cayeux, présidente de l’Agence nationale de la cohésion des territoires, et Yves Le Breton, son directeur général, ont présenté leur feuille de route et la contribution de l’ANCT au plan de relance gouvernemental. Celui-ci pourra s’appuyer sur les dispositifs portés par l’agence, comme les contrats de plan État-région, Action cœur de ville, Territoires d’industrie ou encore Petites Villes de demain qui doit être lancé dans les prochaines semaines, a indiqué Caroline Cayeux.
Il y a 4 ans et 332 jours

Le directeur général de Guy Hoquet devient président

NOMINATION. Stéphane Fritz, qui était jusque là directeur général, a été nommé président du réseau d'agences immobilières Guy Hoquet. Il aura notamment pour tâche de développer l'offre "multi-services" de la société.
Il y a 4 ans et 332 jours

«Décalage des horaires, redimensionnement des bases-vie, télétravail... Ces aménagements vont perdurer!»

Patrice Chauvin et Franck Pettex, respectivement directeur du développement Prévention et CSPS et directeur général de la BU construction du groupe Socotec expliquent au Moniteur, les impacts que le Covid-19 a eus sur l’ampleur de leur mission et la gestion de la santé et de la sécurité sur les chantiers.
Il y a 4 ans et 332 jours

Covid-19 : retour à la normale pour la production de tuiles et briques

Dans un Communiqué de presse daté du 4 mai 2020, la FFTB indiquait que la production repartait progressivement depuis le 2 avril. Ainsi les fabricants ont toujours été en mesure de livrer les négoces qui redémarraient progressivement grâce aux stocks constitués avant le confinement puis grâce au redémarrage des usines.La reprise de la production a été accompagnée par un Guide de Bonnes pratiques élaboré conjointement avec les organisations syndicales représentatives, co-signé par la CFDT et validé dès le 26 avril 2020 par le Directeur Général du Travail au Ministère du Travail.
Il y a 4 ans et 333 jours

Le coût des énergies renouvelables s'avère de plus en plus compétitif face au charbon

Selon un nouveau rapport de l'Agence internationale de l'énergie renouvelable (IRENA), publié aujourd'hui, les énergies renouvelables sont de moins en moins chères par rapport toute autre source de nouvelle électricité à base de combustibles fossiles. Le rapport Coût de la production d'énergie renouvelable en 2019 montre que plus de la moitié de la capacité renouvelable ajoutée en 2019 permettait de réduire les coûts de l'électricité par rapport à ceux des nouvelles centrales au charbon les moins chères.Le rapport souligne que les nouveaux projets de production d'énergie à partir de sources renouvelables sont aujourd'hui de moins en moins chers par rapport aux centrales à charbon existantes. En moyenne, il est moins cher de mettre en service de nouvelles installations d'énergie solaire photovoltaïque et éolienne que de maintenir de nombreuses centrales au charbon en exploitation. Les résultats des enchères montrent que cette tendance s'accélère et viennent confirmer le besoin de mettre définitivement fin à la filière charbon. Le rapport montre que l'année prochaine, il pourrait être plus coûteux d'exploiter 1 200 gigawatts (GW) de capacité existante dans des centrales à charbon que de mettre en service de nouvelles installations solaires photovoltaïques à l'échelle industrielle.Le remplacement des 500 GW les moins chers de la filière charbon par du solaire photovoltaïque et de l'éolien terrestre pourrait réduire sur l'année prochaine les coûts du système électrique de 23 milliards de dollars par an, et les émissions annuelles de dioxyde de carbone d'environ 1,8 Gt, soit l'équivalent de 5% du total des rejets mondiaux de CO2 en 2019. Cela représenterait également un stimulus de 940 milliards de dollars, à savoir environ 1% du PIB mondial.« Nous avons atteint un tournant important dans la transition énergétique. Tant sur le plan environnemental qu'économique, les arguments en faveur de l'installation de nouvelles centrales à charbon ou du maintien de celles qui existent sont injustifiables », a déclaré Francesco La Camera, directeur général de l'IRENA. « De plus en plus, les énergies renouvelables sont la source de nouvelle électricité la moins chère. Leur potentiel pour stimuler l'économie mondiale et créer des emplois est considérable. Les investissements dans les énergies renouvelables sont stables, rentables et attractifs ; ils offrent des rendements constants et prévisibles, et l'économie tout entière profite de leurs bénéfices. »« La stratégie mondiale de relance doit être une stratégie verte », a ajouté La Camera. « Les énergies renouvelables constituent un moyen d'aligner les initiatives politiques à court terme sur les objectifs à moyen et long terme en matière d'énergie et de climat. Les efforts déployés par les nations pour relancer les économies après la crise du COVID-19 doivent reposer sur les énergies renouvelables. Par la mise en œuvre de politiques appropriées, la chute des coûts de la production d'électricité à base d'énergies renouvelables peut transformer les marchés et contribuer dans une large mesure à une relance verte. »Au cours des dix dernières années, l'amélioration des technologies, les économies d'échelle, la compétitivité des chaînes d'approvisionnement et l'expérience croissante des développeurs ont entraîné une forte baisse du coût de l'électricité provenant de sources renouvelables. Depuis 2010, la plus forte baisse des coûts a été enregistrée par l'électricité solaire photovoltaïque à l'échelle industrielle, avec 82%. Venaient ensuite l'énergie solaire à concentration (CSP), avec 47%, l'éolien terrestre, avec 39%, et l'éolien offshore, avec 29%.Le coût des technologies solaire et éolienne a également poursuivi sa diminution d'année en année. Le coût de l'électricité de source solaire photovoltaïque à l'échelle industrielle a baissé de 13% en 2019, atteignant une moyenne mondiale de 6,8 cents (0,068 USD) par kilowattheure (kWh). L'éolien terrestre et l'éolien offshore ont tous deux diminué d'environ 9%, pour atteindre respectivement 0,053 et 0,115 USD/kWh.Les enchères et contrats d'achat d'électricité (CAE) les plus récents montrent que la tendance à la baisse se poursuit pour les nouveaux projets mis en service en 2020 et au-delà. Les prix de l'électricité de source solaire photovoltaïque basés sur un approvisionnement compétitif pourraient en moyenne s'établir à 0,039 USD/kWh pour les projets mis en service en 2021, ce qui représente une diminution de 42% par rapport à 2019. Cette valeur est par ailleurs inférieure de plus d'un cinquième à celle de l'électricité issue de combustible fossile la moins chère, qui est celle produite par les centrales à charbon. Les chiffres record atteints par les enchères d'électricité de source solaire photovoltaïque à Abou Dhabi et Dubaï (EAU), au Chili, en Éthiopie, au Mexique, au Pérou et en Arabie saoudite confirment que des valeurs de seulement 0,03 USD/kWh sont déjà possibles. Pour la première fois, le rapport annuel de l'IRENA examine également la valeur des investissements par rapport à la baisse des coûts de production. Pour la même somme d'argent investie en énergies renouvelables aujourd'hui, les nouvelles capacités produites sont supérieures à celles d'il y a dix ans. En 2019, la capacité de production d'énergie renouvelable mise en service était deux fois plus élevée qu'en 2010, mais elle avait nécessité seulement 18% d'investissements en plus. Découvrez les conclusions principales du rapportLisez le rapport complet « Coût de la production d'énergie renouvelable en 2019 »
Il y a 4 ans et 333 jours

Saint-Gobain poursuit la recherche de "partenariats" pour PAM et Lapeyre

Interrogé sur l'évolution de l'activité canalisation, M. Bazin a déclaré lors de l'assemblée générale du groupe que "la pertinence stratégique de la recherche de partenariats demeure"."Le processus est un peu en pause compte tenu de la crise du Covid au cours des derniers mois", mais le groupe le reprendra "dès que les circonstances le permettront (...) avec la volonté de garantir la pérennité de l'activité de Saint-Gobain Pont-à-Mousson dans le long terme", a-t-il ajouté.M. Bazin a précisé que la crise avait pesé "fortement (sur) la rentabilité à court terme", avec notamment la fermeture pendant six semaines du haut-fourneau principal de Pont-à-Mousson.Mais il a souligné que le travail de redressement de l'activité canalisation en cours depuis 2017 "porte ses fruits", avec une réduction des coûts, des investissements de productivité et une réduction des surcapacités en Europe.Concernant les magasins Lapeyre (aménagement de la maison), le directeur général délégué a également dit que "le projet de recherche de partenariats reste toujours valide au plan stratégique" et que "les démarches pourraient reprendre progressivement autour de l'été"."Les efforts stratégiques d'amélioration progressent bien", a affirmé M. Bazin, en citant la logistique, la refonte de la gamme et l'informatique.De son côté, le PDG de Saint-Gobain, Pierre-André de Chalendar a souligné que les niveaux d'activité du groupe "progressent chaque semaine"."Depuis le point bas touché début avril, cette progression n'a cessé de se poursuivre avec un mois de mai qui enregistrait un niveau d'activité d'environ 80% par rapport à 2019, en jours ouvrés comparables, en nette hausse par rapport au mois d'avril qui était d'environ 60%", a détaillé M. de Chalendar, tout en précisant que les processus de reprise sont "très disparates (...) selon les pays".Le PDG a d'autre part estimé que pour les salariés du groupe en France, le chômage partiel pourrait se terminer à la fin juin, après avoir concerné plus de la moitié des effectifs durant le premier mois de confinement, de mi-mars à mi-avril, avant de diminuer régulièrement.
Il y a 4 ans et 338 jours

Mikael Stöhr, nouveau directeur général de Consolis

Mikael Stöhr a été nommé directeur général de Consolis. [©Peter Knutsson] Mikael Stöhr a été nommé directeur général de Consolis, maison-mère de Bonna Sabla. Et ce, à compter du 3e trimestre 2020. A propos de sa nouvelle mission, Mikael Stöhr a déclaré : « Consolis a développé une expertise inégalée en matière de solutions de construction préfabriquées, renforçant ainsi sa position de n° 1 en Europe et au-delà. Je suis très heureux de rejoindre et de diriger les équipes qualifiées de Consolis et ses différentes activités dans un environnement en pleine mutation, à l’issue de Covid-19. Ceci, afin que chaque activité puisse fournir des solutions de construction à haute valeur ajoutée, techniques et durables ». La carrière de Mikael Stöhr Né en 1970, Mikael Stöhr est diplômé en droit et en administration des entreprises de l’Université de Lund, en Suède. Il est actuellement Pdg de Coor Service Management, un des principaux fournisseurs de services aux entreprises et aux collectivités dans les pays nordiques. Ainsi, il possède une solide expérience internationale dans la gestion et la transformation d’entreprises dans divers secteurs. Il restera membre du conseil d’administration d’Ambea, un fournisseur de soins, leader sur le marché nordique. 
Il y a 4 ans et 338 jours

SPIE conçoit un nouveau centre de contrôle sur la Potsdamer Platz

Lancé en août 2019, le projet doit s'achever en mai 2021. TELBA GmbH, une filiale de SPIE Deutschland & Zentraleuropa, réalise les travaux portant au total sur 16 bâtiments de la Potsdamer Platz, parmi lesquels des complexes de bureaux, un centre commercial, une salle de spectacle et plusieurs cinémas, ainsi qu'un parking souterrain sous toute la superficie de la place.Une solution système fiable et durableLe contrat prévoit la connexion de tous les dispositifs techniques de sécurité, tels que les systèmes d'alarme incendie et anti-intrusion, les équipements vidéo, les issues de secours et ascenseurs déjà en place, et le système de contrôle d'accès à la totalité des 16 bâtiments de la Potsdamer Platz, à un nouveau système de vidéosurveillance et de gestion des risques basé sur WinGuard et Milestone, deux logiciels indépendants du matériel. Lorsque l'opération sera terminée, le système complet assurera l'administration et la gestion d'environ 40 000 points de données et 700 caméras vidéo.Le contrat prévoit également le renouvellement de la technologie vidéo, avec l'installation de caméras sur IP Axis (sans câble réseau), d'un système de détection vidéo intelligent et de la technologie de centre de contrôle (équipements, mur d'images, salle de crise, etc.), avec notamment un système de communication basé sur la solution UNIFY OpenScape Xpert. Jörg Marks, directeur général de TELBA GmbH, explique : « En plus de ce contrat majeur, nous sommes heureux d'avoir négocié un contrat de maintenance de dix ans pour les nouvelles installations. »De hautes compétences d'une seule et unique sourceLes clients du fournisseur de services multi-techniques bénéficient d'un large éventail de services auprès d'une seule et unique source. D'autres unités SPIE sont impliquées dans l'installation des solutions de communication et la mise en œuvre technique du système de vidéosurveillance et de gestion des risques. « Grâce aux multiples compétences de SPIE, nous étions le seul fournisseur à proposer une solution technique tout-en-un convaincante. Ce projet phare met en lumière nos capacités et illustre parfaitement la force collective des unités opérationnelles de SPIE », explique Michael Hartung, directeur de la division ICS (Information & Communication Services) et membre du comité de direction de SPIE Deutschland & Zentraleuropa. En outre, le projet marque une nouvelle étape importante dans le développement continu de l'activité des systèmes d'alarme.Respect du calendrierLes premières étapes se sont correctement déroulées : Le centre de contrôle, désormais équipé d'un nouveau mobilier et de nouveaux écrans, est d'ores et déjà opérationnel avec les systèmes existants. Dans les prochaines semaines, les nouveaux logiciels de gestion du centre de contrôle seront installés sur des serveurs virtuels et accessibles sur site ; ils seront alimentés en données d'ici fin 2020. Des tests complets ont déjà été menés avec succès. Par ailleurs, au cours des 12 prochains mois, les caméras, au nombre d'environ 700, seront installées sur toute la zone de la Potsdamer Platz et seront progressivement mises en service. Jörg Marks : « Le test final du système est prévu pour début 2021, et nous devrions livrer le projet à notre client, Brookfield Properties, en mai la même année. »Un partenariat de confiance et certifié« Aux dires mêmes de notre client, la solution technique que nous lui avons proposée avec notre partenaire Advancis a été décisive dans l'attribution de ce projet, et nous en sommes très fiers. Notre solution apporte une valeur ajoutée nettement supérieure à celle des solutions concurrentes. Une raison de plus de nous réjouir d'avoir remporté ce contrat ! », se félicite Jörg Marks. Au début du mois de mars 2020, SPIE a été certifiée « partenaire système » d'Advancis Software & Services GmbH. L'éditeur de logiciels est l'un des leaders du marché mondial des logiciels de gestion de la sécurité et de la technique du bâtiment multi-fournisseurs.
Il y a 4 ans et 343 jours

Après le confinement, ces citadins qui veulent changer de vie

Avant le Covid-19, Olivier et sa compagne pensaient déjà à quitter le centre de Paris "pour s'agrandir". Après deux mois de confinement, ils ne cherchent plus un appartement: ce sera "une maison avec jardin"."On cherche vraiment avec un espace extérieur, quitte à aller un peu plus loin": la proximité d'un métro "n'est plus une obsession", dit-il.Pierre, 40 ans, avait "depuis cinq ans" le projet de "se rapprocher de la nature" et la crise va "précipiter un peu les choses"."Sans tomber dans la collapsologie pure et dure, il nous arrive quelque chose que je pressentais. Je voudrais y être préparé: avoir au moins un lopin de terre pour pouvoir faire un peu d'agriculture et faire en sorte que nous soyons autonomes avec mon épouse", explique-t-il.Cadre dans l'informatique, il faisait déjà "pas mal de télétravail" et l'activité de sa femme, couturière, ne lui semble "pas incompatible" avec ce nouveau mode de vie.Pour Anaïs*, journaliste de 29 ans et son compagnon, "le confinement a été un vrai déclic". A deux, ils vont "changer de mode de vie" d'ici la fin de l'année pour gérer un gîte en Drôme-Ardèche."A Paris, on n'a pas le temps de vivre. On court à droite à gauche et surtout, on sur-consomme", estime-t-elle. "Ça nous a fait nous rendre compte qu'on avait plus du tout envie de cette vie-là. Qu'on avait envie d'espace, d'air, de nature et de changer vraiment de rythme"."Vivre différemment""La pollution", "le manque de nature" sont aussi évoqués par Jana, qui s'installe avec sa famille près de Lorient (Morbihan). "Le confinement a permis d'en faire un projet familial, d'en discuter avec les enfants, ce dont ils rêvaient et ce qu'on pouvait réellement se permettre", raconte cette intermittente du spectacle.Paris ? "On n'y reviendra pas", assure-t-elle.Ces aspirations sont sensibles dans les recherches immobilières. Pendant le confinement, le site Leboncoin a noté une hausse de 30% des recherches en zones rurales et de 20% dans les zones urbaines moins denses, par rapport à la même période de 2019.Sur Seloger.com, "plus de recherches ont été effectuées en province qu'avant le confinement", avec "une appétence accentuée pour les maisons", indique le site.Dans son agence des Herbiers, commune de 16.000 habitants en Vendée, Fabrice Abraham a constaté depuis le déconfinement une augmentation des demandes venant de "grandes villes", notamment d'Ile-de-France."Ce sont des personnes qui sont en télétravail et qui peuvent profiter d'une surface de 100, 120 mètres carrés, pour un prix de vente moyen de 200.000 euros", décrit-il. "C'est ce qui a vraiment changé: ça sent l'envie d'avoir plus grand, d'avoir un bout de jardin et de vivre différemment"."Feu de paille ?"Le phénomène n'est pas nouveau: depuis les années 1980, de plus en plus d'actifs quittent les grandes agglomérations, indique Pascal Chevalier, géographe à l'université de Montpellier. "Ce sont en général des cadres qui étaient dans le tertiaire" et partent pour "retrouver une qualité de vie".S'il y a 10-15 ans, ces départs s'effectuaient vers les espaces ruraux plutôt isolés, "aujourd'hui, les gagnants de cette mobilité sont les petites villes, les bourgs", qui "associent qualité de vie et services", souligne M. Chevalier."Il y a un critère presque paradoxal qui est la proximité du rural avec des axes de circulation", confirme Cédric Szabo, directeur de l'Association des maires ruraux de France. "L'autre paramètre devenu incontournable, c'est la qualité du débit internet" - ce qui exclut certains territoires.De façon générale, il est "beaucoup trop tôt" pour savoir si ces envies entraineront un réel "exode", souligne Thomas Lefebvre, de la plateforme immobilière MeilleursAgents. "Est-ce un feu de paille ou une vraie volonté ?" Ces projets sont "conditionnés à beaucoup de choses", ajoute-t-il, notamment "l'emploi" et le "crédit".*prénom modifié