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Résultats de recherche pour allemagne

(2071 résultats)
Il y a 2 ans et 80 jours

LG renforce sa position sur le marché européen du chauffage , de la ventilation et de la climatisation grâce à des solutions écoénergétiques

   COURBEVOIE – LG Electronics (LG) présente ses dernières solutions de chauffage, de ventilation et de climatisation (CVC) au Salon international de l’assainissement, du chauffage et de l’air (ISH) 2023, qui se tient à Francfort, en Allemagne, du 13 au 17 mars. Présentées sur les stands Residential Solution et Commercial Solution, les solutions LG destinées à […]
Il y a 2 ans et 80 jours

Pour le salon ISH, Resideo lance quatre nouveaux produits autour de la gestion du chauffage et de l’eau

Paris, 14 mars 2023 – Resideo Technologies, Inc., fournisseur mondial de solutions de confort et de sécurité pour la maison, a dévoilé aujourd’hui ses nouveaux produits et solutions au salon international ISH 2023 à Francfort, en Allemagne. Ces nouveautés aideront les installateurs et les consommateurs à relever les défis de la gestion de l’énergie et […]
Il y a 2 ans et 83 jours

Ingérop conforte son ancrage en Allemagne

Ingérop Deutschland vient d’acquérir RRI, une société qui lui permet de poursuivre son implantation en Allemagne.
Il y a 2 ans et 85 jours

Fibre optique : NGE décroche un nouveau marché en Allemagne

CONTRAT. Alors que l'activité autour de la construction des réseaux de fibre optique ralentit en France, le groupe NGE poursuit sa conquête de nouveaux marchés à l'international, et notamment en Allemagne, où il a remporté son 3e contrat.
Il y a 2 ans et 90 jours

L'espace d'accueil d'un grand assureur santé allemand réalisé en Himacs

En tant que l'un des plus grands assureurs santé d'Allemagne, AOK avait besoin de projeter une image professionnelle mais accueillante dans sa zone de réception. C'est pourquoi ils ont fait appel à un groupe coopératif de menuisiers - Bezold GmbH & Co. KG, Bodenschlägel GmbH & Co. KG, et Bert Lenz Möbelmanufaktur GmbH - pour réaliser cet imposante banque d’accueil, en HIMACS.
Il y a 2 ans et 98 jours

Hydro finalise l’acquisition de la société Hueck

Hydro a finalisé l’acquisition de Hueck le 28 février après avoir reçu l’approbation des autorités de la concurrence en Allemagne et en Autriche. L’acquisition renforce la position de Hydro Building Systems en Europe et complète sa présence sur le marché.
Il y a 2 ans et 99 jours

Ouverture de Viega World : le BIM révolutionne le secteur de la construction

Schiltigheim, février 2023 – Viega a ouvert le centre de séminaires le plus innovant et le plus durable du secteur à Attendorn (Allemagne). Le Viega World est un projet de référence pour la construction du futur. Il montre de quelle manière les projets de construction peuvent profiter d’une planification intégrale grâce au Building Information Modeling […]
Il y a 2 ans et 100 jours

La France et dix États de l'UE s'unissent pour défendre l'énergie nucléaire

"L'énergie nucléaire est l'un des nombreux outils permettant d'atteindre nos objectifs climatiques, de produire de l'électricité de base et de garantir la sécurité de l'approvisionnement", affirment ces pays dans une déclaration commune signée en marge d'une réunion des ministres européens de l'Energie à Stockholm.Les 11 Etats (France, Bulgarie, Croatie, République tchèque, Hongrie, Finlande, Pays-Bas, Pologne, Roumanie, Slovaquie, Slovénie) s'accordent pour "soutenir de nouveaux projets" nucléaires, basés notamment "sur des technologies innovantes" ainsi que "l'exploitation des centrales existantes".Le texte prévoit des projets communs de formation, "des possibilités de coopération scientifique accrue" et le "déploiement coordonné des meilleures pratiques dans la sécurité".Le cabinet de la ministre française de la Transition énergétique, Agnès Pannier-Runacher, avait affiché avant la réunion l'objectif de "créér une alliance du nucléaire (...) et d'envoyer un signal fort dans les différentes négociations européennes".Paris avait déjà remporté une victoire mi-février avec la proposition de la Commission européenne de considérer comme "vert" l'hydrogène produit à partir d'un mix électrique comportant du nucléaire, sous certaines conditions.Désormais, la France défend la prise en compte de cet "hydrogène bas carbone" dans un texte en discussions fixant pour chaque Etat européen des objectifs d'hydrogène renouvelable dans l'industrie ou les transports. Plusieurs Etats, dont l'Allemagne et l'Espagne, y sont totalement opposés. Dans le cadre d'une réforme du marché européen de l'électricité, la France préconise par ailleurs des contrats de longue durée à prix garanti, y compris au bénéfice de la production nucléaire, ce que refuse Berlin.Energie "stable""Le nucléaire représente 25% de notre production électrique européenne, émet moins de carbone que l'éolien et le photovoltaïque", avait martelé lundi Mme Pannier-Runacher, y voyant un outil "complémentaire" des renouvelables "pour atteindre la neutralité carbone" visée par l'UE en 2050. "Nous devons unir nos forces" pour innover et "développer de nouvelles installations", avait-elle plaidé."Etats-Unis, Royaume-Uni, Corée du Sud, Chine, Inde et même Japon envisagent le nucléaire comme moyen important de décarboner leur économie. Nous devons être sur un pied d'égalité", a-t-elle souligné.La Pologne, qui mise sur le nucléaire pour se désengager du charbon, et la République tchèque avaient salué dès lundi ce projet d'"alliance", même si ce terme n'a pas été retenu dans la déclaration finale."Les renouvelables peuvent s'avérer instables. Il faut une énergie stable et durable, faiblement carbonée: nous n'en connaissons qu'une, le nucléaire", a observé le ministre tchèque Jozef Sikela.Les onze pays signataires sont les mêmes qui soutenaient fin 2021 la reconnaissance du caractère "durable" du nucléaire, énergie n'émettant pas de CO2, dans la "taxonomie" européenne, une labellisation verte permettant de faciliter certains investissements. Ils avaient obtenu gain de cause dans le texte finalement adopté mi-2022, au grand dam des antinucléaires.La Suède, dont l'actuel gouvernement est pro-nucléaire, n'a pas signé la déclaration de mardi, étant contrainte à la neutralité durant les six mois de sa présidence du Conseil de l'UE. Elle s'est néanmoins montrée accommodante. "Nous respectons le fait que les Etats choisiront des solutions différentes pour leur transition, le but essentiel étant de se passer des énergies fossiles", a insisté la ministre Ebba Busch.L'initiative de la France intervient à l'heure où le modèle énergétique allemand, basé sur des importations de gaz bon marché, est mis à mal par la guerre en Ukraine et les efforts de l'UE pour réduire la dépendance aux énergies fossiles.L'hostilité de Berlin à l'atome est partagée notamment par l'Autriche et le Luxembourg."Pour gagner la course contre le changement climatique, nous devons être rapides. Les nouvelles centrales nucléaires, c'est 15 ans de construction, deux à trois fois plus cher que l'éolien et le solaire. C'est de l'idéologie, pas du pragmatisme", a déclaré lundi le ministre luxembourgeois Claude Turmes. "Il faut se concentrer sur les solutions disponibles, bon marché, sans effets indésirables, sans danger: les énergies renouvelables", a abondé la ministre autrichienne Leonore Gewessler.
Il y a 2 ans et 101 jours

Nouveau record de projets d'investissements étrangers en France en 2022

Le nombre de ces projets dans lesquels la part des capitaux étrangers est majoritaire s'est élevé à 1.725, soit 7% en plus par rapport à 2021, qui était déjà un plus haut historique, a rapporté l'agence chargée de promouvoir le site France auprès des investisseurs étrangers.Ces décisions d'investir ont permis la création ou le maintien de 58.810 emplois, un chiffre en hausse de 31% sur un an si l'on tient compte tient compte des CDI intérimaires, principalement créés par les sociétés Manpower et Randstad."Hors CDI intérimaires, les emplois induits ont augmenté de 7% en 2022", précise dans son communiqué Business France, qui ne recense pas les montants investis pas toujours communiqués par les entreprises."C'est très positif, parce qu'il y avait une inconnue sur l'année 2022 avec tous les soubresauts que l'économie mondiale a connus", a déclaré à l'AFP le directeur Business France Laurent Saint-Martin. D'après lui, "ces bons résultats viennent récompenser une cohérence d'ensemble sur l'attractivité du pays".Si les années précédentes avaient montré que les réformes fiscales et du marché du travail avaient permis d'attirer plus d'investisseurs, "on ne savait pas encore comment la France était perçue au milieu des tempêtes", a observé le directeur de Business France dans une allusion à la crise sanitaire et aux conséquences économiques de la guerre en Ukraine.Dans un tweet, le président de la République Emmanuel Macron a lui aussi salué cette "année record", se félicitant que "la France attire plus que jamais et crée des emplois". "La politique conduite depuis 6 ans porte ses fruits !".Inflation plus faibleSe félicitant aussi "d'excellents chiffres", le ministre de l'Économie Bruno Le Maire a lui salué dans un communiqué "la constance de nos alliés et amis américains, allemands et britanniques dans leurs choix d'investissement, traduisant ainsi leur confiance dans la capacité d'innovation et de création de la France."Les Etats-Unis ont en effet repris l'an dernier la tête du classement, avec 280 projets, devant l'Allemagne (256). Et les investisseurs américains sont de loin en tête en nombre d'emplois maintenus ou créées, avec 29% du total contre seulement 12% pour les projets allemands.Les créations d'établissements comptent pour la moitié des projets d'investissement mais seulement pour 29% des emplois créés, tandis que les extensions de sites existants représentent 46% des projets mais les deux tiers des emplois, le reste étant constitué par des reprises de sociétés par des investisseurs étrangers.Plus de quatre projets industriels sur cinq (81%) sont des extensions, "une preuve de la confiance en notre économie" et en l'"efficacité de l'outil industriel français" mais aussi de la "satisfaction" à l'égard de la main-d’œuvre française, selon l'agence.Un gros quart (26%) des investissements sont réalisés dans des activités de production qui comptent pour 30% des emplois, tandis que les sièges sociaux pour la France ou l'Europe qui représentent aussi près du quart des projets ne totalisent que 11% des emplois, détaille-t-elle.Si la construction automobile décroche après une "exceptionnelle année 2021", l'aéronautique, très affectée par la crise sanitaire, redécolle avec 52 projets et un nombre d'emplois associés qui a plus que doublé en 2022. La volonté de mettre en exergue l'industrie est clairement affichée mais le secteur des services compte tout de même encore pour près de la moitié (49%) des projets et de 56% des emplois.Business France rappelle que la France est "le 1er pays de l'OCDE en termes de financement public et d'incitations fiscales pour la R&D des entreprises".Autre élément qui a contribué à l'attractivité en 2022, "la France est reconnue comme un pays qui a mieux su gérer son inflation" laquelle a été nettement inférieure à la moyenne européenne, fait valoir Laurent Saint-Martin.D'autres données sur les investissements étrangers seront publiées en amont du Sommet Choose France le 15 mai, au cours duquel le président Emmanuel Macron réunira des patrons de grands groupes étrangers, indique encore Business France.
Il y a 2 ans et 107 jours

Cemex reçoit une toupie 100 % électrique

La toupie électrique Volvo FMX est mise en service dans l’unité de production de béton prêt à l’emploi de Spandau, à Berlin. [©Volvo Trucks] C’est inédit ! Un Volvo FMX a été livré à Cemex, lors d’un évènement spécial à Berlin, en Allemagne. Il s’agit de la première toupie 100 % électrique et donc zéro émission au monde fournie par Volvo Trucks. Ce véhicule intégrant des batteries est le dernier développement d’un accord signé entre les deux industriels en 2021. Une collaboration qui vise à réduire les émissions de carbone et à améliorer la productivité dans le domaine de l’électromobilité. « Nous sommes ravis de franchir une étape supplémentaire dans le partenariat avec Cemex, déclare Roger Alm, président de Volvo Trucks. Ensemble, nous allons travailler à la mise en œuvre d’un transport neutre en C02 dans le secteur de la construction. Nos camions électriques ne produisent aucune émission et leur fonctionnement silencieux améliore l’environnement des personnes travaillant sur les chantiers. » Lire aussi : Cemex décarbone le transport de ses matériaux de construction Un partenariat au service de l’environnement La Volvo FMX peut être utilisée durant une journée entière de travail avec une seule recharge pendant la pause. Dès à présent, cette toupie électrique est en service dans la centrale à béton de Spandau, à Berlin. « Notre partenariat avec Volvo dispose d’un énorme potentiel pour contribuer à la décarbonation de notre entreprise, précise Fernando Gonzáles, président de Cemex. Le déploiement de notre premier camion de béton prêt à l’emploi entièrement électrique constitue un progrès important dans cette voie. » Dans le cadre de son programme Future in Action, Cemex a réaffirmé sa volonté de devenir un industriel à zéro émission nette d’ici 2050. Suivez-nous sur tous nos réseaux sociaux !
Il y a 2 ans et 107 jours

Icade n'introduira "probablement pas" sa filiale santé en Bourse

Dans son communiqué de résultats annuels, la foncière spécialisée dans le tertiaire et la santé explique "poursui(vre) activement ses réflexions sur la liquidité de sa filiale Icade Santé", qui possède plus de 200 établissements de santé (cliniques, maisons de retraite) en France, Allemagne, Italie, Espagne et au Portugal.Après une tentative d'introduction en Bourse en 2021, que le groupe avait alors reportée, jugeant le marché trop peu favorable, Icade Santé envisage désormais "différents scenarii" pour financer sa croissance.Cela ne se fera "pas nécessairement, et je dirais même probablement pas, sous forme d'IPO" (introduction en Bourse, NDLR), a dit à l'AFP Olivier Wigniolle."On peut faire rentrer des investisseurs sur base privée plutôt que sur base publique comme on l'avait imaginé, on peut imaginer céder une partie de notre participation, on peut imaginer se rapprocher d'autres acteurs de l'immobilier de santé...", a-t-il détaillé.Olivier Wigniolle, arrivé à la direction générale du groupe en 2015, va quitter son poste au printemps.Le nom de son successeur sera connu au plus tard lors de l'assemblée générale du groupe, le 21 avril.En 2022, le groupe Icade, dont l'activité se scinde en trois branches (promoteur, foncière tertiaire et foncière santé), a légèrement dépassé ses objectifs de résultats annuels.Son cash-flow net courant par action, indicateur qu'il utilise pour établir ses objectifs, a progressé de 5,9%, plus que les 4% de croissance attendus. Celui de la foncière santé a grimpé de 6,6%, contre 6% attendus. Le dividende proposé à ses actionnaires sera de 4,33 euros, soit 3,1% de plus qu'en 2021, une progression dans la fourchette basse de l'objectif annoncé (entre 3 et 4%).Son chiffre d'affaires a progressé de 11,4%, à 1,74 milliard d'euros, porté par la croissance de ses revenus de promoteur et des loyers perçus par la filiale santé.Le résultat net, moins représentatif des performances d'une foncière, a dégringolé de 80%, à 54,1 millions d'euros, du fait de la baisse de valeur de son patrimoine.
Il y a 2 ans et 112 jours

Leonard présente les finalistes du Hello Tomorrow Global Challenge 2022 dans la catégorie « Construction et infrastructures durables »

Leonard, la plate-forme de prospective et d’innovation du Groupe VINCI, présente les start-up finalistes du Hello Tomorrow Global Challenge 2022 dans la catégorie « Construction et infrastructures durables ». Partenaire de Hello Tomorrow pour la quatrième année consécutive, Leonard s’est entouré des experts de VINCI et de Hello Tomorrow pour sélectionner six start-up parmi des centaines de candidats désireux de répondre aux défis climatiques et sociétaux d’aujourd’hui et de demain :BioZeroc (Grande-Bretagne) : création d’un béton sans ciment grâce aux biotechnologiesCaeli Energie (France) : conception de systèmes de climatisation à faible émission de carbone et à haut rendement énergétique. Caeli Energie a bénéficié de l’accompagnement du programme SEED de Leonard en 2021.Made of Air (Allemagne) : prélèvement du dioxyde de carbone dans l’air et réutilisation en vue de fabriquer des produits qui remplacent les plastiques d’origine fossile ou les matériaux à fortes émissions.Mykor (Grande-Bretagne) : transformation de déchets cellulosiques et de champignons en matériaux de construction durables.Peafowl Plasmonics (Suède) : des cellules solaires transparentes donnant du pouvoir à la prochaine génération de dispositifs IoT pour permettre un déploiement de masse.Strong by Form (Chili) : un composite à base de bois de haute performance et de forme libre destiné à remplacer le béton, l’acier et l’aluminium dans l’environnement bâti.Plus de 4 000 solutions ont été présentées aux différents jurys dans les 11 catégories du Global Challenge, pour un total de 70 start-up finalistes. Traitements médicaux révolutionnaires, économie circulaire des matériaux, réduction drastique des émissions de CO2, intelligence artificielle, etc. : ces technologies innovantes visent un réel impact sur l’industrie, la société et la planète. Les start-up auront l’occasion de présenter leurs solutions devant un jury les 9 et 10 mars prochains à l’occasion du Global Summit au Centquatre-Paris. Dix d’entre elles remporteront des prix en nature (sessions de coaching personnalisées, rencontres avec des investisseurs et clients potentiels) et les trois meilleures remporteront respectivement 100 000, 30 000 et 20 000 euros.« Depuis quatre ans, nous sommes fiers d’accompagner Hello Tomorrow dans la révélation des meilleures entreprises de la Deep Tech en étant partenaire du Global Challenge. Leonard, porté par l’expertise des diverses entités du Groupe VINCI, explore la Deep Tech pour identifier et accompagner des solutions disruptives dans les secteurs de la construction, de l’énergie ou encore de la mobilité. C’est en partie grâce à elles que nous répondrons aux grands défis environnementaux et sociétaux auxquels sont confrontées les villes et les infrastructures », déclare Julien Villalongue, directeur de Leonard.En janvier 2023, Leonard a accueilli 45 nouvelles start-up au sein de ses programmes SEED, CATALYST, intrapreneurs et IA. Ces projets apportent des solutions pionnières répondant aux défis de transition écologique, de sécurité et de productivité dans les domaines de la construction, de la mobilité et de l'énergie. Ils bénéficieront d’un accompagnement de 6 mois de la part de Leonard.
Il y a 2 ans et 114 jours

Plus d'énergie solaire en France mais avec quels panneaux ?

La loi d'accélération des énergies renouvelables votée cette semaine au Parlement fixe le cap à plus de 100 gigawatts (GW) d'énergie solaire à l'horizon 2050, cinq fois plus qu'aujourd'hui: "c'est très bien du point de vue citoyen", "un bon signal", "de toute façon favorable", applaudissent les industriels interrogés par l'AFP."Mais la loi n'offre pas de différenciation pour les industriels locaux", redoute Paul Toulouse, directeur général de Systovi, fabricant de modules à Carquefou près de Nantes. Il résiste grâce à de l'innovation, des certifications et le soutien d'un actionnaire militant, le groupe Cetih. Il vient d'inaugurer une nouvelle ligne de production. Mais avec 90 salariés, 20 millions d'euros de chiffre d'affaires annuel, il reste un nain en comparaison des sites chinois qui produisent en un jour ce qu'il fabrique en une année."Ce sont donc surtout les industriels asiatiques, en l'occurrence chinois, qui vont disposer d'opportunités de ventes additionnelles en France", dit-il.Marché totalement ouvertComme ses collègues, il espère voir arriver rapidement des règles et des aides pour s'affranchir de la domination chinoise et ne pas rester à la traîne face aux Etats-Unis et à l'Inflation Reduction Act, le plan climat de Joe Biden aux mesures favorisant l'industrie américaine.La Chine réalise déjà 95% des panneaux photovoltaïques distribués en Europe.L'Asie, en général, réalise aussi la majeure partie de la première étape de fabrication des panneaux solaires, à savoir la production dans des fours très chauds du cristal de silicium qui, une fois épuré et découpé en fines tranches, donne naissance à des cellules capables de transformer des photons provenant de la lumière en électrons.La dernière étape de fabrication, l'assemblage du module dans lequel les cellules sont protégées par des couches de colles liquides, un verre de face et un cadre aluminium, est encore effectuée sur le sol européen. Avec les prix de l'électricité qui s'envolent, le marché européen n'a jamais été aussi porteur."On est sur une dynamique qui s'est redressée après les années noires 2015-2017", observe Ian Bard, directeur technique et commercial chez Solarwatt France, filiale d'un fabricant allemand qui a doublé son chiffre d'affaires en 2022. Solarwatt produit à Dresde en Allemagne pour le haut de gamme, et en Asie.Il prévient: "Si les législateurs restent sur la position d'avoir un marché totalement ouvert, à l'inverse de ce que font les Etats-Unis, on restera sur le schéma d'aujourd'hui, avec des fabricants européens qui seront doublés sur les gros volumes par des fabricants plus attractifs en terme de prix".Derniers des MohicansCela se joue au centime près. Et pour le Lyonnais Pierre-Emmanuel Martin, qui porte avec des associés le projet Carbon d'une giga-usine de panneaux à 1,3 milliard d'euros, il y a également danger.Outre "la Chine qui domine outrageusement" et les Etats-Unis "qui émergent", il cite la concurrence de l'Inde, et dans une moindre mesure l'Indonésie et la Turquie."Installer des panneaux, ce n'est pas les fabriquer" et "la loi ne traite pas la question industrielle, c'est le prochain combat", dit-il en référence au projet de loi Industrie verte préparé par le gouvernement.Le texte "Industrie verte" est censé faire les beaux jours du "made in France" avec tout un arsenal de mécanismes fiscaux, réglementaires et de critères d'achat.Du protectionnisme à peine déguisé ? La ministre de la Transition énergétique Agnès Pannier-Runacher s'en défend mais estime "loyal" de se passer des usines chinoises qui ont bénéficié d'aides d'Etat.A Carquefou, Paul Toulouse qui se décrit comme "l'un des derniers des Mohicans" a dans ses cartons un plan d'investissement de 17 millions d'euros. Cela permettrait de multiplier par huit les capacités de production de Systovi : "mais la visibilité n'est pas suffisante pour que ce soit un investissement prudent", juge-t-il pour l'instant.
Il y a 2 ans et 115 jours

Plus de 4 milliards d'euros de bénéfice pour Vinci, géant français du BTP et des autoroutes

Plus de la moitié des profits vient des autoroutes, soit 2,2 milliards d'euros (+15%), au côté des pôles Construction et Energies, dont tous affichent des progressions marquées, à part Vinci Immobilier en léger repli. Au total, le chiffre d'affaires du groupe progresse de 25%, à 61,675 milliards."Dans un contexte géopolitique et macroéconomique particulièrement perturbé, Vinci a réalisé en 2022 une performance d'ensemble de grande qualité", a commenté son PDG, Xavier Huillard, cité dans le communiqué. "La forte hausse du chiffre d'affaires et des résultats s'accompagne d'une génération de cash-flow libre record", ajoute-t-il, relevant que toutes ses régions se portent bien (et pour la première fois, Vinci réalise plus de la moitié -- 55% -- de son activité hors de France).Pour Antoine Fraysse-Soulier, analyste de marchés chez eToro, "Vinci profite des effets post-pandémie", avec "comme un bon nombre de sociétés du CAC40, des résultats meilleurs qu'attendus".Ainsi, le bénéfice net de ses concessions dans les infrastructures a quasiment doublé à 2,7 milliards d'euros (soit +96,3%, par rapport à une année 2021 post-Covid négative pour Vinci Airports).L'activité aéroports profite en effet d'une vive reprise du trafic, sortant du rouge l'an dernier pour engranger plus de 500 millions d'euros: ses sites ont accueilli deux fois plus de passagers qu'en 2021, retrouvant les trois quarts de leur niveau de 2019.Côté autoroutes, le trafic remonte "légèrement", en Amérique du nord, Portugal, Grande-Bretagne... Celui des poids lourds en particulier continue à progresser du fait du e-commerce, selon le PDG, qui constate un doublement du nombre d'entrepôts logistiques le long des corridors autoroutiers.Ces résultats sont publiés alors qu'est relancé en France le débat sur les concessions d'autoroutes, attribuées depuis 2006 à des entreprises privées dont Vinci. Le ministère de l'Economie, interpellé sur la hausse des péages et sur la rentabilité des concessionnaires, a indiqué mercredi réfléchir à la possibilité de raccourcir la durée des concessions.Accent sur l'énergieCe sujet "m'inspire un sentiment de redite", a répondu jeudi devant la presse le président de Vinci Autoroutes, Pierre Coppey, blâmant plus généralement une "incompréhension" du modèle économique des concessionnaires. Autre activité en croissance, Vinci Energies, à 693 millions d'euros de bénéfice net (+25%), et pour laquelle 31 acquisitions ont été réalisées l'an dernier.Cette année a notamment marqué l'intégration de Cobra IS, rachété à l'espagnol ACS et qui va par exemple lui permettre de faire de l'éolien offshore au large de l'Allemagne, ou l'installation de lignes à haute tension au Brésil.Pour Xavier Huillard, ce pôle énergie, qui a fait "une très très belle année", "à 22 milliards d'euros de chiffre d'affaires, va continuer de performer car il est au coeur des puissantes transformations liées à la transition énergétique et à la révolution numérique".Du côté de Vinci Construction, principal pôle du groupe (la moitié du chiffre d'affaires), le bénéfice net est à 680 millions (+19%), avec "un renouvellement satisfaisant des carnets de commandes"."Ici on ne vise pas les volumes mais l'excellence opérationnelle, la taille de nos carnets de commandes nous confère la sérénité nécessaires pour nous permettre d'être sélectifs", explique le PDG.Parmi ses chantiers, le nouveau métro de Toronto, ou encore une part du village des athlètes des JO de Paris 2024, qu'"on sera dans les temps pour livrer", a-t-il assuré. En France il constate que la commande publique se porte plutôt bien, et entrevoit avec satisfaction un éventuel nouveau programme de contruction de réacteurs nucléaires.Époque plus compliquée en revanche pour Vinci Immobilier, avec une baisse des réservations de logements et "un attentisme" dans la construction. In fine, pour 2023, le groupe aux 270.000 collaborateurs prévoit une "nouvelle progression du chiffre d'affaires" et un résultat net "légèrement supérieur à son niveau de 2022".
Il y a 2 ans et 118 jours

L’Union Européenne aide Holcim sur les CCUS

Holcim a obtenu un financement européen pour ses projets de CCUS. [©Holcim] Holcim annonce avoir été choisi par l’European Union Innovation Fund, le fonds européen pour l’innovation. Et obtenu un financement de 328 M€ pour deux projets d’entreprise. Cette manne va lui permettre d’accélérer le développement de deux projets de captage et de stockage du carbone (CCUS), en Allemagne et en Pologne. Ces projets font partie de l’ambition d’Holcim de posséder 50 sites de CCUS dans le monde. « En tant que leader global des solutions de construction, Holcim a la mission de décarboner l’industrie de la construction, explique Miljan Gutovic, responsable de la région Europe. Nous sommes encouragés par ce financement dans nos technologies de nouvelle génération. Ce financement contribue à rendre les projets de CCUS plus viables et pérennes. Ce qui pourra fondamentalement transformer notre industrie pour un futur à zéro carbone. » Et suivez-nous sur tous nos réseaux sociaux !
Il y a 2 ans et 119 jours

Ingérop boucle une nouvelle acquisition en Allemagne dans le secteur de l'eau

CROISSANCE EXTERNE. L'ingénieriste Ingérop poursuit son développement en Allemagne en procédant notamment par acquisition. Il vient d'y racheter une entreprise d'ingénierie spécialisée dans l'hydraulique et l'électromécanique des ouvrages fluviaux.
Il y a 2 ans et 121 jours

Photovoltaïque : le best of des fake news les plus répandues

De nombreux décideurs n’avaient pas vu venir ces progrès et, dans les débats actuels, on constate qu’ils sont encore nombreux à ne pas avoir pris en compte les données réelles du photovoltaïque d’aujourd’hui : on entend encore de nombreux arguments qui n’ont plus lieu d’être au sujet de cette énergie. Il est temps de distinguer le vrai du faux !Au sujet de la fabricationLes modules PV utiliseraient des terres raresFauxLes modules PV utilisés aujourd’hui ne contiennent pas de terres rares. Le composant principal est le silicium : il sert à faire les cellules PV, qui sont prise en sandwich entre 2 plaques de verre. (Le verre est aussi fait avec du silicium !)Mais NB : aucune terre rare dans le photovoltaïque !Il y aurait bientôt pénurie de siliciumFauxLe silicium, le 2ème atome le plus présent sur terre (juste après l’oxygène), et facile d’accès (partout dans la croûte terrestre).Il n’y a pas de pénurie de silicium et il n’y en aura pas. Il n’y a pas de pénurie de matière première. Parfois, en raison de la forte croissance de la demande, il y a des demandes supérieures à la capacité des usines qui purifient le silicium. Cela est temporaire et résolu par l’augmentation de capacité de ces usines.La rareté des matériaux n’est donc pas un frein pour le déploiement du PV à grande échelle.En fait s’il y devait y avoir un point de vigilance ce serait sur l’argent, utilisé comme conducteur entre les cellules… on pourrait avoir à le remplacer par un autre conducteur, si le marché PV continue son ultra croissance.Au sujet de son intérêt économiqueC’est cher et non compétitif Ce n’est plus vrai du tout.C’était vrai il y a 10 ans et encore plus il y a 20 ans. Le prix des panneaux était si élevé que le prix de revient de l’électricité solaire n’était pas compétitif face au réseau électrique. Le photovoltaïque étaient donc utilisé là où il n’y avait pas d’accès possible au réseau (par exemple les réémetteurs en montage.)Mais en 20 ans cela a changé de manière extraordinaire ! En 20 ans le prix des panneaux a été divisé par 100 !Cela a été réussi grâce aux pays qui ont compris, il y a 20 ans, qu’il y avait un énorme potentiel de baisse de prix, à condition de faire grossir les volumes fabriqués.D’abord le Japon, puis l’Allemagne, la Chine, les Etat Unis ont bien identifié ce potentiel : Ils ont subventionné le photovoltaïque pour faire grossir le marché et ainsi faire baisser les prix.Et cela a porté ses fruits :De 2012 à 2022, les prix du PV ont été divisés par 10 (et ils avaient déjà été divisés par 10 dans la décennie précédente. Les prix des panneaux PV ont donc été divisés par 100 en 20 ans !D’autres évolutions ont rendu l’électricité solaire compétitive :Le rendement qui était de 10% dans les années 1970, est de 24% aujourd’hui et se rapprochera des 30% sous peu…La durée de vie est passée de 10 ans dans les années 80, à plus de 40 ans aujourd’hui. Les garanties des constructeurs sont de 30 ou 35 ans, avec moins de ½ % de perte de puissance par an ! Dans 35 ans, un panneau acheté aujourd’hui fonctionnera encore et aura plus de 82% de la Puissance initiale ! Quel autre produit industriel à une telle durée de vie et une telle garantie ?Les onduleurs (qui transforment le courant continue des panneaux en courant alternatif qui peut être injecté dans le réseau électrique ont gagné en rendement, et baissé en prix)Le métier d’exploitation de centrale PV c’est fortement professionnalisé en 20 ans.En conséquence de tous ces progrès, le prix de l’électricité PV a diminué de manière spectaculaire. Le solaire PV est maintenant compétitif par rapport aux autres sources d’énergie électriquel’électricité solaire coûte entre 5 centimes le kWh (50€/MWh) (pour une grande centrale au sol) et 16 centimes kWh (160€/MWh) pour une petite installation en toiture.Le nucléaire des centrales de dernière génération est de plus de 10 centimes/kWh (100€/MWh)L’électricité solaire est donc désormais compétitive, y compris par rapport au nucléaire.Et ce n’est pas fini, la baisse des coûts du solaire va continuer.On dit que cela coûte une fortune en subvention et demande beaucoup d’aides publiquesCe n’est plus vrai du toutDévelopper les énergies renouvelables a coûté de l’argent public, le temps d’aider le marché à décoller, jusqu’à ce que cette énergie soit compétitive.Aujourd’hui les solaire est compétitif ! D’ailleurs, Aujourd’hui, ce sont les énergies renouvelables qui apportent des recettes à l’Etat et non l’inverse.Les montants sont très importants : la CRE (Commission de Régulation de l’Energie) indique, que, dans les conditions actuelles toutes les filières d’énergies renouvelables en métropole continentale représenteront des recettes pour le budget de l’Etat, pour une contribution cumulée, de plus de 30 Md€ au titre de 2022 et 2023 Les filières contributives sont, par ordre d’importance : l’éolien terrestre, le photovoltaïque à hauteur, l’hydroélectricité et le biométhane.Fin 2024, les EnR auront rapporté plus à l’Etat qu’elles n’ont coûté depuis qu’elles sont soutenues !Le PV ne rapporterait rien aux communes ?FauxLa production d’électricité photovoltaïque est soumise à l’IFER, qui est un impôt prélevé au profit des collectivités territoriales. Une partie de cet IFER est reversée directement aux communes sur lesquelles sont installées les centrales photovoltaïques.Ordre de grandeur : une installation au sol de 20MW apporte plus de 60 000 € / an aux collectivité locales (Département et communauté de communes) dont au moins 20% directement à la Commune.Un parc PV sur une commune permet de baisser les impôts locaux ou de financer des projets locaux, sans solliciter les contribuables !Le photovoltaïque ne produit pas par temps couvert et en hiver. En France, ça ne produirait presque pasFauxUn panneau produit plus en été par beau temps qu’en hivers pas temps nuageux, c’est une évidence.Cependant, un panneau PV produit bien de l’électricité toute l’année. Pour preuve : les réémetteurs de télécom en haute montagne sont alimentés par des panneaux solaires, toute l’année. Ils fonctionnement été comme hivers.La quantité d’énergie produite sur l’année est importante.En France, en moyenne 1kWc (soit 5m²) environ 1300 kWh/an (1,3 MWh/an), soit un peu plus de la moitié de la consommation électrique moyenne d’un français (2200 kWh/an).En France, bien que l’on ne soit qu’au début, en 2021, le solaire PV a déjà fourni 3% de l’énergie électrique consommée en France (contre 2,8 % en 2020), (3% = 14,3TWh)Les panneaux solaires ne fonctionneraient que s’ils sont exactement orientés plein SudFauxUn panneau produit le maximum annuel s’il est orienté plein sud. Mais il ne perd que quelques % s’il est orienté sud-est ou sud-ouest. Aujourd’hui les panneaux sont bifaciaux, cela signifie de même la face arrière produit : si elle est orientée vers le sol, est fait de l’électricité grâce à la luminosité réfléchie sur le sol, que l’on appelle l’albédo. L’orientation et l’inclinaison des panneaux est une question d’optimisation de la production, mais on a une véritable souplesse d’installation.Au sujet de la pertinence environnementaleUne installation PV fournit-elle plus d’énergie que ce qui a été consommé pour sa fabrication ?Oui ! Beaucoup beaucoup plus !En France, un système PV utilisant des modules en silicium monocristallin fournit l’énergie qui a été nécessaire pour sa fabrication est de moins de 2 ans depuis des années. Il est même passé en dessous de 1 an avec les dernières générations de panneaux, qui utilisent de moins en moins de matière, pour une puissance de plus en plus forte). Or un panneau dure plus de 40 ans. Un panneau fournit donc 40x plus d’énergie qu’il n’en consomme lors de sa fabrication. Ce ratio est donc excellent et place le photovoltaïque parmi les meilleures énergies.Un panneau PV pollue et ne se recycle pas ?Faux et archi fauxEn masse, près de 95 % d’un module en fin de vie est valorisé. La filière est parfaitement organisée.Aujourd’hui on récupère le silicium (du verre et des cellules) pour en refaire du verre. Le cadre en aluminium (un autre matériau qui se recycle très bien). Le métal argent qui est utilisé pour les connexions électriques. Il ne reste que 5% de matière non recyclée, mais l’amélioration continue.Le recyclage est bien organisé : l’éco-organisme SOREN, se charge de collecter les panneaux usagés, et de les recycler. Faire recycler un panneau ne coûte rien à son propriétaire, quelle que soit la marque et l’origine du panneau, car une éco participation a été payée initialement pour financer la collecte, le tri et le recyclage.La France est l’un de premier opérateur européen de cette activité de recyclage.Bref un panneau solaire se recycle très bien et la filière est bien organisée.Un système PV émettrait beaucoup de CO2FauxLe solaire est l’une des sources d’électricité très faiblement émettrice de CO2 !Une installation PV (sur toiture à base de panneaux en silicium monocristallin) émet en moyenne30 gCO2eq/kWh. (Ce, en intégrant tout le cycle de vie, y compris si le panneau vient de Chine)C’est 16 à 33 x moins que les énergies fossiles. (Les centrales à énergie fossiles (à gaz, charbon ou fioul) émettent 500 à 1000 gCO2eq/kWh.)C’est 8 x moins que la moyenne des énergie électriques du réseau européen (les émissions moyennes du système électrique européen étaient de 231 gCO2eq/kWh en 2020 soit 8 x plus.Non seulement le PV émet peu de CO2, mais, avec la prolongation de la durée de vie d’un panneau, et la perspective de fabrication de panneaux en Europe, les progrès techniques de fabrication font que ce ratio pourra encore s’améliorer en descendant jusqu’à ce ratio pourra encore s’améliorer en tombant à 15g puis 10 CO2eq/kWh !Bref : le photovoltaïque est l’une des meilleures solutions pour produire de l’électricité décarbonéeUne installation PV au sol dégraderait les solsFaux !Les producteurs d’installation PV, à partir de panneaux installés au sol s’engagent à tout démonter à la fin du projet (dans 30 ou 40 ans) s’il n’est pas reconduit pour une nouvelle période (ce qui sera souvent fait en plaçant une nouvelle génération de panneaux). C’est assez simple car les supports sont généralement fixés sur des pieux battus ou vissés dans le sol (sans le moindre béton).NB : soulignons que toute grande installation PV au sol fait l’objet d’une étude d’impact environnemental préalablement à l’obtention de son permis de construire !Le photovoltaïque au sol c’est visuellement hideuxTout est relatif !Ce n’est certes pas invisible, mais c’est souvent très discret : de nombreuses personnes roulent chaque matin à côté d’un champs PV (au sol le long d’une autoroute, sans le savoir, car des haies installées à la périphérie cachent bien le site. En tous cas, ce n’est pas en hauteur, cela ne fait pas de bruit… l’impact visuel est souvent très limité.En tous cas c’est moins visible qu’une centrale au charbon, qu’une centrale nucléaire, etc, etc.NB l’étude d’impact prend en compte l’impact visuel lors de la conception du projet.Au sujet de l'exploitation des centralesLes panneaux solaires, demandent beaucoup l’entretienFauxParmi tous les moyens de production d’électricité, le photovoltaïque est celui qui demande le moins d’entretien : pas de mécanique, aucune pièce en mouvement, pas de carburant à apporter… etc. C’est bien pour cela que nos satellites sont tous électrifiés par panneaux solaires (il n’est pas nécessaire d’envoyer un “astronaute de maintenance” tous les mois !) Mais aussi les balises en mer, les réémetteurs télécom en haute montagne, les refuges alpins, etc. Partout où il est difficile d’envoyer un technicien de maintenance, le photovoltaïque a été choisi avant tout pour sa simplicité d’entretien.C’est aussi cette simplicité qui explique que les panneaux aient une garantie de 35 ans.Cependant, dans une installation PV il y a aussi des onduleurs électroniques. Ils ont en général une durée de vie de 10 à 15 ans. Ils sont généralement contrôlés à distance et remplacés lorsque nécessaire….En bref de l’entretien oui, mais beaucoup moins que les autres moyens de production d’électricité.Un panneau solaire, c’est fragile ?FauxC’est plus solide qu’une fenêtre de toit. C’est équivalent à un pare-brise d’automobile… et plus solide que des tuiles.Bref, ce n’est pas incassable, mais ce n’est pas fragile.Au sujet de la vision à l’échelle nationale, à moyen termeLa France est en retard sur ses objectifsC’est vrai, malheureusementLa programmation pluriannuelle de l’énergie prévoit 20 GW installés en 2023 et entre 35 et 44 GW en 2028. En septembre 2021, 13,2GW étaient raccordés, soit 66% de l’objectif 2023. La Fr est le seul pays de l’UE en retard sur ses engagements. Le rattrapage du retard coûtera 500M€ au Gvt français (et donc au contribuable).La France annonce qu’elle veut accélérer et changer d’échelle et développer plus de « fermes solaires ».Une ferme solaire, c’est du photovoltaïque sur une ferme agricole ?NonCette expression vient d’une traduction littérale de l’anglais « photovoltaïc farm ». Un ferme photovoltaïque est tout simplement une installation de panneaux photovoltaïques, au sol, sur un grand terrain, pour produire de l’électricité. En bon français on devrait dire une « centrale photovoltaïque ».Développer plus de fermes solaires, c’est développer plus d’installations de grande surface…A ce sujet, on dit que les surfaces nécessaires seraient hallucinantesFauxAyons les ordres de grandeur en tête :La France à l’ambition de multiplier par 10 la puissance PV installée d’ici 2050 (annonce rappelée par le Pdt lors de son discours à Belfort en 2022. Multiplier le parc installé par 10 revient à atteindre 100 à 130 GW installés en 2050.=> la production sera alors de 160 TWh/an, soit 25% de la conso totale d’élec (qui sera de 640 Twh/an)Quelle surface faudra-t-il ?Si la moitié est installé sur des toitures, des parkings, l’autre moitié devra être installée au sol (c’est nécessaire pour atteindre l’objectif et pour produire une énergie très compétitive).Il faudrait donc installer 65 GW au sol ? Cela demanderait environ 60 000 ha = soit seulement 0,2% de la SAU, soit 2 millièmes des terres agricoles (* : La SAU totale de la France est de 29 millions d’ha). Et on ferait cela en 22 ans (d’aujourd’hui à 2055), il faudrait donc trouver 2 700 ha/an (60 000 / 22 = env 2727)Pour avoir un point de repère : C’est 10x fois moins que les terres que l’on affecte chaque année à la construction de maisons (27 000 ha par an en moyenne sur 2006-2016)Non la production d’une part importante de notre électricité par énergie solaire ne demande pas des surfaces hallucinantes. Nous n’aurons pas de choix cornélien à faire entre souveraineté énergétique et souveraineté alimentaire !Donc la France a raison de vouloir accélérer !Les énergies renouvelables seraient un risque pour la stabilité du réseau ?FauxPour l’instant on fait de l’ordre de 3% du mix électrique en PV. L’objectif est de monter à 25% d’ici à 2050. Cela ne fera ne fera pas courir de risque sur la stabilité du réseau.Et c’est RTE qui le dit : RTE est le gestionnaire du réseau de transport d’électricité, changé notamment d’assurer la stabilité du réseau à moyen et long terme.Par ailleurs, RTE souligne aussi, qu’il est indispensable d’accélérer le développement des énergies renouvelables pour répondre à la croissance de la demande d’électricité en France (quelle que soit la part qui serait produite par le nucléaire.)Pour aller au-delà de 25%, après 2050, il faudra sans doute continuer d’améliorer nos solutions de flexibilité et de stockage. Des travaux sont déjà en cours, mais il n’y a aucune raison de ne pas accélérer jusqu’en 2050.Les panneaux solaires sont fabriqués en ChineC’est vrai… tout comme votre téléphone portable !C’est vrai et c’est regrettable : avant moratoire des projets industriels étaient en préparation. Les tergiversations françaises les ont fait renoncer… Lorsque nous nous sommes arrêté les Chinois ont accéléré. Ils ont eu raison.Heureusement, ce n’est pas inéluctable : des projets de Giga Usines de production de panneaux solaires en France sont de nouveau à l’étude.C’est économiquement tout à fait possible, car le surcoût d’une main d’œuvre européenne (par rapport à la main d’œuvre chinoise) est compensé par la réduction des coûts de transport.Et on a toutes les compétences pour réussir une industrie PV en FranceUne R&D de haut niveau à l’INESDes champions des semi-conducteur (STM),Des champions de la conversion d’énergie (Schneider)Des industriels du Verre Saint-GobainDe grande compétence en ingénierie industrielle.Plusieurs projets de construction d’usine en France et en Europe sont en cours.Mais alors le PV contribue-t-il à notre indépendance énergétique ?Oui !Il faut bien distinguer l’usine et le carburant !Lorsqu’un panneau est installé, (d’où qu’il vienne) il va produire de l’électricité, là où il est installé, pendant 40 ans, sans que l’on n’ait rien à importer (ni gaz, niche charbon, ni uranium...)Le « carburant » est le rayonnement solaire. Aucun pays ne peut ne couper ce robinet-là. Donc même avec des panneaux importés, le solaire contribue à notre indépendance.Et ce sera encore plus vrai, encore plus satisfaisant, lorsque nous produirons les panneaux en France…Donc oui le PV contribue à notre indépendance énergétique.Ajoutons queLe PV peut se mettre en œuvre très vite si on le souhaite, au cœur des territoiresLe PV contribue aussi la baisse des prix de l’électricité donc au pouvoir d’achat des consommateurs et à la compétitivité de notre économie,Le PV contribue à la décarbonation de notre énergieLe PV peut apporter des services utiles au monde agricoleLe PV contribuera certainement à la réindustrialisation de la FranceIl est urgent d’évacuer les arguments faux ou surannés et les polémiques stériles.Le photovoltaïque est l’une de plus belle raison d’être optimistes face aux défis actuels : Il faut que nous nous y engagions de manière unie, avec enthousiasme…Tribune de Stéphane Maureau, Directeur Général – CEO de UNITe (LinkedIn).
Il y a 2 ans et 121 jours

Enel met le paquet sur les panneaux solaires pour s'affranchir de la Chine

La création de cette gigantesque "chaîne de production nationale" constitue "un mouvement stratégique pour l'Italie et l'Europe", a déclaré lundi le PDG d'Enel, Francesco Starace, lors d'une visite du chantier.D'ici la mi-2024, l'usine 3Sun devrait ainsi voir passer sa capacité de production annuelle à 3 gigawatts, contre 200 mégawatts actuellement, ce qui en fera "la plus grande usine de panneaux solaires d'Europe", selon Enel. Le groupe italien dépassera à ce moment-là l'usine de panneaux photovoltaïques du groupe suisse Meyer Burger située à Freiberg, dans l'est de l'Allemagne, d'une capacité annuelle de 400 mégawatts qui devra être portée à terme à 1 gigawatt.L'investissement dans cette "gigafactory" s'élève à 600 millions d'euros, dont 188 millions d'euros provenant de Bruxelles via le Fonds pour l'innovation et de Rome via le plan de relance européen post-Covid."Cet investissement a une forte signification politique, qui est celle de libérer notre pays de la dépendance étrangère, surtout de la Chine", y compris dans les énergies renouvelables, a commenté à Catane Gilberto Pichetto Fratin, ministre italien de l'Environnement.La Chine est le premier producteur mondial de panneaux solaires et en exporte une grande partie en Europe. Le projet à Catane, qui devrait être suivi d'un autre aux Etats-Unis, devrait créer 900 emplois directs et 1.000 indirects d'ici 2024, précise Enel dans un communiqué.Les travaux d'expansion ont commencé en avril 2022 et devraient être achevés en deux phases, avec 400 mégawatts opérationnels à partir de septembre 2023, avant la pleine capacité de 3 gigawatts prévue en juillet 2024.Cette augmentation de la capacité de production de panneaux solaires devrait permettre d'éviter le rejet de près de 25 millions de tonnes de dioxyde de carbone dans l'atmosphère pendant leurs dix premières années d'exploitation, selon les calculs d'Enel.De même, cette extension de l'usine devrait éviter l'achat de près de 1,2 milliard de m3 de gaz par an, remplacés par de l'énergie renouvelable produite dans le pays, contribuant ainsi à diminuer la dépendance de l'Italie de la Russie dans ce domaine.Enel a été l'un des premiers géants de l'énergie à avoir pris le virage du développement durable. Les énergies renouvelables représentent désormais 48% du total de sa production, contre 40% d'origine thermique et 12% d'origine nucléaire.Sa filiale Enel Green Power a porté sa capacité d'énergies renouvelables dans le monde à 59 gigawatts en 2022, l'augmentant de 5,2 gigawatts.
Il y a 2 ans et 125 jours

Arabie saoudite : Une impression 3D béton sous 40 °C

Article paru dans le n°104 de Béton[s] le Magazine. En Arabie saoudite, l’entreprise Dal Al Arkan a imprimé une villa de 345 m2 entre août et juillet 2022, sous une température extérieure de40° C. [©Cobod] En 2021, le coffreur Peri avait imprimé un immeuble de trois étages en Allemagne. Ce qui était un record pour l’époque, mais battu depuis par compagnie immobilière saoudienne Dar Al Arkan. A Shams Al Riyadh dans le Nord-Ouest de la capitale Ryhad, une construction de 9,90 m de haut a été imprimée in situ ! Cette villa de trois étages, d’une superficie de 345 m2, fait partie d’un projet de développement de 12 Mm2, porté par la Vision 2030 du pays. L’impression a été réalisée à l’aide de la solution développée par le Danois Cobod. La villa saoudienne s’appuie sur un premier étage de 130 m2, qui inclut un spacieux hall d’entrée et plusieurs pièces à vivre, ainsi qu’une cuisine et deux toilettes. Le deuxième étage compte trois chambres, deux salles de bains, un salon et un balcon. Cet article est réservé aux abonnés des revues Béton[s] le Magazine et Bâti & Isolation. Déjà abonné Mon email Mon mot de passe Oublié ? En plus de votre magazine, profitez d’un accès illimité à l’ensemble des contenus et services du site www.acpresse.fr : Lecture de l’intégralité des dossiers thématiques, reportages chantiers, fondamentaux, histoire de la construction… Consultation des indicateurs économiques (chiffres et analyses) + vos newsletters pour suivre l’info en continu Je m'abonne
Il y a 2 ans et 126 jours

Lafarge France lance Concrete Direct

Lafarge France lance Concrete Direct. [©Lafarge] Lafarge France lance une nouvelle plate-forme digitale et mobile. Baptisée Concrete Direct, elle vise à aider les clients à gérer leurs commandes de béton prêt à l’emploi sur chantier. L’application a déjà fait ses preuves aux Etats-Unis, en Allemagne et au Royaume-Uni. Directement disponible sur PC et smartphone, elle change le quotidien des clients de Lafarge. En effet, ce nouveau service permet de commander du BPE et d’en assurer le suivi et la gestion 7 j/7 et 24 h/24. Pendant toutes ces étapes, le client reçoit des notifications en temps réel, afin d’être au courant du cheminement exact de sa commande. Concrete Direct contient aussi une messagerie. Celle-ci permet de contacter instantanément le centraliste. Le client peut ainsi modifier sa commande, ajouter un retardateur, un accélérateur ou des fibres. Une application béton facile d’utilisation Lire aussi : Lafarge lance le premier CEM VI certifié en France Concrete Direct a 3 maîtres mots : disponibilité, clarté et lisibilité. Le client peut très simplement suivre sa commande. Comme pour les taxis, il retrouve en direct la position de son camion-toupie, afin d’anticiper au mieux son arrivée sur le chantier. L’application présente des avantages concrets pour les clients, mais aussi pour les centralistes. Pour ces derniers, passer par la plate-forme simplifie leurs tâches et permet de gagner du temps. « Concrete Direct, c’est aussi une source de progrès environnemental : en n’imprimant plus les bons de livraison, en réduisant les mails et les appels téléphoniques, cela permet de réduire l’impact d’une commande, tout en assurant un meilleur service à nos clients », conclut Caroline Baudelot Regentel, responsable marketing et performance commerciale Sud Est – Lafarge Bétons. Suivez-nous sur tous nos réseaux sociaux !
Il y a 2 ans et 127 jours

Porcelaine brisée et briques Lego pour une exposition Ai Weiwei à Londres en avril

Cette exposition, appelée "Making sense" (faire du sens), sera la plus grande de cet artiste dans la capitale britannique depuis huit ans. Elle aura lieu du 7 avril au 30 juillet.L'exposition montrera des centaines de milliers d'objets rassemblés depuis les années 1990 par Ai Weiwei. Ces objets allant d'outils de l'âge de pierre à des briques Lego seront disposés sur le sol de la galerie.De grandes oeuvres seront également installées en dehors de la galerie d'exposition, dans les espaces gratuits du musée ainsi qu'à l'extérieur du bâtiment.L'une des oeuvres sera composée de milliers de morceaux de sculptures en porcelaine qui ont été cassées dans son studio de Pékin en 2018 par les autorités chinoises.Dans une autre, Ai Weiwei présentera des milliers de pièces de Lego, qui lui ont été offertes par le public à un moment où cette entreprise avait arrêté de lui en vendre car il les utilisait pour réaliser des portraits d'opposants politiques."L'exposition offre une expérience riche de ce qu'est le design, et de la manière dont le design est lié à notre passé et à notre situation actuelle", explique Ai Weiwei.Pour Justin McGuirk, le commissaire de l'exposition, "la démolition ou la destruction ou la perte de la mémoire culturelle est l'un des thèmes principaux de cette exposition".Parmi les objets exposés, figurera aussi un cintre, le seul objet que l'artiste a été autorisé à emporter en prison pour accrocher sa chemise.Ai Weiwei, qui vit en Europe depuis 2015, est le fils d'un poète vénéré par les anciens dirigeants communistes.Il a participé en tant qu'architecte à la conception du stade "Nid d'oiseau" pour les Jeux olympiques de Pékin en 2008.Mais il est tombé en disgrâce après avoir critiqué le gouvernement chinois et a été emprisonné pendant 81 jours en 2011 avant de partir finalement en Allemagne quatre ans plus tard.
Il y a 2 ans et 127 jours

ASCA solarise la façade en verre d'un bâtiment administratif

Ainsi, la ville de Gronau (Rhénanie-du-Nord-Westphalie) en Allemagne dévoile en 2023 la façade solaire de son nouveau bâtiment administratif. Les modules photovoltaïques organiques (OPV) d'ASCA sont directement intégrés dans le verre de la façade, laminés en collaboration avec le verrier BGT Bischoff Glastechnik GmbH, donnant vie à l'un des plus grands vitrages photovoltaïques mis sur le marché.Une façade en verre photovoltaïque de grande dimensionImaginé en collaboration avec le cabinet d'architectes H III S (harder stumpfl schramm freie Architekten de Stuttgart), la ville de Gronau en Allemagne dévoile en 2023 son nouveau bâtiment administratif pourvue d'une façade en verre double peau capable de produire de l'électricité grâce aux modules OPV d'ASCA, une entreprise d'ARMOR GROUP. Ces derniers sont directement intégrés dans le verre de la façade, laminés en partenariat avec le verrier BGT Bischoff Glastechnik GmbH, donnant vie à un des plus grands vitrages photovoltaïques mis sur le marché. D'une hauteur de 3,66 m et d'une largeur de 2,25 m, chaque vitrage solarisé est installé sur la façade sud du bâtiment d'une surface totale de 222 m2, en alternance avec du vitrage traditionnel. L'énergie solaire produite par les modules ASCA est directement injectée dans le réseau électrique du bâtiment.« Nous sommes fiers d'avoir réalisé, en collaboration avec BGT, les plus grands modules de verre transparent capables de générer de l'énergie grâce à notre technologie solaire. D'autant plus que leur production est simple, approchante de celle des vitrages feuilletés standards, permettant ainsi de répondre aux attentes des architectes et des designers sans pour autant représenter un obstacle technique pour les intégrateurs. Ce projet est une étape importante pour l'intégration du photovoltaïque dans l'enveloppe des bâtiments (BIPV) » explique Hermann Issa, Senior Vice President Business Development et Project Management d'ASCA.Une façade solaire multifonction intégrée à son environnementEn accord avec l'esthétique du paysage urbain, ASCA a mis au point des modules solaires de couleur verte au design sur-mesure inspiré des façades en brique du bâtiment. En outre, si les vitres solaires sont transparentes de l'intérieur, elles sont translucides de l'extérieur, garantissant ainsi aux employés un environnement de travail à la fois lumineux et intime.« Nous sommes ravis d'avoir pu collaborer avec ASCA sur ce projet architectural et nous avons été impressionnés par les grandes possibilités de design qu'offre le film ASCA®. Avec cette solution solaire, nous avons pu donner vie à une façade désormais vitrine de la durabilité » commente le cabinet d'architectes H III S.Accélérer le déploiement des énergies renouvelablesAlors que l'objectif du plan REPowerEU publié en mai 2022 vise à atteindre 600 GW de capacité solaire en Europe d'ici 20301, la France peine à atteindre ses objectifs de développement des énergies renouvelables2. Pour autant, l'Assemblée nationale a voté le 10 janvier 2023 un projet de loi relatif à l'accélération de la production d'énergies renouvelables comprenant plusieurs amendements directement liés à l'intégration au bâti de solutions solaires innovantes, alternatives aux panneaux solaires traditionnels.3« Il est urgent de réduire la consommation énergétique du secteur du bâtiment qui représente 44% de l'énergie consommée en France et qui émet chaque année sur le territoire plus de 123 millions de tonnes de CO24. Avec l'objectif national de 10% de réduction de consommation d'énergie d'ici 2024, le bâtiment fait partie des domaines clé dans la lutte contre le réchauffement climatique et la transition énergétique. Or la réglementation française ne prend pas en compte le concept de BIPV (photovoltaïque intégré au bâtiment) permettant d'intégrer de manière fonctionnelle des solutions solaires en combinaison ou en remplacement de matériaux de construction conventionnels. Pourtant nos solutions solaires bas-carbone, compatibles avec une multitude de matériaux, permettent de solariser des surfaces jusqu'alors inexploitées par les solutions solaires existantes comme les façades, les toitures légères, les vitrages ou encore les garde-corps. À l'heure où les administrations sont appelées à l'exemplarité en matière de sobriété énergétique, ce projet avec la ville de Gronau en Allemagne illustre notamment le champ des possibles qu'offre le solaire pour basculer enfin vers des bâtiments publics bas-carbone » conclut Moïra Asses, Directrice stratégie et marketing d'ASCA.1 https://ec.europa.eu/info/strategy/priorities-2019-2024/european-green-deal/repowereu-affordable-secure-and-sustainable-energy-europe_fr2 Saisine rectificative au projet de loi relatif à l'accélération des énergies renouvelables (NOR : ENR2223572L/Rose-2)3 https://www.assemblee-nationale.fr/dyn/16/amendements?dossier_legislatif=DLR5L16N46539&examen=EXANR5L16PO419610B0443P0D14 https://www.ecologie.gouv.fr/energie-dans-batiments
Il y a 2 ans et 128 jours

une banque d accueil en himacs au design captivant

En tant que l'un des plus grands assureurs santé d'Allemagne, AOK avait besoin de projeter une image professionnelle mais accueillante dans sa zone de réception. C'est pourquoi ils ont fait appel à un groupe coopératif de menuisiers - Bezold GmbH & Co. KG, Bodenschlägel GmbH & Co. KG, et Bert Lenz Möbelmanufaktur GmbH - pour réaliser cet imposante banque d’accueil, en HIMACS.
Il y a 2 ans et 129 jours

La résilience de l'économie française en 2022 sera dévoilée mardi

Après l'euphorique année 2021 de la reprise post-Covid (+6,8%), l'activité a marqué le pas en France, ébranlée par la guerre en Ukraine qui a attisé les prix de l'énergie et une inflation qui culmine à des niveaux inédits en près de 40 ans, touchant les ménages au portefeuille.L'Institut national de la statistique (Insee) table sur une hausse de 2,5% du produit intérieur brut (PIB) en 2022 - avec un quatrième trimestre négatif à -0,2%. C'est un peu en deçà des prévisions de la Banque de France (2,6%) et du gouvernement (2,7%)."Ce n'est pas si mal, on est au-dessus du niveau pré-Covid", commente Maxime Darmet, économiste chez Allianz Trade, interrogé par l'AFP. Mais les mesures de soutien déployées à coup de milliards d'euros par le gouvernement pour contenir les factures ont joué fortement, relève-t-il.La bonne tenue de l'activité française masque un tableau contrasté.Si les investissements des entreprises ont surpris par leur dynamisme et soutenu l'emploi, la consommation des ménages, moteur traditionnel de la croissance, a été le parent pauvre, frappée de plein fouet par la rapide hausse des prix.Côté pile, il y a les carnets de commande des entreprises bien remplis depuis la pandémie, et les montées en cadence pour y répondre, notamment dans l'automobile, avec des investissements facilités par des conditions encore favorables."Même avec une conjoncture qui se dégrade, une inflation qui décourage la demande additionnelle", l'important rattrapage d'activité a contribué à maintenir la croissance, estime Stéphane Colliac, économiste chez BNP Paribas.Il cite également la reconstitution des stocks pour affronter la demande ou d'éventuelles adversités futures.FissuresLes nouvelles commandes, en revanche, se portent moins bien, affaiblissant les perspectives. C'est le côté face.Après un premier trimestre dans le rouge (-0,2%), marqué par la vague Omicron du coronavirus et l'invasion russe de l'Ukraine, puis une embellie printanière (+0,5% au deuxième trimestre), des nuages ont commencé à s'amonceler en deuxième partie d'année, avec une consommation des ménages atone au troisième trimestre (+0,2%).Augurant d'un net ralentissement en 2023, le quatrième trimestre s'annonce plus difficile encore, pénalisé par des grèves dans les raffineries, la maintenance de centrales nucléaires ainsi qu'une moindre consommation énergétique en raison d'un hiver clément, sur fond d'inflation tenace.La hausse des prix a bondi à 5,2% en moyenne annuelle, et même à 5,9% sur un an en décembre, avec des envolées à deux chiffres pour l'énergie et l'alimentation.En dépit des soutiens publics, "cette inflation devrait avoir poussé les ménages à contrôler leurs dépenses au quatrième trimestre", souligne Stéphane Colliac. Ceux qui le peuvent préfèrent épargner.Le chiffre provisoire de l'inflation pour janvier sera dévoilé mardi également. Nul doute pour les économistes qu'elle continuera à accélérer, notablement dans le secteur des services, pilier de l'économie française, avant de se calmer plus tard dans l'année.L'Insee anticipe un pic autour de 7% en début d'année, alimenté notamment par la hausse des tarifs réglementés du gaz et de l'électricité.En sus, l'activité commencera à ressentir pleinement l'impact du resserrement monétaire décidé par la Banque centrale européenne (BCE) pour juguler l'inflation, selon Maxime Darmet. Le tout sur fond de grèves liées à la réforme des retraites."Les éléments de résilience sont en train de se fissurer", affirme l'expert.La Banque de France anticipe une baisse de régime avec 0,3% de croissance en 2023, plus pessimiste que le gouvernement (+1%) qui compte dessus pour amorcer le redressement des finances publiques.Mais même si les perspectives sont "incertaines", nuance dans une note Charlotte de Montpellier, économiste chez ING, "on est loin d'un saut dans le vide vers la récession".L'Allemagne, première économie européenne, devrait ainsi finalement éviter la récession.De bon augure pour la France? "Les Cassandre n'ont pas toujours raison", a récemment déclaré le ministre français de l'Economie, Bruno Le Maire. "Nous confirmons que la France aura, après une année 2022 solide, une croissance positive en 2023".
Il y a 2 ans et 135 jours

France et Allemagne s'engagent à mieux coopérer pour des mobilités durables et connectées

TRANSPORTS. A l'occasion du 60e anniversaire du Traité de l'Elysée, les gouvernements français et allemand ont assuré leur volonté de favoriser les coopérations, afin de faciliter les déplacements entre les deux puissances européennes.
Il y a 2 ans et 136 jours

Logement abordable, efficacité énergétique... Les projets France-Allemagne renforcés

INTERNATIONAL. Les deux gouvernements déclarent consolider leur coopération en matière de logement, à l'occasion d'une rencontre entre les deux pays. L'Allemagne et la France soutiennent plusieurs projets nationaux et internationaux.
Il y a 2 ans et 136 jours

Artelia consolide sa présence en Allemagne

ACQUISITION. L'ingénieriste Artelia a annoncé se rapprocher un peu plus d'une entreprise allemande avec laquelle il avait l'habitude de collaborer en rachetant l'intégralité de son capital.
Il y a 2 ans et 139 jours

Augmentation du prix de l'électricité : les verriers de Biot appellent au secours

"En France, pour être écouté, faut-il dire que je risque de faire faillite ?" : Anne Lechaczynski, à la tête depuis l'an 2000 de la Verrerie de Biot, PME familiale où elle a succédé à ses parents, se démène pour que survive cet artisanat d'art.Car la facture d'électricité de l'entreprise, qui emploie une quinzaine de personnes et réalise un chiffre d'affaires annuel de 2 millions d'euros, a explosé, passant de 63.000 euros en 2022 à 184.000 euros en 2023. Certes, elle va toucher environ 60.000 euros d'aides. Mais "il reste 60.000 euros à digérer et la société ne pourra pas faire face", confie cette sexagénaire qui a débuté sa carrière aux Etats-Unis comme "trader" dans les matières premières."Depuis trois mois, j'ai un peu retrouvé mon ancien métier. Je ne me consacre presque plus à mon entreprise mais à rechercher les fournisseurs d'électricité les moins chers", ajoute-t-elle.Appartenant à une véritable niche, les artisans et artistes-verriers ne sont plus que 400 en France, dont six à Biot. Et ils sont "particulièrement impactés" par la hausse du coût de l'énergie, explique Antoine Pierini, qui travaille seul."La particularité de notre activité, qui nous distingue par exemple de la céramique, est que nous devons maintenir en permanence nos fours de fusion du verre à 1.200 degrés. A cette température, il faut 15 jours pour éteindre un four sans le casser, et autant pour le ramener à cette température", détaille-t-il."Nous devons donc les maintenir allumés en permanence si nous ne voulons pas perdre des semaines de production", explique l'artisan, qui doit aussi faire face à la hausse "vertigineuse" du prix de la matière première: le verre, importé d'Allemagne, est ainsi passé de 1.400 à 3.000 euros la tonne."Les sept plaies d'Egypte""Porte-drapeau" depuis les années 50 d'une commune de 10.000 habitants sur laquelle est en partie implantée la prospère technopole de Sophia-Antipolis, la verrerie "ne rentre pas dans les critères d'aide prévus par le gouvernement", déplorent de concert le maire Jean-Pierre Dermit et le député Eric Pauget, tous deux LR.Avec la sénatrice (LR) Patricia Demas, ils ont saisi dès octobre le ministre de l'Economie Bruno Le Maire et Olivia Grégoire, ministre déléguée chargée des petites et moyennes entreprises et de l'artisanat. "Mme Grégoire a conscience du problème, mais la réponse apportée n'est pas adaptée à la réalité que vivent les verriers", souligne le parlementaire. Pour le député, il faut des "décisions fortes" pour préserver ce métier qui fait "l'identité d'un territoire et représente une richesse touristique". Ainsi, la verrerie de Biot attire 600.000 touristes par an, selon la mairie. Ce qui en ferait le 3e site touristique des Alpes-Maritimes.Depuis 2015, "on a eu les sept plaies d'Egypte", ironise Mme Lechaczynski. "Des inondations, qui ont détruit tout notre stock, puis le Covid, puis la guerre en Ukraine, accompagnée de l'explosion du prix de l'énergie"."Payer une facture qui ne résulte pas d'une mauvaise vision du chef d'entreprise que je suis, j'ai du mal à l'accepter", ajoute cette battante, qui veut garder espoir après avoir été conviée la semaine dernière à une table ronde avec le ministre délégué chargé des Comptes publics Gabriel Attal, de passage à Nice.Pour trouver des solutions, "nous pouvons désormais joindre un conseiller à la sortie de crise à la Direction départementale des Finances publiques", reconnaît-elle. "Ce conseiller étudiera les dossiers cas par cas", promet le directeur de cabinet de la préfecture."Mais il faut agir vite", insiste le maire de Biot: "Si on reste dans l'état, l'été prochain va être très compliqué".
Il y a 2 ans et 140 jours

Les métropoles ont gagné plus d'habitants entre 2013 et 2019

Au 1er janvier 2021, les 34.944 communes françaises sont regroupées en 1.248 intercommunalités -ou EPCI- de quatre types, selon leur nombre d'habitants.Parmi ces regroupements, 22 sont des métropoles (dont celle de Lyon qui a le statut de collectivité et non d'EPCI), 14 des communautés urbaines, 221 des communautés d'agglomération et 992 des communautés de communes, indique l'Insee, qui s'appuie sur les recensements de la population de 2019.Entre 2013 et 2019, la population a augmenté davantage dans les métropoles (+0,6% en moyenne par an), contre +0,4% en moyenne dans les autres EPCI."La population de toutes les métropoles augmente, mais la hausse est la plus élevée dans celles de Rennes, Toulouse, Bordeaux, Nantes et Montpellier (plus de 1% par an)", précise l'étude.En revanche, l'évolution de la population est plus modérée (au plus 0,2% par an) dans les métropoles de Grenoble-Alpes, Saint-Étienne et Rouen Normandie.Durant cette période, l'augmentation a été la plus forte dans les intercommunalités situées "dans le quart sud-est de la France, sur la façade atlantique et en région parisienne", ainsi que dans quelques EPCI voisins de l'Ile-de-France.De plus, "les communautés de communes situées autour des métropoles ou à l'est de la France près des frontières avec la Belgique, l'Allemagne ou la Suisse sont celles où la croissance est la plus forte", précise encore l'Insee.Seules 3% des communes françaises constituent des métropoles - créées en 2010 et qui regroupent plus de 400.000 habitants - mais elles concentrent 29% de la population française.Les logements sont le plus suroccupés dans les métropoles (18%), qui ne concentrent que 3% de résidences secondaires contre 20% dans les communautés de communes à dominante rurale.Dans les métropoles, la population est aussi globalement plus jeune, avec près d'un tiers des habitants âgés de moins de 25 ans du fait de la présence de campus universitaires, tandis que les personnes de plus de 65 ans y sont globalement peu nombreuses (17% contre 20% sur le territoire).
Il y a 2 ans et 140 jours

Un contrat de 4 milliards d'euros dans l'éolien offshore pour le groupe Vinci

A travers sa filiale Cobra IS, Vinci a remporté un contrat dans l'éolien offshore pour concevoir, construire et installer 2 plateformes offshore de conversion d'énergie éolienne en mer du Nord, au large de l'Allemagne.
Il y a 2 ans et 141 jours

pbm groupe organise le 3eme concours ecoles d architecture 2022 2023

PBM Groupe organise pour la troisième fois le concours #3 Stairs Design Awards. Ce concours s’adresse aux étudiants inscrits en Écoles d’Architecture et de Design en France mais aussi en Belgique, Suisse, Allemagne, Luxembourg, Espagne pour l’année 2022-2023.
Il y a 2 ans et 141 jours

Hydro rachète Hueck

Cette acquisition permettra à Hydro Extrusions d'affirmer sa position et sa présence en Europe. Cela renforcera également la position d'Hydro Building Systems et de ses marques TECHNAL, SAPA et WICONA en Allemagne et sur d'autres marchés européens, consolidant ainsi sa capacité à offrir des services de qualité à ses clients, grâce à une gamme de produits encore plus large.Forte de 60 ans d'expérience dans le domaine de l'ingénierie allemande, Hueck Systems opère principalement en Allemagne, qui représente le plus grand segment du marché européen des systèmes de construction. Elle est spécialisée dans la création de solutions pour fenêtres, portes et façades pour les secteurs du bâtiment et de la construction, et dispose d'une plate-forme de distribution sur son site principal, à Lüdenscheid. Outre l'Allemagne, Hueck Systems opère également en Autriche, en Suisse, au Danemark, aux Pays-Bas, en République Tchèque et au Royaume-Uni, mais aussi sur d'autres marchés grâce à de solides partenariats comme en France.Hydro Building Systems propose des solutions innovantes en aluminium durable pour les fenêtres, portes et façades en oeuvrant pour une économie circulaire. Ses marques TECHNAL, SAPA et WICONA développent et distribuent des systèmes de construction en aluminium pour tout type de bâtiment. Avec ses 3 200 collaborateurs, Hydro Building Systems vise à développer une approche pérenne avec de nouvelles solutions durables, contenant au moins 75% de matériaux recyclés et 95% de matériaux recyclables, réduisant ainsi l'impact des matériaux sur le cycle de vie d'un bâtiment.« Ensemble, formant une seule et même entreprise, Hueck et les marques d'Hydro Building Systems TECHNAL, SAPA et WICONA investiront sur la durabilité, l'implantation locale et l'expertise technique. Avec l'acquisition de Hueck, notre mission demeure la même : nous nous engageons pleinement à aider nos clients à saisir les nouvelles opportunités présentes sur le marché du bâtiment et de la construction. En disposant des meilleurs talents et en restant pleinement focalisés sur l'activité de nos clients et la qualité des produits que nous leur livrons, nous serons un partenaire indispensable pour la réalisation de leurs objectifs », explique Henri Gomez, Vice-président senior d'Hydro Building Systems.La finalisation de l'acquisition est soumise à l'approbation des autorités de concurrence allemande et autrichienne et est prévue pour la fin du premier trimestre 2023.
Il y a 2 ans et 143 jours

Le groupe PBM organise à nouveau le concours Stairs Design Awards à destination des étudiants architectes

Stairs Design Awards #3, un concours innovantL’utilisation du béton doit être manifeste mais d’autres matériaux peuvent lui être associés. L’escalier doit garder une fonction d’escalier, être conforme aux règles d’accessibilité et être réalisable.Conditions de participationCe concours est gratuit et ouvert à tous les étudiants inscrits en école d’architectures en France, Belgique, Suisse, Luxembourg, Allemagne ou Espagne pour l’année 2022-2023. Les candidats peuvent se présenter soit de manière individuelle, soit en équipe. Toutes les modalités d’inscription sont présentées sur le site web dédié au concours : www.pbm-stairsdesignawards.frA l’occasion de cette troisième édition et pour mettre les étudiants dans les meilleures conditions, le Groupe PBM a choisi de mettre à jour les dates du concours.Dates clésInscriptions : 17 octobre 2022 au 31 janvier 2023Date limite rendu des projets : 28 février 2023Annonce des 10 projets finalistes : 16 mars 2023Vote du public : du 16 mars au 26 mars 2023, les internautes sont invités à voter pour leurs projets favorisCérémonie de remise des prix : 3 avril 2023 à la Sucrière, LyonRécompensesLes lauréats sont déterminés par le jury, composé d’architectes, d’enseignants et de la direction de PBM Groupe. Ils recevront les montants suivants :1er prix : 8.000 €2ème prix : 5.000 €3ème prix : 2.500 €Prix du public : 1.500 €Prix PBM : 1.500 € (vote interne des salariés de PBM Groupe)
Il y a 2 ans et 146 jours

Les élus locaux en première ligne pour déployer les énergies renouvelables

Où s'implanter? Comment mieux répartir les sites, aujourd'hui concentrés dans le Nord et l'Est? Comment favoriser l'adhésion locale?La loi nouvelle loi demandera aux élus de définir des "zones d'accélération" pour l'implantation d'infrastructures d'énergies renouvelables (EnR)."Nous faisons le pari de remettre les collectivités dans le siège conducteur", a expliqué à l'AFP la ministre de la Transition énergétique Agnès Pannier-Runacher."Pour la première fois, nous créons un système de planification mettant les élus locaux au centre du jeu, en les réunissant pour traiter concrètement le sujet de l'installation des projets EnR dans leurs territoires afin qu'ils soient mieux acceptés et qu'ils se les approprient", a-t-elle poursuivi."En revanche, si des collectivités ne proposent pas de zones d'accélération, elles ne pourront pas imposer de zones d'exclusion".En clair: les élus locaux auront intérêt à dire où ils veulent des éoliennes, sinon le marché s'imposera.L'État se donne six mois pour fournir à chaque département ses données: production, gisements de vent ou de biomasse, contraintes... Les communes ou intercommunalités auront alors six mois pour envoyer leurs propositions.Il faudra ensuite un nouveau semestre, au mieux d'ici la mi-2024, pour voir "si ces schémas départementaux collent avec" les objectifs de la France dans les renouvelables."Sinon, nous demanderons aux maires de proposer des territoires alternatifs", ajoute la ministre, qui a écrit aux préfets pour les préparer et escompte "des zones d'accélération dans tous les départements".Pour France Énergie Éolienne, la voix du secteur, c'est "un profond changement de méthode, qui place désormais les élus locaux en coresponsables de la réussite de la transition énergétique et de la sécurité d'approvisionnement" du pays.Partager les profitsAujourd'hui, pour un projet éolien terrestre, le maire est obligatoirement interrogé lors de l'enquête publique; idem pour les grands champs photovoltaïques. Le préfet n'est cependant pas obligé d'en tenir compte pour l'autorisation.Pour autant, la profession l'affirme: les projets "Far West", portés dans les années 1990 par des développeurs seulement soucieux de convaincre les propriétaires de terrains, c'est fini.Même quand il s'agit de terrains privés, "la porte d'entrée est la commune. On ne rencontre jamais les propriétaires sans voir le maire avant", explique Joseph Fonio, président France de RWE Renouvelables. "Dans la majorité des cas, nous sommes bien accueillis"."L'essentiel de nos actions vise à faire que ces projets soient soutenus localement: par la coconstruction, l'association à l'investissement, le financement d'initiatives en faveur de la biodiversité ou du patrimoine", énumère-t-il, évoquant des pratiques similaires en Italie ou en Allemagne.Mais l'élu ne peut pas tout, "si la population n'en veut pas, que fait-on?," demande Nicolas Garnier, délégué général d'Amorce, principale association de collectivités sur les sujets eau, énergie, déchets, soulagé que le "droit de veto" des maires sur les projets ait pour l'instant disparu du texte: "trop de pression" sur l'élu.En revanche, on doit lui donner les moyens de susciter l'adhésion, en plus du revenu fiscal, plaide M. Garnier.Les défenseurs des renouvelables regrettent ainsi que le partage des profits avec les riverains des installations (via une baisse de la facture électrique) ait disparu du texte de loi.Autre piste souvent évoquée mais pas retenue: la vente directe d'énergie renouvelable aux communes."Comme il est fier d'attirer une usine et l'emploi, l'élu doit pouvoir assumer pleinement un site énergétique: c'est une manne et la lutte contre le changement climatique", souligne Nicolas Garnier."Jusqu'en 1946, les unités de production électrique étaient portées par les communes: barrages, turbines...", rappelle-t-il. Mais depuis, "la politique énergétique a si bien marché qu'elle a déconscientisé" l'opinion, ajoute-t-il, s'interrogeant sur la nécessité d'en arriver à des objectifs plus contraignants.En Allemagne, où les Länder ont grande latitude en matière d'énergie, certains rechignent toujours vis-à-vis des renouvelables, comme la Bavière avec l'éolien. Berlin a donc proposé une loi pour contraindre les retardataires.
Il y a 2 ans et 146 jours

Holcim Go Circular prêt pour l’Ocean Race

Le Go Circular Holcim-PRB prêt pour s’élancer à l’assaut de la régate The Ocean Race. [©Holcim] Holcim-PRB Go Circular rejoint l’Ocean Race pour sa première régate autour du monde. Ceci, en tant que seule équipe suisse à participer au légendaire marathon de voile, qui célèbre son 50e anniversaire. C’est le skipper français Kevin Escoffier qui dirige l’équipage du bateau. Il était membre de l’équipe gagnante de l’Ocean Race lors de sa dernière édition en 2018.  Lire aussi : Holcim hisse les voiles Cette année, l’équipe Holcim-PRB rassemble des marins très accomplis et de classe mondiale. Avec un palmarès dans des courses emblématiques, des Jeux olympiques au Vendée Globe, en passant par la Route du Rhum. Des jeunes talents tels que la médaillée olympique Susann Beucke (Allemagne) et le vainqueur de la Solitaire de Figaro Tom Laperche (France). Mais aussi des marins accomplis, dont Fabien Delahaye (France), Abby Ehler (Royaume-Uni) et Sam Goodchild (Royaume-Uni). Quant à Julien Champollion (France) et Georgia Schofield (Nouvelle-Zélande), ils rejoignent l’équipe en tant que reporters à bord. « L’Ocean Race est énorme, l’une des courses en équipage les plus extrêmes qui existe. Je suis inspiré par l’esprit d’équipe positif, réunissant un talent et une expertise uniques, relate Kevin Escoffier. Combiner nos forces en une seule équipe nous rend imparables. Je suis fier de la diriger à travers le monde. » Sensibiliser à une vie plus “circulaire” Concourant pour le progrès, Go Circular collectera des échantillons d’eau tout au long de la course. Objectif : pour faire progresser les sciences marines. L’équipage organisera aussi des “discussions Go Circular de la mer à la ville” pour sensibiliser à une vie plus “circulaire”. Et restaurer les écosystèmes marins avec les récifs en béton bioactif d’Holcim. Lire aussi : Holcim relève le défi de l’eau « Alors que The Ocean Race est sur le point de lancer sa course jubilaire du 50e anniversaire, il est excitant de voir de nouveaux partenaires comme Holcim soutenir des équipes avec d’ambitieux objectifs sportifs et de durabilité, explique Phil Lawrence, directeur de course de The Ocean Race. L’objectif de notre événement est toujours “le sport d’abord, la durabilité partout”. Des équipes professionnelles de haut niveau comme Holcim-PRB incarnent parfaitement cet esprit. » Un voyage “net zéro” Le skipper français Kevin Escoffier dirige l’équipage du Go Circular Holcim-PRB. [©Holcim] Lors du baptême du Go Circular à Alicante, en Espagne, Nollaig Forrest, responsable de la communication du groupe Holcim, a déclaré : « Holcim est ravi de participer à sa première régate autour du monde avec The Ocean Race. En tant qu’événement sportif mondial positif pour le climat, cette course symbolise notre voyage “net zéro”. Chez Holcim, l’avenir n’est pas écrit, il se construit et nous voulons l’ériger “net zéro” pour les gens et la planète ». Don son côté, Olivier Troussicot, directeur général de PRB, explique être « ravi de porter au sein d’Holcim l’héritage et les réalisations de PRB, dont deux victoires au Vendée Globe en 2000 et 2004, vers de nouveaux sommets. J’ai hâte de voir notre équipe Holcim-PRB repousser les limites de ce qui est possible de faire durant The Ocean Race ». Suivez-nous sur tous nos réseaux sociaux ! [Lien hyper-texte : https://linktr.ee/acpresse]
Il y a 2 ans et 147 jours

Le groupe Vinci remporte un énorme contrat dans l'éolien offshore

Ce contrat est similaire à un premier annoncé en juillet 2022, mais d'une ampleur nettement plus importante : ces deux plateformes seront d'une capacité totale de 4 GW et "pourront alimenter l'équivalent d'une ville de 4 millions d'habitants comme Berlin", précise Vinci.Leur mise en service est prévue en 2029 et 2030 et elles "seront parmi les premières d'une telle capacité à être développées en Europe du Nord"."Elles permettront de convertir le courant alternatif produit par plusieurs parcs éoliens en courant continu haute tension (...), qui sera reconverti en courant alternatif sur des stations terrestres, situées à 400 km environ", précise Vinci.La réalisation de ces stations terrestres est également incluse dans le contrat.Le client est l'allemand Amprion Offshore, l'un des quatre gestionnaires du réseau de transport d'électricité en Allemagne. Ce contrat est plus précisément attribué à un groupement composé d'une filiale de Vinci (Dragados Offshore, filiale de Cobra IS achetée par Vinci en décembre 2021) et de l'allemand Siemens Energy.La construction de ces plateformes, prévue à Cadix (Espagne), doit permettre la création de plus de 2.000 emplois jusqu'en 2029.En juillet 2022, Vinci avait annoncé un contrat similaire, mais cette fois "proche du milliard d'euros", pour alimenter l'équivalent d'une ville comme Hambourg, soit 1,8 million d'habitants à compter de 2028.
Il y a 2 ans et 148 jours

La France commence l'année en redevenant exportatrice d'électricité

"Depuis le 1er janvier, le solde net d'exportation d'électricité s'élève à 1,4 térawattheure (TWh)", a indiqué mardi à l'AFP le gestionnaire du réseau de haute et très haute tension, RTE. Ce solde équivaut à la puissance consommée sur un an par 450.000 foyers.La "remontada" de la production nucléaire, la douceur hivernale qui évite de pousser le chauffage et des vents favorables pour la production éolienne font que la France recommence à exporter plus d'électricité vers ses voisins européens qu'elle n'en importe, au moins provisoirement. "On a l'impression qu'on a changé de monde", a résumé auprès de l'AFP Nicolas Goldberg, expert énergie au cabinet Colombus Consulting."La consommation extrêmement basse, des éoliennes qui produisent à fond et un nucléaire qui produit dans la moyenne prévue par RTE, tout cela fait qu'on est exportateur net d'électricité et que plus personne ne parle de coupures" de courant, explique-t-il.Au moment où les parlementaires examinent un projet de loi pour accélérer le développement des énergies renouvelables et rattraper un retard criant par rapport aux voisins européens, "l'énergie éolienne montre aussi qu'elle apporte un petit service en hiver", relève M. Goldberg.Dans le détail, la France a renoué, selon RTE, avec les exportations nettes dès la première semaine des vacances de Noël, soit tout l'inverse de 2022.Avec une production nucléaire historiquement basse estimée dans une fourchette de 275-285 TWh en 2022, la France avait été importatrice nette d'électricité sur presque l'ensemble de l'année (sauf février, mai et à partir de fin décembre), ce qui n'était pas arrivé depuis 42 ans.Historiquement premier pays exportateur d'électricité en Europe, la France avait dû en importer depuis l'Espagne, l'Allemagne ou le Royaume-Uni pour éviter les coupures."Rester prudent"L'an dernier, la France a été confrontée à un manque de disponibilité inédit du parc nucléaire en raison de maintenances programmées, mais prolongées, sur des réacteurs et de la découverte fin 2021 de problèmes de corrosion sur des portions de tuyauteries cruciales pour la sûreté des centrales, nécessitant de longues réparations. La France ne pouvait guère non plus compter sur ses stocks hydrauliques (les barrages), qui ont souffert de la sécheresse, même s'ils ont depuis été partiellement reconstitués cet automne.Sous pression du gouvernement, EDF a mis les bouchées doubles pour remettre en service depuis le 1er novembre 14 réacteurs."Les ingénieurs, les ouvriers, les salariés d'EDF viennent de remettre aujourd'hui en état (sur le réseau) les 45 gigawatts qu'ils avaient promis pour la mi-janvier" (sur une capacité totale installée de 61,4 GW), s'est félicité mardi le ministre de l'Economie Bruno Le Maire, devant les députés.Avec 44 réacteurs rebranchés sur 56, le parc nucléaire affichait lundi une disponibilité de 73,7%, niveau plus atteint depuis le 11 février 2022 (74,8%), selon des chiffres d'EDF analysés par l'AFP.La disponibilité du parc nucléaire devrait toutefois "décroître à nouveau à partir de février" 2023, relevait RTE fin décembre, alors que six réacteurs devront être arrêtés en 2023 pour des chantiers de corrosion."On peut être enthousiaste, mais il faut rester prudent", souligne M. Goldberg."Tout cela peut se retourner assez vite, si en février on a peu de vent et un coup de froid", prévient l'analyste. La France devra alors puiser dans ses stocks de gaz pour produire de l'électricité et aborderait l'hiver 2023-2024 avec moins de marge.En attendant, la baisse de la consommation électrique est confirmée par les dernières mesures publiées mardi soir par RTE. La semaine dernière, la consommation a diminué de 8,9% par rapport à la moyenne des années précédentes (2014-2019) à la même période, selon des chiffres arrêtés au 8 janvier, retraités des effets calendaires et météorologiques.Un recul qui se maintient également côté gaz naturel: hors production électrique à partir du gaz, la consommation française a baissé de 16,6% entre le 1er août et le 8 janvier, selon GRTgaz.
Il y a 2 ans et 148 jours

Retraites : les Français sont-ils mieux lotis que leurs voisins ?

L'âge légal: comparaison n'est pas raisonL'âge légal est l'âge à partir duquel un travailleur a le droit de partir à la retraite. Cet âge ne garantit toutefois pas une retraite pleine et sans décote. En France, il est fixé à 62 ans et le gouvernement prépare actuellement une réforme pour le reporter.En comparaison, il s'établit à 67 ans en Allemagne, en Italie, au Danemark et bientôt en Espagne, à 66 ans au Royaume-Uni.Mais l'âge légal ne suffit pas à comparer la situation réelle d'un pays à l'autre, car les systèmes de retraite sont différents et la notion même d'âge légal varie beaucoup. Ce seuil est par ailleurs souvent assorti d'exceptions permettant de partir plus tôt, notamment pour les personnes ayant commencé à travailler très jeunes.D'autres indicateurs permettent une meilleure comparaison entre pays, comme l'âge de départ à la retraite réellement constaté.Les Français partent tôtAinsi, les Français quittent le marché du travail à 62,3 ans en moyenne, selon les dernières données de la Commission européenne (2019).Dans l'Union européenne, seuls les seniors de quatre petits pays partent plus tôt. Ce sont les Luxembourgeois qui prennent leur retraite le plus tôt, à 60,2 ans en moyenne.La France est en revanche très loin de l'Italie, pays de l'Union européenne où les travailleurs demandent leur pension le plus tard (65,5 ans), mais également de l'Allemagne (64,6 ans), le Portugal (64,3 ans), l'Espagne (64,2 ans).En moyenne, les habitants de l'UE prennent leur retraite à 63,8 ans. Dans la plupart des pays de l'Union, les femmes partent à la retraite plus tôt que les hommes. L'Espagne, l'Italie et la Belgique sont de rares exceptions. En France, la différence est minime, les femmes partant à 62,2 ans, contre 62,3 ans pour les hommes.Leurs retraites moins généreuses qu'au SudEn moyenne, les retraités français touchent une pension s'élevant à 54,4% de leur dernier salaire, selon la Commission.Ils sont mieux lotis que la moyenne des retraités de l'UE, qui en perçoivent 46,2%, ou que leurs homologues allemands, qui touchent en moyenne 39,8% de leur ancien salaire.La France est en revanche devancée par les grands pays du sud de l'Europe, comme l'Espagne, championne avec une pension de 77% du dernier salaire, le Portugal (74%) ou l'Italie (66,9%).Mais cette situation durera-t-elle ? La Commission européenne s'attend à voir les pensions baisser en France à 39,6% de l'ancien salaire en 2040 et à 34,7% à horizon 2070. Les retraités français seraient alors rétrogradés sous la moyenne européenne (40,4% en 2040 et 37,5% en 2070).Beaucoup d'argent consacré aux pensionsLa France consacre en moyenne 14,8% de son Produit intérieur brut (PIB) aux pensions, toujours selon la Commission.Dans l'Union européenne, seules la Grèce (15,7%) et l'Italie (15,4%) y consacrent plus d'argent.Ces trois pays dépensent beaucoup plus pour les retraites que la moyenne européenne (11,6%) et que des pays comme la Pologne (10,6%), l'Allemagne (10,3%) ou la Roumanie (8,1%).C'est l'Irlande qui ferme la marche, ne consacrant que 4,6% de son PIB aux retraites.
Il y a 2 ans et 154 jours

Deux nouvelles finitions huilées Bois Naturel et Amande pour la collection de parquets Diva de Panaget

Huile Bois naturel est l’équivalent de son best-seller Bois flotté (vernis mat) en finition huilée. Les nuances de bois sont mises en valeur pour signer l’authenticité du parquet et offrir des sols encore plus naturels. Avec la finition Amande, au nom évocateur de douceur et de raffinement, les singularités du bois sont sublimées par une patine naturelle et un veinage légèrement blanchi. Focus sur ces nouveautés dont les déclinaisons du bois créent des décorations stylées et apaisantes.La finition Huile Bois naturel totalement en phase avec notre époqueEn France, les clients de la côte atlantique férus de la finition Bois Flotté demandaient une version huilée pour des effets de matière encore plus naturels et pour une meilleure réparabilité (micro-rayures liées au sable par exemple). À l’export et plus précisément en Suisse et en l’Allemagne, où la consommation en parquet huilé est plus importante qu’en France, les clients exprimaient le souhait de disposer d’une huile « invisible » afin de jouer sur toutes les singularités du bois : fentes, veinages et nervures. C’est chose faite puisque Huile Bois naturel, une nouvelle exclusivité Panaget, offre assurément un support idéal à toutes les idées d’ambiances.La finition Amande : pour une intimité retrouvée à la maisonCette coloration huilée légèrement blanchie, discrète et subtile, capte la lumière, sans brillance, et donne de l’ampleur au volume tout en procurant une indéniable sensation de confort. Pour un art de vivre chaleureux et authentique, rien de tel que les charmes naturels du chêne combinés à la nouvelle finition Amande. C’est un bel exemple d’innovation. Et c’est surtout le résultat d’un savoir-faire acquis depuis plus de 90 ans par la Maison Panaget !Entretenir et rénover son parquetLa finition huilée Panaget, qui conserve tout l’aspect naturel du bois, est obtenue grâce à une huile d’imprégnation ; sa formulation offre une protection efficace et durable du parquet aussi bien contre les rayures et les abrasions que les taches et les salissures.Facile d’entretien, il suffit d’un simple passage au savon sur les zones sollicitées pour que le parquet retrouve tout son éclat. Afin de garantir l’aspect esthétique du parquet dans le temps, il est très important d’adapter l’entretien à son utilisation et de respecter les précautions d’entretien.Caractéristiques techniquesAMANDE est proposée en :Chêne Zenitude Amande, Diva 139 12 ClicChêne Zenitude Amande, Diva 184 14 RLHUILE BOIS NATUREL est proposée en :Chêne Authentique Huile Bois naturel, Diva 184 12 ClicChêne Zenitude Huile Bois naturel, Diva 184 14 RLChêne Zenitude Huile Bois naturel, Diva 139 12 Clic
Il y a 2 ans et 155 jours

JACKOBOARD® Aqua 

JACKOBOARD® Aqua, les solutions receveur prêt à carreler 100% étanche. Le meilleur écoulement, la plus faible épaisseur. Le point crucial de l’espace douche : l’étanchéité. Avec les solutions JACKOBOARD® Aqua pour receveur, le fabricant allemand Jackon Insulation garantit une étanchéité intégrale, y compris aux points les plus sensibles grâce à un matériau constitutif ultra-performant et un système d’écoulement parfaitement adapté. Un produit innovant pour des réalisations d’excellence. Un receveur panneau en XPS hydrofuge Le panneau en mousse rigide de polystyrène extrudé (XPS) de haute qualité qui constitue le receveur est entièrement élaboré et fabriqué avec une sélection minutieuse des matières premières, à Mechau en Allemagne. Hydrofuge, isolant, résistant à la compression (résistance > 300 kPa) et indéformable, le receveur ne peut pas être endommagé et peut être mis en œuvre avec des tolérances minimes. Il intègre une pente préformée et une évacuation. JACKOBOARD® Aqua Innovantes, ces solutions proposées par Jackon Insulation sont destinées à des applications exigeantes notamment celles qui requièrent une résistance à un taux d’humidité élevé et qui sont exposées à des conditions extrêmes. La mise en œuvre est simplifiée en raison de la légèreté du matériau (11,65 kg pour le 140 x 90 cm) et de son revêtement spécial sur les deux faces pouvant être directement carrelé. Des systèmes d’écoulement efficace, pérennes et design La bride d’écoulement étanchéifiée et les siphons sont parfaitement adaptés aux solutions JACKOBOARD® Aqua, pour une réalisation efficace, zéro défaut, facile et rapide en raison des caractéristiques suivantes : Une garde d’eau de 50 mm Une très faible hauteur du siphon horizontal ultra-plat (DN 50) avec une épaisseur minimale de 97 mm seulement, receveur compris. A noter qu’il existe également un siphon vertical (DN 40/50). Un important débit correspondant à un écoulement d’eau de 3 à 4 fois plus important que les débits de tête de douche (20 l/min). Une surface de mortier entièrement compatible avec les mortiers colle. Un système de fixation du siphon par vissage. Un choix de carrelage illimité y compris de très faible épaisseur (3 mm), sans accessoire. Les atouts des solutions JACKOBOARD® Aqua : Nombreux formats standard, une large palette de dimensions et de formes sur-mesure, en 40 et 50 mm d’épaisseur pour de très faibles hauteurs d’installation. Version spéciale « zéro ressaut » pour les planchers bois avec Aqua Flat qui propose une épaisseur de 20 mm seulement en intégrant un siphon horizontal pour une hauteur d’encastrement variable de 97 mm à 116 mm. JACKOBOARD® Aqua Flat Equipements spéciaux adaptés, à la fois design et performants : grilles avec support et caniveaux de douche en acier inoxydable massif existant en plusieurs modèles, pouvant également être carrelés par retournement du dispositif. JACKOBOARD® Aqua Kits complets comprenant des bandes et des coins préformés avec caoutchoutage au central pour étancher tous les éléments JACKOBOARD® (dans la zone humide), des nattes pour étancher les passages de tuyaux, des produits adaptés pour le collage. JACKOBOARD® kit complet Une pose et un carrelage effectué dans la journée pour une réalisation durable, sans risque de fuite et parfaitement étanche avec un revêtement de sol carrelé et son jointoiement, par principe non étanches à l’eau. À propos de JACKON Insulation : Fabricant d’isolants et de panneaux de construction de grande qualité en mousse rigide de polystyrène extrudée (XPS), JACKON Insulation GmbH remporte depuis plus de 30 ans un franc succès sur le marché national et international. Avec plus de 300 collaborateurs, la société gère, en plus de ses deux sites d’implantation en Allemagne, des filiales en Belgique, en France et en Suisse. Grâce au développement de matériaux innovants comme les isolants JACKODUR® et les panneaux de construction JACKOBOARD®, JACKON Insulation GmbH a su s’imposer durablement sur un marché très concurrentiel et compte aujourd’hui parmi les sociétés les plus innovantes du secteur.  Pour plus d’informations, rendez-vous sur www.jackon-insulation.fr 
Il y a 2 ans et 160 jours

Wienerberger fait une offre pour l’acquisition de Terreal

Terreal : Fournisseur européen de premier plan dans le domaine des produits de couverture dédiés à la rénovation et à la réparationLe périmètre de l'opération comprendrait les activités de Terreal en France, en Italie, en Espagne et aux États-Unis, ainsi que les activités allemandes et du Benelux de Creaton, acquises par Terreal en 2020, qui emploient près de 3 000 personnes. À l'issue de cette opération, Wienerberger agrandirait son empreinte opérationnelle de 29 sites. L'acquisition des activités de Terreal, qui devraient générer un chiffre d'affaires annuel d'environ 740 millions d'euros en 2022, constituerait un complément important aux activités de Wienerberger, en particulier dans le contexte de la nouvelle Réglementation Environnementale française (RE 2020) relative à l'efficacité thermique et à la sobriété des matériaux utilisés pour la construction, adoptée parallèlement aux réglementations européennes portant sur la réduction de consommation énergétique. Par ailleurs, Terreal exploite des installations de pointe, notamment en France, dont le centre de recherche et de développement de Castelnaudary, et en Allemagne.L'étape idéale dans la stratégie de croissance créatrice de valeur de WienerbergerPour Wienerberger, l'acquisition de Terreal viendrait en complément des activités existantes, offrirait des opportunités de croissance uniques, notamment sur les marchés français et allemand, et permettrait à l'entreprise de renforcer encore sa position de pionnier de l'innovation et de la décarbonisation dans le secteur.Pour Heimo Scheuch, Président Directeur Général du Groupe Wienerberger : « La rénovation du parc immobilier vieillissant en l'Europe est une étape essentielle pour atteindre la neutralité climatique. Pour Wienerberger, ce domaine d'activité recèle un énorme potentiel de croissance à exploiter dans les années à venir, notamment dans le segment des toitures, y compris les solutions solaires et de gestion de l'eau. L'acquisition de Terreal doublerait nos ventes de toiture. En les faisant passer à 75 millions m2, elle constituerait une étape importante dans la mise en œuvre de notre stratégie de croissance créatrice de valeur. Avec les activités de Terreal qui complètent parfaitement notre propre gamme de produits, nous renforcerions notre capacité à fournir des solutions de premier ordre, surtout sur les marchés stratégiquement importants que sont la France et l'Allemagne. Dans le même temps, notre position dans le secteur de la rénovation et de la réparation s'améliorerait considérablement. Grâce à l'importance commune que nous accordons à la durabilité, aux solutions innovantes et aux modèles commerciaux digitalisés, l'installation de nos solutions permettra de réduire les émissions de CO2 de 225.000 tonnes par an. En outre, nous dégagerons des synergies durables en combinant nos installations de production et nos technologies et en élargissant notre gamme de produits en ce qui concerne le toit en pente, y compris les accessoires et l'isolation. En créant le premier véritable expert européen en matière de toits en pente qui intègre des solutions pour l'énergie solaire, l'eau et d'autres solutions pour le toit, Wienerberger construit une plate-forme solide pour la poursuite de sa croissance. »Pour Laurent Musy, Président Directeur Général du groupe Terreal : « Ces dernières années, Terreal a mis en œuvre avec succès une stratégie de croissance durable, grâce au engagement de nos équipes, au soutien de nos clients, de nos communautés et de nos actionnaires que je tiens à remercier tout particulièrement. L'acquisition et l'intégration réussies de Creaton en Allemagne et en Europe de l'Est ont été un point fort très positif. A l'heure où des défis sans précédent liés aux prix élevés de l'énergie et des besoins toujours plus urgents de décarbonisation de notre industrie et du bâtiment nous assaillent, unir nos forces avec Wienerberger nous permettrait d'accélérer notre feuille de route actuelle grâce au partage des meilleures pratiques, aux investissements, à l'innovation et à la digitalisation. Wienerberger est une entreprise européenne très réputée qui possède une grande expertise dans le secteur des tuiles et des briques en terre cuite dans le monde entier. Elle bénéficierait clairement de la complémentarité de notre empreinte industrielle et de l'ajout des marques, des actifs et des capacités de Terreal/Creaton, notamment en France et en Allemagne, dans le domaine des toits en pente et du solaire. Wienerberger a un projet industriel et commercial ambitieux qui assurera la croissance durable de nos activités. Nos collègues autrichiens, polonais et hongrois, qui connaissent un grand succès, resteraient sous le contrôle de nos actionnaires actuels. Nous continuerons à les soutenir dans la phase de transition. »En achetant Terreal, Wienerberger franchirait sa plus grande étape à ce jour dans le cadre de sa stratégie de croissance créatrice de valeur, qui repose sur des critères ESG ambitieux et se concentre sur le développement de produits et de solutions durables. À cette fin, l'entreprise s'est complètement repositionnée stratégiquement au cours des dix dernières années et est devenue un fournisseur complet de solutions efficaces de rénovation, de construction neuve et de la gestion de l'eau. La combinaison de produits innovants, de savoir-faire industriel et de modèles de distribution basés sur un partenariat dans toute l'Europe renforce le réseau commercial de Wienerberger et, dans le même temps, accélère l'avancée dans les objectifs environnementaux ambitieux de l'entreprise.
Il y a 2 ans et 168 jours

RSE : Une démarche au cœur de la stratégie du groupe fischer 

« La durabilité associe des aspects tels que la protection de l’environnement, la technologie et l’innovation ainsi que la réussite économique et la responsabilité sociale. Chez fischer, nous considérons cette interaction comme un défi pour vivre, travailler et prospérer en accord avec la nature. »Professeur Klaus Fischer – Propriétaire du groupe d’entreprises fischer  ©fischer Respect de l’environnement, bien-être des collaborateurs ou encore pérennité financière sont des défis quotidiens pour les entreprises. La RSE guide les investissements tant elle pousse à inscrire le développement économique dans une démarche environnementale et sociale. Pour fischer, la RSE est bien au cœur des investissements. Groupe international avec 50 filiales dans plus de 30 pays, fischer partage et porte des valeurs communes qui sont l’innovation, la responsabilité, le sérieux. Véritable philosophie du groupe, elles sont le pilier de sa démarche RSE. Menée par une approche environnementale, initiée depuis plus de 60 ans, cette démarche est aujourd’hui globale et solidement ancrée dans le quotidien de l’entreprise. Elle s’articule autour de 7 principes fondamentaux.  Le développement durable chez fischer, une histoire qui dure « Pour une entreprise, le développement durable est une action responsable qui vise la réussite économique à long terme en accord avec l’environnement et la société. » Devise fischer  Une démarche RSE déclinée en 7 principes fondamentaux – Le bien-être des collaborateursfischer a toujours accordé une grande importance au bien-être et à la motivation de ses collaborateurs. Inspirer les personnes, apporter une qualité de vie au travail, et donner les valeurs et les outils pour atteindre au mieux les objectifs fixés : ce sont les facteurs clés de la réussite de l’entreprise familiale. Pour contribuer à l’épanouissement des salariés et à l’amélioration des conditions de travail, fischer met à leur disposition des salles de pause et de sport, des mesures pour les protéger et limiter les risques d’accidents au travail, des formations…– L’avis des parties prenantesEn étroite collaboration avec ses partenaires – clients, revendeurs, distributeurs, fournisseurs, représentants de groupements, associations ou encore organisations – fischer est attentif aux suggestions et aux besoins de ces parties prenantes. Leurs recommandations permettent à l’entreprise de s’améliorer continuellement et de faire évoluer ses activités.– Des ressources préservéesLe groupe fischer ne cesse de perfectionner la gestion de ses ressources. 85% de ses produits sont fabriqués au sein de l’Union Européenne, dont 48% proviennent des usines allemandes. Soucieux de limiter l’impact de ses produits sur l’environnement, fischer valorise près de 100% des déchets issus de la production de chevilles en plastique. En 2021, 99,99% des 2 791 tonnes de déchets produits ont été recyclés. Autre mesure, sur le site de production en Allemagne, l’eau de source est utilisée pour le refroidissement indirect des installations de production et l’arrosage des espaces verts.  ©Fischer – Gestion de l’énergie et des émissionsL’efficacité énergétique et la réduction des émissions (CO2, sonores, polluantes) sont au cœur de la stratégie de développement durable de fischer.Pour évaluer et améliorer ses performances environnementales, et minimiser les risques, fischer est conforme aux normes ISO 14001 pour le Système de management environnemental, ISO 50001 pour le Système de management de l’énergie et ISO 9001 pour le Système de management de la qualité. Afin d’augmenter l’efficience énergétique d’au moins 1,5% par an, ses installations de production sont continuellement modernisées. Les éclairages conventionnels sont substitués par la technologie LED, les systèmes de ventilation, de pompage et de production sont remplacés par des systèmes plus performants… L’entreprise souhaite également augmenter le pourcentage d’énergie produite en interne via l’installation de ses propres centrales de production, des panneaux photovoltaïques… Depuis 2018, tous les sites allemands sont alimentés en électricité verte, qui provient entièrement de centrales utilisant des sources d’énergie renouvelables.Par ailleurs, fischer veille a ce que les émissions de CO2 soient maitrisées et augmentent moins fortement que le volume de production.Enfin, les émissions sonores des usines de production ainsi que les émissions de substances polluantes, via les ventilations, sont rigoureusement analysées afin de ne pas nuire à l’environnement et aux zones résidentielles avoisinantes. – Des produits responsablesSelon les idées du concept japonais Kaizen (amélioration continue), le groupe fischer a développé une philosophie visant à améliorer les procédures de l’entreprise et à éviter le gaspillage. La conception de chaque produit fischer suit ainsi ce processus afin d’apporter aux utilisateurs la meilleure solution d’ancrage en termes de qualité et d’usage. Du choix des matières premières à la fin de vie des produits en passant par la fabrication, le conditionnement et le merchandising, fischer porte une attention particulière sur le cycle de vie de ses solutions de fixation pour les rendre plus responsables. Les matières premières et les moyens de production mis en place doivent répondre aux exigences de recyclage et de gestion des déchets.Pour la conception de ses produits, le groupe recherche des solutions qui peuvent valoriser des matériaux durables. La gamme Greenline en est le parfait exemple. Elle est la première gamme de fixation au monde fabriquée à partir de matières premières renouvelables. fischer cherche également à limiter l’impact de ses produits sur l’environnement et sur l’Homme en développant des formulations sans substances nocives comme la résine d’injection FIS V Zero.Outre la formulation des produits, fischer s’est engagé à modifier les emballages de ses produits afin qu’ils soient respectueux de l’environnement et recyclables au maximum. Le carton utilisé pour les boîtes et les blisters est recyclé jusqu’à 98% et recyclable. Pour l’implantation en magasin, fischer accorde une attention aux matériaux qu’il utilise. Les matières plastiques et le PVC sont délaissés progressivement pour des outils à base de carton ou de PVC recyclé, qui ne comportent pas d’encres solvantées.– La formation Prospère et en pleine croissance, le groupe fischer comptait plus de 5 400 collaborateurs fin 2021. Il soutient activement le développement professionnel et personnel de ses collaborateurs, et ce de nombreuses façons. Des programmes de formation interne préparent les managers de demain, et soutiennent les collaborateurs qui souhaitent acquérir ou parfaire des compétences techniques. Des formations continues sont proposées aux apprentis et aux étudiants qui recherchent une expérience professionnelle. ©Fischer – Des innovations constantesAvec plus de 14 000 références, l’offre fischer couvre l’ensemble des besoins des professionnels comme des particuliers : solutions de fixation métalliques, chimiques, nylon, sanitaires, isolants, visserie et accessoires, forets, coupe-feu, techniques de supportage, inserts pour A|C|T, systèmes de rails insert, chimie du bâtiment ou encore outils électriques.  Avec plus 1 500 brevets déposés, l’entreprise a su, grâce à son savoir-faire et à sa capacité d’innovation, imposer de nouvelles références et devenir un acteur incontournable dans le domaine des systèmes de fixation. Les produits fischer sont utilisés dans la vie courante des bricoleurs comme sur les chantiers des artisans et des professionnels du bâtiment, c’est pourquoi fischer œuvre en permanence à l’amélioration de la qualité de ses produits. Parmi les dernières innovations :– La FIS V Plus : 1ère résine universelle agréé 100 ans dans le béton. Avec un seul produit, les utilisateurs peuvent réaliser de nombreuses applications dans le béton fissuré, non fissuré et la maçonnerie, sismiques C1 ou C2 et des ancrages dans des forages inondés.– La FIS V Zero : 1ère résine exempte de substances nocives (peroxyde de benzoyle) plus respectueuse de l’Homme et l’environnement. Universelle, polyvalente et aussi performante qu’une résine traditionnelle, elle dispose de nombreuses ETE.– La gamme DuoLine : avec les chevilles multi-matériaux DuoPower, à bascule DuoTec, autoforeuse DuoBlade, étanche DuoSeal et rallongée DuoXpand, qui regroupent les meilleures caractéristiques techniques pour couvrir un large champ d’application. – Le système de rails insert : une nouvelle génération qui intègre le processus BIM (Building Information Modeling). Disposant d’une ETE-18/0862 (Evaluation Technique Européenne) dans le béton fissuré, ce système de fixation complet, composé de rails et de tiges d’ancrage prémontés en usine, offre une grande souplesse d’utilisation et un réel gain de temps de pose. La recherche de performanceL’obtention de prix est un important indicateur de performance pour le groupe fischer. Parmi les dernières récompenses, fischer a reçu le « Prix allemand de la durabilité 2020 », le « Trophée de l’Innovation LSA » en 2021 pour la FIS V Zero, et le « Plus X Award » 2022, le plus grand prix d’innovation au monde dans le domaine de la technologie, du sport et du style de vie.  https://www.fischer.fr/fr-fr
Il y a 2 ans et 169 jours

Comment la pandémie a-t-elle redéfini l’usage et la conception du logement dans le monde entier ?

En s'appuyant sur les données provenant de 12 pays* en Europe, Amérique du Nord et au Moyen-Orient, PlanRadar fournit une analyse détaillée de l'influence de la pandémie sur la conception et l'usage du logement. Ainsi portée par le développement du travail à distance, la maison du futur se doit d'être davantage fonctionnelle, durable et connectée pour s'adapter aux nouveaux besoins de ses occupants. Le logement sera plus grand et modulableAujourd'hui en Europe, la République Tchèque est le pays en Europe où la surface minimum d'une pièce de vie est la plus grande : 16 m². L'Italie suit de près, avec une surface minimum de 14 m². La France semble se situer dans la moyenne (9 m²), loin des Etats-Unis (6,5 m²) et des Emirats Arabes Unis (3 m²).L'enquête de PlanRadar révèle surtout que dans la plupart des pays étudiés, la taille minimale des logements augmente, alors que les surfaces moyennes par habitant restent très disparates d'un pays à l'autre : 46 m² en Allemagne et 27,5 en Pologne par exemple. En Autriche, la taille des logements est passée de 86 m² dans les années 90 à 99,2 m² en 2015. En France, la taille minimum des logements pouvant bénéficier d'aides fiscales immobilières (Pinel) va doubler en 2023, pour passer à 28m² pour un T1. La tendance va donc vers une augmentation de la taille minimale des surfaces.Avec l'émergence du télétravail et du travail hybride, la frontière entre espace privé et espace de travail s'est progressivement amincie participant à l'émergence de nouveaux besoins et désirs de ses occupants. Ainsi, des millions de propriétaires et de locataires recherchent désormais des logements dotés d'un espace où ils peuvent travailler sans être interrompus par la vie de famille. Lorsque cela n'est pas possible, ils recherchent un mobilier flexible qui leur permet de transformer certaines pièces en bureau pendant la journée, avant de les réaménager en cuisine, salon ou chambre, la journée de travail terminée.L'étude de PlanRadar montre que les espaces multifonctionnels sont à présent une priorité dans 7 pays sur les 12 étudiés (États-Unis, Royaume-Uni, Allemagne, Autriche, Slovaquie, Italie et les Émirats Arabes Unis). Certains pays comme la France, les États-Unis, le Royaume-Uni, l'Allemagne et l'Autriche affirment même que les bureaux à domicile seront une tendance clé à l'avenir.De nouvelles aspirations vers des espaces partagés et durablesDe plus en plus préoccupés par la crise climatique, les citoyens se tournent vers le « vivre durable ». Cette aspiration partagée dans la majorité des pays, se décline sous différents prismes. L'Allemagne, la France et la République Tchèque misent sur les matériaux biosourcés tandis que le Royaume-Uni priorise les maisons passives. De leur côté, les États-Unis orientent leurs efforts vers la mobilité durable avec le développement de bornes de recharge pour les véhicules électriques. Tous sont soucieux de l'impact du mobilier sur l'environnement. 9 pays sur les 12 interrogés s'attendent à ce que leurs meubles soient fabriqués à partir de matériaux recyclés, durables ou d'origine naturelle. Ainsi, quatre pays (Allemagne, Autriche, France et Hongrie) montrent un intérêt pour les meubles d'origine locale, à la fois pour soutenir les efforts de durabilité et pour éviter les retards d'approvisionnement observés pendant la pandémie de COVID-19. L'Allemagne quant à elle est le seul pays à exprimer un intérêt pour les surfaces autonettoyantes et les matériaux antibactériens.Enfin, l'enquête révèle que durabilité rime avec partage des usages. Privés d'espaces extérieurs pendant la pandémie, les habitants ont de nouvelles attentes en termes d'espaces verts. Ainsi, les Américains, les Britanniques et les Italiens sont particulièrement désireux de disposer d'un espace extérieur directement accessible depuis leur maison. Il ne s'agit pas nécessairement d'un jardin privé ; beaucoup s'intéressent aux espaces extérieurs communs.La maison connectée : une priorité pour la France et les Etats-UnisGrâce aux progrès technologiques, la domotique se développe et les maisons connectées ou « intelligentes » deviennent réalité. Ces équipements connectés doivent rendre les logements plus confortables, plus faciles à gérer et plus sûrs, mais doivent aussi permettre de réaliser des économies. C'est ce que révèle l'étude PlanRadar qui montre que l'ouverture aux technologies intelligentes se généralise dans le monde entier. Parmi les technologies les plus populaires, on retrouve les systèmes d'éclairage intelligents, les thermostats connectés et les dispositifs de sécurité domestique connectée. La France et les États-Unis sont les plus en avance de phase et prévoient l'adoption de 14 des 24 technologies répertoriées dans cette étude tels que (le thermostat et éclairage intelligents ainsi que les dispositifs de sécurité connectés).Retrouvez l'étude complète de ce troisième volet sur ce lien.*Étude menée par PlanRadar en juin 2022 sur les tendances et priorités des architectes concernant la construction, l'habitat et les bureaux du futur dans 12 pays Etats-Unis, Royaume-Uni, Allemagne, Autriche, France, Espagne, République tchèque, Slovaquie, Hongrie, Italie, Emirats arabes unis et Pologne. Les sources proviennent principalement des données publiques d'experts, d'instituts indépendants et d'organismes professionnels et gouvernementaux. En France, il s'agit principalement du Conseil national des architectes, du Ministère de la Transition écologique et de l'UNSFA.
Il y a 2 ans et 169 jours

Une tiny house flottante autonome et design de conception sino-allemande

L’agence d’architecture sino-allemande Crossboundaries a repensé le concept de bateau à moteur, en alimentant entièrement à l’énergie solaire, avec des caractéristiques haut de gamme de petite maison qui lui permettent de fonctionner comme un nid de voyage au ralenti. [De l’architecte] Alors que le monde semble bouleversé en raison des restrictions pandémiques de voyage, des […]