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Il y a 2 ans et 336 jours

Soprema a trouvé l'alternative au papier journal pour sa ouate de cellulose

Le spécialiste des solutions d'étanchéité et d'isolation a breveté un système de recyclage de la glassine, ce papier siliconé qui sert de support aux étiquettes autocollantes, pour remplacer le papier journal dans la production de ouate de cellulose.
Il y a 2 ans et 336 jours

L’activité du bâtiment tient encore

Olivier Salleron, Président de la Fédération Française du Bâtiment, vient de tenir une conférence de presse durant laquelle, il a présenté les chiffres de la construction et de la rénovation, ainsi que la prévision d’une forte hausse des prix pour compenser celle des matériaux. Les mises en chantier de logements neufs se stabilisent sur quatre mois à fin avril 2022, la hausse de l’individuel (+8,3 %) compensant la chute du collectif (-6,1 %). Quant aux autorisations, sur la même période, elles s’envolent de 21,8 %, sous l’effet du traitement des dépôts massifs de permis en décembre 2021, par anticipation de la RE2020. Ce choc positif est arrivé à son terme dans l’individuel (chute de 8,1 % en avril 2022 par rapport à avril 2021), alors qu’il se poursuit encore dans le collectif (+32,0 %) en raison de délais d’instruction plus longs. Dans le non résidentiel neuf, les surfaces commencées se redressent nettement de 26,0 % sur quatre mois à fin avril 2022, grâce aux bâtiments industriels et assimilés (+67,8 %), ainsi qu’aux bâtiments administratifs (+25,1 %) et commerces (+19,0 %). Les surfaces autorisées progressent, quant à elles de 12,4 % sur la même période, portées par les commerces (+52,1 %), mais également par les bureaux (+17,3 %) et les bâtiments industriels et assimilés (+11,8 %). Elles se maintiennent pour autant encore bien en-deçà de leur niveau d’avant-crise (-11,8 %). Pour l’activité en amélioration-entretien, les résultats provisoires de l’enquête des Cerc sur le premier trimestre 2022 montrent une légère accélération, à +1,4 % par rapport au premier trimestre 2021. Toutefois, la rénovation énergétique semble marquer le pas, à +1,1 %, en revanche, ce segment ressort bien au-dessus de son niveau d’avant-crise (T1 2019), à +2,2 %. La croissance de l’emploi ralentit, avec 25 600 postes supplémentaires entre les premiers trimestres 2021 et 2022, dont 23 300 salariés. À l’horizon de l’été 2022, on relève quelques inquiétudes côté entreprises. Les perspectives d’activité se tassent en neuf comme en rénovation, malgré des carnets de commandes toujours bien garnis. Les chefs d’entreprise de plus de dix salariés interrogés par l’Insee en mai 2022 prévoient très majoritairement, et beaucoup plus que par le passé, une poursuite de la hausse de prix bâtiment. Ces hausses s’avèrent indispensables pour compenser les nouvelles augmentations, parfois vertigineuses, de coûts des matériaux, suite au déclenchement du conflit entre l’Ukraine et la Russie, comme le montrent les évolutions, entre décembre 2021 et avril 2022, des prix de production des aciers pour le bâtiment (+27,5 %), des demi-produits en aluminium (+23,9 %), des produits PVC (+13,9 %), ainsi que des demi-produits en cuivre ou alliage (+10,7 %). Il faut encore ajouter à cette liste les tuiles (+20,0 %), les produits céramiques (+13,1 %), plastiques (+9,6 %) et verriers (+8,3 %). Graphique : Ventes de maisons individuelles en secteur diffus – Source : CGI Bâtiment/Caron Marketing, Markemétron  
Il y a 2 ans et 336 jours

Cacher ce sein… Les usines loin des yeux, loin du cœur !

Dans notre pays centralisé, nous avons perdu l’habitude de voir les centres de production. Les hydrocarbures viennent du diable Vauvert, les centrales nucléaires sont pour la plupart loin des agglomérations. Ne pas voir pour ne pas savoir ? La visibilité est une vertu ! La visibilité est une vertu quand il s’agit de fixer des objectifs, de […] L’article Cacher ce sein… Les usines loin des yeux, loin du cœur ! est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 2 ans et 336 jours

Les isolants biosourcés s'imposent dans le paysage industriel

Anticipant les impacts de la RE 2020, les industriels diversifient leur offre et augmentent leurs capacités de production. Pour les négoces, le développement des isolants biosourcés nécessite un accompagnement de la clientèle et des moyens logistiques supplémentaires.
Il y a 2 ans et 336 jours

Jeux d'acteurs ou de ballons ? Un pavillon temporaire par DREAM, à Rome

La 40e édition de l'Équerre d'argent est lancée ! Proposez vos réalisations sur la plateforme dédiée avant le 9 septembre 2022. Le prix organisé par les rédactions du Moniteur et d'AMC a pour objectif de faire connaître le meilleur de la production architecturale réalisée sur le territoire […] Lire l'article
Il y a 2 ans et 337 jours

L'industrie, menace ou solution pour la planète ? Une expo pour réfléchir

À la Cité des Sciences et de l'Industrie, où l'exposition "Évolutions industrielles" ouvre ses portes mardi, une bande son électro composée de bruits d'usines syncopés accueille le visiteur. Écrans numériques et installations artistiques l'accompagnent.Une gravure représentant la "révolte du poivre" en 1400, tirée d'un livre de Marco Polo succède à une photo de trieurs de déchets dans un centre de recyclage d'ordures ménagères du 21 siècle.Autour des thèmes "paysages transformés", "standardisation", "figures de travailleurs" ou "réseaux", des projections font découvrir l'histoire et l'actualité d'un monde devenu hyper-industrialisé bien qu'émaillé de poches de désindustrialisation.Pour Astrid Fontaine, commissaire de l'exposition, la priorité était "de proposer une réflexion sur ce qu'est le processus d'industrialisation dans la vie des hommes"."Nous avons voulu traiter de manière frontale la question de l'ambivalence de l'industrie, qui à la fois permet de vivre mieux et plus longtemps, et en même temps nous menace", résume-t-elle pour l'AFP.Les partenaires de l'opération, chercheurs de l'École des hautes études en sciences sociales (EHESS) et industriels de la métallurgie (UIMM), ont d'abord dû se mettre d'accord sur une définition. Celle de l'historien Philippe Braunstein a prévalu : L'industrie est "une production quantitativement importante, régulière, de qualité constante, qui dépasse le marché local".HybridationDans un appartement témoin reconstitué, au décor familier, un film est projeté sur un mur de verre high tech fourni par l'entreprise Saint-Gobain, ode au progrès et à la technologie.Il donne à réfléchir sur l'origine de chaque objet manufacturé du quotidien, sur la complexité des chaînes de valeur liées aux activités extractives ou aux transports internationaux : pour fabriquer un simple opercule de pot de yaourt, il a fallu d'abord trouver de la bauxite, puis la transformer en aluminium."L'idée était de montrer le déplacement des lieux de production" par rapport au consommateur final, dit Mme Fontaine.Sept petites salles "capsules" focalisent sur des objets-icônes issus de matières transformées, qui à leur tour nous transforment: la boite de conserve, le T-shirt en coton, la machine à laver, la pilule contraceptive, le drone, le smartphone et l'énergie au sens large.La fabrication de la boîte de conserve en acier recyclable à l'infini engendre des pollutions, mais elle a joué un rôle dans l'allongement de la vie humaine. La machine à laver a libéré la femme mais l'obsolescence programmée a suivi.Plus loin, Elon Musk, le patron du constructeur automobile Tesla, s'entretient avec le critique de la société industrielle Ivan Illitch, dans un joyeux débat en ligne, modéré par René Descartes et Francis Bacon. Tous deux ont fort à faire pour départager l'inventeur de Apple, Steve Jobs, vantant "la qualité" face au père du taylorisme, Frederick Taylor.Après les deux anciens symboles que sont la mine et l'usine, le parcours se termine sur un final grandiose et futuriste autour du nouvel emblème de l'industrie, la plateforme numérique.Câbles sous-marins, satellites et centres de données : les trois infrastructures lourdes, et bien physiques, du continent numérique qui nous entoure, y sont "révélées" alors qu'elles sont d'ordinaire "invisibles" et "cachées à la vue", souligne Mme Fontaine.Du coup, l'exposition dévoile aussi l'hybridation en cours "entre le monde réel et virtuel", et "entre l'industrie lourde et les services".Le tailleur et le casque-micro d'une téléconseillère voisinent avec la combinaison et le casque d'un ouvrier-marin qui pose des câbles de télécommunication au fond de l'océan.(Du 14 juin 2022 au 5 mars 2023 - Cité des sciences et de l'industrie )
Il y a 2 ans et 337 jours

Sto investit dans son usine vendéenne pour répondre à la croissance du marché

L’usine de La Copechagnière de Sto bénéficie d’une extension de 130 m2 avec 3 nouveaux quais niveleurs et un parking de 2 400 m2. Cet investissement de 400 000 € permet au site de se doter d’un parking privé de stationnement pour 10 camions et d’augmenter sa capacité de traitement de 8 jusqu’à 12 véhicules par jour. Les quais niveleurs facilitent le chargement de marchandises sur les camions et le déchargement : les chauffeurs ne sont plus sollicités pour la manutention et le traitement se fait plus rapidement. « Avec une production annuelle qui va dépasser cette année les 30 000 tonnes de peintures de façade pour près de 90 références, soit l’équivalent de 55 000 palettes et 2 000 camions, il était primordial d’investir dans notre usine de La Copechagnière pour accompagner notre stratégie de développement et répondre aux besoins grandissants du secteur de la construction et de la rénovation des bâtiments », précise Didier Sager, directeur de l’usine de La Copechagnière.
Il y a 2 ans et 337 jours

Inauguration d'un nouveau parc solaire géant à Gien dans le Loiret, mais la France encore loin du compte

L'an dernier a vu un niveau record de construction de sites solaires dans l'Hexagone.A Gien, le parc de 75 ha d'une capacité de 55 mégawatts (MW) peut alimenter environ 40.000 personnes en électricité. Avec lui, le groupe pétro-gazier TotalEnergies, qui veut se diversifier, atteint désormais un total de 1 gigawatt (GW) de capacité solaire ou éolienne en France. Il vise 4 GW en 2025."Ca n'est qu'un début et TotalEnergies a bien l'intention d'être un acteur majeur de cette transformation" énergétique, a déclaré Stéphane Michel, directeur Gaz, renouvelables et électricité pour le groupe, en inaugurant les lieux vendredi sous un soleil de circonstance.Mais la France n'est à ce jour pas le pays le plus accueillant pour les renouvelables. A 13 GW de capacité, elle devrait rater son objectif pour 2023 (20 GW), et ce alors que le président Emmanuel Macron veut désormais pousser à 100 GW en 2050.Pour Stéphane Michel, en France, "le grand sujet c'est l'accès au foncier". Pour trouver des zones d'implantation, le groupe a signé une convention avec la fédération agricole FNSEA, et mène des projets pilotes dans l'agrivoltaïsme permettant de mêler productions agricole et d'énergie."Être informés"A Gien, c'est le propriétaire du terrain qui est venu voir l'énergéticien.Michel Beaumont ne savait que faire de cet espace agricole, selon lui peu fertile, dans lequel il avait investi pour tenter d'implanter un parc animalier.Le photovoltaïque, "c'est le plus beau projet qu'on pouvait faire, car on en a besoin," dit cet entrepreneur de travaux publics, qui a signé un bail de location de 20 ans, pour un montant non précisé.Le projet n'a pas fait l'objet de recours. Mais le processus a duré huit ans, entre instruction, études environnementales, fouilles archéologiques qui ont in fine réduit la surface, aménagement de mares et de haies...Pour impliquer les riverains, une part du projet (38 millions d'euros d'investissement au total), a aussi fait l'objet d'un financement participatif de 2,2 millions d'euros, souscrit par 200 habitants.Le maire (DVD) de Gien, Francis Cammal, se félicite d'un projet alliant "nature et technologie": "la triste actualité (en Ukraine) rend plus cruciale une nécessité évidente. Il faut accroître la part des énergies renouvelables et réussir ensemble la transition énergétique du pays".Il salue aussi les retombées fiscales -- plusieurs dizaines de milliers d'euros, dit-il à l'AFP -- et le "souci de concertation". "Il faut être informés, car nous nous interrogeons, par exemple, sur la durabilité des panneaux."En France, TotalEnergies affiche une certaine modestie dans ses ambitions solaires ou éoliennes."A Gien, on a trouvé un équilibre entre coût et acceptabilité. On n'est pas forcement convaincu que de plus grandes centrales puissent faire sens, si un projet doit prendre 15 ans et n'est pas garanti d'aboutir. Il n'y a pas de course à la taille pour la taille".La situation est différente aux Etats-Unis, en Inde, au Chili, en Espagne, ou au Qatar où "on met en production 800 MW au milieu du désert, et ce n'est pas un problème".Selon lui, la multinationale consacre aujourd'hui 25% de ses investissements annuels aux renouvelables et à l'électricité, en croissance organique ou en acquérant des entreprises.Le groupe commence aussi à internaliser certaines fonctions, de recherche-développement, calcul et modélisation, etc., dit encore le responsable du groupe.TotalEnergies réalise à ce jour environ 5% de ses ventes dans les renouvelables et l'électricité (y compris d'origine gazière), le reste provenant de ses activités traditionnelles.
Il y a 2 ans et 337 jours

Eqiom lance Ressourceo, une marque en faveur de l’économie circulaire

Eqiom lance Ressourceo, pour contribuer à préserver les ressources naturelles. [©Eqiom] Eqiom lance Ressourceo, une nouvelle offre de produits et de services conçue dans un modèle d’optimisation des ressources. L’industriel renforce ainsi son engagement en faveur de l’économie circulaire, en contribuant à préserver les ressources naturelles. Et à proposer des matériaux alternatifs au service de l’éco-construction. L’offre Ressourceo s’adresse à l’ensemble des acteurs de la construction, des travaux publics, de la déconstruction, ainsi qu’aux collectivités, aux architectes, aux maîtres d’ouvrage… Elle vise à préserver les ressources naturelles, en valorisant les déchets et leur réemploi. Ceci, autour 5 priorités : l’accueil et la valorisation de déblais inertes dans le cadre du réaménagement des carrières en activité. Cela permet de créer de nouveaux espaces post-industriels : boisements, remise en terres agricoles, zones humides ;la production de granulats recyclés destinés aux applications routières et béton ;l’incorporation de gravillons recyclés dans la production de bétons prêts à l’emploi et de préfabrication ;la valorisation de terres polluées ;la valorisation des déchets non inertes (hors terres polluées).
Il y a 2 ans et 337 jours

Eolien en mer : début de production à Saint-Nazaire... et une plainte dans le Calvados

ENR. Le premier parc éolien offshore français, au large de Saint-Nazaire, a commencé à produire de l'électricité début juin 2022. Une bonne nouvelle pour les porteurs de projet, dont EDF renouvelables et Enbridge, qu'est venue ternir un autre événement concernant son futur parc dans le Calvados : une plainte à en effet été déposée auprès du Parquet national financier.
Il y a 2 ans et 337 jours

Atlantic double sa production de chauffe-eaux et glisse vers le thermodynamique

L’usine historique Atlantic de la Roche-sur-Yon subit un programme de modernisation et d’extension
Il y a 2 ans et 337 jours

Lidl ouvre la première plateforme logistique d’Europe ayant recours à l’hydrogène vert, grâce à ses partenaires Lhyfe et Plug Power

Lidl marque une nouvelle étape dans sa démarche de développement durableDepuis plus de 10 ans, Lidl investit pour moderniser ses infrastructures et accroître leurs performances environnementales. En 2021, l’enseigne choisit l’hydrogène vert pour assurer l’approvisionnement de ses engins de manutention et de levage sur la plateforme de Carquefou.Située au Nord de Nantes, Carquefou devient la première plate-forme logistique d’Europe à opter pour l’hydrogène vert pour faire fonctionner ses engins de manutention. Depuis le mois de janvier 2022 ce sont 98 engins de manutention (80% de la flotte logistique) qui sont alimentés par de l’hydrogène vert. Lidl s’approvisionne en hydrogène vert auprès de Lhyfe, pionnier dans la production d’hydrogène issu de sources d’énergies renouvelables et locales, puisque l’usine de Lhyfe est située à quelques dizaines de kilomètres de Carquefou. Produit à partir d’eau de mer et d’électricité renouvelable, la disponibilité de cet hydrogène vert était la condition pour réaliser ce projet, évitant ainsi le recours à une énergie fossile ou électrique pour alimenter les chariots. Lidl dispose ainsi d’une solution énergétique locale qui combine les avantages écologiques et la performance logistique.L'hydrogène pour optimiser la logistiqueLe plein pour un engin à hydrogène ne dure que de 2 à 3 minutes contre plusieurs heures pour la recharge d’une batterie plomb-acide. Une haute disponibilité des engins à hydrogène (97% du temps contre environ 50% avec la technologie plomb-acide) qui offre la possibilité à la plateforme d’optimiser le stationnement des engins en local de charge.3 bornes de recharge d’hydrogène suffisent à alimenter l’ensemble des engins de manutention du site. Il n’y a donc plus besoin d’espace dédié pour la recharge.La performance et l’autonomie des engins de manutention est constante tout au long de la vie de la pile hydrogène. La productivité des opérations logistiques n’est pas corrélée au vieillissement de la pile comme cela pouvait être le cas avec une batterie plomb-acide.Un hydrogène vert pour l'environnementL’hydrogène vert permet de décarboner significativement l’activité : il est produit à partir d’énergies renouvelables et ne rejette ni CO2, ni particules, que ce soit au moment de sa fabrication ou de son utilisation.La durée de vie des piles à combustible (10 ans) est supérieure à celle des engins à batteries plomb-acide (3 à 5 ans) ce qui induit une réduction de la fréquence de renouvellement des piles par rapport à une utilisation de batterie.Un projet ambitieux mené grâce à l'accompagnement de partenaires experts Pour accompagner Lidl dans la réalisation de ce projet, les entreprises Lhyfe, Plug Power, HRS et Jungheinrich ont étroitement collaboré afin d’adapter une solution sur mesure aux besoins de la plateforme de Carquefou (montage du dossier ICPE, design et implantation des équipements intérieurs et extérieurs, adaptation des engins aux piles à hydrogène, prévisions de la consommation en hydrogène).Plug Power est un pionnier de la pile à hydrogène pour le fonctionnement d’engins de manutention. Concrètement, Plug Power fournit, en collaboration avec HRS et Jungheinrich, les équipements nécessaires à la mise en place de la solution hydrogène. Plug Power réalisera également la maintenance de l’ensemble des équipements sur le site. Lhyfe est un pionnier mondial et pure player de l’hydrogène vert. En tant que producteur d’hydrogène vert, Lhyfe livre un hydrogène renouvelable et local produit à 75 km de la plateforme de Lidl. Pour cela, Lhyfe utilise du vent et de l’eau : un champ éolien voisin fournit l’électricité, tandis que l’eau de mer est pompée en très petites quantités, puis désalinisée et purifiée. L’électrolyseur sépare alors les éléments qui constituent l’eau (l’hydrogène et l’oxygène) pour produire l’hydrogène vert. Lhyfe sera garant de l’approvisionnement nécessaire au fonctionnement des engins de manutention, ce qui représente 75 kg/jour d’hydrogène vert au plus fort de l’activité de la plateforme. Ce volume d’achat important - 300 kg/jour à fin 2021 à 1 tonne/jour d'ici 2023 sont produits dans l’usine - permet à Lidl de contribuer au développement la première entreprise française productrice d’hydrogène vert. 2022 n'est que le point de départ de l'hydrogène vert chez Lidl En parallèle, Lidl étudie déjà la possibilité de développer l’hydrogène vert en tant que solution pour optimiser sa logistique et réduire ses émissions de gaz à effet de serre. A moyen terme, Lidl envisage de déployer des engins à l’hydrogène vert sur d’autres plateformes logistiques ou encore de l’utiliser pour alimenter une partie de sa flotte de camions de livraison.Pour Gregory Podda, Responsable logistique, Lidl France : « Lidl est fière d’ouvrir à Carquefou la première plateforme logistique d’Europe fonctionnant à l’hydrogène vert grâce à ses partenaires Plug Power, qui a adapté les engins de manutentions, et Lhyfe dont l’usine de production d’hydrogène vert se trouve à 75km de notre site. Avec 98 engins de manutention opérationnel et un camion de livraison à venir en 2022, Lidl croit en l’avenir de l’hydrogène vert pour optimiser sa logistique et baisser ses émissions de CO2 conformément à ses engagements. »Pour Julien Saleix, Responsable des ventes régionales, Plug Power : « La technologie hydrogène pour chariots de manutention est mature, déployée sur 165 sites et 50 000 engins à travers le monde, choisie pour les gains de productivité qu’elle procure. Pour la première fois en Europe, l’hydrogène utilisé ici est un hydrogène vert, renouvelable : Lidl fait émerger un modèle énergétique plus durable. Ce site de Carquefou associe enjeux économiques et objectifs environnementaux ambitieux. »Pour Matthieu Guesné, Président Fondateur, Lhyfe : « Nous sommes ravis de ce partenariat qui illustre parfaitement l’intérêt multiple – à la fois engagé et pragmatique – des entreprises à passer à l’hydrogène renouvelable. Après le secteur de la mobilité, les acteurs publics, Lidl ouvre la voie de l’hydrogène renouvelable au monde de la logistique, du transport et des acteurs privés. C’est un tournant très prometteur pour la transition énergétique. »
Il y a 2 ans et 337 jours

Mondial du bâtiment : Le programme des conférences révélé

Près de 1 000 intervenants sont attendus avec plus de 450 conférences et animations durant 4 j… [©Mondial du bâtiment] Pour son retour à la Porte de Versailles en octobre prochain, le Mondial du bâtiment voit les choses en grand avec un programme inédit de conférences. De nouveaux formats d’échanges font leur apparition, afin d’aborder les grandes thématiques qui portent cette édition : “Préserver le climat et l’environnement”, “Bien vivre dans la ville en 2050”, “Transformer les méthodes”, “Valoriser les métiers”. Un programme ambitieux qui va représenter 14 scènes ouvertes sur les 3 salons : Batimat, Idéobain et Interclima. Près de 1 000 intervenants sont attendus avec plus de 450 conférences et animations durant 4 j… « Ces conférences permettront à tous les professionnels et aux acteurs des transitions d’avoir une vue d’ensemble des grands défis du secteur grâce aux analyses et aux décryptages de grands témoins venant de tous horizons », indique l’organisateur. De nouveaux formats d’échanges font leur apparition, afin d’aborder les grandes thématiques qui portent cette édition. Un “Davos” du bâtiment « Les hommes et les femmes du bâtiment sont à la tête d’un formidable défi. Ils auront la responsabilité de permettre à la France de réussir ses transitions et notamment la décarbonation de l’acte de construire, souligne Guillaume Loizeaud, directeur du Mondial du Bâtiment. Face à cette urgence et cette responsabilité immense, nous avons souhaité donner une dimension inédite au programme de conférences, en associant tous les acteurs du bâtiment. Mais aussi des personnalités diverses et inspirantes venant d’autres univers. C’est en quelque sorte un “Davos” du bâtiment que nous préparons. Le programme des interventions de cette édition du Mondial du bâtiment sera exceptionnel par son ampleur, la qualité et la diversité des intervenants, le nombre de thématiques abordées qui couvriront l’intégralité du spectre des problématiques du secteur en les mettant en perspective dans un contexte plus large : économique, politique, environnemental, sociétal et solidaire… ». Quatre grands thèmes Le programme des conférences est porté par 4 grands thèmes. En voici un aperçu non exhaustif : • Préserver l’environnement : l’urgence de la lutte contre le réchauffement de la planète nous est rappelée chaque jour. Les alertes des experts et la multiplication des épisodes climatiques extrêmes nous obligent à prendre nos responsabilités. Toute la chaîne de valeur du bâtiment doit se transformer pour freiner son impact sur l’environnement et préserver le vivant. Le lundi 3 octobre  11 h 00 – 12 h 30 : Est-il vraiment urgent d’industrialiser la construction ?14 h 00 – 15 h 30 : Réhabiliter plutôt que de construire. Quels leviers pour atteindre la neutralité carbone ?16 h 00 – 16 h 45 : Les territoires, acteurs de la décarbonation. Le mardi 4 octobre  9 h 00 – 10 h 30 : Economie circulaire, par et pour les acteurs du bâtiment11 h 00 – 12 h 30 : Economiser les ressources et valoriser les matériaux16 h 00 – 19 h 00 : Retrouver de la productivité et améliorer le bilan carbone Le mercredi 5 octobre  9 h 30 – 10 h 30 : Nouvelles filières des matériaux bio- et géosourcés11 h 00 – 12 h 30 : Accélérer l’efficacité et la sobriété énergétique des bâtiments Le jeudi 6 octobre  9 h 30 – 10 h 30 : La formation et les compétences au centre de la transformation du secteur • Bien vivre dans la ville en 2050 : en 2050, près de 70 % de la population mondiale vivra en ville. A quoi ressembleront les villes et nos modes de vie à cet horizon ? Penser la ville de 2050, c’est répondre aux nombreux défis auxquels les urbains sont déjà soumis. Le mercredi 5 octobre  9 h 30 – 10 h 30 : Panorama européen des architectes engagés dans la décarbonation11 h 00 – 12 h 30 : Le futur en cours de construction14 h 00 – 15 h 30 : Repenser notre habitat pour mieux vivre ensemble16 h 00 – 17 h 30 : Retour sur l’opération Low Carbon Construction Tour. Décarbonation du secteur de la construction Le jeudi 6 octobre  9 h 30 – 10 h 30 : Architecture durable, réhabiliter plus que construire16 h 00 – 16 h 45 : Le bois et le biosourcé pour atteindre la neutralité carbone à l’horizon 2030 • Valoriser les métiers : à l’ère digitale, tous les métiers de la construction et du bâtiment sont en profonde mutation. Les nouveaux outils de collaboration, la data et l’intelligence artificielle font émerger de nouvelles compétences, voire de nouveaux métiers. Le lundi 3 octobre  10 h 00 – 10 h 45 : RE 2020 et études ACV. Enjeux et défis pour engager le bâtiment et les acteurs de la construction dans la démarche bas carbone11 h 00 – 11h 45 : Renouveau urbain pour la requalification architectu-rale des cœurs de ville Le mardi 4 octobre  9 h 30 – 10 h 15 : Quel coût de construction en RE 2020 ?11 h 30– 12 h 15 : Les spécificités de la RE 2020 en logements collectifs14 h 00 – 14 h 45 : Anticiper le changement d’usage d’un bâtiment dans le temps16 h 00 – 16 h 45 : La construction bas carbone : points cruciaux et recommandations Le mercredi 5 octobre  11 h 00 – 12 h 15 : Décarbonation des matériaux de construction • Transformer les méthodes : assurer la transition écologique du secteur, réussir sa digitalisation, garantir son modèle économique et améliorer sa productivité : la filière du bâtiment est sous pression. Moderniser nos méthodes s’impose. Organisation du travail, outils de production, gestion des équipes, commercialisation et relation clients : tous les chantiers sont ouverts. Ces interventions seront portées et organisées par l’Ecole des ponts Paris Tech. Le lundi 3 octobre  A partir de 9 h 00 et toute la journée, interventions de l’Ecole des Ponts Paris Tech autour de l’architecture décarbonée et solidaire Les mardi et mercredi 4 et 5 octobre  A partir de 9 h 00 et toute la journée, interventions de l’Ecole des Ponts Paris Tech, de Marjolaine Meynier-Millefert, présidente Alliance HQE – GBC France, et de Romain Duballet, co-fondateur d’XtreeE, autour de la politique environnementale Le jeudi 6 octobre  A partir de 9 h 00 et toute la journée, interventions de l’Ecole des Ponts Paris Tech et de Guy Sidos, Pdg de Vicat, autour de l’industrie de la construction. En savoir plus ici 
Il y a 2 ans et 338 jours

Le patronat britannique appelle à rénover plutôt qu'à subventionner pour faire des économies d'énergie

Le Royaume-Uni dans sa nouvelle stratégie énergétique a mis l'accent sur un regain de production tous azimuts, des renouvelables au nucléaire en passant par plus de forage de gaz et pétrole espéré en mer du Nord.Mais ce que Downing Street "n'a pas fait pendant cette crise est de parler de la demande" insiste M. Danker, d'après le texte de son discours."Le gâchis d'énergie c'est comme le gâchis de nourriture. Ça n'a pas de justification. Ce n'est bien pour personne. Et il y a beaucoup de manières d'aider les gens à faire baisser leurs factures", affirme M. Danker.Selon lui, le gouvernement a besoin d'investir environ 5,2 milliards de livres chaque année jusqu'en 2035 pour isoler correctement les logements, qui ont une déperdition d'énergie plus rapide que tout autre pays d'Europe."Ça semble cher", fait-il valoir, "mais les factures d'énergie élevées et l'inflation qui en résultent viennent de coûter au Chancelier" de l'Echiquier Rishi Sunak "22 milliards de livres" en subventions énergétiques aux plus démunis, a-t-il argumenté."Et nous ne sommes pas encore en octobre", quand le froid va doper la demande de chauffage et quand les plafonds de tarifs d'énergie devraient encore être relevés, a-t-il ajouté.L'association écologiste Insulate Britain, qui a mené des campagnes et opérations très médiatisées au Royaume-Uni pour inciter à l'isolation des bâtiments afin de lutter contre le réchauffement climatique, affirme que le pays a environ 29 millions de logements et que ces bâtiments sont "les plus vieux et ceux qui ont la pire efficacité énergétique en Europe".Elle ajoute sur son site internet que "près de 15% du total des émissions de gaz à effet de serre au Royaume-Uni viennent du chauffage des bâtiments".Le Royaume-Uni fait par ailleurs face à une crise du coût de la vie alimentée notamment par une flambée des factures énergétiques.
Il y a 2 ans et 340 jours

Action Logement creuse ses pertes en 2021

L'ex 1% Logement, piloté par patronat et syndicats et financé par un prélèvement sur les entreprises (PEEC), a augmenté son activité tous azimuts: production et rénovation de logements, aides à la mobilité professionnelle, garantie locative Visale...Au total, il a investi quelque 12,5 milliards d'euros."Une institution comme Action Logement n'est pas là pour faire du résultat, elle est là pour déployer son utilité sociale sur l'ensemble des territoires", a justifié le président du groupe, Bruno Arcadipane.Depuis 2019, le groupe, assis sur plusieurs milliards d'euros de trésorerie, s'est engagé, sous la pression de l'Etat, dans un plan d'investissement volontaire (PIV) colossal.L'année dernière, il a obtenu plus de 48.000 autorisations de construire des logements sociaux et intermédiaires, un record, et plus du tiers du total national.Ses dirigeants souhaitent encore accélérer le rythme de construction en 2022, malgré les difficultés économiques: inflation, pénurie de matériaux, effets de la guerre en Ukraine, etc."On est le premier bailleur de France et il est impossible pour nous de ne pas avoir des ambitions extrêmement fortes", a déclaré Bruno Arcadipane.Le nombre de bénéficiaires de la garantie Visale, destinée aux moins de 30 ans et élargie à tous les salariés gagnant moins de 1.500 euros net par mois, s'est élevé à 230.000, avec un objectif de 330.000 pour 2022 et de 500.000 à terme.En 2022, dernière année de son plan d'investissement, le groupe devrait rester dans le rouge, pour revenir à l'équilibre en 2023."Les grands enjeux pour l'avenir, pour nous, après la période de mobilisation très forte de réserves du PIV qui continue en 2022, ça va être de retrouver à partir de 2023 un équilibre entre nos ressources et nos dépenses", a affirmé la directrice générale Nadia Bouyer.Objet récurrent de guéguerres avec l'Etat au sujet de son financement, Action Logement s'est vu prélever en 2021 un milliard d'euros au bénéfice du Fonds national d'aide au logement, en plus de ses participations au renouvellement urbain ou au programme Action Coeur de ville.Les recettes ont baissé de 300 millions d'euros, l'Etat ayant renoncé à verser une compensation à l'exonération de la PEEC pour les entreprises de 20 à 50 salariés.
Il y a 2 ans et 340 jours

La décarbonation de l'usine d'Isonat subventionnée par l'Ademe à hauteur de 850 000 €

Le fabricant d'isolants biosourcés en fibre de bois du groupe Saint-Gobain va refondre son outil de production à l'occasion du doublement de la capacité de son usine de Mably et réduire de 20% (1100 t/an) ses émissions de CO2.
Il y a 2 ans et 340 jours

Nouveau record d'investissements pour Action Logement en 2021

RÉSULTATS. L'organisme paritaire, qui poursuit son plan d'investissement volontaire, a investi 12,5 milliards d'euros en 2021, et lancé, notamment, la production de 48.000 nouveaux logements. Le résultat net est, de ce fait, en chute libre.
Il y a 2 ans et 340 jours

Les plus gros consommateurs d'énergie très peu incités à l'efficacité énergétique

Le dispositif des Certificats d'Économies d'Énergie (CEE), principale aide financière des travaux d'économies d'énergie tant pour les particuliers que les professionnels, doit permettre à la France d'atteindre près de la moitié de ses objectifs européens. Mais il est largement sous-exploité par ces secteurs.Dès lors, l'augmentation significative du volume d'obligation des CEE, tant en CEE classiques qu'en CEE précarité, semble indispensable pour inciter les secteurs consommateurs d'énergie et émetteurs de CO2 à lancer des travaux d'économies d'énergie, atteindre les objectifs nationaux et européens et consolider les filières professionnelles dont la France a besoin. Le coût de cette mesure sur les prix de l'énergie serait limité. Calculs et éclairage du groupe Hellio, acteur de référence de la maîtrise de l'énergie et pionnier du dispositif des CEE depuis 2008.« Il est évident que la non rehausse du marché des CEE, ce dispositif d'aide privée qui pèse plus de 5 milliards d'euros annuels, en baisse de 25 % sur 12 mois, a aujourd'hui des répercussions sociales, économiques et environnementales majeures. Sa résolution doit être un des dossiers prioritaires de la Première ministre chargée de la planification écologique. L'atteinte de nos objectifs nationaux et européens, avec près de 40 % d'économies d'énergie à réaliser d'ici 2030, en dépend ! », soutient Pierre Maillard, Président Directeur Général de Hellio.Le transport, l'industrie, le tertiaire et l'agriculture plus gros consommateurs d'énergie devant le secteur résidentiel Selon le dernier bilan énergétique de la France en 2021 publié en avril 2022, la consommation d'énergie primaire de la France en 2021 est en hausse de 7,7 % (2 769 TWh).De son côté, la consommation finale d'énergie s'établit à 1 778 TWh en 2021, dont 1 627 TWh à usage énergétique. Cette dernière a augmenté de 9,1 % et revient à son niveau de 2019.Dans le détail, la consommation d'énergie du transport s'élève approximativement à 511 TWh, soit près de 32 % du total. En parallèle, celle de l'industrie s'élève à 312 TWh, soit près de 20 %. À cela s'ajoute la consommation des bâtiments tertiaires estimée à 275 TWh, soit 17 %, et celle de l'agriculture et de la pêche autour de 50 TWh, soit 3 %.En somme, les secteurs industriels et commerciaux représentent près de 72 % de la consommation totale ! Parallèlement, les émissions de CO2 liées à l'énergie rebondissent de 8,5 % sans retrouver leur niveau de 2019, les secteurs énoncés précédemment étant responsables de près de 90 % du total.Une sous-exploitation des CEE par ces secteurs aggravée par un marché en crise Paradoxalement pour ces secteurs industriels et commerciaux, le dispositif des CEE, instrument principal de la politique énergétique en matière d'incitation aux travaux d'efficacité énergétique et de réduction des consommations d'énergie, ne représente en moyenne que 33 % des CEE délivrés depuis le 1er janvier 2022, avec le même ordre de grandeur sur les quatre dernières années. Le secteur qui profite des 67% restants est le résidentiel, représentant 28 % de la consommation d'énergie.De plus, l'actualité du marché des CEE n'est pas incitatrice à l'efficacité énergétique : le cours accuse une baisse des incitations financières de l'ordre de 30 % sur ces deux dernières années causée par la surproduction des CEE par rapport à des obligations [2] devenues insuffisamment ambitieuses.En effet, la production de CEE bat tous les records (avec des moyennes de 83 TWhc de délivrances CEE et 72 TWhc de dépôts CEE sur le début d'année 2022) pour une obligation de volume pour la 5ème période critiquée pour être mal calibrée (43 TWhc en comptant la surproduction de la 4ème période estimée à 450 TWhc, 52 TWhc par mois hors surproduction).Cette situation du marché des CEE provoque de lourdes conséquences, tant sur le plan économique, social qu'environnemental : Une baisse des aides et une augmentation des restes à charge financiers pour les travaux d'efficacité énergétique pour les particuliers et les entreprises, dans un contexte inédit d'explosion des prix de l'énergie. Plusieurs sociétés décalent, annulent ou n'envisagent simplement pas de lancer leurs projets d'efficacité énergétique en raison de la faible incitation actuelle des CEE. Une confiance rompue dans le dispositif par les utilisateurs finaux qui se retrouvent avec un reste à charge doublé ou triplé par rapport à il y a quelques mois et ne peuvent plus lancer leurs travaux.Un manque d'ambition qui se traduira par la non atteinte des objectifs français et européens en matière de baisse des consommations énergétiques alors que l'objectif 2020 a été atteint sur le fil grâce, ou à cause, du contexte sanitaire de 2020. À rappeler également que la révision de la directive efficacité énergétique devrait être actée d'ici la fin d'année, avec une augmentation probable de l'objectif 2030 actuel de 32,5% à 36%-39%.Doubler l'obligation du volume des CEE de la 5ème période pour atteindre les objectifsÀ ce titre, étant donné une moyenne mensuelle actuelle de 83 TWhc de délivrance de CEE et 450 TWhc de stocks de CEE, il est projeté une obligation CEE totale pour la 5ème période de 4 500 TWhc, soit un quasi doublement de l'objectif actuel.Avec la probable augmentation de 11 % de l'objectif européen, aujourd'hui à 32,5 % d'économies d'énergie [3] à réaliser d'ici 2030, l'obligation potentielle pourrait même s'élever à plus de 5 000 TWhc si la volonté politique était d'utiliser le dispositif pour atteindre l'objectif européen et national.Plusieurs acteurs de la filière ont émis une recommandation similaire de doublement voire de triplement des aides financières dédiées aux économies d'énergie [4], de même que la Convention Citoyenne pour le Climat [5] a proposé de quadrupler l'objectif (3 à 4 fois), ce qui porterait l'obligation à plus de 6 000 TWhc.Pour rappel, les forfaits des fiches d'opérations standardisées sont révisés régulièrement à la baisse, compte tenu de la réévaluation des références du parc et du marché pour mieux refléter l'économie d'énergie réelle : le montant d'incitations financières versées par opération sera donc limité.Si l'on souhaite atteindre l'objectif des 700 000 travaux de rénovation annoncés par le Président lors de sa campagne de réélection, une rehausse de l'obligation du volume des CEE est indispensable afin d'augmenter considérablement les incitations financières.Cette rehausse nécessaire aura pour première incidence de diminuer fortement les restes à charge et ainsi encourager les consommateurs et les acteurs de la filière à réaliser des travaux d'économies d'énergie.Au-delà du volume d'obligation additionnel conséquent, Hellio insiste sur l'importance d'augmenter à la fois l'obligation classique et l'obligation précarité. En effet, une rehausse de l'obligation précarité permettra de lutter contre la précarité énergétique mais ne stimulera pas les travaux d'efficacité énergétique dans les secteurs cités précédemment, notamment à cause de la fongibilité des CEE précarité (un CEE précarité peut remplir l'obligation classique), et laissera donc de côté les secteurs industriels et commerciaux.[1] https://www.statistiques.developpement-durable.gouv.fr/bilan-energetique-de-la-france-en-2021-donnees-provisoires-0 [2] emmy.fr ; Prix emmy spot CL Avril 2020 : 8,46 ; Prix emmy sport CL Avril 2022 : 5,93 ; Baisse de 29,9 % [3] https://www.consilium.europa.eu/fr/policies/green-deal/fit-for-55-the-eu-plan-for-a-green-transition/ [4] https://www.fedene.fr/wp-content/uploads/sites/2/2014/09/20171003-PROPOSITIONS-BD.pdf [5] https://propositions.conventioncitoyennepourleclimat.fr/pdf/rf/ccc-rapport-final-seloger.pdf
Il y a 2 ans et 340 jours

Saint-Gobain va créer la première usine de plaques de plâtre net zéro carbone en Amérique du nord

Le géant des matériaux va investir 90 millions de dollars canadiens dans son usine située près de Montréal au Canada, pour accroître ses capacités de production d’environ 40% et transformer son usine pour en faire le premier site de production de plaques de plâtre neutre en carbone en Amérique du Nord. Les nouvelles installations seront opérationnelles en 2024.
Il y a 2 ans et 340 jours

Plus de 4.200 participants aux « Assises Européennes de la Transition Energétique » réunis sur le thème de la sobriété énergétique

Durant 3 jours, cette 23ème édition a rassemblé plus de 4.200 participants dans le Grand Genève sur le thème crucial de la sobriété énergétique. Retour sur cette édition 2022 qui a fait bouger les lignes de la transition énergétique.La sobriété au cœur des débats pour atteindre la neutralité carbone à l’horizon 2050 Le programme de cette édition menée par plus de 300 intervenants pour 114 ateliers et 17 plénières a permis d’aller plus loin sur les deux facettes de la sobriété : la sobriété à l'échelle individuelle de ses comportements et la sobriété collective dans la manière d'organiser nos sociétés. Les collectivités et leurs partenaires ont réaffirmé leur rôle moteur dans la transition énergétique et écologique de la société. Aux côtés des co-organisateurs et en présence de la Directrice Générale de l’Office des Nations Unis de Genève, la première journée des Assises a mis à l’honneur les contextes internationaux et nationaux où les divers plans de relance doivent tenir compte de l’exigence écologique. A une échelle plus locale, Régions, métropoles et communes rurales venues de divers pays européens ont illustré comment la logique « Moins pour plus ! » se décline dans les territoires du quotidien. Au-delà de la question de l’acceptabilité du changement, celles autour de la quête de sens et de la formation à ces enjeux se sont révélées essentielles. Jean-François Caron, Fondateur de la Fabrique des Transitions, grand témoin de cette édition, l’a rappelé « Nous devons embarquer la société dans un élan de construction positive ». La deuxième journée a ainsi dressé une analyse des changements de comportements individuels et collectifs nécessaires pour réduire les consommations d’énergie. Des aspects de production et de distribution de l’énergie, les énergies renouvelables autour des questions de préservation des espaces et du foncier, mais aussi de production et distribution de l’énergie à l’heure de la nécessaire maîtrise des besoins, ont aussi fait débat. La dernière journée a réuni des territoires et des acteurs particulièrement engagés, à l’instar des territoires identifiés par l’ADEME dans le cadre du programme « Territoire engagé Transition Écologique ». Elle a également permis de présenter différents scénarios de transition énergétique et a donné la parole aux acteurs de la finance durable et du numérique. En clôture du programme des 17 plénières, la Commission Nationale du Débat Public a diffusé en avant-première son nouveau documentaire "Ma parole a du pouvoir" . Chantal Jouanno, Présidente de la Commission Nationale du Débat Public, Antonio Hodgers, Président du Grand Genève, et Arnaud Leroy, Président de l’ADEME, ont questionné le thème ‘Transitions et Démocratie’ pour démontrer l’importance d’impliquer les citoyens dans les grands enjeux de la transition de demain. Le OFF dédié au Grand Public sur le territoire du Grand Genève, qui offre depuis le 10 mai plus de 180 animations sur le territoire, se poursuit jusqu’au dimanche 5 juin 2022. Voir le programme à cette adresse. Bordeaux Métropole aura le plaisir d’accueillir les prochaines Assises Européennes de la Transition Énergétique au Palais des Congrès de Bordeaux les 23, 24 et 25 mai 2023.Le replay des 17 plénières des Assises Européennes de la Transition énergétique 2022 est disponible ici.Retour sur les moments forts de cette 23ème édition des Assises :1/ Le « Carrefour des Métiers de la Transition Énergétique » a reçu 1.000 jeunes de 14 à 17 ans, en quête d’orientation, mais aussi 250 jeunes diplômés, personnes en reconversion professionnelle et demandeurs d’emplois, pour découvrir les nombreuses perspectives de formations et d’emplois offertes par le secteur de la transition énergétique, avec un focus sur 4 thèmes – l’habitat, la mobilité, le numérique, et l’économie circulaire.2/ Lancement du projet GoH, la première filière hydrogène verte 100% suisse avec la présentation du premier camion 40 tonnes à l'hydrogène rejetant uniquement de l'eau.3/ Publication des dernières études de l’ADEME sur le thème « ACCÉLÉRER LE DÉVELOPPEMENT DES ÉNERGIES RENOUVELABLES »Étude « Les bénéfices liés au développement des énergies renouvelables et de récupération en France » qui évalue les bénéfices économiques et climatiques liés à la diminution des importations de combustibles grâce au développement des EnR.Étude « Coûts des énergies renouvelables et de récupération en France », qui fait le point sur leur coût de production.Étude « Éolien et immobilier », qui objective l’évolution des prix de l’immobilier à proximité des parcs éoliens.4/ Des signatures clés :SYANE (Syndicat des énergies et de l’aménagement numérique de la Haute-Savoie) et Pôle métropolitain du Genevois français : mise en place d’un contrat chaleur renouvelable, aide à la structuration des Centrales Villageoises, accompagnement des collectivités à la gestion de l’éclairage urbain et partage de données cartographies.GRDF et Énergie Partagée : expertises au service de la réussite des projets biogaz pour développer des projets exemplaires comme methamoly, qui unit agriculteurs, collectivités et partenaires industriels.l'Agence du Climat de Strasbourg et l'Agence locale de l’énergie rejoignent le réseau FLAME.Territoire Énergie Loire et Énergies Demain : poursuite du déploiement de l’outil de planification énergétique« PROSPER », aidant les collectivités à prioriser les investissements en faveur de la transition énergétique.Lancement du Label ZEST par la Communauté de communes du Pays Rochois, pour la valorisation en circuitcourt des déchets liquides transformés en BioGNV"Mon Éclairage Public" entre le SYANE et France Nature Environnement5/ Six visites terrains dans le grand Genève, un territoire en action dans la transition énergétique :Des visites thématiques guidées par des initiatives exemplaires et innovantes, ont été organisées à Energie lacustre, réseau d’anergie et récupération chaleur fatale du CERN, méthanisation agricole, écologie industrielle, éco-quartiers, …6/ Et beaucoup d'autres témoignages et retours d'expériences qui ont mis à l'honneur les différents partenaires présents au sein du village de la transition.
Il y a 2 ans et 340 jours

Välinge Flooring présente ses lames XXL brossées en chêne select

Les finitions brossées bénéficient elles aussi de la technologie Woodura®, processus de densification du placage par injection de poudre de bois comme tout autre modèle de la gamme.Leurs particularités :Les nouvelles finitions brossées font appel à un vernis plus transparent et plus souple destiné à mieux épouser chaque aspérité, chaque relief de la lame. Cette nouvelle finition offre un toucher incomparable et un confort optimal même pieds nus. Le choix esthétique de la matière (Select, sans nœuds) très épuré répond à une tendance actuelle et apporte une modernité sans pareille dans l’univers traditionnel du parquet.A destination et usage exclusivement résidentiel, les lames XXL peuvent être utilisées dans toutes les pièces de la maison (hors salle de bain et pièces donnant directement sur l’extérieur). Les différents brevets associés à la fabrication de cette collection tels que 5G® Dry™ qui apporte une résistance à l’eau pendant 24 heures et autorise un accès dans la cuisine (idéal pour faire de beaux grands espaces salon/séjour/cuisine d’un seul tenant), ou encore Woodura® qui densifie la matière, améliorent grandement la résistance aux chocs, réduisent les rayures et suppriment le poinçonnement. Woodura® autorise également la pose sur de très grandes surfaces sans joints de fractionnement, 25 mètres linéaires dans chacune des directions soit 625m2. Idéal pour habiller des appartements contemporains type lofts. La collection XXL Select se décline en 7 finitions dont 2 nouvelles font leur apparition : Chêne Terra Brown, un brun subtil aux légers accents ambrés voire fumés; et Chêne Shadow Brown, un brun plus soutenu, plus couvrant destiné à apporter une touche de classicisme pour cette lame néanmoins résolument moderne.Ces sept finitions sont aussi déclinées dans le choix Nature, c’est-à-dire légèrement noueux. Un choix idéal pour ceux qui, selon leur environnement ou désir, souhaitent apporter une pointe de rusticité ou d’authenticité à leur intérieur.Et enfin, courant du trimestre prochain cette même gamme de finitions sera disponible également en version XL Select.Une optimisation de la matièreA l’heure où la matière se raréfie, où il est de plus en plus difficile d’obtenir de beaux bois pour fabriquer et fournir des parquets aux lames larges sans nœuds sur le marché; la technologie Woodura® apporte cette solution grâce à l’optimisation de la matière (placage tranché 0,6mm) et également la densification de cette dernière.Prix : de 79€ à 99€ TTC le m²Spécificités :La largeur de pose maximale est de 25 mètres linéaires dans chaque direction avant qu’une transition ne soit nécessaire.Infos techniques :Collection XXL : 2378 x 271 x 11,3mm, 7 finitions en choix Select, 7 finitions en choix Nature. Collection XL : 2200 x 206 x 11,3mm, 7 finitions en choix Select – à venir courant 2ème trimestre.Pose :Flottante ou collée en plein selon les besoins. Suivre les règles des DTU parquets en vigueur pour la mise en œuvre des produits Välinge Flooring.Entretien :Quotidien : Privilégier le nettoyage à sec, aspirateur ou balais anti-poussières. Régulier : toujours aspirer au préalable puis utiliser un produit d’entretien courant destiné aux parquets (nettoyant au PH Neutre).BFl-S1, E1REACTION AU FEU Standard EN 13 501Bfl-S1 (difficilement inflammable)Conductivité thermiqueCompatible chauffage au sol basse température 27° en surface maximum en pose flottante.L’ensemble des matières premières utilisées sont certifiées FSC. L’ensemble du cycle de production est basé sur le principe du recyclage de matière : tout peut être broyé à nouveau pour constituer la poudre de bois nécessaire à la technologie Woodura®.
Il y a 2 ans et 340 jours

BHS-Sonthofen rachète Eurostar Concrete Technology

BHS-Sonthofen rachète l’Italien Eurostar Concrete Technology. [©BHS-Sonthofen] Le spécialiste allemand du malaxeur à doubles arbres horizontaux BHS-Sonthofen vient d’annoncer le rachat de l’industriel italien Eurostar Concrete Technology. Effective depuis le 18 mars dernier, l’opération fait suite au choix de Mario Zaccaron, Pdg d’Eurostar, de céder son entreprise… Ceci, à un constructeur de machines renommé, afin de garantir son développement dans le futur. Pour BHS-Sonthofen, cette acquisition constitue une formidable opportunité d’élargir son propre portefeuille d’équipements, en y ajoutant des malaxeurs planétaires. Pouvant traiter des gâchées jusqu’à 6 m3. A partir de maintenant, ces technologies de malaxage complémentaires offrent aux clients des deux entreprises une plus grande flexibilité, en termes d’équipements et de services. Une nouvelle offre de malaxeurs planétaires Les malaxeurs planétaires sont souvent utilisés pour la production de bétons pour la préfabrication et de bétons spéciaux en BPE. L’acquisition d’Eurostar Concrete Technology correspond à la volonté de BHS-Sonthofen de consolider, à long terme, sa position de partenaire compétent dans le domaine des malaxeurs de haute qualité. « La combinaison de malaxeurs discontinus à doubles arbres horizontaux et de malaxeurs planétaires va nous permettre de réagir d’une manière plus spécifique aux exigences de nos clients », souligne Dennis Kemmann, Pdg de BHS-Sonthofen. Ces attentes comprennent, d’une part, des options flexibles pour les applications les plus diverses et, d’autre part, un réseau de services après-vente vaste et fiable. Grâce à cette fusion, les clients d’Eurostar bénéficient de sites supplémentaires de SAV, à savoir ceux de BHS-Sonthofen. Mais aussi d’une gestion globale et complète des pièces de rechange, dans le monde entier. « Pour les constructeurs d’unités de production du béton et les partenaires commerciaux, cette extension signifie un portefeuille de produits encore plus attractif, d’un niveau technique élevé et doté d’une technique d’entraînement robuste », poursuit Dennis Kemmann. Comme les malaxeurs à doubles arbres horizontaux de BHS-Sonthofen, ceux d’Eurostar Concrete Technology disposent d’entraînements conçus sur mesure. La marque Eurostar est maintenue Par ailleurs, les modèles commerciaux des deux industriels se complètent, tous deux étant fabricants d’équipements destinés à des clients finaux, à des constructeurs d’installations et à des revendeurs. « Ce n’est qu’une des nombreuses raisons qui font que BHS-Sonthofen est notre partenaire idéal, confie Mario Zaccaron. Eurostar Concrete Technology et BHS-Sonthofen profiteront toutes les deux de cette acquisition. Grâce à l’expérience et au vaste réseau de BHS-Sonthofen, nous pourrons encore améliorer l’efficacité de notre production et aussi conquérir de nouveaux marchés. » A l’issue de cette fusion, la marque Eurostar Concrete Technology est conservée et Mario Zaccaron, confirmé à son poste de président. De même, la continuité des activités commerciales est assurée sur le site d’Eurostar, près d’Udine, en Italie. L’objectif final est de pérenniser la position de l’industriel sur ces marchés, tout en poursuivant le développement de l’offre de malaxeurs. BHS-Sonthfen confirme vouloir continuer à travailler avec le réseau habituel existant mis en place par Eurostar. Ainsi qu’avec les personnes déjà en charge du développement technique et commercial.
Il y a 2 ans et 341 jours

Matériaux alternatifs au service de l’écoconstruction

EQIOM propose une offre complète de services et de produits parfaitement intégrés dans un modèle d’économie circulaire qui vise à préserver les ressources naturelles en valorisant les déchets et leur réemploi sur 5 priorités : – L’accueil et la valorisation de déblais inertes (dont déblais en dépassement de seuil) dans le cadre du réaménagement des carrières en activité, permettant de créer de nouveaux espaces post-industriels : boisements, remise en terres agricoles, zones humides… – La production de granulats recyclés destinés aux applications routières et béton ; – L’incorporation de gravillons recyclés dans les unités de production de bétons prêt à l’emploi et usines de préfabrication ; – La valorisation de terres polluées ; – La valorisation des déchets non inertes (hors terres polluées) EQIOM vient de lancer RESSOURCEO, une nouvelle offre de produits et de services conçue dans un modèle d’optimisation des ressources. Avec cette offre, l’entreprise renforce son engagement en faveur de l’économie circulaire, en contribuant à préserver les ressources naturelles, et à proposer des matériaux alternatifs au service de l’écoconstruction. Cet article Matériaux alternatifs au service de l’écoconstruction est apparu en premier sur Planète Bâtiment.
Il y a 2 ans et 341 jours

Renouvelables : la production de biométhane a bondi de 9% en un trimestre

DÉCRYPTAGE. Présenté par les industriels comme un gaz renouvelable prometteur, le biométhane peut compter actuellement sur 400 installations produisant 7 térawatts-heure par an, un chiffre qui bondit de quasiment 10% entre la fin 2021 et la 1er trimestre 2022. L'injection de cette énergie dans le réseau national a connu une croissance fulgurante en un an.
Il y a 2 ans et 341 jours

Le salon Eurobois dévoile son programme

A la hauteur de cette offre et au plus près des tendances du marché et des besoins de la filière, Eurobois proposera un programme de contenus riches et variés.Il abordera les enjeux actuels de la filière tels que l'emploi, la formation, la montée en compétences, le numérique et l'innovation. Et mettra en valeur plus particulièrement les secteurs de la 1ère transformation, de la 2nde transformation et de l'agencement aussi bien sur les stands des entreprises que dans le cadre des nombreuses animations et conférences.Ce programme, alliant animations, démonstrations pratiques et sujets prospectifs, proposera des contenus spécifiques et adaptés aux besoins des visiteurs professionnels : agenceurs, architectes d’intérieur, charpentiers, ébénistes, menuisiers, collectivités, négoce, ou encore des scieurs. Ils auront la possibilité de s'informer sur les dernières actualités de la filière, de découvrir les innovations présentées par les entreprises exposantes, de participer à des démonstrations et mises en pratique sur de nombreuses animations et stands, et enfin d’accéder facilement aux offres d'emplois proposées et formations existantes.L’innovation au cœur du salonVéritable vitrine de toutes les nouveautés, produits, services et technologies, EUROBOIS place l’innovation au cœur du salon avec de nombreux dispositifs permettant aux visiteurs professionnels de découvrir les nouveautés de la filière.Les EUROBOIS AWARDSPlateforme de lancement de produits et services, le concours EUROBOIS AWARDS récompense le caractère innovant d’un produit ou d’un service, mais aussi son design, sa performance, la démarche RSE de l’entreprise, la qualité environnementale du produit/service, sa certification, son usage pour les professionnels, et enfin sa maîtrise des coûts. Les 28 innovations des 22 entreprises en lices seront jugées par un jury de professionnels de la filière, ainsi que par un jury d’étudiants issus d’écoles spécialisées de la filière bois.Nouveauté, les professionnels auront l’occasion de découvrir les innovations des entreprises à travers un pitch de 5 minutes sur le Plateau TV, le mardi 14 juin matin, à partir de 10h. La remise des prix aura lieu le 15 juin à 16h30, également sur le Plateau TV.Découvrez la liste des innovations présentées aux Eurobois AwardsEspace Wood Innovations – stand : 6M44Organisé par le Pôle de Compétitivité Xylofutur, La Wood Tech et Canopée Challenge, l’espace Wood Innovations proposera tout au long du salon de découvrir, d'échanger, de construire autour des thématiques d'innovation.Plusieurs ateliers seront proposés durant les 4 jours :Présentation des lauréats du Canopée ChallengeLes possibilités de l'innovation technique en lien avec les enjeux de la filièreL’intérêt d’intégrer du design dans le processus d’innovationPrésentation du Plan d'Investissement d'Avenir (PIA) 4 - Région Auvergne-Rhône-AlpesLes start-up de La Wood TechAtelier "Digital" : Innovation et Digital - Une convergence inéluctablePrésentation de projets labellisésRencontre adhérents Xylofutur - Les ponts entre recherche académique et industrielAtelier "Levée de fonds" : Financement de l'innovation - Suivez le guideLes acteurs de la filière Forêt-BoisPDI Programme de Développement à l'International 2023 - Région Auvergne-Rhône-AlpesAtelier "Pitch" : Comment bien présenter son innovationDes réponses concrètes aux problématiques liées à l’emploi et la formationDans un contexte de forte croissance due aux nouvelles réglementations et au soutien des pouvoirs publics, la filière bois peine à recruter. Manque d’attractivité des métiers, nouveaux enjeux liés à l’arrivée du numérique et du 4.0… Les raisons sont multiples. Et même si la situation tend à s’améliorer, les efforts doivent être maintenus, c’est pourquoi EUROBOIS s’engage pour la filière et propose des réponses concrètes.Le Campus EUROBOIS, espace spécialement dédié à l’emploi et la formation sur le salon, permettra de faciliter les rencontres entre les centres de formation, les étudiants et les professionnels en recherche de formation d’une part et les recruteurs et les demandeurs d’emploi d’autre part.Il sera organisé autour de deux espaces, l’un dédié à la formation, l’autre à l’emploi.L’espace formation, rassemblera une quinzaine de centres de formation, dédiés à la filière bois, proposant des formations continues ou initiales. Ils seront présents durant tout le salon pour renseigner, conseiller et accompagner les étudiants et/ou les professionnels en recherche de formation, mais également présenter les cursus existants, les nouvelles formations diplômantes, ainsi que les modalités pour y accéder. Les organismes présents sur le salon sont : L’ENSTIB, ESB, Fibois, CEGEP, Formabois, Le lycée Claude Mercier, CFPF, Master Sciences du Bois, GRETA CFA, le lycée forestier Sauges, Reinach formations, le Centre des Services Scolaire du Pays-des-Bleuets, le lycée Roanne Chervé Noirétable, Les Compagnons du Devoir, L’institut des métiers de Clermont-Ferrand, et enfin l’Ecole Technique du Bois.Au sein de l’espace dédié à l’emploi, les visiteurs auront accès à de nombreuses offres à pourvoir dans le secteur, sur le Mur de l’Emploi. Pôle emploi, partenaire de l’évènement, animera les 14 et 15 juin deux « journées de l’emploi » durant lesquelles l’organisme fournira des renseignements pratiques aux visiteurs.Par ailleurs, les thématiques de l’emploi, de la formation et de la montée en compétences seront également abordées sur le Plateau Bati-Journal TV au travers d’émissions dédiées :Mercredi 15 juin09H30-10H15 Emploi & recrutement : les nouveaux outils15H00-15H45 La formation SmartisanPleins phares sur l’agencementCOHOME BELLEVILLE CLUB, l’histoire d’un coliving laboratoire de l’agencementOrganisé par les équipementiers de l'Ameublement Français, l’espace COHOME BELLEVILLE CLUB propose aux visiteurs de découvrir de vraies inspirations pour l’agencement, des mises en situation de produits et de solutions disponibles pour leurs projets. Réalisé en collaboration avec l’agence Label Experience, COHOME BELLEVILLE CLUB met à profit les innovations du groupement pour créer un environnement accueillant, artistique et multi-fonctionnel.Sur l’espace COHOME BELLEVILLE CLUB, une équipe de 11 marques représentera une large palette d’expertises, de services, ainsi que de produits complémentaires. Ces entreprises mettent à disposition des agenceurs et architectes d’intérieur un espace d’échange et de partage sur le stand des Equipementiers de l’Ameublement français.Véritable laboratoire de l’agencement, le stand des Equipementiers de l’Ameublement Français propose un projet de coliving appelé « COHOME BELLEVILLE CLUB ». L’espace collectif comprend un accueil, un atelier et une terrasse, un coin cuisine/restauration, une buanderie, une salle de jeux/cinéma, une pièce hybride, un espace coworking, une estrade…L’agencement présenté intègre les différentes innovations des équipementiers : Marche pied Space step et Aventos en cuisine de Blum Tablettes coulissantes en buanderie de Blum Prises plan de travail, lampe chauffe plat, prises suspendues de MSA FRANCE Rideaux d’armoire Rehau Parquet, cloisons amovibles et poignées de LMC Façades de cuisine en panneaux Pfleiderer Plan de travail en Corian Mobilier structurel en contreplaqué de Manufactures Février usiné sur des machines à bois Biesse Lit armoire Sedac Meral Coussins d’assise et rideau acoustiques de Sotexpro Meuble TV sur vérins élévateurs de Linak Conception 3D, réalisée avec la suite 2020 Design Sur cet espace sont également prévus une série d’ateliers et des moments d’échanges conviviaux.Thématiques traitées en ateliersPrésentation du projet COHOME BELLEVILLE CLUBQuelles sont les tendances revêtements, textures, couleurs, systèmes ?Comment gagner en productivité dans ma production d’agencement ?Quel agencement face au développement durable ?Quel parcours numérique idéal dans l’agencement ?Quelles solutions pour l’hybridation et la modularité dans les espaces de vie ?Parole aux agenceurs de la Région Rhône-Alpes : s’engager dans une entreprise d’agencement : les entreprises recrutent !Optimisation des petits espaces et ultra sur-mesure Émissions dédiées à l’agencement sur le Plateau TVUsages du sapin en construction et aménagementCO-HOME avec L’Ameublement FrançaisLa parole à la Chambre Française de l’agencement - RSEPro A avec la Chambre Française de l’agencementMoments d’échangesApéritif convivial entre équipementiers, agenceurs, distributeurs et architectes d’intérieur dans la cuisine grandeur nature du COHOME BELLEVILLE CLUBDéjeuner convivial : les équipementiers invitent le Club Chic sur l’espace COHOME BELLEVILLE CLUB : agenceurs, distributeurs, architectes d’intérieur, industriels du meuble et designers.La construction bois mise en valeur à travers 2 animationsLes ateliers construction bois : conférences et retours d’expérience au programmeA l’occasion de ses 40 ans, l’Agence Qualité Construction proposera sur son stand un cycle de conférences dédié à la construction bois sur des retours d’expériences et points de vigilances.Les conférences porteront sur les sujets suivants : La Qualité de l’Air dans la constructionCatalogue Bois Construction : Assurez la performance et la qualité des constructions boisSimulateur bois et biosourcé, pilotez l’impact environnemental de votre constructionDéfauthèque, points de vigilance et REX sur les constructions boisRéversibilité des constructions, anticipez les évolutionsÉconomisez les ressources, réemployez ! Re.SourceLa préfabrication cela s’apprend !Panneaux acoustiques, les solutions boisL’atelier M.O.B : toutes les étapes en temps réel de la fabrication de panneaux, de la conception du projet 3D au départ sur chantier !Les visiteurs pourront s’immerger au sein d’un atelier de construction bois grandeur nature, au cœur du salon, mêlant techniques traditionnelles et numériques.Coordonnée par l’entreprise Mach Diffusion, pilotée par Charm’Ossature et en collaboration avec les entreprises exposantes du salon, l’animation permettra de découvrir en temps réel toutes les étapes de la reconstitution d’un atelier de fabrication, de la conception du projet 3D au départ sur chantier : conception, débit, assemblage, manutention, levage, transport et montage, ainsi que toutes les machines, équipements et outils nécessaires à la construction d’une maison !L'Atelier des Compagnons : valoriser les savoir-faire traditionnels et numériques au travers de la thématique de l’assemblageDes jeunes menuisiers en formation sur le Tour de France participeront à un atelier sur le salon organisé par les Compagnons du Devoir.Au travers de la thématique de l’assemblage, ils pourront interroger les évolutions qui transforment la pratique de leur métier.À l’aide de leurs scies, de leurs ciseaux et d’un bras robot, de jeunes professionnels pourront tailler dans le vif du sujet et tenter d’ébaucher des débuts de réponses en s’entraînant à réaliser des assemblages le temps du salon, en mêlant techniques et savoir-faire traditionnels et numériques.De multiples conférences, tables rondes et interviews sur le Plateau TVAnimé par Bati-Journal TV avec le soutien de France Bois Forêt, le Plateau TV accueillera durant 4 jours plus de 20 émissions autour des grandes thématiques d’actualités : l’agencement et le design, l’innovation, le 4.0, la robotique et l’automatisation, la formation et l’emploi, la construction bois, l’outillage et enfin la 1ère et 2ème transformation.Mardi 14 Juin10H00-12H00 Pitch Innovations Eurobois Awards12H30-13H30 Inauguration Eurobois 202214H00-14H45 La parole au Secimpac15H30-16H15 La parole à la Capeb16H45-17H30 Usages du sapin en construction et aménagementMercredi 15 Juin09H30-10H15 Emploi & recrutement : les nouveaux outils10H30-11H30 CO-HOME avec L’Ameublement Français12H00-12H45 La parole à la Chambre Française de l’agencement - RSE13H45-14H30 Pro A avec la Chambre Française de l’agencement15H00-16H00 Les scieries de service - Maurice Chalayer16H30-18H00 Remise des Trophées Eurobois AwardsJeudi 16 Juin09H30-10H15 Solutions bois en acoustique10H45-11H30 La parole à Plantons pour l’Avenir12H00-12H45 Valorisation innovante du chataigner15H00-15H45 La formation Smartisan16H15-17H00 La main et le numérique avec les Compagnons du DevoirVendredi 17 Juin09H30-10H15 Prévention sécurité au travail10H45-11H30 Parole au SNAFOT12H00-12H45 Les nouveaux outils de l’innovation avec Xylofutur13H45-14H30 Présentation de la plateforme du metier.org - Compagnons du DevoirPlantons pour l'avenir et Eurobois : ensemble pour les forêts françaisesCette année Plantons pour l’avenir et Eurobois ont choisi de s’associer pour créer un mouvement solidaire en faveur des forêts françaises.Créé en 2014 par les coopératives forestières, le Fonds de dotation Plantons pour l'avenir accompagne plus de 350 reboisements sur tout le territoire ainsi que des projets de sensibilisation et d’innovation en lien avec la filière forêt-bois.Plantons pour l’avenir sera présent sur un stand dédié ainsi que chez ses mécènes exposants, et présentera ses actions lors de petits déjeuner les mercredi 15 et jeudi 16 juin de 9h à 10h30 sur le club VIP ainsi que sur le Plateau TV Batijournal.Grâce aux mécènes ce sont 2,3 millions d'arbres plantés et 2 100 hectares reboisés, dans le cadre de la gestion durable et de l'adaptation de nos forêts au changement climatique.
Il y a 2 ans et 341 jours

Augmentation de capital de 20 millions d'euros pour la filiale du groupe Poujoulat Euro Energies

Le marché du bois énergie connaît une croissance en volume très forte portée par l'augmentation du parc d'équipements (poêles, inserts, chaudières, …) et le recours plus systématique à une énergie toujours plus compétitive au regard des tensions sur les marchés du gaz, du fioul et de l'électricité.La montée en gamme des appareils (labellisés Flamme Verte et Eco Design) nécessite, par ailleurs, une offre très qualitative de biocombustibles adaptés aux exigences de rendement énergétique et d'hygiène de combustion. Avec sa gamme haute performance (bois de chauffage certifié, granulés de bois, bois d'allumage, bûches densifiées) Euro Energies répond dès à présent à la nouvelle réglementation publiée au Journal Officiel de la République Française le 31 mars dernier.Dans ce contexte, les actionnaires d'Euro Energies ont décidé de souscrire à une augmentation de capital de 20 millions d'euros afin de préparer l'entreprise à la massification de son offre dans les meilleurs délais. D'ores et déjà leader français sur ses marchés, Euro Energies a pour objectif de tripler son chiffre d'affaires à l'horizon 2025.L'augmentation de capital permettra d'accroître les capacités des sites existants, de financer et/ou cofinancer de nouvelles unités de production pour accompagner les évolutions quantitatives et qualitatives du marché du bois énergie.Euro Energies va donc poursuivre ses investissements industriels et logistiques autour de ses deux marques de référence (Woodstock et Crépito) et renforcer ses partenariats stratégiques. Le retour d'expériences de ses 4 premières usines, les relations de confiance nouées avec ses fournisseurs depuis quinze ans et la rentabilité positive, en forte progression, sont des atouts décisifs pour accélérer la croissance.Cette nouvelle étape s'inscrit pleinement dans la stratégie de long terme et RSE du groupe Poujoulat s'appuyant sur la qualité, l'efficacité énergétique, le développement des énergies renouvelables et la production locale.Frédéric COIRIER, Président Directeur Général du groupe Poujoulat déclare : « depuis 15 ans notre ambition est de structurer un marché de biocombustibles haute performance. La qualité des combustibles est un gage indispensable pour répondre aux enjeux de la qualité de l'air et de la performance énergétique. Le bois énergie crée par ailleurs beaucoup de valeur et d'emplois dans les territoires. Nous remercions nos partenaires historiques, Océan Participations et Volney Développement, qui nous accompagnent fidèlement depuis plus de 10 ans. »Pierrick CHARROT et Bruno DESLANDES, pour Océan Participations, déclarent : « Nous sommes ravis de pouvoir accompagner Frédéric COIRIER et ses équipes dans cette nouvelle étape de développement du groupe. Ce partenariat illustre parfaitement notre volonté de soutenir les entrepreneurs qui font la dynamique de notre territoire. »Fabien POIRIER, pour Volney Développement, déclare : « Volney Développement, aux côtés d'Océan Participations, confirme sa vocation à accompagner les entreprises en fort développement. En particulier dans le contexte actuel, le projet de production d'énergie renouvelable d'Euro Energies et sa capacité à construire des partenariats dans le long terme prend tout son sens. »
Il y a 2 ans et 341 jours

Diderot Real Estate annonce la signature du parc Quatuor composé de 4 bâtiments clé-en-main

Avec ce projet, Diderot s’affirme aujourd’hui comme l’acteur de référence en matière d’immobilier d’entreprise sur-mesure en région.Diderot, partenaire de confiance des territoiresConstruire des bâtiments sur-mesure et ainsi contribuer au développement du tissu économique régional, c’est la raison d’être de Diderot Real Estate depuis plus de 10 ans.C’est dans cet esprit de partenariat que l’Etablissement public d’aménagement du Mantois Seine Aval (EPAMSA) et Diderot ont collaboré étroitement pour rendre possible ce projet complexe à Buchelay, au cœur de ZAC Mantes Innovaparc.Ce territoire stratégique situé à proximité de l’autoroute A13 connaît un fort développement, incarné par de grands projets d’aménagement, la réhabilitation de la Halle Sulzer ou encore la mise en service de la gare Eole, qui reliera Paris en moins 40 minutes dès 2024.Un projet qui exprime tout le savoir-faire de DiderotAu cœur de cette ZAC qui se développe sur 58 hectares, Diderot lance aujourd’hui QUATUOR, un parc d’activités qui accueillera 4 nouveaux bâtiments, conçus avec l’agence d’architecture Franc, pour une surface totale de plus de 10.000 m2.Le programme QUATUOR s’est appuyé sur la méthodologie Diderot, afin de co-concevoir avec chacun des utilisateurs des bâtiments performants, adaptés à leurs enjeux organisationnels et leurs ambitions environnementales (RT 2012-20%, labellisation BREEAM).Parmi les utilisateurs qui ont choisi de s’installer dans le parc QUATUOR : le Groupe ACCEDIA et sa filiale SAFIR (bâtiment mixte : siège social, showroom, production), le centre de services partagés de RATP Développement (bureaux) et l’entreprise PROMUSEUM (bâtiment mixte : siège social, showroom, activités). ALTO, un quatrième bâtiment d’activités, est en cours de commercialisation. Les travaux qui seront pilotés par GSE commenceront en 2022, pour une livraison prévue en septembre 2023.Avec ces 4 opérations engagées simultanément, Diderot démontre à nouveau sa capacité à satisfaire des attentes variées des futurs occupants, tout en apportant un soin particulier au traitement architectural et paysager, qui fait sa signature.
Il y a 2 ans et 341 jours

Panasonic révolutionne le chauffage et le rafraichissement avec Aquarea EcoFleX, sa solution 2 en 1 !

– Solution 2-en-1 alliant des systèmes air-air et air-eau ;  – Unité gainable connectée dotée de la technologie nanoe™X ;  – Installation et maintenance facilitées ;  – Récupération de chaleur pour une efficacité optimale.  Gennevilliers – Panasonic lance Aquarea EcoFleX, une solution flexible et innovante alliant chauffage, climatisation, production d’eau chaude sanitaire et qualité de […]
Il y a 2 ans et 341 jours

L'économie circulaire, une filière qui exige des compétences nouvelles et des acteurs engagés

En France, le secteur du bâtiment produit 46 millions de tonnes de déchets par an et, à l'heure actuelle, seul 1 % des matériaux de construction est réutilisé, selon l'Ademe. En considérant ceux issus de la déconstruction comme des ressources, le réemploi prévient la production de déchets, concourt à […] Lire l'article
Il y a 2 ans et 342 jours

Quand l'inflation menace les énergies vertes

Plombé par le renchérissement du fret et de matières premières vitales, le coût d'investissement pour construire de nouvelles capacités solaires et éoliennes terrestres a crû de 15 à 25% entre 2020 et 2022, soldant une décennie de baisse, a calculé l'Agence internationale de l'énergie. L'électricité d'origine renouvelable reste compétitive face aux autres énergies, ajoute l'AIE, mais le maintien attendu sur au moins 2022 et 2023 de coûts d'installation plus élevés qu'avant-Covid pourrait compliquer son accélération.En un an, le prix du cobalt a plus que doublé, quand, de janvier 2021 à mars 2022, le nickel gagnait 94%, l'aluminium 76%, le cuivre 34%... Le lithium a même crû de 738% sur cette période (contre +13% de moyenne annuelle ces dix dernières années).Ainsi le prix des modules photovoltaïques, divisé par quatre en cinq ans, a-t-il augmenté de 16% l'an dernier. Le coût de l'éolien a pris 9%: l'offshore en particulier subit le surcoût des métaux rares et du cuivre, qui affecte aussi câblages et raccordements. Quant aux batteries lithium-ion des voitures électriques, la part des alliages de cathodes est passée de 3% du coût total en 2015 à plus de 20%, note l'AIE..."Le lithium s'est envolé car la demande a doublé en 2021 et l'offre n'a pu suivre. C'est un petit marché, et une moindre hausse de la demande fait bouger massivement les prix", explique à l'AFP Tae-Yoon Kim, analyste pour l'AIE.Résultat, "les minerais critiques menacent une baisse des coûts qui durait depuis au moins 10 ans dans les technologies renouvelables", souligne M. Kim, avec "des conséquences majeures sur les besoins de financement de la transition énergétique dans le monde"."Trou d'air"En France, la filière sonne l'alarme. Dans le solaire, des projets équivalant au total à 2,1GW de production électrique, soit l'essentiel, qui théoriquement étaient prêts pour 2022, sont stoppés en raison de surcoûts (métaux, transports, acier, taux d'intérêt et même flambée des marges des agrégateurs commercialisant le courant), a recensé le Syndicat des énergies renouvelables (SER). Le constat vaut dans l'éolien, la petite hydroélectricité et même le biogaz.En cause, des contrats signés avant le boom des coûts, contractualisant un prix de l'électricité à des niveaux ne couvrant plus les frais. Et pas question de se rattraper sur la hausse des prix de marché, puisque l'exploitant doit restituer à l'Etat la différence avec celui acté dans son contrat.Alors que la France attend 3 GW de solaire additionnels par an, "on risque un trou d'air en perdant ces projets", dit Alexandre Roesch, délégué général du SER, qui demande une indexation, avec un prix garanti plus élevé, par exemple 70 euros/MWh, ce qui resterait bien inférieur aux prix actuels du marché à 150 ou 200 euros."Cela restera de toute façon profitable à la collectivité", dit-il. Les énergies renouvelables restent compétitives, a fortiori en pleine flambée des énergies fossiles et face aux "prix moyens observés ces six derniers mois sur les marchés de gros de l'électricité", souligne aussi l'AIE.Elle appelle cependant Etats et industriels à "agir sérieusement" pour "diversifier leur approvisionnement en matières premières", impératif mis en lumière par la crise avec la Russie -- 2e producteur mondial d'aluminium, de cobalt, de platine..."Il existe encore des marges pour réduire les coûts", dit M. Kim : "d'abord, investir dans de nouveaux projets miniers. Les prix se stabiliseront seulement quand une offre nouvelle sera disponible".L'AIE préconise une mise à jour des connaissances géologiques, notamment dans les pays en développement. "Et il y a de la marge pour développer des projets aux Etats-Unis, Canada, Amérique latine..." : à partir de 2023, de nouveaux sites doivent commencer à produire du cobalt en République démocratique du Congo, du nickel en Indonésie et au Canada, du lithium en Australie, du cuivre en Amérique latine..."Mais il en faudra plus", note l'expert, qui ajoute que les industriels devront aussi innover pour réduire fortement leurs besoins en métaux.
Il y a 2 ans et 342 jours

Projet de loi pouvoir d'achat : l'Etat veut dynamiser les projets de production d'ENR

MESURE. Le gouvernement compte, dans son futur projet de loi sur le pouvoir d'achat, trouver les moyens de faire sortir plus rapidement les installations de production d'énergies renouvelables sur le territoire.
Il y a 2 ans et 342 jours

Face aux critiques, TotalEnergies prend des engagements pour l'environnement en Ouganda

TotalEnergies, qui prévoit de commencer "début 2025" en Ouganda une production pétrolière controversée, s'est engagé à une série d'actions en faveur de l'environnement dans le pays.
Il y a 2 ans et 342 jours

Une 3e site de production à Dunkerque pour HGCT

H3, le nom que portera l’unité de production d’Hoffmann Green à Dunkerque, aura une capacité de production de 250 000 t/an. [©HGCT] L’industriel Hoffmann Green Cement Technologies a annoncé qu’il allait franchir une étape clef de son développement, en construisant son 3e site de production sur un terrain de 5 ha appartenant au Grand port maritime de Dunkerque. Idéalement situé (à proximité d’un embranchement ferroviaire et fluvial), le site offre un nouvel accès maritime qui fera la jonction avec les silos de stockage situés sur le port de La Rochelle. Une capacité de production de 250 000 t/an Cela correspond aussi à la stratégie du Grand port maritime de Dunkerque (GPMD) que de développer l’industrie génératrice de nouveaux flux maritimes sur ses terminaux portuaires. « Nous sommes ravis d’avoir l’opportunité d’accueillir Hoffmann Green, un acteur de la transition énergétique qui contribue fortement à la réduction des émissions de gaz à effet de serre du secteur du bâtiment. Cette implantation démontre nos engagements aussi bien dans l’innovation qu’en matière sociétale et environnementale », précise Maurice Georges, président du GPMD. H3, le nom que portera l’unité de production d’Hoffmann Green Cement à Dunkerque, aura une capacité de production de 250 000 t/an et pourra cibler les marchés des Hauts-de-France, de l’Ile-de-France mais aussi du Benelux. Le démarrage de la construction de l’usine H3 devrait débuter durant le 1er semestre 2023 pour une réception prévue à la fin de l’année 2024. Construit intégralement à partir de ciments décarbonés sans clinker Hoffmann Green Cement, H3 sera la copie du site vendéen H2. Dernier avantage : HGCT aura un accès direct à une de ses ressources. A savoir, le laitier de hauts fourneaux Ecocem, également produit sur la zone portuaire de Dunkerque.
Il y a 2 ans et 342 jours

Place publique : Travail de mémoire par Stefan Shankland

Pour piloter le traçage des différentes courbes, l’artiste Stefan Shankland a pris de la hauteur, grimpant au sommet d’un des immeubles entourant la place. [©ACPresse] « Nous avons un devoir de mémoire. » Ainsi, l’artiste Stefan Shankland résume-t-il l’essence de sa démarche. Celle qui consiste à relier le passé au présent et au futur aussi. A Ivry-sur-Seine (94), la Zac du Plateau vit une profonde mutation, qui voit la disparition des constructions anciennes et la naissance de bâtiments neufs. Le cycle naturel de la ville, de la vie… Mais que reste-t-il du temps d’avant ? Souvent, plus rien. Stefan Shankland a voulu changer cet ordre des choses. « Je souhaitais être là au moment des démolitions, à l’instant où la mutation commençait. J’ai demandé à récupérer quelques mètres cubes de gravats, sans pour autant savoir quoi en faire. » Si ce n’est de sauvegarder un peu d’histoire. Pour l’artiste, c’est là une seconde approche, après celle opérée en 2008, dans le même secteur. Et qui a vu la récupération de 40 m3 de gravats, transformés, après un tri rigoureux, en 40 gabions de 1 m3 installés au cœur du chantier du ministère des Finances, sur l’actuel mail Monique Maunoury. Mais il est possible d’aller plus loin, avec la réalisation d’un vrai béton. Le processus de création conduit à la naissance de la matière “Marbre d’ici”. Son objectif : « Réintroduire un siècle de patrimoine dans un projet neuf », résume Stefan Shankland. Très vite, la Ville d’Ivry-sur-Seine, maître d’ouvrage du réaménagement, joue le jeu. Et accepte de voir le concept intégrer le projet d’aménagement de la place du Général de Gaulle et de ses abords. Le souvenir des constructions passées Il n’est pas possible de faire plus urbain à ce niveau. La place est entourée sur trois de ses côtés par une série d’immeubles d’habitations, d’une hauteur de onze à douze étages. Des architectures modernes, soignées, tout à fait dans l’air du temps. L’enclave se développe sur 3 000 m2, auxquels s’ajoute toute la zone périmétrale située en arrière des constructions. « Cet aménagement est très minéral, dominé par le matériau béton, détaille Rudy Blanc, ingénieur paysagiste au sein de l’agence Urbicus, en charge de l’aménagement de la place. Trois grandes noues rompent cette minéralité, introduisant le végétal dans cet espace. » Graminées, plantes à fleurs et trois espaces de saules – qui culmineront à 10 m une fois adultes – et même un gléditsia composent ce parterre.   Au centre de la place, Urbicus a libéré un grand carré de 260 m2, zone d’accueil de l’œuvre “mémorial” de Stefan Shankland. « C’est le souvenir des constructions passées, mais aussi de ce qu’était le lieu avant, bien avant. Nous sommes ici dans un ancien lit de la Seine, qui coulait là il y a quelque 350 000 ans. Puis, quand on creuse le sol, on découvre toutes les strates souterraines. Celles que j’ai pu apercevoir au moment des démolitions et des terrassements. Enfin, avec les pluies se formaient des flaques d’eau, colorées par les terres, les reflets. » Tout était là, réuni au fil du temps sous les yeux de l’artiste. Vient alors l’esquisse. Celle d’une série de méandres, miroir d’une carte d’état-major avec ses courbes de niveaux, figurant la topographie d’un lieu… Avec l’aide du Cérib L’autre aspect est celui du matériau : le fameux béton à formuler à partir des gravats. Mais ces matières premières sont loin d’être nobles et prévues pour ce type d’utilisation. Qu’à cela ne tienne… La première étape reste classique et voit le tri des gravats par catégorie. S’en suit un concassage pour les réduire en poudre. A l’issue, cinq types de “sables et granulats” – un 0/2 et un 2/4 – ont été retenus pour le projet : tuiles et briques creuses, d’une couleur orangée, briques classiques, avec leur robe rouge, béton, de teinte grise, meulière, à la nuance ocre foncé, et enfin, pierre calcaire, caractérisée par une pigmentation ocre clair. Mais comment transformer ces matériaux en béton, esthétique qui plus est ? Pour ce faire, Stefan Shankland s’est rapproché de partenaires potentiels : la Fib pour commencer, puis du Cérib. La division “Matériaux et technologie du béton” de Patrick Rougeau pour être précis. « Nous sommes intervenus sur l’optimisation de la formulation du “Marbre d’ici”, tout en précisant sa technique de mise en œuvre », explique Patrick Rougeau. Une première expérimentation a eu lieu au château du Domaine de Chamarande (91) où 36 dalles de 1,10 m x 1,10 m, pour 3 cm d’épaisseur, ont été réalisées in situ, coulées sur un béton de masse servant de structure porteuse. Le “Marbre d’ici” du château a été formulé avec des gravats issus de démolition de bâtiment de Paul Chemetov, à Courcouronnes (91). Entre 2 cm et 3 cm d’épaisseur Pour Ivry-sur-Seine, la formule a été adaptée en conséquence, les matières premières n’étant pas du tout les mêmes. « La mise au point n’a pas été très simple, car nous devions obtenir une bonne fluidité pour la mise en place et sans trop de variation d’un béton à l’autre », poursuit Patrick Rougeau. Outre les cinq types de gravats, le “Marbre d’ici” intègre une part de granulats classiques – un sable 0/2 et une silice 3/8 -, du ciment blanc 42,5 ou gris 32,5 et un kit d’adjuvantation en poudre fourni par Moderne Méthode. Le “Tableau minéral” en “Marbre d’ici” prend place au centre de la place du Général de Gaulle. [©DR]Des tuyaux d’arrosage servent de coffrage pour limiter les zones de mises en place des différentes teintes de “Marbre d’ici”. [©ACPresse]Le “Marbre d’ici” est mis en œuvre de manière manuelle sur une épaisseur de 2 cm à 3 cm. [©ACPresse]La limite entre les différentes teintes de “Marbre d’ici” est nette ou floue, selon les prescriptions de l’artiste Stefan Shankland. [©ACPresse] La fabrication se faisait sur site, au sein du Mat Lab, un atelier mobile de production conçu par Stefan Shankland et son collectif (Atelier Trans305 et Raum Architectes). Cette installation, s’articulant autour de trois bétonnières de chantier, a permis la réalisation des bétons colorés en petites quantités et à la demande, de manière à respecter le rythme des travaux. Comme au château, le “Marbre d’ici” est coulé sur une dalle support en béton, sur laquelle a été épandu un primaire époxy d’accrochage. L’épaisseur oscille entre 2 cm et 3 cm. La mise en place est opérée à la main par une équipe dédiée de l’entreprise Minéral Service. Ce spécialiste des bétons esthétiques de sols assure la totalité des aménagements horizontaux de la place du Général de Gaulle et de ses abords.  Un tuyau d’arrosage comme coffrage Après le traçage des courbes devant figurer les méandres, la difficulté semblait provenir de la manière de suivre avec précision ce dessin avec les bétons. A ce niveau, c’est le savoir-faire de Minéral Service qui a joué. En lieu et place d’un système complexe de coffrage, l’équipe a tout bonnement utilisé un tuyau d’arrosage en caoutchouc, disponible dans n’importe quelle quincaillerie. Fixé au sol à l’aide de simples clous, ce dispositif très simple s’est révélé d’une redoutable efficacité. Après séchage complet de l’œuvre, les équipes ont égalisé la surface par ponçage, avant d’opérer la finition par polissage (deux passages de disque diamant de finesse 40, puis 80). « Le polissage met les granulats en valeur », indique Samuel Béard, chargé d’affaires Minéral Service.   Si le “tableau minéral” de Stefan Shankland occupe une place centrale, il n’en est pas moins un constituant de l’ensemble de l’aménagement. Imaginé par Urbicus, l’espace est scindé en trois zones. Tout d’abord, la partie “voirie”. « L’automobile n’a pas été chassée et peut traverser la zone sur une chaussée, dont le tracé est identifié par une série de potelets métalliques », indique Rudy Blanc. Cette identification est tout aussi importante pour les piétons, car il est essentiel que chacun sache où il se trouve. Viennent ensuite les zones piétonnes, qui occupent l’essentiel de la surface. Enfin, les noues végétales complètent l’aménagement. Trois couleurs et trois finitions Au départ, la pierre naturelle avait été envisagée. Mais c’était sans compter la détermination de Minéral Service qui, fort de sa très belle intervention place de la République, à Paris, a su faire pencher la balance côté béton. « Nous avons très vite repris le principe d’un traitement très foncé pour la partie carrossable », admet Rudy Blanc. Quant aux autres zones, elles dessinent un patchwork de dégradé de teintes de bétons… Des suggestions de Minéral Service. « Nous avons travaillé très en amont sur ce projet et avons réalisé nombre d’échantillons, en termes d’aspects et de textures », détaille Marjorie Debonnaire, responsable du bureau d’études de Minéral Service. Au final, seulement trois couleurs – gris clair, gris médian à 0,5 % de pigment noir et gris foncé à 2 % de pigment noir – et trois aspects de finition structurent la place. Le béton brossé reprend les trois couleurs, tout comme l’hydro-sablé, mis en œuvre sur la zone circulée. Le troisième aspect est le bouchardé, qui, lui, se distingue par ses granulats gris-noirs. En fonction des zones, les bétons présentent une épaisseur différente : 20 cm pour la chaussée, 18 cm pour les voies pompiers et 15 cm pour les trottoirs, qui restent carrossables (circulation des véhicules d’entretien). Afin de pallier tout risque d’erreur, Minéral Service a travaillé par zones et par types de béton. « Et par jour aussi », souligne Marjorie Debonnaire. Et de poursuivre : « Pour la mise en œuvre, nous avons utilisé un petit pompage à béton stationnaire. Les premiers centimètres de béton étaient vibrés, mais pas les derniers pour garantir une absence totale de ségrégation, même millimétrique ». Un délicat travail de calepinage Il était essentiel, en particulier pour les bétons bouchardés et hydro-gommés, que les granulats soient omniprésents en surface, après traitement. C’est pour cette même raison, que l’entreprise a opté pour des bétons de classe de consistance S2. « Difficiles à mettre en place, mais garant des résultats qu’on en attend… » Tous les bétons ont été formulés (suivant les indications de Minéral Service) et fabriqués par Eqiom. Cinq matières premières, en deux coupures, sont issues de la valorisation de gravats de démolition : briques classiques (rouge), tuiles et briques creuses (orangée), meulière (ocre foncé), béton (gris) et calcaire (ocre claire). [©ACPresse]Le Mat Lab, un atelier mobile de production, permet la production du Marbre d’ici sur site. [©ACPresse]Zone de circulation automobile, avant hydro-gommage. [©ACPresse]Zone périphérique de la place Charles de Gaulle, bénéficie d’une finition en béton brossé. [©ACPresse]Trottoir en arrière des immeubles, traité en bétons brossé et bouchardé. [©ACPresse] Pour lisser la surface des bétons, les équipes ont utilisé un rouleau araseur – le Lura de BMC Diffusion -, utilisé jusqu’à une largeur de 9 m. La finition “brossée” est opérée sur béton frais, dès que la surface présente un aspect humide sans aucun ressuage. A l’issue, le béton protégé par un agent de cure Grace ou Chryso. « L’utilisation du premier se fait par temps humide et du second par temps sec. » Les bétons hydro-sablés et bouchardés bénéficient du même traitement de protection. La dernière particularité du chantier concernait le plan de calepinage avec deux types de joints de dilatation : avec fourrures compressibles et à recouvrement par plat inox. En fait, les joints étaient positionnés de manière à souligner un axe piéton, un point singulier. Idem pour les joints de retrait-flexion, de type sciés ou par intégration de quart-de-rond. « Pour nous, ce chantier s’est avéré assez délicat, car il était très complexe de travailler, donc de gérer, différentes formulations de bétons sur un même aménagement », conclut Marjorie Debonnaire. Frédéric Gluzicki Repère Maire d’ouvrage : Ville d’Ivry-sur-Seine / Grand Paris Aménagement Maître d’œuvre “Marbre d’ici” : Stefan Shankland / Raum Arhcitectes Architecte paysagiste : Urbicus (Rudy Blanc) Entreprise d’aménagements de sols : Minéral Service Formulation (Marbre d’Ici) : Cérib BPE : Eqiom
Il y a 2 ans et 342 jours

Transformer plutôt que démolir, une tour rénovée à Rennes par Robain-Guieysse et BMC2

En France, le secteur du bâtiment produit 46 millions de tonnes de déchets par an et, à l'heure actuelle, seul 1 % des matériaux de construction est réutilisé, selon l'Ademe. En considérant ceux issus de la déconstruction comme des ressources, le réemploi prévient la production de déchets, concourt à […] Lire l'article
Il y a 2 ans et 342 jours

Saint-Gobain acquiert le nord-américain Kaycan, numéro un du bardage

Kaycan, qui emploie 1.300 personnes sur 12 sites de production aux Etats-Unis et au Canada, "est un acteur majeur des matériaux de rénovation", en particulier pour les revêtements de façade, bardages en bois, vinyle, composite et aluminium, a indiqué Benoit Bazin, directeur général de Saint-Gobain au cours d'un bref entretien avec la presse.Cette acquisition qui devrait être finalisée "d'ici fin 2022" s'inscrit doublement dans la stratégie du groupe français, qui s'investit dans la construction durable et souhaite se développer en Amérique du Nord, a souligné M. Bazin.Au total, le chiffre d'affaires de Saint-Gobain aux Etats-Unis "va dépasser 10 milliards de dollars en 2022", contre 6,5 milliards USD en 2018, a-t-il précisé.Saint-Gobain a prévu de revendre 10 agences de distribution appartenant à Kaycan aux Etats-Unis, dont le chiffre d'affaires annuel s'élève à 70 millions de dollars.Au Canada, le groupe gardera toute l'implantation très forte de Kaycan, et notamment son réseau de distribution "solide et intégré" qui servira aussi à diffuser les produits Saint-Gobain, a indiqué M. Bazin.L'opération de rachat est financée en numéraire. "C'est la deuxième fois en un an que nous réalisons une opération d'achat de gré à gré après celle de Chryso", leader français de la chimie de construction, a indiqué M. Bazin."C'est nous qui sommes allés chercher cette société familiale fondée en 1974" en raison d'un "alignement parfait des activités" des deux groupes, a-t-il dit.
Il y a 2 ans et 342 jours

WOLF double ses capacités de production de pompes à chaleur

Afin de pouvoir continuer à répondre à la forte croissance de la demande, WOLF a investi massivement dans l’extension de ses capacités de production de pompes à chaleur. L’enntreprise a investi dans la production de la pompe à chaleur air/eau écologique CHA à Mainburg en Allemagne et a ainsi doublé les capacités existantes. Toutes les pompes à chaleur de la marque peuvent se combiner avec d’autres systèmes comme par exemple les capteurs solaires ou un système de ventilation domestique, la commande peut s’effectuer à distance avec l’application WOLF Smartset.
Il y a 2 ans et 343 jours

SINTRA inaugure son expertise technology center , son nouveau centre de recherche et de production

Maintenir une température constante et homogène tout en maîtrisant les flux d’air et le niveau d’hygrométrie, est un enjeu crucial et un véritable challenge pour les acteurs de l’industrie et du tertiaire, en particulier dans les bâtiments de grand volume. À l’occasion du 27ème anniversaire de sa création (1995-2022), la société a inauguré son nouveau […]
Il y a 2 ans et 343 jours

L'UE, l’État et la Région au soutien d'une usine contestée de laine de roche dans l'Aisne

L'usine Rockwool recevra 10,6 millions de fonds européens et de l'Etat dans le cadre du plan France Relance, a annoncé jeudi le groupe dans un communiqué.La région Hauts-de-France avait déjà annoncé fin mai 2 millions d'euros de financement, sur un investissement total annoncé de 130 millions d'euros. Le projet d'usine a été sélectionné par l'Agence de l'environnement et de la maîtrise de l'énergie (Ademe) en raison de sa contribution à la "décarbonation de l'industrie" selon Rockwool.Mais le développement de cette usine est régulièrement contesté depuis plusieurs mois par des habitants, qui étaient encore plusieurs centaines à manifester fin mai. Ils craignent qu'elle devienne "une des plus polluantes de France", en raison notamment du rejet dans l'air de produits toxiques comme les phénols, les formaldéhydes et l'ammoniac.La laine de roche, comme la laine de verre, isolant efficace et peu coûteux, est décriée en raison des pollutions entraînées par son processus de production, et de la difficulté à la recycler.Le 31 mars 2021, le préfet de l'Aisne avait délivré à Rockwool, leader mondial de la fabrication d'isolants en laine de roche, une autorisation d'exploiter dans une Zone d'aménagement concertée (ZAC) du village de Courmelles, au sud de Soissons.Le projet avait pourtant reçu un avis défavorable du commissaire enquêteur. L'enquête publique concluait que les nuisances, liées notamment à l'impact environnemental de cette usine qui emploierait quelque 130 personnes, l'emporteraient sur ses avantages.Le conseil municipal de Courmelles s'était lui aussi prononcé, à l'unanimité, contre cette implantation, et un collectif de médecins a alerté sur le rejet de substances toxiques dans l'atmosphère (particules fines, ammoniac, acide chlorhydrique...).Parmi les opposants au projet, le député LREM candidat à sa réélection Marc Delatte.Des recours ont été déposés au tribunal administratif contre l'arrêté préfectoral.
Il y a 2 ans et 344 jours

Batimat crée l’espace Low Carbon Construction pour pour promouvoir les solutions émergentes de la décarbonation

Conçu en partenariat avec Construction 21, cet espace de 600 m2 permettra de découvrir toute la richesse de l’offre de ce marché en fort développement. Des conférences spécifiques, un parcours thématique ainsi que des démonstrations complèteront le dispositif d’exposition. Avant la présence inédite de ce thème sur le salon, qui se tiendra du 3 au 6 octobre, BATIMAT lance dès aujourd’hui une série d’outils d’information (podcasts, livres blancs…) disponibles sur Batiadvisor et Batiradio.Vitrine de l’innovation et des enjeux du secteur, BATIMAT entend valoriser toutes les solutions et produits proposés par les acteurs de la filière autour de la thématique de la décarbonation des ouvrages. Pour cela, un travail d’envergure a été engagé, en partenariat avec Construction 21, afin de co-construire des contenus pertinents disponibles avant et pendant le salon. Objectif : répondre aux véritables préoccupations exprimées par les artisans et prescripteurs, visiteurs du salon, en recherche d’informations précises sur les problématiques liées à l’environnement.Sur ce thème du "Low Carbon Construction", cinq thématiques ont été retenues : Matériaux de construction bio (et géo)sourcés, en rénovation et dans le neuf ; Matériaux de construction recyclés ; Biodiversité, du bâtiment à l’urbain ; Réemploi ; Construction frugale.Un univers décarboné au centre de BATIMATSitué en plein cœur du Pavillon 1, l’Espace Low Carbon Construction de BATIMAT mettra en lumière, sur plus de 600 m2, les solutions et matériaux pour la décarbonation des bâtiments.En totale cohérence avec la thématique, cet espace réconcilie événementiel et développement durable : politique zéro déchets, choix de bois d’origine française et transformé sur le territoire, de mobiliers éco-conçus, de moquettes 100 % recyclées, d’éclairage led... Sur cet espace, BATIMAT accueillera les exposants ainsi qu’un pôle dédié aux associations et organismes partenaires (ADIVET, BIOBUILD et GRAMITHERM, à date) autour d’un programme riche :Des démonstrations régulières pour informer les professionnels sur l’utilisation de ces produits ;Un programme d’ateliers sur l’Espace Low Carbon Construction avec les experts du secteur ;Un parcours thématique et des visites guidées quotidiennes pour découvrir les solutions des exposants.Plusieurs exposants sont déjà inscrits sur cet espace :Secteur BIOSOURCÉ, BIODIVIERSITÉ URBAINE ET VÉGÉTALISATION : ALEGINA ; PAREXGROUP ; PNR DES MARAIS DU COTENTIN ET DU BESSIN ; SIKA FRANCE SAS ; VERTIGE INTERNATIONALSecteur CONSTRUCTION DURABLE ET ÉCONOMIE CIRCULAIRE : A.R.Q.E ; CARMINE S.A. ; CYCLE UP ; LEADAX - THE NEW LEAD - LE NOUVEAU PLOMB ; PEG SAEn attendant BATIMATÀ partir d’aujourd’hui et jusqu’à l’ouverture du salon, en octobre 2022, BATIMAT proposera un panel d’actions et d’outils inédits pour mieux faire connaître l’ensemble des solutions disponibles pour la décarbonation des bâtiments. Des articles sont à découvrir sur Batiadvisor ainsi qu’une étude sur le bâtiment et le carbone et un guide sur les matériaux biosourcés. Des podcasts seront également à écouter sur Batiradio.Enrichis régulièrement, ces dispositifs d’échange permettront de profiter d’informations couvrant des thématiques telles que "Les matériaux de construction biosourcés en rénovation et dans le neuf" ; "Les matériaux de construction recyclés" ; "Biodiversité, du bâtiment à l’urbain" ou encore "Construction frugale".Dans ce cadre de la valorisation des solutions disponibles pour la décarbonation des bâtiments, le premier thème abordé concerne les matériaux biosourcés.Représentant aujourd’hui environ 10% du marché des isolants et reconnus pour leurs performances, ils répondent aux nouvelles attentes des particuliers, à l’évolution des normes et à l’urgence environnementale. Ce marché bénéficie par ailleurs d’un grand dynamisme et est porté par de nombreux acteurs très investis mais aussi très disparates. Les matériaux biosourcés sont aussi extrêmement diversifiés et ne cessent d’évoluer : bois, chanvre, paille, ouate de cellulose, terre crue, textiles recyclés, balles de céréales, miscanthus, liège, lin, chaume, herbe de prairie... il existe une infinité de produits. Ces matériaux représentent évidemment un atout de taille pour répondre aux enjeux environnementaux. Toutefois, les acteurs du biosourcé ont à faire face à plusieurs défis et notamment la capacité à tenir les engagements en termes de progression de volumes de production mais aussi savoir convaincre les prescripteurs d’utiliser ces matériaux alternatifs.Pour disposer d’une vision précise et exhaustive sur ces matériaux, BATIMAT propose le premier livre blanc sur le thème "Construire biosourcé". Il est dès à présent disponible à cette l’adresse.Des articles sont également à découvrir à cette adresse.Des podcasts sont également à écouter ici.Une tournée internationaleAvec l’ambition de faire venir le plus grand nombre de visiteurs internationaux à la recherche de solutions pour la construction bas carbone, le Mondial du Bâtiment a lancé le Low Carbon Construction Tour, une tournée dans 12 pays européens et africains, entre avril et juillet 2022.En parallèle, le Mondial du Bâtiment déploie une action spécifique pour faire venir le top 100 des cabinets d’architecture européens et africains spécialistes de la construction bas carbone. Un programme privilégié de plusieurs jours sera proposé pour leur permettre de participer au programme de conférences, rencontrer les grands décideurs, visiter des chantiers et des bâtiments exemplaires.
Il y a 2 ans et 345 jours

Comment ouvrir un portail électrique manuellement ?

Un portail électrique, comme son nom l’indique, n’est pas fait pour être ouvert manuellement. Dans 100% des cas, ces derniers s’ouvrent et se referment à l’aide d’une petite télécommande, directement reliée au portail. Une fois le bouton pressé, celle-ci transmet le message au portail qui s’ouvre ou se referme. En d’autres termes, vous n’avez pas grand-chose à faire ! Pratique, ce système permet de gagner du temps. Mais comment faire lorsqu’un problème survient, au point de devoir ouvrir son portail manuellement ? Quand ouvrir un portail électrique manuellement ? Comment ouvrir un portail électrique manuellement ? Comment éviter l’ouverture manuelle de son portail électrique Quand ouvrir un portail électrique manuellement ? Chez Erma-fermetures, nous sommes spécialisés dans l’installation et l’assistance aux portails électriques défectueux. Si nous sommes sûrs d’une chose, c’est que les raisons qui pourraient expliquer pourquoi un portail électrique ne s’ouvre plus sont assez nombreuses. Comme vous le savez probablement, ces derniers fonctionnent sur courant, via une prise secteur. La première des choses qui pourrait arriver est donc, une coupure d’électricité ! La seconde raison qui expliquerait un défaut de fonctionnement, c’est tout simplement l’usure du temps. À force d’ouvertures et de fermetures voire d’intempéries, un portail peut être amené à se détériorer et à rencontrer quelques difficultés, même s’ils sont très bien entretenus de votre côté. Enfin, dernière raison qui pourrait expliquer un dysfonctionnement du portail électrique et donc supposer une ouverture manuelle, c’est un problème de télécommande. Celle-ci peut être perdue, cassée, ne plus avoir de piles / batterie. Bref, les raisons qui pourraient vous pousser à devoir ouvrir un portail électrique manuellement sont finalement assez nombreuses. Comment ouvrir un portail électrique manuellement ? Mais concrètement, comment s’y prendre afin d’ouvrir un portail électrique manuellement ? Dans 99.9% des cas, les entreprises chargées de la conception et de la production de ces portails introduisent un dispositif d’ouverture manuelle. Il s’agit en fait d’un simple dispositif d’urgence, simple d’utilisation, qui évite de rester bloqué chez soi, ou dans la rue. Le débrayage manuel Ce dispositif a un nom, il s’agit du débrayage manuel. De fait, lorsque le courant est coupé, vous pouvez ouvrir votre portail, que vous soyez chez vous ou à l’extérieur. Le débrayage manuel peut prendre plusieurs formes : Il apparaît sous la forme d’un barillet à clé Il apparaît sous la forme d’un simple cordon ou d’une poignée à tirer Dans certains cas, les portails électriques de dernière génération sont équipés d’un système de débrayage manuel qui s’active à l’aide d’un clavier à code. Ici, on parle toutefois de portails électriques à des prix assez élevés, haut de gamme. Enfin, certains ont simplement une petite serrure et une clé de secours ! Un vrai confort pour l’utilisateur. Dans tous les cas, le déblocage manuel est expliqué dans la notice. Plutôt que de tout réparer, d’installer ou de changer de nouvelles pièces, n’hésitez pas à vous renseigner en amont. Des forums spécialisés existent également, vous permettant d’ouvrir votre portail en toute sécurité. Comment éviter l’ouverture manuelle de son portail électrique Pour autant, en arriver à ouvrir un portail électrique manuellement est inévitable. La première des choses à faire est de prévoir une batterie de secours. En cas de panne de courant, le portail électrique continuera à fonctionner puisque alimenté par cette batterie secondaire (qui généralement permet de dépanner, mais n’est pas pérenne). Une seconde solution consiste à anticiper et prendre soin de son portail. Afin d’être sûr de vous, n’hésitez pas à faire appel à un professionnel afin de programmer une visite. Il viendra effectuer des vérifications et des opérations de maintenance. En étant vérifié régulièrement, le portail électrique reste fonctionnel. Ainsi, vous prenez le moins de risque possible et soyez sûr qu’il continuera à s’ouvrir et à se refermer, à votre guise. Bien évidemment, ce constat est valable pour un garage à porte automatique. De simples solutions pour empêcher de se retrouver bloqué avec sa voiture. Enfin, une dernière solution annexe à l’ouverture manuelle de son portail, consiste à avoir une télécommande ainsi qu’une application sur son smartphone qui va agir comme une serrure digitale et qui va débrayer, déverrouiller le portail électrique roulant à distance, dans le cas où vous en auriez besoin pour sortir !
Il y a 2 ans et 347 jours

Énergies renouvelables : la Chine renforce ses capacités de production

STRATÉGIE. Grâce à des financements publics, le pays asiatique continue le développement des énergies renouvelables sur son territoire. Le premier pollueur mondial pourrait atteindre ses objectifs énergétiques plus tôt que prévu.
Il y a 2 ans et 347 jours

La hausse des coûts de production pénalise l'activité des travaux publics

CONJONCTURE. La tendance n'est pas bonne dans les travaux publics : la hausse des coûts de production, renforcée par la guerre en Ukraine, impacte lourdement le volume d'activité du secteur ainsi que les prises de commandes. L'inquiétude grandit pour les entreprises.
Il y a 2 ans et 347 jours

Iberdrola a dépassé ses objectifs en 2021 avec un bénéfice de 3,88 mds d'euros

Le résultat net du géant espagnol, l'un des leaders mondiaux des énergies renouvelables, a atteint 3,88 milliards d'euros, soit une hausse de 8% par rapport à 2020 (3,61 milliards).Ce chiffre, supérieur à l'objectif que s'était fixé le groupe (entre 3,7 et 3,8 milliards), dépasse également les prévisions des analystes interrogés par Factset, qui tablaient en moyenne sur 3,73 milliards de bénéfice.Le résultat brut d'exploitation (Ebitda) d'Iberdrola a atteint pour sa part 12 milliards d'euros, soit une hausse de 20% sur un an, précise le groupe dans un communiqué.Iberdrola explique avoir profité du "bon comportement" de ses activités aux Etats-Unis et au Brésil, grâce à la hausse de sa "capacité installée", notamment en matière d'énergie renouvelable.Cela a permis de compenser la baisse de ses marges sur deux de ses principaux marchés, l'Espagne et le Royaume-Uni, affectés par la flambée des prix de l'énergie."L'accélération des investissements" a permis à Iberdrola d'atteindre un rythme de croissance "supérieur à ce qui était prévu", s'est félicité dans un communiqué le président du géant espagnol, Ignacio Galán.Iberdrola précise avoir investi 9,9 milliards d'euros l'an dernier, en grande majorité pour développer sa capacité de production d'énergie renouvelable.Sur les 12 derniers mois, 3.500 mégawatts (MW) d'énergie renouvelable ont été installés, dont 1.181 MW dans le secteur photovoltaïque, 1.141 MW dans l'éolien terrestre et 998 MW dans l'hydroélectrique.Au vu de ces investissements, Iberdrola précise viser un bénéfice compris entre 4 et 4,2 milliards cette année. Le groupe espagnol va par ailleurs augmenter de 5% la rémunération de ses actionnaires cette année.