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Il y a 2 ans et 118 jours

Sylvie Lupien : Soupçon de ciment et d’argent

Article paru dans le n°104 de Béton[s] le magazine. Avec un soupçon de ciment coloré et une bonne dose d’argent ou d’or, les bijoux de la Québécoise Sylvie Lupien pétillent tout comme sa conceptrice. [©Sylvie Lupien] Il est 12 h 00, heure de Montréal et 18 h 00, heure de Paris, lorsque nous prenons contact avec la joaillière Sylvie Lupien. Nous découvrons tout son joyeux univers, qui pourrait très bien se résumer à la chanson “Comic strip”, interprétée par Brigitte Bardot et Serge Gainsbourg, en 1967. « Viens petite fille, dans mon comic strip. Viens faire des bull’s, viens faire des wip ! Des clip ! Crap ! Des bang ! Des vlop ! Et des zip ! Shebam ! Pow ! Blop ! Whizz ! » Ludiques, colorés, enjoués, pétillants et novateurs, ses bijoux sortent vraiment de l’ordinaire. Les Françaises en raffolent ! En effet, Sylvie Lupien cherche sans cesse à repousser les frontières de la joaillerie traditionnelle. Au sein de ses créations, on trouve des fleurs, des formes arrondies, des bijoux-sculptures, des bijoux-mobiles… « Je n’aime pas ce qui est classique. J’aime explorer de nouvelles matières, de nouvelles textures, de nouvelles formes, de nouveaux coloris. Les Françaises en raffolent ! », s’exclame Sylvie Lupien. Cette dernière partage son temps entre la production de pièces de petite série et celle d’œuvres de recherche, plus sculpturales. Elle est aussi passionnée de photographie… « Ces dernières années, j’ai participé à plusieurs ateliers de formation et cette approche m’a plongée dans la création. Mais cette fois, par le biais de la peinture, puis de la photographie. Me voilà donc emportée par la couleur et habitée par le souci d’intégrer de nouvelles matières dans mes bijoux. » Lire aussi : Aurélien Grudzien : Comme une ode au ciment… Subtile mélange de ciment et de couleur « Je n’aime pas ce qui est classique. J’aime explorer de nouvelles matières, de nouvelles textures, de nouvelles formes, de nouveaux coloris. Les Françaises en raffolent ! », s’exclame Sylvie Lupien. [©Sylvie Lupien] C’est comme cela que Sylvie Lupien a introduit le ciment coloré dans ses créations. « J’ai pensé au ciment comme médium. Le colorer et lui faire place honorable sur le bijou, lui faire côtoyer or ou argent, pierres fines ou perles, laiton ou cuivre… Jouer avec des formes, des grains, des couleurs. Oser le contraste. Car, si dans la joaillerie, j’apprécie la rigueur, le bel ouvrage et le caractère noble des matériaux, j’aime aussi cette idée d’introduire quelques touches de fantaisie, de folie. » Dès lors, elle s’est rendue compte combien elle était enthousiaste à la vue de ce mélange de matières, de styles, d’approches… Muriel Carbonnet Retrouvez les créations de Sylvie Lupien sur son site Article paru dans le n°104 de Béton[s] le magazine. Suivez-nous sur tous nos réseaux sociaux !
Il y a 2 ans et 119 jours

Acorus réalise la réhabilitation énergétique de 32 logements pour RIVP Paris 14

L’éco-rénovation au service de la sobriété énergétiqueL’éco-rénovation est un mélange de deux procédés qui permet à la fois de proposer des produits techniques dont les performances permettent de limiter les déperditions thermiques et d’améliorer les consommations énergétiques d’un bâtiment (isolation, système de chauffage, de ventilation), tout en ayant des caractéristiques de fabrication peu émissives en carbone. Et également de prendre en compte le bien-être des habitants dans leur logement.Pour illustration, Acorus s’est occupé du chantier de la RIVP (deuxième bailleur social parisien avec plus de 60.000 logements sociaux en gestion), dans le 14e arrondissement de la capitale. Le bouquet de travaux consistait en la réhabilitation thermique Plan Climat en milieu occupé d’un immeuble d’habitation R+7 (et caves) constitué de logements et ateliers d’artistes, soit environ 70 locataires. Acorus a réalisé une rénovation globale et performante permettant d’obtenir des gains énergétiques considérables de l’immeuble, en actionnant tous les leviers de corps d’état possible : Une isolation thermique extérieure, majoritairement en laine de roche, a été mise en œuvre sur l’ensemble de l’enveloppe du bâtiment (murs, toitures terrasses, rampants des toitures en pente et planchers sur le sous-sol). Objectif de consommations après travaux : Cep = 103 kWhep/m2shon.an (classe C), contre 206 kWhep/m2shon.an (classe D) avant travaux. Remplacement des menuiseries extérieures par des nouvelles en double vitrage et huisseries aluminium pour les parties courantes et en bois pour les balcons. La couverture des rampants a été entièrement remplacée en ardoise naturelle. Mise en place d’un système de ventilation plus performant. Installation d’un système de chauffage plus économique avec pilotage des radiateurs.Remplacement des luminaires moins énergivores et à extinction automatique. En parallèle, d’autres travaux ont été entrepris pour améliorer le confort des locataires : Les gardes corps des balcons ont été déportés pour ne pas perdre d’espace (pris par l’ajout d’isolant) Les menuiseries ont été mises au nu extérieur du bâtiment pour libérer de l’espace intérieur dans les logements Les entrées d’air de ventilation ont été renforcées pour affaiblir les nuisances acoustiques provenant de l’extérieurRemaniement des espaces verts (hôtels à insectes, perchoirs à oiseaux)En outre, Acorus avait un AMO Environnement qui notait, entre autres, l’organisation du chantier et son impact vis-à-vis de l’environnement (consommation d’eau, d’électricité, tri des déchets, kit antipollution...).Pour Philippe Benquet, Président du Groupe Acorus : « Nous sommes très fiers de cette réhabilitation thermique Plan Climat pour la ville de Paris, qui respecte l’existant tout en étant au service d’une amélioration de l’architecture et de la qualité d’usage. Grâce aux économies d’énergie qu’elles permettent de réaliser, les solutions d’entretien, de rénovation et de réhabilitation installées quotidiennement par nos 850 techniciens, constituent des gains sur les consommations énergétiques des logements. »
Il y a 2 ans et 121 jours

En France, le vitrail craint d'avoir du plomb dans l'aile

Sous un arc-en-ciel de morceaux de verre colorés, quatorze personnes travaillent dans cet atelier familial du 15e arrondissement de Paris, dont Emmanuelle Andrieux, maître-verrier, tient désormais les rênes.Un temple du vitrail où l'on restaure autant que l'on crée."Du petit au monumental, d'un morceau de verre dans une cage d'escalier à la coupole des Galeries Lafayette", précise-t-elle. Et, comme du temps des bâtisseurs de cathédrales, "toujours dans les règles de l'art".Autant de techniques ancestrales que sont les maquettes à l'aquarelle, la découpe des plaques de verre, la peinture et cuisson à 630°C... et le sertissage des pièces qui consiste à les assembler sur des baguettes de plomb. "Le plomb a des propriétés extraordinaires. Il est à la fois très solide et très flexible, et peut tenir des années, voire des siècles sans se détériorer", indique Emmanuelle Andrieux.Pourtant, son utilisation pourrait à terme être interdite, s'il est intégré parmi les substances dangereuses pour la santé et l'environnement que l'UE souhaite bannir à horizon 2030, listées par le règlement "Reach"."Dommage collatéral"Selon l'OMS, "il n'existe pas de seuil au-dessous duquel l'exposition au plomb n'aurait pas d'effets nocifs". L'intoxication au plomb, le saturnisme, fait chaque année près d'un million de morts dans le monde.Dans le viseur de l'UE: l'industrie des batteries pour véhicules, à laquelle plus des trois quarts du tonnage mondial de plomb est destiné. Mais les métiers du patrimoine, des vitraillistes aux fabricants d'orgues, ne seraient pas épargnés."On nous a clairement dit que nous étions un dommage collatéral", regrette Emmanuelle Andrieux. Ce "manque à gagner énorme" aurait des conséquences "affreuses" pour les quelque 450 ateliers indépendants du vitrail en France, prévient-elle, qui sont déjà soumis à des prises de sang annuelles et portent des protections pour prévenir des maladies professionnelles."Cela signerait la mort de notre métier, notamment pour ceux qui se sont consacrés à la restauration", laquelle ne connaît encore "aucune alternative".De Notre-Dame de Paris à la Sainte-Chapelle, en passant par nombre de monuments historiques, la France abrite la plus grande surface de vitraux au monde, et 60% du patrimoine vitrail européen. Selon Emmanuelle Andrieux, seulement 15 à 20% ont jusqu'ici été restaurés.Dans son atelier, les anciens vitraux abîmés sont minutieusement opérés, dans un silence de cathédrale, sur une table rétro-éclairée qui fait ressortir couleurs et détails. Une rue plus loin, en sous-sol, un stock de 18.000 m2 de panneaux de verre attend de trouver preneur.ExceptionPour la création, il existe bien une autre méthode: la "Tiffany". Dégageant un petit vitrail contemporain bleu aux joints plus fins que d'ordinaire, la maître-verrier de 42 ans indique toutefois que "cette technique est moins solide, moins architecturale, et qu'elle n'est pas étanche".Un ruban de cuivre, une soudure à 60% d'étain... et 40% de plomb. "Passer au 100% étain nous coûterait au moins trois fois plus cher. Comment, ensuite, vendre nos vitraux ?", questionne-t-elle, lorsqu'un client débourse déjà entre 1.000 et 4.500 euros du mètre carré.Depuis plusieurs mois, certains politiques comme Catherine Dumas, présidente du groupe d'études Métiers d'art au Sénat, tentent de "sensibiliser" sur le sujet, auprès du gouvernement comme au Parlement européen.Objectif ? Que les métiers dotés d'un "vrai savoir-faire et d'un fonds patrimonial important bénéficient d'une exemption", soutient la sénatrice LR, qui parle d'une "affaire de mois" avant que la Commission européenne ne rende sa proposition de révision, initialement prévue pour fin 2022."Qu'on nous donne aussi les moyens de faire des recherches pour trouver une alternative", plaide Emmanuelle Andrieux, dont la revendication première est avant tout de "continuer à vivre de (notre) passion".
Il y a 2 ans et 121 jours

Lancement d'un projet d'habitat participatif en hyper centre de Lorient

Au cœur d’un quartier en plein renouvellement urbain, le programme « Le Contrepoint » accueillera environ 60 logements, dont 50 en Accession Coopérative éligibles au dispositif d’habitat participatif et 10 en Bail Réel Solidaire (BRS). Le groupe d’habitants est en cours de construction* pour imaginer la future résidence. Les éventuels intéressés peuvent contacter les équipes imoja pour obtenir des renseignements et rejoindre le projet.L’habitat participatif, ou co-construire son habitatComposée, à terme, d’environ 60 logements dont 50 éligibles à l’habitat participatif, la résidence « Le Contrepoint » est née de la volonté d’associer les futurs habitants à la conception de leur lieu de vie. imoja, en lien avec l’atelier d’architecture TLPA, propose une démarche de co-conception des habitations.« Dans la limite de l’occupation de ces espaces et volumes prédéfinis, nous dessinerons chaque logements avec ses futurs habitants. Nous les rencontrons en rendez-vous individuel, durant deux heures environ, pour le découpage/dessin de leur logement. » explique Tristan la Prairie, architecte urbaniste. « Moins de 25% des français vivent au sein d’une famille de 4 personnes avec parents et enfants, les typologies habituelles ne reflètent donc pas vraiment la diversité des habitants. Cette méthode va permettre aux acquéreurs de dimensionner leur logement librement, là où la méthode habituelle prédéfinit des typologies aux surfaces standardisées (un T2 fait 45m2, un T3 65, et un T4 85…) ». Les futurs voisins pourront aussi imaginer ensemble les espaces communs qui leur ressemblent, par le biais de rendez-vous trimestriels (visites de chantier, ateliers participatifs), organisés jusqu’à la fin des travaux.Une construction certifiée HQE**Côté architecture, l’atelier TLPA a imaginé la résidence comme un village vertical, sur 6 niveaux. L’architecte souhaite laisser la part belle au bois, par un choix de système constructif novateur composé d’un bardage et d’une structure bois. L’accès aux logements se fera par des coursives extérieures, conférant indépendance et intimité à chaque appartement. Des maisons en bois et en paille seront érigées sur le toit et viendront couronner la résidence. Un lieu de vie entièrement tourné vers un cœur d’îlot accessible à tous, qui laissera place à la végétation, agrémenté de cheminements piétons. Labellisée Haute Qualité Environnementale, la résidence bénéficiera d’un niveau de performance énergétique supérieur à la règlementation « RE2020 » (niveau visé : E3C2) et du niveau 1 du label bâtiment biosourcé (isolation thermique de qualité, panneaux photovoltaïques, chaufferie collective au bois plus économe…).Permettre l’accession à la propriété au plus grand nombre« imoja est très investie dans sa mission d’utilité sociale, en défendant l’idée que chacun, quels que soient ses revenus, peut prétendre à son « premier chez soi ». L’accession à la propriété s’intègre pleinement dans cette mission » souligne Franck Gauthier, directeur territorial Aiguillon du Morbihan. « Le Contrepoint » propose une soixantaine de logements intégralement destinés à de la résidence principale, en Accession Coopérative et en Bail Réel Solidaire (BRS), des dispositifs d’aide à l’achat, adressés à des ménages sous conditions de ressources.L’Accession Coopérative est un dispositif d’accession à la propriété destiné aux foyers respectant certains plafonds de ressources. Ce dispositif permet de bénéficier d’un prix de vente encadré (avec une TVA à 20 %), ainsi que des garanties complémentaires des coopératives pour sécuriser l’achat.Le Bail Réel Solidaire a pour objectif de faciliter l’accession à la propriété pour tous, afin de permettre au plus grand nombre de devenir propriétaire. L’acquéreur est propriétaire de son logement et verse une redevance mensuelle à un Organisme Foncier Solidaire (OFS) pour la partie foncière (le terrain) sur lequel la résidence est construite.* Vous êtes intéressé par ce projet d’habitat participatif ? Contactez Mathilde Jego, conseillère commerciale imoja, pour obtenir des renseignements et rejoindre le projet : par téléphone au 02 56 37 71 06. Sur rendez-vous, imoja à lorient - 52B cours de Chazelles** Haute Qualité Environnementale
Il y a 2 ans et 125 jours

Un jardin d’enfants signée Fyra en Finlande

En 2021, l’agence finlandaise Fyra a signé le jardin d’enfants du siège social de Supercell dans le quartier de Jätkäsaari à Helsinki (Finlande). Des ateliers avec l’école d’architecture pour enfants Arkki ont été organisés pour cartographier les besoins des utilisateurs et leur proposer des espaces fonctionnels. Communiqué. Le siège social du développeur de jeux mobiles, […] L’article Un jardin d’enfants signée Fyra en Finlande est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 2 ans et 125 jours

Pitch Immo remporte le projet de la Cité Internationale de la Gastronomie Paris-Rungis

D’une surface de plus de 53 000 m² - dont plus de 12 650 m² bâtis faisant l’objet d’une délégation de service public accueillant atelier de formation, espaces muséographique et événementielle, l’ouverture de la Cité Internationale de la Gastronomie Paris-Rungis est prévue pour 2027. “Nous sommes fiers d’avoir remporté ce projet ambitieux, co-construit avec tout un écosystème d’exploitants et investisseurs leaders dans leur domaine. La Cité Internationale de la Gastronomie telle que nous la concevons se positionnera comme un lieu de rencontre, fédérateur, profondément humain, et une vitrine des savoir-faire des professionnels du secteur de la gastronomie française. A travers ses pavillons mettant à l’honneur les chefs et artisans de nos régions, son campus proposant des ateliers animés par les professionnels de chaque secteur, et ses nombreux évènements mettant en lumière les talents de la filière, la Cité s’imposera comme nouveau pôle d’excellence gastronomique. Elle permettra la transmission des savoir-faire entre les professionnels d’aujourd’hui et les nouvelles générations, et la valorisation de leurs talents auprès du grand public.” déclare Alexis Moreau, Directeur général de Pitch Immo.Une cité expérientielle qui invente la gastronomie de demainNouvel ensemble au sein d’un quartier animé de 7 hectares, la Cité de la Gastronomie Paris-Rungis imaginée par Pitch Immo et ses partenaires ouvrira ses portes en 2027 à proximité du Marché d’intérêt national (MIN) de Rungis. A deux pas de l’aéroport d’Orly et prochainement accessible depuis Paris grâce au prolongement de la ligne 14 du métro, ce lieu culturel, créatif et convivial, sera l’endroit idéal pour incarner la Gastronomie d’aujourd’hui et de demain sous tous ses aspects : le cycle du produit, depuis sa culture jusqu’à sa dégustation, en passant par la conception d’un menu et la transmission des savoir-faire.Ouverte et accessible à tous, la Cité imaginée par Pitch Immo et ses partenaires s’articulera autour de 5 espaces programmatiques forts, organisés autour d’une place centrale (le Forum) et reliés entre eux par un système de passerelles :Le Cœur de la Cité : une fabrique culturelleLe Cœur de la Cité (6 500 m²) permettra aux visiteurs de découvrir les métiers de la gastronomie dans sa globalité, grâce à des expositions immersives aux concepts novateurs et attractifs. Cet espace intégrera une dimension expérientielle forte qui permettra au visiteur de s’immerger dans le quotidien et l’univers des artisans de la gastronomie : brigade de cuisine, laboratoire de pâtisserie… à l’aide de dispositifs innovants faisant appel aux cinq sens des visiteurs.Le Campus de la Cité : une fabrique des métiersLe Campus de la Cité (6 000 m²), pôle de formation aux métiers de bouche, transmettra au grand public comme aux professionnels en devenir la passion de ces métiers, piliers de la culture culinaire française. Le Campus mettra également l’accent sur la professionnalisation, en formant notamment les candidats aux divers concours gastronomiques ou à l’obtention de titres prestigieux (MOF, MAF…).Les Pavillons de la gastronomie : une fabrique des savoir-faireLes Pavillons de la Cité (8 000 m²), se feront l’écho du savoir-faire des femmes et des hommes de la filière gastronomique, et permettront aussi la découverte de la production agricole et culinaire des régions françaises. Chaque région aura son propre pavillon, sur le modèle des expositions universelles. Les Pavillons des Filières quant à eux, mettront à l’honneur les grandes maisons et les interprofessions.Le Lab de la Cité : une fabrique d’innovationLe Lab de la Cité (10 500 m²), pôle tertiaire moderne, rassemblera les acteurs de la filière pour construire l’agroalimentaire de demain. Le Lab s’adaptera à tous les corps de métier des filières présentes sur le site, en leur proposant des espaces de travail modulables et en accord avec leurs besoins : bureaux, salles de réunion, espaces de coworking… Il sera également une vitrine des techniques logistiques avec un site de 10 000 m².Le Hub de la Cité : une offre événementielle et résidentielle au service de la fabrique des talentsLe Hub de la Cité (22 000 m²), lieu de vie, de partage et de convivialité, sera destinée aux professionnels et aux touristes d’affaires (réunions, congrès, conventions et voyages d’agrément) afin de faire de la Cité un quartier dynamique aux multiples facettes ainsi qu’un pôle de ressources, référence pour le secteur. Il accueillera des événements majeurs à portée locale, régionale, nationale et internationale, au sein d’espaces intégralement modulables. Il comprendra notamment un centre de conférences, un hôtel 4 étoiles, une résidence hôtelière et une résidence étudiante de 400 chambres, pour les élèves en formation au sein de la Cité, mais aussi dans le bassin estudiantin local.Une conception agricole en milieu urbainDotée d’une architecture audacieuse et remarquable, pensée par les architectes MG-AU MICHEL GUTHMANN & associés, MARC MIMRAM Architecture Ingénierie et ARCHIKUBIK, la Cité incarne l’ambition du projet pour le pôle urbain dans lequel elle s’inscrit. Résolument moderne, elle se veut chaleureuse dans ses courbes et synonyme de liberté dans son plan. Ouverte sur le monde extérieur et connecté à son environnement par un ensemble ingénieux de passerelles, elle évoque le partage et favorise les flux. Les éléments paysagers viennent compléter cette structure innovante en investissant les toits et les allées, créant ainsi un écrin de verdure.La Cité accueillera un grand parc conçu comme un paysage agricole comprenant des micro-lieux d’usages et des grands espaces cultivés, ce qui permettra aux utilisateurs de déambuler au sein de différents espaces aux dynamiques et aux ambiances végétales singulières. Abritant une faune et une flore variées, le parc sera essentiel pour la préservation de la biodiversité locale. Un tiers de l’emprise existante sera revégétalisée en pleine terre, soit plus de 12 000 m².Une cité responsable et durableLe projet se veut exemplaire sur le plan énergétique. Le programme répond aux exigences de la RE 2020, seuils 2025. Le réemploi des matériaux sera privilégié et le projet comprend des modes constructifs mixte bois/béton pour un impact carbone limité. Des lisières seront installées dans une logique de dépolluer les sols grâce à des plantes phytoépuratrices.Tous ces éléments combinés contribueront à faire de la Cité Internationale de la Gastronomie un démonstrateur d'une ville post-carbone.Les enjeux environnementaux du projet ont été regroupés en quatre thématiques complémentaires :Conception bioclimatique et performance énergétiquePréservation des ressourcesConfort, santé et bien-êtreBiodiversité et nature en villeRépondre à ces enjeux permettra de viser, pour la Cité, les certifications HQE et BREEAM niveau Excellent, ainsi que les labels BiodiverCity, Biosourcé et BBCA.Informations chantier :PartenairesPitch Immo s’est entouré de plusieurs partenaires pour ce projet dont Gaïa Promotion/HIBRID, co-promoteur et gestionnaire spécialisé dans la création de tiers lieux et halles gourmandes et la conception d’espaces de vie contemporains, innovants et hybrides.Co-promoteurs:GAIA PROMOTION/HIBRIDInvestisseurs / gestionnaireHIBRIDEPICURETEMPORAArchitectes :MG-AU MICHEL GUTHMANN & associésMARC MIMRAM Architecture IngénierieARCHIKUBIKAutres membres de la MOE :MUGO PaysagisteQUAI 36CET et SETU IngénierieOASIIS BET DDIDA+ PerspectivisteTISSPARKConseils :FTPA AvocatsNOVA Consulting137 NotairesCalendrierPhase étude : 2023Phase travaux : 2025Ouverture : 2027
Il y a 2 ans et 142 jours

Réouverture de l’Hôtel de la Marine le vendredi 6 janvier 2023

Les parties anciennes du bâtiment n'ont pas été touchées ; aucun objet d'art ou d'ameublement appartenant aux collections publiques, à la Collection Al Thani ou à la collection de la Galleria Giorgio Franchetti alla Ca’ d’Oro, actuellement exposée dans les galeries de la Collection Al Thani, n'a été endommagé.Le Centre des monuments nationaux a engagé dès le 1er janvier la protection des infrastructures et la réparation des dégâts. Il est ainsi en mesure d’accueillir à nouveau des visiteurs dans les espaces patrimoniaux de l’Hôtel de la Marine (appartements des Intendants, salons d’apparat et loggia) depuis ce jeudi 5 janvier après-midi. Les galeries d’exposition de la Collection Al Thani rouvriront dans les prochains jours après quelques vérifications techniques. Le Café Lapérouse et les ateliers Mathieu Lustrerie ont également pu ouvrir leurs portes dès le 5 janvier 2023.Hôtel de la MarineLe Centre des monuments nationaux a ouvert au public les espaces patrimoniaux de l'Hôtel de la Marine le 12 juin 2021. La cour d'honneur, la cour de l'intendant avec la verrière transparente imaginée par l'architecte Hugh Dutton et la librairie-boutique sont accessibles librement depuis la rue Royale ou la place de la Concorde, recréant une nouvelle circulation dans le quartier. Les parcours dans les espaces des XVIIIe et XIXe siècles et sur la loggia peuvent être visités, avec un dispositif de médiation innovant, le « Confident ».L'espace d'accueil est situé dans la cour de l'intendant d'où les visiteurs peuvent accéder aux différents parcours qui leur sont offerts. Ils sont accompagnés tout au long de leur découverte du monument par le « Confident », un dispositif innovant et immersif constitué d'un casque connecté interagissant avec les outils de médiation des salles. Les visiteurs sont conviés à un voyage immersif à travers un grand palais du siècle des Lumières aux décors somptueux du XVIIIe et XIX siècles, et présentant de précieux meubles et objets. Une librairie-boutique destinée à toutes les générations est ouverte à tous sans s'acquitter d'un droit d'entrée. Enfin, la visite est accessible pour les personnes à mobilité réduite et les dispositifs de médiation sont également adaptés.Depuis le 18 novembre 2021, l'ancien magasin des tapisseries du Garde-Meuble accueille les galeries d'exposition de la Collection Al Thani qui est présentée pour la première fois de manière durable au grand public. Il s'agit de l'une des plus prestigieuses collections d'art privées au monde composée d'une exceptionnelle variété d’œuvres, de l'Antiquité à nos jours. Les galleries accueillent également des expositions thématiques bisannuelles et des prêts de musées partenaires du monde entier, ainsi que des événements éducatifs et des conférences.
Il y a 2 ans et 149 jours

Bilan 2022 des activités de la construction métallique

Pour Roger Briand : « Malgré les difficultés d’approvisionnement des premiers mois, l’impossibilité de répercuter sur le prix de vente l’intégralité des hausses des matières premières, ainsi qu’un ralentissement des prises de décisions des maîtres d’ouvrage en cette fin d’exercice, 2022 restera une bonne année pour notre profession. Le chiffre d’affaires réalisé par le secteur est en progression (+ 19%), du fait des très fortes hausses des matières premières et en particulier l’acier (+ 140%) dans un marché national inflationniste. »Ainsi, l’activité 2022 a essentiellement été assurée par l’investissement privé même si les investissements publics s’avèrent en évolution. Les travaux du Grand-Paris, des jeux olympiques et la requalification de centre-ville contribuent au développement d’une commande publique atone ces dernières années. Si la production annuelle devrait atteindre les 768.000 tonnes, soit un résultat proche de celui de 2021, notons que l’évolution des affaires conclues en 2022, est légèrement inférieure vs 2021, avec un regain de dynamisme marqué depuis août.Tendances des carnets de commandeL’évolution des carnets de commandes de la construction métallique française affiche, en moyenne, 6 mois d’activité. Notons, de plus, que le premier semestre 2023 devrait connaître une activité toujours soutenue, avec un horizon pour le second semestre demeurant incertain. Roger Briand de préciser : « Globalement, les dossiers de consultation sont nombreux, avec des disparités selon les régions. »Répartition par type d’activitéSi les bâtiments industriels demeurent l’activité principale des constructeurs métalliques (64% de parts de marché), mentionnons qu’en 2022, les bâtiments de commerces, ainsi que les bâtiments de stockage et les bureaux, connaissent également de fortes hausses. Précisons enfin que la construction de ponts et passerelles reste soutenue, en affichant des carnets de commande de plus de 6 mois.Taux des capacités de productionCe taux des capacités de production est un indicateur très suivi par la profession. Aujourd’hui celui-ci demeure, depuis 2021, très élevé, proche des 80%. Les industriels sont donc enclins à investir fortement, notamment pour la construction de bâtiments industriels. Ces extensions ou nouvelles réalisations sont en grande majorité exécutées par des constructeurs métalliques qui voient ainsi leur activité se développer.Pour Roger Briand : « Les constructeurs métalliques envisagent l’avenir avec sérénité grâce notamment à des carnets de commandent qui se remplissent et à de nombreuses demandes en études et chiffrages de dossiers, en cette fin d’année. Cependant, les alertes des économistes nous obligent à la prudence pour fin 2023. »L’engagement de toute une filière pour des bilans bas carbone et le réemploi des matériauxLes constructeurs métalliques n’ont pas attendu l’application de la RE2020 pour s’engager en faveur d’une construction responsable et répondant aux enjeux environnementaux. L’acier est l’unique matériau de construction à pouvoir être recyclé à l’infini tout en conservant la totalité de ses performances. Spécificité unique pour un matériau de construction, ses propriétés magnétiques facilitent grandement le tri. Fort de toutes ces caractéristiques, l’acier constitue également le matériau le plus recyclé dans le monde, contribuant à la préservation des ressources naturelles, à l’optimisation du cycle de vie et à la vitalité de l’économie circulaire. De plus, précisons que la construction métallique utilise surtout de l’acier recyclé, les déchets métalliques sont en effet revalorisés en quasi-totalité et réintroduits dans le process. Aujourd’hui, afin de toujours améliorer les performances des bilans carbone des constructions, les constructeurs utilisent des aciers bas carbone qui peuvent réduire significativement les émissions de CO2.S’il est généralement avancé que la production d’1 kg d’acier émet 2 kg de CO2, le marché propose des aciers dont les FDES confirment des résultats bien plus performants. Ainsi, Xcarb, acier d’Arcelor, revendique seulement 0,3 kg de CO2 par Kg de construction métallique produite. Par ailleurs, soulignons que les récentes FDES du CTICM affichent également de belles performances. À titre d’exemples, pour des profils du commerce, seulement 1,3 Kg de CO2 sera généré par Kg de construction métallique produit ; pour un profil reconstitué soudé, il ne sera que de 1,4 kg de CO2.Dans la même logique, la généralisation de l’utilisation d’énergie renouvelable dans la fabrication d’ossature acier va contribuer à la réduction de cette emprunte carbone.Par ailleurs, rappelons aussi que les constructions métalliques se prêtent idéalement à la démontabilité et au réemploi, qu’il s’agisse d’un bâtiment dans son ensemble, d’éléments modulaires ou bien encore de pièces détachées. En effet, véritables mécanos géants, les éléments métalliques peuvent aisément se démonter, se transporter et se remonter dans de nouvelles constructions. Une option évitant la démolition et donc une reconstruction impactante en termes d’émissions de CO2.Pour Roger Briand Président du SCMF : « Essentiel dans la réalisation de structure antisismique, incombustible, imputrescible et insensible aux attaques de parasites, l’acier est, par définition, infiniment durable. Dans cette approche, la traçabilité du matériau et des éléments constitutifs est essentielle afin de définir ses réemplois futurs. Une banque de poutrelles, plaques, modules, peut ainsi être répertoriée selon les poids, tailles, capacités structurelles. C’est un marché de l’occasion qui verra prochainement le jour. » Parfaite illustration de cette philosophie verte, Briand va utiliser pour la construction de sa prochaine usine aux Herbiers en 2023, 100 tonnes de poutrelle d’acier provenant de l’ossature des ex-halles Alstom de Nantes dont le démontage s’est achevé en début d’automne.Pour Roger Briand : « L’acier se positionne comme un fantastique matériau circulaire. Il dispose de deux leviers fort de décarbonation. Le premier, son outil de production primaire qui largement se décarbone. Le second réside dans la possibilité d’intégrer une part de réemploi dans une construction, proche d’une émission 0 carbone, renforçant d’autant la décarbonation de l’ensemble de la structure métallique. Les bâtiments métalliques ainsi construits peuvent désormais afficher un niveau de décarbonation atteignant les objectifs futurs de 2030, 2040 ready. L’objectif de 0,5 Kg d’émission CO2 voire moindre par Kg d’acier est un objectif atteignable. »Des besoins en recrutement, en formation, une nécessité : « Faire connaître nos métiers »Alors que la semaine nationale de journées portes ouvertes des constructeurs métalliques s’est déroulée du 10 au 15 octobre 2022. La profession, en présentant ses métiers aux ateliers très automatisés et robotisés, a accueilli de très nombreux collégiens, lycéens et leurs professeurs. Une opération séduction déployée pour la troisième année et qui s’est révélée à nouveau très appréciée des jeunes comme du corps enseignant. Rappelons que les besoins en recrutement des constructeurs métalliques se chiffre à plus de 20.000 emplois sur les 4 ans à venir. Le manque de formations pour ces métiers contraint d’ailleurs les entrepreneurs à concevoir des formations internes comme à multiplier les contrats d’alternance.Enfin, autre initiative marquante de la filière construction métallique : la création des « écoles de production » comme celle mise en place par l’entreprise SERRU de Château Gonthier, accompagnée par les pouvoirs publics. Malgré ces efforts, les constructeurs métalliques attirent l’attention de l’Éducation Nationale et les Régions pour le développement de ses métiers.
Il y a 2 ans et 162 jours

World of Concrete Las Vegas

World of Concrete est le salon international dédié aux industries mondiales de la construction en béton et en maçonnerie. Il présente les nouveaux produits, les technologies de pointe, les derniers équipements, des événement, des ateliers interactifs, des formations pratiques...
Il y a 2 ans et 163 jours

Les grands concours de 2022 #3 : Le réemploi des Ateliers Médicis par Encore Heureux

La rédaction d’AMC vous souhaite de bonnes fêtes de fin d'année et vous donne rendez-vous en janvier pour de nouvelles actualités. En 2023, abonnez-vous à AMC pour recevoir le mensuel et ses suppléments en version papier et digitale, ainsi qu'accéder à tous les contenus et services du site ! Lire l'article
Il y a 2 ans et 167 jours

En forêt ou dans la construction, les hauts fonctionnaires formés sur le terrain à la transition écologique

Gestion des forêts ou construction de bâtiments bas carbone: l'Etat s'efforce de conclure la formation de ses hauts fonctionnaires à la transition écologique par une illustration concrète des enjeux environnementaux et des solutions. Une démarche saluée par les participants, mais à l'impact encore incertain.La forêt de Montmorency "est la seule d'Île-de-France à être classée en état de crise sanitaire", explique Michel Béal, directeur de l'agence Île-de-France Ouest de l'ONF.Depuis quelques années, les nombreux châtaigniers qui la constituent sont touchés par la maladie de l'encre, un parasite qui serait "moins virulent" si les températures ne s'étaient pas autant réchauffées, explique-t-il.D'où les coupes sur la parcelle, pour limiter la propagation de ce parasite. L'ONF compte aussi diversifier les espèces d'arbres pour mieux adapter la forêt aux effets du changement climatique.Le chêne ne représentera plus que 50 à 55% des essences que l'ONF compte replanter. "Avant, on aurait dit 80% de chêne", détaille Philippe Belchi, référent territorial de l'office.Quelques minutes plus tard, le groupe s'arrête devant un amas de bois coupé. Le but est cette fois d'illustrer une autre priorité de l'ONF: la valorisation de la filière bois."En France, il y a plus de 400.000 emplois dans la filière forêt-bois, des emplois dans les territoires ruraux", insiste Olivier Rousset, directeur général adjoint de l'ONF.Au bout de deux heures en forêt, trois membres du groupe retrouvent les quais baignés de soleil de la gare de Saint-Leu-la-Forêt - les autres sont repartis en voiture.25.000 hauts fonctionnairesL'ambition de l'Etat est de former à la transition écologique l'ensemble de ses 25.000 hauts fonctionnaires d'ici à 2024, puis les 5,7 millions d'agents publics d'ici à 2027. Le gouvernement s'attend ensuite à ce que les cadres du secteur public élaborent des plans d'action en matière de transition écologique.Venus de Bercy, du ministère de la Culture ou encore de l'Académie de Poitiers, tous s'accordent à juger intéressantes la matinée en forêt et, plus généralement, la formation proposée.Grâce à ce module pratique, doublé d'ateliers de groupe et de conférences, "on sent que (les enjeux environnementaux) infusent" dans les sphères dirigeantes de l'Etat, avance une directrice d'administration du ministère de l'Economie.Une prise de conscience déjà opérée cet été au ministère de la Culture. Avec une température de "60 degrés" mesurée dans les bâtiments vitrés de la Bibliothèque nationale de France, la canicule a eu des effets physiquement palpables, relève un responsable de la Direction du Livre.Reste à voir comment les hauts fonctionnaires partageront à leurs équipes les connaissances acquises au cours de la formation et quel impact celle-ci aura sur l'action publique.Comme le confesse un haut fonctionnaire du ministère des Armées à la sortie d'un module de sensibilisation à la construction de bâtiments bas carbone, "c'est un peu éloigné" des thématiques qui l'occupent au quotidien.Le rôle des pouvoirs publics sera pourtant crucial pour répondre aux défis du changement climatique, rappelle Guillaume Carlier à une trentaine de hauts fonctionnaires réunis lundi pour ce module dans une tour du quartier Montparnasse à Paris."D'ici 2050, on doit diviser par cinq" l'empreinte carbone moyenne de chaque Français, souligne devant eux le directeur de la stratégie Climat Ressources de Bouygues Immobilier, une entreprise membre de l'Association pour le Développement du Bâtiment Bas Carbone (BBCA)."La part individuelle (de cet effort) est évaluée à 25% et la part de l'Etat et des entreprises à 75%", insiste-t-il.
Il y a 2 ans et 168 jours

fabline la demarche de reynaers aluminium pour la productivite des industriels

Certains professionnels de la menuiserie aluminium ont pu découvrir le dispositif à l’occasion du Mondial du Bâtiment. Lancé par Reynaers Aluminium, FABLine est une panoplie d’outils et de services visant à améliorer la gestion et la productivité d’un fabricant du secteur en quatre temps : analyse des ateliers, paramètre logiciel, liaison logiciel-machine, et achat des machines et équipements d’atelier.
Il y a 2 ans et 177 jours

Trophées d'or Point.P - Catégorie Écoresponsable en neuf ou en rénovation - AIPI

Avec son association AIPI (Ateliers pour l’Initiation, la Production et l’Insertion), Sabine a pour objectif de contribuer à la lutte contre l’exclusion, et aide des jeunes en difficulté à apprendre les métiers du bâtiment ! Découvrez en images son projet de réhabilitation à Longueville, réalisé avec soin par ses équipes.
Il y a 2 ans et 177 jours

Première étape pour la planification de l'éolien en mer

Un Conseil national de la mer et des littoraux (CNML) de 52 membres - pêcheurs, transporteurs, énergéticiens, associations environnementales, élus et autres acteurs concernés - a été installé par le secrétaire d'Etat chargé de la Mer, Hervé Berville. Cette planification sera déclinée par façades maritimes.Les membres du CNML ont élu la députée de Gironde Sophie Panonacle (Renaissance) et Pierre Maupoint de Vandeul, officier de marine marchande et président du syndicat CFE-CGC Marine, respectivement présidente et vice-président du bureau.Le CNML organisera des ateliers début 2023, une "concertation large" qui devra déboucher sur "des orientations stratégiques partagées", en cohérence aussi avec la feuille de route énergétique que la France doit se fixer l'an prochain, explique le secrétariat d'Etat.Hervé Berville a souligné dans un communiqué que ce nouveau Conseil national, "qui se voudra le véritable parlement national de la mer", vise à donner "à l'action publique maritime un nouveau départ" pour "adopter d'ici mi-2023 une stratégie nationale qui aura pour priorités les énergies marines renouvelables, la protection de la biodiversité marine et le développement de l'économie maritime".Concernant l'éolien, il s'agit d'atteindre l'objectif fixé par Emmanuel Macron de 40 gigawatts de puissance installée en 2050, soit environ 50 parcs, tout en permettant "la meilleure articulation entre les différents usages maritimes".Sur la protection de la biodiversité marine, l'objectif du gouvernement est d'atteindre, d'ici à 2030, 10% de zones en protection forte (ZPF) en mer, contre 4,2% actuellement.Enfin, cette stratégie aura vocation à accélérer la transition énergétique des activités maritimes, grâce notamment à la taxe éolienne en mer, dont 35% ira au soutien à "un modèle de pêche vertueux", indique le secrétariat d'Etat.Une fois les travaux "informels" achevés en 2023, l'idée est d'"enchaîner avec des séquences plus juridiques, les débats publics" par façades sous l'égide de la Commission nationale du débat public (CNDP), indique-t-on au cabinet du secrétariat d'Etat.Ce processus produira des "documents stratégiques de façades", priorisant les activités, avec modes opératoires et cartographies pour préciser "où se situeront des zones assez précises pour l'éolien en mer, les couloirs maritimes, les zones marines protégées..."Qu'il y ait relance du nucléaire ou pas, tous les scénarios énergétiques prévoient pour la France un fort essor de l'éolien marin, afin de faire face à la croissance des besoins électriques et au réchauffement climatique (neutralité carbone en 2050). Pour RTE, le gestionnaire du réseau haute tension, il devrait fournir à cet horizon 22 à 62 gigawatts (GW), selon le bouquet choisi.En France, sept parcs (3,6 GW au total) ont à ce jour été confiés à des opérateurs, dont le tout premier, face à Saint-Nazaire, vient d'être inauguré, 10 ans après son attribution.
Il y a 2 ans et 178 jours

Le salon BePOSITIVE de retour en mars 2023

A l’heure du défi climatique et de la crise énergétique, les filières de l’énergie et du bâtiment vivent une révolution. Plus que jamais, la sobriété énergétique, les énergies renouvelables, le numérique, et l’innovation sont au cœur de la trajectoire à suivre pour une gestion optimisée et responsable de l’énergie. C’est pour accompagner cette démarche que le salon BePOSITIVE aura lieu du 21 au 23 mars 2023 à Eurexpo Lyon. Cette édition abordera également 3 thématiques phares qui sont au cœur de l’actualité des filières : l’emploi et la formation, la digitalisation de l’énergie et la construction durable. Durant 3 jours, tous les acteurs engagés pour la transition énergétique sont attendus pour échanger et découvrir les dernières innovations du marché ! BePOSITIVE rassemble l’ensemble des acteurs de la transition énergétique tels que les prescripteurs, les artisans et installateurs, les distributeurs, les négociants ou encore les collectivités publiques.   Photo : Alexandre Moulard   Le salon s’adresse à eux à travers 4 secteurs d’exposition : Nouveaux systèmes énergétiques : solaire photovoltaïque, stockage et mobilité durable seront ainsi présentés sur le salon. Solutions constructives pour un bâtiment plus durable et performant : menuiseries et fermetures, matériaux biosourcés… Energie dans le bâtiment : génie climatique, confort thermique, traitement de l’air et de l’eau… Bois énergie – Flam’expo, sur lequel seront installés jusqu’à 70 appareils en fonctionnement, pour le plus grand bonheur des visiteurs qui en avaient été privés lors de la dernière édition. « Le contexte actuel, et finalement celui que nous connaissons depuis quelques années, nous confirme que, pour avancer ensemble et dans le bon sens, il est nécessaire de réunir les filières concernées par la transition énergétique ». Florence Rousson Mompo, Directrice de la division GreenTech+ Photo : Alexandre Moulard     Cette édition 2023 sera aussi marquée d’animations et de temps forts qui rythmeront durant les 3 journées de salon : [NEW] Le Campus emploi-formation, pour mettre en relation les professionnels en recherche de savoir-faire et de montée en compétences. Les BePOSITIVE Awards mettront en lumière les dernières innovations et valoriseront les nouveautés et les évolutions technologiques des filières énergie et bâtiment. Un espace conférences, pour assister à des prises de parole d’experts, des retours d’expérience et tables rondes afin d’éclairer l’analyse des participants et nourrir les projets dans la durée. [NEW] Un forum exposants, un espace dédié aux prises de parole des exposants pour présenter leur entreprise, leurs produits et services, leurs innovations, ou encore leur démarche RSE. [NEW] 3 ateliers sur les thèmes de la « construction durable », la « digitalisation de l’énergie » et le « bois énergie & génie climatique » seront également proposés aux participants, qui pourront ainsi échanger autour de retours d’expérience et de cas concrets.   Pour plus d’information, rendez-vous sur bepositive-events.com/fr   Cet article Le salon BePOSITIVE de retour en mars 2023 est apparu en premier sur Planète Bâtiment.
Il y a 2 ans et 184 jours

Apprentissage : des journées dédiées à la découverte des métiers du bois

FORMATION PROFESSIONNELLE. Le CCCA-BTP organise du 29 novembre au 1er décembre à Poitiers ses Journées de l'innovation pédagogique, qui seront consacrées cette année aux métiers du bois dans la construction. Au programme : des conférences et ateliers thématiques, ainsi que des échanges avec des spécialistes de l'enseignement et de l'alternance, et des professionnels du bâtiment.
Il y a 2 ans et 184 jours

Bilan des 24 h du Bâtiment

« Notre secteur innovant a toutes les compétences requises pour affronter la crise environnementale. Nous sommes prêts », précise Olivier Salleron, président de la FFB. [©FFB] Fierté et solidarité ont été les maître-mots des 24 h du Bâtiment organisée, le 18 novembre dernier, par la FFB. Des artisans et chefs d’entreprise de toute la France se sont retrouvés en nombre (entre 6 000 et 7 000) pour échanger autour des problématiques du secteur. Et partager leurs passions de construire. Le président de la République et des ministres sont intervenus lors des plénières pour apporter des réponses aux adhérents et faire des annonces importantes. Lors de cette journée, étaient aussi organisés des conférences, des ateliers thématiques et un job dating pour des jeunes ingénieurs. De plus, les participants ont pu échanger avec des personnalités et rencontrer leurs pairs. Lire aussi : FFB, alerte générale sur le logement neuf « Notre secteur innovant a toutes les compétences requises pour affronter la crise environnementale. Nous sommes prêts, précise Olivier Salleron, président de la FFB. Nous avons formé, nous avons investi dans l’innovation, le numérique et l’apprentissage. Et ce, même dans les périodes les plus difficiles. La transition écologique, nous la prenons à bras le corps. Au même titre que la transformation numérique de nos chantiers et de nos entreprises. Le bâtiment n’a jamais renoncé à s’inventer un avenir et il va continuer ! » Des annonces gouvernementales saluées par la FFB La FFB a ainsi salué l’annonce faite par le président de la République d’une prochaine initiative pour aider les communes à rénover leurs écoles. Dont beaucoup s’avèrent des passoires thermiques. Emmanuel Macron a confirmé que, face à l’instabilité des dispositifs fiscaux dérogatoires, le statut du bailleur privé proposé par la FFB « faisait partie des solutions » pour soutenir l’investissement locatif. Bruno Le Maire, ministre de l’Economie, a d’ailleurs annoncé la mise à l’étude de cette proposition. « La FFB se félicite d’une telle avancée », insiste Olivier Salleron. Il en va de même pour la mise en place de l’Observatoire du prix des matériaux de construction, prévue par le ministre pour janvier 2023. Ceci, afin d’apporter plus de visibilité dans la filière. Le ministre a aussi annoncé que les travaux induits liés à la rénovation énergétique continueront à bénéficier du taux de TVA réduit de 5,5 %. Alors que le projet de loi de finances les excluait. En contrepartie, pour répondre au marché considérable de la rénovation énergétique des bâtiments, le ministre souhaite voir le nombre d’entreprises labellisées RGE quadrupler d’ici à 2028. Et suivez-nous sur tous nos réseaux sociaux ! Retrouvez une playlist de vidéos résumant l’évènement :
Il y a 2 ans et 185 jours

Des servantes Würth hautes en couleur

Nous sommes tous supporters et solidaires de notre culture et de notre nation. Cela n’empêche que l’appel des horizons lointains se manifeste parfois. En Europe, ou bien ailleurs dans le monde. Chaque pays est riche de sa culture, sa gastronomie, sa langue, son drapeau. Le monde est haut en couleurs. Et si on mettait aussi de la couleur dans nos ateliers ? Quoi de mieux pour apporter le sourire dans sa journée de travail et pour voyager dans notre atelier qu’une servante personnalisée ? France, Espagne, Brésil… Vous n’avez plus qu’à choisir ! Würth propose une gamme de 9 servantes aux couleurs des pays du monde. Robustes, mobiles et adaptées à tous les corps de métiers, les servantes Basic 8.4. sont totalement personnalisées : France, Portugal, Allemagne, Angleterre, Hollande, Belgique, Espagne, Brésil et Argentine. Il suffit de choisir son pays favori pour en profiter et donner des couleurs à son atelier. De fabrication européenne dans les usines du Groupe Würth, cette nouvelle servante est gage de qualité et de robustesse.Servante Basic 8.4 CollectorArt. N° 0962 641 100 à 110459 € H.T. l’unitéCaractéristiques : 4 roues dont 1 à frein.Capacité de charge maximum : 250 kg.Capacité de charge du tiroir : 25 kg.Travail à une hauteur de 96,4 cm.Dimensions extérieures de la servante : l x p x h : 665 x 393 x 964 mm.La servante Basic 8.4 peut-être équipée en outillage grâce au jeu de 6 alvéoles Würth.Jeu de 6 alvéolesArt. N° 0965 905 111459 € H.T. l’unitéCaractéristiques : Compatibles avec les servantes et les coffrets SYSKO.Cliquets et douilles ¼" et ½" du 4 au 32 mm.Clés mixtes du 6 au 22 mm.Outils de frappe.Pinces + pinces circlips + clés mâles 6 pans et torx.Tournevis Fente + PH.Tournevis TX10 à TX40.Nouvelle protection carbone haute résistance sur les alvéoles, permet une longue durée de vie et un nettoyage facile.Marquage des dimensions sur les alvéoles pour un repérage facile et un choix rapide des outils.Boutique en ligne : eshop.wurth.fr
Il y a 2 ans et 186 jours

Haute-Savoie : Des écrans acoustiques qui se fondent dans le décor

Article paru dans le n°103 de Béton[s] le Magazine Les panneaux préfabriqués en béton de bois, architecturés et teinté dans la masse, présentent, côté route, un relief 3D. [©Capremib] Lancé il y a une vingtaine d’années, le projet du contournement routier de Marignier, en Savoie, trouve son aboutissement aujoud’hui. Voie de passage vers les stations de ski de la région, la ville n’était plus en mesure de supporter le trafic. Afin de protéger les riverains du bruit sur les cinq nouveaux tronçons, le Conseil départemental de Haute-Savoie a demandé à l’architecte Hervé Vadon de concevoir des écrans acoustiques originaux. Son choix s’est porté sur le savoir-faire de Capremib pour réaliser 234 panneaux en béton de bois. Retrouvez les autres actualités de la région Auvergne – Rhône-Alpes. Un visuel dynamique Au niveau esthétique, les écrans s’inspirent de l’environnement montagneux avec un linéaire horizontal, sinusoïdal en partie haute. Certaines ondes, plus longues, dépassent des panneaux, formant des créneaux qui rompent avec l’horizontalité habituelle et font écho aux lignes des montagnes. Un travail mené par Capremib dans ses ateliers de Cormicy (51) pour concevoir ces panneaux au format 5 m x 2,10 m. Côté route, les écrans acoustiques présentent un relief 3D constitué de larges ondes asymétriques à forte captation acoustique. Imaginé par l’architecte, ce design permet de créer un visuel dynamique qui évolue selon l’exposition à la lumière. Du côté des riverains, les panneaux sont réalisés en béton matricé en linéaire vertical fin clair teintée dans la masse. Chacun d’entre eux est enchâssé dans un poteau H thermolaqué. Ces derniers sont fixés sur des semelles en béton, reliées entre elles par une longrine en béton. Article paru dans le n°103 de Béton[s] le Magazine
Il y a 2 ans et 189 jours

Eiffage Construction installe une grue à tour au 26e étage de la Tour Hopen à Paris-La Défense

Celle-ci a été installée sur la terrasse du 26e étage de la Tour à l'aide d'une grue mobile de 750 tonnes équipée d'une flèche à volée variable de 84 mètres, elle-même mise en place grâce à trois autres grues mobiles. Cette opération vient d'être réalisée avec succès pour le chantier démarré cet été pour le compte de différents investisseurs représentés par Primonial REIM France.Imaginé par le cabinet d'architecture Ateliers 2/3/4, accompagné d'Orfeo Développement en tant que maître d'ouvrage délégué, le projet a pour ambition de contribuer à donner une dynamique nouvelle au plus important quartier d'affaires de France. L'immeuble tertiaire, construit en 2002 et classé IGH, a ainsi été repensé pour en faire une tour à usage mixte emblématique du quartier d'affaires.Les travaux, réalisés par Eiffage Construction et Goyer aux côtés des entreprises Phibor et Lefort-Francheteau, consistent en la restructuration et la surélévation de la Tour qui culmine à 218.00 NGF. Rehaussée de trois niveaux et dotée d'une extension latérale sur 26 niveaux en structure métallique, sa surface de plancher va passer de 61 000 m² à près de 66 000 m² et pourra accueillir 7 400 personnes.Afin de répondre aux meilleurs standards internationaux, ce projet qui aura recours au réemploi d'éléments issus du curage de la tour existante, vise plusieurs certifications et labels : HQE bâtiment durable et BREEAM niveau Excellent, Well Gold, Well HSR et Ready to Osmoz.D'une durée de 25 mois, les travaux s'achèveront au cours du troisième trimestre 2024.Ce marché a été remporté en groupement en mai 2022 à la suite d'une consultation lancée en 2021 et une phase de travail en exclusivité.Eiffage Construction est intervenu à plusieurs reprises ces dernières années dans le quartier d'affaires de Paris - La Défense tant en neuf avec la construction de la Tour Majunga qu'en rénovation avec l'ensemble Carré Michelet, l'immeuble Window, les Tours Pascal ou encore la Grande Arche de La Défense.
Il y a 2 ans et 190 jours

24H du Bâtiment - Le bilan

Des ministres sont intervenus lors des plénières pour apporter des réponses aux adhérents et faire des annonces importantes. Lors de cette journée, étaient également organisés des conférences, des ateliers thématiques et un job dating pour des jeunes ingénieurs. Pour Olivier Salleron, président de la FFB : « Notre secteur innovant a toutes les compétences requises pour affronter la crise environnementale. Nous sommes prêts ! Nous avons formé, nous avons investi dans l’innovation, le numérique et l’apprentissage, même dans les périodes les plus difficiles. La transition écologique, nous la prenons à bras le corps, au même titre que la transformation numérique de nos chantiers et de nos entreprises. Le bâtiment n’a jamais renoncé à s’inventer un avenir et il va continuer !»
Il y a 2 ans et 191 jours

24 heures du bâtiment : plus de 7.000 chefs d’entreprise réunis et des annonces importantes du gouvernement

Les chefs d’entreprise ont aussi échangé avec des personnalités, rencontrer leurs pairs et partager leurs passions de construire. Lors de cette journée étaient également organisés des conférences, des ateliers thématiques et un job dating pour des jeunes ingénieurs.La FFB salue l’annonce faite par le président de la République à cette occasion d’une prochaine initiative pour aider les communes à rénover leurs écoles, dont beaucoup s’avèrent des passoires thermiques. Il a également confirmé que, face à l’instabilité des dispositif fiscaux dérogatoires, le statut du bailleur privé proposé par la FFB « faisait partie des solutions » pour soutenir l’investissement locatif.Bruno Le Maire, a d’ailleurs annoncé la mise à l’étude de cette proposition. La FFB se félicite d’une telle avancée. Il en va de même pour la mise en place de l’observatoire du prix des matériaux de construction, prévue par le ministre pour janvier 2023, afin d’apporter plus de visibilité dans la filière. Le ministre a également annoncé que les travaux induits liés à la rénovation énergétique continueront à bénéficier du taux de TVA réduit de 5,5%, alors que le projet de loi de finances les excluait. En contrepartie, pour répondre au marché considérable de la rénovation énergétique des bâtiments, le ministre souhaite voir le nombre d’entreprises labellisées RGE quadrupler d’ici à 2028.Pour Olivier Salleron, président de la FFB : « Le succès des 24h du bâtiment, tant par le nombre d’adhérents et de partenaires, que par la teneur des débats ou par les échanges avec les différentes personnalités démontre que l’avenir du bâtiment reste grand ouvert. Les difficultés restent réelles pour les artisans et entrepreneurs du secteur, mais les annonces du président de la République et du ministre de l’Économie, tout comme leurs attentes à l’endroit du secteur nous renforcent. Le bâtiment n’a jamais renoncé à s’inventer un avenir et il va continuer ! »
Il y a 2 ans et 192 jours

Elcia recycle son stand Batimat : l’équivalent en CO2 de 10 allers-retours Paris/Madrid en avion économisé

Un stand réemployé pour 4 tonnes d’émissions de CO2 économiséesLa seconde vie du stand 100% éco-conçu ELCIA s’est ouverte dès la fermeture des portes du salon BATIMAT. Présentes lors du démontage, les équipes de MUTO EVENT ont récupéré 98% de ses matériaux (les 2% de pertes correspondant aux chutes et éléments souillés et donc inutilisables après dépose), soit plus de 1.941 kilos !En étant réemployés et non jetés, c’est l’équivalent de 3.955 kilos d’émissions de CO2 qui ont été évités (voir méthode de calcul ci-après).4 tonnes d’émissions de CO2, cela représente :10 allers-retours Paris/Madrid en avion1 tour du monde en voiture diesel559 mois passés en visioconférence212 jours de chauffage au gaz d’un foyer françaisPour Vincent RAIMBAULT, Fondateur et Directeur Général de MUTO EVENT : « Notre objectif est de transformer tous les déchets de l’événementiel en ressources pour l’ESS (Economie Sociale et Solidaire). »Que sont devenus les matériaux du stand d'Elcia ?Quelques exemples (entre autres) :#1 Des cloisons et du mobilier avec notre DropPaperLes DropPaper (papier léger) qui ornaient le stand ont été en grande partie récupérés par PROCÉDÉS CHÉNEL, une entreprise spécialisée dans la création de cloisons, plafonds, luminaires et mobiliers pour les concepteurs d’expositions, de l’événementiel ou encore de l’architecture intérieure.#2 Le mélaminé des armoires au cœur de lieux collectifs, de foyers ou encore de cours de récréationLes armoires qui ont servi de rangement lors du salon ont été données à LA FACTO, qui accompagne associations, coopératives et habitants dans leur projet de construction, de fabrication de mobilier, d’aménagement de parcelles ou de locaux. Quelques exemples de réalisation : lieux collectifs, cours de récréation d’écoles, chapiteaux mobiles pour des théâtres ou encore foyers sociaux.#3 Le bois contreplaqué du bar va s’installer dans le quotidien de particuliersAu centre du stand, le bar en bois était un lieu de rencontres et de sourires. Une convivialité qui perdurera puisque le bois contreplaqué a été donné aux ATELIERS CHUTES LIBRES. Cet atelier parisien collecte le bois afin de permettre à des particuliers de construire lampes, jardinières, bancs ou encore tables basses.Comment est calculée l’équivalence en émissions de CO2 ?MUTO EVENT s’appuie sur la méthodologie de référence QuantiGES de l’ADEME. Cette méthode précise les règles de calcul des émissions évitées, permises par l’activité d’une entreprise ou par une action spécifique (en l’occurrence pour MUTO EVENT : le réemploi d’un matériau).Pour calculer le nombre total d’émissions de CO2 évitées, l’étude retient la différence entre les émissions qui auraient été émises si les matériaux n’avaient pas été réemployés, et celles réellement émises lorsque MUTO EVENT réemploie ces matériaux.Les gains sont doubles grâce à l’action de réemploi : on économise à la fois sur le coût écologique du déchet évité, mais également sur celui du matériau neuf qui n’est pas acheté en remplacement !Qui est MUTO EVENT ?Chaque année, des milliers de tonnes de bois, plastiques, moquettes et textiles événementiels sont consommées et jetées en vrac après seulement quelques heures d’utilisation... Ce constat, dramatique pour l’environnement, Vincent RAIMBAULT y a assisté en première ligne, étant lui-même issu du secteur événementiel. C’est convaincu de l’énorme potentiel du réemploi qu’il a créé MUTO EVENT, Société à Mission engagée contre l’événementiel à usage unique. Leur devise : « Faire pour re-faire, pas pour défaire ». Pour cela, MUTO EVENT accompagne les entreprises engagées écologiquement avec des solutions 100% clés-en-main dédiées au réemploi des aménagement événementiels.
Il y a 2 ans et 195 jours

L’Unafo organise la « Semaine du logement accompagné » du 22 au 25 novembre

Événement majeur réunissant tous les acteurs du logement accompagné, la Semaine du logement accompagné est un espace d’échanges sous format d’ateliers, visites de résidences sociales et débats ouverts sur une diversité de thématiques (le modèle économique des résidences sociales, le développement durable, la transition énergétique, les SIAO et le logement accompagné, la production des résidences sociales, le logement pour les jeunes, les enjeux du quinquennat en matière de logement, l’évolution des pratiques professionnelles...).Mardi 22 et mercredi 23 novembre au Palais des Congrès du Parc de Chanot à MarseilleLes temps forts des deux premières journées seront articulés autour de plénières, d’ateliers, de temps « hors les murs » (visites de résidences), de conférences et d’un salon professionnel avec la présence de diverses entreprises et prestataires.Deux grandes tables rondes sont également prévues sur les thèmes suivants :Le 22 novembre : « Le quinquennat sera écologique ou ne sera pas » - en présence notamment de Camille Dorival, Autrice et Consultante spécialisée dans la transition écologique, et Simon Huffeteau, Coordinateur interministériel du plan de rénovation énergétique des bâtimentsLe 23 novembre : « Convaincre les élus de l’impact socio-économique des résidences sociales pour produire davantage » - en présence d’élus régionaux et locauxProgramme complet : www.semaine-unafo.org/programme-22-23-novembreJournées ouvertes à tous sur inscription, au tarif de 200 € par personne (le tarif inclut le cocktail déjeunatoire).Les « Tables-rondes de l’Unafo », les jeudi 24 et vendredi 25 novembre en digital6 temps ateliers et d’échanges répartis sur deux jours sont proposés sur divers thématiques.Programme complet : www.semaine-unafo.org/programme-24-25-novembreLa participation aux « Tables-rondes de l’Unafo » en digital est gratuite, ouverte à tous, sur inscription.
Il y a 2 ans et 206 jours

Haribo réalise 80% d’économie d’énergie pour produire l’eau chaude de son usine de Marseille grâce à Axima

L’audit énergétique réalisé en 2019 sur le site de production de Haribo à Marseille a mis en évidence de nouvelles sources d’optimisation énergétique non encore exploitées. En effet, le process industriel de fabrication des confiseries repose sur la production simultanée de froid et de chaud. La première consiste à évacuer la chaleur, notamment issue des tapis et des ateliers. Celle-ci était dissipée dans l’air extérieur alors que dans le même temps, une chaufferie gaz produisait la vapeur utilisée pour une autre partie du procédé, notamment les étuves nécessaires à la fabrication des célèbres bonbons Dragibus, Tagada, Schtroumpfs, Chamallows et tant d’autres... La Direction de Haribo a alors souhaité trouver des solutions pour optimiser sa consommation et éviter le gaspillage énergétique.Les experts d’Equans ont proposé une action de performance énergétique (APE) basée sur la récupération de chaleur fatale. Concrètement, la chaleur évacuée au cours la production de froid est captée et réinjectée dans le process de fabrication. Depuis sa mise en service le 5 janvier 2021, une nouvelle chaudière alimentée par cette chaleur fatale remplace celle qui fonctionnait au gaz et qui n’est actionnée qu’en cas d’arrêts techniques de l’installation vertueuse, ce qui ne s’est pas produit au cours de l’année passée.Les bénéfices multiples du contrat de performance énergétiqueÉligible aux subventions des CEE (certificats d’économie d’énergie), l’installation du groupe froid avec récupération de chaleur a été prise en charge par Axima. La signature d’un contrat de performance énergétique a même permis des bonifications supplémentaires entraînant un retour sur investissement très rapide et inférieur à deux ans. Equans s’était engagé à générer 60% d’économie d’énergie. Les résultats vont au-delà de cette ambition en affichant aujourd’hui une réduction de 80% des consommations d’énergie par rapport à la chaudière à gaz. La consommation a été réduite de 1550 MWh avec, à la clé, une réduction en un an des émissions de -600t de CO2.Pour Pascal Bernard, Directeur Industriel de Haribo France : « Haribo contribue à répondre au défi climatique en faisant le choix de procédés industriels vertueux et en mettant en œuvre de manière pragmatique les meilleures solutions technologiques disponibles. L’amélioration de la performance énergétique permet de réduire la dépendance aux seules énergies fossiles et de participer à la démarche de sobriété énergétique. La trajectoire de décarbonation de notre modèle industriel s’appuie sur les solutions proposées par notre prestataire Equans. »Pour Gilles Cotte, Directeur du Développement d’Equans France : « Les innovations se multiplient pour permettre de répondre aux défis de nos clients en les accompagnant à consommer moins, vert et flexible. La chaleur fatale reste l’énergie la plus verte. C’est aussi une source d’économie importante alors que la question du coût de l’énergie s’impose comme un enjeu majeur pour l’industrie de demain. Pour obtenir de tels résultats, nos équipes sont pleinement mobilisées pour concevoir, installer et suivre en continu les installations. »
Il y a 2 ans et 211 jours

Une 1ère réussie pour le Club Utilisateurs Diapason organisé par ISIA, filiale du Groupe ELCIA

« La sécurisation de vos données au cœur de nos priorités », avec ProginovC’est chez leur nouveau partenaire Proginov, qu’ISIA a organisé son 1er Club Utilisateurs Diapason sur le thème de « La sécurisation de vos données au cœur de nos priorités ». Les participants ont été reçu par Philippe PLANTIVE, Président de Proginov, Roland PEYRAN, Directeur commercial ISIA et Laurent HARISTOY, Directeur des opérations ISIA.Au programme : durant la matinée, les utilisateurs présents ont pu participer à des ateliers avec des experts de la cybersécurité de Proginov et échanger avec Fabrice JENOUVRIER, Commercial Hébergement Proginov. La journée s’est ensuite poursuivie avec la visite d’un Datacenter Proginov l’après-midi. Malgré les profils différents et variés de chaque participant, les échangent étaient riches et constructifs afin de répondre aux questionnements notamment sur la partie communication entre les sites de production et les datacenters ou encore des échanges sur un projet type de migration.Un format de rencontre supplémentaire pour toujours plus de proximité et d’échangesA l’écoute de ses clients et pour donner suite aux remontées dans le cadre de l’enquête ScoreFact, ISIA a déployé de nombreux moments d’échange.C’est dans une optique de toujours satisfaire ses clients qu’ISIA a décidé de mettre en place le Club Utilisateurs, ce nouveau temps d’échange avec ses clients, en plus des webinars réguliers et des Forums Diapason annuels déjà mis en place par l’entreprise.Alors que ces derniers sont davantage destinés au partage de témoignages et retours d’expérience utilisateurs, le nouveau format du Club Utilisateurs permet à ISIA de créer une rencontre en petit comité avec ses clients pour discuter et échanger sur un sujet d’actualité au cœur de leur activité (cybersécurité, BI, hébergement...). C’est également l’opportunité pour les utilisateurs d’échanger entre eux sur leurs bonnes pratiques et de se partager leurs conseils sur le sujet abordé.Pour Laurent HARISTOY, Directeur des Opérations chez ISIA : « C’est indispensable pour nous de créer ce lien étroit avec nos clients. Ils doivent savoir qu’ISIA est là pour leur proposer des axes d’amélioration et qu’avec eux, nous construisons le Diapason de demain. »Avec cette première édition réussie, ISIA travaille déjà sur les prochains Club Utilisateurs et souhaite proposer de nouveau ces rencontres aux utilisateurs Diapason.
Il y a 2 ans et 214 jours

Le paysage des ateliers Hermès en Gironde, par Patrick Arotcharen

Alors que le 21 novembre 2022, sera attribuée la 40ème Équerre d'argent, retour sur les réalisations distinguées lors des 39 précédentes éditions dans un numéro hors-série spécial qui vient de paraître, et disponible en format numérique. Édito Sans filet Depuis quatre […] Lire l'article
Il y a 2 ans et 219 jours

L’appel à contributions "programme" de la 24ème édition des Assises européennes de la transition énergétique, est lancé

Afin de coconstruire le programme général de l’édition avec les parties prenantes et d’être au plus près des enjeux actuels, les co-organisateurs de l’événement – Bordeaux Métropole, la Communauté Urbaine de Dunkerque, le Grand Genève et l’ADEME, lancent comme chaque année, un appel à contributions pour l’élaboration du programme d’ateliers. Ainsi, collectivités, scientifiques et experts de la transition écologique, acteurs économiques et associatifs sont invités à soumettre leurs projets d’ateliers avant le 18 novembre 2022 à 23 heures.Les Assises européennes de la transition énergétique: le temps fort annuel des acteurs engagées dans la transition énergétique depuis 1999Lancées en 1999 par la Communauté urbaine de Dunkerque, en partenariat avec l’ADEME, puis co-organisées par Bordeaux Métropole et le Grand Genève, les Assises européennes de la transition énergétique sont devenues au fil du temps le rendez-vous annuel des acteurs territoriaux européens engagés dans la transition énergétique. Organisées dans la continuité des temps forts gouvernementaux, notamment des sommets de l’ONU sur le Climat (COP), les Assises sont l’occasion pour les gouvernements et acteurs locaux ainsi que leurs partenaires de s’approprier de manière collective les nouveaux enjeux nationaux et internationaux et, surtout, de partager des expériences réussies et des solutions concrètes pour mettre en œuvre la transition énergétique dans les territoires. Chaque année, l’événement réunit pendant 3 jours plus de 3500 congressistes autour d’un programme de plus de 150 événements : plénières, ateliers, visites de sites, village de la transition ou encore carrefour des métiers. L’édition 2022 a réuni en mai dernier, plus de 4500 participants dans le Grand Genève sur le thème crucial de la sobriété énergétique.Comment contribuer au programme 2023 ?Les co-organisateurs appellent les acteurs engagés dans la transition énergétique des territoires à témoigner de leurs actions, de leurs expériences en matière de politique air-climat, mobilité, urbanisme, ruralité, économie circulaire, emploi, formation, nouvelles technologies, gestion des systèmes d’information, innovations sociales, coopération ou encore planification…L’objectif ? Faire des Assises européennes de la transition énergétique un véritable laboratoire de partage d’expériences, d’idées et de recherche de solutions concrètes pour réussir collectivement la transition énergétique des territoires.Ainsi, élu, chercheur, technicien, financeur, citoyen, universitaire, membre d’une association, d’une ONG ou d’une agence locale de l’énergie, entrepreneur, ingénieur, sont invités à devenir acteur de la transition énergétique et à venir jouer un rôle privilégié en mettant en valeur leurs actions, en partageant leurs projets ou en mettant en débat leurs idées.Encore plus d’ateliers, et un nouveau format proposé aux contributeurs !Le jury composé des co-organisateurs reçoit chaque année, près de 300 contributions et ne peut en choisir que 100. Pour l’édition 2023, 140 dossiers seront sélectionnés avec notamment un nouveau format d’atelier qui fait son entrée !Les ateliers CHALLENGE : Des espaces de cocréationOu comment faire travailler les autres pour résoudre son problème ! Les contributeurs invitent les congressistes à coconstruire des pistes de solutions à une question, à un problème qui est probablement partagé dans les territoires. Durée : 2 heures / Public : 30 à 35 personnes.Les ateliers SPEED DATING : la grande foire des initiatives Le format d’atelier qui a le meilleur rapport efficacité temps/passé. Le contributeur qui est porteur d’un projet déjà opérationnel et qui affiche des résultats intéressants à partager, accueille à sa table une dizaine de participants pour présenter et échanger sur son projet. Durée : 1h30 / Public : 10 personnes. Les ateliers INSPIRATION : des moments de partage d’expérience En format mini plénière et accompagné d’un animateur, le contributeur rassemble plusieurs pilotes de projets qui ont fait leur preuve et qui s’inscrivent dans la même thématique. Durée: 1h15 / Public : de 20 à 70 personnes Nouveau format 2023 : Les ateliers LUDIQUES & SERIOUS GAME : des sessions pour apprendre et se détendreLe contributeur sensibilise, informe les participants ou crée du débat sur un sujet dans un format ludique qui dynamisera son assemblée. Jeu de plateaux, jeu de rôle, quizz, one man show, l’idée est de surprendre les congressistes sur un sujet sérieux ! Durée : 1h / Public : 15 à 20 personnes Les étapes clés pour participer à la programmation des ateliers de la prochaine édition : Prendre connaissance du guide disponible sur ce lien.Construire le dossier de contributionDéposer la contribution avant le 18 novembre 2022 23h.Lien vers le dépôt des contributions.Les critères de sélections du jury : Le respect du format choisi et l’originalité de l’animation envisagéeL’originalité de la contribution (contenu)Le lien avec l’actualitéL’implication de collectivités territorialesLe potentiel de reproductibilité dans d’autres territoiresLa diversité et le profil des intervenants, notamment la présence d'élus dans les intervenants choisisLa dimension européenne
Il y a 2 ans et 220 jours

Guardian Glass relève le défi de la Tour Hekla

Jouer avec les reflets de la lumière et de son environnement, présenter une esthétique unique et moderne, mais aussi contribuer à la création d’espaces alliant haute performance environnementale du bâtiment et bien-être des occupants : tels étaient les enjeux qu’ont dû relever les équipes Guardian.Allier prouesse technique et exigence environnementale du bâtimentLorsque Guardian se voit confier la réalisation de plus de 20.000 m2 de verre qui composeront la façade du futur emblème de la Défense, le cahier des charges est particulièrement ambitieux. La signature de l’architecte impose l’utilisation de produits réfléchissants avec de hautes performances techniques. Les matériaux devront aussi répondre à des objectifs précis en termes d’efficacité environnementale du bâtiment, les constructeurs visant une quadruple certification HQE Exceptionnel, BREEAM Excellent, LEED Platinum et EFFINERGIE+. L’ambition de la Tour HEKLA est aussi de se voir décerner les labels WELL (bien-être des occupants) et WiredScore Platinium.Guardian : un accompagnement sur-mesure avec des verres de haute technologiePour créer des façades « vivantes » qui changent d’apparence au cours de la journée, les équipes de Guardian décident de miser sur un mix de plusieurs verres à contrôle solaire issus de la gamme SunGuard High Performance (Neutral 60/40 et 50/32) et SunGuard HD Silver 70, en fonction des orientations de la façade et des performances esthétiques et techniques attendues. Elles proposent les premiers échantillonnages et organisent des visites dans leurs unités de production. Un prototype est monté en partenariat avec le façadier Permasteelisa avant validation.Les verres à contrôle solaire retenus pour ce projet sont fabriqués à partir de verres Guardian ExtraClear et UltraClear à faible teneur en fer, de couleur neutre et de clarté éclatante, sur lesquels sont déposées des couches pour des performances techniques et esthétiques variant selon les façades de la tour. Protection solaire, réflexion lumineuse, isolation thermique et acoustique… les verres sont conçus pour intégrer toutes les attentes du client.Pour David Tachon, Architectural Design Manager, Projets internationaux chez Guardian Glass : « Du bureau d’études à la supply chain, nous avons atteint les objectifs fixés et dans les temps impartis grâce à un partenariat étroit de nos équipes techniques et commerciales avec les architectes des Ateliers Jean Nouvel, Permasteelisa et les constructeurs. »
Il y a 2 ans et 227 jours

Stéphane Galerneau nouveau Président d’Ateliers d’Art de France

Stéphane Galerneau devient, à 58 ans, Président d’Ateliers d’Art de France, le syndicat professionnel des métiers d’art. Il succède à Aude Tahon à la tête du syndicat ces six dernières années. Stéphane Galerneau entend renforcer les partenariats et les actions avec les acteurs des territoires, développer la notoriété et l’image des métiers d’art ainsi que la reconnaissance du secteur. Fondeur, Stéphane Galerneau crée et fabrique des objets de décoration en étain doré à l’or fin. Architecte d’intérieur et designer de formation, il acquiert notamment son savoir-faire par une formation à l’Ecole nationale supérieure des Arts Décoratifs. Basé sur Paris pendant 22 ans, il a collaboré comme directeur artistique avec les plus grandes maisons des arts de table. En 2018, Stéphane Galerneau devient Administrateur d’Ateliers d’Art de France avant de prendre la tête du syndicat le 12 octobre 2022.
Il y a 2 ans et 227 jours

Étude lumière naturelle et Bluevoûte Therm : un cas d’école

Il en a été de même pour la protection contre l’éblouissement et l’exposition à la lumière directe du soleil, autres critères de recommandations complémentaires et normatifs de ce texte. Inaugurés à l’été 2022, les bâtiments Tellier Brise-Soleil, représentent aujourd’hui un très beau showroom et un site idéal de suivi qualité des produits du Groupe Adexsi dont fait partie Bluetek.Des lanterneaux filants Bluevoûte Therm pour une lumière naturelle efficace et maîtriséeCe ne sont pas moins de 16 lanterneaux Bluevoûte Therm qui ont été posés en toiture. Voici leurs nombres et dimensions :9 unités Bluevoûte Therm corde 3 m X 5 m de longueur,5 unités Bluevoûte Therm corde 3 X 8 m de longueur,2 unités Bluevoûte Therm corde 3 X 25 m de longueur.Ces voûtes à amélioration thermique sont équipées d’un PCA d’une épaisseur de 16 mm intégrant la technologie Pearl Inside. Cette technologie permet l’apport d’une lumière naturelle maîtrisée qui diminue l’effet de serre, complétée d’une performance thermique et acoustique. Ce remplissage apporte aussi une jolie touche design par son effet cristallin.Sécurité incendie, ventilation et rafraîchissement des locauxLes lanterneaux Bluevoûte Therm sont équipés d’ouvrants Exuplus Elec. Ces modules pour le désenfumage naturel permettent, dans le cas d’un incendie, d’assurer leur fonction de DENFC. Les ouvrants permettent aussi une ventilation du bâtiment de façon automatisée ou manuelle.De plus, les ateliers bénéficient d’un Rafraîchissement d’Air par Evaporation, c’est-à-dire d’un procédé dit adiabatique, avec diffusion par gaines textile.Les employés de l’usine Tellier Brise-Soleil disent être satisfaits de ce principe de diffusion en lumière naturelle, tout comme ils le sont du confort d’été.Étude de la lumière naturelleCréé et mis à disposition par Bluetek sur son site web, l’outil de calcul lumière permet d’une façon simple et guidée d’obtenir un Facteur Lumière du Jour (FLJ) en adéquation avec la norme EN 17037.L’outil web permet un calcul simple, avec en amont certaines questions comme, par exemple :Le pourcentage d’autonomie en lumière naturelle souhaité et le nombre de lux.Le type et les dimensions précises du bâtiment.Les options de performances.En aval, l’outil permet une sélection des produits, une simulation claire et un récapitulatif des résultats.Pour l’étude des bâtiments Tellier Brise-Soleil, le choix des produits s’est fait de façon à associer éclairage naturel zénithal en façade (bandeaux lumineux) et voûtes de grandes et petites longueurs en toiture. Ces dernières ont été réparties afin d’homogénéiser au mieux la diffusion de la lumière naturelle à l’intérieur des ateliers. Dans la globalité du projet, le pilotage et la gestion de la lumière artificielle permettent une rationalisation de l’équipement.Tester l’outil lumière depuis le site Bluetek
Il y a 2 ans et 227 jours

Les acteurs du maritime se réuniront pour 2 jours consacrés à « L’INDISPENSABLE LIEN TERRE-MER AU SERVICE DE LA CROISSANCE BLEUE »

Grand rendez-vous annuel des acteurs de la croissance bleue, les Assises de l’économie de la mer se tiendront cette année, non loin de Dunkerque, à Lille Grand Palais, les 8 et 9 novembre 2022. Plus d’une quinzaine de tables rondes et ateliers permettront de mettre en lumière les enjeux de souveraineté maritime et l’importance du […]
Il y a 2 ans et 230 jours

Nord : le pont des Bateliers à Hautmont sera remis à neuf.

À Hautmont (Nord), le pont des Bateliers est en chantier de rénovation pour une durée d’environ huit...-Vie du BTP
Il y a 2 ans et 232 jours

Rockwool partenaire du CiDB aux Neuvièmes Assises Nationales de la Qualité de l’Environnement Sonore 2022

En tant que partenaire historique du CiDB, acteur incontournable de la promotion de la lutte contre la nuisance sonore, ROCKWOOL a participé aux Neuvièmes Assises Nationales de la Qualité de l’Environnement Sonore 2022 les 27 et 28 septembre au Centre International de Conférences Sorbonne Université. L’édition placée sous le signe de l’investissement s'est proposée d’identifier les conditions pour lesquelles le bruit peut constituer un levier ou un frein à la transition écologique, à l’économie et à l’amélioration du bien-être.ROCKWOOL acteur du nécessaire investissement dans l’environnement sonoreLe bruit est néfaste pour notre santé et selon l’Organisation mondiale de la Santé (OMS), les personnes vivant et travaillant dans les villes sont particulièrement vulnérables. Une isolation acoustique efficace est donc primordiale dans une maison ou autres bâtiments (tertiaires ou industriels) pour créer un environnement confortable et sûr.En participant aux côtés du CiDB aux Assises Nationales de la Qualité de l’Environnement Sonore, ROCKWOOL souhaite interagir avec les professionnels du secteur afin de travailler main dans la main aux solutions les plus innovantes pour se prémunir des nuisances sonores. C’est ce qu'a proposé l’événement en tant que carrefour de rencontres unique et le lieu d’échanges d’un important réseau de professionnelles de la sphère institutionnelle, des industriels et des entreprises, du monde associatif ainsi que des structures de recherche et des collectivités locales. Des solutions en laine de roche au service d’environnements intérieurs plus sains et plus silencieux pour une meilleure qualité de vieS’il n’est pas toujours possible de maîtriser les niveaux sonores à la source, une isolation acoustique de qualité peut être une solution intéressante. Le bruit extérieur provenant de la circulation routière ou des avions par exemple peut être considérablement réduit par une isolation acoustique correcte de la toiture ou de la façade.L’isolation acoustique peut aussi améliorer le confort acoustique et éviter les nuisances sonores provenant de l’intérieur d’un bâtiment Lorsqu'ils sont installés sur des planchers intermédiaires ou sur les murs intérieurs d’un immeuble d’habitation ou d’un complexe de bureaux, les panneaux d’isolation thermo-acoustique, sont particulièrement efficaces pour réduire la quantité de bruit pénétrant dans un environnement de vie ou de travail.En effet, grâce à la structure poreuse ouverte, la laine de roche ROCKWOOL est un excellent amortisseur de bruit hautement efficace par nature. De plus, grâce à leur stabilité dimensionnelle, les solutions d’isolation ROCKWOOL sont durables dans le temps et conservent leurs performances même au-delà de 55 ans, ce qui garantit un excellent confort acoustique tout au long de la durée de vie d’un bâtiment. C’est grâce à une innovation continue au cœur de sa stratégie que ROCKWOOL peut proposer des produits toujours plus performants.Avec le CiDB, identifier ensemble les axes de développement en faveur de l’amélioration de l’environnement sonorePour ROCKWOOL, Les Assises Nationales de la Qualité de l’Environnement Sonore étaient une occasion incontournable pour échanger sur les bonnes pratiques et les solutions novatrices en faveur de l’environnement sonore, mais aussi comprendre les besoins des consommateurs tels que les professionnels de la construction, les ERP, ou encore les établissements scolaires ou de santé.L’événement qui comprenait trois conférences plénières et 20 ateliers thématiques incluait également des ateliers professionnels et une exposition présentant les solutions et innovations des acteurs du secteur (métrologie, produits, logiciels, etc.). Environ 500 personnes étaient attendues sur les deux jours.Tristan Sacquet, Ingénieur Acousticien ROCKWOOL le rappelle : « En tant qu'acteur engagé du secteur du bâtiment et leader de l'isolation, ROCKWOOL a pour objectif de construire un avenir meilleur, avec des bâtiments plus sûrs, plus durables et plus résilients, notamment, sur plan acoustique. »
Il y a 2 ans et 233 jours

Coup d'envoi de la formation des fonctionnaires à la transition écologique

Ce plan de formation "inédit" vise à former 25.000 hauts fonctionnaires d'ici 2024, avant que leurs collègues de la fonction publique territoriale (12.000 cadres) et de l'hospitalière (4.000) ne soient à leur tour formés "d'ici 2025".Le ministre de la Fonction publique Stanislas Guerini doit présenter les détails de ce plan dans la matinée, aux côtés des ministres de la Transition écologique Christophe Béchu, de l'Enseignement supérieur Sylvie Retailleau et de la Transition énergétique Agnès Pannier-Runacher.Ce projet de formation "fait consensus" et constitue la "première brique du plan de sobriété énergétique", indique-t-on au ministère de la Transformation et de la fonction publiques.Concrètement, 220 directeurs d'administrations centrales suivront dès le 19 octobre des formations de vingt heures, théoriques avec l'appui de scientifiques "de très haut niveau", selon le ministère, mais aussi pratiques, via des ateliers portant par exemple sur le calcul de leur bilan carbone et l'étude des solutions possibles pour le réduire.Les fonctionnaires se rendront aussi sur le terrain pour "rencontrer des acteurs" -entreprises et ONG notamment- faisant face aux enjeux du réchauffement climatique, qui leur présenteront leur façon d'y répondre: une visite en forêt pour en montrer la résilience, par exemple."La formation est un préalable à l'action", ont encore souligné les ministères de la Transformation et de la fonction publiques et celui de la Transition écologique, qui ont travaillé de concert sur ces modules alliant questions de biodiversité, de climat et de ressources naturelles. Pour le gouvernement, les formations doivent "irriguer l'ensemble de l'administration publique". Ainsi des "coachs" -des agents des ministères, dans un premier temps- suivront individuellement les directeurs formés afin de les "aider à faire leur retour d'expérience" auprès de leurs équipes. Quelque 300 cadres-dirigeants, tels que des préfets et des ambassadeurs seront formés ensuite en janvier.Les premiers retours d'expérience permettront, selon les ministères, de "concevoir le meilleur plan" de formation pour les 25.000 agents suivants.Les futurs fonctionnaires seront également sensibilisés aux questions climatiques dès leur formation initiale, ont ajouté les ministères.
Il y a 2 ans et 233 jours

Dans les entreprises, des idées pour économiser le gaz ou l'électricité

Agro-alimentaire :Fleury-Michon construit des ombrières photovoltaïques sur les parkings de toutes ses usines. "Cela fera de l'ombre l'été et nous permettra de produire une partie de notre consommation d'électricité", indique le groupe qui dit avoir diminué de 30% sa consommation de Kwh par kilo de produit en une dizaine d'années.Distribution :Toutes les enseignes de l'alimentaire - Carrefour, Intermarché, système U, Auchan, Casino et Leclerc - se sont engagées à éteindre à compter du 15 octobre leurs enseignes lumineuses à la fermeture des magasins, à réduire l'intensité lumineuse avant l'arrivée du public et abaisser la température ambiante des points de vente d'un degré. Ces mesures du quotidien représentent 6% d'économie sur la facture énergétique. Leclerc, notamment, a commencé le 12 septembre.Quand il fera très froid, en cas de pic de la demande énergétique, des mesures exceptionnelles ont été proposées, comme de ramener la température à 17 degrés pendant les heures d'ouverture, ce qui permet un "effacement de 740 MW" soit "une "petite centrale nucléaire", souligne la fédération technique de la distribution Perifem.Ce protocole est étendu aux autres commerces. Pour l'instant dans le non-alimentaire, la température à 17 degrés ne passe pas, en raison des cabines d'essayage, mais "si c'est pour deux heures et pour éviter un blackout général lors d'un pic, ça doit pouvoir se réfléchir", souligne Perifem.Deuxième initiative lourde, l'installation de portes vitrées sur les linéaires de produits réfrigérés, qui permet de réduire de 25% la facture énergétique. Le processus est encore en cours : 70% des distributeurs sont équipés mais il en reste donc encore 30% qui doivent l'être. Le coût de l'installation - environ un million d'euro pour un magasin de taille moyenne - fait hésiter ceux qui ne sont pas encore passé à l'acte.Industrie :Le spectre de coupures de gaz cet hiver accélère la course aux solutions : Récupération de la chaleur, passage à l'éclairage LED ou installation de panneaux solaires.Ainsi l'usine Toyota de Onnaing a deux projets : la récupération de la chaleur des compresseurs pour chauffer les bains de traitement de surface avant l'application de l'anti-corrosion sur les véhicules et la mise en place de panneaux solaires sur cinq hectares sur les parkings. Une telle mesure permet d'atteindre 10% d'économie d'énergie, a calculé Toyota.La fonderie d'aluminium de Saint-Jean Industrie (Belleville-en-Beaujolais) récupère la chaleur de ses fours pour chauffer tout un secteur de l'usine. Depuis la fin 2021, le groupe a gagné "entre 10 et 15%" en électricité et gaz, surtout en surveillant en temps réel sa consommation.Michelin, qui a baissé de 18% sa consommation d'énergie entre 2010 et 2021 poursuit ses efforts cet hiver. Pour économiser le gaz de ses fours à pneumatiques, le groupe développe les renouvelables et en particulier les chaudières biomasse (à Cholet et Bourges), le photovoltaïque (au Puy-en-Velay) et achète de la chaleur biomasse (à Vannes et Clermont-Ferrand).À Troyes et Bassens, le groupe achète aussi de la chaleur, mais issue de l'incinération de déchets ménagers. Par ailleurs, cet hiver, la température de chauffage des bureaux et des ateliers "n'ira pas au delà de 19 degrés", et tombera même à 17 degrés dans les ateliers où l'on produit des "efforts physiques".Le groupe dispose aussi un plan d'isolation de ses sites tertiaires, installe des leds dans ses ateliers et sur les éclairages extérieurs de son centre de recherche.Veolia baisse la température de ses locaux et mesure la consommation de chaque dépôt de collecte de déchets et de chaque camion pour identifier les mesures correctives et déployer des formations de conduite économe en fuel.Transports :La SNCF, grande consommatrice d'électricité, a intensifié depuis plusieurs mois ses actions en mettant l'accent sur "l'écoconduite", une technique plus souple de conduite des trains, par exemple en tirant profit des reliefs. Celle-ci permet de réduire jusqu'à 10% la consommation d'énergie "sans réduire (la) vitesse et donc sans pénaliser les voyageurs", relève le ministère des Transports. la SNCF fait aussi la chasse au gaspi dans les bâtiments industriels et tertiaires, installe des lampes LED à grande échelle et joue sur l'éclairage et le chauffage des gares.Mais, la sobriété énergétique, à la SNCF, la RATP et chez d'autres opérateurs de transports, "ce n'est pas un plan pour faire moins de trains, même cet hiver" a assuré le ministre des Transports Clément Beaune, réagissant à des rumeurs sur la suppression de trains pour économiser l'énergie.
Il y a 2 ans et 233 jours

Salon de la Copropriété, Lorenove Grands Comptes animera un atelier exposant

Les 8 et 9 novembre 2022, Lorenove Grands Comptes sera exposant du salon de la copropriété, au parc des expositions de la Porte de Versailles. Exposant assidu du salon de la copropriété, Lorenove Grands Comptes est une entité du Groupe Lorillard, qui rappelons-le, se dédie aux besoins spécifiques des copropriétés et des regroupements de copropriétaires.C’est un interlocuteur de choix pour évoquer l’ensemble des problématiques rencontrées sur ce sujet. Durant ces 2 jours, à son accoutumé, sur un stand de 36m², Lorenove Grands Comptes se tiendra à la disposition des acteurs de la copropriété. L’omniscience de la Copropriété Que ce soient les essais acoustiques, le respect de l’architecture des façades, la gestion des travaux, la complexité en milieu occupé, les difficultés d’intervention en IGH, etc. l’ensemble de ces notions, et bien d’autres encore, font partie des services et compétences de Lorenove Grands Comptes. L’entité va même plus loin et, est en capacité de fournir – en partenariat avec Lorillard Façades – l’établissement de diagnostic énergétique de façades afin de proposer un plan de rénovation énergétique de façade par l’extérieur. Ces travaux d’efficacité énergétique sont notamment aidés par le dispositif MaPrimeRénov, désormais accessible aux copropriétés pour les travaux réalisés dans les parties communes. MaPrimeRénov s’adresse à toutes les copropriétés achevées depuis 15 ans, au moins à la date de la notification de la décision d’octroi de subvention, qu’elles se situent en secteur diffus ou programmé et qu’elles présentent ou non des signes de fragilité ou de difficultés. Pour bénéficier de cette aide, les travaux des copropriétés doivent être réalisés à 75% minimum sur des résidences principales et permettre un gain énergétique de 35%.Pour les propriétaires bailleurs (personnes physiques ou titulaires d’un droit réel immobilier conférant l’usage d’un logement pour financer les dépenses en faveur de la rénovation énergétique du logement qu’ils mettent en location), les plafonds de ressources sont appréciés en tenant compte de la composition de leur ménage et de la localisation du logement qu’ils occupent à titre de résidence principale. Par ailleurs, les copropriétés fragiles et les copropriétés en difficultés peuvent bénéficier d’une prime complémentaire à l’aide MaPrimeRénov’ Copropriétés. Le montant de l’aide est égal à 25 % du montant des travaux et l’accompagnement à maîtrise d’ouvrage est également pris en charge à hauteur de 30% de la prestation. Depuis plus de 15 ans Lorenove Grands Comptes accompagne au quotidien les copropriétés dans la rénovation de leurs menuiseries, l’isolation des façades y compris lorsque ces projets nécessitent une intervention de désamiantage ou de déplombage via Protectéa. Cette antériorité et l’expérience des chantiers leur ont permis de constituer un ensemble complet de prestations, allant du diagnostic à la fabrication des menuiseries – dans les ateliers du Groupe Lorillard – puis à leur pose par des compagnons qualifiés RGE, jusqu’à la réalisation éventuelle d’essais acoustiques in situ pour justifier des performances annoncées. La force du Groupe Lorillard Lorenove Grands Comptes, simultanément fabricant et installateur, bénéficie de souplesses commerciales et industrielles qui lui permettent de limiter les impacts négatifs qui s’imposent dans la conjoncture actuelle. Sur le plan tactique, Lorenove Grands Comptes est à même de mener des opérations “coup de poing” lors desquelles le temps d’exécution de la pose est réduit grâce à la mobilisation d’un effectif important sur un temps réduit. Il leur est notamment possible de poser plus de 80 fenêtres en une seule journée. L’entité a également développé une ingénierie de chantier adaptée aux milieux habités ou aux chantiers en cœur de ville avec des particularités d’accessibilité et d’organisation délicates (stationnement et base de stockage réduits, coactivité, limitation des nuisances pour les résidents et l’environnement immédiat, etc.) Sur le plan technique, les menuiseries sont performantes et dotées des capacités thermiques et phoniques les plus efficientes. À ce titre, deux modèles seront exposés sur le stand. Une menuiserie aluminium à ouvrant caché qui offre des lignes très fines et apporte un maximum de lumière naturelle dans la pièce. Cette menuiserie est équipée de profils à rupture de pont thermique avec des barrettes isolantes sur le dormant et l’ouvrant, pour réduire les échanges de température intérieurs et extérieurs. Ceci évitant la condensation et le ruissellement d’eau. Menuiserie aluminium à ouvrant caché Également, un verrouillage par galets champignons constitue une sureté supplémentaire contre l’effraction et assure une protection efficace contre le levage par force de levier. Cette menuiserie possède également 3 joints pour une parfaite étanchéité et une meilleure isolation thermique.Pour plus d’harmonie et d’originalité, il est possible de choisir la bicoloration pour coordonner la menuiserie à la fois aux intérieurs et aux extérieurs. Une bicoloration qui est particulièrement pertinente pour les immeubles des années 1970 – dont les tons bois des menuiseries correspondent à la majorité des cahiers des charges – et qui offre alors aux propriétaires la possibilité de personnaliser le coloris intérieur de leurs menuiseries. Un coulissant monobloc en aluminium, équipé d’une tapée de doublage intégrée qui facilite le travail de pose en neuf, offre également une meilleure rigidité au cadre et une étanchéité parfaite. Ce coulissant est doté d’une excellente robustesse grâce à un dormant monobloc à rupture de pont thermique, assemblé en coupe droite par équerres collées et serties. Sa crémone multipoints à crochets et son dispositif anti-fausse manoeuvre lui garantissent un bon niveau de sécurité.Côté design, la finesse de son montant central de 38 mm et ses profils ultra fins offrent un rendu épuré et minimaliste avec un clair de vitrage maximum. Conforme à la norme PMR, ce coulissant est doté d’un seuil extra-plat, d’une hauteur de 25mm, ou proposé avec un dormant bas doté d’un recueil d’eau intégré et de drainages cachés.Enfin, son vitrage de 28 mm avec une couche basse-émissivité, un intercalaire isolant Warm-Edge et du gaz Argon (à très faible conductivité thermique) offre une isolation thermique optimale (coefficient Uw =1,6W/m².K). Ce coulissant sera disponible en 2 vantaux, 3 vantaux et jusqu’à 4 vantaux, pour des baies vitrées de grande largeur (jusque 6 mètres) selon les besoins et la configuration du lieu. C’est à l’appui de son expertise que Lorenove Grands Comptes animera un atelier exposant, le mardi 8 novembre à l’agora – de 11h30 à 12h – sur le thème « Remplacement des menuiseries :de l’approvisionnement aux bénéfices clients, un cycle de vie durable ».Cet atelier sera dirigé par Aurélien Hoellinger, responsable commercial Lorenove Grands Comptes. Cette intervention qui sera filmée pourra être visionnée par la suite sur les réseaux sociaux ; et amorcera la première étape vers une série de webinaires consacrés à la rénovation énergétique !
Il y a 2 ans et 240 jours

Les Coulisses du Bâtiment, les 13 et 14 octobre 2022

D’habitude interdits au public, les sites de toutes sortes et de toutes tailles (hôpitaux, maisons de retraite, musées, lycées, stades, immeuble de bureaux...) dévoileront leurs coulisses à différentes étapes d’avancement des travaux.Les Coulisses du Bâtiment ?Chaque année, la FFB organise Les Coulisses du bâtiment, une opération portes ouvertes de chantiers, ateliers et CFA. C’est une occasion unique de :découvrir le secteur du bâtiment de façon concrète, en visitant des chantiers et ateliers «en vrai» ;rencontrer des hommes et femmes bâtisseurs et fiers de l’être ;s’informer sur des métiers porteurs, aussi bien pour les hommes que pour les femmes.Depuis 2003, l’ambition des Coulisses du bâtiment est, d’une part de faire découvrir aux jeunes et au grand public ce qui se cache derrière les palissades de chantier. En d’autres termes, révéler les techniques de construction à travers les métiers du secteur. D’autre part, la FFB souhaite susciter des vocations auprès des jeunes et attirer des professionnels en reconversion. Chaque site propose ainsi un circuit de visite, une présentation des différents métiers, des informations sur l’ouvrage en construction, des perspectives de carrières et des adresses utiles.Les Coulisses du bâtiment en chiffres :Près de 1.480.000 visiteurs sur 4.500 sites depuis 2003Un live pour visiter un chantier comme si vous y étiez!L’an dernier, près de 100.000 élèves ont participé aux Coulisses du Bâtiment en se rendant sur un chantier grâce à un live sur YouTube.Forte de ce succès, la FFB propose à nouveau de suivre, le 13 octobre à partir de 10h, une version digitale des Coulisses du Bâtiment en direct sur YouTube mais aussi sur LinkedIn.D’une durée de 45 minutes, ce dispositif comprendra une visite de chantier et des ateliers de démonstration afin de partir à la découverte des métiers et également des nouvelles technologies.Les Coulisses du bâtiment sont à retrouver dès à présent sur les réseaux sociaux :Un site Internet dédiéLa page dédiée à cette opération sur le site www.lebatiment.fr indique en temps réel les sites ouverts dans chaque département avec les informations essentielles comme le type d’ouvrage présenté, les corps de métiers représentés, l’adresse, les jours et horaires d’ouverture.Elle permet également d’avoir une présentation détaillée du secteur, des Coulisses du bâtiment et des métiers.Information pratiquesOù sont les sites à visiterLa page https://lebatiment.fr/nos-evenements/coulisses-du-batiment donne tous les détails sur les chantiers, atelier et CFA à visiter.Quelle tenue porter ? Une tenue pratique et des chaussures plates sont vivement conseillées. L’équipe organisatrice remet à chaque visiteur un casque (obligatoire) à son arrivée. Il faut éviter les chaussures à talons, les tongs, les robes, peu adaptées aux visites. Et oui, les chantiers et ateliers sont des lieux de travail où des règles de sécurité doivent être respectées !Et les règles de sécurité ?Les visites seront organisées dans le strict respect des consignes de sécurité et de prévention en vigueur et appliquées en étroite collaboration avec l’OPPBTP (Organisme de prévention du bâtiment et des travaux publics).Les visites sont-elles payantes ?Non, l’accès aux visites est totalement gratuit.
Il y a 2 ans et 244 jours

Lafarge dynamise le secteur du BTP dans les Hauts-de-Seine

Lafarge France a ouvert un programme d’accompagnement pour stimuler le développement des jeunes entreprises innovantes dans les Hauts-de-Seine. [©AC Presse] Afin de créer de l’activité dans le secteur de la construction, Lafarge France et la préfecture des Hauts-de-Seine (92) présentent un programme d’accompagnement des entreprises innovantes. Avec l’aide de l’incubateur Impulse Partners, les 2 organisateurs se lancent un défi. Ils souhaitent contribuer au développement de jeunes entreprises locales, dont l’activité est centrée sur la construction. Ainsi, pour solliciter les start-up du secteur, un appel à candidatures a été émis dans le cadre de l’éco-système innovant du département. Les jeunes entreprises avaient jusqu’au 16 septembre 2022 pour présenter une innovation dans le BTP. Condition sine qua non pour voir son dossier accepté : installer son siège social ou ses principaux bureaux dans le 92.  Un accompagnement spécifique Par la suite, entre septembre et octobre 2022, le jury sélectionnera les différents projets qu’il souhaite soutenir. Mené par Impulse Partners et des experts de Lafarge France, un accompagnement spécifique et gratuit pendant un an sera ensuite proposé aux start-up les plus innovantes. Des ateliers avec d’autres entreprises leur permettront de se faire connaître sur ce marché local de la construction. 
Il y a 2 ans et 244 jours

Light + Building 2022, Hager sera présent dans le nouveau Hall 12,  

Pour la première édition automnale du salon Light + Building à Francfort (Allemagne) du 2 au 6 octobre 2022, Hager sera présent dans le nouveau Hall 12, avec un concept de stand totalement nouveau. Hager sera également visible sur ce salon international au travers de la « Rue des Ateliers » dédiée aux apprentis électriciens et aux étudiants, et de la « Hager Tiny House » sur l’espace extérieur en face du Hall 11. Au premier étage du nouveau hall d’exposition 12, Hager sera présent sur une surface de 1 350 m². Le nouveau concept du stand, très ouvert, fait la part belle à la manipulation de produits, avec des exemples d’applications concrètes des solutions proposées par les marques Hager, Berker et Elcom*.Pour l’habitat, ce sont les solutions permettant d’optimiser les consommations d’énergies dans les bâtiments résidentiels qui seront à l’honneur, comme les solutions de recharges pour véhicules électriques, avec par exemple les bornes witty et leur gestionnaire local de charge. Dans le tertiaire, Hager présentera ses nouveautés en matière d’infrastructure intelligente pour la distribution d’énergies et de données dans les espaces de bureaux, mais aussi ses solutions pour une installation électrique moderne – avec un exemple d’application concret dans une école. Le logiciel Hagercad sera également présentésur le stand. Celui-ci rend les phases de configuration, de conception et de chiffrage plus aisées, rapides et précises. Plus d’informations sur : https://hager.de/lb2022 * Marques commercialisées par Hager Group en Allemagne, Autriche et Suisse.
Il y a 2 ans et 245 jours

Hager au salon Light + Building 2022

Pour la première édition automnale du salon Light + Building à Francfort (Allemagne) du 2 au 6 octobre 2022, Hager sera présent dans le nouveau Hall 12, avec un concept de stand totalement nouveau. Hager sera également visible sur ce salon international au travers de la « Rue des Ateliers » dédiée aux apprentis électriciens et aux étudiants, et de la « Hager Tiny House » sur l'espace extérieur en face du Hall 11.
Il y a 2 ans et 245 jours

Les Coulisses du bâtiment 2022

Chaque année, la FFB organise Les Coulisses du bâtiment, une opération portes ouvertes de chantiers, ateliers et CFA. Les 13 et 14 octobre prochain, près de 170 chantiers, ateliers et CFA seront exceptionnellement ouverts dans toute la France. Les scolaires et leurs enseignants vont pouvoir découvrir l’envers du décor d’un chantier ou assister aux démonstrations des professionnels dans les ateliers. Ils partageront le quotidien d’hommes et de femmes passionnés. D’habitude interdits au public, les sites de toutes sortes et de toutes tailles (hôpitaux, maisons de retraite, musées, lycées, stades, immeuble de bureaux…) dévoileront leurs coulisses à différentes étapes d’avancement des travaux. https://www.lebatiment.fr/nos-evenements/coulisses-du-batiment  
Il y a 2 ans et 245 jours

Équipbaie-Métalexpo rejoint Batimat en 2024

Aujourd’hui, le salon ouvre une nouvelle page de son histoire et rejoint BATIMAT en 2024 afin de créer l’événement le plus important du secteur de la menuiserie et de la métallerie et de réunir les forces de chacun.Cette nouvelle dynamique, portée par RX et l’ensemble des organisations professionnelles partenaires du salon EQUIPBAIE-METALEXPO, sera effective en 2024.Une filière au cœur des enjeux du secteur de la constructionCette nouvelle dynamique permet à ÉQUIPBAIE-MÉTALEXPO d’être au cœur des nouveaux enjeux du secteur du bâtiment et de la construction (rénovation et sobriété énergétique, décarbonation des procédés et des modes constructifs…) et des évolutions des métiers comme des méthodes de travail.Son intégration au sein de BATIMAT lui donnera également la possibilité de toucher une cible de professionnels beaucoup plus large incluant les prescripteurs (ingénieurs, architectes, décorateurs…) tout en capitalisant sur son cœur de cible, les fabricants et les menuisiers installateurs spécialisés, les métalliers, venant en nombre à BATIMAT. En effet, BATIMAT attire déjà 1/3 des entreprises spécialisées en France ainsi que plus de 30.000 installateurs généralistes et artisans indépendants.ÉQUIPBAIE-MÉTALEXPO profitera aussi de la forte synergie existante entre les différents salons du Mondial du Bâtiment (BATIMAT, INTERCLIMA ET IDEOBAIN), véritable plateforme globale regroupant des univers spécialisés. Il renforcera, du fait de sa présence et sa notoriété, la puissance du Mondial du Bâtiment.Un salon dans le salonÉQUIPBAIE-MÉTALEXPO disposera, au sein de BATIMAT en 2024 d’un hall dédié et de sa propre identité visuelle. Un programme spécifique sera développé afin de répondre aux attentes des professionnels spécialisés de la filière, exposants et visiteurs. Il comprendra des parcours de visite, des ateliers, des animations, des conférences… reflétant la richesse de ce secteur et l’offre particulièrement attractive des exposants.Comme lors des éditions précédentes d’ÉQUIPBAIE-MÉTALEXPO, ce programme sera co-construit par RX et l’ensemble des organisations professionnelles partenaires du salon.Pour Guillaume Loizeaud, Directeur Division Construction RX France : « C’est à nouveau grâce à la relation et au travail collaboratif avec les organisations du pôle fenêtres FFB, que nous allons ouvrir un nouveau chapitre au développement d’EQUIPBAIE-METALEXPO ; cette nouvelle stratégie, positionne le salon dans un nouvel ensemble plus large et nous permettra d’occuper une position unique en France comme en Europe. »Pour Christophe Bieber, Président Union des Métiers du Bois : « ÉQUIPBAIE-MÉTALEXPO est l’opportunité de mettre en avant la fenêtre bois & mixte bois alu. C’est une solution privilégiée pour réduire l’impact carbone des constructions tout en apportant des performances AEVM, thermiques et acoustiques sans compromis en sur-mesure, neuf comme en rénovation. C’est une opportunité unique pour tous les acteurs du bâtiment. »Pour Bruno CADUDAL, Président UFME : « Le mariage d’ÉQUIPBAIE avec BATIMAT était une demande des organisations professionnelles partenaires du salon. La fenêtre est un composant indissociable du Bâtiment. Il est donc évident et logique qu’ÉQUIPBAIE rejoigne le Mondial du Bâtiment au travers de BATIMAT. La complémentarité de ces salons ne pourra que répondre aux attentes des visiteurs et des exposants. »Pour Bruno Léger, Président SNFA : « Une fois de plus, les organisations professionnelles du Pôle Fenêtre FFB ont œuvré ensemble, main dans la main, pour réfléchir à l’évolution d’ÉQUIPBAIE-MÉTALEXPO et trouver la meilleure solution garantissant l’avenir de ce salon spécialisé, tant prisé des pros. Nul doute que de rejoindre BATIMAT va créer une nouvelle dynamique et favoriser le développement du nombre d’exposants et de visiteurs pour ÉQUIPBAIE-MÉTALEXPO. »Pour Yannick Michon, Président Groupement Actibaie : « Pour sa prochaine édition, le salon ÉQUIPBAIE-MÉTALEXPO va joindre ses forces avec BATIMAT pour créer le véritable mondial du bâtiment où les métiers de la menuiserie et de la fermeture auront une place d’honneur. Cette nouvelle formule sera l’opportunité de réunir tous les acteurs du secteur : de l’architecte, jusqu’à l’installateur du produit, en passant par les fabricants. Nous avons hâte de vous y retrouver tous en 2024. »Pour Franck Perraud, Président Union des Métalliers : « Nous sommes très heureux que MÉTALEXPO rejoigne BATIMAT en 2024. Ceci illustre bien l’ampleur qu’à pris notre salon et sa nouvelle dimension. Nous sommes certains que ce nouveau format va permettre à la métallerie de participer pleinement à une nouvelle dynamique au sein de la filière du bâtiment. Ce sera également l’opportunité de rencontrer un public de professionnels plus large et de faire découvrir la richesse et la diversité de la métallerie aux prescripteurs et architectes. »
Il y a 2 ans et 246 jours

Lancement mi-octobre de formations sur l'environnement pour les députés

La présidente de l'Assemblée nationale Yaël Braun-Pivet (Renaissance) est à l'origine de ces formations qui ont aussi pour but d'"améliorer la prise en compte des enjeux environnementaux dans le travail parlementaire", selon un communiqué.Une conférence inaugurale, suivie d'ateliers thématiques, se tiendront le 19 octobre, avec la participation de la paléo-climatologue et membre du GIEC Valérie Masson-Delmotte, de l'écologue Philippe Grandcolas et de l'économiste du climat Céline Guivarch.Cette rencontre "ne sera qu'une première étape d'un cycle de formations", de sorte que "la formation des députés, mais aussi des personnels et collaborateurs travaillant dans l'institution, s'inscrive dans la durée", poursuit la présidence de l'Assemblée. Dans l'optique d'une "Assemblée verte et vertueuse", Mme Braun-Pivet a aussi mis sur pied un groupe de travail chargé de proposer "des pratiques environnementales exemplaires" au sein de l'institution.Composé de 14 députés de tous bords et présidé par Mme Braun-Pivet elle-même, il se réunira pour la première fois le 6 octobre. Le groupe de travail doit se pencher sur des "mesures immédiates" pour "éviter des coupures énergétiques cet hiver", ainsi que sur un "plan de transition énergétique à moyen et long terme" d'ici fin février 2023, afin de réduire les consommations de 60% d'ici 2042.Enfin, un "plan de transition écologique" devra être remis d'ici juin 2023, sur la réduction des déchets, le verdissement du transport des députés, personnels et collaborateurs, et encore sur la promotion d'une alimentation saine et durable."Il y a encore beaucoup à faire en termes de réduction de la consommation (énergétique), même si beaucoup a été fait avec une baisse de 30% ces dix dernières années", soulignait la titulaire du perchoir dans Le Parisien lundi, en relevant qu'"une partie des bâtiments (de l'Assemblée) est classée monument historique, ce qui ne facilite pas le travail".